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Cette nomenclature des défauts répertoriés sur les ouvrages d'art en béton comprend une définition, le degré de gravité de l'impact sur l'ouvrage (cinq indices) et une photo, croquis ou observation.Après avoir dressé un tableau récapitulatif des défauts en fonction de leur gravité ils sont classés en trois catégories : défauts des appareils d'appui (fissures, épaufrure, blocage, rouille des frettes, fluage, distorsion, écrasement, décollements), défauts des joints de chaussées (mauvais état de l'ancrage, du scellement, fissuration, arrachement, fluage, épaufrure, traces de chocs, mauvaise étanchéité, absence de produit de remplissage), défauts des chaussées souples et en béton (fissures, joints, écaillage, usure, ornière, trou, fers apparents). Une bibliographie complète cette nomenclature.

Ce document présente, sous forme synthétique, les résultats statistiques relatifs à la construction des ouvrages d'art en France en 1976. Il se compose de trois parties : ponts routiers, ponts autoroutiers et ponts SNCF. Il fait ressortir la répartition des ponts construits suivant le type, le matériau, en précisant les surfaces et les coûts correspondants.

Il est composé de fascicules concernant :- le surfaçage des tabliers des ponts à support de chaussée en béton : fascicule à l'attention du bureau d'étude (la réglementation, actions possibles au stade de l'étude du projet), guide de chantier (actions possibles au stade de la mise en oeuvre du béton frais et au stade précédant la mise en oeuvre de l'étanchéité) ;- les étanchéités des tabliers d'ouvrages d'art : à base d'asphalte coulé, par film mince adhérant au support, comprenant l'utilisation de feuilles préfabriquées ;- les couches de roulement des tabliers d'ouvrage d'art : intervention au stade du projet, solutions possibles pour la couche de roulement, reprofilage, déverglaçage des ponts, couche de roulement en béton de ciment ;- les clauses techniques courantes relatives au surfaçage et à l'étanchéité des tabliers d'ouvrages d'art.Un fascicule de mise à jour fournit des éléments d'information sur des procédés nouveaux d'étanchéité de pont.#Ce dossier est complété par deux fascicules de mise à jour datant respectivement de 1990 (nouveaux procédés d'étanchéité) et de 2001 (réfection des étanchéités).

Les besoins en signalisation de direction ont considérablement augmenté dans les agglomérations où les usagers ont du mal à s'orienter du fait de la mise en place de mesures d'exploitation (sens uniques, création de voiries à échanges dénivelés, passages souterrains...). Pour aider les usagers dans leurs déplacements, de nouvelles règles de conception de la signalisation de direction ont été mises au point (cf. instruction interministérielle du 22 mars 1982) qui garantissent cohérence et efficacité. L'ensemble constitue un investissement non négligeable pour une commune, le succès de l'opération nécessitant de traiter le jalonnement dans sa globalité. Ce guide présente la démarche à suivre, tant au niveau des études préalables qu'à celui de la mise en œuvre, illustré par 2 exemples de réalisation sur une ville dite «verte» : Saint-Dié (26000 habitants) et une ville dite «blanche» : Wingles (8500 habitants).

Ce document regroupe les questions que doit se poser le rédacteur d'un Cahier des Clauses Techniques Particulières (CCTP) relatif à un marché de construction d'ouvrage d'art courant. Certaines réponses font l'objet de textes types qui peuvent être repris dans les CCTP d'autres ouvrages. Ce guide est applicable aux ponts en béton armé ou précontraint par post-tension. Les études d'exécution et les problèmes d'étaiement font l'objet de développements particuliers.

Pour assurer une qualité permanente de service à l'usager, le gestionnaire de voirie doit organiser : - la maintenance de l'information donnée (les mentions et leur évolution) - la maintenance du matériel (nettoyage, entretien, remplacement...) Cette fiche recense les problèmes à traiter, les moyens à mettre en place et la méthode à utiliser pour résoudre les difficultés rencontrées. Elle donne, en outre, un aperçu des coûts de maintenance.

Dans l'exécution des ouvrages courants en béton, les coffrages sont en général portés soit par un étaiement vertical (il s'agit la plupart du temps de tours supportant une surface réduite de tablier), soit par un système de poutres horizontales (appelé cintre) ayant un nombre d'appuis limité. Une des questions majeures concerne la limitation de la déformabilité de ces ouvrages provisoires pendant le bétonnage.

Les procédés pour combattre la fissuration des structures de chaussées à couche de base traitée aux liants hydrauliques font l'objet d'études et d'expérimentations. Cette note fait le point sur la question et indique l'efficacité comparée de ces procédés, les essais (vitesse de remontée de la fissure, imperméabilité, orniérage) permettant de les caractériser et propose des modes d'utilisation.

Le "Texsol", mélange de sable et de fils synthétiques, est un matériau composite qui a des propriétés mécaniques et hydrauliques intéressantes pour la construction d'ouvrages de soutènement. Son aptitude à être engazonné permet une excellente intégration de l'ouvrage dans l'environnement. Ce document fournit les règles pratiques de conception et de réalisation des ouvrages de soutènement en "Texsol". Il s'appuie sur les connaissances acquises, les expérimentations de charges de rupture sur ouvrages existants, les constatations de comportement lors de la mise en oeuvre et sur des ouvrages existants.Quatre aspects du matériau sont traités : les propriétés mécaniques, hydrauliques, ses spécifications relatives aux constituants, et consistances de l'étude en laboratoire, les modes de fonctionnement et le dimensionnement des ouvrages en "Texsol", les dispositions constructives annexes (bêche d'ancrage, dispositif de drainage), la réalisation des chantiers, le contrôle de la qualité.Des annexes précisent les aspects relatifs aux méthodes de dimensionnement, à la technologie de fabrication du matériau et aux essais de contrôle.

Ce guide présente une méthode de programmation des travaux de grosses réparations dont les principes sont applicables à tous les ouvrages d'art courants.Après avoir dessiné le cadre général de la gestion des ouvrages d'art, la méthode est décrite : intérêt et domaine d'emploi ; principes ; applications ; point sur une expérience dans le département de la Haute-Marne. Cette méthode repose sur le croisement de la hiérarchisation des ouvrages et de la connaissance des désordres constatés lors des visites, avec pour support des procès-verbaux. Les désordres sont quantifiés.Un classement des ouvrages est obtenu par urgence d'intervention. Ce classement sert de base à la préprogrammation des opérations de grosses réparations. La hiérarchisation est obtenue à l'aide d'une analyse multicritère.En annexe sont présentés : le logiciel pour la gestion des ouvrages d'art EDOUART et les fiches inventaires par type d'ouvrage, des notices explicatives pour chaque type de désordre sur ouvrage en maçonnerie ainsi que des modèles de procès-verbaux quantifiés.