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  1. Study report (Ceremadoc) A330 - Richardménil (54) : Pose d'instrumentation

    Le Cerema Nord-Picardie (département RDT) a été sollicité par le Cerema Est - Laboratoire de Nancy pour la réalisation de la pose d'instrumentation le long de l'autoroute A330 au niveau de la commune de Richardménil (54). Cette intervention fait suite à une étude d'expertise de dégradations de chaussée, et permettra de comprendre la lithologie du sous-sol et de suivre la stabilité du site.
  2. Study report (Ceremadoc) A330-OA PR6+572 (54) : Investigations géotechniques.

    Le Cerema Nord-Picardie (département RDT) a été sollicité par le Cerema Est - Laboratoire de Nancy pour la réalisation d'un sondage carotté au niveau de l'OA PR6+572, permettant à l'autoroute A330 de franchir la voie SNCF, au niveau de la commune de Richardménil (54). Cette intervention fait suite à une étude d'expertise de dégradation de chaussée, et permettra de comprendr la lithologie du sous-sol.
  3. Study report (Ceremadoc) A34 - Buse du Ruz de Glaire à Sedan. Rapport d'étude hydraulique de l'ouvrage. (Affaire C16NB0132)

    La DIR Nord a confié au Cerema la réalisation d'une étude hydraulique d'une buse métallique accolée à une buse en béton rétablissant un cours d'eau sous l'Autoroute A34 au droit de la commune de Sedan. Cette buse métallique présente des dégradations qui nécessitent la mise en place de coques PVR pour rénover l'ouvrage. Une modélisation hydraulique est réalisée afin d'étudier l'incidence des travaux sur la ligne d'eau en amont de l'ouvrage.
  4. Study report (Ceremadoc) A35-RD105-Contrôle extérieur du dossier Projet

    Dans le cadre de l’aménagement de la RD105, de l’A35 et des échangeurs n°36 et 37 de l’autoroute A35, situés dans le département du Haut-Rhin, pour permettre la desserte de la future zone du Technoport à Saint Louis ainsi que les autres projets du secteur, la collectivité européenne d’Alsace a confié au Cerema une mission de contrôle extérieur. Le présent rapport présente les conclusions du contrôle extérieur du dossier Projet sur les thématiques géométrie, signalisation, dispositifs de retenue, ouvrages d’art, terrassements, chaussées, milieux naturels, assainissement, acoustique et air.
  5. Study report (Ceremadoc) A55 à Marseille - Pl. de la Joliette (13). Évaluation structurale des portiques

    La présente étude, réalisée par la Division Ouvrage d'Art (DOA) de la Direction Territoriale Méditerranée du Cerema, pour le compte du Service des Politiques de l'Exploitant et de la Programmation de la Direction Interdépartementale des Routes Méditerranée, a pour objet l'évaluation structurale d'un des portiques de l'ouvrage "PI Joliette" situé sur l'A55 à Marseille. Cette évaluation structurale de l'ouvrage est consécutive à l'Inspection Détaillée Périodique, réalisée par Ginger CEBTP, qui a notamment mis en évidence des fissures préoccupantes pouvant "engendrer des travaux de réparation à court terme".
  6. Study report (Ceremadoc) A71 - RCEA - Montmarault. Assistance technique vibrations-minage, récolement

    Assistante technique dans le domaine des vibrations et du minage. Les travaux de minage se sont déroulés avec un contrôle vibratoire de l'entreprise sur chaque tir et sans dépassement des sites vibratoires. Le DLCF est principalement intervenu pour la définition des seuils vibratoires, des propositions de charge maximale instantanées en fonction des distances aux récepteurs et le repérage des structures dimensionnantes (positionnement des dispositifs de l'entreprise).
  7. Edition (Ceremadoc) Abaissement de température des mélanges bitumineux

    L'utilisation des enrobés bitumineux tièdes permet d'abaisser la température de fabrication et de mise en oeuvre par rapport à un enrobé bitumineux à chaud, pour des performances in fine équivalentes. Si leur mise en oeuvre nécessite une attention particulière, les enrobés bitumineux tièdes présentent l'avantage de réduire l'exposition des personnels de chantier aux émissions de fumées tout en réduisant la consommation énergétique et l'émission des gaz à effet de serre. Ce guide présente les enrobés bitumineux tièdes et s'attache tout particulièrement à détailler les points de vigilance relatifs à la préparation, à la fabrication et à la mise en oeuvre de ce matériau en comparaison avec des enrobés bitumineux à chaud. Ce document s'adresse à l'ensemble des intervenants concernés par l'utilisation des enrobés bitumineux tièdes : les maîtres d'ouvrage, les maîtres d'oeuvres, la profession et le réseau technique. Introduction Contexte normatif Définition des différents enrobés bitumineux Référentiel normatif Approche contractuelle Les procédés L’additivation Utilisation d’une mousse de bitume Introduction séquencée des constituants (séquençage) Fonctionnement des postes d’enrobage Études de formulation Enrobés avec ajout d’un additif dans le liant Enrobés à la mousse de bitume Enrobés avec séquençage Suivi de chantier et points de vigilance Période de préparation Exécution des travaux Aspects environnementaux et sanitaires Évaluation environnementale au moyen d’éco comparateurs Mesures sur sites Aspects sanitaires Retours d’expériences spécifiques Le retour d’expérience de la DTecITM du Cerema Suivis de quatre procédés en détails Évolution du marché Les asphaltes coulés routiers Définitions Domaines d’utilisation Constituants et formulation Fabrication de l’asphalte coulé routier Mise en œuvre Essais et contrôles
  8. Study report (Ceremadoc) Abbeville - OA A28/RD40 Essai préalable de décapage Mission d'assistance à maîtrise d'ouvrage

    L'OA A28/RD40 est un pont mixte situé sur l'A28 à Abbeville. Il est constitué de 2 tabliers de 241,80 m de longueur ; chaque tablier étant composé de deux poutres principales et d'entretoises en acier, protégé contre la corrosion par un système de peintures. En 2014, l'inspection détaillée périodique de l'ouvrage, réalisée par le Cerema Nord-Picardie, a mis en évidence une évolution des phénomènes de dégradation par corrosion sur les poutres et entretoises, sur les barrières en extrados et sur les zones de contact des corniches. La DIR Nord-Ouest avait déjà sollicité le Cerema début 2013 pour effectuer un diagnostic spécifique à l'état de la protection anti-corrosion, au regard des conclusions de l'inspection détaillée précédente de 2008. Ce diagnostic recommandait la réalisation d'essais préalables de décapage et la réfection de la protection anticorrosion du tablier métallique à moyen terme (5 ans). En 2016, la DIR Nord-Ouest a sollicité le Cerema pour réaliser le suivi de l'essai préalable de décapage. Cette prestation a été réalisée par Messieurs Dumortier et Delory du Cerema Nord-Picardie (Lille).
  9. Edition (Ceremadoc) Acceptabilité de matériaux alternatifs en technique routière - Aide à la mise en œuvre du niveau 3 de caractérisation environnementale - Volet N°1 : les essais lysimétriques et plots expérimentaux : Note d'information - Environnement -Santé-Risque n° 4

    Le guide méthodologique « Acceptabilité de matériaux alternatifs en technique routière – Évaluation environnementale » (Sétra, mars 2011) fournit une démarche d’évaluation de l’acceptabilité environnementale de matériaux alternatifs élaborés à partir de déchets et destinés à être utilisés en technique routière. La caractérisation environnementale repose sur trois niveaux d’investigations. Ils permettent de graduer l’effort de démonstration en fonction du risque que présentent les matériaux concernés, vis-à-vis de l’environnement. Afin de poursuivre l’aide à la mise en œuvre du niveau 3 de caractérisation environnementale, il est prévu de publier ultérieurement un second volet relatif à la définition et à la conduite d’une étude spécifique lorsque les investigations associées reposent sur la réalisation d’essais sur monolithes. 1. Contexte 2. Les essais lysimétriques Objectifs Principes généraux Conception Suivi environnemental 3. Les plots expérimentaux Objectifs Principes généraux Conception Suivi environnemental 4. Présentation et exploitation des résultats Présentation des résultats Exploitation des résultats 5. Bibliographie 6. Glossaire et abréviations
  10. Edition (Ceremadoc) Acceptabilité de matériaux alternatifs en technique routière - Evaluation environnementale

    Le présent guide méthodologique vise à fournir une démarche d’évaluation de l’acceptabilité environnementale de matériaux alternatifs élaborés à partir de déchets et destinés à être utilisés en technique routière. Dans la première partie sont définis l'objet, le cadre et le champ d'application du guide méthodologique. La deuxième partie établit les étapes de la caractérisation du matériau alternatif ainsi que du déchet dont il est issu et fournit ensuite le déroulement de la démarche d'évaluation environnementale sur l'acceptabilité du matériau. La deuxième partie du guide développe d'abord les étapes de la caractérisation du matériau alternatif et du/des déchets dont il est issu ; Doivent ainsi être renseignées l'origine, la nature et l'historique de ces matériaux (déchets compris), la description au sens large des étapes du processus d'élaboration du matériau alternatif et de ces constituants (comprenant le stockage, lieux de synthèse etc.) ainsi que l'ensemble des caractéristiques sur le mode de valorisation en technique routière. Dans un deuxième temps, la démarche d'évaluation environnementale appliquée aux matériaux alternatifs et routiers est déroulée à travers 5 niveau d'investigation graduant l'effort de démontration en fonction du risque que présentent les matériaux vis-à-vis de l'environnement. Ce guide complète le guide du CFTR : "Valorisation des matériaux locaux" d'octobre 2004. Avant-proposChapitre 1 : Objet, définitions et champ d’application1 - Objet Objet du guide méthodologique Objet des guides d’application 2 - Définitions Matériau alternatif Matériau routier Usage routier 3 - Champ d’application Nature des matériaux alternatifs Nature des usages Chapitre 2: Démarche d’évaluation environnementale1 - Introduction 2 - Présentation de la démarche d’évaluation Etape 1: Description du déchet et de son gisement Etape 2: Description du matériau alternatif, du matériau routier et de l’usage routier envisagé Etape 3: Caractérisation environnementale du matériau alternatif et du matériau routier 3 - Contenu d’un guide d’applicationAnnexes1 - Acronymes 2 - Règles d’organisation pour la constitution des échantillons Introduction Règles générales Positionnement initial d’un gisement produit de manière discontinue Contrôle de conformité d’un gisement produit de manière discontinue 3 - Valeurs limites associées à la caractérisation environnementale de niveau 1 4 - Valeurs limites associées à la caractérisation environnementale de niveau 25 - Principes de la modélisation employéeBibliographie
  11. Edition (Ceremadoc) Acceptabilité environnementale de matériaux alternatifs en technique routière - Les cendres de centrale thermique au charbon pulvérisé

    Chaque année en France, la construction et l’entretien des routes nécessitent environ 200 millions de tonnes de granulats naturels. Dans le même temps, des quantités importantes de déchets minéraux sont générées par le secteur de l’industrie, et constituent, potentiellement, un moyen de préserver les ressources naturelles en offrant un gisement intéressant pour l’élaboration de matériaux alternatifs. Le recours à des matériaux alternatifs en technique routière doit s’appuyer sur leurs caractéristiques mécaniques et géotechniques, ainsi que sur leur absence d’impact environnemental. Le Ministère chargé de l’Environnement a développé une méthodologie permettant d’évaluer les caractéristiques environnementales de ces matériaux qui a été publiée en mars 2011. L’objectif du présent guide d’application est de favoriser le recyclage des cendres de centrale thermique au charbon pulvérisé en indiquant à leurs producteurs les conditions dans lesquelles ils peuvent les recycler sans mettre en danger la santé humaine et sans nuire à l’environnement. Il permet également de guider les services de l’État pour fixer des critères de recyclage dans les autorisations administratives des installations concernées. Avant-propos 1 - Introduction, objet et définitions Introduction Objet Définitions 2 - Description du gisement, des matériaux fabriqués et principaux usages Les cendres de charbon Élaboration des matériaux alternatifs et routiers Principaux usages 3 - Domaines d’emploi et limitations d’usage Usages routiers pris en compte Limitations d’usage 4 - Assurance Qualité environnementale Contrôle lié à la caractérisation environnementale des matériaux alternatifs Périodicité des contrôles Stockage et gestion des stocks Traçabilité et organisation de la Qualité Annexes Annexe 1 - Liste de normes et guides concernant différents types d’utilisation Annexe 2 - Référentiel de conformité environnementale Annexe 3 - Prescriptions pour les prélèvements et la préparation des échantillons Annexe 4 - Prescriptions pour les laboratoires d’essai Annexe 5 - Fiche d’information Annexe 6 - Acronymes Bibliographie
  12. Edition (Ceremadoc) Acceptabilité environnementale de matériaux alternatifs en technique routière - Les laitiers sidérurgiques

    L’objectif du présent guide d’application est de favoriser le recyclage des laitiers sidérurgiques en indiquant aux producteurs de laitiers sidérurgiques les conditions dans lesquelles ils peuvent les valoriser sans mettre en danger la santé humaine et sans nuire à l’environnement. Il sera également un guide pour les services de l’Etat pour fixer des critères de valorisation dans les arrêtés préfectoraux d’autorisation des installations sidérurgiques. Par ailleurs, le présent guide d’application vise à fournir aux maîtres d’ouvrage et aux maîtres d’oeuvre, publics et privés, ainsi qu’aux entreprises, les prescriptions et exigences opérationnelles relatives à l’acceptabilité environnementale des matériaux alternatifs fabriqués à partir de laitiers sidérurgiques, et destinés à être utilisés en technique routière. Ces spécifications doivent ainsi permettre aux maîtres d’ouvrage et aux maîtres d’oeuvre d’élaborer des cahiers des charges de projets ou d’analyser les variantes proposées dans le cadre d’appels d’offres. Le contenu de ce guide s’inscrit résolument dans une démarche de promotion de l’utilisation de matériaux alternatifs en technique routière sur tout le territoire national, dans des conditions environnementales maîtrisées. En ce sens, il répond aux objectifs communautaires en matière de valorisation des déchets, ainsi que de réduction de leur stockage. Avant-propos Introduction, objet et définitions Description du gisement et des matériaux fabriqués Domaines d’emploi et limitations d’usage Assurance de la qualité environnementale Annexes Annexe A : critères environnementaux à respecter pour la valorisation des laitiers sidérurgiques en technique routière Annexe B : prescriptions pour les laboratoires d’essai Annexe C : procédure d’échantillonnage des laitiers sidérurgiques Annexe D : documentation qualité permettant d’assurer la traçabilité et la qualité environnementale des matériaux fabriqués Annexe E : exemple de fiche technique produit des matériaux fabriqués Annexe F : acronymes Bibliographie
  13. Edition (Ceremadoc) Acceptabilité environnementale de matériaux alternatifs en technique routière - Les mâchefers d'incinération de déchets non dangereux (MIDND)

    L’objectif du présent guide d’application est de favoriser le recyclage des mâchefers d’incinération de déchets non dangereux. Il décline les principes définis par l’arrêté du 18 novembre 2011 relatif au recyclage en technique routière des mâchefers d’incinération de déchets non dangereux. Le présent guide d’application vise à fournir aux maîtres d’ouvrage et aux maîtres d’oeuvre, publics et privés, ainsi qu’aux entreprises, les prescriptions et exigences opérationnelles relatives à l’acceptabilité environnementale des matériaux alternatifs fabriqués à partir de mâchefers d’incinération de déchets non dangereux, et destinés à être utilisés en technique routière. Ces spécifications doivent ainsi permettre aux maîtres d’ouvrage et aux maîtres d’oeuvre d’élaborer des cahiers des charges de projets ou d’analyser les variantes proposées dans le cadre d’appels d’offres. Le contenu de ce guide s’inscrit résolument dans une démarche de promotion de l’utilisation de matériaux alternatifs en technique routière sur tout le territoire national, dans des conditions environnementales maîtrisées. En ce sens, il répond aux objectifs communautaires en matière de valorisation des déchets, ainsi que de réduction de leur stockage. Avant-propos1 - objet, définitions et aspect contractuel objet Définitions Aspect contractuel 2 - Du mâchefer à la grave de mâchefer Gisement et caractéristiques des mâchefers Elaboration du matériau alternatif Le processus de préparation des graves de mâchefer Caractéristiques géotechniques de la grave de mâchefer Localisation des IME 3 - Domaines d’emploi et limitation d’usage Nature des usages routiers Référentiels d’utilisation / Normes / Guides Limitations d’usage de l’arrêté du 18 novembre 2011 4 - procédure d’assurance qualité et traçabilité Approvisionnement des MIDND Réception des MIDND planification Exploitation du gisement : maturation et traitement mécanique Stockage et gestion des stocks Contrôles Traitement des écarts Traçabilité en sortie d’IME Annexes Annexe 1 : critères de recyclage liés à la teneur intrinsèque en éléments polluants et au comportement à la lixiviation Annexe 2 : fiches d’emploi des graves de mâchefer Annexe 3 : exemple de fiche de recommandations et de suivi des graves de mâchefer Annexe 4 : exemples de document technique des graves de mâchefer Annexe 5 : exemple de fiche de classement environnemental d’un lot de mâchefer élaboré 38 Annexe 6 : prescriptions pour les prélèvements et la préparation des échantillons Annexe 7 : prescriptions pour les laboratoires d’essais Annexe 8 : liste des acronymes Bibliographie
  14. Edition (Ceremadoc) Acceptabilité environnementale de matériaux alternatifs en technique routière - Les matériaux de déconstruction issus du BTP

    Chaque année en France, la construction et l’entretien des routes nécessitent environ 200 millions de tonnes de granulats naturels. Dans le même temps, des quantités importantes de déchets minéraux sont générées par le secteur du BTP et de l’industrie, et constituent, potentiellement, un moyen de préserver les ressources naturelles en offrant un gisement intéressant pour l’élaboration de matériaux alternatifs. Toutefois, le recours à des matériaux alternatifs en technique routière ne pouvant se limiter à la seule vérification de leurs caractéristiques mécaniques et géotechniques, le Ministère en charge l’Écologie, du Développement Durable et de l’Énergie (MEDDE) a développé une méthodologie permettant d’évaluer les caractéristiques environnementales de ces matériaux qui a été publiée en mars 2011. L’objectif du présent guide d’application est de favoriser le recyclage des matériaux de déconstruction du BTP en indiquant à leurs producteurs les conditions dans lesquelles ils peuvent les recycler sans mettre en danger la santé humaine et sans nuire à l’environnement. Il permet également de guider les services de l’État pour fixer des critères de recyclage dans les autorisations administratives des installations concernées. Avant-propos Introduction, objet et définitions Introduction Objet Définitions Description du gisement et des matériaux fabriqués Les matériaux de déconstruction issus du BT Élaboration des matériaux alternatifs et routiers Domaines d’emplois et limitations d’usage Usages routiers pris en compte Limitations d’usage Assurance Qualité environnementale Contrôle lié à la caractérisation environnementale des matériaux alternatifs Périodicité des contrôles Stockage et gestion des stocks La traçabilité et organisation de la qualité Annexes Annexe 1 - Liste des références techniques Annexe 2 - Référentiel de conformité environnementale Annexe 3 - Prescriptions pour les prélèvements et la préparation des échantillons Annexe 4 - Prescriptions pour les laboratoires d’essai Annexe 5 - Fiche d’information Acronymes Bibliographie
  15. Edition (Ceremadoc) Acceptability of alternative materials in road construction : Environmental assessment = Acceptabilité des matériaux alternatifs en construction routière

    The present methodological guide is intended to provide an approach to assessing the environmental acceptability of alternative materials manufactured from waste and intended for road construction usage. It applies to alternative materials, whose usefulness for road construction applications has been previously justified to ensure that the road does not become a substitute for disposal to landfill. This methodological guide is mainly intended for civil engineering professionals and industrial organisations wishing to study the possibilities of recycling the waste materials they possess or produce through road construction applications. In relation to alternative material sources from which experience feedback is convincing, this methodological guide has been broken down into more operational application guides, mainly intended for Prime Contractors, whose aim is to provide a solid reference frame on which technical personnel can base project design or analysis of alternatives proposed within a tender invitation framework. Reference to the assessment approach provided in this methodological guide is therefore of no help for alternative materials covered by an application guide. In such cases, the instructions given in relevant application guide should be directly followed. This methodological guide and its associated application guides are wholly embraced by an approach that promotes alternative material usage in road construction under controlled environmental conditions. Foreword Section 1: Purpose, Definitions and Scope Purpose Definitions Scope Section 2: Environmental Assessment Approach Introduction Description of Assessment Approach Application Guide Content Appendices Acronyms Organisational Rules for Composing Samples Limit Values associated with Level 1 Environmental Characterisation Limit Values associated with Level 2 Environmental Characterisation Modelling Principles Applied Bibliography
  16. Study report (Ceremadoc) Accidentalité domicile-travail et choix modal

    L’accidentalité routière dans le cadre des trajets domicile-travail représente un enjeu de sécurité routière (11% des personnes tuées sur les routes entre 2013 et 2014). Les politiques publiques visent à favoriser des moyens de transports alternatifs à la voiture particulière notamment dans les trajets domicile-travail. Favoriser ces modes diminue-t-il l’insécurité routière ou au minimum ne l’augmente-t-elle pas?L’objectif de cette étude est de répondre à cette question; elle est basée sur l’analyse des accidents du fichier national des bulletins d’analyse des accidents corporels de la circulation (BAAC) sur la période 2013-2014.L’étude montre que le choix modal influence fortement l’accidentalité dans le cadre des trajets domicile-travail.Le train et les transports collectifs apparaissent comme très sûrs. La voiture particulière est sûre par rapport à la fréquence de son usage. La marche est un mode de transport peu accidentogène par rapport à la fréquence de son usage. L’usage de la bicyclette entraîne un sur-risque d’accident par rapport à la fréquence de son usage (rapport de 4,6à 1 par rapport à la voiture). Toutefois, ce sur-risque est à mettre en balance avec les gains obtenus en termes de santé résultant, dans la pratique, d’une activité quotidienne.L’usage du deux-roues motorisé (2RM) est fortement accidentogène (rapport de 25,6 à 1par rapport à la voiture). La sur-accidentalité masculine semble provenir du choix modal. En revanche, chez les jeunes de 18 à 24 ans, la sur-accidentalité semble combiner le choix modal (davantage de2RM) et un sur-risque d’accidents en particulier pour les 2RM et la voiture.Des compléments d’étude sont nécessaires pour mieux connaître l’accidentalité vélo et2RM, notamment en agglomération où les accidents sont plus nombreux. Une analyse spécifique de la base accident devra être mise en oeuvre pour traiter le thème du covoiturage.
  17. Study report (Ceremadoc) Accidentalité et classes d'âges. Analyse des données 2011-2013 du fichier BAAC

    L’Observatoire national interministériel de la sécurité routière (ONISR) est un organisme interministériel français, créé pour assurer, en matière de sécurité routière, la collecte, la mise en forme, l'interprétation et la diffusion des données statistiques nationales et internationales, le suivi des études, et l’évaluation des nouvelles mesures de sécurité prises ou envisagées. Les données de sécurité sont diffusées en utilisant des classes d’âge fixes, ce qui permet notamment de comparer les résultats d’une publication à une autre. L’accidentalité et les pratiques de déplacement ayant évolué, il convient de vérifier que ces classes d’âges sont toujours cohérentes. Aujourd’hui, l’ONISR sollicite le CEREMA pour réaliser une étude dont l’objectif est de vérifier dans son ensemble le découpage des classes d’âges. Actuellement le découpage est effectué comme suit : 0-14 ans, 15-17 ans, 18-24 ans, 25-44 ans, 45-64 ans, 65-74 ans, 75 ans et plus. Si la coupure à 18 ans parait évidente en raison de l’accès à la conduite d’un véhicule léger, il n’en est pas forcément de même pour les autres coupures. Le but est d’avoir des catégories d’âge : - avec la plus grande homogénéité en interne à la classe d'âge ; - avec des différences entre les classes.
  18. Edition (Ceremadoc) Accotement (L') - Savoirs et savoir-faire

    La série de fiches "Savoirs de Base en sécurité routière" a été réalisée dans le cadre de la démarche MPSR "Management et Pratiques de Sécurité Routière". Cette série a pour seule vocation de constituer un recueil d'expériences. Ces fiches ont été réalisées dans un contexte précis et ne peuvent être reproduites sans précaution.
  19. Study report (Ceremadoc) Accueil et transport des croisiéristes en escale - Retour d’expériences

    Cette étude s’inscrit dans le cadre d’une analyse plus générale des interactions entre les systèmes de transport et l’attractivité touristique de la France, qui fait suite à la publication de trois rapports ministériels en 2015 soulignant l’importance des transports et de leur qualité dans l’accueil touristique.
  20. Edition (Ceremadoc) Aciers autopatinables - Recommandations pour leur utilisation en structure des ponts et passerelles : Note d'information - Ouvrages d'art n°2

    Par rapport à l'acier classique, l'acier autopatinable, ou acier à résistance améliorée à la corrosion atmosphérique, présente l'avantage de ne pas nécessiter l'application d'un système de protection anticorrosion car il possède la particularité de se couvrir d'une couche de patine qui le protège de la corrosion. La formation d'une patine efficace nécessite cependant l'application de certaines règles de conception, de mise en œuvre et d'inspection. Cet acier a fait son apparition à la fin des années 1960 dans les ouvrages d'art mais son développement est resté limité jusqu'au début des années 2000 où, grâce à une meilleure prise en compte du développement durable dans les projets, les utilisateurs lui portent un intérêt grandissant. Avant-propos 1. Portée de la Note d’Information 2. Principales modifications apportées à la circulaire de 1985 3. Environnement de l’ouvrage 4. Conception de l’ouvrage 5. Approvisionnement matière 6. Exécution de la structure 7. Traitement de surface 8.Transport et mise en place in-situ 9. Inspection Détaillée Initiale 10. Entretien 11. Inspection détaillée périodique 12. Mesure directe de l’efficacité de la patine 13. Documents de référence
  21. Edition (Ceremadoc) Aciers autopatinables - Recommandations pour leur utilisation en structure des tabliers des ponts et passerelles : Note d'information - Ouvrages d’art n° 02 - Édition 2023

    Apparu à la fin des années 1960 dans les ouvrages d’art, l’acier autopatinable fait l’objet d’un réel engouement depuis une vingtaine d’années du fait de ses avantages. En effet, l’absence de peinture limite ou supprime les contraintes de mise en oeuvre, les coûts de maintenance ainsi que la production de déchets liés à la protection anticorrosion des ouvrages. Ceci explique le développement de son utilisation dans la conception des ouvrages d’art en France depuis les années 2000. L’emploi de cet acier dans les ouvrages d’art nécessite cependant le respect de règles strictes concernant la conception et la mise en oeuvre afin d’assurer la formation d’une patine protégeant efficacement l’acier. Le comportement vis-à-vis de la corrosion doit par ailleurs être suivi par des inspecteurs ayant des connaissances et une expérience de ce matériau. La note d’information n° 2 parue en 2015 est mise à jour pour intégrer les apports suivants : des recommandations relatives à la prise en compte de la fatigue dans les ouvrages afin de garantir leur pérennité ; la mise à jour du corpus normatif concernant les aciers autopatinables ; des précisions sur l’environnement des ouvrages, leur conception, leur exécution et l’inspection. La présente note s’appuie sur la norme matériaux NF EN 10025-5:2019, la norme d’exécution des structures métalliques NF EN 1090-2:2018, la norme de conception NF EN 1993 (en particulier sa partie 1-9:2005 pour le calcul à la fatigue) ainsi que sur les retours d’expérience acquis par toute la profession sur le sujet. Elle détaille les préconisations de conception, de mise en oeuvre ainsi que d’inspection des tabliers de ponts et passerelles en acier autopatinable. Elle est établie à partir des connaissances disponibles sur le sujet à sa date de parution.
  22. Edition (Ceremadoc) ACSARE - Aide aux choix des solutions d'assainissement des routes existantes

    Ce document traite des ouvrages longitudinaux d'assainissement dans le cadre d'un programme de renforcement, de remise en état et d'entretien.Il comprend : un outil pédagogique devant permettre d'aboutir, à partir de critères caractérisant la route et son environnement, au choix d'une solution d'assainissement et de drainage, un outil opérationnel composé d'arbres décisionnels sous forme d'organigramme (mode d'utilisation graphique avec un module informatique), un catalogue d'ouvrages.
  23. Calendar event Ademe & PEXE - Rencontre Ecotech Territoires en transition & éco-PME d’IDF 2023

    Rencontre Territoires en transition & éco-PME d'Île-de-France Le 6 juin 2023 de 9h à 14h à l’auditorium de l’Ademe IDF Siège de l’ADEME IDF Organisée par le PEXE et l’ADEME, la Rencontre Territoires en transition et PME d’IDF réunit depuis 5 ans les territoires engagés dans la transition écologique et énergétique et l’économie circulaire et les éco-entreprises porteuses de solutions concrètes pour les accompagner. Au programme : - Actualités et opportunités territoriales pour la transition écologique, énergétique et l'économie circulaire - Des retours d'expérience présentés en binôme par un territoire et une éco-entreprise de projets réalisés en IDF en matière d'aménagement durable avec un focus sur les thèmes biodiversité, eau, sols et sobriété énergétique. - Des moments d'échanges entre participants lors des pauses et le déjeuner networking Plus d'informations et inscription ICI
  24. Calendar event Ademe | Colloque Pollution de l’Air en Ville

    L’Ademe et le Ministère de la Transition Ecologique et solidaire organisent un colloque de restitution de leurs travaux sur la pollution de l'air en ville : de nouveles connaissances pour limiter les émissions et les expositions (issus du programme PRIMEQUAL, mais aussi AACT-AIR et DIQACC) le mardi 26 septembre 2023 à Paris. Plus d'informations et inscription : ICI
  25. Calendar event Ademe | Rencontre thématique réseau A3P : L'Économie de la Fonctionnalité et de la Coopération

    Rencontre thématique réseau A3P : L'Économie de la Fonctionnalité et de la Coopération : une alternative pour la Transition des territoires Le modèle économique existant a montré ses limites. Au-delà du constat et des critiques, il est urgent d’inventer de nouvelles formes d’activités humaines reposant sur une moindre consommation de ressources matérielles et une coopération accrue entre les individus et les organisations. Objectifs de formation - Appréhender les modèles économiques en émergence dans une perspective de développement durable, - Découvrir le concept d'économie de la fonctionnalité et de la coopération et ses déclinaisons territoriales, - Vous donner la capacité d'engager des projets économiques durables en s'appuyant sur l'économie de la fonctionnalité et de la coopération. Programme Séquence 1 : Transition vers un nouveau modèle de développement du territoire : - A quels enjeux sommes-nous confrontés ? - 5 clés pour agir Séquence 2 : Témoignages sur des approches centrées sur la valeur, les usages et la coopération Séquence 3 : S’approprier les clés pour agir et les modalités d’intervention Séquence 4 : Passer à l’action sur les territoires ; s’accorder ensemble, élus et techniciens, sur les premières actions à engager Séquence 5 : Collectivités locales et ADEME, comment agir ensemble ? Inscription ici
  26. Calendar event Ademe | Sensibilisation régionale à la géothermie de surface, une énergie renouvelable et rentable

    Vous êtes engagés dans la transition énergétique et souhaitez mettre en œuvre une politique Climat Air Énergie ambitieuse sur votre territoire ? Vous souhaitez également maitriser vos factures d'énergie ? L'Ademe vous convie à une matinée sur la géothermie de surface comme outil à fort potentiel sur le territoire francilien. À l'hémicycle du conseil régional d'Île-de-France de 9:30 à 13:00 Programme et inscription ici
  27. Calendar event Ademe | Webinaire Valorisation plastique, biodéchets et friches

    L'Ademe vous propose un webinaire de présentation des dispositifs « Réemploi des emballages et recyclage du plastique », « Tri à la source et valorisation des biodéchets », et « Recyclage des Friches » de France 2030 et des Fonds Vert et Economie circulaire. La Direction régionale Ile-de-France de l'ADEME poursuit son soutien aux acteurs du territoire francilien et présente ses dispositifs d'accompagnement des entreprises et des collectivités dans la transition écologique à l'occasion d'un webinaire le 23 mars de 16h00 à 17h00. Pour plus d'information : Programme (ademe.fr) Inscription ici
  28. Study report (Ceremadoc) Adhérence des chaussées en zone urbaine. Expérimentation sur la MEL.

    Ce rapport, destiné aux services des espaces publics et voiries de la Métropole Européenne de Lille (MEL). Il peut aussi intéresser les autorités en charge du territoire et ville, qui cherchent à donner des clés pour appréhender et caractériser l'adhérence des chaussées routières rencontrées en milieu urbain. Dans cette optique, une étude expérimentales a été menée sur la Métropole Européenne de Lille. Cette étude permet d'apporter d'une part, des éléments de réponses aux questions posées par les gestionnaires des villes et métropoles, en l'occurence sur le besoin d'adhérence en zone urbaine, moyens et méthode d'évaluation de l'adhérence des chaussées urbaines. Pour y parvenir il est nécessaire de commencer par caractériser l'adhérence des chaussées urbaines.
  29. Edition (Ceremadoc) Adhérence des revêtements pour des cheminements piétons confortables et sûrs

    Dans un contexte de promotion des modes actifs, les espaces dédiés aux piétons ou aux cyclistes se développent : larges trottoirs, parvis et places, aires piétonnes, zones de rencontre, etc. Ils doivent répondre à des exigences qualitatives (espaces conviviaux et agréables) et fonctionnelles, telles que la sécurité, le confort et l’adhérence. Ainsi, la glissance des revêtements des espaces publics fréquentés par les piétons concerne de plus en plus de collectivités territoriales. Les fonctions de l’adhérence sont multiples : impératif de sécurité, de confort ou encore vecteur d’information pour les personnes visuellement déficientes. Au risque sinon d’engendrer des coûts importants pour traiter des situations dangereuses ou inconfortables, la glissance doit être prise en compte dans les projets d’aménagement dès les premières esquisses et réflexions sur le choix des matériaux. Quels enjeux pour la société ? Notions techniques préalables Les obligations réglementaires L’évaluation de l’adhérence in situ : appareils, mesure et seuils Recommandations d’emploi de différents matériaux Retour sur quelques bonnes pratiques Conclusion : quelques recommandations
  30. Study report (Ceremadoc) Affaissement station rue Wormhout à Marquette. Mission G1 : Etude géotechnique préalable.

    A la demande de la Métropole Européeenne de Lille (MEL)\ UTML, le Cerema Nord-Picardie, département Risques et Développement des Territoires, a réalisé une étude géotechnique préalable concernant les désordres apparus au niveau de la rue Wormhout à Marquette Les-Lille (59). La suite de ce rapport est organisée en quatre parties : * La première partie décrit la problèmatique de l'étude. * La deuxième partie présente les reconnaissances mises en oeuvre. * La troisième partie et dernière partie propose des solutions de confortement de l'ouvrage et du site. La présente étude correspond à une mission G5 au titre de la norme NF P94-500 de novembre 2013.
  31. Article (Ceremadoc) Agir sur l’infrastructure pour favoriser une conduite adaptée

    Le concept de « Route autrement pour une conduite adaptée » s’inscrit dans une démarche volontariste pour lutter contre l’insécurité routière. L’objectif est d’agir sur l’infrastructure elle-même et son environnement afin d’inciter les usagers de la route à adapter naturellement leur comportement.
  32. Edition (Ceremadoc) Agrément des laboratoires routiers - Agrément laboroute : Note d'Information - Chaussées Dépendances - Série(CD)

    Des entreprises routières et des organismes publics ou privés disposent de laboratoire qui leur permettent d'effectuer :- des études de formulation et de caractérisation des produits ;- des contrôles de fourniture, de fabrication, de mise en oeuvre et de réception pour les travaux routiers.Cette note a pour objectifs :- de préciser les conditions d'attribution et d'utilisation de l'agrément des laboratoires routiers ;- de publier les noms des laboratoires routiers bénéficiaires de cet agrément au 29 novembre 1999.L'agrément préalable à l'accréditation est un élément d'appréciation du Schéma Organisationnel du Plan d'Assurance Qualité (SOPAQ) de l'entreprise routière pour préciser la capacité de son laboratoire à effectuer des essais de qualité.
  33. Edition (Ceremadoc) Aide à la passation de marchés d'entretien courant et de petites opérations d'entretien spécialisé pour les ouvrages d'art CCTP et BPU types

    Du fait de l’évolution de la réglementation, des techniques et des produits de réparation, la rédaction de pièces écrites de qualité et actualisées relatives aux travaux sur ouvrages existants ne peut se faire qu’au prix d’un investissement en temps très lourd. Les présentes pièces écrites types couvrent le champs des travaux d’entretien courant et de petit entretien spécialisé des ouvrages d’art qui sont le plus souvent traités par des marchés à bons de commande. Ces pièces écrites types sont complémentaires au logiciel PETRA du Sétra qui traite les travaux de réparation.
  34. Edition (Ceremadoc) Aide au choix des techniques d'entretien des couches de surface des chaussées : Guide technique.

    Ce document a pour objectif de permettre aux gestionnaires des réseaux routiers de choisir les techniques les plus appropriées pour l'entretien des couches de surface. Il actualise, pour le volet travaux, le guide "ACSE - Aide au Choix des Solutions d'Entretien" publié en 1990.Ce guide est constitué : D'une notice d'utilisation qui présente les principales étapes du processus conduisant au choix d'une technique d'entretien. D'un jeu de fiches précisant, pour chacune des techniques : enduit superficiel d'usure ; enrobé coulé à froid ; béton bitumineux ultra-mince ; béton bitumineux très mince ; béton bitumineux drainant ; béton bitumineux mince ; béton bitumineux semi grenu ou béton bitumineux à module élevé ; le domaine d'emploi, les caractéristiques de composition, de fabrication et de mise en oeuvre, les performances attendues et les possibilités d'association avec d'autres techniques.Trois procédés d'entretien font également l'objet de fiches (régénération de l'adhérence, systèmes retardant la remontée des fissures transversales de retrait hydraulique, recyclage). D'un tableau comparatif regroupant les avantages et inconvénients des différentes techniques présentées. Introduction Objectifs du guide Acte Domaine d'application Articulation du document La démarche d'emploi du guide Généralités Caractéristiques spécifiques des sections Techniques concernées Les fiches synthétiques des techniques d'entretien Le tableau comparatif des techniques Définition Constitution du tableau Critères de performances Choix de la solution d'entretien Annexes Règles de notation Glossaire Références bibliographiques Fiches synthétiques Performances comparées des différentes techniques
  35. Study report (Ceremadoc) Aires piétonnes : Faut-il en contrôler l’accès par les véhicules motorisés ? Comment ?

    La marche a le vent en poupe. Après une longue période de vents contraires, il semble que nous en redécouvrions toutes les vertus. Il est plutôt rare que ce qui est bon poursoi, s’il était généralisé à la collectivité tout entière, soit bon pour celle-ci. Or la marche possède ce précieux atout. Marcher est bon, et même excellent, pour sa propre santé – et, par conséquent, pour les comptes de la sécurité sociale. Et, si nous parlons déplacements et émissions de gaz à effet de serre, il n’y a évidemment pas mieux ! Pour favoriser l’exercice de la marche, les leviers sont nombreux, parmi lesquels l’aménagement propice de l’espace public. Dès le début des années 1970 sont apparus des espaces consacrés aux piétons: les aires piétonnes. Dans la pratique, les véhicules motorisés liés à la desserte peuvent y circuler et s’y arrêter, sous certaines conditions(d’horaires, de vitesse, etc.). La question du contrôle de l’accès à ces aires est donc de première importance si l’on ne souhaite pas voir se développer et s’installer des pratiques dommageables pour les piétons.Nous avons donc réalisé plusieurs monographies en France et à Padoue (Italie).
  36. Edition (Ceremadoc) Altération du béton en site maritime

    Objet de l’étude : le document traite des différentes altérations du béton en site maritime. Contexte : l’environnement maritime est extrêmement agressif pour le béton, et particulièrement le béton armé. Méthode : les principales altérations du béton en site maritime et leurs causes sont présentées dans le texte principale. Les annexes permettent au lecteur d’approfondir leurs connaissances sur la corrosion des armatures, les techniques d’investigation et l’évolution des caractéristiques des bétons depuis le dix-neuvième siècle. Résultats : le document est destiné aux praticiens qui souhaitent approfondir leurs connaissances sur les altérations du béton en site maritime, leurs causes, leurs processus et leur développement. Il met à leur disposition également des fiches sur les techniques d’investigation et une bibliographie francophone complète sur le sujet. 1. L'environnement maritime 1.1 L'agressivité physico-chimique de l'eau de mer 1.2 L'action mécanique de la mer 1.3 L'exploitation des infrastructures 2. Les principales manifestations des altérations du béton en site maritime3. Les causes d'altération du béton en site maritime 3.1 La corrosion des armatures 3.1.1 Le processus 3.1.2 Détermination de l'avancement du phénomène de corrosion 3.1.3 Prédiction de la durée d'initiation de la corrosion des armatures 3.2 Les agressions chimiques sur le béton seul 3.3 Les sollicitations mécaniques 4. Annexes 4.1 Annexe 1 : Zones d'exposition du béton 4.2 Annexe 2 : Étapes du processus de corrosion des armatures 4.3 Annexe 3 : Processus de corrosion des armatures – Sélection des techniques d'investigation 4.4 Annexe 4 : Calcul de la durée de vie résiduelle d'un ouvrage en béton armé dont le béton d'enrobage contient des chlorures provenant de l'eau de mer 4.5 Annexe 5 : Techniques d'investigation 4.6 Annexe 6 : Évolution dans l'histoire des caractéristiques des bétons 5. Bibliographie 6. Index
  37. Calendar event ALV & AREC | Décret Éco Énergie Tertiaire : Audit et financement

    Je m’inscris Vous pouvez participer à cette conférence du Grand Circuit : en présentiel ➞ à l’adresse Les 2 Pianos, 136 Rue de Lourmel, 75015 Paris ou en visio-conférence ➞ Les informations de connexion sont communiquées à la suite de l’inscription L’inscription est gratuite et obligatoire Objectifs comprendre les enjeux de l’audit énergétique et les spécificités pour les bâtiments publics et privés du parc tertiaire s’informer sur les solutions techniques réussir ses objectifs de performance et de sobriété énergétique afin de répondre aux réglementations (Décret Tertiaire) échanger en direct avec les experts sur votre projet Public concerné : Collectivités locales, gestionnaires de bureaux, entreprises, maitres d’ouvrage publics et privés, bureaux d’études, architectes… Contexte Depuis 2019, le Décret « Éco Énergie Tertiaire », ou « Décret Tertiaire », impose une réduction des consommations d’énergie des bâtiments tertiaires de plus de 1 000 m2. L’objectif réglementaire peut être défini par deux méthodes : une méthode en valeur absolue, définie selon le type d’activité ; ou une méthode en valeur relative, définie par rapport à une année de référence choisie par l’assujetti et visant une baisse de 40 % en 2030, de 50 % en 2040 et de 60 % en 2050. En plus de dresser un état des lieux de la consommation énergétique d’un bâtiment, l’audit énergétique permet l’identification et la qualification des opportunités d’amélioration de la performance énergétique. Détaillant chaque coût potentiel, l’audit énergétique offre également une vision de retour sur investissement réalisé grâce à la conduite des travaux ou à l’installation d’équipements de suivi de la consommation. L’audit et sa méthodologie sont encadrés par la norme européenne EN 16247. Plus d'informations au lien suivant : amelioronslaville
  38. Edition (Ceremadoc) Amélioration de l'adhérence au jeune âge - Procédé de micro-incrustation : Note d'Information - Chaussées Dépendances - Série(CD)

    Le niveau d'adhérence au jeune âge des bétons bitumineux drainants et des bétons bitumineux très minces à forte discontinuité peut parfois se révéler faible à basse vitesse. L'adhérence peut cependant être améliorée lors de la mise en oeuvre de l'enrobé bitumineux grâce au procédé de micro-incrustation. Cette note d'information a pour objectif de promouvoir ce procédé et d'inciter les maîtres d'ouvrage à l'utiliser.Elle expose le principe de la micro-incrustation avant d'étudier les tests de faisabilité, puis le passage au stade industriel. Principe Tests de faisablité Passage au stade industriel Conclusion Références bibliographiques
  39. Edition (Ceremadoc) Amélioration de la sécurité aux passages à niveau - Adaptation de l'infrastructure et de la signalisation routière : Note d'Information - Circulation Sécurité Équipement Exploitation - Série(CSEE)

    Cette note a pour objectif de proposer aux gestionnaires routiers et ferroviaires des améliorations de l’infrastructure et de la signalisation routière aux abords des passages à niveau (PN) et les informations à recueillir dans le cadre d’un diagnostic de sécurité des passages à niveau. Elle intègre les connaissances actuelles en matière d’accidentologie avérées aux PN, de comportement des usagers et les résultats des différentes expérimentations réalisées dans le domaine routier. Une grille d’analyse, accompagnée de son mode opératoire, sur laquelle s’appuyer pour réaliser les diagnostics de sécurité des passages à niveau est intégrée au format Word dans le PDF. Introduction Synthèse de l’accidentologie aux PN Vitesse d’approche et passage en chicane Visibilité / lisibilité du PN Géométrie du PN Remontée de file Conclusion Bibliographie
  40. Study report (Ceremadoc) Amélioration de la sécurité des usagers vulnérables : 2 fiches. Version intégrale

    Avec le décret 2010-1390 du 12 novembre 2010 Le 18 avril 2006, le ministre des Transports lançait la démarche « code de la rue » à laquelle participent les associations d'élus, de professionnels, et d'usagers. Cette démarche vise à faire mieux connaître la réglementation actuelle du code de la route en milieu urbain ainsi qu'à faire évoluer ce code pour tenir compte de l'évolution des pratiques de l'espace public. Elle vise à renforcer la sécurité des usagers vulnérables et tend également à promouvoir l'usage des modes doux. Ceci s'est traduit concrètement par un premier décret 2008-754 du 30 juillet 2008, qui a introduit le principe de prudence du plus fort vis-à-vis du plus vulnérable, la zone de rencontre, a précisé les règles relatives aux zones 30 et aux aires piétonnes et a généralisé le double sens cyclable dans les rues à sens unique des zones de rencontre et des zones 30. De nouvelles avancées dans le décret 2010-1390 du 12 novembre 2010 traduisent concrètement le principe de prudence pour la sécurité des piétons : le piéton est déjà prioritaire dans les aires piétonnes et dans les zones de rencontre, ainsi que lorsqu'il s'engage régulièrement dans une traversée de chaussée. Désormais, tout conducteur est informé qu'il peut aussi avoir à s'arrêter pour laisser passer un piéton qui manifeste son intention de traverser, si les conditions de circulation le permettent (distance du véhicule par rapport au piéton, vitesse du véhicule et visibilité permettant l'arrêt), sous réserve que le piéton se trouve à plus de 50 mètres d'un passage piéton ou au niveau d'un passage piéton non géré par feux. le trottoir est bien un espace dédié aux piétons. Les règles d'usage des trottoirs sont précisées, notamment pour les engins d'entretien et les franchissements. Ces règles traduisent très directement le principe de prudence. En outre, l'aménagement des « trottoirs traversants » gagne une assise réglementaire. divers articles du code de la route sont mis en cohérence avec la priorité du piéton sur l'ensemble de l'espace public dans les zones de rencontre et les aires piétonnes. La présente plaquette a pour objectif de traduire en termes simples les éléments modifiés dans le code de la route, d'en donner une interprétation, et d'illustrer certains concepts nouveaux.
  41. Edition (Ceremadoc) Amélioration de la sécurité des usagers vulnérables (2 fiches) : Amélioration de la sécurité des usagers vulnérables - Présentation

    Décret 2010-1390 du 12 novembre 2010 Le 18 avril 2006, le ministre des Transports lançait la démarche « code de la rue » à laquelle participent les associations d'élus, de professionnels, et d'usagers. Cette démarche vise à faire mieux connaître la réglementation actuelle du code de la route en milieu urbain ainsi qu'à faire évoluer ce code pour tenir compte de l'évolution des pratiques de l'espace public. Elle vise à renforcer la sécurité des usagers vulnérables et tend également à promouvoir l'usage des modes doux. Ceci s'est traduit concrètement par un premier décret 2008-754 du 30 juillet 2008, qui a introduit le principe de prudence du plus fort vis-à-vis du plus vulnérable, la zone de rencontre, a précisé les règles relatives aux zones 30 et aux aires piétonnes et a généralisé le double sens cyclable dans les rues à sens unique des zones de rencontre et des zones 30. De nouvelles avancées dans le décret 2010-1390 du 12 novembre 2010 traduisent concrètement le principe de prudence pour la sécurité des piétons : le piéton est déjà prioritaire dans les aires piétonnes et dans les zones de rencontre, ainsi que lorsqu'il s'engage régulièrement dans une traversée de chaussée. Désormais, tout conducteur est informé qu'il peut aussi avoir à s'arrêter pour laisser passer un piéton qui manifeste son intention de traverser, si les conditions de circulation le permettent (distance du véhicule par rapport au piéton, vitesse du véhicule et visibilité permettant l'arrêt), sous réserve que le piéton se trouve à plus de 50 mètres d'un passage piéton ou au niveau d'un passage piéton non géré par feux. le trottoir est bien un espace dédié aux piétons. Les règles d'usage des trottoirs sont précisées, notamment pour les engins d'entretien et les franchissements. Ces règles traduisent très directement le principe de prudence. En outre, l'aménagement des « trottoirs traversants » gagne une assise réglementaire. divers articles du code de la route sont mis en cohérence avec la priorité du piéton sur l'ensemble de l'espace public dans les zones de rencontre et les aires piétonnes. La présente plaquette a pour objectif de traduire en termes simples les éléments modifiés dans le code de la route, d'en donner une interprétation, et d'illustrer certains concepts nouveaux. Décret 2010-1390 modifié par le décret 2018-795 du 17 septembre 2018 (voir fiche n°1). Sommaire de la fiche n° 1 mise à jour Illustration au travers de cas concrets Les distances d’arrêt selon les types de véhicules : deux-roues motorisés, automobiles, poids-lourds, cars et bus Conséquences et recommandations pour l’aménagement des passages piétons non gérés par feux
  42. Edition (Ceremadoc) Amélioration de la sécurité des usagers vulnérables (2 fiches) : Amélioration de la sécurité des usagers vulnérables. Version Intégrale

    Décret 2010-1390 du 12 novembre 2010 Le 18 avril 2006, le ministre des Transports lançait la démarche « code de la rue » à laquelle participent les associations d'élus, de professionnels, et d'usagers. Cette démarche vise à faire mieux connaître la réglementation actuelle du code de la route en milieu urbain ainsi qu'à faire évoluer ce code pour tenir compte de l'évolution des pratiques de l'espace public. Elle vise à renforcer la sécurité des usagers vulnérables et tend également à promouvoir l'usage des modes doux. Ceci s'est traduit concrètement par un premier décret 2008-754 du 30 juillet 2008, qui a introduit le principe de prudence du plus fort vis-à-vis du plus vulnérable, la zone de rencontre, a précisé les règles relatives aux zones 30 et aux aires piétonnes et a généralisé le double sens cyclable dans les rues à sens unique des zones de rencontre et des zones 30. De nouvelles avancées dans le décret 2010-1390 du 12 novembre 2010 traduisent concrètement le principe de prudence pour la sécurité des piétons : le piéton est déjà prioritaire dans les aires piétonnes et dans les zones de rencontre, ainsi que lorsqu'il s'engage régulièrement dans une traversée de chaussée. Désormais, tout conducteur est informé qu'il peut aussi avoir à s'arrêter pour laisser passer un piéton qui manifeste son intention de traverser, si les conditions de circulation le permettent (distance du véhicule par rapport au piéton, vitesse du véhicule et visibilité permettant l'arrêt), sous réserve que le piéton se trouve à plus de 50 mètres d'un passage piéton ou au niveau d'un passage piéton non géré par feux. le trottoir est bien un espace dédié aux piétons. Les règles d'usage des trottoirs sont précisées, notamment pour les engins d'entretien et les franchissements. Ces règles traduisent très directement le principe de prudence. En outre, l'aménagement des « trottoirs traversants » gagne une assise réglementaire. divers articles du code de la route sont mis en cohérence avec la priorité du piéton sur l'ensemble de l'espace public dans les zones de rencontre et les aires piétonnes. La présente plaquette a pour objectif de traduire en termes simples les éléments modifiés dans le code de la route, d'en donner une interprétation, et d'illustrer certains concepts nouveaux. Décret 2010-1390 modifié par le décret 2018-795 du 17 septembre 2018 (voir fiche n°1). Sommaire de la fiche n° 1 mise à jour Illustration au travers de cas concrets Les distances d’arrêt selon les types de véhicules : deux-roues motorisés, automobiles, poids-lourds, cars et bus Conséquences et recommandations pour l’aménagement des passages piétons non gérés par feux
  43. Edition (Ceremadoc) Amélioration de la sécurité des usagers vulnérables (2 fiches) : Fiche n° 1 : Les traversées des piétons - Modification du décret du 12/11/2010 par le décret du 17/09/2017

    Décret 2010-1390 du 12 novembre 2010 Le 18 avril 2006, le ministre des Transports lançait la démarche « code de la rue » à laquelle participent les associations d'élus, de professionnels, et d'usagers. Cette démarche vise à faire mieux connaître la réglementation actuelle du code de la route en milieu urbain ainsi qu'à faire évoluer ce code pour tenir compte de l'évolution des pratiques de l'espace public. Elle vise à renforcer la sécurité des usagers vulnérables et tend également à promouvoir l'usage des modes doux. Ceci s'est traduit concrètement par un premier décret 2008-754 du 30 juillet 2008, qui a introduit le principe de prudence du plus fort vis-à-vis du plus vulnérable, la zone de rencontre, a précisé les règles relatives aux zones 30 et aux aires piétonnes et a généralisé le double sens cyclable dans les rues à sens unique des zones de rencontre et des zones 30. De nouvelles avancées dans le décret 2010-1390 du 12 novembre 2010 traduisent concrètement le principe de prudence pour la sécurité des piétons : le piéton est déjà prioritaire dans les aires piétonnes et dans les zones de rencontre, ainsi que lorsqu'il s'engage régulièrement dans une traversée de chaussée. Désormais, tout conducteur est informé qu'il peut aussi avoir à s'arrêter pour laisser passer un piéton qui manifeste son intention de traverser, si les conditions de circulation le permettent (distance du véhicule par rapport au piéton, vitesse du véhicule et visibilité permettant l'arrêt), sous réserve que le piéton se trouve à plus de 50 mètres d'un passage piéton ou au niveau d'un passage piéton non géré par feux. le trottoir est bien un espace dédié aux piétons. Les règles d'usage des trottoirs sont précisées, notamment pour les engins d'entretien et les franchissements. Ces règles traduisent très directement le principe de prudence. En outre, l'aménagement des « trottoirs traversants » gagne une assise réglementaire. divers articles du code de la route sont mis en cohérence avec la priorité du piéton sur l'ensemble de l'espace public dans les zones de rencontre et les aires piétonnes. La présente plaquette a pour objectif de traduire en termes simples les éléments modifiés dans le code de la route, d'en donner une interprétation, et d'illustrer certains concepts nouveaux. Décret 2010-1390 modifié par le décret 2018-795 du 17 septembre 2018 (voir fiche n°1). Sommaire de la fiche n° 1 mise à jour Illustration au travers de cas concrets Les distances d’arrêt selon les types de véhicules : deux-roues motorisés, automobiles, poids-lourds, cars et bus Conséquences et recommandations pour l’aménagement des passages piétons non gérés par feux
  44. Edition (Ceremadoc) Amélioration de la sécurité des usagers vulnérables (2 fiches) : Fiche n° 2 - Le trottoir

    Décret 2010-1390 du 12 novembre 2010 Le 18 avril 2006, le ministre des Transports lançait la démarche « code de la rue » à laquelle participent les associations d'élus, de professionnels, et d'usagers. Cette démarche vise à faire mieux connaître la réglementation actuelle du code de la route en milieu urbain ainsi qu'à faire évoluer ce code pour tenir compte de l'évolution des pratiques de l'espace public. Elle vise à renforcer la sécurité des usagers vulnérables et tend également à promouvoir l'usage des modes doux. Ceci s'est traduit concrètement par un premier décret 2008-754 du 30 juillet 2008, qui a introduit le principe de prudence du plus fort vis-à-vis du plus vulnérable, la zone de rencontre, a précisé les règles relatives aux zones 30 et aux aires piétonnes et a généralisé le double sens cyclable dans les rues à sens unique des zones de rencontre et des zones 30. De nouvelles avancées dans le décret 2010-1390 du 12 novembre 2010 traduisent concrètement le principe de prudence pour la sécurité des piétons : le piéton est déjà prioritaire dans les aires piétonnes et dans les zones de rencontre, ainsi que lorsqu'il s'engage régulièrement dans une traversée de chaussée. Désormais, tout conducteur est informé qu'il peut aussi avoir à s'arrêter pour laisser passer un piéton qui manifeste son intention de traverser, si les conditions de circulation le permettent (distance du véhicule par rapport au piéton, vitesse du véhicule et visibilité permettant l'arrêt), sous réserve que le piéton se trouve à plus de 50 mètres d'un passage piéton ou au niveau d'un passage piéton non géré par feux. le trottoir est bien un espace dédié aux piétons. Les règles d'usage des trottoirs sont précisées, notamment pour les engins d'entretien et les franchissements. Ces règles traduisent très directement le principe de prudence. En outre, l'aménagement des « trottoirs traversants » gagne une assise réglementaire. divers articles du code de la route sont mis en cohérence avec la priorité du piéton sur l'ensemble de l'espace public dans les zones de rencontre et les aires piétonnes. La présente plaquette a pour objectif de traduire en termes simples les éléments modifiés dans le code de la route, d'en donner une interprétation, et d'illustrer certains concepts nouveaux. Décret 2010-1390 modifié par le décret 2018-795 du 17 septembre 2018 (voir fiche n°1). Sommaire de la fiche n° 1 mise à jour Illustration au travers de cas concrets Les distances d’arrêt selon les types de véhicules : deux-roues motorisés, automobiles, poids-lourds, cars et bus Conséquences et recommandations pour l’aménagement des passages piétons non gérés par feux
  45. Edition (Ceremadoc) Amélioration de la sécurité des virages des routes principales en rase campagne - Savoir et agir : Document technique / Fiche et note d'information

    En provoquant chaque année environ 2000 tués en rase campagne, les accidents en courbe représentent une part considérable de la mortalité routière. Le quart de l'ensemble des tués dans les accidents de la circulation.Si une erreur de conduite est généralement à l'origine de l'accident, les caractéristiques de l'infrastructure jouent aussi un rôle. Inversement des caractéristiques géométriques cohérentes et une signalisation adaptée facilitent la tâche de conduite et réduisent fortement le risque d'erreur. En outre, traiter les obstacles latéraux permet de limiter les conséquences corporelles des sorties de chaussée en courbe.Projeteurs et aménageurs trouveront dans ce document, sous une forme très synthétique, les connaissances essentielles pour améliorer la sécurité des virages situés sur les routes principales en rase campagne.Une bibliographie donne des éléments complémentaires. Les virages = des zones à risque Les caractéristiques accidentogenes des virages Rayon de courbure Régularité du rayon de courbure Caractéristiques de surface Lisibilité Visibilité Longueur de la courbe Dévers Obstacles sur accotement Accotements Signalisation des virages Sécurité des dépassements Pour en savoir plus
  46. Article (Ceremadoc) Amélioration et adaptation des réseaux d’infrastructures : la gestion de patrimoine intégrée

    Améliorer l’état du patrimoine et sa durée de vie, avoir une meilleure performance par euro dépensé, mieux répondre aux attentes des usagers et de la société, augmenter la résilience du réseau : les enjeux pour les décideurs et gestionnaires de patrimoine sont multiples. La démarche de gestion intégrée de patrimoine d’infrastructure vise à accompagner ces acteurs dans leur pratique à chaque étape.
  47. Edition (Ceremadoc) Aménagement de carrefour - Giratoire de taille réduite avec fort trafic PL : Petits aménagements de sécurité - Milieu urbain - Série(MU)

    Chaque fiche présente : - la localisation du site et les caractéristiques avant aménagement,- le contexte et la description de l'aménagement,- le coût de l'aménagement,- le bilan et des commentaires.Cette fiche décrit l'aménagement d'un carrefour en T situé en zone urbaine, sur les RD 933 et RD 947, qui supportent des trafics importants y compris le week-end, avec un pourcentage élevé de poids lourds.La solution du carrefour giratoire accompagné de marquage et d'une signalisation adaptée permet :- de réduire les vitesses,- d'améliorer la fluidité du trafic,- d'améliorer la perception du carrefour et des priorités de trafic.Avertissement :Cette fiche est rendue obsolète par la parution du guide "Les MINI-GIRATOIRES. Textes et recommandations", édité par le Certu en décembre 1997.
  48. Study report (Ceremadoc) Aménagement de la RN57 entre Remiremont et Besançon. Dossier d'utilité publique, évaluation socio-économique.

    Le dossier d'enquête publique nécessaire à l'aménagement à 2 X 2 voies de la section A 36/Devecey doit comporter, comme le stipule l'article 14 de la loi d'orientation sur les transports intérieur (LOTI) du 31 décembre 1982, une étude d'évaluation socio-économique concernant l'ensemble du programme «Mise à 2 X 2 voies de la liaison Remiremont-Besançon». Cette évaluation objet de la présente étude comporte un état de la situation actuelle tant en ce qui concerne la partie socio-économique que la partie transport. Après avoir décrit le territoire en 2025 sans l'aménagement dans la situation de référence, l'étude évalue les effets du programme par comparaison avec cette situation. Les effets étudiés concernent les conditions de circulation, le développement économique, l'organisation du territoire et l'accessibilité. Des effets monétarisés concernant la rentabilité socio-économique, les effets sur la pollution de l'air et l'effet de serre sont présentés. Les effets sont analysés en utilisant les méthodes proposées dans l'instruction relative aux méthodes d'évaluation économique des investissements routiers interurbains de Mai 2007.
  49. Study report (Ceremadoc) Aménagement des carrefours de la RN-4 à Marmoutier. Relevés faunistiques et floristiques complémentaires dans les zones d'implantation des bassins d'assainissement routiers.

    L'aménagement du contournement de Marmoutier par la RN-4 a été déclaré d'utilité publique le 13 octobre 2004. Dasn le cadre du projet d'assainissement, il convient de réaliser un recensement complémentaire des espèces faunistiques et floristiques présentes sur les sites d'emprise possible des bassins de stockage et de traitement des eaux pluviales routières. L'objectif de ce recensement est de parvenir à une hiérarchisation de l'intérêt écologique des milieux en présence afin de positionner au mieux les bassins et de limiter ainsi l'atteinte aux zones naturelles les plus riches.