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  1. ESN - Competencies mes compétences et centres d'intérêt

  2. Study report (Ceremadoc) Recul événementiel du trait de côte - Constitution d’une base de connaissance à l’échelle nationale

    La prise en compte du recul événementiel du trait de côte est essentielle dans les études traitant de l'évolution de la dynamique littorale. Des reculs parfois importants du littoral, souvent de plusieurs mètres, peuvent se produire lors de tempêtes majeures sur les côtes sableuses ou en raison de glissements de terrain sur les falaises côtières. Le Cerema a produit une première cartographie nationale des reculs événementiels susceptibles d’affecter les littoraux de métropole et des départements et régions d’outre-mer (Guadeloupe, Martinique, Guyane, La Réunion et Mayotte). Cette cartographie constitue une base pour un traitement homogène des valeurs de reculs événementiels sur l'ensemble du littoral français.
  3. Study report (Ceremadoc) Cartographie nationale des zones basses du littoral Zones basses définies à la cote des PHMA

    Les données concernant les emprises des zones topographiquement basses par rapport à un niveau haut de la mer (hors événements tempétueux majeurs) sont cruciales pour les études relatives à l’adaptation des territoires littoraux face au recul du trait de côte. Dans le cadre d’études sur la projection du trait de côte, le Cerema a produit la cartographie de l’emprise des zones basses du littoral de métropole et des DROM situées à la cote des niveaux des plus hautes mers astronomiques (PHMA). Une déclinaison de cette cartographie intègre une augmentation d'un mètre aux valeurs des PHMA pour simuler la hausse du niveau de la mer due au changement climatique. Recul événementiel du trait de côte - Constitution d’une base de connaissance à l’échelle nationale. La prise en compte du recul événementiel du trait de côte est essentielle dans les études traitant de l'évolution de la dynamique littorale. Des reculs parfois importants du littoral, souvent de plusieurs mètres, peuvent se produire lors de tempêtes majeures sur les côtes sableuses ou en raison de glissements de terrain sur les falaises côtières. Le Cerema a produit une première cartographie nationale des reculs événementiels susceptibles d’affecter les littoraux de métropole et des départements et régions d’outre-mer (Guadeloupe, Martinique, Guyane, La Réunion et Mayotte). Cette cartographie constitue une base pour un traitement homogène des valeurs de reculs événementiels sur l'ensemble du littoral français.
  4. Study report (Ceremadoc) Projection du trait de côte et analyse des enjeux au niveau national - Echéance à 5 ans

    Afin de contribuer aux réflexions engagées en 2023 au sein du Comité National Trait de Côte (CNTC), le Cerema, sous le pilotage d’une mission d’inspection et des services du Ministère de la Transition écologique et de la Cohésion des territoires (MTECT), étudie les enjeux qui pourraient être menacés à l’avenir par le recul du trait de côte sur les littoraux de métropole et d’outre-mer. Dans le cadre de cette étude, le Cerema vient en appui de la mission d’inspection afin de contribuer à la réalisation d’un inventaire des biens exposés au recul du trait de côte d’ici les 5 prochaines années. Les tempêtes, sources potentielles de reculs événementiels du trait de côte, étant imprévisibles à court terme, l'étude se base sur des hypothèses de recul convenues avec la mission d'inspection. Une première étape de pré-identification à l'échelle nationale a permis d’identifier les bâtiments potentiellement concernés. Les services territoriaux de l'État ont ensuite été sollicités pour enrichir cet inventaire grâce à leur expertise locale. L'analyse consolidée de l'inventaire révèle qu'environ un millier de bâtiments, de toutes sortes, pourraient être touchés par le recul du trait de côte à l'échelle nationale dans les 5 prochaines années. La valeur vénale des bâtiments identifiés, principalement résidentiels et commerciaux, est estimée à environ 240 M€. Ces estimations ne concernent pas la Guyane et Mayotte où les spécificités de ces territoires ne permettent pas le déploiement complet de la méthode.
  5. Edition (Ceremadoc) Territoires littoraux et changement climatique : Séminaire sur la gestion intégrée du littoral 2021

    L'attractivité des territoires littoraux ne se dément pas malgré des risques naturels importants, amenés à être amplifiés par le changement climatique. La loi Climat et résilience d'août 2021 a traduit une prise de conscience collective de la nécessité de gérer, d'anticiper au mieux ces phénomènes et les collectivités territoriales expriment aujourd'hui le besoin d'être accompagnées pour relever les défis qui les attendent. Dès 2019, le Cerema et l'Association nationale des élus du littoral (ANEL) se sont mobilisés pour aider les collectivités dans le développement d'une gestion globale, anticipée, adaptée et préventive. Cette démarche dénommée Appel à partenaires Gestion intégrée du littoral rassemble dix-sept territoires volontaires. Première production, le webinaire Territoires littoraux et changement climatique du 1er décembre 2021 a permis d'illustrer les problématiques et de partager l'état de l'art des connaissances scientifiques.
  6. Edition (Ceremadoc) Accompagner la compétence GEMAPI - Gestion des milieux aquatiques et prévention des inondations - Fiche n°11 : Partage d'expérience de la collectivité territoriale département de la Seine-Maritime

    La compétence de gestion des milieux aquatiques et de prévention des inondations (GEMAPI) est obligatoire pour l’ensemble des établissements publics de coopération intercommunale à fiscalité propre (EPCI-FP) depuis le 1er janvier 2018. L’ambition est de rendre plus cohérente et efficace l’organisation territoriale dans le domaine de l’eau, pour relever les défis de restauration des milieux aquatiques et de réduction de la vulnérabilité aux inondations. Le législateur a par ailleurs donné la possibilité aux départements et aux régions qui étaient historiquement impliqués dans la GEMAPI de continuer à participer à ces missions au-delà du 1er janvier 2020, par voie de conventions obligatoirement signées avant cette date. Ainsi le département de la Seine-Maritime, actif pour la gestion de digues sur l’estuaire de la Seine depuis 1960 et sur le littoral depuis 1920, s’est positionné pour continuer à réaliser des missions historiques en lien avec la compétence GEMAPI.
  7. Edition (Ceremadoc) Assises du Port du futur 2022. Accélérer la transition écologique : la solution face aux crises ?

    Depuis 2011 les Assises Port du futur rassemblent les décideurs, les responsables des ports, les industriels, les opérateurs de services de transport et les chercheurs pour travailler et échanger sur les enjeux portuaires d’aujourd’hui et de demain. L’édition 2022 organisée à Lorient (56) a permis de faire le bilan des crises successives – Covid-19 et guerre russo-ukrainienne – qui ont bouleversé le monde et les ports français depuis 2020. Entre agilité et résilience, transitaires, compagnies maritimes, chargeurs et chercheurs partagent leurs expériences et livrent des enseignements pour s’engager durablement dans la transition écologique.
  8. Edition (Ceremadoc) Territoires littoraux, le défi des transitions : Séminaire sur la gestion intégrée du littoral 2023

    Dès 2019, le Cerema et l'Association Nationale des Élus des Littoraux (ANEL) se sont mobilisés pour aider les collectivités dans le développement d'une gestion globale et préventive du littoral. Cette démarche dénommée "Appel à partenaires Gestion intégrée du littoral" rassemble dix-sept territoires volontaires. Point d'étape intermédiaire, le séminaire "Premiers enseignements issus des études de l’appel à partenaires ANEL-Cerema" du 13 juin 2023 a permis d’échanger sur les expérimentations en cours, de partager les retours d’expérience des territoires dont les études sont terminées et de dégager des pistes d’enseignements communes avec d’autres initiatives en France et dans le monde.
  9. Article (Ceremadoc) Une zone côtière et des estuaires très prisés mais sous pression

    La zone côtière, partout dans le monde, attire d’importantes populations. Aujourd’hui, environ 40 % de la population mondiale vit à moins de 100 kilomètres des côtes. Cette proportion devrait se maintenir d’ici 2050. Depuis l’Antiquité, la majorité des grandes métropoles sont côtières, et plus spécifiquement situées au niveau des estuaires.
  10. Study report (Ceremadoc) Diagnostic de l'ESM du Chenal d'accès au port de FOS-sur MER. BFI n°5. COB de Marseille

    Le Cerema est intervenu dans le cadre du suivi des E.S.M placés en site maritime pour effectuer le suivi des désordres affectant la BFI N°5 située dans le chenal d’accès au Port de Fos-sur-Mer pour le compte de la DIRM/DSM/SPB. Dans ce document, nous identifions les éventuels désordres et proposons et proposons des mesures conservatoires nécessaires à assurer la pérennité de la structure le cas échéant.
  11. Study report (Ceremadoc) Diagnostic de l'ESM _ BFI - Feu Sud-Est du bassin d'évitage _ COB de Marseille _ DIRM Méditerranée - Service des Phares et Balises

    Le CEREMA / DTerMed est intervenu dans le cadre du suivi des E.S.M placés en site maritime pour effectuer le suivi des désordres affectant le feu écueil la bouée à flotteur immergé évitage sud-est dans le chenal de Caronte à Port de Bouc pour le compte de la DIRM/DSM/ SPB. Dans ce document, nous identifions les évolutions désordres et proposons les mesures conservatoires nécessaires à assurer la pérennité de cet ouvrage.
  12. Study report (Ceremadoc) Diagnostic des ESM - COB de Marseille _ DIRM Méditerranée _ Service des Phares et Balises _ Canal de Caronte - BFI Calens Sud

    Le Cerema est intervenu dans le cadre du suivi des E.S.M placés en site maritime pour effectuer le suivi des désordres affectant la BFI « CALENS SUD » - Feu de tribord située dans le canal de Caronte pour le compte de la DIRM/DSM/ SPB. Dans ce document, nous identifions les éventuels désordres et proposons des mesures conservatoires nécessaires à assurer la pérennité de la structure le cas échéant.
  13. Study report (Ceremadoc) Diagnostic des ESM du Golfe du Lion. BFI Gruissan Sud. COB de SETE

    Le Cerema est intervenu dans le cadre du suivi des E.S.M placés en site maritime pour effectuer le diagnostic affectant la BFI « Gruissan SUD » - cardinale SUD située dans le Golfe du Lion pour le compte de la DIRM/DSM/ SPB /COB de Sète. (43°4.750’N 3°8.244’E) Dans ce document, nous identifions les éventuels désordres et proposons des mesures conservatoires nécessaires à assurer la pérennité de la structure le cas échéant.
  14. Study report (Ceremadoc) Diagnostic des ESM du Golfe du Lion. BFI Fleury d'Aude Sud. COB de SETE

    Le Cerema est intervenu dans le cadre du suivi des E.S.M placés en site maritime pour effectuer le diagnostic de la BFI « Fleury d’Aude SUD» - cardinale sud située dans le Golfe du Lion pour le compte de la DIRM/DSM/ SPB /COB de Sète. Dans ce document, nous identifions les éventuels désordres et proposons des mesures conservatoires nécessaires à assurer la pérennité de la structure le cas échéant.
  15. Study report (Ceremadoc) Diagnostic des ESM - COB de Sète - BFI Sea-Line de Port-la-Nouvelle

    Le CEREMA / DTerMed est intervenu dans le cadre du suivi des E.S.M placés en site maritime pour effectuer le suivi des désordres affectant la bouée à flotteur immergé Sea- ine de Port La Nouvelle dans le pour le compte de la DIRM/DSM/ SPB. Dans ce document, nous identifions les évolutions désordres et proposons les mesures conservatoires nécessaires à assurer la pérennité de cet ouvrage.
  16. Study report (Ceremadoc) Diagnostic des ESM. COB DE Sète. BFI Gruissan cardinal Est

    Le CEREMA / DTerMed est intervenu dans le cadre du suivi des E.S.M placés en site maritime pour effectuer le suivi des désordres affectant la bouée à flotteur immergé Gruissan Est pour le compte de la DIRM/DSM/ SPB. Dans ce document, nous identifions les évolutions désordres et proposons les mesures conservatoires nécessaires à assurer la pérennité de cet ouvrage.
  17. Study report (Ceremadoc) Bilan des connaissances des aléas du littoral de la Communauté d'agglomération Hérault Méditerranée. Note de synthèse des aléas et des enjeux littoraux

    L’objectif du projet est de poursuivre les réflexions sur la prise en compte des enjeux littoraux dans le projet de territoire et de tester le dispositif expérimental de type S-Able. Les travaux sont répartis en 4 axes : 1. Bilan des connaissances des aléas littoraux sur le territoire de la Communauté d’Agglomération Hérault Méditerranée, incluant un focus sur la côte ouest de Vias. 2. Modalités de prise en compte des enjeux littoraux dans le projet de territoire. 3. Expertises sur le projet de reconstitution du cordon dunaire. 4. Suivi et évaluation de la mise en place d’un dispositif expérimental de type S-Able. Le présent document correspond au bilan des connaissances des aléas et des enjeux du territoire, réalisé pour répondre à l’axe 1 de l’étude.
  18. Study report (Ceremadoc) Bilan des connaissances des aléas du littoral de la Communauté d'agglomération Hérault Méditerranée. Atlas cartographique

    L’objectif du projet est de poursuivre les réflexions sur la prise en compte des enjeux littoraux dans le projet de territoire et de tester le dispositif expérimental de type S-Able. Les travaux sont répartis en 4 axes : 1. Bilan des connaissances des aléas littoraux sur le territoire de la Communauté d’Agglomération Hérault Méditerranée, incluant un focus sur la côte ouest de Vias. 2. Modalités de prise en compte des enjeux littoraux dans le projet de territoire. 3. Expertises sur le projet de reconstitution du cordon dunaire. 4. Suivi et évaluation de la mise en place d’un dispositif expérimental de type S-Able. Le présent document correspond au bilan des connaissances des aléas et des enjeux du territoire, réalisé pour répondre à l’axe 1 de l’étude.
  19. Study report (Ceremadoc) Création de stations VHF dans les parcs éoliens en mer. Bilan 1er semestre

    La note technique interministérielle du 11 juillet 2016 impose aux exploitants des champs éoliens en mer de mettre en service une station de radiocommunications VHF au sein des champs. Le Cerema assiste la direction générale des affaires maritimes, de la pêche et de l’aquaculture (DGAMPA) qui accompagne les porteurs de projets des champs éoliens dans le déploiement de ces stations VHF. Le déploiement suit les étapes d’installation du parc éolien. Ce déploiement est réalisé sur plusieurs années. Le présent bilan recense les travaux réalisés par le Cerema lors du premier semestre 2023 sur l’ensemble des projets éoliens en cours.
  20. Study report (Ceremadoc) Compte-rendu des comités ARM16 et ENG16 de l'AISM

    Les comités ENG16 et ARM16 ont eu lieu au dernier semestre 2022. Ces deux comités ont eu lieu en présentiel, une première depuis le COVID. Les participants ont parcouru un certain nombre de documents en y apportant des modifications et/ou des compléments. Plusieurs documents ont été proposés au conseil pour publication. Une synthèse des éléments les plus significatifs est dressée par item.
  21. Study report (Ceremadoc) Création de stations VHF dans les parcs éoliens en mer. Bilan du second semestre 2023

    La note technique interministérielle du 11 juillet 2016 impose aux exploitants des champs éoliens en mer de mettre en service une station de radiocommunications VHF au sein des champs. Le Cerema assiste la direction générale des affaires maritimes, de la pêche et de l’aquaculture (DGAMPA) qui accompagne les porteurs de projets des champs éoliens dans le déploiement de ces stations VHF. Le déploiement suit les étapes d’installation du parc éolien. Ce déploiement est réalisé sur plusieurs années. Le présent bilan recense les travaux réalisés par le Cerema lors du second semestre 2023 sur l’ensemble des projets éoliens en cours.
  22. Study report (Ceremadoc) Stratégie littorale Bresle-Somme-Authie : Une approche de résilience territoriale face aux risques littoraux pour de nouvelles perspectives

    Le document de synthèse s’inscrit dans une démarche de recherche-action, réalisée dans le cadre de l’appel à partenaires lancé en 2020 par le Cerema et l’Association Nationale des Elus du Littoral (ANEL), intitulé « Traiter la résilience du territoire aux risques littoraux dans une approche pragmatique et prospective pour mieux anticiper les mutations à venir ». Cette action s’inscrit également dans la Stratégie Littorale, dont fait partie le Programme d’Actions de Prévention des Inondations Bresle Somme Authie (PAPI BSA), approuvé en 2015 par l’Etat, les élus et acteurs du territoire Bresle Somme Authie. Il constitue donc un socle reprenant les données essentielles issues de ladite Stratégie Littorale de 2015, des résultats de la recherche-action sur les stratégies de résilience en cours et à venir face aux risques naturels majeurs, dont ceux de l’atelier participatif et thématique réalisé avec les acteurs du territoire le 24 mars 2022. Destiné aux élu(e)s du territoire, aux acteurs parties prenantes du développement local et à toute personne intéressée, il comprend trois parties visant à présenter le territoire et ses enjeux, faire une synthèse de la stratégie en cours, et préfigurer de nouvelles orientations pour l’avenir tout en veillant à agir à court, moyen et long terme. Sa publication intervient avant le renouvellement de la Stratégie Littorale et se veut une contribution au futur projet de développement du territoire. Il constitue ainsi un appui pour décider d’actions à poursuivre, à réorienter ou à initier, soulignant des principes de gouvernance adaptés à la gestion des risques pour plus de cohésion, de concordance des actions et de coopération.
  23. Study report (Ceremadoc) Niveau de service des ANM, Guide méthodologique sur la supervision

    Ce guide a pour objectif de proposer aux services exploitants des lignes directrices servant de référence pour l’élaboration d’une politique partagée et homogène de supervision au niveau de la façade, voire entre façades. Cette stratégie se base sur une analyse des aides à la navigation sur 3 critères : l’importance de l’aide à la navigation (ANM) pour la sécurité de la navigation, les conditions d’accès à l’ANM et les technologies des équipements installés.
  24. Study report (Ceremadoc) Méthodes souples. Retour d'expériences pour le littoral

    Ce rapport d’étude a été réalisé à l’initiative du ministère de la transition écologique et de la cohésion des territoires (MTECT), direction générale de l’aménagement, du logement et de la nature (DGALN), direction de l’eau et de la biodiversité (DEB) avec le concours de services déconcentrés de l’État (DDTM, DREAL), d’organismes partenaires, bureaux d’études et de collectivités territoriales. Ce rapport vise à fournir un état des lieux de solutions de gestion souples du littoral. Il s’agit d’un travail à poursuivre sur la base de retour d’expériences à capitaliser dans le temps et à développer sur tout le territoire. Il est fréquent d’opposer méthodes dures et méthodes douces, lesquelles sont souvent associées aux solutions fondées sur la nature. Les méthodes exposées ici sont à la croisée de ces chemins et proposent des solutions de gestion réversibles pouvant être utilisées dans des approches « sans regret ».
  25. Study report (Ceremadoc) Candhis : l’observatoire côtier national de mesure de houle : Bilan de l'année 2022

    Le Cerema est le gestionnaire l’observatoire côtier national de mesure des états de mer, l’observatoire Candhis. Le présent rapport est un bilan pour l’année 2022 des actions du Cerema sur Candhis. Ce bilan est décomposé en 3 parties : le réseau de mesure, le système d’information et les perspectives de Candhis.
  26. Study report (Ceremadoc) Adaptation du littoral grimaudois au changement climatique. Appel à partenariat Gestion intégrée du littoral

    L’objectif de l’étude est d’accompagner la commune de Grimaud dans sa réflexion sur l’adaptation de son littoral face au changement climatique. Ses activités littorales sont exposées aux aléas littoraux, il est nécessaire de l’anticiper et d’envisager les solutions possibles, notamment la relocalisation de certaines activités économiques et la requalification des espaces littoraux. Les travaux ont consisté à : - Caractériser et identifier les enjeux exposés aux aléas littoraux ; - Réaliser un diagnostic du foncier de la commune et en identifier le potentiel pour la relocalisation des activités ; - Proposer un cahier des charges des modalités de concertation à mettre en place concernant l’adaptation du littoral grimaudois face au changement climatique. Le présent document comprend : - Un bilan des connaissances concernant les aléas littoraux, l’identification des enjeux et leur exposition face aux risques ; - Un diagnostic foncier et la définition d’une méthodologie pour étudier les possibilités de relocalisation des activités ; - Un bilan des outils existants et acteurs mobilisables afin de concrétiser une réflexion de relocalisation. Une formation sur l’outil UrbanSimul a été réalisée auprès des agents des services Environnement et Urbanisme de la commune et de la communauté de communes du golfe de St Tropez (CCGST). Les modalités de concertation préconisées concernant l’adaptation du littoral grimaudois face au changement climatique, sont présentées dans une feuille de route qui fait l’objet d’un document annexé au présent rapport.
  27. Study report (Ceremadoc) Le transport du quotidien par navettes fluviales et maritimes, les coûts d'exploitation

    Les services de transport du quotidien par voie d’eau viennent compléter l’offre de transport urbain et contribuent à l’intégration du « fleuve » dans la ville. Leurs coûts d’exploitation sont réputés élevés notamment en comparaison des coûts des réseaux urbains mais les services rendus sont de natures différentes. Une enquête (réalisée avant la crise sanitaire de la Covid) a permis de mieux connaître les coûts d’exploitation des services. Exprimés en € par kilomètre, ils sont très variables mais ce ratio n’est pas vraiment adapté à l’appréciation du niveau de ce coût au regard du service apporté et de la typologie du service de transport. Une approche à l’heure de fonctionnement est plus pertinente. Le premier poste est le coût de personnel, la conséquence d’un équipage généralement composé de deux personnes (un capitaine et un matelot comparé un conducteur de bus). Afin de maîtriser, les coûts d’exploitation, il est recommandé de s’entourer d’experts dans le domaine fluvial et/ou maritime ou encore d’adopter une approche intégrée de la conception du service. Enfin, l’attractivité touristique et de loisirs peut constituer une piste de recettes supplémentaires.
  28. Study report (Ceremadoc) Diagnostic des ESM du Golfe du Lion. BFI Fleury d'Aude Est. COB de Sète

    Le Cerema est intervenu dans le cadre du suivi des E.S.M placés en site maritime pour effectuer le diagnostic affectant la BFI « Fleury d’Aude EST » - cardinale EST située dans le Golfe du Lion pour le compte de la DIRM/DSM/ SPB /COB de Sète. (43°9.987’N 3°16.345’E). Dans ce document, nous identifions les éventuels désordres et proposons des mesures conservatoires nécessaires à assurer la pérennité de la structure le cas échéant.
  29. Study report (Ceremadoc) Guide sur les feux à secteurs. Pour la signalisation maritime et fluviale

    Les feux à secteurs sont des aides à la navigation présentant une couleur différente selon les diverses parties de l’horizon d’où ils sont observés. Ce type d’aide permet de fournir des informations différentes au navigateur, selon sa position sur le plan d’eau. Ces feux sont utilisés depuis le XIXe siècle et représentent une part importante des aides à la navigation maritime (AtoN) Les feux à secteurs sont l’objet de ce guide. Celui-ci s’appuie particulièrement sur le guide AISM G1041 sur les feux à secteurs, remanié.
  30. Study report (Ceremadoc) Candhis : analyses 2023 des états de mer : Tome 3 - Outre-mer

    Candhis est l’observatoire côtier national de mesure des états de mer. Le présent recueil constitue le troisième tome du catalogue des fiches synthétiques de mesure des états de mer Candhis. Ce troisième tome porte sur les campagnes de mesures localisées en outre-mer. Les fiches synthétiques regroupent, par campagne de mesures, les métadonnées et une analyse des observations des états de mer (climatologie moyenne, analyse des extrêmes, zoom sur les tempêtes). Les observations utilisées sont les données « temps différé » disponibles au 1er mars 2023.
  31. Study report (Ceremadoc) Candhis : analyses 2023 des états de mer : Tome 2 - Méditerranée

    Candhis est l’observatoire côtier national de mesure des états de mer. Le présent recueil constitue le deuxième tome du catalogue des fiches synthétiques de mesure des états de mer Candhis. Ce deuxième tome porte sur les campagnes de mesures localisées le long du littoral métropolitain de Méditerranée. Les fiches synthétiques regroupent, par campagne de mesures, les métadonnées et une analyse des observations des états de mer (climatologie moyenne, analyse des extrêmes, zoom sur les tempêtes). Les observations utilisées sont les données « temps différé » disponibles au 1er mars 2023.
  32. Study report (Ceremadoc) Candhis : analyses 2023 des états de mer : Tome 1 - Mer du Nord, Manche et Atlantique

    Candhis est l’observatoire côtier national de mesure des états de mer. Le présent recueil constitue le premier tome du catalogue des fiches synthétiques de mesure des états de mer Candhis. Ce premier tome porte sur les campagnes de mesures localisées le long du littoral métropolitain de mer du Nord, Manche et Atlantique. Les fiches synthétiques regroupent, par campagne de mesures, les métadonnées et une analyse des observations des états de mer (climatologie moyenne, analyse des extrêmes, zoom sur les tempêtes). Les observations utilisées sont les données « temps différé » disponibles au 1er mars 2023.
  33. Study report (Ceremadoc) Diagnostic des ESM - COB de Marseille _ DIRM Méditerranée _ Service des Phares et Balises _ Canal de Caronte - BFI Gafette Sud

    Le Cerema est intervenu dans le cadre du suivi des E.S.M placés en site maritime pour effectuer le suivi des désordres affectant la BFI « Gafette Sud » - feu de Tribord située dans le canal de Caronte pour le compte de la DIRM/DSM/ SPB. Dans ce document, nous ideNtifions les éventuels désordres et proposons des mesures conservatoires nécessaires à assurer la pérennité de la structure le cas échéant.
  34. Study report (Ceremadoc) Diagnostic de l'ESM. COB de Marseille. BFI Annibal Est.

    Le CEREMA / DTerMed est intervenu dans le cadre du suivi des E.S.M placés en site maritime pour effectuer le suivi des désordres affectant le feu écueil la bouée à flotteur immergé Annibal-est dans le pour le compte de la DIRM/DSM/ SPB. Dans ce document, nous identifions les évolutions désordres et proposons les mesures conservatoires nécessaires à assurer la pérennité de cet ouvrage.
  35. Study report (Ceremadoc) Diagnostic des ESM du GOLFE de Fos. BFI n°6 Chenal d'accès de Fos-sur-Mer. COB de Marseille

    Le Cerema est intervenu dans le cadre du suivi des E.S.M placés en site maritime pour effectuer le suivi des désordres affectant la BFI N°6 du Chenal d’accès de Fos-sur-Mer (chenal bâbord) située dans le Golfe de Fos pour le compte de la DIRM/DSM/ SPB. Dans ce document, nous identifions les éventuels désordres et proposons des mesures conservatoires nécessaires à assurer la pérennité de la structure le cas échéant.
  36. Study report (Ceremadoc) Création de stations VHF dans les parcs éoliens en mer. Bilan 1er semestre 2022

    La note technique interministérielle du 11 juillet 2016 impose aux exploitants des champs éoliens en mer de mettre en service une station de radiocommunications VHF au sein des champs. Le Cerema assiste la direction générale des affaires maritimes, de la pêche et de l’aquaculture (DGAMPA) qui accompagne les porteurs de projets des champs éoliens dans le déploiement de ces stations VHF. Le déploiement suit les étapes d’installation du parc éolien. Ce déploiement est réalisé sur plusieurs années. Le présent bilan recense les travaux réalisés par le Cerema lors du premier semestre 2022 sur l’ensemble des projets éoliens en cours.
  37. Study report (Ceremadoc) Création de stations VHF dans les parcs éoliens en mer. Bilan 2nd semestre 2022

    La note technique interministérielle du 11 juillet 2016 impose aux exploitants des champs éoliens en mer de mettre en service une station de radiocommunications VHF au sein des champs. Le Cerema assiste la direction générale des affaires maritimes, de la pêche et de l’aquaculture (DGAMPA) qui accompagne les porteurs de projets des champs éoliens dans le déploiement de ces stations VHF. Le déploiement suit les étapes d’installation du parc éolien. Ce déploiement est réalisé sur plusieurs années. Le présent bilan recense les travaux réalisés par le Cerema lors du second semestre 2022 sur l’ensemble des projets éoliens en cours.
  38. Edition (Ceremadoc) Dragages : Anticiper pour une gestion optimisée

    Extraire des sédiments, c’est potentiellement altérer la qualité de l’eau, perturber un milieu naturel ou un système hydrosédimentaire. C’est aussi se poser la question du devenir des matériaux extraits, d’autant qu’à compter du 1er janvier 2025 la réglementation interdira le rejet en mer des sédiments pollués.
  39. Edition (Ceremadoc) Assises du Port du futur 2021 : Quels enjeux, quelles solutions pour les ports de demain ?

    La 11e édition des Assises « Port du futur » s'est tenue du 22 au 24 septembre 2021 à Paris avec l’ambition de répondre aux défis que connaissent les ports français. Retour sur les échanges des huit tables rondes, qui ont réuni les grands acteurs du domaine portuaire autour des enjeux économiques, environnementaux, numériques notamment. Ces onzièmes Assises « Port du futur » qui se sont tenues à quelques jours des Assises de l’économie de la mer à Nice ont été sous-tendue par une dynamique créée à la fois par la nouvelle Stratégie nationale portuaire dévoilée au mois de janvier de cette année et par France Relance.
  40. Study report (Ceremadoc) Candhis : analyses 2022 des états de mer - Tome 3 Outre-mer

    Analyse des données archivées de l’observatoire national des états de mer Candhis. Sont présentées : • les caractérisques générales (localisation, disponibilité) ; • la climatologie moyenne (valeurs de référence, corrélogrammes, roses des houles) ; • l’analyse des extrêmes (périodes de retour) ; • les principales tempêtes (valeurs de référence, spectres de variance directionnels). Les analyses ont été établies à partir des données contrôlées et archivées disponibles au 1er janvier 2022 pour l’outre-mer.
  41. Study report (Ceremadoc) Candhis : analyses 2022 des états de mer - Tome 2 Méditerranée

    Analyse des données archivées de l’observatoire national des états de mer Candhis. Sont présentées : • les caractérisques générales (localisation, disponibilité) ; • la climatologie moyenne (valeurs de référence, corrélogrammes, roses des houles) ; • l’analyse des extrêmes (périodes de retour) ; • les principales tempêtes (valeurs de référence, spectres de variance directionnels). Les analyses ont été établies à partir des données contrôlées et archivées disponibles au 1er janvier 2022 pour la Méditerranée.
  42. Study report (Ceremadoc) Candhis : analyses 2022 des états de mer : Tome 1 - Mer du Nord, Manche et Atlantique

    Cette étude analyse des données archivées de l’observatoire national des états de mer Candhis. Sont présentées : • les caractéristiques générales (localisation, disponibilité) ; • la climatologie moyenne (valeurs de référence, corrélogrammes, roses des houles) ; • l’analyse des extrêmes (périodes de retour) ; • les principales tempêtes (valeurs de référence, spectres de variance directionnels). Les analyses ont été établies à partir des données contrôlées et archivées disponibles au 1er janvier 2022 pour la façade métropolitaine de la mer du Nord, de la Manche et de l’Atlantique.
  43. Study report (Ceremadoc) Comparaison des principaux observatoires de mesure de houle à l'étranger - Perspectives d'évolutions du réseau Candhis

    Dans le cadre de la sélection 2021 du « Tremplin vers l’Europe et l’International » organisée par la DSTREI, le Cerema a conduit un benchmark sur les réseaux de mesure houle à l’étranger. Le Cerema (DTecREM/DREL) gère en France le réseau national de mesure côtière de houle. Son financement n’est pas pérenne et repose chaque année sur des discussions avec le ministère de la Transition écologique et un ensemble de partenaires locaux et nationaux. En parallèle, les besoins en matière de données et d’analyse de données évoluent. Dans ce contexte, une inspection du CGEDD sur Candhis a été diligentée en 2021 avec pour objectif de définir les perspectives d’évolution de Candhis sur les prochaines années. Les conclusions ouvrent des pistes sur le financement, la gouvernance et l’animation de la communauté utilisatrice. Le rapport met aussi en avant le rôle que pourrait jouer le Cerema en tant que référent sur la donnée de houle pour une coordination nationale avec les partenaires institutionnels (Ifremer, Shom, Météo France, CNES). En parallèle de cette inspection du CGEDD, le benchmark conduit par le Cerema avait pour objectif d’alimenter la réflexion avec des exemples des pratiques à l’étranger. 10 pays ont été interrogés sur les modes de gestion et de valorisation des réseaux de mesure de houle : 8 services européens (Angleterre, Pays-Bas, Portugal, Italie, Espagne, Belgique, Islande, Finlande) et 2 services hors Europe (États-Unis et Japon). En complément, 3 grands utilisateurs nationaux ont été interrogés sur leurs besoins : France Energie Marine, Artelia et Egis.
  44. Study report (Ceremadoc) Technical solutions for locating and tracking containers that have fallen into the sea

    This study consists of an inventory of existing or planned technical solutions for locating containers that have fallen into the sea and ways of monitoring their drift. It looks at tracking devices used for searching for containers or other related purposes (acoustic and/or GPS systems, drift prediction models) as well as prevention devices to avoid containers from falling. It also demonstrates that the container tracking solutions currently on the market would be ineffective in tracking the drift of containers or indicating the point at which they entered the sea. Finally, the study outlines the solutions currently being developed to track containers that have fallen into the sea, while highlighting the economic and logistical limitations to their implementation.
  45. Study report (Ceremadoc) Diagnostic et enjeux. Le territoire de la Baie de Somme, un joyaux à préserver, riche d'espaces agricoles et naturels... : Vulnérable face au changement climatique et qui fait le choix de la résilience

    Le fascicule 1 s’inscrit dans une démarche de recherche-action, réalisée dans le cadre de l’appel à partenaires lancé en 2020 par le Cerema et l’Association Nationale des Elus du Littoral (ANEL), intitulé « Traiter la résilience du territoire aux risques littoraux dans une approche pragmatique et prospective pour mieux anticiper les mutations à venir ». Il a pour objectif de présenter de façon synthétique les éléments du territoire de la Baie de Somme pour mieux connaitre le territoire : diagnostic et enjeux.
  46. Study report (Ceremadoc) Diagnostic et enjeux. Le territoire de la Baie de Somme Positionnements stratégiques et réalisations. fascicule_2

    L’intention de ce fascicule 2 est de mettre des mots sur les stratégies développées et les actions correspondantes, en cours et à venir, en matière de résilience territoriale, pour les rendre compréhensibles par les habitants, les acteurs du territoire et les services de l’Etat. L’intention est qu’elles soient mieux appropriées et réalisées en conscience. Ce fascicule comprend des éléments d’argumentaire en matière de politique d’urbanisme et d’aménagement du territoire résilient, dont le Syndicat Mixte pourra disposer pour être plus explicite dans ses démarches de court, moyen et long terme. Le fascicule présente trois principaux positionnements stratégiques spécifiques et une transversale. Ces positionnements sont la protection des activités et de la présence humaine : stratégie consistant à « faire face » aux éléments dans le but de préserver les biens et les personnes ; l’adaptation aux aléas : stratégie visant à « faire avec » l’aléa : les aménagements sont réalisés en fonction de la présence et de l’évolution des aléas ; le renouvellement, la restructuration, la réhabilitation, la rénovation : stratégie « de détachement » vis-à-vis de l’aléa : le développement local est envisagé en dehors des zones à risque ; l’innovation et la transformation du territoire : poussé par les limites liées aux contraintes de l’aléa, le projet de territoire s’appuie sur de nouvelles ambitions en matière de développement local (tous secteurs confondus).
  47. Study report (Ceremadoc) Candhis : l’observatoire côtier national de mesure de houle - Bilan 2021

    La connaissance du régime des états de mer au large et à la côte est importante dans de nombreux domaines : • les risques littoraux (plan de prévention des risques, submersions marines, action des vagues, catastrophes naturelles) ; • l’étude de l’évolution du climat et de son impact sur le littoral ; • la morphodynamique côtière et le suivi du trait de côte ; • le dimensionnement d’ouvrages portuaires et littoraux ; • la sécurité de la navigation ; • les énergies marines renouvelables… Pour améliorer la caractérisation des climats de vagues, on utilise classiquement les mesures in situ (houlographes, capteurs acoustiques, perches à houle…) et des observations satellitaires (capteurs altimétriques, radars). Dans la zone littorale, caractérisée par des variations rapides de la bathymétrie, la mesure in situ est le moyen le plus approprié pour obtenir une information ponctuelle de qualité. Elle complète et permet de caler les informations spatiales obtenues par la modélisation numérique ou par la télémesure par satellite. Le Cerema est le gestionnaire de l’observatoire côtier national de mesure des états de mer, l’observatoire Candhis. Cet observatoire comprend un réseau d’une trentaine de bouées de mesure et un système d’information. Son principal objectif est la promotion de la mesure des états de mer dans le domaine proche côtier et d’assurer la diffusion des données auprès de la communauté scientifique, des professionnels de la mer et du grand public. Le présent rapport est le bilan 2021 des actions menées par le Cerema sur les deux composantes de Candhis, le réseau de mesure et le système d’information Candhis. En 2021 a aussi été réalisée une inspection du CGEDD sur les perspectives d’évolution de Candhis.
  48. Study report (Ceremadoc) Estimation des valeurs extrêmes de niveau d'eau : Littoral métropolitain

    Les résultats de la présente étude constituent une première estimation globale des valeurs extrêmes de niveau d’eau le long du littoral métropolitain. Ils sont à affiner localement avec l’ensemble des données et connaissances disponibles. La méthode utilisée repose sur une analyse statistique des observations marégraphiques disponibles dans les ports. Elle ne prend pas en compte les observations des vagues. Les résultats entre les ports sont obtenus par une méthode d’interpolation. L’étude produit : • aux ports de référence les estimations statistiques : des valeurs extrêmes de surcote de pleine mer en Manche et Atlantique, et des valeurs extrêmes de niveau d’eau pour l’ensemble de la métropole ; • un ensemble de cartes d’estimation statistique des valeurs extrêmes de niveau d’eau le long du littoral. Les estimations fournies vont jusqu’à la période de retour 1 000 ans. Au vu des durées d’observations utilisées aux ports, l’utilisateur se doit de vérifier si les estimations de période de retour supérieure à 50 ou 100 ans ont encore du sens.
  49. Study report (Ceremadoc) Niveau de service des aides à la navigation maritimes, Guide méthodologique et d’application

    L’étude consiste à établir un guide méthodologique et d’application concernant le niveau de service des aides à la navigation maritime. Ce guide doit permettre aux services gestionnaires d’établir une politique de maintenance adaptée à chaque aide à la navigation.
  50. Study report (Ceremadoc) Protéger les grands cétacés vis-à-vis du risque de collision avec les navires en Méditerranée - Étude préparatoire à la soumission auprès de l’Organisation Maritime Internationale (OMI) d’un dossier de désignation d’une Zone Maritime Particulièrement Vuln

    L’espace maritime méditerranéen est à la fois stratégique pour les activités humaines en mer et pour la sauvegarde d’une biodiversité remarquable. Parmi les pressions qui s’exercent sur le milieu marin, l’intensification du trafic maritime est identifiée comme une menace pour le maintien dans un bon état de conservation des cétacés, particulièrement les grands mammifères que sont le rorqual commun et le grand cachalot. Fort de ce constat, la création d’une zone maritime particulièrement vulnérable (ZMPV) en Méditerranée Nord occidentale incluant des mesures de protection associées est l’exemple de gouvernance partagée à atteindre avec les principaux Etats souverains concernés : la France, l’Italie, l’Espagne et Monaco. Cette étude préparatoire, commandée par le ministère de la transition écologique au Cerema, a servi de base de travail pour les échanges internationaux entamés à l’automne/hiver 2021-2022 et qui ont permis la rédaction et le dépôt du dossier de désignation de la ZMPV auprès de l’organisation maritime internationale (OMI).
  51. Study report (Ceremadoc) Fiches synthétiques de mesure des états de mer du réseau CANDHIS

    Cette collection est un catalogue périodique, support à la diffusion des données. Il présente les informations disponibles et leurs traitements et pour chaque campagne une analyse complète des données sur toute la durée des observations disponibles. Cela comprend des informations générales, l’établissement des climatologies moyennes, l’analyse des valeurs extrêmes et un zoom sur les caractéristiques des états de mer observés lors des événements les plus marquants. Ce catalogue est destiné aux bureaux d’ingénierie, aux services de l’État ou des collectivités, aux organismes de recherche, et plus généralement à ceux qui travaillent de près ou de loin sur les états de mer. Ce catalogue est organisé en trois tomes : le premier tome pour la Mer du Nord, la Manche et l’Atlantique, le deuxième tome pour la Méditerranée, et le troisième tome pour la l'outre-mer.
  52. Study report (Ceremadoc) Accompagner la compétence GEMAPI - Gestion des milieux aquatiques et prévention des inondations

    Cette série de douze fiches est dédiée au partage d’expériences de collectivités pionnières dans la prise de compétence GEMAPI. L’accent sera mis sur les sujets de gouvernance, de stratégie, de financement, ou encore de mise en œuvre concrète de la compétence, afin d’en tirer des premiers enseignements.
  53. Edition (Ceremadoc) Fiches synthétiques de mesure des états de mer du réseau CANDHIS : Tome 2 - Méditerranée

    L’observation des vagues est de première importance dans de nombreux domaines tels que la sécurité maritime, les risques d’inondation, les aménagements portuaires, le suivi du trait de côte et les énergies renouvelables. Le Cerema Eau, mer et fleuves assure la gestion du réseau Candhis, réseau national de mesure des états de mer in situ. Ce catalogue est un support à la diffusion des données. Il présente les informations disponibles et leurs traitements et pour chaque campagne une analyse complète des données sur toute la durée des observations disponibles. Cela comprend des informations générales, l’établissement des climatologies moyennes, l’analyse des valeurs extrêmes et un zoom sur les caractéristiques des états de mer observés lors des événements les plus marquants. Ce catalogue est destiné aux bureaux d’ingénierie, aux services de l’État ou des collectivités, aux organismes de recherche, et plus généralement à ceux qui travaillent de près ou de loin sur les états de mer. Ce catalogue est prévu en trois tomes. Ce deuxième tome est une actualisation de l’édition 2020 pour la Méditerranée, avec la prise en compte d’observations plus récentes.
  54. Edition (Ceremadoc) Les actes des 10es assises du Port du futur : 17, 18 et 19 novembre 2020

    Le contexte portuaire français actuel se caractérise par une multiplicité des enjeux, par des contraintes croissantes (concurrence, pression démographique, évolutions technologiques, aspects environnementaux…) et par une multitude d’acteurs. La démarche Port du futur cherche à rassembler les acteurs du milieu portuaire. L’objectif est de réfléchir à l’avenir des ports français et de promouvoir l’innovation dans le domaine portuaire. Les Assises du Port du futur sont devenues depuis 2011 un événement annuel incontournable. Les acteurs publics et privés, milieux économiques et universitaires se retrouvent pour des journées de travail et d’échanges à l’intersection entre différentes disciplines (ingénierie, technique, sociologie, économie, écologie…).
  55. Study report (Ceremadoc) Création de stations VHF dans les parcs éoliens en mer. Bilan annuel 2021

    La note technique interministérielle du 11 juillet 2016 impose aux exploitants des champs éoliens en mer de mettre en service une station de radiocommunications VHF au sein des champs. Le Cerema assiste la direction des affaires maritimes qui accompagne les porteurs de projets des champs éoliens dans le déploiement de ces stations VHF. Le déploiement suit les étapes d’installation du parc éolien. Ce déploiement est réalisé sur plusieurs années. Le présent bilan recense les travaux réalisés par le Cerema en 2021 sur l’ensemble des projets éoliens en cours.
  56. Edition (Ceremadoc) Changement climatique : Adapter les territoires littoraux

    L’augmentation continue de la population littorale et la probabilité importante de risques littoraux représentent un défi majeur pour les collectivités. Le dernier Plan national d’adaptation au changement climatique incite fortement les territoires à anticiper les impacts du changement climatique afin d’améliorer la prévention, la résilience, la préservation, favoriser l’adaptation et de mieux gérer les ressources.
  57. Edition (Ceremadoc) The Resilience of the Indonesian Coastline to Natural Hazards : Semarang and subsidence = Résilience des côtes indonésiennes aux risques naturels

    Coastlines are fragile areas exposed to natural hazards. They may be intensely disrupted by both rapidly developing urbanisation and the effects of climate change. This publication presents the case of the Indonesian urban area of Semarang, located on the shores of the Java Sea. The Semarang coastline is unusual in that it is exposed to very active subsidence which can cause the ground to sink by up to 13 cm per year. Cerema has carried out an analysis in collaboration with Diponegoro University - Undip (Indonesia) to identify the processes at work. The work produced was supported by the French Embassy in Indonesia and the ministries of research and foreign affairs of both countries. By applying the concept of resilience, a path is opening up in the search for appropriate responses. The publication is fully illustrated, and contains contributions from scientists and experts who have engaged in practical work in Semarang in different contexts, thus bringing their own vision to the analysis of the situation.
  58. Edition (Ceremadoc) Fiches synthétiques de mesure des états de mer du réseau CANDHIS : Tome 1 - Mer du Nord, Manche et Atlantique

    L’observation des vagues est de première importance dans de nombreux domaines tels que la sécurité maritime, les risques d’inondation, les aménagements portuaires, le suivi du trait de côte et les énergies renouvelables. Le Cerema Eau, mer et fleuves assure la gestion du réseau Candhis, réseau national de mesure des états de mer in situ. Ce catalogue est un support à la diffusion des données. Il présente les informations disponibles et leurs traitements et pour chaque campagne une analyse complète des données sur toute la durée des observations disponibles. Cela comprend des informations générales, l’établissement des climatologies moyennes, l’analyse des valeurs extrêmes et un zoom sur les caractéristiques des états de mer observés lors des événements les plus marquants. Ce catalogue est destiné aux bureaux d’ingénierie, aux services de l’État ou des collectivités, aux organismes de recherche, et plus généralement à ceux qui travaillent de près ou de loin sur les états de mer. Ce catalogue est prévu en trois tomes. Ce premier tome est une actualisation de l’édition 2020 pour la Mer du Nord, la Manche et l'Atlantique, avec la prise en compte d’observations plus récentes.
  59. Edition (Ceremadoc) Dynamiques et évolution du littoral - Fascicule 04 - du cap de la Hague à la pointe de Corsen : Synthèse des connaissances

    Ce fascicule constitue le quatrième ouvrage sur la métropole. Il traite de la province de la pointe de la Hague à la pointe de Corsen, territoire qui s’étend sur près de 1 300 km des côtes. La côte en majorité rocheuse, est entrecoupée de baies sableuses à vaseuses (Mont-Saint-Michel, Saint-Brieuc, Lannion et Morlaix).
  60. Edition (Ceremadoc) Fiches synthétiques de mesure des états de mer du réseau CANDHIS : Tome 3 - Outre-mer

    L’observation des vagues est de première importance dans de nombreux domaines tels que la sécurité maritime, les risques d’inondation, les aménagements portuaires, le suivi du trait de côte et les énergies renouvelables. Le Cerema Eau, mer et fleuves assure la gestion du réseau Candhis, réseau national de mesure des états de mer in situ. Ce catalogue est un support à la diffusion des données. Il présente les informations disponibles et leurs traitements et pour chaque campagne une analyse complète des données sur toute la durée des observations disponibles. Cela comprend des informations générales, l’établissement des climatologies moyennes, l’analyse des valeurs extrêmes et un zoom sur les caractéristiques des états de mer observés lors des événements les plus marquants. Ce catalogue est destiné aux bureaux d’ingénierie, aux services de l’État ou des collectivités, aux organismes de recherche, et plus généralement à ceux qui travaillent de près ou de loin sur les états de mer. Ce catalogue est prévu en trois tomes. Ce troisième tome est une actualisation de l’édition 2020 pour l’outre-mer, avec la prise en compte d’observations plus récentes.
  61. Edition (Ceremadoc) Opérations de dragages maritimes et modalités de gestion de leurs matériaux : Note technique

    Cette note vise à accompagner le maître d’ouvrage et les services instructeurs dans la conduite d’un projet de dragages en milieu marin. Elle précise les investigations préalables nécessaires à l’instruction et à l’évaluation des dossiers. Elle a pour ambition de couvrir l’ensemble du projet, du dragage lui-même à l’éventuelle valorisation ou au stockage à terre.
  62. Study report (Ceremadoc) Suivi du cordon de galets de la plage de Quiberville Exploitation des vols drone de la campagne 2020

    L’analyse photogrammétrique par drone de la plage de Quiberville-sur-Mer – Sainte-Marguerite a pour but d’estimer l’évolution du cordon de galets au droit des ouvrages de défense contre la mer et d’évaluer l’impact des tempêtes sur le cordon de galets et le profil de la plage. Cette quatrième mission a été réalisée dans un contexte particulier avec deux confinements liés à la covid19 et avec des mesures sanitaires strictes qui n’ont pas permis le suivi normal du cordon de galets, notamment les vols après tempête. L’objectif est de capitaliser les informations de manière à mieux cerner le fonctionnement du littoral, notamment celui du cordon de galets dans une basse vallée. Les acquisitions de prises de vues par drones ont été privilégiées. Ce rapport présente les analyses faites de ces acquisitions drone pendant l’année 2020.
  63. Study report (Ceremadoc) Étude comparative de l’évolution de trait de côte au abords des ouvrages majeurs (côte Seine-Maritime)

    Cette analyse s’inscrit dans la suite de la précédente étude sur le comportement du trait de côte naturel en aval des ouvrages majeurs réalisée en 2018 et 2019 sur la Seine-Maritime, pour la DDTM. Cette étude avait mis en relief une accentuation du recul des falaises sur un secteur compris entre 250 et 300 mètres en aval des ouvrages. Cependant cette variation du recul ne peut être exclusivement attribuée aux ouvrages car d’autres paramètres sont susceptibles de jouer un rôle sur le recul de trait de côte, notamment l’orientation de celui-ci ainsi que la nature géologique et géomorphologique des falaises.
  64. Study report (Ceremadoc) RD912 - Etude de la sensibilité aux instabilités de la route de la corniche

    Cette étude a pour objectif d’étudier la stabilité et la sécurité de la route de la corniche (RD912) entre Ciboure et Hendaye, dont l'environnement immédiat présente un aléa localement fort à très fort d'instabilité de falaise. Il s’agit d’une mission d'expertise portant sur l'analyse de la sensibilité de la route vis-à-vis des phénomènes de mouvements de terrain (mécanismes redoutés, dangers encourus et niveau d'urgence). L’analyse se concentre sur l’examen des tronçons les plus vulnérables, identifiés comme prioritaires en raison de leur très fort niveau d’exposition aux aléas naturels. L’étude comprend un diagnostic du site, basé sur une analyse documentaire et une reconnaissance de terrain, la constitution d’un modèle géologique, la réalisation de calculs de stabilité et l’appréhension des effets de la houle sur la stabilité de la falaise.
  65. Study report (Ceremadoc) ECAMED 2nd volet

    L’étude ECAMED a été réalisée et publiée à l’automne 2018. Une étude complémentaire a été commandée par la Direction des Affaires Maritimes au Cerema afin de compléter l’analyse de certains impacts du projet. Ce rapport d’étude a pour objectif de répondre à deux problématiques : - Quelles seront les conséquences d’un passage de la Méditerranée en zone SECA pour les routes commerciales qui la traversent ? - Combien d’années seront nécessaires pour que l’ensemble de la flotte méditerranéenne soit renouvelé ?
  66. Study report (Ceremadoc) Enquête dragage 2018. Enquête nationale sur les dragages des ports maritimes

    L'enquête nationale sur les dragages des ports maritimes est réalisée chaque année par le Cerema. Effectuée pour le ministère de la Transition écologique, elle répond à trois objectifs : • Rendre compte des activités annuelles d’immersion des déchets et autres matières auprès des trois conventions internationales dont la France est partie contractante ; • Alimenter la base de données « dragage » du Cerema, qui peut être utilisée par des gestionnaires de milieux littoraux, par les services de l’État ou encore des établissements publics à des fins d’étude ou d’observation du territoire ; • Produire un document à destination du grand public sur le thème des dragages marins.
  67. Study report (Ceremadoc) Analyse des retours d’expérience des actions de lutte contre les macrodéchets dans les cours d’eau

    L’étude exploite les résultats d’une enquête menée en 2016 et 2017, destinée à recueillir les retours d’expérience d’actions de lutte contre les macrodéchets. Elle se concentre sur les dispositifs mis en place dans les cours d’eau et évalue leur efficacité à partir de l’analyse coûts/bénéfices de 12 actions. Les initiatives de collecte manuelle menées par les associations environnementales ou d’insertion semblent être les actions les plus pertinentes au regard des critères économiques (rapport de la quantité collectée au coût de la mesure), environnementaux (impact des actions sur le milieu concerné et impact global lié aux émissions de polluants et de gaz à effet de serre) et sociaux (ces actions favorisent souvent la réinsertion sociale). Les ouvrages de rétention spécialisés seraient pertinents de manière ponctuelle, mais mériteraient de faire l’objet d’une étude plus approfondie, notamment concernant la pérennité des filets et pièges à déchets. La récupération des déchets au niveau des ouvrages hydrauliques par les exploitants permet d’utiliser des structures déjà existantes et d’impliquer des acteurs industriels.
  68. Study report (Ceremadoc) Les solutions techniques de localisation et de suivi des conteneurs tombés en mer

    L'étude porte sur un état des lieux des solutions techniques existantes ou en projet permettant de localiser les conteneurs tombés en mer et suivre leur dérive. Elle expose des dispositifs de localisation utilisés pour la recherche de conteneurs ou pour d’autres usages proches (systèmes acoustique et/ou GPS, modèles de prévision de dérive) ainsi que des dispositifs de prévention permettant d’éviter les chutes. Elle montre, en outre, que les solutions de suivi de conteneurs actuellement sur le marché seraient inopérantes pour suivre la dérive d’un conteneur ou indiquer leur lieu d’immersion. Enfin, l’étude expose des solutions actuellement en développement pour suivre les conteneurs tombés en mer tout en mettant en évidence les limites d’ordres économique et logistique à leur mise en oeuvre.
  69. Study report (Ceremadoc) Adaptation des territoires littoraux Méditerranéens au changement climatique. Phase 3 : Propositions d’outils et méthodologies

    Dans un contexte de changement climatique, la stratégie nationale de gestion intégrée du trait de côte a pour ambition de mieux anticiper l’évolution des phénomènes d’érosion et de submersion ainsi que leurs conséquences sur les territoires littoraux, notamment en matière d’aménagement. Cette étude a pour objectif d’accompagner ces déclinaisons locales de la stratégie nationale en menant une approche transversale aménagement, risque érosion, vulnérabilité et environnement, pour permettre une gestion intégrée du trait de côte et des territoires littoraux, notamment par la recomposition spatiale de ces territoires. Ce rapport constitue la phase 3 de l’étude.
  70. Edition (Ceremadoc) CHANGEMENT CLIMATIQUE, adapter les territoires littoraux

    La montée du niveau de la mer, due au réchauffement climatique, va indubitablement impacter les littoraux et les aléas qu'ils peuvent subir (érosion, submersion marine) seront plus fréquents, plus intenses. Les collectivités littorales ont intérêt dès maintenant à définir une stratégie d'adaptation. Une stratégie qui suppose une bonne connaissance des dynamiques en cours sur le littoral (portail géolittoral,"Cartographie l'indicateur national d'érosion côtière", Réseau national des observatoires du trait de côte, ...) afin de prioriser les enjeux et définir un portefeuille d'actions qui permettront à la collectivité de s'adapter, d'être résilient et de conserver son attractivité.
  71. Study report (Ceremadoc) Gigantisme des navires. Risques et impacts en cas de sinistre

    L'étude vise à décrire les impacts socio-économiques de la tendance à l’accroissement de la taille des navires ou « gigantisme », notamment en termes de risques maritimes. A partir d’une analyse des principaux sinistres majeurs enregistrés depuis 2009, elle recense les principales conséquences générées par ceux-ci : impacts financiers, impacts sur l’environnement, sur la sécurité des navires, sur la navigation, les équipages et les passagers. Au-delà de cette analyse opérationnelle des sinistres enregistrés, l’étude propose une analyse bibliographique complétée par des entretiens auprès d’experts, pour appréhender de façon plus générale les causes et les impacts du gigantisme des porte-conteneurs et des paquebots de croisière ainsi que les leviers pour en réguler la taille L’étude formule des préconisations pour accompagner et réguler le gigantisme des navires.
  72. Study report (Ceremadoc) Artificialisation du littoral de la métropole - Audit des bases de données « ouvrages » détenues par les services - Étude réalisée à partir d’une collecte de données effectuée auprès des services

    Dans le cadre de la Directive Cadre Stratégie pour le Milieu Marin (DCSMM), la Direction Environne-ment et Biodiversité du Ministère en charge de l’Ecologie ainsi que l’Office Français de la Biodiversité a souhaité le développement et le calcul d’indicateurs décrivant le niveau d’artificialisation des milieux marins littoraux et côtiers. Ces indicateurs ont été calculés. Désormais l’objectif recherché est de disposer de recommandations techniques en vue de simplifier le plus possible le calcul de ces indicateurs. Pour cela une collecte de données a été effectuée par la DGALN auprès des services. Ce rapport présente les résultats de l’analyse des données reçues département par département, de l’étude des correspondances entre les typologies d’ouvrages des services et le référentiel du SAR, et propose des recommandations permettant d’optimiser les procédures de mise à jour.
  73. Study report (Ceremadoc) Artificialisation des milieux marins littoraux et côtiers Détermination des indicateurs du D06 OE01 2021

    Dans le cadre de la Directive cadre stratégie pour le milieu marin (DCSMM), la Direction Environnement et Biodiversité du Ministère en charge de l’Ecologie ainsi que l’Agence français de la Biodiversité souhaitent le développement et le calcul d’indicateurs décrivant le niveau d’artificialisation des milieux marins littoraux et côtiers. Parmi ces indicateurs, deux concernent la limite supérieure de l’estran et l’estran. Ce document décrit la méthode adoptée et présente les résultats d’artificialisation par façade. Ce rapport de janvier 2021 est enrichi d’un addendum pour compléter les valeurs obtenues précédemment en Méditerranée et conforter les résultats suite à la découverte d’anomalies.
  74. Study report (Ceremadoc) Projet d'éoliennes flottantes en Méditerranée et leur raccordement - approche cartographique de l'activité de pêche professionnelle en Méditerranée - Etude réalisée à partir de l'exploitation des données VMS et des données SACROIS sur la période 2016 à 20

    Dans le cadre de la préparation du débat public sur le projet d'éoliennes flottantes en Méditerranée et leur raccordement , la Direction Générale de l'énergie et du climat (DGEC) du ministère de la Transition écologique (MTE) associé à la Mer, ont souhaité un état des lieux historiques de la spacialisation de l'activité de pêche professionnelle dans la zone du débat public et ses alentours. L'objectif de ce document est de porter à la connaissance du public l'ensemble des éléments objectifs d'information quant à l'incidence que les projets éoliens pourraient avoir sur l'activité de pêche professionnelle en Méditerranée. A partir d'un état des lieux, les informations fournies sont donc là pour que chacune puisse se fonder un avis le plus éclairé possible.
  75. Edition (Ceremadoc) Rempiètement de quai

    L’évolution des caractéristiques des navires de commerce, de croisières et de pêche voire de loisirs, pose souvent la question du maintien des activités portuaires dans les bassins les plus anciens des ports. L’approfondissement des bassins, solution à l’accueil de ces navires, nécessite l’adaptation des quais et le recours à leur rempiétement.Cette publication fait le point sur les différents techniques de rempiétement, leurs avantages, inconvénients et leurs limites en fonction du type de structure initiale. L’importance des diagnostics géotechniques et structuraux de l’ouvrage rempiété est rappelée notamment quand le rempiétement est en forte interaction avec les ouvrages existants.
  76. Edition (Ceremadoc) Les 9es Assises du Port du futur. 24 et 25 Septembre 2019

    L'évènement Port du Futur, organisé par le Cerema, a pour but de rassembler les acteurs du milieu portuaire afin de réfléchir à l’avenir des ports français et de promouvoir l’innovation dans le domaine portuaire. La démarche Port du futur cherche à rassembler les acteurs du milieu portuaire. L’objectif est de réfléchir à l’avenir des ports français et de promouvoir l’innovation dans le domaine portuaire. Cette démarche est rythmée chaque année par les Assises du Port du futur où acteurs publics et privés, milieux économiques et universitaires se retrouvent pour des journées de travail et d’échange à l’intersection entre différentes disciplines (ingénierie, technique, sociologie, économie, écologie…). Les Assises sont organisées par le Cerema avec un réseau de partenaires la Direction Générale des Infrastructures, des Transports et de la Mer (DGITM) du Ministère de la Transition écologique (MTE), l’Union des Ports de France, les Pôles Mer, les Pôles de compétitivité Novalog et I-trans, le Cluster maritime français, le club territoire maritime et portuaire de la Fédération nationale des Agences d’Urbanisme.
  77. Edition (Ceremadoc) Enquête dragage 2017. Enquête nationale sur les dragages des ports maritimes

    Ces données sont transmises par les Services de Police des Eaux Littorales (SPEL) de l’ensemble des départements maritimes de France métropolitaine et d’outre-mer, ainsi que par les grands ports maritimes. Elles sont ensuite synthétisées par le Cerema et retranscrites dans des tableaux formatés adoptés par les lignes directrices internationales. La direction de l’eau et de la biodiversité au MTE transmet après validation ces résultats aux secrétariats des trois conventions. Le document expose donc les quantités de sédiments dragués en France, les différentes techniques utilisées ainsi que les différentes destinations de ces sédiments et leurs niveaux de contaminations au regard des seuils réglementaires existants.
  78. Edition (Ceremadoc) Dynamiques et évolution du littoral - Fascicule 14 : la Martinique : Atlas cartographique

    Ce fascicule traite de la province sédimentaire de la Martinique. Sommaire de la synthèse 1. Présentation 2. Contexte général : données physiographiques 3. Facteurs hydrodynamiques 4. Données sédimentologiques 5. Interventions humaines le long du littoral 6. Évolution générale du littoral et des fonds 7. Conclusion : Bilan Sédimentaire Général 8. Annexes Sommaire de l'atlas 1. Cours d'eau et bassins versants 2. Occupation du sol 3. Présentation de la province 4. Topographie 5. Type de côte 6. Habitats naturels 7. Bathymétrie Litto 3D® 8. Réseau météorologique 9. Zones humides 10. États de mer 11. Localisation des points d’observation des états de mer 12. Localisation des ports de référence et secondaires 13. Surveillance du réseau hydrographique 14. Nature des fonds marins 15. Synthèse des échanges sédimentaires connus sur la façade 16. Artificialisation du littoral par un ouvrage ou un aménagement côtier 17. Progression de l’urbanisation 18. Interventions humaines le long du littoral 19. Zonages réglementaires 20. Évolution passée du trait de côte 21. De Sainte-Marie à Le François 22. Carte d’identité des unités morphosédimentaires
  79. Edition (Ceremadoc) Fiches synthétiques de mesure des états de mer du réseau CANDHIS-MAJ 2020 : Tome 2 - Méditerranée

    Ce catalogue est un support à la diffusion des données. Il présente les informations disponibles et leurs traitements et pour chaque campagne une analyse complète des données sur toute la durée des observations disponibles. Cela comprend des informations générales, l’établissement des climatologies moyennes, l’analyse des valeurs extrêmes et un zoom sur les caractéristiques des états de mer observés lors des événements les plus marquants. Ce catalogue est destiné aux bureaux d’ingénierie, aux services de l’État ou des collectivités, aux organismes de recherche, et plus généralement à ceux qui travaillent de près ou de loin sur les états de mer. Ce catalogue, composé de trois tomes, est une actualisation de l’édition 2020 : le premier tome pour la Mer du Nord, la Manche et l’Atlantique, le deuxième tome pour la Méditerranée, et le troisième tome pour la l'outre-mer. 1. Introduction 2. Définitions 2.1 Analyse vague par vague 2.2 Analyse spectrale 3. Rappel théorique 3.1 Analyse vague par vague (ou analyse temporelle) 3.2 Analyse spectrale 3.2.1 Spectre de variance non directionnel 3.2.3 Spectre directionnel de variance 4. La mesure 4.1 Le réseau de mesures CANDHIS 4.2 Les appareils de mesure 4.3 État des données 4.3.1 Avertissement quant à l’usage des données 4.3.2 Pas de mesure des paramètres d’états de mer 4.4 Contrôle des données 4.4.1 Premier niveau de contrôle 4.4.2 Deuxième niveau de contrôle 5. Présentation des résultats 5.1 Convention d’unités 5.2 Informations générales 5.3 Climatologie moyenne 5.4 Analyse des valeurs extrêmes 5.4.1 Méthodologie 5.4.2 Interprétation 5.5 Sélection des événements remarquables 5.5.1 Méthodologie 5.5.2 Interprétation Annexes : les fiches synthétiques
  80. Edition (Ceremadoc) Dynamiques et évolution du littoral - Fascicule 07 : de la pointe de Suzac à la frontière espagnole : Synthèse des connaissances

    Ce septième fascicule traite de la province sédimentaire s’étendant de la pointe de Suzac, au nord de l’estuaire de la Gironde, à la frontière espagnole au sud (matérialisée par l’embouchure de la Bidassoa), sur un linéaire d’environ 270 km. Sommaire de la synthèse 1. Présentation 2. Contexte général : données physiographiques 3. Facteurs hydrodynamiques 4. Données sédimentologiques 5. Interventions humaines le long du littoral 6. Évolution générale du littoral et des fonds 7. Conclusion : Bilan sédimentaire général 8. Annexes Sommaire de l'atlas 1. Présentation de la province 2. Occupation du sol 3. Cours d’eau et bassins versants 4. Topographie - Bathymétrie 5. Géologie 6. Type de côte 7. Habitats naturels 8. Réseau météorologique 9. Marais maritimes et zones humides 10. Climatologie atmosphérique - Températures, précipitations et fréquence des vents 11. Température de l’eau 12. Salinité de l’eau2 13. Localisation des ports de référence et secondaires 14. Marnage 15. Valeurs extrêmes de surcote de pleine mer aux marégraphes 16. Valeurs extrêmes de niveau de pleine mer aux marégraphes 17. Niveaux marins centennaux 18. Localisation des points d’observation des états de mer 19. États de mer issus de l’observation in situ - Rose de houle 20. Roses des houles issues de simulations numériques ANEMOC 21. États de mer - Hauteur significative des vagues issues des simulations ANEMOC 22. États de mer issus de l’observation in situ - Hauteurs significatives 23. États de mer lors de tempêtes 24. Hauteurs significatives et direction de propagation des vagues (tempête du 7/02/96) 25. Energie cinétique des courants marins 26. Roses de courant 27. Courant de marée de surface 28. Réseau hydrographique 29. Cellules hydrosédimentaires 30. Nature des fonds marins 31. Artificialisation du littoral par un ouvrage ou un aménagement côtier 32. Ouvrages et aménagements côtiers 33. Ressource en granulats marins 34. Volumes de sédiments dragués : bilan des travaux maritimes du Syndicat Intercommunal du Bassin d’Arcachon (en m³)0 35. Progression de l’urbanisation 36. Autres activités humaines 37. Évolution passée du trait de côte 38. Cellule 5 et 6 Nord : la Bécassière à la Salie-sud 39. Carte d’identité des unités morphosédimentaires
  81. Edition (Ceremadoc) Dynamiques et évolution du littoral - Fascicule 08 : de la frontière espagnole à Port-de-Bouc : Atlas cartographique

    Ce fascicule traite de la province sédimentaire s’étendant de la frontière espagnole à Port-de-Bouc. Sommaire de la synthèse 1. Présentation 2. Contexte général : données physiographiques 3. Facteurs hydrodynamiques 4. Données sédimentologiques 5. Interventions humaines le long du littoral 6. Évolution générale du littoral et des fonds 7. Conclusion : Bilan sédimentaire général 8. Annexes Sommaire de l'atlas 1. Cours d’eau et bassins versants 2. Occupation du sol 3. Présentation de la province 4. Topographie - Bathymétrie 5. Géologie 6. Type de côte 7. Habitats naturels 8. Géomorphologie sous-marine de l'avant-côte 9. Climatologie atmosphérique 10. Réseau météorologique 11. Marais maritimes et zones humides 12. Circulation générale de surface dans la mer Méditerranée 13. États de mer 14. Localisation des ports de référence et secondaires 15. Surveillance du réseau hydrographique 16. Réseau hydrographique 17. Température et salinité de l'eau de surface 18. Hauteur significative et direction des vagues 19. Unité Sableuse Supérieure 20. Nature des fonds marins 21. Artificialisation du littoral par un ouvrage ou un aménagement côtier 22. Ouvrages et aménagements côtiers 23. Progression de l'urbanisation 24. Volumes de sédiments dragués et quantités de matières sèches immergées 25. Autres activités humaines 26. Évolution historique de la surface de plage 27. Évolution de l'avant-côte 28. Évolution passée du trait de côte 29. Évolution du trait de côte et de l’avant côte 30. Camargues 31. Carte d’identité des unités morphosédimentaires
  82. Edition (Ceremadoc) Dynamiques et évolution du littoral - Fascicule 08 : de la frontière espagnole à Port-de-Bouc : Synthèse des connaissances

    Ce fascicule traite de la province sédimentaire s’étendant de la frontière espagnole à Port-de-Bouc. Sommaire de la synthèse 1. Présentation 2. Contexte général : données physiographiques 3. Facteurs hydrodynamiques 4. Données sédimentologiques 5. Interventions humaines le long du littoral 6. Évolution générale du littoral et des fonds 7. Conclusion : Bilan sédimentaire général 8. Annexes Sommaire de l'atlas 1. Cours d’eau et bassins versants 2. Occupation du sol 3. Présentation de la province 4. Topographie - Bathymétrie 5. Géologie 6. Type de côte 7. Habitats naturels 8. Géomorphologie sous-marine de l'avant-côte 9. Climatologie atmosphérique 10. Réseau météorologique 11. Marais maritimes et zones humides 12. Circulation générale de surface dans la mer Méditerranée 13. États de mer 14. Localisation des ports de référence et secondaires 15. Surveillance du réseau hydrographique 16. Réseau hydrographique 17. Température et salinité de l'eau de surface 18. Hauteur significative et direction des vagues 19. Unité Sableuse Supérieure 20. Nature des fonds marins 21. Artificialisation du littoral par un ouvrage ou un aménagement côtier 22. Ouvrages et aménagements côtiers 23. Progression de l'urbanisation 24. Volumes de sédiments dragués et quantités de matières sèches immergées 25. Autres activités humaines 26. Évolution historique de la surface de plage 27. Évolution de l'avant-côte 28. Évolution passée du trait de côte 29. Évolution du trait de côte et de l’avant côte 30. Camargues 31. Carte d’identité des unités morphosédimentaires
  83. Edition (Ceremadoc) Dynamiques et évolution du littoral - Fascicule 13 : la Guadeloupe : Atlas cartographique

    Ce fascicule traite de la province sédimentaire de la Guadeloupe. Sommaire de la synthèse 1. Présentation 2. Contexte général : données physiographiques 3. Facteurs hydrodynamiques 4. Données sédimentologiques 5. Interventions humaines le long du littoral 6. Évolution générale du littoral et des fonds 7. Conclusion : Bilan Sédimentaire Général 8. Annexes Sommaire de l'atlas 1. Cours d’eau et bassins versants 2. Occupation du sol 3. Présentation de la province 4. Topographie 5. Type de côte 6. Habitats naturels 7. Bathymétrie Litto 3D® 8. Géomorphologie du littoral 9. Réseau météorologique 10. Zones humides 11. Hauteurs significatives et direction de propagation des vagues 12. États de mer 13. Localisation des ports de référence et secondaires 14. Surveillance du réseau hydrographique 15. Nature des fonds marins 16. Artificialisation du littoral par un ouvrage ou un aménagement côtier 17. Progression de l’urbanisation 18. Interventions humaines le long du littoral 19. Zonages réglementaires 20. Évolution passée du trait de côte 21. Carte d'identité des unités morphosédimentaires
  84. Edition (Ceremadoc) Dynamiques et évolution du littoral - Fascicule 12 : Saint-Barthélemy et Saint-Martin : Synthèse des connaissances

    Ce fascicule traite de la province sédimentaire de Saint-Barthélemy et Saint-Martin. SOMMAIRE DE LA SYNTHESE 1. Présentation 2. Contexte général : données physiographiques 3. Facteurs hydrodynamiques 4. Données sédimentologiques 5. Interventions humaines le long du littoral 6. Évolution générale du littoral et des fonds 7. Conclusion : Bilan sédimentaire général 8. Annexe SOMMAIRE DE L'ATLAS 1. Cours d’eau et bassins versants 2. Présentation de la province 3. Type de côte 4. Habitats naturels 5. Tempête du 6/09/95 : hauteurs significatives et direction de propagation des vagues 6. Tempête du 21/09/98 : hauteurs significatives et direction de propagation des vagues 7. États de mer - Hauteurs significatives de vagues issues des simulations ANEMOC 8. Roses des houles issues de simulations numériques ANEMOC 9. Localisation des ports de référence et secondaires 10. Ouvrages et aménagements côtiers (Saint-Martin) 11. Ouvrages et aménagements côtiers (Saint-Barthélemy) 12. Interventions humaines le long du littoral 13. Zonages réglementaires 14. Évolution passée du trait de côte 15. Évolution passée du trait de côte (Saint-Martin) 16. Évolution passée du trait de côte (Saint-Bathélemy) 17. Carte d 'identité des unités morphosédimentaires
  85. Edition (Ceremadoc) Dynamiques et évolution du littoral - Fascicule 11 : Saint-Pierre-et-Miquelon : Synthèse des connaissances

    Ce onzième fascicule traite de la province sédimentaire de Saint-Pierre-et-Miquelon. Sommaire de la synthèse 1. Présentation 2. Contexte général : données physiographiques 3. Facteurs hydrodynamiques 4. Données sédimentologiques 5. Interventions humaines le long du littoral 6. Évolution générale du littoral et des fonds 7. Conclusion : Bilan Sédimentaire Général 8. Annexes Sommaire de l'atlas 1. Occupation du sol 2. Présentation de la province 3. Topographie 4. Géologie 5. Réseau hydrographique 6. Type de côte 7. États de mer 8. Localisation des ports de référence et secondaires 9. Réseau hydrographique 10. Présentation de la province 11. Synthèse des échanges sédimentaires connus sur la façade 12. Ouvrages et aménagements côtiers 13. Interventions humaines le long du littoral 14. Zonages réglementaires 15. Évolution passée du trait de côte 16. Carte d'identité des unités morphosédimentaires
  86. Edition (Ceremadoc) Dynamiques et évolution du littoral - Fascicule 12 : Saint-Barthélemy et Saint-Martin : Atlas cartographique

    Ce fascicule traite de la province sédimentaire de Saint-Barthélemy et Saint-Martin. SOMMAIRE DE LA SYNTHESE 1. Présentation 2. Contexte général : données physiographiques 3. Facteurs hydrodynamiques 4. Données sédimentologiques 5. Interventions humaines le long du littoral 6. Évolution générale du littoral et des fonds 7. Conclusion : Bilan sédimentaire général 8. Annexe SOMMAIRE DE L'ATLAS 1. Cours d’eau et bassins versants 2. Présentation de la province 3. Type de côte 4. Habitats naturels 5. Tempête du 6/09/95 : hauteurs significatives et direction de propagation des vagues 6. Tempête du 21/09/98 : hauteurs significatives et direction de propagation des vagues 7. États de mer - Hauteurs significatives de vagues issues des simulations ANEMOC 8. Roses des houles issues de simulations numériques ANEMOC 9. Localisation des ports de référence et secondaires 10. Ouvrages et aménagements côtiers (Saint-Martin) 11. Ouvrages et aménagements côtiers (Saint-Barthélemy) 12. Interventions humaines le long du littoral 13. Zonages réglementaires 14. Évolution passée du trait de côte 15. Évolution passée du trait de côte (Saint-Martin) 16. Évolution passée du trait de côte (Saint-Bathélemy) 17. Carte d 'identité des unités morphosédimentaires
  87. Edition (Ceremadoc) Dynamiques et évolution du littoral - Fascicule 11 : Saint-Pierre-et-Miquelon : Atlas cartographique

    Ce onzième fascicule traite de la province sédimentaire de Saint-Pierre-et-Miquelon. Sommaire de la synthèse 1. Présentation 2. Contexte général : données physiographiques 3. Facteurs hydrodynamiques 4. Données sédimentologiques 5. Interventions humaines le long du littoral 6. Évolution générale du littoral et des fonds 7. Conclusion : Bilan Sédimentaire Général 8. Annexes Sommaire de l'atlas 1. Occupation du sol 2. Présentation de la province 3. Topographie 4. Géologie 5. Réseau hydrographique 6. Type de côte 7. États de mer 8. Localisation des ports de référence et secondaires 9. Réseau hydrographique 10. Présentation de la province 11. Synthèse des échanges sédimentaires connus sur la façade 12. Ouvrages et aménagements côtiers 13. Interventions humaines le long du littoral 14. Zonages réglementaires 15. Évolution passée du trait de côte 16. Carte d'identité des unités morphosédimentaires
  88. Edition (Ceremadoc) Dynamiques et évolution du littoral - Fascicule 14 : la Martinique : Synthèse des connaissances

    Ce fascicule traite de la province sédimentaire de la Martinique. Sommaire de la synthèse 1. Présentation 2. Contexte général : données physiographiques 3. Facteurs hydrodynamiques 4. Données sédimentologiques 5. Interventions humaines le long du littoral 6. Évolution générale du littoral et des fonds 7. Conclusion : Bilan Sédimentaire Général 8. Annexes Sommaire de l'atlas 1. Cours d'eau et bassins versants 2. Occupation du sol 3. Présentation de la province 4. Topographie 5. Type de côte 6. Habitats naturels 7. Bathymétrie Litto 3D® 8. Réseau météorologique 9. Zones humides 10. États de mer 11. Localisation des points d’observation des états de mer 12. Localisation des ports de référence et secondaires 13. Surveillance du réseau hydrographique 14. Nature des fonds marins 15. Synthèse des échanges sédimentaires connus sur la façade 16. Artificialisation du littoral par un ouvrage ou un aménagement côtier 17. Progression de l’urbanisation 18. Interventions humaines le long du littoral 19. Zonages réglementaires 20. Évolution passée du trait de côte 21. De Sainte-Marie à Le François 22. Carte d’identité des unités morphosédimentaires
  89. Edition (Ceremadoc) Fiches synthétiques de mesure des états de mer du réseau CANDHIS-MAJ 2020 : Tome 1 - Mer du Nord, Manche et Atlantique

    Ce catalogue est un support à la diffusion des données. Il présente les informations disponibles et leurs traitements et pour chaque campagne une analyse complète des données sur toute la durée des observations disponibles. Cela comprend des informations générales, l’établissement des climatologies moyennes, l’analyse des valeurs extrêmes et un zoom sur les caractéristiques des états de mer observés lors des événements les plus marquants. Ce catalogue est destiné aux bureaux d’ingénierie, aux services de l’État ou des collectivités, aux organismes de recherche, et plus généralement à ceux qui travaillent de près ou de loin sur les états de mer. Ce catalogue, composé de trois tomes, est une actualisation de l’édition 2020 : le premier tome pour la Mer du Nord, la Manche et l’Atlantique, le deuxième tome pour la Méditerranée, et le troisième tome pour la l'outre-mer. 1. Introduction 2. Définitions 2.1 Analyse vague par vague 2.2 Analyse spectrale 3. Rappel théorique 3.1 Analyse vague par vague (ou analyse temporelle) 3.2 Analyse spectrale 3.2.1 Spectre de variance non directionnel 3.2.3 Spectre directionnel de variance 4. La mesure 4.1 Le réseau de mesures CANDHIS 4.2 Les appareils de mesure 4.3 État des données 4.3.1 Avertissement quant à l’usage des données 4.3.2 Pas de mesure des paramètres d’états de mer 4.4 Contrôle des données 4.4.1 Premier niveau de contrôle 4.4.2 Deuxième niveau de contrôle 5. Présentation des résultats 5.1 Convention d’unités 5.2 Informations générales 5.3 Climatologie moyenne 5.4 Analyse des valeurs extrêmes 5.4.1 Méthodologie 5.4.2 Interprétation 5.5 Sélection des événements remarquables 5.5.1 Méthodologie 5.5.2 Interprétation Annexes : les fiches synthétiques
  90. Edition (Ceremadoc) Fiches synthétiques de mesure des états de mer du réseau CANDHIS-MAJ 2020 : Tome 3 - Outre-mer

    Ce catalogue est un support à la diffusion des données. Il présente les informations disponibles et leurs traitements et pour chaque campagne une analyse complète des données sur toute la durée des observations disponibles. Cela comprend des informations générales, l’établissement des climatologies moyennes, l’analyse des valeurs extrêmes et un zoom sur les caractéristiques des états de mer observés lors des événements les plus marquants. Ce catalogue est destiné aux bureaux d’ingénierie, aux services de l’État ou des collectivités, aux organismes de recherche, et plus généralement à ceux qui travaillent de près ou de loin sur les états de mer. Ce catalogue, composé de trois tomes, est une actualisation de l’édition 2020 : le premier tome pour la Mer du Nord, la Manche et l’Atlantique, le deuxième tome pour la Méditerranée, et le troisième tome pour la l'outre-mer. 1. Introduction 2. Définitions 2.1 Analyse vague par vague 2.2 Analyse spectrale 3. Rappel théorique 3.1 Analyse vague par vague (ou analyse temporelle) 3.2 Analyse spectrale 3.2.1 Spectre de variance non directionnel 3.2.3 Spectre directionnel de variance 4. La mesure 4.1 Le réseau de mesures CANDHIS 4.2 Les appareils de mesure 4.3 État des données 4.3.1 Avertissement quant à l’usage des données 4.3.2 Pas de mesure des paramètres d’états de mer 4.4 Contrôle des données 4.4.1 Premier niveau de contrôle 4.4.2 Deuxième niveau de contrôle 5. Présentation des résultats 5.1 Convention d’unités 5.2 Informations générales 5.3 Climatologie moyenne 5.4 Analyse des valeurs extrêmes 5.4.1 Méthodologie 5.4.2 Interprétation 5.5 Sélection des événements remarquables 5.5.1 Méthodologie 5.5.2 Interprétation Annexes : les fiches synthétiques
  91. Edition (Ceremadoc) Enquête dragage 2016 : Enquête nationale sur les dragages des ports maritimes

    Ces données sont transmises par les Services de Police des Eaux Littorales (SPEL) de l’ensemble des départements maritimes de France métropolitaine et d’outre-mer, ainsi que par les grands ports maritimes. Elles sont ensuite synthétisées par le Cerema et retranscrites dans des tableaux formatés adoptés par les lignes directrices internationales. La direction de l’eau et de la biodiversité au MTES transmet après validation ces résultats aux secrétariats des trois conventions. Le document expose donc les quantités de sédiments dragués en France, les différentes techniques utilisées ainsi que les différentes destinations de ces sédiments et leurs niveaux de contaminations au regard des seuils réglementaires existants 1. Généralités 1.1 Contexte de l’enquête 1.2 Étendue de l’enquête 1.3 Contenu du rapport 2. Dragage 2.1 Quantités de matière sèche draguées en France 2.1.1 Rappel historique (source : rapports annuels d’enquête dragage du Cerema) 2.1.2 Évolutions récentes 2.1.3 Quantité totale draguée en France en 2016 2.1.4 Grands ports maritimes en 2016 2.1.5 Autres ports en 2016 2.2 Techniques de dragage 2.2.1 Grands ports maritimes 2.2.2 Autres ports métropolitains 2.3 Travaux neufs et travaux d’entretien 3. Destination des sédiments 3.1 Destination et usages répertoriés 3.1.1 Sédiments immergés et remise en suspension 3.1.2 Sédiments utilisés pour le rechargement de plages 3.1.3 Sédiments déposés à terre 3.1.4 Sédiments déposés en mer (confinement) 3.2 Destination par type de port 3.2.1 Grands ports maritimes 3.2.2 Autres ports 4. Les permis d’immersion 5. Les contaminants 5.1 Les éléments-traces métalliques (ETM) 5.2 Les polychlorobiphényles (PCB) 5.3 Le tributylétain (TBT) 5.4 Les hydrocarbures aromatiques polycycliques (HAP) Conclusion
  92. Edition (Ceremadoc) Dynamiques et évolution du littoral - Fascicule 07 : de la pointe de Suzac à la frontière espagnole : Atlas cartographique

    Ce septième fascicule traite de la province sédimentaire s’étendant de la pointe de Suzac, au nord de l’estuaire de la Gironde, à la frontière espagnole au sud (matérialisée par l’embouchure de la Bidassoa), sur un linéaire d’environ 270 km. Sommaire de la synthèse 1. Présentation 2. Contexte général : données physiographiques 3. Facteurs hydrodynamiques 4. Données sédimentologiques 5. Interventions humaines le long du littoral 6. Évolution générale du littoral et des fonds 7. Conclusion : Bilan sédimentaire général 8. Annexes Sommaire de l'atlas 1. Présentation de la province 2. Occupation du sol 3. Cours d’eau et bassins versants 4. Topographie - Bathymétrie 5. Géologie 6. Type de côte 7. Habitats naturels 8. Réseau météorologique 9. Marais maritimes et zones humides 10. Climatologie atmosphérique - Températures, précipitations et fréquence des vents 11. Température de l’eau 12. Salinité de l’eau2 13. Localisation des ports de référence et secondaires 14. Marnage 15. Valeurs extrêmes de surcote de pleine mer aux marégraphes 16. Valeurs extrêmes de niveau de pleine mer aux marégraphes 17. Niveaux marins centennaux 18. Localisation des points d’observation des états de mer 19. États de mer issus de l’observation in situ - Rose de houle 20. Roses des houles issues de simulations numériques ANEMOC 21. États de mer - Hauteur significative des vagues issues des simulations ANEMOC 22. États de mer issus de l’observation in situ - Hauteurs significatives 23. États de mer lors de tempêtes 24. Hauteurs significatives et direction de propagation des vagues (tempête du 7/02/96) 25. Energie cinétique des courants marins 26. Roses de courant 27. Courant de marée de surface 28. Réseau hydrographique 29. Cellules hydrosédimentaires 30. Nature des fonds marins 31. Artificialisation du littoral par un ouvrage ou un aménagement côtier 32. Ouvrages et aménagements côtiers 33. Ressource en granulats marins 34. Volumes de sédiments dragués : bilan des travaux maritimes du Syndicat Intercommunal du Bassin d’Arcachon (en m³)0 35. Progression de l’urbanisation 36. Autres activités humaines 37. Évolution passée du trait de côte 38. Cellule 5 et 6 Nord : la Bécassière à la Salie-sud 39. Carte d’identité des unités morphosédimentaires
  93. Edition (Ceremadoc) Systèmes houlomoteurs bords à quai : Guide de conception en phase avant-projet

    Ce guide présente les enjeux et intérêts des dispositifs pour les aménageurs. Il décrit d’abord les quatre familles de dispositifs (système à franchissement, colonne d’eau oscillante, batteur oscillant, flotteur pilonnant). Il dresse ensuite une liste de sites potentiels en France métropolitaine avec leurs caractéristiques, en approfondissant l’analyse pour quelques sites. Pour chaque famille de dispositif, une estimation de la production est donnée, le dimensionnement du convertisseur et de la structure est produit à travers notamment une analyse de la survivabilité. Une évaluation coût-bénéfice permet enfin de déterminer le coût de l’énergie pour les quatre familles sur le site particulier de Saint-Jean-de-Luz. La filière des génératrices houlomotrices étant encore aujourd’hui au stade de développement avec seulement quelques prototypes en fonctionnement en conditions réelles, les méthodes utilisées dans tous les compartiments de l’étude sont issues de la recherche et sont elles-mêmes en constante évolution ; elles peuvent donc à ce stade comporter des incertitudes importantes. Il conviendra donc d’en tenir compte et de réserver l’usage de ce guide au stade de l’avant-projet ou de l’étude de faisabilité. Introduction Premier chapitre - Enjeux et intérêts des systèmes houlomoteurs bord à quai pour les aménageurs 1 Qu’est-ce qu’un système houlomoteur bord à quai ? 2 La production électrique 3 Rôle dans la protection portuaire ou côtière et dans l’adaptation au changement climatique 4 Une contribution à la transition écologique pour la croissance verte 5 Développement d’une filière industrielle locale innovante 6 Estimation de rentabilité 7 Les différents systèmes de récupération de l’énergie de la houle bord à quai 8 Exemples de réalisation Deuxième chapitre - Considérations pour l’identification des sites propices à l’installation de systèmes houlomoteurs bord à quai 1 Estimation de la puissance récupérée 2 Évaluation de potentiels houlomoteurs sur le littoral français 3 Considérations géotechniques 4 Enjeux environnementaux et réglementations associées 5 Raccordement et stockage 6 Références bibliographiques Troisième chapitre - Évaluation des différents concepts 1 Les différents concepts 2 Estimation de production 3 Dimensionnement des WEC : Eléments de méthodologie et exemples d’application 4 Effets sur les ouvrages porteurs 5 Impact hydrosédimentaire 6 Références bibliographiques Quatrième chapitre - Évaluation coût-bénéfice 1 Choix et optimisation du dispositif de récupération de l’énergie de la houle 2 Coûts de construction 3 Coûts de production 4 Références bibliographiques Conclusion
  94. Edition (Ceremadoc) Manuel de corrosion et protection des ouvrages en sites aquatiques

    Cet ouvrage propose un aperçu des phénomènes de corrosion et leurs conséquences sur les structures métalliques dans les milieux portuaires et fluviaux et en bord de mer. Les spécialistes et ceux que les activités amènent à concevoir ou à gérer des ouvrages métalliques dans ou proche des milieux aquatiques et salins y trouveront des bases pour comprendre la corrosion et ses mécanismes et des méthodes pour lutter contre. Cette publication propose également des pistes pour approfondir et des recommandations pour aborder les problématiques liées à la corrosion. Le guide corrosion présente dans un premier temps, les structures, les milieux et la corrosion par description des structures métalliques en milieu portuaire ou fluvial, de leurs matériaux et de la manière dont la corrosion peut les fragiliser. Il détaille la surveillance et les mesures : les méthodes et les outils d’évaluation du niveau de corrosion. Il passe en revue et donne les principes des systèmes de protection : passive, active et combinaison des deux. Enfin il rapporte quatre retours d’expériences. I. Structures, milieu et corrosion 1. Introduction 2. Les structures métalliques en milieu portuaire ou fluvial 3. La corrosion en milieu portuaire ou fluvial II. Surveillance et mesures 1. Méthodes et outils d’évaluation 2. Inspection visuelle de l’état de surface 3. Mesures d’épaisseurs résiduelles 4. Mesures de potentiel électrochimique 5. Détection des micro-organismes influençant la corrosion 6. Mesures physico-chimiques du milieu 7. Détection des courants vagabonds 8. Autres techniques d’appréciation ou de détection III. Les systèmes de protection 1. Principes et méthodes de protection 2. Systèmes de protection par peinture 3. Systèmes de protection cathodique 4. Autres techniques de protection IV. Retour d’expériences 1. Remise en état du quai de l’Escaut du port de Dunkerque 2. Remise en état de l’écluse de Watier du port de Dunkerque 3. Démarche investigatrice d’identification de la corrosion du quai des Tellines au port de Marseille-Fos 4. Réfection de la protection anticorrosion du pont-canal de Briare V. Glossaire et liste des sigles
  95. Study report (Ceremadoc) Rapport sur le suivi du cordon de galets de la plage de Quiberville - exploitation des vols drone campagne 2019

    L’analyse photogrammétrique par drone de la plage de Quiberville – Sainte-Marguerite a pour but d’estimer l’évolution du cordon de galets au droit des ouvrages de défense contre la mer et d’évaluer l’impact des tempêtes sur le cordon de galets et le profil de la plage. L’objectif est de capitaliser les informations de manière à mieux cerner le fonctionnement du littoral notamment celui du cordon de galets dans une basse vallée.
  96. Study report (Ceremadoc) Projets éoliens en mer au large de la Normandie Approche de la cartographie de l’activité de pêche professionnelle Étude réalisée à partir de l’exploitation des données VMS et des données SACROIS sur la période 2016 à 2018

    Dans le cadre de la préparation du débat public sur les projets éoliens en mer au large de la Normandie, la Direction Générale Énergie Climat du Ministère de la Transition Écologique et Solidaire a souhaité un état des lieux de la spatialisation de l’activité de pêche professionnelle dans la zone du débat public et ses alentours. En effet, suite aux modifications législatives issues de la loi ESSOC du 10 août 2018, le public est amené à se prononcer sur les projets éoliens en mer en amont du lancement des procédures de mise en concurrence. La cartographie de la pêche professionnelle doit donc permettre d’éclairer l’ensemble des acteurs qui prendront part au débat public, sur les paramètres pouvant influencer le choix de zones préférentielles pour des projets éoliens en mer au large de Normandie.
  97. Study report (Ceremadoc) Rapport sur l'inventaire et atlas des décharges anciennes et non autorisées en Seine Maritime

    Des décharges anciennes parfois officielles, parfois non autorisées ont pu être installées et exploitées à proximité immédiate du littoral. Au fil du temps, toutes ces décharges ont été abandonnées au profit de systèmes de traitements des déchets respectueux de l’environnement. Une partie de ces décharges a été dégagée mais d’autres sont restées en place en l’état, ou remblayées sans autre traitement ou suivi. Avec les phénomènes d’érosion côtière que connaît le littoral français, ces décharges réapparaissent au gré du recul des falaises ou des cordons dunaires et peuvent ainsi engendrer des risques de pollution. Une bibliographie sur ce sujet montre que globalement il n’existe pas d’inventaire national de ce type. Seules quelques études ponctuelles font état de recensement. Ce besoin de recensement a été exprimé à la fois par les services déconcentrés, les services centraux du Ministère de la Transition Écologique et le Conservatoire du Littoral qui est potentiellement intéressé sur son périmètre d’intervention. Le Cerema est un établissement public qui dispose de données et de compétences pour être en mesure de répondre à cette problématique d’inventaire sur la base d’outils et de méthodes SIG. Cette étude s’appuie sur des travaux de bibliographie, de photo-interprétation de clichés aériens anciens et d’enquêtes auprès des collectivités. La mission confiée au Cerema par la DDTM de Seine-Maritime, le service des données et des études statistiques du Ministère de la Transition Écologique (MTES/CGDD/SDES) et le Conservatoire du Littoral comprend donc trois grandes phases : • le pré-inventaire des décharges par photo-interprétation de clichés anciens, • l’enquête auprès des services • la cartographie des résultats sous forme d’altas
  98. Study report (Ceremadoc) Gestion intégrée des espaces maritimes. Retour sur les SMVM et autres outils existants et utilisés

    Cette étude se propose en deux temps de présenter les schémas de mise en valeur de la mer – SMVM – (hors schéma d’aménagement régional), sur la dernière décennie, qu’ils soient de l’initiative de l’État ou des collectivités locales, et ensuite de présenter quelques méthodes mises en place localement pour gérer l’espace littoral et maritime, en l’absence de SMVM, sur fond de résolution des conflits d’usage.
  99. Study report (Ceremadoc) Animation du Club littoral. Bilan 2019

    Le Club Littoral, animé par le Cerema depuis 2011 à la demande du ministère chargé de l’environnement, est le lieu d’échanges entre les services de l’État sur les thématiques de la prévention des risques côtiers et de l’aménagement du littoral. Ce Club a une nouvelle fois réuni près 200 agents en 2019 lors de trois réunions locales (à Rouen, Nantes et Marseille) et d’une réunion nationale à Paris. Les principales avancées de l’année 2019 concernent l’amélioration de la liste de diffusion des informations aux 539 membres du Club Littoral (utilisation d’un outil du Cerema) et une modification de l’animation des réunions afin de faciliter les échanges. Un questionnaire de satisfaction adressé aux participants des réunions locales confirme le bien-fondé des actions menées par le Club littoral.
  100. Study report (Ceremadoc) Apport des données satellitaires dans le suivi des espaces naturels - Novembre 2020

    Cette étude de faisabilité est réalisée pour le compte de la DREAL Normandie afin d’identifier les possibilités et l’intérêt de l’utilisation de la télédétection, dans le cadre d’un suivi des milieux naturels de l’estuaire de la Seine. Les différents satellites y sont présentés, ainsi que les modalités d’acquisition des images, leur exploitation, et les usages possibles.
  101. Study report (Ceremadoc) Adaptation des territoires littoraux méditerranéens au changement climatique. Phase 1 : Benchmarking des expériences existantes

    Dans un contexte de changement climatique, la stratégie nationale de gestion intégrée du trait de côte a pour ambition de mieux anticiper l’évolution des phénomènes d’érosion et de submersion ainsi que leurs conséquences sur les territoires littoraux, notamment en matière d’aménagement. Cette étude a pour objectif d’accompagner les déclinaisons locales de la stratégie nationale en menant une approche transversale aménagement, risque érosion, vulnérabilité et environnement, pour permettre une gestion intégrée du trait de côte et des territoires littoraux, notamment par la recomposition spatiale de ces territoires. Ce rapport constitue la phase 1 de l’étude.
  102. Study report (Ceremadoc) Adaptation des territoires littoraux méditerranéens au changement climatique. Phase 2 : outils et méthodologies existants

    Dans un contexte de changement climatique, la stratégie nationale de gestion intégrée du trait de côte a pour ambition de mieux anticiper l’évolution des phénomènes d’érosion et de submersion ainsi que leurs conséquences sur les territoires littoraux, notamment en matière d’aménagement.Cette étude a pour objectif d’accompagner ces déclinaisons locales de la stratégie nationale en menant une approche transversale aménagement, risque érosion, vulnérabilité et environnement, pour permettre une gestion intégrée du trait de côte et des territoires littoraux, notamment par la recomposition spatiale de ces territoires. Ce rapport constitue la phase 2 de l’étude.
  103. Study report (Ceremadoc) Gestion des déchets dans les ports de plaisance, de pêche et de commerce. Enquête complémentaire et identification de ports prioritaires

    La mise en oeuvre de la Directive Cadre Stratégie Milieu Marin s’est déclinée au travers de l’adoption des Plans d’actions pour le Milieu Marin au niveau de chaque sous région Marine, puis des programmes de mesures associés. Ces derniers comportent l’ensemble des actions concrètes et opérationnelles répondant à un ou plusieurs objectifs environnementaux, en vue d’atteindre ou de maintenir le bon état écologique des eaux marines à l’horizon 2020. Une action sur les déchets portuaires fait partie des mesures mises en oeuvre à l’échelle nationale : La mesure M017 – NAT1b : « Améliorer la prévention et la gestion des déchets (déchets d’exploitation des navires, macro-déchets récupérés par les pêcheurs) dans les ports de pêche, de plaisance et de commerce.». La mesure s’intéresse aux catégories de déchets visées par les annexes de la convention MARPOL et a pour objectif d’améliorer la prévention et la gestion des déchets dans les ports de pêche, de plaisance et de commerce. Elle se décline en trois actions : 1– la réalisation d’une étude diagnostic des ports, à l’échelle de chaque sous-région marine (ou échelle géographique plus pertinente) ; 2– l’amélioration des services et dispositifs de collecte et de gestion dans les ports jugés prioritaires ; 3– l’actualisation des plans de réception et de traitement des déchets. Le Cerema a été chargé par la Direction de l’eau et de la Biodiversité du Ministère de la Transition Écologique et Solidaire de la réalisation de l’étude diagnostic. Cette enquête a pour objectif de compléter le premier recensement réalisé en 2018 et d’identifier les ports pouvant être désignés comme prioritaires pour bénéficier d’actions d’amélioration de leurs équipements de collecte des déchets.
  104. Study report (Ceremadoc) Description of MSP relevant information for Atlantic coutries

    This report initiates an investigation of relevant information supporting the implementation of Maritime Spatial Planning (MSP) in the European Atlantic. It provides an overview of the baseline environmental and biological characteristics and legal arrangements for Maritime Spatial Planning in the Atlantic region. It also provides detailed information on the geography of the region including a description of benthic and pelagic habitats, physical features, oceanographic characteristics, legal and governance arrangements for MSP in five Atlantic European countries involved in the SIMAtlantic project: France, Spain, Portugal, Ireland and the United Kingdom (Northern Ireland and England).
  105. Study report (Ceremadoc) Simulateur de la navigation sur le Rhône. Etude de courantologie-Site de Givors.PK15.5 à 21.

    En 2006, à la demande du Comité des Armateurs Fluviaux (CAF), le Centre d’études Techniques Maritimes et Fluviales (CETMEF, ex DTecEMF du Cerema) a réalisé un prototype de simulateur de navigation fluviale. En 2010, associés à de nouveaux acteurs dans le cadre d’une convention de partenariat, le CAF, le CETMEF et la Compagnie Nationale du Rhône (CNR), PROMOFLUVIA et FLUVIA ont poursuivi cette démarche en développant une application spécifique sur le bassin du Rhône. L’intérêt du simulateur est de placer le pilote dans un environnement comparable à celui d’une conduite réelle mais où l’environnement et le bateau sont entièrement sous contrôle car représentés par des modèles logiciels. Le simulateur est un atout pour améliorer la sécurité de la navigation fluviale dans la mesure où il permet aux bateliers de s’entraîner sur des situations extrêmes de conditions météorologiques, de débits ou d’aléas mécaniques. Un autre site a été numérisé. Il s’agit du site de Givors. Le présent rapport concerne la partie courantologie de ce site. Ces fichiers seront ensuite mis en forme pour être pris en compte par le logiciel Navmer utilisé par le simulateur. 1.2 Objectifs de l’étude Pour le site de Givors, le simulateur de navigation, et donc la courantologie préalable, devra être élaboré pour trois états de débits du Rhône : • 310 m³/s pour l’étiage • 815 m3/s pour un débit semi-permanent • 2700 m3/s pour la RNPC (réglementation de la navigation en période de crue) anciennement dénommée PHEN (plus Hautes eaux Navigables). Pour chacun des trois états sera fourni un fichier de points de type : x,y, h (hauteur d’eau), u et v.
  106. Study report (Ceremadoc) Flotte de commerce et gigantisme. Analyse et prospective : Risques liés aux navires de commerce géants

    Cette étude est une analyse de l’évolution de la flotte de navires de commerce. L’objectif étant de quantifier le phénomène de gigantisme. Cette étude compose le premier chapitre d’un travail plus large sur les risques potentiels du gigantisme. Une analyse statistique est menée à partir de la base IHS Lloyd's, entre 2010 et 2020. Cette analyse se concentre sur les tankers, les vraquiers, les porte-conteneurs et les paquebots, catégories dans lesquelles une tendance marquée au gigantisme est observée. Le résultat de ce travail d’analyse est un « tableau de bord » par catégorie de navires, composé de quelques figures. Des projections à horizon 2050 sont ensuite faites, en s’appuyant sur les travaux de DNV GL et Sea Europe.
  107. Study report (Ceremadoc) Analyse des paramètres d'états de mer CANDHIS. Dépendance jauteur (Hm0) période (T02) : Note technique du 25/08/2020

    La caractérisation de la période des vagues (le paramètre d’état de mer) associée aux valeurs extrêmes de hauteurs significatives des vagues est une donnée importante pour quantifier l’effet des vagues à la côte. Il est étudié ici la dépendance hauteur-période des vagues pour les pics de tempête. Pour ce faire, plusieurs couples de paramètres hauteurpériode sont présélectionnés. Le couple Hm0-T02 est jugé le plus pertinent (meilleure stabilité des paramètres). Cinq modèles de dépendance sont testés. Les trois premiers modèles sont basés sur les copules bivariées Normale, de Gumbel et de Clayton. Les copules sont appliquées directement sur les lois de distribution univariées des couples Hm0-T02. Les deux derniers modèles s’appliquent sur la cambrure significative des vagues (Sz fonction de Hm0 et de T02). La distribution des cambrures est ajustée par une loi normale symétrique pour un modèle et par une loi normale asymétrique pour le dernier modèle. Les résultats montrent que les couples Hm0-T02 sont contraints par une cambrure maximale de l’ordre de 1/15. Cette contrainte est liée au déferlement des vagues. Les modèles testés ici basés sur les copules ne peuvent pas reproduire cette contrainte. L’utilisation des copules ne semblent donc pas pertinente pour modéliser la dépendance Hm0-T02. Les modèles basés sur l’analyse de cambrure semblent donner de très bons résultats, plus particulièrement le modèle utilisant la loi normale asymétrique.
  108. Study report (Ceremadoc) Stratégie de gestion du trait de côte de l'île de Noirmoutier. Programme d'études et d'analyses hydro-sédimentaires

    La Communauté de communes de l’île de Noirmoutier souhaite définir une stratégie de gestion durable du trait de côte, dont plusieurs mesures pourraient se concrétiser dans le prochain programme d’actions pour la prévention des inondations (PAPI). Pour cela, elle a sollicité le Cerema afin d’élaborer un programme d’études et d’analyses hydro-sédimentaires. Compte-tenu du souhait de traduire opérationnellement cette stratégie dans des délais compatibles avec le prochain PAPI, il est proposé de conduire une seule étude, en lançant éventuellement en parallèle l’élaboration d’un programme de recherche afin d’approfondir les connaissances qui seront acquises dans ce cadre. L’étude à lancer à court terme comprendrait deux phases successives : • un diagnostic hydro-sédimentaire, dont l’objectif serait d’appréhender au mieux les évolutions passées du trait de côte et le fonctionnement hydro-sédimentaire, en premier lieu en valorisant l’ensemble des études et données existantes, • une définition des mesures constituant la stratégie, le suivi de l’Observatoire du littoral de l’île de Noirmoutier et le plan de gestion des sédiments, grâce à des analyses multi-critères et coûts-bénéfices. Stratégie
  109. Study report (Ceremadoc) Projets d’éoliennes flottantes au sud de la Bretagne Approche cartographique de l’activité de pêche professionnelle au nord du Golfe de Gascogne Étude réalisée à partir de l’exploitation des données VMS annuelle de 2016 à 2019et des données SACROIS sur la

    Dans le cadre de la préparation du débat public sur les projets éoliens flottant au sud de la Bretagne, la Direction générale de l’énergie et du climat (DGEC) du ministère de la Transition écologique (MTE) a souhaité un état des lieux de la spatialisation de l’activité de pêche professionnelle dans la zone du débat public 1 et ses alentours. L’objectif de ce document est de porter à la connaissance du public l’ensemble des éléments objectifs d’information quant à l’incidence que les projets éoliens pourraient avoir sur l’activité de pêche professionnelle en Atlantique et au sud de la Bretagne. À partir d’un état des lieux, les informations fournies sont donc là pour que chacun puisse se fonder un avis le plus éclairé possible.
  110. Edition (Ceremadoc) Énergie éolienne en mer : Retour d’expérience sur l’identification du potentiel

    Cet ouvrage apporte les informations utiles pour la poursuite d’exercices de concertation en s’appuyant notamment sur les questions clés qui se posent lors de la phase de lancement des projets et les réponses qui y ont été apportées jusqu’alors. Cet ouvrage destiné à l’ensemble des acteurs de la filière répond ainsi aux questions suivantes : Quelles sont les méthodes employées pour déterminer le potentiel technico-économique ? Comment sont délimités les secteurs d’exploitation de l’énergie éolienne offshore en fonction des caractéristiques du milieu marin (données de bathymétrie, de vent, de houle, de courant) ? Comment évolue le potentiel éolien en mer avec le développement des nouvelles technologies ? Quelles sont les étapes de lancement d’un projet et quels sont les rôles des acteurs impliqués ? Comment s’organise la concertation avec l’ensemble des acteurs pour sélectionner les meilleurs sites ? Quelles sont les nouvelles procédures pour le développement des prochains parcs commerciaux ? Introduction 1. Techniques et stratégie d’étude : les fondamentaux 1.1. Caractéristiques des projets éoliens en mer 1.1.1. Fonctionnement des éoliennes 1.1.2. Configuration et raccordement des projets 1.1.3. Technologies considérées 1.2. Principes d’évaluation du potentiel technico-économique 1.2.1. Zones d’études 1.2.2. Informations technico-économiques pour l’identification du potentiel 1.2.3. Paramètres physiques 1.3. Potentiel de production 2. Sources de données 2.1. Données de vent 2.2. Données de bathymétrie 2.3. Données relatives aux conditions météocéaniques 2.4. Données d’activités et d’usages 3. Analyse des données physiques 3.1. Vitesse du vent à 100 mètres 3.1.1. Moyenne des vitesses de vent 3.1.2. Roses des vents 3.1.3. Distributions et variations du vent pour quelques points 3.2. Bathymétrie 3.2.1. Projets éoliens posés 3.2.2. Projets éoliens flottants 3.3. Conditions météocéaniques 3.3.1. Marnage 3.3.2. Courants de marées 3.3.3. Hauteurs des vagues 4. Représentation du potentiel technico-économique 4.1. Principes pour la représentation du potentiel technico-économique 4.1.1. Principes retenus en 2014 4.1.2. Principes retenus en 2018 4.1.3. Bilan des éléments pris en compte 4.2. Application des principes de représentation pour des parcs commerciaux éoliens posés 4.3. Application des principes de représentation pour des fermes pilotes et des parcs commerciaux éoliens flottants 5. Délimitation des zones par un processus de concertation 5.1. Lancement d’un projet éolien en mer 5.1.1. Acteurs impliqués dans les projets éoliens en mer 5.1.2. Étapes pour le lancement d’un projet 5.2. Objectifs et déroulement des exercices de concertation pour la définition de zones potentielles 5.2.1. Objectifs des exercices de concertation 5.2.2. Déroulement des exercices de concertation 5.3. Zones retenues à l’issue de la concertation 5.3.1. Zones figurant dans des appels à projets lancés en 2015 et 2016 5.3.2. Zones pour préparer de nouveaux appels d’offres Acronymes Références Annexe A : Accès aux données Annexe B : Atlas du potentiel éolien en mer
  111. Edition (Ceremadoc) Signalisation pour la navigation intérieure

    La signalisation installée sur l’ensemble du réseau fluvial doit être mise en conformité avec le RGPNI. Le présent guide vise donc à fournir aux gestionnaires et aux exploitants de la voie d’eau lesconnaissances techniques et les recommandations utiles pour concevoir et mettre en place une signalisation qui soit sûre, homogène et conforme au RGPNI, ainsi que claire et compréhensible par l’usager. L’ouvrage est organisé en deux parties : - La première partie rappelle les éléments constitutifs de la signalisation de la voie d’eau et du domaine fluvial, à savoir les divers signaux réglementaires définis par le RGPNI, panneaux, balisage et feux de signalisation. - La deuxième partie vise à fournir aux gestionnaires chargés d’élaborer un projet de signalisation fluviale les éléments pour sa conception (implantation, dimensionnement, etc.). 1 GÉNÉRALITÉS SUR LA SIGNALISATION RÉGLEMENTÉE DE LA VOIE D’EAU ET DU DOMAINE FLUVIAL 1.1 Les panneaux de signalisation 1.1.1 Les différentes catégories de panneaux 1.1.2 Formes, couleurs et pictogrammes des panneaux de signalisation fluviale 1.1.3 La signalisation auxiliaire 1.1.4 Lettrage et règles de composition 1.1.5 Visibilité, caractéristiques techniques des films rétroréfléchissants 1.2 La signalisation de balisage 1.2.1 Généralités 1.2.2 Balisage des chenaux navigables et des entrées de port 1.2.3 Balisage des points dangereux et des obstacles 1.2.4 Marques de crue 1.2.5 Balisage supplémentaire des lacs et voies de navigation de grande largeur 1.2.6 Balisage des zones interdites ou réglementées 1.3 Mode d’installation des signaux de balisage dans les sections caractéristiques du fleuve 1.3.1 Généralités 1.3.2 Installation des signaux de balisage sur les secteurs à méandres 1.3.3 Installation des signaux de balisage sur des secteurs à l’approche des ponts et sur les passes navigables des ponts 2 MODE D’EMPLOI DES PANNEAUX DE SIGNALISATION ET DU BALISAGE DE LA VOIE D’EAU–RÈGLES DE DIMENSIONNEMENT 2.1 Utilisation et principes de dimensionnement des panneaux de signalisation de la voie d’eau 2.1.1 Agencement de la signalisation fluviale aux abords de zones particulières à baliser : plans types 2.1.2 Implantation et dimensionnement des panneaux 2.2 Principe de dimensionnement des marques de jour 2.2.1 Préambule 2.2.2 Les couleurs employées en signalisation fluviale 2.2.3 Formes et dimensions des marques de jour 2.2.4 Les voyants 2.3 Principes de dimensionnement et utilisation des feux de signalisation fluviale 2.3.1 Préambule 2.3.2 Portée et intensité lumineuse des feux 2.3.3 Couleurs des feux 2.3.4 Divergence des feux de signalisation fluviale GLOSSAIRE BIBLIOGRAPHIE ANNEXE 1: CATALOGUE DES PANNEAUX DE SIGNALISATION RÉGLEMENTÉS PAR L’ANNEXE 5 DU RGPNI DE 2016 ANNEXE 2: DISTANCES MAXIMALES DE RECONNAISSANCE DES PANNEAUX ANNEXE 3: PLANS TYPES ANNEXE 4: ÉTUDE DE CAS –PRÉDIMENSIONNEMENT DE LA DISTANCE D’ARRÊT D’UN BATEAU
  112. Edition (Ceremadoc) Résilience du littoral indonésien aux risques naturels - Semarang et la subsidence

    Les littoraux sont des espaces fragiles exposés aux aléas naturels. Ils peuvent être intensément perturbés par le développement rapide de l’urbanisation et par les effets du changement climatique. Cet ouvrage présente le cas de l’agglomération indonésienne de Semarang situé en bordure de la mer de Java. La particularité du littoral de Semarang résulte de son exposition à une subsidence très active qui se traduit par un affaissement du sol pouvant atteindre jusqu’à 13 cm par an. Le Cerema a mené une analyse en collaboration avec l’université Diponegoro – Undip (Indonésie) pour identifier les processus à l’oeuvre. Le travail produit a bénéficié du soutien de l’Ambassade de France en Indonésie et des ministères chargés de la recherche et des affaires étrangères des deux pays. C’est en appliquant le concept de résilience qu’une voie s’ouvre vers la recherche de réponses adaptées. Largement illustré, Ll’ouvrage bénéficie de contributions de la part de scientifiques et d’experts qui sont intervenus concrètement sur le territoire de Semarang dans des contextes différents, apportant ainsi leur propre vision à l’analyse de la situation. PréfacesAvant-proposIntroduction générale PREMIÈRE PARTIELe littoral, espace en cours de fragilisation 1. Un espace perturbé par le changement climatique 2. Un espace particulièrement exposé à l’urbanisation 3. Le littoral indonésien 4. L’intervention du Cerema à Semarang DEUXIÈME PARTIESemarang : le défi de la bande côtière 1. Un cadre géographique devenu contraint 2. Une dynamique d’urbanisation préoccupante 3. La subsidence, phénomène majeur à Semarang 4. Les autres phénomènes naturels 5. De l’action individuelle à la mobilisation des acteursTROISIEME PARTIESemarang : vers une démarche de résilience territoriale 1. La résilience : de quoi s’agit-il ? 2. La résilience : des réponses à différentes échelles 3. Un projet de résilience territoriale pour Semarang 4. L’observatoire de la bande côtière : une étape fondatrice 5. Regards croisés par des scientifiques Conclusion générale Annexe technique par Tre Altamira Bibliographie LexiqueIndex des illustrations Sur le même thème - Sécurité globale et résilience des territoires - Ingénierie, effets de leviers et stratégies à promouvoir (2019) - En téléchargement gratuit sur www.cerema.fr - Résilience urbaine et Sécurité des territoires - Crises redoutées, résiliences escomptées et étapes à franchir (2018) - En téléchargement gratuit sur www.cerema.fr - Territoires résilients - Six leviers d’actions pour bâtir votre stratégie (2018) - En téléchargement gratuit sur www.cerema.fr - Territoires résilients - série de fiches - En téléchargement gratuit sur www.cerema.fr Vers des territoires résilients : Six leviers opérationnels pour anticiper, réagir, s’adapter Le GIP littoral aquitain : une gouvernance à grande échelle pour anticiper les changements
  113. Edition (Ceremadoc) Les 8es Assises du Port du futur : 25 - 28 septembre 2018

    La démarche Port du futur cherche à rassembler les acteurs du milieu portuaire. L’objectif est de réfléchir à l’avenir des ports français et de promouvoir l’innovation dans le domaine portuaire. Cette démarche est rythmée chaque année par les Assises du Port du futur où acteurs publics et privés, milieux économiques et universitaires se retrouvent pour des journées de travail et d’échange à l’intersection entre différentes disciplines (ingénierie, technique, sociologie, économie, écologie…). Les Assises sont organisées par le Cerema avec un réseau de partenaires la Direction Générale des Infrastructures, des Transports et de la Mer (DIGTM) du ministère de la Transition écologique et solidaire (MTES), l’Union des Ports de France, les Pôles Mer, les Pôles de compétitivité Novalog et I-trans, le Cluster maritime français, le club territoire maritime et portuaire de la Fédération nationale des Agences d’Urbanisme. Vision prospective du secteur portuaire français et européen Partage d’expériences et réactions L’innovation pour les pôles de compétitivité Des ports dynamiques pour répondre aux défis de demain Construire et dynamiser son hinterland Quelles innovations pour concevoir des infrastructures portuaires respectueuses de l’environnement ? Solutions innovantes de traitement et de valorisation des sédiments de dragage
  114. Edition (Ceremadoc) Guide international sur les digues 2019 : The International Levee Handbook (2013) : version française (2019)

    D’origine fluviale ou maritime, les inondations et les submersions représentent un risque aux conséquences parfois désastreuses. Les digues, qu’on appelle aussi levées, constituent des éléments importants de protection et de défense contre les submersions et les inondations. On estime à plusieurs centaines de milliers de kilomètres le linéaire de digues en bordure des fleuves et des côtes en Europe et aux États-Unis. Compte tenu de leur rôle critique dans l’atténuation du risque d’inondation ou de submersion, les digues représentent donc un enjeu majeur face aux évolutions climatiques et aux risques d’occurrences d’événements extrêmes dans l’avenir. Les gouvernements de cinq pays (France, Irlande, Pays-Bas, Royaume-Uni et États-Unis) ont décidé la production d’une référence commune sur les bonnes pratiques de gestion et de conception des digues : l’International Levee Handbook (dont le présent ouvrage est la traduction française) est ainsi le fruit d’un partage d’expériences et de connaissances mené dans le cadre d’une collaboration internationale. Conçu dans une approche exhaustive le Guide international des digues est un manuel complet qui intègre l’essentiel des bonnes pratiques de l’évaluation de la sécurité, la conception en passant par la construction, la maintenance et jusqu’à la gestion des digues. Sans prétendre être un code de pratiques prescriptif, il doit toutefois être considéré comme un important support de décision et constitue un manuel de référence à destination des collectivités territoriales, des propriétaires et des gestionnaires de digues, des bureaux d’études, des services de contrôle de l’État et des entreprises de travaux publics. 1 Introduction 2 Les digues dans le cadre de la gestion du risque d’inondation 3 Fonctions, formes et défaillances des digues 4 Gestion et entretien 5 Inspection et évaluation des digues et attribution des risques 6 Gestion de crise et interventions d’urgence 7 Caractérisation des sites et collecte de données 8 Processus physiques et outils pour l’évaluation et la conception des digues 9 Conception 10 Construction Glossaire Abréviations Notations
  115. Edition (Ceremadoc) Dynamiques et évolution du littoral - Fascicule 03 : du cap d’Antifer au cap de la Hague : Synthèse des connaissances

    Ce fascicule traite de la province sédimentaire s’étendant du cap d’Antifer au cap de la Hague sur environ 435 km. 1 Présentation 2 Contexte général : données physiographiques 2.1 Géographie 2.2 Géologie des côtes et des fonds marins 2.3 Géomorphologie 2.4 Habitats naturels 2.5 Facteurs et mécanismes d’évolution du littoral 3 Facteurs hydrodynamiques 3.1 Climatologie 3.2 Facteurs océanographiques 3.3 Hydrologie 3.4 Changement climatique et impacts sur les facteurs hydrodynamiques 4 Données sédimentologiques 4.1 Nature et répartition des sédiments 4.2 Origine des sédiments 4.3 Mouvements des sédiments 4.4 Puits de sédiments 4.5 Bilan sur les mouvements de sédiments 5 Interventions humaines le long du littoral 5.1 Aménagements côtiers, ouvrages de défense et ouvrages portuaires 5.2 Extractions 5.3 Dragages et clapages 5.4 Autres activités humaines 6 Évolution générale du littoral et des fonds 6.1 Évolution historique et récente du littoral et des fonds 6.2 Évolution événementielle sur le littoral 6.3 Impact du changement climatique 7 Conclusion : Bilan sédimentaire général 7.1 Évolution du littoral et des fonds 7.2 Le bilan sédimentaire actuel 7.3 Prospective et impact du changement climatique 7.4 Perspectives 8 Annexes 8.1 Bibliographie 8.2 Glossaire 8.3 Abréviations et acronymes 8.4 Annexe du chapitre 2 8.5 Annexes du chapitre 3 8.6 Annexes du chapitre 5 8.7 Annexes du chapitre 6 8.8 Index des figures 8.9 Index des tableaux 8.10 Crédits photographiques 8.11 Couches SIG produites
  116. Edition (Ceremadoc) Dynamiques et évolution du littoral - Fascicule 06 : de la pointe de Chémoulin à la pointe de Suzac : Atlas cartographique

    Ce fascicule traite de la province sédimentaire s’étendant de la pointe de Chémoulin à la pointe de Suzac. SOMMAIRE DE LA SYNTHESE 1. Présentation 2. Contexte général : données physiographiques 3. Facteurs hydrodynamiques 4. Données sédimentologiques 5. Interventions humaines le long du littoral 6. Évolution générale du littoral et des fonds 7. Conclusion : Bilan sédimentaire général 8. Annexe SOMMAIRE DE L'ATLAS 1. Cours d’eau et bassins versants 2. Occupation du sol 3. Présentation de la province 4. Topographie - Bathymétrie 5. Géologie 6. Type de côte 7. Habitats naturels 8. Climatologie Atmosphérique 9. Réseau météorologique 10. Marais maritime et zones humides 11. Énergie cinétique des courants marins (2010 - 2015) 12. Salinité de l’eau (2010 - 2015) 13. Température de l’eau (2010 - 2015) 14. Marnage 15. Hauteurs significatives et direction de propagation des vagues (tempête du 7/02/1996) 16. Valeurs extrêmes de niveau de pleine mer aux marégraphes 17. Valeurs extrême de surcote de pleine mer aux marégraphes 18. États de mer issus de l’observation in situ - Hauteurs significatives 19. États de mer - Hauteur significative des vagues issues de simulation ANEMOC 20. États de mer issus de l’observation in situ - Rose de houle 21. Roses des houles issues de simulations numériques ANEMOC 22. Localisation des points d’observation des états de mer 23. États de mer lors de tempête - Hauteurs significatives issues de la modèlisation numérique 25. Courant de marée de surface 26. Localisation des ports de référence et secondaires 27. Roses de courant 28. Niveaux marins centennaux 29. Réseau hydrographique 30. Surveillance du réseau hydrographique 31. Nature des fonds marins 32. Synthèse des échanges sédimentaires connus sur la façade 33. Synthèse des échanges sédimentaires connus sur la façade 34. Cellules hydrosédimentaires 35. Artificialisation du littoral par un ouvrage ou un aménagement côtier 36. Ouvrages et aménagements côtiers
  117. Edition (Ceremadoc) Énergies renouvelables en mer - De nouveaux leviers énergétiques et économiques

    La France s’engage pour une croissance verte et bleue. Exploiter les ressources du milieu marin Les énergies renouvelables en mer sont des technologies permettant de produire de l’électricité à partir du milieu marin : le vent, les vagues, les courants, les marées, la température de l'eau... Comment mettre les énergies marines au cœur de la transition énergétique ? Quelles retombées pour mon territoire ? Quelle stratégie adopter pour préparer les projets ? Quelles sont les actions à engager en priorité ?
  118. Edition (Ceremadoc) Dynamiques et évolution du littoral - Fascicule 06 : de la pointe de Chémoulin à la pointe de Suzac : Synthèse des connaissances

    Ce fascicule traite de la province sédimentaire s’étendant de la pointe de Chémoulin à la pointe de Suzac. SOMMAIRE DE LA SYNTHESE 1. Présentation 2. Contexte général : données physiographiques 3. Facteurs hydrodynamiques 4. Données sédimentologiques 5. Interventions humaines le long du littoral 6. Évolution générale du littoral et des fonds 7. Conclusion : Bilan sédimentaire général 8. Annexe SOMMAIRE DE L'ATLAS 1. Cours d’eau et bassins versants 2. Occupation du sol 3. Présentation de la province 4. Topographie - Bathymétrie 5. Géologie 6. Type de côte 7. Habitats naturels 8. Climatologie Atmosphérique 9. Réseau météorologique 10. Marais maritime et zones humides 11. Énergie cinétique des courants marins (2010 - 2015) 12. Salinité de l’eau (2010 - 2015) 13. Température de l’eau (2010 - 2015) 14. Marnage 15. Hauteurs significatives et direction de propagation des vagues (tempête du 7/02/1996) 16. Valeurs extrêmes de niveau de pleine mer aux marégraphes 17. Valeurs extrême de surcote de pleine mer aux marégraphes 18. États de mer issus de l’observation in situ - Hauteurs significatives 19. États de mer - Hauteur significative des vagues issues de simulation ANEMOC 20. États de mer issus de l’observation in situ - Rose de houle 21. Roses des houles issues de simulations numériques ANEMOC 22. Localisation des points d’observation des états de mer 23. États de mer lors de tempête - Hauteurs significatives issues de la modèlisation numérique 25. Courant de marée de surface 26. Localisation des ports de référence et secondaires 27. Roses de courant 28. Niveaux marins centennaux 29. Réseau hydrographique 30. Surveillance du réseau hydrographique 31. Nature des fonds marins 32. Synthèse des échanges sédimentaires connus sur la façade 33. Synthèse des échanges sédimentaires connus sur la façade 34. Cellules hydrosédimentaires 35. Artificialisation du littoral par un ouvrage ou un aménagement côtier 36. Ouvrages et aménagements côtiers
  119. Edition (Ceremadoc) Dynamiques et évolution du littoral - Fascicule 16 : Mayotte : Atlas cartographique

    Ce fascicule traite de la province sédimentaire de l’archipel de Mayotte. Il est composé de deux îles principales qui offrent plus de 313 km de côtes très diversifiées en raison leur histoire géologique : Grande-Terre et Petite-Terre, ainsi qu’une trentaine d’îlots, localisés dans un lagon. Le littoral mahorais connaît des pressions anthropiques nombreuses et variées du fait de l’activité touristique, de l’augmentation démographique et de la transformation des modes de vie entraînant la requalification sociale et fonctionnelle des zones côtières. En raison de sa position géographique, Mayotte est également exposée aux évènements météo-marins extrêmes (tempêtes tropicales, cyclones), qui peuvent provoquer des dégâts sociaux-économiques et environnementaux et altérer durablement la vie dans l’archipel. SOMMAIRE DE LA SYNTHESE 1 Présentation 2 Contexte général : données physiographiques 2.1 Géographie 2.2 Géologie des côtes et des fonds marins 2.3 Géomorphologie 2.4 Habitats naturels 2.5 Facteurs et mécanismes d’évolution du littoral 3 Facteurs hydrodynamiques 3.1 Climatologie 3.2 Facteurs océanographiques 3.3 Hydrologie 3.4 Changement climatique et impacts sur les facteurs hydrodynamiques 4 Données sédimentologiques 4.1 Nature et répartition des sédiments 4.2 Origine des sédiments 4.3 Mouvements des sédiments 4.4 Puits de sédiments 4.5 Bilan sur les mouvements de sédiments 5 Interventions humaines le long du littoral 5.1 Aménagements côtiers, ouvrages de défense et ouvrages portuaires 5.2 Extractions 5.3 Dragages et clapages 5.4 Autres activités humaines 6 Évolution générale du littoral et des fonds 6.1 Évolution historique et récente du littoral et des fonds 6.2 Évolution événementielle sur le littoral 6.3 Impact du changement climatique 7 Conclusion : Bilan sédimentaire général 7.1 Le bilan sédimentaire actuel 7.2 Évolution du littoral et des fonds 7.3 Prospective et impact du changement climatique 7.4 Perspectives 8 Bibliographie 9 ANNEXES 9.1 Glossaire 9.2 Abréviations et acronymes 9.3 Crédits photographiques SOMMAIRE DE L'ATLAS 1 Chapitre 2. Contexte général : données physiographiques Présentation de la province Topographie – Bathymétrie Cours d’eau et bassins versants Occupation du sol Type de côte Habitats naturels 2 Chapitre 3. Facteurs hydrodynamiques Réseau météorologique Climatologie atmosphérique (températures, précipitations et fréquences de vents) Température des eaux de surface en 2015 Localisation des ports de référence et secondaires 3 Chapitre 5. Interventions humaines le long du littoral Artificialisation du littoral par un ouvrage ou un aménagement côtier Progression de l’urbanisation Autres activités humaines Espaces protégés 4 Chapitre 6. Évolution générale du littoral et des fonds Évolution passée du trait de côte 5 Chapitre 7. Conclusion : Bilan sédimentaire général Carte d’identité des unités morphosédimentaires
  120. Edition (Ceremadoc) Dynamiques et évolution du littoral - Fascicule 13 : la Guadeloupe : Synthèse des connaissances

    Ce fascicule traite de la province sédimentaire de la Guadeloupe. Sommaire de la synthèse 1. Présentation 2. Contexte général : données physiographiques 3. Facteurs hydrodynamiques 4. Données sédimentologiques 5. Interventions humaines le long du littoral 6. Évolution générale du littoral et des fonds 7. Conclusion : Bilan Sédimentaire Général 8. Annexes Sommaire de l'atlas 1. Cours d’eau et bassins versants 2. Occupation du sol 3. Présentation de la province 4. Topographie 5. Type de côte 6. Habitats naturels 7. Bathymétrie Litto 3D® 8. Géomorphologie du littoral 9. Réseau météorologique 10. Zones humides 11. Hauteurs significatives et direction de propagation des vagues 12. États de mer 13. Localisation des ports de référence et secondaires 14. Surveillance du réseau hydrographique 15. Nature des fonds marins 16. Artificialisation du littoral par un ouvrage ou un aménagement côtier 17. Progression de l’urbanisation 18. Interventions humaines le long du littoral 19. Zonages réglementaires 20. Évolution passée du trait de côte 21. Carte d'identité des unités morphosédimentaires
  121. Edition (Ceremadoc) Dynamiques et évolution du littoral - Fascicule 03 : du cap d’Antifer au cap de la Hague : Atlas cartographique

    Ce fascicule traite de la province sédimentaire s’étendant du cap d’Antifer au cap de la Hague sur environ 435 km. 1 Présentation 2 Contexte général : données physiographiques 2.1 Géographie 2.2 Géologie des côtes et des fonds marins 2.3 Géomorphologie 2.4 Habitats naturels 2.5 Facteurs et mécanismes d’évolution du littoral 3 Facteurs hydrodynamiques 3.1 Climatologie 3.2 Facteurs océanographiques 3.3 Hydrologie 3.4 Changement climatique et impacts sur les facteurs hydrodynamiques 4 Données sédimentologiques 4.1 Nature et répartition des sédiments 4.2 Origine des sédiments 4.3 Mouvements des sédiments 4.4 Puits de sédiments 4.5 Bilan sur les mouvements de sédiments 5 Interventions humaines le long du littoral 5.1 Aménagements côtiers, ouvrages de défense et ouvrages portuaires 5.2 Extractions 5.3 Dragages et clapages 5.4 Autres activités humaines 6 Évolution générale du littoral et des fonds 6.1 Évolution historique et récente du littoral et des fonds 6.2 Évolution événementielle sur le littoral 6.3 Impact du changement climatique 7 Conclusion : Bilan sédimentaire général 7.1 Évolution du littoral et des fonds 7.2 Le bilan sédimentaire actuel 7.3 Prospective et impact du changement climatique 7.4 Perspectives 8 Annexes 8.1 Bibliographie 8.2 Glossaire 8.3 Abréviations et acronymes 8.4 Annexe du chapitre 2 8.5 Annexes du chapitre 3 8.6 Annexes du chapitre 5 8.7 Annexes du chapitre 6 8.8 Index des figures 8.9 Index des tableaux 8.10 Crédits photographiques 8.11 Couches SIG produites
  122. Edition (Ceremadoc) Dynamiques et évolution du littoral - Fascicule 16 : Mayotte : Synthèse des connaissances

    Ce fascicule traite de la province sédimentaire de l’archipel de Mayotte. Il est composé de deux îles principales qui offrent plus de 313 km de côtes très diversifiées en raison leur histoire géologique : Grande-Terre et Petite-Terre, ainsi qu’une trentaine d’îlots, localisés dans un lagon. Le littoral mahorais connaît des pressions anthropiques nombreuses et variées du fait de l’activité touristique, de l’augmentation démographique et de la transformation des modes de vie entraînant la requalification sociale et fonctionnelle des zones côtières. En raison de sa position géographique, Mayotte est également exposée aux évènements météo-marins extrêmes (tempêtes tropicales, cyclones), qui peuvent provoquer des dégâts sociaux-économiques et environnementaux et altérer durablement la vie dans l’archipel. SOMMAIRE DE LA SYNTHESE 1 Présentation 2 Contexte général : données physiographiques 2.1 Géographie 2.2 Géologie des côtes et des fonds marins 2.3 Géomorphologie 2.4 Habitats naturels 2.5 Facteurs et mécanismes d’évolution du littoral 3 Facteurs hydrodynamiques 3.1 Climatologie 3.2 Facteurs océanographiques 3.3 Hydrologie 3.4 Changement climatique et impacts sur les facteurs hydrodynamiques 4 Données sédimentologiques 4.1 Nature et répartition des sédiments 4.2 Origine des sédiments 4.3 Mouvements des sédiments 4.4 Puits de sédiments 4.5 Bilan sur les mouvements de sédiments 5 Interventions humaines le long du littoral 5.1 Aménagements côtiers, ouvrages de défense et ouvrages portuaires 5.2 Extractions 5.3 Dragages et clapages 5.4 Autres activités humaines 6 Évolution générale du littoral et des fonds 6.1 Évolution historique et récente du littoral et des fonds 6.2 Évolution événementielle sur le littoral 6.3 Impact du changement climatique 7 Conclusion : Bilan sédimentaire général 7.1 Le bilan sédimentaire actuel 7.2 Évolution du littoral et des fonds 7.3 Prospective et impact du changement climatique 7.4 Perspectives 8 Bibliographie 9 ANNEXES 9.1 Glossaire 9.2 Abréviations et acronymes 9.3 Crédits photographiques SOMMAIRE DE L'ATLAS 1 Chapitre 2. Contexte général : données physiographiques Présentation de la province Topographie – Bathymétrie Cours d’eau et bassins versants Occupation du sol Type de côte Habitats naturels 2 Chapitre 3. Facteurs hydrodynamiques Réseau météorologique Climatologie atmosphérique (températures, précipitations et fréquences de vents) Température des eaux de surface en 2015 Localisation des ports de référence et secondaires 3 Chapitre 5. Interventions humaines le long du littoral Artificialisation du littoral par un ouvrage ou un aménagement côtier Progression de l’urbanisation Autres activités humaines Espaces protégés 4 Chapitre 6. Évolution générale du littoral et des fonds Évolution passée du trait de côte 5 Chapitre 7. Conclusion : Bilan sédimentaire général Carte d’identité des unités morphosédimentaires
  123. Edition (Ceremadoc) Connaissance du trait de côte : Évaluation prospective des enjeux affectés par le recul du trait de côte

    Élaboration de la cartographie des ouvrages et aménagements littoraux La cartographie nationale recensant la localisation et les caractéristiques des ouvrages et aménagements littoraux est produite principalement à partir de l’observation et de l’interprétation de photographies aériennes. Bien que l’usage de la photo-interprétation ne garantisse pas l’exhaustivité du recensement, cette cartographie permet néanmoins d’identifier et de renseigner de manière homogène près de 16 000 entités constituant ainsi une première contribution nationale sur les ouvrages et aménagements littoraux. Évaluation prospective des enjeux affectés par le recul du trait de côte Dans le cadre de la mise en oeuvre de la stratégie nationale de gestion intégrée du trait de côte (SNGITC), le Cerema a élaboré et mis en oeuvre une méthodologie de dénombrement des bâtiments potentiellement atteints par le recul du trait côte au cours de ce siècle. En associant des projections d’évolution du trait de côte aux données foncières, cette méthode a permis d’identifier le nombre de logements concernés et d’évaluer leur valeur immobilière. Élaboration de la cartographie des ouvrages et aménagements littoraux 1. Cadre général de l’étude 2. Méthodologie 3. Restitutions de la cartographie nationale 4. Précautions d’usage 5. Exploitation des données de la cartographie nationale 6. Bibliographie 7. Annexes Évaluation prospective des enjeux affectés par le recul du trait de côte 1. Contexte et objectifs 2. Éléments de méthode 3. Trait de côte de référence 4. Constitution d’une base de données sur les enjeux bâtis 5. Scénarios étudiés pour la projection de la position du trait de côte 6. Résultats 7. Synthèse des limites 8. Conclusion 9. Bibliographie 10. Annexes
  124. Edition (Ceremadoc) Connaissance du trait de côte : Élaboration de la cartographie des ouvrages et aménagements littoraux

    Élaboration de la cartographie des ouvrages et aménagements littoraux La cartographie nationale recensant la localisation et les caractéristiques des ouvrages et aménagements littoraux est produite principalement à partir de l’observation et de l’interprétation de photographies aériennes. Bien que l’usage de la photo-interprétation ne garantisse pas l’exhaustivité du recensement, cette cartographie permet néanmoins d’identifier et de renseigner de manière homogène près de 16 000 entités constituant ainsi une première contribution nationale sur les ouvrages et aménagements littoraux. Évaluation prospective des enjeux affectés par le recul du trait de côte Dans le cadre de la mise en oeuvre de la stratégie nationale de gestion intégrée du trait de côte (SNGITC), le Cerema a élaboré et mis en oeuvre une méthodologie de dénombrement des bâtiments potentiellement atteints par le recul du trait côte au cours de ce siècle. En associant des projections d’évolution du trait de côte aux données foncières, cette méthode a permis d’identifier le nombre de logements concernés et d’évaluer leur valeur immobilière. Élaboration de la cartographie des ouvrages et aménagements littoraux 1. Cadre général de l’étude 2. Méthodologie 3. Restitutions de la cartographie nationale 4. Précautions d’usage 5. Exploitation des données de la cartographie nationale 6. Bibliographie 7. Annexes Évaluation prospective des enjeux affectés par le recul du trait de côte 1. Contexte et objectifs 2. Éléments de méthode 3. Trait de côte de référence 4. Constitution d’une base de données sur les enjeux bâtis 5. Scénarios étudiés pour la projection de la position du trait de côte 6. Résultats 7. Synthèse des limites 8. Conclusion 9. Bibliographie 10. Annexes
  125. Edition (Ceremadoc) Planification littorale : Contraintes et potentiels

    Inscrire son littoral dans une stratégie de développement Aujourd’hui tous les territoires littoraux sont invités à développer des « projets de territoire » pour la mer et le littoral. Il s’agit, en s’appuyant sur le potentiel des territoires (écosystèmes, patrimoine marin, paysager, culturel…) de définir les conditions d’utilisation à venir de l’espace marin et littoral, tout en tenant compte des contraintes du territoire (protection de l’environnement, co-activité, risques littoraux...). Pourquoi une planification des espaces maritimes et littoraux ? Comment lier terre et mer dans une planification du littoral ? Comment définir une stratégie maritime et littorale à l’échelle de votre territoire ? Quelles actions mener ?
  126. Edition (Ceremadoc) Littoral - Intégrer l’évolution du trait de côte à son projet de territoire

    En France, les différents littoraux s’étendent sur près de 20 000 km et présentent des enjeux de croissance durable majeurs. L’équilibre entre développement des territoires, évolution du trait de côte et préservation des écosystèmes requiert une connaissance détaillée du milieu et de ses différents phénomènes. Quel constat sur les territoires littoraux ? Quelles tendances d'évolution sur le littoral ? Quelles étapes pour définir sa stratégie locale de gestion intégrée du trait de côte ? Les fondamentaux de la démarche
  127. Edition (Ceremadoc) L’estuaire de la Loire et son débouché maritime : un territoire maritime et littoral à valeur d’expérience : Pour une gouvernance de l’estuaire de la Loire et de son débouché maritime qui favorise l’innovation et le développement économique

    Cette journée doit également permettre de faire connaître au niveau national les freins juridiques, méthodologiques et financiers rencontrés qui entravent la mise en œuvre concrète et efficace de la Stratégie nationale Mer et littoral (SNML). Les journées TMLVE (Territoire Maritime et Littoral à Valeur d'Expérience) s’adressent donc à tous les acteurs locaux : Collectivités, établissements publics, universitaires, acteurs privés, pôles de compétitivités et clusters. Le Cerema a organisé le 7 novembre 2018, en partenariat avec l’Institut Universitaire Mer et Littoral (IUML) et le Pôle Mer Bretagne Atlantique (PMBA) la première journée d’échanges de la démarche intitulée «territoires maritimes et littoraux à valeur d’expérience» sur le thème de la gouvernance de l’estuaire de la Loire et de son débouché maritime en vue de favoriser le développement économique et l’innovation dans ces territoires et «mer-ritoire». - Introduction de la journée. La philosophie de la démarche TMLVE - Partage d’expériences sur l’estuaire de la Loire et son débouché maritime - Éclairage académique pluridisciplinaire – droit, économie, géographie - L’accompagnement de l’innovation dans l’économie maritime - L'articulation des stratégies politiques et des projets de territoire - Du concept à la pratique: quelle gouvernance pour accompagner les transitions ? - Connaissance et innovation: Organiser et capitaliser la connaissance
  128. Edition (Ceremadoc) Enquête dragage 2015 : Enquête nationale sur le dragage des ports maritimes

    Cette enquête nationale sur le dragage des ports maritimes expose les quantités de sédiments dragués en France, les différentes techniques utilisées ainsi que les destinations de ces sédiments et leurs niveaux de contaminations au regard des seuils réglementaires existants. Réalisée chaque année par le Cerema, ce travail vise à exploiter l’ensemble des données relatives aux opérations de dragage sur l’année considérée. Les données sont transmises par les Services de Police des Eaux Littorales (SPEL) des départements maritimes de France métropolitaine et d’outre-mer, ainsi que par les grands ports maritimes. Ces données sont ensuite synthétisées par le Cerema et retranscrites dans des tableaux selon un standard international. La direction de l’eau et de la biodiversité au MTES transmet, après validation, ces résultats aux secrétariats des trois conventions : la convention de Londres, la convention des mers régionales (OSPAR) et la convention des mers régionales de Barcelone. 1 - GÉNÉRALITÉS 1.1 - Contexte de l’enquête 1.2 - Étendue de l’enquête 1.3 - Contenu du rapport 2 - DRAGAGE 2.1 - Quantités de matière sèche draguées en France 2.1.1 - Rappel historique (source : rapports annuels d’enquête dragage du Cerema) 2.1.2 - Détails pour 2013 et 2014 2.1.3 - Généralités 2015 2.1.4 - Grands ports maritimes en 2015 2.1.5 - Autres ports en 2015 2.2 - Techniques de dragage 2.2.1 - Grands ports maritimes 2.2.2 - Autres ports métropolitains 2.3 - Travaux neufs et travaux d’entretien 3 - DESTINATION DES SÉDIMENTS 3.1 – Destination et usages répertoriés 3.1.1 - Immersion et rejet des sédiments en mer 3.1.2 - Rechargement de plages 3.1.3 - Dépôt à terre 3.1.4 - Dépôt en mer 3.1.5 - Les autres destinations 3.2 – Destination par type de port 3.2.1 - Grands ports maritimes 3.2.2 – Autres ports 4 - LES PERMIS D’IMMERSION 5 - LES CONTAMINANTS 5.1 - Les éléments-traces métalliques (ETM) 5.2 - Les polychlorobiphényles (PCB). 5.3 - Le tributylétain (TBT) 5.4 - Les hydrocarbures aromatiques polycycliques (HAP) CONCLUSION
  129. Study report (Ceremadoc) Evaluation et gestion des risques sanitaires lies à la presence de mercure dans les phares

    Le littoral français compte 84 phares et tourelles équipés d’optiques reposant sur des soubassements tournants à cuve à mercure. La limitation des frottements procurée par ces équipements permet de réduire la puissance et la consommation des moteurs de rotation, malgré les fortes charges supportées. De façon à limiter les risques environnementaux et sanitaires liés à l’utilisation de ce métal lourd, une réflexion doit être menée à l’échelle nationale, sur la base des différentes actions menées localement et d’un état des lieux des connaissances et des techniques. Ainsi, la présente étude a pour objet d’évaluer les risques liés à chaque typologie de phare, et de proposer des mesures de gestion adaptées.
  130. Study report (Ceremadoc) VNF - Expertise de stabilité d'une défense de berge. Canal de l'Escaut secteur Valdunes

    Le Cerema Nord-Picardie a réalisé une expertise de stabilité sur les soutènements de berges du canal de l'Escaut entre les PK 1,950 et 3,150. La défense de berge est constituée de 8 typologies de soutènement différentes. " Profils 2 à 4 : Le module des palplanches ainsi que leur longueur sont insuffisantes pour une durée de vie prolongée en l'état. Nous recommandons dans l'immédiat la réalisation d'un drainage à l'arrière du rideau ou d'ouverture dans le rideau permettant de réguler le niveau piézométrique, mais protégée d'un géotextile et de matériaux drainant pour limiter les phénomènes d'érosion. Une étude du renouvellement des défenses de berge reste à envisager pour prolonger la durée de vie des soutènements à plus long terme. Pour ce faire des reconnaissances complémentaires sont à prévoir. " Profil n°5 : Celui-ci a été entraîné lors de la rupture du tronçon n°6. Par ailleurs en tenant compte du mur de soutènement situé en amont, sa stabilité s'avère également critique. Il devra donc faire l'objet d'un confortement. " Profil n°6 : Cette zone a subi un déversement en 2017-2018, qui a été confirmé par les calculs. Un confortement doit être réalisé dans les meilleurs délais. " Profils n°7 et 9 : La corrosion moyenne observée est inférieure aux préconisations réglementaires de l'Eurocode 3. La stabilité des berges reste modérée hormis en cas de niveau d'eau trop important derrière le rideau. Dans le but d'augmenter la pérennité du soutènement, un suivi visuel périodique est à mettre en place ainsi que l'ajout de drainage (au dessus du niveau batillage) à l'arrière du rideau pour baisser le niveau piézométrique.
  131. Study report (Ceremadoc) Emploi des barrages contre les sargasses. Bilan et perspectives en Guadeloupe

    L’utilisation des barrages est envisagée en Guadeloupe en protection contre les sargasses. Basée sur une étude bibliographique et deux missions réalisées en juillet et en octobre 2019 avec l’appui de la Sous-préfecture et de la DEAL de la Guadeloupe, cette étude vise à : • présenter une typologie des barrages utilisés ou expérimentés en réponse à cette problématique ; • mettre en regard les conditions météocéaniques des côtes de la Guadeloupe avec les conditions de fonctionnement des barrages pour en tirer des conclusions quant à leur positionnement et leur exploitation ; • évaluer l’impact environnemental des barrages et le coût global de leur utilisation ; • dresser des perspectives pour l’emploi des barrages dans le cadre d’un schéma global d’intervention.
  132. Study report (Ceremadoc) Impact des sédiments sur l'état chimique et écologique - synthèse bibliographique et conséquences pour le bassin Artois-Picardie

    La Directive Cadre Eau (DCE) impose l'atteinte du bon état chimique et écologique des eaus=x de surface à plus ou moins brève échéance. l'évaluation de ces états repose sur l'analyse quantitative de substances mesurées sur eau, sur la mise en oeuvre de protocoles de bioindication de la qualité de l'eau. il est difficile de trancher définitivement concernant l'impact réel des sédiments sur l'atteinte des objectifs DCE, il paraît ainsi indispensable de continuer à étudier, comprendre et surveiller l'évolution du compartiment sédimentaire à l'avenir.
  133. Study report (Ceremadoc) Synthèse des études de sites pour les projets éolien en mer aux Pays-Bas

    Cette synthèse, commandée par la Direction Générale de l’Énergie et du Climat du Ministère de la Transition Écologique et Solidaire, a pour objectif de mieux connaître les études techniques menées par les Pays-Bas en amont des projets éoliens en mer. Elle est réalisée à partir des études produites sur deux sites d’implantation HKZ et HKN actuellement en développement pour l’implantation de plusieurs projets éoliens en mer.
  134. Study report (Ceremadoc) Les outils d'anticipation et les données à disposition de la mission RDI pour la submersion marine. Fascicule n°1 du guide d'accompagnement des missions RDI.

    La note technique du 29 octobre 2018 relative à l’organisation des missions de référent départemental pour l’appui technique à la préparation et à la gestion de crises d’inondation sur le territoire national annule et remplace la circulaire du 28 avril 2011, tout en élargissant le périmètre de ces missions notamment au littoral, pour le risque de submersion marine. Le présent fascicule, élaboré par le Cerema, sous la tutelle du Schapi, et en partenariat avec Météo-France, le Shom et les missions RDI sur le littoral accompagne la parution de cette note technique et du guide d’accompagnement des missions RDI. Il s’adresse à toutes les personnes, spécialistes ou néophytes, impliquées dans les missions RDI. Dans une première partie, ce fascicule détaille les phénomènes de submersions marines. Il présente également les besoins et les appuis des missions RDI sur le littoral. Dans une seconde partie, il a pour objectif de présenter les données existantes et les outils mis à disposition de ces missions sur le phénomène de submersion marine. Un chronogramme synthétise et hiérarchise les sources de données disponibles en fonction de l’arrivée de l’événement tempétueux.
  135. Study report (Ceremadoc) Animation du Club littoral. Bilan 2018

    Le Club Littoral, animé par le Cerema à la demande du ministère chargé de l’environnement, est le lieu d’échanges entre les services de l’État sur les thématiques de la prévention des risques côtiers et de l’aménagement du littoral. Avec un réseau fort de plus de 500 membres, en constante augmentation, le Club Littoral a réuni plus 200 personnes en 2018 au cours de trois réunions locales en métropole (à Caen, Bordeaux et Montpellier), d’une réunion en outre-mer (sur 2 journées en Guadeloupe) et d’une réunion nationale à Paris. Ce bilan globalement très satisfaisant des activités 2018 du club montre les points forts à maintenir et les voies d’amélioration envisageables.
  136. Study report (Ceremadoc) Développement (Le) durable des paquebots fluviaux en France

    Cette étude a pour objectif de faire un diagnostic de l’organisation de la filière des paquebots fluviaux sur les quatre principaux bassins de navigation que sont l’axe Rhône-Saône, la Seine, le bassin aquitain et le Rhin. Outre l’aspect diagnostic, cette étude a pour objectif d’identifier les perspectives de développement de la filière des « paquebots fluviaux » en France et les besoins en accompagnement. Après une analyse bibliographique de la littérature institutionnelle, professionnelle et académique, une série d'entretiens a été menée avec un panel d’acteurs représentatifs de la filière. Plus qu’une question de développement, c’est le développement durable de la filière qui est apparu comme étant l’enjeu principal. C’est donc sous cet angle que la question de développement sera traitée dans ce rapport. Dans la première partie de ce rapport, l’organisation générale de la filière est considérée, à l’échelle nationale mais aussi au niveau des principaux bassins de navigation. Dans la seconde partie, la question du développement durable de la filière est traitée, les freins et les leviers à ce développement sont identifiés. Quelques recommandations sont fournies.
  137. Study report (Ceremadoc) Caractérisation des massifs dunaires de métropole

    Les massifs dunaires jouent un rôle déterminant dans la protection des côtes sableuses contre les aléas littoraux de submersion marine et de recul du trait de côte. Ils accueillent également une biodiversité exceptionnelle à préserver. Pourtant très étudiés, peu d’études compilent les connaissances acquises sur ces massifs dunaires à l’échelle de la métropole. Cette étude a alors pour objectif de cartographier de façon homogène l’emprise et l’occupation des massifs dunaires sur les 3 façades maritimes de métropole en s’appuyant sur des données existantes et par photointerprétation. Selon les critères retenus dans cette étude, les massifs dunaires s’étendent sur plus de 1 800 km² et s’étire sur près de 1 500 km le long du trait de côte de métropole. Ils sont surtout présents en Nouvelle-Aquitaine et principalement recouverts de forêts, mais cette étude pointe de fortes disparités locales dans leur occupation surfacique. Le croisement avec les connaissances produites dans le cadre de la Stratégie nationale de gestion intégrée du trait de côte apporte également de nouveaux éclairages sur les spécificités des massifs dunaires. Les résultats cartographiques sont enfin consultables sous la forme d’un atlas joint à ce rapport.
  138. Study report (Ceremadoc) Blockchain et chaînes logistiques. Impacts et perspectives.

    Cette étude a pour objectif de faire le point sur les applications de la blockchain dans le cadre des chaînes logistiques et des ports. Ce travail prend la forme d’un état des lieux bibliographique. La première partie de ce rapport fournit des éléments de contexte sur la blockchain, son historique, ses grands principes de fonctionnement, les intérêts de cette technologie, mais aussi ses limites. La seconde partie est focalisée sur la chaîne logistique et les ports.Les applications possibles et les avantages de la blockchain sont étudiées, une revue de projets de cas concrets est proposée.
  139. Study report (Ceremadoc) Submersions marines : capitalisation des données littorales pour l'aide à la décision en gestion de crise. Fascicule n°2 du guide d'accompagnement des missions RDI.

    La note technique du 29 octobre 2018 « relative à l’organisation des missions de référent départemental pour l’appui technique à la préparation et à la gestion de crises d’inondation sur le territoire national » élargit le périmètre de la mission RDI au littoral pour le risque de submersion marine, tant pour les DDTM de métropole que pour les DEAL dans les DROM. Le présent fascicule, élaboré par le Cerema, sous la tutelle du Schapi, et en partenariat avec les DREAL et les missions RDI, s’inscrit dans la démarche d’accompagnement méthodologique développée par la DGPR et confiée au Schapi pour favoriser la montée en puissance des missions RDI sur le littoral. Il a pour ambition d’aider les membres de la mission RDI sur le littoral à mieux appréhender le risque de submersion marine et à traduire les données de prévision en termes d’impacts sur la zone côtière. La première partie de ce fascicule présente les principes de la méthode de capitalisation des données littorales pour l’aide à la décision en gestion de crise. La seconde partie décrit le travail de synthèse des connaissances disponibles que pourra réaliser la mission RDI en préparation de crise. La troisième partie présente le travail à réaliser en gestion de crise, c’est-à-dire la comparaison des paramètres spécifiques du bulletin RDI sur le littoral avec ceux des tempêtes historiques. La quatrième partie décrit le travail de la mission RDI à effectuer en post-crise et lLa cinquième partie synthétise sous forme d’un chronogramme les sources de données disponibles pour la mission RDI sur le littoral, les outils dont elle dispose et les actions à mener en fonction de l’arrivée de l’événement tempétueux.
  140. Study report (Ceremadoc) Houlographe de baie de Somme

    À la demande de la syndicat Mixte de Baie de Somme – Grand Littoral Picard, le Cerema a effectué une étude de faisabilité pour l’implantation d’une station de mesure de houle en baie de Somme. Les données doivent participer à la sécurité de la navigation (information sur l’état de la mer) et à la prévention des risques de submersion (dimensionnement des ouvrages de défense contre la mer, calage des modélisations d’états de mer…). L’étude de faisabilité porte : • sur la définition du matériel ; • la caractérisation du site de mesure ; • la liste des procédures réglementaires.
  141. Study report (Ceremadoc) Recueil des données sur la prévention des risques naturels en outre-mer. (Guadeloupe, Martinique et Réunion).

    Le présent document présente les travaux de collecte et de mise à disposition de la MRN, des données géographiques et réglementaires disponibles sur les territoires de la Guadeloupe (partie 2), de la Martinique (partie 3) et de la Réunion (partie 4), concernant les aléas : Inondation par débordement de cours d’eau ; Submersion marine ; Recul du trait de côte ; Houle cyclonique ; Mouvement de terrain ; Séisme et tsunamis. Le format de livraison des données recueillies est détaillé en partie 5. Enfin les spécifiées de ces 3 territoires sont synthétisées (partie 6) et un test est réalisé sur l’exposition des bâtiments de Guadeloupe (partie 7). La collecte des éléments s’est appuyée sur la consultation des sites internet et intranet et des prises de contact avec les services locaux de l’État. Pour chaque dispositif de prévention (PPRN, DICRIM, PCS, TRI, SLGRI, PAPI) les sources des données sont précisées et les informations suivantes sont mises à disposition lorsqu’elles sont disponibles à la date du présent rapport : l’emprise géographique des territoires couverts, la date d’approbation (et de prescription le cas échéant), les aléas considérés et les liens vers les règlements associés. Les informations recueillies sont assemblées dans les tableaux présentés en annexes 1 à 3. En complément, les données de « cartographie nationale des ouvrages et aménagements littoraux » ont été extraites pour les 3 départements étudiés. Les données géographiques (aléas et zonages) ont été classées et mises en forme au moyen du logiciel Qgis. Elles sont disponibles sur le DVD-ROM joint au rapport. Tous ces travaux sont complétés par un appui à la MRN pour l’élaboration d’un support de présentation synthétisant les informations recueillies sur la prévention des risques naturels en outremer.
  142. Edition (Ceremadoc) Interventions d’urgence sur les dispositifs de protection contre les submersions marines

    Si les interventions sur les ouvrages de protection contre les submersions marines doivent en général faire l'objet d'études précises et complètes, les interventions en situation d'urgence sont soumises à la contrainte du temps qui impose d'identifier rapidement les solutions techniques les plus pertinentes et de les mettre en oeuvre dans un délai également contraint, en suivant le rythme des événements météo-marins. En réponse à cette problématique, le présent guide apporte des recommandations : sur le plan de l'organisation générale (stratégie, préparation, entraînement) déterminée pour anticiper les périodes de crise, sur le plan opérationnel en considérant des points particuliers : matériel et matériaux, formation et exercices, surveillance, interventions sur les ouvrages. sur les principales techniques d'intervention sur les ouvrages en relation avec leurs « modes de défaillance ». En complément, les dispositions qu'impose la réglementation en matière d'intervention sur les systèmes d'endiguement sont rappelées. 1 Cadre stratégique des interventions d’urgence sur les ouvrages 1.1 Règles communes dans l’organisation des interventions d’urgence 1.1.1 Règles de prudence concernant les interventions 1.1.1.1 Assurer la sécurité du personnel d’intervention 1.1.1.2 Éviter d’aggraver la submersion par des interventions hasardeuses 1.1.2 Coordination avec le dispositif général de gestion de crise 1.1.3 Élaboration, mise à jour et utilisation du plan 1.1.3.1 Définir les objectifs du plan de gestion des ouvrages 1.1.3.2 Définir une organisation dédiée au plan 1.1.3.3 Produire un document support de la démarche 1.1.3.4 Suivre et mettre à jour le plan de gestion 1.1.3.5 Gérer les données et leur utilisation au cours des opérations d’urgence 1.1.4 Quelques points clés en matière de préparation et d’intervention 1.2 Adaptation du plan de gestion des ouvrages aux conditions locales 1.2.1 Adaptation aux conditions météorologiques et hydrauliques 1.2.1.1 Caractérisation des conditions météorologiques et hydrauliques 1.2.1.2 Conséquences sur la planification des interventions d’urgence 1.2.2 Adaptation aux risques de défaillance du système de protection 1.2.2.1 Modes de défaillance des systèmes d’endiguement 1.2.2.2 Principes d’analyse de risques sur un système d’endiguement 1.2.2.3 Éléments de méthodes d’analyse de risques sur un système d’endiguement 1.2.3 Adaptation aux risques de défaillance des ouvrages 1.2.3.1 Modes de défaillance associés aux digues 1.2.3.2 Risques associés aux ouvrages de gestion des eaux 2 Actions particulières de préparation et de gestion de crise 2.1 S’assurer de la disponibilité des équipements et matériaux 2.2 Former et entraîner le personnel d’intervention 2.2.1 Entraînements 2.2.2 Exercices 2.3 Surveiller les digues en période de crise 2.3.1 Actions de surveillance 2.3.2 Précautions en matière de sécurité 2.4 Intervenir sur les digues, les systèmes hydrauliques et les réseaux 2.4.1 Intervenir sur les digues 2.4.2 Intervenir sur les ouvrages hydrauliques et les réseaux 2.5 Adapter les actions à l’évolution de la situation 2.5.1 Actions préliminaires de gestion de crise 2.5.2 Actions en situation de crise 2.5.3 Actions post-crise 3 Techniques d’intervention sur les ouvrages 3.1 Réponses à l’érosion externe 3.1.1 Mesures de protection contre les affouillements 3.1.1.1 Les bermes et carapaces en enrochements 3.1.1.2 Les revêtements d’asphalte ou de bitume 3.1.1.3 Construire des (petits) épis 3.1.2 Protection contre l’érosion due à la surverse ou aux franchissements 3.1.2.1 Les bâches plastiques 3.1.2.2 Les déversoirs d’urgence 3.2 Réponses à l’érosion interne 3.2.1 Les mesures de réduction des infiltrations 3.2.2 Les mesures d’augmentation du chemin hydraulique 3.2.3 Mesures de réduction de la charge hydraulique 3.2.3.1 Confiner les résurgences 3.2.3.2 Augmenter le niveau d’eau côté terre 3.3 Réponses aux problèmes d’instabilité 3.3.1 Réduction de la pente du talus 3.3.2 Réduction des sous-pressions (de soulèvement) 3.3.3 Réduction de la saturation de la digue 3.4 Comblement des brèches 3.4.1 Comprendre le contexte d’intervention 3.4.2 Se procurer et mettre en oeuvre les matériaux 3.5 Dispositifs temporaires de retenue d’eau 3.5.1 Mise en place de tout-venant 3.5.2 Utilisation de sacs de sable 3.5.3 Utilisation de matériaux de type paille, pneus, blocs de béton… 3.5.4 Utilisation des rideaux de palplanches 3.5.5 Méthodes utilisant des panneaux 3.5.5.1 Batardeau ancré par pieux 3.5.5.2 Batardeau portable 3.5.5.3 Batardeau portable avec ancrage préinstallé 3.5.5.4 Batardeau démontable avec ancrage préinstallé 3.5.6 Techniques basées sur le remplissage de caissons 3.5.6.1 Barrières cellulaires en plastique 3.5.6.2 Barrières cellulaires en géotextile 3.5.7 Méthodes basées sur le remplissage de tubes par de l’eau 3.5.7.1 Barrages remplis d’eau 3.5.7.2 Boudins remplis d’eau 3.6 Interventions sur les réseaux d’assainissement et installation des systèmes de pompage de secours 3.6.1 Fermeture des réseaux d’assainissement 3.6.2 Installation de systèmes de pompage de secours 4 Bibliographie
  143. Edition (Ceremadoc) Études hydrauliques maritimes : Guide à destination des maîtres d'ouvrage

    Ce guide est composé de deux parties distinctes : la première partie définit et décrit les principales données nécessaires et les phénomènes physiques impliqués en mer et sur le littoral : topographie et bathymétrie, sédimentologie, pression atmosphérique et vent, niveau marin, états de mer, courants marins ou océaniques. Cette partie expose également leur mode d’observations et les sources de données associées. la seconde partie présente dans des sections distinctes et indépendantes les principaux types d’études hydrauliques réalisées en milieu maritime pour lesquels une modélisation pourra être envisagée. Sept types d’études y sont décrits et sont listés ci-dessous : étude de courantologie, étude de propagation de houle du large à la côte, étude d’agitation portuaire, étude de dimensionnement d’ouvrage, étude de submersion marine, études hydro-sédimentaires littorales, études hydro-sédimentaires côtières et estuariennes associées aux études de transport de polluants et dispersion de sédiments. Considérations générales sur les modélisations hydrauliques 1. Les types de modélisation 2. La définition du besoin 3. Recommandations pour la passation des marchés Données et phénomènes physiques à prendre en compte 1. Topographie et bathymétrie 2. Sédimentologie 3. Pression atmosphérique et vent 4. Niveau marin 5. États de mer 6. Courants marins ou océaniques Principales études hydrauliques maritimes 1. Étude de courantologie 2. Étude de propagation de houle du large à la côte 3. Étude d’agitation portuaire 4. Étude de dimensionnement hydraulique 5. Étude de submersion marine 6. Étude hydrosédimentaire littorale 7. Étude hydrosédimentaire côtière et estuarienne et étude de transport de polluants (qualité des eaux) et dispersion de sédiments Glossaire Sigles Bibliographie
  144. Edition (Ceremadoc) Estimation du wave set-up : Formules empiriques et analytiques

    En première approche l’utilisation des formules de calcul empirique et analytique du wave set-up est traditionnellement privilégiée. Ce document est un outil d’aide à la décision quant au choix d’une formule pour un domaine d’application particulier et selon un critère conservatif. En conclusion, des propositions sont faites dans un cadre général. 1. Introduction 2. Influence des vagues sur le niveau d’eau 2.1 Variations statiques et dynamiques du niveau d’eau 2.2 Les différentes appellations du niveau d’eau 2.2.1 Le niveau d’eau au repos 2.2.2 Le niveau d’eau statique 2.2.3 Le niveau d’eau dynamique 2.3 Conditions de formation du wave set-up 3. Théorie 3.1 Contrainte de radiation 3.1.1 Formule générale 3.1.2 En grande profondeur 3.1.3 En profondeur finie 3.1.4 En faible profondeur 3.2 Wave set-down et wave set-up 3.2.1 Variations du niveau d’eau statique 3.2.2 Wave set-down 3.2.3 Wave set-up 4. Modélisation du wave set-up 4.1 Modèles empiriques et paramétriques 4.1.1 Méthodes de mesure 4.1.2 Types de Capteurs 4.1.3 Conditions de mesure 4.1.4 Grandeurs caractéristiques de référence 4.2 Modèles numériques 4.3 Modèles physiques 5. Calculs empiriques et analytiques du wave set-up 5.1 Comparaison 5.2 Comportement général 5.3 Variabilité des mesures 5.4 Limites 5.4.1 Protocoles de mesure 5.4.2 Variables d’analyse 5.4.3 Conditions de mesure 5.5 Choix d’une formule de calcul 6. Conclusion 7. Références Annexe-Synthèse des principales formules empiriques et analytiques utilisées pour l’estimation du wave set-up
  145. Edition (Ceremadoc) Coût des protections contre les aléas littoraux

    Le présent guide expose les stratégies envisageables et apporte des éléments de méthode et des coûts unitaires pour évaluer sur la durée les dépenses d’investissement, d’entretien et de gestion associées à la protection contre les aléas littoraux. Évaluation du coût global actualisé d’un projet Types d’aménagements, effets attendus et évolution dans le temps Méthodologie d’analyse des coûts observés Coûts observés sur les opérations globales de gestion du trait de côte Coûts observés sur les opérations globales de protection contre les submersions marines Coûts observés sur les rechargements de plage, le transfert hydraulique et les drains de plage Coûts observés sur les cordons dunaires Coûts observés sur les systèmes d’endiguement (en particulier les digues) Coûts observés sur les ouvrages de génie civil (perrés, murs et ouvrages de soutènement, épis, brise-lames et butées) Analyse transversale des coûts observés sur les différents types d’intervention Références
  146. Edition (Ceremadoc) Réduire la vulnérabilité des territoires aux inondations : Premiers exemples de réalisations

    Le territoire français est largement exposé aux inondations sous toutes leurs formes : débordement de cours d’eau, submersion, ruissellement, remontées de nappes, etc. Face à ce constat, la France s’est dotée en 2014 d’une stratégie nationale de gestion des risques d’inondation (SNGRI). Celle-ci s’est accompagnée en 2016 d’un Référentiel national de vulnérabilité aux inondations, qui fournit à la fois une méthode et des outils pour établir un diagnostic de vulnérabilité des territoires. Le présent ouvrage est composé de fiches décrivant de manière illustrée un éventail de mesures pour réduire la vulnérabilité aux inondations. Il prolonge ainsi le Référentiel en offrant des exemples pratiques pour faciliter la réalisation des mesures opérationnelles par les acteurs des territoires. Les fiches sont construites selon une trame commune : description sommaire, informations sur la mise en œuvre, exemples de réalisation et références pour les approfondir. Cet ouvrage a vocation à s’enrichir en continu en intégrant des mesures qui n’ont pas encore été décrites. Toute personne souhaitant contribuer est invitée à contacter le Cerema pour ajouter une fiche : inondations@cerema.fr Thème I - Connaissance du risque Thème II - Culture du risque Thème III - Alerte et gestion de crise Thème IV - Prise en compte du risque dans l’aménagement du territoire Thème V - Adaptation des enjeux existants Thème VI - Organisation de la post-crise
  147. Edition (Ceremadoc) Ports et entretien - Bien maintenir pour moins dépenser

    Dans un port ou le long d’un canal, les ouvrages sont variés et complexes. Ils sont sollicités par les éléments et les usagers. Les dégradations qui s’ensuivent deviennent parfois dramatiques pour l’ouvrage ou pour les utilisateurs; Pourquoi les ports se dégradent et sont à risques ? Gérer efficacement et à moindre coût ? Comment mieux orienter mes dépenses avec un objectif de sécurité ? Quelles sont les actions à engager en priorité ?
  148. Edition (Ceremadoc) Rétrospective des dragages fluviaux en France : Période 2006-2010

    Le rapport dresse un état des lieux au niveau national des opérations de dragage conduites au niveau des voies navigables et des ports du domaine public fluvial de 2006 à 2010. Sont ainsi présentés dans le rapport, les volumes de sédiments dragués, leur qualité, les raisons qui ont poussé les gestionnaires à draguer, les caractéristiques techniques des dragages, les filières de gestion des sédiments, les coûts des opérations de dragage. 1 Introduction 2 Méthodologie et déroulement de l’enquête 2.1 Les acteurs interrogés 2.2 Les objectifs de l’étude 2.3 Méthodologie et limites de l’étude 2.3.1 Obtention et exhaustivité des données 2.3.2 Données des milieux estuariens 2.3.3 Analyse de la qualité des sédiments 2.3.4 Analyse de l’évolution des dragages de 1990 à 2010 3 Analyse et synthèse des données recueillies 3.1 Données générales sur les opérations de dragage 3.1.1 Les volumes de sédiments dragués 3.1.2 Les caractéristiques des opérations de dragage 3.1.2.1 Typologie des dragages 3.1.2.2 Les objectifs des opérations de dragage 3.1.3 Le devenir des sédiments dragués 3.2 Données techniques des opérations de dragage 3.2.1 Les techniques de dragages 3.2.2 Les moyens de transport des sédiments dragués 3.2.3 La qualité des sédiments dragués 3.2.3.1 L’échantillonnage 3.2.3.2 Les éléments traces métalliques (ETM) 3.2.3.3 Les Polychlorobiphényles (PCB) 3.2.3.4 Les hydrocarbures Aromatiques polycycliques (HAP) 3.2.3.5 Synthèse de la qualité des sédiments dragués 4 Coûts moyens des dragages 5 Annexes
  149. Edition (Ceremadoc) Submersions marines - Plan communal de sauvegarde : il est incontournable !

    Submersion marine et plan communal de sauvegarde Ce P’tit Essentiel sur le risque submersion marine (inondation temporaire) s’adresse aux élus et décideurs des collectivités vulnérables aux submersions marines souhaitant acquérir une vision globale et une mise en perspective du plan communal de sauvegarde face à l’aléa de submersion marine. Il explique, entre autres, les méthodes mises en places pour diagnostiquer le risque d’inondation temporaire lié à une submersion marine sur chaque territoire en fonction des systèmes de protection et des épisodes de crise passés, et quelles actions mettre en place. Ce P'tit essentiel vous permet d’aller à l’essentiel en comprenant le contexte, les enjeux et la méthodologie d’action pour anticiper au mieux la gestion du risque de submersion marine. Submersion marine et inondation temporaire : Pourquoi le plan communal de sauvegarde est-il nécessaire ? Le plan communal de sauvegarde (PCS) est, pour les maires, un outil opérationnel indispensable pour gérer des crises liés , entres autres, aux tempêtes, ouragan, inondations engendrant des submersions marines. Il permet de planifier les actions des acteurs communaux de la gestion du risque en cas d’événements majeurs, naturels, technologiques ou sanitaires. Ce P'tit essentiel vous livre de manière synthétique les clés de la réglementation pour votre plan de sauvegarde communal. Gestion de crise face à l’aléa de submersion marine : Comment mieux protéger les habitants de ma commune ? Les inondations causées par submersion marine font partie des situations qui demandent une réaction communale rapide et organisée. Le maire doit donc avoir une bonne connaissance de ce phénomène et de ses conséquences sur son territoire et des dispositifs de prévision existants. Ce P'tit essentiel vous apporte les clés pour bien anticiper la gestion de crise liée à l’aléa de submersion marine. Plan communal de sauvegarde et risque de submersion marine : Comment rendre mon plan communal de sauvegarde opérationnel ? Le plan communal de sauvegarde (PCS) doit être un outil opérationnel permettant aux personnes d’anticiper de manière adéquate, efficace et rapide. Adapté à la taille de la commune, à son mode de fonctionnement et au contexte local, il nécessite une bonne connaissance du territoire impacté et une vision stratégique des actions à mener. Retrouvez de manière synthétique les 5 actions à mener pour rendre votre plan communal de sauvegarde opérationnel face aux submersions marines (inondation temporaire). Submersions marines et plan communal de sauvegarde Le contexte : Pourquoi le plan communal de sauvegarde est-il nécessaire ? Submersions marines : le plan communal de sauvegarde, essentiel à la gestion de crise Les enjeux : Comment mieux protéger les habitants de ma commune ? Anticiper la gestion de crise : bien connaître l'aléa de submersion marine La méthode : Comment rendre mon PCS opérationnel ? 5 axes pour rendre opération votre Plan de Sauvegarde Communal Mémo : Ma boîte à outils pour rédiger un PCS opérationnel
  150. Edition (Ceremadoc) Accompagner la compétence GEMAPI - Gestion des milieux aquatiques et prévention des inondations - Fiche n°9 : Partage d’expérience sur le bassin du Lez, affluent du Rhône, dans les départements de la Drôme et de Vaucluse

    La compétence de gestion des milieux aquatiques et de prévention des inondations (GEMAPI) est obligatoire depuis le 1er janvier 2018. L’ambition ? Rendre plus cohérente et plus efficace l’organisation territoriale dans le domaine de l’eau pour relever les défis de restauration des milieux aquatiques et de réduction de la vulnérabilité aux inondations. Quelques territoires ont toutefois devancé l’échéance. 1. Le contexte local de la prise de compétence 2. De la prévention des inondations à la gestion intégrée GEMAPI 3. Les difficultés et opportunités de la mise en place de la GEMAPI
  151. Edition (Ceremadoc) Accompagner la compétence GEMAPI - Gestion des milieux aquatiques et prévention des inondations - Fiche n°6 : Partage d’expérience sur le bassin versant de la Meuse

    La compétence de gestion des milieux aquatiques et de prévention des inondations (GEMAPI) est obligatoire depuis le 1er janvier 2018. L’ambition ? Rendre plus cohérente et plus efficace l’organisation territoriale dans le domaine de l’eau pour relever les défis de restauration des milieux aquatiques et de réduction de la vulnérabilité aux inondations. Quelques territoires ont toutefois devancé l’échéance. 1. Le contexte global et les missions de l’EPAMA 2. Quels enjeux sur le bassin versant de la Meuse ? 3. Quelle organisation de la prise de compétence GEMAPI ? 4. Quels financements ? 5. Des actions-phares de gestion du risque inondation 6. Quels enseignements et quelles perspectives ?
  152. Edition (Ceremadoc) Accompagner la compétence GEMAPI - Gestion des milieux aquatiques et prévention des inondations - Fiche n°4 : Partage d’expérience du Val de Garonne Agglomération

    La compétence de gestion des milieux aquatiques et de prévention des inondations (GEMAPI) est obligatoire depuis le 1er janvier 2018. L’ambition ? Rendre plus cohérente et plus efficace l’organisation territoriale dans le domaine de l’eau pour relever les défis de restauration des milieux aquatiques et de réduction de la vulnérabilité aux inondations. Quelques territoires ont toutefois devancé l’échéance. 1. Pourquoi avoir anticipé la prise de compétence ? 2. Quelle organisation a été retenue ? 3. Sur quelles ressources s’appuyer ? 4. Comment financer les actions ? 5. Quels sont les facteurs clé de succès pour mettre en oeuvre la Gemapi ?
  153. Edition (Ceremadoc) Accompagner la compétence GEMAPI - Gestion des milieux aquatiques et prévention des inondations - Fiche n°7 : Partage d’expérience sur le bassin versant de la Somme

    La compétence de gestion des milieux aquatiques et de prévention des inondations (GEMAPI) est obligatoire depuis le 1er janvier 2018. L’ambition ? Rendre plus cohérente et plus efficace l’organisation territoriale dans le domaine de l’eau pour relever les défis de restauration des milieux aquatiques et de réduction de la vulnérabilité aux inondations. Quelques territoires ont toutefois devancé l’échéance. 1. Dans quel contexte s’inscrit le bassin versant de la Somme ? 2. Pourquoi et comment le syndicat mixte Ameva s’est-il construit ? 3. Quelle organisation pour mettre en oeuvre la GEMAPI ? 4. Quels enseignements, quelles perspectives ?
  154. Edition (Ceremadoc) Aléas littoraux : Redéfinir sa stratégie de protection

    Rechercher une protection plus performante sur le long terme Quelles évolutions pour les stratégies de protection sur nos littoraux ? Comment mieux se protéger en maîtrisant les dépenses ? Quelles étapes pour définir sa stratégie de protection ? Redéfinir sa stratégie de protection - la marche à suivre
  155. Edition (Ceremadoc) Accompagner la compétence GEMAPI - Gestion des milieux aquatiques et prévention des inondations - Fiche n°8 : Partage d’expérience sur la Communauté d’Agglomération du Territoire de la Côte Ouest de La Réunion

    La compétence de gestion des milieux aquatiques et de prévention des inondations (GEMAPI) est obligatoire depuis le 1er janvier 2018. L’ambition ? Rendre plus cohérente et plus efficace l’organisation territoriale dans le domaine de l’eau pour relever les défis de restauration des milieux aquatiques et de réduction de la vulnérabilité aux inondations. Quelques territoires ont toutefois devancé l’échéance. 1. Quels enjeux sur le Territoire de la Côte Ouest de la Réunion ? 2. Comment relever les défis de la GEMAPI en territoire fortement exposé aux aléas naturels ? 3. Quelles perspectives ?
  156. Edition (Ceremadoc) Accompagner la compétence GEMAPI - Gestion des milieux aquatiques et prévention des inondations - Fiche n°1 : Partage d’expérience de la Communauté Urbaine de Dunkerque

    La compétence de gestion des milieux aquatiques et de prévention des inondations (GEMAPI) est obligatoire depuis le 1er janvier 2018. L’ambition ? Rendre plus cohérente et plus efficace l’organisation territoriale dans le domaine de l’eau pour relever les défis de restauration des milieux aquatiques et de réduction de la vulnérabilité aux inondations. Quelques territoires ont toutefois devancé l’échéance. 1. Qu’est-ce qui a incité les élus à anticiper la prise de compétence ? 2. Quelle nouvelle organisation territoriale a été dessinée ? 3. Comment a été instituée la taxe GEMAPI ? 4. Quels enseignements des premières étapes, quelles perspectives ?
  157. Edition (Ceremadoc) Accompagner la compétence GEMAPI - Gestion des milieux aquatiques et prévention des inondations - Fiche n°5 : Partage d’expérience sur le bassin versant des Nied

    La compétence de gestion des milieux aquatiques et de prévention des inondations (GEMAPI) est obligatoire depuis le 1er janvier 2018. L’ambition ? Rendre plus cohérente et plus efficace l’organisation territoriale dans le domaine de l’eau pour relever les défis de restauration des milieux aquatiques et de réduction de la vulnérabilité aux inondations. Quelques territoires ont toutefois devancé l’échéance. 1. Qu’est-ce qui a incité les élus à anticiper la prise de compétence ? 2. Quelle organisation à venir sur le bassin versant ? 3. Quelle cohérence des actions à l’échelle du bassin versant ? 4. Quels enseignements et quelles perspectives ?
  158. Edition (Ceremadoc) Accompagner la compétence GEMAPI - Gestion des milieux aquatiques et prévention des inondations - Fiche n°3 : Partage d’expérience sur le bassin versant de Brière-Brivet et sur la presqu’île guérandaise

    La compétence de gestion des milieux aquatiques et de prévention des inondations (GEMAPI) est obligatoire depuis le 1er janvier 2018. L’ambition ? Rendre plus cohérente et plus efficace l’organisation territoriale dans le domaine de l’eau pour relever les défis de restauration des milieux aquatiques et de réduction de la vulnérabilité aux inondations. Quelques territoires ont toutefois devancé l’échéance. 1. Quel contexte local ? 2. Quelle nouvelle organisation territoriale a été dessiné ? 3. Quels enseignements des premières étapes, quelles perspectives ?
  159. Edition (Ceremadoc) Accompagner la compétence GEMAPI - Gestion des milieux aquatiques et prévention des inondations - Fiche n°2 : Partage d’expérience sur le bassin versant de l’Arve

    La compétence de gestion des milieux aquatiques et de prévention des inondations (GEMAPI) est obligatoire depuis le 1er janvier 2018. L’ambition ? Rendre plus cohérente et plus efficace l’organisation territoriale dans le domaine de l’eau pour relever les défis de restauration des milieux aquatiques et de réduction de la vulnérabilité aux inondations. Quelques territoires ont toutefois devancé l’échéance. 1. Qu’est-ce qui a incité les élus à anticiper la prise de compétence ? 2. Pourquoi décider d’instaurer simultanément la taxe GEMAPI ? 3. Quels enseignements des premières étapes, quelles perspectives ? 4. Quels changements perceptibles dès la prise de compétence ?
  160. Edition (Ceremadoc) Étude de dangers de systèmes d'endiguement - Concepts et principes de réalisation des études

    Les systèmes d'endiguement font l'objet d'une réglementation spécifique en raison des risques qu'ils génèrent, notamment pour la sécurité des riverains, de leurs effets potentiellement indésirables sur l'environnement et de la nécessaire justification de la protection qu'ils doivent apporter contre les inondations. Ils sont ainsi soumis à des dispositions réglementaires particulières dont la réalisation d'études de dangers. Ce document traite du contenu et de l'élaboration des études de dangers appliquées aux systèmes d'endiguement ayant une vocation de défense contre les inondations fluviales et maritimes. Il a pour objectifs de présenter aux gestionnaires de systèmes d'endiguement : le cadre conceptuel, réglementaire et technique de ces études ; leurs principes et modalités de réalisation ; les outils disponibles et mobilisables pour leur élaboration ; enfin les produits générés par la réalisation de telles études.
  161. Edition (Ceremadoc) Pathologie de gonflement des maçonneries en site maritime

    Une enquête a montré que ce problème est largement répandu. Après avoir décrit la pathologie, le document présente une méthode complète de diagnostic. Des techniques de réparation et de confortement sont également proposées. 1. Introduction 1.1 Contexte 1.2 Problématique 1.3 Enquête 1.3.1 Objectifs de l’enquête 1.3.2 Résultats 1.3.3 Conclusions de l’enquête 2. Description de la pathologie 2.1 Processus physico-chimique de dégradation 2.1.1 Action des chlorures 2.1.2 Action du magnésium 2.1.3 Attaques des sulfates 2.2 L’exposition de l’ouvrage à l’environnement marin0 2.3 Durabilité de la maçonnerie 2.4 Les symptômes 2.4.1 Matériaux 2.4.2 Structure 2.4.3 Désordres associés 2.4.4 Interprétation des symptômes 3. Les outils pour le diagnostic 3.1 La démarche 3.1.1 Pré-diagnostic 3.1.2 Investigations complémentaires 3.2 Proposition de formulation du diagnostic 4. Les techniques de réparation et de confortement 4.1 Injection 4.2 Confinement / Corsetage / Tirantage 4.3 Substitution partielle de la maçonnerie 4.4 Démolition / Reconstruction partielle 4.5 Enrochement en pied d’ouvrage 4.6 Solution hybride 5. Bibliographie 6. Index Index des figures Index des tableaux
  162. Edition (Ceremadoc) Exploitation d’images satellite pour le littoral : Volet II : Réalisation d’un prototype d’extraction du trait de côte à partir d’images satellite. Application à l’archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon

    Volet I : État de l'art de l'utilisation des technologies satellitaires pour la cartographie du trait de côte et de la bathymétrie Ce rapport établit ainsi l’état de l’art de l’utilisation de l’imagerie satellitaire pour le suivi du trait de côte et la cartographie de la bathymétrie des petits fonds. Il contient en préalable une première partie pédagogique sur les notions d’imagerie satellitaire en observation de la Terre puis analyse les techniques éprouvées au travers d’une étude bibliographique réalisée en 2012. Concernant l’identification et le suivi du trait de côte, la bibliographie montre que l’utilisation de l’imagerie satellitaire permet de cartographier, sur de larges emprises géographiques, avec une fréquence élevée et un faible coût, les faciès littoraux de type eau, plage, dune, végétation, bâti et d’en extraire un marqueur de position du trait de côte de type limite d’immersion, pied de dune pour les côtes sableuses ou pied de falaise pour les côtes à falaise. Les précisions obtenues sont variables en fonction des marqueurs suivis et des types de côte, en particulier les erreurs augmentent sur les côtes rocheuses. Pour la bathymétrie des eaux peu profondes, une méthode d’inversion du signal optique satellitaire permet de fournir des cartes bathymétriques précises sur les 10 premiers mètres en eaux moyennement turbides et sur les 25 premiers mètres en eaux claires. Dans les eaux plus profondes, une méthode exploitant les propriétés de la houle permet de fournir des informations bathymétriques dans les zones de houle (de 10 à 40 m de profondeur). Ces méthodes, réalisées sur la base d’images satellite de type SPOT, ont prouvé leur efficacité et présentent l’avantage de fournir des informations continues, sur de larges zones géographiques avec une fréquence annuelle ou pluriannuelle et à faible coût. D’autres méthodes, basées sur l’altimétrie/gravimétrie et sur la technologie Lidar, sont présentées mais sont plutôt à envisager en termes de perspectives à moyen et long termes. L’extraction semi-automatique de l’information « trait de côte » à partir de l’imagerie satellitaire présente ainsi aujourd’hui une maturité suffisante pour un déploiement sur certains territoires. Elle présente des potentialités intéressantes de capacité de revisite à moindre coût, pour un suivi et une gestion intégrée du trait de côte. Volet II : Réalisation d'un prototype d'extraction du trait de côte à partir d'images satellite. Application à l'archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon Un premier rapport a ainsi établi l’état de l’art des méthodes existantes sur ces problématiques, afin d’identifier les plus prometteuses notamment en fonction des paysages rencontrés (volet I des rapports « Exploitation d’images satellite pour le littoral »). Il a conclu à la maturité de certaines techniques de reconnaissance par imagerie satellitaire de marqueurs de position du trait de côte, notamment en tant qu’interface terre-mer, c’est-à-dire limite entre deux zones présentant des caractéristiques terrestres (au-dessus du trait de côte) et maritimes (en dessous du trait de côte). Le Cerema s’est alors engagé à développer une méthodologie et un prototype qui permettraient d’extraire automatiquement la position du trait de côte en tant qu’interface de faciès terrestres et maritimes à partir d’images satellite à très haute résolution spatiale (images Pléiades). L’objectif final serait de transférer cette technologie à tout acteur qui souhaiterait utiliser les images satellite pour suivre l’évolution de la position du trait de côte, particulièrement sur les territoires macrotidaux où ce type de méthode est particulièrement adapté. Ce rapport (volet II) présente les tests opérés sur l’archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon pour développer un prototype permettant d’extraire automatiquement la position du trait de côte sur des images Pléiades obtenues dans le cadre du programme GEOSUD. Le processus d’acquisition se base sur la réalisation, par classification automatique, d’une cartographie des faciès à proximité du trait de côte puis sur l’extraction de la limite terre – mer comme frontière entre types d’occupation des sols. Le « trait de côte » ainsi obtenu a été comparé à des mesures effectuées sur le terrain. La stabilité de la méthode dans le temps a été évaluée via l’exploitation de deux images de deux années consécutives sur l’île de Saint-Pierre, en 2012 et 2013. Les travaux effectués montrent que la méthode peut conduire à des précisions de localisation de marqueurs de position du trait de côte de 2 à 3 m en moyenne lorsqu’il s’agit d’une limite de végétation ou d’érosion. Dans les autres cas (rochers, pieds de dune, gabions, galets), la technique donne des résultats plus inégaux et dans l’ensemble de moins bonne qualité. Des pistes sont proposées pour améliorer la méthode en prévision d’une évaluation plus large sur davantage de paysages et situations : utilisation de modèles numériques de terrain, exploitation d’informations issues des bases de données disponibles sur les zones étudiées (référentiels IGN par exemple) ou recours à des algorithmes de simplification de lignes. Volet III : Prototype de reconnaissance du trait de côte en tant que limite d’immersion à partir d’images satellite Un premier rapport a ainsi établi l’état de l’art des méthodes existantes sur ces problématiques, afin d’identifier les plus prometteuses notamment en fonction des paysages rencontrés (volet I des rapports « Exploitation d’images satellite pour le littoral »). Il a conclu à la maturité de certaines techniques de reconnaissance de marqueurs de position du trait de côte, notamment de la limite d’immersion (limite du jet de rive ou limite eau/non eau). Le Cerema s’est alors engagé à développer une méthodologie et un prototype qui permettraient d’extraire automatiquement la position du jet de rive à partir d’images satellite à très haute résolution spatiale (images Pléiades). L’objectif final serait de transférer cette technologie à tout acteur de la gestion intégrée du trait de côte qui souhaiterait utiliser les images satellite pour en suivre son évolution. Ce type de méthode est particulièrement adapté au suivi du trait de côte pour des territoires à faible marnage ou pour le suivi « instantané » de la position du jet de rive. Ce rapport (volet III) présente les tests opérés sur le secteur du Grau-du-Roi (30) pour développer un prototype permettant d’extraire automatiquement la position du trait de côte sur des images Pléiades à l’aide d’une méthode de type seuillage. Les marqueurs de limites hautes et basses du jet de rive extraits suivent fidèlement le jet de rive observé sur l’image satellite. Quelques rares anomalies apparaissent ponctuellement en présence de nuages ou d’ombres qui intersectent le trait de côte. Cette méthode présente les avantages d’être précise, notamment pour la limite basse du jet de rive, transférable géographiquement et relativement simple à mettre en œuvre sur un secteur géographique donné. Ces résultats montrent qu’un outil opérationnel de suivi du trait de côte à partir d’images satellite est aujourd’hui accessible en milieu microtidal. Des développements complémentaires doivent néanmoins être réalisés pour couvrir un linéaire côtier de plusieurs dizaines de kilomètres, vérifier la répétitivité temporelle des seuils fixés, développer un outil ergonomique et assurer son transfert vers des utilisateurs finaux. Un comité d’utilisateurs sera monté dans cette optique à partir de 2016. Volet I : État de l'art de l'utilisation des technologies satellitaires pour la cartographie du trait de côte et de la bathymétrie I. INTRODUCTION I.1 Contexte de l’étude I.2 Les informations géographiques recherchées II. LES SATELLITES D’OBSERVATION DE LA TERRE : QUELQUES NOTIONS II.1 Les satellites d’observation de la Terre II.2 L’exploitation des images satellites II.3 Atouts de l’imagerie satellitaire III. ÉTAT DE L’ART de la CARTOGRAPHIE DU TRAIT DE CÔTE À PARTIR D’IMAGES SATELLITES III.1 Exploitation des images satellites par photo-interprétation III.2 Extraction semi-automatique du trait de côte III.3 Détection de l’artificialisation du trait de côte III.4 Analyse de l’état de l’art IV. ÉTAT DE L’ART DES MESURES DE BATHYMETRIE PAR SATELLITE IV.1 Mesures de bathymétrie par détection des limites entre zones émergées et zones immergées IV.2 Mesures de bathymétrie par inversion du signal optique IV.3 Mesures bathymétriques par détection des crêtes de houle IV.4 Autres méthodes et perspectives IV.5 Analyse de l’état de l’art V. CONCLUSIONS VI. Annexes VI.1 Annexe 1 : Estimation de la bathymétrie par gravimétrie/altimétrie VI.2 Annexe 2 : Mesures de bathymétrie par Lidar Satellitaire Volet II : Réalisation d’un prototype d’extraction du trait de côte à partir d’images satellite. Application à l’archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon I. Introduction II. La cartographie du trait de côte par imagerie spatiale II.1 Définitions du trait de côte II.2 Cartographie du trait de côte par imagerie spatiale III. Zones d’étude III.1 L’archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon III.2 L’isthme de Miquelon-Langlade (zone A) III.3 L’île de Saint-Pierre (zone B) IV. Données disponibles IV.1 Les images Pléiades IV.2 Les levés terrain de la DTAM de Saint-Pierre-et-Miquelon IV.3 Trait de côte Histolitt® IV.4 Modèle numérique de surface V. Méthode d’extraction du trait de côte V.1 Principe général et logiciels utilisés V.2 Préparation du chantier V.3 Création et sélection des indices et textures V.4 Classifications des images V.5 Extraction du trait de côte V.6 Évaluation des résultats VI. Synthèse des résultats VI.1 Classifications VI.2 Trait de côte extrait VII. Bilan VII.1 Analyse de la performance du prototype développé VII.2 Perspectives VII.3 Conclusion VIII. Annexe : Résultats complets VIII.1 Zone A Isthme de Miquelon-Langlade VIII.2 Zone B1 Etang VIII.3 Zone B2 Aéroport VIII.4 Zone B3 Ile aux Marins Volet III : Prototype de reconnaissance du trait de côte en tant que limite d’immersion à partir d’images satellite I. Contexte et objectif II. Contexte géomatique II.1 Site d’étude II.2 Données disponibles III. Extraction du jet de rive III.1 Principe de la méthode III.2 Traitement de l’image Pléiades IV. Analyse des résultats IV.1 Analyse visuelle IV.2 Analyse quantitative : comparaison au trait de côte digitalisé sur l’Ortho Littorale V2 V. CONCLUSIONS
  163. Edition (Ceremadoc) Exploitation d’images satellite pour le littoral : Volet III : Prototype de reconnaissance du trait de côte en tant que limite d'immersion à partir d'images satellite

    Volet I : État de l'art de l'utilisation des technologies satellitaires pour la cartographie du trait de côte et de la bathymétrie Ce rapport établit ainsi l’état de l’art de l’utilisation de l’imagerie satellitaire pour le suivi du trait de côte et la cartographie de la bathymétrie des petits fonds. Il contient en préalable une première partie pédagogique sur les notions d’imagerie satellitaire en observation de la Terre puis analyse les techniques éprouvées au travers d’une étude bibliographique réalisée en 2012. Concernant l’identification et le suivi du trait de côte, la bibliographie montre que l’utilisation de l’imagerie satellitaire permet de cartographier, sur de larges emprises géographiques, avec une fréquence élevée et un faible coût, les faciès littoraux de type eau, plage, dune, végétation, bâti et d’en extraire un marqueur de position du trait de côte de type limite d’immersion, pied de dune pour les côtes sableuses ou pied de falaise pour les côtes à falaise. Les précisions obtenues sont variables en fonction des marqueurs suivis et des types de côte, en particulier les erreurs augmentent sur les côtes rocheuses. Pour la bathymétrie des eaux peu profondes, une méthode d’inversion du signal optique satellitaire permet de fournir des cartes bathymétriques précises sur les 10 premiers mètres en eaux moyennement turbides et sur les 25 premiers mètres en eaux claires. Dans les eaux plus profondes, une méthode exploitant les propriétés de la houle permet de fournir des informations bathymétriques dans les zones de houle (de 10 à 40 m de profondeur). Ces méthodes, réalisées sur la base d’images satellite de type SPOT, ont prouvé leur efficacité et présentent l’avantage de fournir des informations continues, sur de larges zones géographiques avec une fréquence annuelle ou pluriannuelle et à faible coût. D’autres méthodes, basées sur l’altimétrie/gravimétrie et sur la technologie Lidar, sont présentées mais sont plutôt à envisager en termes de perspectives à moyen et long termes. L’extraction semi-automatique de l’information « trait de côte » à partir de l’imagerie satellitaire présente ainsi aujourd’hui une maturité suffisante pour un déploiement sur certains territoires. Elle présente des potentialités intéressantes de capacité de revisite à moindre coût, pour un suivi et une gestion intégrée du trait de côte. Volet II : Réalisation d'un prototype d'extraction du trait de côte à partir d'images satellite. Application à l'archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon Un premier rapport a ainsi établi l’état de l’art des méthodes existantes sur ces problématiques, afin d’identifier les plus prometteuses notamment en fonction des paysages rencontrés (volet I des rapports « Exploitation d’images satellite pour le littoral »). Il a conclu à la maturité de certaines techniques de reconnaissance par imagerie satellitaire de marqueurs de position du trait de côte, notamment en tant qu’interface terre-mer, c’est-à-dire limite entre deux zones présentant des caractéristiques terrestres (au-dessus du trait de côte) et maritimes (en dessous du trait de côte). Le Cerema s’est alors engagé à développer une méthodologie et un prototype qui permettraient d’extraire automatiquement la position du trait de côte en tant qu’interface de faciès terrestres et maritimes à partir d’images satellite à très haute résolution spatiale (images Pléiades). L’objectif final serait de transférer cette technologie à tout acteur qui souhaiterait utiliser les images satellite pour suivre l’évolution de la position du trait de côte, particulièrement sur les territoires macrotidaux où ce type de méthode est particulièrement adapté. Ce rapport (volet II) présente les tests opérés sur l’archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon pour développer un prototype permettant d’extraire automatiquement la position du trait de côte sur des images Pléiades obtenues dans le cadre du programme GEOSUD. Le processus d’acquisition se base sur la réalisation, par classification automatique, d’une cartographie des faciès à proximité du trait de côte puis sur l’extraction de la limite terre – mer comme frontière entre types d’occupation des sols. Le « trait de côte » ainsi obtenu a été comparé à des mesures effectuées sur le terrain. La stabilité de la méthode dans le temps a été évaluée via l’exploitation de deux images de deux années consécutives sur l’île de Saint-Pierre, en 2012 et 2013. Les travaux effectués montrent que la méthode peut conduire à des précisions de localisation de marqueurs de position du trait de côte de 2 à 3 m en moyenne lorsqu’il s’agit d’une limite de végétation ou d’érosion. Dans les autres cas (rochers, pieds de dune, gabions, galets), la technique donne des résultats plus inégaux et dans l’ensemble de moins bonne qualité. Des pistes sont proposées pour améliorer la méthode en prévision d’une évaluation plus large sur davantage de paysages et situations : utilisation de modèles numériques de terrain, exploitation d’informations issues des bases de données disponibles sur les zones étudiées (référentiels IGN par exemple) ou recours à des algorithmes de simplification de lignes. Volet III : Prototype de reconnaissance du trait de côte en tant que limite d’immersion à partir d’images satellite Un premier rapport a ainsi établi l’état de l’art des méthodes existantes sur ces problématiques, afin d’identifier les plus prometteuses notamment en fonction des paysages rencontrés (volet I des rapports « Exploitation d’images satellite pour le littoral »). Il a conclu à la maturité de certaines techniques de reconnaissance de marqueurs de position du trait de côte, notamment de la limite d’immersion (limite du jet de rive ou limite eau/non eau). Le Cerema s’est alors engagé à développer une méthodologie et un prototype qui permettraient d’extraire automatiquement la position du jet de rive à partir d’images satellite à très haute résolution spatiale (images Pléiades). L’objectif final serait de transférer cette technologie à tout acteur de la gestion intégrée du trait de côte qui souhaiterait utiliser les images satellite pour en suivre son évolution. Ce type de méthode est particulièrement adapté au suivi du trait de côte pour des territoires à faible marnage ou pour le suivi « instantané » de la position du jet de rive. Ce rapport (volet III) présente les tests opérés sur le secteur du Grau-du-Roi (30) pour développer un prototype permettant d’extraire automatiquement la position du trait de côte sur des images Pléiades à l’aide d’une méthode de type seuillage. Les marqueurs de limites hautes et basses du jet de rive extraits suivent fidèlement le jet de rive observé sur l’image satellite. Quelques rares anomalies apparaissent ponctuellement en présence de nuages ou d’ombres qui intersectent le trait de côte. Cette méthode présente les avantages d’être précise, notamment pour la limite basse du jet de rive, transférable géographiquement et relativement simple à mettre en œuvre sur un secteur géographique donné. Ces résultats montrent qu’un outil opérationnel de suivi du trait de côte à partir d’images satellite est aujourd’hui accessible en milieu microtidal. Des développements complémentaires doivent néanmoins être réalisés pour couvrir un linéaire côtier de plusieurs dizaines de kilomètres, vérifier la répétitivité temporelle des seuils fixés, développer un outil ergonomique et assurer son transfert vers des utilisateurs finaux. Un comité d’utilisateurs sera monté dans cette optique à partir de 2016. Volet I : État de l'art de l'utilisation des technologies satellitaires pour la cartographie du trait de côte et de la bathymétrie I. INTRODUCTION I.1 Contexte de l’étude I.2 Les informations géographiques recherchées II. LES SATELLITES D’OBSERVATION DE LA TERRE : QUELQUES NOTIONS II.1 Les satellites d’observation de la Terre II.2 L’exploitation des images satellites II.3 Atouts de l’imagerie satellitaire III. ÉTAT DE L’ART de la CARTOGRAPHIE DU TRAIT DE CÔTE À PARTIR D’IMAGES SATELLITES III.1 Exploitation des images satellites par photo-interprétation III.2 Extraction semi-automatique du trait de côte III.3 Détection de l’artificialisation du trait de côte III.4 Analyse de l’état de l’art IV. ÉTAT DE L’ART DES MESURES DE BATHYMETRIE PAR SATELLITE IV.1 Mesures de bathymétrie par détection des limites entre zones émergées et zones immergées IV.2 Mesures de bathymétrie par inversion du signal optique IV.3 Mesures bathymétriques par détection des crêtes de houle IV.4 Autres méthodes et perspectives IV.5 Analyse de l’état de l’art V. CONCLUSIONS VI. Annexes VI.1 Annexe 1 : Estimation de la bathymétrie par gravimétrie/altimétrie VI.2 Annexe 2 : Mesures de bathymétrie par Lidar Satellitaire Volet II : Réalisation d’un prototype d’extraction du trait de côte à partir d’images satellite. Application à l’archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon I. Introduction II. La cartographie du trait de côte par imagerie spatiale II.1 Définitions du trait de côte II.2 Cartographie du trait de côte par imagerie spatiale III. Zones d’étude III.1 L’archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon III.2 L’isthme de Miquelon-Langlade (zone A) III.3 L’île de Saint-Pierre (zone B) IV. Données disponibles IV.1 Les images Pléiades IV.2 Les levés terrain de la DTAM de Saint-Pierre-et-Miquelon IV.3 Trait de côte Histolitt® IV.4 Modèle numérique de surface V. Méthode d’extraction du trait de côte V.1 Principe général et logiciels utilisés V.2 Préparation du chantier V.3 Création et sélection des indices et textures V.4 Classifications des images V.5 Extraction du trait de côte V.6 Évaluation des résultats VI. Synthèse des résultats VI.1 Classifications VI.2 Trait de côte extrait VII. Bilan VII.1 Analyse de la performance du prototype développé VII.2 Perspectives VII.3 Conclusion VIII. Annexe : Résultats complets VIII.1 Zone A Isthme de Miquelon-Langlade VIII.2 Zone B1 Etang VIII.3 Zone B2 Aéroport VIII.4 Zone B3 Ile aux Marins Volet III : Prototype de reconnaissance du trait de côte en tant que limite d’immersion à partir d’images satellite I. Contexte et objectif II. Contexte géomatique II.1 Site d’étude II.2 Données disponibles III. Extraction du jet de rive III.1 Principe de la méthode III.2 Traitement de l’image Pléiades IV. Analyse des résultats IV.1 Analyse visuelle IV.2 Analyse quantitative : comparaison au trait de côte digitalisé sur l’Ortho Littorale V2 V. CONCLUSIONS
  164. Edition (Ceremadoc) Echantillonnage des sédiments marins et fluviaux : Du plan d'échantillonnage aux analyses de laboratoire Synthèse documentaire et recommandations

    L’analyse de la bibliographie et la prise en compte des retours d’expérience, en France et à l’étranger, des opérations de dragage de sédiments, ont amené à proposer une méthodologie de mise en œuvre d’un plan d’échantillonnage. Cette méthodologie comporte deux étapes : 1. l’établissement d’un zonage a priori de la qualité des sédiments réalisé à partir des caractéristiques du bassin versant et de la géomorphologie du secteur à caractériser (par exemple : données historiques, bathymétrie, résultats quantitatifs et qualitatifs des investigations antérieures) ; 2. l’implantation des prélèvements pour la réalisation d’un échantillon représentatif du lot de sédiments à caractériser. Ces prélèvements seront à adapter en fonction du zonage réalisé lors de la première étape. Le document présente également les fiches de recommandations à l’attention des gestionnaires de sites maritimes ou fluviaux pour leur permettre de mettre en œuvre un plan d’échantillonnage opérationnel. Quatre fiches sont proposées : 1. Réalisation d’un plan d’échantillonnage ; 2. Réalisation d’un zonage ; 3. Réalisation des échantillons ; 4. Exemple de fiche d'échantillon. 1. Plan d’échantillonnage 1.1 Stratégie d’échantillonnage 1.1.1 Zonage a priori 1.1.2 Implantation des prélèvements 1.2 Techniques de prélèvement 1.3 Logigramme de plans d’échantillonnage 2. Préparation, conditionnement et analyses des prélèvements 2.1 Préparation - Conditionnement - Conservation 2.1.1 Préparation des prélèvements et de l’échantillon 2.1.2 Conditionnement des prélèvements et de l’échantillon 2.1.3 Conservation 2.2 Pré-traitement des échantillons au laboratoire 2.3 Protocole d’analyse 3. Références bibliographiques 3.1 Rapports 3.2 Normes 4. Fiches de recommandations Fiche 1 : Réalisation d'un plan d'échantillonnage Fiche 2 : Réalisation du zonage Fiche 3 : Réalisation des échantillons Fiche 4 : Exemple de fiche d'échantillonnage
  165. Edition (Ceremadoc) Dynamiques et évolution du littoral - Fascicule 01 : de la frontière belge à la pointe du Hourdel : Synthèse des connaissances

    Ce premier fascicule traite de la province sédimentaire s’étendant de la frontière belge à la pointe du Hourdel (baie de Somme). Trois unités morphosédimentaires la constituent : les deux plaines maritimes picarde et flamande, caractérisées par des systèmes dunaires étendus de quelques dizaines à quelques centaines de mètres, isolant de la mer des territoires bas et potentiellement submersibles, et une côte essentiellement rocheuse à falaises, le Boulonnais. Sur les dernières décennies, 40 % des côtes mobiles sont en accrétion, soit un des taux les plus élevés de métropole. Cependant, ce chiffre masque des différences très marquées, avec des taux de recul du trait de côte pouvant dépasser localement les 3 m/an en moyenne comme en baie d’Authie ou en baie de Wissant. La province ne bénéficie que de peu d’apports sédimentaires actuels ; ceux-ci sont liés au recul des côtes à falaises et aux sédiments transportés par la dérive littorale depuis la province méridionale adjacente. Les mouvements de sédiments correspondent ainsi essentiellement à la remobilisation d’un matériel hérité dont le stock limité n’est pas renouvelé par la production sédimentaire actuelle. Les perspectives d’élévation rapide du niveau de la mer, liées au dérèglement climatique, laissent craindre une fragilisation d’espaces littoraux déjà contraints et un laps de temps insuffisant à l’adaptation des habitats naturels côtiers. Cependant, les évolutions en cours sont soumises à de nombreuses incertitudes et les efforts de mesure et de capitalisation des connaissances sur le devenir de ces territoires littoraux doivent être poursuivis pour adopter des stratégies de gestion locales durables.
  166. Edition (Ceremadoc) Dynamiques et évolution du littoral - Fascicule 01 : de la frontière belge à la pointe du Hourdel : Atlas cartographique

    Ce premier fascicule traite de la province sédimentaire s’étendant de la frontière belge à la pointe du Hourdel (baie de Somme). Trois unités morphosédimentaires la constituent : les deux plaines maritimes picarde et flamande, caractérisées par des systèmes dunaires étendus de quelques dizaines à quelques centaines de mètres, isolant de la mer des territoires bas et potentiellement submersibles, et une côte essentiellement rocheuse à falaises, le Boulonnais. Sur les dernières décennies, 40 % des côtes mobiles sont en accrétion, soit un des taux les plus élevés de métropole. Cependant, ce chiffre masque des différences très marquées, avec des taux de recul du trait de côte pouvant dépasser localement les 3 m/an en moyenne comme en baie d’Authie ou en baie de Wissant. La province ne bénéficie que de peu d’apports sédimentaires actuels ; ceux-ci sont liés au recul des côtes à falaises et aux sédiments transportés par la dérive littorale depuis la province méridionale adjacente. Les mouvements de sédiments correspondent ainsi essentiellement à la remobilisation d’un matériel hérité dont le stock limité n’est pas renouvelé par la production sédimentaire actuelle. Les perspectives d’élévation rapide du niveau de la mer, liées au dérèglement climatique, laissent craindre une fragilisation d’espaces littoraux déjà contraints et un laps de temps insuffisant à l’adaptation des habitats naturels côtiers. Cependant, les évolutions en cours sont soumises à de nombreuses incertitudes et les efforts de mesure et de capitalisation des connaissances sur le devenir de ces territoires littoraux doivent être poursuivis pour adopter des stratégies de gestion locales durables. SOMMAIRE DE LA SYNTHESE 1. Présentation 2. Contexte général : données physiographiques 2.1 Géographie 2.2 Géologie des côtes et des fonds marins 2.3 Géomorphologie 2.4 Habitats naturels 2.5 Facteurs et mécanismes d’évolution du littoral 3. Facteurs hydrodynamiques 3.1 Climatologie 3.2 Facteurs océanographiques 3.3 Hydrologie 3.4 Changement climatique et impacts sur les facteurs hydrodynamiques 4. Données sédimentologiques 4.1 Nature et répartition des sédiments 4.2 Origine des sédiments 4.3 Mouvements des sédiments 4.4 Puits de sédiments 4.5 Bilan sur les mouvements de sédiments 5. Interventions humaines le long du littoral 5.1 Aménagements côtiers, ouvrages de défense et ouvrages portuaires 5.2 Extractions 5.3 Dragages et clapages 5.4 Autres activités humaines 6. Evolution générale du littoral et des fonds 6.1 Evolution historique et récente du littoral et des fonds 6.2 Evolution événementielle sur le littoral 6.3 Impact du changement climatique 7. Conclusion : Bilan sédimentaire général 7.1 Évolution du littoral et des fonds 7.2 Le bilan sédimentaire actuel 7.3 Prospective et impact du changement climatique 7.4 Perspectives 8. Bibliographie 9. Annexes 9.1 Glossaire 9.2 Abréviations et acronymes 9.3 Annexe du chapitre 2 – Détail des habitats naturels de la province 9.4 Annexes du chapitre 3 9.5 Annexe du chapitre 6 – Tableaux d’évolution du trait de côte par cellule hydrosédimentaire. 9.6 Crédits photographiques 9.6 Couches SIG produites SOMMAIRE DE L'ATLAS 1. Chapitre 2. Contexte général : données physiographiques Présentation de la province Topographie – Bathymétrie (MNT bathymétrie Manche/Atlantique, résolution 100 m) Cours d’eau et bassins versants Occupation du sol Géologie Type de côte Habitats naturels 2. Chapitre 3. Facteurs hydrodynamiques Réseau météorologique Climatologie atmosphérique (températures, précipitations et fréquences de vents) Température de l’eau – Chronique pour la période 2010-2015 Salinité de l’eau – Chronique pour la période 2010-2015 Niveau marin Niveaux marins extrêmes États de mer Hauteurs significatives et direction de provenance des vagues Énergie cinétique des courants marins – Climatologie pour la période 2010-2015 Roses de courant Courant de marée de surface – Avant et après la pleine mer de mortes-eaux (coefficient de 45) Courant de marée de surface – Avant et après la pleine mer de vives-eaux (coefficient de 95) Réseau hydrographique Surveillance du réseau hydrographique Marais maritimes et zones humides 3. Chapitre 4. Données sédimentologiques Cellules hydrosédimentaires Nature des fonds marins Diamètre médian des sédiments en baie d’Authie Répartition du grain moyen dans l’estuaire de la Canche Les différents modes de transport sédimentaire Synthèse des échanges sédimentaires connus sur la façade 4. Chapitre 5. Interventions humaines le long du littoral Artificialisation du littoral par un ouvrage ou un aménagement côtier Ouvrages et aménagements côtiers Ressource en granulats marins Volumes de sédiments dragués et quantités de matières sèches immergées Progression de l’urbanisation Autres activités humaines 5. Chapitre 6. Evolution générale du littoral et des fonds Evolution passée du trait de côte Evolution bathymétrique de dunes sous-marines entre 1999 et 2005 – Dunes du Pas-de-Calais 6. Chapitre 7. Conclusion : Bilan sédimentaire général Carte d’identité des unités morphosédimentaires Bilan sédimentaire actuel Références bibliographiques disponibles – Projets en cours
  167. Edition (Ceremadoc) Les 7èmes Assises du Port du futur : 26 et 27 septembre 2017

    Le contexte portuaire français actuel se caractérise par une multiplicité des enjeux, par des contraintes croissantes (concurrence, pression démographique, évolutions technologiques, aspects environnementaux…) et par une multitude d’acteurs. La démarche Port du futur a été initiée par le Cerema, pour le compte de la Direction Générale des Infrastructures, des Transports et de la Mer (DGTIM) du ministère de la Transition écologique et solidaire (MTES). Elle est animée par un réseau de partenaires : l’Union des Ports de France, les pôles Mer, les pôles de compétitivité Novalog et i-Trans, le Cluster maritime français ainsi que l’Agence d’urbanisme de la Région du Havre et de l’Estuaire de la Seine. Exposition photo Vision prospective du secteur portuaire français et européen Les acteurs portuaires et territoires L’intégration du port dans son environnement L’innovation au service du passage portuaire Trophée Port du futur Les enjeux de la sécurité et de la sûreté physique et numérique La sécurité et la sécurisation des infrastructures La cybersécurité
  168. Edition (Ceremadoc) La GEMAPI - Vers une gestion intégrée de l'eau dans les territoires

    Concilier urbanisme, prévention des inondations et gestion des milieux aquatiques Les territoires s’organisent pour gérer leur patrimoine naturel et le risque d’inondation. Quelle gouvernance et quelles responsabilités ? Quels objectifs et quel accompagnement ? Comment mettre en œuvre la compétence GEMAPI ? La compétence GEMAPI en pratique
  169. Edition (Ceremadoc) Guide GEMAPI 2018 : Introduction à la prise de compétence « Gestion des milieux aquatiques et prévention des inondations »

    Ce guide a vocation à présenter de manière simple les contours de cette nouvelle compétence, afin de faciliter son appropriation par les acteurs et son explication auprès des citoyens. Il oriente les lecteurs vers d'autres supports permettant d'approfondir les thématiques abordées. Il est organisé en 5 parties principales : la première partie aborde les caractéristiques des milieux et les enjeux concernés par la compétence; la deuxième présente le contexte réglementaire et quelques caractéristiques de la compétence ; la troisième expose les politiques publiques qui concernent les milieux aquatiques et la prévention des inondations, et les liens avec la compétence GEMAPI ; la quatrième présente les principaux acteurs liés à la compétence ; la cinquième détaille des outils d'aménagement du territoire, financiers, opérationnels et réglementaires pouvant participer à la mise en œuvre de la compétence. Cette publication a été actualisée en 2018. 1 Notions élémentaires 1.1 Les milieux aquatiques 1.2 Des milieux qui évoluent 1.3 Quels liens entre ces milieux et les activités humaines ? 2 Qu’est-ce que la compétence GEMAPI ? 2.1 Pourquoi a-t-elle été créée ? 2.2 Quelles missions comprend-elle ? 2.3 Quelles responsabilités implique la compétence GEMAPI ? 2.4 Quand s’applique la prise de compétence GEMAPI et quelles sont les dispositions transitoires ? 2.5 Les missions de la compétence GEMAPI peuvent-elles être exercées par plusieurs structures ? 3 Comment la compétence GEMAPI s’articule-t-elle avec les politiques de gestion de l’eau et de gestion du risque inondation ? 3.1 La politique de gestion de l’eau en France 3.2 La politique de gestion du risque inondation en France 3.3 La politique de gestion du trait de côte 3.4 Quelle est la place de la compétence GEMAPI dans ces politiques ? 3.5 Les contours de la compétence GEMAPI 4 Quels acteurs autour de la compétence GEMAPI ? 4.1 Les collectivités territoriales et leurs groupements 4.2 Les propriétaires riverains et les associations syndicales de propriétaires 4.3 Les conseils départementaux et régionaux 4.4 Les services de l’État 4.5 Les missions d’appui technique de bassin 4.6 Les agences et les offices de l’eau 4.7 L’agence française pour la biodiversité 5 Comment mettre en œuvre la compétence GEMAPI ? 5.1 Que doit faire une structure au titre de la compétence GEMAPI ? 5.2 Comment définir une « stratégie de gestion des milieux aquatiques et de prévention des inondations » ? 5.3 Quels outils sont à disposition des territoires pour la mettre en œuvre ? 5.4 Comment financer l’exercice de cette compétence ? 5.5 Quel accompagnement de la compétence GEMAPI ? 6 Pour aller plus loin 6.1 Documentation générale 6.2 Retours d’expérience et illustrations 6.3 Textes législatifs et réglementaires 7 Annexes 7.1 Réglementation et gestion des systèmes d’endiguement 7.2 Les missions des services de l’État en lien avec la compétence GEMAPI 7.3 L’organisation synthétisée de la prise de compétence GEMAPI pour les collectivités territoriales et leurs groupements et dispositions transitoires 8 Sigles et acronymes
  170. Edition (Ceremadoc) Exploitation d’images satellite pour le littoral : Volet I : État de l'art de l'utilisation des technologies satellitaires pour la cartographie du trait de côte et de la bathymétrie

    Volet I : État de l'art de l'utilisation des technologies satellitaires pour la cartographie du trait de côte et de la bathymétrie Ce rapport établit ainsi l’état de l’art de l’utilisation de l’imagerie satellitaire pour le suivi du trait de côte et la cartographie de la bathymétrie des petits fonds. Il contient en préalable une première partie pédagogique sur les notions d’imagerie satellitaire en observation de la Terre puis analyse les techniques éprouvées au travers d’une étude bibliographique réalisée en 2012. Concernant l’identification et le suivi du trait de côte, la bibliographie montre que l’utilisation de l’imagerie satellitaire permet de cartographier, sur de larges emprises géographiques, avec une fréquence élevée et un faible coût, les faciès littoraux de type eau, plage, dune, végétation, bâti et d’en extraire un marqueur de position du trait de côte de type limite d’immersion, pied de dune pour les côtes sableuses ou pied de falaise pour les côtes à falaise. Les précisions obtenues sont variables en fonction des marqueurs suivis et des types de côte, en particulier les erreurs augmentent sur les côtes rocheuses. Pour la bathymétrie des eaux peu profondes, une méthode d’inversion du signal optique satellitaire permet de fournir des cartes bathymétriques précises sur les 10 premiers mètres en eaux moyennement turbides et sur les 25 premiers mètres en eaux claires. Dans les eaux plus profondes, une méthode exploitant les propriétés de la houle permet de fournir des informations bathymétriques dans les zones de houle (de 10 à 40 m de profondeur). Ces méthodes, réalisées sur la base d’images satellite de type SPOT, ont prouvé leur efficacité et présentent l’avantage de fournir des informations continues, sur de larges zones géographiques avec une fréquence annuelle ou pluriannuelle et à faible coût. D’autres méthodes, basées sur l’altimétrie/gravimétrie et sur la technologie Lidar, sont présentées mais sont plutôt à envisager en termes de perspectives à moyen et long termes. L’extraction semi-automatique de l’information « trait de côte » à partir de l’imagerie satellitaire présente ainsi aujourd’hui une maturité suffisante pour un déploiement sur certains territoires. Elle présente des potentialités intéressantes de capacité de revisite à moindre coût, pour un suivi et une gestion intégrée du trait de côte. Volet II : Réalisation d'un prototype d'extraction du trait de côte à partir d'images satellite. Application à l'archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon Un premier rapport a ainsi établi l’état de l’art des méthodes existantes sur ces problématiques, afin d’identifier les plus prometteuses notamment en fonction des paysages rencontrés (volet I des rapports « Exploitation d’images satellite pour le littoral »). Il a conclu à la maturité de certaines techniques de reconnaissance par imagerie satellitaire de marqueurs de position du trait de côte, notamment en tant qu’interface terre-mer, c’est-à-dire limite entre deux zones présentant des caractéristiques terrestres (au-dessus du trait de côte) et maritimes (en dessous du trait de côte). Le Cerema s’est alors engagé à développer une méthodologie et un prototype qui permettraient d’extraire automatiquement la position du trait de côte en tant qu’interface de faciès terrestres et maritimes à partir d’images satellite à très haute résolution spatiale (images Pléiades). L’objectif final serait de transférer cette technologie à tout acteur qui souhaiterait utiliser les images satellite pour suivre l’évolution de la position du trait de côte, particulièrement sur les territoires macrotidaux où ce type de méthode est particulièrement adapté. Ce rapport (volet II) présente les tests opérés sur l’archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon pour développer un prototype permettant d’extraire automatiquement la position du trait de côte sur des images Pléiades obtenues dans le cadre du programme GEOSUD. Le processus d’acquisition se base sur la réalisation, par classification automatique, d’une cartographie des faciès à proximité du trait de côte puis sur l’extraction de la limite terre – mer comme frontière entre types d’occupation des sols. Le « trait de côte » ainsi obtenu a été comparé à des mesures effectuées sur le terrain. La stabilité de la méthode dans le temps a été évaluée via l’exploitation de deux images de deux années consécutives sur l’île de Saint-Pierre, en 2012 et 2013. Les travaux effectués montrent que la méthode peut conduire à des précisions de localisation de marqueurs de position du trait de côte de 2 à 3 m en moyenne lorsqu’il s’agit d’une limite de végétation ou d’érosion. Dans les autres cas (rochers, pieds de dune, gabions, galets), la technique donne des résultats plus inégaux et dans l’ensemble de moins bonne qualité. Des pistes sont proposées pour améliorer la méthode en prévision d’une évaluation plus large sur davantage de paysages et situations : utilisation de modèles numériques de terrain, exploitation d’informations issues des bases de données disponibles sur les zones étudiées (référentiels IGN par exemple) ou recours à des algorithmes de simplification de lignes. Volet III : Prototype de reconnaissance du trait de côte en tant que limite d’immersion à partir d’images satellite Un premier rapport a ainsi établi l’état de l’art des méthodes existantes sur ces problématiques, afin d’identifier les plus prometteuses notamment en fonction des paysages rencontrés (volet I des rapports « Exploitation d’images satellite pour le littoral »). Il a conclu à la maturité de certaines techniques de reconnaissance de marqueurs de position du trait de côte, notamment de la limite d’immersion (limite du jet de rive ou limite eau/non eau). Le Cerema s’est alors engagé à développer une méthodologie et un prototype qui permettraient d’extraire automatiquement la position du jet de rive à partir d’images satellite à très haute résolution spatiale (images Pléiades). L’objectif final serait de transférer cette technologie à tout acteur de la gestion intégrée du trait de côte qui souhaiterait utiliser les images satellite pour en suivre son évolution. Ce type de méthode est particulièrement adapté au suivi du trait de côte pour des territoires à faible marnage ou pour le suivi « instantané » de la position du jet de rive. Ce rapport (volet III) présente les tests opérés sur le secteur du Grau-du-Roi (30) pour développer un prototype permettant d’extraire automatiquement la position du trait de côte sur des images Pléiades à l’aide d’une méthode de type seuillage. Les marqueurs de limites hautes et basses du jet de rive extraits suivent fidèlement le jet de rive observé sur l’image satellite. Quelques rares anomalies apparaissent ponctuellement en présence de nuages ou d’ombres qui intersectent le trait de côte. Cette méthode présente les avantages d’être précise, notamment pour la limite basse du jet de rive, transférable géographiquement et relativement simple à mettre en œuvre sur un secteur géographique donné. Ces résultats montrent qu’un outil opérationnel de suivi du trait de côte à partir d’images satellite est aujourd’hui accessible en milieu microtidal. Des développements complémentaires doivent néanmoins être réalisés pour couvrir un linéaire côtier de plusieurs dizaines de kilomètres, vérifier la répétitivité temporelle des seuils fixés, développer un outil ergonomique et assurer son transfert vers des utilisateurs finaux. Un comité d’utilisateurs sera monté dans cette optique à partir de 2016. Volet I : État de l'art de l'utilisation des technologies satellitaires pour la cartographie du trait de côte et de la bathymétrie I. INTRODUCTION I.1 Contexte de l’étude I.2 Les informations géographiques recherchées II. LES SATELLITES D’OBSERVATION DE LA TERRE : QUELQUES NOTIONS II.1 Les satellites d’observation de la Terre II.2 L’exploitation des images satellites II.3 Atouts de l’imagerie satellitaire III. ÉTAT DE L’ART de la CARTOGRAPHIE DU TRAIT DE CÔTE À PARTIR D’IMAGES SATELLITES III.1 Exploitation des images satellites par photo-interprétation III.2 Extraction semi-automatique du trait de côte III.3 Détection de l’artificialisation du trait de côte III.4 Analyse de l’état de l’art IV. ÉTAT DE L’ART DES MESURES DE BATHYMETRIE PAR SATELLITE IV.1 Mesures de bathymétrie par détection des limites entre zones émergées et zones immergées IV.2 Mesures de bathymétrie par inversion du signal optique IV.3 Mesures bathymétriques par détection des crêtes de houle IV.4 Autres méthodes et perspectives IV.5 Analyse de l’état de l’art V. CONCLUSIONS VI. Annexes VI.1 Annexe 1 : Estimation de la bathymétrie par gravimétrie/altimétrie VI.2 Annexe 2 : Mesures de bathymétrie par Lidar Satellitaire Volet II : Réalisation d’un prototype d’extraction du trait de côte à partir d’images satellite. Application à l’archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon I. Introduction II. La cartographie du trait de côte par imagerie spatiale II.1 Définitions du trait de côte II.2 Cartographie du trait de côte par imagerie spatiale III. Zones d’étude III.1 L’archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon III.2 L’isthme de Miquelon-Langlade (zone A) III.3 L’île de Saint-Pierre (zone B) IV. Données disponibles IV.1 Les images Pléiades IV.2 Les levés terrain de la DTAM de Saint-Pierre-et-Miquelon IV.3 Trait de côte Histolitt® IV.4 Modèle numérique de surface V. Méthode d’extraction du trait de côte V.1 Principe général et logiciels utilisés V.2 Préparation du chantier V.3 Création et sélection des indices et textures V.4 Classifications des images V.5 Extraction du trait de côte V.6 Évaluation des résultats VI. Synthèse des résultats VI.1 Classifications VI.2 Trait de côte extrait VII. Bilan VII.1 Analyse de la performance du prototype développé VII.2 Perspectives VII.3 Conclusion VIII. Annexe : Résultats complets VIII.1 Zone A Isthme de Miquelon-Langlade VIII.2 Zone B1 Etang VIII.3 Zone B2 Aéroport VIII.4 Zone B3 Ile aux Marins Volet III : Prototype de reconnaissance du trait de côte en tant que limite d’immersion à partir d’images satellite I. Contexte et objectif II. Contexte géomatique II.1 Site d’étude II.2 Données disponibles III. Extraction du jet de rive III.1 Principe de la méthode III.2 Traitement de l’image Pléiades IV. Analyse des résultats IV.1 Analyse visuelle IV.2 Analyse quantitative : comparaison au trait de côte digitalisé sur l’Ortho Littorale V2 V. CONCLUSIONS
  171. Edition (Ceremadoc) Enquête Dragage 2014 : Enquête nationale sur les dragages des ports maritimes

    Cette enquête est réalisée chaque année par le Cerema. Elle vise à exploiter l'ensemble des données relatives aux opérations de dragage. Ces données sont transmises par les Services de Police des Eaux Littorales de l'ensemble des départements maritimes de France métropolitaine et d'outre-mer, ainsi que par les grands ports maritimes. Ces données sont ensuite synthétisées par le Cerema et retranscrites dans des tableaux formatés adoptés par les lignes directrices internationales. Le document expose les quantités de sédiments dragués en France, les différentes techniques utilisées ainsi que les différentes destinations de ces sédiments et leurs niveaux de contaminations au regard des niveaux de réglementaires existants. 1 - GÉNÉRALITÉS 1.1 - Contexte de l'enquête 1.2 - Étendue de l'enquête 1.3 - Contenu du rapport 2 - DRAGAGE 2.1 - Quantités de matière sèche draguées en France 2.1.2 - L’outre-mer en 2014 2.1.3 - Grands ports maritimes métropolitains en 2014 2.1.4 - Autres ports métropolitains 2.2 - Techniques de dragage 2.2.1 - Grands ports maritimes métropolitains 2.2.2 - Autres ports métropolitains 2.3 - Travaux neufs et travaux d'entretien 3 - DESTINATION DES SÉDIMENTS 3.1 – Destination et usages répertoriés 3.1.1 - Immersion et rejet des sédiments en mer 3.1.2 - Rechargement de plages 3.1.3 - Dépôt à terre 3.1.4 - Dépôt en mer 3.1.5 - Les autres destinations 3.2 – Destination par type de port 3.2.1 - Grands ports maritimes métropolitains 3.2.2 – Autres ports 4 - LES PERMIS D'IMMERSION 5 - LES CONTAMINANTS 5.1 - Les éléments-traces métalliques (ETM) 5.2 - Les polychlorobiphényles (PCB) 5.3 - Le tributylétain (TBT) 5.4 - Les hydrocarbures aromatiques polycycliques (HAP) 6 - BILAN DES DONNÉES DE SUIVI RECUEILLIES CONCLUSION
  172. Edition (Ceremadoc) Les niveaux marins extrêmes : Ports de métropole

    Ce rapport présente une estimation statistique des valeurs extrêmes de niveau d'eau aux marégraphes portuaires de métropole. Seuls les marégraphes possédant plus de dix ans de données sont étudiés, soient 28 marégraphes (21 pour les façades de mer du Nord, Manche et Atlantique, 7 pour la façade méditerranéenne). La méthode s'appuie sur la théorie des valeurs extrêmes et permet d'estimer les niveaux associés à des périodes de retour jusqu'à 1000 ans. Les intervalles de confiance calculés représentent l'incertitude d'échantillonnage. Le rapport présente aussi certains résultats intermédiaires, à savoir un relevé des tempêtes ayant produit les plus forts niveaux d'eau et, pour les ports de mer du Nord, Manche et Atlantique, une estimation des périodes de retour associés aux surcotes de pleine mer. 1. Introduction 1.1 Contexte 1.2 Objectif de l’étude 2. La méthodologie d’analyse statistique des extrêmes 2.1 Données 2.2 Analyse statistique 2.2.1 Approche indirecte : mer du Nord, Manche et Atlantique 2.2.2 Approche directe : Méditerranée 2.3 Incertitudes 2.3.1 Incertitude liée à la mesure ou aux données initiales 2.3.2 Incertitude de représentativité 2.3.3 Incertitude du choix du modèle statistique 2.3.4 Incertitude d’échantillonnage 2.4 Présentation des résultats 3 Résultats par port 3.1 Marégraphe de Dunkerque 3.1.1 Disponibilité et valeurs maximales observées 3.1.2 Estimation des valeurs extrêmes de surcote de pleine mer 3.1.3 Estimation des valeurs extrêmes de niveau d’eau au marégraphe 3.2 Marégraphe de Calais 3.2.1 Disponibilité et valeurs maximales observées 3.2.2 Estimation des valeurs extrêmes de surcote de pleine mer 3.2.3 Estimation des valeurs extrêmes de niveau d’eau au marégraphe 3.3 Marégraphe de Boulogne-sur-Mer 3.3.1 Disponibilité et valeurs maximales observées 3.3.2 Estimation des valeurs extrêmes de surcote de pleine mer 3.3.3 Estimation des valeurs extrêmes de niveau d’eau au marégraphe 3.4 Marégraphe de Dieppe 3.4.1 Disponibilité et valeurs maximales observées 3.4.2 Estimation des valeurs extrêmes de surcote de pleine mer 3.4.3 Estimation des valeurs extrêmes de niveau d’eau au marégraphe 3.5 Marégraphe du Havre 3.5.1 Disponibilité et valeurs maximales observées 3.5.2 Estimation des valeurs extrêmes de surcote de pleine mer 3.5.3 Estimation des valeurs extrêmes de niveau d’eau au marégraphe 3.6 Marégraphe de Cherbourg 3.6.1 Disponibilité et valeurs maximales observées 3.6.2 Estimation des valeurs extrêmes de surcote de pleine mer 3.6.3 Estimation des valeurs extrêmes de niveau d’eau au marégraphe 3.7 Marégraphe de Saint-Malo 3.7.1 Disponibilité et valeurs maximales observées 3.7.2 Estimation des valeurs extrêmes de surcote de pleine mer 3.7.3 Estimation des valeurs extrêmes de niveau d’eau au marégraphe 3.8 Marégraphe de Roscoff 3.8.1 Disponibilité et valeurs maximales observées 3.8.2 Estimation des valeurs extrêmes de surcote de pleine mer 3.8.3 Estimation des valeurs extrêmes de niveau d’eau au marégraphe 3.9 Marégraphe du Conquet 3.9.1 Disponibilité et valeurs maximales observées 3.9.2 Estimation des valeurs extrêmes de surcote de pleine mer 3.9.3 Estimation des valeurs extrêmes de niveau d’eau au marégraphe 3.10 Marégraphe de Brest 3.10.1 Disponibilité et valeurs maximales observées 3.10.2 Estimation des valeurs extrêmes de surcote de pleine mer 3.10.3 Estimation des valeurs extrêmes de niveau d’eau au marégraphe 3.11 Marégraphe de Concarneau 3.11.1 Disponibilité et valeurs maximales observées 3.11.2 Estimation des valeurs extrêmes de surcote de pleine mer 3.11.3 Estimation des valeurs extrêmes de niveau d’eau au marégraphe 3.12 Marégraphe de Port-Tudy 3.12.1 Disponibilité et valeurs maximales observées 3.12.2 Estimation des valeurs extrêmes de surcote de pleine mer 3.12.3 Estimation des valeurs extrêmes de niveau d’eau au marégraphe 3.13 Marégraphe du Crouesty 3.13.1 Disponibilité et valeurs maximales observées 3.13.2 Estimation des valeurs extrêmes de surcote de pleine mer 3.13.3 Estimation des valeurs extrêmes de niveau d’eau au marégraphe 3.14 Marégraphe de Saint-Nazaire 3.14.1 Disponibilité et valeurs maximales observées 3.14.2 Estimation des valeurs extrêmes de surcote de pleine mer 3.14.3 Estimation des valeurs extrêmes de niveau d’eau au marégraphe 3.15 Marégraphe de la Pointe Saint-Gildas 3.15.1 Disponibilité et valeurs maximales observées 3.15.2 Estimation des valeurs extrêmes de surcote de pleine mer 3.15.3 Estimation des valeurs extrêmes de niveau d’eau au marégraphe 3.16 Marégraphe des Sables d’Olonne 3.16.1 Disponibilité et valeurs maximales observées 3.16.2 Estimation des valeurs extrêmes de surcote de pleine mer 3.16.3 Estimation des valeurs extrêmes de niveau d’eau au marégraphe 3.17 Marégraphe de La Rochelle 3.17.1 Disponibilité et valeurs maximales observées 3.17.2 Estimation des valeurs extrêmes de surcote de pleine mer 3.17.3 Estimation des valeurs extrêmes de niveau d’eau au marégraphe 3.18 Marégraphe de Port-Bloc 62 3.18.1 Disponibilité et valeurs maximales observées 3.18.2 Estimation des valeurs extrêmes de surcote de pleine mer 3.18.3 Estimation des valeurs extrêmes de niveau d’eau au marégraphe 3.19 Marégraphe d’Arcachon 3.19.1 Disponibilité et valeurs maximales observées 3.19.2 Estimation des valeurs extrêmes de surcote de pleine mer 3.19.3 Estimation des valeurs extrêmes de niveau d’eau au marégraphe 3.20 Marégraphe de Bayonne 3.20.1 Disponibilité et valeurs maximales observées 3.20.2 Estimation des valeurs extrêmes de surcote de pleine mer 3.20.3 Estimation des valeurs extrêmes de niveau d’eau au marégraphe 3.21 Marégraphe de Saint-Jean-de-Luz 3.21.1 Disponibilité et valeurs maximales observées 3.21.2 Estimation des valeurs extrêmes de surcote de pleine mer 3.21.3 Estimation des valeurs extrêmes de niveau d’eau au marégraphe 3.22 Marégraphe de Port-Vendres 3.22.1 Disponibilité et valeurs maximales observées 3.22.2 Estimation des valeurs extrêmes de niveau d’eau au marégraphe 3.23 Marégraphe de Sète 3.23.1 Disponibilité et valeurs maximales observées 3.23.2 Estimation des valeurs extrêmes de niveau d’eau au marégraphe 3.24 Marégraphe de Marseille 3.24.1 Estimation des valeurs extrêmes de niveau d’eau au marégraphe 3.25 Marégraphe de Toulon 3.25.1 Disponibilité et valeurs maximales observées 3.25.2 Estimation des valeurs extrêmes de niveau d’eau au marégraphe 3.26 Marégraphe de Nice 3.26.1 Disponibilité et valeurs maximales observées 3.26.2 Estimation des valeurs extrêmes de niveau d’eau au marégraphe 3.27 Marégraphe de Monaco 3.27.1 Disponibilité et valeurs maximales observées 3.27.2 Estimation des valeurs extrêmes de niveau d’eau au marégraphe 3.28 Marégraphe d’Ajaccio 3.28.1 Disponibilité et valeurs maximales observées 3.28.2 Estimation des valeurs extrêmes de niveau d’eau au marégraphe Annexe 1 : Outils de calcul et données utilisées 1. Outils de calcul utilisés 2. Origine des données utilisées 2.1 Les prédictions de niveau de marée 2.2 Les observations de niveaux d’eau Annexe 2 : Estimation de l’eustatisme et de l’isostasie Ports en mer du Nord, Manche et Atlantique Méditerranée Annexe 3 : Analyse de sensibilité du critère d’indépendance des surcotes de pleine mer Annexe 4 : Données REFMAR aux marégraphes de référence en Méditerranée lors des principales tempêtes
  173. Study report (Ceremadoc) Ortho littorale V2 - Analyse des questionnaires sur les utilisations actuelles et les attentes - janvier 2018

    L’enquête sur l’utilisation de l’ortho littorale a été ouverte entre le 13 juillet et le 15 octobre 2017. Elle a été répartie en deux : d’une part une enquête générale destinée majoritairement au grand public, et d’autre part une enquête plus métier à destination du monde professionnel. Le nombre de réponses (267) pour l’enquête métier est très satisfaisant avec une bonne représentativité. En revanche l’enquête grand public n’a été complétée que par 52 personnes, ce qui pose peut-être la question de relancer à nouveau cette enquête avec davantage de publicité.
  174. Study report (Ceremadoc) Étude sur le recul du trait de côte sur le littoral de la Seine-Maritime 2018

    Cette étude commandée par la DDTM de Seine-Maritime sur le recul du trait de côte a pour objectifs de définir des projections du trait de côte à trois horizons 20, 50 et 100 ans et d’en déduire ensuite les enjeux potentiellement présents dans ces enveloppes et susceptibles d’être concernés par le recul du trait de côte à ces différentes échéances futures. Des tests ont été réalisés afin de caler la méthode qui a été validée par le comité de pilotage de l’étude réunissant l’université de Caen, le ROL, la DDTM et le Cerema. La méthode a consisté en une adaptation de l’indicateur national d’érosion côtière par une amélioration de la précision par casiers de 50m, par la prise en compte des événements majeurs, par la méthode de calculs à la fois par surface perdue et par distance max.
  175. Study report (Ceremadoc) Étude sur l’érosion côtière En aval des ouvrages majeurs en Seine Maritime (Partie 2)

    Étude spatio-temporelle du trait de côte naturel en aval des ouvrages majeurs dans le secteur situé entre Etretat et Saint-Aubin-sur-Mer en Seine Maritime. L’objectif de l’étude est d’identifier, si possible, l’impact de ces aménagements. Les moyens utilisés sont des prises de vue aériennes historiques et la reproduction de la méthode des casiers utilisée pour calculer l’indicateur national d’érosion côtière. Une tendance dans le comportement du trait de côte derrière les ouvrages est mise en évidence. Cette étude est la seconde partie de l’étude du trait de côte en aval des ouvrages majeurs sur le secteur entre Sainte- Marguerite-sur-Mer et Mesnil-Val.
  176. Study report (Ceremadoc) Étude sur l’érosion côtière En aval des ouvrages majeurs en Seine Maritime

    Étude spatio-temporelle du trait de côte naturel en aval des ouvrages majeurs dans le secteur situé entre Sainte-Marguerite-sur-Mer et Mesnil Val en Seine Maritime. L’objectif de l’étude est d’identifier, si possible, l’impact de ces aménagements. Les moyens utilisés sont des prises de vue aériennes historiques et la reproduction de la méthode des casiers utilisée pour calculer l’indicateur national d’érosion côtière. Une tendance dans le comportement du trait de côte derrière les ouvrages est mise en évidence. Trait de côte en aval des ouvrages – Étude spatio-temporelle – mai 2018 2/
  177. Study report (Ceremadoc) Bilan du Réseau de surveillance des ports maritimes (REPOM). Phase transitoire 2010-2017

    Créé en 1997, le REPOM est un réseau de suivi national de la qualité des eaux et des sédiments portuaires mis en œuvre par les services en charge de la police des eaux littorales. Depuis 2010, le programme de suivi dans l’eau a été suspendu au profit d’un développement du programme sédiments. Ainsi, le suivi de la qualité des sédiments a été complété par l’intégration des substances prioritaires de la Directive Cadre sur l’Eau. En 2014, le REPOM a été intégré au réseau de surveillance de la Directive Cadre Stratégie Milieu Marin (DCSMM) pour la définition du bon état écologique des eaux marines au titre du descripteur 8 relatif aux contaminants. L’analyse des données de la « phase transitoire » 2010-2017, a permis de définir les niveaux de présence des substances prioritaires dans les sédiments portuaires, d’identifier les substances les plus fréquemment mesurées dans les sédiments, et de proposer des scenarii d’évolution du réseau pour les années à venir.
  178. Study report (Ceremadoc) Retour d'expérience de deux consultations publiques de projets portuaires

    L'objectif de cette note est de partager un retour d'expérience du suivi partiel des deux dispositifs de consultation publique dans le cadre de projets portuaires : - le débat public concernant d nouveaux terminaux à conteneurs du port de Dunkerque appelé CAP 2020 - la concertation publique relative au projet d'amélioration de la desserte fluviale du port du Havre Les différentes observations et les documents produits par la CNDP ont été confrontés à la littérature scientifique traitant de la question des dispositifs de consultation publique
  179. Study report (Ceremadoc) Ortho littorale V3 Étude préalable pour un futur millésime avril 2018

    Cette étude préalable a été réalisée dans le cadre du sous groupe ortho littorale qui appartient au groupe de travail national GIMeL de la commission données du CNIG. Elle a pour objectif d’analyser des points qui étaient à approfondir de manière à disposer d’arguments pour une acquisition d’un nouveau millésime et être en capacité de faire des recommandations.
  180. Study report (Ceremadoc) Élaboration d’une méthode de délimitation des espaces potentiellement remarquables dans le département de la Manche - 2018

    L'objectif de l'étude est de proposer une méthode d’identification et de délimitation des espaces potentiellement remarquables sous la forme d'un outil d’aide cartographique. L’étude s’est déroulée en trois temps : 1. Analyse bibliographique ; 2. Collecte des données utiles à l’identification des espaces potentiellement remarquables ; 3. Élaboration d’un outil d’aide à l’identification des espaces potentiellement remarquables.
  181. Study report (Ceremadoc) Anse du Courégant - Ploemeur (56) . Vols drone et modélisation 3D

    Le laboratoire du Cerema Ouest a sollicité le laboratoire du Cerema Normandie-Centre pour entreprendre une série de vols au-dessus de l’Anse du Courégant (Ploemeur - 56). Ces vols avaient pour objectif de réaliser un levé précis de la digue située en fond d’anse, dans le but d’établir une situation initiale (point « 0 ») de la zone. L'ensemble des blocs constituants de cette digue sera levé avec une précision décimétrique. Le modèle 3D du site est fourni sous format informatique.
  182. Study report (Ceremadoc) Cahier des charges commenté pour la réalisation d'études d'aléas littoraux (submersion marine)

    Suite à la tempête Xynthia des 27 et 28 février 2010, plusieurs circulaires sont venues structurer le travail des services déconcentrés de l’État afin d’élaborer et de mettre en application des plans de prévention des risques littoraux (PPRL). Le Cerema a piloté la mise à jour du guide PPRL à destination des services déconcentrés de l’État. La réalisation des études d’aléas est le plus souvent confiée à un bureau d’études privé sur la base d’un cahier des charges. L’objet de ce rapport est de fournir les principaux points de vigilance dans la rédaction de ces cahiers des charges. Ont également contribué à cet ouvrage : Clément GASTAUD (DDTM13), Françoise DENIS (DDTM44), Nathalie DESRUELLES (DREAL Normandie) Caroline MAUDUIT (DEAL Mayotte), Julie SOLIGNAC (DGPR).
  183. Study report (Ceremadoc) Retour d'expérience de deux consultations publiques de projets portuaires.

    L’objectif de cette note est de partager un retour d’expérience du suivi partiel de deux dispositifs de consultation publique dans le cadre de projets portuaires : - Le débat public concernant le projet de nouveaux terminaux à conteneurs du port de Dunkerque appelé CAP 2020, - La concertation publique relative au projet d’amélioration de la desserte fluviale du port du Havre. Les différentes observations et les documents produits par la CNDP ont été confrontés à la littérature scientifique traitant de la question des dispositifs de consultation publique.
  184. Edition (Ceremadoc) Rejointoiement des ouvrages maritimes en maçonnerie

    Le patrimoine des ouvrages maritimes comporte de nombreuses infrastructures en maçonnerie (quais, jetées, digues, phares ...). La plupart de ces ouvrages sont anciens (antérieurs au XXe siècle). Ces constructions se dégradent avec le temps. Il est souvent judicieux d’entretenir ou de les réparer lorsque les effets du vieillissement sont détectés ou qu’ils ont une valeur patrimoniale reconnue. Dans ce cas il est utile en particulier d’entretenir ou de réparer les joints des pierres de maçonnerie. En fonction des altérations des joints, de la taille des ouvertures de joints, de la profondeur à traiter et des surfaces à rénover, différentes méthodes de rejointoiement sont possibles : le rejointoiement traditionnel, la projection, l’injection ou le matage. Ces méthodes et les conditions de leurs mises en oeuvre sont détaillées, tout comme les précautions à prendre et les contrôles à effectuer lors de l’exécution. 1 Domaine d’application, terminologie, définitions 1.1 Domaine d’application 1.2 Rappels terminologiques 1.2.1 Constitution d’une maçonnerie 1.2.2 Quelques définitions2 Le choix des techniques et des produits 2.1 Les différentes techniques de rejointoiement 2.1.1 Techniques courantes 2.1.2 Techniques alternatives en subaquatique 2.2 Choix de la technique de rejointoiement 2.2.1 Préambule 2.2.2 Choix de la méthode de régénération des maçonneries 2.3 Choix des produits de rejointoiement 2.3.1 Généralités 2.3.2 Technique traditionnelle et matage 2.3.3 Techniques par projection 2.3.4 Choix des constituants 2.4 Référentiel technique3 Exécution 3.1 Les études préalables : un diagnostic préalable 3.2 La préparation de chantier 3.3 Le phasage de chantier 3.4 Le dégarnissage 3.5 Le rejointoiement 3.5.1 Le rejointoiement manuel par la méthode traditionnelle 3.5.2 Le rejointoiement manuel par matage 3.5.3 Le rejointoiement par projection (voies sèche ou mouillée) 3.6 Les contrôles d’exécution 3.6.1 Ciments 3.6.2 Sable 3.6.3 Mortiers et bétons projetés Conclusion
  185. Edition (Ceremadoc) Submersions marines - Mieux les comprendre pour s'en protéger

    Dans la nuit du 27 au 28 février 2010, la tempête Xynthia balaye le littoral atlantique. Malgré la présence de structures de défense, l’eau s’est très vite propagée dans les terres. Ce phénomène dévastateur a mis en évidence la nécessité de mieux étudier le comportement des systèmes de protection contre les submersions marines (il sera question ici non pas d'analyser la réglementation sur les ouvrages de défense mais de s'attacher à l'efficacité des systèmes de protection). Quels enseignements tirer de la tempête Xynthia ? Mes ouvrages de protection empêcheront-ils le passage de l'eau lors des prochaines tempêtes ? Quelles démarches mettre en oeuvre ? Maintenant, quelles actions engager ?
  186. Edition (Ceremadoc) Les 6èmes Assises du Port du futur : 20 et 21 septembre 2016.

    Les Assises du Port du futur sont un évènement du ministère de la Transition écologique et solidaire organisé par le Cerema Eau, mer et fleuves. Elles sont devenues depuis 2011 un événement annuel incontournable où acteurs publics et privés, milieux économiques et universitaires se retrouvent pour des journées de travail et d’échanges à l’intersection entre différentes disciplines (ingénierie, technique, sociologie, économie, écologie…). Elles offrent ainsi des moments d’échanges autour des nouveaux enjeux qui se présentent au monde portuaire mais garantissent aussi des débats techniques sur des sujets d’actualité nationale. Lors de cette édition 2016, un retour sur les récentes conférences fret fluvial et ferroviaire ainsi que sur les missions parlementaires sur l’attractivité des grandes places portuaires françaises a permis d’ouvrir les débats sur les infrastructures et les solutions innovantes pour fluidifier le trafic. Les échanges se sont poursuivis autour du rôle des ports au sein de la chaîne numérique. La seconde journée a été l'occasion d'évoquer les relations ville-ports au travers des contributions de la session "Le port du futur au service de la cité du futur". Enfin, les Assises se sont clôturées par des échanges autour du port industriel et notamment sur des sujets d’innovation tels que les enjeux de l’hydrogène et les ouvrages portuaires améliorés. Ce document présente les principaux thèmes et sujets abordés et les résultats issus des deux jours de débats lors de ces 6èmes Assises du Port du futur. Quelles infrastructures et solutions innovantes pour fluidifier les trafics ? Les besoins techniques des connexions fluviales et ferroviaires Solutions, services innovants et perspectives de développement Financer l’innovation Conclusion Les ports acteurs de la chaîne numérique Enjeux logistiques et interconnexion Le rôle du port dans la chaîne numérique Exemples d’initiatives Les difficultés des ports engagés dans la voie du numérique Conclusion Le port industriel Enjeux et perspectives de l’hydrogène Conclusion Les ouvrages portuaires améliorés Conclusion Le port du futur au service de la cité du futur La déconnexion entre villes et ports au cours du 20e siècle Les défis du 21e siècle La nécessaire coopération de la ville et du port gage de résilience Nouvelles fonctionnalités, nouvelle économie : comment les villes-ports s’adaptent ? Conclusion Conclusion générale
  187. Edition (Ceremadoc) Mer et littoral : Journées Sciences & Territoires 2017 Enjeux, stratégies, prospective

    Cette première édition a abordé les enjeux liés aux territoires littoraux et maritimes sous l’angle de la planification déclinée dans quatre thématiques : les risques, l’énergie, l’observation des territoires, les acteurs des territoires. L’objectif de cet ouvrage est de rendre compte de ces journées, d’en restituer les principaux apports et de dégager les propositions évoquées. Introduction L’ambition d’un territoire maritime et littoral durableEnjeux Des territoires maritimes et littoraux en tension Entre risques et opportunités, un diagnostic contrasté La connaissance et le partage de l’information Une dimension économique stratégique Mer, littoral et transition énergétique Le citoyen, bénéficiaire ou acteur des politiques publiques ? La mémoire des événements maritimes et littoraux, un patrimoine Une approche résiliente intégrant l’environnementStratégies Vers un renouvellement de l’action publique La politique maritime intégrée et la gestion des zones côtières Une stratégie nationale pour la mer et le littoral Mobiliser l’ensemble des acteurs des territoires maritimes et littoraux Concilier vision stratégique et actions opérationnelles Favoriser la résilience des territoires maritimes et littorauxExpérimentations - innovations Pistes de recherche et d’action Observation : de nouveaux outils à mieux croiser et partager Innovation et production d’énergies renouvelables La nature, une solution pour la gestion des risques ? Planification concertée : vers des démarches de gestion intégrée Conclusion Quels futurs souhaitables pour les territoires maritimes et littoraux ?
  188. Edition (Ceremadoc) Enquête dragage 2012

    Ce document a pour objet d’analyser les données recueillies dans le cadre de l’enquête dragage et de présenter un état des lieux des opérations de dragage conduites en 2012, d’une part sur les pratiques, en termes de quantités draguées, de techniques utilisées et de destination des matériaux, et d’autre part sur l’état de contamination des sédiments au regard de la réglementation en vigueur. Dans les éléments de comparaison, l’analyse tient compte de l’écart important entre les quantités de sédiments déplacés par les grands ports maritimes de métropole et les opérations de dragage réalisées dans les autres ports. 1 - Généralités 1.1 - Contexte de l’enquête 1.2 - Étendue de l’enquête 1.3 - Contenu du rapport 2 - Dragage 2.1 - Quantités de matières sèches draguées en France 2.1.1 - Généralités 2012 2.1.2 - L’outre-mer 2.1.3 - Grands ports maritimes 2.1.4 - Autres ports métropolitains 2.2 - Techniques de dragage 2.2.1 - Grands ports maritimes 2.2.2 - Autres ports métropolitains 2.3 - Travaux neufs et travaux d’entretien 3 - Destination des sédiments 3.1 – Destination et usages répertoriés 3.1.1 - Immersion et rejet des sédiments en mer 3.1.2 - Rechargement de plages 3.1.3 - Dépôt à terre 3.1.4 - Dépôt en mer 3.1.5 - Les autres destinations 3.2 – Destination par type de port 3.2.1 - Grands ports maritimes 3.2.2 – Autres ports 4 – Les permis d’immersion5 - Les contaminants 5.1 - Les éléments traces métalliques (ETM) 5.2 - Les polychlorobiphényles (PCB) 5.3 - Le tributylétain (TBT) 6 - Bilan des données de suivi recueillies Conclusion Annexes, figures et cartes Annexes 1 Définition de l’enquête annuelle de dragage 2 Extraits de l’arrêté du 09/08/06 relatif aux niveaux de référence a prendre en compte lors d’une analyse de sédiments marins ou estuariens présents en milieu naturel ou portuaire (version en vigueur en 2012) 3 Méthodologie de calcul de la quantité de matières sèches 4 Présentation des différentes techniques de dragage Figures 1 Quantités de matières sèches draguées (en millions de tonnes) dans les grands ports maritimes en 2012 2 Quantités de matières sèches draguées (en millions de tonnes) par département en excluant les grands ports maritimes 3 Représentation des différentes techniques de dragage utilisées dans les Grands Ports Maritimes 4 Représentation des différentes techniques de dragage utilisées dans les autres ports métropolitains 5 Représentation de la destination des sédiments des grands ports maritimes en France métropolitaine 6 Représentation de la destination des sédiments des autres ports par façade maritime en France métropolitaine 7 Dépassements du seuil N1 pour les ETM (en mg/kg) 8 Dépassements du seuil N2 pour les ETM (en mg/kg) 9 Dépassements des seuils N1 et N2 pour les PCB (en μg/kg) 10 Dépassements des seuils N1 et N2 pour le TBT (en μg/kg) Cartes 1 Utilisation de la technique de rotodévasage dans les ports français 2 Localisation des dragages conduits pour travaux neufs en France 3 Localisation des rechargements de plage sur la façade Manche 4 Localisation des rechargements de plage sur la façade Atlantique 5 Localisation des rechargements de plage sur la façade Méditerranée 6 Les sites d’immersion de la Manche utilisés 7 Les sites d’immersion de l’Atlantique utilisés 8 Les sites d’immersion de la Méditerranée utilisés
  189. Edition (Ceremadoc) Enquête dragage 2013

    Cette enquête est réalisée chaque année par la DtecEMF du Cerema. Elle vise à exploiter l’ensemble des données relatives aux opérations de dragage qui ont eu lieu en 2013. Ces données sont transmises par les Services de Police des Eaux Littorales (SPEL) de l’ensemble des départements maritimes de France métropolitaine et d’outre-mer, ainsi que par les grands ports maritimes. Ces données sont ensuite synthétisées par la DtecEMF du Cerema et retranscrites dans des tableaux formatés adoptés par les lignes directrices internationales. Le bureau LM1 de la direction de l’eau et de la biodiversité au MEDDE transmet après validation ces résultats aux secrétariats des trois conventions. Le document expose donc les quantités de sédiments dragués en France, les différentes techniques utilisées ainsi que les différentes destinations de ces sédiments et leurs niveaux de contaminations au regard des niveaux de réglementaires existants. 1 - Généralités 1.1 - Contexte de l’enquête 1.2 - Étendue de l’enquête 1.3 - Contenu du rapport 2 - Dragage 2.1 - Quantités de matières sèches draguées en France 2.1.1 - Généralités 2013 2.1.2 - L’outre-mer 2.1.3 - Grands ports maritimes 2.1.4 - Autres ports métropolitains 2.2 - Techniques de dragage 2.2.1 - Grands ports maritimes 2.2.2 - Autres ports 2.3 - Travaux neufs et travaux d’entretien 3 - Destination des sédiments 3.1 – Destination et usages répertoriés 3.1.1 - Immersion et rejet des sédiments en mer 3.1.2 - Rechargement de plages 3.1.3 - Dépôt à terre 3.1.4 - Dépôt en mer 3.1.5 - Les autres destinations 3.2 – Destination par type de port 3.2.1 - Grands ports maritimes 3.2.2 – Autres ports 4 - Les permis d’immersion5 - Les contaminants 5.1 - Les éléments traces métalliques (ETM) 5.2 - Les polychlorobiphényles (PCB) 5.3 - Le tributylétain (TBT) 5.4 - Les hydrocarbures aromatiques polycycliques (HAP) 6 - Bilan des données de suivi recueillies Conclusion Annexes, figures et cartes Annexes 1 Définition de l’enquête annuelle de dragage 2 Arrêté du 09/08/06 relatif aux niveaux de référence a prendre en compte lors d’une analyse de sédiments marins ou estuariens présents en milieu naturel ou portuaire (version en vigueur en 2013) 3 Méthodologie de calcul de la quantité de matières sèches 4 Présentation des différentes techniques de dragage Figures 1 Quantités de matières sèches draguées (en millions de tonnes) dans les grands ports maritimes 2 Quantités de matières sèches draguées (en millions de tonnes) par département en excluant les grands ports maritimes 3 Représentation des différentes techniques de dragage utilisées dans les Grands Ports Maritimes 4 Représentation des différentes techniques de dragage utilisées dans les autres ports métropolitains 5 Représentation de la destination des sédiments des grands ports maritimes en France 6 Représentation de la destination des sédiments des autres ports par façade maritime en France 7 Dépassements du seuil N1 pour les ETM (en mg/kg) 8 Dépassements du seuil N1 pour les PCB (en μg/kg) 9 Dépassements du seuil N1 pour le TBT (en μg/kg) Cartes 1 Utilisation de la technique de rotodévasage dans les ports français 2 Localisation des dragages conduits pour travaux neufs en France 3 Localisation des rechargements de plage sur la façade Manche 4 Localisation des rechargements de plage sur la façade Atlantique 5 Localisation des rechargements de plage sur la façade Méditerranée 6 Les sites d’immersion de la Manche utilisés 7 Les sites d’immersion de l’Atlantique utilisés 8 Les sites d’immersion de la Méditerranée utilisés
  190. Edition (Ceremadoc) Collecte d'informations sur le terrain suite à une inondation : Guide méthodologique

    Ce guide donne des éléments de méthode sur l’organisation, le matériel nécessaire, la procédure de collecte et la capitalisation des informations collectées. Réalisé en amont de la survenue d’un événement, le protocole permet : de gagner du temps entre la survenue de l’événement et le lancement de la collecte, de réaliser efficacement et rapidement des reconnaissances de terrain adaptées au type d’inondation rencontré et à la configuration des lieux. Les informations collectées sont ainsi plus fiables et homogènes en termes de contenu et de forme avec celles collectées sur un territoire proche ou pour un autre événement. Les données collectées contribuent aux analyses de l’événement (définition des emprises des zones inondées, déroulement de l’événement…) et permettent de mieux comprendre la survenance et le déroulement de l’événement d’un point de vue hydraulique. 1 Présentation 1.1 Contexte général 1.2 Objectifs et contenu du guide 1.3 Types d’inondations et informations à collecter 1.3.1 Types d’inondations concernés 1.3.2 Informations à collecter sur le terrain après une inondation 2 Élaboration d’un protocole préalable organisant la collecte d’informations 2.1 Présentation d’un protocole 2.2 Grandes étapes d’élaboration et de mise en oeuvre d’un protocole 2.3 Élaboration d’un protocole 2.3.1 Connaissance de l’aléa inondation sur le territoire 2.3.2 Préparation de la collecte des informations 2.3.3 Définition de la méthode de capitalisation 3 Collecte d’informations sur le terrain 3.1 Levés des Plus Hautes Eaux (PHE) 3.1.1 Objectif 3.1.2 Méthodologie 3.1.3 Fiche de levée 3.2 Levés de laisses 3.2.1 Objectif 3.2.2 Méthodologie 3.2.3 Fiche de levés 3.3 Enquêtes – Témoignages 3.3.1 Objectif 3.3.2 Méthodologie 3.3.3 Fiche de levés 4 Annexes Annexe 1 : Documents consultés Annexe 2 : Glossaire Annexe 3 : Sigles et acronymes Annexe 4 : Exemple de tableau de repères de crues Annexe 5 : Trame de cahier des charges et bordereau des prix
  191. Study report (Ceremadoc) Autoroutes de la mer : Eléments de cadrage maritimes et portuaires

    Les éléments de cadrage significatifs présentés ici mettent en lumière trois points de réflexion utiles pour la compréhension du fonctionnement des autoroutes de la mer : - En premier lieu, la création d’un service maritime de type « autoroutes de la mer » correspond bien souvent à la mise en œuvre d’une offre de transports maritimes qui méconnaît les véritables besoins logistiques des chargeurs et des transporteurs, les ressorts de leurs choix multimodaux ; or, il s’avère que les caractéristiques d’un service « autoroute de la mer » ne conviennent qu’à certains types de chargeurs et de transporteurs. - Ensuite, la mise en œuvre des autoroutes de la mer ne s’appuie que rarement sur l’expérience des services de ferries classiques, en particulier du point de vue des prestations portuaires (caractéristiques et tarifications). De ce point de vue aussi, les attentes des transporteurs routiers sont méconnues. - Troisièmement, les études économiques précédant la mise en œuvre des autoroutes de la mer sous-estiment certains coûts et certaines difficultés opérationnelles ; en particulier, les résultats d’exploitation prévisionnels dépendent sensiblement du type de navire choisi : roro ou ropax, ropax basique ou ropax haut de gamme. De même, les coûts de capital sont extrêmement variables selon les navires retenus et leur année de construction ; or ces charges de capital sont également un facteur qui pèse sur la rentabilité d’une ligne. Le potentiel concurrentiel vis-à-vis du transport routier étant, le plus souvent, mince, le choix de critères non adaptés peut conduire à des illusions.
  192. Study report (Ceremadoc) Sea and maritime basin Strategy document strategic phase, Development guide, Volume 1 Principles and background

    The document is a development guide for the implementation of the strategic planning for the integrated management of sea and coast. The first volume is dedicated to principles and legislative and regulatory framework, to the expected content of the planning documents and to the links with other policies and international cooperation.
  193. Study report (Ceremadoc) Sea and maritime basin Strategy document strategic phase, Development guide, Volume 2 Methodology

    The document is a development guide for the implementation of the strategic planning for the integrated management of sea and coast. The second volume is proposing a step by step preparation method of the strategic document, from the initial assessment and the identification of issues, to the formulation of a vision for the future and then its translation into strategic objectives and a vocation map setting up a maritime spatial planning.
  194. Study report (Ceremadoc) Documents stratégiques de façade et de bassins maritimes volet stratégique, Guide d'élaboration, Volume 2 Méthodologie

    L'ouvrage est un guide méthodologique pour l'élaboration de la planification stratégique de la gestion intégrée de la mer et du littoral. Le second volume propose une méthode de préparation pas à pas du document stratégique, de l'état des lieux initial et l'identification des enjeux, à la formulation d'une vision pour l'avenir puis sa traduction en objectifs stratégiques et dans une carte des vocations qui fournit une planification de l'espace maritime.
  195. Study report (Ceremadoc) Documents stratégiques de façade et de bassins maritimes volet stratégique, Guide d'élaboration, Volume 1 Principes et contexte

    L'ouvrage est un guide méthodologique pour l'élaboration de la planification stratégique de la gestion intégrée de la mer et du littoral. Le premier volume est consacré aux principes et au cadre législatif et réglementaire, au contenu attendu pour les documents de planification, au lien avec les autres politiques et à la coopération internationale.
  196. Study report (Ceremadoc) Impact sur les bâtiments des vagues franchissant le rivage

    Estimer les efforts sur les structures à proximité du rivage est nécessaire à leur dimensionnement, c’est particulièrement vrai pour les ouvrages de protection. Toutefois toutes les structures n’ont pas à être construites sur la base d’une résistance supposée à une sollicitation donnée. Ce n’est notamment pas le cas des bâtiments soumis aux chocs mécaniques des vagues. Cette étude propose donc une approche originale permettant, sur la base de l’existant, d’approcher les forces exercées par les vagues sur le bâti. Elle a été réalisée à la demande de la direction génrale de la prévention des risques du ministère de la transition écologique et solidaire dans le cadre de l’élaboration des plans de prévention des risques littoraux prioritaires. Elle est accompagnée d’une autre étude visant à fournir des éléments de prescriptions pour les bâtiments susceptibles d’être affectés par le choc mécanique des vagues.
  197. Study report (Ceremadoc) Duc d'Albe de l'écluse du Pont Malin, zone d'attente aval rive gauche - Mission G2 PRO

    A la demande de VNF, DT Nord-Pas-de-Calais/UT1, le Cerema Nord-Picardie a réalisé une étude géothechnique de niveau G2 PRO, au sens de la norme NF P94-500, du dimensionnement des ducs d'Albe de la zone d'attente de l'écluse de Pont Malin sur l'Escaut, sur la commune de Bouchain (59). Ce dossier fournit une synthèse des hypothèses géotechniques, les choix constructifs et les notes de calculs de dimensionnement.
  198. Study report (Ceremadoc) Port de Calais-Perré RISBAN; Mission G5 : diagnostic géotechnique.

    A la demande de la Région Hauts-de-France, Direction Mer, Port et Littoral, les Cerema Nord-Picardie et Ouest ont réalisé une mission d'expertise géotechnque sur le perré RISBAN. La présente étude correspond à une mission G5 au sens de la norme NF P94-500 de novembre 2013. L'objectif de cette mission est d'effectuer une analyse de l'origine des dégradations apparaissant sur la plateforme technique du perré Risban du port de Calais et de proposer les premières recommandations pour son confortement. Les différentes pathologies visibles et les causes avancées mettent en avant un défaut manifeste de conception mais aussi quelques manquement lors de l'exécution. Les éléments principaux qui nous semblent ne pas avoir été appréhendés sont : -les actions induites par la houle sur la tête de l'ouvrage - l'analyse des conséquences d'un déchirement du géotextile supérieur. Pour une digue en enrochement de ce type, d'autant plus avec une crête située à proximité du niveau PMVE, la conception doit nécessairement intégre un dispositif de fermeture de la digue, stable et non dégradable. Dans l'attente de ces futurs travaux, il nous paraît indispensable d'effectuer un suivi du niveau du matériau V4 et de prévoir des travaux d'urgence en cas d'abaissement significatif.
  199. Study report (Ceremadoc) Etude bibliographique : Impact des ports et du trafic maritime et fluvial sur la qualité de l'air en zone portuaire et côtière

    Ce rapport bibliographique dresse un état des connaissances de l'impact du trafic maritime et fluvial sur la qualité de l'air en zone portuaire et côtière. Il est un des éléments de réflexion sur la stratégie à adopter en matière de réduction des polluants atmosphérique en milieu portuaire, le transport maritime étant le secteur ayant fait le moins de progrès dans ce domaine. L'analyse de références documentaires nationales et internationales montre la part non négligeable du transport maritime dans les émissions de polluants tes que les oxydes d'azote (NOx), les particules fines (PM) et le dioxyde de soufre (SO2) principalement, celles de dioxyde de carbone (CO2) étant lies à l'augmentation du trafic. Des mesures envisageables par les gestionnaires de navires sont recensées, que ce soit en agissant sur les moteurs des navires pour les NOx ou sur les carburants pour le SO2, en application de la régulation internationale dictée par l'Organisation maritime internationale (OMI) et par la mise en oeuvre de solutions technologiques. Dans le cadre de leurs plans de stratégie environnementale en particulier et par l'implication des différents acteurs portuaires, les autorités portuaires peuvent favorablement compléter ces actions de réduction des polluants, à condition de bien déterminer les sources d'émissions du passage portuaire, qu'elles soint maritimes ou terrestres, afin de mener des actions ciblées. Les méthodologies employées pour déterminer les émissions de polluants atmosphériques reposent généralement sur des approches bottom-up où le travail de recensement des différentes sources émissaires est primordial mais complexe (variété et caractéristiques des navires, multiplicité et caractérisation des sources terrestres fixes et mobiles), ce qui amène souvent à réduire le périmètre d'étude potentiel.
  200. Edition (Ceremadoc) Données (Les) clés de la mer et du littoral. Synthèse des fiches thématiques de l'Observatoire national de la Mer et du Littoral

    Ce document regroupe les synthèses de toutes les fiches thématiques rédigées par le Service de l'Observation et des Statistiques du ministère de l'Écologie, l'Ifremer, l'Agence des aires marines protégées et le Cerema dans le cadre de l'Observatoire national de la mer et du littoral. Les sujets traités sont regroupés en 6 thèmes, têtes de chapitre de ce document. Ils concernent à la fois l'environnement littoral et marin, mais aussi les aspects sociaux et économiques: les activités économiques littorales et maritimes; la démographie, l'occupation du sol et le logement; les outils de gestion, de protection de la nature, d'urbanisme; les pressions des activités humaines terrestres et maritime; l'état du milieu marin et du littoral; les risques et le changement climatique. Il traite du littoral et des eaux marines française, en métropole et en outre-mer. En métropole, cela représente près de 1 200 communes. En outremer, la quasi totalité des communes des iles de Guadeloupe, de Martinique et de la Réunion sont littorales. Par ailleurs, les communes de bord de mer en Guyane sont très vastes et très profondes. Les comparaisons ne sont donc pas possibles en outremer.
  201. Study report (Ceremadoc) Écluse de la Barre (Lille). Diagnostic corrosion.

    Le Cerema a été sollicité par les VNF pour réaliser un état des lieux de la protection anticorrosion des parties métalliques de l'écluse de la Barre, comprenant : un diagnostic complet de l'état général du système de protection anticorrosion des parties métalliques de l'ouvrage (vantaux des deux portes busquées), des passerelles et de l'échelle de sas, l'analyse des peintures avec recherche de la présence éventuelle d'amiante et de plomb,des suggestions pour une remise en état du système anticorrosion et de plomb, des suggestions pour une remise en état du système anticorrosion chiffrées, un rapport de visite détaillé au format PDF L'intervention s'est déroulée le mercredi 11 octobre 2017
  202. Edition (Ceremadoc) Étude des systèmes de protection contre les submersions marines

    La tempête Xynthia, qui a frappé les côtes françaises le 28 février 2010 a provoqué la submersion de vastes territoires, malgré la présence d’ouvrages de défense. Cette catastrophe a mis en évidence la nécessité de mieux étudier le comportement des systèmes de protection contre les submersions marines, en choisissant une échelle géographique adaptée et en intégrant la cinématique des événements. Le travail de recherche engagé sur le fonctionnement et les défaillances de ces systèmes a conduit à des avancées significatives sur le plan de la connaissance des mécanismes en jeu et des stratégies et des méthodes dédiées à leur analyse et leur représentation. La méthodologie développée, éprouvée sur quatre sites submergés lors de Xynthia (Loix, Les Boucholeurs et Boyardville en Charente-Maritime, Batz-sur-mer en Loire-Atlantique), a vocation à guider le diagnostic des sites sujets à submersion marine, depuis le lancement des premières investigations jusqu’à la restitution formelle des analyses. Préface | Résumé | Abstract | Présentation générale | Contexte | Objectif | Lectorat ciblé | Domaines de compétences mobilisés | Sélection de quatre sites pour les études de cas | Protocole d’élaboration de la méthodologie | Organisation du document I – Méthodologie 1 Cadre conceptuel 1.1 Concepts pour l’analyse géographique 1.1.1 Système de protection 1.1.2 Casier hydraulique 1.1.3 Modèle « source-transfert-cible » 1.2 Phénomène naturel, événement, aléa, enjeux et vulnérabilité 1.2.1 Phénomène naturel initiateur 1.2.2 Événement et scénario d’événements 1.2.3 Aléa 1.2.4 Enjeux 1.2.5 Vulnérabilité 1.3 Risque : caractérisation, évolution, acceptabilité et perception 1.3.1 Caractérisation du risque dans le cadre d’une analyse 1.3.2 Évolution du risque 1.3.3 Acceptabilité et perception du risque 1.4 Politiques et mesures de prévention du risque 1.4.1 Politiques de prévention du risque 1.4.2 Mesures de prévention du risque et leurs effets 1.4.3 Stratégie de gestion du risque 1.4.4 Organisation, rôles et responsabilités 2 Systèmes de protection – présentation à l’échelle globale 2.1 Analyse des phénomènes naturels à l’origine des submersions 2.2 Fonction de protection et objectifs de performance d’un système 2.2.1 Détermination des phénomènes naturels de référence 2.2.2 Caractérisation de la performance d’un système vis-à-vis des phénomènes naturels 2.3 Fonctionnement, dysfonctionnement, maintenance et gestion 2.3.1 Modes de fonctionnement d’un système de protection 2.3.2 Dysfonctionnements d’un système de protection 2.3.3 Maintenance et gestion 2.4 Fonctions de défense contre les entrées d’eau 2.4.1 Phénomènes hydrauliques affectant la ligne de défense 2.4.2 Fonctionnement d’ensemble de la ligne de défense 2.4.3 Défaillances couramment observées 2.5 Fonctions de gestion de l’eau 2.5.1 Phénomènes hydrauliques déterminants 2.5.2 Fonctionnement d’ensemble 2.5.3 Défaillances couramment observées 3 Systèmes de protection – présentation à l’échelle des structures 3.1 Structures de défense 3.1.1 Formations naturelles ou partiellement anthropisées 3.1.2 Digues 3.1.3 Perrés 3.1.4 Murs et ouvrages de soutènement 3.1.5 Épis 3.1.6 Brise-lames 3.2 Dispositifs de gestion de l’eau 3.2.1 Drains 3.2.2 Canaux et fossés 3.2.3 Canalisations à section fermée 3.2.4 Aires de stockage ou d’expansion 3.2.5 Clapets, vannes et écluses 3.2.6 Dispositifs de pompage 3.3 Effets de l’évolution des composants sur le système 3.3.1 Évolution des dispositifs de défense et effets sur le système 3.3.2 Évolution des dispositifs intérieurs et effets sur le système 4 Stratégies d’étude et méthodes d’analyse 4.1 Contexte opérationnel de l’étude des systèmes 4.2 Stratégie et organisation de la conduite d’étude 4.3 Méthodes d’analyse 4.3.1 Arbre des défaillances 4.3.2 Arbre des événements 4.3.3 Logigramme de type « nœud papillon » 4.4 Prolongements possibles des analyses 5 Investigation et modélisation 5.1 Observation de l’événement météorologique 5.2 Observation des phénomènes en mer 5.2.1 Observation des niveaux marins 5.2.2 Observation des états de mer et des courants 5.3 Observation du comportement du système 5.3.1 Images satellitaires 5.3.2 Photographies aériennes 5.3.3 Les modèles numériques de terrain 5.3.4 Investigations spécifiques aux ouvrages et autres structures 5.3.5 Exploitation des laisses de mer 5.4 Techniques de modélisation hydraulique 5.4.1 Analyse et modélisation de l’inondation 5.4.2 Modélisation du comportement des structures 5.5 Incertitudes et précautions d’usage 5.5.1 Incertitudes sur les observations 5.5.2 Incertitudes liées à la modélisation ANNEXE A Recommandations pour la rédaction des analyses de siteIntroduction1.Cadrage de l’analyse 1.1.Description générale du site 1.2.Analyse des enjeux 1.2.1.Recensement des enjeux 1.2.2.Identification des enjeux centraux de l’analyse 1.3.Aléa(s) de référence et objectifs de protection 1.4.Données disponibles pour l’analyse 1.5.Stratégie d’analyse 2.Définition du (ou des) système(s) de protection 2.1.Délimitation du (ou des) système(s) de protection 2.1.1.Topographie de la zone d’étude 2.1.2.Positionnement des dispositifs de protection 2.1.3.Conclusion sur le(s) système(s) à étudier 2.2.Schématisation du système de protection 2.2.1.Représentation des contours du système et des zones d’enjeux 2.2.2.Représentation des casiers hydrauliques et des dispositifs intérieurs 2.2.3.Schéma de synthèse 2.3.Logigramme du système de protection 3.Fonctionnement global du système au cours de l’événement 3.1.Conditions hydrauliques extérieures 3.2.Comportement du système au cours de l’événement 3.3.Étude hydraulique globale 3.4.Analyse optionnelle sur les effets des vagues 4.Description des événements (approche détaillée) 4.1.Description du fonctionnement des casiers 1 à m 4.1.1.Casier 1 4.1.2.Casier i 4.1.3.Casier m 4.2.Description du fonctionnement des structures types et des structures particulières (défense et gestion des eaux) 4.2.1.Structure type ayant une fonction de défense 4.2.2.Structure type ayant une fonction de gestion des eaux 4.2.3.Structure type j 4.2.4.Structure particulière p 5.Synthèse et conclusion 5.1.Synthèse 5.2.Conclusion ANNEXE B : Recommandations sur la production cartographique ANNEXE C : Références bibliographiques II – Études de cas Sites étudiés Note introductive aux études de cas
  203. Edition (Ceremadoc) Démarche pour la modernisation des méthodes d’exploitation des ouvrages de navigation

    Les démarches de modernisation sont courantes et a priori simples d’approche, elles ne sont cependant que rarement formalisées, en particulier dans leur partie préparatoire. Pourtant, la définition des objectifs et des performances visés conditionnent leur succès. L’objet du guide « Démarche pour la modernisation des méthodes d’exploitation des ouvrages de navigation » consiste à proposer une démarche rationnelle exhaustive de modernisation par une approche fonctionnelle. Celle-ci s’appuie sur l’expérience acquise au CETMEF puis à la DTecEMF du Cerema. Elle se compose de phases successives partant de l’expression des besoins et de l’analyse de l’existant. Elle vise in fine à une modernisation, qui répond aux besoins des différents acteurs, qui est adaptée aux contraintes connues et qui permet de s’assurer que l’ensemble des enjeux sont bien pris en compte. Le guide expose l’ensemble de la démarche à l’attention de tout gestionnaire ayant pour projet la modernisation d’un secteur de voies navigables. Il complète d’autres outils et publications traitant de points spécifiques non abordés ici, comme l’analyse de risque, les modes de marche et d’arrêt, les fonctionnements dégradés, etc. 1 Analyse de l’existant 1.1 Les caractéristiques générales du secteur concerné et de ses ouvrages 1.2 Les modes d’exploitation et les missions assurées par les agents 1.3 L’état mécanique des ouvrages (génie civil et structures) 1.3.1 Pré-diagnostic du secteur 1.3.2 Description et analyse des systèmes techniques existants 2 Définition des objectifs de la modernisation 2.1 Les objectifs d’exploitation 2.2 Les objectifs d’entretien et de maintenance 2.3 Les contraintes 3 Choix organisationnels et techniques 3.1 La documentation technique de référence 3.1.1 Bibliographie 3.2 Le recours aux experts et l’utilisation des retours d’expériences 3.3 Les méthodes d’exploitation à envisager 3.3.1 Techniques de manœuvre 3.3.2 Modes d’exploitation 3.4 Les choix organisationnels et techniques 4 Phases de réalisation 4.1 Établissement du programme 4.2 Organisation du projet 4.3 Rédaction du DCE 4.4 Publication, analyse des offres, choix du ou des prestataires 4.5 Suivi des travaux, tests et recettes 5 Suivi de l’exploitation et de la maintenanceAnnexes Annexe I : Estimation des moyens humains nécessaires à l’exploitation et la maintenance suivant le mode d’exploitation Annexe II : Estimation des moyens humains nécessaires à l’exploitation et la maintenance suivant le mode d’exploitation : Précision pour les secteurs automatisés Fonctionnement d’un secteur automatisé Compétences nécessaires Annexe III : Estimation des moyens humains nécessaires à l’exploitation et la maintenance suivant le mode d’exploitation. Précision pour les secteurs en accompagnement Annexe IV : Actions à réaliser lors d’un pré-diagnostic Annexe V : Bibliographie Annexe VI : Glossaire
  204. Edition (Ceremadoc) Validité des modèles physiques sédimentologiques fluviaux : Étude de synthèse.

    L’objectif de cette étude est de recenser de façon exhaustive les études réalisées à Artelia dans le domaine concerné, de dégager une typologie des modèles, de donner des informations plus précises pour chaque type identifié en fournissant des fiches descriptives d’un certain nombre de modèles caractéristiques pour chaque type, de dégager les principes généraux permettant de guider les choix des ingénieurs et aménageurs confrontés à des problématiques susceptibles de relever de la modélisation physique comme outil principal d’étude. Il s’agit en conclusion de réaliser un état de l’art et une réflexion sur la validité et l’avenir de cet outil dans ses divers domaines d’application. Introduction 1. Consistance de l’étude 2. Problèmes traites par la modélisation physique sédimentologique et typologie des modèles 2.1. terminologie 2.2. distinction fonds affouillables/ fonds mobiles 2.3. problématiques traitées par les modèles sédimentologiques fluviaux 3. La modélisation physique : intérêts et principes 3.1. objectifs de la modélisation physique 3.2. raisons de la réduction à l’échelle 3.3. terminologie 3.4. principes de la similitude 3.4.1. similitude hydraulique 3.4.2. échelles de similitude géométriques et hydrauliques 3.4.3. similitude sédimentologique 3.4.3.1. typologie 3.4.3.2. similitude de début d’entrainement 3.4.3.3. similitude de transport solide 3.4.4. distorsion 4. Les équipements de la modélisation physique sédimentologique 4.1. liste des équipements 4.2. caractérisation des sédiments 4.3. caractérisation des dépôts et érosions 4.4. caractérisation des volumes injectes et transportes 5. Modèles réduits sédimentologiques recensement et fiche type 5.1. recensement 5.2. typologie des modèles 5.2.1. régime d’écoulement et de transport solide 5.2.2. type d’aménagement 5.2.3. gamme d’échelles 5.3. fiche type 5.4. retour d’expérience 5.5. fiches modèle GlossaireAnnexes annexe a. fiches modèles : torrents (22) annexe b. fiches modèles : laves torrentielles (4) annexe c. fiches modèles : rivières (9) annexe d. fiches modèles : ponts (11) annexe e. fiches modèles : seuils (7) annexe f. fiches modèles : barrages (9) Tableaux tabl. 1 - modèle non distordu en similitude de froude tabl. 2 - modèle distordu en similitude de froude Figures fig. 1. sonde laser sur son support mobile fig. 2. exemple de levé bathymétrique autour des piles de pont fig. 3. année de réalisation des modèles réduits sédimentologiques répertoriés (période 1978-2006) fig. 4. modèles physiques – statistique par régime d’écoulement et type de transport fig. 5. modèles physiques – statistique par type d’ouvrage fig. 6. modèles physiques – statistique par gamme d’échelles
  205. Edition (Ceremadoc) Les 5èmes assises du port du futur : 30 septembre et 1er octobre 2015

    Dans un contexte en perpétuelle évolution, les ports doivent s’adapter et innover pour faire face aux nouveaux enjeux qui se présentent à eux. Que ce soit en termes de développement durable, de gestion de l’hinterland ou d’intégration des systèmes d’information, les ports du futur doivent répondre à des attentes sans cesse renouvelées. Depuis 2011, les Assises « Port du Futur » rassemblent les décideurs, chercheurs, industriels et opérateurs de services impliqués dans la construction et l’activité portuaire pour débattre des nouveaux enjeux et de la manière d’y répondre. L’édition 2015 s’intéresse au rôle des ports comme acteurs moteurs du développement durable. Par ailleurs, les ports sont des acteurs majeurs sur leur territoire et contribuent à le structurer à travers leur hinterland. Enfin, afin de répondre aux besoins des acteurs portuaires, les ports doivent innover, notamment à travers les nouveaux outils connectés. Ce document présente les principaux thèmes et sujets abordés et les résultats issus des deux jours de débats lors de ces 5èmes Assises de « Port du Futur ». Les ports moteurs du développement durable Un contexte en constante évolution L’innovation par la technologie L’innovation organisationnelle et institutionnelle Une communication innovante Conclusions Le port architecte de son hinterland Le port logisticien Un port adapté au contexte local Conclusion Le port connecté Des outils nombreux mais qui manquent d’interopérabilité Conclusion Le port acteur de la transition énergétique Des politiques nouvelles, qui demandent de s’adapter Réduire les émissions polluantes vers l’atmosphère Lutter contre les pollutions accidentelles Mettre en place une filière de démantèlement respectueuse des hommes et de l’environnement Conclusions
  206. Edition (Ceremadoc) Atlas des carrières d'enrochements

    Les enrochements sont des matériaux régulièrement utilisés dans les ouvrages hydrauliques, en particulier lorsqu’ils ont une fonction de protection contre les inondations – maritimes ou fluviales – ou une fonction de protection des bassins portuaires vis-à-vis de l'agitation. Cette étude recense à l'échelle nationale les carrières susceptibles de les produire tout en apportant des précisions sur les principales caractéristiques de ces sites ainsi que sur leur niveau de certification. Consultation de l'atlas par certification Annexes : Légende des fiches Légende géologique Pour rejoindre l'atlas des carrières en enrochement
  207. Edition (Ceremadoc) Vers une utilisation optimale des enrochements : Actes de la conférence nationale sur les enrochements du 27 octobre 2015

    Les enrochements représentent une ressource stratégique pour la sécurité des aménagements hydrauliques, qu’il s’agisse de projets structurants ou d’interventions suite à des catastrophes naturelles. Le 27 octobre 2015, une conférence nationale a été consacrée à ce thème. Cette conférence marquait la fin d’un cycle de sept tables rondes menées sur l’ensemble du territoire métropolitain et qui a permis d’échanger avec l’ensemble des acteurs de la filière Enrochements. Les actes de cette conférence restituent le bilan qui peut être dressé de l’utilisation des normes et de l’application du marquage CE (obligatoire depuis le 31 décembre 2004), identifient les points d’achoppement (dans la localisation des ressources et la réalisation des essais) et présentent les innovations destinées à faciliter les opérations de sélection et de contrôle de la qualité de ces matériaux. Introduction Tableau général de l’utilisation des enrochements en France Les normes et leurs conditions matérielles et financières d’application Application locale des essais prévus par la norme Le marquage CE et son application locale Recherche et innovation pour des essais plus rapides, plus sûrs et moins coûteux Investigations sur les enrochements en place dans les ouvrages Recensement de la ressource en enrochement
  208. Study report (Ceremadoc) Cluster INTERREG IVA du programme "des 2 mers". Retour d'expérience sur le projet "Petits ports durables".

    Le projet Su-port est un projet de coopération transfrontalière sur l'amélioration de la durabilté des petits ports de la Région des "2 mers" (Manche Mer du Nord). Il a donné l'occasion de travailler pendant 2 ans à un consortium de 6 partenaires. Outre une réflexion méthodologique sur la notion de durabilité dans les ports, débouchant sur des questionnements concrets pour en dresser un état de l'art, le projet a soutenu la production d'un impressionnant volume de réflexions et réalisations concrètes au niveau des ports du consortium : 5 plans d'actions stratégiques, déclinés en actions de courts termes avec réalisation d'un premier "pilote" pour chaque port, dans le calendrier du projet. Le Cerema Nord-Picardie, accompagné su Cerema- Eau, mer et fleuves, a assuré la supervision méthodologique et scientifique de l'ensemble du projet, en vue d'en tirer une exploitation dans le cadre des travaux sur le "Pont du futur". L'expérience acquise permettra à l'établissement d'envisager la réalisation de futurs projets qui prolongeront la réflexion, tout en lui permettant de valoriser plus directement ses compétences techniques en prenant part à la réalisation de prestations sur le terrain.
  209. Edition (Ceremadoc) Les 4èmes Assises du port du futur : 9 et 10 septembre 2014.

    Les Assises du Port du futur sont un événement annuel du Ministère de l'écologie du développement durable et de l'énergie organisé par le Cerema (Direction technique Eau, mer et fleuves). Il s'agit d'un colloque destiné aux décideurs français et européens, aux responsables des grands ports mondiaux, aux industriels, aux opérateurs de services de transport et aux chercheurs pour leur permettre de travailler et pour échanger sur les enjeux portuaires d’aujourd’hui et de demain. L'essentiel des Assises est un document qui synthétise les débats qui se sont tenus lors de ce colloque à l'attention d'un public généraliste. Édito Le port stratège Europe France Ports Stratégie Défis Le port entrepreneur La question des sédiments de dragage, ou le port aménageur physique Définition Volumes Gestion Réglementation Bonnes pratiques Capitalisation Conclusion Le port développeur de services Un port attractif Les ports français Filières Conclusions
  210. Edition (Ceremadoc) Analyse du fonctionnement hydro-sédimentaire du littoral : Cahier technique

    Ce cahier technique traite de l’analyse du fonctionnement hydro-sédimentaire du littoral. Cette analyse est indispensable pour toute étude d’aménagement côtier et d’aléas littoraux (recul du trait de côte, submersion marine, migration dunaire), notamment comme première phase avant la caractérisation et la cartographie des aléas. Cette phase tente de comprendre les évolutions physiques du littoral, à différentes échelles de temps, sous l’effet de multiples facteurs, climatiques et météorologiques, mais aussi anthropiques. Cette analyse du fonctionnement du littoral est réalisée indépendamment des aléas qui affectent le territoire considéré. Elle démarre par une analyse du fonctionnement hydro-sédimentaire, comprenant notamment une analyse géomorphologique du territoire, une analyse des conditions météorologiques et hydro-dynamiques et une analyse du fonctionnement hydro-sédimentaire. Elle se poursuit par une analyse historique qui étudie au cours du temps l’évolution de la configuration de la frange littorale et des implantations humaines ainsi que les conséquences des tempêtes en termes de submersions marines ou d’évolution de la morphologie de la frange littorale. Enfin, une synthèse permet de définir précisément le périmètre d’étude et les aléas à considérer et, pour chaque aléa à caractériser, les principaux phénomènes à leur origine, permettant de définir les méthodes de caractérisation et les hypothèses adaptées. PRÉAMBULE 1 – INTRODUCTION 2 - PRÉREQUIS TECHNIQUES CONCERNANT LA CONNAISSANCE DES PHÉNOMÈNES ET ALÉAS LITTORAUX 2.1 - Les formes littorales 2.1.1 - Les côtes basses meubles 2.1.2 - Les côtes à falaises 2.1.3 - Baies, estuaires et deltas 2.2 - Les ouvrages de protection 2.3 - Phénomènes météo-marins 2.3.1 - Le niveau marin 2.3.1.a - Le niveau moyen de la mer 2.3.1.b - La marée théorique 2.3.1.c - Les surcotes / décotes 2.3.2 - Les effets hydrodynamiques et météorologiques locaux 2.3.2.a - Le déferlement des vagues 2.3.2.b - Les seiches 2.3.3 - Les tsunamis 2.3.4 - Le changement climatique 2.4 - Aléas littoraux 2.4.1 - Le recul du trait de côte 2.4.2 - La migration dunaire 2.4.3 - La submersion marine 3 - MÉTHODE D'ANALYSE DU FONCTIONNEMENT HYDRO-SÉDIMENTAIRE DU LITTORAL 3.1 - Une méthode d'analyse des aléas littoraux en deux temps 3.2 - Principes généraux du fonctionnement hydro-sédimentaire du littoral 3.3 - Fonctionnement hydro-morphosédimentaire du secteur d’étude 3.3.1 - Analyse du cadre géomorphologique 3.3.1.a - Les caractéristiques géologiques et hydrogéologiques 3.3.1.b - Les caractéristiques sédimentologiques des plages 3.3.1.c - Les caractéristiques topo-bathymétriques 3.3.1.d - Caractéristiques morpho-sédimentaires et bathymétriques des fonds et de l’estran 3.3.2 - Analyse des conditions climatiques, météorologiques et hydrodynamiques 3.3.2.a - Contexte climatique et météorologique 3.3.2.b - Les conditions hydrodynamiques 3.3.3 - Fonctionnement hydro-sédimentaire du littoral 3.3.3.a - La cellule hydro-sédimentaire 3.3.3.b - Le trait de côte : modalités de définition et limites 3.3.3.c - Le profil de plage : modalités de définition et limites 3.3.3.d - Le système dune-plage : un transport sédimentaire lié au vent 3.3.3.e - Les transports sédimentaires sous l’action des houles et des marées 3.3.3.f - L'analyse du recul des falaises : actions continentales et marines 3.3.4 - Les ouvrages de protection contre les aléas littoraux 3.3.5 - Analyse du fonctionnement hydraulique du site 3.4 - Approche historique 3.4.1 - Évolution du trait de côte 3.4.1.a - L'analyse diachronique de la dynamique côtière 3.4.1.b - L'estimation des vitesses et des rythmes d’évolution 3.4.2 - L'inventaire des submersions marines historiques 3.4.3 - L'évolution de l'occupation humaine : modes d'urbanisation et occupation du sol 3.5 - Synthèse de l'analyse du fonctionnement hydro-sédimentaire du littoral : identification des facteurs à l'origine des aléas littoraux 3.5.1 - Le recul des côtes rocheuses et à falaises 3.5.2 - Le recul des côtes basses meubles et la migration dunaire 3.5.3 - La submersion marine 3.5.4 - Résultats attendus 4 - CONCLUSION 5 - GLOSSAIRE TECHNIQUE 6 - SIGLES 7 - PRINCIPALES RÉFÉRENCES BIBLIOGRAPHIQUES Analyse
  211. Edition (Ceremadoc) Étude des aléas littoraux dans le cadre d’une analyse coûts-bénéfices (ACB)

    Les analyses coût/bénéfice (ACB) sont des outils d’aide à la définition des stratégies de prévention des risques permettant d’estimer la rentabilité économique d’un projet. Développées initialement pour les projets de prévention des inondations par débordements de cours d’eau, les ACB littorales sont confrontées à des difficultés méthodologiques. Les méthodes de détermination des aléas submersion marine et recul du trait de côte, aléa non abordé dans les documents existants, sont précisées dans ce document. Pour que l’ACB puisse jouer son rôle, d’évaluation de la pertinence des projets d’ouvrages de protection, l’impact de ceux-ci sur les aléas doit être finement défini. Pour la submersion marine, deux niveaux de mise en œuvre d’une ACB sont proposés suivant l’avancée du projet. Le choix des événements théoriques à étudier pour construire la courbe dommages-fréquence est abordé en lien avec le comportement des ouvrages de protection (niveau de protection et niveau de sûreté) et les niveaux de dommages aux enjeux. Le changement climatique nécessite l’élaboration d’au moins deux courbes dommages-fréquence Préambule 1 - Contexte 2 - Principes d'une ACB 2.1 - Objectifs 2.2 - Contexte méthodologique des projets subventionnés par l’État 3 - Connaissance des aléas littoraux et des impacts projets sur les aléas 3.1 - Généralités 3.2 - Études utiles à la réalisation d'une étude d'aléas littoraux dans le cadre d’une ACB 3.3 - Phase 1 : Analyse générale du fonctionnement du littoral 3.4 - Phase 2 : Cartographie des aléas littoraux 4 - Principes de l'analyse des aléas littoraux 4.1 - Échelle d’analyse 4.2 - Horizon temporel de l’analyse 4.3 - Choix des situations étudiées 4.3.1 -Situation de référence 4.3.2 -Situations de projets 4.3.3 -Situation « sans ouvrage » 4.4 - Un niveau d’analyse lié à l’avancement du projet 4.5 - Estimation des coûts associés au projet 4.5.1 -Les coûts d’entretien et de gestion 4.5.2 -Les coûts de réparation et de reconstruction 5 - Analyse du recul du trait de côte et/ou de l'érosion 5.1 - Informations nécessaires à l'analyse du recul du trait de côte et/ou de l’érosion 5.2 - Cartographie de l'aléa recul du trait de côte 5.2.1 -Estimation d’un recul linéaire dans le temps 5.2.2 -Estimation d’un recul du trait de côte non linéaire dans le temps 5.3 - Changement climatique 5.4 - Étude de sensibilité 5.4.1 -Horizon temporel 5.4.2 -Zone soumise au recul 5.4.3 -Distribution du recul du trait de côte dans le temps 6 - Analyse de l'aléa submersion marine 6.1 - Principes de réalisation d'une étude d'aléa submersion marine préalable à l'élaboration d'une ACB 6.1.1 -Plusieurs niveaux d'analyse 6.1.2 -Informations nécessaires à l'élaboration de la cartographie de l'aléa submersion marine 6.1.3 -Choix des événements hydrauliques/scénarios étudiés 6.1.4 -Aléa non constant et changement climatique 6.1.5 -Cartographie de l’aléa submersion marine 6.1.5.a - Méthode de cartographie 6.1.5.b - Paramètres à cartographier 6.2 - Analyse simplifiée de l'aléa submersion marine 6.2.1 -Informations nécessaires sur le projet 6.2.2 -Scénarios étudiés 6.2.2.a - Choix des scénarios étudiés 6.2.2.b - Description des événements hydrauliques 6.2.3 -Cartographie de l'aléa submersion marine 6.2.4 -Estimation des dommages évités 6.2.5 -Études de sensibilité 6.2.5.a - Fréquence des événements hydrauliques (niveaux marins) 6.2.5.b - Horizon temporel 6.2.5.c - Changement climatique 6.3 - Analyse affinée de l'aléa submersion marine 6.3.1 -Informations nécessaires sur le projet 6.3.2 -Scénarios étudiés 6.3.2.a - Choix des scénarios étudiés 6.3.2.b - Description des événements hydrauliques 6.3.3 -Cartographie de l'aléa submersion marine 6.3.4 -Estimation des dommages 6.3.5 -Études de sensibilité 6.3.5.a - Fréquence des événements hydrauliques 6.3.5.b - Horizon temporel 6.3.5.c - Changement climatique 6.3.5.d - Comportement hydraulique et structurel de l'ouvrage 7 - Limites de la méthode 8 - Glossaire 9 – Bibiographie
  212. Edition (Ceremadoc) Enquête dragage 2011 : Synthèse des données.

    Ce document a pour objet d’analyser les données recueillies dans le cadre de l’enquête dragage et de présenter un état des lieux des opérations de dragage conduites en 2011, d’une part sur les pratiques, en termes de quantités draguées, de techniques utilisées et de destination des matériaux, et d’autre part sur l’état de contamination des sédiments au regard de la réglementation en vigueur. Dans les éléments de comparaison, l’analyse tient compte de l’écart important entre les quantités de sédiments déplacés par les grands ports maritimes de métropole et les opérations de dragage réalisées dans les autres ports. PRÉAMBULE 1 - GÉNÉRALITÉS 1.1 - Contexte de l'enquête 1.2 - Étendue de l'enquête 1.3 - Contenu du rapport 2 - DRAGAGE 2.1 - Quantités de matières sèches draguées en France 2.1.1 - Généralités 2011 2.1.2 - Cas particulier de l’outre-mer en 2011 2.1.3 - Grands ports maritimes de métropole 2.1.4 - Autres ports métropolitains 2.2 - Techniques de dragage 2.2.1 - Grands ports maritimes de métropole 2.2.2 - Autres ports métropolitains 2.3 - Travaux neufs et travaux d'entretiens 3 - DESTINATION DES SÉDIMENTS 3.1 – Destination et usages répertoriés 3.1.1 - Immersion des sédiments 3.1.2 - Rechargement de plages 3.1.3 - Dépôt à terre 3.1.4 - Dépôt en mer 3.1.5 - Les autres destinations 3.2 – Localisation des pratiques 3.2.1 - Grands ports maritimes de métropole 3.2.2 – Autres ports métropolitains 4 – LES PERMIS D'IMMERSION 5 - LES CONTAMINANTS 5.1 - Les éléments-traces métalliques 5.2 - Les polychlorobiphényles (PCB) 5.3 - Le tributylétain (TBT) 6 - BILAN DES DONNÉES DE SUIVI RECUEILLIESCONCLUSION ANNEXES, FIGURES ET CARTES Annexes Annexe 1 : Définition de l’enquête annuelle de dragage ; Annexe 2 : Arrêté du 09/08/06 relatif aux niveaux de référence à prendre en compte lors d'une analyse de sédiments marins ou estuariens présents en milieu naturel ou portuaire (version en vigueur en 2011) ; Annexe 3 : Méthodologie de calcul de la quantité de matières sèches ; Annexe 4 : Présentation des différentes techniques de dragage ; Annexe 5 : Données collectées pour la convention de Barcelone : sites d'immersion et quantités ; Annexe 6 : Données collectées pour la convention OSPAR : charges totales ; Annexe 7 : Données collectées pour la convention de Londres : sites d’immersion et quantités France entière. Figures Figure 1 : Quantités de matières sèches draguées (en millions de tonnes) dans les grands ports maritimes de métropole en 2011 ; Figure 2 : Quantités de matières sèches draguées (en millions de tonnes) par département en 2011 en excluant les grands ports maritimes de métropole ; Figure 3 : Représentation des différentes techniques de dragage utilisées dans les grands ports maritimes de métropole en 2011 ; Figure 4 : Représentation des différentes techniques de dragage utilisées dans les autres ports métropolitains en 2011 ; Figure 5 : Représentation de la destination des sédiments des grands ports maritimes en France métropolitaine ; Figure 6 : Représentation de la destination des sédiments des autres ports par façade maritime en France métropolitaine ; Figure 7 : Dépassements du seuil N1 pour les éléments-traces métalliques (en mg/kg) en 2011 ; Figure 8 : Dépassements du seuil N1 pour les PCB (en μg/kg) en 2011 ; Figure 9 : Dépassements du seuil N1 pour le TBT (en μg/kg) en 2011. Cartes Carte 1 : Les sites d'immersion de la Manche utilisés en 2011 ; Carte 2 : Les sites d'immersion de l'Atlantique utilisés en 2011 ; Carte 3 : Les sites d'immersion de la Méditerranée utilisés en 2011.
  213. Edition (Ceremadoc) Les 3èmes Assises du port du futur : 23 et 24 mai 2013. L’essentiel.

    La démarche « port du futur » a pour but de réfléchir collectivement à l’avenir des ports français et de promouvoir la recherche et l’innovation dans le domaine portuaire. Cette démarche regroupe plusieurs partenaires au sein d’un comité de pilotage : le Ministère chargé des transports s’appuyant sur son service expert le Direction technique Eau, mer et fleuves, les Pôles de compétitivité (Pôle Mer Bretagne, Pôle Mer Méditerranée, I-Trans et Novalog), l’Union des Ports de France, l’Association des Utilisateurs de Transport de Fret, l’Association des Régions de France et le Cluster Maritime Français. Le port du futur : une définition Éléments de prospective Le trafic maritime et les ports français Pour une transition vers l’économie circulaire Écouter les besoins des clients des ports Port du futur et énergie L'essor des EMR Optimiser la consommation, une question de gouvernance Les ports moteurs d’une compétitivité durable Le rôle primordial des armateurs Le passage au GNL La logistique durable, un processus global Les relations ville-port, entre attirance et defiance Valoriser le foncier portuaire Les relations ville-port
  214. Edition (Ceremadoc) Guide Enrochement - L’utilisation des enrochements dans les ouvrages hydrauliques : Traduction française du Rock Manual - 2nde édition - Manual for the use of rock in hydraulic engineering or Rock Manual.

    La France a été précurseur dans le domaine avec la publication en 1989 du Guide LCPC « les enrochements ». Le CIRIA (UK) a publié en 1991 un document plus complet, le « manual on the use of rock in coastal and shoreline engineering », généralement connu sous le nom de « rock manual ». Le CUR (NL) a procédé à la première mise à jour du « rock manual » en 1995 distribué sous le nom de « manual on the use of rock in hydraulic engineering » qui intégra les voies navigables et les aspects constructifs. L’objectif du guide est un document autoporteur de notoriété européenne sur les enrochements, les blocs artificiels, et leurs utilisations dans les ouvrages hydrauliques. La conception, le dimensionnement, les matériaux, la construction ainsi que la maintenance sont abordés. Le « rock manual – 2ème édition » est basé sur les trois manuels européens existants et prend en compte les derniers développements liés à la normalisation européenne, aux recherches en cours en Europe. Il intègre de nouvelles approches aussi bien sur l’aspect dimensionnement que prise en compte de l’environnement. 1. Introduction 2. Conception des ouvrages 3. Matériaux 4. Caractérisation du site et collecte des données 5. Phénomènes physiques et outils de dimensionnement 6. Conception des ouvrages à la mer 7. Conception des digues de fermetures et des barrages 8. Conception des ouvrages en rivière et canal 9. Construction 10. Surveillance, inspection, maintenance et réparation
  215. Edition (Ceremadoc) Coût des protections contre les inondations fluviales

    La présente étude est destinée à servir de référence pour l’évaluation des coûts des ouvrages dans le domaine fluvial. En ce sens elle présente, d’une part une méthodologie de calcul du coût global actualisé d’un ouvrage, et d’autre part une synthèse des coûts observés en France au cours des dix dernières années. Les coûts présentés sont issus de deux approches complémentaires : estimation des coûts annuels linéaires liés aux investissements, à l’entretien et à la gestion des ouvrages sur la base des dépenses de trois grands parcs d’ouvrages : la Loire, le Rhône et l’Isère, estimation du coût des interventions au travers l’étude des marchés de travaux réalisés depuis 2001 en France métropolitaine. L’analyse a porté sur 140 opérations mettant en œuvre les principales techniques de construction, reconstruction, confortement, réparation ou maintenance. Destination de l'étude. Mode d'élaboration de l'étude 1 Évaluation du coût global actualisé de la création, réfection ou du renforcement d'un ouvrage 1.1 Principe de calcul du coût global actualisé 1.2 Séquence de calcul du coût global actualisé 2 Dépenses observées à l’échelle des parcs (investissement, entretien, gestion) 2.1 Spécificités des ouvrages et terminologie liée aux dépenses. 2.2 Méthodologie pour l’estimation des dépenses à l’échelle des parcs 2.3 Étude des dépenses sur trois grands parcs français 2.4 Comparaison des dépenses observées sur les parcs 3 Composition des ouvrages et autres facteurs influençant les coûts d’intervention 3.1 Typologie des ouvrages et facteurs déterminants essentiels 3.2 Forme, composition et fonction des ouvrages 3.3 Influence de la forme et la composition des ouvrages sur le coût 3.4 Coût des mesures opérationnelles et d’accompagnement 3.5 Composition du coût d’une intervention 4 Méthodologie relative aux coûts des marchés de travaux 4.1 Les produits de sortie de l'analyse 4.2 Organisation des données d'entrée 4.3 Mode opératoire de traitement des données 4.4 Forme de la restitution des résultats 5 Coûts observés sur les digues 5.1 Synthèse des coûts observés sur les digues 5.2 Détail des coûts observés sur les digues 6 Coûts observés sur les perrés, murs et ouvrages de soutènement 6.1 Synthèse des coûts observés 6.2 Détail des coûts observés sur les perrés 6.3 Détail des coûts observés sur les murs de soutènement 7 Coûts observés sur les épis et les dispositifs de rétention 7.1 Synthèse des coûts observés sur les épis et les dispositifs de rétention 7.2 Détail des coûts observés sur les épis 7.3 Détail des coûts observés sur les dispositifs de rétention 8 Analyse transversale des coûts des interventions et des techniques 8.1 Principe, méthode et bénéfices escomptés 8.2 Analyse des coûts globaux 8.3 Analyse du coût des techniques – coûts surfaciquesn 8.4 Analyse du coût des techniques – coûts volumiques 8.5 Analyse du coût des techniques – coûts massiques 9 Étude spécifique sur les terrassements 9.1 Objet de cette étude spécifique 9.2 Synthèse des coûts observés sur les terrassements 9.3 Détail des coûts observés sur les débroussaillages, déblais, dépôt, évacuation 9.4 Détail des coûts observés sur les remblais et les aménagements de surface 10 Étude spécifique sur les maçonneries 10.1 Objet de cette étude spécifique 10.2 Synthèse des coûts observés sur les maçonneries 10.3 Détail des coûts observés sur les maçonneries 11 Références
  216. Edition (Ceremadoc) CANDHIS - Observations des états de mer : Analyse des tempêtes sur le littoral métropolitain. Automne-hiver 2013-2014

    De fin octobre 2013 jusqu’au début du mois de mars 2014, la France a été balayée par plusieurs puissantes perturbations générant des hauteurs de vagues parfois très fortes. La Direction Technique Eau Mer et Fleuves du Cerema assure la gestion du réseau national de mesure des états de mer in-situ, CANDHIS. Ce rapport présente les caractéristiques des états de mer observés par le réseau CANDHIS durant les principales tempêtes durant l’automne 2013 et l’hiver 2013-2014 en France métropolitaine. PRÉAMBULE1 – INTRODUCTION 2 – MÉTHODOLOGIE 2.1 – Paramètres des états de mer 2.1.1 – Définitions 2.1.2 – Calcul et analyse 2.2 – Événements étudiés 2.3 – Zone d’étude 2.4 – Analyse des extrêmes 3 – SYNTHÈSE4 – TEMPÊTE DU 23 AU 25 DÉCEMBRE 2013 4.1 – Situation générale 4.2 – Stations de mesure opérationnelles 4.3 – Evolution spatio-temporelle 4.4 – Périodes de retour 4.5 – Spectre de variance 5 – TEMPÊTE DES 3 ET 4 JANVIER 2014 5.1 – Situation générale 5.2 – Stations de mesure opérationnelles 5.3 – Evolution spatio-temporelle 5.4 – Périodes de retour 5.5 – Spectre de variance 6 – TEMPÊTE DES 6 ET 7 JANVIER 2014 6.1 – Situation générale 6.2 – Stations de mesure opérationnelles 6.3 – Evolution spatio-temporelle 6.4 – Périodes de retour 6.5 – Spectre de variance 7 – TEMPÊTE DU 31 JANVIER AU 2 FÉVRIER 2014 7.1 – Situation générale 7.2 – Stations de mesure opérationnelles 7.3 – Evolution spatio-temporelle 7.4 – Périodes de retour 7.5 – Spectre de variance 8 – TEMPÊTE DU 4 AU 6 FÉVRIER 2014 8.1 – Situation générale 8.2 – Stations de mesure opérationnelles 8.3 – Evolution spatio-temporelle 8.4 – Périodes de retour 8.5 – Spectre de variance 8.6 – Record 9 – TEMPÊTE DU 7 AU 9 FÉVRIER 2014 9.1 – Situation générale 9.2 – Stations de mesure opérationnelles 9.3 – Evolution spatio-temporelle 9.4 – Périodes de retour 9.5 – Spectre de variance 10 – TEMPÊTE DES 14 ET 15 FÉVRIER 2014 10.1 – Situation générale 10.2 – Stations de mesure opérationnelles 10.3 – Evolution spatio-temporelle 10.4 – Périodes de retour 10.5 – Spectre de variance 11 – TEMPÊTE DU 2 AU 4 MARS 2014 11.1 – Situation générale 11.2 – Stations de mesure opérationnelles 11.3 – Evolution spatio-temporelle 11.4 – Périodes de retour 11.5 – Spectre de variance 12 – AUTRES TEMPÊTES 12.1 – Sélections Météo-France et SHOM 12.2 – Tempête « Christian » du 26 octobre 2013 12.3 – Tempête « Godehart » du 3 novembre 2013 12.4 – Tempête « Xaver » du 5 décembre 2013 12.5 – Tempête « Qumaira » les 6 et 7 février 2014 12.6 – Tempête « Tini » les 12 et 13 février 2014 13 – RÉFÉRENCESANNEXES ANNEXE 1 : Partenaires du Cerema dans le cadre du réseau CANDHIS ANNEXE 2 : Observations CANDHIS sur le littoral atlantique ANNEXE 3 : Observations CANDHIS sur le littoral méditerranéen
  217. Edition (Ceremadoc) Reconnaissance de la limite du rivage de la mer : Intérêt et potentialité de critères morpho-sédimentaires et botaniques.

    Cette étude fait un bilan des connaissances sur les critères morpho-sédimentaires et botaniques permettant la détermination de la limite atteinte par les plus hautes eaux. En effet, la limite des plus hautes eaux en absence de perturbations météorologiques exceptionnelles est un des critère utilisés pour la délimitation du Domaine Public Maritime. Les méthodes actuelles par levés topographiques lors de hauts niveaux de marée présentent certains inconvénients. Des valeurs intégratrices de cette limite plutôt qu'instantanées sont à privilégier. C'est en ce sens que le SHOM a également engagé une étude sur les niveaux marins extrêmes. La présente étude a pour objet l'étude des indicateurs de délimitation de cette ligne physiologique des plus hautes eaux, frontière contrôlée par différents facteurs. Une synthèse bibliographique ainsi que des études de cas ont permis de proposer des indicateurs morpho-sédimentaires et botaniques suivant les types de côtes pour la délimitation de cette limite des plus hautes eaux, une des nombreuses définitions existantes du « trait de côte ». PREMIERE PARTIE - SYNTHESE BIBLIOGRAPHIQUE I.1. La notion de domaine public maritime I.1.1. Définition en France I.1.2. Exemples à l'étranger I.2. Pratiques de la délimitation I.2.1. Méthode classique I.2.2. Détermination des niveaux atteints par la mer I.2.3. Enquête auprès des services de l'Etat I.3. Typologie géomorphologique des littoraux I.3.1. Les côtes rocheuses à falaise I.3.2. Les côtes sableuses. Plages et dunes littorales I.3.3. Les côtes basses en sédimentation I.3.4. Les littoraux aménagés I.4. Organisation générale de la végétation littorale I.4.1. Les étages littoraux fondamentaux I.4.2. Les côtes rocheuses I.4.3. Les côtes meubles I.4.4. Les côtes basses en sédimentation DEUXIEME PARTIE - ANALYSE DE SITUATIONS CARACTERISTIQUES II.1. Étude de cas sur le littoral français métropolitain II.1.1. Côtes à falaises II.1.2. Côtes meubles II.1.3. Côtes basses en voie de colmatage II.1.4. Exemples d'équivalences latérales de niveau II.2. Analyse de cas réels de délimitation II.2.1. Côtes sableuses II.2.2. Côtes basses, lagunes côtières II.2.3. Estuaire II.3. Autres approches méthodologiques II.3.1. Etude historique de l'évolution du trait de côte II.3.2. Analyse statistique des niveaux extrêmes II.3.3. Apport de prises de vue aériennes II.3.4. Indicateur accidentel Synthèse et conclusion Glossaire Références bibliographiques Liste des illustrations
  218. Edition (Ceremadoc) Modélisation des flux de conteneurs sur les terminaux portuaires : Application à la mise en place du scanning

    L'objectif de l'étude est de proposer une méthode d'évaluation des impacts de la mise en place du 100 % scanning sur les flux portuaires et sur la productivité, en retenant le terminal de Graveleau comme lieu d'étude. Le présent rapport vise à présenter la démarche retenue pour mener cette étude. Après une rapide description du terminal de Graveleau, le rapport décrit les choix retenus pour la constitution du modèle original ainsi que les avantages et limites de ce choix de modélisation, puis formule des propositions de recommandations.
  219. Edition (Ceremadoc) Le transport fluvial « Freycinet » en France : Éléments de connaissance

    En France, depuis le milieu des années 90, le transport fluvial connaît un renouveau certain attesté par un accroissement du volume des marchandises transportées, ainsi que par un positionnement sur de nouvelles filières. La loi de programmation relative à la mise en œuvre du Grenelle de l’environnement de 2009, dite loi Grenelle n°1, a confirmé le report du transport de marchandises vers des modes alternatifs à la route comme un des moyens à mettre en œuvre pour réduire les émissions de gaz à effet de serre dans le domaine du transport de marchandises ; la réalisation du projet de canal Seine-Nord Europe à l’horizon 2020 y est inscrite. Dans un contexte favorable au développement du transport fluvial avec des objectifs importants de développement de ce mode de transport alternatif à la route, le transport fluvial sur le réseau dit Freycinet (à petit gabarit) occupe une place à part. Il a connu une érosion sans précédent depuis maintenant quarante ans. Depuis quelques années, le transport fluvial Freycinet connaît un regain d’intérêt certain porté par Voies navigables de France (VNF) et l’association Entreprendre pour le fluvial. Ces marchés de niche méritent qu’on s’y intéresse, car ils participent, même modestement, au maintien, voire au développement, du transport fluvial.
  220. Edition (Ceremadoc) Analyse statistique des niveaux d'eau extrêmes : Environnements maritime et estuarien.

    Le Cerema Eau, mer et fleuves, missionné par le Ministère de l'Écologie, du Développement Durable, des Transports et du Logement et dans le cadre d'un contrat de recherche regroupant le Cerema Eau, mer et fleuves, EDF, l’École nationale des Ponts et Chaussés, le SHOM et la Direction Générale de la Prévention des Risques, s'est efforcé de produire un document méthodologique visant à apporter des éléments d'analyse et des solutions pratiques aux services de l'État et aux bureaux d'ingénierie en charge des estimations de niveaux d'eau extrêmes en environnement maritime et fluvial. 1 - INTRODUCTION2 - LES COMPOSANTES DU NIVEAU D’EAU MARIN 2.1 - Nature des composantes 2.1.1 - Fluctuations du niveau d’eau marin 2.1.2 - L’isostasie 2.1.3 - L’eustatisme 2.1.3.a - Effets stériques 2.1.3.b - Circulation d’eau entre les réservoirs naturels 2.1.4 - Les processus météo-océaniques 2.1.5 - La marée 2.1.5.a - Origine 2.1.5.b - Principales caractéristiques 2.1.6 - La surcote météorologique 2.1.6.a - Origine 2.1.6.b - Surcote liée à la pression atmosphérique 2.1.6.c - Surcote générée par le vent 2.1.6.d - Influence du littoral 2.1.7 - Effet des vagues 2.1.7.a - Wave set-up 2.1.7.b - Ondes infragravitaires 2.1.7.c - Wave run-up 2.1.7.d - Conditions de formation du wave set-up et du wave run-up 2.1.7.e - Influence de la morphologie des plages 2.1.8 - Tsunami 2.1.9 - Seiches 2.2 - Estimation des composantes à partir des observations 2.2.1 - Les niveaux d'eau en l'absence de vagues 2.2.1.a - Nature des observations utilisées 2.2.1.b - Assimilation aux niveaux d’eau en l’absence de vagues 2.2.2 - Surcote météorologique 2.2.2.a - Nature des observations utilisées 2.2.2.b - Surcote météorologique instantanée 2.2.2.c - Surcote météorologique de pleine mer 2.2.3 - Le wave set-up et le wave run-up 2.2.3.a - Nature des observations utilisées 2.2.3.b - Les différentes méthodes d'estimation 2.2.3.c - Formules empiriques 2.2.3.d - Modélisation numérique 2.2.3.e - Modélisation physique 2.2.3.f - Recommandations sur la méthode d’estimation 2.3 - Les différentes appellations du niveau d’eau marin 2.3.1 - Le niveau d’eau au repos 2.3.2 - Le niveau d’eau statique 2.3.3 - Le niveau d’eau dynamique 2.3.4 - Convention 3 - COMPOSANTES EXTRÊMES DU NIVEAU D’EAU MARIN 3.1 - Principe 3.2 - Espace de probabilité 3.2.1 - Définition 3.2.2 - Variables aléatoires 3.2.3 - Présentation dans le domaine des périodes de retour 3.3 - Approche empirique ou paramétrique ? 3.3.1 - Approche empirique 3.3.1.a - Description intuitive 3.3.1.b - Calcul de la fonction de répartition empirique 3.3.2 - Approche paramétrique 3.3.3 - Avantage de l’approche paramétrique sur l’approche empirique 3.4 - Approche paramétrique : population d’analyse 3.4.1 - Objectif 3.4.2 - Méthodes de définition de la population 3.4.2.a - Problématique 3.4.2.b - La méthode des pics au-dessus d’un seuil 3.4.2.c - La méthode des maxima annuels 3.5 - Approche paramétrique : ajustement d’une loi d'extrapolation 3.5.1 - Mise en oeuvre des méthodes POT et des maxima annuels 3.5.1.a - Les différentes lois 3.5.1.b - Sélection des paramètres d’ajustement 3.5.1.c - Recommandations 3.5.2 - Méthodes POT ou des maxima annuels ? 3.5.2.a - Limites de la méthode des maxima annuels 3.5.2.b - Limites de la méthode POT 3.5.2.c - Recommandations 3.5.3 - Incertitudes 3.5.3.a - Incertitude liée à la mesure ou aux données initiales 3.5.3.b - Incertitude de représentativité 3.5.3.c - Incertitude du choix du modèle statistique 3.5.3.d - Incertitude d’échantillonnage 3.5.3.e - Recommandations 4 - NIVEAUX D’EAU MARINS EXTRÊMES EN L’ABSENCE DE VAGUES 4.1 - Approches directe et indirecte 4.1.1 - Approche directe 4.1.2 - Approche indirecte 4.1.3 - Recommandations 4.2 - Prise en compte des variations annuelles et pluri-annuelles 4.2.1 - Principe 4.2.2 - Avant le traitement statistique : une correction 4.2.3 - Après le traitement statistique : un report 4.3 - Approche directe 4.3.1 - Domaine d’application 4.3.2 - Analyse statistique des valeurs extrêmes 4.3.2.a - Population d'analyse 4.3.2.b - Ajustement d'une loi d'extrapolation 4.4 - Approche indirecte : Méthode par convolution 4.4.1 - Domaine d’application 4.4.2 - Dépendance surcote météorologique/marée 4.4.2.a - Dépendance en amplitude 4.4.2.b - Dépendance dans le temps 4.4.3 - Méthode de définition de la population 4.4.3.a - Principe 4.4.3.b - Limites 4.4.4 - Convolution surcote météorologique/marée 4.4.4.a - Principe 4.4.4.b - Domaine de validité 4.5 - Méthode indirecte : méthodes RFS ou similaire 4.5.1 - Domaine d'application 4.5.2 - Dépendance surcote météorologique/marée 4.5.2.a - Dépendance en amplitude 4.5.2.b - Dépendance dans le temps 4.5.3 - Méthode RFS 4.5.4 - Méthode similaire RFS 4.6 - Analyse spatiale 4.6.1 - Principe 4.6.2 - Traitement des effets de l’eustatisme 4.6.3 - Régression sur les valeurs d’ajustement 4.6.3.a - Principe 4.6.3.b - Identification des régions homogènes 4.6.3.c - Limite de la méthode 4.6.3.d - Enrichissement des données 4.6.4 - Régionalisation des surcotes météorologiques 4.6.4.a - Principe 4.6.4.b - Identification des régions homogènes 4.6.4.c - Limite de la méthode 5 - NIVEAUX D’EAU MARINS EXTRÊMES AVEC L’ACTION DES VAGUES 5.1 - Analyse directe ou indirecte 5.1.1 - Analyse directe 5.1.2 - Analyse indirecte 5.1.3 - Recommandations 5.2 - Approche directe 5.2.1 - Principe 5.2.2 - Création d’une base de données de niveau d’eau statique 5.2.3 - Analyse statistique des valeurs extrêmes 5.3 - Approche indirecte : méthode par simulation de Monte-Carlo 5.3.1 - Principe 5.3.2 - Lois de probabilité individuelles 5.3.2.a - Sélection des données 5.3.2.b - Ré-échantillonnage des données 5.3.2.c - Calcul des lois de probabilités 5.3.3 - Loi de probabilité jointe de vagues/surcote météorologique/marée 5.3.3.a - Principe 5.3.3.b - Domaine de validité de la fonction de dépendance 5.3.3.c - Modèle conditionnel de surcote météorologique connaissant les vagues 5.3.3.d - Copule Gaussienne bi-variée 5.3.3.e - Copule de Gumbel-Hougaard 5.3.3.f - Méthode du maximum de vraisemblance censurée 5.3.4 - Calcul des probabilités de niveau d’eau statique 5.3.4.a - Simulation de Monte-Carlo 5.3.4.b - Détermination des paramètres d’états de mer 5.3.5 - Limites et recommandations 5.3.5.a - Limites de la méthode 5.3.5.b - Recommandations 5.4 - Approche indirecte : méthode similaire RFS 5.4.1 - Principe 5.4.2 - Valeurs extrêmes uni-variées 5.4.3 - Calcul des probabilités de niveau d’eau statique 5.4.4 - Limites et recommandations 5.4.4.a - Limites de la méthode 5.4.4.b - Recommandations 5.5 - Approche indirecte : méthode simplifiée 5.5.1 - Principe 5.5.2 - Facteur de dépendance 5.5.2.a - Détermination 5.5.2.b - Recommandation pour le littoral de la Mer du Nord, de la Manche et d’Atlantique 5.5.2.c - Recommandation pour le littoral Méditerranéen 5.5.3 - Application pratique 5.5.4 - Limites et recommandations 5.5.4.a - Limites de la méthode 5.5.4.b - Recommandations 5.6 - Aléa submersion marine 6 - LES NIVEAUX D’EAU ESTUARIENS EXTRÊMES 6.1 - Présentation 6.1.1 - Domaine d’application 6.1.2 - Particularités 6.2 - Approche indirecte : méthode par simulation de Monte-Carlo 6.2.1 - Principales étapes 6.2.2 - Caractérisation de l’influence fluvio-maritime 6.2.3 - Définition des variables primaires et secondaires 6.2.3.a - Formes de dépendance 6.2.3.b - Sélection des variables 6.2.4 - Estimation de la densité de probabilité jointe 6.2.4.a - Ré-échantillonnage des données 6.2.4.b - Densité de probabilité jointe 6.2.5 - Estimation des niveaux d’eau estuariens 6.2.5.a - Principe 6.2.5.b - Simulation de Monte-Carlo 6.2.5.c - Application aux conjonctions de niveau d’eau au repos et de débit 6.3 - Approche indirecte : méthode simplifiée 6.3.1 - Principe 6.3.2 - Application aux conjonctions de marée, surcote météorologique et débit 6.3.3 - Application aux conjonctions de niveau d’eau au repos et de débit 6.4 - Recommandations 7 - LES OUTILS 7.1 - Bibliographie 7.2 - Bases de données 7.2.1 - Observations marégraphiques 7.2.2 - Prédiction des niveaux de marée 7.2.3 - Vagues 7.2.4 - Débits journaliers 7.2.5 - Vent 7.3 - Logiciels 8 - DÉFINITIONS9 - RÉFÉRENCESANNEXES Annexe 1 : Principaux modèles de dépendance bi-variée Annexe 2 : Modèle de dépendance conditionnelle bi-variée Annexe 3 : Détermination de la forme de dépendance asymptotique Annexe 4 : Méthode Inverse-FORM Annexe 5 : Estimation du facteur de dépendance du littoral de la Mer du Nord, la Manche et l’Atlantique Annexe 6 : Méthode simplifiée appliquée aux niveaux d’eau marins - Couples de périodes de retour de dépassements simultanés Annexe 7 : Méthode simplifiée appliquée aux niveaux d’eau estuariens – Triplets de périodes de retour de dépassements simultanés
  221. Edition (Ceremadoc) Analyse des surcotes extrêmes le long des côtes métropolitaines

    Ce rapport présente une analyse statistique des valeurs extrêmes de surcotes horaires sur 24 sites répartis le long du littoral métropolitain. L’évaluation est effectuée par le biais de l’analyse des surcotes de pleine mer pour les sites à fort marnage (Manche et Atlantique) et des surcotes instantanées pour les sites à faible marnage (Méditerranée). L’analyse statistique est effectuée à partir de séries d’observations possédant plus de 10 ans de mesures. La méthode des pics au-dessus du seuil est utilisée pour ajuster la queue de distribution des surcotes. Pour chaque site, les surcotes de périodes de retour comprises entre 5 et 1000 ans sont estimées avec un intervalle de confiance à 70%. La sensibilité au choix du seuil ou du type de loi (distributions généralisée de Pareto ou exponentielle) est aussi étudiée. Un avis d’expert est fourni pour aider au choix final. Les différences de résultats avec le produit SHOM/Direction technique Eau, mer et fleuves de 2012 (“Statistiques des niveaux marins extrêmes des côtes de France - Manche et Atlantique”) sont commentées. Les limites de la méthodologie sont présentées. Les résultats de cette étude sont notamment utiles pour l’étude du scénario extrême auquel fait référence la directive « inondations ». 1. INTRODUCTION 1.1 Contexte 1.2 Objectif de l'étude 2. LA MÉTHODOLOGIE D'ANALYSE STATISTIQUE DES EXTRÊMES 2.1 Principes de la méthode 2.2 Données de surcotes utilisées 2.3 Définition de la population des événements extrêmes observés 2.4 Ajustement et extrapolation paramétriques 2.5 Incertitudes 2.5.1 Incertitude liée à la mesure ou aux données initiales 2.5.2 Incertitude de représentativité 2.5.3 Incertitude du choix du modèle statistique 2.5.4 Incertitude d'échantillonnage 3. LES RÉSULTATS PAR PORT 3.1 Dunkerque 3.2 Calais 3.3 Boulogne-sur-Mer 3.4 Dieppe 3.5 Le Havre 3.6 Cherbourg 3.7 Saint-Malo 3.8 Roscoff 3.9 Le Conquet 3.10 Brest 3.11 Concarneau 3.12 Port-Tudy 3.13 Pointe Saint-Gildas 3.14 Les Sables-d'Olonne 3.15 La Rochelle-La Pallice 3.16 Port-Bloc 3.17 Socoa 3.18 Port-Vendres 3.19 Sète 3.20 Marseille 3.21 Toulon 3.22 Nice 3.23 Monaco 3.24 Ajaccio 4. SYNTHÈSE DES RÉSULTATS 4.1 Présentation synthétique des résultats 4.2 Différences avec l'étude SHOM-CETMEF 4.2.1 Prise en compte des incertitudes 4.2.2 Durées d'observation 4.2.3 Principales différences sur les estimations 4.3 Exploitation des résultats 5. ANNEXES 5.1 Analyse de la qualité des données de surcotes 5.1.1 Les données utilisées en Manche et Atlantique 5.1.2 Les données utilisées en Méditerranée 5.1.2.1 Port-Vendres 5.1.2.2 Sète 5.1.2.3 Marseille 5.1.2.4 Toulon 5.1.2.5 Nice 5.1.2.6 Monaco 5.1.2.7 Ajaccio 5.2 Analyse des surcotes en Méditerranée pour d'autres échantillons de données 5.2.1 Port-Vendres 5.2.2 Sète 5.2.3 Marseille 5.2.4 Toulon 5.2.5 Monaco 5.2.6 Ajaccio 5.3 Bibliographie 5.4 Liste des figures et tableaux
  222. Edition (Ceremadoc) Enquête Dragage 2010 : Synthèse des données.

    Cette enquête est réalisée chaque année par le Direction technique Eau, mer et fleuves Elle vise à exploiter l’ensemble des données relatives aux opérations de dragage qui ont eues lieu en 2010. Ces données sont transmises par les Services de Police des Eaux Littorales (SPEL) de l’ensemble des départements maritimes de France métropolitaine et d’outre-mer. Ces données sont ensuite synthétisées par le Direction technique Eau, mer et fleuves et retranscrites dans des tableaux formatés adoptés par les lignes directrices internationales. Le bureau LM1 de la direction de l’eau et de la biodiversité au MEDDE transmet après validation ces résultats aux secrétariats des trois conventions. Le document expose donc les quantités de sédiments dragués en France, les différentes techniques utilisées ainsi que les différentes destinations de ces sédiments et leurs niveaux de contaminations au regard des niveaux de référence existants. 1 - Généralités 1.1 - Contexte de l'enquête 1.2 - Étendue de l'enquête 1.3 - Contenu du rapport 2 - Dragage 2.1 - Quantités de matières sèches draguées en France 2.1.1 Généralités 2010 2.1.2 Grands ports maritimes 2.1.3 Autres ports 2.2 - Techniques de dragage 2.2.1 Dans les grands ports maritimes 2.2.2 Dans les autres ports 2.3 - Travaux neufs et travaux d'entretiens 3 - Destination des sédiments 3.1 - Immersion des sédiments 3.2 - Rechargement de plages 3.3 - Dépôt à terre 3.4 - Dépôt en mer 3.5 - Les autres traitements 4 - Les permis d'immersion5 - Les contaminants 5.1 - Les éléments-traces métalliques 5.2 - Les polychlorobiphényles (PCB) 5.3 - Le tributylétain (TBT) 5.4 - Les hydrocarbures aromatiques polycycliques (HAP) 6 - Bilan des données de suivi recueillies7 - ConclusionAnnexes, figures et cartesAnnexes Annexe 1 : Définition de l’enquête annuelle de dragage. Annexe 2 : Arrêté du 09/0806 relatif aux niveaux de référence à prendre en compte lors d'une analyse de sédiments marins ou estuariens présents en milieu naturel ou portuaire. Annexe 3 : Méthodologie de calcul de la quantité de matières sèches. Annexe 4 : Présentation des différentes techniques de dragage. Annexe 5 : D onnées collectées pour la convention de Londres : sites d'immersion et quantités. Annexe 6 : Données collectées pour la convention OSPAR :charges totales. Figures Figure 1 : Q uantités de matières sèches draguées (en millions de tonnes) dans les grands ports maritimes en 2010. Figure 2 : Q uantités de matières sèches draguées (en millions de tonnes) par département en 2010 en excluant les grands ports maritimes et le département de la Guyane. Figure 3 : R eprésentation des différentes techniques de dragage dans les Grands Ports Maritimes en 2010. Figure 4 : R eprésentation des différentes techniques de dragage dans les autres ports (y compris la Guyane) en 2010. Figure 5 : P ourcentage des différentes catégories de destination des sédiments par façades littorales. Figure 6 : M oyenne des différentes catégories de destination des sédiments pour les trois façades littorales de France métropolitaine (en pourcentage). Figure 7 : Dépassements du seuil N2 pour les éléments-traces métalliques (en mg/kg). Figure 8 : Dépassements des seuils N1 et N2 pour les PCB (en μg/kg). Figure 9 : Dépassements des seuils N1 et N2 pour le TBT (en μg/kg). Figure 10 : Dépassements des seuils N1 et N2 pour les HAP (en μg/kg). Cartes Carte 1 : Les sites d'immersion de la Manche utilisés en 2010. Carte 2 : Les sites d'immersion de l'Atlantique utilisés en 2010. Carte 3 : Les sites d'immersion de la Méditerranée utilisés en 2010.
  223. Edition (Ceremadoc) Petits ouvrages hydrauliques et continuités écologiques - Cas de la faune piscicole : Note d’information - série Économie, Environnement, Conception n° 96

    La prise en compte des cours d’eau dans les projets d’infrastructures linéaires s’est longtemps limitée à l’étude des enjeux hydrauliques et à la prise en compte des risques d’inondations. De ce fait, leur franchissement et aménagement étaient réalisés de manière à assurer la pérennité des projets sans se soucier véritablement des autres enjeux associés aux milieux aquatiques, en particulier des fonctions biologiques qu’ils assurent : corridor de déplacement de la faune, zones préférentielles de reproduction, d’alimentation, d’abris ou de repos pour de nombreuses espèces animales terrestres, milieux de vie des espèces aquatiques. La « loi pêche » de 1984, la « loi sur l’eau » de 1992, la « Directive Cadre Européenne sur l’Eau (DCE) » de 2000 et la loi sur l’eau et les milieux aquatiques de 2006 ont enrichi cette approche purement hydraulique du franchissement des cours d’eau. Il importe désormais de rétablir la continuité écologique au sein de ces infrastructures, via la mise en place d’ouvrages adaptés aux enjeux environnementaux comme aux risques hydrauliques. Une attention toute particulière est portée à la préservation de la continuité écologique au sein des ouvrages fermés (dits « à radier » ou « avec assise dans le lit mineur »), ceci étant une obligation réglementaire pour tout I.O.T.A. [2] en rivière, modifiant le profil en long et en travers d’un cours d’eau. Dans ce cadre, la note présente les grands principes à respecter a minima et les paramètres à prendre en compte lors de la conception et l’installation de ces ouvrages 1 - Introduction 2 - Les ouvrages hydrauliques concernés 3 - Le constat 4 - Éléments clés de la réglementation 5 - Paramètres à prendre en compte lors du franchissement d'un cours d'eau Conclusion Glossaire Bibliographie
  224. Edition (Ceremadoc) Humidité dans les phares

    Le guide "Humidité, condensation et entretien des structures des phares", s’attache à expliciter les phénomènes de condensation et à appréhender leurs conséquences sur la conservation du patrimoine. Il s’adresse principalement aux maîtres d’ouvrage. Riche en apports théoriques, il garde toutefois un côté opérationnel par le recours à des expériences menées sur des phares français et la proposition d’un formulaire d’audit humidité pour les établissements de signalisation maritime. Il vient enrichir la collection documentaire technique sur la signalisation maritime produite et diffusée par le Direction technique Eau, mer et fleuves à destination de l’ensemble des acteurs de la filière des phares et balises. Préambule Introduction 1 L'humidité dans les phares – phénomènes en jeu 2 Condition d'apparition de la condensation a la surface ou a l'intérieur d'une paroi 3 Actions de lutte contre l'humidité 4 Retour d'expéerience sur les esm des côtes francaises 5 Conclusions 6 Annexe – formulaire : « audit humidité » Glossaire Références
  225. Edition (Ceremadoc) Transport collectif par voie d'eau en milieu urbain

    Les lois issues du Grenelle de l’environnement, promulguées en 2009 et 2010, identifient les transports par voie d'eau parmi les alternatives pouvant offrir des réponses performantes, dans une politique de réduction des émissions de polluants. Si de tels systèmes existent depuis longtemps dans les villes tournées vers une façade maritime pour effectuer des traversées de rades ou bras de mer, l'aménagement des berges des fleuves a été jusqu'ici largement dédié à la circulation automobile et n'a pas favorisé le développement des services urbains de navettes fluviales. Cependant, plusieurs collectivités territoriales françaises saisissent l'occasion de réaménager des berges en centre ville pour s'engager dans des projets de transport urbain par voie d'eau. Elles y sont également incitées par le soutien financier de l'État dans le cadre des appels à projets du Ministère du Développement durable. Afin d’aider les autorités organisatrices de transports dans leurs prises de décision, cet ouvrage propose des éléments techniques et réglementaires, ainsi que des informations pratiques quant à la mise en œuvre de ces systèmes. Il s’appuie sur les expériences issues des services existants en milieu urbain (Nantes, Lorient, La Rochelle, Toulon, Marseille,...). Il s’adresse aux responsables et chefs de projets transports des collectivités, aux bureaux d’études ainsi qu’aux exploitants de transport collectif urbain. Il invite également tous les acteurs concernés par les systèmes de transports urbains à réfléchir sur les complémentarités possibles entre les modes d'un réseau de transport, dans une perspective de politique globale de déplacements durables dans les agglomérations. Introduction 1.Vocabulaire et définitions 1.1 Terminologie 1.2 Champ d'application 2.Gouvernance de la voie d'eau et du transport fluvial et maritime en France 2.1 Les acteurs du domaine fluvial 2.2 Répartition et gestion du domaine public fluvial 2.3 Les acteurs du domaine maritime 2.4 Répartition et gestion du domaine public maritime 2.5 Organisation des services de transport fluviaux et maritimes 3.Les principaux points réglementaires du transport par voie d'eau 3.1 Le cadre juridique du transport fluvial 3.2 Le cadre juridique du transport maritime 3.3 Le cadre spécifique du transport fluvio-maritime 3.4 Les règles de navigation et d'exploitation 3.5 Vitesse maximale de navigation 3.6 Obligations réglementaires de sécurité 3.7 Obligations réglementaires pour l'accessibilité aux personnes à mobilité réduite 4.Quand et pourquoi mettre en place un transport urbain par voie d’eau ? 4.1 L’inscription dans un projet d’agglomération 4.2 Des géographies déterminantes pour la configuration d'un service par voie d'eau 4.3 Une typologie de services adaptée à l'organisation spatiale des territoires 4.4 Une infrastructure spécifique mais à partager 4.5 Navigabilité du cours d’eau et environnement aquatique 5.Quelles sont les caractéristiques principales d’un transport par voie d’eau ? 5.1 Présentation des matériels navigants 5.2 Durée de vie des matériels 5.3 Capacité du matériel et du service 5.4 Disponibilité du système 6.Quel niveau de service offre la voie d’eau ? 6.1 Les temps de parcours : un critère à apprécier par d’autres facteurs que la vitesse commerciale 6.2 Fréquence et amplitude horaire de fonctionnement 6.3 Aménagements pour l’accessibilité des personnes à mobilité réduite (PMR) 6.4 L'intégration dans le réseau de transport 6.5 Confort offert 7.Quelles sont les modalités d'exploitation et de maintenance du transport par voie d'eau? 7.1 Des spécificités liées au fluvial et au maritime 7.2 La contractualisation de l'exploitation 7.3 Obligations réglementaires de maintenance 7.4 L'entretien courant et la maintenance continue 7.5 La contractualisation de la maintenance 8.Quel est l’impact environnemental du transport par voie d’eau ? 8.1 Consommation d'énergie 8.2 Émissions de CO2 8.3 Émissions de polluants atmosphériques 8.4 Impact sonore, urbain et visuel 8.5 Impact sur les milieux naturels 9.Coûts d’investissement et d’exploitation 9.1 Les coûts d’investissement 9.2 Les coûts d’exploitation 10.Comment conduire un projet de transport par voie d'eau et le financer ? 10.1 Une démarche partenariale pour concevoir le projet 10.2 Les processus d'autorisations 10.3 Le financement du projet de transport par voie d'eau 11.Synthèse 11.1 Un mode de transport qui a sa place dans un réseau urbain 11.2 L'image du service : un atout pour le réseau et la ville 11.3 Des retours d’expérience à partager et des pistes d’innovation 11.4 Potentiel de développement de la voie d’eau ANNEXES A) Sigles et acronymes B) Glossaire C) Bibliographie D) Réglementation fluviale : RGP et RPP E) Fiches descriptives de services de navettes en France F) Procédures techniques de mise en service d'un service de navettes par voie d'eau
  226. Edition (Ceremadoc) Vulnérabilité du territoire national aux risques littoraux - France métropolitaine

    Cette étude, pilotée par le Direction technique Eau, mer et fleuves et réalisée en collaboration avec le DTerMed et le DTerOuest, fait une synthèse nationale des connaissances actuelles sur les risques littoraux (érosion des côtes basses meubles et des falaises, avancées dunaires, submersion marine) et établit une représentation cartographique simple des zones actuellement vulnérables aux risques littoraux en France. L’étude est ainsi déclinée en deux parties : une synthèse bibliographique d’une part et la définition de méthodes permettant de quantifier la vulnérabilité à partir d’indicateurs cartographiques d’autre part.Cette première phase d’étude porte sur la métropole. 1. INTRODUCTION 1.1 Contexte 1.2 Objectifs de l'étude 1.3 Terminologie employée 2. SYNTHÈSE BIBLIOGRAPHIQUE 2.1 Objectifs et méthodologie de la synthèse bibliographique 2.2 Synthèses régionales 2.2.1 Nord-Pas-de-Calais 2.2.2 Picardie 2.2.3 Haute-Normandie 2.2.4 Basse-Normandie 2.2.5 Bretagne 2.2.6 Pays de La Loire 2.2.7 Poitou-Charentes 2.2.8 Aquitaine 2.2.9 Languedoc-Roussillon 2.2.10 PACA 2.2.11 Corse 3. INDICATEURS DE VULNÉRABILITÉ AUX RISQUES LITTORAUX 3.1 Niveau de connaissance de la vulnérabilité aux risques littoraux 3.1.1 Description des données utilisées 3.1.2 Exploitation méthodologique 3.1.3 Résultats et analyse 3.1.4 Limites de l'indicateur 3.2 Zones basses 3.2.1 Description des données utilisées 3.2.2 Exploitation méthodologique 3.2.3 Résultats et analyse 3.2.4 Critiques de l'indicateur 3.3 Arrêtés de reconnaissance de l'état de catastrophes naturelles (CAT-NAT) liés à la mer 3.3.1 Description de la donnée utilisée 3.3.2 Exploitation méthodologique 3.3.3 Résultats et analyse 3.3.4 Critiques de l'indicateur 3.4 Atlas de Zones Inondables et Plans de Prévention liés à la mer 3.4.1 Description de la donnée utilisée 3.4.2 Exploitation méthodologique 3.4.3 Résultats et analyse 3.4.4 Critiques de l'indicateur 3.5 Enjeux situés dans les zones basses 3.5.1 Description de la donnée utilisée 3.5.2 Exploitation méthodologique 3.5.3 Résultats et analyse 3.5.4 Limites des indicateurs 3.6 Indicateur croisé IBC 3.6.1 Description des données utilisées 3.6.2 Exploitation méthodologique 3.6.3 Résultats et analyse 3.6.4 Critique de l'indicateur croisé 4. CONCLUSION 5. BIBLIOGRAPHIE 5.1 Rapports d'études 5.2 Sites internet consultés
  227. Edition (Ceremadoc) Vulnérabilité du territoire national aux risques littoraux - Outre-Mer

    Cette étude, pilotée par le Direction technique Eau, mer et fleuves et réalisée en collaboration avec le DTerMed et le DTerOuest, fait une synthèse nationale des connaissances actuelles sur les risques littoraux (érosion des côtes basses meubles et des falaises, avancées dunaires, submersion marine) et établit une représentation cartographique simple des zones actuellement vulnérables aux risques littoraux en France. L’étude est ainsi déclinée en deux parties : une synthèse bibliographique d’une part et la définition de méthodes permettant de quantifier la vulnérabilité à partir d’indicateurs cartographiques d’autre part.Cette deuxième phase d’étude porte sur l’Outre-mer 1 INTRODUCTION 1.1 Contexte 1.2 Objectifs de l'étude 2 SYNTHÈSE BIBLIOGRAPHIQUE 2.1 Objectifs de la synthèse bibliographique 2.2 Synthèses régionales 2.2.1 Guadeloupe (971) 2.2.2 Martinique (972) 2.2.3 Guyane (973) 2.2.4 Réunion (974) 2.2.5 Saint-Pierre et Miquelon (975) 2.2.6 Mayotte (976) 2.2.7 Wallis et Futuna (986) 2.2.8 Polynésie Française (987) 2.2.9 Nouvelle-Calédonie (988) 3 INDICATEURS DE VULNÉRABILITÉ AUX RISQUES LITTORAUX 3.1 Niveau de connaissance de la vulnérabilité aux risques littoraux 3.1.1 Description des données utilisées 3.1.2 Exploitation méthodologique 3.1.3 Résultats et analyse 3.1.4 Limites de l'indicateur 3.2 Zones basses 3.2.1 Description des données utilisées 3.2.2 Exploitation méthodologique 3.2.3 Résultats et analyse 3.2.4 Limites de l'indicateur 3.3 Arrêtés de reconnaissance de l'état de catastrophe naturelle (CAT-NAT) liés à la mer 3.3.1 Description des données utilisées 3.3.2 Exploitation méthodologique 3.3.3 Résultats et analyse 3.3.4 Limites de l'indicateur 3.4 Atlas de Zones Inondables et Plans de Prévention liés à la mer 3.4.1 Description des données utilisées 3.4.2 Exploitation méthodologique 3.4.3 Résultats et analyse 3.4.4 Limites de l'indicateur 3.5 Enjeux situés dans les zones basses 3.5.1 Description des données utilisées 3.5.2 Exploitation méthodologique 3.5.3 Résultats et analyse 3.5.4 Limites des indicateurs 3.6 Indicateurs croisés 3.6.1 Description des données utilisées 3.6.2 Exploitation méthodologique 3.6.3 Résultats et analyse 3.6.4 Limites des indicateurs 4 CONCLUSION 5 BIBLIOGRAPHIEListe des annexes : Annexe 1 : Liste des études retenues pour la synthèse bibliographique Annexe 2 : Fiches études Annexe 3 : Présentation des bases de données Annexe 4 : Produits dérivés du MNT BD Topo® (Zones Basses) Annexe 5 : Méthode de traitement du MNT Annexe 6 : Choix des niveaux marins de référence Annexe 7 : Méthode de détermination des Zones Basses Annexe 8 : Géocodage des données GASPAR CATNAT sous MapInfo Annexe 9 : Nombre d'arrêtés de catastrophes naturelles par région Annexe 10 : Méthodologie et traitement des données des Plans de Prévention des Risques Littoraux et des Atlas de Zones Inondables sous MapInfo Annexe 11 : Méthodologie de détermination des enjeux Annexe 12 : Tableaux des enjeux Annexe 13 : Méthodologie de détermination de l'indicateur croisé de vulnérabilité aux risques littoraux IBC sous MapInfo Annexe 14 : Cartographies produites
  228. Edition (Ceremadoc) Vulnérabilité du territoire national aux risques littoraux - Synthèse nationale

    Cette étude, pilotée par le Direction technique Eau, mer et fleuves et réalisée en collaboration avec le DTerMed et le DTerOuest, fait une synthèse nationale des connaissances actuelles sur les risques littoraux (érosion des côtes basses meubles et des falaises, avancées dunaires, submersion marine) et établit une représentation cartographique simple des zones actuellement vulnérables aux risques littoraux en France. L’étude est ainsi déclinée en deux parties : une synthèse bibliographique d’une part et la définition de méthodes permettant de quantifier la vulnérabilité à partir d’indicateurs cartographiques d’autre part. Cette troisième phase d’étude fait une synthèse nationale. 1 RÉSUMÉ 2 INTRODUCTION 3 INDICATEURS DE VULNÉRABILITÉ AUX RISQUES LITTORAUX 3.1 Niveau de connaissance de la vulnérabilité aux risques littoraux 3.2 Zones basses 3.3 Arrêtés de reconnaissance de l'état de catastrophe naturelle (CAT-NAT) liés à la mer 3.4 Atlas de Zones Inondables et Plans de Prévention liés à la mer 3.5 Enjeux situés dans les zones basses 3.5.1 Les bâtiments 3.5.2 Les infrastructures de transport 3.5.3 Les exploitations industrielles 3.5.4 Les espaces naturels protégés 3.5.5 Conclusion sur les enjeux 3.6 Indicateurs croisés 3.6.1 Indicateur IBC 3.6.2 Indicateur IB 3.6.3 Conclusion sur les indicateurs croisés 4 CONCLUSION 5 BIBLIOGRAPHIE
  229. Edition (Ceremadoc) Suivi environnemental des aménagements portuaires et littoraux : Guide de recommandations.

    Après un 1er chapitre présentant les différents aspects de l'environnement littoral, les aménagements maritimes et leurs impacts ainsi que le contexte réglementaire, l'ouvrage détaille, dans le chapitre 2, les outils permettant de mettre en œuvre un programme de suivi environnemental. Le chapitre 3 comprend 14 fiches thématiques apportant des recommandations d'ordre technique, pratiques et réglementaires pour chaque composante à suivre dans 3 milieux : physique, vivant terrestre et vivant aquatique. Enfin des annexes complètent la compréhension de certains aspects développés dans le 1er chapitre et un glossaire reprend la définition des termes spécifiques rencontrés, ainsi que la significations des sigles et acronymes. PréfaceSommaire IntroductionCHAPITRE 1 : Généralités 1.1 L'environnement littoral 1.1.1 Notions d’écologie côtière 1.1.1.2 Les organismes marins 1.1.1.3 Influence de la qualité des eaux marines et des sédiments sur les organismes 1.1.1.4 Le cas particulier des estuaires 1.1.1.5 Le cas particulier des zones humides 1.1.2 Fonctionnalité des habitats 1.1.2.1 Maintien de la biodiversité 1.1.2.2 Nourricerie ou nurserie 1.1.2.3 Frayère 1.2 Les aménagements maritimes et leurs impacts 1.2.1 Les différents types d'aménagements 1.2.2 Les impacts des aménagements maritimes 1.3 Le contexte réglementaire 1.3.1 La loi sur la protection de la nature de 1976 et l’étude d’impact 1.3.2 La loi sur l’eau (codifiée aux articles L.210-1 et suivants du code de l'environnement) 1.3.3 L’autorisation des aménagements portuaires 1.3.4 L'autorisation des aménagements sur le domaine public maritime naturel 1.3.5 L’évaluation des incidences des projets sur les sites NATURA 2000 1.3.6 La concertation 1.3.7 Le suivi environnemental dans la réglementation CHAPITRE 2 : Mise en oeuvre d’un suivi environnemental 2.1 Les objectifs du suivi 2.2 La conception du programme de suivi 2.2.1 État des connaissances 2.2.1.1 Établissement de l'état zéro 2.2.1.2 Détermination des enjeux environnementaux du projet 2.2.2 Identification des composantes environnementales à suivre 2.2.3 Cadrage spatio-temporel 2.2.3.1 L’échelle spatiale 2.2.3.1.1 Délimitation de la zone de suivi 2.2.3.1.2 Les différentes échelles de suivi 2.2.3.2 L’échelle temporelle 2.2.4 Les outils de gestion 2.2.4.1 Cartographie, géomatique 2.2.4.1.1 Les cartes des dossiers d’autorisation 2.2.4.1.2 Les données des organismes ressources 2.2.4.1.2.1 Les experts et les ressources cartographiques 2.2.4.1.2.2 Les sources de données cartographiques par thématique 2.2.4.1.3 Les Systèmes d’Information Géographique (SIG) 2.2.4.1.4 Conclusion : recommandations 2.2.4.2 Gestion de la bibliographie 2.2.4.3 Gestion des compétences 2.3 La mise en place du programme de suivi 2.3.1 Procédures administratives liées à la demande d’autorisation 2.3.2 Mise en place du programme de suivi environnemental 2.4 L'évaluation du suivi 2.4.1 Évaluation initiale du suivi 2.4.2 Évaluation périodique du suivi 2.4.2.1 Le contenu 2.4.2.2 La méthode 2.4.3 Évaluation finale du suivi 2.4.3.1 Le contenu 2.4.3.2 La méthode 2.4.4 Conclusion CHAPITRE 3 : Méthodes et techniques de suivi environnemental 3.1 Introduction 3.2 Milieu physique 3.2.1 Hydraulique 3.2.2 Bathymétrie/Topographie des fonds 3.2.3 Érosion /Géomorphologie 3.2.4 Qualité des sédiments 3.2.5 Qualité des eaux littorales 3.3 Milieu vivant terrestre 3.3.1 Flore et végétation littorales 3.3.2 Faune littorale terrestre 3.4 Milieu vivant aquatique 3.4.1 Milieu pélagique 3.4.1.1 Plancton 3.4.1.2 Zooplancton 3.4.1.3 Poissons 3.4.1.4 Mammifères marins 3.4.2 Milieu benthique 3.4.2.1 Milieu benthique en substrats meubles 3.4.2.1.1 Invertébrés 3.4.2.1.2 Poissons 3.4.2.1.3 Les herbiers de Zostères 3.4.2.1.4 Les bancs de maërl 3.4.2.2 Milieu benthique en substrats durs 3.4.2.2.1 Macroinvertébrés intertidaux 3.4.2.2.2 Les macroalgues ANNEXE 1 : Les outils de protection du littoralANNEXE 2 : Domaine Public Maritime Naturel (DPMN) et limites administratives des eaux littorales Glossaire
  230. Edition (Ceremadoc) Statistiques des niveaux marins extrêmes des côtes de France (Manche et Atlantique)

    Le présent document présente la réactualisation de l’étude de 2008 « Statistiques des niveaux marins extrêmes de pleine mer (Manche et Atlantique) » concernant les niveaux marins extrêmes de pleine mer, et de l'étude de 1994 « Statistiques des niveaux marins extrêmes le long des côtes de France » pour les statistiques des niveaux extrêmes de basse mer. Concernant les niveaux extrêmes de pleine mer, cette étude reprend la même méthode que celle du document de 2008 mais diffère par des données de plus longue durée, un nombre de ports principaux plus important, une méthode d’interpolation spatiale différente, une évolution du niveau de la mer et une mise à jour des constantes harmoniques de marée. Les résultats des niveaux marins extrêmes sont disponibles aux abords des côtes françaises de la Manche et de l’Atlantique sous forme de cartes et de fichiers géoréférencés exploitables par les Systèmes d’Information Géographique (SIG) pour les périodes de retour de 10, 20, 50 et 100 ans. Des différences importantes, de l’ordre de plusieurs dizaines de centimètres, entre les niveaux marins centennaux de pleine mer des études de 2008 et de 2012 ont été constatées à distance des points de mesure. Pour une première approche de connaissance des niveaux marins extrêmes jusqu'à la période de retour centennale, il est important de prendre connaissance de la note méthodologique de recommandations sur les modalités d'utilisation de ce document ci-jointe. 0. INTRODUCTION 0.1. Avant-propos 0.2. Conditions d'utilisation du produit 1. GÉNÉRALITÉS 1.1. Généralités sur le produit 1.1.1. Objet du produit 1.1.2. Zone géographique couverte 1.2. Organisation du produit 1.2.1. L'ouvrage PDF 1.2.2. Les fichiers pour les systèmes d'information géographique (SIG) 2. MÉTHODOLOGIE 2.1. Les données 2.1.1. Les données marégraphiques 2.1.2. Définition de la surcote 2.1.3. Références verticales 2.2. La méthode 2.2.1. Présentation générale de la méthode 2.2.2. Choix des ports de référence 2.2.3. Points secondaires retenus (ou observatoires provisoires) 2.2.4. Synoptique de la méthode 2.3. Résultats 2.3.1. Les ports de référence 2.3.2. Cartes générales des niveaux extrêmes 2.3.3. Sources d’incertitudes 2.3.4. Les limitations 2.3.5. Evolution par rapport à l’édition précédente 2.3.6. Améliorations envisagées 2.4. Conclusion 3. RÉSULTATS 3.1. Synthèse sur les côtes françaises de La Manche et de l’Atlantique 3.1.1. Généralités 3.1.2. Cartes de périodes de retour 3.2. Manche Est 3.2.1. Généralités 3.2.2. Cartes de périodes de retour 3.2.3. Statistiques sur les ports de référence 3.3. Baie de Seine 3.3.1. Généralités 3.3.2. Cartes de périodes de retour 3.3.3. Statistiques sur le port de référence : Le Havre 3.4. Cotentin 3.4.1. Généralités 3.4.2. Cartes de périodes de retour 3.4.3. Statistiques sur le port de référence : Cherbourg 3.5. Bretagne Nord 3.5.1. Généralités 3.5.2. Cartes de périodes de retour 3.5.3. Statistiques sur les ports de référence 3.6. Bretagne Ouest 3.6.1. Généralités 3.6.2. Cartes de périodes de retour 3.6.3. Statistiques sur les ports de référence 3.7. Bretagne Sud 3.7.1. Généralités 3.7.2. Cartes de périodes de retour 3.7.3. Statistiques sur les ports de référence 3.8. Loire - Vendée 3.8.1. Généralités 3.8.2. Cartes de périodes de retour 3.8.3. Statistiques sur les ports de référence 3.9. Pertuis Charentais - Gironde 3.9.1. Généralités 3.9.2. Cartes de périodes de retour 3.9.3. Statistiques sur les ports de référence 3.10. Aquitaine 3.10.1. Généralités 3.10.2. Cartes de périodes de retour 3.10.3. Statistiques sur les ports de référence 4. ANNEXES 4.1. Compléments concernant la méthodologie 4.1.1. Calcul des niveaux extrêmes aux ports de référence 4.1.2. Interpolation des niveaux extrêmes 4.1.3. Calcul de l’erreur d’interpolation 4.2. Tests de sensibilité de la méthode 4.2.1. Seuil pour les surcotes 4.2.2. Seuil pour les décotes 4.2.3. Durée des données 4.2.4. Influence des événements historiques très exceptionnels (horsains) 4.2.5. Conclusion 5. BIBLIOGRAPHIE INDEX Illustrations Tableaux
  231. Edition (Ceremadoc) Stabilité des bateaux : Examen d'un dossier.

    Cette littérature méthodologique complète la formation sur la stabilité donnée par le Direction technique Eau, mer et fleuves aux inspecteurs délivrant les titres de navigation des bateaux fluviaux. La stabilité est un sujet aussi complexe que critique du point de vue de la sécurité des bateaux. Les notions utilisées sont particulièrement techniques, de même que les multiples réglementations qui y sont consacrées. Les dossiers de stabilité qui en découlent -sur lesquels les inspecteurs doivent rendre un avis- sont souvent très lourds et sibyllins pour les non-initiés. Ce document fait le point sur l'ensemble des réglementations applicables à la stabilité des bateaux, selon leur usage et leur taille, au début de 2012. Il donne également des repères pour mieux comprendre et analyser les dossiers de stabilité, et en trouver les éventuels manquements, imprécisions ou erreurs les plus courantes. 0 - Avertissement et références réglementairesI - Dans quels cas faut-il une étude de stabilité ? A - Exigences réglementaires A1 - Cas général : arrêté du 30/12/2008 ou directive 2006/87/CE ou RVBR A2 - Cas particuliers B - Appréciation dans la pratique II - Critères pour juger de la stabilité A - La courbe de stabilité et ses valeurs caractéristiques B - Les conditions de chargement C - L'expérience de stabilité III - Les exigences de la réglementation A - Bateaux à passagers A1 - Arrêté du 30-12-2008, directive 2006/87/CE ou RVBR A2 - Arrêtés du 28 février 1975 (bateaux non motorisés) et du 2 septembre 1970 (bateaux motorisés) A3 - Exigences supplémentaires pour la navigation en zone 2, arrêté du 16/12/2010 (en complément de la partie A1) A4 - Bateaux transportant moins de 7 passagers B - Bateaux de plaisance C - Engins flottants D - Bâtiments de chantier (art 18.04 de l'annexe 1 de l'arrêté du 30/12/2008) E - Porte-conteneurs E1 - en l'absence d'exigences dans un règlement de police E2 - arrêté du 30-12-2008, directive 2006-87 ou RVBR - chapitre 22 E3 - Navigation en zone 2 - arrêté du 16/12/2010 F - Bâtiments de longueur supérieure à 110 mètres - arrêté du 30/12/2008, directive 2006-87 ou RVBR - chapitre 22bis IV - L'examen d'un dossier A - Les étapes de la réalisation du dossier de stabilité finalisé Le dossier prévisionnel La pesée et l'expérience de stabilité Vérification du dossier prévisionnel Si besoin, reprise du dossier prévisionnel B - Le contenu du dossier B1 – Informations générales qui doivent être présentes dans le dossier B2 – Éléments du dossier concernant la stabilité à l'état intact B3 – Éléments du dossier concernant la stabilité après avarie B4 - récapitulatif des résultats et comparaison avec les seuils réglementaires B5 - Rapport de pesée et d'expérience de stabilité C - Points principaux à vérifier Annexes Annexe 1 - Courbe de stabilité, résumé des notions Annexe 2 - Tableau de résultats pour les bateaux destinés à transporter plus de douze passagers, selon les critères de l'arrêté du 2 septembre 1970 Annexe 3 - Tableau des résultats pour les bateaux destinés à transporter plus de douze passagers, selon les critères de l'arrêté du 30 décembre 2008, de la directive 2006-87 et du RVBR Annexe 4 - Exemple de rapport d'expérience de stabilité
  232. Edition (Ceremadoc) Ports de commerce et Natura 2000 en mer

    Le guide présente les normes européennes à la source des outils NATURA 2000 de protection de l’environnement ainsi que les lois et décrets fixant en droit français leur transposition. Il décrit ensuite la réalité d’un port de commerce, son emprise géographique, ses activités courantes, ainsi que celles des navires qui le fréquentent. Il détermine les catégories de pression exercées sur les milieux et les espèces marines (oiseaux, poissons, mammifères). Un point méthodologique est fait sur la mesure environnementale des pressions et des impacts, qui permet de jeter les bases du suivi environnemental et d’évaluer les possibles mesures destinées à les réduire, les supprimer ou les compenser. 1 LES OBJECTIFS DE L'ÉTUDE L'extension du réseau Natura 2000 en mer 2 NATURA 2000 EN MER 2.1 Origine et objectif 2.2 Directive « Oiseaux » 2.3 Directive « Habitats, Faune, Flore sauvages » 2.4 Extension en mer 2.5 Désignation des sites 2.6 Gestion des zones Natura 2000 en mer : élaboration et approbation du document d'objectif 2.6.1 Élaboration du document d'objectifs 2.6.2 Approbation du document d'objectifs 2.7 Évaluation de l'état de conservation des habitats et espèces d'intérêt communautaire 2.8 L'ÉVALUATION DES INCIDENCES NATURA 2000 : UNE OBLIGATION RÉGLEMENTAIRE 2.8.1 Les principes 2.8.2 La transposition en droit français 2.8.3 Le contenu du dossier d'évaluation des incidences (voir annexe 1) L'évaluation environnementale 3 LES PORTS DE COMMERCE 3.1 La part des ports de commerce dans l'économie française 3.2 Les activités portuaires et leur emprise géographique 3.2.1 L'emprise spatiale d'un port et les ouvrages associés 3.2.1.1 L'emprise spatiale d'un port 3.2.1.2 Les ouvrages et équipements associés aux ports 3.2.2 Les activités portuaires considérées/ Natura 2000 en mer 3.2.3 Le port : un abri pour les navires 3.2.3.1 L'entretien et la réparation des ouvrages 3.2.3.2 L'extension d'ouvrages 3.2.3.3 Le dragage d'entretien du chenal d'accès et de l'avant-port (cf guide GEODE) 3.2.3.4 L'activité de relocalisation des sédiments 3.2.3.5 L'activité de gestion des sédiments à terre 3.2.4 Activités/problématiques liées au commerce 3.2.4.1 Terminaux à vracs liquides 3.2.4.2 Terminaux à gaz liquéfiés 3.2.4.3. Terminaux pétroliers 3.2.4.4 Terminaux à vracs solides inertes 3.2.4.5 Terminaux à vracs solides organiques 3.2.4.6 Terminaux à marchandises diverses conventionnelles 3.2.4.7 Terminaux à conteneurs 3.2.4.8 Terminaux rouliers 3.2.4.9 Terminaux à passagers 3.2.4.10 La circulation des engins motorisés sur les terre-pleins portuaires 3.2.4.11 La gestion des eaux de ruissellement 3.2.5 Activités/problématiques liées aux navires 3.2.5.1 Les différents types de navires présents dans un port de commerce 3.2.5.2 La circulation des navires 3.2.5.3 Le mouillage des navires en zone d'attente 3.2.5.4 L'activité de réparation navale L'activité de carénage 3.2.5.5 La gestion des eaux de ballast 3.2.5.6 La gestion des déchets des navires 3.3 Réglementation applicable aux eaux portuaires 4 MÉTHODOLOGIE RETENUE 4.1 Cadrage de l'étude 4.1.1 Rappel : limites spatiales 4.1.2 Limites temporelles 4.2 Détail de la méthodologie 4.2.1 Concept : le modèle DPSIR 4.2.2 Méthode en pratique 4.3 Limites de l'évaluation 5 PRESSIONS PRODUITES PAR LES ACTIVITÉS PORTUAIRES 5.1 Définitions des pressions et de leur interaction spatiale avec les espèces et habitats 5.2 Résultat du groupe de travail « ports et environnement » 5.2.1 Emprise spatiale des activités portuaires 5.2.2 Interaction entre les activités/problématiques et le milieu marin 5.3 Résultat du groupe de travail « Oiseaux » 5.4 Résultat du groupe de travail « Habitats marins » 5.5 Résultat du groupe de travail «espèces marines» 5.5.1 Poissons marins au titre de Natura 2000 en mer 5.5.2 Mammifères marins 5.5.3 Espèces non Natura 2000 en mer 6 SYNTHÈSE DES RÉSULTATS : ACTIVITÉS/PROBLÉMATIQUES PORTUAIRES SUR LES HABITATS ET ESPÈCES NATURA 2000 EN MER Mode d'emploi des livrets 7 MESURES ENVIRONNEMENTALES 7.1 Importance du suivi environnemental 7.2 Mesures de suppression 7.3 Mesures de réduction 7.4 Mesures de compensation 7.5 Mesures d'accompagnement 8 CONCLUSION 9 FICHES DE SYNTHÈSE ACRONYMES | GLOSSAIRE PORTUAIRE ET ENVIRONNEMENTAL | BIBLIOGRAPHIEAnnexe 1 - Directive «Habitats Faune Flore sauvages» et Directive « Oiseaux » et évaluation des incidences, Directive «Habitats Faune Flore sauvages», Directive « Oiseaux », Evaluation des incidences Dossier-type (article R. 414-23 du code de l'environnement)Annexe 2 - Les ouvrages portuaires et leur construction (Les digues à talus, les digues verticales, les digues mixtes, autres types de digues) II - Ouvrages d'amarrage/accostageAnnexe 3 - Ouvrages liés aux terminaux portuairesAnnexe 4 - Ouvrages liés à la réparation navaleAnnexe 5 - Les différents types de naviresAnnexe 6 - Composition des quatre groupes de travail (I - Groupe de travail « Ports et environnement » II - Groupe de travail « Oiseaux », III - Groupe de travail « Habitats marins », IV - Groupe de travail « Espèces marines »)Annexe 7- Le transport maritime et les émissions dans l'atmosphèreAnnexe 8 - Réglementation applicable aux eaux portuaires
  233. Edition (Ceremadoc) Passerelles roulières : Manuel pratique à l'usage des maîtres d'ouvrages et des exploitants.

    Le document « Passerelles roulières » traite des passerelles d'accès des véhicules aux navires, appelées passerelles roulières ou passerelles Ro Ro (Roll On – Roll Off). Ce manuel pratique est rédigé pour apporter assistance aux gestionnaires dans les choix à réaliser pour la conception, l'exploitation ou la maintenance des passerelles. Les conditions d'exploitation nécessitent une conception de la structure et un choix des mécanismes de manœuvres bien adaptés aux besoins d'une part, la démarche pour le contrôle et la maintenance reposent sur l'identification des parties critiques de la structure d'autre part. Ce qui exige une bonne connaissance des contraintes de fonctionnement et du comportement des matériaux vis à vis de l'agressivité du milieu ambiant. Sur la base de retours d'expériences, des règles de l'art, des normes et autres guides, ce manuel pratique, indique les bonnes recommandations à suivre au cours de la conception, de l'exploitation ou de la maintenance des passerelles. Destiné à apporter une aide aux décideurs sur les pratiques liées à la sécurité, la stabilité et la durabilité des passerelles routières, ce manuel pratique traite de leur conception, de leur maintenance et de leur exploitation . Aussi appelées passerelles "RoRo", leur conception, leur maintenance et leur exploitation représente un enjeu important pour les gestionnaires et les autorités portuaires, confrontés à des accidents récents. Le document présente les différents types de passerelles couramment utilisées, en précisant les parties communes à ces ouvrages ainsi que leurs particularités. On y trouve des éléments d’analyse de type avantages/inconvénients pour nourrir la comparaison lors des études préliminaires. Il rappelle les exigences réglementaires auxquelles le projet, piloté par le maitre d’ouvrage, doit satisfaire. Il fournit des éléments utiles à la définition du projet - données, contraintes et exigences- qui sont le canevas du programme de l’opération. Il traite de la maintenance, des contrôles et de l’exploitation et fournit recommandations et bonnes pratiques. 1. Introduction 1.1. objet du document 1.2. généralités 2. Typologie des passerelles d'accès aux navires 2.1. éléments structurels communs à tous type de passerelles 2.2. les différents types de passerelles et leur mécanismes 2.3. analyse comparative des différents types de passerelles 3. Les exigences applicables à la conception 3.1. les obligations réglementaires 3.2. la commande du maître d'ouvrage 3.3.interaction cahier des charges/conception 4. Maintenance et entretien 4.1. le génie civil 4.2. le génie mécanique 4.3. description des actions de surveillance 4.4. le contenu d'un dossier de suivi d'ouvrage 5. Les contrôles 5.1. les contrôles liés à la conception et la fabrication 5.2. les contrôles au cours de la vie d'un ouvrage 6. Exploitation 6.1. manoeuvre de la passerelle 6.2. les conditions climatiques 6.3. passage de matières dangereuses 6.4. procédure d’accostage et de déchargement 7. Bibliographie 8. Annexes 9. Glossaire 10. Liste des figures
  234. Edition (Ceremadoc) Barrages gonflables avec ou sans volets métalliques

    Le présent document vise à faire la synthèse de retours d’expérience dans le domaine de la technologie « gonflable », à destination de la Maîtrise d’Ouvrage VNF, et notamment de ses Directions Territoriales. Il a pour objectif de fournir des éléments permettant d’une part d’évaluer l’opportunité de la technologie « gonflable » pour un site donné, et d’autre part de concevoir son utilisation lors de la rénovation d’un barrage de navigation. Ce document a été rédigé par BRL Ingénierie sous la supervision d’un comité de pilotage associant VNF, ses directions territoriales et le Direction technique Eau, mer et fleuves Préambule1. Présentation générale 1.1 Définitions 1.1.1 Le barrage gonflable 1.1.2 Le barrage gonflable à volets métalliques 1.2 Définitions des dimensions utiles 1.2.1 Le barrage gonflable 1.2.2 Le barrage gonflable à volets métalliques 2. Domaine d’application 2.1 Rappel du domaine d’application considéré 2.2 Détermination des dimensions utiles des passes projetées 2.3 Applications dimensionnelles existantes 2.3.1 Barrage gonflable 2.3.2 Barrage gonflable à volets métalliques 3. Critères à prendre en compte pour la conception du barrage gonflable avec ou sans volets métalliques 3.1 Conditions hydrauliques 3.1.1 Charges hydrauliques 3.1.2 Capacité de régulation et d’effacement en cas de crue 3.1.3 Précision de régulation 3.2 Conditions climatiques 3.2.1 Glace et gel 3.2.2 Vent 3.2.3 Neige 3.2.4 Variation de température 3.2.5 Ozone/UV 3.3 Critères environnementaux 3.3.1 Sédiments 3.3.2 Embâcles 3.3.3 Continuité piscicole 3.3.4 Oxygénation de l’eau 3.3.5 Pollution de l’eau 3.4 Risque de vandalisme 3.5 Séisme 3.6 Micro-centrale 4. Éléments technologiques propres aux barrages gonflables avec ou sans volets métalliques 4.1 Membrane 4.1.1 Constitution 4.1.2 Fabrication 4.1.3 Elastomère 4.1.4 Polymèr 4.1.5 Éléments de dimensionnement des membranes de barrage gonflable 4.2 Interface avec le génie civil 4.2.1 Radier 4.2.2 Piles 4.2.3 Ancrage 4.2.4 Fosse de dissipation 4.3 Gonflage / Dégonflage 4.3.1 Air 4.3.2 Eau 4.3.3 Air/Eau 4.4 Les spécificités du Barrage Gonflable à Volets Métalliques 4.4.1 Cas de volets manoeuvrés par des coussins indépendants 4.4.2 Cas de volets manoeuvrés par un unique coussin 4.5 Adaptation du génie civil existant 5. Dispositions constructives particulières 5.1 Mise en oeuvre de déflecteurs 5.1.1 BG gonflé à l’air 5.1.2 BG gonflé à l’eau 5.1.3 BGVM 5.2 Dispositifs de sécurité de fonctionnement 5.3 Dispositifs pour l’exploitation 5.3.1 Capteurs 5.3.2 Système de purge 5.3.3 Temps de gonflage/dégonflage 5.3.4 Passerelle d’exploitation 5.4 Dispositions pour la maintenance 5.4.1 Opérations courantes de maintenance préventive 5.4.2 Réparation d’une membrane 5.4.3 Renouvellement d’une membrane 6. Évaluation des coûts 6.1 Comparatif des coûts de fourniture et pose des bouchures gonflables 6.2 Part des équipements dans le coût global de construction 6.3 Notions sur les coûts de fonctionnement et de maintenance 7. Analyse multicritère vis-à-vis des besoins, contraintes et exigences du Maitre d’Ouvrage 7.1 Hydraulique 7.2 Contraintes 7.3 Exploitation/Maintenance 7.4 Coûts Glossaire RemerciementsANNEXES (sur format CD) - ANNEXE 1 :Bibliographie - ANNEXE 2 : Retour d’expérience sur des ouvrages réalisés (benchmark) - ANNEXE 3 : Analyses juridiques
  235. Edition (Ceremadoc) Auscultation, surveillance et entretien des ouvrages maritimes - fascicule 1 : Les ouvrages en maçonnerie

    Ce premier fascicule décrit les phénomènes pouvant altérer ou ruiner les ouvrages portuaires dont la structure principale est en maçonnerie, comme les murs de quais, les jetées, les digues et les écluses, mais également les bajoyers, cales, perrés, ou même les phares et tourelles. Ce guide récapitule donc les méthodes qui permettent de détecter et d'analyser ces phénomènes, ainsi que les moyens pour éventuellement y remédier. Ce document est une mise à jour d'un document précédent publié en août 1994.La mise à jour a consisté : à compléter l’information sur la pathologie de gonflement des maçonneries (en particulier sur les liants, les mortiers, l’attaque des ciments par l’eau de mer) et sur l’auscultation radar, à développer les précédentes conclusions sur les désordres liés à l’altération des matériaux de la maçonnerie dans une nouvelle section « conclusions sur la durabilité des maçonneries en site maritime », à reprendre le chapitre sur la surveillance et à le compléter par l’insertion de nouveaux paragraphes sur le contexte et la spécificité maritimes et le contenu et les modalités d’organisation de la surveillance continue, à actualiser les parties sur le rejointoiement et sur les réparations par injection dans la maçonnerie. 1. Généralités – Le dossier d'ouvrage 1.1 La maçonnerie 1.2 Aperçu sur la conception des ouvrages maritimes en maçonnerie 1.3 Le dossier d'ouvrage 2. Causes et manifestations des désordres 2.1 La pathologie des matériaux de maçonnerie 2.2 La pathologie due aux actions mécaniques sur l'ouvrage 3. La surveillance 3.1 Contexte et spécificité maritime 3.2 Principes généraux de la surveillance 3.3 Contenu et modalités d'organisation de la surveillance continue 3.4 Les moyens de la surveillance 3.5 L'instrumentation 4. L'entretien des ouvrages 4.1 Établissement d'un diagnostic sur l'état de l'ouvrage 4.2 Le nettoyage 4.3 Évacuation des eaux - drainage 4.4 Traitement de la pierre 4.5 Réfection des joints de maçonnerie 4.6 Protection des fondations par des enrochements 4.7 Aperçu sur les grosses réparations 5. Annexes 6. Bibliographie 7. Glossaire des termes de maçonnerie 8. Index
  236. Edition (Ceremadoc) Etape de cartographie des surfaces inondables et des risques dans le cadre de la directive « inondations » : Rapport de la mission 5 "Inondations par submersions marines et tsunamis".

    La direction européenne relative à l'évaluation et à la gestion des inondations demande l'élaboration pour fin 2013 de cartes des zones inondables et de cartes de risques sur les secteurs identifiés comme à risques potentiels important d'inondations. Tous aléas naturels d'inondations sont concernés par ces cartographies. Ce document a pour objectif de présenter la méthodologie retenue pour les aléas submersion marine et tsunami. Pour l'aléa submersion marines, trois cartes doivent être réalisées pour trois périodicité d'événement différentes, pour des événements fréquent, moyen et extrême. La prise en compte des ouvrages est à définir en fonction de la période de l'événement et des caractéristiques des ouvrages. Les principales méthodes de cartographie sont décrites pour les événements fréquent et moyen, superposition d'un niveau marin à la topographie, estimation des volumes entrant et répartition topographique et modélisation numérique, ainsi que pour les événements extrêmes, où la confrontation de différentes approches (historique, géomorphologique, topographique, géologique) a été retenue. Les cartes existantes peuvent être ré-exploitées si elles conviennent. Il est proposé de ne pas réaliser de cartes d'aléa tsunami mais de faire une synthèse des connaissances sur les événements potentiels et les mesures de prévention existantes sur le territoire. 1 Introduction 2 Méthodologie d'élaboration des cartes d'aléa submersion marine 3 Démarche générale de l'étude d'aléa 3.1 l'analyse du fonctionnement du littoral (phase 1) 3.2 choix des événements naturels étudiés (phase 2.1) 3.3 prise en compte des ouvrages et scénarios à étudier (phase 2.1) 3.4 les méthodes de cartographie pour les événements fréquent et moyen (phase 2.2) 3.5 les méthodes de cartographie pour les événements extrêmes (phase 2.2) 3.6 résultats attendus 3.7 démarche de travail pour la mise en oeuvre de la cartographie di 4 Méthodologie d'élaboration des cartes d'aléa tsunami 5 Références bibliographiques 6 Annexes 6.1 estimation des surcotes extrêmes sur les côtes métropolitaines 6.2 éléments de cahier des charges 6.3 réflexions sur les données bathymétriques 6.4 organisation de la mission « aléas submersion marine et tsunami » 6.5 extraits des premiers éléments méthodologiques pour l'élaboration des plans de prévention des risques littoraux
  237. Edition (Ceremadoc) Enquête dragage 2009 : Synthèse des données.

    Cette enquête est réalisée chaque année par le Direction technique Eau, mer et fleuves Elle vise à exploiter l'ensemble des données relatives aux opérations de dragage qui ont eu lieu en 2009. Ces données sont transmises par les Services de Police des Eaux Littorales (SPEL) de l'ensemble des départements maritimes de France métropolitaine et d'outre-mer. Cette enquête, réalisée pour le Ministère de tutelle, le MEDDTL1, répond à trois objectifs : Rendre compte des activités annuelles d'immersion des déchets auprès des trois conventions internationales dont la France est partie contractante, la convention de Londres de 1972 sur la prévention des mers et son protocole de 1996, la convention OSPAR de 1992 pour la prévention du milieu marin pour l'Atlantique du Nord-Est et la convention de Barcelone de 1976 sur la protection du milieu marin et du littoral de la Méditerranée. Alimenter la base de données « dragage » du Direction technique Eau, mer et fleuves ainsi que la base de données QUADRIGE² de l'IFREMER. Produire un document à destination du grand public sur le thème des dragages. Ces données sont ensuite synthétisées par le Direction technique Eau, mer et fleuves et retranscrites dans des tableaux formatés adoptés par les lignes directrices internationales. Le bureau LM1 de la direction de l'eau et de la biodiversité au MEDDTL transmet après validation ces résultats aux secrétariats des trois conventions. 1 - GÉNÉRALITÉS 1.1 - Contexte de l'enquête 1.2 - Étendue de l'enquête 1.3 - Contenu du rapport 2 - DRAGAGE 2.1 - Quantités de matières sèches draguées en France 2.1.1 - Généralités 2009 2.1.2 - Grands Ports Maritimes 2.1.3 - Autres ports 2.1.4 - Évolution du dragage entre 2005 et 2009 2.2 - Techniques de dragage 2.2.1 - Dans les Grands Ports Maritimes 2.2.2 - Dans les autres ports 2.3 - Travaux neufs et travaux d'entretien 3 - DESTINATION DES SÉDIMENTS 3.1 - Immersion des déblais 3.2 - Rechargement de plages 3.3 - Dépôt à terre 3.4 - Autres traitements 4 - LES PERMIS D'IMMERSION5 - LES CONTAMINANTS 5.1 - Les éléments-traces métalliques (ETM) 5.2 - Les polychlorobiphényles (PCB) 5.3 - Le tributylétain (TBT) 5.4 - Les hydrocarbures aromatiques polycycliques (HAP) 6 - BILAN DES DONNÉES DE SUIVI RECUEILLIES 7 – CONCLUSION
  238. Edition (Ceremadoc) Microcentrales hydroélectriques : Note de synthèse.

    Une bibliographie importante existe sur le sujet des centrales. Ce document vise à présenter rapidement les enjeux liés à l’installation d’une microcentrale, identifier les points spécifiques à l’adaptation au domaine fluvial, et à recenser les sources d’informations utiles. Le document n’a pas pour objectif de faire référence sur le sujet, mais s’adresse plutôt aux personnes qui souhaiteraient découvrir ou ont à aborder ce sujet. Les sujets traités sont l’historique des centrales hydroélectriques, le contexte réglementaire, les constituants d’une microcentrale, les turbines et leur dimensionnement, l’implantation d’une microcentrale, les aspects développement durable, exploitation, rentabilité financière et évaluation socio-économique du projet, complété par une bibliographie et une liste de ressources disponibles. Préambule - Remerciements - IntroductionI. Historique II. Contexte réglementaire 1. Le régime de l’hydroélectricité 2. Les directives européennes transposées en droit Français 3. La Loi sur l'Eau et les Milieux Aquatiques (LEMA) III. Constituants d’une microcentraleIV. Les turbines 1. Les types de turbines 2. Le poste de transformation 3. les turbines expérimentales V. Dimensionnement 1. Vérification que la chute disponible au barrage est suffisante 2. Etablissement de la chronique des débits instantanés 3. Détermination du débit turbinable 4. Evaluation du potentiel énergétique théorique du site 5. Dimensionnement de la ou des turbines 6. Evaluation du potentiel hydroélectrique théorique de la microcentrale 7. Evaluation globale de la rentabilité VI. Implantation d’une microcentrale VII. Développement durable VIII. Exploitation
  239. Edition (Ceremadoc) IBIM 0260 - Rythmes normalisés à utiliser pour les feux de signalisation maritime

    Le présent document expose les conditions dans lesquelles l'administration des Phares et Balises applique les recommandations de l'Association Internationale de Signalisation Maritime pour les rythmes des feux de signalisation maritime.Le document est construit en deux parties : Première partie : Traduction des textes de recommandation de l'A.I.S.M. pour les rythmes des feux de signalisation maritime (Recommandation E-110 - Juin 2012). Deuxième partie : Tableaux des rythmes normalisés à utiliser en France par les services en charge de la signalisation maritime et adaptés aux cartes programmateurs et automates de gestion Co-ESM. Ces rythmes sont également à privilégier sur les feux disposant d'une programmation par télécommande. 1 - INTRODUCTION 2 - PREMIÈRE PARTIE : RECOMMANDATION DE L'A.I.S.M. POUR LES RYTHMES DES FEUX DE SIGNALISATION MARITIME 2.1 - Généralités 2.2 - Considérations temporelles 2.3 - Confusions de couleurs 2.4 - Système de balisage maritime préconisé par l'A.l.S.M. 2.4.1 -Définitions et remarques 2.4.2 -Périodes maximales 2.4.3 -Classification des rythmes de feux 3 - DEUXIEME PARTIE : RYTHMES NORMALISES UTILISES PAR L'ADMINISTRATION DES PHARES ET BALISES POUR LES FEUX DE SIGNALISATION MARITIME 3.1 - Tableau I : feux à optique fixe 3.1.1 -Feux fixes 3.1.2 -Feux à occultations 3.1.3 -Feux isophases 3.1.4 -Feux à éclats 3.1.5 -Feux scintillants 3.1.6 -Feux scintillants rapides 3.1.7 -Feux particuliers 3.2 - Tableau II : feux à optique fixe (rythmes économiques) 3.2.1 -Feux à éclats 3.2.2 -Feux scintillants 3.2.3 -Feux scintillants rapides 3.3 - Tableau III : feux à optique tournante 3.3.1 -Feux à éclats 3.3.2 -Feux scintillants
  240. Edition (Ceremadoc) Les essences de bois alternatives pour la construction maritime et fluviale

    L'objectif de ce guide est d'encourager la préconisation et l'utilisation d'essences actuellement sous-employées dans les travaux maritimes et fluviaux, comme alternatives au Greenheart et à l'Azobé. Basé sur un projet de recherche commandé par l'Agence de l'environnement, le guide intéressera toute personne qui utilise le bois en eau de mer et en eau douce, notamment les ingénieurs de structure et génie civil, les consultants chargés de la conception, les entrepreneurs et les gestionnaires d'ouvrages. Il contient une méthodologie pour identifier le bois le plus approprié à chaque application, ainsi qu'un tableau contenant les données techniques sur les propriétés essentielles (par exemple robustesse, résistance aux xylophages marins et à l'abrasion) de cinq espèces sous-employées : l'Angelim Vermelho, le Cupiuba, l'Eveuss, l'Okan et le Tali. Les performances de ces cinq espèces ont été comparées aux performances du Greenheart et de l'Azobé. 1. Introduction 1.1. Aperçu général du projet 1.2. Les questions relatives à l'approvisionnement en bois 1.3. Propriétés du bois 1.4. Spécification et utilisation du bois 2. Méthodologie 2.1. Logigramme illustrant la méthodologie 2.2. Exemple d'application – La méthodologie en pratique 3. Informations techniques 4. Bibliographie Annexes Annexe 1 – Information sur les xylophages marins Annexe 2 – Résumé des essais de résistance aux xylophages marins et à l'abrasion Annexe 3 – Usinage et ouvrabilité Annexe 4 – Dimensions courantes des sections et utilisations classiques Tableau 3.1 Performance des cinq espèces de bois sous-employées classées HS (BS5756) comparées au Greenheart et à l'Azobé Tableau 3.2 Valeurs caractéristiques résultant des données des essais réalisés suivant la norme BS EN 384 pour les cinq essences sous-employées classées HS (BS5756) Tableau 3.3 Performances de treize espèces de bois sous-employées comparées au Greenheart et à l'Azobé
  241. Study report (Ceremadoc) Etude de la faisabilité pour la mise en place d'un observatoire régional du trait de côte : Partie I - Objectifs et état des lieux de l'existant. Partie II - Evaluation des besoins et des priorités régionales

    Les partenaires de la convention GTCSM (État et collectivités territoriales) souhaitent développer et encourager l'observation du trait de côte, dans le but d'approfondir les connaissances concernant l'évolution du trait de côte et les mouvements hydro-sédimentaires sur le littoral des Pays de la Loire, dans la logique de la récente stratégie nationale de gestion intégrée du trait de côte (2012). Un groupe de travail dédié à la problématique du littoral a été mis en place dans le cadre de GEOPAL. Dans ce contexte, la DREAL a demandé au CETE de l'Ouest de produire une étude de faisabilité pour la mise en place d'un observatoire régional s'appuyant sur les initiatives locales déjà en place ou émergentes. L'étude de faisabilité comporte trois parties : - La Partie I regroupe, après présentation du contexte et des objectifs de l'étude, des initiatives en cours dans le domaine de la gestion du trait de côte et un état des lieux des observatoires existants en France. Les différentes structures et méthodes d'observation utilisées sont analysées, en particulier les initiatives et travaux réalisés localement. Le fonctionnement des observatoires locaux déjà en place en Pays de la Loire est également présenté. - La Partie II comprend une analyse du littoral ligérien sous les angles de la géomorphologie, des enjeux présents et de la mobilité du trait de côte qui permet de proposer des secteurs à suivre en priorité. - En attente pour le moment, une Partie III est envisagée pour esquisser une proposition de mesures à mettre en œuvre, de forme de structure à organiser ainsi qu’une première estimation des moyens nécessaires à la mise en place de l'observatoire. Cette étude est le tout premier pas de la mise en place de l'observatoire régional, et devrait permettre par la suite d'approfondir et de préciser l'organisation à mettre en place, notamment en déterminant clairement le rôle de chaque partenaire, et en commençant à impliquer les acteurs concernés.
  242. Edition (Ceremadoc) Réparation des bétons altérés

    1. Objet de l’étude : le document traite des techniques de réparation du béton en site maritime.2. Contexte : l’environnement maritime est extrêmement agressif pour le béton, et particulièrement le béton armé. Les maîtres d’ouvrage portuaires ont besoin de connaître les principales techniques qui peuvent être utilisées pour réparer le béton d’un ouvrage en site maritime.3. Méthode : une démarche de sélection des actions d’entretien et de réparation est proposée dans le texte principal. Trois cas sont étudiés : l’ouvrage en béton ne présente pas de dégradation apparente, l’ouvrage présente des dégradations du béton, l’ouvrage en béton présente des désordres d’ordre structurel. Pour chacun de ces cas, le texte principal renvoie à des fiches placées en annexe. Chaque fiche décrit une technique de réparation du béton.4. Résultats : un premier rapport d’étude diffusé par le Direction technique Eau, mer et fleuves fait une synthèse à destination des praticiens des connaissances sur les causes de ces altérations, leurs manifestations, les processus de leur développement et les techniques d’investigation disponibles pour les diagnostiquer et de la bibliographie francophone disponible pour approfondir. Ce second document le complète. Il traite des techniques de réparation du béton et tient compte des contraintes particulières de leur application en site maritime. Ces techniques sont présentées en détail dans des fiches placées en annexe. 1. Généralités 1.1 L'entretien des ouvrages 1.1.1 L'entretien courant 1.1.2 L'entretien spécialisé 1.2 La réparation des ouvrages 1.3 Le renforcement des ouvrages 2. La démarche de sélection des actions d'entretien et de réparation 2.1 Cas A : ouvrage sans dégradation apparente 2.2 Cas B : ouvrage présentant des dégradations du béton 2.2.1 Les réparations 2.2.2 Autres traitements 2.3 Cas C : ouvrage avec désordres d'ordre structurel 2.3.1 Les réparations 2.3.2 Les renforcements 3. Annexes 3.1 Annexe 1 : Processus de corrosion des armatures – Sélection des techniques d'entretien et de réparation 3.2 Annexe 2 : Techniques de réparation REPARATION SUPERFICIELLE PAR RAGREAGE CALFEUTREMENT OU INJECTION DES FISSURES RECONSTITUTION DE SECTION Béton coulé en place avec ou sans remplacement d'armature RECONSTITUTION DE SECTION Béton projeté avec ou sans remplacement d'armature RENFORCEMENT DE SECTION Précontrainte additionnelle RENFORCEMENT DE SECTION Tôle ou matériau composite collé PROTECTION CATHODIQUE DES ARMATURES EXTRACTION DES IONS CHLORURE RÉALCALINISATION 4. Bibliographie
  243. Edition (Ceremadoc) Altération du béton en site maritime

    Objet de l’étude : le document traite des différentes altérations du béton en site maritime. Contexte : l’environnement maritime est extrêmement agressif pour le béton, et particulièrement le béton armé. Méthode : les principales altérations du béton en site maritime et leurs causes sont présentées dans le texte principale. Les annexes permettent au lecteur d’approfondir leurs connaissances sur la corrosion des armatures, les techniques d’investigation et l’évolution des caractéristiques des bétons depuis le dix-neuvième siècle. Résultats : le document est destiné aux praticiens qui souhaitent approfondir leurs connaissances sur les altérations du béton en site maritime, leurs causes, leurs processus et leur développement. Il met à leur disposition également des fiches sur les techniques d’investigation et une bibliographie francophone complète sur le sujet. 1. L'environnement maritime 1.1 L'agressivité physico-chimique de l'eau de mer 1.2 L'action mécanique de la mer 1.3 L'exploitation des infrastructures 2. Les principales manifestations des altérations du béton en site maritime3. Les causes d'altération du béton en site maritime 3.1 La corrosion des armatures 3.1.1 Le processus 3.1.2 Détermination de l'avancement du phénomène de corrosion 3.1.3 Prédiction de la durée d'initiation de la corrosion des armatures 3.2 Les agressions chimiques sur le béton seul 3.3 Les sollicitations mécaniques 4. Annexes 4.1 Annexe 1 : Zones d'exposition du béton 4.2 Annexe 2 : Étapes du processus de corrosion des armatures 4.3 Annexe 3 : Processus de corrosion des armatures – Sélection des techniques d'investigation 4.4 Annexe 4 : Calcul de la durée de vie résiduelle d'un ouvrage en béton armé dont le béton d'enrobage contient des chlorures provenant de l'eau de mer 4.5 Annexe 5 : Techniques d'investigation 4.6 Annexe 6 : Évolution dans l'histoire des caractéristiques des bétons 5. Bibliographie 6. Index
  244. Edition (Ceremadoc) Application de la méthode VSC à la gestion d'un parc d'ouvrages portuaires

    La recherche d'optimisation de la gestion patrimoniale des infrastructures a donné lieu à l'élaboration de plusieurs méthodes, comportant de nombreux éléments communs. Préalablement à leur mise en œuvre, il est nécessaire d'opérer un recensement exhaustif des ouvrages, puis de constituer (et mettre à jour) les dossiers d'ouvrage. La démarche de priorisation des interventions s'établit ensuite selon des critères en relation avec la sécurité, l'état et l'exploitation des ouvrages, le coût et les moyens disponibles.La méthode VSC (Visite Simplifiée Comparée) fait partie des démarches existantes d'aide à la gestion patrimoniale des infrastructures. Elle a été développée par G. Fauchoux au sein du Laboratoire Régional des Ponts et Chaussées d’Angers, initialement pour les ouvrages d'art terrestres (ponts et murs de soutènement). Ses principes fondamentaux sont définis dans le guide technique du LCPC de 2006 (VSC, méthode d'aide à la gestion de patrimoines). Les concepts génériques sur lesquels elle repose permettent son application à d'autres domaines : voies navigables, infrastructures portuaires, établissements de signalisation maritime (phares et balises), sentiers littoraux. Ce guide propose une déclinaison de la méthode VSC au domaine portuaire. 1. Problématique portuaire 1.1 Cadre réglementaire 1.2 Spécificité des ouvrages portuaires 1.3 Synthèse 2. Introduction et présentation de la méthode VSC 2.1 Qu’est-ce que gérer un patrimoine d’ouvrages ? 2.2 Approche VSC d’un parc d’ouvrages 2.3 Synthèse 3. Gestion stratégique 3.1 Objectifs de la vision stratégique 3.2 Définition d'un ouvrage au sens de la méthode VSC 3.3 Structuration en groupes et familles 3.4 Méthodologie de détermination d'un classement stratégique 4. Gestion mécanique 4.1 Objectifs de la vision mécanique 4.2 Découpage des ouvrages en objets 4.3 Structures et identifiants mécaniques 4.4 Visites ''mécaniques'' 4.5 Visites subaquatiques préalables 4.6 Autres contrôles périodiques 4.7 Évaluation de l'indice d'état mécanique 4.8 Les actions mécaniques 5. Gestion des usages 5.1 Objectifs de la vision d'usage 5.2 Éléments d'usage et identifiants d'usage 5.3 Visites d'usage 5.4 Évaluation de l'indice d'état d'usage 5.5 Les actions d'usage 6. État du patrimoine et planification des actions 6.1 Principe 6.2 Planification des actions, définition des priorités d'intervention 7. Synthèse des étapes de mise en oeuvre de la méthode VSC 7.1 Protocole d’application 7.2 Réalisation des visites 7.3 Exploitation informatique 7.4 Schématisation de la mise en place de la méthode 8. Annexes 9. Glossaire 10. Index
  245. Edition (Ceremadoc) Dragages d'entretien des voies navigables : Aide à l'élaboration et au suivi d'un plan de gestion pluriannuel.

    Le guide présente une méthode pour élaborer les nouveaux dossiers réglementaires, appelés plans de gestion pluriannuels suite à la loi sur l'eau et les milieux aquatiques du 30 décembre 2006. Les plans de gestion sont ainsi soumis à déclaration ou autorisation au titre de la loi sur l'eau à partir du 1er janvier 2012. L'objectif du guide est de fournir aux gestionnaires des voies navigables des recommandations essentielles à la rédaction du plan de gestion, des données techniques nécessaires à la rédaction du cahier des charges et au choix du prestataire chargé d’élaborer le plan, ainsi que des critères de sélection du bureau d’études. Les évolutions réglementaires récentes obligent les gestionnaires à mettre en place une programmation de leur dragage d’entretien à l’échelle d’une unité hydrographique cohérente (UHC) et ce pour une durée maximale de 10 ans. Le guide insiste sur le fait que le plan de gestion est un document de cadrage mais également sur la nécessité de formaliser son suivi par des fiches de déclaration de chantier et d’incidences soumises à autorisation en préalable à chaque opération programmée. Ce programme de suivi systématique permet d’évaluer l’évolution des milieux et de tirer un enseignement sur les opérations réalisées. Fiche 0 - Présentation générale du plan de gestion Fiche 1 - Définition de l’unité hydrographique cohérente Fiche 2 - Etat initial Fiche 2.1 - Milieu naturel et socio-économique Fiche 2.2 - Bilan sédimentaire Fiche 2.3 - Données hydrobiologiques et biologiques Fiche 3 - Justification de la campagne de dragage Fiche 4 - Programme pluriannuel d’intervention Fiche 4.1 - Plan de chantier prévisionnel Fiche 4.2 - Protocole d’organisation et de surveillance en phase chantier Fiche 4.3 - Destination des matériaux et filières Fiche 5 - Étude d’incidence Fiche 6 - Déclaration de travaux et suivi d’exécution du Plan Conclusion Annexes - Sigles - Bibliographie générale - Glossaire - Index figures - Index tableaux
  246. Edition (Ceremadoc) Productivité des terminaux à conteneurs

    Ce guide a été établi à partir d'une étude réalisée par la société CTS (Container Terminal Service) pour le Direction technique Eau, mer et fleuves, celle-ci s'est appuyée sur une veille technologique portant sur 34 terminaux à conteneurs dans le monde. Cette veille a permis d'établir des références en matière de performances à partir de ces terminaux qui ont volontairement été choisis de manière à approcher au mieux la grande diversité de leurs caractéristiques. Le principal objectif de ce guide est d’aider les autorités portuaires à élaborer leur plan de développement des terminaux à conteneurs, il est pour elles un outil d’aide à l’évaluation de la capacité de terminaux existants et futurs. PréfaceI - Introduction II - Contrôles des terminaux III - Gestion des opérations et accès aux terminauxIV - Evolution du marché des conteneurs IV - 1 Volumes manutentionnés dans les ports IV - 2 Evolution de la flotte conteneurisée IV - 3 Evolution de l'accueil dans les ports V - Capacité d'un terminal à conteneurs V - 1 Capacité Parc V - 2 Capacité Bord à quai VI - Analyse de la productivité Bord à quai VI - 1 Productivité des portiques VI - 2 Productivité des quais VII- Analyse de la productivité Parc VIII - Productivité en fonction du mode d'exploitation IX - Les dessertes terrestres des terminaux X - Conclusion ANNEXE - Exemple de calcul d'évaluation de la productivité d'un terminal LEXIQUE
  247. Edition (Ceremadoc) Préconisations pour le recensement des ouvrages et structures de défense contre les aléas côtiers : Notice méthodologique.

    Cette notice propose une méthodologie de recensement et une typologie des ouvrages, méthodes de protection et aménagements côtiers ayant un impact hydro-sédimentaire et pouvant jouer un rôle dans la lutte contre les aléas côtiers. Elle concerne l'ensemble des étapes du recensement, de sa préparation à sa mise en œuvre sur le terrain et propose un outil d'aide au recensement sous forme de « fiches terrain ». Ces fiches contiennent un certain nombre d'informations liées au site recensé et aux ouvrages présents sur ce site. Un CD-Rom est inclus contenant la version numérique de la notice méthodologique, des fiches terrain imprimables -une « fiche de site » en format A3 (recto-verso) et une « fiche de défense » en format A4 (recto-verso)-, un logiciel d'aide au recensement « ROSCOF » et son manuel utilisateur. PRÉFACEINTRODUCTION Intérêt d'un cadre méthodologique unifié pour les différents recensements des ouvrages littoraux. Mode d'élaboration et contenu de la notice.1 TYPOLOGIE DES STRUCTURES COTIÈRES 1.1 Ouvrages ayant vocation principale de défense contre la mer 1.1.1 Murs et ouvrages de soutènement 1.1.2 Digues côtières 1.1.3 Perrés (non associés à des digues) 1.1.4 Brise-lames 1.1.5 Epis 1.1.6 Autres 1.2 Ouvrages ayant vocation principale d'aménagement et ayant un impact hydro sédimentaire 1.2.1 Aménagements d'accès 1.2.2 Aménagements hydrauliques 1.2.3 Aménagements portuaires 1.2.4 Bâtiments 1.2.5 Aménagements liés à la sécurité ou la surveillance 1.2.6 Autres 1.3 Méthodes de protection du littoral 1.3.1 Le by-pass 1.3.2 Le drainage de plage 1.3.3 Le rechargement de plage 1.3.4 Le confortement dunaire 1.3.5 Le confortement de falaise 1.3.6 Autres 2 PRÉPARATION DU RECENSEMENT 2.1 Organisation de la sortie de terrain 2.1.1 Accéder au littoral et à l'ouvrage 2.1.2 Pré-localisation des ouvrages 2.1.3 Etablissement du planning des visites 2.2 Préparation des visites de recensement et relevés de terrain 2.2.1 Pré-renseignement des fiches de site et de défense contre la mer 2.2.2 L’influence des conditions extérieures 2.2.3 Le matériel 2.3 Préparer l’intégration à la BDD et au SIG 2.3.1 Préparer à l’intégration à la base de données 2.3.2 Règles de pointage des ouvrages 2.4 Synthèse des actions préalables aux sorties sur le terrain 3 RECENSER ET CONNAITRE LES OUVRAGES 3.1 Les fiches de terrain 3.2 La « Fiche de site » 3.2.1 Informations générales sur la visite et le site 3.2.2 Informations sur les ouvrages du site 3.2.3 Informations complémentaires sur le site 3.3 La « Fiche de défense contre la mer » 3.3.1 Informations générales sur la défense 3.3.2 Ouvrage ayant vocation principale de défense contre la mer 3.3.3 Aménagement ayant un impact hydro-sédimentaire 3.3.4 Méthodes de protection contre l'érosion 3.4 Améliorer la connaissance : recherches complémentaires 3.4.1 Informations complémentaires sur le site 3.4.2 Informations réglementaires sur l'ouvrage 3.4.3 Documentation technique de l'ouvrage 4 BIBLIOGRAPHIE 5 ANNEXES 5.1 Glossaire 5.2 Liste des études recensées 5.3 Fiches de terrain 5.4 Termes de référence du groupe de travail et liste des participants / relecteurs 5.5 Index des illustrations
  248. Edition (Ceremadoc) Reconstruction des barrages de navigation : Guide méthodologique : Intégration environnementale.

    La modernisation des barrages de navigation antérieurs à la seconde moitié du XXème siècle conduit dans la plupart des cas, à une reconstruction quasi intégrale de l'ouvrage existant et à une modification profonde des dispositifs de bouchures hydrauliques. Ce type d'opération génère, tant en phase travaux qu'en phase d'exploitation, des impacts environnementaux qu'il convient d'apprécier au mieux à tous les stades de conception, de réalisation et de gestion du barrage. Un cadre juridique largement renouvelé dans le domaine de l'eau (directive cadre sur l'eau, loi sur l'eau et les milieux aquatiques), nécessite d'intégrer au maximum les aspects environnementaux dans la conduite de telles opérations. En complément notamment du guide du chef de projet "les barrages mobiles de navigation", produit par VNF et le Direction technique Eau, mer et fleuves en 1998 et publié par les Editions Le Moniteur, le présent guide, apporte des éléments de cadrage sur cette question. Il précise notamment les objectifs environnementaux à poursuivre, le contenu technique des études à mener, et la conduite environnementale du projet (pilotage et conduite des études, concertation, organisation des travaux). De plus, il introduit au suivi environnemental de l'opération. Préface - Sommaire - Table des figures - Liste des tableauxIntroduction1 Les objectifs environnementaux d’un projet de modernisation de barrage 1.1 Les impacts environnementaux potentiels 1.2 Les objectifs environnementaux du projet 2 Les études préalables à la définition du programme 2.1 Études environnementales et notion de programme : éclairage réglementaire 2.2 Deux échelles d’approche des projets 2.3 Les études environnementales d’une opération de reconstruction de barrage 3 La conduite environnementale du projet 3.1 L’articulation entre études environnementales et missions de maîtrise d’oeuvre 3.2 L’articulation entre études et procédures environnementales 3.3 Le pilotage, la concertation et la communication sur le projet 3.4 La conduite de l’étude d’impact sur l’environnement 3.5 L’organisation des travaux 4 Le suivi environnemental 4.1 Grille de suivi environnemental 4.2 Protocole d’utilisation et précautions d’emploi Annexes A Interactions entre barrages et prévision de crues B Terminologie — impacts et mesures B.1 Les impacts du projet B.2 Les mesures d’atténuation et de compensation C Évaluations environnementales – aspects réglementaires C.1 Les objectifs généraux à atteindre C.2 Les études d’impact sur l’environnement C.3 Les évaluations environnementales de plans et programmes C.4 Les études d’incidence (loi sur l’eau) C.5 Les évaluations des incidences Natura 2000 D Conduite de projet et démarches qualité : HQE, management environnemental selon la norme ISO 14 001 D.1 L’origine et les objectifs de la démarche HQE D.2 Le management environnemental selon la norme ISO 14 001 E Outils du suivi environnemental F Glossaire G Bibliographie
  249. Edition (Ceremadoc) Bilan national du RÉPOM : Réseau national de surveillance de la qualité des eaux et des sédiments des ports maritimes

    Ce bilan, réalisé par l'équipe projet de la Division Environnement Marin et Littoral du Direction technique Eau, mer et fleuves, a pour objectif de dresser un état des lieux des dix années de suivis du RÉseau national de surveillance de la qualité de l'eau et des sédiments dans les POrts Maritimes (RÉPOM).Créé en 1997 par le Directeur de l'Eau, le RÉPOM a pour objectif le suivi national de la qualité des eaux et des sédiments des ports maritimes en s'appuyant sur les services chargés de la police des eaux littorales. Ceci s'est inscrit dans le contexte de la mise en œuvre alors récente des Schémas Directeurs d'Aménagement et de Gestion des Eaux (SDAGE) et de la nécessité pour les gestionnaires des milieux aquatiques, et plus particulièrement des milieux littoraux, de disposer d'information leur permettant de guider et d'évaluer leurs actions (circulaire du 7 mars 1997). Après 10 ans de suivis, il est apparu nécessaire d'effectuer un bilan du réseau RÉPOM. L'analyse des données acquises de 1997 à 2006 cherchera à déterminer quel est l'état des lieux et l'éventuelle évolution de la qualité des sédiments et des eaux des zones portuaires à une échelle nationale à partir des données acquises. L'étude est décomposée en deux parties selon les deux programmes existants : Les données du programme Sédiment donnent des informations sur la contamination des sédiments par plusieurs familles de substances chimiques. Nous chercherons à déterminer les substances qui sont peu ou pas présentes dans les sédiments portuaires, celles qui sont présentes dans certains sites particuliers et celles qui sont largement diffusées dans les milieux portuaires. Nous nous interrogerons sur l'effet de l'activité et de l'exposition océanique sur la qualité des sédiments observés. Une agrégation au niveau national sera ainsi réalisée. L'agrégation des données par bassin et pour les différents contaminants permettra d'identifier les substances dépassant des niveaux de référence en fonction des secteurs. Des analyses locales au travers de cartes réalisées pour les contaminants chimiques permettront d'affiner les éléments déjà observés. Ces analyses sur le programme sédiment seront cartographiées dans le CD-ROM qui accompagne ce rapport. Les données du programme Eau seront utilisées pour mettre en évidence les sites portuaires qui présenteraient des niveaux élevés en sels nutritifs et/ou en microorganismes. 1. Contexte 2. Le réseau RÉPOM3. Programme SEDIMENT 3.1 Paramètres mesurés 3.2 Méthode d'analyse 3.3 Répartition des données 3.4 Paramètres descriptifs du sédiment 3.5 Contaminants chimiques 3.5.1 France 3.5.2 Zones géographiques (Bassins) 3.5.3 Analyse en fonction de l'activité 3.5.4 Analyse en fonction de la classe des ports maritimes 3.5.5 Analyse par contaminants 3.5.5.1 Métaux 3.5.5.2 Polychlorobiphényles (PCB) 3.5.5.3 Tributylétain (TBT) 3.5.5.4 Hydrocarbures Aromatiques Polycycliques (HAP) 3.6 Outre-Mer 3.6.1 Saint-Pierre et Miquelon 3.6.2 Martinique 3.6.3 Guadeloupe 3.7 Synthèse pour le programme Sédiment 4. Programme EAU 4.1 Paramètres mesurés 4.2 Répartition des données 4.3 Paramètres microbiologiques 4.3.1 Éléments de contexte 4.3.2 Méthode d'analyse 4.3.3 Résultats 4.3.3.1 Escherichia coli 4.3.3.2 Entérocoques intestinaux 4.3.3.3 Bilan microbiologie 4.4 Éléments nutritifs 4.4.1 Éléments de contexte 4.4.2 Méthode d'analyse 4.4.3 Azote 4.4.3.1 Ammonium 4.4.3.2 Nitrates 4.4.3.3 Nitrite 4.4.3.4 Bilan azote 4.4.4 Phosphates 4.4.5 Bilan éléments nutritifs 4.5 Outre-Mer 4.5.1 Microbiologie 4.5.2 Éléments nutritifs 4.6 Synthèse pour le programme Eau Bibliographie | Liste des sigles | Annexe | Listes des figures et tableaux
  250. Edition (Ceremadoc) Digues et berges des voies navigables : Retour d’expériences sur les désordres et les réparations.

    Afin de capitaliser la connaissance sur les désordres et les réparations de digues de voies navigables et de la diffuser, le Direction technique Eau, mer et fleuves a réalisé avec les Laboratoires Régionaux des Ponts et Chaussées d'Autun, de Nancy, de Strasbourg et de Saint-Quentin un retour d'expériences, qui s'est étendu sur une large zone géographique et a concerné vingt-cinq cas de réparations ayant eu lieu ces dix dernières années. Cette publication traite des généralités sur les désordres et les réparations de digues de voies navigables ainsi que du principe et de la méthodologie retenue pour le retour d’expériences. Il propose également une analyse des cas et tire les enseignements de ce retour d’expériences. L'annexe de cette publication regroupe les vingt-cinq fiches de cas recensés et abondamment documentés. 1. Introduction 2. Généralités sur les digues de voies navigables 2.1. Contexte 2.2. Caractéristiques et désordres 2.3. Quelques techniques de réparations 2.4. Réparations en urgence dans le cas d'une brèche 3. Présentation du retour d'expériences 3.1. Principe du retour d'expériences 3.2. Méthodologie de travail 3.3. Cas étudiés pour le retour d’expériences 4. Analyse des vingt-cinq cas : désordres et phénomènes en cause 4.1. Types de désordres et mécanismes associés 4.2. Signes précurseurs et facteurs aggravants les mécanismes conduisant aux désordres 4.3. Influence des conditions climatiques et des périodes d'exploitation 4.4. Cinétique des mécanismes à l'origine des désordres 4.5. Tableau de synthèse sur les désordres 5. Analyse des vingt-cinq cas : réparations 5.1. Types de réparations et désordres associés 5.2. Périodes de réalisation des réparations et urgence associée aux travaux 5.3. Organisation des réparations et mise en oeuvre 5.4. Efficacité et pérennité des réparations 5.5. Coûts 5.6. Tableau de synthèse sur les réparations 6. Analyse des vingt-cinq cas suivant les techniques d'origine de protection de berges et d'étanchéité 6.1. Cuvelage béton 6.2. Perré et murette 6.3. Rideau de palplanches 6.4. Corroi d'argile 6.5. Structures d'origine «mixte» 6.6. Comparaison de la nature des désordres suivant la technique d'origine d'étanchéité et de protection de berges 6.7. Comparaison de la cinétique des mécanismes induisant les désordres suivant la technique d'origine d'étanchéité et de protection de berges 6.8. Comparaison des réparations suivant la technique d'origine d'étanchéité et de protection de berges 6.9. Tableau de synthèse sur les techniques de protection de berges et d'étanchéité existantes 7. Bilan du retour d'expériences 7.1. Enseignements sur les désordres 7.2. Enseignements sur les réparations 7.3. Enseignements sur les désordres et les réparations par rapport à la structure d'origine de la digue 7.4. Propositions d'améliorations et perspectives 8. Conclusion générale 9. Bibliographie 10. Glossaire 11. Liste des figures 12. Liste des photographies 13. Liste des tableaux
  251. Edition (Ceremadoc) Canalisations et câbles sous-marins : État des connaissances. Préconisations relatives à la pose, au suivi, et à la dépose de ces ouvrages sur le Domaine Public Maritime Français

    Face à la menace que représentent les canalisations et les câbles sous-marins abandonnés pour les navires de pêche, d'extraction de granulats marins, de plaisance, ou de maintenance d'ouvrages maritimes, en cas de croche accidentelle, ainsi qu'aux impacts environnementaux potentiels de ces ouvrages, l'État a souhaité disposer d’un guide de recommandations concernant la pose, l'entretien et la dépose de ces ouvrages sur le Domaine Public Maritime (DPM) français. En effet, alors que la réglementation relative au DPM impose le démantèlement des installations à l'issue de leur exploitation ou à l'expiration de leur titre d'occupation, force est de constater que les câbles et canalisations ont été rarement déposés par le passé. Le développement des télécommunications ces dernières années, ainsi que la multiplicité des usages qui s'exercent à proximité des côtes, ont rendu le problème encore plus sensible. Le présent guide vise à apporter une assistance aux services de l'État en charge de l'instruction des dossiers relatifs aux canalisations et câbles sous-marins, ainsi qu'aux maîtres d'ouvrages chargés de leur réalisation. Préambule Partie 1 - État des lieux technique, réglementaire, et scientifique 1. Contexte général 1.1 Câbles sous-marins 1.1.1 Historique 1.1.2 État des lieux, enjeux, et perspectives 1.2 Conduites sous-marines 2. Cadre réglementaire 2.1 Domaine Public Maritime 2.2 Réglementation internationale et européenne 2.3 Réglementation nationale 2.3.1 Concession 2.3.2 Code de l’environnement 2.3.3 Natura 2000 3. État de l’art des techniques de pose, d’entretien et de dépose 3.1 Caractéristiques techniques des câbles sous-marins 3.1.1 Câbles de télécommunications 3.1.2 Câbles électriques 3.2 Caractéristiques techniques des canalisations sous-marines 3.2.1 Conduites d’adduction d’eau 3.2.2 Conduites de rejet de stations d’épurations 3.2.3 Autres types de conduites 3.3 Structures et éléments de fixation et de protection des canalisations et câbles sous-marins 3.4 Études géophysiques des fonds marins 3.4.1 Reconnaissance superficielle des fonds 3.4.2 Reconnaissance en profondeur 3.4.3 Conclusions 3.5 Principales techniques de pose 3.5.1 Techniques de pose et de fixation des câbles sous-marins 3.5.2 Techniques de pose et de fixation des canalisations sous-marines 3.6 Maintenance 3.6.1 Maintenance des câbles sous-marins 3.6.2 Maintenance des canalisations sous-marines 3.7 Principales techniques de dépose en fin de vie de l’ouvrage ou en fin d’exploitation 3.7.1 Canalisations sous-marines 3.7.2 Câbles sous-marins 4. État des connaissances concernant les impacts potentiels sur l’environnement naturel et humain 4.1. Impacts en phase de travaux 4.1.1 Sur l’environnement marin 4.1.2 Impacts sur l’environnement terrestre 4.1.3 Impacts sur les activités humaines 4.1.4 Impacts sur la santé humaine 4.2 Impacts en phase d’exploitation 4.2.1 Sur l’environnement marin 4.2.2 Impacts sur l’environnement terrestre 4.2.3 Impacts sur l’environnement humain 4.2.4 Impacts sur la santé humaine Partie 2 - Mise en place de canalisations ou de câbles sous-marins : Préconisations relatives à l'examen des dossiers réglementaires 1. Réalisation d’un état des lieux de l’environnement naturel et humain 1.1 Environnement naturel 1.1.1 Environnement physique 1.1.2 Environnement biologique 1.1.3 Environnement physico-chimique 1.2 Environnement humain 1.2.1 Usages du Domaine Public Maritime 1.2.2 Navigation et servitudes 1.3 État initial de l’environnement naturel et humain. Récapitulatif des données à collecter 2. Évaluation des impacts sur l’environnement naturel et humain 2.1. En phase de travaux 2.1.1 Impacts sur l’environnement marin 2.1.2 Impacts sur l’environnement terrestre 2.1.3 Impacts sur les activités humaines 2.1.4 Impacts sur la santé humaine 2.2 En phase d’exploitation 2.2.1 Impacts sur l’environnement marin 2.2.2 Impacts sur l’environnement terrestre 2.2.3 Impacts sur l’environnement humain 2.2.4 Impacts sur la santé humaine 3. Choix du tracé d’une canalisation ou d’un câble sous-marin 3.1 Critères de choix 3.2 Analyse multicritère 3.3 Analyse d’un cas concret en Méditerranée 4. Propositions de mesures d'atténuation et/ou compensatoires 4.1 Au moment du projet 4.1.1 Environnement naturel 4.1.2 Environnement humain 4.2 Au moment de la pose 4.2.1 Environnement naturel 4.2.2 Environnement humain 4.3 En phase d’exploitation 4.3.1 Environnement naturel 4.3.2 Environnement humain 4.4 Au moment de la dépose 4.4.1 Environnement naturel 4.4.2 Environnement humain 4.5 Récapitulatif des différents impacts et des mesures d'atténuation liés à la mise en place et à l’exploitation des canalisations et câbles sous-marins 5. Propositions de mesures de suivi 5.1 Suivi postérieur à la pose (3 mois) 5.2 Suivis à long terme 5.2.1 Milieu marin 5.2.2 Milieu terrestre 5.3 Récapitulatif des différents suivis des canalisations et câbles sous-marins 6. Propositions de mesures de gestion 6.1. Gestion des nouveaux projets de canalisations et de câbles sous-marins 6.1.1 Planification en mer 6.1.2 Principe de précaution et meilleures techniques environnementales disponibles 6.1.3 Prévention des risques de croches accidentelles 6.2 Gestion des canalisations et câbles sous-marins hors-services 6.2.1 Nécessité du relevage 6.2.2 Modalités de gestion existantes 6.2.3 Devenir des matériaux relevés 6.2.4 Conclusions relatives aux installations hors-service Conclusion Références bibliographiques - Sites internet consultés - Glossaire des abréviations
  252. Study report (Ceremadoc) Etats de mer et Changement climatique. Simulations des états de mer dans le nord-est de l’Océan Atlantique de 1960 à 2100 pour trois scénarios de changement climatique

    A partir de champs de vents issus du modèle climatologique couplé ECHAM5/MPIOM ayant simulé les scénarios B1, A1B, et A2 définis par le GIEC (Groupe d’experts Intergouvernemental sur l’Evolution du Climat), des simulations prospectives d’états de mer ont été effectuées sur le nord-est de l’Océan Atlantique pour la période 2000-2100. Les simulations ont été réalisées avec le code d'état de mer TOMAWAC sur la grille de calcul dite « océanique » ayant servi à la construction par simulations rétrospectives (hindcast) de la base de données d’états de mer ANEMOC, couvrant la période 1979-2002 et possédant une résolution raffinée à l’approche des côtes françaises (Atlantique, Manche, Mer du Nord). Pour les présentes simulations forcées par des données du modèle ECHAM5/MPIOM, après un calage du modèle sur la période 1979-2000 par rapport aux résultats de la base ANEMOC, des moyennes et des quantiles de la hauteur significative spectrale des vagues (Hmo) sont calculés sur différentes périodes, dans le but de mettre en évidence des effets liés au changement climatique sur la variabilité spatiale et temporelle des états de mer en fonction des scénarios simulés. Les analyses des simulations effectuées mettent en évidence les tendances générales suivantes : • une légère diminution de la valeur moyenne de la hauteur Hmo sur la façade Atlantique, et une légère augmentation sur la Mer du Nord; • une légère augmentation des valeurs extrêmes de cette hauteur Hmo; • une faible diminution de la fréquence des tempêtes, mais une augmentation sensible de leur intensité. De plus, ces tempêtes remontent sensiblement vers le nord; • une saisonnalité plus marquée, avec une légère augmentation des valeurs moyennes et extrêmes pour la saison hivernale et une diminution nette pour la saison estivale. Ces tendances sont d'autant plus marquées que le scénario de changement climatique du GIEC est pessimiste (tendances du scénario A2 plus marquées que celles du scénario A1B, elles-mêmes plus marquées que celles du scénario B1).
  253. Edition (Ceremadoc) Aménagement des berges des voies navigables : Retour d'expériences

    Ce document a été réalisé en collaboration avec le CETE de Lyon qui a mené un travail de retour d'expériences sur les techniques de protection de berges des Voies Navigables de France. Il s'agit d'un ouvrage d'appui à consulter par tout gestionnaire, concepteur ou entrepreneur impliqué dans un projet d'aménagement de berges. Des éléments généraux sur les phénomènes d'évolution de berges et sur les techniques de protection de berges sont fournis dans cette publication ainsi que les facteurs clés de définition et de conception d'aménagements de berges. Un retour d'expériences sur seize aménagements localisés sur les voies navigables des services de navigation Rhône Saône et du Nord-Est a été réalisé et est présenté. Les techniques végétales, encore peu utilisées il y a quelques années, sont de plus en plus utilisées par les services de VNF et lorsqu'elles sont bien réalisées, elles sont efficaces en rivière mais aussi en section canalisée, petit ou grand gabarit. 1. Introduction 2. Phénomènes d'évolution des berges 2.1. Types d'évolution de berges 2.2. Facteurs d'évolutions 3. Démarche générale pour la définition d'une solution d'aménagement de berges 3.1. Diagnostic technique et environnemental du site 3.2. Définition des enjeux 4. Panorama des principales techniques de protection de berges 5. Principes généraux pour la conception d'une technique de protection de berges 5.1. Détermination des sollicitations hydrauliques, de la stabilité de la berge et du potentiel environnemental du site 5.2. Conception géométrique du profil de berge 5.3. Dimensionnement - choix des matériaux et des végétaux 6. Retour d'expériences sur des aménagements de berges avec techniques mixtes ou végétales 6.1. Tableau de synthèse et fiches de retour d'expériences 6.2. Bilan 7. Conclusion générale 8. Références bibliographiques 9. Références internet 10. Glossaire 11. Liste des abréviations 12. Liste des illustrations 13. Liste des tableaux 14. Annexes
  254. Edition (Ceremadoc) SIG et services maritimes - Etude méthodologique pour la création de couches d’information sur le littoral

    Ce rapport fournit une base de travail aux Services Maritimes dans le mise en œuvre de leur SIG, selon un protocole et des spécifications harmonisées au plan national. L’enjeu est de garantir la compatibilité de l’information produite et exploitée dans les Services et d’en permettre l’échange, l’analyse et la synthèse à l’échelle nationale. Après une présentation des fonctions des SIG, le rapport fait le point sur les spécifications d’un SIG pour les services de l’Equipement. Il se base sur un inventaire des données dont disposent les services de l’Equipement consultés. La synthèse réalisée à l’issue de ce travail d’enquête permet d’identifier les besoins des Services Maritimes de l’Etat en terme d’information géographique. A partir de ce constat un dictionnaire des données est élaboré. Il constitue la base des propositions réalisées en terme de structuration de l’information, par la définition des missions de l’Equipement. Ce dictionnaire permet à son tour la formulation de propositions concernant la structure générale du SIG des Services Maritimes sous le forme d’un Schéma général du SIG et d’un Modèle Conceptuel de Données. Des recommandations sont en outre formulées concernant la mise en œuvre effective de SIG au sein des Services Maritimes de l’Etat. C’est à ce niveau que sont évoqués les problèmes liés à la configuration matérielle du SIG, au choix de l’information géographique de référence, à l’acquisition des données et au fonctionnement de la cellule SIG. 1. Un ensemble d’outils, de données et de compétences 2. Les fonctions des SIG3. Les phases de mise en oeuvre 3.1. L’inventaire 3.2. L’analyse 3.3. L’aide à la décision Spécifications d’un SIG pour les Services Maritimes 1. Inventaire de l’existant 2. Identification des besoins 3. Structuration de l’information 3.1. Le dictionnaire de données 3.2. Le Modèle Conceptuel de Données 4. Mise en oeuvre du SIG 4.1. Architecture informatique 4.2. Les données 4.2.1. L’information géographique de référence 4.2.1.1. Référence altimétrique 4.2.1.2. Trait de côte 4.2.2. L’acquisition des données 4.2.2.1. Information numérique 4.2.2.2. Recueil des données sur le terrain 4.2.2.3. Numérisation des données analogiques 4.2.3. Les métadonnées 4.3. Fonctionnement Conclusion Annexes Annexe 1 - Identification des besoins Annexe 2 - Dictionnaire des données Annexe 3 - Schéma général du SIG Annexe 4 - Modèles Conceptuels de Données Annexe 5 - Principales rubriques d’une base de métadonnées normalisée Annexe 6 - La méthode MERISE
  255. Edition (Ceremadoc) Pathologies des ouvrages portuaires : méthodes d’investigation

    Ce guide présente les méthodes d’investigation qui peuvent être utilisées par les autorités qui exploitent des infrastructures portuaires en cas de découverte de désordres sur leurs ouvrages. Certaines méthodes peuvent également servir à détecter des désordres dans le cadre de la gestion du patrimoine. 1. INTRODUCTION GÉNÉRALE 1.1 Problématique 1.1.1 Généralités 1.1.2 Objectifs du guide 1.2 Champs d’application du guide 1.3 Contenu et mode d’emploi 2. LES INVESTIGATIONS DANS LA CHAINE DU DIAGNOSTIC D’UN OUVRAGE PORTUAIRE 2.1 Investigations et diagnostic 2.2 Critères de sélection des investigations 2.2.1 Les besoins du gestionnaire 2.2.2 La fiabilité du dossier d’ouvrage 2.2.3 Le type d’ouvrage 2.2.4 L’environnement de l’ouvrage 2.2.5 La nature et l’ampleur des dégradations 2.3 Le programme d’investigations 3. LES FICHES OUVRAGES 3.1 Contenu 3.1.1 Description de l’ouvrage 3.1.2 Variantes de l’ouvrage 3.1.3 Modes de dégradation ou de ruine 3.1.4 Tableau croisé : pertinence et choix des investigations 3.1.5 Instrumentation et suivi 3.2 Exemple 3.3 Identification des ouvrages 4. LES FICHES METHODES 4.1 Contenu 4.1.1 Généralités 4.1.2 Mode opératoire 4.1.3 Domaine de validité 4.1.4 Investigations complémentaires 4.1.5 Présentation et interprétation des résultats 4.1.6 Prix 4.1.7 Références bibliographiques et normatives 4.2 Exemple 4.3 Identification des méthodes 5. EXEMPLE DE PLAN D’INVESTIGATIONS D’UN MUR POIDS EN MAÇONNERIES 5.1 Contexte (description de l’ouvrage et des désordres observés) 5.2 Analyse 5.3 Programme d’investigations 5.4 Résultats des investigations 5.5 Formulation du diagnostic 5.6 Conclusions - Suites à donner FICHES OUVRAGES FICHES METHODES
  256. Edition (Ceremadoc) Les sources lumineuses utilisées pour les aides visuelles à la navigation : Ingénierie des aides à la navigation

    Les travaux menés par l'AISM lors des différents comités ou groupes de travail ont permis de rassembler des données précises et complètes sur les évolutions des sources lumineuses. La présente publication regroupe en un seul document l'ensemble de ces informations portant sur les sources lumineuses actuelles ou en cours de développement susceptibles d'intéresser les différents membres de l'AISM. Les sources lumineuses recommandées par le Direction technique Eau, mer et fleuves étant en nombre beaucoup plus limité, cette publication précise en préambule les spécificités françaises dans le domaine. 1. Préambule 2. Commentaires généraux 3. Commentaires particuliers selon le type de sources lumineuses 4. Annexe (traduction de la ligne directrice aism n° 1043 portant sur les sources lumineuses utilisées pour les aides visuelles à la navigation)
  257. Edition (Ceremadoc) La filière "déchets" - Analyse du transport fluvial de déchets sur l’axe Rhône-Saône : Synthèse

    Les faibles distances moyennes parcourues par les déchets et la proximité des lieux de traitement avec les lieux de production font du transport routier le mode prédominant dans le transport des déchets. Néanmoins, il convient de noter que certains déchets sont désormais transportés sur des distances plus importantes du fait d’une législation de plus en plus contraignante. Cette étude du « transport fluvial de déchets sur l’axe Rhône-Saône », réalisée en 2006 par le CETE(*) de Lyon, analyse le fonctionnement de la filière déchets de façon globale, puis sur le bassin Rhône-Saône, dans l’objectif de mieux comprendre le rôle et les caractéristiques du mode fluvial par rapport aux autres modes pour ce type de transport. Le document d’étude identifie des potentialités de report sur le mode fluvial pour le transport de déchets sur l’ensemble du bassin Rhône-Saône.
  258. Edition (Ceremadoc) Guide passes à poissons

    Ce guide constitue un outil d’aide à la décision pour orienter les Maîtres d’Ouvrage dans le montage de leurs programmes et leur permettre de juger de la bonne exécution des différentes étapes du projet. A cet effet, il répertorie les principaux points à traiter pour concevoir un dispositif efficace et conforme aux attentes exprimées dans le programme de l’opération. Au travers des 3 parties qui le composent, ce guide: précise en premier lieu comment aborder, placer et « traiter » de la continuité écologique dans le canevas de la « procédure projets » classiquement suivie par les responsables techniques, passe ensuite en revue les différents types d’ouvrages de franchissement piscicole, puis expose les phases de réalisation d’un projet ainsi que leur contenu, aborde enfin les aspects maintenance contrôle et efficacité des passes à poissons. Pour ce dernier point, le guide fixe des préconisations ambitieuses qui pourront justifier, au cas par cas, en fonction des moyens financiers et humains, une mise en place progressive. Avant – proposI. Recommandations pour l’établissement d’un programme 1 CADRAGE DU PROGRAMME a) Quelques repères sur la migration des poissons b) Ouvrages obstacle à la migration des poissons 2 LE PROGRAMME a) Les besoins du programme b) Les contraintes du programme c) Les exigences du programme 3 LA CONCERTATION 4 LES ETUDES SPECIFIQUES a) Contraintes fonctionnelles b) Contraintes structurelles II. « Catalogue » des passes à poissons et Phases de conception 1 PRINCIPES DES PASSES A POISSONS 2 CATALOGUE « PASSES A POISSONS » a) Passes à bassins et prébarrages b) Passes à ralentisseurs c) Passes « naturelles » d) Ascenseurs et écluses e) Passes à anguilles 3 PRINCIPES D’IMPLANTATION DES PASSES A POISSONS a) Principes et critères de base b) Configuration de l’obstacle c) Conditions hydrodynamiques 4 CONTENU DES ETUDES SPECIFIQUES a) Etudes préliminaires b) Etudes d’Avant Projet (AVP) c) Etudes de Projet (PRO) d) Après les études de Projet PRO III. Exploitation, maintenance et contrôle des passes à poissons 1 MAINTENANCE PREVENTIVE a) La maintenance préventive, pourquoi ? b) Précautions lors de la conception c) Maintenance de l‘ouvrage 2 CONTROLE DU FONCTIONNEMENT a) Efficacité - Fonctionnalité b) Suivi piscicole Annexes 1 Aménagement hydro-électrique et passes à poissons 2 Coûts et financement des passes à poissons 3 Canevas du programme (cas de reconstitution du barrage) 4 Cadre réglementaire Pour en savoir plus Glossaire Liste des figures et des photographies
  259. Edition (Ceremadoc) Guide de prise en main Fudaa-Mascaret 3.0

    Le logiciel MASCARET est un code de calcul de modélisation hydraulique 1D avec casier. Ce guide est destiné à accompagner un nouvel utilisateur dans l’apprentissage du logiciel. Le parti est pris dans un premier temps d’expliciter tous les menus du logiciel indépendamment des noyaux de calcul et dans un second temps d’accompagner la prise en main par un exemple réel de calcul 1D filaire, depuis la préparation des fichiers jusqu’à l’obtention de la ligne d’eau pour chacun des noyaux de calcul (permanent, non permanent, transcritique et un cas avec casiers). 1 PREAMBULE 1.1 Introduction 1.2 Installation du logiciel 1.3 Recensement des fichiers nécessaires avant exécution de Mascaret 1.4 Description des principaux boutons et des outils graphiques de Mascaret 1.4.1 Boutons des boites de dialogue 1.4.2 Boutons édition du réseau 1.4.3 Lancement de Mascaret 2 DESCRIPTION DU LOGICIEL 2.1 Ouverture et réouverture d’une étude déjà existante 2.2 Création d’une étude : choix du noyau de calcul 2.3 Enregistrement de l’étude créée 2.4 Edition du réseau hydraulique 2.4.1 Edition du réseau hydraulique 2.4.2 Positionnement des objets du réseau 2.5 Création des profils 2.6 Lois hydrauliques et choix des conditions limites 2.6.1 Création des lois hydrauliques 2.6.2 Choix des conditions limites 2.7 Maillage 2.8 Planimétrage 2.9 Conditions initiales 2.10 Paramètres temporels 2.11 Paramètres généraux 2.11.1 Les paramètres de modélisation 2.11.2 Les laisses de crues 2.11.3 Les zones de frottement 2.11.4 Les paramètres numériques du casier 2.11.5 Options avancées 2.12 Paramètres résultats 2.13 Calage automatique 2.13.1 Lancement du calcul du calage automatique 2.13.2 Les résultats du calage automatique 2.14 Tableaux de synthèse 2.15 Lancement du calcul 2.16 Résultats généraux 2.17 Résultats graphiques 2.18 Exportation des résultats 2.19 Importation des fichiers 2.20 Impression des résultats graphiques 3 Cas d’erreurs les plus fréquents dans l’utilisation de Fudaa-Mascaret 3.1 Erreur dans le choix de la loi hydraulique 3.2 Minimum deux lois hydrauliques pour un calcul 3.3 Affectation des lois hydrauliques aux extrémités libres du réseau hydraulique 3.4 Les abscisses du bief ne s’affichent pas 3.5 Erreur dans les conditions initiales 3.6 Choix du pas de temps 3.7 Choix du temps initial 3.8 Durée du calcul incompatible avec les lois hydrauliques 3.9 Les coefficients de Strickler ont été oubliés 3.10 Pas de temps avec le noyau « transcritique » 3.11 Cotes initiales dans les casiers 4 EXEMPLE D’UN ECOULEMENT FLUVIAL PERMANENT 4.1 Description de l’exemple traité en régime fluvial permanent : cas_fluvial_permanent.masc 4.2 Noyau de calcul 4.3 Edition du réseau hydraulique 4.4 Lois hydrauliques 4.5 Maillage 4.6 Planimétrage 4.7 Conditions Initiales 4.8 Paramètres temporels 4.9 Paramètres généraux 4.10 Paramètres résultats 4.11 Lancement du calcul 4.12 Visualisation des résultats 5 EXEMPLE D’UN ECOULEMENT FLUVIAL NON PERMANENT 5.1 Description de l’exemple traité en régime fluvial non permanent 5.2 Noyau de calcul 5.3 Edition du réseau hydraulique 5.4 Lois hydrauliques 5.5 Maillage 5.6 Planimétrage 5.7 Conditions Initiales 5.8 Paramètres temporels 5.9 Paramètres généraux 5.10 Paramètres résultats 5.11 Lancement du calcul 5.12 Visualisation des résultats 6 EXEMPLE D’UN ECOULEMENT transcritique 6.1 Description de l’exemple traité en régime transcritique 6.2 Construction du modèle, calcul préalable avec le noyau fluvial permanent, puis calcul avec le noyau transcritique 6.2.1 Noyau de calcul 6.2.2 Edition du réseau hydraulique 6.2.3 Lois hydrauliques 6.2.4 Maillage 6.2.5 Planimétrage 6.2.6 Conditions Initiales 6.2.7 Paramètres temporels 6.2.8 Paramètres généraux 6.2.9 Paramètres résultats 6.2.10 Lancement du calcul 6.2.11 Visualisation des résultats 6.3 Utilisation du noyau transcritique 6.3.1 Noyau de calcul 6.3.2 Conditions Initiales 6.3.3 Paramètres temporels 6.3.4 Paramètres généraux 6.3.5 Paramètres résultats 6.3.6 Lancement du calcul 6.3.7 Visualisation des résultats 6.4 Option « implicitation du noyau transcritique » 6.4.1 Paramètres généraux 6.4.2 Paramètres temporels 6.4.3 Lancement du calcul 6.4.4 Visualisation des résultats 7 EXEMPLE D’UN ECOULEMENT avec casiers 7.1 Description de l’exemple traité avec le module casiers 7.2 Calcul de la ligne d’eau initiale à 5 m3/s avec le noyau fluvial-permanent 7.2.1 Noyau de calcul 7.2.2 Lois hydrauliques 7.2.3 Paramètres temporels 7.2.4 Paramètres généraux 7.2.5 Paramètres résultats 7.2.6 Lancement du calcul 7.2.7 Visualisation des résultats 7.2.8 Export de la ligne d’eau initiale 7.3 Utilisation du noyau de calculs transcritique et du module casiers 7.3.1 Noyau de calcul 7.3.2 Lois hydrauliques 7.3.3 Géométrie des casiers 7.3.4 Conditions Initiales 7.3.5 Paramètres temporels 7.3.6 Paramètres généraux 7.3.7 Paramètres résultats 7.3.8 Lancement du calcul 7.3.9 Visualisation des résultats 7.4 Poursuite du calcul jusqu’à 160 m3/s avec le module casiers 7.4.1 Lois hydrauliques 7.4.2 Conditions Initiales 7.4.3 Lancement du calcul 7.4.4 Visualisation des résultats 7.5 Résultat du réglage du modèle sur la crue de 1978 8 ANNEXES 8.1 Description des paramètres du confluent en régime transcritique 8.2 Format d’importation du casier en mode « semis de points » 8.3 Format d’importation des points frontières ou des points intérieurs du casier e n mode « semis de points » 8.4 Format d’importation du casier en mode « planimétrie » 8.5 Format d’importation de la géométrie des biefs 8.6 Format d’importation des profils 8.7 Format d’importation des lois (*.loi) 8.8 Format d’importation du maillage (*.mail) 8.9 Format d’importation du fichier de reprise de calcul 8.10 Format d’importation du fichier ligne d’eau initiale 8.11 Format d’importation du fichier des laisses de crue (*.lai) 8.12 Format d’importation du fichier des zones de frottement
  260. Edition (Ceremadoc) Guide d'utilisation du béton en site maritime

    Le présent document est un guide sur l’utilisation du béton dans les ouvrages maritimes. Sans se substituer aux normes et règlements existants, il a pour objectif d’apporter des informations pratiques afin de faciliter la formulation du béton la plus appropriée pour la réalisation d’un ouvrage fonctionnel, économique et durable dans un environnement maritime. Il rappelle également les règles de l’art principales relatives à la mise en œuvre, au contrôle de la fabrication et de la mise en œuvre du béton et à la gestion de l’entretien des ouvrages en béton. Il s’adresse essentiellement aux maîtres d'œuvre qui ont à préparer un projet d’ouvrage en béton dans un environnement maritime, mais aussi à tous les acteurs de la construction dans les ports et sur le littoral maritime en France métropolitaine et outre-mer. Ce document traite donc du matériau béton essentiellement pour les ouvrages intérieurs aux ports maritimes, mais il peut aussi s’appliquer aux ouvrages de protection des ports, aux ouvrages de protection du littoral et aux établissements de signalisation maritime. 1. INTRODUCTION GÉNÉRALE 1.1 Champ d’application du guide 1.2 Objectif du guide 1.3 Contenu, articulation des chapitres 1.4 Qu’est-ce que le béton ? 1.4.1 Les ciments 1.4.2 Les granulats 1.4.3 Les additions 1.4.4 Les adjuvants 1.4.5 Les ajouts 1.4.6 L’eau de gâchage 2. SPECIFICITES DES OUVRAGES EN BETON EN ENVIRONNEMENT MARITIME 2.1 Typologie des ouvrages 2.2 Construction 2.3 Agressivité du milieu 2.3.1 Généralités 2.3.2 Attaques externes sur le béton seul 2.3.3 Attaques internes du béton 2.3.4 Cycles de gel-dégel 2.3.5 Corrosion des armatures 2.3.6 Bilan des attaques du béton pour un ouvrage maritime 3. BETON EN SITE MARITIME, EXIGENCES ET SPECIFICATIONS 3.1 Exigences performantielles 3.1.1 Résistance mécanique 3.1.2 Exigences esthétiques 3.1.3 Ouvrabilité 3.1.4 Exigences de durabilité 3.2 Référentiel technique 3.3 Stipulations 3.3.1 Généralités 3.3.2 Durée d'utilisation du projet 3.3.3 Types de béton 3.3.4 Classes d'exposition 3.3.5 Classes de teneur en chlorures 3.3.6 Spécifications principales pour la composition et les propriétés du béton 3.3.7 Prévention contre les risques d'alcali-réaction 3.3.8 Prévention contre les risques de réaction sulfatique interne 3.3.9 Enrobage des armatures 3.3.10 Autres spécifications 3.4 Durabilité et approche performantielle 3.4.1 Les indicateurs de durabilité 3.4.2 Les témoins de durée de vie 3.5 Bétons aux nouvelles performances 3.5.1 Bétons autoplaçants (BAP) 3.5.2 Bétons Hautes Performances (BHP) 3.5.3 Bétons fibrés 3.5.4 BFUP 3.5.5 Produits spéciaux 3.6 Armatures en acier inoxydable 3.6.1 Nuances d’acier inoxydable 3.6.2 Avantages et inconvénients 4. MISE EN OEUVRE DU BETON 4.1 Structures coulées en place 4.1.1 Fabrication du béton 4.1.2 Transport du béton 4.1.3 Matériels couramment utilisés pour le transport du béton 4.1.4 Cas spécifique du béton coulé sous l'eau 4.1.5 Dispositions constructives 4.2 Préfabrication 4.2.1 Fabrication des éléments en béton 4.2.2 Transport et stockage 4.2.3 Blocs de défenses préfabriqués 4.3 Environnement 4.3.1 Aspect législatif 4.3.2 Mesures de protection du milieu 5. CONTRÔLE DE LA QUALITE 5.1 Démarche 5.2 Exigences du Dossier de Consultation des Entreprises 5.3 Analyse des offres 5.4 Contrôle extérieur 5.4.1 Analyse des plans d'assurance qualité (PAQ) 5.4.2 Vérification du contrôle intérieur 5.4.3 Epreuves 6. GESTION DES OUVRAGES 6.1 Dispositions constructives 6.2 Surveillance 6.2.1 Généralités 6.2.2 Dossier d'ouvrage 6.2.3 Surveillance continue de l'ouvrage 6.2.4 Visites d'évaluation 6.2.5 Inspections détaillées 6.3 Suivi des paramètres de durabilité du béton 6.3.1 Généralités 6.3.2 Méthodologie 7. APPLICATIONANNEXES
  261. Edition (Ceremadoc) Forme de diagramme de rayonnement des feux de signalisation maritime : Ingénierie des aides à la navigation.

    La recommandation portant sur la forme des diagrammes de rayonnement est complémentaire à la recommandation AISM n° E122.La recommandation AISM n° E122 porte sur : la mesure du feu ; la présentation des résultats ; la détermination des caractéristiques du feu (portée et divergences). Les préconisations d'un pays à un autre étant très différentes, la recommandation AISM n° E122 ne traite pas de : la forme des diagrammes de rayonnement ; la divergence minimale du feu ; la réduction de portée liée aux mouvements de la bouée. Les préconisations françaises concernant ces trois points sont détaillées dans cette publication. 1. INTRODUCTION2. DESCRIPTION DE LA METHODE DES GABARITS A. DEFINITION DES DIAGRAMMES DE RAYONNEMENT EN SITE ET EN AZIMUT A.1. Repère orthonormé A.2. Types de diagramme de rayonnement B. PRINCIPE DE LA METHODE DES GABARITS C. CARACTERISATlON DU PROJECTEUR C.1. Définition du faisceau C.2. Zone normale d'utilisation C.3. Ouverture verticale du faisceau 3. FEUX D'HORIZON SUR SUPPORT FIXE A. DEFINITION DE LA PORTEE MOYENNE B. FORME DES GABARITS B.1. Forme du gabarit en azimut pour un angle de site nul B.2. Forme du gabarit en site pour un angle d'azimut fixé 4. FEUX D'HORIZON SUR SUPPORT FLOTTANT A. DEFINITION DE LA PORTEE MOYENNE B. FORME DES GABARITS B.1. Forme du gabarit en azimut pour un angle de site nul B.2. Forme du gabarit en site pour un angle d'azimut fixé 5. FEUX DE DIRECTION ET FEUX A FAISCEAUX TOURNANTS A. DEFINITION DE LA PORTEE DE REFERENCE B. FORME DES GABARITS
  262. Edition (Ceremadoc) Etudes des perturbations par les éoliennes des équipements électromagnétiques de localisation maritimes et fluviaux

    Dans un souci de réduction des émissions de gaz à effet de serre, la France souhaite favoriser le développement des énergies renouvelables, en particulier l'éolien. Néanmoins, le mouvement des pales des aérogénérateurs est susceptible de perturber sérieusement les équipements radioélectriques qui fonctionnent à proximité ; il convient donc de recenser la nature de ces perturbations et d'estimer leur impact. Ce document évalue les perturbations apportées par l’implantation de parcs éoliens à proximité des équipements radioélectriques tels que les radars des CROSS et des ports, les goniomètres en bande VHF et les GPS différentiels (DGPS). électromagnétiques du Centre d’Etudes Techniques Maritimes et Fluviales (Direction technique Eau, mer et fleuves). 1. INTRODUCTION 2. ABREVIATIONS3. ANALYSE DU FONCTIONNEMENT DES EQUIPEMENTS DU CETMEF 3.1. Radar 3.1.1. Particularités des radars utilisés dans l’environnement maritime et fluvial 3.1.2. Rappel de quelques caractéristiques du radar du Stiff à Ouessant 3.1.3. Rappel de quelques caractéristiques du radar de Honfleur port du Havre 3.2. Goniomètres 3.3. DGPS 4. EFFETS PERTURBATEURS ENVISAGEABLES 4.1. Radar 4.1.1. Effet de masquage 4.1.2. Génération de fausses cibles 4.1.3. Dégradation de la résolution distance des radars 4.1.4. Dégradation de la mesure angulaire 4.2. Goniomètre 4.2.1. Effet de masquage 4.2.2. Effet des multi-trajets 4.3. DGPS 4.3.1. Perturbation de la réception GPS par la station de référence 4.3.2. Perturbation de la propagation du signal radio 4.3.3. Perturbation de la réception GPS par le navire 4.4. Résumé des effets perturbateurs possibles 5. TABLEAU DES DEGRADATIONS TOLERABLES 6. QUANTIFICATION DES EFFETS PERTURBATEURS DES EOLIENNES 6.1. Taille de l’éolienne test 6.2. Effets perturbateurs sur les radars 6.2.1. Quantification des effets de masquage 6.2.2. Quantification de l’effet d’aveuglement par fausses cibles 6.2.3. Dégradation de la localisation distance des radars 6.3. Sur les goniomètres 6.3.1. Effet de masquage 6.3.2. Effet d’erreur de mesure angulaire 6.4. Sur le DGPS 6.4.1. Perturbation des communications à 300 kHz par masquage 6.4.2. Perturbation de la réception satellite GPS (station de référence ou sur bateau) par multitrajets 7. PRECONISATION SUR L’IMPLANTATION DES PARCS EOLIENS 7.1. Conclusions sur les effets perturbateurs apportés 7.1.1. Aux radars 7.1.2. Aux Goniomètres 7.1.3. Sur les DGPS 7.2. Proposition de préconisation d’implantation des éoliennes 7.2.1. Face aux radars 7.2.2. Face aux goniomètres Doppler 7.2.3. Face aux DGPS 8. REDUCTION DE L’EFFET DES PARCS EOLIENS SUR LA FONCTION RADAR9. REFERENCES
  263. Edition (Ceremadoc) Dossier type vanne clapet

    Ce dossier type répond à la plupart des situations de modernisation / reconstruction de barrages. Il permet également d’optimiser la structure des clapets par la prise en compte notamment des situations accidentelles. 1. Avant propos 2. Introduction 2.1. Composition du dossier type 2.2. Principe général d’utilisation 3. Définition des dimensions utiles et du nombre de clapets 3.1. Précisions sur les termes utilisés 3.1.1. Largeurs 3.1.2. Hauteurs 3.1.3. Angle d’inclinaison du clapet 3.1.4. Définition du repère global 3.2. Détermination pratique des dimensions utiles 3.2.1. Hauteur utile 3.2.2. Largeur utile 3.3. Gamme des dimensions de bouchures couvertes 4. Limites et précisions techniques sur la gamme étudiée 4.1. Angle d’inclinaison du clapet en position haute 4.2. Epure générale de débattement 4.3. Niveau d’eau du bief aval 4.4. Glace 4.5. Sur hauteur d’eau accidentelle 4.6. Séisme 4.7. Eau de mer 4.8. Interfaces et limites avec les autres corps de métier 4.8.1. Génie civil 4.8.2. Electricité et automatisme 5. Choix des sous-ensembles constitutifs 5.1. Principe général 5.2. Définitions des classes des sous-ensembles 5.2.1. Tablier 5.2.2. Paliers 5.2.3. Organe de manoeuvre 6. Elaboration des pièces techniques 6.1. Introduction 6.2. Choix des plans des sous-ensembles 6.3. Rédaction du CCTP 6.3.1. Principe d’utilisation 6.3.2. Cas particuliers 6.4. Bordereau des prix 6.4.1. Limites du bordereau 6.5. Clauses administratives relatives aux garanties et à la fourniture des documents de récolement 6.5.1. Dossier de récolement 6.5.2. Garanties particulières 7. Tableaux de choix des sous-ensembles 7.1. Tablier 7.2. Paliers 7.3. Vérins 7.4. Puissance des motoréducteurs 7.5. Chaînes 7.6. Force des crics 8. Remerciements
  264. Edition (Ceremadoc) Dispositifs de retransmission des radiotéléphones en tunnels canaux, pour l’exploitant et les services de sécurité : Guide technique à l’usage des maîtres d’œuvre.

    Ce guide présente les dispositifs de retransmission des radiotéléphones utilisés par l’exploitant de l’ouvrage, par les bateaux et par les services de sécurités lorsqu’ils se trouvent dans le tunnel canal. Cette lecture permet au Maître d’Ouvrage d’évaluer l’importance du projet radio à mettre en œuvre dans un ouvrage existant. La première partie présente le contexte du développement et les objectifs des dispositifs de retransmission radio en tunnel et étudie l’état de l’Art dans ce domaine. La deuxième partie présente les solutions techniques envisagées pour équiper un tunnel. La troisième partie concerne la réalisation du projet. Elle fournit les éléments techniques et financiers pour le Dossier de Consultation des Entreprises ainsi que les procédures techniques de réception du projet. Introduction I - objet II - la retransmission radio en tunnel III - organisation du document Partie i - contexte et conception du dispositif radio I - analyse du contexte II - expression du besoin III - caracteristiques fonctionnelles du dispositif radio IV - principes de la retransmission radio en tunnel V – conception du dispositif de retransmission radio VI – estimation sommaire du cout d’un systeme de retransmission radio VII - maintenance du dispositif Partie ii – formulation des elements techniques du projet I - dimensionnement du projet II - principes generaux mis en oeuvre III - fonctions techniques IV – principes d’integration dans l’ouvrage V - protections VI - estimation des couts des installations VII - exemples de realisation Partie iii – etude et realisation du projet radio I - presentation II - avant projet sommaire III – avant projet detaille IV – constitution du dossier de consultation des entreprises V – suivi de la realisation du projet Glossaire Annexes techniques annexe technique a : generalites sur les communications radio annexe technique b : caracteristiques et mise en oeuvre du cable rayonnant annexe technique c : mesures de champs radioelectriques en tunnel annexe technique d : calcul du bilan des liaisons annexe technique e : amplificateurs et repeteurs annexe technique f : transport du signal radio par fibres optiques annexe technique g : exemples de notices techniques
  265. Edition (Ceremadoc) La filière "déchets" - Analyse du transport fluvial de déchets sur l’axe Rhône-Saône : Rapport

    Les faibles distances moyennes parcourues par les déchets et la proximité des lieux de traitement avec les lieux de production font du transport routier le mode prédominant dans le transport des déchets. Néanmoins, il convient de noter que certains déchets sont désormais transportés sur des distances plus importantes du fait d’une législation de plus en plus contraignante. Cette étude du « transport fluvial de déchets sur l’axe Rhône-Saône », réalisée en 2006 par le CETE(*) de Lyon, analyse le fonctionnement de la filière déchets de façon globale, puis sur le bassin Rhône-Saône, dans l’objectif de mieux comprendre le rôle et les caractéristiques du mode fluvial par rapport aux autres modes pour ce type de transport. Le document d’étude identifie des potentialités de report sur le mode fluvial pour le transport de déchets sur l’ensemble du bassin Rhône-Saône.
  266. Edition (Ceremadoc) Réutilisation du génie civil lors de la reconstruction des barrages : Guide méthodologique.

    Ce guide a été élaboré par un bureau d'études, dans le cadre du programme de recherche sur les barrages anciens piloté par le Direction technique Eau, mer et fleuves Il est destiné aux services exploitants qui s'interrogent sur la reconstruction de leurs barrages et la réutilisation éventuelle du génie civil de l'ancien ouvrage.Ce rapport est donc constitué : d'une démarche pour l’examen de la faisabilité et la pertinence d’une solution de réutilisation du génie civil (2° partie), d'une méthodologie d’étude d’une solution de réutilisation du génie civil qui présente des techniques particulières couramment utilisées dans ce type de solution (3° partie), des éléments de comparaison entre une solution de réutilisation du génie civil et une solution de reconstruction à neuf, (4° partie), de cinq exemples de réalisation (5° partie). 1 introduction 2 Examen de la pertinence d’une solution de réutilisation du génie civil 2.1 inventaire des parametres 2.2 contraintes d’implantation 2.3 conditions de realisation des travaux 2.3.1 mise a sec des zones de travaux 2.3.2 derivation des eaux et gestion du plan d’eau pendant les travaux 2.4 adequation entre le type des bouchures mobiles existantes et le type des bouchures mobiles envisagees 2.5 modification des performances hydrauliques attendues du nouvel ouvrage 2.6 interet particulier a conserver le plus possible l’ouvrage existant 2.7 conditions de fondation 2.7.1 generalites 2.7.2 fondation alluviale sur une grande profondeur 2.7.3 fondation alluviale surmontant le rocher a faible profondeur 2.7.4 fondation rocheuse de bonne qualite 2.7.5 fondation rocheuse alteree en surface 2.8 qualite des materiaux utilises pour la construction de l’ouvrage existant 2.8.1 maçonnerie 2.8.2 beton 2.8.3 conclusion 2.9 conception de l’ouvrage existant 2.9.1 stabilite d’ensemble du barrage 2.9.2 stabilite et resistance internes de ses differentes parties 2.9.3 regles de securite concernant le personnel d’exploitation 2.9.4 conclusion 2.10 arbre d’evaluation de la pertinence d’une solution de reutilisation du genie civil 3 Méthodologie d’étude d’une solution de réutilisation du génie civil 3.1 connaissance de l’ouvrage et de son environnement 3.1.1 recherche documentaire 3.1.2 leve topographique 3.1.3 releve de degradations - diagnostic 3.1.4 reconnaissances geotechniques et de structure 3.2 methode et criteres de dimensionnement 3.2.1 stabilite d’ensemble 3.2.2 dimensionnement vis a vis de l’erosion interne du sol de fondation 3.2.3 resistance interne des structures 3.3 elements de conception d’une solution de reutilisation de maçonneries 3.3.1 principe de mobilisation des volumes de maçonnerie 3.3.2 transmission des efforts de compression et de cisaillement 3.3.3 reprise des efforts de flexion et de traction 3.4 presentation de techniques particulieres pour la reutilisation du genie civil 3.4.1 demolitions en masse, soignees et demontage de maçonneries 3.4.2 restauration des parements en maçonnerie 3.4.3 remplacement d’un parement en maçonnerie par un parement en beton coffre ou en beton projete 3.4.4 injections 3.4.5 palplanches 3.4.6 micropieux 4 Méthode de comparaison entre une solution de reconstruction a neuf et une solution de réutilisation du génie civil 4.1 inventaire des thèmes a explorer 4.2 durabilité et facilite de maintenance du génie civil 4.3 délai de réalisation 4.4 facilite d’exploitation et d’entretien des équipements 4.5 impact sur l’environnement 4.6 esthétique 4.7 risques techniques 4.8 batardage et gestion du plan d’eau pendant les travaux 4.9 aptitude a réaliser une mécanisation progressive 4.10 grille multicritères 5 exemples de réalisation ou de projet de réutilisation du génie civil existant 5.1 introduction 5.2 barrage de la truchere 5.2.1 description de l’ancien barrage 5.2.2 géotechnique 5.2.3 état du génie civil existant - diagnostic 5.2.4 description du projet de reconstruction 5.2.5 analyse critique 5.2.6 problèmes rencontres pendant les travaux 5.2.7 conclusion et synthèse 5.3 barrage de roanne 5.3.1 description du barrage actuel 5.3.2 géotechnique 5.3.3 état du génie civil existant – diagnostic 5.3.4 description du projet de reconstruction – courant 2005 5.3.5 analyse critique 5.3.6 conclusion et synthèse 5.4 barrage de villeneuve-saint-germain 5.4.1 description de l’ancien barrage 5.4.2 géotechnique 5.4.3 état du génie civil existant – diagnostic 5.4.4 description du projet de reconstruction 5.4.5 analyse critique 5.4.6 problèmes rencontres durant les travaux 5.4.7 conclusion et synthèse 5.5 barrage de l’ill (colmar) 5.5.1 description de l’ancien barrage 5.5.2 géotechnique 5.5.3 état du génie civil existant – diagnostic 5.5.4 description du projet de reconstruction 5.5.5 analyse critique 5.5.6 problèmes rencontres durant les travaux 5.5.7 conclusion et synthèse 5.6 barrage des usines municipales d’erstein 5.6.1 descriptif de l’ouvrage d'origine 5.6.2 géotechnique 5.6.3 état du génie civil existant 5.6.4 description des modifications apportées a l'ouvrage d'origine 5.6.5 diagnostic du barrage après reconstruction 5.6.6 analyse critique 5.6.7 problèmes rencontres pendant les travaux 5.6.8 conclusion et synthèse
  267. Edition (Ceremadoc) Guide stabilité des écluses

    L'objectif de ce guide est de proposer une méthodologie de réalisation de vidange d'écluse. La première partie présente les éléments de fonctionnement, de dimensionnement et d'évaluation de l'état d'une écluse. La seconde propose une méthodologie pour évaluer la faisabilité de la vidange en analysant plusieurs critères (géométrie, données du site, travaux antérieurs, observations de l'état de l'écluse) puis propose, si la vidange n'est pas envisageable, les investigations complémentaires à réaliser, les travaux de confortement possibles et des recommandations pour la surveillance de l'ouvrage lors du déroulement de la vidange. Enfin la dernière partie présente trois exemples d'application de cette méthodologie : Port à l'anglais sur la Seine, Damery sur la Marne canalisée et les Quatre cheminées sur la Meuse. Éléments de fonctionnement, de dimensionnement et d’évaluation de l’état d’une écluse Éléments de fonctionnement d’une écluse Principes de fonctionnement Types d’écluse Description de quelques éléments constituant une écluse Éléments de dimensionnement d’une écluse Circulations hydrauliques Éléments de dimensionnement des bajoyers Éléments de dimensionnement des radiers Conclusion Éléments d’évaluation de l’état et du comportement d’une écluse avant et pendant Dégradation naturelle et physico-chimique des matériaux Les sollicitations mécaniques Les actions de l’eau Réalisation d’une vidange d’entretien Définition des étapes Géométrie générale Données du site Synthèse n°1 Travaux antérieurs - Archives Expériences précédentes de vidanges Observations sur l’état de l’écluse Synthèse n°2 Réflexion – Faisabilité de la vidange Investigations complémentaires Travaux de confortement Déroulement de la vidange Fiche de suivi de la méthodologie Exemple d’application de la méthodologie « vidange du sas d’une écluse » Fiche n°1 : Écluse de Port à l’Anglais Fiche n°2 : Écluse n°2 de Damery Fiche n°3 : Écluse des Quatre Cheminées
  268. Edition (Ceremadoc) Guide de mise en sécurité des écluses automatisées

    Le présent guide s’intéresse aux équipements qui sont nécessaires à l’exploitation ou contribuent à la sécurité des écluses automatisées à petit gabarit : Equipements d’amarrage, bouées, échelles, interphone, séparation des zones de circulation, passerelles et portes d’écluse, appontements – accès à la berge, éclairage, panneau d’information. Il contient d’une part, une synthèse des fonctions attendues, des éléments de choix et modes d’installation de ces équipements d’exploitation et de sécurité, et d’autre part une méthodologie favorisant une installation respectueuse de l’identité et de l’environnement de l’itinéraire sur lequel ils sont implantés. Présentation et mode d’emploi du guide METHODOLOGIE : DEFINITION D’UNE CHARTE D’ITINERAIRE FICHES TECHNIQUES Quelques règles générales d’intégration Equipements d’amarrage Bouées Echelle Interphone Séparation des zones de circulation Passerelles et portes d’écluse Appontements – accès à la berge Eclairage Panneau d’information EXEMPLE DE DEMARCHE D’ITINERAIRE Le Canal du Rhône au Rhin Exemple de fiches de visite
  269. Edition (Ceremadoc) Guide méthodologique pour le pilotage des études hydrauliques

    Ce guide a été commandé au Direction technique Eau, mer et fleuves par la DGUHC en 2000 pour répondre aux besoins des services déconcentrés de l’Etat se trouvant souvent dans la position de commander, d’aider à définir, de réceptionner ou de juger des études hydrauliques, notamment sur modèles numériques. De nombreux contributeurs ont participé à la réalisation du document : dans les groupes de travail dont l’objectif était de rassembler la matière utile à la rédaction du guide, ou à travers la rédaction de l’ouvrage et de ses annexes. Le guide vise à apporter une contribution et une aide aux agents en charge de commander, piloter et évaluer une étude hydraulique, en complément des formations techniques spécialisées et de l’expérience acquise sur le terrain. Il est structuré autour des trois étapes d’une étude hydraulique : préparation de l’étude, rédaction du cahier des charges et suivi de l’étude. Sept annexes techniques fournissent des éléments : sur les objectifs d’une étude hydraulique, les données hydrauliques, les données hydrologiques, le choix de l’outil de modélisation hydraulique, les données bathymétriques et topographiques, le suivi de l’étude et la cartographie des résultats. 0. Préambule 1. Préparation de l’étude 1.1. Les objectifs 1.1.1. Décrire la problématique et ses aspects connexes 1.1.2. Analyse fonctionnelle et configurations de projet 1.1.3. Objectifs de la maîtrise d’ouvrage 1.1.4. Fixer des indicateurs d’évaluation de l’étude en vue de choisir et valider un objectif 1.2. Inventaire critique des données disponibles 1.2.1. Collecte des données : bibliographie, archives 1.2.2. Évaluation des données hydrologiques et hydrauliques 1.2.2.1 Données hydrologiques 1.2.2.2 Données hydrauliques 1.2.3. Évaluation des données topographiques 1.2.3.1 Données utiles aux calculs hydrauliques 1.2.3.2 Données cartographiques 1.3. Expertise préalable à la rédaction du cahier des charges 1.3.1. Analyse qualitative 1.3.1.1 Topologie hydraulique : hydrographie, orographie et géomorphologie 1.3.1.2 Analyse quantitative des paramètres hydrauliques 1.3.1.3 Complexité de l’étude 1.3.2. Adéquation données / outils / complexité 1.3.2.1 Variables à étudier 1.3.2.2 Phénomènes à représenter 2. Rédaction du cahier des charges et jugement des offres 2.1. Rédaction du cahier des charges 2.1.1. Le préambule 2.1.2. Contexte et hypothèses de travail 2.1.3. Objectifs 2.1.3.1 Cas d’une étude de risque 2.1.3.2 Cas d’une étude d’aménagement 2.1.4. Les Moyens, la démarche 2.1.4.1 La collecte de données 2.1.4.2 Enquête de terrain 2.1.4.3 L’étude hydrologique 2.1.4.4 Données topographiques 2.1.4.5 Modélisation numérique 2.1.4.6 Hydrogéomorphologie 2.1.5. Rapports et communication 2.1.5.1 Les rendus écrits 2.1.5.2 Les rendus oraux 2.1.5.3 Les rendus informatiques 2.2. Jugement des offres 2.2.1. La démarche 2.2.1.1 La note technique 2.2.1.2 Les compétences techniques et les références du bureau d’étude 2.2.1.3 Les capacités du bureau d’études et de ses techniciens 2.2.2. Le prix de la prestation 3. Suivi de l’étude et gestion de ses produits 3.1. Déroulement général d’une étude 3.1.1. Réunion de lancement de l’étude 3.1.2. Collecte et analyse des données 3.1.3. Construction, calage et validation de l’outil d’analyse 3.1.4. Fonctionnement actuel du secteur d’étude 3.1.5. Conception de l’état projeté 3.1.6. Livraison du résultat final 3.2. Les critères de validation de l’étude 3.2.1. Comptes-rendus des observations de terrain 3.2.2. Synthèse bibliographique 3.2.3. Fonctionnement hydrologique 3.2.4. Choix de l’outil d’analyse 3.2.5. Pertinence du calage de l’outil d’analyse 3.2.6. Cohérence des résultats 3.2.7. Vérification des hypothèses de calculs 3.3. Sensibilité des calculs et gestion des incertitudes 3.3.1. De l’incertitude en hydraulique 3.3.2. Les sources de l’incertitude 3.3.2.1 - Les incertitudes liées aux mesures de données 3.3.2.2 - Les incertitudes liées à la représentativité de l’information 3.3.2.3 - Les incertitudes liées aux données reconstituées 3.3.2.4 - Les incertitudes liées aux hypothèses de modélisation 3.3.2.5 - Incertitudes spécifiques liées au régime transitoire 3.3.2.6 - L’évolutivité des données significatives 3.3.3. Description des tests de sensibilité 3.3.3.1 - Etape n°1a : les tests de sensibilité portant sur les valeurs imposées 3.3.3.2 - Etape n°1b : les tests de sensibilité portant sur les paramètres de calage 3.3.3.3 - Etape n°2 : analyser le faisceau des lignes d’eau 3.3.4. Spécifier les tests de sensibilité 3.4. Archivage, propriété et droits d’usages des produits de l’étude 3.4.1. Archivage des produits de l’étude 3.4.1.1. Le rapport 3.4.1.2. Les fichiers de calcul 3.4.2. Propriété et droits d’usage des données produites à l’occasion de l’étude 3.4.2.1 Définition des données publiques 3.4.2.2 Protection des données publiques 3.4.3. Propriété et droits d’usage des oeuvres produites 3.4.3.1 Définition des oeuvres 3.4.3.2 Protection juridique des oeuvres 3.4.3.3 Des bonnes manières en matière d’oeuvres 3.4.3.4 Cahier des Clauses Administratives Générales - prestations intellectuelles (C.C.A.G. - P.I.) 3.4.4. Cas particulier des logiciels de modélisation numérique Annexes Annexe 1 - Formuler les objectifs de l’étude Annexe 2 - Analyse du fonctionnement hydraulique du secteur d’étude Annexe 3 - Données hydrologiques Annexe 4 - Choix de la modélisation Annexe 5 - Bathymétrie et topographie Annexe 6 - Suivi de la réalisation de l’étude hydraulique Annexe 7 - Rendu cartographique Références documentaires Lexique du guide pilotage d’une étude hydraulique
  270. Edition (Ceremadoc) Catalogue des batardeaux : Étude bibliographique et recensement des batardeaux de maintenance et de secours

    Le catalogue des batardeaux a été réalisé par l'ANAST en collaboration avec VNF et le Direction technique Eau, mer et fleuves dans le cadre du programme de recherche sur les barrages mobiles. Il recense les différents types de batardeaux, les compare, et les classe selon leur type d'utilisation. On retrouve 11 familles dont les batardeaux à aiguilles, à poutres ou à panneaux, les bouchures flottantes, les batardeaux gonflables, les structures à remplir d'eau. Chapitre I : Analyse de l’objet « Batardeau » Introduction 1 Terminologie 1.1 Définition 1.2 Batardeau de secours 1.3 Batardeau de maintenance pour vanne à immersion limitée 1.4 Batardeau de maintenance pour les vannes presque totalement immergées 2 Analyse fonctionnelle et technologique 2.1 Analyse fonctionnelle 2.2 Caractéristiques d’un batardeau 2.3 Analyse technologique : mise au point d’une solution 2.4 Description d’une solution 3 Classification des batardeaux 3.1 Proposition de critères 3.2 Schéma d’identification des familles de batardeaux 3.3 Cheminement de décomposition en familles 3.4 Récapitulatif Chapitre II : Catalogue des batardeaux Introduction Structure de l’analyse Retour d’expérience 1 Famille A : Batardeaux à aiguilles 1.1 Description sommaire 1.2 Description détaillée 1.3 Exemples 1.4 Retour d’expérience 1.5 Fiche récapitulative 2 Famille B : Batardeaux à poutres ou à panneaux 2.1 Description des batardeaux à poutres 2.2 Description des batardeaux à panneaux 2.3 Exemples 2.4 Fiche récapitulative 3 Famille C : Batardeaux plaque 3.1 Description 3.2 Exemples 3.3 Retour d’expérience 3.4 Fiche récapitulative 4 Famille D : Batardeaux à poutrelles ou planchettes avec poteaux intermédiaires 4.1 Description sommaire 4.2 Description détaillée 4.3 Exemples 4.4 Retour d’expérience 4.5 Fiche récapitulative 5 Famille E : Bouchures flottantes (caissons) 5.1 Description 5.2 Exemples 5.3 Retour d’expérience 5.4 Fiche récapitulative Catalogue des batardeaux de maintenance et de secours 6 Famille F : Batardeaux gonflables 6.1 Description 6.2 Exemples 6.3 Fiche récapitulative 7 Famille G : Batardeaux composés d'une structure à remplir d'eau ou d'agrégats 7.1 Description 7.2 Exemples 7.3 Fiche récapitulative 8 Famille H : Batardeaux composés de structures soutenant une membrane étanche 8.1 Description 8.2 Exemples 8.3 Fiche récapitulative 9 Famille I : Batardeaux auto-étanches 9.1 Description 9.2 Exemples 9.3 Fiche récapitulative 10 Famille J : Batardeaux escamotables 10.1 Description 10.2 Exemples 10.3 Fiche récapitulative 11 Famille K : Batardeaux ventouse 11.1 Description 11.2 Exemples 11.3 Fiche récapitulative Chapitre III Comparatif des batardeaux 1 Synthèse 2 Comparaison détaillée Annexe
  271. Edition (Ceremadoc) Les méthodes géophysiques pour la reconnaissance des digues des voies navigables

    A la demande du Direction technique Eau, mer et fleuves et de VNF, commanditaire de l’étude, le LRPC d'Autun a mis à jour une notice méthodologique d'auscultation des digues de voies navigables par méthodes géophysiques. Cette notice recense l'ensemble des méthodes permettant la caractérisation des corps de digue au moyen de techniques non destructrices en mettant l'accent sur leurs principes physiques, leur mise en œuvre, leurs conditions d'application et leurs limites. Pour les méthodes les plus couramment mises en œuvre (traîné électrique aquatique, panneau électrique, potentiels spontanés, radar géologique, radio-magnétotellurique, méthodes Slingram, sismique réfraction), des expérimentations sur deux sites ont été réalisées afin de valider leurs performances. Les données ont été traitées et interprétées de façon à illustrer leur emploi. Les deux sites retenus pour les expérimentations, le canal du Centre à Rémigny (Saône-et-Loire) et la digue de Loire à Sandillon (Loiret) étaient déjà connus par de précédentes reconnaissances mécaniques, ce qui a permis de disposer de sites cadrés pour la présentation des résultats. Les méthodes employées présentent la plupart du temps une très bonne corrélation avec l'organisation géologique et géotechnique du secteur. Pour chaque nouvelle campagne d'investigation, il est nécessaire de réaliser des sondages géotechniques conjointement à ces reconnaissances géophysiques afin de confirmer et d'ausculter les anomalies détectées et pour procéder à une deuxième interprétation des données issues des reconnaissances géophysiques 1 . Généralités 2 . Présentation des sites d'étude 2.1. site de rémigny 2.2. site de sandillon (durand , 2003) 3. Les méthodes géophysiques appliquées à la reconnaissance des digues de voies navigables 3.1. électromagnétisme basse fréquence en champ proche : la méthode slingram 3.2. électromagnétisme basse fréquence en champ lointain : la radio-magnétotellurique 3.3. radar géologique 3.4. prospection électrique aquatique 3.5. panneau électrique 3.6. traîné aquatique de potentiels spontanés 3.7. sismique réfraction 3.8. mesures physiques sur les eaux 3.9. méthodes diagraphiques 3.10. autres méthodes 4 . Exemple d'intégration de résultats de prospection géophysique 5 . Synthèse et conclusions 6 . Références bibliographiques
  272. Edition (Ceremadoc) Aides Radar (RACON)

    Ce guide comprend : Fonction du RACON Documents de référence Exemples d'utilisation Avantages du RACON Principales caractéristiques techniques Principe de fonctionnement Portée de fonctionnement d'un RACON Importance des réglages du radar Réglages du RACON 1. Fonction du racon 2. Documents de reference 3. Exemples d’utilisation du racon 4. Avantages du racon 5. Principales caracteristiques techniques 6. Principe de fonctionnement a. signaux emis b. traitement de suppression des lobes secondaires 7. Portee de fonctionnement d’un racon 8. Importance des reglaces du radar a. le f.t.c. et la lisibilite de la reponse racon b. le s.t.c. et la lisibilite de la reponse racon c. les reglages du radar : conclusion 9. Reglages du racon a. longueur de la reponse b. facteur de travail c. temps de suppression des lobes secondaires d. sensibilite
  273. Edition (Ceremadoc) Protection des Etablissements de Signalisation Maritime et de Surveillance de la Navigation Maritime contre l'électricité atmosphérique et la foudre

    Généralités sur l'électricité atmosphérique. Densité des coups de foudre et autres décharges. Effets de la foudre et principe des protections. Protection contre les dangers de l'électricité atmosphérique, mesures à prendre, dispositifs à utiliser. 1. PREAMBULE 2. GENERALITES SUR L’ELECTRICITE ATMOSPHERIQUE A. CHAMP ELECTRIQUE TERRESTRE B. LES ORAGES B.1. Electrisation des particules B.2. Formation des orages B.3. Champ au sol C. LA FOUDRE C.1. Apparition de la décharge disruptive C.2. Charges d’espace - Effet couronne C.3. Propagation de la décharge - Apparition d’un « traceur » C.4. Saut final C.5. Arc en retour et décharges subséquentes 3. DENSITE DES COUPS DE FOUDRE - AUTRES DECHARGES A. DENSITE DES COUPS DE FOUDRE B. AUTRES DECHARGES B.1. Décharges intra-nuage B.2. Orages de chaleur B.3. Autres phénomènes de décharges localisées B.4. Décharges d’électricité statique C. L’lMPULSlON ELECTROMAGNETIQUE NUCLEAIRE HAUTE ALTITUDE D. DECHARGES DE FOUDRE ET COMPATIBILITE ELECTROMAGNETIQUE 4. EFFETS DE LA FOUDRE ET PRINCIPE DES PROTECTIONS A. EFFETS DE LA FOUDRE B. PHENOMENE D'IMPACT - PARATONNERRE B.1. Décharge descendante négative B.2. Décharge descendante positive B.3. Décharges ascendantes positives et négatives B.4. Paratonnerres à dispositif d’amorçage C. ECOULEMENT DE LA DECHARGE C.1. Courant crête et surtension C.2. Inductions C.3. Rayonnements D. EFFETS SECONDAIRES 5. PROTECTION CONTRE LES DANGERS DE L’ELECTRICITE ATMOSPHERIQUE - MESURES A PRENDRE - DISPOSITIFS A UTILISER A. GENERALITES B. PRESCRIPTIONS CONCERNANT LES DIVERS ETABLISSEMENTS B.1. Bouées B.2. Tourelles B.3. Phares B.4. Bâtiments B.5. Navires B.6. Aérogénérateurs B.7. Panneaux solaires B.8. Antennes C. PRESCRIPTIONS COMMUNES C.1. Masses C.2. Canalisations C.3. Descentes de terre C.4. Prises de terre et de mer C.5. Raccordement aux lignes électriques, téléphoniques et de signaux H.F. et B.F. C.6. Neutre des installations C.7. Parafoudres D. COMPOSANTS DE PROTECTION D.1. Eclateurs D.2. Varistances D.3. Diodes à absorption D.4. Protection série E. MESURES DE PRECAUTION E.1. Vérification des installations de protection E.2. Prescriptions diverses 6. BIBLIOGRAPHIE 7. ANNEXES ET PLANCHES ANNEXE 1 : Réalisation des prises de terre et de mer ANNEXE 2 : Mesure des prises de terre ANNEXE 3 : Réalisation de protections parafoudre ANNEXE 4 : Terminologie ANNEXE 5 : Questionnaire, compte-rendu de visite PLANCHE 1 : Exemple schématique de la protection d’un phare PLANCHE 2 z Exemple de protection d’une station radio PLANCHE 3 : Exemple de protection d’une station radar
  274. Edition (Ceremadoc) Utilisation du béton précontraint en site aquatique : éléments de réflexion

    Le document apporte des éléments de réflexions aux maîtres d’ouvrages et aux maîtres d’œuvre sur l’utilisation du béton précontraint. Après un bref rappel du principe de fonctionnement du béton précontraint et un panorama des ouvrages en site aquatique, il aborde la conception des nouveaux ouvrages en donnant des conseils judicieux aux maîtres d’ouvrages. Le suivi et l’entretien des ouvrages anciens et leur éventuelle réhabilitation est aussi abordé. Introduction 1 Introduction et généralités 1.1 Introduction 1.2 Historique du béton précontraint 1.2.1 L’invention, le développement 1.2.2 La réglementation 1.3 Typologie des ouvrages en béton précontraint en site maritime 1.3.1 Analyse de la population des ouvrages 1.3.2 Répartition suivant le mode de précontrainte 1.3.3 Répartition suivant le type de précontrainte 1.3.4 Répartition suivant les années de construction 1.3.5 Répartition suivant les sites d’exposition 1.3.6 Conclusions 2 Fonctionnement des ouvrages en Béton Précontraint 2.1 Fonctionnement d’une section en béton précontraint 2.1.1 Introduction 2.1.2 Principe de fonctionnement : le tirant 2.1.3 Fonctionnement en flexion : poutre sur appuis simples 2.1.4 Fonctionnement vis à vis de l’effort tranchant 2.1.5 Le dimensionnement complet d’une structure en béton précontraint 2.1.6 Sensibilité d’une réduction de précontrainte sur la sécurité d’une section en béton précontraint 2.1.7 Aspects réglementaires 2.1.8 Application des Eurocodes 2.2 Le recalcul des ouvrages anciens 2.2.1 Introduction 2.2.2 Réglementation applicable aux ouvrages anciens 2.2.3 Modélisation des structures 2.2.4 Définition des sections 2.2.5 Evaluation de la précontrainte 2.2.6 Justification vis à vis des contraintes normales 2.2.7 Justification à l’état limite ultime 2.2.8 Justification vis à vis des sollicitations tangentes 2.2.9 Justifications complémentaires 2.3 Pathologies potentielles du béton précontraint 2.3.1 Conséquences mécaniques d’une insuffisance d’armatures passives 2.3.2 Insuffisance en flexion 2.3.3 Causes affectant le niveau de la contrainte de traction dans les armatures de précontrainte 2.3.4 Corrosion des armatures de précontrainte 2.3.5 Manifestations des pathologies de la précontrainte 2.4 Cas particulier : les tirants d’ancrage précontraints 2.4.1 Généralités 2.4.2 Mode de fonctionnement des tirants 2.4.3 Constitution des tirants 2.4.4 Pathologies potentielles des tirants d’ancrage 3 Spécificités du milieu aquatique 3.1 Le milieu : les agressions sur le béton 3.1.1 Les agressions mécaniques 3.1.2 Les agressions physico-chimiques 3.1.3 Les agressions chimiques 3.2 Le choix du matériau béton 3.2.1 Les normes et règlements 3.2.2 Exemple de béton utilisable pour des ouvrages précontraints en site aquatique 3.3 Les efforts agissant sur les ouvrages 3.3.1 Les différentes sollicitations 3.3.2 Fatigue, sollicitations alternées 3.4 Problèmes posés par la gestion 3.4.1 La connaissance du patrimoine 3.4.2 La technicité 4 Stratégie d’emploi du béton précontraint en site aquatique 4.1 Intérêt du béton précontraint 4.1.1 Généralités 4.1.2 Critères de choix 4.2 Éléments de conception spécifiques aux ouvrages en site aquatique 4.2.1 Contenu des études à mener 4.2.2 Choix technologiques 4.3 La précontrainte utilisée en réparation 4.3.1 Champ d’application 4.3.2 Analyse des problèmes et spécificités 4.4 Rédaction du DCE et suivi des travaux 4.4.1 Introduction 4.4.2 Points faisant l’objet de développements au CCTP 4.4.3 Choix des entreprises 4.4.4 Précisions à apporter au CCTP, aux études d’exécution, points de contrôle 4.4.5 Conclusions sur l’organisation de la maîtrise d’oeuvre 5 Gestion des ouvrages en BP en site aquatique 5.1 Modalités de gestion 5.1.1 Le constat 5.1.2 Principes généraux 5.1.3 Le dossier d’ouvrage 5.1.4 Constitution d’un guide de visite 5.1.5 Périodicité des visites 5.2 Inspection détaillée des structures en BP en site aquatique 5.2.1 Introduction 5.2.2 Contenu de l’inspection détaillée 5.2.3 Les investigations spécialisées 5.2.4 Conclusions Annexes Annexe 1 Actions sur les ouvrages Annexe 2 Glossaire Annexe 3 Sigles Bibliographie Les spécificités
  275. Edition (Ceremadoc) Notice sur les déversoirs : synthèse des lois d'écoulement au droit des seuils et déversoirs

    Cette notice est le résultat d’une synthèse bibliographique des lois d’écoulement autour des seuils qui se veut la plus exhaustive possible des formules existantes de la littérature sur les seuils et des lois de débit qui leur sont associées. Elle décrit tout d’abord le fonctionnement hydraulique des déversoirs et recense ensuite l’ensemble des travaux qui leur a été consacré. Elle permettra à ses utilisateurs de déterminer rapidement l’impact de tel ou tel ouvrage, d’en réaliser le dimensionnement à l’aide des formules appropriées et de l’intégrer ensuite au sein de codes de calculs hydrauliques. Cette notice a été rédigée à l’intention des équipes techniques de services de l’Etat ou des collectivités ainsi que des bureaux d’ingénierie. Elle s’adresse plus particulièrement aux services susceptibles de conduire un projet ou d’apporter une assistance dans le cadre d’une étude comprenant le dimensionnement d’ouvrages hydrauliques de type déversoir. 1. Notations 2. Caractéristiques géométriques des déversoirs 3. Introduction 4. Rappel de quelques notions hydrauliques5. Méthode générale de calcul du débit transitant par un seuil 5.1. Définition du type de crête du seuil 5.1.1. Généralités 5.1.2. Incertitude sur le type de crête du seuil 5.1.3. Particularités du seuil à crête épaisse 5.1.3.1. Caractéristiques suivant la plage de valeurs de h1/C 5.1.3.2. Déversoir à crête épaisse et longue de longueur finie ou non finie 5.2. Régimes d’écoulement 6. Conditions préalables 6.1. Protocole de prise de mesure 6.2. Condition d’aération pour un déversoir à crête mince 6.2.1. Pourquoi doit-on aérer un déversoir à crête mince ? 6.2.2. Comment aérer un déversoir à crête mince ? 6.2.3. Calcul du débit d’air pour aérer un déversoir à crête mince 7. Déversoir à crête mince 7.1. Préalable aux déversoir s à crête mince : vitesse d’approche et coefficient Cv 7.1.1. Généralités 7.1.2. Formule du coefficient Cv pour un déversoir à crête mince 7.2. Déversoir à crête mince en écoulement dénoyé 7.2.1. Déversoir rectangulaire sans contraction latérale 7.2.1.1. Formule préconisée : KINDSVATER et CARTER 7.2.1.2. Autre formule de débit : formule de POLENI 7.2.1.3. Autre formule de débit : formule de REHBOCK 7.2.2. Déversoir rectangulaire avec contraction latérale 7.2.2.1. Forme de la crête d’un déversoir rectangulaire 7.2.2.2. Formule préconisée : KINDSVATER et CARTER 7.2.2.3. Autre formule de débit : formule de POLENI 7.2.3. Déversoir à échancrure triangulaire 7.2.3.1. Description et forme de la crête 7.2.3.2. Caractéristiques propres à un déversoir à crête triangulaire 7.2.3.2.1. Déversoir à contraction complète 7.2.3.2.2. Déversoir partiellement contracté 7.2.3.3. Formule préconisée : KINDSVATER 7.2.3.4. Autre formule : formule de CONE 7.2.3.5. Autre formule : formule générale 7.2.3.6. Cas particulier, α = 90° : formule de THOMSON 7.2.4. Déversoir trapézoïdal 7.2.4.1. Généralités 7.2.4.2. Cas général : formule de GOURLEY et GRIMP. 7.2.4.3. Cas particulier : tg α = ¼, déversoir de Cipolletti, formule de CIPOLETTI 7.2.5. Déversoir circulaire 7.2.5.1. Généralités 7.2.5.2. Cas général : formule d’après les résultats de STAUS et VON SANDEN (1926) 7.2.6. Déversoir incliné 7.2.6.1. Généralités 7.2.6.2. Cas général : formule de POLENI (18ème siècle) 7.2.7. Déversoir oblique 7.2.7.1. Généralités 7.2.7.2. Cas général : formule d’AICHEL (1953) 7.2.8. Déversoir avec courbe de débit à équation linéaire 7.2.8.1. Généralités 7.2.8.2. Formulation de débit 7.2.9. Déversoir labyrinthe 7.2.9.1. Généralités 7.2.9.2. Formulation de débit 7.3. Noyage d’un déversoir à crête mince 7.3.1. Déversoir à crête mince en écoulement noyé en dessous 7.3.1.1. déversoir sans ressaut ou avec ressaut éloigné 7.3.1.2. déversoir avec le pied de la nappe déversante recouvert par le ressaut 7.3.2. Déversoir à crête mince en écoulement noyé, pour h2/h1 < 0,9 7.3.3. Déversoir à crête mince en écoulement noyé, pour h2/h1>0,9 8. Déversoir à crête épaisse 8.1. Détermination du coefficient Cv pour un déversoir à crête épaisse 8.2. Noyage d’un déversoir à crête épaisse 8.2.1. Déversoir à crête épaisse en écoulement dénoyé 8.2.2. Déversoir à crête épaisse en écoulement noyé 8.3. Déversoir à crête épaisse de longueur longitudinale finie 8.3.1. Déversoir rectangulaire à arête arrondie en amont sans contraction latérale 8.3.1.1. Description 8.3.1.2. Détermination de la nature de l’écoulement 8.3.1.3. Formulation en écoulement dénoyé 8.3.1.4. Autre formule de débit 8.3.1.5. Formulation en écoulement noyé 8.3.2. Déversoir rectangulaire à arête vive en amont sans contraction latérale 8.3.2.1. Description 8.3.2.2. Détermination de la nature de l’écoulement 8.3.2.3. Formulation en écoulement dénoyé 8.3.2.4. Formulation en écoulement noyé 8.3.3. Déversoir triangulaire 8.3.3.1. Description 8.3.3.2. Détermination de la nature de l’écoulement 8.3.3.3. Formulation en écoulement dénoyé 8.3.3.4. Formulation en écoulement noyé 8.4. Déversoir à crête épaisse à longueur longitudinale non finie 8.4.1. Déversoir à crête épaisse et section longitudinale trapézoïdale 8.4.1.1. Description 8.4.1.2. Détermination de la nature de l’écoulement 8.4.1.3. Formulations en écoulement dénoyé ou noyé 9. Annexes 9.1. Abaque de coefficients de débit pour un déversoir à crête mince triangulaire à contraction complète pour α =90° ; 53,8° et 28,4° 9.2. Principe du débit maximal pour un déversoir à crête épaisse 10. Normes AFNOR (Association Française de NORmalisation)11. Bibliographie et références internet 11.1. Ouvrages et articles 11.2. Sites Internet
  276. Edition (Ceremadoc) Méthodologie de mise en œuvre de balises à flotteur immergé

    Ce guide comprend : Préambule Introduction Description de la structure Méthodologie de mise en œuvre Conclusion Objectif poursuivi Surveillance 1. PREAMBULE 2. INTRODUCTION A. AVANTAGES B. INCONVENIENTS 3. DESCRIPTION DE LA STRUCTURE A. EQUIPEMENTS DE LA NACELLE B. CORPS-MORT 4. METHODOLOGIE DE MISE EN ŒUVRE A. DISPOSITIONS A REALISER IN SITU B. PHASAGE DES OPERATIONS DE MISE EN ŒUVRE B.1. Manutention et montage des éléments, bord de quai B.2. Levage de la balise et mise à l’eau B.3. Manutention du corps-mort B.4. « Manillage » balise/corps-mort B.5. Amené par flottaison - Remorquage sur le lieu définitif B.6. Mouillage de la balise B.7. Mise en place de la nacelle et de ses équipements B.8. Ensouillage du corps-mort B.9. Principe du fonctionnement de la lance à eau B.10. Caractéristiques du matériel 5. CONCLUSION - OBJECTIF POURSUIVI 6. SURVEILLANCE A. GENERALITES B. POINT ZERO C. APRES UN AN PUIS TOUS LES CINQ ANS 7. ANNEXES A. CONTROLES AU MONTAGE ET A LA MISE EN PLACE B. SITUATION, SURVEILLANCE ET MAINTENANCE
  277. Edition (Ceremadoc) Sécurité routière dans les plans de déplacements urbains (PDU) : approche et méthode

    L'un des objectifs forts des PDU est la sécurité routière. Comment en effet parler de déplacements efficaces s'il y a quotidiennement des accidents et des victimes sur les voies de l'agglomération ? Et comment développer les modes doux mis en avant dans les PDU si la ville n'est pas suffisamment sûre pour l'ensemble des usagers vulnérables ? Ce guide fournit des réponses des réponses aux questions que cela pose aux élus et techniciens, chargés des PDU : Qu'entend-on par sécurité des déplacements dans un PDU ? Comment identifier les enjeux à l'échelle d'une agglomération ? Que peut faire l'équipe projet PDU ? Qui doit-elle mobiliser et pour quels types d'actions ? Quelle est la démarche à adopter ? Comment analyser les problèmes de sécurité et choisir les actions les plus efficaces ? Comment s'organiser localement pour définir et mettre en œuvre les actions puis assurer un suivi de la sécurité ? Élaboré par le CERTU, en partenariat avec l'Inrets, les Cete et des professionnels directement en charge des PDU, ce guide s'adresse en priorité aux responsables politiques, aux chefs de projet PDU et aux techniciens de la sécurité. Il a pour ambition de faire prendre conscience de la réalité de l'insécurité des déplacements urbains. Il propose des solutions pour prévenir et traiter les accidents de la circulation en agglomération. Il met en lumière les liens étroits entre l'objectif « sécurité » et les autres objectifs du PDU dont le développement va souvent de pair, comme la multimodalité, le partage de la voirie, la qualité de vie... De nombreuses agglomérations françaises et étrangères se sont déjà attaquées au problème de l'insécurité. Leurs expériences, riches d'enseignements, témoignent que des solutions techniques éprouvées existent et sont mises en œuvre avec succès pour diminuer le nombre et la gravité des accidents. Elles montrent aussi que la lutte contre l'insécurité est une œuvre collective de longue haleine qui, pour réussir, réclame, de l'ensemble des acteurs engagés dans la démarche PDU, persévérance et cohérence dans la durée.
  278. Edition (Ceremadoc) Conception d'un projet de balisage : Ingénierie des aides à la navigation

    Ce guide comprend : Etude d'un projet de signalisation maritime Les différents types d'aide à la navigation maritime Choix et dimensionnement des appareillages 1. ETUDE D’UN PROJET DE SIGNALISATION MARITIME A. PROCEDURE ADMINISTRATIVE A.1. Création d’un ESM ou modification des caractéristiques d’un ESM existant A.2. Rénovation d’un ESM (caractéristiques nautiques inchangées) B. DONNEES NECESSAIRES A LA CONCEPTION D’UN DISPOSITIF D’AIDES A LA NAVIGATION MARITIME B.1. Connaissance du risque B.2. L’usage des routes maritimes (nature du risque) B.3. L’environnement (facteurs de risque) C. DU BESOIN NAUTIQUE AU PROJET TECHNIQUE 2. LES DIFFERENTS TYPES D’AIDES A LA NAVIGATION MARITIME A. LE PLAN D’ENSEMBLEB. PRESENTATION ET COMPARAISON DES TYPES DE SUPPORTS B.1. Supports fixes B.2. Balises à flotteur B.3. Supports flottants : bouées B.4. Comparaison des différents types de support C. DIFFERENTS TYPES D’AIDES A LA NAVIGATION MARITIME C.1. Aides visuelles régies par le système de balisage AISM C.2. Autres types d’aides visuelles C.3. Aides radar C.4. Systèmes de radionavigation D. REGLES DE CALCUL POUR LES AIDES VISUELLES D.1. Perception des aides à la navigation : notions d’optique D.2. Performances diurnes des aides passives D.3. Complémentarité entre couleurs, formes et voyants D.4. Performances nocturnes des aides lumineuses E. RECONNAISSANCE D’INSTALLATION DES RADARS E.1. Introduction E.2. Réflecteurs radars E.3. Balises RACON F. AIDES SONORES F.1. Analyse nautique F.2. Classement des aides sonores F.3. Aspect réglementaire et doctrine générale 3. CHOIX ET DIMENSIONNEMENT DES APPAREILLAGES A. DONNEES CARACTERISANT UN ESM A.1. Taux de disponibilité de l’ESM A.2. Caractères nautiques de l’aide lumineuse A.3. Données qualitatives A.4. Paramétrage des données B. SIGNAL LUMINEUX B.1. Les différents types de lampes B.2. Composition des différents types de feux B.3. Dimensionnement des appareillages C. COMMANDE ET CONTROLE DU SYSTEME C.1. Dispositif de commande et contrôle C.2. Télécontrôle C.3. Les différentes technologies d’automatismes constituant les appareillages de commande et contrôle D. SOURCES D’ENERGIE D.1. Energie non renouvelable D.2. Energie renouvelable D.3. Cadre d’utilisation des différentes énergies E. BATTERIES (STOCKAGE DE L’ENERGIE) E.1. Caractéristiques techniques d’une batterie E.2. Modes d’exploitation des batteries E.3. Technologies des batteries utilisées en signalisation maritime F. CHOIX D’UNE CONFIGURATION F.1. Autonomie de l’ESM F.2. Sources d’énergie et batteries F.3. Exemples de configurations courantes G. DIMENSIONNEMENT DES EQUIPEMENTS H. AUTRES POINTS IMPORTANTS H.1. Règles d’installation des appareillages H.2. Protection contre la foudre I. REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES I.1. Documentation technique et administrative des Phares et Balises I.2. Autre documentation ANNEXES
  279. Edition (Ceremadoc) Alimentation en eau des voies navigables

    Cette notice se veut une compilation des nombreux documents existants sur l’alimentation en eau des canaux, renforcée par les expériences de quelques services gestionnaires pour poser les bases d’une culture technique et d’une approche méthodologique du diagnostic et de l’optimisation des systèmes d’alimentation en eau présents et à venir. Après un inventaire des ressources naturelles et artificielles existantes ainsi que des méthodes pour les évaluer, seront présentés l’influence du trafic connu sur la consommation d’exploitation et un bilan hydrique, avant d'aborder les solutions possibles pour une optimisation de la gestion. I. LES USAGES DE LA RESSOURCE EN EAU A. Naviguer d’un bassin a l’autre B. Des usages antagonistes de l’eau 1. L’eau, bien commun de la nation 2. Les divers usages de la voie d’eau II. DIAGNOSTIC DES RESSOURCES NATURELLES ET ARTIFICIELLES A. Introduction B. Ressources naturelles 1. Ressources de surface 2. Nappes phréatiques et écoulements souterrains C. Ressources artificielles 1. Barrages réservoirs 2. Etangs artificiels 3. Canaux de navigation 4. Ouvrages d’amenée d’eau D. Inventaire cartographié des ressources disponibles III. CONSOMMATION DES RESSOURCES EN EAU A. Connaissance du trafic, évaluation des besoins en eau 1. Flotte connue, tourisme, commerce et perspectives d’évolution 2. Trafic 3. Bassinées d’écluses 4. Débits dans les bras de décharge et fosses de contournement 5. Lâchers excédentaires B. Consommation liée aux activités connexes 1. Alimentation en eau potable 2. Prises d’eau pour l’irrigation et l’industrie 3. Contraintes liées aux activités de loisir et à la valorisation touristique des sites C. Consommation naturelle et pertes en eau 1. Soutien d’étiage des cours d’eau 2. Régulation du plan d’eau pour la navigation 3. Fuites dans les infrastructures 4. Infiltration, évaporation et transfert d’eau IV. OPTIMISATION DE LA GESTION DES RESSOURCES EN EAU A. BILAN HYDRIQUE 1. Bilan des ressources mobilisables 2. Bilan des besoins en eau 3. Consommation générale annuelle B. Réduction des pertes en eau C. Economie de la ressource en eau 1. Bassins d’épargne 2. Recyclage par pompage, alimentation des biefs amont par pompage 3. Règles de gestion des éclusages D. Consignes d’optimisation de gestion 1. Optimisation de gestion des prises d’eau 2. Gestion du destockage des barrages-réservoirs 3. Tableau de bord de gestion 4. Chômages V. RECAPITULATIF DES ELEMENTS DE C.C.T.P. A. Diagnostic du réseau d’alimentation du canal et de son fonctionnement actuel 1. description succincte du canal 2. recensement et description de la fonctionnalité des ouvrages de prises et rejets, lois hydrauliques utilisées et diagnostic du fonctionnement 3. besoins du canal et pertes 4. description des apports 5. contraintes d’exploitation internes et externes 6. les différents schémas de fonctionnement du système d’alimentation B. Etude quantitative des apports et des besoins du canal C. Fonctionnement du système d’alimentation 1. réajustement des lois de tous les ouvrages 2. lois hauteur/surface et hauteur/capacité de tous les plans d’eau 3. étude hydraulique sommaire des écoulements 4. analyse critique et pistes d’amélioration D. voies d’amélioration 1. Instrumentation 2. Télétransmission 3. Automatisation VI. Glossaire VII. Bibliographie TABLE DES ILLUSTRATIONS photo 1 : chambre de tranquillisation photo 2 : Pont canal de Briare nécessitant une usine élévatoire pour être alimenté et franchir la Loire photo 3 : Travaux d’étanchéité bief de Coulanges (canal Nivernais) Figures Figure 1 : canal de jonction Figure 2 : Le réseau des voies navigables en France Figure 3 : Répartition des consommations d’eau Figure 4 : Bief de partage Figure 5 : Cycle de l'eau Figure 6 : Exemple de trace de bassin versant Figure 7 : Détournement de cours d’eau (vue en plan) Figure 8 : Détournement de cours d’eau (profil en long) Figure 9 : Exemple de courbe de tarage Figure 10 : Exploration du champ de vitesse Figure 11 : Traitement des données hydrauliques Figure 12 : station limnigraphique Figure 13 : écoulements souterrains Figure 14 : niveau piézométrique Figure 15 : barrage-réservoir Figure 16 : escalier d'eau Figure 17 : Rigole d’alimentation du Canal du Centre à partir barrage réservoir de Berthaud Figure 18 : ligne d'eau générée par l'ouverture d'une vanne Figure 19 : bassin de compensation Figure 20 : contournement d'écluses Figure 21 : contournement d’écluse par aqueduc enterré Figure 22 : schéma d’alimentation du canal du Centre (Source : VNF, Coyne et Bellier ; 02/1999) Figure 23 : évolution du fret fluvial entre 1998 et 1999 Figure 24 : évolution du trafic sur le canal du Centre Figure 25 : fuites Figure 26 : consommation générale annuelle du canal du Centre Figure 27 : économie d'eau selon le nombre de bassins d'épargne Figure 28 : bassin d’épargne Figure 29 : station de pompage
  280. Edition (Ceremadoc) Surveillance, auscultation et entretien des ouvrages maritimes. Fascicule 5 : Quais en parois moulées

    Destinée aux services techniques qui ont en charge la gestion des quais en parois moulées et les tâches d'entretien correspondantes, cette notice a pour objet : de décrire les phénomènes qui peuvent altérer ou ruiner ces ouvrages, d'aider les services gestionnaires à assurer la surveillance, l'entretien courant des petites réparations de ces ouvrages. Chapitre I – Introduction I - 1 : Champ d’application I - 2 : Particularités des quais en parois moulées I - 3 : Règles à respecter dans la vie de l’ouvrage I - 3 - 1 : La réalisation de l’ouvrage I - 3 - 2 : Etablissement du dossier d’ouvrage I - 3 - 3 : Exploitation de l’ouvrage I - 3 - 4 : Les travaux aux abords de l’ouvrage et les opérations d’entretien et de réparation de l’ouvrage Chapitre II – Généralités sur la conception et la réalisation des quais en parois moulées II - 1 : Présentation générale de principe II - 1 - 1 : Soutènement à la boue II - 1 - 2 : La perforation II - 1 - 3 : La boue II - 1 - 4 : Les cages d’armatures II - 1 - 5 : Le bétonnage II - 1 - 6 : Le phasage des opérations II - 2 : L’utilisation de la paroi moulée en travaux maritimes II - 2 - 1 : Quais de type écran de soutènement - II - 2 - 1 - 1 : Paroi plane à tirants forés précontraints - II - 2 - 1 - 2 : Paroi plane avec portique - II - 2 - 1 - 3 : Paroi plane ancrée par tirants passifs - II - 2 - 1 - 4 : Variantes II - 2 - 2 : Quais de type massif - II - 2 - 2 - 1 : La paroi en caissons - II - 2 - 2 - 2 : La paroi autostable à contreforts intérieurs - II - 2 - 2 - 3 : La paroi à tirants plans II - 3 : Fonctions des quais en paroi moulée et critère de choix II - 3 - 1 : Les fonctions II - 3 - 2 : Critères de choix de la technique de paroi moulée II - 4 : Le projet de paroi moulée II - 5 : Eléments constitutifs des quais en parois moulées II - 5 - 1 : Les matériaux a – Le ciment et l’ambiance marine b – La protection des armatures contre la corrosion c – Le couple granulat-ciment et la réaction alcali-granulat II - 5 - 2 : La poutre de couronnement (ou poutre d’accostage) II - 5 - 3 : Les ancrages II - 5 - 4 : Les remblais II - 5 - 5 : Les défenses et les bollards II - 6 : Dossier d’ouvrage Chapitre III – Manifestations et causes des malfaçons ou désordres III - 1 : Implantation incorrecte et déviation de la paroi III - 2 : Les hors profils III - 3 : L’étanchéité et les joints entre panneaux III - 3 - 1 : L’étanchéité courante III - 3 - 2 : Joints entre panneaux - III - 3 - 2 - 1 : Exécution à l’aide de tube-joints - III - 3 - 2 - 2 : Amélioration des joints - III - 3 - 2 - 3 : L’hydrofraise SOLETANCHE III - 4 : Les désordres dus à la poussée sur l’ouvrage III - 5 : Autres désordres d’origine mécanique III - 5 - 1 : Fonction porteuse III - 5 - 2 : Rupture des tirants d’ancrage III - 6 : Désordres sur les matériaux dus au milieu environnant III - 6 - 1 : L’altération des bétons III - 6 - 2 : Corrosion des armatures du béton III - 6 - 3 : Corrosion des tirants III - 6 - 4 : Corrosion organique et hydrocarbures III - 6 - 5 : L’érosion Chapitre IV – Surveillance et auscultation IV - 1 : Principes généraux de la surveillance des ouvrages IV - 1 - 1 : Etablissement de l’état de référence IV - 1 - 2 : La surveillance continue IV - 1 - 3 : La visite périodique IV - 1 - 4 : L’inspection détaillée IV - 2 : Les moyens techniques de la surveillance et de l’auscultation IV - 2 - 1 : Mesures de déformations et de pressions IV - 2 - 2 : Les essais destructifs sur le béton IV - 2 - 3 : Essais non destructifs IV - 2 - 4 : Le contrôle des tirants et l’essai de tirants Chapitre V – L'entretien des quais en paroi moulée V - 1 : Peinture et nettoyage V - 2 : Le ragréage du béton de la poutre de couronnement et de partie de la paroi, hors d’eau V - 3 : La réparation de la paroi, sous l’eau V - 4 : Entretien des têtes de tirants V - 5 : Entretien des équipements et ouvrages divers Bibliographie succincte
  281. Edition (Ceremadoc) Surveillance, auscultation et entretien des ouvrages maritimes. Fascicule 4 : Digues à talus et digues mixtes

    Les ouvrages maritimes en enrochements sont généralement situés à l'extérieur des ports. Leur but principal est de protéger une zone donnée des inconvénients que peuvent induire la houle ou les courants dans l'exploitation de cette zone. Le présent fascicule, destiné aux gestionnaires d'ouvrages en enrochements que sont les digues à talus et les digues mixtes, a pour objet : de décrire les phénomènes qui peuvent altérer ou miner les ouvrages, de récapituler les méthodes qui permettent de détecter et d'analyser ces phénomènes, de rappeler les moyens disponibles pour éventuellement y remédier, de mettre en évidence l'influence des choix conceptuels sur l'éventualité des désordres. Chapitre I - Présentation I - 1 : Préambule I - 2 : Historique I - 3 : Objet de l'étude Chapitre II - Généralités II - 1 : Différenciation et fonctionnement des digues II - 1 - 1 : Les digues à talus II - 1 - 2 : Les digues mixtes II - 1 - 3 : Principe de fonctionnement des digues II - 2 : Eléments constitutifs d'une digue à talus II - 2 - 1 : La carapace II - 2 - 2 : Le couronnement II - 2 - 3 : Le noyau II - 2 - 4 : Le soubassement II - 2 - 5 : La butée de pied II - 2 - 6 : Le filtre II - 2 - 7 : Le fond de la mer II - 3 : Eléments constitutifs d'une digue mixte II - 3 - 1 : Le soubassement II - 3 - 2 : La muraille II - 4 : Les points singuliers II - 4 - 1 : Le musoir II - 4 - 2 : L'enracinement II - 4 - 3 : Les coudes Chapitre III - Causes et manifestations des désordres III - 1 : Causes des désordres dus à la houle III - 1 - 1 : Généralités III - 1 - 2 : Causes des désordres dus aux actions des vagues sur les ouvrages III - 2 : Modes de rupture III - 2 - 1 : L'usure des blocs III - 2 - 2 : Les fissures III - 2 - 3 : Les déplacements III - 2 - 4 : Les glissements III - 2 - 5 : Les cavités III - 2 - 6 : Les tassements III - 2 - 7 : Les dégâts sur les carapaces III - 2 - 8 : Les défaillances des butées de pied ou des risbermes III - 2 - 9 : Les brèches dans le couronnement III - 3 : Types de matériaux en cause III - 3 - 1 : Rappels sur la composition chimique de l'eau de mer et sur son action sur les ciments et sur l'acier III - 3 - 2 : Les maçonneries III - 3 - 3 : Le béton III - 3 - 4 : Les matériaux naturels Chapitre IV - La surveillance des ouvrages IV - 1 : Objectifs de la surveillance IV - 2 : Pratiques actuelles des gestionnaires d’ouvrages IV - 3 : Etendue de la surveillance IV - 4 : Les différents niveaux de la surveillance des ouvrages IV - 4 - 1 : Le dossier d’ouvrage IV - 4 - 2 : Etablissement de l’état de référence IV - 4 - 3 : La surveillance continue IV - 4 - 4 : La visite annuelle IV - 4 - 5 : Les inspections détaillées périodiques IV - 4 - 6 : Les inspections détaillées exceptionnelles IV - 5 : Synthèse du programme de surveillance de l’ouvrage IV - 6 : Les moyens de la surveillance IV - 6 - 1 : La topographie IV - 6 - 2 : La bathymétrie IV - 6 - 3 : Les visites subaquatiques IV - 6 - 3 - 1 : Généralités IV - 6 - 3 - 2 : Points à examiner IV - 6 - 4 : L'auscultation au sonar latéral IV - 6 - 5 : Le suivi photographique IV - 6 - 6 : Les sondages IV - 6 - 7 : L'instrumentation de l'ouvrage Chapitre V - L'entretien des ouvrages V - 1 : Généralités V - 2 : Etablissement d'un diagnostic V - 3 : Mise en oeuvre des techniques de réparation V - 3 - 1 : Le rechargement de la carapace V - 3 - 2 : Le comblement de cavités V - 3 - 3 : La lutte contre l'érosion V - 3 - 4 : La réfection des joints de maçonnerie V - 3 - 5 : Les réparations du couronnement V - 3 - 6 : Les actions sur le profil de la digue Annexes Annexe 1 : Résultats des enquêtes menées auprès des gestionnaires d'ouvrages Annexe 2 : Modèle de Procès Verbal de visite annuelle Bibliographie
  282. Edition (Ceremadoc) Tunnels canaux : Fascicules 1 et 2.

    En l’absence de contexte réglementaire et de document de référence, ce guide a pour objectif de définir une méthodologie de surveillance, d’entretien et de réparation des tunnels canaux. Essentiellement destiné aux gestionnaires des tunnels canaux, cette notice ne concerne que le génie civil de ces ouvrages. Elle se présente sous forme de deux fascicules.Le fascicule 1 est un document de référence composé de trois parties : la première concerne les généralités sur les tunnels canaux, la seconde précise la méthodologie de surveillance de ces ouvrages, la troisième présente les opérations d’entretien courant ainsi que différentes techniques de réparation.Le fascicule 2 est un document de terrain pour les personnes chargées de réaliser les visites, et présente la pathologie des tunnels canaux, les différentes dégradations affectant ces ouvrages associés aux causes, sous la forme de relevés de désordres. 1. GENERALITES - COMPARAISON AVEC LES AUTRES TYPES DE TUNNELS2. DEFAUTS DES TUNNELS NON REVETUS 2.1. Les principaux défauts 2.2. Autres défauts 2.3. Défauts des parties immergées 3. DEGRADATIONS AEEECTANT LES REVETEMENTS 3.1. Revêtement de maçonnerie 3.2. Revêtement de béton coffré, armé ou non 3.3. Revêtement de béton projeté ou d'enduit 4. DEFAUTS AFFECTANT LA STRUCTURE ET LA GEOMETRIE DES TUNNELS 4.1. Déformations 4.2. Chutes des matériaux 4.3. Fissures 4.3.1. Fissures en chevrons 4.3.2. Fissures en échelons 4.3.3. Fissures de décollement 5. DEGRADATIONS ENGENDRES PAR L’ACTION DE L’EAU 5.1. DEFAUTS LIES AUX VENUES D'EAU DU TERRAIN 5.1.1. Chandelles de glace 5.1.2. Obstruction des systèmes de drainage 5.1.3. Stalactites (défaut déjà présenté en 2.3.4.) 5.1.4. Mise en charge du revêtement 5.1.5. Débourrages 5.2. DEFAUT LIES A L'EAU DE CANAL 5.2.1. Erosion des parties de piédroit situées dans la zone de batillage 5.2.2. Erosion des parties immergées des piédroits 5.2.3. Envasement du radier 6. DEFAUTS ACCIDENTELS 6.1. Défaut lies au trafic 6.2. Incendies, explosions 7. DEFAUTS DE CONCEPTION ET DE MISE EN OEUVRE 7.1. Les défauts de conception 7.2. Les défauts de mise en oeuvre 8. DEFAUTS AFFECTANT LES PARTIES METALLIQUES DU GENIE CIVIL9. DEFAUTS AFFECTANT LES EQUIPEMENTS REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES TUNNELS CANAUX, PREMIERE PARTIE : Généralités 1. LE PARC DES TUNNELS CANAUX 1.1. Nombre d’ouvrages et répartition géographique 1.2. Longueur du réseau 1.3. Repères historiques (Cf. figure 23 p. 27) 1.4. Le tunnel de Rove 2. LES ACTEURS EN PRESENCE 2.1. Les propriétaires 2.1.1. L'Etat 2.1.2. La vile de Paris 2.2. Les Maîtres d’ouvrages en l’an 2000 2.2.1. VNF 2.2.2. La ville de paris 2.2.3. Le Conseil Général de la Nièvre 2.2.4. Le Conseil Général de Loire Atlantique 2.3. Les services exploitant 2.3.1. Les Directions Régionales et représentations locales de Voies Navigables de France 2.3.2. Les services exploitant des autres maîtres d’ouvrages 2.4. Le réseau technique 2.4.1. Le CETMEF 2.4.2. Le CETu (Centre d’Etudes des Tunnels) 3. ROLES ET FONCTIONNEMENT DES TUNNELS CANAUX 3.1. Le tunnel canal, ouvrage de la section courante 3.1.1. Caractéristiques géométriques réduites 3.1.2. Section mouillée réduite 3.1.3. Fluctuations du niveau d’eau 3.2. Les modes d’exploitation 3.2.1. Exploitation par traction 3.2.2. Franchissement par alternat 3.2.3. Trafic 4. LA DECOMPOSITION FONCTIONNELLE 4.1. Le terrain encaissant 4.2. Le tunnel canal 4.2.1. Les têtes 4.2.2. Les sections courantes (Cf. figure 16 p. 21) 4.3. Les ouvrages annexes 4.4. Les équipements 4.4.1. Les lisses de guidage (Cf. annexe « Les lisses de guidage en PEHD » 4.4.2. Les rainures à batardeaux 4.4.3. Les bollards 5. CLASSIFICATION DES TUNNELS CANAUX 5.1. Présentation des méthodes de construction 5.1.1. Généralités 5.1.2. Méthode Belge 5.1.3. Méthode Allemande 5.1.4. Quelques exemples réels 5.2. La classification des tunnels canaux 5.2.1. Les tunnels canaux en maçonnerie de briques 5.2.2. Les tunnels canaux en maçonnerie de moellons 5.2.3. Les sections laissées brute de déroctage 5.2.4. Les tunnels canaux chemises 5.2.5. Les tunnels canaux mixtes BIBLIOGRAPHIE ANNEXE « Les lisses de guidage en PEHD » TUNNELS CANAUX, DEUXIEME PARTIE : De la Surveillance au Diagnostic du Génie Civil 1. NECESSITE ET MOTIVATION 1.1. Une organisation autour d’un besoin 1.2. Cadre institutionnel 1.3. Organisation 1.4. Ne pas confondre surveillance et diagnostic 2. LE DOSSIER D’OUVRAGE 2.1. Objet et consistance 2.2. Dossier génie civil 2.3. Dossier Equipements 3. LA SURVEILLANCE 3.1. Les principes généraux de la surveillance 3.1.1. La surveillance continue 3.1.2. La surveillance organisée 3.1.3. Les actions particulières de surveillance 3.1.4. La surveillance renforcée et la haute surveillance 3.2. L’inspection visuelle des parties immergées 3.2.1. Préambule 3.2.2. Préparation de la visite 3.2.3. Réalisation de la visite 3.2.4. Exploitation des données 3.2.5. Visite des ouvrages annexes 3.3. L'inspection visuelle des parties immergées 3.3.1. Vidange totale 3.3.2. Abaissement du niveau d’eau 3.3.3. Plongées subaquatique 4. L’AUSCULTATION 4.1. Mesures de convergences 4.2. Convergences par mesures optiques de précision 4.3. Mesures fissurométriques 4.4. Nivellements de précision 4.5. Suivi des venues d’eau 4.6. Profilométrie 4.7. Levés bathymétriques 5. LES METHODES DE RECONNAISSANCE 5.1. Sondages destructifs avec diagraphies instantanées 5.2. Observations endoscopiques 5.3. Sondages carottés 5.4. Fenêtres 5.5. Extensométrie en sondage 5.6. Mesures de contraintes Méthode par substitution (vérin plat) Méthode par relâchement local des contraintes en fond de forage 5.7. Essais de laboratoire sur échantillons Essais mécaniques sur les pierres ou le béton Analyses chimiques et minéralogiques Analyses chimiques des eaux 5.8. Méthodes non destructives Radar géophysique Relevés scanner en L.V. et I.R. 5.9 Autres méthodes 6. LE DIAGNOSTIC BIBLIOGRAPHIE ANNEXE « L’auscultation, le diagnostic, la définition des méthodes de réparation sur le tunnel canal de Pouilly-en-Auxois » TUNNELS CANAUX, TROISIEME PARTIE : Entretien et réparation 1. GENERALITES 2. ENTRETIEN COURANT 2.1. Définition de l’entretien courant 2.2. Les opérations d’entretien courant 3. ENTRETIEN SPECIALISE – REPARATION 3.1. Méthodologie des études et des travaux 3.2. Stabilité de l’ouvrage pendant les travaux 3.3. Principaux types de travaux d’entretien spécialisé ou de réparation 3.3.1. Techniques communes aux tunnels revêtus ou non revêtus 3.3.2. Réparation des revêtements en maçonnerie 3.3.3. Réparation des revêtements en béton 3.3.4. Travaux d’étanchéité 3.3.5. Réfection des têtes BIBLIOGRAPHIE
  283. Edition (Ceremadoc) Ouvrages de navigation et écoulements souterrains : Phénomènes, surveillance, prévention et réparations.

    Les écoulements souterrains affectent les ouvrages de navigation d’une part du fait de la variété des modes d’action de l’eau interstitielle, d’autre part du fait que les agressions de l’eau ne sont pas toujours immédiatement visibles. Ce petit livre offre une description des pathologies les plus courantes, en s’appuyant essentiellement sur l’expérience des travaux sur les voies navigables françaises. Après un chapitre de rappel sur les mécanismes physiques et hydrauliques à l’œuvre dans l’érosion des infrastructures fluviales et des canaux, les désordres et les mesures destinées à les combattre sont décrits dans les chapitres suivants par catégorie d’ouvrage : digues, berges, barrages mobiles et fixes... 1. DESCRIPTION DES PHÉNOMÈNES PHYSIQUES TERMINOLOGIE 1.1. Notions de base 1.2. Érosion interne - Les phénomènes d’enlèvement de matière 1.3. Érosion interne - Le transport 1.4. Contact entre matériaux meubles et ouvrages rigides 1.5. Entraînement à travers les ouvrages rigides 1.6. Érosion externe 1.7. Les filtres et drains 2. DIGUES ET CUVETTES DE CANAUX 2.1. Typologie des phénomènes 2.2. Modes de détection et de suivi 2.3. Modes de prévention 2.4. Modes de réparation 3. PROTECTIONS DES BERGES 3.1. Description des ouvrages, typologie des phénomènes et enjeux 3.2. Modes de détection 3.3. Moyens de prévention et de réparation 4. BARRAGES ET SEUILS EN RIVIÈRE 4.1. Typologie des phénomènes d’entraînements 4.2. Modes de détection 4.3. Mode de prévention 4.4. Modes de réparation 4.5. Éléments de coût 5. ECLUSES 5.1. Typologie des phénomènes d’entraînements 5.2. Modes de détection 5.3. Modes de prévention 5.4. Modes de réparation 6. BARRAGES EN REMBLAI 6.1. Typologie des phénomènes 6.2. Modes de prévention 6.3. Modes de détection 6.4. Modes de réparation FICHES DE PROJET Port fluvial de Marseilles-les-Aubigny Écluse des Fontinettes Barrage réservoir de Torcy-Vieux BIBLIOGRAPHIE INDEX
  284. Edition (Ceremadoc) Principes de base des dispositifs d'aide à la navigation maritime

    Ce guide comprend : 1 - La navigation maritime et les besoins marins (les principes fondamentaux, le contrôle de la navigation maritime par la terre, les services de trafic maritime, définitions et enjeux de l'aide à la navigation maritime). 2 - Cadre institutionnel, juridique et réglementaire de la signalisation maritime. 1. LA NAVIGATION MARITIME ET LES BESOINS DES MARINS A. LA NAVIGATION A.1. Les principes fondamentaux A.2. Le positionnement du navire et la signalisation des chenaux et des dangers A.3. Les instruments et méthodes du navigateur B. LE CONTROLE DE LA NAVIGATION MARITIME PAR LA TERRE, LES SERVICES DE TRAFIC MARITIME (STM) C. DEFINITIONS ET ENJEUX DE L’AIDE A LA NAVIGATION MARITIME C.1. Définition de la signalisation maritime C.2. Les enjeux de l’aide à la navigation maritime D. LES DIFFERENTES ACTIVITES MARITIMES ET LEURS BESOINS SPECIFIQUES EN MATIERE DE SIGNALISATION D.1. Répartition géographique D.2. Catégories professionnelles 2. CADRE INSTITUTIONNEL, JURIDIQUE ET REGLEMENTAIRE DE LA SIGNALISATION MARITIME A. LES INSTANCES INTERNATIONALES A.1. L’organisation des radiocommunications A.2. Les organisations maritimes B. LES INSTANCES NATIONALES B.1. La Commission des Phares B.2. La Grande Commission Nautique B.3. La Commission Nautique Locale C. LES REGLES NATIONALES ET INTERNATIONALES C.1. Les principes généraux : la signalisation des routes maritimes C.2. L’AISM, l’OMI et les principales règles de la signalisation maritime C.3. Le décret du 7 Septembre 1983 C.4. Le plan directeur de signalisation maritime C.5. Eléments de jurisprudence à prendre en compte lors de l’établissement d’un projet de signalisation maritime D. RESPONSABILITE JURIDIQUE, JUSTIFICATION DES AIDES A LA NAVIGATION E. ETUDE DES SYSTEMES ET DES RISQUES ET JUSTIFICATION DES AIDES A LA NAVIGATION F. EXIGENCES EN MATIERE DE PERFORMANCE D’UN SYSTEME DE SIGNALISATION MARITIME. QUALITE DE LA SIGNALISATION MARITIME ANNEXES
  285. Edition (Ceremadoc) Guide des matériels de signalisation maritime : Signalisation maritime. Documentation technique. Ingénierie des aides à la navigation

    Catalogue composé de fiches de présentation des matériels recommandés en signalisation maritime rangées par type de matériel : supports, aides passives, aides lumineuses, ARN, énergie, gestion et surveillance de l'ESM, connectique. 0. GUIDE CETMEF 0.1. EXPLICATIF 0.1.1. Utilisation du guide 0.1.2. Procédure d'achat 0.1.3. Contenu des fiches 0.1.4. Sommaire 1. SUPPORTS 1.1. BOUEES ET BALISES 1.1.1. Bouées de grande taille 1.1.2. Bouées de petite taille 1.1.3. Bouées de balisage provisoire 1.1.4. Balises à flotteurs 1.2. MOUILLAGE : CHAÎNES ET ACCESSOIRES 1.2.1. Chaînes 1.2.2. Accessoires 2. AIDE PASSIVE 2.1. REVÊTEMENT RETROREFLECHISSANT 2.2. REFLECTEURS PASSIFS RADAR 3. AIDE SONORE4. AIDE LUMINEUSE 4.1. FANAUX ET OPTIQUES (fixes et flottants) 4.1.1. Horizon 4.1.2. Tournants 4.1.3. Direction 4.1.4. Guidage 4.2. SOURCES LUMINEUSES ET MATERIELS ASSOCIES 4.2.1. Synoptique 4.2.2. Lampes à incandescence 4.2.3. Lampes aux halogènes 4.2.4. Lampes aux halogénures métalliques 4.2.5. Support de lampes 4.2.6. Platines d'alimentation 4.3. FEUX A DELS - FEUX AUTONOMES 4.3.1. Galette à DELS 4.3.2. Feux à DELS avec commande 4.3.3. Feux autonomes 5. ARN 5.1 RACON 5.2 DGPS 5.3 AUTRES TYPES D'ARN 6. ENERGIE 6.1. PRODUCTION 6.1.1. Batteries 6.1.2. Aérogénérateurs 6.1.3. Groupes électrogènes 6.1.4. Solaire 6.2. APPAREILLAGE DE CONVERSION DE L'ENERGIE 6.2.1. Conversion alternatif > continu - CHARGEURS 6.2.2. Conversion continu > continu - REGULATEURS 6.2.3. Conversion continu > alternatif – ONDULEURS 6.3. PROTECTION CONTRE LA FOUDRE 7. GESTION ET SURVEILLANCE DE L'ESM 7.1. CAPTEURS ET DETECTEURS 7.1.1. Dispositifs de détection jour / nuit 7.1.2. Détecteurs de brume 7.1.3. Dispositifs de synchronisation des rythmes 7.1.4. Dispositifs de détection de courant & tension 7.2. ROTATION ET MATERIELS ASSOCIES 7.2.1. Soubassements 7.2.2. Moteurs de rotation & cartes de cde associées 7.2.3. Dispositif de contrôle de rotation 7.3. BOÎTIERS DE COMMANDE ET CONTRÔLE 7.3.1. Boîtiers équipés pour feux rythmés 7.3.2. Boîtiers équipés pour feux tournants 7.3.3. Ss ensembles de commande et contrôle 7.4. TELECONTRÔLE – TELECOMMANDE 7.4.1. Télécontrôle SERPE 8. CONNECTIQUE 8.1. CABLES 8.1.1. Achat câbles 8.2. CONNECTEURS 8.2.1. Connecteurs étanches
  286. Edition (Ceremadoc) Procédure d'entretien d'une cuve à mercure : Exploitation du balisage.

    Ce guide comprend : risques d'inhalation du mercure mesures de concentration de vapeurs à mercure risques de contact avec le mercure, les mesures de couple (électrique et mécanique) préparation du chantier immobilisation du plateau et vidange de la cuve descente et nettoyage de la cuve remontage de la cuve dernières vérifications. 1) Risques d'inhalation du mercure 2) Mesures de concentration de vapeurs de mercure 3) Risques de contact avec le mercure 4) Les mesures de couple (électrique et mécanique) 5) Préparation du chantier 6) Immobilisation du plateau et vidange de la cuve 7) Descente et nettoyage de la cuve 8) Remontage de la cuve 9) Dernières vérifications 10) Annexes
  287. Edition (Ceremadoc) Hydraulique des cours d'eau. La théorie et sa mise en pratique

    L’objet du présent cours n’est pas de reprendre de manière exhaustive tout l’état de l’art en matière d’hydraulique fluviale. D’éminents hydrauliciens participent régulièrement à la rédaction d’ouvrages de référence auxquels ce cours emprunte beaucoup, et dont la liste, fournie dans la bibliographie, doit être lue comme une invitation à y approfondir les éléments abordés succinctement. Car ce recueil se contente de compiler et d’expliquer dans un ordre aussi pédagogique que possible les principes d’hydraulique fluviale tels que les services des ministères en charge de la gestion, de l’exploitation de l’aménagement ou de la police des rivières peuvent les rencontrer dans les études hydrauliques qu’ils auront à réaliser, piloter ou critiquer. L’approche adoptée n’est donc pas toujours très orthodoxe, privilégiant, autant que possible, les notions intuitives et pratiques avant de les expliquer par la théorie ou de les compléter par les formules empiriques. 1. Conventions, definitions et parametres 1.1 grandeurs caracteristiques 1.2 regimes d’ecoulements 1.3 equations de l’hydraulique fluviale 2. Regime permanent 2.1 regime uniforme 2.2 regime graduellement varie 2.3 changements de regime 3. Pertes de charge singulieres 3.1 pertes de charge de type borda 3.2 pertes de charge liees aux piles en rivieres en regime fluvial 3.3 pertes de charge liees aux seuils 3.4 pertes de charge liees a la morphologie 4. Notions simplifiees de sedimentologie 4.1 mecanismes d’arrachement des materiaux 4.2 force tractrice et affouillement autour des ouvrages 4.3 quantification des affouillements 5. Regimes transitoires 5.1 les crues des cours d’eau (ondes de continuite) 5.2 les ondes rapides (ondes de rupture) 6. Bibliographie
  288. Edition (Ceremadoc) ROSA 2000 : Recommandations pour le calcul aux états-limites des Ouvrages en Site Aquatique

    Ce contenu porte sur les méthodes de justification des ouvrages neufs en site aquatique (ouvrages fluviaux ou ouvrages intérieurs des ports maritimes). L'objet de ces recommandations est de permettre de vérifier le dimensionnement d'un ouvrage au moyen des méthodes semi-probabilistes (ou aux coefficients partiels) utilisées par les Eurocodes. Ce document utilise d'une part le vocabulaire harmonisé des Eurocodes et donne d'autre part les raccordements nécessaires entre les textes nationaux et les versions ENV des Eurocodes disponibles lors de la rédaction des recommandations. Le document est découpé en 5 séries de fascicules (dispositions communes, actions, ouvrages, équipements et documents d'applications). Un moteur de recherche multi-critères et des liens hypertextes facilitent la navigation dans le document. Ces recommandations s'adressent à tous ceux qui travaillent à la conception et à la construction des ouvrages en site aquatique. Il peut également constituer un support de cours pour les organismes de formations. INSTALLEZ ROSA 2000 PAR "install.EXE"
  289. Edition (Ceremadoc) Recommandations pour la conception et la réalisation des aménagements de défenses du littoral contre l'action de la mer

    Le présent guide s'attache à donner, sous une forme synthétique et relativement complète, des recommandations en vue de l'étude et de la conception des différents types d'aménagements se proposant d'assurer la protection du littoral contre la mer. Il aborde également, mais de façon inévitablement plus sommaire, les problèmes de réalisation, de surveillance, d'entretien et de réhabilitations des ouvrages. Ces recommandations s'efforcent de traiter à la fois des aspects techniques et des problèmes d'insertion dans l'environnement des solutions proposées. Elles sont destinées à constituer, pour les techniciens des services maritimes et des services de l'environnement, un guide pratique leur permettant de concevoir ou de contrôler la conception d'aménagements divers de protection du littoral. INTRODUCTION 1 - Objet du guide 2 - Méthode de travail 3 - Origines des recommandations CHAPITRE I - CONSIDERATIONS GENERALES 1 - Importance de l’érosion marine 2 - Difficultés des problèmes de protection du littoral 3 - Définition des objectifs poursuivis 4 - Différentes solutions possibles 5 - Contenu du guide CHAPITRE II - PROTECTION D’UNE COTE SABLEUSE ACTION DIRECTE SUR LES MATERIAUX 1 - Généralités 2 - Remodelage de l‘estran 3 - Rechargement de plage 4 - Déversement de matériaux par petits fonds 5 - Etablissement d’un transit artificiel 6 - Stabilisation et création de dunes 7 - Impacts de l’action sur les matériaux 8 - Critères de choix entre les différents procédés disponibles CHAPITRE III - PROTECTION D’UNE COTE SABLEUSE REALISATION D’OUVRAGES 1 - Ouvrages longitudinaux de haut de plage 2 - Ouvrages longitudinaux de bas de plage et de petits fonds 3 - Ouvrages transversaux 4 - Digues 5 - Combinaison de différents procédés CHAPITRE IV - PROTECTION D’UNE COTE A GALETS 1 - Généralités 2 - Principes des aménagements 3 - Rechargement de plage 4 - Etablissement d'un transit artificiel 5 - Ouvrages longitudinaux de haut de plage 6 - Ouvrages transversaux 7 - Impacts sur l'environnement CHAPITRE V - PROTECTION D’UNE COTE A FALAISES 1 - Erosion des falaises 2 - Protection contre les actions marines 3 - Stabilisation de la falaise 4 - Impacts sur l’environnement 5 - Exemples CHAPITRE VI - PROCEDES NOUVEAUX POUR LA PROTECTION DU LITTORAL 1 - Nouveaux matériaux 2.- Stabilisation des dunes par un gel 3 - Algues artificielles 4 - Cultures d‘algues 5 - Ouvrages peu réfléchissants 6 - Procédé PRINCIPlA-MONACO 7 - Roche électrolytique CHAPITRE VII - CONTROLE DES EXTRACTIONS DE MATERIAUX LE LONG DU LITTORAL ET GESTION DES DEPOTS DE DRAGAGES PORTUAIRES 1 - Importance et difficulté des problèmes 2 - Effets généraux des souilles draguées 3 - Résultats des études du LCHF sur modèles réduits concernant les souilles draguées 4 - Recommandations pratiques relatives aux souilles draguées 5 - Exemples de souilles draguées 6 - Gestion des dépôts de dragages CHAPITRE VIII - IMPACTS DE TECHNIQUES DE PROTECTION CONTRE LA MER 1 - Déroulement du chantier 2 - Sites et paysages 3 - Le milieu naturel 4 - La qualité des eaux 5 - Les aspects socio-économiques CHAPITRE IX - ETUDES PREALABLES 1 - Caractéristiques générales des études 2 - Etudes préliminaires 3 - Etude des risques littoraux 4 - Etude technique 5 - Etude d'impact sur l’environnement CHAPITRE X - COUTS, SURVEILLANCE ET ENTRETIEN DES AMENAGEMENTS 1 - Coûts 2 - Surveillance et entretien des aménagements CHAPITRE XI - EXEMPLES DETAlLLES D’AMENAGEMENTS 1 - Aménagement de la GRANDE MOTTE (Hérault) 2 - Aménagements d’ANGLET (Pyrénées-Atlantiques) 3 - Aménagement dunaire de QUEND-FORT-MAHON (Somme) BIBLIOGRAPHIE
  290. Edition (Ceremadoc) La ventilation des souterrains fluviaux

    Le passage des bateaux automoteurs dans les souterrains fluviaux pose le problème de la qualité de l’air pour les occupants de ceux-ci. Détection des polluants et mesures à mettre en place pour diluer et évacuer ces polluants.Exemple de quatre tunnels canaux équipés de système de ventilation mécanique. PRÉAMBULE PRESENTATION DU PROBLEMEI. TOXICITE DES GAZ D’ECHAPPEMENT I.1. Les composants de gaz d’échappement I.1.1. Les produits de la combustion I.1.2. Les produits de réaction entre les composants du comburant (air) I.1.3. Combustion de produits dissous dans le carburant I.1.4. Ordres de grandeur des rejets I.2. Les seuils de pollution admissibles I.2.1. Toxicité du monoxyde de carbone I.2.2. Toxicité des oxydes d’azote I.2.3. Toxicité des hydrocarbures et des aldéhydes I.2.4. Toxicité des produits sulfurés I.2.5. Les effets de synergie et les circonstances aggravantes I.2.6. Opacité II. ETUDE THEORIQUE DE LA VENTILATION II.1. Ventilation naturelle II.1.1. Écoulement de l’air II.1.1.1. Définition des contrepressions atmosphériques II.1.1.2. Écoulement de l’air sous l’effet des contrepressions atmosphériques ΔPa (régime stationnaire) II.1.1.3. Influence du pistonnement des péniches II.1.2. Pollution en souterrain II.1.2.1. Hypothèses générales II.1.2.2. Calcul de pollution II.1.2.3. Evolution de la pollution en souterrain II.2. Ventilation mécanique II.2.1. Principes de ventilation envisageables II.2.2. Techniques applicables au cas des souterrains fluviaux II.2.3. Dimensionnement des installations II.2.3.1. Débits d’air nécessaires II.2.3.2. Système avec porte et station de ventilation II.2.3.3. Système par accélérateurs III. INSTALLATION DE VENTILATION III.1. Equipements propres à la ventilation III.1.1. Station de ventilation III.1.2. Accélérateurs III.1.3. Surveillance - entretien III.1.4. Coûts III.1.4.1. Coûts d’investissement III.1.4.2. Coût d’exploitation III.2. Les capteurs de pollution pour le contrôle des gaz nocifs III.2.1. Le contrôle de l’oxyde de carbone III.2.1.1. Les analyseurs à absorption infrarouge III.2.1.2. Les détecteurs catalytiques (ou thermochimiques) III.2.1.3. Les détecteurs électrochimiques III.2.1.4. Autres principes de mesures III.2.1.5. Conditions d’utilisation III.2.1.6. Choix d’un analyseur de CO III.2.2. Le contrôle des oxydes d’azote (NO, NO2, NOx) III.2.2.1. Les capteurs à chimiluminescence III.2.2.2. Capteurs électrochimiques III.2.2.3. Conclusions sur les analyseurs d’oxyde d’azote III.2.3. Le contrôle de l’opacité III.2.3.1. Généralités III.2.3.2. Les transmissiomètres III.2.3.3. Les diffusiomètres III.2.3.4. Conclusions sur les opacimètres III.2.4. Contrôle de la vitesse et du sens du courant d’air à l’intérieur du souterrain III.2.4.1. Principe de mesure III.2.4.1.1. Anémomètre à « palette » III.2.4.1.2. Anémomètre à « moulinet » III.2.4.1.3. Anémomètre basé sur la mesure de l’abaissement de température dû au courant d’air (fil chaud - thermistance) III.2.4.1.4. Anémomètre ultrasonique III.2.4.2. Choix d’un anémomètre IV. COMMANDE DE LA VENTILATION IV.1. Généralités IV.2. Principes de commandes envisageables IV.2.1. Absence de tout capteur IV.2.2. Détection de passage des bateaux aux têtes lV.2.3. Détection du sens du courant d’air en souterrain IV.2.4. Anémomètre réversible lV.2.5. Détecteurs de passage et anémomètres réversibles IV.2.6. Détecteur de pollution IV.2.7. Détecteurs de passage et de pollution aux têtes IV.2.8. Détecteurs de passage et de pollution aux têtes complétés d’un anémomètre ANNEXE I Description des systèmes de ventilation réalisés dans les souterrains fluviauxI. LE SOUTERRAIN DE RUYAULCOURT I.1. Description sommaire I.2. Modalités d’exploitation I.3. Ventilation I.4. Contrôle de la ventilation I.5. Coût d’exploitation II. LE SOUTERRAIN DE BRAYE-EN-LAONNOIS II.1. Description sommaire II.2. Modalités d’exploitation II.2.1. Trafic II.2.2. Exploitation II.3. Ventilation II.3.1. Caractéristiques de l’installation II.3.2. Mode de fonctionnement (au moment de l’installation) II.3.3. Description générale du matériel installé II.3.4. Prescriptions relatives aux appareils installés II.4. Contrôle de l’efficacité de la ventilation (au moment de l’installation mais hors service depuis 1993 et non remplacée) II.5. Coût II.5.1. Coût du premier établissement II.5.2. Coût d’exploitation lII. LE SOUTERRAIN DU MONT-DE-BILLY III.1. Description sommaire 111.2. Modalités d’exploitation 111.3. Ventilation mise en place 111.4. Etude du nouveau fonctionnement 111.5. Principe de fonctionnement actuel 111.6. Coûts 111.6.1. Coût de premier établissement 111.6.2. Coût de l’automatisation de la gestion du souterrain (Prix 1994) IV. LE SOUTERRAIN D’ARZVILLER IV.1. Description sommaire IV.2. Modalités d’exploitation IV.3. Ventilation IV.3.1. Choix de la solution IV.3.2. Débit d’air frais IV.3.3. Dimensionnement de l’installation IV.3.4. Description de l’installation IV.4. Contrôle de l’efficacité de ta ventilation IV.4.1. Analyseur de monoxyde de carbone - Opacimètre IV.4.2. Anémomètre - girouette ANNEXE 2 Le moteur diesel ANNEXE 3 Puissance de propulsion nécessaire au franchissement des souterrains ANNEXE 4 La pollution et la réglementation ANNEXE 5 Projet de ventilation
  291. Edition (Ceremadoc) Protection des portes d'écluses et des barrages contre les chocs des bateaux

    Ce document présente les causes et la localisation des chocs sur les portes, avec leurs conséquences, ainsi que les hypothèses de calcul des dispositifs de protection, et énumère les dispositifs actuellement en service. Ensuite, sont décrits les différents dispositifs actuellement implantés ou susceptibles de l’être, avec pour chacun d’eux leur principe de fonctionnement et domaine d’application (les dispositifs d’arrêt à câbles, poutres, pare-choc, …). De même, dans le cas d’un barrage accolé à une écluse, les risques de heurt du barrage par un bateau à la dérive sont importants, notamment en période de crues. Les dispositifs type de protection des barrages contre les chocs de bateau est présenté. Préambule 1 - Dispositifs de protection des partes d’écluses 1.1 - Généralités 1.2 - Causes des chocs sur les portes 1.3 - Localisation des chocs sur les portes et leurs conséquences 1.3.1 - Porte aval 1.3.2 - Porte amont 1.4 - Hypothèses de calcul des dispositifs de protection 1.5 - Dispositifs de protection actuellement en service sur les voies navigables 1.5.1 - Porte amont 1.5.2 - Porte aval 1.5.3 - Protection des portes contre les chocs pendant le sassement 1.6 - Dispositifs d’arrêt à câbles 1.6.1 - Généralités 1.6.2 - Dispositif M.A.N 1.6.2.1 - Description 1.6.2.2 - Dispositif de manœuvre 1.6.2.3 - Implantation 1.6.2.4 - Principe de fonctionnement 1.6.2.5 - Domaines d’application 1.6.2.6 - Coûts 1.6.3 - Dispositif E.M.H ou Haute Seine 1.6.3.1 - Généralités 1.6.3.2 - Description 1.6.3.3 - Principe de fonctionnement 1.6.3.4 – Manœuvres 1.6.3.5 - Calcul 1.6.3.6 - Coût 1.7 - Dispositif de protection par poutres pare-chocs 1.7.1 - Généralités 1.7.2 - Systèmes modernes de poutre pare-chocs 1.8 - Autres systèmes de protection employés 1.8.1 - La grille pare-chocs 1.8.2 - Le réseau de câbles 1.8.3 - Les panneaux freinats 2 - Dispositif de protection des barrages Bibliographie Table des figures
  292. Edition (Ceremadoc) Programme LUBAQUA : Maintenance « PLM » : Fascicules de recommandations techniques au programme LUBAQUA.

    Ce guide propose une méthodologie destinée à faciliter la mise en place d’un programme de maintenance sur un site quelconque. Préambule Première partie : LES 9 PRINCIPALES ETAPES DE LA MISE EN PLACE DU PROGRAMME Deuxième partie : LA CODIFICATION Troisième partie : ETABLISSEMENT DES TACHES ET DES OPERATIONS DE MAINTENANCE Quatrième partie : LES FICHES D’EXPLOITATION DU PROGRAMME Cinquième partie : LA FICHE D’INTERVENTION Sixième partie : LES FICHES D’INFORMATION OU D’AIDE Annexe : LES PUBLICATIONS DU STCPMVN RELATIVES A L’ENTRETIEN DES OUVRAGES MARITIMES ET FLUVIAUX
  293. Edition (Ceremadoc) Programme LUBAQUA : Les systèmes particuliers d'appui des ouvrages mobiles : appuis élastomériques frettés : Fascicules de recommandations techniques au programme LUBAQUA.

    Ce fascicule FRT 106 traite essentiellement des organes d’appui des ouvrages fixes ou mobiles équipant le réseau des voies navigables ou les installations portuaires. Leur fiabilité repose sur une bonne conception alliant robustesse et facilité de maintenance. Leur dysfonctionnement est à l’origine de nombreux désordres, notamment détériorations des maçonneries et fissuration des structures. PREAMBULE LISTE DES FASCICULES DE RECOMMANDATIONS TECHNIQUES édités ou en cours d’édition I INTRODUCTION II GENERALITES III LES APPUIS SIMPLES III.1. Appuis simples en bois III.2. Appuis simples acier sur acier III.3. Appuis simples type montant de vanne III.4. Calcul des appuis de portes busquées III.5. Appuis simples près d’un angle du massif IV LES APPUIS MECANIQUES IV.1. Appuis à rotule glissante IV.2. Appuis sur rouleaux tronqués IV.3. Appuis â rotule sur rouleaux IV.4. Appuis sur rouleaux et axe cylindrique de pivotement IV.5. Maintenance des appuis mécaniques IV.6. Rappels sur la mécanique de contact V LES APPAREILS D’APPUIS ELASTOMERIQUES V.0. Généralités V.1. Propriétés mécaniques V.2. Les appuis en élastomère fretté V.3. Les appareils d’appuis spéciaux dont l’élastomère travaillé sans distorsion V.4. Applications pour les ouvrages aquatiques V.5. Matériaux des appuis V.6. Spécification d’un appui en élastomère fretté ANNEXE relative aux élastomères
  294. Edition (Ceremadoc) Conception et dimensionnement des digues à talus

    Le présent document porte principalement sur la conception et le dimensionnement de l'ensemble des ouvrages dont la structure s'apparente à celle d'une digue à talus. Il peut s'agir d'une jetée à talus, d'un revêtement d'une protection de remblai soumis à la houle, d'une défense longitudinale du haut de plage ou d'un épi en enrochements. Après une analyse détaillée du fonctionnement et des critères de dimensionnement des divers constituants d'une digue à talus, une méthode d'analyse semi-probabiliste par le calcul des coefficients de sécurité est proposée au concepteur pour l'aider à s'interroger sur la "qualité" requise de l'ouvrage. Avant-propos Bibliographie I - Introduction I.1. les différents types de digues I.2. sujet traite II - Constitution des digues a talus II.1. generalites II.2. soubassement II.3. fondation II.4. noyau II.5. carapace II.6. filtres II.7. butée de pied II.8. couronnement III - Criteres de dimensionnement des digues a talus III.1. généralités III.2. criteres relatifs a l’exploitation III.3. criteres relatifs a la stabilite III.4. criteres relatifs a la mise en oeuvre III.5. houles de projet III.6. parametres de calcul III.7. houle equivalente au large III.8. influence du déferlement pour la determination des houles sur l’ouvrage III.8.1. interet III.8.2. formules historiques III.8.3. formules du cerc III.8.4. formules de goda III.9. niveau d’eau IV - Franchissements IV.1. introduction IV.2. estimation du run-up IV.2.1. definition IV.2.2. les données du cerc IV.2.3. la formule du l.n.h. IV.2.4. les indications du manuel du cur / ciria IV.3. largeur de berme IV.4. estimation des debits franchissants IV.4.1. methode du cerc IV.4.2. utilisation des travaux de goda IV.4.3. donnees du manuel du ciria / cur IV.4.4. debits limites IV.4.5. exercice IV.5. transmissions et reflexions IV.5.1. presentation IV.5.2. les donnees du cerc IV.5.3. reference du l.n.h. V. les blocs de carapace V.1. stabilite des blocs de carapace V.1.1. introduction V.1.2. formule d’hudson V.1.2.1. presentation V.1.2.2. choix de h V.1.2.3. choix de kd V.1.2.4. les travaux du l.n.h. V.1.3. nouvelles approches V.1.4. exemple V.1.5. digues franchissables et submersibles V.1.5.1. influence du franchissement sur le dimensionnement de la carapace V.1.5.2. dimensionnement des digues submersibles V.1.5.3. compatibilite V.1.5.4. exemple V.1.6. cumul des dommages V.2. rupture de blocs de carapace V.2.1. une preoccupation recente V.2.2. modelisation theorique V.2.3. les mesures de laboratoire V.2.4. les essais de chute V.2.5. conclusion V.3. pose des blocs artificiels V.3.1. principe V.3.2. blocs cubiques rainures V.3.3. tetrapodes V.3.4. accropodes VI.1. Dimensionnement des filtres VI.1.1. generalites VI.1.2. filtre support VI.1.3. filtres de transition VI.2. butees de pied VI.2.1. generautes VI.2.2. stablite VI.2.3. dispositions particulieres VI.3. couronnement VI.3.1. geometrie VI.3.2. stabilite externe VI.3.2.1. principe VI.3.2.2. methode simple VI.3.2.3. methode de gunbak (presentee par per bruun) VI.3.2.4. methode extrapolee du s.p.m. VI.3.2.5. manuel ciria / cur VI.3.2.6. frottement VII.1. Generautes VII.2. analyse du risque VII.3. application sur les digues a talus VII.4. coefficients proposes VII.5. exemple VII.6. conclusion
  295. Edition (Ceremadoc) Mesures des débits des prises d'eau

    Cette note technique présente les différents principes de calcul des débits d'alimentation des canaux. En premier lieu, elle donne des éléments concernant le choix et l'instrumentation du site d'étude. Elle fait également le point sur différents systèmes de mesure du débit et capteurs utilisés pour évaluer la hauteur et la vitesse des écoulements. Enfin la dernière partie est consacrée au recueil et à l'exploitation des données : certaines solutions techniques d'acquisition et d'enregistrement, de transmission, d'exploitation et d'archivage des mesures de débit des prises d 'eau y sont exposées. I - Motivations de la présente note technique : la gestion de la ressource en eau 1 - Respect de l’article 12 de la loi sur l’eau du 3 janvier 1992 2 - Respect des débits réserves réglementaires 3 - Optimisation de l’alimentation en eau des canaux II - Présentation du problème a résoudre III - Considérations générales 1 - Choix de la méthode 2 - Chaine d’acquisition 3 - Réflexions préalables 3.1 - Réflexions concernant le choix des sites a instrumenter 3.2 - Positionnement de la station de mesure sur le site 3.3 - Choix de la méthode 3.4 - Aménagements de la station 3.5 - Exploitation de la station IV - Principe des mesures de débit V - Recueil et exploitation des mesures 1 - Acquisition des données 2 - Enregistrement des données 3 - Transmission 4 - Exploitation des données 5 - Remarque sur le traitement des données et les matériels a retenir VI – Bibliographie
  296. Edition (Ceremadoc) Lignes de mouillage : Signalisation maritime. Documentation technique. Exploitation du balisage

    Ce guide aborde : éléments des lignes de mouillage des bouées (chaînes et accessoires, corps-morts); projets de lignes de mouillage (dimensionnement, constitution de la ligne, fractionnement, mouillages spéciaux); entretien des lignes de mouillage (visites périodiques, réemploi des chaînes usagées) 1. PREAMBULE A. INDICATIONS GENERALES B. TERMINOLOGIE 2. ELEMENTS DES LIGNES DE MOUILLAGE DES BOUEES A. CHAINES ET ACCESSOIRES A.1. Chaînes A.1.1. Types de chaînes A.1.2. Pas des chaînes A.1.3. Calibre des chaînes A.1.4. Nature des aciers pour chaînes A.2. Accessoires de chaînes A.2.1. Manilles A.2.2. Emerillons B. CORPS-MORTS B.1. Conception générale B.2. Réalisation des corps-morts en béton armé B.3. Exemples de corps-mort en béton armé B.4. Autres dispositions B.4.1. Corps-mort en acier ou en fonte B.4.2. Ancres B.4.3. Paquets de chaînes B.4.4. Scellements B.4.5. Double cigale 3. PROJETS DE LIGNES DE MOUILLAGE A. DIMENSIONNEMENT A.1. Observations générales A.2. Détermination rapide d’un mouillage en chaîne A.2.1. Efforts horizontaux A.2.2. Longueur et calibre de la chaîne A.2.3. Masse du corps-mort A.3. Exemples de dimensionnements courants B. CONSTITUTION DE LA LIGNE - FRACTIONNEMENT B.1. Observations générales B.2. Chaîne de cul-de-bouée – patte d’oie B.3. Chaîne flottante B.4. Chaîne de marnage B.5. Chaîne dormante B.6. Mouillages par petits fonds C. MOUILLAGES SPECIAUX C.1. Empennelage C.2. Mouillage multiligne – affourchage C.3. Utilisation de câbles synthétiques C.4. Mouillages tendus 4. ENTRETIEN DES LIGNES DE MOUILLAGES A. VISITES PERIODIQUES A.1. Fréquences des visites A.2. Consistance des opérations A.3. Exploitation des observations – le registre du balisage flottant B. REEMPLOI DES CHAINES USAGEES B.1. Restauration d’éléments de chaînes usagées B.2. Réemploi en l’état à des postes moins sollicités
  297. Edition (Ceremadoc) Surveillance, entretien et réparation des barrages mobiles en rivière : Instruction technique.

    Ce document donne des recommandations concernant la surveillance (contrôles et visites), l’entretien (interventions) et les réparations (méthodes et techniques) pour les barrages de navigation CHAPITRE 1. PRESENTATION GENERALE DES BARRAGES DE NAVIGATION 1. DEFINITION ET FONCTIONS DES BARRAGES EN RIVIERE 2. DESCRIPTION, TYPOLOGIE, ET CONCEPTION DES BARRAGES 3. CONSTITUTION ET CONCEPTION 3.1. Les différentes parties et leurs fonctions 3.2. Méthodes de construction 4. FONCTIONNEMENT - PHENOMENES PHYSIQUES 4.1. Phénomènes physiques à prendre en compte dans la conception 4.2. Impact sur l’environnement CHAPITRE 2. PATHOLOGIE DES BARRAGES MOBILES Introduction 1. PATHOLOGIE DU GENTE CIVIL DU BARRAGE 1.1. Vieillissement ou altération du matériau (maçonnerie, béton, bois, métal) 1.2. Absence ou insuffisance de l’entretien 1.3. Modification des conditions de fonctionnement du barrage 1.4. Actions accidentelles 1.5. Conception défaillante 1.6. Cavité sous radiers 1.7. Création de renard 2. PATHOLOGIE DES ABORDS DU BARRAGE 2.1. Désorganisation des protections en enrochements 2.2. Instabilité des berges CHAPITRE 3. LA SURVEILLANCE Introduction 1. DOSSIER D’OUVRAGE 1.1. Sous-dossier 1 : conception, construction, histoire 1.2. Sous-dossier 2 : état de référence 1.3. Sous-dossier 3 : la vie de l’ouvrage 1.4. Le document signalétique de l’ouvrage 2. LES PRINCIPES GENERAUX DE LA SURVEILLANCE 2.1. La surveillance continue 2.2. La surveillance périodique 3. LES MOYENS DE LA SURVEILLANCE 3.1. Levé topographique 3.2. Levé bathymétrique 3.3. Suivi piézométrique 3.4. Visite subaquatique par plongeurs 3.5. Visite lors de la mise à sec 3.6. Dégarnissages localisés 4. LES INVESTIGATIONS SUR OUVRAGES ET L’INSTRUMENTATION 4.1. Investigations 4.2. Instrumentation 5. EXPLOITATION DES ACTIONS DE SURVEILLANCE CHAPITRE 4. ENTRETIEN – REPARATION Introduction 1. LES TRAVAUX D’ENTRETIEN 1.1. Entretien courant 1.2. Entretien spécialisé ou exceptionnel 2. LES TRAVAUX DE REPARATION, CONFORTEMENT 2.1. Méthodologie des études et des travaux 2.2. Régénération des matériaux 2.3. Renforcement de l’ouvrage 2.4. Travaux concernant les abords du barrage
  298. Edition (Ceremadoc) Surveillance et entretien des ouvrages de navigation intérieure en maçonnerie : Recommandations concernant la surveillance, l’entretien et les réparations.

    Recommandations concernant la surveillance (contrôles et visites), l’entretien (interventions) et les réparations (méthodes et techniques) pour les barrages, écluses et autres ouvrages de navigation en maçonnerie. 1. Champ d'application 2. Généralités sur les ouvrages 2.1 présentation des ouvrages 2.1.1 les écluses de navigation 2.1.2 les soutenements 2.1.3 les perres 2.1.4 les matériaux constituant les maçonneries 2.1.5 les mortiers et les liants 3. Causes et manifestation des désordres 3.1 la pathologie des matériaux de maçonnerie 3.1.1 l'altération des pierres 3.1.2 l'altération chimique des mortiers par l'eau 3.1.3 l'altération par les agents agressifs de l'air et du sol 3.1.4 l'altération de la pierre et des joints de maçonneries par l'alcali-réaction 3.1.5 altération des pierres naturelles et des mortiers par les végétaux 3.1.6 les actions mécaniques sur les ouvrages 3.1.7 les actions mécaniques proprement dites 3.1.8 le gel 3.1.9 l'action mécanique de l‘eau 3.2 les actions de l'eau sur les maçonneries 3.3 conclusions sur les désordres 4. La surveillance 4.1 le dossier d'ouvrage 4.2 les niveaux de surveillance 4.2.1 la surveillance continue 4.2.2 la visite annuelle 4.2.3 visite lors du chômage de l'ouvrage 4.2.4 l'inspection détaillée 4.3 les moyens de la surveillance 4.3.1 les moyens généraux 4.3.2 les forages, essais en place et en laboratoire 4.4 l’instrumentation 5. L'entretien et les grosses réparations 5.1 l'entretien courant des maçonneries 5.1.1 la végétation 5.1.2 le rejointoiement des maçonneries 5.1.3 les petits travaux aux abords des ouvrages 5.1.4 la protection des aciers des bétons armes dégradés 5.2 aperçu sur les grosses réparations 5.2.1 le recouvrement par un voile de béton 5.2.2 les injections 5.3 les reprises en sous-oeuvre 6. Annexe 1 quelques exemples de réparation d'ouvrages 7. Annexe 2 le document signalétique de l'ouvrage 7.1 identification de l'ouvrage 7.2 caractéristiques générales de l'ouvrage 7.3 rappel de l'état de référence 7.4 vie de l’ouvrage 8 annexe 3 modèle de procès verbal de visite annuelle ou de visite de chômage Bibliographie
  299. Edition (Ceremadoc) Rapport sur la modernisation des barrages anciens : Eléments de méthodologie pour le choix d'une stratégie de modernisation sur les barrages de navigation anciens.

    A l'issue d'un groupe de travail associant le Direction technique Eau, mer et fleuves (STCPMVN) et des services de navigation, le rapport décrit une méthodologie pour une approche sur un ensemble de barrages de navigation. Celle-ci comprend la description de la situation, la fixation des objectifs des futures reconstructions, l'organisation des études nécessaires pour établir un plan de modernisation qui comprend également l'amélioration de l'exploitation des barrages non immédiatement reconstruits. Le rapport fait également des propositions d'études générales (exploitation hydraulique, dossier type..). I État des lieux 1 État actuel des ouvrages : dégradations et risques 1.1 Typologie des barrages anciens 1.2 Fonctionnalité des bouchures 1.3 Affouillements 1.4 Structures en maçonnerie 1.5 Synthèse des dégradations 2 Difficultés d’exploitation 2.1 Environnement 2.2 Gestion des barrages et organisation 2.3 Problèmes liés à l’ouvrage 2.4 Conséquences sur l’exploitation 3 Besoins dans les prochaines années 3.1 Équipements de sécurité 3.2 Amélioration de l’organisation 3.3 Dispositifs d’amélioration de l’exploitation 3.4 Inspections et diagnostics 3.5 Entretien 3.6 Confortements 3.7 Reconstruction II Les solutions techniques 4 L’amélioration de l’organisation 4.1 Acquisition et transmission des données 4.2 Organisation du service 5 Les dispositifs d‘amélioration de l’exploitation existants 5.1 Critères d’appréciation des techniques 5.2 Techniques utilisées sur l’Yonne : passerelles relevables 5.3 Transporteurs de planchettes utilisés sur l’Aisne 5.4 Dispositifs utilisés sur la Saône 6 Extension des systèmes à d’autres barrages 6.1 Barrages de l’Yonne 6.2 Barrages de l’Aisne 6.3 Barrages de la Marne 6.4 Barrages de la Meuse 6.5 Études de conception à réaliser III Stratégie de modernisation des barrages 7 Fonctions et contraintes des barrages 7.1 Rappel des orientations données par VNF 7.2 Les fonctions de service des barrages en rivière 7.3 Les contraintes à respecter 8 Méthodologie de choix de solutions pour les barrages anciens 8.1 Introduction - construction d’un plan d’actions 8.2 Les objectifs de la voie d’eau et des barrages 8.3 Les problèmes actuels 8.4 L’évolution des problèmes 8.5 Les améliorations apportées par les différentes actions 8.6 Les coûts des différentes mesures et les coûts permanents 8.7 Analyse technico-économique 8.8 Mise en place d’une stratégie de modernisation IV Conclusions et synthèse 9 Conclusions et perspectives 9.1 Conclusion générale 9.2 Etudes nécessaires 10 Synthèse
  300. Edition (Ceremadoc) Programme LUBAQUA : Les organes de manœuvre : Fascicules de recommandations techniques du programme LUBAQUA : conception, lubrification et maintenance des organes mécaniques critiques des ouvrages hydrauliques.

    Ce fascicule FRT 157 traite essentiellement des organes de manœuvre des portes et vannes équipant le réseau des voies navigables et des installations portuaires. PREAMBULE Liste des Fascicules de Recommandations Techniques édités ou en cours d’édition I INTRODUCTION Il GENERALITES II.1. Définition II.2. Principales énergies utilisées III DETERMINATION DES EFFORTS DE MANOEUVRE III.1. Définition de l’effort de manoeuvre III.2. Les efforts résistants III.2.1. Les forces d’inertie III.2.2. Le poids III.2.3 Les forces de frottement III.2.4. Les efforts hydrostatiques directs III.2.5. Les efforts hydrodynamiques III.2.6. Les efforts de vent IV EXEMPLES DE CALCUL D’EFFORT DE MANOEUVRE IV.1. Vanne plate verticale à glissière ou à galets IV.2. Vanne-clapet IV.2.1. Moment statique sans déversement IV.2.2. Moment à équilibrer, clapet en déversement IV.2.3. Exemple de calcul comparatif du moment maximal de déversement selon différentes méthodes IV.3. Vanne-segment IV.4. Porte levante aval d’écluse sans masque IV.5. Portes busquées V LES PRINCIPAUX SYSTEMES DE MANOEUVRE V.0. Introduction V.1. Classification VI LES MECANISMES DE MANOEUVRE A VERIN HYDRAULIQUE VI.1. Généralités VI.2. Vérins immergés ou émergés ? VI.3. Fixation des vérins VI.3.1. Fixation des vérins par cardan sur le cylindre VI.3.2. Fixation des vérins par cardan sur le corps de vérin Vl.4. Fixation de l’extrémité des vérins par tenon arrière à rotule solidaire du cylindre VI.5. Fixation de l’extrémité de tige par tenon à rotule VI.6. Le synchronisme de fonctionnement des systèmes de manoeuvre à vérins multiples Vl.7. L’aspect sécurité pour l’emploi des vérins VI.7.1. Rupture des canalisations Vl.7.2. Fuite des joints VI.7.3. Recherche de la sécurité maximale pour le maintien de la charge VI.8. Indications de quelques pathologies constatées sur les mécanismes de manoeuvre à vérins hydrauliques Vl.8.1. Vibration provoquée par le vérin de manoeuvre VI.8.2. Vibration des tiges de vérin d’une vanne-clapet de grandes dimensions Vl.8.3. Descellement des chevêtres de vérin VII LES SYSTEMES DE MANOEUVRE PAR CABLES VII.0. Généralités sur les câbles VII.1. Généralités sur la fatigue des câbles VlI.2. La maintenance des câbles VII.2.1. Principaux symptômes de détérioration des câbles VIl.2.2. Causes principales de rupture VII.2.3. Inspection des câbles VII.3. Graissage des câbles et surveillance VII.4. Choix du diamètre des poulies VII.5. Pression de contact sur les poulies ou les tambours VIII LES SYSTEMES DE MANOEUVRE PAR CHAINES VllI.0. Généralités sur les chaînes de manoeuvre VlII.1. Les chaînes de manoeuvre à maillons soudés VIII.2. Les chaînes Galle IX LES SYSTEMES DE MANOEUVRE A ENGRENEMENT IX.0. Généralités IX.1. Cahier des charges des engrenages à profils conjugués, durée de vie IX.2. Détérioration des engrenages IX.3. Roue et crémaillère à fuseaux IX.4. Maintenance des engrenages X MOTORISATION ET VITESSE VARIABLE X.0. Généralités X.1. Variation de vitesse en hydraulique X.2. Variation de vitesse des moteurs électriques XI LES TREUILS Xl.1. Les treuils à câbles - Conception du tambour XI.2. Les treuils à chaînes Galle XI.3. Quelques dispositions communes aux divers types de treuils XI.3.1. Irréversibilité statique et dynamique XI.3.2. Freinage XI.3.3. Sécurité de mou de câble ou de mou de chaîne XI.3.4. Limiteurs d’efforts XI.3.5. Synchronisation des treuils
  301. Edition (Ceremadoc) Les abords d'une écluse sur voie à grand gabarit : Synthèse sur les dispositions types des abords d’une écluse implantée sur une voie à grand gabarit.

    L’objectif de ce document est de présenter une synthèse sur les dispositions types des abords d’une écluse implantée sur une voie à grand gabarit. Des installations sont nécessaires pour faciliter et rendre plus sûre l’entrée des automoteurs et convois poussés dans l’écluse ainsi que leur sortie. Ces installations permettent d’une part le stationnement, d’autre part de guider et contrôler les mouvements des bateaux lors de leurs manœuvres. Ce document propose, donc, à la lumière de diverses expériences acquises, de préciser certaines règles sur : l’implantation des écluses, la disposition des avant-ports, les garages d’attente ou zones d’amarrage, les estacades de guidage, les murs guides, les ducs d’Albe. Elle a également pour objet d’approfondir les principes de conception et de calcul des murs guides et des ducs d’Albe (chocs de bateaux) et de présenter quatre exemples d’étude détaillée de murs guides en annexe. I. IMPLANTATION DES ECLUSES I.1 Implantation sur un canal de navigation I.2 Implantation sur une rivière canalisée I.2.1 Possibilité d’établir une dérivation I.2.2 Impossibilité d’établir une dérivation II. LA DISPOSITION DES AVANT-PORTS II.1 Généralités II.2 Terminologie II.3 Etablissement de projet II.4 Implantation et alignement des avant-ports II.4.1 Remarques générales II.4.2 Avant-ports rectilignes II.4.3 Avant-ports implantés dans un méandre II.4.4 Canaux de dérivation des écluses III. LES GARAGES D’ATTENTE OU ZONE D’AMARRAGE IV. LES OUVRAGES DE GUIDAGE IV.1 Les estacades de guidage IV.2 Les murs guides IV.2.1 Présentation des murs guides IV.2.2 Dispositions retenues sur diverses voies navigables V. LES DUCS D’ALBE V.1 Description des ducs d’Albe V.2 Hypothèse de calcul V.2.1 Données concernant le choc V.2.2 Efforts statiques V.2.3 Calcul à la torsion V.2.4 Utilisation d’amortisseurs pour l’accostage de bateaux sur des duc d’Albe rigides BIBLIOGRAPHIE TABLE DES ILLUSTRATIONS
  302. Edition (Ceremadoc) Prise en compte du séisme et du tsunami dans la conception et l'évaluation des ouvrages portuaires extérieurs : Risques dynamiques pour les ouvrages maritimes et fluviaux. Fascicule 4

    En application du décret n°91-461 du 14 mai 1991 relatif à la prévention du risque sismique, des règles de constructions, d'aménagement et d'exploitation parasismiques devaient s'imposer aux ouvrages maritimes et fluviaux. Elaboré à l'intention des ingénieurs et des projeteurs, ce quatrième fascicule présente une méthodologie permettant d'une part, de concevoir et de justifier les ouvrages extérieurs vis à vis d'actions dynamiques (séismes et tsunamis) et d'autre part, de prendre en compte le risque lié aux actions dynamiques pour l'évaluation technique et le renforcement de ceux-ci. Les ouvrages visés par le guide sont: les digues à talus, les digues verticales, à parois absorbantes ou non, les brises-clapots, les talus sous-marins naturels, les barrières anti-tsunamis. Partie a - generalites 1.0 Presentation du guide 2.0 Retour d'experience 3.0 Prise en compte du seisme 3.1 determination de l'alea sismique 3.2 actions a considerer dans le calcul 3.3 pressions hydrodynamiques liees au seisme 4.0 Prise en compte du tsunami 5.0 Protection vis a vis du tsunami apportee par l'ouvrage Partie b - application et recommandations particulieres pour la conception et l'evaluation des ouvrages portuaires exterieurs 6.0 Digues a talus 6.1 prise en compte du seisme 6.1.1 conception et justification d'ouvrages neufs 6.1.2 evaluation et renforcement 6.2 prise en compte du tsunami 6.2.1 enseignements tires de l’etude de kamel 6.2.2 methodes de predimensionnement 7.0 Digues verticales : ouvrages poids 7.1 prise en compte du seisme 7.1.1 conception et justification d’ouvrages neufs 7.1.2 evaluation et renforcement 7.2 prise en compte du tsunami 8.0 Digues verticales sur pieux 8.1 prise en compte du seisme 8.2 prise en compte du tsunami 9.0 Brise-clapots flottants 9.1 prise en compte du seisme 9.2 prise en compte du tsunami 10.0 Barrieres antl-tsunamis 11.0 Talus sous-marins 11.1 prise en compte du seisme 11.2 prise en compte du tsunami 12.0 conclusion generale References Annexes annexe 1 annexe 2
  303. Edition (Ceremadoc) Surveillance, entretien et réparation des ponts-canaux

    Instruction technique décrivant la méthodologie et les opérations de surveillance et d’entretien et quelques méthodes de réparation des ponts canaux. Chapitre 1 - Présentation - Objet du présent document - Objectif de la surveillance de l'entretien et des réparations Chapitre 2 - Généralités - Structures existantes - quelques aspects techniques 2.1. - Rôle et situation des ponts canaux 2.1.1. - Historique succinct, particularités (structure, pathologie, exploitation) 2.1.2. - Quelques caractéristiques du parc des ponts canaux 2.2. - Différentes catégories de ponts canaux 2.2.1. - Les ponts canaux en maçonnerie a - les différents types de structures b - les principaux matériaux utilisés 2.2.2. - Les ponts canaux métalliques a - les différentes structures b - les matériaux utilisés c - les assemblages d - La protection anti-corrosion 2.2.3. - Les ponts canaux en Béton Armé a - les structures courantes b - les structures non courantes 2.2.4. - Les ponts canaux en Béton Précontraint 2.3. - Les différents types d’étanchéité 2.3.1. - Généralités 2.3.2. - En section courante 2.3.3. - Aux extrémités 2.3.4. - Aux abords 2.4. - Environnement des ouvrages 2.4.1. - Raccordement de l’ouvrage aux parties courantes du canal ; rôle des culées 2.4.2. - Dispositifs « hydrauliques » permettant l’isolement de l’ouvrage 2.4.3. - Association à une écluse 2.4.4. - Chemins de halage 2.4.5. - Dispositifs de drainage 2.4.6. - Digues 2.4.7. - Estacades 2.4.8. - Déversoirs Chapitre 3 - Notions sur les causes et la nature des désordres 3.1. - Généralités 3.2. - Défauts d’étanchéité 3.2.1. - En section courante 3.2.2. - A la liaison tablier - culée 3.2.3. - A la liaison remblais - pont 3.3. - Désordres spécifiques des différents types de structures 3.3.1. - Ponts canaux en maçonnerie 3.3.2. - Ponts canaux métalliques 3.3.3. - Ponts canaux B.A. 3.3.4. - Ponts canaux B.P. 3.4. - Problèmes de fondations 3.5. - Défauts résultant d'une intervention humaine mal conduite Chapitre 4 - La surveillance 4.1. - Principes - généralités 4.2. - Surveillance continue 4.3. - Visite annuelle 4.4. - Inspection détaillée périodique 4.5. - Inspections détaillées particulières 4.5.1. - Première inspection détaillée 4.5.2. - Inspection détaillée de fin de garantie 4.5.3. - Inspection détaillée exceptionnelle 4.6. - Surveillance renforcée et haute surveillance 4.7. - L’exploitation des actions de surveillance Chapitre 5 - Entretien et réparation 5.1. - Notion d’entretien 5.2. - Entretien courant 5.3. - Entretien spécialisé 5.4. - Réparations 5.4.1. - Généralités 5.4.2. - Réparations non spécifiques aux ponts canaux 5.4.3. - Réparations spécifiques aux ponts canaux 5.4.4. - Exemple de réparations ANNEXES Exemple de cadre de PV de visite Bibliographie Glossaire
  304. Edition (Ceremadoc) Surveillance, auscultation et entretien des ouvrages maritimes. Fascicule 3 : Quais sur pieux

    Destiné aux gestionnaires de quais et appontements en service constitués d'une plate-forme en béton armé reposant sur des pieux, ce fascicule n'a pas pour but de présenter des règles et recommandations pour la réalisation d'ouvrages neufs. Il présente successivement les différents types de quais sur pieux, les manifestations des désordres, les méthodes d'auscultation et d'analyse, et des recommandations pour le suivi et l'entretien de ce type d'ouvrage. Les informations apportées sur les pieux peuvent s'appliquer, pour la plupart, à l'ensemble des pieux des ouvrages maritimes ou portuaires, à l'exclusion des pieux en bois. I - INTRODUCTION I.1 - Champ d'application I.2 - Caractéristiques fondamentales des quais sur pieux I.3 - Règles à respecter dans la vie de l'ouvrage I.3.1 - La réalisation de l'ouvrage I.3.2 - L'établissement du dossier d'ouvrage I.3.3 - Les travaux aux abords de l'ouvrage et les opérations d'entretien et de réparation sur l'ouvrage II - GENERALITES CONCERNANT LES QUAIS SUR PIEUX COMPOSITION DU DOSSIER D'OUVRAGE II.1 - Fonctions des quais sur pieux II.2 - Classification des quais sur pieux II.2.1 - Les quais sans soulèvement avant II.2.2 - Les quais avec soutènement avant - les quais pleins - les quais à talus II.3 - Eléments constitutifs des quais sur pieux II.3.1 - Las matériaux - les aciers - les bétons II.3.2 - La plate-forme - incidence des modalités de réalisation de la plate-forme II.3.3 - Les pieux a - les ouvrages anciens b - les ouvrages plus récents II.3.4 - Les ancrages II.3.5 - Les soutènements II.3.6 - Les remblais II.3 7 - Les défenses et les bollards II.4 - Sollicitations supportées par les quais sur pieux II.5 - Environnement de l'ouvrage II.5.1 - Les remblais et les sols en place II.5.2 - L'eau de mer II.5.3 - Les organismes vivants II.5.4 - Les pollutions II.6 - Dossier d'ouvrage Sous-dossier 1 : La conception et la construction Sous-dossier 2 : L'état de référence Sous-dossier 3 : La vie de l'ouvrage Le document signalétique de l'ouvrage III - MANIFESTATIONS ET CAUSES DES DESORDRES III.1 - Les désordres dus à la poussée des terres sur l'ouvrage III.2 - Les autres désordres d'origine mécanique III.3 - Les désordres sur les matériaux dus au milieu III.3.1 - L'altération physico-chimique des matériaux III.3.2 - L'érosion III.3.3 - La corrosion organique III.3.4 - L'action des hydrocarbures III.3.5 - Les courants vagabonds III.3.6 - L'effet pile à grande distance IV - SURVEILLANCE EI AUSCULTATION IV.1 - Les principes généraux de la surveillance des ouvrages IV.1.1 - La surveillance continue IV.1.2 - La visite annuelle IV.1.3 - L'inspection détaillée IV.2 - Les moyens de la surveillance et de l'auscultation IV.2.1 - L'auscultation de la plate-forme a - Essais destructifs b - Essais non destructifs IV.2.2 - L'auscultation des pieux a - Implantation des pieux et auscultation de la partie hors-sol b - Carottage dans les pieux en béton ou en béton armé c - Examen des pieux tubes ou pieux caissons non bétonnés d - Auscultation sonique par transparence e - Auscultation sonique par réflexion f - Essais de chargement de pieux g - Essais de tirants d'ancrages h - Chargement de l'ensemble ou d'une partie de l'ouvrage IV.2.3 - Autres problèmes V - ENTRETIEN DES QUAIS SUR PIEUX V.1 - Le nettoyage V.2 - La peinture des aciers en partie immergée V.3 - Le ragréage du béton V.4 - La protection cathodique V.5 - La corrosion bactérienne V.6 - Reconstitution d'élément métallique V.7 - Entretien des équipements et ouvrages ANNEXE Bibliographie
  305. Edition (Ceremadoc) Programme LUBAQUA : Les pièces fixes : Fascicules de recommandations techniques au programme LUBAQUA.

    Ce fascicule FRT 105 traite des pièces fixes de barrages mobiles, écluses et installations portuaires diverses. I - INTRODUCTION II - GENERALITES SUR LES PIECES FIXES II.1. Définition II.2. Fonctions des pièces fixes II.2.1. Fonction : transmission des efforts II.2.2. Fonction : guidage II.2.3. Fonction : interface d’étanchéité II.2.4. Fonction : protection, blindage III - TRANSMISSION DES EFFORTS SUR LE BETON III.1. Les différentes configurations de reprise d’effort III.1.1. Principaux cas de sollicitations III.1.2. Reprise des efforts à la compression III.1.3. Règle du noyau central III.1.4. Reprise d’efforts normaux sur tirants précontraints III.1.5. Reprise d’efforts inclinés sur tirants précontraints III.1.6. Les tirants d’ancrage scellés III.1.7. Les tirants traversants non scellés III.1.8. Maintenance des tirants précontraints III.2. Transmission des efforts de roulement des galets sur rail au béton III.2.1. Calcul simplifié des pressions III.2.2. Charge isolée sur poutre continue de longueur infinie reposant sur une fondation élastique continue : diagrammes III.2.3. Calcul des rails et des pressions sur le béton sous l’effet de n charges ponctuelles rapprochées III.2.4. Calculs des rails reposant sur des fondations élastiques continues - Récapitulation III.3. Transmission des efforts linéairement distribués sur un montant de vanne ou de porte en appui direct sur les pièces fixes III.4. Distance d’un rail ou d’un montant de vanne au bord du béton IV - MONTAGE ET SCELLEMENT DES PIECES FIXES V - LES RESERVATIONS POUR LE SCELLEMENT DES PIECES FIXES V.1. Phases de bétonnage V.2. Plaques de scellement intégrées au béton de 1ère phase VI - PHASAGE DES ETUDES ET TRAVAUX VII - LES RAILS DE VANNES OU DE PORTES LEVANTES VII.1. Généralités VII.2. Fixation des rails VIl.3. Calcul des fixations Vll.3.1. Condition de non-arrachement des fixations des rails Vll.3.2. Reprise de l’effort Fh par l’adhérence VIl.3.3. Reprise de l’effort Fh par butées latérales VIII - LES PIECES FIXES DES PORTES BUSQUEES VIII.1. Les appuis de buscage sur les bajoyers VIII.2. Le pivot de porte busquée IX - ANCRAGE PAR BECHES X - ANCRAGE D’UN CHASSIS-PALIER DE VERIN XI - PIECES FIXES DE VANNE-CLAPET XII - MONTAGE-REGLAGE-SCELLEMENT D’UN CADRE DE VANNE ENTIEREMENT CONSTITUE XIII - MONTAGE D’UN CADRE DE PORTE DE GRANDES DIMENSIONS
  306. Edition (Ceremadoc) Programme LUBAQUA : Les articulations et paliers : Fascicules de recommandations techniques au programme LUBAQUA.

    Ce fascicule FRT 102 traite des paliers et articulations sur coussinets « lisses », dans leurs diverses applications aquatiques : paliers de vannes secteur, de vanne clapet, tourbillon de galets de vanne wagon, etc.. PREAMBULE I - INTRODUCTION II - LES PRINCIPALES TECHNOLOGIES DE PALIERS II. 1. Les paliers lisses à frottement II. 2. Les paliers lisses hydrodynamiques et hydrostatiques II. 3. Les paliers magnétiques actifs II. 4. Les paliers à roulement III - LA MECANIQUE DES PALIERS A COUSSINETS LISSES III. 1. Les efforts de frottement III. 1. 1. Le frottement plan III. 1. 2. Le frottement radial des paliers III. 1. 3. Le frottement axial III. 2. Longueurs cinématiques III. 3. Fonction p x v III. 4. Jeux fonctionnels III. 5. Pression de contact et jeu des paliers III. 6. Les effets thermiques et les jeux fonctionnels III. 7. Les variations dimensionnelles de certains matériaux en milieu humide III. 8. Déformations, désalignements et accomodations III. 9. Concept du « zero wear » (usure zéro) IV - GENERALITES SUR LE FROTTEMENT IV. 1. Coefficient de frottement IV. 2. Compatibilité au frottement d’un couple de matériaux IV. 3. Les différents modes de détérioration des surfaces en contact IV. 3. 1. Détérioration par adhésion soudure et grippage IV. 3. 2. Corrosion de contact (Fretting corrosion) IV. 3. 3. Excès de contraintes de surface IV. 3. 4. Corrosion IV. 3. 5. Oxydation de surface et phénomène du labourage de surface IV. 3. 6. Abrasion IV. 3. 7. Fluage IV. 3. 8. Détérioration par cisaillement profond ou Pitting IV. 3. 9. Cavitation V - LES ETATS DE SURFACE V. 1. La rugosité V. 2. L’état structural des surfaces VI - LES MATERIAUX DE FROTTEMENT VI. 1. Introduction VI. 2. Classification des principaux matériaux pouvant rentrer dans la fabrication des coussinets et patins de frottement VI. 2. 1. Les matériaux métalliques VI. 2. 2. Les matériaux plastiques VI. 2. 3. Les céramiques VI. 2. 4. Les matériaux naturels VII - TECHNOLOGIE DES COUSSINETS VII. 1. Les principales structures de coussinets VII. 1. 1. A bagues monolithiques VII. 1. 2. A bandes monolithiques VII. 1. 3. Les multi-couches VII. 1. 4. A inserts de lubrifiant solide VII. 1. 5. Les composites à base de plastique renforcé par des fibres ou des tissus VII. 2. Les coussinets métalliques VII. 2. 1. Coussinets en alliages cuivreux « courants » VII. 2. 2. Coussinets à inserts de lubrifiant solide VII. 2. 3. Coussinets en matériaux frittés VII. 2. 4. Coussinets composites multi-couches VII. 3. Les principaux coussinets en matières plastiques monolithiques VII. 4. Les coussinets composites à base de matériaux plastiques chargés de fibres VIII - LES PRINCIPAUX TRAITEMENTS DE SURFACE VIII. 1. Les principaux traitements de surface par apport VIII. 2. Les principaux traitements par modification structurale VIII. 2. 1. Par voie mécanique VIII. 2. 2. Par traitement thermique VIII. 2. 3. Traitement de surface par laser VIII. 3. Les principaux traitements par diffusion VIII. 4. Les principaux traitements par modification chimique du substrat VIII. 4. 1. Phosphatation VIII. 4. 2. Sulfinisation VIII. 4. 3. Oxydation anodique VIII. 5. Le traitement par enduction de lubrifiant solide IX - LA LUBRIFICATION DES PALIERS LISSES IX. 1. Généralités sur la lubrification IX. 2. Les principaux produits de lubrification IX. 3. Dispositions technologiques pour le graissage IX. 3. 1. Rainures de graissage IX. 3. 2. Circuits de graissage IX. 3. 3. Alimentation permanente en graisse X - ETANCHEITES DES PALIERS LISSES X. 1. Nécessité de prévoir des étanchéités X. 2. Difficulté du choix des joints d’étanchéité XI - LA MAINTENANCE PREVENTIVE DES PALIERS LISSES XI. 1. Entretien-inspection de routine XI. 2. Diagnostic XII - RECOMMANDATIONS POUR LA CONCEPTION DES ARTICULATIONS ET PALIERS LISSES LENTS EN MILIEU AQUATIQUE XII. 1. Les choix technologiques XII. 1. 1. Les principaux types de paliers XII. 2. Le choix du type de coussinet XII. 3. Dispositions constructives XII. 3. 1. Montage des coussinets XII. 3. 2. Arbre XII. 3. 3. Etat de surface XII. 3. 4. Les jeux fonctionnels XII. 3. 5. Les joints d’étanchéité des paliers immergés XII. 3. 6. Fixation des axes et des paliers Résumé des principales recommandations XII. 4. Exemples de conception de paliers XII. 4. 1. Montage LUBAQUA de paliers de clapet XII. 4. 2. Montage-réglage des paliers de clapets XII. 4. 3. Montage LUBAQUA de palier de vanne-segment XII. 4. 4. Tourillon supérieur LUBAQUA pour porte d’écluse busquée XII. 4. 5. Tourillon supérieur LUBAQUA de porte d’écluse - Variante avec rotule XII. 4. 6. Pivot LUBAQUA de porte d’écluse XII. 4. 7. Montage LUBAQUA d’un galet de vanne sur fusée XII. 4. 8. Montage LUBAQUA d’un galet de vanne entre deux flasques XII. 5. Rappels de dispositions constructives â éviter
  307. Edition (Ceremadoc) Prise en compte du tsunami dans l'analyse et le renforcement des ouvrages intérieurs neufs : Risques dynamiques pour les ouvrages maritimes et fluviaux. Fascicule 2.

    En application du décret n°91-461 du 14 mai 1991 relatif à la prévention du risque sismique, des règles de constructions, d'aménagement et d'exploitation parasismiques devaient s'imposer aux ouvrages maritimes et fluviaux. Elaboré à l'intention des ingénieurs et des projeteurs, ce second fascicule traite des ouvrages portuaires intérieurs neufs vis-à-vis du tsunami: tsunamis de différentes origines (sismique, glissements de terrain), extension aux zones géographiques plus souvent affectées par le phénomène dans les Dom-Tom. 1.0 Introduction : définition et origine des tsunamis 2.0 Mécanismes de déclenchement - magnitude des tsunamis 2.1 mecanisme de declenchement des tsunamis sismiques 2.1.1 estimation de la magnitude des tsunamis sismiques 2.1.2 estimation des mouvements du fond marin 2.2 mecanisme de declenchement des tsunamis generes par un glissement de terrain 3.0 Caractéristiques et propagation de la vague creee par un tsunami 3.1 paramètres adimensionnels gouvernant la propagation des vagues de grande longueur d’onde 3.2 tsunami sismique 3.2.1 propagation depuis la zone de génération jusqu'à l'approche de la côte 3.2.2 amplification sur la côte 3.3 tsunamis generes par glissement de terrain 4.0 Tsunamis historiques et zonage du risque de tsunami 4.1 tsunamis sismiques 4.1.1 tsunamis historiques 4.1.2 essai de zonage du risque de tsunamis sismiques 4.2 tsunamis generes par glissements de terrain 4.2.1 tsunamis historiques 4.2.2 essai de zonage du risque de tsunami par glissement de terrain 5.0 Méthode pour l'estimation du " tsunami de projet " 6.0 Effet des tsunamis sur les ouvrages 7.0 Prise en compte du tsunami dans le calcul des ouvrages 7.1 ouvrages a la mer 7.2 ouvrages terrestres 8.0 Conclusion Références
  308. Edition (Ceremadoc) Surveillance, auscultation et entretien des ouvrages maritimes. Fascicule 1 : Ouvrages en maçonnerie

    Ce premier fascicule décrit les phénomènes pouvant altérer ou ruiner les ouvrages portuaires dont la structure principale est en maçonnerie, comme les murs de quais, les jetées, les digues et les écluses, mais également les bajoyers, cales, perrés, ou même les phares et tourelles. Ce guide récapitule donc les méthodes qui permettent de détecter et d'analyser ces phénomènes, ainsi que les moyens pour éventuellement y remédier. I - PRESENTATIONII - GENERALITES - LE DOSSIER D'OUVRAGE II.1 - La maçonnerie II.1.1 - La pierre II.1.2 - Les mortiers II.1.3 - Les liants hydrauliques - les ciments - les chaux II.2 - Aperçu sur la conception des ouvrages maritimes en maçonnerie II.2.1 - Les murs de quai II.2.2 - Les ouvrages de défense contre la mer : - les digues et les jetées - les perrés II.2.3 - Les ouvrages de signalisation II.3 - Le dossier d'ouvrage III - CAUSES ET MANIFESTATION DES DESORDRES III.1 - La pathologie des matériaux de maçonnerie III.1.1 - L'environnement marin III.1.2 - L'altération des mortiers par l'eau de mer III.1.3 - L'altération de la pierre et des joints par réaction alcali-granulats, III.1.4 - L'altération de la plerre III.1.5 - La corrosion des parties métalliques III.1.6 - Conclusion sur les désordres dus aux matériaux des maçonneries III.2 - La pathologie due aux actions mécaniques sur l'ouvrage III.2.1 - Causes possibles de désordres a court terme III.2.2 - Causes possibles de désordres a long terme III.2.3 - Conclusions sur les causes mécaniques des désordres IV - LA SURVEILLANCE IV.1 - Principes généraux de la surveillance IV.1.1 - La surveillance continue IV.1.2 - La visite annuelle IV.1.3 - L'inspection détaillée IV.2 - Les moyens de la surveillance IV.2.1 - Les levés topographiques IV.2.2 - La bathymétrie IV.2.3 - Les visites subaquatiques par plongeur IV.2.4 - Les dégarnissages localisés de l'ouvrage IV.2.5 - Les forages dans la maçonnerie et le sol support IV.2.6 - Les essais dans les forages IV.2.7 - Les autres essais en place IV.2.8 - Les essais en laboratoire : - essais de sols - essais sur la maçonnerie IV.3 - L’instrumentation IV.3.1 - Suivi de l'évolution des fissures IV.3.2 - Mesure des déplacements latéraux ou verticaux IV.3.3 - Mesure des pentes IV.3.4 - Mesure des pressions totales et des pressions interstitielles V - L'ENTRETIEN DES QUAIS EN MAÇONNERIE V.1 - Etablissement d'un diagnostic sur l'état de l'ouvrage V.2 - Le nettoyage V.3 - Evacuation des eaux - drainage V.4 - Traitement de la pierre V.5 - Réfection des joints de maçonnerie V.5.1 - Définition du joint V.5.2 - Reconnaissance des dégradations V.5.3 - Disjointoiement V.5.4 - Rejointoiement V.5.5 - Les composants du mortier V.5.6 - Les essais sur les mortiers V.6 - Protection des fondations par enrochements V.7 - Aperçu sur les grosses réparations V.7.1 - Injection des maçonneries - Produits d'injection - Choix du produit d'injection - Exécution des travaux V.7.2 - Reprise en sous oeuvre par micropieux V.7.3 - Consolidation du sol de fondation par injection V.7.4 - Réduction de la poussée du massif de sol arrière V.7.5 - Rempiétement devant l'ouvrage : - rideau de palplanches métalliques - paroi Berlinoise - contre mur en béton armé ANNEXES Annexe 1 - Liste bibliographique sommaire Annexe 2 - Contenu du document signalétique de l'ouvrage Annexe 3 - Modèle de procès verbal de visite annuelle Annexe 4 - Glossaire des termes de maçonnerie
  309. Edition (Ceremadoc) Modélisation numérique et physique en sédimentologie côtière : deux approches finalement assez proches

    La notice présente la méthodologie des études à mettre en oeuvre pour étudier le fonctionnement des ouvrages littoraux et évaluer leur impact. L'étude s'attache à montrer les similitudes de la modélisation physique et numérique.La notice présente : les principes - similaires ou spécifiques - à la base de ces modélisations ; le déroulement d'une étude sur modèle ; l'état de l'art pour chacun de ces outils ; les avantages et inconvénients de chaque approche. INTRODUCTION 1. PRINCIPE DE LA MODELISATION 1.1. Bases communes aux deux types de modélisation 1.2. Principes spécifiques à chacun des types de modélisation 1.2.1. Reproduction sur modèle numérique 1.2.2. Reproduction sur modèle physique 2. DEROULEMENT D'UNE ETUDE SUR MODELE 2.1. Choix et définition du modèle 2.2. Construction du modèle 2.3. Etalonnage 2.4. Essais 2.5. Analyse, interprétation, discussion et synthèse des résultats 3. ETAT DE L’ART DE LA MODELISATION DANS LE DOMAINE DE LA SEDIMENTOLOGIE COTIERE 3.1. Modèles numériques 3.1.1. Modèles hydrodynamiques 3.1.1.1. Modélisation du courant 3.1.1.2. Houle et courant de houle 3.1.2. Modèles sédimentologiques 3.1.2.1. Charriage sous l’action du courant 3.1.2.2. Transport en suspension sous l'action du courant 3.1.2.3. Transport sous l'action de la houle 3.2. Modèles physiques 3.2.1. Transport sous l’action combinée de la houle et du courant 3.2.2. Transport de sédiments cohésifs 4. AVANTAGES ET INCONVENIENTS DE CHAQUE APPROCHE : QUELQUES CRITERES DE CHOIX 4.1. Le modèle numérique 4.2. Le modèle réduit 4.3. Comment choisir ? 5. CONCLUSION BIBLIOGRAPHIE ANNEXE : L'étude sur plans
  310. Edition (Ceremadoc) Programme LUBAQUA : Les organes de roulement : Fascicules de recommandations techniques du programme LUBAQUA : conception, lubrification et maintenance des organes mécaniques.

    Ce fascicule FRT 101 traite essentiellement des organes de roulement, galets et rails, équipant divers types de bouchure mobiles en site aquatique telles que portes levantes et abaissantes, portes coulissantes, vannes, wagon, etc. L’aspect technologique du tourbillonnement des galets sur leurs axes n’est pas sommairement abordé. Il est demandé au lecteur de consulter le FRT 102 qui approfondit ce sujet. PREAMBULE I – INTRODUCTION II - LA MECANIQUE DU ROULEMENT II. 1. Les efforts de roulement simple II. 2. Les efforts parasites de roulement « E.P.R. » des galets II. 2. 1. Les mécanismes du coincement des galets à boudins II. 2. 2. Calcul des efforts parasites dus à l’instabilité directionnelle provoquant le frottement des boudins de galet II. 2. 3. Frottement des boudins de galet : intéraction de l’effet directionnel et du coincement II. 2. 4. Calculs des efforts parasites dus au frottement des boudins de galet : loi de majoration des efforts de manoeuvre due au phénomène de coincement simple II. 2. 5. Le guidage latéral des structures mobiles sur galets sans boudins II. 2. 6. les efforts de friction axiaux II. 3. Efforts de roulement : récapitulation II. 3. 1. Structures guidées latéralement par des galets à boudins II. 3. 2. Structures guidées latéralement soit par des galets soit par des patins II. 4. Proportion géométrique des galets sur coussinets lisses : le rapport R/r II. 5. Calcul des contraintes de contact II. 5. 1. Pression de Hertz II. 5. 2. Calcul du contact des galets à génératrices convexes sur rail plan II. 5. 3. Galet cylindrique portant idéalement II. 5. 4. Contraintes de cisaillement II. 5. 5. Majoration des pressions de contact des galets cylindriques sur rail plan II. 6. Pressions de contact admissibles des galets sur rail II. 7. Vérification des pressions de contact Récapitulation II. 7. 1. Galets à génératrices convexes sur rail plan II. 7. 2. Galets à génératrice droite sur rail plan III - CALCUL DES RAILS DE ROULEMENT SUR FONDATIONS ELASTIQUES Généralités III. 1. Méthode de calcul Andrée et Fricke III. 2. Méthode de calcul des poutres reposant sur une fondation élastique continue III. 3. Rail simple associé à un profilé III. 4. Calcul des rails reposant sur des fondations élastiques continues - Récapitulation III. 5. Fixation des rails III. 6. Calcul des fixations III. 6. 1. Condition de non-arrachement des fixations des rails III. 6. 2. Reprise de l’effort Fh par l’adhérence III. 6. 3. Reprise de l’effort Fh par butées latérales IV - DISPOSITION CONCEPTUELLE ET MAINTENANCE DES ORGANES DE ROULEMENT IV. 1. Dispositions architecturales des vannes de type wagon à translation verticale. IV. 1. 1. Rapport D/L IV. 1. 2. Positionnement des organes de roulement des vannes de type wagon sur la hauteur de la bouchure IV. 1. 3. Guidage latéral IV. 1. 4. Architecture et nombre de galets IV. 2. Fixation des galets et boggies par rapport à la structure IV. 3. Galet sur coussinet lisse IV. 4. Architecture du galet IV. 4. 1. Les 3 architectures les plus courantes IV. 4. 2. Quelques proportions des galets à voile médian IV. 4. 3. Bande de roulement IV. 4. 4. Arrondi ou chanfrein de la génératrice de contact IV. 5. Fabrication et matériaux IV. 6. Fixation des galets simples par rapport à la structure IV. 6. 1. Fixation par un axe pris entre deux flasques IV. 6. 2. Fixation par une fusée IV. 7. Le graissage IV. 8. Dispositions constructives â éviter IV. 8. 1. Coussinets IV. 8. 2. Axes et fusées
  311. Edition (Ceremadoc) Programme LUBAQUA : Les systèmes d'étanchéité des ouvrages mobiles : Fascicules de recommandations techniques du programme LUBAQUA : conception, lubrification et maintenance des organes mécaniques critiques des ouvrages hydrauliques.

    Les fascicules de recommandation techniques sont la synthèse technique et conceptuelle de la première phase du programme LUBAQUA d’étude d’amélioration et de développement de la technologie des ouvrages hydrauliques. Ce fascicule traite essentiellement des systèmes d’étanchéité équipant divers types de bouchures mobiles en site aquatique. La fiabilité et la minimisation des coûts de maintenance des organes mécaniques des ouvrages reposent essentiellement sur leur conception et sur les choix technologiques, deux aspects qui sont largement développés dans ce document, qui s’adresse autant au concepteur qu’à l’exploitant, lequel doit garder à l’esprit que de nombreux problèmes de maintenance peuvent souvent et facilement être résolus par une remise en cause des concepts existants. I – INTRODUCTION II - PRINCIPAUX PARAMETRES INFLUENCANT LE CHOIX DU SYSTEME D’ETANCHEITE Généralités II. 1. Paramètre conditions climatiques II. 2. Paramètre état des eaux II. 3. Paramètre trajectoire de l’étanchéité II. 4. Paramètre pression hydrostatique II. 5. Paramètre conditions de manoeuvre II. 6. Paramètre type de vanne ou de porte III - PRINCIPAUX CONCEPTS D’ETANCHEITE III. 1. Introduction aux différents concepts III. 2. Concepts utilisant le profil « note de musique » III. 3. Concepts utilisant le profil « cornière » III. 4. Concepts utilisant le profil « omega » III. 5. Concepts d’étanchéité de seuils III. 6. Concepts d’étanchéité d’angles III. 7. Concepts d’étanchéité métal III. 8. Concepts d’étanchéité bois IV - PRESENTATION DE CAS IV. 1. Introduction IV. 2. Différents cas IV. 2. 1. Vannes à « glissières » IV. 2. 2. Batardeaux IV. 2. 3. Portes busquées IV. 2. 4. Portes levantes IV. 2. 5. Portes abaissantes amont d’écluse IV. 2. 6. Portes coulissantes d’écluse IV. 2. 7. Vannes clapet IV. 2. 8. Vannes segment IV. 2. 9. Vannes wagon V - PROFILS D’ETANCHEITE V. 1. Profils courants V. 1. 1. Les notes de musique V. 1. 2. Les cornières V. 1. 3. Les plats V. 1. 4. Les omegas V. 2. Profils spécifiques VI - MATERIAUX VI. 1. Matériaux des joints VI. 2. Fixations VI. 3. Pièces fixes de contact VII – MAINTENANCE
  312. Edition (Ceremadoc) Constitution des ouvrages portuaires anciens en maçonnerie et leurs dégradations

    Pour les ouvrages maritimes construits en maçonnerie et âgés de plus de 50 ans, l'eau de mer est le principal facteur de dégradations mécaniques et physico-chimiques. Cette note technique aidera les services à mieux connaître les conditions de conception et de réalisation de ces ouvrages, à mieux comprendre les phénomènes de dégradation, et ainsi contribuer à une bonne gestion technique de ce patrimoine. I - Rappel sur les actions subies par les ouvrages I.1 - Actions mécaniques de la mer I.1.1. - Côté mer I.1.2. - Côté intérieur I.2 - Actions chimiques de la mer I.2.1. - Historique I.2.2. - Composition chimique de l’eau de mer I.2.3. - Composition minéralogique des liants hydrauliques et principe du mécanisme de l’attaque par l’eau de mer I.3 - Actions climatiques ou météorologiques I.3.1. - Changements de température I.3.2. - Mouvements d’eau dans la pierre. Ascension capillaire. Mouvement de l’eau vers l’intérieur I.3.3. - Effet du gel I.3.4. - Effet du vent I.4 - Actions dues à l’environnement organique II - Evolution de la technique des ouvrages maritimes en maçonnerie depuis le XVIème siècle II.1 - Principes de construction et de constitution des ouvrages II.2 - De la bonne exécution d’un parement II.3 - Evolution de la composition des mortiers III - Désordres liés à la conception et à la construction III.1 - Au stade de la conception III.2 - Au stade de l’exécution Annexes Annexe 1 : Extrait de la norme NF P 18-301 (Décembre 1983) Annexe 2 : Bibliographie
  313. Edition (Ceremadoc) Surveillance, auscultation et entretien des ouvrages maritimes - Fascicule 2 : Ponts mobiles

    Ce fascicule « ponts mobiles » est destiné aux gestionnaires des Services Maritimes et a pour but de fournir des informations, règles, conseils et recommandations pour l’établissement du dossier d’ouvrage, la surveillance et l’entretien de ces ouvrages. I - PRÉSENTATION I.1 - Objet du présent document I.2 - Conception II - GENERALITES II.1 - Rôle des ponts mobiles II.2 - Différentes catégories de ponts mobiles II.2.1 - Limitation du domaine II.2.2 - Les ponts tournants 1 - les tabliers 2 - les pivots 3 - les systèmes de calage 4 - les fondations 5 - moyens de rotation 6 - modes de fonctionnement * ouvrages a volée unique * ouvrages à pivot fixe * ouvrages à pivot mobile verticalement * ouvrages à deux volées II.2.3 - Les ponts basculants 1 - Ponts à axes de rotation 2 - Ponts basculants et roulants (type SCHERZER) * à contrepoids supérieur * à contrepoids inférieur II.2.4 - Les ponts levants (ou ascenseur) II.2.5 - Les ponts roulants II.2.6 - Les ponts flottants II.3 - Matériaux constitutifs II.3.1 - Le fer puddlé II.3.2 - Les aciers laminés pour charpente II.3.3 - Les produits moulés et pour pièces de mécanique (acier ou fonte) II.4 - Modes d’assemblage II.4.1 - Le rivetage II.4.2 - Le soudage II.4.3 - L’assemblage par boulon HR (ou à serrage contrôlé) II.5 - Les couvertures (ou platelages) II.5.1 - Les dalles en béton armé II.5.2 - Les caillebotis II.5.3 - Les dalles orthotropes II.5.4 - Les dalles en acier moulé II.5.5 - Les platelages en alliage léger. II.5.6 - Les caissons métalliques discontinus (ou caissons Arnodin) II.5.7 - Les platelages bois III - NOTIONS SUR LES CAUSES ET LA NATURE DES DESORDRES III.1 - Les problèmes de fondation III.1.1 - Les affouillements III.1.2 - Les tassements III.2 - La corrosion III.2.1 - Mécanisme de la corrosion III.2.2 - Divers aspects de la corrosion III.2.3 - Localisation des désordres III.3 - La fatigue III.3.1 - Mécanisme de la fatigue III.3.2 - Localisation des désordres III.4 - Autres types de désordres III.4.1 - Assemblages 1 - Assemblages rivés 2 - Assemblages par boulons à serrage contrôlé 3 - Assemblages soudés III.4.2 - Phénomène d’instabilité élastique III.5 - Désordres affectant les couvertures III.5.1 - Les couvertures en bois III.5.2 - Les couvertures en béton III.5.3 - Les dalles orthotropes III.5.4 - Les caissons métalliques discontinus III.5.5 - Les dalles en acier moulé nervuré III.5.6 - Les platelages en alliage léger III.5.7 - Les caillebotis III.6 - Désordres affectant les mécanismes III.6.1 - Organes spécifiques 1 - Chemin de roulement 2 - Crémaillères et pignons de mouvement 3 - Pivots 4 - Chaînes 5 - Câbles 6 - Galets, boggies et rails 7 - Mécanismes de calage III.6.2 - Chaînes cinématiques 1 - Electromécanique 2 - Hydrostatique IV - DOSSIER D’OUVRAGE IV.1 - Document signalétique. IV.2 - Constitution et entretien du dossier d‘ouvrage V - LA SURVEILLANCE V.1 - La surveillance continue V.2 - La visite annuelle V.2.1 - Protection anticorrosion (ou état de corrosion) V.2.2 - Etat de la structure métallique V.2.3 - Couvertures V.2.4 - Appuis et fondations (parties visibles à marée basse) V.2.5 - Mécanismes V.3 - L’inspection détaillée périodique V.3.1 - Protection anticorrosion et corrosion de certaines pièces V.3.2 - État de la structure métallique V.3.3 - Les couvertures 1 - En bois 2 - En béton 3 - Platelages métallique 4 - Chaussée proprement dite V.3.4 - Appuis et fondations 1 - Parties immergées 2 - Parties émergées V.3.5 - Abords et zone d’influence V3.6 - Équipements mécaniques spécifiques 1 - Chemin de roulement 2 - Structures de reprise d’effort et couple pignon - crémaillère 3 - Pivots 4 - Chaînes 5 - Câbles 6 - Rails, galets et boggies porteurs 7 - Système de calage. V.3.7 - Equipements électromécaniques V.3.8 - Equipements hydrauliques VI - ENTRETIEN ET RÉPARATION V.I.1 - Entretien courant VI.1.1 - Structure VI.1.2 - Mécanismes 1 - Pour les organes spécifique 2 - Pour l’électromécanique 3 - Pour l’hydrostatique 4 - Observations générales VI.2 - Entretien spécialisé VI.2.1 - Remises en peinture VI.2.2 - Reprises des défauts de surface du béton VI.2.3 - Réfection des couches de roulement et d’étanchéité VI.2.4 - Remplacement des rivets ou boulons 1 - Boulons à serrage contrôlé 2 - Rivets VI.3 - Réparations VI.3.1 - Réfection d’assemblages boulonnés ou rivés VI.3.2 - Amélioration de certains assemblages VI.3.3 - Remplacement ou reconstitution des pièces ANNEXE Annexe 1 Dossier d’ouvrage Document signalétique Identification Modèle de procès-verbal de visite annuelle Cadre de procès-verbal d’inspection périodique Annexe 2 Bibliographie
  314. Edition (Ceremadoc) Réhabilitation de l'étanchéité d'une section de voie navigable par utilisation d'une géomembrane : Présentation d'une opération de cuvelage complet sur le bief d'Iguerande du canal de Roanne à Digoin.

    L’objet de la présente note est de présenter un chantier de confortement d’une digue ancienne de canal par réalisation d’un cuvelage complet de la cuvette au moyen d’une géomembrane bitumineuse armée manufacturée. I - INTRODUCTION II - L'OUVRAGE Localisation Géométrie de la digue Constitution du corps de digue et de sa fondation Confortement de 1984 III - LE CHANTIER Etanchéité d'un ouvrage hydraulique par utilisation d'une géomembrane 1. Le dispositif d'étanchéité par géomembrane 2. Contraintes intervenant dans la conception d'un dispositif d‘étanchéité par géomembrane Appel d'offres de 1989 Matériaux mis en oeuvre 1. Fond de forme 2. Structure d'étanchéité 3. Structure de protection Dispositions constructives 1. Profil en travers 2. Raccordements Phasage des travaux IV - CONCLUSION BIBLIOGRAPHIE ANNEXES TABLE DES FIGURES Figure 1 - Plan de situation Figure 2 - Profil en travers type (PK 20,600) Figure 3 - Confortement de 1984. Principe. Coupe transversale Figure 4 - Dispositif d'étanchéité par géomembrane (D.E.G.) Figure 5 - Eléments constitutifs d‘une membrane bitumineuse armée manufacturée Figure 6 - Rouleau de membrane bitumineuse armée manufacturés Figure 7 - Confortement de 1989. Principe. Coupe transversale Figure 8 - Raccordement avec les travaux de 1984 - Schématisation Figure 9 - Arrêt de l‘étanchéité > Schématisation TABLE DES PHOTOGRAPHIES Photo 1 - Végétation hydrophile et suintements en pied de digue Photos 2 et 3 - Débouchés de conduits résultant de phénomènes de renard Photo 4 - Démolition de l'ancien cuvelage béton Photo 5 - Mise en place d'un Ié de géomembrane Photo 6 - Réalisation d'une soudure longitudinale Photo 7 - Finition d'une soudure sur talus Photo 8 - Réglage du béton de protection à l'intérieur des coffrages métalliques Photo 9 - Surfaçage de la structure de protection Photo 10 - Vue générale du chantier : préparation du fond de forme, pose de la géomembrane et réalisation de la structure de protection
  315. Edition (Ceremadoc) Recommandations sur les barrages-réservoirs d'alimentation des canaux à bief de partage : Expertise, surveillance et entretien, confortement. Notice réalisée en collaboration avec le LCPC (2 volumes)

    L’objet de cette notice est de proposer à l’attention des Services de l’Etat chargés de l’exploitation et/ou du contrôle des barrages anciens, servant à l’alimentation des canaux de navigation, des principes définissant, pour ces ouvrages et selon leur type, les axes principaux des études et travaux à mener en vue d’en vérifier le niveau de sécurité, de mettre en place des dispositifs d’auscultation et de surveillance, d’en assurer l’entretien, de les conforter le cas échéant. Une part essentielle du document est consacrée à la surveillance et à l’entretien des barrages anciens ainsi qu’à leur expertise. I - Comportement des barrages II - Etudes hydrologiques et hydrauliques III - Méthodes d’étude de la stabilité IV - Reconnaissance des barrages anciens V - Surveillance et auscultation VI - Entretien VII – Confortement
  316. Edition (Ceremadoc) Programme LUBAQUA : Les composants mécaniques critiques des portes busquées : Fascicules de recommandations techniques du programme LUBAQUA : conception, lubrification et maintenance des organes mécaniques critiques des ouvrages hydrauliques.

    Ce fascicule FRT 103 traite essentiellement des fonctions de buscage et articulation. La fonction manœuvre est seulement évoquée. I - INTRODUCTION II - CONDITIONS DE CALCUL DES PORTES BUSQUEES II. 1. Porte fermée busquée - Condition A II. 2. Porte fermée - Condition B II. 3. Porte en mouvement III - DETERMINATION DES EFFORTS DE MANŒUVRE IV - CALCUL DES SOLLICITATIONS IV. 1. Sollicitations hydrostatiques IV. 2. Sollicitations dues au poids et à la poussée verticale sur le vantail IV. 3. Sollicitations dues à la houle ou au clapot incidents sur une porte : clapotis IV. 4. Sollicitations hydrodynamiques sur les vantaux en mouvement IV. 5. Sollicitations dues au vent IV. 6. Sollicitations dues au frottement IV. 7. Sollicitations dues à la glace IV. 8. Sollicitations dues à un impact accidentel de navire IV. 9. Sollicitations dues au frottement des navires V - CONCEPTION - GEOMETRIE V. 1. Notations et repères V. 2. Transmission des efforts de buscage V. 3. L’angle α de buscage V. 4. L’angle d’orientation des butées : β V. 5. Implantation d’un vérin de manoeuvre à attaque directe VI - DISPOSITIONS FONCTIONNELLES VI. 1. Interaction articulation/buscage VI. 2. Pivot inférieur VI. 3. Tourillon supérieur VI. 4. Réglage de la position de l’axe de rotation VI. 5. Recommandations pour la conception de systèmes d’ancrage du tourillon supérieur â tirants élastiques VI. 6. Les pièces d’appui VI. 7. Commande par vérin hydraulique ANNEXE
  317. Edition (Ceremadoc) Etudes géotechniques préalables à la réalisation des aménagements maritimes

    Cette notice, établie en collaboration avec le LCPC, permet d'examiner l'organisation et le contenu par phases successives de l'étude géotechnique. Elle présente les problèmes posés par les différents types d'ouvrages et ceux liés aux comportements du sol, et définit les paramètres nécessaires aux dimensionnements. Elle évoque les méthodes de reconnaissances applicables en site aquatique, les principaux essais en place et sondages couramment utilisés. INTRODUCTION 1 - ORGANISATION ET CONTENU DE L’ETUDE GEOTECHNIQUE 1.1. Phasage de l’étude géotechnique 1.2. Phase 1 : Enquête préalable sur le site 1.2.1. Documents généraux : géologie, topographie... 1.2.2. Reconnaissances antérieures 1.2.3. Travaux antérieurs 1.2.4. Comportement des ouvrages existants - Dossiers d’ouvrage 1.2.5. Banque de données 1.2.6. Examens du site 1.2.7. Rapport d’analyse des données géotechniques existantes 1.3. Phase 2 : Reconnaissance géotechnique qualitative ou semi-quantitative 1.3.1. Objectif 1.3.2. Moyens à mettre en oeuvre 1.3.3. Rapport de synthèse géotechnique 1.4. Phase 3 : Etude spécifique 1.4.1. Objectif 1.4.2. Moyens à mettre en oeuvre 1.4.3. Rapport d’étude spécifique 2 - PROBLEMES POSES PAR LES DIFFERENTS TYPES D’OUVRAGES 2.1. Murs-Poids - Caissons 2.2. Rideaux de palplanches - Parois moulées 2.3. Gabions - Batardeaux 2.4. Quais - Appontements sur pieux 2.5. Ducs d’Albe 2.6. Talus 2.7. Digues 2.8. Rempiètement 3 - PROLEMES TYPES LIES AU COMPORTEMENT DU SOL 3.1. Introduction 12 3.2. Problèmes-types liés au comportement mécanique de l’ensemble « ouvrage- sol environnant » 3.2.1. Ouvrages en site aquatique et ouvrages en site terrestre 3.2.2. Stabilité des ouvrages en terre 3.2.2.1. Cas des déblais 3.2.2.2. Cas des remblais 3.2.3. Fondations superficielles 3.2.4. Fondations profondes 3.2.5. Ouvrages de soutènement 3.2.6. Tableau récapitulatif 4 - RECONNAISSANCE DES SOLS EN SITE AQUATIQUE SONDAGES ET ESSAIS 4.1. Site terrestre et site aquatique 4.2. Aspect logistique 4.2.1. Reconnaissance dans la zone de l’estran 4.2.2. Reconnaissance en zones constamment immergées 4.3. Aspect géotechnique 4.3.1. Remarques générales 4.3.2. Carottage continu en gros diamètre 4.3.3. Carottage en rotation 4.3.4. Zone meuble superficielle 5 - REALISATION ET SUIVI DES OUVRAGES ANNEXES 1 - Essai pressiométrique 2 - Le scissomètre de chantier 3 - Pénétromètres statiques et dynamiques 4 - Carottages et essais dans le rocher 5 - Prélèvement de sols mous au carottier à piston stationnaire 6 - Essai de perméabilité Lugeon 7 - Contrôle de battage des pieux - Mesure de la résistance dynamique 8 - Contrôle des pieux exécutés en place - Auscultation sonique par transparence 9 - Inclinomètre LPC 10 - Le distancemètre LPC 11 - Le tassomètre 12 - Le piezomètre 13 - Essai statique de pieu 14 - Essai de tirant 15 - Méthodes géophysiques de reconnaissance des sols
  318. Edition (Ceremadoc) Fondations de ponts en site aquatique en état précaire : Guide pour la surveillance et le confortement

    Ce document est consacré aux mesures à mettre en oeuvre sur les ouvrages dont les fondations immergées sont en état précaire. Il s'agit de mettre en place la surveillance, l'entretien ou le confortement des fondations grâce aux moyens techniques répertoriés, ainsi que les mesures de sécurité à prendre pour la mise en oeuvre de chaque méthode.
  319. Edition (Ceremadoc) Choc de bateau sur une pile de pont : Bulletin technique n°10

    Ce document rappelle les règlements existants et précise les méthodes de calcul de construction. Seuls les appuis directement exposés aux chocs de bateaux et plus particulièrement aux chocs frontaux sur les voies navigables de catégorie A sont étudiés.Trois points sont examinés : définition des actions et des combinaisons d'actions à considérer, répartition du choc frontal d'un bateau entre les différents appuis du pont par l'intermédiaire du tablier, justification de la sécurité en considérant les états-limites ultimes de rupture au sol et de résistance des éléments constituant l'appui. Des exemples d'application sont détaillés : appui fondé sur massif et appui fondé sur puits de grand diamètre. En annexe sont décrits : le calcul des coefficients de souplesse d'un appui, et le calcul d'un massif ancré dans un sol homogène et soumis à un effort vertical, à un effort horizontal et à un couple.
  320. ESN - Competencies mes compétences et centres d'intérêt

  321. Collaborative FAQ Question Dynamique de commandes d'images - Retour d'expérience à l'échelle DDT(M)

    Bonjour, je suis à la recherche de retours d'expériences sur la mise en place, à l'échelle d'une DDT(M), d'une dynamique de commande d'images satellites. Au sortir des cas d'usages, il s'agit plutôt de bénéficier d'informations sur les méthodologies de commandes, des facilités de mises en place et des éventuelles difficultés rencontrées, d'éventuels partenariats établis sur une même zone d'intérêt avec divers acteurs (EPCI, communes...). Mais aussi des coûts évalués depuis la mise en place de la dynamique en interne, de leur budgétisation et de l'appréhension des éventuelles restrictions à venir, également des aspects pratiques concernant les éventuels aménagements d'infrastructures de stockage et de déploiement d'outils ou encore de sensibilisation à l'usage de la télédétection à l'échelle locale. Merci.
  322. ESN - Competencies mes compétences et centres d'intérêt

  323. ESN - Competencies mes compétences et centres d'intérêt

  324. Collaborative FAQ Question Non reconnaissance des visites faites via l'application par l'éditeur de visite (windows)

    Bonjour, J'ai bien lu la FAQ et regardé les vidéos tutoriels mais rien n'y fait. Toutes les visites extraites d'un mobile ne sont pas reconnues par l'éditeur de visite : - Les fichiers de la visite sont sur le Bureau - Il n'y a pas de .scout dans les fichier extraits (zip ou non) et je ne sais pas quel fichier il faut renommer avec ce suffix d'extension, dans le doute j'ai essayé avec chacun d'entre eux (y compris le zip lui même non extrait). Je sèche, comment faire ?