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  1. Study report (Ceremadoc) Valorisation du référentiel de vulnérabilité aux inondations sur le territoire à risques importants d'inondation Noirmoutier / Saint-Jean-de-Monts - étude préalable

    Dans le cadre d’un partenariat, le Cerema Ouest accompagne actuellement les cinq établissements publics de coopération intercommunale concernés par le territoire à risques importants d’inondation (TRI) Noirmoutier / Saint-Jean-de-Monts, particulièrement soumis aux aléas de submersion marine et d’érosion, dans la mise en oeuvre d’un référentiel de vulnérabilité. Dans ce cadre, le département des transitions territoriales (DTT) a mis en place la présente étude préalable sur la valorisation des indicateurs de vulnérabilité sur le TRI Noirmoutier / Saint-Jean-de-Monts grâce à leur mise à disposition sur des plateformes et logiciels existants, au regard du contexte réglementaire actuel en matière de prévention des inondations et de partage de l’information géographique. Cette étude présente, dans un premier temps, une analyse de l’existant, puis la démarche élaborée, par le biais d’entretiens, pour la mise à jour et la pérennisation de ces indicateurs en s’appuyant sur une analyse des besoins effectuée auprès des bénéficiaires directs, à savoir les collectivités mais également d’autres acteurs de la prévention des inondations (services de L’État et gestionnaires de réseaux entre autres). Les solutions suivantes sont proposées pour la mise à jour de ces indicateurs : – la mise à disposition annuelle des indicateurs, sans automatisation, par le Cerema Ouest ; – la mise à disposition des indicateurs via un logiciel interne au Cerema Ouest : UrbanSIMUL ; – la mise à disposition des indicateurs grâce à une plateforme de données : → via le service Web du Cerema Ouest : CeremaData ; → via la plateforme départementale Géo Vendée ; → via la plateforme régionale GEOPAL. Elles sont analysées en prenant en compte leurs modalités techniques et organisationnelles et en les évaluant en matière de réponse aux besoins, et d’opportunités pour le Cerema.
  2. Study report (Ceremadoc) L’apport de l’éco-éthologie appliqué au maintien et la restauration des continuités écologiques

    L’éco-éthologie aussi appelée écologie comportementale étudie quel comportement un animal adopte pour maximiser ses chances de survie et de reproduction dans un environnement donné. Cette discipline est donc un outil majeur dans la restauration de la biodiversité car elle permet de faire le lien entre les pressions liées aux activités humaines et les chances de survie d’une population animale. L’éco-éthologie se situe au carrefour de nombreuses autres disciplines comme par exemple les neurosciences, l’éthologie, l’écologie du mouvement… Sans prétendre à l’exhaustivité, cette synthèse permet de balayer de nombreux concepts essentiels à intégrer dans toute réflexion de maintien ou de restauration de continuités écologiques.
  3. Study report (Ceremadoc) Référentiel de vulnérabilité aux inondations sur le TRI de Noirmoutier / Saint-Jean-de-Monts, Annexe 2 - Synthèse par intercommunalité

    Dans le cadre d’un partenariat, le Cerema accompagne les cinq établissements publics de coopération intercommunale concernés par le Territoire à Risques Important de Noirmoutier/Saint-Jean-de-Monts à réaliser un référentiel de vulnérabilité à l’inondation. La démarche portant sur 14 communes a permis la construction partagée de 41 indicateurs (dont 39 calculés) permettant un suivi des politiques menées localement en prévention des inondations et d’évaluer la situation du territoire au regard des trois objectifs de la Stratégie Nationale de gestion du Risque d’Inondation : assurer la sécurité des personnes, réduire le coût des dommages, accélérer le retour à la normale. Le présent document présente des cartes de synthèse par objectif de la SNGRI et par EPCI.
  4. Study report (Ceremadoc) La taille effective de maille des espaces naturels. Création d’une couche géographique d’espaces naturels et semi-naturels continus après fragmentation anthropique

    La taille effective de maille est l’indicateur retenu par le Ministère de la Transition Ecologique pour l’évaluation de la fragmentation des espaces naturels sur les périmètres des Contrats de Relance et de Transition Ecologique (CRTE). Cette étude propose une nouvelle méthode pour améliorer la robustesse de l’indicateur calculé et publié en 2021 par le Cerema sur les périmètres des CRTE de France Métropolitaine. L’objectif est de rendre l’indicateur plus représentatif encore de la réalité terrain, grâce à un apport de nouvelles données géographiques, de suivre plus finement et plus régulièrement les évolutions de la fragmentation des espaces naturels dans les territoires, et notamment mesurer les réponses apportées par les aménageurs. La nouvelle méthode a été appliquée au département du Gers, avec la création d’une couche d’espaces naturels et semi-naturels après fragmentation anthropique et le calcul de la taille effective de maille sur différents périmètres.
  5. Study report (Ceremadoc) Référentiel national de vulnérabilité aux inondations. Retour d'expérience sur les premières mises en oeuvre

    L’objectif du présent document consiste à synthétiser les principaux enseignements des différentes déclinaisons du référentiel de vulnérabilité aux inondations déjà mises en œuvre, à différentes échelles et dans le cadre de démarches distinctes liées à la prévention des inondations (PPRi, SCOT, PLUi15, PAPI …), puis préciser les principales perspectives d’amélioration pour faciliter les futures déclinaisons du référentiel national de vulnérabilité, en se basant d’une part sur les difficultés rencontrées dans les précédentes déclinaisons mises en œuvre (ou en cours de mise en œuvre) et d’autre part sur une série d’entretiens avec les utilisateurs finaux potentiels. Cette synthèse a pour objectif de s'appuyer sur ces différents constats afin de construire un outil opérationnel d'aide à la décision pour la réalisation de diagnostics territoriaux personnalisés.
  6. Study report (Ceremadoc) Les réseaux de chaleur et la RE2020 : Quelle place pour les réseaux de chaleur dans la RE2020 ?

    La RE2020 remplace la RT2012 depuis le 1er janvier 2022. Elle apporte des évolutions dans les objectifs de performance énergétique et de confort d'été et instaure la prise en compte de la performance environnementale du bâtiment sur l'ensemble de son cycle de vie. Quelles sont les conséquences de la RE2020 pour les réseaux de chaleur ?
  7. Study report (Ceremadoc) Enquête sur les réseaux de froid en France en 2021 : Synthèse des fiches descriptives

    Dans le cadre de la convention annuelle qu’il a passée avec l’ADEME, le Pôle réseaux de chaleur et de froid du groupe Energie, Territoires et Bâtiment du Cerema Ouest a proposé de réaliser un panorama des réseaux de froid afin de combler le manque de connaissances sur ces réseaux, sous forme de fiches descriptives du fait de leur faible nombre. Au final, vingt-neuf réseaux ont fait l’objet d’une enquête approfondie qui s’est appuyée à la fois sur des informations statistiques chiffrées publiques et sur des entretiens téléphoniques avec les exploitants ou les maîtres d’ouvrage de ces réseaux.
  8. Study report (Ceremadoc) Les réseaux de chaleur en milieu rural : Comment réussir à mener un projet réseau de chaleur avec des moyens humains et financiers limités ?

    Comment réussir à mener un projet avec des moyens humains et financiers limités ? C’est à cette question qu’entend répondre l’étude réalisée par le pôle Réseaux de chaleur du Cerema en abordant les sujets techniques et organisationnels et en s’appuyant sur plusieurs réalisations concrètes.
  9. Study report (Ceremadoc) La tarification des réseaux de chaleur et de froid : Restitution de l'enquête

    Les réseaux de chaleur et de froid, mis en place par les collectivités dans leurs territoires permettent de massifier le développement des énergies renouvelables thermiques. Ils présentent un important potentiel de développement par la création de nouveaux réseaux et la densification ou l’extension de réseaux existants. Pour arriver à remplir ces objectifs, la question des coûts est centrale et sa résultante tarifaire immédiate. Une enquête menée entre le Cerema et la FNCCR a été lancée de novembre 2020 à mars 2021. Elle vise à mieux connaître les modes de tarification existants, qu’ils soient massivement utilisés ou en tests ponctuels, de manière à mieux faire ressortir les forces et points d’attention de chacun, avec des pistes d’optimisation.
  10. Study report (Ceremadoc) Résilience des Territoires Sud Alpins. Diagnostic des territoires au risque d’enclavement vis-à-vis des aléas naturels

    Depuis quelques années, les événements naturels impactant la desserte de territoires de montagne ne cessent d’augmenter. Même si majoritairement les coupures d’accès restent de courtes durées (quelques jours à une semaine), la problématique est de plus en plus fréquente. La tempête Alex dans les Alpes-Maritimes (06) a mis en exergue les conséquences très dommageables de la destruction des infrastructures de communication de ces vallées, desservies pour la plupart par un unique accès. La vulnérabilité des infrastructures face aux risques naturels a donc un lien direct avec celle des territoires. C’est par ce constat et par cette approche de l’accessibilité routière qu’est mené la présente étude, dont l'objectif vise à identifier les territoires alpins vulnérables sous le prisme d'une hiérarchisation multi-aléas impactant le réseau routier. La méthodologie utilisée est exploratoire et s'appuie sur la construction d'indicateurs spécifiques pour hiérarchiser un risque d'enclavement, vu ici comme une perte d'accessibilité d'un lieu-dit à son bassin de vie. L'étude a permis de mettre en exergue certains territoires et dessertes déjà connus pour des problématiques d'accessibilité lors d'événements mais également de nouveaux territoires vulnérables, en prenant en compte notamment le multi-aléas souvent concomitants en territoire de montagne.
  11. Study report (Ceremadoc) EHPAD « Louis Quinquet » de Longuyon. Diagnostic de vulnérabilité aux inondations

    Suite aux crues majeures qui se sont produites dans la vallée de la Chiers et de ses affluents les 14 et 15 juillet 2021, la Direction Départementale des Territoires de Meurthe-et-Moselle a sollicité le Cerema pour la réalisation d'un diagnostic de vulnérabilité aux inondations de l'Établissement d'Hébergement pour Personnes Âgées Dépendantes « Louis Quinquet », enjeu sensible situé sur le territoire de la commune de Longuyon. L'objectif de l'étude consiste principalement à déterminer les caractéristiques des scenarii d'inondation susceptibles d'impacter cet établissement, d'évaluer les conséquences potentielles d'une crue sur les personnes, les biens et l'activité existants, et d'identifier les mesures envisageables pour permettre aux gestionnaires de définir une stratégie d'actions de prévention des risques d'inondation adaptée à cet enjeu. La première du présent rapport donne des renseignements généraux sur l'établissement, la deuxième décrit l'exposition de l'EHPAD face au risque d'inondation, la troisième présente les résultats du diagnostic de vulnérabilité, la quatrième apporte des propositions d'actions pour réduire cette vulnérabilité.
  12. Study report (Ceremadoc) Rapport d'étude sur le ruissellement - Commune de Jeandelaincourt -

    La commune de Jeandelaincourt a subi plusieurs inondations par ruissellement, les plus marquantes étant celles du 4 juin 2016 et du 9 avril 2022. Ces inondations se sont produites à l’occasion d’orages intenses impactant les rues du Mont Saint-Jean, des vergers, du haut court et de la roserie. Dans ce contexte, le Cerema a été missionné dans le but de mieux comprendre la genèse de ces phénomènes et d’évaluer leur évolution possible dans un contexte de changement climatique. Dans la mesure du possible, des propositions d’amélioration de l’état actuel étaient également souhaitées.
  13. Study report (Ceremadoc) Retour d'expérience sur les inondations par ruissellement du 17 juin 2020. Dommartin-aux-Bois

    Le hameau d’Adoncourt dans la commune de Dommartin-aux-Bois a été impacté par des inondations par ruissellement en juin 2020. Les inondations ont été provoquées par un événement pluvieux d’une intensité exceptionnel. Afin comprendre la provenance du ruissellement, le Cerema a établi des cartes de sensibilité à la production du ruissellement à partir desquelles, des investigations effectuées sur le terrain ont permis de proposer des aménagements d’hydraulique douce (haie dense, fascine, talus enherbé, fossé à redents, etc. ) qui auront pour objectif de limiter l’impact du ruissellement en cas d’événement pluvieux intense. Ces aménagements s’appuient sur des solutions fondées sur la nature et apparaissent adaptées au contexte rural.
  14. Study report (Ceremadoc) Adapter les villes aux inondations : 5 chantiers pour concilier réduction de vulnérabilité et qualité d'usage, enseignements du concours d'idée AMITER

    Le concours d’idées AMITER fait suite à deux Grands Prix d’Aménagements en Terrains Inondables Constructibles (cf. Enseignements des deux palmarès) et à un Atelier national sur les risques (cf. la contribution du Cerema au bouger les lignes). Toutes ces démarches ont mis en lumière la nécessité de construire des espaces de discussion réunissant à la fois la collectivité, les services de l’Etat, les équipes de maîtrise d’œuvre et le maître d’ouvrage afin de dépasser les blocages grâce à une approche concertée, itérative et intégrée du projet. Ils ont également mis en exergue la nécessité d’intégrer les risques très en amont des projets afin d’aménager avec l’eau, plutôt que contre l’eau, et donc également de redonner de la valeur aux secteurs inconstructibles en les intégrant dans la démarche de projet. La mise en œuvre de ces recommandations implique de trouver les bons périmètres d’action pour concilier cohérence territoriale et opérationnalité.
  15. Study report (Ceremadoc) MLA3 - Livrable L-A1 - Géologie générale, événements historiques et cartographie géomorphologique le long de la RN 85 entre la Mure et Corps

    Le présent rapport est un livrable du projet FEDER - POIA "MLA3 : Mouvements Lents dans les Alpes, Anticiper et Aménager", piloté par le Cerema, l'Université Grenoble Alpes et l'Ecole Nationale des Travaux Publics de l'Etat. Il a été établi par le service RTM 38 de l’ONF en collaboration avec les membres du projet. Il comprend tout d’abord une analyse de la géologie régionale, puis une étude historique basée sur un important corpus documentaire : bases de données RTM et BRGM, archives départementales, photographies et cartes anciennes, études (d’aléas, géologiques et géotechniques, historiques), cartographies (phénomènes, aléas, réglementaires). Ensuite, le rapport présente une analyse géomorphologique complète de la zone d’étude, intégrant notamment les résultats du relevé Lidar réalisé pour le projet MLA3. La méthodologie d’analyse est celle du guide RTM de 2015, basée sur un travail universitaire de l’Université de Lausanne. Elle a abouti à une cartographie à grande échelle des différentes zones de glissements de terrain, de leur typologie et de leur intensité. Cette approche historique et géomorphologique a permis de mettre en évidence les secteurs les plus instables le long de la RN85 depuis 400 ans entre La Mure et Corps, et de proposer une cartographie adaptée aux phénomènes de glissements lents observés dans la zone du Beaumont. Les cartes sont disponibles sur demande auprès du Cerema (site de Bron) ou du RTM 38.
  16. Study report (Ceremadoc) MLA3 - Livrable L-A3 - Synthèse des essais de laboratoire n°2 : Essais mécaniques dans les dépôts glaciolacustres du Beaumont

    Le présent rapport est un livrable du projet FEDER - POIA "MLA3 : Mouvements Lents dans les Alpes, Anticiper et Aménager", piloté par le Cerema, l'Université Grenoble Alpes et l'Ecole Nationale des Travaux Publics de l'Etat. Il présente et analyse les propriétés mécaniques des matériaux en place sur les sites du Beaumont (38) étudiés au sein du projet, et plus spécifiquement des argiles. Les mesures en laboratoire ont consisté essentiellement en des essais oedométriques et des essais de cisaillement à l’appareil triaxial et à la boîte de Casagrande. Le rapport met notamment en évidence les difficultés rencontrées pour réaliser certains essais (oedomètre, cisaillement à la boîte) dans les argiles litées. Les essais triaxiaux se sont révélés relativement bien adaptés et ont permis d’obtenir des valeurs de résistance des argiles (cohésions, angles de frottement) pour chaque site étudié, malgré une certaine dispersion. L’étude a été complétée par un essai triaxial sur échantillons inclinés (prélèvements du site de Corps) pour approfondir le sujet de l’anisotropie de comportement du matériau, et par un essai de fluage pour étudier la dépendance au temps de la résistance, à un niveau de chargement intermédiaire. Le présent rapport est à relier aux autres livrables de l’axe A (notamment L-A1 précisant le référentiel géologique, L-A2 rassemblant les essais d’identification géotechnique sur les matériaux du Beaumont et L-A4 synthétisant les propriétés des argiles glacio-lacustres) pour disposer d’une vue complète du contexte géotechnique local.
  17. Study report (Ceremadoc) Opérations de renouvellement urbain avec réduction de vulnérabilité en zone inondable : Repères à l’attention des services de l’État et des collectivités locales

    Depuis 2019, l’article R. 562-11-6 du code de l’environnement prévoit que, dans les zones urbanisées exposées à un aléa de référence fort à très fort, les règlements des plans de prévention des risques d’inondation élaborés postérieurement au décret n°2019-715 du 5 juillet 2019 autorisent les constructions réalisées dans le cadre d'une opération de renouvellement urbain avec réduction de la vulnérabilité. Des prescriptions sont imposées afin que l’opération en question ait pour effet de réduire la vulnérabilité sur le périmètre de l'opération. Cette nouveauté, est une évolution réglementaire notable. Elle remplace pour partie une pratique observée dans certains PPRI de délimitation de zone à enjeux stratégiques dont l’appellation pouvait varié - espaces stratégique de requalification (ex : PPRI de Marseille) ou de zones de requalification urbaine (ex : PPRI de la Loire Aval) – et qui faisaient l’objet d’un règlement spécifique. Cette évolution marque l’enjeu pour les PPR d’accompagner partout la transformation des tissus urbains existants vulnérables. De plus, elle renforce l’usage d’une réglementation par obligation de résultat, en complément de la logique d’obligation de moyens imposés aux pétitionnaires. Elle marque également le passage d’une logique de réglementation applicable à chaque projet immobilier, pris individuellement, à un raisonnement à l’échelle d’une opération d’ensemble. Ces changements induisent une modification de la manière d’élaborer et de construire les zonages et règlements des PPR. Cette présente note vise à donner des repères aux services déconcentrés de l’Etat, ainsi qu’aux parties prenantes associées à l’élaboration des PPR.
  18. Study report (Ceremadoc) MLA3 : Mouvements Lents dans les Alpes : Anticiper et aménager : Livrable LA-2. Synthèse des essais de laboratoire n°1 : Identifications des sols dans les dépôts glacio-lacustres du Beaumont

    Le présent rapport est un livrable du projet FEDER - POIA "MLA3 : Mouvements Lents dans les Alpes, Anticiper et Aménager", piloté par le Cerema, l'Université Grenoble Alpes et l'Ecole Nationale des Travaux Publics de l'Etat. Il détaille et analyse les essais de laboratoire de type « identification des sols » rassemblés dans le cadre du projet sur les principaux sites d’étude. Ces essais sont pour partie issus de la bibliographie (prélèvements de matériaux antérieurs), et ont été complétés par les essais réalisés au cours du projet suite aux campagnes de reconnaissances géotechniques de 2018 et 2021. Le présent rapport constitue une base de données unique sur les propriétés géotechniques des matériaux du Beaumont (38). Il est à relier aux autres livrables de l’axe A (notamment L-A1 précisant le référentiel géologique, L-A3 rassemblant les essais mécaniques et L-A4 synthétisant les propriétés des argiles glacio-lacustres) pour disposer d’une vue complète du contexte géotechnique local.
  19. Study report (Ceremadoc) MLA3 - Livrable L-B1 - Suivi instrumenté : résultats des mesures

    Le présent rapport est un livrable du projet FEDER - POIA "MLA3 : Mouvements Lents dans les Alpes, Anticiper et Aménager", piloté par le Cerema, l'Université Grenoble Alpes et l'Ecole Nationale des Travaux Publics de l'Etat. Il détaille les différentes instrumentations mises en place ou expérimentées dans le cadre du projet sur l'ensemble des sites d'études et rassemble les résultats des mesures réalisées. Ces résultats font l'objet d'une interprétation en lien avec le contexte géotechnique du site. Ce document est à relier aux autres livrables du projet, livrables de l'axe A (notamment le livrable L-A1 précisant le référentiel géologique et L-A2 à L-A5 présentant les matériaux, leurs propriétés et les modèles de site) et de l'axe B (L-B2 Évaluation des méthodes).
  20. Study report (Ceremadoc) MLA3. Mouvements lents dans les Alpes : Anticiper et Aménager : Faire dialoguer les savoirs experts avec les savoirs d’expérience. Enquête de terrain

    Le présent rapport est un livrable du projet FEDER - POIA "MLA3 : Mouvements Lents dans les Alpes, Anticiper et Aménager", piloté par le Cerema, l'Université Grenoble Alpes et l'Ecole Nationale des Travaux Publics de l'Etat. Il propose de rendre compte de l’enquête de terrain qui a précédé la mise en place de la démarche de mise en dialogue des savoirs experts et des savoirs d’expérimentation dans le cadre du projet MLA3. Dans un premier temps, on prend le point de vue des habitants exposés aux glissements lents pour montrer que si dans l’ensemble le problème est bien identifié par les riverains, la plupart des personnes rencontrées se trouvent malgré tout démunies face à un problème qui les dépasse largement. Dans un deuxième temps, on s’intéresse aux services gestionnaires des glissements lents (RTM, DIR, DDT, etc.) pour découvrir que leurs interventions ne sont pas toujours dotées de l’efficacité souhaitée, compte tenu des rapports distendus qu’ils entretiennent avec les usagers et habitants, mais également d’un défaut manifeste de coordination entre eux. Enfin, dans un troisième temps, on se focalise sur les communes concernées pour observer que si les élus locaux sont diversement intéressés par le problème, ils sont dans tous les cas confrontés à des difficultés communes qui limitent fortement leurs capacités d’action, à la fois individuellement et collectivement. Restituée par le biais de ces trois « tableaux » relatifs aux habitants, aux gestionnaires et aux élus locaux, l’enquête de terrain dresse finalement le panorama d’une gestion collective des glissements lents globalement introuvable, c’est-à-dire d’interventions peu liées entre elles et d’acteurs relativement isolés, qui peinent à s’organiser et se coordonner pour tendre vers une prise en charge plus efficace du problème.
  21. Study report (Ceremadoc) Gestion hydraulique de la réserve naturelle du marais d’Orx : Compléments d'étude 2021

    De 2015 à 2017, le Cerema Sud-Ouest a mené une mission d’appui auprès de la Délégation Aquitaine du Conservatoire du Littoral sur le Marais d’Orx. La Délégation re-sollicite aujourd’hui le Cerema pour mettre à jour les données et approfondir certains éléments au niveau de la gestion hydraulique. Sont ainsi abordés l’impact sur les crues de la réserve (au travers d’une modélisation en l’absence d’ouvrages), les capacités de renouvellement d’eau en étiage, les conditions de création d’un seuil déversoir visant à protéger une partie du linéaire de digues des surverses.
  22. Study report (Ceremadoc) Évaluation d’actions de culture du risque. Outils et méthodes

    Les territoires s’engagent depuis plusieurs années dans la prévention des risques en travaillant sur l’axe relatif au développement d’une culture du risque partagée entre tous les acteurs présents localement. Afin d’améliorer continuellement le travail mené sur cet axe, et notamment les actions de culture du risque, il est utile de se questionner sur un dispositif d’évaluation adapté à mettre en œuvre. Ce document donne un cadre pour le choix et la mise en œuvre d’outils d’évaluation d’actions de culture du risque. Il explique ce que l’on entend par « évaluation » des actions de culture du risque, aide à définir ses propres objectifs d’évaluation et suggère une méthode générale à suivre. En outre, il propose une grille de lecture des outils possibles à mettre en œuvre en fonction de la typologie des actions de culture du risque à évaluer. Des fiches « outil », constituées d’exemples types des outils à prendre en main, complètent le document.
  23. Study report (Ceremadoc) Retour d'EXpérience des intempéries sur les départements de l'Hérault et du Gard de septembre à décembre 2014. Rapport d'expertise sur la commune de Grabels

    Suite aux inondations de mi-septembre à début décembre 2014 dans les départements de l'Hérault et du Gard, la DDTM 34 et la DDTM 30 ont sollicité la Direction Territoriale Méditerranée du CEREMA pour un retour d'EXpérience (REX) sur 9 communes concernées par des demandes d'acquisitions de maisons impactées par ces inondations et susceptibles d'être concernées par le dispositif d'acquisition de biens exposés au sens du FPRNM (Financement par le fonds de prévention des risques naturels majeurs). L'objectif de ce REX porte sur la caractérisation de l'événement (hydrologie, hydraulique et dommages) avec identification de son origine (débordement de cours d'eau et/ou ruissellement pluvial), l'établissement d'une analyse objective des cas où des mesures foncières sont à mettre en oeuvre. Le présent rapport concerne la commune de Grabels.
  24. Study report (Ceremadoc) Bilan des plans régionaux santé environnement 2 fin 2015 sur la thématique bâtiment et santé.

    Les plans régionaux Santé Environnement 2 arrivent à échéance, pour beaucoup, depuis 2014. Ces actions régionales déclinent de nombreux thémes en lien avec la thématique batiment santé. Alors que se préfiguent les PRSE 3, il s'agit de faire le tour, sur l'ensemble des régions françaises, des actions menées en lien avec cette thématique, de repérer les plus pertinentes, les plus innovantes, afin de pouvoir les valoriser en diffusant leurs productions dans le réseau"bâtiment santé", et plus généralement "santé environnement". Il s'agit aussi de faciliter la mise en place d'actions dans le cadre des futurs PRSE3 en proposant un document répertoriant ce qui a pu être fait dns différentes régions, et qui pourra offrir un retour d'expérience aux régions qui souhaiteraient développer des actions similaires.
  25. Study report (Ceremadoc) Retour d'EXpérience des intempéries sur les départements de l'Hérault et du Gard de septembre à décembre 2014. Rapport d'expertise sur la commune de Chamborigaud

    Suite aux inondations de mi-septembre à début décembre 2014 dans les départements de l'Hérault et du Gard, la DDTM 34 et la DDTM 30 ont sollicité la Direction Territoriale Méditerranée du CEREMA pour un retour d'EXpérience (REX) sur 9 communes concernées par des demandes d'acquisitions de maisons impactées par ces inondations et susceptibles d'être concernées par le dispositif d'acquisition de biens exposés au sens du FPRNM (Financement par le fonds de prévention des risques naturels majeurs). L'objectif de ce REX porte sur la caractérisation de l'événement (hydrologie, hydraulique et dommages) avec identification de son origine (débordement de cours d'eau et/ou ruissellement pluvial), l'établissement d'une analyse objective des cas où des mesures foncières sont à mettre en oeuvre. Le présent rapport concerne la commune de Chamborigaud.
  26. Study report (Ceremadoc) Retour d'EXpérience des intempéries sur les départements de l'Hérault et du Gard de septembre à décembre 2014. Rapport d'expertise sur la commune de Saint-Laurent-le-Minier

    Suite aux inondations de mi-septembre à début décembre 2014 dans les départements de l'Hérault et du Gard, la DDTM 34 et la DDTM 30 ont sollicité la Direction Territoriale Méditerranée du CEREMA pour un retour d'EXpérience (REX) sur 9 communes concernées par des demandes d'acquisitions de maisons impactées par ces inondations et susceptibles d'être concernées par le dispositif d'acquisition de biens exposés au sens du FPRNM (Financement par le fonds de prévention des risques naturels majeurs). L'objectif de ce REX porte sur la caractérisation de l'événement (hydrologie, hydraulique et dommages) avec identification de son origine (débordement de cours d'eau et/ou ruissellement pluvial), l'établissement d'une analyse objective des cas où des mesures foncières sont à mettre en oeuvre. Le présent rapport concerne la commune de Saint-Laurent-le-Minier
  27. Study report (Ceremadoc) Retour d'EXpérience des intempéries sur les départements de l'Hérault et du Gard de septembre à décembre 2014. Rapport d'expertise sur la commune de Bélarga

    Suite aux inondations de mi-septembre à début décembre 2014 dans les départements de l'Hérault et du Gard, la DDTM 34 et la DDTM 30 ont sollicité la Direction Territoriale Méditerranée du CEREMA pour un retour d'EXpérience (REX) sur 9 communes concernées par des demandes d'acquisitions de maisons impactées par ces inondations et susceptibles d'être concernées par le dispositif d'acquisition de biens exposés au sens du FPRNM (Financement par le fonds de prévention des risques naturels majeurs). L'objectif de ce REX porte sur la caractérisation de l'événement (hydrologie, hydraulique et dommages) avec identification de son origine (débordement de cours d'eau et/ou ruissellement pluvial), l'établissement d'une analyse objective des cas où des mesures foncières sont à mettre en oeuvre. Le présent rapport concerne la commune de Bélarga.
  28. Study report (Ceremadoc) Application collision faune : Inventaire des collisions de la faune en Île-de-France

    Les infrastructures routières sont des éléments qui fragmentent le territoire et les habitats. En effet, certaines routes font obstacle au déplacement des animaux, augmentant le risque de collision de faune. L’identification de ce conflit et sa gestion sont prévues par le Schéma Régional de Cohérence Territorial d’Île-de-France (SRCE). Le document prévoit des aménagements dans l’infrastructure routière pour faciliter le déplacement animal. La mise en place des mesures d’atténuation permet de mieux intégrer ces ouvrages dans la Trame Verte-et-Bleu et limiter la mortalité de la faune. La mission a été commandée par la Direction Régionale et Interdépartementale de l’Environnement et de l’Énergie (DRIEE), représenté par Monsieur Jean-Marc BERNARD, Adjoint au chef de pôle, chargé de la Trame-Verte-et-Bleue. L’objet de la mission est : *La réalisation d’un parangonnage des applications similaires existantes, inventaire et comparaison *Le développement, ou l’adaptation selon les résultats du parangonnage, d’une application-maquette, *Un premier usage de l’application sur terrain et les retours pour son amélioration. L’application-maquette n’est pas un produit final. La réflexion sur le cadrage de l’application finale sera basée sur ces échanges et synthétisée dans le dernier rendu.
  29. Study report (Ceremadoc) SRCE et SCoT en Bourgogne-Franche- Comté Intégration de la Trame verte et bleue

    Le présent rapport vise à participer à l’évaluation et au bilan de la prise en compte des Schémas Régionaux de Cohérence Écologique (SRCE) de Bourgogne et Franche- Comté sur un panel de Schémas de Cohérence Territoriale (SCoT) de la région fusionnée Bourgogne-Franche-Comté. Cette analyse porte à la fois sur les documents produits par les SCoT mais aussi via des entretiens réalisés auprès des structures porteuses des SCoT ainsi que des Bureaux d’études auxquels elles ont fait appel. La fusion des régions Bourgogne et Franche-Comté étant postérieure à l’adoption des SRCE, une analyse et une comparaison des deux SRCE ainsi que de leurs exigences respectives quant à l’intégration de la Trame Verte et Bleue (TVB) dans les SCoT précède la synthèse des entretiens réalisés auprès des différents acteurs concernés.
  30. Study report (Ceremadoc) Actualisation du profil d'équilibre de la Rivière du Mât - Analyse des évolutions morphologiques depuis 2007

    L’étude a pour objet d’analyser l’évolution morphologique depuis octobre 2007 du lit de la Rivière du Mât située sur l’Île de la Réunion. L’analyse morphologique a été réalisée sur la partie aval de la rivière depuis l’amont de la prise d’eau ILO « Irrigation du Littoral Ouest » (agglomération de Salazie) jusqu’à son embouchure dans l’Océan Indien (agglomérations de Saint-André et de Bras-Panon) où se concentrent les principaux enjeux concernés par les aléas d’inondation et d’érosion liés aux crues cycloniques. Elle est basée sur la comparaison du levé topographique réalisé par photogrammétrie en août-octobre 2007 et du levé topographique le plus récent réalisé par LIDAR en septembre 2017. Cette étude propose également une actualisation du profil en long d'équilibre et de l’espace de mobilité en plan de la Rivière du Mât.
  31. Study report (Ceremadoc) Conflit d'usage et milieux humides : Etat des lieux bibliographique

    Cette étude relative aux milieux humides est construite à partir d'une analyse bibliographique de la notion de conflits liés aux milieux naturels. Elle définit des éléments de langage, présente les usages liés aux milieux humides et comment la confrontation de ces usages peut dans certains cas aboutir au développement de conflits. Les différents types de conflits sont explicités de même que les mécanismes qui conduisent à leur expression. L'étude propose enfin des pistes pour aborder et prévenir les conflits.
  32. Study report (Ceremadoc) Étude des bordures urbaines et naturelles en Seine-Saint-Denis Phase 2 : Analyse du cas du parc du Sausset et pistes de valorisation des bordures

    mandaté depuis janvier 2015 par la direction régionale et interdépartementale de l’équipement et de l’aménagement d’île-de-france (driea) via l’unité territoriale de seine-saint-denis (ut93) la dter ile-de-france du cerema propose une étude des espaces frontaliers entre ville et nature au sein de la seine-saint-denis. la finalité de l’étude globale consiste à faire évoluer l’image et les usages de ces espaces frontières afin qu’ils ne soient plus considérés ni comme étant soumis à une contrainte à l’urbanisation mettant en péril les objectifs de préservation des milieux et des espèces protégés, ni comme espaces systématiquement « sanctuarisés » d’un point de vue environnemental, bloquant toute dynamique de transformation urbaine. une première phase de l’étude rendue en septembre 2015 a présenté la méthodologie d’analyse de sites et a permis de retenir 3 cas d’étude. la deuxième phase présente le diagnostic du fonctionnement des bordures urbaines du parc du sausset afin d’identifier des pistes de valorisation possibles de ces espaces.
  33. Study report (Ceremadoc) Evaluation française des écosystèmes et des services écosystémiques. Ecosystèmes urbains. Tomes 1 et 2, annexes

    au niveau de la france, l’evaluation française des ecosytèmes et des services ecosystémiques (efese) est une adaptation du millenium ecosystem assessment (mea, 2005) porté par l’organisation des nations unies. afin de répondre aux objectifs d’évaluation national, un cadre conceptuel (cgdd 2016) commun a été validé, certaines orientations spécifiques ont été retenues pour conduire les évaluations à l’échelle nationale. il définit le périmètre de l’évaluation et fournit une base de travail commune à l’ensemble des acteurs impliqués. le périmètre de l'efese s’étend à l’ensemble des écosystèmes terrestres et marins de france métropolitaine et d’outre-mer. l’évaluation est organisée autour de six grands types d’écosystèmes dont « l’écosystème urbain » objet du présent travail. l’écosystème urbain se définit comme un système peuplé et aménagé par et pour l’être humain, constitué de milieux dominés par le vivant dont le sol est le support des différents types d’occupations (les parcs, les jardins et milieux humides urbains, les pieds d’arbres… ) et par l’artificialisation comme la voirie et les bâtiments, qui constituent l’habitat des êtres humains. au sein de ce milieu complexe et fortement hétérogène les espaces de nature en ville, objet des présents travaux, regroupent les espaces urbains non imperméabilisés où le sol permet le développement d’espèces et d’habitats terrestres.
  34. Study report (Ceremadoc) Étude sur les passages à faune potentiels sur le réseau routier national francilien : Tome 1 : Forêt de Sénart - Bilan du gisement des passages potentiels

    La DRIEE souhaite mettre à jour les données du Schéma régional de cohérence écologique (SRCE) concernant les passages à grande, moyenne et petite faune. Après avoir étudié, en première phase, plusieurs méthodologies de détermination du gisement des passages potentiels et avoir identifié 22 passages à faune potentiels sur le tronçon PR13 – PR23 de l’A13 (forêt de Marly), en seconde phase, ce rapport se fixe deux objectifs : • Valider une méthode de détermination du gisement des passages potentiels utilisant la BDTOPO® 2.1 complété de l’application en ligne ISIDOR2 1 ; • Étudier le gisement des passages potentiels dans un contexte de zones humides (N6 // PR0-PR11 - Forêt de Sénart) et dans un contexte plus urbain (N104 // PR26-PR37).
  35. Study report (Ceremadoc) Restauration et valorisation de la nature en ville, Guide méthodologique

    Une démarche-type de valorisation et de restauration de la nature en ville. Dans le prolongement du plan « Nature en ville », qui prône l’engagement volontaire des acteurs de la ville, la Direction Départementale des Territoires de Haute-Savoie s'est portée volontaire pour démultiplier cette démarche à l’échelle de son territoire. Ainsi, accompagnée par le réseau scientifique et technique du Ministère de l’Écologie (les CETE), la DDT a souhaité mener une démarche test avec la Ville d'Annemasse (réalisée en 2011-2012) avant de produire des pistes techniques générales pour restaurer et valoriser la nature des milieux urbanisés de Haute Savoie. L'objet de ce document est de mettre à disposition des communes haut savoyardes une méthodologie simple et de moindre coût, pour engager des actions en faveur d'une meilleure prise en compte de la nature sur leur territoire urbanisé.
  36. Study report (Ceremadoc) MEL \ Maîtrise d'ouvrage distribution eau potable \ Villeneuve d'Ascq, station Hempenpont. Aménagement du réseau d'eau potable. Mission G1 : étude géotechnique préalable

    A la demande de la Métropole Européenne de LIlle (MEL) \ Maîtrise d'ouvrage distribution eau potable\ le Cerema Nord-Picardie, département Territoire Ecologie Energie Risques, a réalisé une étude géotechnique préalable concernant l'aménagement des conduites d'eau potable au niveau de la station de pompage d'hempenpont à Villeneuve d'Ascq (59). La présente étude correspond à une mission G1 phase ES (Etude de Site) et PGC (Principes généraux de construction) au sens de la norme NF P94-500 de novembre 2013. Deux nappes sont susceptibles d'interagir avec le projet : une nappe superficielle dont le niveau sera en lien avec les éléments météorologiques et la nappe alluviale de la Marque captivesous le limons argileux. Un programme d'investigations a été proposé. Il pourra être adapté en tenant compte des terrains rencontrés lors de ces reconnaissances ainsi que des évolutions du projet. Les recommandations exposées dans ce rapport seront à confirmer sur la base des terrains rencontrés.
  37. Study report (Ceremadoc) Fiche technique de lutte contre la renouée : pulvérisation d'huile de cèdre

    Les espèces invasives constituent une des principales causes d'érosion de la biodiversité. La renouée du Japon (Fallopia japonica) est ainsi très présente sur les dépendances des infrastructures routières. La DIR Nord a réalisé, avec le conseil du Cerema, un protocole de recensement et de cartographie de la renouée du Japon sur son réseau, via ses agents d'exploitation qui ont recensé les plants de renouées à l'aide de fiches d'identification lors d'opérations d'entretien. C'est dans ce cadre d'exploitation que trois solutions ont été étudiées : le bâchage, le pâturage et la pulvérisation d'huile de cèdre. La présente fiche technique présente le protocole de mise en oeuvre de la pulvérisation d'huile de cèdre par le gestionnaire d'espaces naturels, quel qu'il soit.
  38. Study report (Ceremadoc) Etude acoustique de bruit de roulement sur RD943 - Secteur de Pont d'Ardres

    Le conseil Départemental du Pas-de-Calais met en place de nouvelles techniques routières dans le cadre de sa compétence de gestionnaire de son réseau d'infrastructures. Le CD62 cherche à évaluer et capitaliser les performances des revêtements nouvellement mis en oeuvre. Le CD62 sollicite le groupe Air Bruit Vibrations du Cerema Hauts-de-France pour caractériser acoustiquement trois nouveaux revêtements de la RD943 à Pont d'Ardres. Il s'agit d'enduits monocouche de granulométrie 5/8, 4/6 et 6/10. L'objectif de l'étude est de fournir des éléments d'évaluation acoustique, caractérisant les techniques routières mises en oeuvre par le CD62. Les essais sur les revêtements neufs constituent la valeur de référence, dans l'objectif d'un suivi annuel de performance. On retrouve l'impact de la granulométrie des chaussées sur les niveaux sonores : plus la granulométrie est forte, plus le niveau sonore est élevé.
  39. Study report (Ceremadoc) Décharge de Bohain-en-Vermandois (02) – Suivi de la nappe de la craie. Analyses physico-chimiques et bactériologiques – Août et décembre 2018

    Le présent rapport s’inscrit dans le cadre du suivi semestriel de la nappe de la craie à partir d’un réseau de surveillance constitué de 5 piézomètres implantés à proximité du centre d'enfouissement technique de Bohain-en-Vermandois. La Communauté de Communes du Vermandois a sollicité l’intervention du Cerema Nord-Picardie afin de : ➢ procéder à des relevés de niveaux d’eau au droit de chacun des piézomètres, ➢ prélever des échantillons d’eau en vue d’analyses physico-chimiques et bactériologiques. Le présent rapport rend compte des résultats des campagnes de prélèvement de 2018. Les prélèvements ont été réalisés les 13 et 14 août 2018 et les 3 et 4 décembre 2018. L’étude des résultats d’analyses montre que la nappe de la craie au niveau du centre d’enfouissement ne respecte pas les seuils DCE concernant la qualité des eaux souterraines quand ils existent, ni les seuils concernant les Eaux Destinées à la Consommation Humaine (EDCH). L’étude des valeurs de 2018 montre que pour plusieurs paramètres (COT, manganèse total, fer total et aluminium), les seuils concernant les eaux brutes utilisées pour la production d’EDCH ne sont pas respectés.
  40. Study report (Ceremadoc) Relargage des coulis géothermiques et impacts potentiels sur la ressource en eau : Comparaison des paramètres d'analyse des lixiviats

    Dans un contexte où des travaux de normalisation des coulis utilisés pour la cimentation des sondes géothermiques dans le sol sont en cours, il y a lieu de s'interroger sur le relargage de pollution de ces coulis géothermiques dans la nappe phréatique et des impacts potentiels sur la ressource en eau. En effet, dans la plupart des cas, ces sondes traversent des formations géologiques et des aquifères qu'il est indispensable de protéger. Pour cela, les paramètres à analyser doivent être en adéquation avec les composants des coulis et les substances jugées pertinentes pour évaluer la qualité de la ressource en eau. Cette étude a donc pour objectif de mettre en évidence les paramètres les plus représentatifs et pertinents , d'une part en corrélant les réglementations française et allemande et d'autre part en s'appuyant sur ce qui est le plus fréquemment réalisé chez les fournisseurs de coulis allemands. Les résultats de l'étude permettent d'établir une liste de paramètres à rechercher pour évaluer la qualité des eaux souterraines vis à vis de la production d'eau potable en croisant plusieurs réglementations nationales, des directives européennes et des lignes directrices internationales. Ils montrent à travers les rapports fournis par les fabricants une alcalinité importante de l'eau avec une valeur de pH qui dépasse les seuils de référence ainsi que des taux d'ammonium pouvant, lors de la première phase de durcissement du coulis (jusqu'à 7 jours), dépasser les limites fixées par la réglementation.
  41. Study report (Ceremadoc) Exposition acoustique de riverains de l'A304. Suite à la mise en service - Prix-lès-Mézières 2019

    La DREAL Grand Est a sollicité le Cerema Nord-Picardie pour effectuer des mesures acoustiques réglementaires sur 3 habitations de la commune de Prix-lès-Mézières, riveraines de l'A304 nouvellement mise en service. Les résultats n'indiquent pas de dépassement des seuils réglementaires.
  42. Study report (Ceremadoc) Continuités écologiques sur la commune de Libourne : Tome 1 : méthode d'identification et résultats

    Ce rapport d’étude (Tome 1) porte sur l’identification des continuités écologiques sur la commune de Libourne augmentée d’une bande tampon de 3km. Après un rapide diagnostic paysager et environnemental du territoire, le rapport présente les méthodes détaillées d’identification des continuités écologiques terrestres, aquatiques et urbaines, des points de conflit ainsi que les résultats et cartographies. Il est suivi d’un Tome 2 qui propose des actions de préservation et de restauration des continuités écologiques.
  43. Study report (Ceremadoc) Continuités écologiques sur la commune de Libourne : Tome 2 : mesures de préservation et de restauration

    Les continuités écologiques et les points de conflit ont été identifiés sur la commune de Libourne (Tome 1). Ce document (Tome 2) a vocation à proposer des actions de préservation et de remise en bon état de ces continuités sur différentes thématiques (aménagement, urbanisme, agriculture, gestion, communication…) que la commune ou les acteurs du territoire pourront mettre en œuvre.
  44. Study report (Ceremadoc) Atlas des zones inondables du Cosson : Crue de mai et juin 2016

    Comme de nombreux cours d'eau des bassins versants de la Loire et de la Seine, le Cosson a connu une crue importante en mai et juin 2016. Des informations (témoignages, photographies, marques et laisses de crue) ont été recueillies pour connaître les niveaux d'eau atteints lors de l'événement. Ces données ont permis de reconstituer la ligne d'eau de crue du Cosson observée en 2016 et ainsi de cartographier les zones inondées. La méthodologie utilisée et l'atlas des zones inondées sont présentés dans ce rapport.
  45. Study report (Ceremadoc) Extrapolation de courbe de tarage, Station de Champeix (63) K2674010, rivière Couze Chambon

    Le service de prévision des crues (SPC) de la DREAL Auvergne-Rhône-Alpes a commandé au Cerema Blois une étude sur l'extrapolation des courbes de tarage des stations de Champeix et Pont d'Auzon (ce rapport ne concerne que la station de Champeix). Pour ce faire, un modèle 1D a été construit sous HEC-RAS afin de représenter les écoulements au droit de la station de Champeix. Une fois calé avec les données jaugées, des débits forts à extrêmes ont été injectés dans ce modèle dans le but d'extrapoler la courbe de tarage. De plus, la résilience de la station a été testée en injectant plusieurs jeux de débits dans le modèle puis en comparant les cotes atteintes pour chacun des débits aux cotes caractéristiques des équipements.
  46. Study report (Ceremadoc) Extrapolation de courbe de tarage : Station d'Agnat [Pont d'Auzon] K2430810, rivière l'Allier

    La DREAL Auvergne-Rhône-Alpes a sollicité le Cerema Normandie-Centre pour réaliser l'extrapolation des courbes de tarage de l'Allier à Agnat [Pont d'Auzon] (K2430810) et de la Couze Chambon à Champeix (K2674010). Le présent rapport concerne la station de l'Allier à Agnat [Pont d'Auzon]. Pour représenter les écoulements au droit de la station étudiée, un modèle hydraulique 1D a été construit sous HEC-RAS puis calé avec les données de jaugeages. Des débits forts à extrêmes ont été injectés dans ce modèle afin d'extrapoler la courbe de tarage. La résilience de la station a également été testée en déterminant les débits pour lesquels les cotes caractéristiques de la station et de l'ouvrage de franchissement sont atteintes.
  47. Study report (Ceremadoc) Tâche 2 : évaluation des séries d'observations pluviométriques et hydrométriques

    La DEAL Guadeloupe souhaite étudier l’opportunité de mettre en place une cellule de veille hydrologique sur son territoire. Pour cela, un plan d’actions triennal a été élaboré. Il est décomposé en 3 axes dont l’axe 2 qui consiste à étudier selon une approche territorialisée les modalités techniques de prévision des crues, des inondations et des étiages. Une des actions de cet axe 2 consiste en l’étude de la qualité et de l’exploitabilité des données hydrométriques et pluviométriques dans l’objectif de prévision des crues. Dans ce cadre, une tâche (la tâche 2) doit permettre d’évaluer les données hydrométriques et pluviométriques à disposition, valorisables dans le cadre de la mise en place d’une cellule de veille hydrologique. Le présent rapport s’attache à décrire les données hydrométriques et pluviométriques disponibles, à fournir une information sur la qualité de ces données, les temps de propagation ainsi que les temps de réponse des sous-bassins versants étudiés.
  48. Edition (Ceremadoc) Méthodes de reconnaissances des cavités : Synthèse des connaissances actuelles

    Ce guide recense les méthodes actuelles de reconnaissance des cavités et a été établi dans le cadre de la convention DGPR – IFSTTAR 2011, il constitue un élément de bibliographie pour le Plan National Cavité. Dans une première partie les typologies de cavités sont décrites, puis les phases de définition de l’aléa qui constitue un préalable, finalement sont développées les différentes méthodes de reconnaissances de cavités, qualifiées de physique, la géophysique et le sondage géotechnique. On retrouve en annexe un logigramme décisionnel qui permet, en fonction des situations rencontrées, de découvrir les méthodes préconisées. Ce document a vocation à donner à un donneur d’ordre les éléments de base, essentiels à la compréhension de la méthodologie de reconnaissance de cavités et constitue ainsi une aide à la rédaction d’un cahier des charges vis à vis des bureaux d’études. Télécharger le logigramme décisionnel (produit sur le logiciel Xmind)
  49. Edition (Ceremadoc) Gestion intégrée de l’eau en milieu urbain - Fiche n°5 - Les îles végétalisées

    Les îles végétalisées sont des espaces en creux et perméables, de faible superficie, aménagées pour recevoir les eaux pluviales et favoriser l’infiltration. Elles peuvent être complétées par d’autres dispositifs (comme des puits d’infiltration) pour améliorer la gestion à la source des eaux pluviales, elles participent ainsi au service de régulation des inondations.
  50. Edition (Ceremadoc) Organiser la gouvernance de la compétence GEMAPI : Gestion des milieux aquatiques et prévention des inondations

    La prise de compétence GEMAPI, effective depuis le 1er janvier 2018, nécessite une gouvernance particulière avec une mise en cohérence du contenu, du périmètre géographique et des modes d’exercices entre acteurs locaux compétents. Cette fiche présente les différents leviers à actionner pour définir les périmètres géographique et fonctionnel, identifier les acteurs à associer, s’organiser pas à pas et gérer les interfaces avec d’autres compétences complémentaires à la GEMAPI… Elle s’appuie sur des travaux menés auprès de quatre collectivités dans le cadre de l’appel à partenaires lancé par le Cerema et INRAE sur la GEMAPI en 2016.
  51. Edition (Ceremadoc) Zonage pluvial : Pour une gestion intégrée de l'eau

    L’urbanisation et l’imperméabilisation croissante des sols engendrent et accentuent les phénomènes d’inondations et de pollutions des milieux aquatiques. Le changement climatique renforce les risques liés à ces phénomènes. Le zonage pluvial contribue à rendre la ville plus résiliente. Le zonage pluvial est, pour la collectivité compétente, l’opportunité de mettre en place une gestion dite intégrée des eaux pluviales, qui s’inscrive dans une politique plus globale d’amélioration du cadre de vie et de l’environnement.
  52. Edition (Ceremadoc) Rétrospective des dragages fluviaux en France : Période 2011-2017

    Les opérations de dragage sur les voies navigables et dans les ports du domaine public fluvial génèrent des volumes de sédiments importants, de l’ordre de 1,8 millions de mètres cubes par an, dont la gestion est coûteuse, surtout lorsqu’ils doivent être gérés à terre. Dans le double objectif d’inscrire la gestion de ces matériaux dans une logique d’économie circulaire et de limiter les dépenses, des filières de valorisation à terre doivent se développer. À cette fin, une meilleure connaissance du gisement de sédiments dragués est nécessaire. Dans cette perspective, le Cerema a réalisé une enquête auprès des gestionnaires des voies navigables et des ports du domaine public fluvial sur les opérations de dragage conduites en France de 2011 à 2017. Basé sur les réponses à cette enquête, ce rapport présente une synthèse des informations essentielles : les volumes de sédiments dragués, les objectifs et les caractéristiques techniques des opérations de dragage, les caractéristiques des sédiments et les filières de gestion de ces matériaux et enfin le coût des opérations de dragage.
  53. Edition (Ceremadoc) Changement climatique : Adapter les territoires littoraux

    L’augmentation continue de la population littorale et la probabilité importante de risques littoraux représentent un défi majeur pour les collectivités. Le dernier Plan national d’adaptation au changement climatique incite fortement les territoires à anticiper les impacts du changement climatique afin d’améliorer la prévention, la résilience, la préservation, favoriser l’adaptation et de mieux gérer les ressources.
  54. Edition (Ceremadoc) Prise en compte des risques rocheux par les Maîtres d’ouvrage gestionnaires d’infrastructures : Guide méthodologique

    Ce document expose les principes directeurs de la gestion des risques rocheux pour les Maîtres d’ouvrage gestionnaires d’infrastructure, essentiellement de transport. C’est une note générique synthétique, formulant des recommandations générales, avec renvois à annexes pour approfondir certains points méthodologiques ou techniques. Vulgarisé mais à visée opérationnelle, il s’adresse avant tout à des professionnels qui ne connaissent pas encore bien le domaine. Ainsi, il couvre toutes les étapes de la gestion du risque rocheux, de sa connaissance à sa mitigation en passant par la surveillance et la gestion des évènements, que l’aléa soit connu (avec une politique de prévention éventuellement mise en œuvre), qu’il ne le soit pas ou qu’il soit plus important que prévu (nécessitant alors une gestion dans l’urgence). Il pose (1) les éléments de base relatifs à la définition du risque rocheux, ainsi que le cadre général de gestion des risques naturels en France, (2) une vision d’ensemble du cadre réglementaire et juridique dans lequel s’inscrivent les obligations du gestionnaire, accompagné d’un aperçu des évolutions de la jurisprudence, (3) les méthodes de gestion du risque rocheux, suivant le cycle général de gestion des risques, et (4) un panorama des contraintes d’exploitation et du cadre financier mobilisable.
  55. Edition (Ceremadoc) Enjeux écologiques et projets de protection contre les inondations : Recommandations pour une prise en compte, des prémices du projet à l'exploitation des ouvrages

    Le présent guide, à destination des maîtres d’ouvrages et de leur appui technique, porte sur la démarche de prise en compte des enjeux écologiques dans les projets de travaux, et plus globalement d’interventions, sur les ouvrages de protection contre les risques d’inondation. Guide de bonnes pratiques, il vise à aider les maîtres d’ouvrage à assurer une juste prise en compte des enjeux écologiques, à optimiser le calendrier de leurs projets, ainsi qu’à faciliter l’autorisation administrative et la réalisation des travaux relatifs aux systèmes d’endiguements et aménagements hydrauliques. Il établit un lien avec la démarche PAPI (programme d’actions de prévention des inondations), et le nouveau cahier des charges PAPI 3 2021, dans le cadre d’une approche globale et intégrée et aborde plus précisément le sujet des systèmes d’endiguement. Cette publication s’inscrit en complémentarité avec les publications existantes traitant des ouvrages hydrauliques (notamment celles relatives aux études de dangers des systèmes d’endiguement) et du dispositif PAPI, que le lecteur est invité à consulter en tant que de besoin.
  56. Edition (Ceremadoc) Adapter la gestion des bords de routes pour préserver les insectes pollinisateurs sauvages

    Les pollinisateurs représentent un enjeu important pour la biodiversité et l’alimentation humaine. Sans l’aide des pollinisateurs tels que les abeilles, les bourdons, les guêpes …, les cultures se limiteraient principalement aux céréales. Il est donc primordial de les protéger. Les surfaces végétalisées qui bordent les routes ou dépendances vertes comme les accotements, les fossés, les talus présentent un intérêt notable pour les pollinisateurs sauvages. Elles forment un corridor potentiellement important pour préserver la biodiversité dans un contexte de dégradation des habitats naturels. Cet ouvrage qui s’appuie sur des travaux de recherche concernant les pollinisateurs sauvages propose aux gestionnaires routiers des recommandations de gestion raisonnée des dépendances vertes adaptées aux pollinisateurs sauvages. Il est constitué de fiches traitant des enjeux et des caractéristiques des dépendances vertes routières, des besoins des pollinisateurs, de l’entretien et de la conception de ces espaces de biodiversité. Des fiches actions présentent ensuite les différents leviers potentiels pour améliorer l’accueil et le développement de la biodiversité notamment des pollinisateurs sauvages sur les dépendances vertes routières.
  57. Edition (Ceremadoc) Recommandations pour la conception et la réalisation des aménagements de défenses du littoral contre l'action de la mer

    Le présent guide s'attache à donner, sous une forme synthétique et relativement complète, des recommandations en vue de l'étude et de la conception des différents types d'aménagements se proposant d'assurer la protection du littoral contre la mer. Il aborde également, mais de façon inévitablement plus sommaire, les problèmes de réalisation, de surveillance, d'entretien et de réhabilitations des ouvrages. Ces recommandations s'efforcent de traiter à la fois des aspects techniques et des problèmes d'insertion dans l'environnement des solutions proposées. Elles sont destinées à constituer, pour les techniciens des services maritimes et des services de l'environnement, un guide pratique leur permettant de concevoir ou de contrôler la conception d'aménagements divers de protection du littoral. INTRODUCTION 1 - Objet du guide 2 - Méthode de travail 3 - Origines des recommandations CHAPITRE I - CONSIDERATIONS GENERALES 1 - Importance de l’érosion marine 2 - Difficultés des problèmes de protection du littoral 3 - Définition des objectifs poursuivis 4 - Différentes solutions possibles 5 - Contenu du guide CHAPITRE II - PROTECTION D’UNE COTE SABLEUSE ACTION DIRECTE SUR LES MATERIAUX 1 - Généralités 2 - Remodelage de l‘estran 3 - Rechargement de plage 4 - Déversement de matériaux par petits fonds 5 - Etablissement d’un transit artificiel 6 - Stabilisation et création de dunes 7 - Impacts de l’action sur les matériaux 8 - Critères de choix entre les différents procédés disponibles CHAPITRE III - PROTECTION D’UNE COTE SABLEUSE REALISATION D’OUVRAGES 1 - Ouvrages longitudinaux de haut de plage 2 - Ouvrages longitudinaux de bas de plage et de petits fonds 3 - Ouvrages transversaux 4 - Digues 5 - Combinaison de différents procédés CHAPITRE IV - PROTECTION D’UNE COTE A GALETS 1 - Généralités 2 - Principes des aménagements 3 - Rechargement de plage 4 - Etablissement d'un transit artificiel 5 - Ouvrages longitudinaux de haut de plage 6 - Ouvrages transversaux 7 - Impacts sur l'environnement CHAPITRE V - PROTECTION D’UNE COTE A FALAISES 1 - Erosion des falaises 2 - Protection contre les actions marines 3 - Stabilisation de la falaise 4 - Impacts sur l’environnement 5 - Exemples CHAPITRE VI - PROCEDES NOUVEAUX POUR LA PROTECTION DU LITTORAL 1 - Nouveaux matériaux 2.- Stabilisation des dunes par un gel 3 - Algues artificielles 4 - Cultures d‘algues 5 - Ouvrages peu réfléchissants 6 - Procédé PRINCIPlA-MONACO 7 - Roche électrolytique CHAPITRE VII - CONTROLE DES EXTRACTIONS DE MATERIAUX LE LONG DU LITTORAL ET GESTION DES DEPOTS DE DRAGAGES PORTUAIRES 1 - Importance et difficulté des problèmes 2 - Effets généraux des souilles draguées 3 - Résultats des études du LCHF sur modèles réduits concernant les souilles draguées 4 - Recommandations pratiques relatives aux souilles draguées 5 - Exemples de souilles draguées 6 - Gestion des dépôts de dragages CHAPITRE VIII - IMPACTS DE TECHNIQUES DE PROTECTION CONTRE LA MER 1 - Déroulement du chantier 2 - Sites et paysages 3 - Le milieu naturel 4 - La qualité des eaux 5 - Les aspects socio-économiques CHAPITRE IX - ETUDES PREALABLES 1 - Caractéristiques générales des études 2 - Etudes préliminaires 3 - Etude des risques littoraux 4 - Etude technique 5 - Etude d'impact sur l’environnement CHAPITRE X - COUTS, SURVEILLANCE ET ENTRETIEN DES AMENAGEMENTS 1 - Coûts 2 - Surveillance et entretien des aménagements CHAPITRE XI - EXEMPLES DETAlLLES D’AMENAGEMENTS 1 - Aménagement de la GRANDE MOTTE (Hérault) 2 - Aménagements d’ANGLET (Pyrénées-Atlantiques) 3 - Aménagement dunaire de QUEND-FORT-MAHON (Somme) BIBLIOGRAPHIE
  58. Edition (Ceremadoc) Retraitement des chaussées et recyclage des matériaux bitumineux des chaussées

    Les contraintes environnementales pour une économie des ressources non renouvelables et l'obligation de recycler (loi du 13 juillet 1992), imposent la valorisation du gisement de matériaux existant dans les chaussées et de limiter l'apport de matériaux dits "nouveaux" dans l'entretien de ces chaussées. Ce document a pour objectif de recenser, en fonction de leur futur domaine d'emplois, les différentes pratiques existantes en matière de réutilisation des matériaux de chaussées issus de couches de surfaces et de couches d'assises. Il constitue donc une réponse à la nécessité de construire et entretenir les chaussées avec le souci d'une économie durable dans le respect des contraintes environnementales.Quatre techniques sont examinées : retraitement en place à froid ; retraitement en centrale à froid ; recyclage en place à chaud ; recyclage en centrale à chaud. Les deux premières concernent les matériaux d'assises (matériaux traités ou non avec un liant hydraulique) et les matériaux des couches de surface. Les deux dernières concernent les matériaux bitumineux de couches de surface ou de couches de base. Chacune des techniques est présentée avec ses avantages, son domaine et ses limites d'emploi.
  59. Edition (Ceremadoc) Résilience urbaine et gestion de crise : Séminaire organisé à Lyon du 28 au 30 septembre 2016

    Du 28 au 30 septembre 2016, s’est tenu à Lyon un séminaire franco-allemand sur la résilience urbaine et la gestion de crise. Ce séminaire a réuni des scientifiques, des experts et des praticiens de l’action publique de France et d’Allemagne pour aborder de façon interdisciplinaire et collective la complexité des situations qui génèrent la crise ou qui en résultent, la multiplicité des champs à investir pour améliorer la résilience, l’intégration des populations aux défis à relever, le recours aux nouvelles technologies. Des questions très pratiques ont ensuite été traitées comme la façon de se constituer en réseau en tissant une sorte de toile entre des organismes français et allemands. Parmi les idées qui ont émergé, on peut retenir le besoin de développer des approches intersectorielles, la nécessité d’être attentif aux problématiques transfrontalières, la mobilisation des nouvelles technologies, la question des infrastructures critiques et l’intérêt de repenser la sécurité en tenant compte des nouvelles énergies. Le séminaire de Lyon ouvre un véritable chantier pour développer la prévention des crises urbaines par le partage des connaissances et des expériences entre les deux pays européens. Introduction PREMIÈRE PARTIE Objet et portée du séminaire Systèmes urbains Le concept de résilience Thèmes et principes DEUXIÈME PARTIE Description du séminaire Intention et objectifs poursuivis Format et organisation En un coup d’oeil : séances plénières et séances de travail en groupes Programme et ordre du jour Séances de travail et composition des groupes TROISIÈME PARTIE Résultats des séances : 1re séance : Identifier les changements (analyse SWAP) 2e séance : Identifier les options pour une collaboration future 3e séance : Énoncer une vision (LAPCO) 4e séance : Élaborer une feuille de route QUATRIÈME PARTIE Présentations L'Atlas de la vulnérabilité et de la résilience Accident du tunnel du Mont-Blanc : la question de la résilience Activités européennes dans le domaine de la sécurité industrielle Conclusion Annexes Liste des participants Lectures recommandées
  60. Edition (Ceremadoc) Gestion intégrée de l’eau en milieu urbain - Fiche n°3 - Les filtres plantés de roseaux

    Les filtres plantés de roseaux (aménagements constitués d’un bassin rempli d’un substrat minéral plantés de roseaux ou de phragmites) permettent l’amélioration de la qualité de l’eau par filtration et dégradation des polluants. Ces aménagements peuvent être étanches ou permettre l’infiltration, en fonction du contexte et sont généralement couplés à d’autres ouvrages à l’amont (bassin de décantation) et à l’aval (zone de rejet).
  61. Edition (Ceremadoc) Caractérisation de systèmes d'endiguement à l'heure de la GEMAPI : Outils et retours d'expérience

    L’appel à partenaires GEMAPI a été lancé par le Cerema et INRAE en mai 2016 : il a permis d’accompagner dix collectivités dans cette prise de compétence, de répondre à des problématiques variées avec des solutions innovantes et de fournir des réponses adaptées et utiles à d’autres territoires. Le Cerema et INRAE ont travaillé conjointement sur le sujet des systèmes d’endiguement. Cette publication revient sur ces travaux, et notamment sur : • l’identification des zones soumises au risque inondation ; • l’identification des ouvrages et éléments naturels pouvant participer à la protection ; • l’identification des zones qu’ils protègent potentiellement ; • l’identification des enjeux présents dans ces zones.
  62. Edition (Ceremadoc) Culture du risque : Les clefs pour mieux impliquer les populations

    La culture du risque, c'est quoi ? Que faire en tant qu'élu ? Citoyen, acteur de sa propre sécurité ? Pourquoi développer la culture du risque ? Quelles actions pour une implication civile et citoyenne ? Par quelles actions renforcer la culture du risque sur mon territoire? Développer la culture du risque sur mon territoire : la boîte à outils
  63. Edition (Ceremadoc) Accompagner la compétence GEMAPI - Gestion des milieux aquatiques et prévention des inondations - Fiche n°10 : Partage d’expériences sur le bassin versant de l’Adour et le sous-bassin du gave de Pau amont

    La compétence de gestion des milieux aquatiques et de prévention des inondations (GEMAPI) est obligatoire depuis le 1er janvier 2018. L’ambition est de rendre plus cohérente et plus efficace l’organisation territoriale dans le domaine de l’eau pour relever les défis de restauration et de préservation des milieux aquatiques et de réduction de la vulnérabilité aux inondations. Des territoires avaient toutefois devancé l’échéance. 1. Un contexte marqué par le risque inondation 2. Anticipation de la prise de compétence par deux acteurs à une échelle adaptée 3. L’exercice de la compétence GEMAPI : de la coordination à l’opérationnel 4. Quels enseignements des premières étapes, quelles perspectives ?
  64. Edition (Ceremadoc) Pratiques de développement durable dans le bâtiment en France. Campagne d’évaluations 2006-2009. 30 opérations : Bpdd 27 : Résidence Les Fleurs (33)

    De nombreux bâtiments sont réputés « durables » (certifications HQE, Habitat Environnement...) ou affichent des performances, labels de nature énergétique sans que l'on ne sache : les qualités ou caractéristiques de ces bâtiments au moment de leur construction (les choix effectués) ou les performances réellement atteintes (par exemple sur le plan énergétique) ; comment ces bâtiments évoluent : fonctionnement, consommations, usages, lien avec la ville... Dans cette perspective, le ministère de l'écologie, du Développement durable, des transports et du logement a mené une campagne entre 2006 et 2010 d'analyses de 30 opérations de tous types, logements, bureaux, établissements scolaires, équipements sportifs...Il s'agit d'identifier, de présenter, d'évaluer des bâtiments présentant des progrès significatifs dans un domaine particulier (énergétique, économique, mais aussi évolutivité, usage, santé, eau...). A cet effet le CERTU, les CETEs et le CSTB, réunis dans un comité technique d'experts, ont développé des outils de référence : un guide de questionnement pour l'analyse et une fiche de restitution. Le travail de terrain a été assuré par un réseau d'expertise issu des spécialistes « Construction et Développement durable » des CETEs. Ces bâtiments (logements, équipements, tertiaire) devait être en service depuis au moins un an afin d'apprécier leurs performances réelles en exploitation et vis-à-vis de l'usage. Les réalisations ont été choisies autant sur leurs performances que sur la cohérence et la maîtrise des ambitions de durabilité depuis le programme jusqu'à la mise en service et la vie de l'équipement. À l'heure où les professionnels, et notamment les maîtres d'ouvrage, s'interrogent encore sur la viabilité économique de tels projets, mais aussi sur la manière la plus efficace de les mener, il s'agit de démythifier le coût du développement durable et de généraliser le progrès. Ainsi ont été établies 30 fiches monographiques mettant en avant les points forts de chaque opération selon cinq thèmes emblématiques des pratiques professionnelles liées au développement durable appliqué au bâtiment : gouvernance ; qualité urbaine, qualité d'usage, qualité environnementale, économie.
  65. Edition (Ceremadoc) Prise en compte de l'environnement dans les documents d'urbanisme. Série de fiches : Fiche n°02 - Inverser le regard... l'exemple du SCOT de l'agglomération de Montpellier

    Les fiches de cas sur la prise en compte de l'environnement dans les documents d'urbanisme ont pour objectif de présenter, sous l'angle environnement, différentes expériences de cartes communales, plans locaux d'urbanisme, schémas de cohérence territoriale, directives territoriales. Le principe retenu est de partir de documents de planification suffisamment avancés, pour que puisse être mis en exergue le travail réalisé en matière d'analyse de l'état initial de l'environnement et d'évaluation environnementale des choix retenus. Ces fiches à caractère pédagogique illustrent à partir d'exemples sélectionnés les nouvelles exigences législatives et réglementaires, les méthodes et démarches mises en place, l'organisation des maîtrise d'ouvrage et maîtrise d'œuvre, le jeu des acteurs locaux, les principaux thèmes abordés en fonction du contexte et des enjeux et locaux. Fiche n°1 Gérer les espaces naturels et agricoles... l'exemple du SCoT Métropole Savoie. Dans un contexte de croissance urbaine forte, la gestion des espaces naturels et agricoles s'est imposée dans l'élaboration du Schéma de Cohérence Territoriale (SCoT) de Métropole Savoie. Fiche n° 2 Inverser le regard... l'exemple du SCoT de l'agglomération de Montpellier. Le Schéma de Cohérence Territoriale (SCoT) de l'agglomération de Montpellier a l'ambition de préserver le « capital nature » de son territoire en mutation. Une démarche originale bouleversant le rapport ville/nature est alors mise en place : « inverser le regard ». Fiche n°3 Une étude paysagère pour la mise en application de la loi littoral... l'exemple du PLU de la commune de Granville. Les enseignements d'une étude paysagère sur les choix de développement d'une commune touristique littorale du pays de la Baie du Mont Saint-Michel. Fiche n° 4 Comment prendre en compte et traduire dans un PLU les risques d'inondations? L'expérience de la communauté de commune du Pays Granvillais. Fiche n° 5 Le Pays de Montbéliard, en quête d'attractivité à décidé d'utiliser son potentiel naturel afin de réaliser un projet structurant dans le SCoT... une infrastructure verte et bleue. Les différentes pièces du SCoT et plusieurs études sont téléchargeables sur le site de l'Agence de développement et d'urbanisme du Pays de Montbéliard (ADU). Fiche n° 6 À l'occasion de la révision de son PLU, la commune de Bonne entreprend de limiter la périurbanisation et la banalisation de ses paysages. Afin de maîtriser les zones ouvertes à l'urbanisation, l'approche de la commune et de son maître d'œuvre est double : paysagère environnementale notamment sur les fonctionnalités écologiques du territoire. Ici, le diagnostic environnemental et paysager dépasse le cadre des classiques inventaires (zones de protection, biodiversité,...). Ainsi, il prend en compte l'écologie du paysage en mettant en évidence son fonctionnement au niveau du territoire communal. Enfin, un règlement du PLU adapté à l'ambition de pérenniser durablement la richesse des milieux constituant le réseau écologique du territoire. Fiche n° 7 Mesures de protection environnementales, l'exemple du PLU de Saint-Romain-le-Puy (42). Saint-Romain-le-Puy (42) est une commune située au cœur de la plaine du Forez, un territoire riche en biodiversité. Face à des enjeux environnementaux importants : - Protéger les espaces naturels et agricoles de la pression foncière. - Concilier agriculture et environnement, la commune a intégré des mesures de protection environnementales (ou mesures conservatoires) dans son PLU
  66. Edition (Ceremadoc) Prévention et gestion des déchets issus de catastrophes naturelles : Démarche opérationnelle et fiches d’application

    Des coupures d’infrastructures, des dysfonctionnements de la collecte, du transport et du traitement des déchets, peuvent affecter la zone directement impactée et le territoire avoisinant. Les déchets produits lors de ces catastrophes, s’ils sont entreposés ou traités dans de mauvaises conditions, peuvent également entraîner des risques sanitaires et environnementaux. Le retour d’expérience des récentes catastrophes (pour se limiter à la France : tempête Xynthia en 2010, inondations de la Seine en 2016, cyclone Irma en 2017) a montré l’importance des enjeux associés à un système de collecte et de bon traitement de ces déchets «post-catastrophe». Au plan réglementaire, en termes de planification, les conseils généraux et régionaux doivent désormais prendre en compte ces déchets dans le cadre de la révision des plans de prévention et de gestion des déchets non dangereux et dangereux. En terme de gestion, une rubrique ICPE n°2719 a été créée, dédiée aux sites d’entreposage temporaire de déchets issus de catastrophes et de pollutions accidentelles marines ou fluviales. D’un point de vue opérationnel, la gestion des déchets issus de catastrophes, est portée par les collectivités, EPCI et communes adhérentes ayant la compétence déchets. 1- Introduction 2 - Contexte réglementaire Définitions Responsabilités Articulation avec les documents de planification des déchets non dangereux et dangereux 3 - Anticipation Identification des situations de crise Qualification des déchets post‑catastrophe Estimation de la quantité de déchets post‑catastrophe Actions de prévention Organisation et fonctionnement des zones de regroupement des déchets post‑catastrophe Communication Acteurs de la gestion des déchets 4 - Gestion des déchets Mise en oeuvre des zones de regroupement des déchets Suivi et contrôle des opérations Remise en état des zones de regroupement des déchets 5 - Bilan de la gestion des déchets 6 - Bibliographie
  67. Edition (Ceremadoc) Pratiques de développement durable dans le bâtiment en France. Campagne d’évaluations 2006-2009. 30 opérations : Bpdd 8 : Lycée Marie Reynoard (38)

    De nombreux bâtiments sont réputés « durables » (certifications HQE, Habitat Environnement...) ou affichent des performances, labels de nature énergétique sans que l'on ne sache : les qualités ou caractéristiques de ces bâtiments au moment de leur construction (les choix effectués) ou les performances réellement atteintes (par exemple sur le plan énergétique) ; comment ces bâtiments évoluent : fonctionnement, consommations, usages, lien avec la ville... Dans cette perspective, le ministère de l'écologie, du Développement durable, des transports et du logement a mené une campagne entre 2006 et 2010 d'analyses de 30 opérations de tous types, logements, bureaux, établissements scolaires, équipements sportifs...Il s'agit d'identifier, de présenter, d'évaluer des bâtiments présentant des progrès significatifs dans un domaine particulier (énergétique, économique, mais aussi évolutivité, usage, santé, eau...). A cet effet le CERTU, les CETEs et le CSTB, réunis dans un comité technique d'experts, ont développé des outils de référence : un guide de questionnement pour l'analyse et une fiche de restitution. Le travail de terrain a été assuré par un réseau d'expertise issu des spécialistes « Construction et Développement durable » des CETEs. Ces bâtiments (logements, équipements, tertiaire) devait être en service depuis au moins un an afin d'apprécier leurs performances réelles en exploitation et vis-à-vis de l'usage. Les réalisations ont été choisies autant sur leurs performances que sur la cohérence et la maîtrise des ambitions de durabilité depuis le programme jusqu'à la mise en service et la vie de l'équipement. À l'heure où les professionnels, et notamment les maîtres d'ouvrage, s'interrogent encore sur la viabilité économique de tels projets, mais aussi sur la manière la plus efficace de les mener, il s'agit de démythifier le coût du développement durable et de généraliser le progrès. Ainsi ont été établies 30 fiches monographiques mettant en avant les points forts de chaque opération selon cinq thèmes emblématiques des pratiques professionnelles liées au développement durable appliqué au bâtiment : gouvernance ; qualité urbaine, qualité d'usage, qualité environnementale, économie.
  68. Edition (Ceremadoc) L'ingénierie d'appui territorial au service du développement durable. Manuel de recommandations pour la prise en compte du développement durable dans la gestion du cycle de l’eau : Fascicule 2 : aménagement de bassin versant

    Destiné aux maîtres d’ouvrages et aux services déconcentrés qui les assistent est un manuel de recommandations visant à faciliter cette mise en œuvre, à travers un questionnement fondé sur la prise en compte des principes et des enjeux qui résultent des référentiels techniques, des textes réglementaires, des divers documents de planification et des expériences locales.
  69. Edition (Ceremadoc) Pratiques de développement durable dans le bâtiment en France. Campagne d’évaluations 2006-2009. 30 opérations : Bpdd 30 : Réhabilitation de la Tour Corse (44)

    De nombreux bâtiments sont réputés « durables » (certifications HQE, Habitat Environnement...) ou affichent des performances, labels de nature énergétique sans que l'on ne sache : les qualités ou caractéristiques de ces bâtiments au moment de leur construction (les choix effectués) ou les performances réellement atteintes (par exemple sur le plan énergétique) ; comment ces bâtiments évoluent : fonctionnement, consommations, usages, lien avec la ville... Dans cette perspective, le ministère de l'écologie, du Développement durable, des transports et du logement a mené une campagne entre 2006 et 2010 d'analyses de 30 opérations de tous types, logements, bureaux, établissements scolaires, équipements sportifs...Il s'agit d'identifier, de présenter, d'évaluer des bâtiments présentant des progrès significatifs dans un domaine particulier (énergétique, économique, mais aussi évolutivité, usage, santé, eau...). A cet effet le CERTU, les CETEs et le CSTB, réunis dans un comité technique d'experts, ont développé des outils de référence : un guide de questionnement pour l'analyse et une fiche de restitution. Le travail de terrain a été assuré par un réseau d'expertise issu des spécialistes « Construction et Développement durable » des CETEs. Ces bâtiments (logements, équipements, tertiaire) devait être en service depuis au moins un an afin d'apprécier leurs performances réelles en exploitation et vis-à-vis de l'usage. Les réalisations ont été choisies autant sur leurs performances que sur la cohérence et la maîtrise des ambitions de durabilité depuis le programme jusqu'à la mise en service et la vie de l'équipement. À l'heure où les professionnels, et notamment les maîtres d'ouvrage, s'interrogent encore sur la viabilité économique de tels projets, mais aussi sur la manière la plus efficace de les mener, il s'agit de démythifier le coût du développement durable et de généraliser le progrès. Ainsi ont été établies 30 fiches monographiques mettant en avant les points forts de chaque opération selon cinq thèmes emblématiques des pratiques professionnelles liées au développement durable appliqué au bâtiment : gouvernance ; qualité urbaine, qualité d'usage, qualité environnementale, économie.
  70. Edition (Ceremadoc) Projets routiers interurbains. Les études d'environnement dans les projets routiers : Guide méthodologique

    Ce guide est destiné à faciliter l'application du décret du 25 février 1993 sur les études d'impact, ainsi que de la circulaire et de l'instruction du 11 mars 1996 relatives à la prise en compte de l'environnement et du paysage pour ce qui concerne le réseau routier national. Ce volume est consacré aux infrastructures interurbaines. Il traite de la prise en compte de l'environnement aux différents niveaux d'études, ainsi que dans la phase chantier, dans un abord technique et pratique.Il présente : des recommandations générales relatives à la prise en compte de l'environnement dans la conduite du projet, l'environnement pratique, l'écoute et la concertation, des fiches thématiques qui traitent de la définition des thèmes environnementaux (l'eau, l'air, le milieu naturel, l'agriculture, la sylviculture, l'aménagement et l'urbanisme, le bruit, le patrimoine, le paysage, la qualité de l'air, et le climat, les risques et la sécurité), de la synthèse des études d'environnement, du chantier, des emprunts - dépôts, des conséquences sur l'exploitation et l'entretien, des documents annexes relatifs à la prise en compte de l'environnement selon le type de projet (réalisation de routes et d'autoroutes, aménagement de routes et autoroutes en service).
  71. Edition (Ceremadoc) Protections acoustiques : enjeux et modalités d'insertion dans le paysage

    L'étude acoustique a pour objectif d'étudier les solutions permettant de ramener le niveau de bruit au seuil autorisé par la réglementation en vigueur et de dimensionner des dispositifs de protection en fonction de la configuration de la voie, de son trafic (estimation, prévision) et de la situation des habitations. Cependant ces protections peuvent engendrer des impacts visuels et paysagers non négligeables à la fois pour les riverains et les usagers de l'infrastructure (fermeture visuelle, effet de coupure, arrière des protections, etc.). Le plus souvent situées en co-visibilité pour le riverain, ces premiers plans et leur qualité de traitement sont déterminants pour l'image et la qualité future de l'infrastructure. L'objectif de cette note d'information est de sensibiliser les concepteurs, les spécialistes du bruit et les paysagistes à l'intérêt d'une insertion globale des protections acoustiques dans le sens d'une meilleure adéquation entre protection contre le bruit, respect des paysages et du cadre de vie et mise en valeur des sites traversés. Préambule Rôle et enjeux des protections acoustiques L'enjeu des perceptions des protections acoustiques Caractéristiques des protections acoustiques Modalités d'insertion dans le contexte environnant Entretien Conclusion Bibliographie
  72. Edition (Ceremadoc) Protection contre les instabilités rocheuses - Dimensionnement et exécution des boulons

    Le premier chapitre de ce document évoque les principes d’utilisation des boulons scellés au coulis de ciment, en distinguant le comportement individuel d’un boulon du comportement intégré dans un dispositif de renforcement passif. Après ces quelques éléments technologiques, les principes de conception générale sont présentés. Le chapitre suivant aborde les méthodes de dimensionnement, les principales hypothèses adoptées, les paramètres utilisés et les coefficients de pondération de ces paramètres. Le chapitre 4 est consacré au choix des matériaux constitutifs des boulons scellés au coulis de ciment. Il s’agit des aciers, des ciments et autres produits de scellement et des accessoires. Le chapitre 5 s’adresse aux procédés de réalisation des boulons scellés au coulis de ciment dans le but d’évoquer les principaux aspects pratiques de la réalisation d’un dispositif de renforcement passif. Le guide se termine par des recommandations Avant-propos Règlement et terminologie Chapitre 1 - Introduction Chapitre 2 - Principe d’utilisation des boulons Cas d’utilisation courante des boulons Comportement individuel d’un boulons Comportement d’un dispositif de boulons Chapitre 3 - Études et conception d’un dispositif de boulonnage Principes généraux des études Éléments technologiques concernant les boulons Conception du dispositif de renforcement Chapitre 4 - Calcul du dispositif de renforcement Renforcement d’un bloc isolé en glissement plan Boulon sollicité en tête Application des Eurocodes au calcul des boulons Exemple d’application Les études Chapitre 5 - Matériaux constitutifs des boulons Choix des aciers Choix des ciments et produits de scellement Choix des accessoires Anticorrosion des aciers Chapitre 6 - Réalisation du dispositif de renforcement Principaux aspects pratiques Règles d’ordre technologique Méthodes de foration des trous Éléments de phasage de l’exécution d’un boulon Éléments d’exécution du dispositif de renforcement passif Éléments de contrôle Éléments d’auscultation Éléments de l’assurance qualité Réception des ouvrages - Récolement Bibliographie
  73. Edition (Ceremadoc) Projets routiers interurbains. Suivis et bilans environnementaux : Guide méthodologique

    Ce guide est destiné à faciliter l'application du décret du 25 février 1993 sur les études d'impact, ainsi que la circulaire et l'instruction du 11 mars 1996 relatives à la prise en compte de l'environnement et du paysage pour ce qui concerne le réseau routier national. Il traite à l'intention des responsables d'opérations et de leurs sous-traitants, de la réalisation, des suivis et des bilans environnementaux en ce qui concerne les liaisons interurbaines.Il comporte deux parties : la première partie traite des principes relatifs aux objectifs, au contenu, aux méthodes, à la diffusion, aux comités de suivi, en distinguant le cas des grands projets d'infrastructures de celui des autres projets. la deuxième partie "Eléments thématiques" présente, par thème et sous forme de fiches, les éléments susceptibles d'intervenir dans un bilan (le milieu physique, les eaux souterraines et les eaux de surface, le milieu naturel, l'agriculture et la sylviculture, le patrimoine, le paysage, l'urbanisme et l'usage de l'espace, la qualité de vie, le bruit, les aspects psychosociaux et les risques technologiques).
  74. Edition (Ceremadoc) Production des cartes de bruit stratégiques des grands axes routiers et ferroviaires : Guide méthodologique

    La directive européenne du 25 juin 2002 relative à l'évaluation et à la gestion du bruit dans l'environnement, transposée en droit français, impose la réalisation de cartes de bruit stratégiques et l'adoption de plans d'action dans les grandes agglomérations ainsi qu'aux abords des grandes infrastructures de transport. Le présent guide méthodologique expose des principes et des recommandations d'établissement des cartes de bruit stratégiques des grands axes routiers et ferroviaires visés par la première échéance de 2007. Il s'agit des infrastructures routières et autoroutières dont le trafic annuel est supérieur à 6 millions de véhicules ainsi que des infrastructures ferroviaires dont le trafic annuel est supérieur à 60 000 passages de train.Après un rappel organisé du contenu des textes réglementaires puis des commentaires sur leurs implications, le guide aborde successivement : l'organisation de la démarche ; le recueil de données ; les calculs acoustiques ; l'estimation des populations et des superficies exposées ; la présentation des résultats ; la publication des cartes. Des compléments techniques utiles figurent en annexe.
  75. Edition (Ceremadoc) Prise en compte du séisme et du tsunami dans la conception et l'évaluation des ouvrages portuaires extérieurs : Risques dynamiques pour les ouvrages maritimes et fluviaux. Fascicule 4

    En application du décret n°91-461 du 14 mai 1991 relatif à la prévention du risque sismique, des règles de constructions, d'aménagement et d'exploitation parasismiques devaient s'imposer aux ouvrages maritimes et fluviaux. Elaboré à l'intention des ingénieurs et des projeteurs, ce quatrième fascicule présente une méthodologie permettant d'une part, de concevoir et de justifier les ouvrages extérieurs vis à vis d'actions dynamiques (séismes et tsunamis) et d'autre part, de prendre en compte le risque lié aux actions dynamiques pour l'évaluation technique et le renforcement de ceux-ci. Les ouvrages visés par le guide sont: les digues à talus, les digues verticales, à parois absorbantes ou non, les brises-clapots, les talus sous-marins naturels, les barrières anti-tsunamis. Partie a - generalites 1.0 Presentation du guide 2.0 Retour d'experience 3.0 Prise en compte du seisme 3.1 determination de l'alea sismique 3.2 actions a considerer dans le calcul 3.3 pressions hydrodynamiques liees au seisme 4.0 Prise en compte du tsunami 5.0 Protection vis a vis du tsunami apportee par l'ouvrage Partie b - application et recommandations particulieres pour la conception et l'evaluation des ouvrages portuaires exterieurs 6.0 Digues a talus 6.1 prise en compte du seisme 6.1.1 conception et justification d'ouvrages neufs 6.1.2 evaluation et renforcement 6.2 prise en compte du tsunami 6.2.1 enseignements tires de l’etude de kamel 6.2.2 methodes de predimensionnement 7.0 Digues verticales : ouvrages poids 7.1 prise en compte du seisme 7.1.1 conception et justification d’ouvrages neufs 7.1.2 evaluation et renforcement 7.2 prise en compte du tsunami 8.0 Digues verticales sur pieux 8.1 prise en compte du seisme 8.2 prise en compte du tsunami 9.0 Brise-clapots flottants 9.1 prise en compte du seisme 9.2 prise en compte du tsunami 10.0 Barrieres antl-tsunamis 11.0 Talus sous-marins 11.1 prise en compte du seisme 11.2 prise en compte du tsunami 12.0 conclusion generale References Annexes annexe 1 annexe 2
  76. Edition (Ceremadoc) Prise en compte de l'environnement dans les documents d'urbanisme. Série de fiches : Fiche n°07 - Mesures de protection environnementales. L'exemple du PLU de Saint Romain le Puy

    Les fiches de cas sur la prise en compte de l'environnement dans les documents d'urbanisme ont pour objectif de présenter, sous l'angle environnement, différentes expériences de cartes communales, plans locaux d'urbanisme, schémas de cohérence territoriale, directives territoriales. Le principe retenu est de partir de documents de planification suffisamment avancés, pour que puisse être mis en exergue le travail réalisé en matière d'analyse de l'état initial de l'environnement et d'évaluation environnementale des choix retenus. Ces fiches à caractère pédagogique illustrent à partir d'exemples sélectionnés les nouvelles exigences législatives et réglementaires, les méthodes et démarches mises en place, l'organisation des maîtrise d'ouvrage et maîtrise d'œuvre, le jeu des acteurs locaux, les principaux thèmes abordés en fonction du contexte et des enjeux et locaux. Fiche n°1 Gérer les espaces naturels et agricoles... l'exemple du SCoT Métropole Savoie. Dans un contexte de croissance urbaine forte, la gestion des espaces naturels et agricoles s'est imposée dans l'élaboration du Schéma de Cohérence Territoriale (SCoT) de Métropole Savoie. Fiche n° 2 Inverser le regard... l'exemple du SCoT de l'agglomération de Montpellier. Le Schéma de Cohérence Territoriale (SCoT) de l'agglomération de Montpellier a l'ambition de préserver le « capital nature » de son territoire en mutation. Une démarche originale bouleversant le rapport ville/nature est alors mise en place : « inverser le regard ». Fiche n°3 Une étude paysagère pour la mise en application de la loi littoral... l'exemple du PLU de la commune de Granville. Les enseignements d'une étude paysagère sur les choix de développement d'une commune touristique littorale du pays de la Baie du Mont Saint-Michel. Fiche n° 4 Comment prendre en compte et traduire dans un PLU les risques d'inondations? L'expérience de la communauté de commune du Pays Granvillais. Fiche n° 5 Le Pays de Montbéliard, en quête d'attractivité à décidé d'utiliser son potentiel naturel afin de réaliser un projet structurant dans le SCoT... une infrastructure verte et bleue. Les différentes pièces du SCoT et plusieurs études sont téléchargeables sur le site de l'Agence de développement et d'urbanisme du Pays de Montbéliard (ADU). Fiche n° 6 À l'occasion de la révision de son PLU, la commune de Bonne entreprend de limiter la périurbanisation et la banalisation de ses paysages. Afin de maîtriser les zones ouvertes à l'urbanisation, l'approche de la commune et de son maître d'œuvre est double : paysagère environnementale notamment sur les fonctionnalités écologiques du territoire. Ici, le diagnostic environnemental et paysager dépasse le cadre des classiques inventaires (zones de protection, biodiversité,...). Ainsi, il prend en compte l'écologie du paysage en mettant en évidence son fonctionnement au niveau du territoire communal. Enfin, un règlement du PLU adapté à l'ambition de pérenniser durablement la richesse des milieux constituant le réseau écologique du territoire. Fiche n° 7 Mesures de protection environnementales, l'exemple du PLU de Saint-Romain-le-Puy (42). Saint-Romain-le-Puy (42) est une commune située au cœur de la plaine du Forez, un territoire riche en biodiversité. Face à des enjeux environnementaux importants : - Protéger les espaces naturels et agricoles de la pression foncière. - Concilier agriculture et environnement, la commune a intégré des mesures de protection environnementales (ou mesures conservatoires) dans son PLU
  77. Edition (Ceremadoc) Prise en compte de l'environnement dans les documents d'urbanisme. Série de fiches : Fiches 1 à 7

    Les fiches de cas sur la prise en compte de l'environnement dans les documents d'urbanisme ont pour objectif de présenter, sous l'angle environnement, différentes expériences de cartes communales, plans locaux d'urbanisme, schémas de cohérence territoriale, directives territoriales. Le principe retenu est de partir de documents de planification suffisamment avancés, pour que puisse être mis en exergue le travail réalisé en matière d'analyse de l'état initial de l'environnement et d'évaluation environnementale des choix retenus. Ces fiches à caractère pédagogique illustrent à partir d'exemples sélectionnés les nouvelles exigences législatives et réglementaires, les méthodes et démarches mises en place, l'organisation des maîtrise d'ouvrage et maîtrise d'œuvre, le jeu des acteurs locaux, les principaux thèmes abordés en fonction du contexte et des enjeux et locaux. Fiche n°1 Gérer les espaces naturels et agricoles... l'exemple du SCoT Métropole Savoie. Dans un contexte de croissance urbaine forte, la gestion des espaces naturels et agricoles s'est imposée dans l'élaboration du Schéma de Cohérence Territoriale (SCoT) de Métropole Savoie. Fiche n° 2 Inverser le regard... l'exemple du SCoT de l'agglomération de Montpellier. Le Schéma de Cohérence Territoriale (SCoT) de l'agglomération de Montpellier a l'ambition de préserver le « capital nature » de son territoire en mutation. Une démarche originale bouleversant le rapport ville/nature est alors mise en place : « inverser le regard ». Fiche n°3 Une étude paysagère pour la mise en application de la loi littoral... l'exemple du PLU de la commune de Granville. Les enseignements d'une étude paysagère sur les choix de développement d'une commune touristique littorale du pays de la Baie du Mont Saint-Michel. Fiche n° 4 Comment prendre en compte et traduire dans un PLU les risques d'inondations? L'expérience de la communauté de commune du Pays Granvillais. Fiche n° 5 Le Pays de Montbéliard, en quête d'attractivité à décidé d'utiliser son potentiel naturel afin de réaliser un projet structurant dans le SCoT... une infrastructure verte et bleue. Les différentes pièces du SCoT et plusieurs études sont téléchargeables sur le site de l'Agence de développement et d'urbanisme du Pays de Montbéliard (ADU). Fiche n° 6 À l'occasion de la révision de son PLU, la commune de Bonne entreprend de limiter la périurbanisation et la banalisation de ses paysages. Afin de maîtriser les zones ouvertes à l'urbanisation, l'approche de la commune et de son maître d'œuvre est double : paysagère environnementale notamment sur les fonctionnalités écologiques du territoire. Ici, le diagnostic environnemental et paysager dépasse le cadre des classiques inventaires (zones de protection, biodiversité,...). Ainsi, il prend en compte l'écologie du paysage en mettant en évidence son fonctionnement au niveau du territoire communal. Enfin, un règlement du PLU adapté à l'ambition de pérenniser durablement la richesse des milieux constituant le réseau écologique du territoire. Fiche n° 7 Mesures de protection environnementales, l'exemple du PLU de Saint-Romain-le-Puy (42). Saint-Romain-le-Puy (42) est une commune située au cœur de la plaine du Forez, un territoire riche en biodiversité. Face à des enjeux environnementaux importants : - Protéger les espaces naturels et agricoles de la pression foncière. - Concilier agriculture et environnement, la commune a intégré des mesures de protection environnementales (ou mesures conservatoires) dans son PLU
  78. Edition (Ceremadoc) Pratiques de développement durable dans le bâtiment en France. Campagne d’évaluations 2006-2009. 30 opérations : Bpdd 20 : Complexe sportif des Brosses (69)

    De nombreux bâtiments sont réputés « durables » (certifications HQE, Habitat Environnement...) ou affichent des performances, labels de nature énergétique sans que l'on ne sache : les qualités ou caractéristiques de ces bâtiments au moment de leur construction (les choix effectués) ou les performances réellement atteintes (par exemple sur le plan énergétique) ; comment ces bâtiments évoluent : fonctionnement, consommations, usages, lien avec la ville... Dans cette perspective, le ministère de l'écologie, du Développement durable, des transports et du logement a mené une campagne entre 2006 et 2010 d'analyses de 30 opérations de tous types, logements, bureaux, établissements scolaires, équipements sportifs...Il s'agit d'identifier, de présenter, d'évaluer des bâtiments présentant des progrès significatifs dans un domaine particulier (énergétique, économique, mais aussi évolutivité, usage, santé, eau...). A cet effet le CERTU, les CETEs et le CSTB, réunis dans un comité technique d'experts, ont développé des outils de référence : un guide de questionnement pour l'analyse et une fiche de restitution. Le travail de terrain a été assuré par un réseau d'expertise issu des spécialistes « Construction et Développement durable » des CETEs. Ces bâtiments (logements, équipements, tertiaire) devait être en service depuis au moins un an afin d'apprécier leurs performances réelles en exploitation et vis-à-vis de l'usage. Les réalisations ont été choisies autant sur leurs performances que sur la cohérence et la maîtrise des ambitions de durabilité depuis le programme jusqu'à la mise en service et la vie de l'équipement. À l'heure où les professionnels, et notamment les maîtres d'ouvrage, s'interrogent encore sur la viabilité économique de tels projets, mais aussi sur la manière la plus efficace de les mener, il s'agit de démythifier le coût du développement durable et de généraliser le progrès. Ainsi ont été établies 30 fiches monographiques mettant en avant les points forts de chaque opération selon cinq thèmes emblématiques des pratiques professionnelles liées au développement durable appliqué au bâtiment : gouvernance ; qualité urbaine, qualité d'usage, qualité environnementale, économie.
  79. Edition (Ceremadoc) Prise en compte du tsunami dans l'analyse et le renforcement des ouvrages intérieurs neufs : Risques dynamiques pour les ouvrages maritimes et fluviaux. Fascicule 2.

    En application du décret n°91-461 du 14 mai 1991 relatif à la prévention du risque sismique, des règles de constructions, d'aménagement et d'exploitation parasismiques devaient s'imposer aux ouvrages maritimes et fluviaux. Elaboré à l'intention des ingénieurs et des projeteurs, ce second fascicule traite des ouvrages portuaires intérieurs neufs vis-à-vis du tsunami: tsunamis de différentes origines (sismique, glissements de terrain), extension aux zones géographiques plus souvent affectées par le phénomène dans les Dom-Tom. 1.0 Introduction : définition et origine des tsunamis 2.0 Mécanismes de déclenchement - magnitude des tsunamis 2.1 mecanisme de declenchement des tsunamis sismiques 2.1.1 estimation de la magnitude des tsunamis sismiques 2.1.2 estimation des mouvements du fond marin 2.2 mecanisme de declenchement des tsunamis generes par un glissement de terrain 3.0 Caractéristiques et propagation de la vague creee par un tsunami 3.1 paramètres adimensionnels gouvernant la propagation des vagues de grande longueur d’onde 3.2 tsunami sismique 3.2.1 propagation depuis la zone de génération jusqu'à l'approche de la côte 3.2.2 amplification sur la côte 3.3 tsunamis generes par glissement de terrain 4.0 Tsunamis historiques et zonage du risque de tsunami 4.1 tsunamis sismiques 4.1.1 tsunamis historiques 4.1.2 essai de zonage du risque de tsunamis sismiques 4.2 tsunamis generes par glissements de terrain 4.2.1 tsunamis historiques 4.2.2 essai de zonage du risque de tsunami par glissement de terrain 5.0 Méthode pour l'estimation du " tsunami de projet " 6.0 Effet des tsunamis sur les ouvrages 7.0 Prise en compte du tsunami dans le calcul des ouvrages 7.1 ouvrages a la mer 7.2 ouvrages terrestres 8.0 Conclusion Références
  80. Edition (Ceremadoc) Réduire la vulnérabilité des réseaux urbains aux inondations

    Les multiples réseaux qui innervent la ville — électricité, gaz, télécommunications, déplacements, eau potable, etc. — sont particulièrement exposés aux inondations compte-tenu de leur structure et de leurs contraintes d'implantation. Leur défaillance contribue à aggraver les dommages d'inondation et ses conséquences peuvent être importantes : interruption des communications compliquant l'intervention des secours, arrêt d'activités économiques, interruption de la distribution d'eau potable, etc. Réduire la vulnérabilité des réseaux permet dans le meilleur des cas d'empêcher leur atteinte lors d'une inondation. Il s'agit d'aménagements bien souvent dictés par le bon sens, consistant à mettre le réseau ou les installations sensibles hors d'eau. Il peut s'agir aussi d'actions mises en œuvre dès la conception du réseau, lui permettant par exemple de résister le mieux possible aux atteintes de l'eau. À défaut, dans le cas où les réseaux seraient quand même atteints, il faut assurer la continuité du service, grâce à la mise en œuvre de moyens de substitution ou de maillage, comme par exemple des groupes électrogènes, des déviations, ou la distribution d'eau en bouteille, puis favoriser un retour à la normale dans les meilleures conditions. La réduction de la vulnérabilité des réseaux suppose un travail croisé entre les différents acteurs concernés — gestionnaires de réseaux et collectivités territoriales — et anticipé par rapport aux événements possibles.
  81. Edition (Ceremadoc) Réduction de la vulnérabilité aux inondations et valorisation urbaine

    Cet ouvrage a été réalisé à la suite du séminaire organisé par la DGPR à Béziers, en mars 2006 sur la réduction de la vulnérabilité des personnes et des biens aux inondations. Il propose un cadre méthodologique pour établir un diagnostic de vulnérabilité d'un quartier aux inondations. La méthodologie situe le quartier dans l'ensemble urbain et explicite ses relations à l'inondation. Au moment où la mise en œuvre de la directive inondation prévoit l'établissement de stratégies locales de gestion des inondations dans les territoires à risques d'inondation important, ce dossier aide les collectivités à évaluer la vulnérabilité des quartiers exposés pour rechercher des mesures de mitigation et pour développer la résilience de la population. 1 Présentation 1.1 De l’approche hydraulique à la « valorisation urbaine » 1.2 Présentation du document 1.3 Le quartier du Faubourg 2 Les étapes à suivre pour la conduite d’un diagnostic de quartier inondable 2.1 Décrire le quartier inondable et son contexte urbain 2.2 Évaluer le risque inondation sur le quartier 2.3 Faire la synthèse des approches « urbaine » et « inondation » 3 Les questions à se poser 3.1 Quelles sont l’identité de ce quartier et sa place dans l’ensemble urbain ? 3.2 Quelle est la relation de ce quartier à l’inondation ? 3.3 Qu’apporte le croisement de ces différentes analyses, quelle configuration d’ensemble ? 4 Principes et outils pour l’émergence d’une stratégie 4.1 Quelle(s) stratégie(s) possible(s) pour le quartier ? 4.2 Quelle méthode de travail ? 4.3 Quels outils ? 4.4 Les principales sources de données
  82. Edition (Ceremadoc) Quinze ans pour les observatoires du milieu naturel (1978-1993) : Note d'Information - Économie Environnement Conception - Série(EEC)

    Après avoir rappelé sa mission de suivi des opérations de réalisation d'infrastructures routières, la démarche et les méthodes ainsi que les conditions de mise en place, cette note définit les objectifs des observatoires des milieux naturels :- améliorer les connaissances des effets des aménagements routiers sur le milieu naturel,- vérifier la pertinence des prévisions et de la méthodologie,- vérifier l'efficacité des mesures de protection mises en oeuvre lors de la réalisation des ouvrages.Elle présente les résultats obtenus concernant :- les ressources en eau (eaux superficielles, stagnantes, pollutions chroniques et saisonnières des eaux superficielles et souterraines),- l'occupation des sols et de l'espace,- la végétation,- la petite et la grande faune,- les milieux naturels créés par les aménagements de sites.
  83. Edition (Ceremadoc) Recommandations pour la commande d’études d’infiltrabilité des sols

    De nombreuses collectivités mettent en place une gestion durable et intégrée des eaux pluviales qui consiste à les infiltrer dans le sol en tout ou partie. Aussi, lors d’un projet d’aménagement neuf ou d’une réhabilitation, il est nécessaire de réaliser, au préalable, une étude géotechnique comprenant des essais de perméabilité in situ afin de connaître la capacité d’absorption du sol. L’expérience montre que les cahiers des charges, rédigés dans cet objectif, sont souvent incomplets et aboutissent à des réponses du bureau d’études géotechnique qui ne correspondent pas aux objectifs et caractéristiques du projet. Ce guide a pour objectif d’apporter des éléments de compréhension du sujet et d’aider les acteurs de l’aménagement du territoire à rédiger une bonne commande dans le cadre d’études d’infiltrabilité des sols. 1. Pourquoi ces recommandations ? 2. Notions d’infiltrabilité et de perméabilité 3. Contexte réglementaire 4. Les terrains vis-à-vis de l’infiltrabilité 5. Les étapes d’un projet 6. Le projet et l’infiltrabilité 7. Annexe A : Référentiels 8. Annexe B : Exemple de projet 9. Annexe C : Fiche synthétique d’aide à la rédaction d’un cahier des charges de mission d’ingénierie géotechnique 10. Annexe D : glossaire
  84. Edition (Ceremadoc) Réduire la vulnérabilité des territoires aux inondations : Premiers exemples de réalisations

    Le territoire français est largement exposé aux inondations sous toutes leurs formes : débordement de cours d’eau, submersion, ruissellement, remontées de nappes, etc. Face à ce constat, la France s’est dotée en 2014 d’une stratégie nationale de gestion des risques d’inondation (SNGRI). Celle-ci s’est accompagnée en 2016 d’un Référentiel national de vulnérabilité aux inondations, qui fournit à la fois une méthode et des outils pour établir un diagnostic de vulnérabilité des territoires. Le présent ouvrage est composé de fiches décrivant de manière illustrée un éventail de mesures pour réduire la vulnérabilité aux inondations. Il prolonge ainsi le Référentiel en offrant des exemples pratiques pour faciliter la réalisation des mesures opérationnelles par les acteurs des territoires. Les fiches sont construites selon une trame commune : description sommaire, informations sur la mise en œuvre, exemples de réalisation et références pour les approfondir. Cet ouvrage a vocation à s’enrichir en continu en intégrant des mesures qui n’ont pas encore été décrites. Toute personne souhaitant contribuer est invitée à contacter le Cerema pour ajouter une fiche : inondations@cerema.fr Thème I - Connaissance du risque Thème II - Culture du risque Thème III - Alerte et gestion de crise Thème IV - Prise en compte du risque dans l’aménagement du territoire Thème V - Adaptation des enjeux existants Thème VI - Organisation de la post-crise
  85. Edition (Ceremadoc) Qualité de l'air et Plan local d'urbanisme : Recueil de fiches 01 à 05

    La série de fiches « Qualité de l’air et PLU » a pour vocation d’apporter un corpus de connaissance, dans le domaine de la qualité de l’air, aux acteurs locaux impliqués dans la réalisation et la mise en œuvre des documents de planification. Elle présente par ailleurs les leviers qu’il est possible d’actionner dans un PLU(i) pour réduire les émissions de polluants et protéger les populations.
  86. Edition (Ceremadoc) Recommandations pour le diagnostic et le suivi des remblais routiers

    Certaines évolutions peuvent nuire à la tenue à long terme du remblai et des pathologies plus ou moins néfastes peuvent apparaître. Le gestionnaire doit dépister, diagnostiquer, et hiérarchiser les éventuelles pathologies afin de proposer des mesures d’entretien et de réhabilitation efficaces et peu coûteuses. Afin d’accompagner le gestionnaire dans cette démarche, ce guide propose un ensemble de recommandations pour le diagnostic, l’entretien et la réhabilitation des remblais routiers en section courante et des remblais contigus aux ouvrages d’art. Il est utilisable pour une expertise ponctuelle comme pour le suivi à long terme de pathologies. Comme il est important d’avoir une idée précise de l’objet que l’on va diagnostiquer, la première partie de ce guide décrit la structure des remblais, leur fonctionnalité et leurs modes de construction. Ensuite, les différents types de désordres, leurs évolutions et leurs origines sont définis. La méthodologie de diagnostic et des exemples de techniques d’entretien et de réhabilitation des remblais terminent ce guide. Introduction 1 - Diagnostic d’un remblai : généralités Les trois types de remblais Que contient le diagnostic ? 2 - Description générale d’un remblai et de son environnement La constitution d’un remblai routier Les règles de conception des remblais Les règles de mise en oeuvre des remblais L’environnement immédiat du remblai 3 - Les évolutions et les désordres de remblais Les principales évolutions des remblais Le catalogue des désordres Les facteurs d’évolution défavorable 4 - Diagnostic des remblais La démarche générale Le prédiagnostic Du prédiagnostic au diagnostic 5 - Techniques d’investigation et de suivi Les techniques d’investigation Les techniques de suivi instrumenté Cas du recalcul de l’ouvrage en terre 6 - Repères pour l’entretien et la réparation des remblais La prévention des désordres Quelques principes de réparation des remblais Bibliographie Glossaire Annexes
  87. Edition (Ceremadoc) Raccordement des entreprises aux réseaux d’assainissement : Fiche n° 02 - Le rôle joué par le Parc naturel du Haut-Jura dans la gestion locale de l'eau

    Cette série de fiches est consacrée au partage et à la capitalisation d’expériences de collectivités. Elle présente des recommandations en matière de gestion des raccordements non domestiques aux réseaux d’assainissement.
  88. Edition (Ceremadoc) Recommandations pour la conception, le suivi de réalisation et l’exploitation des dispositifs de protection par merlons pare-blocs

    Les recommandations sont issues du retour d’expérience des membres du collectif de rédaction. Elles devront être améliorées pour ce qui concerne notamment l’utilisation des données issues des simulations trajectographiques, le détail du dimensionnement sous sollicitation dynamique (définition et quantification des actions, combinaisons d’actions, coefficients de sécurité, etc.), et les opérations de réparation et de réhabilitation. Un élargissement des retours d’expérience permettra de partager d’autres pistes de préconisations et recommandations. Un complément et une évolution de ces recommandations sont prévus dans le cadre de C2ROP 2 pour aboutir à un guide technique. Avant-propos Introduction Chapitre 1 - Portée et domaine d’application des recommandations Chapitre 2 - Synthèse bibliographique Contrôle de la trajectoire du bloc Comportement sous impact Chapitre 3 - Conception des dispositifs de protection par merlon Besoins du maître d’ouvrage Contraintes d’opération Principes généraux de conception Conception et dimensionnement du dispositif Préparation de l’opération de construction Chapitre 4 - Construction Dossier de Consultation des Entreprises et opérateur de construction Reconnaissances et informations préalables Etudes et suivi d’exécution, visa Contrôles Chapitre 5 - Exploitation La gestion des enjeux La maintenance Glossaire spécifique Références bibliographiques
  89. Edition (Ceremadoc) Adapter la gestion des bords de routes pour préserver les insectes pollinisateurs sauvages

    Les pollinisateurs représentent un enjeu important pour la biodiversité et l’alimentation humaine. Sans l’aide des pollinisateurs tels que les abeilles, les bourdons, les guêpes …, les cultures se limiteraient principalement aux céréales. Il est donc primordial de les protéger. Les surfaces végétalisées qui bordent les routes ou dépendances vertes comme les accotements, les fossés, les talus présentent un intérêt notable pour les pollinisateurs sauvages. Elles forment un corridor potentiellement important pour préserver la biodiversité dans un contexte de dégradation des habitats naturels. Cet ouvrage qui s’appuie sur des travaux de recherche concernant les pollinisateurs sauvages propose aux gestionnaires routiers des recommandations de gestion raisonnée des dépendances vertes adaptées aux pollinisateurs sauvages. Il est constitué de fiches traitant des enjeux et des caractéristiques des dépendances vertes routières, des besoins des pollinisateurs, de l’entretien et de la conception de ces espaces de biodiversité. Des fiches actions présentent ensuite les différents leviers potentiels pour améliorer l’accueil et le développement de la biodiversité notamment des pollinisateurs sauvages sur les dépendances vertes routières.
  90. Edition (Ceremadoc) Enjeux écologiques et projets de protection contre les inondations : Recommandations pour une prise en compte, des prémices du projet à l'exploitation des ouvrages

    Le présent guide, à destination des maîtres d’ouvrages et de leur appui technique, porte sur la démarche de prise en compte des enjeux écologiques dans les projets de travaux, et plus globalement d’interventions, sur les ouvrages de protection contre les risques d’inondation. Guide de bonnes pratiques, il vise à aider les maîtres d’ouvrage à assurer une juste prise en compte des enjeux écologiques, à optimiser le calendrier de leurs projets, ainsi qu’à faciliter l’autorisation administrative et la réalisation des travaux relatifs aux systèmes d’endiguements et aménagements hydrauliques. Il établit un lien avec la démarche PAPI (programme d’actions de prévention des inondations), et le nouveau cahier des charges PAPI 3 2021, dans le cadre d’une approche globale et intégrée et aborde plus précisément le sujet des systèmes d’endiguement. Cette publication s’inscrit en complémentarité avec les publications existantes traitant des ouvrages hydrauliques (notamment celles relatives aux études de dangers des systèmes d’endiguement) et du dispositif PAPI, que le lecteur est invité à consulter en tant que de besoin.
  91. Edition (Ceremadoc) Prise en compte des risques rocheux par les Maîtres d’ouvrage gestionnaires d’infrastructures : Guide méthodologique

    Ce document expose les principes directeurs de la gestion des risques rocheux pour les Maîtres d’ouvrage gestionnaires d’infrastructure, essentiellement de transport. C’est une note générique synthétique, formulant des recommandations générales, avec renvois à annexes pour approfondir certains points méthodologiques ou techniques. Vulgarisé mais à visée opérationnelle, il s’adresse avant tout à des professionnels qui ne connaissent pas encore bien le domaine. Ainsi, il couvre toutes les étapes de la gestion du risque rocheux, de sa connaissance à sa mitigation en passant par la surveillance et la gestion des évènements, que l’aléa soit connu (avec une politique de prévention éventuellement mise en œuvre), qu’il ne le soit pas ou qu’il soit plus important que prévu (nécessitant alors une gestion dans l’urgence). Il pose (1) les éléments de base relatifs à la définition du risque rocheux, ainsi que le cadre général de gestion des risques naturels en France, (2) une vision d’ensemble du cadre réglementaire et juridique dans lequel s’inscrivent les obligations du gestionnaire, accompagné d’un aperçu des évolutions de la jurisprudence, (3) les méthodes de gestion du risque rocheux, suivant le cycle général de gestion des risques, et (4) un panorama des contraintes d’exploitation et du cadre financier mobilisable.
  92. Edition (Ceremadoc) Changement climatique : Adapter les territoires littoraux

    L’augmentation continue de la population littorale et la probabilité importante de risques littoraux représentent un défi majeur pour les collectivités. Le dernier Plan national d’adaptation au changement climatique incite fortement les territoires à anticiper les impacts du changement climatique afin d’améliorer la prévention, la résilience, la préservation, favoriser l’adaptation et de mieux gérer les ressources.
  93. Edition (Ceremadoc) Rétrospective des dragages fluviaux en France : Période 2011-2017

    Les opérations de dragage sur les voies navigables et dans les ports du domaine public fluvial génèrent des volumes de sédiments importants, de l’ordre de 1,8 millions de mètres cubes par an, dont la gestion est coûteuse, surtout lorsqu’ils doivent être gérés à terre. Dans le double objectif d’inscrire la gestion de ces matériaux dans une logique d’économie circulaire et de limiter les dépenses, des filières de valorisation à terre doivent se développer. À cette fin, une meilleure connaissance du gisement de sédiments dragués est nécessaire. Dans cette perspective, le Cerema a réalisé une enquête auprès des gestionnaires des voies navigables et des ports du domaine public fluvial sur les opérations de dragage conduites en France de 2011 à 2017. Basé sur les réponses à cette enquête, ce rapport présente une synthèse des informations essentielles : les volumes de sédiments dragués, les objectifs et les caractéristiques techniques des opérations de dragage, les caractéristiques des sédiments et les filières de gestion de ces matériaux et enfin le coût des opérations de dragage.
  94. Edition (Ceremadoc) Zonage pluvial : Pour une gestion intégrée de l'eau

    L’urbanisation et l’imperméabilisation croissante des sols engendrent et accentuent les phénomènes d’inondations et de pollutions des milieux aquatiques. Le changement climatique renforce les risques liés à ces phénomènes. Le zonage pluvial contribue à rendre la ville plus résiliente. Le zonage pluvial est, pour la collectivité compétente, l’opportunité de mettre en place une gestion dite intégrée des eaux pluviales, qui s’inscrive dans une politique plus globale d’amélioration du cadre de vie et de l’environnement.
  95. Edition (Ceremadoc) Organiser la gouvernance de la compétence GEMAPI : Gestion des milieux aquatiques et prévention des inondations

    La prise de compétence GEMAPI, effective depuis le 1er janvier 2018, nécessite une gouvernance particulière avec une mise en cohérence du contenu, du périmètre géographique et des modes d’exercices entre acteurs locaux compétents. Cette fiche présente les différents leviers à actionner pour définir les périmètres géographique et fonctionnel, identifier les acteurs à associer, s’organiser pas à pas et gérer les interfaces avec d’autres compétences complémentaires à la GEMAPI… Elle s’appuie sur des travaux menés auprès de quatre collectivités dans le cadre de l’appel à partenaires lancé par le Cerema et INRAE sur la GEMAPI en 2016.
  96. Edition (Ceremadoc) Gestion intégrée de l’eau en milieu urbain - Fiche n°5 - Les îles végétalisées

    Les îles végétalisées sont des espaces en creux et perméables, de faible superficie, aménagées pour recevoir les eaux pluviales et favoriser l’infiltration. Elles peuvent être complétées par d’autres dispositifs (comme des puits d’infiltration) pour améliorer la gestion à la source des eaux pluviales, elles participent ainsi au service de régulation des inondations.
  97. Edition (Ceremadoc) Méthodes de reconnaissances des cavités : Synthèse des connaissances actuelles

    Ce guide recense les méthodes actuelles de reconnaissance des cavités et a été établi dans le cadre de la convention DGPR – IFSTTAR 2011, il constitue un élément de bibliographie pour le Plan National Cavité. Dans une première partie les typologies de cavités sont décrites, puis les phases de définition de l’aléa qui constitue un préalable, finalement sont développées les différentes méthodes de reconnaissances de cavités, qualifiées de physique, la géophysique et le sondage géotechnique. On retrouve en annexe un logigramme décisionnel qui permet, en fonction des situations rencontrées, de découvrir les méthodes préconisées. Ce document a vocation à donner à un donneur d’ordre les éléments de base, essentiels à la compréhension de la méthodologie de reconnaissance de cavités et constitue ainsi une aide à la rédaction d’un cahier des charges vis à vis des bureaux d’études. Télécharger le logigramme décisionnel (produit sur le logiciel Xmind)
  98. Edition (Ceremadoc) Monétarisation des impacts sur le bruit des projets routiers

    Ce rapport reprend tout d’abord les concepts de base de calcul de bruit. Il revient ensuite sur les principales méthodes de monétarisation du bruit et les valeurs et études de référence en Europe. Ensuite, une méthode de type top-down est appliquée en utilisant des cartes de bruit stratégiques en France et permet d’obtenir des coûts moyens du bruit. La quatrième partie est basée sur une méthode de type bottom-up qui permet de calculer un coefficient de marginalité du bruit à partir d’un modèle d’émission propagation de bruit simplifié. Enfin, une application est proposée sur un cas d’aménagement sur place sans l’utilisation d’une carte de bruit stratégique.
  99. Edition (Ceremadoc) Monétarisation des externalités environnementales : Rapport

    Il permet d’identifier les champs à investir pour faire évoluer les pratiques françaises actuelles. En outre, il cherche à quantifier, sur la base d’un exemple réel d’évaluation d’un projet routier, quelles seraient les conséquences sur les résultats du bilan socio-économique des évolutions possibles des valeurs tutélaires accordées aux externalités environnementales. L’étude s’intéresse aussi bien aux externalités environnementales pour lesquelles une valeur tutélaire est actuellement fixée (pollution atmosphérique, nuisances sonores, émissions de gaz à effet de serre) qu’aux externalités qui ne sont aujourd’hui pas prises en compte dans le calcul socio-économique (perte de biodiversité, pollution des eaux et des sols, effets de coupure, atteintes aux paysages).
  100. Edition (Ceremadoc) Prise en compte de l'environnement dans les documents d'urbanisme. Série de fiches : Fiche n°05 - Les infrastructures vertes et bleues intégrées dans un SCoT L'exemple du SCoT du Pays de Montbéliard

    Les fiches de cas sur la prise en compte de l'environnement dans les documents d'urbanisme ont pour objectif de présenter, sous l'angle environnement, différentes expériences de cartes communales, plans locaux d'urbanisme, schémas de cohérence territoriale, directives territoriales. Le principe retenu est de partir de documents de planification suffisamment avancés, pour que puisse être mis en exergue le travail réalisé en matière d'analyse de l'état initial de l'environnement et d'évaluation environnementale des choix retenus. Ces fiches à caractère pédagogique illustrent à partir d'exemples sélectionnés les nouvelles exigences législatives et réglementaires, les méthodes et démarches mises en place, l'organisation des maîtrise d'ouvrage et maîtrise d'œuvre, le jeu des acteurs locaux, les principaux thèmes abordés en fonction du contexte et des enjeux et locaux. Fiche n°1 Gérer les espaces naturels et agricoles... l'exemple du SCoT Métropole Savoie. Dans un contexte de croissance urbaine forte, la gestion des espaces naturels et agricoles s'est imposée dans l'élaboration du Schéma de Cohérence Territoriale (SCoT) de Métropole Savoie. Fiche n° 2 Inverser le regard... l'exemple du SCoT de l'agglomération de Montpellier. Le Schéma de Cohérence Territoriale (SCoT) de l'agglomération de Montpellier a l'ambition de préserver le « capital nature » de son territoire en mutation. Une démarche originale bouleversant le rapport ville/nature est alors mise en place : « inverser le regard ». Fiche n°3 Une étude paysagère pour la mise en application de la loi littoral... l'exemple du PLU de la commune de Granville. Les enseignements d'une étude paysagère sur les choix de développement d'une commune touristique littorale du pays de la Baie du Mont Saint-Michel. Fiche n° 4 Comment prendre en compte et traduire dans un PLU les risques d'inondations? L'expérience de la communauté de commune du Pays Granvillais. Fiche n° 5 Le Pays de Montbéliard, en quête d'attractivité à décidé d'utiliser son potentiel naturel afin de réaliser un projet structurant dans le SCoT... une infrastructure verte et bleue. Les différentes pièces du SCoT et plusieurs études sont téléchargeables sur le site de l'Agence de développement et d'urbanisme du Pays de Montbéliard (ADU). Fiche n° 6 À l'occasion de la révision de son PLU, la commune de Bonne entreprend de limiter la périurbanisation et la banalisation de ses paysages. Afin de maîtriser les zones ouvertes à l'urbanisation, l'approche de la commune et de son maître d'œuvre est double : paysagère environnementale notamment sur les fonctionnalités écologiques du territoire. Ici, le diagnostic environnemental et paysager dépasse le cadre des classiques inventaires (zones de protection, biodiversité,...). Ainsi, il prend en compte l'écologie du paysage en mettant en évidence son fonctionnement au niveau du territoire communal. Enfin, un règlement du PLU adapté à l'ambition de pérenniser durablement la richesse des milieux constituant le réseau écologique du territoire. Fiche n° 7 Mesures de protection environnementales, l'exemple du PLU de Saint-Romain-le-Puy (42). Saint-Romain-le-Puy (42) est une commune située au cœur de la plaine du Forez, un territoire riche en biodiversité. Face à des enjeux environnementaux importants : - Protéger les espaces naturels et agricoles de la pression foncière. - Concilier agriculture et environnement, la commune a intégré des mesures de protection environnementales (ou mesures conservatoires) dans son PLU
  101. Edition (Ceremadoc) Pratiques de développement durable dans le bâtiment en France. Campagne d’évaluations 2006-2009. 30 opérations : Bpdd 2 : Hennebont-Blavet-Habitat (56)

    De nombreux bâtiments sont réputés « durables » (certifications HQE, Habitat Environnement...) ou affichent des performances, labels de nature énergétique sans que l'on ne sache : les qualités ou caractéristiques de ces bâtiments au moment de leur construction (les choix effectués) ou les performances réellement atteintes (par exemple sur le plan énergétique) ; comment ces bâtiments évoluent : fonctionnement, consommations, usages, lien avec la ville... Dans cette perspective, le ministère de l'écologie, du Développement durable, des transports et du logement a mené une campagne entre 2006 et 2010 d'analyses de 30 opérations de tous types, logements, bureaux, établissements scolaires, équipements sportifs...Il s'agit d'identifier, de présenter, d'évaluer des bâtiments présentant des progrès significatifs dans un domaine particulier (énergétique, économique, mais aussi évolutivité, usage, santé, eau...). A cet effet le CERTU, les CETEs et le CSTB, réunis dans un comité technique d'experts, ont développé des outils de référence : un guide de questionnement pour l'analyse et une fiche de restitution. Le travail de terrain a été assuré par un réseau d'expertise issu des spécialistes « Construction et Développement durable » des CETEs. Ces bâtiments (logements, équipements, tertiaire) devait être en service depuis au moins un an afin d'apprécier leurs performances réelles en exploitation et vis-à-vis de l'usage. Les réalisations ont été choisies autant sur leurs performances que sur la cohérence et la maîtrise des ambitions de durabilité depuis le programme jusqu'à la mise en service et la vie de l'équipement. À l'heure où les professionnels, et notamment les maîtres d'ouvrage, s'interrogent encore sur la viabilité économique de tels projets, mais aussi sur la manière la plus efficace de les mener, il s'agit de démythifier le coût du développement durable et de généraliser le progrès. Ainsi ont été établies 30 fiches monographiques mettant en avant les points forts de chaque opération selon cinq thèmes emblématiques des pratiques professionnelles liées au développement durable appliqué au bâtiment : gouvernance ; qualité urbaine, qualité d'usage, qualité environnementale, économie.
  102. Edition (Ceremadoc) Pratiques de développement durable dans le bâtiment en France. Campagne d’évaluations 2006-2009. 30 opérations : Bpdd 21 : Restauration de la Grange Salomon (57)

    De nombreux bâtiments sont réputés « durables » (certifications HQE, Habitat Environnement...) ou affichent des performances, labels de nature énergétique sans que l'on ne sache : les qualités ou caractéristiques de ces bâtiments au moment de leur construction (les choix effectués) ou les performances réellement atteintes (par exemple sur le plan énergétique) ; comment ces bâtiments évoluent : fonctionnement, consommations, usages, lien avec la ville... Dans cette perspective, le ministère de l'écologie, du Développement durable, des transports et du logement a mené une campagne entre 2006 et 2010 d'analyses de 30 opérations de tous types, logements, bureaux, établissements scolaires, équipements sportifs...Il s'agit d'identifier, de présenter, d'évaluer des bâtiments présentant des progrès significatifs dans un domaine particulier (énergétique, économique, mais aussi évolutivité, usage, santé, eau...). A cet effet le CERTU, les CETEs et le CSTB, réunis dans un comité technique d'experts, ont développé des outils de référence : un guide de questionnement pour l'analyse et une fiche de restitution. Le travail de terrain a été assuré par un réseau d'expertise issu des spécialistes « Construction et Développement durable » des CETEs. Ces bâtiments (logements, équipements, tertiaire) devait être en service depuis au moins un an afin d'apprécier leurs performances réelles en exploitation et vis-à-vis de l'usage. Les réalisations ont été choisies autant sur leurs performances que sur la cohérence et la maîtrise des ambitions de durabilité depuis le programme jusqu'à la mise en service et la vie de l'équipement. À l'heure où les professionnels, et notamment les maîtres d'ouvrage, s'interrogent encore sur la viabilité économique de tels projets, mais aussi sur la manière la plus efficace de les mener, il s'agit de démythifier le coût du développement durable et de généraliser le progrès. Ainsi ont été établies 30 fiches monographiques mettant en avant les points forts de chaque opération selon cinq thèmes emblématiques des pratiques professionnelles liées au développement durable appliqué au bâtiment : gouvernance ; qualité urbaine, qualité d'usage, qualité environnementale, économie.
  103. Edition (Ceremadoc) Pratiques de développement durable dans le bâtiment en France. Campagne d’évaluations 2006-2009. 30 opérations : Bpdd 29 : Ecole Nicolas Hulot (56)

    De nombreux bâtiments sont réputés « durables » (certifications HQE, Habitat Environnement...) ou affichent des performances, labels de nature énergétique sans que l'on ne sache : les qualités ou caractéristiques de ces bâtiments au moment de leur construction (les choix effectués) ou les performances réellement atteintes (par exemple sur le plan énergétique) ; comment ces bâtiments évoluent : fonctionnement, consommations, usages, lien avec la ville... Dans cette perspective, le ministère de l'écologie, du Développement durable, des transports et du logement a mené une campagne entre 2006 et 2010 d'analyses de 30 opérations de tous types, logements, bureaux, établissements scolaires, équipements sportifs...Il s'agit d'identifier, de présenter, d'évaluer des bâtiments présentant des progrès significatifs dans un domaine particulier (énergétique, économique, mais aussi évolutivité, usage, santé, eau...). A cet effet le CERTU, les CETEs et le CSTB, réunis dans un comité technique d'experts, ont développé des outils de référence : un guide de questionnement pour l'analyse et une fiche de restitution. Le travail de terrain a été assuré par un réseau d'expertise issu des spécialistes « Construction et Développement durable » des CETEs. Ces bâtiments (logements, équipements, tertiaire) devait être en service depuis au moins un an afin d'apprécier leurs performances réelles en exploitation et vis-à-vis de l'usage. Les réalisations ont été choisies autant sur leurs performances que sur la cohérence et la maîtrise des ambitions de durabilité depuis le programme jusqu'à la mise en service et la vie de l'équipement. À l'heure où les professionnels, et notamment les maîtres d'ouvrage, s'interrogent encore sur la viabilité économique de tels projets, mais aussi sur la manière la plus efficace de les mener, il s'agit de démythifier le coût du développement durable et de généraliser le progrès. Ainsi ont été établies 30 fiches monographiques mettant en avant les points forts de chaque opération selon cinq thèmes emblématiques des pratiques professionnelles liées au développement durable appliqué au bâtiment : gouvernance ; qualité urbaine, qualité d'usage, qualité environnementale, économie.
  104. Edition (Ceremadoc) Pratiques de développement durable dans le bâtiment en France. Campagne d’évaluations 2006-2009. 30 opérations : Bpdd 26 : INEED (26)

    De nombreux bâtiments sont réputés « durables » (certifications HQE, Habitat Environnement...) ou affichent des performances, labels de nature énergétique sans que l'on ne sache : les qualités ou caractéristiques de ces bâtiments au moment de leur construction (les choix effectués) ou les performances réellement atteintes (par exemple sur le plan énergétique) ; comment ces bâtiments évoluent : fonctionnement, consommations, usages, lien avec la ville... Dans cette perspective, le ministère de l'écologie, du Développement durable, des transports et du logement a mené une campagne entre 2006 et 2010 d'analyses de 30 opérations de tous types, logements, bureaux, établissements scolaires, équipements sportifs...Il s'agit d'identifier, de présenter, d'évaluer des bâtiments présentant des progrès significatifs dans un domaine particulier (énergétique, économique, mais aussi évolutivité, usage, santé, eau...). A cet effet le CERTU, les CETEs et le CSTB, réunis dans un comité technique d'experts, ont développé des outils de référence : un guide de questionnement pour l'analyse et une fiche de restitution. Le travail de terrain a été assuré par un réseau d'expertise issu des spécialistes « Construction et Développement durable » des CETEs. Ces bâtiments (logements, équipements, tertiaire) devait être en service depuis au moins un an afin d'apprécier leurs performances réelles en exploitation et vis-à-vis de l'usage. Les réalisations ont été choisies autant sur leurs performances que sur la cohérence et la maîtrise des ambitions de durabilité depuis le programme jusqu'à la mise en service et la vie de l'équipement. À l'heure où les professionnels, et notamment les maîtres d'ouvrage, s'interrogent encore sur la viabilité économique de tels projets, mais aussi sur la manière la plus efficace de les mener, il s'agit de démythifier le coût du développement durable et de généraliser le progrès. Ainsi ont été établies 30 fiches monographiques mettant en avant les points forts de chaque opération selon cinq thèmes emblématiques des pratiques professionnelles liées au développement durable appliqué au bâtiment : gouvernance ; qualité urbaine, qualité d'usage, qualité environnementale, économie.
  105. Edition (Ceremadoc) Pratiques de développement durable dans le bâtiment en France. Campagne d’évaluations 2006-2009. 30 opérations : Bpdd 6 : Centre de dialyse Michel Basse (64)

    De nombreux bâtiments sont réputés « durables » (certifications HQE, Habitat Environnement...) ou affichent des performances, labels de nature énergétique sans que l'on ne sache : les qualités ou caractéristiques de ces bâtiments au moment de leur construction (les choix effectués) ou les performances réellement atteintes (par exemple sur le plan énergétique) ; comment ces bâtiments évoluent : fonctionnement, consommations, usages, lien avec la ville... Dans cette perspective, le ministère de l'écologie, du Développement durable, des transports et du logement a mené une campagne entre 2006 et 2010 d'analyses de 30 opérations de tous types, logements, bureaux, établissements scolaires, équipements sportifs...Il s'agit d'identifier, de présenter, d'évaluer des bâtiments présentant des progrès significatifs dans un domaine particulier (énergétique, économique, mais aussi évolutivité, usage, santé, eau...). A cet effet le CERTU, les CETEs et le CSTB, réunis dans un comité technique d'experts, ont développé des outils de référence : un guide de questionnement pour l'analyse et une fiche de restitution. Le travail de terrain a été assuré par un réseau d'expertise issu des spécialistes « Construction et Développement durable » des CETEs. Ces bâtiments (logements, équipements, tertiaire) devait être en service depuis au moins un an afin d'apprécier leurs performances réelles en exploitation et vis-à-vis de l'usage. Les réalisations ont été choisies autant sur leurs performances que sur la cohérence et la maîtrise des ambitions de durabilité depuis le programme jusqu'à la mise en service et la vie de l'équipement. À l'heure où les professionnels, et notamment les maîtres d'ouvrage, s'interrogent encore sur la viabilité économique de tels projets, mais aussi sur la manière la plus efficace de les mener, il s'agit de démythifier le coût du développement durable et de généraliser le progrès. Ainsi ont été établies 30 fiches monographiques mettant en avant les points forts de chaque opération selon cinq thèmes emblématiques des pratiques professionnelles liées au développement durable appliqué au bâtiment : gouvernance ; qualité urbaine, qualité d'usage, qualité environnementale, économie.
  106. Edition (Ceremadoc) Pratiques de développement durable dans le bâtiment en France. Campagne d’évaluations 2006-2009. 30 opérations : Bpdd 17 : 20 logements

    De nombreux bâtiments sont réputés « durables » (certifications HQE, Habitat Environnement...) ou affichent des performances, labels de nature énergétique sans que l'on ne sache : les qualités ou caractéristiques de ces bâtiments au moment de leur construction (les choix effectués) ou les performances réellement atteintes (par exemple sur le plan énergétique) ; comment ces bâtiments évoluent : fonctionnement, consommations, usages, lien avec la ville... Dans cette perspective, le ministère de l'écologie, du Développement durable, des transports et du logement a mené une campagne entre 2006 et 2010 d'analyses de 30 opérations de tous types, logements, bureaux, établissements scolaires, équipements sportifs...Il s'agit d'identifier, de présenter, d'évaluer des bâtiments présentant des progrès significatifs dans un domaine particulier (énergétique, économique, mais aussi évolutivité, usage, santé, eau...). A cet effet le CERTU, les CETEs et le CSTB, réunis dans un comité technique d'experts, ont développé des outils de référence : un guide de questionnement pour l'analyse et une fiche de restitution. Le travail de terrain a été assuré par un réseau d'expertise issu des spécialistes « Construction et Développement durable » des CETEs. Ces bâtiments (logements, équipements, tertiaire) devait être en service depuis au moins un an afin d'apprécier leurs performances réelles en exploitation et vis-à-vis de l'usage. Les réalisations ont été choisies autant sur leurs performances que sur la cohérence et la maîtrise des ambitions de durabilité depuis le programme jusqu'à la mise en service et la vie de l'équipement. À l'heure où les professionnels, et notamment les maîtres d'ouvrage, s'interrogent encore sur la viabilité économique de tels projets, mais aussi sur la manière la plus efficace de les mener, il s'agit de démythifier le coût du développement durable et de généraliser le progrès. Ainsi ont été établies 30 fiches monographiques mettant en avant les points forts de chaque opération selon cinq thèmes emblématiques des pratiques professionnelles liées au développement durable appliqué au bâtiment : gouvernance ; qualité urbaine, qualité d'usage, qualité environnementale, économie.
  107. Edition (Ceremadoc) Pratiques de développement durable dans le bâtiment en France. Campagne d’évaluations 2006-2009. 30 opérations : Bpdd 16 : Restauration scolaire de Lompret (59)

    De nombreux bâtiments sont réputés « durables » (certifications HQE, Habitat Environnement...) ou affichent des performances, labels de nature énergétique sans que l'on ne sache : les qualités ou caractéristiques de ces bâtiments au moment de leur construction (les choix effectués) ou les performances réellement atteintes (par exemple sur le plan énergétique) ; comment ces bâtiments évoluent : fonctionnement, consommations, usages, lien avec la ville... Dans cette perspective, le ministère de l'écologie, du Développement durable, des transports et du logement a mené une campagne entre 2006 et 2010 d'analyses de 30 opérations de tous types, logements, bureaux, établissements scolaires, équipements sportifs...Il s'agit d'identifier, de présenter, d'évaluer des bâtiments présentant des progrès significatifs dans un domaine particulier (énergétique, économique, mais aussi évolutivité, usage, santé, eau...). A cet effet le CERTU, les CETEs et le CSTB, réunis dans un comité technique d'experts, ont développé des outils de référence : un guide de questionnement pour l'analyse et une fiche de restitution. Le travail de terrain a été assuré par un réseau d'expertise issu des spécialistes « Construction et Développement durable » des CETEs. Ces bâtiments (logements, équipements, tertiaire) devait être en service depuis au moins un an afin d'apprécier leurs performances réelles en exploitation et vis-à-vis de l'usage. Les réalisations ont été choisies autant sur leurs performances que sur la cohérence et la maîtrise des ambitions de durabilité depuis le programme jusqu'à la mise en service et la vie de l'équipement. À l'heure où les professionnels, et notamment les maîtres d'ouvrage, s'interrogent encore sur la viabilité économique de tels projets, mais aussi sur la manière la plus efficace de les mener, il s'agit de démythifier le coût du développement durable et de généraliser le progrès. Ainsi ont été établies 30 fiches monographiques mettant en avant les points forts de chaque opération selon cinq thèmes emblématiques des pratiques professionnelles liées au développement durable appliqué au bâtiment : gouvernance ; qualité urbaine, qualité d'usage, qualité environnementale, économie.
  108. Edition (Ceremadoc) Pratiques de développement durable dans le bâtiment en France. Campagne d’évaluations 2006-2009. 30 opérations : Bpdd 5 : Maison de retraite

    De nombreux bâtiments sont réputés « durables » (certifications HQE, Habitat Environnement...) ou affichent des performances, labels de nature énergétique sans que l'on ne sache : les qualités ou caractéristiques de ces bâtiments au moment de leur construction (les choix effectués) ou les performances réellement atteintes (par exemple sur le plan énergétique) ; comment ces bâtiments évoluent : fonctionnement, consommations, usages, lien avec la ville... Dans cette perspective, le ministère de l'écologie, du Développement durable, des transports et du logement a mené une campagne entre 2006 et 2010 d'analyses de 30 opérations de tous types, logements, bureaux, établissements scolaires, équipements sportifs...Il s'agit d'identifier, de présenter, d'évaluer des bâtiments présentant des progrès significatifs dans un domaine particulier (énergétique, économique, mais aussi évolutivité, usage, santé, eau...). A cet effet le CERTU, les CETEs et le CSTB, réunis dans un comité technique d'experts, ont développé des outils de référence : un guide de questionnement pour l'analyse et une fiche de restitution. Le travail de terrain a été assuré par un réseau d'expertise issu des spécialistes « Construction et Développement durable » des CETEs. Ces bâtiments (logements, équipements, tertiaire) devait être en service depuis au moins un an afin d'apprécier leurs performances réelles en exploitation et vis-à-vis de l'usage. Les réalisations ont été choisies autant sur leurs performances que sur la cohérence et la maîtrise des ambitions de durabilité depuis le programme jusqu'à la mise en service et la vie de l'équipement. À l'heure où les professionnels, et notamment les maîtres d'ouvrage, s'interrogent encore sur la viabilité économique de tels projets, mais aussi sur la manière la plus efficace de les mener, il s'agit de démythifier le coût du développement durable et de généraliser le progrès. Ainsi ont été établies 30 fiches monographiques mettant en avant les points forts de chaque opération selon cinq thèmes emblématiques des pratiques professionnelles liées au développement durable appliqué au bâtiment : gouvernance ; qualité urbaine, qualité d'usage, qualité environnementale, économie.
  109. Edition (Ceremadoc) Pratiques de développement durable dans le bâtiment en France. Campagne d’évaluations 2006-2009. 30 opérations : Bpdd 28 : Cité Wagner (88)

    De nombreux bâtiments sont réputés « durables » (certifications HQE, Habitat Environnement...) ou affichent des performances, labels de nature énergétique sans que l'on ne sache : les qualités ou caractéristiques de ces bâtiments au moment de leur construction (les choix effectués) ou les performances réellement atteintes (par exemple sur le plan énergétique) ; comment ces bâtiments évoluent : fonctionnement, consommations, usages, lien avec la ville... Dans cette perspective, le ministère de l'écologie, du Développement durable, des transports et du logement a mené une campagne entre 2006 et 2010 d'analyses de 30 opérations de tous types, logements, bureaux, établissements scolaires, équipements sportifs...Il s'agit d'identifier, de présenter, d'évaluer des bâtiments présentant des progrès significatifs dans un domaine particulier (énergétique, économique, mais aussi évolutivité, usage, santé, eau...). A cet effet le CERTU, les CETEs et le CSTB, réunis dans un comité technique d'experts, ont développé des outils de référence : un guide de questionnement pour l'analyse et une fiche de restitution. Le travail de terrain a été assuré par un réseau d'expertise issu des spécialistes « Construction et Développement durable » des CETEs. Ces bâtiments (logements, équipements, tertiaire) devait être en service depuis au moins un an afin d'apprécier leurs performances réelles en exploitation et vis-à-vis de l'usage. Les réalisations ont été choisies autant sur leurs performances que sur la cohérence et la maîtrise des ambitions de durabilité depuis le programme jusqu'à la mise en service et la vie de l'équipement. À l'heure où les professionnels, et notamment les maîtres d'ouvrage, s'interrogent encore sur la viabilité économique de tels projets, mais aussi sur la manière la plus efficace de les mener, il s'agit de démythifier le coût du développement durable et de généraliser le progrès. Ainsi ont été établies 30 fiches monographiques mettant en avant les points forts de chaque opération selon cinq thèmes emblématiques des pratiques professionnelles liées au développement durable appliqué au bâtiment : gouvernance ; qualité urbaine, qualité d'usage, qualité environnementale, économie.
  110. Edition (Ceremadoc) Pratiques de développement durable dans le bâtiment en France. Campagne d’évaluations 2006-2009. 30 opérations : Bpdd 23 : Restaurant inter-administratif (69)

    De nombreux bâtiments sont réputés « durables » (certifications HQE, Habitat Environnement...) ou affichent des performances, labels de nature énergétique sans que l'on ne sache : les qualités ou caractéristiques de ces bâtiments au moment de leur construction (les choix effectués) ou les performances réellement atteintes (par exemple sur le plan énergétique) ; comment ces bâtiments évoluent : fonctionnement, consommations, usages, lien avec la ville... Dans cette perspective, le ministère de l'écologie, du Développement durable, des transports et du logement a mené une campagne entre 2006 et 2010 d'analyses de 30 opérations de tous types, logements, bureaux, établissements scolaires, équipements sportifs...Il s'agit d'identifier, de présenter, d'évaluer des bâtiments présentant des progrès significatifs dans un domaine particulier (énergétique, économique, mais aussi évolutivité, usage, santé, eau...). A cet effet le CERTU, les CETEs et le CSTB, réunis dans un comité technique d'experts, ont développé des outils de référence : un guide de questionnement pour l'analyse et une fiche de restitution. Le travail de terrain a été assuré par un réseau d'expertise issu des spécialistes « Construction et Développement durable » des CETEs. Ces bâtiments (logements, équipements, tertiaire) devait être en service depuis au moins un an afin d'apprécier leurs performances réelles en exploitation et vis-à-vis de l'usage. Les réalisations ont été choisies autant sur leurs performances que sur la cohérence et la maîtrise des ambitions de durabilité depuis le programme jusqu'à la mise en service et la vie de l'équipement. À l'heure où les professionnels, et notamment les maîtres d'ouvrage, s'interrogent encore sur la viabilité économique de tels projets, mais aussi sur la manière la plus efficace de les mener, il s'agit de démythifier le coût du développement durable et de généraliser le progrès. Ainsi ont été établies 30 fiches monographiques mettant en avant les points forts de chaque opération selon cinq thèmes emblématiques des pratiques professionnelles liées au développement durable appliqué au bâtiment : gouvernance ; qualité urbaine, qualité d'usage, qualité environnementale, économie.
  111. Edition (Ceremadoc) Pratiques de développement durable dans le bâtiment en France. Campagne d’évaluations 2006-2009. 30 opérations : Bpdd 4 : Université des sciences et technologies de Lille (59)

    De nombreux bâtiments sont réputés « durables » (certifications HQE, Habitat Environnement...) ou affichent des performances, labels de nature énergétique sans que l'on ne sache : les qualités ou caractéristiques de ces bâtiments au moment de leur construction (les choix effectués) ou les performances réellement atteintes (par exemple sur le plan énergétique) ; comment ces bâtiments évoluent : fonctionnement, consommations, usages, lien avec la ville... Dans cette perspective, le ministère de l'écologie, du Développement durable, des transports et du logement a mené une campagne entre 2006 et 2010 d'analyses de 30 opérations de tous types, logements, bureaux, établissements scolaires, équipements sportifs...Il s'agit d'identifier, de présenter, d'évaluer des bâtiments présentant des progrès significatifs dans un domaine particulier (énergétique, économique, mais aussi évolutivité, usage, santé, eau...). A cet effet le CERTU, les CETEs et le CSTB, réunis dans un comité technique d'experts, ont développé des outils de référence : un guide de questionnement pour l'analyse et une fiche de restitution. Le travail de terrain a été assuré par un réseau d'expertise issu des spécialistes « Construction et Développement durable » des CETEs. Ces bâtiments (logements, équipements, tertiaire) devait être en service depuis au moins un an afin d'apprécier leurs performances réelles en exploitation et vis-à-vis de l'usage. Les réalisations ont été choisies autant sur leurs performances que sur la cohérence et la maîtrise des ambitions de durabilité depuis le programme jusqu'à la mise en service et la vie de l'équipement. À l'heure où les professionnels, et notamment les maîtres d'ouvrage, s'interrogent encore sur la viabilité économique de tels projets, mais aussi sur la manière la plus efficace de les mener, il s'agit de démythifier le coût du développement durable et de généraliser le progrès. Ainsi ont été établies 30 fiches monographiques mettant en avant les points forts de chaque opération selon cinq thèmes emblématiques des pratiques professionnelles liées au développement durable appliqué au bâtiment : gouvernance ; qualité urbaine, qualité d'usage, qualité environnementale, économie.
  112. Edition (Ceremadoc) Pratiques de développement durable dans le bâtiment en France. Campagne d’évaluations 2006-2009. 30 opérations : Bpdd 22 : Réhabilitation de la Maison diocésaine (51)

    De nombreux bâtiments sont réputés « durables » (certifications HQE, Habitat Environnement...) ou affichent des performances, labels de nature énergétique sans que l'on ne sache : les qualités ou caractéristiques de ces bâtiments au moment de leur construction (les choix effectués) ou les performances réellement atteintes (par exemple sur le plan énergétique) ; comment ces bâtiments évoluent : fonctionnement, consommations, usages, lien avec la ville... Dans cette perspective, le ministère de l'écologie, du Développement durable, des transports et du logement a mené une campagne entre 2006 et 2010 d'analyses de 30 opérations de tous types, logements, bureaux, établissements scolaires, équipements sportifs...Il s'agit d'identifier, de présenter, d'évaluer des bâtiments présentant des progrès significatifs dans un domaine particulier (énergétique, économique, mais aussi évolutivité, usage, santé, eau...). A cet effet le CERTU, les CETEs et le CSTB, réunis dans un comité technique d'experts, ont développé des outils de référence : un guide de questionnement pour l'analyse et une fiche de restitution. Le travail de terrain a été assuré par un réseau d'expertise issu des spécialistes « Construction et Développement durable » des CETEs. Ces bâtiments (logements, équipements, tertiaire) devait être en service depuis au moins un an afin d'apprécier leurs performances réelles en exploitation et vis-à-vis de l'usage. Les réalisations ont été choisies autant sur leurs performances que sur la cohérence et la maîtrise des ambitions de durabilité depuis le programme jusqu'à la mise en service et la vie de l'équipement. À l'heure où les professionnels, et notamment les maîtres d'ouvrage, s'interrogent encore sur la viabilité économique de tels projets, mais aussi sur la manière la plus efficace de les mener, il s'agit de démythifier le coût du développement durable et de généraliser le progrès. Ainsi ont été établies 30 fiches monographiques mettant en avant les points forts de chaque opération selon cinq thèmes emblématiques des pratiques professionnelles liées au développement durable appliqué au bâtiment : gouvernance ; qualité urbaine, qualité d'usage, qualité environnementale, économie.
  113. Edition (Ceremadoc) Prise en compte de l'environnement dans les documents d'urbanisme. Série de fiches : Fiche n°04 - Evaluation des risques d'inondations et traduction réglementaire dans les PLU - Le Pays Granvillais

    Les fiches de cas sur la prise en compte de l'environnement dans les documents d'urbanisme ont pour objectif de présenter, sous l'angle environnement, différentes expériences de cartes communales, plans locaux d'urbanisme, schémas de cohérence territoriale, directives territoriales. Le principe retenu est de partir de documents de planification suffisamment avancés, pour que puisse être mis en exergue le travail réalisé en matière d'analyse de l'état initial de l'environnement et d'évaluation environnementale des choix retenus. Ces fiches à caractère pédagogique illustrent à partir d'exemples sélectionnés les nouvelles exigences législatives et réglementaires, les méthodes et démarches mises en place, l'organisation des maîtrise d'ouvrage et maîtrise d'œuvre, le jeu des acteurs locaux, les principaux thèmes abordés en fonction du contexte et des enjeux et locaux. Fiche n°1 Gérer les espaces naturels et agricoles... l'exemple du SCoT Métropole Savoie. Dans un contexte de croissance urbaine forte, la gestion des espaces naturels et agricoles s'est imposée dans l'élaboration du Schéma de Cohérence Territoriale (SCoT) de Métropole Savoie. Fiche n° 2 Inverser le regard... l'exemple du SCoT de l'agglomération de Montpellier. Le Schéma de Cohérence Territoriale (SCoT) de l'agglomération de Montpellier a l'ambition de préserver le « capital nature » de son territoire en mutation. Une démarche originale bouleversant le rapport ville/nature est alors mise en place : « inverser le regard ». Fiche n°3 Une étude paysagère pour la mise en application de la loi littoral... l'exemple du PLU de la commune de Granville. Les enseignements d'une étude paysagère sur les choix de développement d'une commune touristique littorale du pays de la Baie du Mont Saint-Michel. Fiche n° 4 Comment prendre en compte et traduire dans un PLU les risques d'inondations? L'expérience de la communauté de commune du Pays Granvillais. Fiche n° 5 Le Pays de Montbéliard, en quête d'attractivité à décidé d'utiliser son potentiel naturel afin de réaliser un projet structurant dans le SCoT... une infrastructure verte et bleue. Les différentes pièces du SCoT et plusieurs études sont téléchargeables sur le site de l'Agence de développement et d'urbanisme du Pays de Montbéliard (ADU). Fiche n° 6 À l'occasion de la révision de son PLU, la commune de Bonne entreprend de limiter la périurbanisation et la banalisation de ses paysages. Afin de maîtriser les zones ouvertes à l'urbanisation, l'approche de la commune et de son maître d'œuvre est double : paysagère environnementale notamment sur les fonctionnalités écologiques du territoire. Ici, le diagnostic environnemental et paysager dépasse le cadre des classiques inventaires (zones de protection, biodiversité,...). Ainsi, il prend en compte l'écologie du paysage en mettant en évidence son fonctionnement au niveau du territoire communal. Enfin, un règlement du PLU adapté à l'ambition de pérenniser durablement la richesse des milieux constituant le réseau écologique du territoire. Fiche n° 7 Mesures de protection environnementales, l'exemple du PLU de Saint-Romain-le-Puy (42). Saint-Romain-le-Puy (42) est une commune située au cœur de la plaine du Forez, un territoire riche en biodiversité. Face à des enjeux environnementaux importants : - Protéger les espaces naturels et agricoles de la pression foncière. - Concilier agriculture et environnement, la commune a intégré des mesures de protection environnementales (ou mesures conservatoires) dans son PLU
  114. Edition (Ceremadoc) Pratiques de développement durable dans le bâtiment en France. Campagne d’évaluations 2006-2009. 30 opérations : Bpdd 9 : Résidence Belle-ile (35)

    De nombreux bâtiments sont réputés « durables » (certifications HQE, Habitat Environnement...) ou affichent des performances, labels de nature énergétique sans que l'on ne sache : les qualités ou caractéristiques de ces bâtiments au moment de leur construction (les choix effectués) ou les performances réellement atteintes (par exemple sur le plan énergétique) ; comment ces bâtiments évoluent : fonctionnement, consommations, usages, lien avec la ville... Dans cette perspective, le ministère de l'écologie, du Développement durable, des transports et du logement a mené une campagne entre 2006 et 2010 d'analyses de 30 opérations de tous types, logements, bureaux, établissements scolaires, équipements sportifs...Il s'agit d'identifier, de présenter, d'évaluer des bâtiments présentant des progrès significatifs dans un domaine particulier (énergétique, économique, mais aussi évolutivité, usage, santé, eau...). A cet effet le CERTU, les CETEs et le CSTB, réunis dans un comité technique d'experts, ont développé des outils de référence : un guide de questionnement pour l'analyse et une fiche de restitution. Le travail de terrain a été assuré par un réseau d'expertise issu des spécialistes « Construction et Développement durable » des CETEs. Ces bâtiments (logements, équipements, tertiaire) devait être en service depuis au moins un an afin d'apprécier leurs performances réelles en exploitation et vis-à-vis de l'usage. Les réalisations ont été choisies autant sur leurs performances que sur la cohérence et la maîtrise des ambitions de durabilité depuis le programme jusqu'à la mise en service et la vie de l'équipement. À l'heure où les professionnels, et notamment les maîtres d'ouvrage, s'interrogent encore sur la viabilité économique de tels projets, mais aussi sur la manière la plus efficace de les mener, il s'agit de démythifier le coût du développement durable et de généraliser le progrès. Ainsi ont été établies 30 fiches monographiques mettant en avant les points forts de chaque opération selon cinq thèmes emblématiques des pratiques professionnelles liées au développement durable appliqué au bâtiment : gouvernance ; qualité urbaine, qualité d'usage, qualité environnementale, économie.
  115. Edition (Ceremadoc) Pratiques de développement durable dans le bâtiment en France. Campagne d’évaluations 2006-2009. 30 opérations : Bpdd 25 : Unité de vie de l'hôpital local (88)

    De nombreux bâtiments sont réputés « durables » (certifications HQE, Habitat Environnement...) ou affichent des performances, labels de nature énergétique sans que l'on ne sache : les qualités ou caractéristiques de ces bâtiments au moment de leur construction (les choix effectués) ou les performances réellement atteintes (par exemple sur le plan énergétique) ; comment ces bâtiments évoluent : fonctionnement, consommations, usages, lien avec la ville... Dans cette perspective, le ministère de l'écologie, du Développement durable, des transports et du logement a mené une campagne entre 2006 et 2010 d'analyses de 30 opérations de tous types, logements, bureaux, établissements scolaires, équipements sportifs...Il s'agit d'identifier, de présenter, d'évaluer des bâtiments présentant des progrès significatifs dans un domaine particulier (énergétique, économique, mais aussi évolutivité, usage, santé, eau...). A cet effet le CERTU, les CETEs et le CSTB, réunis dans un comité technique d'experts, ont développé des outils de référence : un guide de questionnement pour l'analyse et une fiche de restitution. Le travail de terrain a été assuré par un réseau d'expertise issu des spécialistes « Construction et Développement durable » des CETEs. Ces bâtiments (logements, équipements, tertiaire) devait être en service depuis au moins un an afin d'apprécier leurs performances réelles en exploitation et vis-à-vis de l'usage. Les réalisations ont été choisies autant sur leurs performances que sur la cohérence et la maîtrise des ambitions de durabilité depuis le programme jusqu'à la mise en service et la vie de l'équipement. À l'heure où les professionnels, et notamment les maîtres d'ouvrage, s'interrogent encore sur la viabilité économique de tels projets, mais aussi sur la manière la plus efficace de les mener, il s'agit de démythifier le coût du développement durable et de généraliser le progrès. Ainsi ont été établies 30 fiches monographiques mettant en avant les points forts de chaque opération selon cinq thèmes emblématiques des pratiques professionnelles liées au développement durable appliqué au bâtiment : gouvernance ; qualité urbaine, qualité d'usage, qualité environnementale, économie.
  116. Edition (Ceremadoc) Prise en compte de l'environnement dans les documents d'urbanisme. Série de fiches : Fiche n°01 - Gérer les espaces naturels et agricoles... l'exemple du SCOT Métropole Savoie

    Les fiches de cas sur la prise en compte de l'environnement dans les documents d'urbanisme ont pour objectif de présenter, sous l'angle environnement, différentes expériences de cartes communales, plans locaux d'urbanisme, schémas de cohérence territoriale, directives territoriales. Le principe retenu est de partir de documents de planification suffisamment avancés, pour que puisse être mis en exergue le travail réalisé en matière d'analyse de l'état initial de l'environnement et d'évaluation environnementale des choix retenus. Ces fiches à caractère pédagogique illustrent à partir d'exemples sélectionnés les nouvelles exigences législatives et réglementaires, les méthodes et démarches mises en place, l'organisation des maîtrise d'ouvrage et maîtrise d'œuvre, le jeu des acteurs locaux, les principaux thèmes abordés en fonction du contexte et des enjeux et locaux. Fiche n°1 Gérer les espaces naturels et agricoles... l'exemple du SCoT Métropole Savoie. Dans un contexte de croissance urbaine forte, la gestion des espaces naturels et agricoles s'est imposée dans l'élaboration du Schéma de Cohérence Territoriale (SCoT) de Métropole Savoie. Fiche n° 2 Inverser le regard... l'exemple du SCoT de l'agglomération de Montpellier. Le Schéma de Cohérence Territoriale (SCoT) de l'agglomération de Montpellier a l'ambition de préserver le « capital nature » de son territoire en mutation. Une démarche originale bouleversant le rapport ville/nature est alors mise en place : « inverser le regard ». Fiche n°3 Une étude paysagère pour la mise en application de la loi littoral... l'exemple du PLU de la commune de Granville. Les enseignements d'une étude paysagère sur les choix de développement d'une commune touristique littorale du pays de la Baie du Mont Saint-Michel. Fiche n° 4 Comment prendre en compte et traduire dans un PLU les risques d'inondations? L'expérience de la communauté de commune du Pays Granvillais. Fiche n° 5 Le Pays de Montbéliard, en quête d'attractivité à décidé d'utiliser son potentiel naturel afin de réaliser un projet structurant dans le SCoT... une infrastructure verte et bleue. Les différentes pièces du SCoT et plusieurs études sont téléchargeables sur le site de l'Agence de développement et d'urbanisme du Pays de Montbéliard (ADU). Fiche n° 6 À l'occasion de la révision de son PLU, la commune de Bonne entreprend de limiter la périurbanisation et la banalisation de ses paysages. Afin de maîtriser les zones ouvertes à l'urbanisation, l'approche de la commune et de son maître d'œuvre est double : paysagère environnementale notamment sur les fonctionnalités écologiques du territoire. Ici, le diagnostic environnemental et paysager dépasse le cadre des classiques inventaires (zones de protection, biodiversité,...). Ainsi, il prend en compte l'écologie du paysage en mettant en évidence son fonctionnement au niveau du territoire communal. Enfin, un règlement du PLU adapté à l'ambition de pérenniser durablement la richesse des milieux constituant le réseau écologique du territoire. Fiche n° 7 Mesures de protection environnementales, l'exemple du PLU de Saint-Romain-le-Puy (42). Saint-Romain-le-Puy (42) est une commune située au cœur de la plaine du Forez, un territoire riche en biodiversité. Face à des enjeux environnementaux importants : - Protéger les espaces naturels et agricoles de la pression foncière. - Concilier agriculture et environnement, la commune a intégré des mesures de protection environnementales (ou mesures conservatoires) dans son PLU
  117. Edition (Ceremadoc) Prise en compte de l'environnement dans les documents d'urbanisme. Série de fiches : Fiche n°06 - Préserver le réseau écologique L'exemple du PLU de Bonne en Haute-Savoie

    Les fiches de cas sur la prise en compte de l'environnement dans les documents d'urbanisme ont pour objectif de présenter, sous l'angle environnement, différentes expériences de cartes communales, plans locaux d'urbanisme, schémas de cohérence territoriale, directives territoriales. Le principe retenu est de partir de documents de planification suffisamment avancés, pour que puisse être mis en exergue le travail réalisé en matière d'analyse de l'état initial de l'environnement et d'évaluation environnementale des choix retenus. Ces fiches à caractère pédagogique illustrent à partir d'exemples sélectionnés les nouvelles exigences législatives et réglementaires, les méthodes et démarches mises en place, l'organisation des maîtrise d'ouvrage et maîtrise d'œuvre, le jeu des acteurs locaux, les principaux thèmes abordés en fonction du contexte et des enjeux et locaux. Fiche n°1 Gérer les espaces naturels et agricoles... l'exemple du SCoT Métropole Savoie. Dans un contexte de croissance urbaine forte, la gestion des espaces naturels et agricoles s'est imposée dans l'élaboration du Schéma de Cohérence Territoriale (SCoT) de Métropole Savoie. Fiche n° 2 Inverser le regard... l'exemple du SCoT de l'agglomération de Montpellier. Le Schéma de Cohérence Territoriale (SCoT) de l'agglomération de Montpellier a l'ambition de préserver le « capital nature » de son territoire en mutation. Une démarche originale bouleversant le rapport ville/nature est alors mise en place : « inverser le regard ». Fiche n°3 Une étude paysagère pour la mise en application de la loi littoral... l'exemple du PLU de la commune de Granville. Les enseignements d'une étude paysagère sur les choix de développement d'une commune touristique littorale du pays de la Baie du Mont Saint-Michel. Fiche n° 4 Comment prendre en compte et traduire dans un PLU les risques d'inondations? L'expérience de la communauté de commune du Pays Granvillais. Fiche n° 5 Le Pays de Montbéliard, en quête d'attractivité à décidé d'utiliser son potentiel naturel afin de réaliser un projet structurant dans le SCoT... une infrastructure verte et bleue. Les différentes pièces du SCoT et plusieurs études sont téléchargeables sur le site de l'Agence de développement et d'urbanisme du Pays de Montbéliard (ADU). Fiche n° 6 À l'occasion de la révision de son PLU, la commune de Bonne entreprend de limiter la périurbanisation et la banalisation de ses paysages. Afin de maîtriser les zones ouvertes à l'urbanisation, l'approche de la commune et de son maître d'œuvre est double : paysagère environnementale notamment sur les fonctionnalités écologiques du territoire. Ici, le diagnostic environnemental et paysager dépasse le cadre des classiques inventaires (zones de protection, biodiversité,...). Ainsi, il prend en compte l'écologie du paysage en mettant en évidence son fonctionnement au niveau du territoire communal. Enfin, un règlement du PLU adapté à l'ambition de pérenniser durablement la richesse des milieux constituant le réseau écologique du territoire. Fiche n° 7 Mesures de protection environnementales, l'exemple du PLU de Saint-Romain-le-Puy (42). Saint-Romain-le-Puy (42) est une commune située au cœur de la plaine du Forez, un territoire riche en biodiversité. Face à des enjeux environnementaux importants : - Protéger les espaces naturels et agricoles de la pression foncière. - Concilier agriculture et environnement, la commune a intégré des mesures de protection environnementales (ou mesures conservatoires) dans son PLU
  118. Edition (Ceremadoc) Pratiques de développement durable dans le bâtiment en France. Campagne d’évaluations 2006-2009. 30 opérations : Bpdd 19 : Ecole primaire (35)

    De nombreux bâtiments sont réputés « durables » (certifications HQE, Habitat Environnement...) ou affichent des performances, labels de nature énergétique sans que l'on ne sache : les qualités ou caractéristiques de ces bâtiments au moment de leur construction (les choix effectués) ou les performances réellement atteintes (par exemple sur le plan énergétique) ; comment ces bâtiments évoluent : fonctionnement, consommations, usages, lien avec la ville... Dans cette perspective, le ministère de l'écologie, du Développement durable, des transports et du logement a mené une campagne entre 2006 et 2010 d'analyses de 30 opérations de tous types, logements, bureaux, établissements scolaires, équipements sportifs...Il s'agit d'identifier, de présenter, d'évaluer des bâtiments présentant des progrès significatifs dans un domaine particulier (énergétique, économique, mais aussi évolutivité, usage, santé, eau...). A cet effet le CERTU, les CETEs et le CSTB, réunis dans un comité technique d'experts, ont développé des outils de référence : un guide de questionnement pour l'analyse et une fiche de restitution. Le travail de terrain a été assuré par un réseau d'expertise issu des spécialistes « Construction et Développement durable » des CETEs. Ces bâtiments (logements, équipements, tertiaire) devait être en service depuis au moins un an afin d'apprécier leurs performances réelles en exploitation et vis-à-vis de l'usage. Les réalisations ont été choisies autant sur leurs performances que sur la cohérence et la maîtrise des ambitions de durabilité depuis le programme jusqu'à la mise en service et la vie de l'équipement. À l'heure où les professionnels, et notamment les maîtres d'ouvrage, s'interrogent encore sur la viabilité économique de tels projets, mais aussi sur la manière la plus efficace de les mener, il s'agit de démythifier le coût du développement durable et de généraliser le progrès. Ainsi ont été établies 30 fiches monographiques mettant en avant les points forts de chaque opération selon cinq thèmes emblématiques des pratiques professionnelles liées au développement durable appliqué au bâtiment : gouvernance ; qualité urbaine, qualité d'usage, qualité environnementale, économie.
  119. Edition (Ceremadoc) Pratiques de développement durable dans le bâtiment en France. Campagne d’évaluations 2006-2009. 30 opérations : Version intégrale

    De nombreux bâtiments sont réputés « durables » (certifications HQE, Habitat Environnement...) ou affichent des performances, labels de nature énergétique sans que l'on ne sache : les qualités ou caractéristiques de ces bâtiments au moment de leur construction (les choix effectués) ou les performances réellement atteintes (par exemple sur le plan énergétique) ; comment ces bâtiments évoluent : fonctionnement, consommations, usages, lien avec la ville... Dans cette perspective, le ministère de l'écologie, du Développement durable, des transports et du logement a mené une campagne entre 2006 et 2010 d'analyses de 30 opérations de tous types, logements, bureaux, établissements scolaires, équipements sportifs...Il s'agit d'identifier, de présenter, d'évaluer des bâtiments présentant des progrès significatifs dans un domaine particulier (énergétique, économique, mais aussi évolutivité, usage, santé, eau...). A cet effet le CERTU, les CETEs et le CSTB, réunis dans un comité technique d'experts, ont développé des outils de référence : un guide de questionnement pour l'analyse et une fiche de restitution. Le travail de terrain a été assuré par un réseau d'expertise issu des spécialistes « Construction et Développement durable » des CETEs. Ces bâtiments (logements, équipements, tertiaire) devait être en service depuis au moins un an afin d'apprécier leurs performances réelles en exploitation et vis-à-vis de l'usage. Les réalisations ont été choisies autant sur leurs performances que sur la cohérence et la maîtrise des ambitions de durabilité depuis le programme jusqu'à la mise en service et la vie de l'équipement. À l'heure où les professionnels, et notamment les maîtres d'ouvrage, s'interrogent encore sur la viabilité économique de tels projets, mais aussi sur la manière la plus efficace de les mener, il s'agit de démythifier le coût du développement durable et de généraliser le progrès. Ainsi ont été établies 30 fiches monographiques mettant en avant les points forts de chaque opération selon cinq thèmes emblématiques des pratiques professionnelles liées au développement durable appliqué au bâtiment : gouvernance ; qualité urbaine, qualité d'usage, qualité environnementale, économie.
  120. Edition (Ceremadoc) Prise en compte de l'environnement dans les documents d'urbanisme. Série de fiches : Fiche n°03 - Une étude paysagère pour la mise en application de la loi littoral... l'exemple du PLU de la commune de Granville

    Les fiches de cas sur la prise en compte de l'environnement dans les documents d'urbanisme ont pour objectif de présenter, sous l'angle environnement, différentes expériences de cartes communales, plans locaux d'urbanisme, schémas de cohérence territoriale, directives territoriales. Le principe retenu est de partir de documents de planification suffisamment avancés, pour que puisse être mis en exergue le travail réalisé en matière d'analyse de l'état initial de l'environnement et d'évaluation environnementale des choix retenus. Ces fiches à caractère pédagogique illustrent à partir d'exemples sélectionnés les nouvelles exigences législatives et réglementaires, les méthodes et démarches mises en place, l'organisation des maîtrise d'ouvrage et maîtrise d'œuvre, le jeu des acteurs locaux, les principaux thèmes abordés en fonction du contexte et des enjeux et locaux. Fiche n°1 Gérer les espaces naturels et agricoles... l'exemple du SCoT Métropole Savoie. Dans un contexte de croissance urbaine forte, la gestion des espaces naturels et agricoles s'est imposée dans l'élaboration du Schéma de Cohérence Territoriale (SCoT) de Métropole Savoie. Fiche n° 2 Inverser le regard... l'exemple du SCoT de l'agglomération de Montpellier. Le Schéma de Cohérence Territoriale (SCoT) de l'agglomération de Montpellier a l'ambition de préserver le « capital nature » de son territoire en mutation. Une démarche originale bouleversant le rapport ville/nature est alors mise en place : « inverser le regard ». Fiche n°3 Une étude paysagère pour la mise en application de la loi littoral... l'exemple du PLU de la commune de Granville. Les enseignements d'une étude paysagère sur les choix de développement d'une commune touristique littorale du pays de la Baie du Mont Saint-Michel. Fiche n° 4 Comment prendre en compte et traduire dans un PLU les risques d'inondations? L'expérience de la communauté de commune du Pays Granvillais. Fiche n° 5 Le Pays de Montbéliard, en quête d'attractivité à décidé d'utiliser son potentiel naturel afin de réaliser un projet structurant dans le SCoT... une infrastructure verte et bleue. Les différentes pièces du SCoT et plusieurs études sont téléchargeables sur le site de l'Agence de développement et d'urbanisme du Pays de Montbéliard (ADU). Fiche n° 6 À l'occasion de la révision de son PLU, la commune de Bonne entreprend de limiter la périurbanisation et la banalisation de ses paysages. Afin de maîtriser les zones ouvertes à l'urbanisation, l'approche de la commune et de son maître d'œuvre est double : paysagère environnementale notamment sur les fonctionnalités écologiques du territoire. Ici, le diagnostic environnemental et paysager dépasse le cadre des classiques inventaires (zones de protection, biodiversité,...). Ainsi, il prend en compte l'écologie du paysage en mettant en évidence son fonctionnement au niveau du territoire communal. Enfin, un règlement du PLU adapté à l'ambition de pérenniser durablement la richesse des milieux constituant le réseau écologique du territoire. Fiche n° 7 Mesures de protection environnementales, l'exemple du PLU de Saint-Romain-le-Puy (42). Saint-Romain-le-Puy (42) est une commune située au cœur de la plaine du Forez, un territoire riche en biodiversité. Face à des enjeux environnementaux importants : - Protéger les espaces naturels et agricoles de la pression foncière. - Concilier agriculture et environnement, la commune a intégré des mesures de protection environnementales (ou mesures conservatoires) dans son PLU
  121. Edition (Ceremadoc) Prise en compte des risques naturels : 10 monographies

    La politique de prévention des risques naturels a pour objet, tout à la fois, de réduire la vulnérabilité des personnes et des biens exposés et d'apprendre à vivre avec le risque. Les événements tragiques qui ont frappé la France en 2010 - la tempête Xynthia et les intempéries du Var - ont une nouvelle fois rappelé l'importance d'une prise en compte partagée des risques naturels dans les politiques locales d'aménagement. Le ministère de l'Écologie a publié en décembre 2006 un premier album de 13 monographies portant sur des expériences de prise en compte des risques naturels dans l’aménagement. Cet album présentait déjà les difficultés, mais aussi les possibilités d’actions en matière d’aménagement de territoires exposés aux risques naturels. Pour mieux couvrir la très grande diversité des territoires potentiellement concernés et des situations à risque rencontrées, le ministère de l'Écologie a sélectionné dix nouvelles expériences en vue de la réalisation de ce second album. Celui-ci présente des projets conduits au sein de grandes collectivités (Besançon, Bordeaux et Nîmes), de collectivités de taille moyenne (Bois-Guillaume et Périgueux), mais aussi de petites communes (comme Sommières). En outre, plusieurs monographies relèvent du contexte spécifique de l'Outre-Mer (Guadeloupe), particulièrement exposée aux risques naturels. Avant-propos Sommaire Présentation de l’album Fondements législatifsBESANÇON (25) Quartier Pasteur : réaménagement du centre commercialBOIS-GUILLAUME (76) Zac « Les portes de la forêt »BORDEAUX (33) Gestion du pluvial et aménagement des quais rive gaucheLA DÉSIRADE (971) PPR multirisques - Étude d’aménagement du Souffleur - Ouvrages de protectionLES ABYMES (971) Renouvellement urbain des quartiers de Grand-Camp et du RaizetMORNE-À-L’EAU (971) Requalification du quartier de Vieux-BourgNÎMES (30) Renouvellement urbain du quartier Hoche-SernamPÉRIGUEUX (24) Aménagement des berges de l’IslePOINTE-NOIRE (971) Prise en compte des risques dans l’élaboration du PLUSOMMIÈRES (30) Requalification d’un espace urbain existant situé en zone inondable
  122. Edition (Ceremadoc) Pratiques de développement durable dans le bâtiment en France. Campagne d’évaluations 2006-2009. 30 opérations : Bpdd 24 : Réhabilitation du bâtiment D du CROUS (34)

    De nombreux bâtiments sont réputés « durables » (certifications HQE, Habitat Environnement...) ou affichent des performances, labels de nature énergétique sans que l'on ne sache : les qualités ou caractéristiques de ces bâtiments au moment de leur construction (les choix effectués) ou les performances réellement atteintes (par exemple sur le plan énergétique) ; comment ces bâtiments évoluent : fonctionnement, consommations, usages, lien avec la ville... Dans cette perspective, le ministère de l'écologie, du Développement durable, des transports et du logement a mené une campagne entre 2006 et 2010 d'analyses de 30 opérations de tous types, logements, bureaux, établissements scolaires, équipements sportifs...Il s'agit d'identifier, de présenter, d'évaluer des bâtiments présentant des progrès significatifs dans un domaine particulier (énergétique, économique, mais aussi évolutivité, usage, santé, eau...). A cet effet le CERTU, les CETEs et le CSTB, réunis dans un comité technique d'experts, ont développé des outils de référence : un guide de questionnement pour l'analyse et une fiche de restitution. Le travail de terrain a été assuré par un réseau d'expertise issu des spécialistes « Construction et Développement durable » des CETEs. Ces bâtiments (logements, équipements, tertiaire) devait être en service depuis au moins un an afin d'apprécier leurs performances réelles en exploitation et vis-à-vis de l'usage. Les réalisations ont été choisies autant sur leurs performances que sur la cohérence et la maîtrise des ambitions de durabilité depuis le programme jusqu'à la mise en service et la vie de l'équipement. À l'heure où les professionnels, et notamment les maîtres d'ouvrage, s'interrogent encore sur la viabilité économique de tels projets, mais aussi sur la manière la plus efficace de les mener, il s'agit de démythifier le coût du développement durable et de généraliser le progrès. Ainsi ont été établies 30 fiches monographiques mettant en avant les points forts de chaque opération selon cinq thèmes emblématiques des pratiques professionnelles liées au développement durable appliqué au bâtiment : gouvernance ; qualité urbaine, qualité d'usage, qualité environnementale, économie.
  123. Edition (Ceremadoc) Pratiques de développement durable dans le bâtiment en France. Campagne d’évaluations 2006-2009. 30 opérations : Bpdd 3 : Bâtiment 270 des EMGP (93)

    De nombreux bâtiments sont réputés « durables » (certifications HQE, Habitat Environnement...) ou affichent des performances, labels de nature énergétique sans que l'on ne sache : les qualités ou caractéristiques de ces bâtiments au moment de leur construction (les choix effectués) ou les performances réellement atteintes (par exemple sur le plan énergétique) ; comment ces bâtiments évoluent : fonctionnement, consommations, usages, lien avec la ville... Dans cette perspective, le ministère de l'écologie, du Développement durable, des transports et du logement a mené une campagne entre 2006 et 2010 d'analyses de 30 opérations de tous types, logements, bureaux, établissements scolaires, équipements sportifs...Il s'agit d'identifier, de présenter, d'évaluer des bâtiments présentant des progrès significatifs dans un domaine particulier (énergétique, économique, mais aussi évolutivité, usage, santé, eau...). A cet effet le CERTU, les CETEs et le CSTB, réunis dans un comité technique d'experts, ont développé des outils de référence : un guide de questionnement pour l'analyse et une fiche de restitution. Le travail de terrain a été assuré par un réseau d'expertise issu des spécialistes « Construction et Développement durable » des CETEs. Ces bâtiments (logements, équipements, tertiaire) devait être en service depuis au moins un an afin d'apprécier leurs performances réelles en exploitation et vis-à-vis de l'usage. Les réalisations ont été choisies autant sur leurs performances que sur la cohérence et la maîtrise des ambitions de durabilité depuis le programme jusqu'à la mise en service et la vie de l'équipement. À l'heure où les professionnels, et notamment les maîtres d'ouvrage, s'interrogent encore sur la viabilité économique de tels projets, mais aussi sur la manière la plus efficace de les mener, il s'agit de démythifier le coût du développement durable et de généraliser le progrès. Ainsi ont été établies 30 fiches monographiques mettant en avant les points forts de chaque opération selon cinq thèmes emblématiques des pratiques professionnelles liées au développement durable appliqué au bâtiment : gouvernance ; qualité urbaine, qualité d'usage, qualité environnementale, économie.
  124. Edition (Ceremadoc) Pratiques de développement durable dans le bâtiment en France. Campagne d’évaluations 2006-2009. 30 opérations : Bpdd 18 : Lotissement

    De nombreux bâtiments sont réputés « durables » (certifications HQE, Habitat Environnement...) ou affichent des performances, labels de nature énergétique sans que l'on ne sache : les qualités ou caractéristiques de ces bâtiments au moment de leur construction (les choix effectués) ou les performances réellement atteintes (par exemple sur le plan énergétique) ; comment ces bâtiments évoluent : fonctionnement, consommations, usages, lien avec la ville... Dans cette perspective, le ministère de l'écologie, du Développement durable, des transports et du logement a mené une campagne entre 2006 et 2010 d'analyses de 30 opérations de tous types, logements, bureaux, établissements scolaires, équipements sportifs...Il s'agit d'identifier, de présenter, d'évaluer des bâtiments présentant des progrès significatifs dans un domaine particulier (énergétique, économique, mais aussi évolutivité, usage, santé, eau...). A cet effet le CERTU, les CETEs et le CSTB, réunis dans un comité technique d'experts, ont développé des outils de référence : un guide de questionnement pour l'analyse et une fiche de restitution. Le travail de terrain a été assuré par un réseau d'expertise issu des spécialistes « Construction et Développement durable » des CETEs. Ces bâtiments (logements, équipements, tertiaire) devait être en service depuis au moins un an afin d'apprécier leurs performances réelles en exploitation et vis-à-vis de l'usage. Les réalisations ont été choisies autant sur leurs performances que sur la cohérence et la maîtrise des ambitions de durabilité depuis le programme jusqu'à la mise en service et la vie de l'équipement. À l'heure où les professionnels, et notamment les maîtres d'ouvrage, s'interrogent encore sur la viabilité économique de tels projets, mais aussi sur la manière la plus efficace de les mener, il s'agit de démythifier le coût du développement durable et de généraliser le progrès. Ainsi ont été établies 30 fiches monographiques mettant en avant les points forts de chaque opération selon cinq thèmes emblématiques des pratiques professionnelles liées au développement durable appliqué au bâtiment : gouvernance ; qualité urbaine, qualité d'usage, qualité environnementale, économie.
  125. Edition (Ceremadoc) Accompagner la compétence GEMAPI - Gestion des milieux aquatiques et prévention des inondations - Fiche n°10 : Partage d’expériences sur le bassin versant de l’Adour et le sous-bassin du gave de Pau amont

    La compétence de gestion des milieux aquatiques et de prévention des inondations (GEMAPI) est obligatoire depuis le 1er janvier 2018. L’ambition est de rendre plus cohérente et plus efficace l’organisation territoriale dans le domaine de l’eau pour relever les défis de restauration et de préservation des milieux aquatiques et de réduction de la vulnérabilité aux inondations. Des territoires avaient toutefois devancé l’échéance. 1. Un contexte marqué par le risque inondation 2. Anticipation de la prise de compétence par deux acteurs à une échelle adaptée 3. L’exercice de la compétence GEMAPI : de la coordination à l’opérationnel 4. Quels enseignements des premières étapes, quelles perspectives ?
  126. Edition (Ceremadoc) Culture du risque : Les clefs pour mieux impliquer les populations

    La culture du risque, c'est quoi ? Que faire en tant qu'élu ? Citoyen, acteur de sa propre sécurité ? Pourquoi développer la culture du risque ? Quelles actions pour une implication civile et citoyenne ? Par quelles actions renforcer la culture du risque sur mon territoire? Développer la culture du risque sur mon territoire : la boîte à outils
  127. Edition (Ceremadoc) Caractérisation de systèmes d'endiguement à l'heure de la GEMAPI : Outils et retours d'expérience

    L’appel à partenaires GEMAPI a été lancé par le Cerema et INRAE en mai 2016 : il a permis d’accompagner dix collectivités dans cette prise de compétence, de répondre à des problématiques variées avec des solutions innovantes et de fournir des réponses adaptées et utiles à d’autres territoires. Le Cerema et INRAE ont travaillé conjointement sur le sujet des systèmes d’endiguement. Cette publication revient sur ces travaux, et notamment sur : • l’identification des zones soumises au risque inondation ; • l’identification des ouvrages et éléments naturels pouvant participer à la protection ; • l’identification des zones qu’ils protègent potentiellement ; • l’identification des enjeux présents dans ces zones.
  128. Edition (Ceremadoc) Gestion intégrée de l’eau en milieu urbain - Fiche n°3 - Les filtres plantés de roseaux

    Les filtres plantés de roseaux (aménagements constitués d’un bassin rempli d’un substrat minéral plantés de roseaux ou de phragmites) permettent l’amélioration de la qualité de l’eau par filtration et dégradation des polluants. Ces aménagements peuvent être étanches ou permettre l’infiltration, en fonction du contexte et sont généralement couplés à d’autres ouvrages à l’amont (bassin de décantation) et à l’aval (zone de rejet).
  129. Edition (Ceremadoc) Résilience urbaine et gestion de crise : Séminaire organisé à Lyon du 28 au 30 septembre 2016

    Du 28 au 30 septembre 2016, s’est tenu à Lyon un séminaire franco-allemand sur la résilience urbaine et la gestion de crise. Ce séminaire a réuni des scientifiques, des experts et des praticiens de l’action publique de France et d’Allemagne pour aborder de façon interdisciplinaire et collective la complexité des situations qui génèrent la crise ou qui en résultent, la multiplicité des champs à investir pour améliorer la résilience, l’intégration des populations aux défis à relever, le recours aux nouvelles technologies. Des questions très pratiques ont ensuite été traitées comme la façon de se constituer en réseau en tissant une sorte de toile entre des organismes français et allemands. Parmi les idées qui ont émergé, on peut retenir le besoin de développer des approches intersectorielles, la nécessité d’être attentif aux problématiques transfrontalières, la mobilisation des nouvelles technologies, la question des infrastructures critiques et l’intérêt de repenser la sécurité en tenant compte des nouvelles énergies. Le séminaire de Lyon ouvre un véritable chantier pour développer la prévention des crises urbaines par le partage des connaissances et des expériences entre les deux pays européens. Introduction PREMIÈRE PARTIE Objet et portée du séminaire Systèmes urbains Le concept de résilience Thèmes et principes DEUXIÈME PARTIE Description du séminaire Intention et objectifs poursuivis Format et organisation En un coup d’oeil : séances plénières et séances de travail en groupes Programme et ordre du jour Séances de travail et composition des groupes TROISIÈME PARTIE Résultats des séances : 1re séance : Identifier les changements (analyse SWAP) 2e séance : Identifier les options pour une collaboration future 3e séance : Énoncer une vision (LAPCO) 4e séance : Élaborer une feuille de route QUATRIÈME PARTIE Présentations L'Atlas de la vulnérabilité et de la résilience Accident du tunnel du Mont-Blanc : la question de la résilience Activités européennes dans le domaine de la sécurité industrielle Conclusion Annexes Liste des participants Lectures recommandées
  130. Edition (Ceremadoc) Retraitement des chaussées et recyclage des matériaux bitumineux des chaussées

    Les contraintes environnementales pour une économie des ressources non renouvelables et l'obligation de recycler (loi du 13 juillet 1992), imposent la valorisation du gisement de matériaux existant dans les chaussées et de limiter l'apport de matériaux dits "nouveaux" dans l'entretien de ces chaussées. Ce document a pour objectif de recenser, en fonction de leur futur domaine d'emplois, les différentes pratiques existantes en matière de réutilisation des matériaux de chaussées issus de couches de surfaces et de couches d'assises. Il constitue donc une réponse à la nécessité de construire et entretenir les chaussées avec le souci d'une économie durable dans le respect des contraintes environnementales.Quatre techniques sont examinées : retraitement en place à froid ; retraitement en centrale à froid ; recyclage en place à chaud ; recyclage en centrale à chaud. Les deux premières concernent les matériaux d'assises (matériaux traités ou non avec un liant hydraulique) et les matériaux des couches de surface. Les deux dernières concernent les matériaux bitumineux de couches de surface ou de couches de base. Chacune des techniques est présentée avec ses avantages, son domaine et ses limites d'emploi.
  131. Edition (Ceremadoc) Recommandations pour la conception et la réalisation des aménagements de défenses du littoral contre l'action de la mer

    Le présent guide s'attache à donner, sous une forme synthétique et relativement complète, des recommandations en vue de l'étude et de la conception des différents types d'aménagements se proposant d'assurer la protection du littoral contre la mer. Il aborde également, mais de façon inévitablement plus sommaire, les problèmes de réalisation, de surveillance, d'entretien et de réhabilitations des ouvrages. Ces recommandations s'efforcent de traiter à la fois des aspects techniques et des problèmes d'insertion dans l'environnement des solutions proposées. Elles sont destinées à constituer, pour les techniciens des services maritimes et des services de l'environnement, un guide pratique leur permettant de concevoir ou de contrôler la conception d'aménagements divers de protection du littoral. INTRODUCTION 1 - Objet du guide 2 - Méthode de travail 3 - Origines des recommandations CHAPITRE I - CONSIDERATIONS GENERALES 1 - Importance de l’érosion marine 2 - Difficultés des problèmes de protection du littoral 3 - Définition des objectifs poursuivis 4 - Différentes solutions possibles 5 - Contenu du guide CHAPITRE II - PROTECTION D’UNE COTE SABLEUSE ACTION DIRECTE SUR LES MATERIAUX 1 - Généralités 2 - Remodelage de l‘estran 3 - Rechargement de plage 4 - Déversement de matériaux par petits fonds 5 - Etablissement d’un transit artificiel 6 - Stabilisation et création de dunes 7 - Impacts de l’action sur les matériaux 8 - Critères de choix entre les différents procédés disponibles CHAPITRE III - PROTECTION D’UNE COTE SABLEUSE REALISATION D’OUVRAGES 1 - Ouvrages longitudinaux de haut de plage 2 - Ouvrages longitudinaux de bas de plage et de petits fonds 3 - Ouvrages transversaux 4 - Digues 5 - Combinaison de différents procédés CHAPITRE IV - PROTECTION D’UNE COTE A GALETS 1 - Généralités 2 - Principes des aménagements 3 - Rechargement de plage 4 - Etablissement d'un transit artificiel 5 - Ouvrages longitudinaux de haut de plage 6 - Ouvrages transversaux 7 - Impacts sur l'environnement CHAPITRE V - PROTECTION D’UNE COTE A FALAISES 1 - Erosion des falaises 2 - Protection contre les actions marines 3 - Stabilisation de la falaise 4 - Impacts sur l’environnement 5 - Exemples CHAPITRE VI - PROCEDES NOUVEAUX POUR LA PROTECTION DU LITTORAL 1 - Nouveaux matériaux 2.- Stabilisation des dunes par un gel 3 - Algues artificielles 4 - Cultures d‘algues 5 - Ouvrages peu réfléchissants 6 - Procédé PRINCIPlA-MONACO 7 - Roche électrolytique CHAPITRE VII - CONTROLE DES EXTRACTIONS DE MATERIAUX LE LONG DU LITTORAL ET GESTION DES DEPOTS DE DRAGAGES PORTUAIRES 1 - Importance et difficulté des problèmes 2 - Effets généraux des souilles draguées 3 - Résultats des études du LCHF sur modèles réduits concernant les souilles draguées 4 - Recommandations pratiques relatives aux souilles draguées 5 - Exemples de souilles draguées 6 - Gestion des dépôts de dragages CHAPITRE VIII - IMPACTS DE TECHNIQUES DE PROTECTION CONTRE LA MER 1 - Déroulement du chantier 2 - Sites et paysages 3 - Le milieu naturel 4 - La qualité des eaux 5 - Les aspects socio-économiques CHAPITRE IX - ETUDES PREALABLES 1 - Caractéristiques générales des études 2 - Etudes préliminaires 3 - Etude des risques littoraux 4 - Etude technique 5 - Etude d'impact sur l’environnement CHAPITRE X - COUTS, SURVEILLANCE ET ENTRETIEN DES AMENAGEMENTS 1 - Coûts 2 - Surveillance et entretien des aménagements CHAPITRE XI - EXEMPLES DETAlLLES D’AMENAGEMENTS 1 - Aménagement de la GRANDE MOTTE (Hérault) 2 - Aménagements d’ANGLET (Pyrénées-Atlantiques) 3 - Aménagement dunaire de QUEND-FORT-MAHON (Somme) BIBLIOGRAPHIE
  132. Edition (Ceremadoc) Climat Local (Carbone local Occitanie)

    Face au constat que la planification ne suffit pas, les initiateurs de ce projet ont souhaité développer un outil financier pour faciliter le co-investissement et des actions public/privé. Ce dispositif a été testé entre 2013 et 2017, avec le soutien de la Région Occitanie, sous le nom de Carbone Local. Il a permis d’identifier des entreprises TPE et PME volontaires pour le soutien de projets locaux de développement durable et qui leur permettent de compenser les émissions de GES résiduelles. En accord avec la Région et l’AREC Occitanie, une société coopérative Climat Local a été créée en octobre 2018, afin de pouvoir de développer ce dispositif à l’échelle de la France métropolitaine. Climat Local a un rôle de facilitateur pour les entreprises qui veulent compenser leurs émissions résiduelles de GES.
  133. Edition (Ceremadoc) Fonds de solidarité climat de la fondation de Lille

    Le Fonds Solidarité Climat a été créé à l’initiative du Service Relations Internationales de la Ville de Lille en s’inspirant d’une démarche volontaire de contribution carbone ayant pour objectif prioritaire de sensibiliser les agents municipaux à l’émission de gaz à effet de serre liée à leurs déplacements, notamment en avion.
  134. Edition (Ceremadoc) Carbocage. Gestion durable de la haie de bocage

    Le projet «Carbocage» consiste en une expérimentation pour encourager une gestion durable des haies permettant leur renouvellement et ainsi assurer des fonctions de production de bois, de stockage du carbone, de biodiversité (faune, flore), de filtration de l’eau, de limitation de l’érosion et de valorisation des paysages. L’objectif de l’expérimentation est la conception d’une méthode d’évaluation du stockage de carbone par les haies et l’expérimentation d’un marché carbone local volontaire sur des territoires pilotes.
  135. Edition (Ceremadoc) La Rochelle Territoire zéro Carbone. Coopérative Carbone

    L’agrégateur carbone territorial de la Rochelle est un dispositif technique et financier destiné à développer les projets en faveur de la neutralité carbone. Son principe : créer un outil coopératif permettant l’émission et la vente de crédits carbone à l’échelle territoriale et donc réunir porteurs de projets et acheteurs pour donner de la force à leur engagement. Son fonctionnement viendra s’adosser à un système d’information dédié. Il permettra de comptabiliser le poids de chacune des actions dans le bilan carbone du territoire et de mettre en place un système de compensation performant.
  136. Edition (Ceremadoc) Normandie Forêver. Revalorisation des peuplements forestiers pauvres

    Le dispositif Normandie Forêver vise la revalorisation des peuplements forestiers pauvres (hors forêts domaniales) qui représentent environ 20 % des forêts normandes. Le travail de gestion et de replantation présente un coût de remise en état difficile à envisager pour des espaces forestiers ayant perdu leur valeur sylvicole. Le dispositif de gestion est conçu sur le long terme 20/30 années (temps de la séquestration carbone) et valorise actuellement le bois oeuvre et non le bois-énergie à travers la certification de séquestration carbone. Il impose un stockage carbone positif selon les standards internationaux qui reposent sur un stock carbone moyen calculé à partir de la vitesse de croissance et de la durée du stock (chêne 120 ans, résineux 70 ans).
  137. Edition (Ceremadoc) Mesures compensatoires des impacts sur les milieux naturels - Application aux projets d’infrastructures de transport : Note d'information Environnement-Santé-Risque n° 5

    En réponse aux impacts résiduels d’un projet, les mesures compensatoires interviennent après évitement et réduction. Elles visent à remédier aux effets négatifs notables pour l’environnement ou la santé. Elles doivent donc théoriquement permettre de rétablir une situation dont la qualité globale est proche de la situation antérieure ou d’un état de l’environnement jugé fonctionnellement normal. Elles visent un bilan écologique neutre, voire, si possible, une amélioration globale de la valeur écologique. Si le recours aux mesures compensatoires est prévu par la réglementation, leur mise en œuvre concrète dépend, d’une part, des compétences et des moyens des maîtres d’ouvrage et, d’autre part, de la vigilance des services instructeurs. La réglementation continue cependant d’évoluer et est aujourd’hui de plus en plus rigoureuse sur les termes de la compensation. Dernièrement, la réforme des études d'impact de 2011 a renforcé ces dispositions en généralisant l’inscription des mesures environnementales (évitement, réduction, compensation) directement dans les actes d’autorisation avec un contrôle par les services de l’État. Pourtant, les mesures compensatoires restent les mesures les plus délicates à concevoir. Les projets étudiés pour la rédaction de cette note datent d’avant la réforme de 2011 précitée. Suite aux récentes évolutions réglementaires, de nombreux points restent encore à éclaircir pour améliorer la mise en œuvre, le suivi et surtout la pérennisation de ces mesures. Cette note d’information s’adresse aux maîtres d’ouvrage, aux acteurs de l’environnement (associations, établissements publics, conservatoires, muséums, etc.), aux préfectures, bureaux d’études et collectivités territoriales. 1. Le cadre des mesures compensatoires Les principes Les textes de références 2. Application aux infrastructures de transports terrestres (ITT) La mise en œuvre de la compensation Des exemples de compensation dans les dossiers de projets d’infrastructures de transports terrestres Les mesures d’accompagnement 3. Les outils de pérennisation Les outils pour l’acquisition Les outils pour la protection L’évaluation, la gestion et le suivi 4. Bibliographie 5. Liste d’abréviations 6. Annexes
  138. Edition (Ceremadoc) Mesures des débits des prises d'eau

    Cette note technique présente les différents principes de calcul des débits d'alimentation des canaux. En premier lieu, elle donne des éléments concernant le choix et l'instrumentation du site d'étude. Elle fait également le point sur différents systèmes de mesure du débit et capteurs utilisés pour évaluer la hauteur et la vitesse des écoulements. Enfin la dernière partie est consacrée au recueil et à l'exploitation des données : certaines solutions techniques d'acquisition et d'enregistrement, de transmission, d'exploitation et d'archivage des mesures de débit des prises d 'eau y sont exposées. I - Motivations de la présente note technique : la gestion de la ressource en eau 1 - Respect de l’article 12 de la loi sur l’eau du 3 janvier 1992 2 - Respect des débits réserves réglementaires 3 - Optimisation de l’alimentation en eau des canaux II - Présentation du problème a résoudre III - Considérations générales 1 - Choix de la méthode 2 - Chaine d’acquisition 3 - Réflexions préalables 3.1 - Réflexions concernant le choix des sites a instrumenter 3.2 - Positionnement de la station de mesure sur le site 3.3 - Choix de la méthode 3.4 - Aménagements de la station 3.5 - Exploitation de la station IV - Principe des mesures de débit V - Recueil et exploitation des mesures 1 - Acquisition des données 2 - Enregistrement des données 3 - Transmission 4 - Exploitation des données 5 - Remarque sur le traitement des données et les matériels a retenir VI – Bibliographie
  139. Edition (Ceremadoc) Méthode de hiérarchisation de la vulnérabilité de la ressource en eau : Note d'information - Cerema - Série Environnement-Santé-Risque

    En phase travaux et en phase d'exploitation, les infrastructures routières peuvent être à l'origine de pollutions chroniques, saisonnières et accidentelles préjudiciables à la qualité et à la préservation des milieux aquatiques. Afin de protéger les masses d'eaux souterraines et superficielles, des mesures de protection adaptées doivent être mises en oeuvre. Pour définir ces mesures de protections, il est primordial de connaître la vulnérabilité des milieux aquatiques exposés. Contexte Méthodologie Recueil des données Synthèse des données Application des critères : la définition des classes de vulnérabilité Conclusion Bibliographie Liste d’abréviations
  140. Edition (Ceremadoc) Mise en oeuvre de la politique du 1% Paysage et Développement : Application de la circulaire du 31 mars 2005

    L'objectif de la politique du 1% Paysage et Développement est de favoriser le développement cohérent et durable des territoires grâce à la découverte et à la valorisation les paysages.Cette note d'application de la circulaire du 31 mars 2005, présente la démarche qui consiste à élaborer un "dossier d'axe" composé de trois éléments :- le diagnostic du paysage ;- la charte d'objectifs ;- le programme d'actions.Sont présentés ensuite les critères d'éligibilité et le financement des études et des actions, ainsi que les principaux interlocuteurs du 1% (niveau national, régional et départemental et niveau local).
  141. Edition (Ceremadoc) Méthode de hiérarchisation de la vulnérabilité de la ressource en eau : Note d'information - Environnement-Santé-Risque n°1

    En phase travaux et en phase d’exploitation, les infrastructures routières peuvent être à l’origine de pollutions chroniques, saisonnières et accidentelles préjudiciables à la qualité et à la préservation des milieux aquatiques. Aussi afin de protéger les masses d'eaux souterraines et superficielles, des mesures de protection adaptées doivent être mises en œuvre. Pour définir ces mesures de protections, il est primordial de connaître la vulnérabilité des milieux aquatiques exposés. Cette méthode s'appuie sur la méthode présentée dans la note d’information n°80 du Sétra de décembre 2007 en y intégrant les nouveaux objectifs définis par la Directive cadre européenne sur l'Eau (DCE). Elle s’applique aux infrastructures existantes et aux projets neufs. 1 - Contexte 2- Méthodologie Recueil de données Synthèse des données Application des critères : la définition des classes de vulnérabilité 3 - Conclusion 4 - Bibliographie 5 - liste d'abréviations
  142. Edition (Ceremadoc) Obligations (les) réglementaires pour les projets routiers introduites par la loi sur le bruit : Note d'Information - Économie Environnement Conception - Série(EEC)

    Elle précise le contenu de l'étude d'impact :- étude prévisionnelle de trafic,- étude prévisionnelle de niveau sonore,- les méthodes utilisées,- les mesures de protection, diminution ou suppression de nuisance envisagées.Elle présente :- les niveaux sonores tolérés en fonction de la nature des locaux : logements, bureaux, établissements de santé ou d'enseignement,- la méthode de prévision de bruit NMPB-96 route.
  143. Edition (Ceremadoc) Modeling of sound propagation in forests using the transmission line matrix method = Simulation de la propagation du son en forêt par la méthode des lignes de transmission

    La forêt occupe une part significative de notre territoire. Pour l’acousticien, elle est susceptible d’abriter de nombreuses zones calmes, d’atténuer les bruits d’origine humaine. Elle héberge aussi nombre d’espèces animales dont certaines sont sensibles au bruit. Or la prise en compte de la forêt dans les modèles de prévision de bruit est très limitée. Pour y remédier, Pierre Chobeau, étudiant à l’école doctorale SPIGA, a effectué sa thèse co-dirigée par l’Ifsttar et le Cerema, au sein du Groupe Acoustique du Cerema Est, durant laquelle il a étendu et exploité les possibilités de la méthode TLM (matrice de lignes de transmission). Il a d’abord proposé une nouvelle couche absorbante pour cette méthode, puis montré que la TLM convient bien à la simulation de la diffusion par les troncs avant d’étudier l’influence de différents paramètres (épaisseur, densité, distribution des arbres, diamètre des troncs) sur la propagation acoustique. Forests cover a significant part of the French territory. For the acoustician, forests are likely to harbour many quiet areas and they muffle the noise created by humans. Forests also harbour a large number of animals and some of them are sensitive to noise. However, forests are barely taken into account in the models for noise forecasting. It is this subject that Pierre Chobeau, a student at the doctoral school SPIGA, decided to study for his thesis. He was supervised by IFSTTAR and Cerema, and worked within the acoustic group at Cerema Est. His thesis explores the potential of the transmission line matrix method. He firstly describes a new absorbing layer for the TLM method and then shows the TLM is relevant for tree trunks scattering modeling and finally studies the influence of a variety of factors (thickness, density, trees layout, diameter of trunks) on acoustic scattering. Remerciements List of Symbols General introduction 1 Context 2 Noise mitigation and vegetation 3 Forested areas in France and their interest for acoustics 4 Prediction methods and forest 5 Thesis organization 1 Forest and sound propagation 1.1 Introduction 1.2 Ground effects inside forest 1.2.1 Introduction to the forest floor 1.2.2 Impedance models 1.2.3 Estimation of the ground impedance parameters 1.2.4 Insertion loss measurements 1.2.5 Discussion on the ground effect related to forest floors 1.3 Scattering of acoustic waves inside forests 1.3.1 Introduction 1.3.2 Single scattering from an isolated tree-trunk 1.3.3 Multiple scattering 1.3.4 Discussion on sound scattering inside forests 1.4 Meteorological effects 1.4.1 Meteorological fluctuation related to forests 1.4.2 Impact of the meteorological fluctuations on acoustics 1.4.3 Discussion on the meteorological effects 1.5 Synthesis of the literature review 2 Absorbing matched layers for the transmission-line matrix method 2.1 Presentation of the transmission-line matrix (TLM) method 2.1.1 Introduction 2.1.2 Description of the TLM method 2.1.3 Implementation of the TLM method 2.2 An absorbing matched layer implementation for the TLM method 2.2.1 Introduction 2.2.2 Overview of the absorbing conditions used for the TLM method 2.2.3 The perfectly matched layer (PML) theory 2.2.4 Derivation of a PML-based absorbing layer for the TLM method 2.2.5 Numerical results 2.2.6 Conclusion on the AML formulations 2.3 Conclusion 3 Scattering of acoustic waves by circular scatterers using the TLM method 3.1 Introduction 3.2 Simulation of single scattering using the TLM method 3.2.1 Scattering of a plane wave by a 2D circular scatterer 3.2.2 Scattering of spherical wave by a cylinder normal to an impedance ground (3D) 3.2.3 Conclusion 3.3 Simulation of multiple scattering using the TLM method 3.3.1 Multiple scattering by 2D circular scatterers 3.3.2 Multiple scattering above a ground (3D) 3.4 Conclusion 4 Sound propagation in a simplified forest 4.1 Introduction 4.2 Design of the numerical simulations 4.2.1 Geometry 4.2.2 TLM simulations parameters 4.3 Results and discussion 4.3.1 Time signals 4.3.2 Frequency responses 4.4 Conclusion Conclusion Appendix Bibliography
  144. Edition (Ceremadoc) Modélisation numérique et physique en sédimentologie côtière : deux approches finalement assez proches

    La notice présente la méthodologie des études à mettre en oeuvre pour étudier le fonctionnement des ouvrages littoraux et évaluer leur impact. L'étude s'attache à montrer les similitudes de la modélisation physique et numérique.La notice présente : les principes - similaires ou spécifiques - à la base de ces modélisations ; le déroulement d'une étude sur modèle ; l'état de l'art pour chacun de ces outils ; les avantages et inconvénients de chaque approche. INTRODUCTION 1. PRINCIPE DE LA MODELISATION 1.1. Bases communes aux deux types de modélisation 1.2. Principes spécifiques à chacun des types de modélisation 1.2.1. Reproduction sur modèle numérique 1.2.2. Reproduction sur modèle physique 2. DEROULEMENT D'UNE ETUDE SUR MODELE 2.1. Choix et définition du modèle 2.2. Construction du modèle 2.3. Etalonnage 2.4. Essais 2.5. Analyse, interprétation, discussion et synthèse des résultats 3. ETAT DE L’ART DE LA MODELISATION DANS LE DOMAINE DE LA SEDIMENTOLOGIE COTIERE 3.1. Modèles numériques 3.1.1. Modèles hydrodynamiques 3.1.1.1. Modélisation du courant 3.1.1.2. Houle et courant de houle 3.1.2. Modèles sédimentologiques 3.1.2.1. Charriage sous l’action du courant 3.1.2.2. Transport en suspension sous l'action du courant 3.1.2.3. Transport sous l'action de la houle 3.2. Modèles physiques 3.2.1. Transport sous l’action combinée de la houle et du courant 3.2.2. Transport de sédiments cohésifs 4. AVANTAGES ET INCONVENIENTS DE CHAQUE APPROCHE : QUELQUES CRITERES DE CHOIX 4.1. Le modèle numérique 4.2. Le modèle réduit 4.3. Comment choisir ? 5. CONCLUSION BIBLIOGRAPHIE ANNEXE : L'étude sur plans
  145. Edition (Ceremadoc) Nature en ville - série de fiches : Fiche n° 3 : Nature en ville et santé - Illustrations par des Ecoquartiers

    >>>>>> Voir la vidéo La Nature en ville comme élément de confort climatique Série de fiches thématiques sur la nature en ville dans les projets d’aménagement urbain. La fiche n° 1 se propose d’expliquer la manière dont le maître d’ouvrage urbain peut intégrer la nature en ville sous toutes ses formes dans le déroulement de son projet. Elle est largement illustrée à partir des retours d’expériences des quartiers lauréats de la démarche Écoquartier portée par le ministère en charge du logement. La fiche n° 2 a vocation à mieux appréhender et intégrer les milieux humides dans le processus d'une opération d'aménagement. Elle s'appuie sur des retours d'expériences, de visites de sites et d'analyses de dossiers Ecoquartiers. La fiche n° 3 se propose d'expliquer les interactions entre la nature en ville et la santé des habitants et usagers. Elle est largement illustrée à partir d'Ecoquartiers labellisés dans le cadre de la démarche portée par le Ministère en charge du logement. La fiche n° 4 présente quelques conseils pratiques afin de gérer au mieux les conflits d'usages liés aux milieux humides et de prévenir l’émergence de conflits futurs. Elle s’adresse plus particulièrement aux services techniques de collectivités territoriales locales, et aux agents de syndicats de bassins.
  146. Edition (Ceremadoc) Breizh bocage

    Le programme européen Breizh Bocage a été lancé en Bretagne en 2007 par l’État, l’Agence de l’Eau Loire - Bretagne (AELB), le conseil régional de Bretagne et les quatre conseils départementaux bretons. Il s’inscrit dans le cadre du Programme de Développement Rural Bretagne 2014 - 2020 et dans la construction d’une intervention agri-environnementale cohérente des territoires (mesures agro-environnementales et climatiques, Natura 2000, investissements matériels agroenvironnementaux). Le dispositif consiste en la restauration et préservation du maillage bocager essentiel à la protection des masses d’eau et à la biodiversité dans un objectif d’amélioration de la qualité des eaux et des milieux aquatiques par la réduction des transferts de polluant d’origine agricole vers les eaux superficielles.
  147. Edition (Ceremadoc) Étude prospective pour une gestion territorialisée et optimisée des boues de l’assainissement collectif - Métropole de Rouen - Introduction et problématique de la collectivité

    Cette fiche retrace le souhait de la Métropole Rouen Normandie de réviser la gestion des boues à l’échelle de son territoire, et pour ce faire disposer d’une vision globale sur le gisement des boues produites (nature, volume, quantité, destination), puis étudier différents scénarios d’optimisation de ces filières de traitement en intégrant la mise en place d’une digestion anaérobie (ou méthanisation).
  148. Edition (Ceremadoc) Étude prospective pour une gestion territorialisée et optimisée des boues de l’assainissement collectif. Évaluation des émissions de GES des scénarios étudiés : une utilisation approfondie de l’outil Gestaboues.

    Les critères environnementaux relatifs à chaque scénario étudié correspondent aux émissions de gaz à effet de serre (GES). Pour ce faire, le logiciel Gestaboues, développé par l’IRSTEA, a été utilisé. Cet outil permet d’obtenir une estimation des émissions annuelles de 3 GES, à savoir dioxyde de carbone (CO2), méthane (CH4) et protoxyde d’azote (N2O), produites par le traitement des boues d’une STEU pour chaque étape de la filière, y compris la voie de valorisation des boues. Il permet également d’estimer les émissions directes, indirectes et évitées. Une des spécificités de l’étude est l’utilisation approfondie de Gestaboues, lors de l’état des lieux et de l’analyse des scénarios, avec la modélisation de filières complexes. Les échanges entre le Cerema et l’IRSTEA ont d’ailleurs contribué à faire évoluer l’outil. Chaque modélisation de filière donne lieu à un bilan de matière. Les données des bilans de flux sont ensuite compilées pour chacun des scénarios
  149. Edition (Ceremadoc) Recommandations pour la conception, le suivi de réalisation et l’exploitation des dispositifs de protection par merlons pare-blocs

    Les recommandations sont issues du retour d’expérience des membres du collectif de rédaction. Elles devront être améliorées pour ce qui concerne notamment l’utilisation des données issues des simulations trajectographiques, le détail du dimensionnement sous sollicitation dynamique (définition et quantification des actions, combinaisons d’actions, coefficients de sécurité, etc.), et les opérations de réparation et de réhabilitation. Un élargissement des retours d’expérience permettra de partager d’autres pistes de préconisations et recommandations. Un complément et une évolution de ces recommandations sont prévus dans le cadre de C2ROP 2 pour aboutir à un guide technique. Avant-propos Introduction Chapitre 1 - Portée et domaine d’application des recommandations Chapitre 2 - Synthèse bibliographique Contrôle de la trajectoire du bloc Comportement sous impact Chapitre 3 - Conception des dispositifs de protection par merlon Besoins du maître d’ouvrage Contraintes d’opération Principes généraux de conception Conception et dimensionnement du dispositif Préparation de l’opération de construction Chapitre 4 - Construction Dossier de Consultation des Entreprises et opérateur de construction Reconnaissances et informations préalables Etudes et suivi d’exécution, visa Contrôles Chapitre 5 - Exploitation La gestion des enjeux La maintenance Glossaire spécifique Références bibliographiques
  150. Edition (Ceremadoc) Raccordement des entreprises aux réseaux d’assainissement : Fiche n° 02 - Le rôle joué par le Parc naturel du Haut-Jura dans la gestion locale de l'eau

    Cette série de fiches est consacrée au partage et à la capitalisation d’expériences de collectivités. Elle présente des recommandations en matière de gestion des raccordements non domestiques aux réseaux d’assainissement.
  151. Edition (Ceremadoc) Recommandations pour le diagnostic et le suivi des remblais routiers

    Certaines évolutions peuvent nuire à la tenue à long terme du remblai et des pathologies plus ou moins néfastes peuvent apparaître. Le gestionnaire doit dépister, diagnostiquer, et hiérarchiser les éventuelles pathologies afin de proposer des mesures d’entretien et de réhabilitation efficaces et peu coûteuses. Afin d’accompagner le gestionnaire dans cette démarche, ce guide propose un ensemble de recommandations pour le diagnostic, l’entretien et la réhabilitation des remblais routiers en section courante et des remblais contigus aux ouvrages d’art. Il est utilisable pour une expertise ponctuelle comme pour le suivi à long terme de pathologies. Comme il est important d’avoir une idée précise de l’objet que l’on va diagnostiquer, la première partie de ce guide décrit la structure des remblais, leur fonctionnalité et leurs modes de construction. Ensuite, les différents types de désordres, leurs évolutions et leurs origines sont définis. La méthodologie de diagnostic et des exemples de techniques d’entretien et de réhabilitation des remblais terminent ce guide. Introduction 1 - Diagnostic d’un remblai : généralités Les trois types de remblais Que contient le diagnostic ? 2 - Description générale d’un remblai et de son environnement La constitution d’un remblai routier Les règles de conception des remblais Les règles de mise en oeuvre des remblais L’environnement immédiat du remblai 3 - Les évolutions et les désordres de remblais Les principales évolutions des remblais Le catalogue des désordres Les facteurs d’évolution défavorable 4 - Diagnostic des remblais La démarche générale Le prédiagnostic Du prédiagnostic au diagnostic 5 - Techniques d’investigation et de suivi Les techniques d’investigation Les techniques de suivi instrumenté Cas du recalcul de l’ouvrage en terre 6 - Repères pour l’entretien et la réparation des remblais La prévention des désordres Quelques principes de réparation des remblais Bibliographie Glossaire Annexes
  152. Edition (Ceremadoc) Qualité de l'air et Plan local d'urbanisme : Recueil de fiches 01 à 05

    La série de fiches « Qualité de l’air et PLU » a pour vocation d’apporter un corpus de connaissance, dans le domaine de la qualité de l’air, aux acteurs locaux impliqués dans la réalisation et la mise en œuvre des documents de planification. Elle présente par ailleurs les leviers qu’il est possible d’actionner dans un PLU(i) pour réduire les émissions de polluants et protéger les populations.
  153. Edition (Ceremadoc) Réduire la vulnérabilité des territoires aux inondations : Premiers exemples de réalisations

    Le territoire français est largement exposé aux inondations sous toutes leurs formes : débordement de cours d’eau, submersion, ruissellement, remontées de nappes, etc. Face à ce constat, la France s’est dotée en 2014 d’une stratégie nationale de gestion des risques d’inondation (SNGRI). Celle-ci s’est accompagnée en 2016 d’un Référentiel national de vulnérabilité aux inondations, qui fournit à la fois une méthode et des outils pour établir un diagnostic de vulnérabilité des territoires. Le présent ouvrage est composé de fiches décrivant de manière illustrée un éventail de mesures pour réduire la vulnérabilité aux inondations. Il prolonge ainsi le Référentiel en offrant des exemples pratiques pour faciliter la réalisation des mesures opérationnelles par les acteurs des territoires. Les fiches sont construites selon une trame commune : description sommaire, informations sur la mise en œuvre, exemples de réalisation et références pour les approfondir. Cet ouvrage a vocation à s’enrichir en continu en intégrant des mesures qui n’ont pas encore été décrites. Toute personne souhaitant contribuer est invitée à contacter le Cerema pour ajouter une fiche : inondations@cerema.fr Thème I - Connaissance du risque Thème II - Culture du risque Thème III - Alerte et gestion de crise Thème IV - Prise en compte du risque dans l’aménagement du territoire Thème V - Adaptation des enjeux existants Thème VI - Organisation de la post-crise
  154. Edition (Ceremadoc) Recommandations pour la commande d’études d’infiltrabilité des sols

    De nombreuses collectivités mettent en place une gestion durable et intégrée des eaux pluviales qui consiste à les infiltrer dans le sol en tout ou partie. Aussi, lors d’un projet d’aménagement neuf ou d’une réhabilitation, il est nécessaire de réaliser, au préalable, une étude géotechnique comprenant des essais de perméabilité in situ afin de connaître la capacité d’absorption du sol. L’expérience montre que les cahiers des charges, rédigés dans cet objectif, sont souvent incomplets et aboutissent à des réponses du bureau d’études géotechnique qui ne correspondent pas aux objectifs et caractéristiques du projet. Ce guide a pour objectif d’apporter des éléments de compréhension du sujet et d’aider les acteurs de l’aménagement du territoire à rédiger une bonne commande dans le cadre d’études d’infiltrabilité des sols. 1. Pourquoi ces recommandations ? 2. Notions d’infiltrabilité et de perméabilité 3. Contexte réglementaire 4. Les terrains vis-à-vis de l’infiltrabilité 5. Les étapes d’un projet 6. Le projet et l’infiltrabilité 7. Annexe A : Référentiels 8. Annexe B : Exemple de projet 9. Annexe C : Fiche synthétique d’aide à la rédaction d’un cahier des charges de mission d’ingénierie géotechnique 10. Annexe D : glossaire
  155. Edition (Ceremadoc) Quinze ans pour les observatoires du milieu naturel (1978-1993) : Note d'Information - Économie Environnement Conception - Série(EEC)

    Après avoir rappelé sa mission de suivi des opérations de réalisation d'infrastructures routières, la démarche et les méthodes ainsi que les conditions de mise en place, cette note définit les objectifs des observatoires des milieux naturels :- améliorer les connaissances des effets des aménagements routiers sur le milieu naturel,- vérifier la pertinence des prévisions et de la méthodologie,- vérifier l'efficacité des mesures de protection mises en oeuvre lors de la réalisation des ouvrages.Elle présente les résultats obtenus concernant :- les ressources en eau (eaux superficielles, stagnantes, pollutions chroniques et saisonnières des eaux superficielles et souterraines),- l'occupation des sols et de l'espace,- la végétation,- la petite et la grande faune,- les milieux naturels créés par les aménagements de sites.
  156. Edition (Ceremadoc) Réduction de la vulnérabilité aux inondations et valorisation urbaine

    Cet ouvrage a été réalisé à la suite du séminaire organisé par la DGPR à Béziers, en mars 2006 sur la réduction de la vulnérabilité des personnes et des biens aux inondations. Il propose un cadre méthodologique pour établir un diagnostic de vulnérabilité d'un quartier aux inondations. La méthodologie situe le quartier dans l'ensemble urbain et explicite ses relations à l'inondation. Au moment où la mise en œuvre de la directive inondation prévoit l'établissement de stratégies locales de gestion des inondations dans les territoires à risques d'inondation important, ce dossier aide les collectivités à évaluer la vulnérabilité des quartiers exposés pour rechercher des mesures de mitigation et pour développer la résilience de la population. 1 Présentation 1.1 De l’approche hydraulique à la « valorisation urbaine » 1.2 Présentation du document 1.3 Le quartier du Faubourg 2 Les étapes à suivre pour la conduite d’un diagnostic de quartier inondable 2.1 Décrire le quartier inondable et son contexte urbain 2.2 Évaluer le risque inondation sur le quartier 2.3 Faire la synthèse des approches « urbaine » et « inondation » 3 Les questions à se poser 3.1 Quelles sont l’identité de ce quartier et sa place dans l’ensemble urbain ? 3.2 Quelle est la relation de ce quartier à l’inondation ? 3.3 Qu’apporte le croisement de ces différentes analyses, quelle configuration d’ensemble ? 4 Principes et outils pour l’émergence d’une stratégie 4.1 Quelle(s) stratégie(s) possible(s) pour le quartier ? 4.2 Quelle méthode de travail ? 4.3 Quels outils ? 4.4 Les principales sources de données
  157. Edition (Ceremadoc) Réduire la vulnérabilité des réseaux urbains aux inondations

    Les multiples réseaux qui innervent la ville — électricité, gaz, télécommunications, déplacements, eau potable, etc. — sont particulièrement exposés aux inondations compte-tenu de leur structure et de leurs contraintes d'implantation. Leur défaillance contribue à aggraver les dommages d'inondation et ses conséquences peuvent être importantes : interruption des communications compliquant l'intervention des secours, arrêt d'activités économiques, interruption de la distribution d'eau potable, etc. Réduire la vulnérabilité des réseaux permet dans le meilleur des cas d'empêcher leur atteinte lors d'une inondation. Il s'agit d'aménagements bien souvent dictés par le bon sens, consistant à mettre le réseau ou les installations sensibles hors d'eau. Il peut s'agir aussi d'actions mises en œuvre dès la conception du réseau, lui permettant par exemple de résister le mieux possible aux atteintes de l'eau. À défaut, dans le cas où les réseaux seraient quand même atteints, il faut assurer la continuité du service, grâce à la mise en œuvre de moyens de substitution ou de maillage, comme par exemple des groupes électrogènes, des déviations, ou la distribution d'eau en bouteille, puis favoriser un retour à la normale dans les meilleures conditions. La réduction de la vulnérabilité des réseaux suppose un travail croisé entre les différents acteurs concernés — gestionnaires de réseaux et collectivités territoriales — et anticipé par rapport aux événements possibles.
  158. Edition (Ceremadoc) Prise en compte du tsunami dans l'analyse et le renforcement des ouvrages intérieurs neufs : Risques dynamiques pour les ouvrages maritimes et fluviaux. Fascicule 2.

    En application du décret n°91-461 du 14 mai 1991 relatif à la prévention du risque sismique, des règles de constructions, d'aménagement et d'exploitation parasismiques devaient s'imposer aux ouvrages maritimes et fluviaux. Elaboré à l'intention des ingénieurs et des projeteurs, ce second fascicule traite des ouvrages portuaires intérieurs neufs vis-à-vis du tsunami: tsunamis de différentes origines (sismique, glissements de terrain), extension aux zones géographiques plus souvent affectées par le phénomène dans les Dom-Tom. 1.0 Introduction : définition et origine des tsunamis 2.0 Mécanismes de déclenchement - magnitude des tsunamis 2.1 mecanisme de declenchement des tsunamis sismiques 2.1.1 estimation de la magnitude des tsunamis sismiques 2.1.2 estimation des mouvements du fond marin 2.2 mecanisme de declenchement des tsunamis generes par un glissement de terrain 3.0 Caractéristiques et propagation de la vague creee par un tsunami 3.1 paramètres adimensionnels gouvernant la propagation des vagues de grande longueur d’onde 3.2 tsunami sismique 3.2.1 propagation depuis la zone de génération jusqu'à l'approche de la côte 3.2.2 amplification sur la côte 3.3 tsunamis generes par glissement de terrain 4.0 Tsunamis historiques et zonage du risque de tsunami 4.1 tsunamis sismiques 4.1.1 tsunamis historiques 4.1.2 essai de zonage du risque de tsunamis sismiques 4.2 tsunamis generes par glissements de terrain 4.2.1 tsunamis historiques 4.2.2 essai de zonage du risque de tsunami par glissement de terrain 5.0 Méthode pour l'estimation du " tsunami de projet " 6.0 Effet des tsunamis sur les ouvrages 7.0 Prise en compte du tsunami dans le calcul des ouvrages 7.1 ouvrages a la mer 7.2 ouvrages terrestres 8.0 Conclusion Références
  159. Edition (Ceremadoc) Pratiques de développement durable dans le bâtiment en France. Campagne d’évaluations 2006-2009. 30 opérations : Bpdd 20 : Complexe sportif des Brosses (69)

    De nombreux bâtiments sont réputés « durables » (certifications HQE, Habitat Environnement...) ou affichent des performances, labels de nature énergétique sans que l'on ne sache : les qualités ou caractéristiques de ces bâtiments au moment de leur construction (les choix effectués) ou les performances réellement atteintes (par exemple sur le plan énergétique) ; comment ces bâtiments évoluent : fonctionnement, consommations, usages, lien avec la ville... Dans cette perspective, le ministère de l'écologie, du Développement durable, des transports et du logement a mené une campagne entre 2006 et 2010 d'analyses de 30 opérations de tous types, logements, bureaux, établissements scolaires, équipements sportifs...Il s'agit d'identifier, de présenter, d'évaluer des bâtiments présentant des progrès significatifs dans un domaine particulier (énergétique, économique, mais aussi évolutivité, usage, santé, eau...). A cet effet le CERTU, les CETEs et le CSTB, réunis dans un comité technique d'experts, ont développé des outils de référence : un guide de questionnement pour l'analyse et une fiche de restitution. Le travail de terrain a été assuré par un réseau d'expertise issu des spécialistes « Construction et Développement durable » des CETEs. Ces bâtiments (logements, équipements, tertiaire) devait être en service depuis au moins un an afin d'apprécier leurs performances réelles en exploitation et vis-à-vis de l'usage. Les réalisations ont été choisies autant sur leurs performances que sur la cohérence et la maîtrise des ambitions de durabilité depuis le programme jusqu'à la mise en service et la vie de l'équipement. À l'heure où les professionnels, et notamment les maîtres d'ouvrage, s'interrogent encore sur la viabilité économique de tels projets, mais aussi sur la manière la plus efficace de les mener, il s'agit de démythifier le coût du développement durable et de généraliser le progrès. Ainsi ont été établies 30 fiches monographiques mettant en avant les points forts de chaque opération selon cinq thèmes emblématiques des pratiques professionnelles liées au développement durable appliqué au bâtiment : gouvernance ; qualité urbaine, qualité d'usage, qualité environnementale, économie.
  160. Edition (Ceremadoc) Prise en compte de l'environnement dans les documents d'urbanisme. Série de fiches : Fiches 1 à 7

    Les fiches de cas sur la prise en compte de l'environnement dans les documents d'urbanisme ont pour objectif de présenter, sous l'angle environnement, différentes expériences de cartes communales, plans locaux d'urbanisme, schémas de cohérence territoriale, directives territoriales. Le principe retenu est de partir de documents de planification suffisamment avancés, pour que puisse être mis en exergue le travail réalisé en matière d'analyse de l'état initial de l'environnement et d'évaluation environnementale des choix retenus. Ces fiches à caractère pédagogique illustrent à partir d'exemples sélectionnés les nouvelles exigences législatives et réglementaires, les méthodes et démarches mises en place, l'organisation des maîtrise d'ouvrage et maîtrise d'œuvre, le jeu des acteurs locaux, les principaux thèmes abordés en fonction du contexte et des enjeux et locaux. Fiche n°1 Gérer les espaces naturels et agricoles... l'exemple du SCoT Métropole Savoie. Dans un contexte de croissance urbaine forte, la gestion des espaces naturels et agricoles s'est imposée dans l'élaboration du Schéma de Cohérence Territoriale (SCoT) de Métropole Savoie. Fiche n° 2 Inverser le regard... l'exemple du SCoT de l'agglomération de Montpellier. Le Schéma de Cohérence Territoriale (SCoT) de l'agglomération de Montpellier a l'ambition de préserver le « capital nature » de son territoire en mutation. Une démarche originale bouleversant le rapport ville/nature est alors mise en place : « inverser le regard ». Fiche n°3 Une étude paysagère pour la mise en application de la loi littoral... l'exemple du PLU de la commune de Granville. Les enseignements d'une étude paysagère sur les choix de développement d'une commune touristique littorale du pays de la Baie du Mont Saint-Michel. Fiche n° 4 Comment prendre en compte et traduire dans un PLU les risques d'inondations? L'expérience de la communauté de commune du Pays Granvillais. Fiche n° 5 Le Pays de Montbéliard, en quête d'attractivité à décidé d'utiliser son potentiel naturel afin de réaliser un projet structurant dans le SCoT... une infrastructure verte et bleue. Les différentes pièces du SCoT et plusieurs études sont téléchargeables sur le site de l'Agence de développement et d'urbanisme du Pays de Montbéliard (ADU). Fiche n° 6 À l'occasion de la révision de son PLU, la commune de Bonne entreprend de limiter la périurbanisation et la banalisation de ses paysages. Afin de maîtriser les zones ouvertes à l'urbanisation, l'approche de la commune et de son maître d'œuvre est double : paysagère environnementale notamment sur les fonctionnalités écologiques du territoire. Ici, le diagnostic environnemental et paysager dépasse le cadre des classiques inventaires (zones de protection, biodiversité,...). Ainsi, il prend en compte l'écologie du paysage en mettant en évidence son fonctionnement au niveau du territoire communal. Enfin, un règlement du PLU adapté à l'ambition de pérenniser durablement la richesse des milieux constituant le réseau écologique du territoire. Fiche n° 7 Mesures de protection environnementales, l'exemple du PLU de Saint-Romain-le-Puy (42). Saint-Romain-le-Puy (42) est une commune située au cœur de la plaine du Forez, un territoire riche en biodiversité. Face à des enjeux environnementaux importants : - Protéger les espaces naturels et agricoles de la pression foncière. - Concilier agriculture et environnement, la commune a intégré des mesures de protection environnementales (ou mesures conservatoires) dans son PLU
  161. Edition (Ceremadoc) Prise en compte de l'environnement dans les documents d'urbanisme. Série de fiches : Fiche n°07 - Mesures de protection environnementales. L'exemple du PLU de Saint Romain le Puy

    Les fiches de cas sur la prise en compte de l'environnement dans les documents d'urbanisme ont pour objectif de présenter, sous l'angle environnement, différentes expériences de cartes communales, plans locaux d'urbanisme, schémas de cohérence territoriale, directives territoriales. Le principe retenu est de partir de documents de planification suffisamment avancés, pour que puisse être mis en exergue le travail réalisé en matière d'analyse de l'état initial de l'environnement et d'évaluation environnementale des choix retenus. Ces fiches à caractère pédagogique illustrent à partir d'exemples sélectionnés les nouvelles exigences législatives et réglementaires, les méthodes et démarches mises en place, l'organisation des maîtrise d'ouvrage et maîtrise d'œuvre, le jeu des acteurs locaux, les principaux thèmes abordés en fonction du contexte et des enjeux et locaux. Fiche n°1 Gérer les espaces naturels et agricoles... l'exemple du SCoT Métropole Savoie. Dans un contexte de croissance urbaine forte, la gestion des espaces naturels et agricoles s'est imposée dans l'élaboration du Schéma de Cohérence Territoriale (SCoT) de Métropole Savoie. Fiche n° 2 Inverser le regard... l'exemple du SCoT de l'agglomération de Montpellier. Le Schéma de Cohérence Territoriale (SCoT) de l'agglomération de Montpellier a l'ambition de préserver le « capital nature » de son territoire en mutation. Une démarche originale bouleversant le rapport ville/nature est alors mise en place : « inverser le regard ». Fiche n°3 Une étude paysagère pour la mise en application de la loi littoral... l'exemple du PLU de la commune de Granville. Les enseignements d'une étude paysagère sur les choix de développement d'une commune touristique littorale du pays de la Baie du Mont Saint-Michel. Fiche n° 4 Comment prendre en compte et traduire dans un PLU les risques d'inondations? L'expérience de la communauté de commune du Pays Granvillais. Fiche n° 5 Le Pays de Montbéliard, en quête d'attractivité à décidé d'utiliser son potentiel naturel afin de réaliser un projet structurant dans le SCoT... une infrastructure verte et bleue. Les différentes pièces du SCoT et plusieurs études sont téléchargeables sur le site de l'Agence de développement et d'urbanisme du Pays de Montbéliard (ADU). Fiche n° 6 À l'occasion de la révision de son PLU, la commune de Bonne entreprend de limiter la périurbanisation et la banalisation de ses paysages. Afin de maîtriser les zones ouvertes à l'urbanisation, l'approche de la commune et de son maître d'œuvre est double : paysagère environnementale notamment sur les fonctionnalités écologiques du territoire. Ici, le diagnostic environnemental et paysager dépasse le cadre des classiques inventaires (zones de protection, biodiversité,...). Ainsi, il prend en compte l'écologie du paysage en mettant en évidence son fonctionnement au niveau du territoire communal. Enfin, un règlement du PLU adapté à l'ambition de pérenniser durablement la richesse des milieux constituant le réseau écologique du territoire. Fiche n° 7 Mesures de protection environnementales, l'exemple du PLU de Saint-Romain-le-Puy (42). Saint-Romain-le-Puy (42) est une commune située au cœur de la plaine du Forez, un territoire riche en biodiversité. Face à des enjeux environnementaux importants : - Protéger les espaces naturels et agricoles de la pression foncière. - Concilier agriculture et environnement, la commune a intégré des mesures de protection environnementales (ou mesures conservatoires) dans son PLU
  162. Edition (Ceremadoc) Prise en compte du séisme et du tsunami dans la conception et l'évaluation des ouvrages portuaires extérieurs : Risques dynamiques pour les ouvrages maritimes et fluviaux. Fascicule 4

    En application du décret n°91-461 du 14 mai 1991 relatif à la prévention du risque sismique, des règles de constructions, d'aménagement et d'exploitation parasismiques devaient s'imposer aux ouvrages maritimes et fluviaux. Elaboré à l'intention des ingénieurs et des projeteurs, ce quatrième fascicule présente une méthodologie permettant d'une part, de concevoir et de justifier les ouvrages extérieurs vis à vis d'actions dynamiques (séismes et tsunamis) et d'autre part, de prendre en compte le risque lié aux actions dynamiques pour l'évaluation technique et le renforcement de ceux-ci. Les ouvrages visés par le guide sont: les digues à talus, les digues verticales, à parois absorbantes ou non, les brises-clapots, les talus sous-marins naturels, les barrières anti-tsunamis. Partie a - generalites 1.0 Presentation du guide 2.0 Retour d'experience 3.0 Prise en compte du seisme 3.1 determination de l'alea sismique 3.2 actions a considerer dans le calcul 3.3 pressions hydrodynamiques liees au seisme 4.0 Prise en compte du tsunami 5.0 Protection vis a vis du tsunami apportee par l'ouvrage Partie b - application et recommandations particulieres pour la conception et l'evaluation des ouvrages portuaires exterieurs 6.0 Digues a talus 6.1 prise en compte du seisme 6.1.1 conception et justification d'ouvrages neufs 6.1.2 evaluation et renforcement 6.2 prise en compte du tsunami 6.2.1 enseignements tires de l’etude de kamel 6.2.2 methodes de predimensionnement 7.0 Digues verticales : ouvrages poids 7.1 prise en compte du seisme 7.1.1 conception et justification d’ouvrages neufs 7.1.2 evaluation et renforcement 7.2 prise en compte du tsunami 8.0 Digues verticales sur pieux 8.1 prise en compte du seisme 8.2 prise en compte du tsunami 9.0 Brise-clapots flottants 9.1 prise en compte du seisme 9.2 prise en compte du tsunami 10.0 Barrieres antl-tsunamis 11.0 Talus sous-marins 11.1 prise en compte du seisme 11.2 prise en compte du tsunami 12.0 conclusion generale References Annexes annexe 1 annexe 2
  163. Edition (Ceremadoc) Production des cartes de bruit stratégiques des grands axes routiers et ferroviaires : Guide méthodologique

    La directive européenne du 25 juin 2002 relative à l'évaluation et à la gestion du bruit dans l'environnement, transposée en droit français, impose la réalisation de cartes de bruit stratégiques et l'adoption de plans d'action dans les grandes agglomérations ainsi qu'aux abords des grandes infrastructures de transport. Le présent guide méthodologique expose des principes et des recommandations d'établissement des cartes de bruit stratégiques des grands axes routiers et ferroviaires visés par la première échéance de 2007. Il s'agit des infrastructures routières et autoroutières dont le trafic annuel est supérieur à 6 millions de véhicules ainsi que des infrastructures ferroviaires dont le trafic annuel est supérieur à 60 000 passages de train.Après un rappel organisé du contenu des textes réglementaires puis des commentaires sur leurs implications, le guide aborde successivement : l'organisation de la démarche ; le recueil de données ; les calculs acoustiques ; l'estimation des populations et des superficies exposées ; la présentation des résultats ; la publication des cartes. Des compléments techniques utiles figurent en annexe.
  164. Edition (Ceremadoc) Projets routiers interurbains. Suivis et bilans environnementaux : Guide méthodologique

    Ce guide est destiné à faciliter l'application du décret du 25 février 1993 sur les études d'impact, ainsi que la circulaire et l'instruction du 11 mars 1996 relatives à la prise en compte de l'environnement et du paysage pour ce qui concerne le réseau routier national. Il traite à l'intention des responsables d'opérations et de leurs sous-traitants, de la réalisation, des suivis et des bilans environnementaux en ce qui concerne les liaisons interurbaines.Il comporte deux parties : la première partie traite des principes relatifs aux objectifs, au contenu, aux méthodes, à la diffusion, aux comités de suivi, en distinguant le cas des grands projets d'infrastructures de celui des autres projets. la deuxième partie "Eléments thématiques" présente, par thème et sous forme de fiches, les éléments susceptibles d'intervenir dans un bilan (le milieu physique, les eaux souterraines et les eaux de surface, le milieu naturel, l'agriculture et la sylviculture, le patrimoine, le paysage, l'urbanisme et l'usage de l'espace, la qualité de vie, le bruit, les aspects psychosociaux et les risques technologiques).
  165. Edition (Ceremadoc) Protection contre les instabilités rocheuses - Dimensionnement et exécution des boulons

    Le premier chapitre de ce document évoque les principes d’utilisation des boulons scellés au coulis de ciment, en distinguant le comportement individuel d’un boulon du comportement intégré dans un dispositif de renforcement passif. Après ces quelques éléments technologiques, les principes de conception générale sont présentés. Le chapitre suivant aborde les méthodes de dimensionnement, les principales hypothèses adoptées, les paramètres utilisés et les coefficients de pondération de ces paramètres. Le chapitre 4 est consacré au choix des matériaux constitutifs des boulons scellés au coulis de ciment. Il s’agit des aciers, des ciments et autres produits de scellement et des accessoires. Le chapitre 5 s’adresse aux procédés de réalisation des boulons scellés au coulis de ciment dans le but d’évoquer les principaux aspects pratiques de la réalisation d’un dispositif de renforcement passif. Le guide se termine par des recommandations Avant-propos Règlement et terminologie Chapitre 1 - Introduction Chapitre 2 - Principe d’utilisation des boulons Cas d’utilisation courante des boulons Comportement individuel d’un boulons Comportement d’un dispositif de boulons Chapitre 3 - Études et conception d’un dispositif de boulonnage Principes généraux des études Éléments technologiques concernant les boulons Conception du dispositif de renforcement Chapitre 4 - Calcul du dispositif de renforcement Renforcement d’un bloc isolé en glissement plan Boulon sollicité en tête Application des Eurocodes au calcul des boulons Exemple d’application Les études Chapitre 5 - Matériaux constitutifs des boulons Choix des aciers Choix des ciments et produits de scellement Choix des accessoires Anticorrosion des aciers Chapitre 6 - Réalisation du dispositif de renforcement Principaux aspects pratiques Règles d’ordre technologique Méthodes de foration des trous Éléments de phasage de l’exécution d’un boulon Éléments d’exécution du dispositif de renforcement passif Éléments de contrôle Éléments d’auscultation Éléments de l’assurance qualité Réception des ouvrages - Récolement Bibliographie
  166. Edition (Ceremadoc) Protections acoustiques : enjeux et modalités d'insertion dans le paysage

    L'étude acoustique a pour objectif d'étudier les solutions permettant de ramener le niveau de bruit au seuil autorisé par la réglementation en vigueur et de dimensionner des dispositifs de protection en fonction de la configuration de la voie, de son trafic (estimation, prévision) et de la situation des habitations. Cependant ces protections peuvent engendrer des impacts visuels et paysagers non négligeables à la fois pour les riverains et les usagers de l'infrastructure (fermeture visuelle, effet de coupure, arrière des protections, etc.). Le plus souvent situées en co-visibilité pour le riverain, ces premiers plans et leur qualité de traitement sont déterminants pour l'image et la qualité future de l'infrastructure. L'objectif de cette note d'information est de sensibiliser les concepteurs, les spécialistes du bruit et les paysagistes à l'intérêt d'une insertion globale des protections acoustiques dans le sens d'une meilleure adéquation entre protection contre le bruit, respect des paysages et du cadre de vie et mise en valeur des sites traversés. Préambule Rôle et enjeux des protections acoustiques L'enjeu des perceptions des protections acoustiques Caractéristiques des protections acoustiques Modalités d'insertion dans le contexte environnant Entretien Conclusion Bibliographie
  167. Edition (Ceremadoc) Projets routiers interurbains. Les études d'environnement dans les projets routiers : Guide méthodologique

    Ce guide est destiné à faciliter l'application du décret du 25 février 1993 sur les études d'impact, ainsi que de la circulaire et de l'instruction du 11 mars 1996 relatives à la prise en compte de l'environnement et du paysage pour ce qui concerne le réseau routier national. Ce volume est consacré aux infrastructures interurbaines. Il traite de la prise en compte de l'environnement aux différents niveaux d'études, ainsi que dans la phase chantier, dans un abord technique et pratique.Il présente : des recommandations générales relatives à la prise en compte de l'environnement dans la conduite du projet, l'environnement pratique, l'écoute et la concertation, des fiches thématiques qui traitent de la définition des thèmes environnementaux (l'eau, l'air, le milieu naturel, l'agriculture, la sylviculture, l'aménagement et l'urbanisme, le bruit, le patrimoine, le paysage, la qualité de l'air, et le climat, les risques et la sécurité), de la synthèse des études d'environnement, du chantier, des emprunts - dépôts, des conséquences sur l'exploitation et l'entretien, des documents annexes relatifs à la prise en compte de l'environnement selon le type de projet (réalisation de routes et d'autoroutes, aménagement de routes et autoroutes en service).
  168. Edition (Ceremadoc) Pratiques de développement durable dans le bâtiment en France. Campagne d’évaluations 2006-2009. 30 opérations : Bpdd 30 : Réhabilitation de la Tour Corse (44)

    De nombreux bâtiments sont réputés « durables » (certifications HQE, Habitat Environnement...) ou affichent des performances, labels de nature énergétique sans que l'on ne sache : les qualités ou caractéristiques de ces bâtiments au moment de leur construction (les choix effectués) ou les performances réellement atteintes (par exemple sur le plan énergétique) ; comment ces bâtiments évoluent : fonctionnement, consommations, usages, lien avec la ville... Dans cette perspective, le ministère de l'écologie, du Développement durable, des transports et du logement a mené une campagne entre 2006 et 2010 d'analyses de 30 opérations de tous types, logements, bureaux, établissements scolaires, équipements sportifs...Il s'agit d'identifier, de présenter, d'évaluer des bâtiments présentant des progrès significatifs dans un domaine particulier (énergétique, économique, mais aussi évolutivité, usage, santé, eau...). A cet effet le CERTU, les CETEs et le CSTB, réunis dans un comité technique d'experts, ont développé des outils de référence : un guide de questionnement pour l'analyse et une fiche de restitution. Le travail de terrain a été assuré par un réseau d'expertise issu des spécialistes « Construction et Développement durable » des CETEs. Ces bâtiments (logements, équipements, tertiaire) devait être en service depuis au moins un an afin d'apprécier leurs performances réelles en exploitation et vis-à-vis de l'usage. Les réalisations ont été choisies autant sur leurs performances que sur la cohérence et la maîtrise des ambitions de durabilité depuis le programme jusqu'à la mise en service et la vie de l'équipement. À l'heure où les professionnels, et notamment les maîtres d'ouvrage, s'interrogent encore sur la viabilité économique de tels projets, mais aussi sur la manière la plus efficace de les mener, il s'agit de démythifier le coût du développement durable et de généraliser le progrès. Ainsi ont été établies 30 fiches monographiques mettant en avant les points forts de chaque opération selon cinq thèmes emblématiques des pratiques professionnelles liées au développement durable appliqué au bâtiment : gouvernance ; qualité urbaine, qualité d'usage, qualité environnementale, économie.
  169. Edition (Ceremadoc) L'ingénierie d'appui territorial au service du développement durable. Manuel de recommandations pour la prise en compte du développement durable dans la gestion du cycle de l’eau : Fascicule 2 : aménagement de bassin versant

    Destiné aux maîtres d’ouvrages et aux services déconcentrés qui les assistent est un manuel de recommandations visant à faciliter cette mise en œuvre, à travers un questionnement fondé sur la prise en compte des principes et des enjeux qui résultent des référentiels techniques, des textes réglementaires, des divers documents de planification et des expériences locales.
  170. Edition (Ceremadoc) Pratiques de développement durable dans le bâtiment en France. Campagne d’évaluations 2006-2009. 30 opérations : Bpdd 8 : Lycée Marie Reynoard (38)

    De nombreux bâtiments sont réputés « durables » (certifications HQE, Habitat Environnement...) ou affichent des performances, labels de nature énergétique sans que l'on ne sache : les qualités ou caractéristiques de ces bâtiments au moment de leur construction (les choix effectués) ou les performances réellement atteintes (par exemple sur le plan énergétique) ; comment ces bâtiments évoluent : fonctionnement, consommations, usages, lien avec la ville... Dans cette perspective, le ministère de l'écologie, du Développement durable, des transports et du logement a mené une campagne entre 2006 et 2010 d'analyses de 30 opérations de tous types, logements, bureaux, établissements scolaires, équipements sportifs...Il s'agit d'identifier, de présenter, d'évaluer des bâtiments présentant des progrès significatifs dans un domaine particulier (énergétique, économique, mais aussi évolutivité, usage, santé, eau...). A cet effet le CERTU, les CETEs et le CSTB, réunis dans un comité technique d'experts, ont développé des outils de référence : un guide de questionnement pour l'analyse et une fiche de restitution. Le travail de terrain a été assuré par un réseau d'expertise issu des spécialistes « Construction et Développement durable » des CETEs. Ces bâtiments (logements, équipements, tertiaire) devait être en service depuis au moins un an afin d'apprécier leurs performances réelles en exploitation et vis-à-vis de l'usage. Les réalisations ont été choisies autant sur leurs performances que sur la cohérence et la maîtrise des ambitions de durabilité depuis le programme jusqu'à la mise en service et la vie de l'équipement. À l'heure où les professionnels, et notamment les maîtres d'ouvrage, s'interrogent encore sur la viabilité économique de tels projets, mais aussi sur la manière la plus efficace de les mener, il s'agit de démythifier le coût du développement durable et de généraliser le progrès. Ainsi ont été établies 30 fiches monographiques mettant en avant les points forts de chaque opération selon cinq thèmes emblématiques des pratiques professionnelles liées au développement durable appliqué au bâtiment : gouvernance ; qualité urbaine, qualité d'usage, qualité environnementale, économie.
  171. Edition (Ceremadoc) Prévention et gestion des déchets issus de catastrophes naturelles : Démarche opérationnelle et fiches d’application

    Des coupures d’infrastructures, des dysfonctionnements de la collecte, du transport et du traitement des déchets, peuvent affecter la zone directement impactée et le territoire avoisinant. Les déchets produits lors de ces catastrophes, s’ils sont entreposés ou traités dans de mauvaises conditions, peuvent également entraîner des risques sanitaires et environnementaux. Le retour d’expérience des récentes catastrophes (pour se limiter à la France : tempête Xynthia en 2010, inondations de la Seine en 2016, cyclone Irma en 2017) a montré l’importance des enjeux associés à un système de collecte et de bon traitement de ces déchets «post-catastrophe». Au plan réglementaire, en termes de planification, les conseils généraux et régionaux doivent désormais prendre en compte ces déchets dans le cadre de la révision des plans de prévention et de gestion des déchets non dangereux et dangereux. En terme de gestion, une rubrique ICPE n°2719 a été créée, dédiée aux sites d’entreposage temporaire de déchets issus de catastrophes et de pollutions accidentelles marines ou fluviales. D’un point de vue opérationnel, la gestion des déchets issus de catastrophes, est portée par les collectivités, EPCI et communes adhérentes ayant la compétence déchets. 1- Introduction 2 - Contexte réglementaire Définitions Responsabilités Articulation avec les documents de planification des déchets non dangereux et dangereux 3 - Anticipation Identification des situations de crise Qualification des déchets post‑catastrophe Estimation de la quantité de déchets post‑catastrophe Actions de prévention Organisation et fonctionnement des zones de regroupement des déchets post‑catastrophe Communication Acteurs de la gestion des déchets 4 - Gestion des déchets Mise en oeuvre des zones de regroupement des déchets Suivi et contrôle des opérations Remise en état des zones de regroupement des déchets 5 - Bilan de la gestion des déchets 6 - Bibliographie
  172. Edition (Ceremadoc) Prise en compte de l'environnement dans les documents d'urbanisme. Série de fiches : Fiche n°02 - Inverser le regard... l'exemple du SCOT de l'agglomération de Montpellier

    Les fiches de cas sur la prise en compte de l'environnement dans les documents d'urbanisme ont pour objectif de présenter, sous l'angle environnement, différentes expériences de cartes communales, plans locaux d'urbanisme, schémas de cohérence territoriale, directives territoriales. Le principe retenu est de partir de documents de planification suffisamment avancés, pour que puisse être mis en exergue le travail réalisé en matière d'analyse de l'état initial de l'environnement et d'évaluation environnementale des choix retenus. Ces fiches à caractère pédagogique illustrent à partir d'exemples sélectionnés les nouvelles exigences législatives et réglementaires, les méthodes et démarches mises en place, l'organisation des maîtrise d'ouvrage et maîtrise d'œuvre, le jeu des acteurs locaux, les principaux thèmes abordés en fonction du contexte et des enjeux et locaux. Fiche n°1 Gérer les espaces naturels et agricoles... l'exemple du SCoT Métropole Savoie. Dans un contexte de croissance urbaine forte, la gestion des espaces naturels et agricoles s'est imposée dans l'élaboration du Schéma de Cohérence Territoriale (SCoT) de Métropole Savoie. Fiche n° 2 Inverser le regard... l'exemple du SCoT de l'agglomération de Montpellier. Le Schéma de Cohérence Territoriale (SCoT) de l'agglomération de Montpellier a l'ambition de préserver le « capital nature » de son territoire en mutation. Une démarche originale bouleversant le rapport ville/nature est alors mise en place : « inverser le regard ». Fiche n°3 Une étude paysagère pour la mise en application de la loi littoral... l'exemple du PLU de la commune de Granville. Les enseignements d'une étude paysagère sur les choix de développement d'une commune touristique littorale du pays de la Baie du Mont Saint-Michel. Fiche n° 4 Comment prendre en compte et traduire dans un PLU les risques d'inondations? L'expérience de la communauté de commune du Pays Granvillais. Fiche n° 5 Le Pays de Montbéliard, en quête d'attractivité à décidé d'utiliser son potentiel naturel afin de réaliser un projet structurant dans le SCoT... une infrastructure verte et bleue. Les différentes pièces du SCoT et plusieurs études sont téléchargeables sur le site de l'Agence de développement et d'urbanisme du Pays de Montbéliard (ADU). Fiche n° 6 À l'occasion de la révision de son PLU, la commune de Bonne entreprend de limiter la périurbanisation et la banalisation de ses paysages. Afin de maîtriser les zones ouvertes à l'urbanisation, l'approche de la commune et de son maître d'œuvre est double : paysagère environnementale notamment sur les fonctionnalités écologiques du territoire. Ici, le diagnostic environnemental et paysager dépasse le cadre des classiques inventaires (zones de protection, biodiversité,...). Ainsi, il prend en compte l'écologie du paysage en mettant en évidence son fonctionnement au niveau du territoire communal. Enfin, un règlement du PLU adapté à l'ambition de pérenniser durablement la richesse des milieux constituant le réseau écologique du territoire. Fiche n° 7 Mesures de protection environnementales, l'exemple du PLU de Saint-Romain-le-Puy (42). Saint-Romain-le-Puy (42) est une commune située au cœur de la plaine du Forez, un territoire riche en biodiversité. Face à des enjeux environnementaux importants : - Protéger les espaces naturels et agricoles de la pression foncière. - Concilier agriculture et environnement, la commune a intégré des mesures de protection environnementales (ou mesures conservatoires) dans son PLU
  173. Edition (Ceremadoc) Pratiques de développement durable dans le bâtiment en France. Campagne d’évaluations 2006-2009. 30 opérations : Bpdd 27 : Résidence Les Fleurs (33)

    De nombreux bâtiments sont réputés « durables » (certifications HQE, Habitat Environnement...) ou affichent des performances, labels de nature énergétique sans que l'on ne sache : les qualités ou caractéristiques de ces bâtiments au moment de leur construction (les choix effectués) ou les performances réellement atteintes (par exemple sur le plan énergétique) ; comment ces bâtiments évoluent : fonctionnement, consommations, usages, lien avec la ville... Dans cette perspective, le ministère de l'écologie, du Développement durable, des transports et du logement a mené une campagne entre 2006 et 2010 d'analyses de 30 opérations de tous types, logements, bureaux, établissements scolaires, équipements sportifs...Il s'agit d'identifier, de présenter, d'évaluer des bâtiments présentant des progrès significatifs dans un domaine particulier (énergétique, économique, mais aussi évolutivité, usage, santé, eau...). A cet effet le CERTU, les CETEs et le CSTB, réunis dans un comité technique d'experts, ont développé des outils de référence : un guide de questionnement pour l'analyse et une fiche de restitution. Le travail de terrain a été assuré par un réseau d'expertise issu des spécialistes « Construction et Développement durable » des CETEs. Ces bâtiments (logements, équipements, tertiaire) devait être en service depuis au moins un an afin d'apprécier leurs performances réelles en exploitation et vis-à-vis de l'usage. Les réalisations ont été choisies autant sur leurs performances que sur la cohérence et la maîtrise des ambitions de durabilité depuis le programme jusqu'à la mise en service et la vie de l'équipement. À l'heure où les professionnels, et notamment les maîtres d'ouvrage, s'interrogent encore sur la viabilité économique de tels projets, mais aussi sur la manière la plus efficace de les mener, il s'agit de démythifier le coût du développement durable et de généraliser le progrès. Ainsi ont été établies 30 fiches monographiques mettant en avant les points forts de chaque opération selon cinq thèmes emblématiques des pratiques professionnelles liées au développement durable appliqué au bâtiment : gouvernance ; qualité urbaine, qualité d'usage, qualité environnementale, économie.
  174. Edition (Ceremadoc) Techniques alternatives aux réseaux d'assainissement pluvial

    Quelle pollution retient une tranchée ? Une noue peut-elle se colmater ? Comment entretenir un bassin en eau ? La présence d'eau dans la plate-forme routière est-elle compatible avec sa pérennité ? Qui assure la gestion et l'entretien des techniques alternatives ? En cas de dysfonctionnement, qui est responsable? Autant de questions qui se posent à propos des techniques alternatives et auxquelles cet ouvrage apporte des réponses. Après avoir décrit comment, dans une opération d'aménagement réelle, les problèmes d'assainissement pluvial ont été résolus en mettant en œuvre une combinaison de techniques alternatives et en adoptant une approche intégrée, les auteurs exposent, sous forme de fiches, les aspects techniques et le contexte juridique. Cet ouvrage est un outil d'aide au choix et à la réalisation de techniques alternatives. Il s'adresse à tous les acteurs de l'aménagement susceptibles de mettre en œuvre ou de gérer des techniques alternatives aux réseaux d'assainissement pluvial.
  175. Edition (Ceremadoc) Verdissement et renforcement du plan local d’urbanisme (PLU)

    La loi SRU de décembre 2000, fondatrice des Schémas de Cohérence Territoriale (SCoT) et des PLU, traduisait la volonté de promouvoir un aménagement des aires urbaines plus cohérent, plus solidaire et plus soucieux du développement durable. La loi portant engagement national pour l’environnement du 12 juillet 2010, dite « Grenelle 2 », complète ce dispositif législatif en renforçant la dimension environnementale et la mise en cohérence des SCoT et PLU.
  176. Edition (Ceremadoc) Étude prospective pour une gestion territorialisée et optimisée des boues de l’assainissement collectif. Description des scénarios étudiés et méthodologie employée : une analyse multi-critères et itérative de scénarios

    La première partie de l’étude a fait apparaître que la méthanisation in situ est a priori la filière complémentaire la plus appropriée à la situation de la Métropole. Dans un premier temps, trois scénarios ont d’abord été analysés. Les résultats issus de cette analyse ont conduit la Métropole à en envisager un quatrième qui permette de digérer la totalité des boues reçues sur Emeraude, ce qui illustre la démarche expérimentale conduite tout au long de l’étude. Au total, quatre scénarios sont donc étudiés, et comparés avec la situation de référence appelée «scénario 0»
  177. Edition (Ceremadoc) Association Aquitaine Carbone

    L’association Aquitaine Carbonne a été créée en 2011 suite aux tempêtes de 2009, sous l’impulsion de la Région Aquitaine, du CRPF Aquitaine, l’ONF, la CDC. En 2019, l’association s’est intéressée aux méthodes LBC forêt et a souhaité se positionner comme agrégateur de projets carbone LBC. L’objectif initial de l’association consistait à engager les propriétaires dans le reboisement à la suite des tempêtes de 2009, en recherchant une articulation avec le plan Chablis.
  178. Edition (Ceremadoc) Pratiques de développement durable dans le bâtiment en France. Campagne d’évaluations 2006-2009. 30 opérations : Bpdd 18 : Lotissement

    De nombreux bâtiments sont réputés « durables » (certifications HQE, Habitat Environnement...) ou affichent des performances, labels de nature énergétique sans que l'on ne sache : les qualités ou caractéristiques de ces bâtiments au moment de leur construction (les choix effectués) ou les performances réellement atteintes (par exemple sur le plan énergétique) ; comment ces bâtiments évoluent : fonctionnement, consommations, usages, lien avec la ville... Dans cette perspective, le ministère de l'écologie, du Développement durable, des transports et du logement a mené une campagne entre 2006 et 2010 d'analyses de 30 opérations de tous types, logements, bureaux, établissements scolaires, équipements sportifs...Il s'agit d'identifier, de présenter, d'évaluer des bâtiments présentant des progrès significatifs dans un domaine particulier (énergétique, économique, mais aussi évolutivité, usage, santé, eau...). A cet effet le CERTU, les CETEs et le CSTB, réunis dans un comité technique d'experts, ont développé des outils de référence : un guide de questionnement pour l'analyse et une fiche de restitution. Le travail de terrain a été assuré par un réseau d'expertise issu des spécialistes « Construction et Développement durable » des CETEs. Ces bâtiments (logements, équipements, tertiaire) devait être en service depuis au moins un an afin d'apprécier leurs performances réelles en exploitation et vis-à-vis de l'usage. Les réalisations ont été choisies autant sur leurs performances que sur la cohérence et la maîtrise des ambitions de durabilité depuis le programme jusqu'à la mise en service et la vie de l'équipement. À l'heure où les professionnels, et notamment les maîtres d'ouvrage, s'interrogent encore sur la viabilité économique de tels projets, mais aussi sur la manière la plus efficace de les mener, il s'agit de démythifier le coût du développement durable et de généraliser le progrès. Ainsi ont été établies 30 fiches monographiques mettant en avant les points forts de chaque opération selon cinq thèmes emblématiques des pratiques professionnelles liées au développement durable appliqué au bâtiment : gouvernance ; qualité urbaine, qualité d'usage, qualité environnementale, économie.
  179. Edition (Ceremadoc) Pratiques de développement durable dans le bâtiment en France. Campagne d’évaluations 2006-2009. 30 opérations : Bpdd 3 : Bâtiment 270 des EMGP (93)

    De nombreux bâtiments sont réputés « durables » (certifications HQE, Habitat Environnement...) ou affichent des performances, labels de nature énergétique sans que l'on ne sache : les qualités ou caractéristiques de ces bâtiments au moment de leur construction (les choix effectués) ou les performances réellement atteintes (par exemple sur le plan énergétique) ; comment ces bâtiments évoluent : fonctionnement, consommations, usages, lien avec la ville... Dans cette perspective, le ministère de l'écologie, du Développement durable, des transports et du logement a mené une campagne entre 2006 et 2010 d'analyses de 30 opérations de tous types, logements, bureaux, établissements scolaires, équipements sportifs...Il s'agit d'identifier, de présenter, d'évaluer des bâtiments présentant des progrès significatifs dans un domaine particulier (énergétique, économique, mais aussi évolutivité, usage, santé, eau...). A cet effet le CERTU, les CETEs et le CSTB, réunis dans un comité technique d'experts, ont développé des outils de référence : un guide de questionnement pour l'analyse et une fiche de restitution. Le travail de terrain a été assuré par un réseau d'expertise issu des spécialistes « Construction et Développement durable » des CETEs. Ces bâtiments (logements, équipements, tertiaire) devait être en service depuis au moins un an afin d'apprécier leurs performances réelles en exploitation et vis-à-vis de l'usage. Les réalisations ont été choisies autant sur leurs performances que sur la cohérence et la maîtrise des ambitions de durabilité depuis le programme jusqu'à la mise en service et la vie de l'équipement. À l'heure où les professionnels, et notamment les maîtres d'ouvrage, s'interrogent encore sur la viabilité économique de tels projets, mais aussi sur la manière la plus efficace de les mener, il s'agit de démythifier le coût du développement durable et de généraliser le progrès. Ainsi ont été établies 30 fiches monographiques mettant en avant les points forts de chaque opération selon cinq thèmes emblématiques des pratiques professionnelles liées au développement durable appliqué au bâtiment : gouvernance ; qualité urbaine, qualité d'usage, qualité environnementale, économie.
  180. Edition (Ceremadoc) Pratiques de développement durable dans le bâtiment en France. Campagne d’évaluations 2006-2009. 30 opérations : Bpdd 24 : Réhabilitation du bâtiment D du CROUS (34)

    De nombreux bâtiments sont réputés « durables » (certifications HQE, Habitat Environnement...) ou affichent des performances, labels de nature énergétique sans que l'on ne sache : les qualités ou caractéristiques de ces bâtiments au moment de leur construction (les choix effectués) ou les performances réellement atteintes (par exemple sur le plan énergétique) ; comment ces bâtiments évoluent : fonctionnement, consommations, usages, lien avec la ville... Dans cette perspective, le ministère de l'écologie, du Développement durable, des transports et du logement a mené une campagne entre 2006 et 2010 d'analyses de 30 opérations de tous types, logements, bureaux, établissements scolaires, équipements sportifs...Il s'agit d'identifier, de présenter, d'évaluer des bâtiments présentant des progrès significatifs dans un domaine particulier (énergétique, économique, mais aussi évolutivité, usage, santé, eau...). A cet effet le CERTU, les CETEs et le CSTB, réunis dans un comité technique d'experts, ont développé des outils de référence : un guide de questionnement pour l'analyse et une fiche de restitution. Le travail de terrain a été assuré par un réseau d'expertise issu des spécialistes « Construction et Développement durable » des CETEs. Ces bâtiments (logements, équipements, tertiaire) devait être en service depuis au moins un an afin d'apprécier leurs performances réelles en exploitation et vis-à-vis de l'usage. Les réalisations ont été choisies autant sur leurs performances que sur la cohérence et la maîtrise des ambitions de durabilité depuis le programme jusqu'à la mise en service et la vie de l'équipement. À l'heure où les professionnels, et notamment les maîtres d'ouvrage, s'interrogent encore sur la viabilité économique de tels projets, mais aussi sur la manière la plus efficace de les mener, il s'agit de démythifier le coût du développement durable et de généraliser le progrès. Ainsi ont été établies 30 fiches monographiques mettant en avant les points forts de chaque opération selon cinq thèmes emblématiques des pratiques professionnelles liées au développement durable appliqué au bâtiment : gouvernance ; qualité urbaine, qualité d'usage, qualité environnementale, économie.
  181. Edition (Ceremadoc) Prise en compte des risques naturels : 10 monographies

    La politique de prévention des risques naturels a pour objet, tout à la fois, de réduire la vulnérabilité des personnes et des biens exposés et d'apprendre à vivre avec le risque. Les événements tragiques qui ont frappé la France en 2010 - la tempête Xynthia et les intempéries du Var - ont une nouvelle fois rappelé l'importance d'une prise en compte partagée des risques naturels dans les politiques locales d'aménagement. Le ministère de l'Écologie a publié en décembre 2006 un premier album de 13 monographies portant sur des expériences de prise en compte des risques naturels dans l’aménagement. Cet album présentait déjà les difficultés, mais aussi les possibilités d’actions en matière d’aménagement de territoires exposés aux risques naturels. Pour mieux couvrir la très grande diversité des territoires potentiellement concernés et des situations à risque rencontrées, le ministère de l'Écologie a sélectionné dix nouvelles expériences en vue de la réalisation de ce second album. Celui-ci présente des projets conduits au sein de grandes collectivités (Besançon, Bordeaux et Nîmes), de collectivités de taille moyenne (Bois-Guillaume et Périgueux), mais aussi de petites communes (comme Sommières). En outre, plusieurs monographies relèvent du contexte spécifique de l'Outre-Mer (Guadeloupe), particulièrement exposée aux risques naturels. Avant-propos Sommaire Présentation de l’album Fondements législatifsBESANÇON (25) Quartier Pasteur : réaménagement du centre commercialBOIS-GUILLAUME (76) Zac « Les portes de la forêt »BORDEAUX (33) Gestion du pluvial et aménagement des quais rive gaucheLA DÉSIRADE (971) PPR multirisques - Étude d’aménagement du Souffleur - Ouvrages de protectionLES ABYMES (971) Renouvellement urbain des quartiers de Grand-Camp et du RaizetMORNE-À-L’EAU (971) Requalification du quartier de Vieux-BourgNÎMES (30) Renouvellement urbain du quartier Hoche-SernamPÉRIGUEUX (24) Aménagement des berges de l’IslePOINTE-NOIRE (971) Prise en compte des risques dans l’élaboration du PLUSOMMIÈRES (30) Requalification d’un espace urbain existant situé en zone inondable
  182. Edition (Ceremadoc) Prise en compte de l'environnement dans les documents d'urbanisme. Série de fiches : Fiche n°03 - Une étude paysagère pour la mise en application de la loi littoral... l'exemple du PLU de la commune de Granville

    Les fiches de cas sur la prise en compte de l'environnement dans les documents d'urbanisme ont pour objectif de présenter, sous l'angle environnement, différentes expériences de cartes communales, plans locaux d'urbanisme, schémas de cohérence territoriale, directives territoriales. Le principe retenu est de partir de documents de planification suffisamment avancés, pour que puisse être mis en exergue le travail réalisé en matière d'analyse de l'état initial de l'environnement et d'évaluation environnementale des choix retenus. Ces fiches à caractère pédagogique illustrent à partir d'exemples sélectionnés les nouvelles exigences législatives et réglementaires, les méthodes et démarches mises en place, l'organisation des maîtrise d'ouvrage et maîtrise d'œuvre, le jeu des acteurs locaux, les principaux thèmes abordés en fonction du contexte et des enjeux et locaux. Fiche n°1 Gérer les espaces naturels et agricoles... l'exemple du SCoT Métropole Savoie. Dans un contexte de croissance urbaine forte, la gestion des espaces naturels et agricoles s'est imposée dans l'élaboration du Schéma de Cohérence Territoriale (SCoT) de Métropole Savoie. Fiche n° 2 Inverser le regard... l'exemple du SCoT de l'agglomération de Montpellier. Le Schéma de Cohérence Territoriale (SCoT) de l'agglomération de Montpellier a l'ambition de préserver le « capital nature » de son territoire en mutation. Une démarche originale bouleversant le rapport ville/nature est alors mise en place : « inverser le regard ». Fiche n°3 Une étude paysagère pour la mise en application de la loi littoral... l'exemple du PLU de la commune de Granville. Les enseignements d'une étude paysagère sur les choix de développement d'une commune touristique littorale du pays de la Baie du Mont Saint-Michel. Fiche n° 4 Comment prendre en compte et traduire dans un PLU les risques d'inondations? L'expérience de la communauté de commune du Pays Granvillais. Fiche n° 5 Le Pays de Montbéliard, en quête d'attractivité à décidé d'utiliser son potentiel naturel afin de réaliser un projet structurant dans le SCoT... une infrastructure verte et bleue. Les différentes pièces du SCoT et plusieurs études sont téléchargeables sur le site de l'Agence de développement et d'urbanisme du Pays de Montbéliard (ADU). Fiche n° 6 À l'occasion de la révision de son PLU, la commune de Bonne entreprend de limiter la périurbanisation et la banalisation de ses paysages. Afin de maîtriser les zones ouvertes à l'urbanisation, l'approche de la commune et de son maître d'œuvre est double : paysagère environnementale notamment sur les fonctionnalités écologiques du territoire. Ici, le diagnostic environnemental et paysager dépasse le cadre des classiques inventaires (zones de protection, biodiversité,...). Ainsi, il prend en compte l'écologie du paysage en mettant en évidence son fonctionnement au niveau du territoire communal. Enfin, un règlement du PLU adapté à l'ambition de pérenniser durablement la richesse des milieux constituant le réseau écologique du territoire. Fiche n° 7 Mesures de protection environnementales, l'exemple du PLU de Saint-Romain-le-Puy (42). Saint-Romain-le-Puy (42) est une commune située au cœur de la plaine du Forez, un territoire riche en biodiversité. Face à des enjeux environnementaux importants : - Protéger les espaces naturels et agricoles de la pression foncière. - Concilier agriculture et environnement, la commune a intégré des mesures de protection environnementales (ou mesures conservatoires) dans son PLU
  183. Edition (Ceremadoc) Pratiques de développement durable dans le bâtiment en France. Campagne d’évaluations 2006-2009. 30 opérations : Version intégrale

    De nombreux bâtiments sont réputés « durables » (certifications HQE, Habitat Environnement...) ou affichent des performances, labels de nature énergétique sans que l'on ne sache : les qualités ou caractéristiques de ces bâtiments au moment de leur construction (les choix effectués) ou les performances réellement atteintes (par exemple sur le plan énergétique) ; comment ces bâtiments évoluent : fonctionnement, consommations, usages, lien avec la ville... Dans cette perspective, le ministère de l'écologie, du Développement durable, des transports et du logement a mené une campagne entre 2006 et 2010 d'analyses de 30 opérations de tous types, logements, bureaux, établissements scolaires, équipements sportifs...Il s'agit d'identifier, de présenter, d'évaluer des bâtiments présentant des progrès significatifs dans un domaine particulier (énergétique, économique, mais aussi évolutivité, usage, santé, eau...). A cet effet le CERTU, les CETEs et le CSTB, réunis dans un comité technique d'experts, ont développé des outils de référence : un guide de questionnement pour l'analyse et une fiche de restitution. Le travail de terrain a été assuré par un réseau d'expertise issu des spécialistes « Construction et Développement durable » des CETEs. Ces bâtiments (logements, équipements, tertiaire) devait être en service depuis au moins un an afin d'apprécier leurs performances réelles en exploitation et vis-à-vis de l'usage. Les réalisations ont été choisies autant sur leurs performances que sur la cohérence et la maîtrise des ambitions de durabilité depuis le programme jusqu'à la mise en service et la vie de l'équipement. À l'heure où les professionnels, et notamment les maîtres d'ouvrage, s'interrogent encore sur la viabilité économique de tels projets, mais aussi sur la manière la plus efficace de les mener, il s'agit de démythifier le coût du développement durable et de généraliser le progrès. Ainsi ont été établies 30 fiches monographiques mettant en avant les points forts de chaque opération selon cinq thèmes emblématiques des pratiques professionnelles liées au développement durable appliqué au bâtiment : gouvernance ; qualité urbaine, qualité d'usage, qualité environnementale, économie.
  184. Edition (Ceremadoc) Pratiques de développement durable dans le bâtiment en France. Campagne d’évaluations 2006-2009. 30 opérations : Bpdd 19 : Ecole primaire (35)

    De nombreux bâtiments sont réputés « durables » (certifications HQE, Habitat Environnement...) ou affichent des performances, labels de nature énergétique sans que l'on ne sache : les qualités ou caractéristiques de ces bâtiments au moment de leur construction (les choix effectués) ou les performances réellement atteintes (par exemple sur le plan énergétique) ; comment ces bâtiments évoluent : fonctionnement, consommations, usages, lien avec la ville... Dans cette perspective, le ministère de l'écologie, du Développement durable, des transports et du logement a mené une campagne entre 2006 et 2010 d'analyses de 30 opérations de tous types, logements, bureaux, établissements scolaires, équipements sportifs...Il s'agit d'identifier, de présenter, d'évaluer des bâtiments présentant des progrès significatifs dans un domaine particulier (énergétique, économique, mais aussi évolutivité, usage, santé, eau...). A cet effet le CERTU, les CETEs et le CSTB, réunis dans un comité technique d'experts, ont développé des outils de référence : un guide de questionnement pour l'analyse et une fiche de restitution. Le travail de terrain a été assuré par un réseau d'expertise issu des spécialistes « Construction et Développement durable » des CETEs. Ces bâtiments (logements, équipements, tertiaire) devait être en service depuis au moins un an afin d'apprécier leurs performances réelles en exploitation et vis-à-vis de l'usage. Les réalisations ont été choisies autant sur leurs performances que sur la cohérence et la maîtrise des ambitions de durabilité depuis le programme jusqu'à la mise en service et la vie de l'équipement. À l'heure où les professionnels, et notamment les maîtres d'ouvrage, s'interrogent encore sur la viabilité économique de tels projets, mais aussi sur la manière la plus efficace de les mener, il s'agit de démythifier le coût du développement durable et de généraliser le progrès. Ainsi ont été établies 30 fiches monographiques mettant en avant les points forts de chaque opération selon cinq thèmes emblématiques des pratiques professionnelles liées au développement durable appliqué au bâtiment : gouvernance ; qualité urbaine, qualité d'usage, qualité environnementale, économie.
  185. Edition (Ceremadoc) Prise en compte de l'environnement dans les documents d'urbanisme. Série de fiches : Fiche n°06 - Préserver le réseau écologique L'exemple du PLU de Bonne en Haute-Savoie

    Les fiches de cas sur la prise en compte de l'environnement dans les documents d'urbanisme ont pour objectif de présenter, sous l'angle environnement, différentes expériences de cartes communales, plans locaux d'urbanisme, schémas de cohérence territoriale, directives territoriales. Le principe retenu est de partir de documents de planification suffisamment avancés, pour que puisse être mis en exergue le travail réalisé en matière d'analyse de l'état initial de l'environnement et d'évaluation environnementale des choix retenus. Ces fiches à caractère pédagogique illustrent à partir d'exemples sélectionnés les nouvelles exigences législatives et réglementaires, les méthodes et démarches mises en place, l'organisation des maîtrise d'ouvrage et maîtrise d'œuvre, le jeu des acteurs locaux, les principaux thèmes abordés en fonction du contexte et des enjeux et locaux. Fiche n°1 Gérer les espaces naturels et agricoles... l'exemple du SCoT Métropole Savoie. Dans un contexte de croissance urbaine forte, la gestion des espaces naturels et agricoles s'est imposée dans l'élaboration du Schéma de Cohérence Territoriale (SCoT) de Métropole Savoie. Fiche n° 2 Inverser le regard... l'exemple du SCoT de l'agglomération de Montpellier. Le Schéma de Cohérence Territoriale (SCoT) de l'agglomération de Montpellier a l'ambition de préserver le « capital nature » de son territoire en mutation. Une démarche originale bouleversant le rapport ville/nature est alors mise en place : « inverser le regard ». Fiche n°3 Une étude paysagère pour la mise en application de la loi littoral... l'exemple du PLU de la commune de Granville. Les enseignements d'une étude paysagère sur les choix de développement d'une commune touristique littorale du pays de la Baie du Mont Saint-Michel. Fiche n° 4 Comment prendre en compte et traduire dans un PLU les risques d'inondations? L'expérience de la communauté de commune du Pays Granvillais. Fiche n° 5 Le Pays de Montbéliard, en quête d'attractivité à décidé d'utiliser son potentiel naturel afin de réaliser un projet structurant dans le SCoT... une infrastructure verte et bleue. Les différentes pièces du SCoT et plusieurs études sont téléchargeables sur le site de l'Agence de développement et d'urbanisme du Pays de Montbéliard (ADU). Fiche n° 6 À l'occasion de la révision de son PLU, la commune de Bonne entreprend de limiter la périurbanisation et la banalisation de ses paysages. Afin de maîtriser les zones ouvertes à l'urbanisation, l'approche de la commune et de son maître d'œuvre est double : paysagère environnementale notamment sur les fonctionnalités écologiques du territoire. Ici, le diagnostic environnemental et paysager dépasse le cadre des classiques inventaires (zones de protection, biodiversité,...). Ainsi, il prend en compte l'écologie du paysage en mettant en évidence son fonctionnement au niveau du territoire communal. Enfin, un règlement du PLU adapté à l'ambition de pérenniser durablement la richesse des milieux constituant le réseau écologique du territoire. Fiche n° 7 Mesures de protection environnementales, l'exemple du PLU de Saint-Romain-le-Puy (42). Saint-Romain-le-Puy (42) est une commune située au cœur de la plaine du Forez, un territoire riche en biodiversité. Face à des enjeux environnementaux importants : - Protéger les espaces naturels et agricoles de la pression foncière. - Concilier agriculture et environnement, la commune a intégré des mesures de protection environnementales (ou mesures conservatoires) dans son PLU
  186. Edition (Ceremadoc) Prise en compte de l'environnement dans les documents d'urbanisme. Série de fiches : Fiche n°01 - Gérer les espaces naturels et agricoles... l'exemple du SCOT Métropole Savoie

    Les fiches de cas sur la prise en compte de l'environnement dans les documents d'urbanisme ont pour objectif de présenter, sous l'angle environnement, différentes expériences de cartes communales, plans locaux d'urbanisme, schémas de cohérence territoriale, directives territoriales. Le principe retenu est de partir de documents de planification suffisamment avancés, pour que puisse être mis en exergue le travail réalisé en matière d'analyse de l'état initial de l'environnement et d'évaluation environnementale des choix retenus. Ces fiches à caractère pédagogique illustrent à partir d'exemples sélectionnés les nouvelles exigences législatives et réglementaires, les méthodes et démarches mises en place, l'organisation des maîtrise d'ouvrage et maîtrise d'œuvre, le jeu des acteurs locaux, les principaux thèmes abordés en fonction du contexte et des enjeux et locaux. Fiche n°1 Gérer les espaces naturels et agricoles... l'exemple du SCoT Métropole Savoie. Dans un contexte de croissance urbaine forte, la gestion des espaces naturels et agricoles s'est imposée dans l'élaboration du Schéma de Cohérence Territoriale (SCoT) de Métropole Savoie. Fiche n° 2 Inverser le regard... l'exemple du SCoT de l'agglomération de Montpellier. Le Schéma de Cohérence Territoriale (SCoT) de l'agglomération de Montpellier a l'ambition de préserver le « capital nature » de son territoire en mutation. Une démarche originale bouleversant le rapport ville/nature est alors mise en place : « inverser le regard ». Fiche n°3 Une étude paysagère pour la mise en application de la loi littoral... l'exemple du PLU de la commune de Granville. Les enseignements d'une étude paysagère sur les choix de développement d'une commune touristique littorale du pays de la Baie du Mont Saint-Michel. Fiche n° 4 Comment prendre en compte et traduire dans un PLU les risques d'inondations? L'expérience de la communauté de commune du Pays Granvillais. Fiche n° 5 Le Pays de Montbéliard, en quête d'attractivité à décidé d'utiliser son potentiel naturel afin de réaliser un projet structurant dans le SCoT... une infrastructure verte et bleue. Les différentes pièces du SCoT et plusieurs études sont téléchargeables sur le site de l'Agence de développement et d'urbanisme du Pays de Montbéliard (ADU). Fiche n° 6 À l'occasion de la révision de son PLU, la commune de Bonne entreprend de limiter la périurbanisation et la banalisation de ses paysages. Afin de maîtriser les zones ouvertes à l'urbanisation, l'approche de la commune et de son maître d'œuvre est double : paysagère environnementale notamment sur les fonctionnalités écologiques du territoire. Ici, le diagnostic environnemental et paysager dépasse le cadre des classiques inventaires (zones de protection, biodiversité,...). Ainsi, il prend en compte l'écologie du paysage en mettant en évidence son fonctionnement au niveau du territoire communal. Enfin, un règlement du PLU adapté à l'ambition de pérenniser durablement la richesse des milieux constituant le réseau écologique du territoire. Fiche n° 7 Mesures de protection environnementales, l'exemple du PLU de Saint-Romain-le-Puy (42). Saint-Romain-le-Puy (42) est une commune située au cœur de la plaine du Forez, un territoire riche en biodiversité. Face à des enjeux environnementaux importants : - Protéger les espaces naturels et agricoles de la pression foncière. - Concilier agriculture et environnement, la commune a intégré des mesures de protection environnementales (ou mesures conservatoires) dans son PLU
  187. Edition (Ceremadoc) Pratiques de développement durable dans le bâtiment en France. Campagne d’évaluations 2006-2009. 30 opérations : Bpdd 25 : Unité de vie de l'hôpital local (88)

    De nombreux bâtiments sont réputés « durables » (certifications HQE, Habitat Environnement...) ou affichent des performances, labels de nature énergétique sans que l'on ne sache : les qualités ou caractéristiques de ces bâtiments au moment de leur construction (les choix effectués) ou les performances réellement atteintes (par exemple sur le plan énergétique) ; comment ces bâtiments évoluent : fonctionnement, consommations, usages, lien avec la ville... Dans cette perspective, le ministère de l'écologie, du Développement durable, des transports et du logement a mené une campagne entre 2006 et 2010 d'analyses de 30 opérations de tous types, logements, bureaux, établissements scolaires, équipements sportifs...Il s'agit d'identifier, de présenter, d'évaluer des bâtiments présentant des progrès significatifs dans un domaine particulier (énergétique, économique, mais aussi évolutivité, usage, santé, eau...). A cet effet le CERTU, les CETEs et le CSTB, réunis dans un comité technique d'experts, ont développé des outils de référence : un guide de questionnement pour l'analyse et une fiche de restitution. Le travail de terrain a été assuré par un réseau d'expertise issu des spécialistes « Construction et Développement durable » des CETEs. Ces bâtiments (logements, équipements, tertiaire) devait être en service depuis au moins un an afin d'apprécier leurs performances réelles en exploitation et vis-à-vis de l'usage. Les réalisations ont été choisies autant sur leurs performances que sur la cohérence et la maîtrise des ambitions de durabilité depuis le programme jusqu'à la mise en service et la vie de l'équipement. À l'heure où les professionnels, et notamment les maîtres d'ouvrage, s'interrogent encore sur la viabilité économique de tels projets, mais aussi sur la manière la plus efficace de les mener, il s'agit de démythifier le coût du développement durable et de généraliser le progrès. Ainsi ont été établies 30 fiches monographiques mettant en avant les points forts de chaque opération selon cinq thèmes emblématiques des pratiques professionnelles liées au développement durable appliqué au bâtiment : gouvernance ; qualité urbaine, qualité d'usage, qualité environnementale, économie.
  188. Edition (Ceremadoc) Pratiques de développement durable dans le bâtiment en France. Campagne d’évaluations 2006-2009. 30 opérations : Bpdd 9 : Résidence Belle-ile (35)

    De nombreux bâtiments sont réputés « durables » (certifications HQE, Habitat Environnement...) ou affichent des performances, labels de nature énergétique sans que l'on ne sache : les qualités ou caractéristiques de ces bâtiments au moment de leur construction (les choix effectués) ou les performances réellement atteintes (par exemple sur le plan énergétique) ; comment ces bâtiments évoluent : fonctionnement, consommations, usages, lien avec la ville... Dans cette perspective, le ministère de l'écologie, du Développement durable, des transports et du logement a mené une campagne entre 2006 et 2010 d'analyses de 30 opérations de tous types, logements, bureaux, établissements scolaires, équipements sportifs...Il s'agit d'identifier, de présenter, d'évaluer des bâtiments présentant des progrès significatifs dans un domaine particulier (énergétique, économique, mais aussi évolutivité, usage, santé, eau...). A cet effet le CERTU, les CETEs et le CSTB, réunis dans un comité technique d'experts, ont développé des outils de référence : un guide de questionnement pour l'analyse et une fiche de restitution. Le travail de terrain a été assuré par un réseau d'expertise issu des spécialistes « Construction et Développement durable » des CETEs. Ces bâtiments (logements, équipements, tertiaire) devait être en service depuis au moins un an afin d'apprécier leurs performances réelles en exploitation et vis-à-vis de l'usage. Les réalisations ont été choisies autant sur leurs performances que sur la cohérence et la maîtrise des ambitions de durabilité depuis le programme jusqu'à la mise en service et la vie de l'équipement. À l'heure où les professionnels, et notamment les maîtres d'ouvrage, s'interrogent encore sur la viabilité économique de tels projets, mais aussi sur la manière la plus efficace de les mener, il s'agit de démythifier le coût du développement durable et de généraliser le progrès. Ainsi ont été établies 30 fiches monographiques mettant en avant les points forts de chaque opération selon cinq thèmes emblématiques des pratiques professionnelles liées au développement durable appliqué au bâtiment : gouvernance ; qualité urbaine, qualité d'usage, qualité environnementale, économie.
  189. Edition (Ceremadoc) Prise en compte de l'environnement dans les documents d'urbanisme. Série de fiches : Fiche n°04 - Evaluation des risques d'inondations et traduction réglementaire dans les PLU - Le Pays Granvillais

    Les fiches de cas sur la prise en compte de l'environnement dans les documents d'urbanisme ont pour objectif de présenter, sous l'angle environnement, différentes expériences de cartes communales, plans locaux d'urbanisme, schémas de cohérence territoriale, directives territoriales. Le principe retenu est de partir de documents de planification suffisamment avancés, pour que puisse être mis en exergue le travail réalisé en matière d'analyse de l'état initial de l'environnement et d'évaluation environnementale des choix retenus. Ces fiches à caractère pédagogique illustrent à partir d'exemples sélectionnés les nouvelles exigences législatives et réglementaires, les méthodes et démarches mises en place, l'organisation des maîtrise d'ouvrage et maîtrise d'œuvre, le jeu des acteurs locaux, les principaux thèmes abordés en fonction du contexte et des enjeux et locaux. Fiche n°1 Gérer les espaces naturels et agricoles... l'exemple du SCoT Métropole Savoie. Dans un contexte de croissance urbaine forte, la gestion des espaces naturels et agricoles s'est imposée dans l'élaboration du Schéma de Cohérence Territoriale (SCoT) de Métropole Savoie. Fiche n° 2 Inverser le regard... l'exemple du SCoT de l'agglomération de Montpellier. Le Schéma de Cohérence Territoriale (SCoT) de l'agglomération de Montpellier a l'ambition de préserver le « capital nature » de son territoire en mutation. Une démarche originale bouleversant le rapport ville/nature est alors mise en place : « inverser le regard ». Fiche n°3 Une étude paysagère pour la mise en application de la loi littoral... l'exemple du PLU de la commune de Granville. Les enseignements d'une étude paysagère sur les choix de développement d'une commune touristique littorale du pays de la Baie du Mont Saint-Michel. Fiche n° 4 Comment prendre en compte et traduire dans un PLU les risques d'inondations? L'expérience de la communauté de commune du Pays Granvillais. Fiche n° 5 Le Pays de Montbéliard, en quête d'attractivité à décidé d'utiliser son potentiel naturel afin de réaliser un projet structurant dans le SCoT... une infrastructure verte et bleue. Les différentes pièces du SCoT et plusieurs études sont téléchargeables sur le site de l'Agence de développement et d'urbanisme du Pays de Montbéliard (ADU). Fiche n° 6 À l'occasion de la révision de son PLU, la commune de Bonne entreprend de limiter la périurbanisation et la banalisation de ses paysages. Afin de maîtriser les zones ouvertes à l'urbanisation, l'approche de la commune et de son maître d'œuvre est double : paysagère environnementale notamment sur les fonctionnalités écologiques du territoire. Ici, le diagnostic environnemental et paysager dépasse le cadre des classiques inventaires (zones de protection, biodiversité,...). Ainsi, il prend en compte l'écologie du paysage en mettant en évidence son fonctionnement au niveau du territoire communal. Enfin, un règlement du PLU adapté à l'ambition de pérenniser durablement la richesse des milieux constituant le réseau écologique du territoire. Fiche n° 7 Mesures de protection environnementales, l'exemple du PLU de Saint-Romain-le-Puy (42). Saint-Romain-le-Puy (42) est une commune située au cœur de la plaine du Forez, un territoire riche en biodiversité. Face à des enjeux environnementaux importants : - Protéger les espaces naturels et agricoles de la pression foncière. - Concilier agriculture et environnement, la commune a intégré des mesures de protection environnementales (ou mesures conservatoires) dans son PLU
  190. Edition (Ceremadoc) Pratiques de développement durable dans le bâtiment en France. Campagne d’évaluations 2006-2009. 30 opérations : Bpdd 22 : Réhabilitation de la Maison diocésaine (51)

    De nombreux bâtiments sont réputés « durables » (certifications HQE, Habitat Environnement...) ou affichent des performances, labels de nature énergétique sans que l'on ne sache : les qualités ou caractéristiques de ces bâtiments au moment de leur construction (les choix effectués) ou les performances réellement atteintes (par exemple sur le plan énergétique) ; comment ces bâtiments évoluent : fonctionnement, consommations, usages, lien avec la ville... Dans cette perspective, le ministère de l'écologie, du Développement durable, des transports et du logement a mené une campagne entre 2006 et 2010 d'analyses de 30 opérations de tous types, logements, bureaux, établissements scolaires, équipements sportifs...Il s'agit d'identifier, de présenter, d'évaluer des bâtiments présentant des progrès significatifs dans un domaine particulier (énergétique, économique, mais aussi évolutivité, usage, santé, eau...). A cet effet le CERTU, les CETEs et le CSTB, réunis dans un comité technique d'experts, ont développé des outils de référence : un guide de questionnement pour l'analyse et une fiche de restitution. Le travail de terrain a été assuré par un réseau d'expertise issu des spécialistes « Construction et Développement durable » des CETEs. Ces bâtiments (logements, équipements, tertiaire) devait être en service depuis au moins un an afin d'apprécier leurs performances réelles en exploitation et vis-à-vis de l'usage. Les réalisations ont été choisies autant sur leurs performances que sur la cohérence et la maîtrise des ambitions de durabilité depuis le programme jusqu'à la mise en service et la vie de l'équipement. À l'heure où les professionnels, et notamment les maîtres d'ouvrage, s'interrogent encore sur la viabilité économique de tels projets, mais aussi sur la manière la plus efficace de les mener, il s'agit de démythifier le coût du développement durable et de généraliser le progrès. Ainsi ont été établies 30 fiches monographiques mettant en avant les points forts de chaque opération selon cinq thèmes emblématiques des pratiques professionnelles liées au développement durable appliqué au bâtiment : gouvernance ; qualité urbaine, qualité d'usage, qualité environnementale, économie.
  191. Edition (Ceremadoc) Pratiques de développement durable dans le bâtiment en France. Campagne d’évaluations 2006-2009. 30 opérations : Bpdd 4 : Université des sciences et technologies de Lille (59)

    De nombreux bâtiments sont réputés « durables » (certifications HQE, Habitat Environnement...) ou affichent des performances, labels de nature énergétique sans que l'on ne sache : les qualités ou caractéristiques de ces bâtiments au moment de leur construction (les choix effectués) ou les performances réellement atteintes (par exemple sur le plan énergétique) ; comment ces bâtiments évoluent : fonctionnement, consommations, usages, lien avec la ville... Dans cette perspective, le ministère de l'écologie, du Développement durable, des transports et du logement a mené une campagne entre 2006 et 2010 d'analyses de 30 opérations de tous types, logements, bureaux, établissements scolaires, équipements sportifs...Il s'agit d'identifier, de présenter, d'évaluer des bâtiments présentant des progrès significatifs dans un domaine particulier (énergétique, économique, mais aussi évolutivité, usage, santé, eau...). A cet effet le CERTU, les CETEs et le CSTB, réunis dans un comité technique d'experts, ont développé des outils de référence : un guide de questionnement pour l'analyse et une fiche de restitution. Le travail de terrain a été assuré par un réseau d'expertise issu des spécialistes « Construction et Développement durable » des CETEs. Ces bâtiments (logements, équipements, tertiaire) devait être en service depuis au moins un an afin d'apprécier leurs performances réelles en exploitation et vis-à-vis de l'usage. Les réalisations ont été choisies autant sur leurs performances que sur la cohérence et la maîtrise des ambitions de durabilité depuis le programme jusqu'à la mise en service et la vie de l'équipement. À l'heure où les professionnels, et notamment les maîtres d'ouvrage, s'interrogent encore sur la viabilité économique de tels projets, mais aussi sur la manière la plus efficace de les mener, il s'agit de démythifier le coût du développement durable et de généraliser le progrès. Ainsi ont été établies 30 fiches monographiques mettant en avant les points forts de chaque opération selon cinq thèmes emblématiques des pratiques professionnelles liées au développement durable appliqué au bâtiment : gouvernance ; qualité urbaine, qualité d'usage, qualité environnementale, économie.
  192. Edition (Ceremadoc) Pratiques de développement durable dans le bâtiment en France. Campagne d’évaluations 2006-2009. 30 opérations : Bpdd 23 : Restaurant inter-administratif (69)

    De nombreux bâtiments sont réputés « durables » (certifications HQE, Habitat Environnement...) ou affichent des performances, labels de nature énergétique sans que l'on ne sache : les qualités ou caractéristiques de ces bâtiments au moment de leur construction (les choix effectués) ou les performances réellement atteintes (par exemple sur le plan énergétique) ; comment ces bâtiments évoluent : fonctionnement, consommations, usages, lien avec la ville... Dans cette perspective, le ministère de l'écologie, du Développement durable, des transports et du logement a mené une campagne entre 2006 et 2010 d'analyses de 30 opérations de tous types, logements, bureaux, établissements scolaires, équipements sportifs...Il s'agit d'identifier, de présenter, d'évaluer des bâtiments présentant des progrès significatifs dans un domaine particulier (énergétique, économique, mais aussi évolutivité, usage, santé, eau...). A cet effet le CERTU, les CETEs et le CSTB, réunis dans un comité technique d'experts, ont développé des outils de référence : un guide de questionnement pour l'analyse et une fiche de restitution. Le travail de terrain a été assuré par un réseau d'expertise issu des spécialistes « Construction et Développement durable » des CETEs. Ces bâtiments (logements, équipements, tertiaire) devait être en service depuis au moins un an afin d'apprécier leurs performances réelles en exploitation et vis-à-vis de l'usage. Les réalisations ont été choisies autant sur leurs performances que sur la cohérence et la maîtrise des ambitions de durabilité depuis le programme jusqu'à la mise en service et la vie de l'équipement. À l'heure où les professionnels, et notamment les maîtres d'ouvrage, s'interrogent encore sur la viabilité économique de tels projets, mais aussi sur la manière la plus efficace de les mener, il s'agit de démythifier le coût du développement durable et de généraliser le progrès. Ainsi ont été établies 30 fiches monographiques mettant en avant les points forts de chaque opération selon cinq thèmes emblématiques des pratiques professionnelles liées au développement durable appliqué au bâtiment : gouvernance ; qualité urbaine, qualité d'usage, qualité environnementale, économie.
  193. Edition (Ceremadoc) Pratiques de développement durable dans le bâtiment en France. Campagne d’évaluations 2006-2009. 30 opérations : Bpdd 28 : Cité Wagner (88)

    De nombreux bâtiments sont réputés « durables » (certifications HQE, Habitat Environnement...) ou affichent des performances, labels de nature énergétique sans que l'on ne sache : les qualités ou caractéristiques de ces bâtiments au moment de leur construction (les choix effectués) ou les performances réellement atteintes (par exemple sur le plan énergétique) ; comment ces bâtiments évoluent : fonctionnement, consommations, usages, lien avec la ville... Dans cette perspective, le ministère de l'écologie, du Développement durable, des transports et du logement a mené une campagne entre 2006 et 2010 d'analyses de 30 opérations de tous types, logements, bureaux, établissements scolaires, équipements sportifs...Il s'agit d'identifier, de présenter, d'évaluer des bâtiments présentant des progrès significatifs dans un domaine particulier (énergétique, économique, mais aussi évolutivité, usage, santé, eau...). A cet effet le CERTU, les CETEs et le CSTB, réunis dans un comité technique d'experts, ont développé des outils de référence : un guide de questionnement pour l'analyse et une fiche de restitution. Le travail de terrain a été assuré par un réseau d'expertise issu des spécialistes « Construction et Développement durable » des CETEs. Ces bâtiments (logements, équipements, tertiaire) devait être en service depuis au moins un an afin d'apprécier leurs performances réelles en exploitation et vis-à-vis de l'usage. Les réalisations ont été choisies autant sur leurs performances que sur la cohérence et la maîtrise des ambitions de durabilité depuis le programme jusqu'à la mise en service et la vie de l'équipement. À l'heure où les professionnels, et notamment les maîtres d'ouvrage, s'interrogent encore sur la viabilité économique de tels projets, mais aussi sur la manière la plus efficace de les mener, il s'agit de démythifier le coût du développement durable et de généraliser le progrès. Ainsi ont été établies 30 fiches monographiques mettant en avant les points forts de chaque opération selon cinq thèmes emblématiques des pratiques professionnelles liées au développement durable appliqué au bâtiment : gouvernance ; qualité urbaine, qualité d'usage, qualité environnementale, économie.
  194. Edition (Ceremadoc) Pratiques de développement durable dans le bâtiment en France. Campagne d’évaluations 2006-2009. 30 opérations : Bpdd 5 : Maison de retraite

    De nombreux bâtiments sont réputés « durables » (certifications HQE, Habitat Environnement...) ou affichent des performances, labels de nature énergétique sans que l'on ne sache : les qualités ou caractéristiques de ces bâtiments au moment de leur construction (les choix effectués) ou les performances réellement atteintes (par exemple sur le plan énergétique) ; comment ces bâtiments évoluent : fonctionnement, consommations, usages, lien avec la ville... Dans cette perspective, le ministère de l'écologie, du Développement durable, des transports et du logement a mené une campagne entre 2006 et 2010 d'analyses de 30 opérations de tous types, logements, bureaux, établissements scolaires, équipements sportifs...Il s'agit d'identifier, de présenter, d'évaluer des bâtiments présentant des progrès significatifs dans un domaine particulier (énergétique, économique, mais aussi évolutivité, usage, santé, eau...). A cet effet le CERTU, les CETEs et le CSTB, réunis dans un comité technique d'experts, ont développé des outils de référence : un guide de questionnement pour l'analyse et une fiche de restitution. Le travail de terrain a été assuré par un réseau d'expertise issu des spécialistes « Construction et Développement durable » des CETEs. Ces bâtiments (logements, équipements, tertiaire) devait être en service depuis au moins un an afin d'apprécier leurs performances réelles en exploitation et vis-à-vis de l'usage. Les réalisations ont été choisies autant sur leurs performances que sur la cohérence et la maîtrise des ambitions de durabilité depuis le programme jusqu'à la mise en service et la vie de l'équipement. À l'heure où les professionnels, et notamment les maîtres d'ouvrage, s'interrogent encore sur la viabilité économique de tels projets, mais aussi sur la manière la plus efficace de les mener, il s'agit de démythifier le coût du développement durable et de généraliser le progrès. Ainsi ont été établies 30 fiches monographiques mettant en avant les points forts de chaque opération selon cinq thèmes emblématiques des pratiques professionnelles liées au développement durable appliqué au bâtiment : gouvernance ; qualité urbaine, qualité d'usage, qualité environnementale, économie.
  195. Edition (Ceremadoc) Pratiques de développement durable dans le bâtiment en France. Campagne d’évaluations 2006-2009. 30 opérations : Bpdd 16 : Restauration scolaire de Lompret (59)

    De nombreux bâtiments sont réputés « durables » (certifications HQE, Habitat Environnement...) ou affichent des performances, labels de nature énergétique sans que l'on ne sache : les qualités ou caractéristiques de ces bâtiments au moment de leur construction (les choix effectués) ou les performances réellement atteintes (par exemple sur le plan énergétique) ; comment ces bâtiments évoluent : fonctionnement, consommations, usages, lien avec la ville... Dans cette perspective, le ministère de l'écologie, du Développement durable, des transports et du logement a mené une campagne entre 2006 et 2010 d'analyses de 30 opérations de tous types, logements, bureaux, établissements scolaires, équipements sportifs...Il s'agit d'identifier, de présenter, d'évaluer des bâtiments présentant des progrès significatifs dans un domaine particulier (énergétique, économique, mais aussi évolutivité, usage, santé, eau...). A cet effet le CERTU, les CETEs et le CSTB, réunis dans un comité technique d'experts, ont développé des outils de référence : un guide de questionnement pour l'analyse et une fiche de restitution. Le travail de terrain a été assuré par un réseau d'expertise issu des spécialistes « Construction et Développement durable » des CETEs. Ces bâtiments (logements, équipements, tertiaire) devait être en service depuis au moins un an afin d'apprécier leurs performances réelles en exploitation et vis-à-vis de l'usage. Les réalisations ont été choisies autant sur leurs performances que sur la cohérence et la maîtrise des ambitions de durabilité depuis le programme jusqu'à la mise en service et la vie de l'équipement. À l'heure où les professionnels, et notamment les maîtres d'ouvrage, s'interrogent encore sur la viabilité économique de tels projets, mais aussi sur la manière la plus efficace de les mener, il s'agit de démythifier le coût du développement durable et de généraliser le progrès. Ainsi ont été établies 30 fiches monographiques mettant en avant les points forts de chaque opération selon cinq thèmes emblématiques des pratiques professionnelles liées au développement durable appliqué au bâtiment : gouvernance ; qualité urbaine, qualité d'usage, qualité environnementale, économie.
  196. Edition (Ceremadoc) Pratiques de développement durable dans le bâtiment en France. Campagne d’évaluations 2006-2009. 30 opérations : Bpdd 17 : 20 logements

    De nombreux bâtiments sont réputés « durables » (certifications HQE, Habitat Environnement...) ou affichent des performances, labels de nature énergétique sans que l'on ne sache : les qualités ou caractéristiques de ces bâtiments au moment de leur construction (les choix effectués) ou les performances réellement atteintes (par exemple sur le plan énergétique) ; comment ces bâtiments évoluent : fonctionnement, consommations, usages, lien avec la ville... Dans cette perspective, le ministère de l'écologie, du Développement durable, des transports et du logement a mené une campagne entre 2006 et 2010 d'analyses de 30 opérations de tous types, logements, bureaux, établissements scolaires, équipements sportifs...Il s'agit d'identifier, de présenter, d'évaluer des bâtiments présentant des progrès significatifs dans un domaine particulier (énergétique, économique, mais aussi évolutivité, usage, santé, eau...). A cet effet le CERTU, les CETEs et le CSTB, réunis dans un comité technique d'experts, ont développé des outils de référence : un guide de questionnement pour l'analyse et une fiche de restitution. Le travail de terrain a été assuré par un réseau d'expertise issu des spécialistes « Construction et Développement durable » des CETEs. Ces bâtiments (logements, équipements, tertiaire) devait être en service depuis au moins un an afin d'apprécier leurs performances réelles en exploitation et vis-à-vis de l'usage. Les réalisations ont été choisies autant sur leurs performances que sur la cohérence et la maîtrise des ambitions de durabilité depuis le programme jusqu'à la mise en service et la vie de l'équipement. À l'heure où les professionnels, et notamment les maîtres d'ouvrage, s'interrogent encore sur la viabilité économique de tels projets, mais aussi sur la manière la plus efficace de les mener, il s'agit de démythifier le coût du développement durable et de généraliser le progrès. Ainsi ont été établies 30 fiches monographiques mettant en avant les points forts de chaque opération selon cinq thèmes emblématiques des pratiques professionnelles liées au développement durable appliqué au bâtiment : gouvernance ; qualité urbaine, qualité d'usage, qualité environnementale, économie.
  197. Edition (Ceremadoc) Pratiques de développement durable dans le bâtiment en France. Campagne d’évaluations 2006-2009. 30 opérations : Bpdd 6 : Centre de dialyse Michel Basse (64)

    De nombreux bâtiments sont réputés « durables » (certifications HQE, Habitat Environnement...) ou affichent des performances, labels de nature énergétique sans que l'on ne sache : les qualités ou caractéristiques de ces bâtiments au moment de leur construction (les choix effectués) ou les performances réellement atteintes (par exemple sur le plan énergétique) ; comment ces bâtiments évoluent : fonctionnement, consommations, usages, lien avec la ville... Dans cette perspective, le ministère de l'écologie, du Développement durable, des transports et du logement a mené une campagne entre 2006 et 2010 d'analyses de 30 opérations de tous types, logements, bureaux, établissements scolaires, équipements sportifs...Il s'agit d'identifier, de présenter, d'évaluer des bâtiments présentant des progrès significatifs dans un domaine particulier (énergétique, économique, mais aussi évolutivité, usage, santé, eau...). A cet effet le CERTU, les CETEs et le CSTB, réunis dans un comité technique d'experts, ont développé des outils de référence : un guide de questionnement pour l'analyse et une fiche de restitution. Le travail de terrain a été assuré par un réseau d'expertise issu des spécialistes « Construction et Développement durable » des CETEs. Ces bâtiments (logements, équipements, tertiaire) devait être en service depuis au moins un an afin d'apprécier leurs performances réelles en exploitation et vis-à-vis de l'usage. Les réalisations ont été choisies autant sur leurs performances que sur la cohérence et la maîtrise des ambitions de durabilité depuis le programme jusqu'à la mise en service et la vie de l'équipement. À l'heure où les professionnels, et notamment les maîtres d'ouvrage, s'interrogent encore sur la viabilité économique de tels projets, mais aussi sur la manière la plus efficace de les mener, il s'agit de démythifier le coût du développement durable et de généraliser le progrès. Ainsi ont été établies 30 fiches monographiques mettant en avant les points forts de chaque opération selon cinq thèmes emblématiques des pratiques professionnelles liées au développement durable appliqué au bâtiment : gouvernance ; qualité urbaine, qualité d'usage, qualité environnementale, économie.
  198. Edition (Ceremadoc) Pratiques de développement durable dans le bâtiment en France. Campagne d’évaluations 2006-2009. 30 opérations : Bpdd 26 : INEED (26)

    De nombreux bâtiments sont réputés « durables » (certifications HQE, Habitat Environnement...) ou affichent des performances, labels de nature énergétique sans que l'on ne sache : les qualités ou caractéristiques de ces bâtiments au moment de leur construction (les choix effectués) ou les performances réellement atteintes (par exemple sur le plan énergétique) ; comment ces bâtiments évoluent : fonctionnement, consommations, usages, lien avec la ville... Dans cette perspective, le ministère de l'écologie, du Développement durable, des transports et du logement a mené une campagne entre 2006 et 2010 d'analyses de 30 opérations de tous types, logements, bureaux, établissements scolaires, équipements sportifs...Il s'agit d'identifier, de présenter, d'évaluer des bâtiments présentant des progrès significatifs dans un domaine particulier (énergétique, économique, mais aussi évolutivité, usage, santé, eau...). A cet effet le CERTU, les CETEs et le CSTB, réunis dans un comité technique d'experts, ont développé des outils de référence : un guide de questionnement pour l'analyse et une fiche de restitution. Le travail de terrain a été assuré par un réseau d'expertise issu des spécialistes « Construction et Développement durable » des CETEs. Ces bâtiments (logements, équipements, tertiaire) devait être en service depuis au moins un an afin d'apprécier leurs performances réelles en exploitation et vis-à-vis de l'usage. Les réalisations ont été choisies autant sur leurs performances que sur la cohérence et la maîtrise des ambitions de durabilité depuis le programme jusqu'à la mise en service et la vie de l'équipement. À l'heure où les professionnels, et notamment les maîtres d'ouvrage, s'interrogent encore sur la viabilité économique de tels projets, mais aussi sur la manière la plus efficace de les mener, il s'agit de démythifier le coût du développement durable et de généraliser le progrès. Ainsi ont été établies 30 fiches monographiques mettant en avant les points forts de chaque opération selon cinq thèmes emblématiques des pratiques professionnelles liées au développement durable appliqué au bâtiment : gouvernance ; qualité urbaine, qualité d'usage, qualité environnementale, économie.
  199. Edition (Ceremadoc) Pratiques de développement durable dans le bâtiment en France. Campagne d’évaluations 2006-2009. 30 opérations : Bpdd 29 : Ecole Nicolas Hulot (56)

    De nombreux bâtiments sont réputés « durables » (certifications HQE, Habitat Environnement...) ou affichent des performances, labels de nature énergétique sans que l'on ne sache : les qualités ou caractéristiques de ces bâtiments au moment de leur construction (les choix effectués) ou les performances réellement atteintes (par exemple sur le plan énergétique) ; comment ces bâtiments évoluent : fonctionnement, consommations, usages, lien avec la ville... Dans cette perspective, le ministère de l'écologie, du Développement durable, des transports et du logement a mené une campagne entre 2006 et 2010 d'analyses de 30 opérations de tous types, logements, bureaux, établissements scolaires, équipements sportifs...Il s'agit d'identifier, de présenter, d'évaluer des bâtiments présentant des progrès significatifs dans un domaine particulier (énergétique, économique, mais aussi évolutivité, usage, santé, eau...). A cet effet le CERTU, les CETEs et le CSTB, réunis dans un comité technique d'experts, ont développé des outils de référence : un guide de questionnement pour l'analyse et une fiche de restitution. Le travail de terrain a été assuré par un réseau d'expertise issu des spécialistes « Construction et Développement durable » des CETEs. Ces bâtiments (logements, équipements, tertiaire) devait être en service depuis au moins un an afin d'apprécier leurs performances réelles en exploitation et vis-à-vis de l'usage. Les réalisations ont été choisies autant sur leurs performances que sur la cohérence et la maîtrise des ambitions de durabilité depuis le programme jusqu'à la mise en service et la vie de l'équipement. À l'heure où les professionnels, et notamment les maîtres d'ouvrage, s'interrogent encore sur la viabilité économique de tels projets, mais aussi sur la manière la plus efficace de les mener, il s'agit de démythifier le coût du développement durable et de généraliser le progrès. Ainsi ont été établies 30 fiches monographiques mettant en avant les points forts de chaque opération selon cinq thèmes emblématiques des pratiques professionnelles liées au développement durable appliqué au bâtiment : gouvernance ; qualité urbaine, qualité d'usage, qualité environnementale, économie.
  200. Edition (Ceremadoc) Pratiques de développement durable dans le bâtiment en France. Campagne d’évaluations 2006-2009. 30 opérations : Bpdd 21 : Restauration de la Grange Salomon (57)

    De nombreux bâtiments sont réputés « durables » (certifications HQE, Habitat Environnement...) ou affichent des performances, labels de nature énergétique sans que l'on ne sache : les qualités ou caractéristiques de ces bâtiments au moment de leur construction (les choix effectués) ou les performances réellement atteintes (par exemple sur le plan énergétique) ; comment ces bâtiments évoluent : fonctionnement, consommations, usages, lien avec la ville... Dans cette perspective, le ministère de l'écologie, du Développement durable, des transports et du logement a mené une campagne entre 2006 et 2010 d'analyses de 30 opérations de tous types, logements, bureaux, établissements scolaires, équipements sportifs...Il s'agit d'identifier, de présenter, d'évaluer des bâtiments présentant des progrès significatifs dans un domaine particulier (énergétique, économique, mais aussi évolutivité, usage, santé, eau...). A cet effet le CERTU, les CETEs et le CSTB, réunis dans un comité technique d'experts, ont développé des outils de référence : un guide de questionnement pour l'analyse et une fiche de restitution. Le travail de terrain a été assuré par un réseau d'expertise issu des spécialistes « Construction et Développement durable » des CETEs. Ces bâtiments (logements, équipements, tertiaire) devait être en service depuis au moins un an afin d'apprécier leurs performances réelles en exploitation et vis-à-vis de l'usage. Les réalisations ont été choisies autant sur leurs performances que sur la cohérence et la maîtrise des ambitions de durabilité depuis le programme jusqu'à la mise en service et la vie de l'équipement. À l'heure où les professionnels, et notamment les maîtres d'ouvrage, s'interrogent encore sur la viabilité économique de tels projets, mais aussi sur la manière la plus efficace de les mener, il s'agit de démythifier le coût du développement durable et de généraliser le progrès. Ainsi ont été établies 30 fiches monographiques mettant en avant les points forts de chaque opération selon cinq thèmes emblématiques des pratiques professionnelles liées au développement durable appliqué au bâtiment : gouvernance ; qualité urbaine, qualité d'usage, qualité environnementale, économie.
  201. Edition (Ceremadoc) Pratiques de développement durable dans le bâtiment en France. Campagne d’évaluations 2006-2009. 30 opérations : Bpdd 2 : Hennebont-Blavet-Habitat (56)

    De nombreux bâtiments sont réputés « durables » (certifications HQE, Habitat Environnement...) ou affichent des performances, labels de nature énergétique sans que l'on ne sache : les qualités ou caractéristiques de ces bâtiments au moment de leur construction (les choix effectués) ou les performances réellement atteintes (par exemple sur le plan énergétique) ; comment ces bâtiments évoluent : fonctionnement, consommations, usages, lien avec la ville... Dans cette perspective, le ministère de l'écologie, du Développement durable, des transports et du logement a mené une campagne entre 2006 et 2010 d'analyses de 30 opérations de tous types, logements, bureaux, établissements scolaires, équipements sportifs...Il s'agit d'identifier, de présenter, d'évaluer des bâtiments présentant des progrès significatifs dans un domaine particulier (énergétique, économique, mais aussi évolutivité, usage, santé, eau...). A cet effet le CERTU, les CETEs et le CSTB, réunis dans un comité technique d'experts, ont développé des outils de référence : un guide de questionnement pour l'analyse et une fiche de restitution. Le travail de terrain a été assuré par un réseau d'expertise issu des spécialistes « Construction et Développement durable » des CETEs. Ces bâtiments (logements, équipements, tertiaire) devait être en service depuis au moins un an afin d'apprécier leurs performances réelles en exploitation et vis-à-vis de l'usage. Les réalisations ont été choisies autant sur leurs performances que sur la cohérence et la maîtrise des ambitions de durabilité depuis le programme jusqu'à la mise en service et la vie de l'équipement. À l'heure où les professionnels, et notamment les maîtres d'ouvrage, s'interrogent encore sur la viabilité économique de tels projets, mais aussi sur la manière la plus efficace de les mener, il s'agit de démythifier le coût du développement durable et de généraliser le progrès. Ainsi ont été établies 30 fiches monographiques mettant en avant les points forts de chaque opération selon cinq thèmes emblématiques des pratiques professionnelles liées au développement durable appliqué au bâtiment : gouvernance ; qualité urbaine, qualité d'usage, qualité environnementale, économie.
  202. Edition (Ceremadoc) Prise en compte de l'environnement dans les documents d'urbanisme. Série de fiches : Fiche n°05 - Les infrastructures vertes et bleues intégrées dans un SCoT L'exemple du SCoT du Pays de Montbéliard

    Les fiches de cas sur la prise en compte de l'environnement dans les documents d'urbanisme ont pour objectif de présenter, sous l'angle environnement, différentes expériences de cartes communales, plans locaux d'urbanisme, schémas de cohérence territoriale, directives territoriales. Le principe retenu est de partir de documents de planification suffisamment avancés, pour que puisse être mis en exergue le travail réalisé en matière d'analyse de l'état initial de l'environnement et d'évaluation environnementale des choix retenus. Ces fiches à caractère pédagogique illustrent à partir d'exemples sélectionnés les nouvelles exigences législatives et réglementaires, les méthodes et démarches mises en place, l'organisation des maîtrise d'ouvrage et maîtrise d'œuvre, le jeu des acteurs locaux, les principaux thèmes abordés en fonction du contexte et des enjeux et locaux. Fiche n°1 Gérer les espaces naturels et agricoles... l'exemple du SCoT Métropole Savoie. Dans un contexte de croissance urbaine forte, la gestion des espaces naturels et agricoles s'est imposée dans l'élaboration du Schéma de Cohérence Territoriale (SCoT) de Métropole Savoie. Fiche n° 2 Inverser le regard... l'exemple du SCoT de l'agglomération de Montpellier. Le Schéma de Cohérence Territoriale (SCoT) de l'agglomération de Montpellier a l'ambition de préserver le « capital nature » de son territoire en mutation. Une démarche originale bouleversant le rapport ville/nature est alors mise en place : « inverser le regard ». Fiche n°3 Une étude paysagère pour la mise en application de la loi littoral... l'exemple du PLU de la commune de Granville. Les enseignements d'une étude paysagère sur les choix de développement d'une commune touristique littorale du pays de la Baie du Mont Saint-Michel. Fiche n° 4 Comment prendre en compte et traduire dans un PLU les risques d'inondations? L'expérience de la communauté de commune du Pays Granvillais. Fiche n° 5 Le Pays de Montbéliard, en quête d'attractivité à décidé d'utiliser son potentiel naturel afin de réaliser un projet structurant dans le SCoT... une infrastructure verte et bleue. Les différentes pièces du SCoT et plusieurs études sont téléchargeables sur le site de l'Agence de développement et d'urbanisme du Pays de Montbéliard (ADU). Fiche n° 6 À l'occasion de la révision de son PLU, la commune de Bonne entreprend de limiter la périurbanisation et la banalisation de ses paysages. Afin de maîtriser les zones ouvertes à l'urbanisation, l'approche de la commune et de son maître d'œuvre est double : paysagère environnementale notamment sur les fonctionnalités écologiques du territoire. Ici, le diagnostic environnemental et paysager dépasse le cadre des classiques inventaires (zones de protection, biodiversité,...). Ainsi, il prend en compte l'écologie du paysage en mettant en évidence son fonctionnement au niveau du territoire communal. Enfin, un règlement du PLU adapté à l'ambition de pérenniser durablement la richesse des milieux constituant le réseau écologique du territoire. Fiche n° 7 Mesures de protection environnementales, l'exemple du PLU de Saint-Romain-le-Puy (42). Saint-Romain-le-Puy (42) est une commune située au cœur de la plaine du Forez, un territoire riche en biodiversité. Face à des enjeux environnementaux importants : - Protéger les espaces naturels et agricoles de la pression foncière. - Concilier agriculture et environnement, la commune a intégré des mesures de protection environnementales (ou mesures conservatoires) dans son PLU
  203. Edition (Ceremadoc) Monétarisation des externalités environnementales : Rapport

    Il permet d’identifier les champs à investir pour faire évoluer les pratiques françaises actuelles. En outre, il cherche à quantifier, sur la base d’un exemple réel d’évaluation d’un projet routier, quelles seraient les conséquences sur les résultats du bilan socio-économique des évolutions possibles des valeurs tutélaires accordées aux externalités environnementales. L’étude s’intéresse aussi bien aux externalités environnementales pour lesquelles une valeur tutélaire est actuellement fixée (pollution atmosphérique, nuisances sonores, émissions de gaz à effet de serre) qu’aux externalités qui ne sont aujourd’hui pas prises en compte dans le calcul socio-économique (perte de biodiversité, pollution des eaux et des sols, effets de coupure, atteintes aux paysages).
  204. Edition (Ceremadoc) Monétarisation des impacts sur le bruit des projets routiers

    Ce rapport reprend tout d’abord les concepts de base de calcul de bruit. Il revient ensuite sur les principales méthodes de monétarisation du bruit et les valeurs et études de référence en Europe. Ensuite, une méthode de type top-down est appliquée en utilisant des cartes de bruit stratégiques en France et permet d’obtenir des coûts moyens du bruit. La quatrième partie est basée sur une méthode de type bottom-up qui permet de calculer un coefficient de marginalité du bruit à partir d’un modèle d’émission propagation de bruit simplifié. Enfin, une application est proposée sur un cas d’aménagement sur place sans l’utilisation d’une carte de bruit stratégique.
  205. Edition (Ceremadoc) Routes et chiroptères : Rapport

    La France métropolitaine compte 33 espèces de chiroptères, communément appelés chauves-souris, toutes protégées au titre de la loi. Elles bénéficient également d’un statut de protection international (Conventions de Bonn, de Berne, accord Eurobats, espèces d’intérêt communautaire). En 2007, un plan national de restauration des chiroptères a été lancé pour la période 2008-2012. Parmi les actions de ce plan, le Sétra a été chargé de conduire : ● l’élaboration et la mise en œuvre d’une méthodologie pour la prise en compte des chiroptères lors de la construction et de l’entretien d’infrastructures et d’ouvrages d’art ; ● l’évaluation de l’efficacité de systèmes de réduction d’impact des infrastructures de transport. Dans ce cadre, un guide technique proposera, à terme, des recommandations techniques aux concepteurs d’infrastructures de transport, sur la base d’une étude bibliographique, de suivis de sites de collision et d’aménagements pour les chiroptères. Ce rapport présente la première phase d’élaboration de ce futur guide : un bilan des connaissances nationales et internationales sur le thème des chiroptères et des infrastructures linéaires.
  206. Edition (Ceremadoc) SCoT Grenelle. SCoT et Biodiversité. Série de fiches : Scot du Pays de la baie du Mont-Saint-Michel

    La démarche « SCoT Grenelle » est une démarche d'accompagnement des thèmes nouveaux impulsés par le Grenelle de l'environnement dans les SCoT. Elle se déroule pendant 3 ans sur 12 sites . Elle est pilotée par le Ministère de l'Écologie, du Développement Durable des Transports et du Logement . Le Certu assure une assistance au maître d'ouvrage en lien avec les Cete. La thématique de la biodiversité a fait l'objet d'une analyse menée par le Certu et Cete en partenariat avec les maîtres d'ouvrage concernés. Destinées aux collectivités élaborant leur SCoT, ces six fiches permettent de diffuser et partager l'expérience de ces SCoT « Grenelle ».
  207. Edition (Ceremadoc) Schémas régionaux du climat, de l'air et de l'énergie (SRCAE). Les collectivités en action : Cahier thématique bâtiment

    Destiné aux collectivités et aux services déconcentrés de l’État, cet ouvrage constitue une aide précieuse à la mise en oeuvre des Schémas régionaux climat air et énergie (SRCAE) et des démarches régionales de planification énergie-climat. S’appuyant sur une analyse d’un panel de trois SRCAE et de 15 actions menées par des collectivités infra-régionales, cet ouvrage comprend : un dossier offrant un panorama : 1. des leviers énergie-climat disponibles dans un SRCAE en matière d’économies d’énergies, d’émissions de GES évitées, et de production d’énergie renouvelable, 2. des actions que les collectivités infra-régionales peuvent mener afin de contribuer à la mise en œuvre des SRCAE, 3. des outils de financement mobilisés par les collectivités dans la mise en œuvre opérationnelle des leviers, des indicateurs de suivi du SRCAE ; un ensemble de cahiers thématiques regroupant par domaine de l’aménagement (urbanisme, transport, bâtiment, énergie renouvelable) un ensemble de quinze fiches. Chacune de ces fiches détaille une action d’une collectivité contribuant à la mise en œuvre effective du SRCAE. Des informations importantes sont ainsi livrées concernant le contenu de l’action, son efficacité sur le plan énergétique et climatique, son degré de réplicabilité, ses impacts sociaux et environnementaux, ses modes de financement, et son coût. Au final, le lecteur trouvera dans cet ouvrage des indications sur les leviers des SRCAE et leurs articulations avec des actions de collectivités infra-régionales, ainsi que de nombreux enseignements concernant le contenu et les résultats obtenus par de telles actions.
  208. Edition (Ceremadoc) SCoT Grenelle : Énergie et climat dans les 12 SCoT Grenelle, fiche n° 1

    À travers leurs politiques d'aménagement du territoire et d'urbanisme, d'habitat, de transport, d'approvisionnement énergétique du territoire, les collectivités agissent indirectement sur plus de 50 % des émissions (GES) (Source Ademe : guide méthodologique pour construire et mettre en oeuvre un plan climat territorial élaboré en 2009). Dans le domaine de l'urbanisme, le projet de loi portant engagement national pour l'environnement en débat à l'Assemblée nationale souhaite introduire dans le SCoT non seulement des objectifs de réduction des émissions de GES, de maîtrise de l'énergie et de production énergétique à partir des sources renouvelables, mais aussi des critères de performance énergétique. Le Certu a analysé, comme précédemment, les 12 SCoT Grenelle sur la base d'entretiens conduits par les Cete auprès des différents acteurs de la démarche afin de connaître plus précisément comment ils se sont saisis du sujet. La restitution fera état des acteurs en présence, des démarches engagées, des méthodes déployées avant de développer les différentes modalités de prise en compte des questions de climat et d'énergie par les SCoT.
  209. Edition (Ceremadoc) SCoT Grenelle. SCoT et Biodiversité. Série de fiches : Scot de Caen Métropole

    La démarche « SCoT Grenelle » est une démarche d'accompagnement des thèmes nouveaux impulsés par le Grenelle de l'environnement dans les SCoT. Elle se déroule pendant 3 ans sur 12 sites . Elle est pilotée par le Ministère de l'Écologie, du Développement Durable des Transports et du Logement . Le Certu assure une assistance au maître d'ouvrage en lien avec les Cete. La thématique de la biodiversité a fait l'objet d'une analyse menée par le Certu et Cete en partenariat avec les maîtres d'ouvrage concernés. Destinées aux collectivités élaborant leur SCoT, ces six fiches permettent de diffuser et partager l'expérience de ces SCoT « Grenelle ».
  210. Edition (Ceremadoc) Road noise prediction : 1- Calculating sound emissions from road traffic

    The previous guide to predicting noise emissions from road traffic dates back to 1980. The numbers of cars, the road surfaces and the methods of assessing sound emissions have all changed. It was therefore essential to produce a new guide to calculating emissions.This is the purpose of this document. The sound level calculation thus obtained is necessary for the subsequent prediction of far away sound levels by taking account of the effects of the ground and of meteorology on the propagation. This is the purpose of another guide entitled «Road noise prediction - NMPB 2008 - Noise propagation computation method including meteorological effects». The tools thus obtained are ideal for road project impact studies, checking compliance with regulations or an acoustic objective set by the road authority and road design of acoustic protections. Following a summary of a few definitions specific to acoustics (definition of physical magnitudes, characteristic traffic magnitudes, presentation of work hypotheses, etc.), the guide studies the two components of emitted noise. The emission is in fact broken down into two components : one component due to the so-called «driving» noise caused by the contact between tyre and roadway, and an «engine» component. The guide breaks new ground by taking into account the surfacing category and its age when calculating the «driving» noise. The first part of the guide describes the method (approach and formulae). The second part presents the related issues, the bases for formulae or values used and their limitations and compares the two guides (the 1980 guide and the 2008 guide). Introduction Factual method Comments and analyses Bibliography A- Notations and symb ols B- Form C- Daily traffic profiles on intercity roads and motorways D- Vehicle sound emission values E- Graphic results
  211. Edition (Ceremadoc) Techniques alternatives à l’usage des produits phytosanitaires : Synthèse des types de gestions alternatives appliquées aux infrastructures du réseau routier national

    Leur réduction est donc à rechercher pour limiter les risques sanitaires et environnementaux qu’ils engendrent (détérioration de la qualité de l’eau, empoisonnement d’espèces non visées, développement de souches résistantes). Pour cela, les réglementations européenne et française encadrent depuis des années l’utilisation de ces produits. Très récemment, la réglementation française s’est renforcée, et il sera dorénavant interdit d’utiliser des produits phytosanitaires sur les voiries avec des exceptions permettant aux gestionnaires d’y déroger sous certaines conditions (notamment raisons de sécurité). La diminution de l’usage de ces produits est possible notamment grâce à l’utilisation de techniques alternatives fiables, efficaces et capables de répondre aux mêmes objectifs. Ce rapport qui accompagne la démarche déjà engagée par les Directions interdépartementales des routes (DIR), a pour objet de présenter le contexte réglementaire dans lequel se situe la démarche de réduction de l’utilisation des produits phytosanitaires en zone non agricole et de constituer un retour d’expériences qui synthétise les techniques alternatives pouvant être utilisées par les DIR le long du réseau routier national. Ainsi, pour chaque technique alternative, sont présentés le domaine d’utilisation, les principes de mise en œuvre, les différents matériels, les rendements, l’efficacité et enfin une synthèse des avantages et inconvénients.
  212. Edition (Ceremadoc) Nature en ville - série de fiches : Fiche n° 3 : Nature en ville et santé - Illustrations par des Ecoquartiers

    >>>>>> Voir la vidéo La Nature en ville comme élément de confort climatique Série de fiches thématiques sur la nature en ville dans les projets d’aménagement urbain. La fiche n° 1 se propose d’expliquer la manière dont le maître d’ouvrage urbain peut intégrer la nature en ville sous toutes ses formes dans le déroulement de son projet. Elle est largement illustrée à partir des retours d’expériences des quartiers lauréats de la démarche Écoquartier portée par le ministère en charge du logement. La fiche n° 2 a vocation à mieux appréhender et intégrer les milieux humides dans le processus d'une opération d'aménagement. Elle s'appuie sur des retours d'expériences, de visites de sites et d'analyses de dossiers Ecoquartiers. La fiche n° 3 se propose d'expliquer les interactions entre la nature en ville et la santé des habitants et usagers. Elle est largement illustrée à partir d'Ecoquartiers labellisés dans le cadre de la démarche portée par le Ministère en charge du logement. La fiche n° 4 présente quelques conseils pratiques afin de gérer au mieux les conflits d'usages liés aux milieux humides et de prévenir l’émergence de conflits futurs. Elle s’adresse plus particulièrement aux services techniques de collectivités territoriales locales, et aux agents de syndicats de bassins.
  213. Edition (Ceremadoc) Modélisation numérique et physique en sédimentologie côtière : deux approches finalement assez proches

    La notice présente la méthodologie des études à mettre en oeuvre pour étudier le fonctionnement des ouvrages littoraux et évaluer leur impact. L'étude s'attache à montrer les similitudes de la modélisation physique et numérique.La notice présente : les principes - similaires ou spécifiques - à la base de ces modélisations ; le déroulement d'une étude sur modèle ; l'état de l'art pour chacun de ces outils ; les avantages et inconvénients de chaque approche. INTRODUCTION 1. PRINCIPE DE LA MODELISATION 1.1. Bases communes aux deux types de modélisation 1.2. Principes spécifiques à chacun des types de modélisation 1.2.1. Reproduction sur modèle numérique 1.2.2. Reproduction sur modèle physique 2. DEROULEMENT D'UNE ETUDE SUR MODELE 2.1. Choix et définition du modèle 2.2. Construction du modèle 2.3. Etalonnage 2.4. Essais 2.5. Analyse, interprétation, discussion et synthèse des résultats 3. ETAT DE L’ART DE LA MODELISATION DANS LE DOMAINE DE LA SEDIMENTOLOGIE COTIERE 3.1. Modèles numériques 3.1.1. Modèles hydrodynamiques 3.1.1.1. Modélisation du courant 3.1.1.2. Houle et courant de houle 3.1.2. Modèles sédimentologiques 3.1.2.1. Charriage sous l’action du courant 3.1.2.2. Transport en suspension sous l'action du courant 3.1.2.3. Transport sous l'action de la houle 3.2. Modèles physiques 3.2.1. Transport sous l’action combinée de la houle et du courant 3.2.2. Transport de sédiments cohésifs 4. AVANTAGES ET INCONVENIENTS DE CHAQUE APPROCHE : QUELQUES CRITERES DE CHOIX 4.1. Le modèle numérique 4.2. Le modèle réduit 4.3. Comment choisir ? 5. CONCLUSION BIBLIOGRAPHIE ANNEXE : L'étude sur plans
  214. Edition (Ceremadoc) Modeling of sound propagation in forests using the transmission line matrix method = Simulation de la propagation du son en forêt par la méthode des lignes de transmission

    La forêt occupe une part significative de notre territoire. Pour l’acousticien, elle est susceptible d’abriter de nombreuses zones calmes, d’atténuer les bruits d’origine humaine. Elle héberge aussi nombre d’espèces animales dont certaines sont sensibles au bruit. Or la prise en compte de la forêt dans les modèles de prévision de bruit est très limitée. Pour y remédier, Pierre Chobeau, étudiant à l’école doctorale SPIGA, a effectué sa thèse co-dirigée par l’Ifsttar et le Cerema, au sein du Groupe Acoustique du Cerema Est, durant laquelle il a étendu et exploité les possibilités de la méthode TLM (matrice de lignes de transmission). Il a d’abord proposé une nouvelle couche absorbante pour cette méthode, puis montré que la TLM convient bien à la simulation de la diffusion par les troncs avant d’étudier l’influence de différents paramètres (épaisseur, densité, distribution des arbres, diamètre des troncs) sur la propagation acoustique. Forests cover a significant part of the French territory. For the acoustician, forests are likely to harbour many quiet areas and they muffle the noise created by humans. Forests also harbour a large number of animals and some of them are sensitive to noise. However, forests are barely taken into account in the models for noise forecasting. It is this subject that Pierre Chobeau, a student at the doctoral school SPIGA, decided to study for his thesis. He was supervised by IFSTTAR and Cerema, and worked within the acoustic group at Cerema Est. His thesis explores the potential of the transmission line matrix method. He firstly describes a new absorbing layer for the TLM method and then shows the TLM is relevant for tree trunks scattering modeling and finally studies the influence of a variety of factors (thickness, density, trees layout, diameter of trunks) on acoustic scattering. Remerciements List of Symbols General introduction 1 Context 2 Noise mitigation and vegetation 3 Forested areas in France and their interest for acoustics 4 Prediction methods and forest 5 Thesis organization 1 Forest and sound propagation 1.1 Introduction 1.2 Ground effects inside forest 1.2.1 Introduction to the forest floor 1.2.2 Impedance models 1.2.3 Estimation of the ground impedance parameters 1.2.4 Insertion loss measurements 1.2.5 Discussion on the ground effect related to forest floors 1.3 Scattering of acoustic waves inside forests 1.3.1 Introduction 1.3.2 Single scattering from an isolated tree-trunk 1.3.3 Multiple scattering 1.3.4 Discussion on sound scattering inside forests 1.4 Meteorological effects 1.4.1 Meteorological fluctuation related to forests 1.4.2 Impact of the meteorological fluctuations on acoustics 1.4.3 Discussion on the meteorological effects 1.5 Synthesis of the literature review 2 Absorbing matched layers for the transmission-line matrix method 2.1 Presentation of the transmission-line matrix (TLM) method 2.1.1 Introduction 2.1.2 Description of the TLM method 2.1.3 Implementation of the TLM method 2.2 An absorbing matched layer implementation for the TLM method 2.2.1 Introduction 2.2.2 Overview of the absorbing conditions used for the TLM method 2.2.3 The perfectly matched layer (PML) theory 2.2.4 Derivation of a PML-based absorbing layer for the TLM method 2.2.5 Numerical results 2.2.6 Conclusion on the AML formulations 2.3 Conclusion 3 Scattering of acoustic waves by circular scatterers using the TLM method 3.1 Introduction 3.2 Simulation of single scattering using the TLM method 3.2.1 Scattering of a plane wave by a 2D circular scatterer 3.2.2 Scattering of spherical wave by a cylinder normal to an impedance ground (3D) 3.2.3 Conclusion 3.3 Simulation of multiple scattering using the TLM method 3.3.1 Multiple scattering by 2D circular scatterers 3.3.2 Multiple scattering above a ground (3D) 3.4 Conclusion 4 Sound propagation in a simplified forest 4.1 Introduction 4.2 Design of the numerical simulations 4.2.1 Geometry 4.2.2 TLM simulations parameters 4.3 Results and discussion 4.3.1 Time signals 4.3.2 Frequency responses 4.4 Conclusion Conclusion Appendix Bibliography
  215. Edition (Ceremadoc) Obligations (les) réglementaires pour les projets routiers introduites par la loi sur le bruit : Note d'Information - Économie Environnement Conception - Série(EEC)

    Elle précise le contenu de l'étude d'impact :- étude prévisionnelle de trafic,- étude prévisionnelle de niveau sonore,- les méthodes utilisées,- les mesures de protection, diminution ou suppression de nuisance envisagées.Elle présente :- les niveaux sonores tolérés en fonction de la nature des locaux : logements, bureaux, établissements de santé ou d'enseignement,- la méthode de prévision de bruit NMPB-96 route.
  216. Edition (Ceremadoc) Méthode de hiérarchisation de la vulnérabilité de la ressource en eau : Note d'information - Environnement-Santé-Risque n°1

    En phase travaux et en phase d’exploitation, les infrastructures routières peuvent être à l’origine de pollutions chroniques, saisonnières et accidentelles préjudiciables à la qualité et à la préservation des milieux aquatiques. Aussi afin de protéger les masses d'eaux souterraines et superficielles, des mesures de protection adaptées doivent être mises en œuvre. Pour définir ces mesures de protections, il est primordial de connaître la vulnérabilité des milieux aquatiques exposés. Cette méthode s'appuie sur la méthode présentée dans la note d’information n°80 du Sétra de décembre 2007 en y intégrant les nouveaux objectifs définis par la Directive cadre européenne sur l'Eau (DCE). Elle s’applique aux infrastructures existantes et aux projets neufs. 1 - Contexte 2- Méthodologie Recueil de données Synthèse des données Application des critères : la définition des classes de vulnérabilité 3 - Conclusion 4 - Bibliographie 5 - liste d'abréviations
  217. Edition (Ceremadoc) Mise en oeuvre de la politique du 1% Paysage et Développement : Application de la circulaire du 31 mars 2005

    L'objectif de la politique du 1% Paysage et Développement est de favoriser le développement cohérent et durable des territoires grâce à la découverte et à la valorisation les paysages.Cette note d'application de la circulaire du 31 mars 2005, présente la démarche qui consiste à élaborer un "dossier d'axe" composé de trois éléments :- le diagnostic du paysage ;- la charte d'objectifs ;- le programme d'actions.Sont présentés ensuite les critères d'éligibilité et le financement des études et des actions, ainsi que les principaux interlocuteurs du 1% (niveau national, régional et départemental et niveau local).
  218. Edition (Ceremadoc) Méthode de hiérarchisation de la vulnérabilité de la ressource en eau : Note d'information - Cerema - Série Environnement-Santé-Risque

    En phase travaux et en phase d'exploitation, les infrastructures routières peuvent être à l'origine de pollutions chroniques, saisonnières et accidentelles préjudiciables à la qualité et à la préservation des milieux aquatiques. Afin de protéger les masses d'eaux souterraines et superficielles, des mesures de protection adaptées doivent être mises en oeuvre. Pour définir ces mesures de protections, il est primordial de connaître la vulnérabilité des milieux aquatiques exposés. Contexte Méthodologie Recueil des données Synthèse des données Application des critères : la définition des classes de vulnérabilité Conclusion Bibliographie Liste d’abréviations
  219. Edition (Ceremadoc) Mesures des débits des prises d'eau

    Cette note technique présente les différents principes de calcul des débits d'alimentation des canaux. En premier lieu, elle donne des éléments concernant le choix et l'instrumentation du site d'étude. Elle fait également le point sur différents systèmes de mesure du débit et capteurs utilisés pour évaluer la hauteur et la vitesse des écoulements. Enfin la dernière partie est consacrée au recueil et à l'exploitation des données : certaines solutions techniques d'acquisition et d'enregistrement, de transmission, d'exploitation et d'archivage des mesures de débit des prises d 'eau y sont exposées. I - Motivations de la présente note technique : la gestion de la ressource en eau 1 - Respect de l’article 12 de la loi sur l’eau du 3 janvier 1992 2 - Respect des débits réserves réglementaires 3 - Optimisation de l’alimentation en eau des canaux II - Présentation du problème a résoudre III - Considérations générales 1 - Choix de la méthode 2 - Chaine d’acquisition 3 - Réflexions préalables 3.1 - Réflexions concernant le choix des sites a instrumenter 3.2 - Positionnement de la station de mesure sur le site 3.3 - Choix de la méthode 3.4 - Aménagements de la station 3.5 - Exploitation de la station IV - Principe des mesures de débit V - Recueil et exploitation des mesures 1 - Acquisition des données 2 - Enregistrement des données 3 - Transmission 4 - Exploitation des données 5 - Remarque sur le traitement des données et les matériels a retenir VI – Bibliographie
  220. Edition (Ceremadoc) Mesures compensatoires des impacts sur les milieux naturels - Application aux projets d’infrastructures de transport : Note d'information Environnement-Santé-Risque n° 5

    En réponse aux impacts résiduels d’un projet, les mesures compensatoires interviennent après évitement et réduction. Elles visent à remédier aux effets négatifs notables pour l’environnement ou la santé. Elles doivent donc théoriquement permettre de rétablir une situation dont la qualité globale est proche de la situation antérieure ou d’un état de l’environnement jugé fonctionnellement normal. Elles visent un bilan écologique neutre, voire, si possible, une amélioration globale de la valeur écologique. Si le recours aux mesures compensatoires est prévu par la réglementation, leur mise en œuvre concrète dépend, d’une part, des compétences et des moyens des maîtres d’ouvrage et, d’autre part, de la vigilance des services instructeurs. La réglementation continue cependant d’évoluer et est aujourd’hui de plus en plus rigoureuse sur les termes de la compensation. Dernièrement, la réforme des études d'impact de 2011 a renforcé ces dispositions en généralisant l’inscription des mesures environnementales (évitement, réduction, compensation) directement dans les actes d’autorisation avec un contrôle par les services de l’État. Pourtant, les mesures compensatoires restent les mesures les plus délicates à concevoir. Les projets étudiés pour la rédaction de cette note datent d’avant la réforme de 2011 précitée. Suite aux récentes évolutions réglementaires, de nombreux points restent encore à éclaircir pour améliorer la mise en œuvre, le suivi et surtout la pérennisation de ces mesures. Cette note d’information s’adresse aux maîtres d’ouvrage, aux acteurs de l’environnement (associations, établissements publics, conservatoires, muséums, etc.), aux préfectures, bureaux d’études et collectivités territoriales. 1. Le cadre des mesures compensatoires Les principes Les textes de références 2. Application aux infrastructures de transports terrestres (ITT) La mise en œuvre de la compensation Des exemples de compensation dans les dossiers de projets d’infrastructures de transports terrestres Les mesures d’accompagnement 3. Les outils de pérennisation Les outils pour l’acquisition Les outils pour la protection L’évaluation, la gestion et le suivi 4. Bibliographie 5. Liste d’abréviations 6. Annexes
  221. Edition (Ceremadoc) Normandie Forêver. Revalorisation des peuplements forestiers pauvres

    Le dispositif Normandie Forêver vise la revalorisation des peuplements forestiers pauvres (hors forêts domaniales) qui représentent environ 20 % des forêts normandes. Le travail de gestion et de replantation présente un coût de remise en état difficile à envisager pour des espaces forestiers ayant perdu leur valeur sylvicole. Le dispositif de gestion est conçu sur le long terme 20/30 années (temps de la séquestration carbone) et valorise actuellement le bois oeuvre et non le bois-énergie à travers la certification de séquestration carbone. Il impose un stockage carbone positif selon les standards internationaux qui reposent sur un stock carbone moyen calculé à partir de la vitesse de croissance et de la durée du stock (chêne 120 ans, résineux 70 ans).
  222. Edition (Ceremadoc) La Rochelle Territoire zéro Carbone. Coopérative Carbone

    L’agrégateur carbone territorial de la Rochelle est un dispositif technique et financier destiné à développer les projets en faveur de la neutralité carbone. Son principe : créer un outil coopératif permettant l’émission et la vente de crédits carbone à l’échelle territoriale et donc réunir porteurs de projets et acheteurs pour donner de la force à leur engagement. Son fonctionnement viendra s’adosser à un système d’information dédié. Il permettra de comptabiliser le poids de chacune des actions dans le bilan carbone du territoire et de mettre en place un système de compensation performant.
  223. Edition (Ceremadoc) Carbocage. Gestion durable de la haie de bocage

    Le projet «Carbocage» consiste en une expérimentation pour encourager une gestion durable des haies permettant leur renouvellement et ainsi assurer des fonctions de production de bois, de stockage du carbone, de biodiversité (faune, flore), de filtration de l’eau, de limitation de l’érosion et de valorisation des paysages. L’objectif de l’expérimentation est la conception d’une méthode d’évaluation du stockage de carbone par les haies et l’expérimentation d’un marché carbone local volontaire sur des territoires pilotes.
  224. Edition (Ceremadoc) Fonds de solidarité climat de la fondation de Lille

    Le Fonds Solidarité Climat a été créé à l’initiative du Service Relations Internationales de la Ville de Lille en s’inspirant d’une démarche volontaire de contribution carbone ayant pour objectif prioritaire de sensibiliser les agents municipaux à l’émission de gaz à effet de serre liée à leurs déplacements, notamment en avion.
  225. Edition (Ceremadoc) Climat Local (Carbone local Occitanie)

    Face au constat que la planification ne suffit pas, les initiateurs de ce projet ont souhaité développer un outil financier pour faciliter le co-investissement et des actions public/privé. Ce dispositif a été testé entre 2013 et 2017, avec le soutien de la Région Occitanie, sous le nom de Carbone Local. Il a permis d’identifier des entreprises TPE et PME volontaires pour le soutien de projets locaux de développement durable et qui leur permettent de compenser les émissions de GES résiduelles. En accord avec la Région et l’AREC Occitanie, une société coopérative Climat Local a été créée en octobre 2018, afin de pouvoir de développer ce dispositif à l’échelle de la France métropolitaine. Climat Local a un rôle de facilitateur pour les entreprises qui veulent compenser leurs émissions résiduelles de GES.
  226. Edition (Ceremadoc) Étude prospective pour une gestion territorialisée et optimisée des boues de l’assainissement collectif. Évaluation des émissions de GES des scénarios étudiés : une utilisation approfondie de l’outil Gestaboues.

    Les critères environnementaux relatifs à chaque scénario étudié correspondent aux émissions de gaz à effet de serre (GES). Pour ce faire, le logiciel Gestaboues, développé par l’IRSTEA, a été utilisé. Cet outil permet d’obtenir une estimation des émissions annuelles de 3 GES, à savoir dioxyde de carbone (CO2), méthane (CH4) et protoxyde d’azote (N2O), produites par le traitement des boues d’une STEU pour chaque étape de la filière, y compris la voie de valorisation des boues. Il permet également d’estimer les émissions directes, indirectes et évitées. Une des spécificités de l’étude est l’utilisation approfondie de Gestaboues, lors de l’état des lieux et de l’analyse des scénarios, avec la modélisation de filières complexes. Les échanges entre le Cerema et l’IRSTEA ont d’ailleurs contribué à faire évoluer l’outil. Chaque modélisation de filière donne lieu à un bilan de matière. Les données des bilans de flux sont ensuite compilées pour chacun des scénarios
  227. Edition (Ceremadoc) Étude prospective pour une gestion territorialisée et optimisée des boues de l’assainissement collectif - Métropole de Rouen - Introduction et problématique de la collectivité

    Cette fiche retrace le souhait de la Métropole Rouen Normandie de réviser la gestion des boues à l’échelle de son territoire, et pour ce faire disposer d’une vision globale sur le gisement des boues produites (nature, volume, quantité, destination), puis étudier différents scénarios d’optimisation de ces filières de traitement en intégrant la mise en place d’une digestion anaérobie (ou méthanisation).
  228. Edition (Ceremadoc) Breizh bocage

    Le programme européen Breizh Bocage a été lancé en Bretagne en 2007 par l’État, l’Agence de l’Eau Loire - Bretagne (AELB), le conseil régional de Bretagne et les quatre conseils départementaux bretons. Il s’inscrit dans le cadre du Programme de Développement Rural Bretagne 2014 - 2020 et dans la construction d’une intervention agri-environnementale cohérente des territoires (mesures agro-environnementales et climatiques, Natura 2000, investissements matériels agroenvironnementaux). Le dispositif consiste en la restauration et préservation du maillage bocager essentiel à la protection des masses d’eau et à la biodiversité dans un objectif d’amélioration de la qualité des eaux et des milieux aquatiques par la réduction des transferts de polluant d’origine agricole vers les eaux superficielles.
  229. Edition (Ceremadoc) Association Aquitaine Carbone

    L’association Aquitaine Carbonne a été créée en 2011 suite aux tempêtes de 2009, sous l’impulsion de la Région Aquitaine, du CRPF Aquitaine, l’ONF, la CDC. En 2019, l’association s’est intéressée aux méthodes LBC forêt et a souhaité se positionner comme agrégateur de projets carbone LBC. L’objectif initial de l’association consistait à engager les propriétaires dans le reboisement à la suite des tempêtes de 2009, en recherchant une articulation avec le plan Chablis.
  230. Edition (Ceremadoc) Étude prospective pour une gestion territorialisée et optimisée des boues de l’assainissement collectif. Description des scénarios étudiés et méthodologie employée : une analyse multi-critères et itérative de scénarios

    La première partie de l’étude a fait apparaître que la méthanisation in situ est a priori la filière complémentaire la plus appropriée à la situation de la Métropole. Dans un premier temps, trois scénarios ont d’abord été analysés. Les résultats issus de cette analyse ont conduit la Métropole à en envisager un quatrième qui permette de digérer la totalité des boues reçues sur Emeraude, ce qui illustre la démarche expérimentale conduite tout au long de l’étude. Au total, quatre scénarios sont donc étudiés, et comparés avec la situation de référence appelée «scénario 0»
  231. Edition (Ceremadoc) Verdissement et renforcement du plan local d’urbanisme (PLU)

    La loi SRU de décembre 2000, fondatrice des Schémas de Cohérence Territoriale (SCoT) et des PLU, traduisait la volonté de promouvoir un aménagement des aires urbaines plus cohérent, plus solidaire et plus soucieux du développement durable. La loi portant engagement national pour l’environnement du 12 juillet 2010, dite « Grenelle 2 », complète ce dispositif législatif en renforçant la dimension environnementale et la mise en cohérence des SCoT et PLU.
  232. Edition (Ceremadoc) Techniques alternatives aux réseaux d'assainissement pluvial

    Quelle pollution retient une tranchée ? Une noue peut-elle se colmater ? Comment entretenir un bassin en eau ? La présence d'eau dans la plate-forme routière est-elle compatible avec sa pérennité ? Qui assure la gestion et l'entretien des techniques alternatives ? En cas de dysfonctionnement, qui est responsable? Autant de questions qui se posent à propos des techniques alternatives et auxquelles cet ouvrage apporte des réponses. Après avoir décrit comment, dans une opération d'aménagement réelle, les problèmes d'assainissement pluvial ont été résolus en mettant en œuvre une combinaison de techniques alternatives et en adoptant une approche intégrée, les auteurs exposent, sous forme de fiches, les aspects techniques et le contexte juridique. Cet ouvrage est un outil d'aide au choix et à la réalisation de techniques alternatives. Il s'adresse à tous les acteurs de l'aménagement susceptibles de mettre en œuvre ou de gérer des techniques alternatives aux réseaux d'assainissement pluvial.
  233. Edition (Ceremadoc) Raccordement des entreprises aux réseaux d’assainissement : Fiche n° 04 - L’expérience du SIA de Valenciennes auprès des artisans et petites entreprises

    Cette série de fiches est consacrée au partage et à la capitalisation d’expériences de collectivités. Elle présente des recommandations en matière de gestion des raccordements non domestiques aux réseaux d’assainissement.
  234. Edition (Ceremadoc) Traitement des eaux de ruissellement routières - Opportunité des ouvrages industriels : débourbeurs, déshuileurs et décanteurs-déshuileurs : Note d'Information - Économie Environnement Conception - Série(EEC)

    Lors de la construction d'une route, la protection de la ressource en eau nécessite la mise en place d'ouvrages de traitement de la pollution des eaux de ruissellement. Des études ont permis de connaître les performances de la plupart des ouvrages classiques. Cependant, les performances des "ouvrages industriels", ainsi que leurs modalités d'entretien (coût, difficulté) sont encore mal connues. Cette note d'information apporte donc un éclairage sur l'opportunité de l'utilisation de ces ouvrages industriels. Elle en décrit les performances théoriques, ainsi que les rendements observées en situation réelle. Elle en expose enfin les modalités d'entretien. Historique Contexte Efficacité théorique des ouvrages industriels Efficacité des ouvrages industriels en conditions réelles Retour d'expériences sur la gestion ouvrages industriels sur le réseau routier national Conclusion Bibliographie Glossaire Liste des abréviations
  235. Edition (Ceremadoc) Transport et gaz à effet de serre (GES) - Analyse des outils et méthodes utilisés pour quantifier les émissions de GES dans les projets d'infrastructures selon les différents modes de transport

    Après une présentation du périmètre de l’étude et des opérations sélectionnées, la grille d’analyse élaborée est décrite, puis les résultats obtenus sont synthétisés et commentés. Le rapport aborde ensuite la sensibilité des résultats à l’évolution des hypothèses prises en compte, avant de dresser des pistes d’harmonisation et les limites d’utilisation des bilans GES, et de proposer enfin des suites à la présente étude.
  236. Edition (Ceremadoc) Trame verte et bleue. Série de fiches : Fiche 3 bis - Berlin, métropole naturelle - Le Naturpark Schöneberg Südgelande (version courte)

    La collection de fiches « Trame verte et bleue » a comme objectif de présenter des expériences françaises et étrangères de prise en compte de la trame verte et bleue dans les agglomérations. L'objectif de chaque fiche est de dégager des éléments de méthode et de connaissance sur l'intégration de la trame verte et bleue dans un projet, quelle que soit son échelle, sous l'angle d'une thématique ou d'un aspect particulier. Elles précisent les modes de gouvernance développés par les collectivités territoriales et les acteurs locaux : échelle, maillage, articulation des espaces naturels et agricoles, gestion des continuités. Ces fiches sont destinées à aider les collectivités dans l'élaboration et la mise en œuvre de la trame verte et bleue, notamment au travers du partage d'expériences. Europe et international.
  237. Edition (Ceremadoc) Trame verte et bleue. Série de fiches : Fiche 3 - Berlin, métropole naturelle - Le Naturpark Schöneberg Südgelande (version longue)

    La collection de fiches « Trame verte et bleue » a comme objectif de présenter des expériences françaises et étrangères de prise en compte de la trame verte et bleue dans les agglomérations. L'objectif de chaque fiche est de dégager des éléments de méthode et de connaissance sur l'intégration de la trame verte et bleue dans un projet, quelle que soit son échelle, sous l'angle d'une thématique ou d'un aspect particulier. Elles précisent les modes de gouvernance développés par les collectivités territoriales et les acteurs locaux : échelle, maillage, articulation des espaces naturels et agricoles, gestion des continuités. Ces fiches sont destinées à aider les collectivités dans l'élaboration et la mise en œuvre de la trame verte et bleue, notamment au travers du partage d'expériences. Europe et international.
  238. Edition (Ceremadoc) Synthèse et principales leçons de l’appel à partenaires GEMAPI

    L’appel à partenaires GEMAPI, dont cette publication fait la synthèse, a été lancé par le Cerema et INRAE en mai 2016 : il a permis d’accompagner dix collectivités dans cette prise de compétence, de répondre à des problématiques variées avec des solutions innovantes et de fournir des réponses adaptées et utiles à d’autres territoires. Préambule 1 Contexte de l’appel à partenaires 1.1 Genèse et principaux attendus 1.2 Principales productions et valorisations de l’appel à partenaires 2 Valenciennes Métropole et Communauté d’agglomération de la Porte du Hainaut 2.1 Résumé 2.2 Présentation du territoire et des enjeux 2.3 Les principaux axes de travail de ce partenariat 2.3.1 Un état des lieux et un diagnostic du territoire 2.3.2 Des scénarios de prise de compétence de la GEMAPI 2.3.3 Approfondir les enjeux de GEMAPI de certains bassins versants 2.4 Perspectives de ce partenariat 3 Grand Calais Terres et Mers 3.1 Résumé 3.2 Présentation du territoire et des enjeux 3.3 Les principaux axes de travail de ce partenariat 3.3.1 Analyse par secteur et propositions de systèmes d’endiguement 3.3.2 Analyse du secteur de Sangatte et proposition de son système d’endiguement 3.4 Perspectives de ce partenariat 4 Saint-Malo Agglomération 4.1 Résumé 4.2 Présentation du territoire et des enjeux 4.3 Les principaux axes de travail de ce partenariat 4.3.1 Une assistance à la définition des systèmes d’endiguement littoraux dans la perspective des futures procédures d’autorisation 4.3.2 Analyse structurale 4.3.3 Structuration d’une base de données SIG sur les ouvrages 4.4 Perspectives de ce partenariat 5 Comité du bassin hydrographique de la Mauldre et de ses affluents 5.1 Résumé 5.2 Présentation du territoire et des enjeux 5.3 Les principaux axes de travail de ce partenariat 5.3.1 Étude de l’effet des inondations sur le territoire et les milieux aquatiques – caractérisation de l’aléa 5.3.2 Rôle des zones humides à l’interface entre préservation des milieux aquatiques et protection contre les inondations 5.3.3 Impact de l’utilisation de ressources en eau alternatives 5.4 Perspectives de ce partenariat 6 Communauté d’agglomération du Puy-en-Velay 6.1 Résumé 6.2 Présentation du territoire et des enjeux 6.3 Les principaux axes de travail de ce partenariat 6.3.1 Le diagnostic territorial 6.3.2 Le plan d’action 6.3.3 Recommandations pour la mise en place d’une synergie entre GEMAPI et le « petit cycle de l’eau » (compétence Eau et Assainissement) 6.4 Perspectives de ce partenariat 7 Syndicat mixte d’aménagement du bassin de la Bourbre 7.1 Résumé 7.2 Présentation du territoire et des enjeux 7.3 Les principaux axes de travail de ce partenariat 7.3.1 Système d’endiguement et aménagements hydrauliques 7.3.2 Quels rôles des zones humides dans la prévention des inondations 7.4 Perspectives de ce partenariat 8 Syndicat mixte de gestion intercommunautaire du Buëch et de ses affluents 8.1 Résumé 8.2 Présentation du territoire et des enjeux 8.3 Les principaux axes de travail de ce partenariat 8.3.1 Mise en valeur des enjeux environnementaux 8.3.1.a Un outil d’aide à la décision intégrant les enjeux environnementaux 8.3.1.b Services écosystémiques du bassin versant du Buëch 8.3.2 Un accompagnement dans l’évolution du système d’alerte et système de suivi des débits 8.3.2.a Suivi des épisodes hydro-météorologiques 8.3.2.b Instrumentation des cours d’eau 8.4 Perspectives de ce partenariat 9 Communauté d’Agglomération Troyes Champagne Métropole 9.1 Résumé 9.2 Présentation du territoire et des enjeux 9.3 Les principaux axes de travail de ce partenariat 9.3.1 Perspectives d’organisation de la gestion du grand cycle de l’eau à l’échelle du bassin versant de la Seine supérieure 9.3.2 La compétence GEMAPI au sein de la politique de Troyes Champagne Métropole 9.3.3 Méthodologie et outils pour la définition d’un système d’endiguement à l’échelle de l’agglomération troyenne 9.3.3.a Diagnostic et recensement de l’existant 9.3.4 Accompagnement dans l’identification du système d’endiguement 9.4 Perspectives de ce partenariat 10 Syndicat des eaux et de l’assainissement Alsace-Moselle 10.1 Résumé 10.2 Présentation du territoire et des enjeux 10.3 Les principaux axes de travail de ce partenariat 11 Enseignements et conclusion 12 Sigles et acronymes 13 Bibliographies 13.1 Bibliographie générale sur la GEMAPI 13.2 Bibliographie technique
  239. Edition (Ceremadoc) Trame verte et bleue. Série de fiches : Fiche 2 - Le système de parcs de Chicago - L'exemple du Lake Front Park (version longue)

    La collection de fiches « Trame verte et bleue » a comme objectif de présenter des expériences françaises et étrangères de prise en compte de la trame verte et bleue dans les agglomérations. L'objectif de chaque fiche est de dégager des éléments de méthode et de connaissance sur l'intégration de la trame verte et bleue dans un projet, quelle que soit son échelle, sous l'angle d'une thématique ou d'un aspect particulier. Elles précisent les modes de gouvernance développés par les collectivités territoriales et les acteurs locaux : échelle, maillage, articulation des espaces naturels et agricoles, gestion des continuités. Ces fiches sont destinées à aider les collectivités dans l'élaboration et la mise en œuvre de la trame verte et bleue, notamment au travers du partage d'expériences. Europe et international.
  240. Edition (Ceremadoc) Trame verte et bleue. Série de fiches : Fiche 2 bis - Le système de parcs de Chicago - L'exemple du Lake Front Park (version courte)

    La collection de fiches « Trame verte et bleue » a comme objectif de présenter des expériences françaises et étrangères de prise en compte de la trame verte et bleue dans les agglomérations. L'objectif de chaque fiche est de dégager des éléments de méthode et de connaissance sur l'intégration de la trame verte et bleue dans un projet, quelle que soit son échelle, sous l'angle d'une thématique ou d'un aspect particulier. Elles précisent les modes de gouvernance développés par les collectivités territoriales et les acteurs locaux : échelle, maillage, articulation des espaces naturels et agricoles, gestion des continuités. Ces fiches sont destinées à aider les collectivités dans l'élaboration et la mise en œuvre de la trame verte et bleue, notamment au travers du partage d'expériences. Europe et international.
  241. Edition (Ceremadoc) Trame verte et bleue. Série de fiches : Fiche 1 de 2009 - biodivertisé urbaine Zac Portes de la Forêt Bois Guillaume

    La collection de fiches « Trame verte et bleue » a comme objectif de présenter des expériences françaises et étrangères de prise en compte de la trame verte et bleue dans les agglomérations. L'objectif de chaque fiche est de dégager des éléments de méthode et de connaissance sur l'intégration de la trame verte et bleue dans un projet, quelle que soit son échelle, sous l'angle d'une thématique ou d'un aspect particulier. Elles précisent les modes de gouvernance développés par les collectivités territoriales et les acteurs locaux : échelle, maillage, articulation des espaces naturels et agricoles, gestion des continuités. Ces fiches sont destinées à aider les collectivités dans l'élaboration et la mise en œuvre de la trame verte et bleue, notamment au travers du partage d'expériences. Europe et international.
  242. Edition (Ceremadoc) Trame verte et bleue. Série de fiches : Fiche 1 - Rome, ville verte - L'exemple du parc régional Appia Antica (version longue)

    La collection de fiches « Trame verte et bleue » a comme objectif de présenter des expériences françaises et étrangères de prise en compte de la trame verte et bleue dans les agglomérations. L'objectif de chaque fiche est de dégager des éléments de méthode et de connaissance sur l'intégration de la trame verte et bleue dans un projet, quelle que soit son échelle, sous l'angle d'une thématique ou d'un aspect particulier. Elles précisent les modes de gouvernance développés par les collectivités territoriales et les acteurs locaux : échelle, maillage, articulation des espaces naturels et agricoles, gestion des continuités. Ces fiches sont destinées à aider les collectivités dans l'élaboration et la mise en œuvre de la trame verte et bleue, notamment au travers du partage d'expériences. Europe et international.
  243. Edition (Ceremadoc) Submersions marines - Mieux les comprendre pour s'en protéger

    Dans la nuit du 27 au 28 février 2010, la tempête Xynthia balaye le littoral atlantique. Malgré la présence de structures de défense, l’eau s’est très vite propagée dans les terres. Ce phénomène dévastateur a mis en évidence la nécessité de mieux étudier le comportement des systèmes de protection contre les submersions marines (il sera question ici non pas d'analyser la réglementation sur les ouvrages de défense mais de s'attacher à l'efficacité des systèmes de protection). Quels enseignements tirer de la tempête Xynthia ? Mes ouvrages de protection empêcheront-ils le passage de l'eau lors des prochaines tempêtes ? Quelles démarches mettre en oeuvre ? Maintenant, quelles actions engager ?
  244. Edition (Ceremadoc) Trame verte et bleue. Série de fiches : Fiche 1 bis - Rome, ville verte - L'exemple du parc régional Appia Antica (version courte)

    La collection de fiches « Trame verte et bleue » a comme objectif de présenter des expériences françaises et étrangères de prise en compte de la trame verte et bleue dans les agglomérations. L'objectif de chaque fiche est de dégager des éléments de méthode et de connaissance sur l'intégration de la trame verte et bleue dans un projet, quelle que soit son échelle, sous l'angle d'une thématique ou d'un aspect particulier. Elles précisent les modes de gouvernance développés par les collectivités territoriales et les acteurs locaux : échelle, maillage, articulation des espaces naturels et agricoles, gestion des continuités. Ces fiches sont destinées à aider les collectivités dans l'élaboration et la mise en œuvre de la trame verte et bleue, notamment au travers du partage d'expériences. Europe et international.
  245. Edition (Ceremadoc) Techniques alternatives à l’usage des produits phytosanitaires : Synthèse des types de gestions alternatives appliquées aux infrastructures du réseau routier national

    Leur réduction est donc à rechercher pour limiter les risques sanitaires et environnementaux qu’ils engendrent (détérioration de la qualité de l’eau, empoisonnement d’espèces non visées, développement de souches résistantes). Pour cela, les réglementations européenne et française encadrent depuis des années l’utilisation de ces produits. Très récemment, la réglementation française s’est renforcée, et il sera dorénavant interdit d’utiliser des produits phytosanitaires sur les voiries avec des exceptions permettant aux gestionnaires d’y déroger sous certaines conditions (notamment raisons de sécurité). La diminution de l’usage de ces produits est possible notamment grâce à l’utilisation de techniques alternatives fiables, efficaces et capables de répondre aux mêmes objectifs. Ce rapport qui accompagne la démarche déjà engagée par les Directions interdépartementales des routes (DIR), a pour objet de présenter le contexte réglementaire dans lequel se situe la démarche de réduction de l’utilisation des produits phytosanitaires en zone non agricole et de constituer un retour d’expériences qui synthétise les techniques alternatives pouvant être utilisées par les DIR le long du réseau routier national. Ainsi, pour chaque technique alternative, sont présentés le domaine d’utilisation, les principes de mise en œuvre, les différents matériels, les rendements, l’efficacité et enfin une synthèse des avantages et inconvénients.
  246. Edition (Ceremadoc) Road noise prediction : 1- Calculating sound emissions from road traffic

    The previous guide to predicting noise emissions from road traffic dates back to 1980. The numbers of cars, the road surfaces and the methods of assessing sound emissions have all changed. It was therefore essential to produce a new guide to calculating emissions.This is the purpose of this document. The sound level calculation thus obtained is necessary for the subsequent prediction of far away sound levels by taking account of the effects of the ground and of meteorology on the propagation. This is the purpose of another guide entitled «Road noise prediction - NMPB 2008 - Noise propagation computation method including meteorological effects». The tools thus obtained are ideal for road project impact studies, checking compliance with regulations or an acoustic objective set by the road authority and road design of acoustic protections. Following a summary of a few definitions specific to acoustics (definition of physical magnitudes, characteristic traffic magnitudes, presentation of work hypotheses, etc.), the guide studies the two components of emitted noise. The emission is in fact broken down into two components : one component due to the so-called «driving» noise caused by the contact between tyre and roadway, and an «engine» component. The guide breaks new ground by taking into account the surfacing category and its age when calculating the «driving» noise. The first part of the guide describes the method (approach and formulae). The second part presents the related issues, the bases for formulae or values used and their limitations and compares the two guides (the 1980 guide and the 2008 guide). Introduction Factual method Comments and analyses Bibliography A- Notations and symb ols B- Form C- Daily traffic profiles on intercity roads and motorways D- Vehicle sound emission values E- Graphic results
  247. Edition (Ceremadoc) SCoT Grenelle. SCoT et Biodiversité. Série de fiches : Scot de Caen Métropole

    La démarche « SCoT Grenelle » est une démarche d'accompagnement des thèmes nouveaux impulsés par le Grenelle de l'environnement dans les SCoT. Elle se déroule pendant 3 ans sur 12 sites . Elle est pilotée par le Ministère de l'Écologie, du Développement Durable des Transports et du Logement . Le Certu assure une assistance au maître d'ouvrage en lien avec les Cete. La thématique de la biodiversité a fait l'objet d'une analyse menée par le Certu et Cete en partenariat avec les maîtres d'ouvrage concernés. Destinées aux collectivités élaborant leur SCoT, ces six fiches permettent de diffuser et partager l'expérience de ces SCoT « Grenelle ».
  248. Edition (Ceremadoc) SCoT Grenelle : Énergie et climat dans les 12 SCoT Grenelle, fiche n° 1

    À travers leurs politiques d'aménagement du territoire et d'urbanisme, d'habitat, de transport, d'approvisionnement énergétique du territoire, les collectivités agissent indirectement sur plus de 50 % des émissions (GES) (Source Ademe : guide méthodologique pour construire et mettre en oeuvre un plan climat territorial élaboré en 2009). Dans le domaine de l'urbanisme, le projet de loi portant engagement national pour l'environnement en débat à l'Assemblée nationale souhaite introduire dans le SCoT non seulement des objectifs de réduction des émissions de GES, de maîtrise de l'énergie et de production énergétique à partir des sources renouvelables, mais aussi des critères de performance énergétique. Le Certu a analysé, comme précédemment, les 12 SCoT Grenelle sur la base d'entretiens conduits par les Cete auprès des différents acteurs de la démarche afin de connaître plus précisément comment ils se sont saisis du sujet. La restitution fera état des acteurs en présence, des démarches engagées, des méthodes déployées avant de développer les différentes modalités de prise en compte des questions de climat et d'énergie par les SCoT.
  249. Edition (Ceremadoc) Schémas régionaux du climat, de l'air et de l'énergie (SRCAE). Les collectivités en action : Cahier thématique bâtiment

    Destiné aux collectivités et aux services déconcentrés de l’État, cet ouvrage constitue une aide précieuse à la mise en oeuvre des Schémas régionaux climat air et énergie (SRCAE) et des démarches régionales de planification énergie-climat. S’appuyant sur une analyse d’un panel de trois SRCAE et de 15 actions menées par des collectivités infra-régionales, cet ouvrage comprend : un dossier offrant un panorama : 1. des leviers énergie-climat disponibles dans un SRCAE en matière d’économies d’énergies, d’émissions de GES évitées, et de production d’énergie renouvelable, 2. des actions que les collectivités infra-régionales peuvent mener afin de contribuer à la mise en œuvre des SRCAE, 3. des outils de financement mobilisés par les collectivités dans la mise en œuvre opérationnelle des leviers, des indicateurs de suivi du SRCAE ; un ensemble de cahiers thématiques regroupant par domaine de l’aménagement (urbanisme, transport, bâtiment, énergie renouvelable) un ensemble de quinze fiches. Chacune de ces fiches détaille une action d’une collectivité contribuant à la mise en œuvre effective du SRCAE. Des informations importantes sont ainsi livrées concernant le contenu de l’action, son efficacité sur le plan énergétique et climatique, son degré de réplicabilité, ses impacts sociaux et environnementaux, ses modes de financement, et son coût. Au final, le lecteur trouvera dans cet ouvrage des indications sur les leviers des SRCAE et leurs articulations avec des actions de collectivités infra-régionales, ainsi que de nombreux enseignements concernant le contenu et les résultats obtenus par de telles actions.
  250. Edition (Ceremadoc) SCoT Grenelle. SCoT et Biodiversité. Série de fiches : Scot du Pays de la baie du Mont-Saint-Michel

    La démarche « SCoT Grenelle » est une démarche d'accompagnement des thèmes nouveaux impulsés par le Grenelle de l'environnement dans les SCoT. Elle se déroule pendant 3 ans sur 12 sites . Elle est pilotée par le Ministère de l'Écologie, du Développement Durable des Transports et du Logement . Le Certu assure une assistance au maître d'ouvrage en lien avec les Cete. La thématique de la biodiversité a fait l'objet d'une analyse menée par le Certu et Cete en partenariat avec les maîtres d'ouvrage concernés. Destinées aux collectivités élaborant leur SCoT, ces six fiches permettent de diffuser et partager l'expérience de ces SCoT « Grenelle ».
  251. Edition (Ceremadoc) Routes et chiroptères : Rapport

    La France métropolitaine compte 33 espèces de chiroptères, communément appelés chauves-souris, toutes protégées au titre de la loi. Elles bénéficient également d’un statut de protection international (Conventions de Bonn, de Berne, accord Eurobats, espèces d’intérêt communautaire). En 2007, un plan national de restauration des chiroptères a été lancé pour la période 2008-2012. Parmi les actions de ce plan, le Sétra a été chargé de conduire : ● l’élaboration et la mise en œuvre d’une méthodologie pour la prise en compte des chiroptères lors de la construction et de l’entretien d’infrastructures et d’ouvrages d’art ; ● l’évaluation de l’efficacité de systèmes de réduction d’impact des infrastructures de transport. Dans ce cadre, un guide technique proposera, à terme, des recommandations techniques aux concepteurs d’infrastructures de transport, sur la base d’une étude bibliographique, de suivis de sites de collision et d’aménagements pour les chiroptères. Ce rapport présente la première phase d’élaboration de ce futur guide : un bilan des connaissances nationales et internationales sur le thème des chiroptères et des infrastructures linéaires.
  252. Edition (Ceremadoc) Vulnérabilités et risques : les infrastructures de transport face au climat

    La méthode d’analyse de risque nécessite : • de définir et d’analyser les aléas pouvant impacter les infrastructures. Les aléas retenus comme potentiellement impactant sont ensuite notés sur la base de leurs caractéristiques ; • de décomposer les réseaux de transport étudiés en plus petites entités : systèmes (tunnel, pont, etc.) et composants (câble, etc.). L’étude des facteurs de vulnérabilité physique des réseaux, systèmes et composants permet alors de leur affecter une note de vulnérabilité ; • de définir puis noter la criticité fonctionnelle du réseau étudié, qui est obtenue en croisant les enjeux du réseau avec ses caractéristiques. Le croisement des notes d’aléas, de vulnérabilité physique et de criticité fonctionnelle permet de définir pour chaque système ou composant, un niveau de risque. Une telle analyse découle d’un processus itératif : le nombre d’itération dépend de la finesse attendue des résultats et donc, des objectifs de l’analyse. À l’issue de l’analyse, diverses stratégies et mesures de traitement du risque peuvent être mises en oeuvre. IntroductionChapitre 1 - Méthodologie générale de l’analyse de risque et principaux concepts 1.1 - Concepts et définitions 1.2 - Approche méthodologique pour l’analyse de risque 1.3 - Liens avec les stratégies et mesures de protectionChapitre 2 - Cadre organisationnel du management du risque 2.1 - Cadre général 2.2 - Contextualisation de la démarche 2.3 - Premiers éléments de mise en oeuvre de la démarcheChapitre 3 - Comment caractériser les aléas ? 3.1 - Connaître les aléas climatiques et leurs évolutions attendues dans le cadre du changement climatique 3.2 - Choix des aléas 3.3 - Caractérisation des aléas retenus 3.4 - Notation des aléas 3.5 - Références bibliographiques et cartographiques nécessaires à la caractérisation des aléas.Chapitre 4 - Comment caractériser la vulnérabilité physique d’un réseau de transport ? 4.1 - Notions de vulnérabilité physique et de criticité physique 4.2 - Découpage du réseau de transport étudié en systèmes ponctuels de transport et composants 4.3 - Vérification de la vulnérabilité du réseau face à un aléaChapitre 5 - Comment évaluer la vulnérabilité fonctionnelle d’un réseau de transport ? 5.1 - Fonctions d’un réseau de transport 5.2 - Principes de l’analyse de criticité fonctionnelle 5.3 - Mener une analyse de criticité fonctionnelleChapitre 6 - Réalisation de l’analyse de risque 6.1 - Présentation de la méthode d’analyse de risque 6.2 - Réalisation des matrices de criticité physique et de risque 6.3 - Vers une cartographie des risques : confrontation des données « transport » aux données « climat » en utilisant la matrice des risques choisieAnnexes Annexe 1 - Acronymes Annexe 2 - Glossaire Annexe 3 - Bibliographie Annexe 4 - Groupe de rédaction
  253. Edition (Ceremadoc) Vulnérabilité du territoire national aux risques littoraux - Synthèse nationale

    Cette étude, pilotée par le Direction technique Eau, mer et fleuves et réalisée en collaboration avec le DTerMed et le DTerOuest, fait une synthèse nationale des connaissances actuelles sur les risques littoraux (érosion des côtes basses meubles et des falaises, avancées dunaires, submersion marine) et établit une représentation cartographique simple des zones actuellement vulnérables aux risques littoraux en France. L’étude est ainsi déclinée en deux parties : une synthèse bibliographique d’une part et la définition de méthodes permettant de quantifier la vulnérabilité à partir d’indicateurs cartographiques d’autre part. Cette troisième phase d’étude fait une synthèse nationale. 1 RÉSUMÉ 2 INTRODUCTION 3 INDICATEURS DE VULNÉRABILITÉ AUX RISQUES LITTORAUX 3.1 Niveau de connaissance de la vulnérabilité aux risques littoraux 3.2 Zones basses 3.3 Arrêtés de reconnaissance de l'état de catastrophe naturelle (CAT-NAT) liés à la mer 3.4 Atlas de Zones Inondables et Plans de Prévention liés à la mer 3.5 Enjeux situés dans les zones basses 3.5.1 Les bâtiments 3.5.2 Les infrastructures de transport 3.5.3 Les exploitations industrielles 3.5.4 Les espaces naturels protégés 3.5.5 Conclusion sur les enjeux 3.6 Indicateurs croisés 3.6.1 Indicateur IBC 3.6.2 Indicateur IB 3.6.3 Conclusion sur les indicateurs croisés 4 CONCLUSION 5 BIBLIOGRAPHIE
  254. Edition (Ceremadoc) Zones humides et projets d'infrastructures de transport linéaires - Caractérisation et délimitation des milieux

    La préservation et la gestion durable des zones humides apparaît aujourd'hui clairement comme un enjeu majeur de la politique publique en matière d'environnement. C'est pourquoi, au titre du code de l'environnement (art.L.210-1), les gestionnaires des infrastructures de transport linéaires doivent veiller à leur non dégradation lors de la réalisation de leurs projets. La sauvegarde de ces milieux nécessite leur identification. Cependant, les zones humides peuvent être de faible ampleur ou très anthropisées, ce qui rend leur reconnaissance délicate. À la demande de maîtres d'ouvrages, la méthodologie développée et proposée dans ce guide fournit les clés de caractérisation et de délimitation de ces zones humides de faible ampleur. Elle se base sur les critères définis par la règlementation et passe par des investigations de terrain, constituant les données de base à la reconnaissance de ces milieux. Des fiches de cas, basées sur les retours d'expérience de l'application de cette méthodologie à des cas réels, montrent l'intérêt des investigations de terrain pour répondre aux objectifs de délimitation en fournissant les informations complémentaires à la synthèse documentaire. Ces investigations de terrain permettent de situer la zone humide dans son bassin d'alimentation et d'appréhender son intérêt dans le fonctionnement global de l'environnement. Préambule Objectifs du guide Contexte réglementaire Fondements juridiques Définition réglementaire du critère pédologique Définition réglementaire du critère de végétation Mise en relation des critères et règles de délimitation sur le terrain Démarche de caractérisation et de délimitation Recherche documentaire Méthodologie de terrain de caractérisation et de délimitation des zones humides Fonctionnement des zones humides Fonctions et valeurs des zones humides Fiches de cas Conclusion Documents de références Glossaire
  255. Edition (Ceremadoc) Les passages à faune. Préserver et restaurer les continuités écologiques avec les infrastructures linéaires de transport

    L’érosion de la biodiversité s’accélère en France comme ailleurs. La France est le 5e pays d’Europe abritant le plus grand nombre d’espèces de faune et de flore mondialement menacées. Parmi les causes de destruction de la biodiversité figurent la disparition et la fragmentation des écosystèmes induites par les infrastructures de transport terrestre telles que les autoroutes ou les LGV. La diminution de l’impact de ces infrastructures sur la biodiversité passe par le maintien des continuités écologiques existantes lors de la conception de nouveaux projets mais aussi par la restauration des fonctionnalités écologiques anciennement interrompues lors de la construction des infrastructures existantes. Les solutions étudiées prennent notamment la forme de passages à faune ou d’aménagement de dépendances vertes. Très richement illustré, ce guide très complet a pour objet d’aider et de faciliter la prise en compte de ces enjeux lors des différents projets d’aménagement d’infrastructures linéaires de transport. Il constitue notamment une réactualisation des anciens guides de référence Passages pour la grande faune, SETRA, 1993 et Aménagements et mesures pour la petite faune, SETRA, 2005. Il s’adresse aux opérateurs d’infrastructures mais plus largement à ceux qui sont concernés par la préservation de la biodiversité dans un contexte de développement des infrastructures de transport.
  256. Edition (Ceremadoc) Mémento des ouvrages de protection contre les éboulements rocheux : Maintenance et coûts

    La maintenance des ouvrages de protection contre les chutes de blocs est un sujet de préoccupation important pour les maitres d’ouvrages. Le maitre d’ouvrage trouvera dans ce guide des éléments de réponses, des pistes de réflexion sur cette problématique, lui permettant d’engager ou d’améliorer sa propre réflexion. Ce guide est complémentaire à l’ensemble des guides techniques existants sur les ouvrages de protections contre les risques rocheux. Il s’appuie sur la littérature existante et présente les avancées/progrès/évolutions du domaine pour chaque type ouvrage. Il s’adresse aux maitres d’ouvrages désireux de trouver dans un document unique l’ensemble des informations techniques, règlementaires, financières… essentielles sur un ouvrage utilisé pour la protection contre les chutes de blocs. Ce mémento a été rédigé par des maitres d’ouvrages pour permettre à d’autres maitres d’ouvrages de s’initier à ce domaine et ainsi développer une vision commune.
  257. Edition (Ceremadoc) AUBE. Aménagement, urbanisme, biodiversité, éclairage. Fiche n° 7 : Améliorer l’acceptabilité de la modulation de l’éclairage grâce à la participation citoyenne, la concertation et la co-construction

    Une modulation ou extinction de l’éclairage public permet de réduire les consommations énergétiques, améliorer la visibilité du ciel nocturne et limiter les impacts de la lumière sur la biodiversité. Cependant, une telle démarche est parfois redoutée par les bénéficiaires de ce service, pour des raisons variées. Pour aboutir, elle doit donc prendre en compte les usages, besoins et aspirations, afin de trouver le bon compromis entre service public, facture énergétique, préservation de la biodiversité et du ciel nocturne. Cette fiche explore les enjeux et pistes d’actions possibles pour une telle approche.
  258. Edition (Ceremadoc) Végétal et entrées de villes. Compositions paysagères autour des grandes voiries : Végétal et entrées de villes pages 117 à la fin

    Les abords des grandes voiries en périphérie d'agglomération présentent souvent un aspect désagréable ou déqualifié : abords délaissés ou dégradés, désordre urbanistique et architectural, agressivités commerciales ou publicitaires... La réflexion menée sur les entrées de ville sert, entre autres, de base à ce document. Après avoir abordé la problématique des entrées de ville, espaces souvent lâches ou mal structurés, alors qu'elles sont des lieux stratégiques pour la qualité du paysage urbain, cet ouvrage rappelle le rôle fondamental que peut jouer la végétalisation pour une reconquête paysagère, pour la requalification, la structuration ou tout simplement l'embellissement de ces lieux qui s'émaillent souvent d'espaces "résiduels" peu ou mal utilisés. Un certain nombre de solutions pour l'amélioration des abords de ces voies sont ensuite proposées, sans s'arrêter forcément aux emprises publiques.
  259. Edition (Ceremadoc) Végétal et entrées de villes. Compositions paysagères autour des grandes voiries : Végétal et entrées de villes pages 49 à 62

    Les abords des grandes voiries en périphérie d'agglomération présentent souvent un aspect désagréable ou déqualifié : abords délaissés ou dégradés, désordre urbanistique et architectural, agressivités commerciales ou publicitaires... La réflexion menée sur les entrées de ville sert, entre autres, de base à ce document. Après avoir abordé la problématique des entrées de ville, espaces souvent lâches ou mal structurés, alors qu'elles sont des lieux stratégiques pour la qualité du paysage urbain, cet ouvrage rappelle le rôle fondamental que peut jouer la végétalisation pour une reconquête paysagère, pour la requalification, la structuration ou tout simplement l'embellissement de ces lieux qui s'émaillent souvent d'espaces "résiduels" peu ou mal utilisés. Un certain nombre de solutions pour l'amélioration des abords de ces voies sont ensuite proposées, sans s'arrêter forcément aux emprises publiques.
  260. Edition (Ceremadoc) Végétal et entrées de villes. Compositions paysagères autour des grandes voiries : Végétal et entrées de villes pages 33 à 48

    Les abords des grandes voiries en périphérie d'agglomération présentent souvent un aspect désagréable ou déqualifié : abords délaissés ou dégradés, désordre urbanistique et architectural, agressivités commerciales ou publicitaires... La réflexion menée sur les entrées de ville sert, entre autres, de base à ce document. Après avoir abordé la problématique des entrées de ville, espaces souvent lâches ou mal structurés, alors qu'elles sont des lieux stratégiques pour la qualité du paysage urbain, cet ouvrage rappelle le rôle fondamental que peut jouer la végétalisation pour une reconquête paysagère, pour la requalification, la structuration ou tout simplement l'embellissement de ces lieux qui s'émaillent souvent d'espaces "résiduels" peu ou mal utilisés. Un certain nombre de solutions pour l'amélioration des abords de ces voies sont ensuite proposées, sans s'arrêter forcément aux emprises publiques.
  261. Edition (Ceremadoc) Valorisation des territoires à l'occasion d'un projet routier - L'exemple du 1% Paysage et Développement : Note d'Information - Économie Environnement Conception - Série(EEC)

    A partir d’exemples concrets, cette note d’information présente des actions ou des démarches locales mises en oeuvre sous l’impulsion de la politique "1 % Paysage et Développement" ayant eu un impact favorable sur les paysages et le développement des communes traversées, et générant par la suite d’autres dynamiques de projets. Avant-propos La politique nationale du 1 % Paysage et Développement Exemples d'actions et de dynamiques créés par la politique du 1 % Paysage et Développement Faire participer l'autoroute A75 à la revalorisation du site de Saint-Flour Impulsion pour la rénovation des remparts de La Cavalerie le long de l'A75 Favoriser l'émergence de projets tout au long de l'itinéraire : actions ponctuelles devalorisation sur les tronçons concédés de l'A28 et A85 Conclusion Bibliographie
  262. Edition (Ceremadoc) Urban Resilience and Crisis Management : Workshop in Lyon, from 28 to 30 September 2016

    From 28 to 30 September 2016, a Franco-German seminar on urban resilience and crisis management was held in Lyon. This seminar brought together scientists, experts and public policy practitioners from France and Germany to tackle in an interdisciplinary and collective way the complex situations that generate or result from crises, the very many fields that need to be invested in to improve resilience, the integration of populations with challenges to be met, and the use of new technologies. Very practical questions were then dealt with, such as how to form a network by weaving a kind of web between French and German organisations Among the ideas that have emerged are the need to develop cross-sectoral approaches, the need to be attentive to cross-border issues, the mobilisation of new technologies, the issue of critical infrastructure and the value of rethinking security, taking new energies into account. The Lyon seminar opens up a major project for developing the prevention of urban crises by sharing knowledge and experience between the two European countries. Introduction P A R T O N E Workshope rationale and scope Urban systems The concept of resilience Themes and principles P A R T T W O Workshop outline Intention and objectives Format and organization At a glance: working group sessions Schedule and agenda Working group sessions and composition P A R T T H R E E Session results / Session report Session 1: Identify changes in the status quo (SWAP-Analysis) Session 2: Identifying options for future collaboration Session 3: Formulating vision statement (LAPCO) Session 4: Drafting a future road map P A R T F O U R Presentations The Atlas Of Vulnerability and Resilience The Mont-Blanc Tunnel Fire, resilient issues 17 years on European activites in the field of industrial safety and security Conclusion Appendices List of participants Recommended Reading
  263. Edition (Ceremadoc) Zonage pluvial : De son élaboration à sa mise en œuvre

    VOIR LA BANDE-ANNONCE >>>>>> L’artificialisation des sols favorise le ruissellement des eaux de pluie et donc potentiellement les inondations, limite leur infiltration dans le sol et le sous-sol et engendre des pollutions des milieux aquatiques. Pour lutter contre ce problème qui devient crucial avec le changement climatique, le zonage pluvial est un levier qui permet aux collectivités d’agir sur la maîtrise de l’imperméabilisation des sols, l’écoulement des eaux pluviales et des pollutions associées. En effet, il constitue un outil d’aide à la décision pour définir et faire appliquer les orientations politiques en matière de gestion des eaux pluviales et des eaux de ruissellement en favorisant la gestion à la source. Véritable guide méthodologique, cet ouvrage réalisé par le Cerema offre aux collectivités toutes les connaissances nécessaires à l’élaboration de leur zonage pluvial. Il s’appuie sur les expériences concrètes afin de les aider à déployer cet outil sur l’ensemble du territoire qu’il soit urbain ou rural. Zonage pluvial - De son élaboration à sa mise en œuvre Préface1 Connaître le zonage pluvial 1.1 Qu'est-ce que le zonage pluvial ? 1.2 Quels objectifs vise le zonage pluvial ? 1.3 Qui est responsable de l'élaboration du zonage pluvial ? 1.4 Sur quel périmètre est élaboré le zonage pluvial ? 1.5 À quelle échéance doit être approuvé le zonage pluvial ? 1.6 Quelle démarche et quelle procédure pour élaborer le zonage ? 1.7 Un zonage, combien ça coûte ? 1.8 Synthèse : connaître le zonage pluvial2 Réaliser la phase d’état des lieux et de diagnostic 2.1 Quels sont les contextes politique, organisationnel et réglementaire du territoire ? 2.2 Quel est le fonctionnement hydrologique du territoire ? 2.3 Quel est l’état des réseaux et des ouvrages ? 2.4 Quelles sont les caractéristiques du territoire associées à l’urbanisation ? 2.5 Quelle est la vulnérabilité des milieux aux pollutions générées par les eaux pluviales ? 2.6 Quels sont les coûts et modes de financement de la gestion des eaux pluviales ? 2.7 Synthèse : réaliser la phase d'état des lieux et de diagnostic3 Élaborer le zonage pluvial 3.1 Des choix préalables 3.2 Des solutions à définir pour répondre… 3.3 Des solutions présentées par thématiques adaptées au contexte et au changement climatique… 3.4 Cartographie du zonage pluvial 3.5 Synthèse : élaborer le zonage pluvial4 Approuver et accompagner le zonage pluvial 4.1 Évaluation environnementale : comment se mène l’examen au cas par cas ? 4.2 Comment conduire l’enquête publique ? 4.3 Qui approuve le zonage et comment ? 4.4 Comment intégrer le zonage dans le PLU(i) et autres règlements ? 4.5 Comment accompagner la mise en oeuvre du zonage ? 4.6 Comment suivre et évaluer le zonage pluvial ? 4.7 Comment réviser le zonage ? 4.8 Synthèse : approuver et accompagner le zonage pluvialBibliographie Liste de sigles Glossaire Liste des figures Liste des tableauxTable des matières
  264. Edition (Ceremadoc) Vulnérabilité du territoire national aux risques littoraux - Outre-Mer

    Cette étude, pilotée par le Direction technique Eau, mer et fleuves et réalisée en collaboration avec le DTerMed et le DTerOuest, fait une synthèse nationale des connaissances actuelles sur les risques littoraux (érosion des côtes basses meubles et des falaises, avancées dunaires, submersion marine) et établit une représentation cartographique simple des zones actuellement vulnérables aux risques littoraux en France. L’étude est ainsi déclinée en deux parties : une synthèse bibliographique d’une part et la définition de méthodes permettant de quantifier la vulnérabilité à partir d’indicateurs cartographiques d’autre part.Cette deuxième phase d’étude porte sur l’Outre-mer 1 INTRODUCTION 1.1 Contexte 1.2 Objectifs de l'étude 2 SYNTHÈSE BIBLIOGRAPHIQUE 2.1 Objectifs de la synthèse bibliographique 2.2 Synthèses régionales 2.2.1 Guadeloupe (971) 2.2.2 Martinique (972) 2.2.3 Guyane (973) 2.2.4 Réunion (974) 2.2.5 Saint-Pierre et Miquelon (975) 2.2.6 Mayotte (976) 2.2.7 Wallis et Futuna (986) 2.2.8 Polynésie Française (987) 2.2.9 Nouvelle-Calédonie (988) 3 INDICATEURS DE VULNÉRABILITÉ AUX RISQUES LITTORAUX 3.1 Niveau de connaissance de la vulnérabilité aux risques littoraux 3.1.1 Description des données utilisées 3.1.2 Exploitation méthodologique 3.1.3 Résultats et analyse 3.1.4 Limites de l'indicateur 3.2 Zones basses 3.2.1 Description des données utilisées 3.2.2 Exploitation méthodologique 3.2.3 Résultats et analyse 3.2.4 Limites de l'indicateur 3.3 Arrêtés de reconnaissance de l'état de catastrophe naturelle (CAT-NAT) liés à la mer 3.3.1 Description des données utilisées 3.3.2 Exploitation méthodologique 3.3.3 Résultats et analyse 3.3.4 Limites de l'indicateur 3.4 Atlas de Zones Inondables et Plans de Prévention liés à la mer 3.4.1 Description des données utilisées 3.4.2 Exploitation méthodologique 3.4.3 Résultats et analyse 3.4.4 Limites de l'indicateur 3.5 Enjeux situés dans les zones basses 3.5.1 Description des données utilisées 3.5.2 Exploitation méthodologique 3.5.3 Résultats et analyse 3.5.4 Limites des indicateurs 3.6 Indicateurs croisés 3.6.1 Description des données utilisées 3.6.2 Exploitation méthodologique 3.6.3 Résultats et analyse 3.6.4 Limites des indicateurs 4 CONCLUSION 5 BIBLIOGRAPHIEListe des annexes : Annexe 1 : Liste des études retenues pour la synthèse bibliographique Annexe 2 : Fiches études Annexe 3 : Présentation des bases de données Annexe 4 : Produits dérivés du MNT BD Topo® (Zones Basses) Annexe 5 : Méthode de traitement du MNT Annexe 6 : Choix des niveaux marins de référence Annexe 7 : Méthode de détermination des Zones Basses Annexe 8 : Géocodage des données GASPAR CATNAT sous MapInfo Annexe 9 : Nombre d'arrêtés de catastrophes naturelles par région Annexe 10 : Méthodologie et traitement des données des Plans de Prévention des Risques Littoraux et des Atlas de Zones Inondables sous MapInfo Annexe 11 : Méthodologie de détermination des enjeux Annexe 12 : Tableaux des enjeux Annexe 13 : Méthodologie de détermination de l'indicateur croisé de vulnérabilité aux risques littoraux IBC sous MapInfo Annexe 14 : Cartographies produites
  265. Edition (Ceremadoc) Vulnérabilité du territoire national aux risques littoraux - France métropolitaine

    Cette étude, pilotée par le Direction technique Eau, mer et fleuves et réalisée en collaboration avec le DTerMed et le DTerOuest, fait une synthèse nationale des connaissances actuelles sur les risques littoraux (érosion des côtes basses meubles et des falaises, avancées dunaires, submersion marine) et établit une représentation cartographique simple des zones actuellement vulnérables aux risques littoraux en France. L’étude est ainsi déclinée en deux parties : une synthèse bibliographique d’une part et la définition de méthodes permettant de quantifier la vulnérabilité à partir d’indicateurs cartographiques d’autre part.Cette première phase d’étude porte sur la métropole. 1. INTRODUCTION 1.1 Contexte 1.2 Objectifs de l'étude 1.3 Terminologie employée 2. SYNTHÈSE BIBLIOGRAPHIQUE 2.1 Objectifs et méthodologie de la synthèse bibliographique 2.2 Synthèses régionales 2.2.1 Nord-Pas-de-Calais 2.2.2 Picardie 2.2.3 Haute-Normandie 2.2.4 Basse-Normandie 2.2.5 Bretagne 2.2.6 Pays de La Loire 2.2.7 Poitou-Charentes 2.2.8 Aquitaine 2.2.9 Languedoc-Roussillon 2.2.10 PACA 2.2.11 Corse 3. INDICATEURS DE VULNÉRABILITÉ AUX RISQUES LITTORAUX 3.1 Niveau de connaissance de la vulnérabilité aux risques littoraux 3.1.1 Description des données utilisées 3.1.2 Exploitation méthodologique 3.1.3 Résultats et analyse 3.1.4 Limites de l'indicateur 3.2 Zones basses 3.2.1 Description des données utilisées 3.2.2 Exploitation méthodologique 3.2.3 Résultats et analyse 3.2.4 Critiques de l'indicateur 3.3 Arrêtés de reconnaissance de l'état de catastrophes naturelles (CAT-NAT) liés à la mer 3.3.1 Description de la donnée utilisée 3.3.2 Exploitation méthodologique 3.3.3 Résultats et analyse 3.3.4 Critiques de l'indicateur 3.4 Atlas de Zones Inondables et Plans de Prévention liés à la mer 3.4.1 Description de la donnée utilisée 3.4.2 Exploitation méthodologique 3.4.3 Résultats et analyse 3.4.4 Critiques de l'indicateur 3.5 Enjeux situés dans les zones basses 3.5.1 Description de la donnée utilisée 3.5.2 Exploitation méthodologique 3.5.3 Résultats et analyse 3.5.4 Limites des indicateurs 3.6 Indicateur croisé IBC 3.6.1 Description des données utilisées 3.6.2 Exploitation méthodologique 3.6.3 Résultats et analyse 3.6.4 Critique de l'indicateur croisé 4. CONCLUSION 5. BIBLIOGRAPHIE 5.1 Rapports d'études 5.2 Sites internet consultés
  266. Edition (Ceremadoc) Trame verte et bleue. Série de fiches : Fiche 1 bis - Rome, ville verte - L'exemple du parc régional Appia Antica (version courte)

    La collection de fiches « Trame verte et bleue » a comme objectif de présenter des expériences françaises et étrangères de prise en compte de la trame verte et bleue dans les agglomérations. L'objectif de chaque fiche est de dégager des éléments de méthode et de connaissance sur l'intégration de la trame verte et bleue dans un projet, quelle que soit son échelle, sous l'angle d'une thématique ou d'un aspect particulier. Elles précisent les modes de gouvernance développés par les collectivités territoriales et les acteurs locaux : échelle, maillage, articulation des espaces naturels et agricoles, gestion des continuités. Ces fiches sont destinées à aider les collectivités dans l'élaboration et la mise en œuvre de la trame verte et bleue, notamment au travers du partage d'expériences. Europe et international.
  267. Edition (Ceremadoc) Submersions marines - Mieux les comprendre pour s'en protéger

    Dans la nuit du 27 au 28 février 2010, la tempête Xynthia balaye le littoral atlantique. Malgré la présence de structures de défense, l’eau s’est très vite propagée dans les terres. Ce phénomène dévastateur a mis en évidence la nécessité de mieux étudier le comportement des systèmes de protection contre les submersions marines (il sera question ici non pas d'analyser la réglementation sur les ouvrages de défense mais de s'attacher à l'efficacité des systèmes de protection). Quels enseignements tirer de la tempête Xynthia ? Mes ouvrages de protection empêcheront-ils le passage de l'eau lors des prochaines tempêtes ? Quelles démarches mettre en oeuvre ? Maintenant, quelles actions engager ?
  268. Edition (Ceremadoc) Trame verte et bleue. Série de fiches : Fiche 1 - Rome, ville verte - L'exemple du parc régional Appia Antica (version longue)

    La collection de fiches « Trame verte et bleue » a comme objectif de présenter des expériences françaises et étrangères de prise en compte de la trame verte et bleue dans les agglomérations. L'objectif de chaque fiche est de dégager des éléments de méthode et de connaissance sur l'intégration de la trame verte et bleue dans un projet, quelle que soit son échelle, sous l'angle d'une thématique ou d'un aspect particulier. Elles précisent les modes de gouvernance développés par les collectivités territoriales et les acteurs locaux : échelle, maillage, articulation des espaces naturels et agricoles, gestion des continuités. Ces fiches sont destinées à aider les collectivités dans l'élaboration et la mise en œuvre de la trame verte et bleue, notamment au travers du partage d'expériences. Europe et international.
  269. Edition (Ceremadoc) Trame verte et bleue. Série de fiches : Fiche 1 de 2009 - biodivertisé urbaine Zac Portes de la Forêt Bois Guillaume

    La collection de fiches « Trame verte et bleue » a comme objectif de présenter des expériences françaises et étrangères de prise en compte de la trame verte et bleue dans les agglomérations. L'objectif de chaque fiche est de dégager des éléments de méthode et de connaissance sur l'intégration de la trame verte et bleue dans un projet, quelle que soit son échelle, sous l'angle d'une thématique ou d'un aspect particulier. Elles précisent les modes de gouvernance développés par les collectivités territoriales et les acteurs locaux : échelle, maillage, articulation des espaces naturels et agricoles, gestion des continuités. Ces fiches sont destinées à aider les collectivités dans l'élaboration et la mise en œuvre de la trame verte et bleue, notamment au travers du partage d'expériences. Europe et international.
  270. Edition (Ceremadoc) Trame verte et bleue. Série de fiches : Fiche 2 bis - Le système de parcs de Chicago - L'exemple du Lake Front Park (version courte)

    La collection de fiches « Trame verte et bleue » a comme objectif de présenter des expériences françaises et étrangères de prise en compte de la trame verte et bleue dans les agglomérations. L'objectif de chaque fiche est de dégager des éléments de méthode et de connaissance sur l'intégration de la trame verte et bleue dans un projet, quelle que soit son échelle, sous l'angle d'une thématique ou d'un aspect particulier. Elles précisent les modes de gouvernance développés par les collectivités territoriales et les acteurs locaux : échelle, maillage, articulation des espaces naturels et agricoles, gestion des continuités. Ces fiches sont destinées à aider les collectivités dans l'élaboration et la mise en œuvre de la trame verte et bleue, notamment au travers du partage d'expériences. Europe et international.
  271. Edition (Ceremadoc) Trame verte et bleue. Série de fiches : Fiche 2 - Le système de parcs de Chicago - L'exemple du Lake Front Park (version longue)

    La collection de fiches « Trame verte et bleue » a comme objectif de présenter des expériences françaises et étrangères de prise en compte de la trame verte et bleue dans les agglomérations. L'objectif de chaque fiche est de dégager des éléments de méthode et de connaissance sur l'intégration de la trame verte et bleue dans un projet, quelle que soit son échelle, sous l'angle d'une thématique ou d'un aspect particulier. Elles précisent les modes de gouvernance développés par les collectivités territoriales et les acteurs locaux : échelle, maillage, articulation des espaces naturels et agricoles, gestion des continuités. Ces fiches sont destinées à aider les collectivités dans l'élaboration et la mise en œuvre de la trame verte et bleue, notamment au travers du partage d'expériences. Europe et international.
  272. Edition (Ceremadoc) Synthèse et principales leçons de l’appel à partenaires GEMAPI

    L’appel à partenaires GEMAPI, dont cette publication fait la synthèse, a été lancé par le Cerema et INRAE en mai 2016 : il a permis d’accompagner dix collectivités dans cette prise de compétence, de répondre à des problématiques variées avec des solutions innovantes et de fournir des réponses adaptées et utiles à d’autres territoires. Préambule 1 Contexte de l’appel à partenaires 1.1 Genèse et principaux attendus 1.2 Principales productions et valorisations de l’appel à partenaires 2 Valenciennes Métropole et Communauté d’agglomération de la Porte du Hainaut 2.1 Résumé 2.2 Présentation du territoire et des enjeux 2.3 Les principaux axes de travail de ce partenariat 2.3.1 Un état des lieux et un diagnostic du territoire 2.3.2 Des scénarios de prise de compétence de la GEMAPI 2.3.3 Approfondir les enjeux de GEMAPI de certains bassins versants 2.4 Perspectives de ce partenariat 3 Grand Calais Terres et Mers 3.1 Résumé 3.2 Présentation du territoire et des enjeux 3.3 Les principaux axes de travail de ce partenariat 3.3.1 Analyse par secteur et propositions de systèmes d’endiguement 3.3.2 Analyse du secteur de Sangatte et proposition de son système d’endiguement 3.4 Perspectives de ce partenariat 4 Saint-Malo Agglomération 4.1 Résumé 4.2 Présentation du territoire et des enjeux 4.3 Les principaux axes de travail de ce partenariat 4.3.1 Une assistance à la définition des systèmes d’endiguement littoraux dans la perspective des futures procédures d’autorisation 4.3.2 Analyse structurale 4.3.3 Structuration d’une base de données SIG sur les ouvrages 4.4 Perspectives de ce partenariat 5 Comité du bassin hydrographique de la Mauldre et de ses affluents 5.1 Résumé 5.2 Présentation du territoire et des enjeux 5.3 Les principaux axes de travail de ce partenariat 5.3.1 Étude de l’effet des inondations sur le territoire et les milieux aquatiques – caractérisation de l’aléa 5.3.2 Rôle des zones humides à l’interface entre préservation des milieux aquatiques et protection contre les inondations 5.3.3 Impact de l’utilisation de ressources en eau alternatives 5.4 Perspectives de ce partenariat 6 Communauté d’agglomération du Puy-en-Velay 6.1 Résumé 6.2 Présentation du territoire et des enjeux 6.3 Les principaux axes de travail de ce partenariat 6.3.1 Le diagnostic territorial 6.3.2 Le plan d’action 6.3.3 Recommandations pour la mise en place d’une synergie entre GEMAPI et le « petit cycle de l’eau » (compétence Eau et Assainissement) 6.4 Perspectives de ce partenariat 7 Syndicat mixte d’aménagement du bassin de la Bourbre 7.1 Résumé 7.2 Présentation du territoire et des enjeux 7.3 Les principaux axes de travail de ce partenariat 7.3.1 Système d’endiguement et aménagements hydrauliques 7.3.2 Quels rôles des zones humides dans la prévention des inondations 7.4 Perspectives de ce partenariat 8 Syndicat mixte de gestion intercommunautaire du Buëch et de ses affluents 8.1 Résumé 8.2 Présentation du territoire et des enjeux 8.3 Les principaux axes de travail de ce partenariat 8.3.1 Mise en valeur des enjeux environnementaux 8.3.1.a Un outil d’aide à la décision intégrant les enjeux environnementaux 8.3.1.b Services écosystémiques du bassin versant du Buëch 8.3.2 Un accompagnement dans l’évolution du système d’alerte et système de suivi des débits 8.3.2.a Suivi des épisodes hydro-météorologiques 8.3.2.b Instrumentation des cours d’eau 8.4 Perspectives de ce partenariat 9 Communauté d’Agglomération Troyes Champagne Métropole 9.1 Résumé 9.2 Présentation du territoire et des enjeux 9.3 Les principaux axes de travail de ce partenariat 9.3.1 Perspectives d’organisation de la gestion du grand cycle de l’eau à l’échelle du bassin versant de la Seine supérieure 9.3.2 La compétence GEMAPI au sein de la politique de Troyes Champagne Métropole 9.3.3 Méthodologie et outils pour la définition d’un système d’endiguement à l’échelle de l’agglomération troyenne 9.3.3.a Diagnostic et recensement de l’existant 9.3.4 Accompagnement dans l’identification du système d’endiguement 9.4 Perspectives de ce partenariat 10 Syndicat des eaux et de l’assainissement Alsace-Moselle 10.1 Résumé 10.2 Présentation du territoire et des enjeux 10.3 Les principaux axes de travail de ce partenariat 11 Enseignements et conclusion 12 Sigles et acronymes 13 Bibliographies 13.1 Bibliographie générale sur la GEMAPI 13.2 Bibliographie technique
  273. Edition (Ceremadoc) Trame verte et bleue. Série de fiches : Fiche 3 - Berlin, métropole naturelle - Le Naturpark Schöneberg Südgelande (version longue)

    La collection de fiches « Trame verte et bleue » a comme objectif de présenter des expériences françaises et étrangères de prise en compte de la trame verte et bleue dans les agglomérations. L'objectif de chaque fiche est de dégager des éléments de méthode et de connaissance sur l'intégration de la trame verte et bleue dans un projet, quelle que soit son échelle, sous l'angle d'une thématique ou d'un aspect particulier. Elles précisent les modes de gouvernance développés par les collectivités territoriales et les acteurs locaux : échelle, maillage, articulation des espaces naturels et agricoles, gestion des continuités. Ces fiches sont destinées à aider les collectivités dans l'élaboration et la mise en œuvre de la trame verte et bleue, notamment au travers du partage d'expériences. Europe et international.
  274. Edition (Ceremadoc) Trame verte et bleue. Série de fiches : Fiche 3 bis - Berlin, métropole naturelle - Le Naturpark Schöneberg Südgelande (version courte)

    La collection de fiches « Trame verte et bleue » a comme objectif de présenter des expériences françaises et étrangères de prise en compte de la trame verte et bleue dans les agglomérations. L'objectif de chaque fiche est de dégager des éléments de méthode et de connaissance sur l'intégration de la trame verte et bleue dans un projet, quelle que soit son échelle, sous l'angle d'une thématique ou d'un aspect particulier. Elles précisent les modes de gouvernance développés par les collectivités territoriales et les acteurs locaux : échelle, maillage, articulation des espaces naturels et agricoles, gestion des continuités. Ces fiches sont destinées à aider les collectivités dans l'élaboration et la mise en œuvre de la trame verte et bleue, notamment au travers du partage d'expériences. Europe et international.
  275. Edition (Ceremadoc) Transport et gaz à effet de serre (GES) - Analyse des outils et méthodes utilisés pour quantifier les émissions de GES dans les projets d'infrastructures selon les différents modes de transport

    Après une présentation du périmètre de l’étude et des opérations sélectionnées, la grille d’analyse élaborée est décrite, puis les résultats obtenus sont synthétisés et commentés. Le rapport aborde ensuite la sensibilité des résultats à l’évolution des hypothèses prises en compte, avant de dresser des pistes d’harmonisation et les limites d’utilisation des bilans GES, et de proposer enfin des suites à la présente étude.
  276. Edition (Ceremadoc) Traitement des eaux de ruissellement routières - Opportunité des ouvrages industriels : débourbeurs, déshuileurs et décanteurs-déshuileurs : Note d'Information - Économie Environnement Conception - Série(EEC)

    Lors de la construction d'une route, la protection de la ressource en eau nécessite la mise en place d'ouvrages de traitement de la pollution des eaux de ruissellement. Des études ont permis de connaître les performances de la plupart des ouvrages classiques. Cependant, les performances des "ouvrages industriels", ainsi que leurs modalités d'entretien (coût, difficulté) sont encore mal connues. Cette note d'information apporte donc un éclairage sur l'opportunité de l'utilisation de ces ouvrages industriels. Elle en décrit les performances théoriques, ainsi que les rendements observées en situation réelle. Elle en expose enfin les modalités d'entretien. Historique Contexte Efficacité théorique des ouvrages industriels Efficacité des ouvrages industriels en conditions réelles Retour d'expériences sur la gestion ouvrages industriels sur le réseau routier national Conclusion Bibliographie Glossaire Liste des abréviations
  277. Edition (Ceremadoc) Raccordement des entreprises aux réseaux d’assainissement : Fiche n° 04 - L’expérience du SIA de Valenciennes auprès des artisans et petites entreprises

    Cette série de fiches est consacrée au partage et à la capitalisation d’expériences de collectivités. Elle présente des recommandations en matière de gestion des raccordements non domestiques aux réseaux d’assainissement.
  278. Edition (Ceremadoc) SISMOA - Evaluation préliminaire du risque sismique sur les ouvrages d’art existants

    La méthode SISMOA est une procédure d’évaluation préliminaire du risque sismique sur les ouvrages d’art existants. Elle repose sur les données géométriques et typologiques des ouvrages. Les résultats permettent de localiser les éléments sensibles et aboutissent à l’évaluation d’une valeur de risque par ouvrage.
  279. Edition (Ceremadoc) Systèmes et mesures visant à réduire le nombre de collisions avec les grands ongulés : Note d'Information - Économie Environnement Conception - Série(EEC) n° 72

    Cette note analyse les raisons de l'augmentation des collisions entre véhicules et grands ongulés.Elle fait ensuite l'inventaire des systèmes existants et de leur taux d'efficacité :') Agir sur les animaux a) Empêcher les ongulés de franchir la voie :- les réflecteurs ;- les miroirs ;- les répulsifs ;- les dispositifs ultra-sons ;- l'éclairage de la route ;- les clôtures ;- les clôtures électriques.b) Gérer l'habitat- agir sur les lieux de vie des ongulés ;- gérer les emprises vertes du domaine public et les zones de proximité.c) Gérer les populations 2) Modifier le comportement des automobilistes a) Prévenir du danger :- le panneau A15b, indiquant la traversée d'animaux sauvages ;- le dispositif d'alerte dynamique ;- la circulation "apaisée". b) Campagnes d'information et de sensibilisation.La dernière partie évoque la solution de combinaison de ces dispositifs pour une lutte plus efficace contre ces accidents.
  280. Edition (Ceremadoc) Synthèse des Entretiens du Cerema - Biennale de l'ingénierie territoriale du Cnfpt : 03 et 04 février 2015

    Transition énergétique, développement durable, égalité des territoires, économies en matière d’investissement public : les quatre grands thèmes de réflexion proposés par les « Entretiens du Cerema - Biennale de l’ingénierie territoriale du CNFPT » qui se sont tenus en février 2015 ne manquaient pas d’ambition. Cet événement, riche en présentations d’expériences et d’innovations, avait pour objectif de provoquer échanges et discussions entre professionnels et décideurs d’origines variées. Il a permis de mettre en exergue le rôle accru des acteurs des territoires, l’importance de la ressource locale qu’il faut savoir identifier, et l’enjeu aujourd’hui d’établir des partenariats avec de nouveaux acteurs comme les habitants, entre autres, et dont la capacité d’expertise doit être reconnue. L’enjeu pour les autorités publiques est alors de savoir discerner ces nouveaux paradigmes en émergence, avec souvent la nécessité pour elles de changer de positionnement et de méthodes, afin de valoriser toutes ces ressources comme vecteur de dialogue et d’investissement. Cet ouvrage est une synthèse restituant les points saillants abordés pendant ces deux jours de présentation de cas et de débats, les éléments de convergence et les controverses sur des sujets qui ne sont pas encore stabilisés. Ces Entretiens ont aussi permis de mettre en évidence des thématiques émergentes qui pourraient contribuer au renouvellement des modèles de l’action publique au cours des prochaines années. Cet ouvrage s’adresse aux acteurs agissant pour le développement des villes et des territoires, professionnels et décideurs, mais aussi plus largement à tout public intéressé par ces questions cruciales de développement durable. Introduction Première partie État des lieux Les territoires au prisme des grandes mutations économiques La croissance entre doutes et opportunités Les métropoles ont tendance à concentrer la croissance Des territoires de plus en plus polarisés Égalité territoriale ou égalité sociale ? La Troisième révolution industrielle, mythe ou levier d’action ? Un « accélérateur de progrès » Deuxième partie Débats Vers un renouvellement en profondeur de l’action publique ? Un changement de paradigme Favoriser les ressources locales, l’expertise et l’approche intégrées L’habitant, le citoyen, l’usager, acteur(s) des mutations De nouvelles modalités d’action, du partenariat à la co-construction Troisième partie Perspectives Pistes d’actions transversales pour demain Des métiers en devenir, une ingénierie à réinventer Innover localement, penser globalement Un État « facilitateur » pour des acteurs « impliqués » Favoriser des logiques à long terme Faire confiance au « local » Conclusion Annexes Références bibliographiques Programme détaillé de la manifestation
  281. Edition (Ceremadoc) Suivi environnemental des aménagements portuaires et littoraux : Guide de recommandations.

    Après un 1er chapitre présentant les différents aspects de l'environnement littoral, les aménagements maritimes et leurs impacts ainsi que le contexte réglementaire, l'ouvrage détaille, dans le chapitre 2, les outils permettant de mettre en œuvre un programme de suivi environnemental. Le chapitre 3 comprend 14 fiches thématiques apportant des recommandations d'ordre technique, pratiques et réglementaires pour chaque composante à suivre dans 3 milieux : physique, vivant terrestre et vivant aquatique. Enfin des annexes complètent la compréhension de certains aspects développés dans le 1er chapitre et un glossaire reprend la définition des termes spécifiques rencontrés, ainsi que la significations des sigles et acronymes. PréfaceSommaire IntroductionCHAPITRE 1 : Généralités 1.1 L'environnement littoral 1.1.1 Notions d’écologie côtière 1.1.1.2 Les organismes marins 1.1.1.3 Influence de la qualité des eaux marines et des sédiments sur les organismes 1.1.1.4 Le cas particulier des estuaires 1.1.1.5 Le cas particulier des zones humides 1.1.2 Fonctionnalité des habitats 1.1.2.1 Maintien de la biodiversité 1.1.2.2 Nourricerie ou nurserie 1.1.2.3 Frayère 1.2 Les aménagements maritimes et leurs impacts 1.2.1 Les différents types d'aménagements 1.2.2 Les impacts des aménagements maritimes 1.3 Le contexte réglementaire 1.3.1 La loi sur la protection de la nature de 1976 et l’étude d’impact 1.3.2 La loi sur l’eau (codifiée aux articles L.210-1 et suivants du code de l'environnement) 1.3.3 L’autorisation des aménagements portuaires 1.3.4 L'autorisation des aménagements sur le domaine public maritime naturel 1.3.5 L’évaluation des incidences des projets sur les sites NATURA 2000 1.3.6 La concertation 1.3.7 Le suivi environnemental dans la réglementation CHAPITRE 2 : Mise en oeuvre d’un suivi environnemental 2.1 Les objectifs du suivi 2.2 La conception du programme de suivi 2.2.1 État des connaissances 2.2.1.1 Établissement de l'état zéro 2.2.1.2 Détermination des enjeux environnementaux du projet 2.2.2 Identification des composantes environnementales à suivre 2.2.3 Cadrage spatio-temporel 2.2.3.1 L’échelle spatiale 2.2.3.1.1 Délimitation de la zone de suivi 2.2.3.1.2 Les différentes échelles de suivi 2.2.3.2 L’échelle temporelle 2.2.4 Les outils de gestion 2.2.4.1 Cartographie, géomatique 2.2.4.1.1 Les cartes des dossiers d’autorisation 2.2.4.1.2 Les données des organismes ressources 2.2.4.1.2.1 Les experts et les ressources cartographiques 2.2.4.1.2.2 Les sources de données cartographiques par thématique 2.2.4.1.3 Les Systèmes d’Information Géographique (SIG) 2.2.4.1.4 Conclusion : recommandations 2.2.4.2 Gestion de la bibliographie 2.2.4.3 Gestion des compétences 2.3 La mise en place du programme de suivi 2.3.1 Procédures administratives liées à la demande d’autorisation 2.3.2 Mise en place du programme de suivi environnemental 2.4 L'évaluation du suivi 2.4.1 Évaluation initiale du suivi 2.4.2 Évaluation périodique du suivi 2.4.2.1 Le contenu 2.4.2.2 La méthode 2.4.3 Évaluation finale du suivi 2.4.3.1 Le contenu 2.4.3.2 La méthode 2.4.4 Conclusion CHAPITRE 3 : Méthodes et techniques de suivi environnemental 3.1 Introduction 3.2 Milieu physique 3.2.1 Hydraulique 3.2.2 Bathymétrie/Topographie des fonds 3.2.3 Érosion /Géomorphologie 3.2.4 Qualité des sédiments 3.2.5 Qualité des eaux littorales 3.3 Milieu vivant terrestre 3.3.1 Flore et végétation littorales 3.3.2 Faune littorale terrestre 3.4 Milieu vivant aquatique 3.4.1 Milieu pélagique 3.4.1.1 Plancton 3.4.1.2 Zooplancton 3.4.1.3 Poissons 3.4.1.4 Mammifères marins 3.4.2 Milieu benthique 3.4.2.1 Milieu benthique en substrats meubles 3.4.2.1.1 Invertébrés 3.4.2.1.2 Poissons 3.4.2.1.3 Les herbiers de Zostères 3.4.2.1.4 Les bancs de maërl 3.4.2.2 Milieu benthique en substrats durs 3.4.2.2.1 Macroinvertébrés intertidaux 3.4.2.2.2 Les macroalgues ANNEXE 1 : Les outils de protection du littoralANNEXE 2 : Domaine Public Maritime Naturel (DPMN) et limites administratives des eaux littorales Glossaire
  282. Edition (Ceremadoc) Végétal et entrées de villes. Compositions paysagères autour des grandes voiries : Végétal et entrées de villes pages 105 à 116

    Les abords des grandes voiries en périphérie d'agglomération présentent souvent un aspect désagréable ou déqualifié : abords délaissés ou dégradés, désordre urbanistique et architectural, agressivités commerciales ou publicitaires... La réflexion menée sur les entrées de ville sert, entre autres, de base à ce document. Après avoir abordé la problématique des entrées de ville, espaces souvent lâches ou mal structurés, alors qu'elles sont des lieux stratégiques pour la qualité du paysage urbain, cet ouvrage rappelle le rôle fondamental que peut jouer la végétalisation pour une reconquête paysagère, pour la requalification, la structuration ou tout simplement l'embellissement de ces lieux qui s'émaillent souvent d'espaces "résiduels" peu ou mal utilisés. Un certain nombre de solutions pour l'amélioration des abords de ces voies sont ensuite proposées, sans s'arrêter forcément aux emprises publiques.
  283. Edition (Ceremadoc) Valise pédagogique : Plan séisme Antilles

    Initialement conçue pour le risque sismique dans les Antilles, la valise intéressera les collectivités souhaitant développer leur propre stratégie de prévention du risque, qu’il s’agisse d’un risque sismique ou pas. La valise fournit un questionnement permettant d’appréhender les enjeux locaux et d’identifier les pistes d’actions du point de vue communal. Elle contient également un référentiel de connaissances relatives au phénomène sismique et à sa traduction territoriale dans les différentes composantes urbaines : bâti et population, déplacements, économie locale, infrastructures et services publics, environnement et territoire, gestion municipale avant, pendant et après l’événement. Cette version correspond à la valise Guadeloupe, il existe également une valise Martinique. Le document doit être dézippé après téléchargement pour le bon fonctionnement des liens internes.
  284. Edition (Ceremadoc) Validité des modèles physiques sédimentologiques fluviaux : Étude de synthèse.

    L’objectif de cette étude est de recenser de façon exhaustive les études réalisées à Artelia dans le domaine concerné, de dégager une typologie des modèles, de donner des informations plus précises pour chaque type identifié en fournissant des fiches descriptives d’un certain nombre de modèles caractéristiques pour chaque type, de dégager les principes généraux permettant de guider les choix des ingénieurs et aménageurs confrontés à des problématiques susceptibles de relever de la modélisation physique comme outil principal d’étude. Il s’agit en conclusion de réaliser un état de l’art et une réflexion sur la validité et l’avenir de cet outil dans ses divers domaines d’application. Introduction 1. Consistance de l’étude 2. Problèmes traites par la modélisation physique sédimentologique et typologie des modèles 2.1. terminologie 2.2. distinction fonds affouillables/ fonds mobiles 2.3. problématiques traitées par les modèles sédimentologiques fluviaux 3. La modélisation physique : intérêts et principes 3.1. objectifs de la modélisation physique 3.2. raisons de la réduction à l’échelle 3.3. terminologie 3.4. principes de la similitude 3.4.1. similitude hydraulique 3.4.2. échelles de similitude géométriques et hydrauliques 3.4.3. similitude sédimentologique 3.4.3.1. typologie 3.4.3.2. similitude de début d’entrainement 3.4.3.3. similitude de transport solide 3.4.4. distorsion 4. Les équipements de la modélisation physique sédimentologique 4.1. liste des équipements 4.2. caractérisation des sédiments 4.3. caractérisation des dépôts et érosions 4.4. caractérisation des volumes injectes et transportes 5. Modèles réduits sédimentologiques recensement et fiche type 5.1. recensement 5.2. typologie des modèles 5.2.1. régime d’écoulement et de transport solide 5.2.2. type d’aménagement 5.2.3. gamme d’échelles 5.3. fiche type 5.4. retour d’expérience 5.5. fiches modèle GlossaireAnnexes annexe a. fiches modèles : torrents (22) annexe b. fiches modèles : laves torrentielles (4) annexe c. fiches modèles : rivières (9) annexe d. fiches modèles : ponts (11) annexe e. fiches modèles : seuils (7) annexe f. fiches modèles : barrages (9) Tableaux tabl. 1 - modèle non distordu en similitude de froude tabl. 2 - modèle distordu en similitude de froude Figures fig. 1. sonde laser sur son support mobile fig. 2. exemple de levé bathymétrique autour des piles de pont fig. 3. année de réalisation des modèles réduits sédimentologiques répertoriés (période 1978-2006) fig. 4. modèles physiques – statistique par régime d’écoulement et type de transport fig. 5. modèles physiques – statistique par type d’ouvrage fig. 6. modèles physiques – statistique par gamme d’échelles
  285. Edition (Ceremadoc) Végétal et entrées de villes. Compositions paysagères autour des grandes voiries : Végétal et entrées de villes pages 1 à 18

    Les abords des grandes voiries en périphérie d'agglomération présentent souvent un aspect désagréable ou déqualifié : abords délaissés ou dégradés, désordre urbanistique et architectural, agressivités commerciales ou publicitaires... La réflexion menée sur les entrées de ville sert, entre autres, de base à ce document. Après avoir abordé la problématique des entrées de ville, espaces souvent lâches ou mal structurés, alors qu'elles sont des lieux stratégiques pour la qualité du paysage urbain, cet ouvrage rappelle le rôle fondamental que peut jouer la végétalisation pour une reconquête paysagère, pour la requalification, la structuration ou tout simplement l'embellissement de ces lieux qui s'émaillent souvent d'espaces "résiduels" peu ou mal utilisés. Un certain nombre de solutions pour l'amélioration des abords de ces voies sont ensuite proposées, sans s'arrêter forcément aux emprises publiques.
  286. Edition (Ceremadoc) Végétal et entrées de villes. Compositions paysagères autour des grandes voiries : Végétal et entrées de villes pages 19 à 32

    Les abords des grandes voiries en périphérie d'agglomération présentent souvent un aspect désagréable ou déqualifié : abords délaissés ou dégradés, désordre urbanistique et architectural, agressivités commerciales ou publicitaires... La réflexion menée sur les entrées de ville sert, entre autres, de base à ce document. Après avoir abordé la problématique des entrées de ville, espaces souvent lâches ou mal structurés, alors qu'elles sont des lieux stratégiques pour la qualité du paysage urbain, cet ouvrage rappelle le rôle fondamental que peut jouer la végétalisation pour une reconquête paysagère, pour la requalification, la structuration ou tout simplement l'embellissement de ces lieux qui s'émaillent souvent d'espaces "résiduels" peu ou mal utilisés. Un certain nombre de solutions pour l'amélioration des abords de ces voies sont ensuite proposées, sans s'arrêter forcément aux emprises publiques.
  287. Edition (Ceremadoc) Végétal et entrées de villes. Compositions paysagères autour des grandes voiries : Végétal et entrées de villes pages 93 à 104

    Les abords des grandes voiries en périphérie d'agglomération présentent souvent un aspect désagréable ou déqualifié : abords délaissés ou dégradés, désordre urbanistique et architectural, agressivités commerciales ou publicitaires... La réflexion menée sur les entrées de ville sert, entre autres, de base à ce document. Après avoir abordé la problématique des entrées de ville, espaces souvent lâches ou mal structurés, alors qu'elles sont des lieux stratégiques pour la qualité du paysage urbain, cet ouvrage rappelle le rôle fondamental que peut jouer la végétalisation pour une reconquête paysagère, pour la requalification, la structuration ou tout simplement l'embellissement de ces lieux qui s'émaillent souvent d'espaces "résiduels" peu ou mal utilisés. Un certain nombre de solutions pour l'amélioration des abords de ces voies sont ensuite proposées, sans s'arrêter forcément aux emprises publiques.
  288. Edition (Ceremadoc) Végétal et entrées de villes. Compositions paysagères autour des grandes voiries : Végétal et entrées de villes pages 63 à 76

    Les abords des grandes voiries en périphérie d'agglomération présentent souvent un aspect désagréable ou déqualifié : abords délaissés ou dégradés, désordre urbanistique et architectural, agressivités commerciales ou publicitaires... La réflexion menée sur les entrées de ville sert, entre autres, de base à ce document. Après avoir abordé la problématique des entrées de ville, espaces souvent lâches ou mal structurés, alors qu'elles sont des lieux stratégiques pour la qualité du paysage urbain, cet ouvrage rappelle le rôle fondamental que peut jouer la végétalisation pour une reconquête paysagère, pour la requalification, la structuration ou tout simplement l'embellissement de ces lieux qui s'émaillent souvent d'espaces "résiduels" peu ou mal utilisés. Un certain nombre de solutions pour l'amélioration des abords de ces voies sont ensuite proposées, sans s'arrêter forcément aux emprises publiques.
  289. Edition (Ceremadoc) Végétal et entrées de villes. Compositions paysagères autour des grandes voiries : Végétal et entrées de villes pages 77 à 92

    Les abords des grandes voiries en périphérie d'agglomération présentent souvent un aspect désagréable ou déqualifié : abords délaissés ou dégradés, désordre urbanistique et architectural, agressivités commerciales ou publicitaires... La réflexion menée sur les entrées de ville sert, entre autres, de base à ce document. Après avoir abordé la problématique des entrées de ville, espaces souvent lâches ou mal structurés, alors qu'elles sont des lieux stratégiques pour la qualité du paysage urbain, cet ouvrage rappelle le rôle fondamental que peut jouer la végétalisation pour une reconquête paysagère, pour la requalification, la structuration ou tout simplement l'embellissement de ces lieux qui s'émaillent souvent d'espaces "résiduels" peu ou mal utilisés. Un certain nombre de solutions pour l'amélioration des abords de ces voies sont ensuite proposées, sans s'arrêter forcément aux emprises publiques.
  290. Edition (Ceremadoc) AUBE. Aménagement, urbanisme, biodiversité, éclairage. Fiche n° 7 : Améliorer l’acceptabilité de la modulation de l’éclairage grâce à la participation citoyenne, la concertation et la co-construction

    Une modulation ou extinction de l’éclairage public permet de réduire les consommations énergétiques, améliorer la visibilité du ciel nocturne et limiter les impacts de la lumière sur la biodiversité. Cependant, une telle démarche est parfois redoutée par les bénéficiaires de ce service, pour des raisons variées. Pour aboutir, elle doit donc prendre en compte les usages, besoins et aspirations, afin de trouver le bon compromis entre service public, facture énergétique, préservation de la biodiversité et du ciel nocturne. Cette fiche explore les enjeux et pistes d’actions possibles pour une telle approche.
  291. Edition (Ceremadoc) Mémento des ouvrages de protection contre les éboulements rocheux : Maintenance et coûts

    La maintenance des ouvrages de protection contre les chutes de blocs est un sujet de préoccupation important pour les maitres d’ouvrages. Le maitre d’ouvrage trouvera dans ce guide des éléments de réponses, des pistes de réflexion sur cette problématique, lui permettant d’engager ou d’améliorer sa propre réflexion. Ce guide est complémentaire à l’ensemble des guides techniques existants sur les ouvrages de protections contre les risques rocheux. Il s’appuie sur la littérature existante et présente les avancées/progrès/évolutions du domaine pour chaque type ouvrage. Il s’adresse aux maitres d’ouvrages désireux de trouver dans un document unique l’ensemble des informations techniques, règlementaires, financières… essentielles sur un ouvrage utilisé pour la protection contre les chutes de blocs. Ce mémento a été rédigé par des maitres d’ouvrages pour permettre à d’autres maitres d’ouvrages de s’initier à ce domaine et ainsi développer une vision commune.
  292. Edition (Ceremadoc) Les passages à faune. Préserver et restaurer les continuités écologiques avec les infrastructures linéaires de transport

    L’érosion de la biodiversité s’accélère en France comme ailleurs. La France est le 5e pays d’Europe abritant le plus grand nombre d’espèces de faune et de flore mondialement menacées. Parmi les causes de destruction de la biodiversité figurent la disparition et la fragmentation des écosystèmes induites par les infrastructures de transport terrestre telles que les autoroutes ou les LGV. La diminution de l’impact de ces infrastructures sur la biodiversité passe par le maintien des continuités écologiques existantes lors de la conception de nouveaux projets mais aussi par la restauration des fonctionnalités écologiques anciennement interrompues lors de la construction des infrastructures existantes. Les solutions étudiées prennent notamment la forme de passages à faune ou d’aménagement de dépendances vertes. Très richement illustré, ce guide très complet a pour objet d’aider et de faciliter la prise en compte de ces enjeux lors des différents projets d’aménagement d’infrastructures linéaires de transport. Il constitue notamment une réactualisation des anciens guides de référence Passages pour la grande faune, SETRA, 1993 et Aménagements et mesures pour la petite faune, SETRA, 2005. Il s’adresse aux opérateurs d’infrastructures mais plus largement à ceux qui sont concernés par la préservation de la biodiversité dans un contexte de développement des infrastructures de transport.
  293. Edition (Ceremadoc) Zones humides et projets d'infrastructures de transport linéaires - Caractérisation et délimitation des milieux

    La préservation et la gestion durable des zones humides apparaît aujourd'hui clairement comme un enjeu majeur de la politique publique en matière d'environnement. C'est pourquoi, au titre du code de l'environnement (art.L.210-1), les gestionnaires des infrastructures de transport linéaires doivent veiller à leur non dégradation lors de la réalisation de leurs projets. La sauvegarde de ces milieux nécessite leur identification. Cependant, les zones humides peuvent être de faible ampleur ou très anthropisées, ce qui rend leur reconnaissance délicate. À la demande de maîtres d'ouvrages, la méthodologie développée et proposée dans ce guide fournit les clés de caractérisation et de délimitation de ces zones humides de faible ampleur. Elle se base sur les critères définis par la règlementation et passe par des investigations de terrain, constituant les données de base à la reconnaissance de ces milieux. Des fiches de cas, basées sur les retours d'expérience de l'application de cette méthodologie à des cas réels, montrent l'intérêt des investigations de terrain pour répondre aux objectifs de délimitation en fournissant les informations complémentaires à la synthèse documentaire. Ces investigations de terrain permettent de situer la zone humide dans son bassin d'alimentation et d'appréhender son intérêt dans le fonctionnement global de l'environnement. Préambule Objectifs du guide Contexte réglementaire Fondements juridiques Définition réglementaire du critère pédologique Définition réglementaire du critère de végétation Mise en relation des critères et règles de délimitation sur le terrain Démarche de caractérisation et de délimitation Recherche documentaire Méthodologie de terrain de caractérisation et de délimitation des zones humides Fonctionnement des zones humides Fonctions et valeurs des zones humides Fiches de cas Conclusion Documents de références Glossaire
  294. Edition (Ceremadoc) Vulnérabilité du territoire national aux risques littoraux - Synthèse nationale

    Cette étude, pilotée par le Direction technique Eau, mer et fleuves et réalisée en collaboration avec le DTerMed et le DTerOuest, fait une synthèse nationale des connaissances actuelles sur les risques littoraux (érosion des côtes basses meubles et des falaises, avancées dunaires, submersion marine) et établit une représentation cartographique simple des zones actuellement vulnérables aux risques littoraux en France. L’étude est ainsi déclinée en deux parties : une synthèse bibliographique d’une part et la définition de méthodes permettant de quantifier la vulnérabilité à partir d’indicateurs cartographiques d’autre part. Cette troisième phase d’étude fait une synthèse nationale. 1 RÉSUMÉ 2 INTRODUCTION 3 INDICATEURS DE VULNÉRABILITÉ AUX RISQUES LITTORAUX 3.1 Niveau de connaissance de la vulnérabilité aux risques littoraux 3.2 Zones basses 3.3 Arrêtés de reconnaissance de l'état de catastrophe naturelle (CAT-NAT) liés à la mer 3.4 Atlas de Zones Inondables et Plans de Prévention liés à la mer 3.5 Enjeux situés dans les zones basses 3.5.1 Les bâtiments 3.5.2 Les infrastructures de transport 3.5.3 Les exploitations industrielles 3.5.4 Les espaces naturels protégés 3.5.5 Conclusion sur les enjeux 3.6 Indicateurs croisés 3.6.1 Indicateur IBC 3.6.2 Indicateur IB 3.6.3 Conclusion sur les indicateurs croisés 4 CONCLUSION 5 BIBLIOGRAPHIE
  295. Edition (Ceremadoc) Vulnérabilités et risques : les infrastructures de transport face au climat

    La méthode d’analyse de risque nécessite : • de définir et d’analyser les aléas pouvant impacter les infrastructures. Les aléas retenus comme potentiellement impactant sont ensuite notés sur la base de leurs caractéristiques ; • de décomposer les réseaux de transport étudiés en plus petites entités : systèmes (tunnel, pont, etc.) et composants (câble, etc.). L’étude des facteurs de vulnérabilité physique des réseaux, systèmes et composants permet alors de leur affecter une note de vulnérabilité ; • de définir puis noter la criticité fonctionnelle du réseau étudié, qui est obtenue en croisant les enjeux du réseau avec ses caractéristiques. Le croisement des notes d’aléas, de vulnérabilité physique et de criticité fonctionnelle permet de définir pour chaque système ou composant, un niveau de risque. Une telle analyse découle d’un processus itératif : le nombre d’itération dépend de la finesse attendue des résultats et donc, des objectifs de l’analyse. À l’issue de l’analyse, diverses stratégies et mesures de traitement du risque peuvent être mises en oeuvre. IntroductionChapitre 1 - Méthodologie générale de l’analyse de risque et principaux concepts 1.1 - Concepts et définitions 1.2 - Approche méthodologique pour l’analyse de risque 1.3 - Liens avec les stratégies et mesures de protectionChapitre 2 - Cadre organisationnel du management du risque 2.1 - Cadre général 2.2 - Contextualisation de la démarche 2.3 - Premiers éléments de mise en oeuvre de la démarcheChapitre 3 - Comment caractériser les aléas ? 3.1 - Connaître les aléas climatiques et leurs évolutions attendues dans le cadre du changement climatique 3.2 - Choix des aléas 3.3 - Caractérisation des aléas retenus 3.4 - Notation des aléas 3.5 - Références bibliographiques et cartographiques nécessaires à la caractérisation des aléas.Chapitre 4 - Comment caractériser la vulnérabilité physique d’un réseau de transport ? 4.1 - Notions de vulnérabilité physique et de criticité physique 4.2 - Découpage du réseau de transport étudié en systèmes ponctuels de transport et composants 4.3 - Vérification de la vulnérabilité du réseau face à un aléaChapitre 5 - Comment évaluer la vulnérabilité fonctionnelle d’un réseau de transport ? 5.1 - Fonctions d’un réseau de transport 5.2 - Principes de l’analyse de criticité fonctionnelle 5.3 - Mener une analyse de criticité fonctionnelleChapitre 6 - Réalisation de l’analyse de risque 6.1 - Présentation de la méthode d’analyse de risque 6.2 - Réalisation des matrices de criticité physique et de risque 6.3 - Vers une cartographie des risques : confrontation des données « transport » aux données « climat » en utilisant la matrice des risques choisieAnnexes Annexe 1 - Acronymes Annexe 2 - Glossaire Annexe 3 - Bibliographie Annexe 4 - Groupe de rédaction
  296. Edition (Ceremadoc) Vulnérabilité du territoire national aux risques littoraux - France métropolitaine

    Cette étude, pilotée par le Direction technique Eau, mer et fleuves et réalisée en collaboration avec le DTerMed et le DTerOuest, fait une synthèse nationale des connaissances actuelles sur les risques littoraux (érosion des côtes basses meubles et des falaises, avancées dunaires, submersion marine) et établit une représentation cartographique simple des zones actuellement vulnérables aux risques littoraux en France. L’étude est ainsi déclinée en deux parties : une synthèse bibliographique d’une part et la définition de méthodes permettant de quantifier la vulnérabilité à partir d’indicateurs cartographiques d’autre part.Cette première phase d’étude porte sur la métropole. 1. INTRODUCTION 1.1 Contexte 1.2 Objectifs de l'étude 1.3 Terminologie employée 2. SYNTHÈSE BIBLIOGRAPHIQUE 2.1 Objectifs et méthodologie de la synthèse bibliographique 2.2 Synthèses régionales 2.2.1 Nord-Pas-de-Calais 2.2.2 Picardie 2.2.3 Haute-Normandie 2.2.4 Basse-Normandie 2.2.5 Bretagne 2.2.6 Pays de La Loire 2.2.7 Poitou-Charentes 2.2.8 Aquitaine 2.2.9 Languedoc-Roussillon 2.2.10 PACA 2.2.11 Corse 3. INDICATEURS DE VULNÉRABILITÉ AUX RISQUES LITTORAUX 3.1 Niveau de connaissance de la vulnérabilité aux risques littoraux 3.1.1 Description des données utilisées 3.1.2 Exploitation méthodologique 3.1.3 Résultats et analyse 3.1.4 Limites de l'indicateur 3.2 Zones basses 3.2.1 Description des données utilisées 3.2.2 Exploitation méthodologique 3.2.3 Résultats et analyse 3.2.4 Critiques de l'indicateur 3.3 Arrêtés de reconnaissance de l'état de catastrophes naturelles (CAT-NAT) liés à la mer 3.3.1 Description de la donnée utilisée 3.3.2 Exploitation méthodologique 3.3.3 Résultats et analyse 3.3.4 Critiques de l'indicateur 3.4 Atlas de Zones Inondables et Plans de Prévention liés à la mer 3.4.1 Description de la donnée utilisée 3.4.2 Exploitation méthodologique 3.4.3 Résultats et analyse 3.4.4 Critiques de l'indicateur 3.5 Enjeux situés dans les zones basses 3.5.1 Description de la donnée utilisée 3.5.2 Exploitation méthodologique 3.5.3 Résultats et analyse 3.5.4 Limites des indicateurs 3.6 Indicateur croisé IBC 3.6.1 Description des données utilisées 3.6.2 Exploitation méthodologique 3.6.3 Résultats et analyse 3.6.4 Critique de l'indicateur croisé 4. CONCLUSION 5. BIBLIOGRAPHIE 5.1 Rapports d'études 5.2 Sites internet consultés
  297. Edition (Ceremadoc) Vulnérabilité du territoire national aux risques littoraux - Outre-Mer

    Cette étude, pilotée par le Direction technique Eau, mer et fleuves et réalisée en collaboration avec le DTerMed et le DTerOuest, fait une synthèse nationale des connaissances actuelles sur les risques littoraux (érosion des côtes basses meubles et des falaises, avancées dunaires, submersion marine) et établit une représentation cartographique simple des zones actuellement vulnérables aux risques littoraux en France. L’étude est ainsi déclinée en deux parties : une synthèse bibliographique d’une part et la définition de méthodes permettant de quantifier la vulnérabilité à partir d’indicateurs cartographiques d’autre part.Cette deuxième phase d’étude porte sur l’Outre-mer 1 INTRODUCTION 1.1 Contexte 1.2 Objectifs de l'étude 2 SYNTHÈSE BIBLIOGRAPHIQUE 2.1 Objectifs de la synthèse bibliographique 2.2 Synthèses régionales 2.2.1 Guadeloupe (971) 2.2.2 Martinique (972) 2.2.3 Guyane (973) 2.2.4 Réunion (974) 2.2.5 Saint-Pierre et Miquelon (975) 2.2.6 Mayotte (976) 2.2.7 Wallis et Futuna (986) 2.2.8 Polynésie Française (987) 2.2.9 Nouvelle-Calédonie (988) 3 INDICATEURS DE VULNÉRABILITÉ AUX RISQUES LITTORAUX 3.1 Niveau de connaissance de la vulnérabilité aux risques littoraux 3.1.1 Description des données utilisées 3.1.2 Exploitation méthodologique 3.1.3 Résultats et analyse 3.1.4 Limites de l'indicateur 3.2 Zones basses 3.2.1 Description des données utilisées 3.2.2 Exploitation méthodologique 3.2.3 Résultats et analyse 3.2.4 Limites de l'indicateur 3.3 Arrêtés de reconnaissance de l'état de catastrophe naturelle (CAT-NAT) liés à la mer 3.3.1 Description des données utilisées 3.3.2 Exploitation méthodologique 3.3.3 Résultats et analyse 3.3.4 Limites de l'indicateur 3.4 Atlas de Zones Inondables et Plans de Prévention liés à la mer 3.4.1 Description des données utilisées 3.4.2 Exploitation méthodologique 3.4.3 Résultats et analyse 3.4.4 Limites de l'indicateur 3.5 Enjeux situés dans les zones basses 3.5.1 Description des données utilisées 3.5.2 Exploitation méthodologique 3.5.3 Résultats et analyse 3.5.4 Limites des indicateurs 3.6 Indicateurs croisés 3.6.1 Description des données utilisées 3.6.2 Exploitation méthodologique 3.6.3 Résultats et analyse 3.6.4 Limites des indicateurs 4 CONCLUSION 5 BIBLIOGRAPHIEListe des annexes : Annexe 1 : Liste des études retenues pour la synthèse bibliographique Annexe 2 : Fiches études Annexe 3 : Présentation des bases de données Annexe 4 : Produits dérivés du MNT BD Topo® (Zones Basses) Annexe 5 : Méthode de traitement du MNT Annexe 6 : Choix des niveaux marins de référence Annexe 7 : Méthode de détermination des Zones Basses Annexe 8 : Géocodage des données GASPAR CATNAT sous MapInfo Annexe 9 : Nombre d'arrêtés de catastrophes naturelles par région Annexe 10 : Méthodologie et traitement des données des Plans de Prévention des Risques Littoraux et des Atlas de Zones Inondables sous MapInfo Annexe 11 : Méthodologie de détermination des enjeux Annexe 12 : Tableaux des enjeux Annexe 13 : Méthodologie de détermination de l'indicateur croisé de vulnérabilité aux risques littoraux IBC sous MapInfo Annexe 14 : Cartographies produites
  298. Edition (Ceremadoc) Zonage pluvial : De son élaboration à sa mise en œuvre

    VOIR LA BANDE-ANNONCE >>>>>> L’artificialisation des sols favorise le ruissellement des eaux de pluie et donc potentiellement les inondations, limite leur infiltration dans le sol et le sous-sol et engendre des pollutions des milieux aquatiques. Pour lutter contre ce problème qui devient crucial avec le changement climatique, le zonage pluvial est un levier qui permet aux collectivités d’agir sur la maîtrise de l’imperméabilisation des sols, l’écoulement des eaux pluviales et des pollutions associées. En effet, il constitue un outil d’aide à la décision pour définir et faire appliquer les orientations politiques en matière de gestion des eaux pluviales et des eaux de ruissellement en favorisant la gestion à la source. Véritable guide méthodologique, cet ouvrage réalisé par le Cerema offre aux collectivités toutes les connaissances nécessaires à l’élaboration de leur zonage pluvial. Il s’appuie sur les expériences concrètes afin de les aider à déployer cet outil sur l’ensemble du territoire qu’il soit urbain ou rural. Zonage pluvial - De son élaboration à sa mise en œuvre Préface1 Connaître le zonage pluvial 1.1 Qu'est-ce que le zonage pluvial ? 1.2 Quels objectifs vise le zonage pluvial ? 1.3 Qui est responsable de l'élaboration du zonage pluvial ? 1.4 Sur quel périmètre est élaboré le zonage pluvial ? 1.5 À quelle échéance doit être approuvé le zonage pluvial ? 1.6 Quelle démarche et quelle procédure pour élaborer le zonage ? 1.7 Un zonage, combien ça coûte ? 1.8 Synthèse : connaître le zonage pluvial2 Réaliser la phase d’état des lieux et de diagnostic 2.1 Quels sont les contextes politique, organisationnel et réglementaire du territoire ? 2.2 Quel est le fonctionnement hydrologique du territoire ? 2.3 Quel est l’état des réseaux et des ouvrages ? 2.4 Quelles sont les caractéristiques du territoire associées à l’urbanisation ? 2.5 Quelle est la vulnérabilité des milieux aux pollutions générées par les eaux pluviales ? 2.6 Quels sont les coûts et modes de financement de la gestion des eaux pluviales ? 2.7 Synthèse : réaliser la phase d'état des lieux et de diagnostic3 Élaborer le zonage pluvial 3.1 Des choix préalables 3.2 Des solutions à définir pour répondre… 3.3 Des solutions présentées par thématiques adaptées au contexte et au changement climatique… 3.4 Cartographie du zonage pluvial 3.5 Synthèse : élaborer le zonage pluvial4 Approuver et accompagner le zonage pluvial 4.1 Évaluation environnementale : comment se mène l’examen au cas par cas ? 4.2 Comment conduire l’enquête publique ? 4.3 Qui approuve le zonage et comment ? 4.4 Comment intégrer le zonage dans le PLU(i) et autres règlements ? 4.5 Comment accompagner la mise en oeuvre du zonage ? 4.6 Comment suivre et évaluer le zonage pluvial ? 4.7 Comment réviser le zonage ? 4.8 Synthèse : approuver et accompagner le zonage pluvialBibliographie Liste de sigles Glossaire Liste des figures Liste des tableauxTable des matières
  299. Edition (Ceremadoc) Urban Resilience and Crisis Management : Workshop in Lyon, from 28 to 30 September 2016

    From 28 to 30 September 2016, a Franco-German seminar on urban resilience and crisis management was held in Lyon. This seminar brought together scientists, experts and public policy practitioners from France and Germany to tackle in an interdisciplinary and collective way the complex situations that generate or result from crises, the very many fields that need to be invested in to improve resilience, the integration of populations with challenges to be met, and the use of new technologies. Very practical questions were then dealt with, such as how to form a network by weaving a kind of web between French and German organisations Among the ideas that have emerged are the need to develop cross-sectoral approaches, the need to be attentive to cross-border issues, the mobilisation of new technologies, the issue of critical infrastructure and the value of rethinking security, taking new energies into account. The Lyon seminar opens up a major project for developing the prevention of urban crises by sharing knowledge and experience between the two European countries. Introduction P A R T O N E Workshope rationale and scope Urban systems The concept of resilience Themes and principles P A R T T W O Workshop outline Intention and objectives Format and organization At a glance: working group sessions Schedule and agenda Working group sessions and composition P A R T T H R E E Session results / Session report Session 1: Identify changes in the status quo (SWAP-Analysis) Session 2: Identifying options for future collaboration Session 3: Formulating vision statement (LAPCO) Session 4: Drafting a future road map P A R T F O U R Presentations The Atlas Of Vulnerability and Resilience The Mont-Blanc Tunnel Fire, resilient issues 17 years on European activites in the field of industrial safety and security Conclusion Appendices List of participants Recommended Reading
  300. Edition (Ceremadoc) Valorisation des territoires à l'occasion d'un projet routier - L'exemple du 1% Paysage et Développement : Note d'Information - Économie Environnement Conception - Série(EEC)

    A partir d’exemples concrets, cette note d’information présente des actions ou des démarches locales mises en oeuvre sous l’impulsion de la politique "1 % Paysage et Développement" ayant eu un impact favorable sur les paysages et le développement des communes traversées, et générant par la suite d’autres dynamiques de projets. Avant-propos La politique nationale du 1 % Paysage et Développement Exemples d'actions et de dynamiques créés par la politique du 1 % Paysage et Développement Faire participer l'autoroute A75 à la revalorisation du site de Saint-Flour Impulsion pour la rénovation des remparts de La Cavalerie le long de l'A75 Favoriser l'émergence de projets tout au long de l'itinéraire : actions ponctuelles devalorisation sur les tronçons concédés de l'A28 et A85 Conclusion Bibliographie
  301. Edition (Ceremadoc) Végétal et entrées de villes. Compositions paysagères autour des grandes voiries : Végétal et entrées de villes pages 33 à 48

    Les abords des grandes voiries en périphérie d'agglomération présentent souvent un aspect désagréable ou déqualifié : abords délaissés ou dégradés, désordre urbanistique et architectural, agressivités commerciales ou publicitaires... La réflexion menée sur les entrées de ville sert, entre autres, de base à ce document. Après avoir abordé la problématique des entrées de ville, espaces souvent lâches ou mal structurés, alors qu'elles sont des lieux stratégiques pour la qualité du paysage urbain, cet ouvrage rappelle le rôle fondamental que peut jouer la végétalisation pour une reconquête paysagère, pour la requalification, la structuration ou tout simplement l'embellissement de ces lieux qui s'émaillent souvent d'espaces "résiduels" peu ou mal utilisés. Un certain nombre de solutions pour l'amélioration des abords de ces voies sont ensuite proposées, sans s'arrêter forcément aux emprises publiques.
  302. Edition (Ceremadoc) Végétal et entrées de villes. Compositions paysagères autour des grandes voiries : Végétal et entrées de villes pages 49 à 62

    Les abords des grandes voiries en périphérie d'agglomération présentent souvent un aspect désagréable ou déqualifié : abords délaissés ou dégradés, désordre urbanistique et architectural, agressivités commerciales ou publicitaires... La réflexion menée sur les entrées de ville sert, entre autres, de base à ce document. Après avoir abordé la problématique des entrées de ville, espaces souvent lâches ou mal structurés, alors qu'elles sont des lieux stratégiques pour la qualité du paysage urbain, cet ouvrage rappelle le rôle fondamental que peut jouer la végétalisation pour une reconquête paysagère, pour la requalification, la structuration ou tout simplement l'embellissement de ces lieux qui s'émaillent souvent d'espaces "résiduels" peu ou mal utilisés. Un certain nombre de solutions pour l'amélioration des abords de ces voies sont ensuite proposées, sans s'arrêter forcément aux emprises publiques.
  303. Edition (Ceremadoc) Végétal et entrées de villes. Compositions paysagères autour des grandes voiries : Végétal et entrées de villes pages 117 à la fin

    Les abords des grandes voiries en périphérie d'agglomération présentent souvent un aspect désagréable ou déqualifié : abords délaissés ou dégradés, désordre urbanistique et architectural, agressivités commerciales ou publicitaires... La réflexion menée sur les entrées de ville sert, entre autres, de base à ce document. Après avoir abordé la problématique des entrées de ville, espaces souvent lâches ou mal structurés, alors qu'elles sont des lieux stratégiques pour la qualité du paysage urbain, cet ouvrage rappelle le rôle fondamental que peut jouer la végétalisation pour une reconquête paysagère, pour la requalification, la structuration ou tout simplement l'embellissement de ces lieux qui s'émaillent souvent d'espaces "résiduels" peu ou mal utilisés. Un certain nombre de solutions pour l'amélioration des abords de ces voies sont ensuite proposées, sans s'arrêter forcément aux emprises publiques.
  304. Edition (Ceremadoc) PLU et production d'énergie. Série de fiches : Fiche n°3 : PLU, solaire photovoltaïque et solaire thermique

    Les présentes fiches « PLU et production d’énergie » traitent de l’implantation en milieu urbain de systèmes techniques de production d’énergie à partir de sources renouvelables. Elles constituent un état des lieux des leviers du PLU à disposition mais ne proposent pas d’exemples de rédaction.
  305. Edition (Ceremadoc) PLU, évaluation environnementale. Série de fiches : Pj 12 (plu) - des secteurs de développement conditionnés par l'avifaune - st symphorien

    La Directive européenne « Plans Programmes » 2001/42 du 27 juin 2001 a été traduite en droit français par l'Ordonnance du 03 juin 2004 et les décrets du 27 mai 2005. Ainsi, certains Plan Local d'Urbanisme (PLU) susceptibles d'avoir des effets notables sur l'environnement doivent comporter une évaluation environnementale. Le rapport de présentation de ces PLU doit notamment, en plus des obligations générales communes à tous les PLU, présenter les mesures envisagées pour éviter, réduire et, si possible, compenser les conséquences dommageables de la mise en œuvre du plan. Ce sont ces types de mesures d'évitement, de correction ou de réduction, voire de compensation, ainsi que les mesures de conservations prises en complément, qui ont guidé le travail du Certu et du Cete Méditerranée dans l'étude de 6 cas et la réalisation de 7 fiches de cas PLU correspondantes. D'autres fiches de cas sont disponibles sur les Thématique Déplacements et Thématique Paysage.
  306. Edition (Ceremadoc) Pratiques de développement durable dans le bâtiment en France. Campagne d’évaluations 2006-2009. 30 opérations : Bpdd 1 : Notre Dame de Gravenchon (76)

    De nombreux bâtiments sont réputés « durables » (certifications HQE, Habitat Environnement...) ou affichent des performances, labels de nature énergétique sans que l'on ne sache : les qualités ou caractéristiques de ces bâtiments au moment de leur construction (les choix effectués) ou les performances réellement atteintes (par exemple sur le plan énergétique) ; comment ces bâtiments évoluent : fonctionnement, consommations, usages, lien avec la ville... Dans cette perspective, le ministère de l'écologie, du Développement durable, des transports et du logement a mené une campagne entre 2006 et 2010 d'analyses de 30 opérations de tous types, logements, bureaux, établissements scolaires, équipements sportifs...Il s'agit d'identifier, de présenter, d'évaluer des bâtiments présentant des progrès significatifs dans un domaine particulier (énergétique, économique, mais aussi évolutivité, usage, santé, eau...). A cet effet le CERTU, les CETEs et le CSTB, réunis dans un comité technique d'experts, ont développé des outils de référence : un guide de questionnement pour l'analyse et une fiche de restitution. Le travail de terrain a été assuré par un réseau d'expertise issu des spécialistes « Construction et Développement durable » des CETEs. Ces bâtiments (logements, équipements, tertiaire) devait être en service depuis au moins un an afin d'apprécier leurs performances réelles en exploitation et vis-à-vis de l'usage. Les réalisations ont été choisies autant sur leurs performances que sur la cohérence et la maîtrise des ambitions de durabilité depuis le programme jusqu'à la mise en service et la vie de l'équipement. À l'heure où les professionnels, et notamment les maîtres d'ouvrage, s'interrogent encore sur la viabilité économique de tels projets, mais aussi sur la manière la plus efficace de les mener, il s'agit de démythifier le coût du développement durable et de généraliser le progrès. Ainsi ont été établies 30 fiches monographiques mettant en avant les points forts de chaque opération selon cinq thèmes emblématiques des pratiques professionnelles liées au développement durable appliqué au bâtiment : gouvernance ; qualité urbaine, qualité d'usage, qualité environnementale, économie.
  307. Edition (Ceremadoc) Pratiques de développement durable dans le bâtiment en France. Campagne d’évaluations 2006-2009. 30 opérations : Bpdd 14 : Piscine de Villenave d’Ornon (33)

    De nombreux bâtiments sont réputés « durables » (certifications HQE, Habitat Environnement...) ou affichent des performances, labels de nature énergétique sans que l'on ne sache : les qualités ou caractéristiques de ces bâtiments au moment de leur construction (les choix effectués) ou les performances réellement atteintes (par exemple sur le plan énergétique) ; comment ces bâtiments évoluent : fonctionnement, consommations, usages, lien avec la ville... Dans cette perspective, le ministère de l'écologie, du Développement durable, des transports et du logement a mené une campagne entre 2006 et 2010 d'analyses de 30 opérations de tous types, logements, bureaux, établissements scolaires, équipements sportifs...Il s'agit d'identifier, de présenter, d'évaluer des bâtiments présentant des progrès significatifs dans un domaine particulier (énergétique, économique, mais aussi évolutivité, usage, santé, eau...). A cet effet le CERTU, les CETEs et le CSTB, réunis dans un comité technique d'experts, ont développé des outils de référence : un guide de questionnement pour l'analyse et une fiche de restitution. Le travail de terrain a été assuré par un réseau d'expertise issu des spécialistes « Construction et Développement durable » des CETEs. Ces bâtiments (logements, équipements, tertiaire) devait être en service depuis au moins un an afin d'apprécier leurs performances réelles en exploitation et vis-à-vis de l'usage. Les réalisations ont été choisies autant sur leurs performances que sur la cohérence et la maîtrise des ambitions de durabilité depuis le programme jusqu'à la mise en service et la vie de l'équipement. À l'heure où les professionnels, et notamment les maîtres d'ouvrage, s'interrogent encore sur la viabilité économique de tels projets, mais aussi sur la manière la plus efficace de les mener, il s'agit de démythifier le coût du développement durable et de généraliser le progrès. Ainsi ont été établies 30 fiches monographiques mettant en avant les points forts de chaque opération selon cinq thèmes emblématiques des pratiques professionnelles liées au développement durable appliqué au bâtiment : gouvernance ; qualité urbaine, qualité d'usage, qualité environnementale, économie.
  308. Edition (Ceremadoc) Pollution (la) des sols et des végétaux à proximité des routes : Note d'Information - Économie Environnement Conception - Série(EEC) N° 73

    La réalisation de bilans aux abords des infrastructures est difficile en raison de la multiplicité des sources de pollution et en l'absence de normes françaises. Pourtant, ces bilans de pollution sont nécessaires à la réalisation des études d'impacts "sol" rendues obligatoires par le décret n°93-245 du 25 février 1993, qui précise la notion d'environnement et transpose en droit interne les prescription de la directive CEE n°85-337du 27 juin 1985 concernant l'évaluation des incidences de certains projets publics et privés sur l'environnement.Cette note d'information a pour objectif de fournir des références et des éléments pour faciliter la réalisation des études d'impact "sol", et plus précisément, pour permettre la prise en compte de la pollution atmosphérique de proximité par les éléments traces métalliques, autrefois désignés métaux lourds.Les études sur lesquelles cette note d'information s'appuie ont été réalisées sur des voies supportant des trafics de référence allant de 20 000 à 80 000 véhicules par jour. Les éléments traces métalliques Éléments pour la réalisation des études d'impacts sol Mesures envisageables
  309. Edition (Ceremadoc) Pratiques de développement durable dans le bâtiment en France. Campagne d’évaluations 2006-2009. 30 opérations : Bpdd 10 : Cuisine centrale (76)

    De nombreux bâtiments sont réputés « durables » (certifications HQE, Habitat Environnement...) ou affichent des performances, labels de nature énergétique sans que l'on ne sache : les qualités ou caractéristiques de ces bâtiments au moment de leur construction (les choix effectués) ou les performances réellement atteintes (par exemple sur le plan énergétique) ; comment ces bâtiments évoluent : fonctionnement, consommations, usages, lien avec la ville... Dans cette perspective, le ministère de l'écologie, du Développement durable, des transports et du logement a mené une campagne entre 2006 et 2010 d'analyses de 30 opérations de tous types, logements, bureaux, établissements scolaires, équipements sportifs...Il s'agit d'identifier, de présenter, d'évaluer des bâtiments présentant des progrès significatifs dans un domaine particulier (énergétique, économique, mais aussi évolutivité, usage, santé, eau...). A cet effet le CERTU, les CETEs et le CSTB, réunis dans un comité technique d'experts, ont développé des outils de référence : un guide de questionnement pour l'analyse et une fiche de restitution. Le travail de terrain a été assuré par un réseau d'expertise issu des spécialistes « Construction et Développement durable » des CETEs. Ces bâtiments (logements, équipements, tertiaire) devait être en service depuis au moins un an afin d'apprécier leurs performances réelles en exploitation et vis-à-vis de l'usage. Les réalisations ont été choisies autant sur leurs performances que sur la cohérence et la maîtrise des ambitions de durabilité depuis le programme jusqu'à la mise en service et la vie de l'équipement. À l'heure où les professionnels, et notamment les maîtres d'ouvrage, s'interrogent encore sur la viabilité économique de tels projets, mais aussi sur la manière la plus efficace de les mener, il s'agit de démythifier le coût du développement durable et de généraliser le progrès. Ainsi ont été établies 30 fiches monographiques mettant en avant les points forts de chaque opération selon cinq thèmes emblématiques des pratiques professionnelles liées au développement durable appliqué au bâtiment : gouvernance ; qualité urbaine, qualité d'usage, qualité environnementale, économie.
  310. Edition (Ceremadoc) Road noise prediction : 2 - -Noise propagation computation method including meteorolgical effects(NMPB 2008)

    The NMPB-Roads-2008 is the French road noise prediction method leading on from the NMPB-Roads-1996. It is designed for both road project impact studies and for noise mapping in application of Directive 2002/49/EC. This document is intended for both users (design offices, State departments) and software program publishers. It specifies the breakdown of a linear infrastructure into point sources, the micrometeorological characterisation of a site, the search for elementary trajectories and the calculation of the attenuation in an elementary trajectory. The probabilities of occurrence of favourable conditions are tabulated for 41 stations spread across France. Foreword Introduction Definitions and notations Method overview Description of the source Taking the micrometeorology into account Propagation analysis Calculations in an elementary path Bibliography A- Calculation method flow chart B- Occurrence values and maps of downward-refraction conditions for France C- Meteorology and sound propagation D- Meteorological analysis of an acoustic situation E- Geometric aspects F- Dealing with special elements G- Validation elements H- Description of the sites of the experimental campaigns I- Sample NMPB-Roads-2008 applications J- From the NMPB-Roads-96 to the NMPB-Roads-2008
  311. Edition (Ceremadoc) Route et paysage

    La première partie de ce guide présente le cadre général d'intervention, la politique en matière de route et de paysage, puis la démarche globale d'aménagement. La deuxième partie présente pour chaque mission, les objectifs, la méthode de travail, le type de documents à remettre et les bases de rémunération. La présentation des missions reprend le cadre des phases successives d'élaboration du projet routier, depuis l'analyse de l'état initial, les études préalables au choix du tracé, le choix du tracé, la communication, la mise au point du projet.
  312. Edition (Ceremadoc) Routes et chiroptères : Synthèse

    La France métropolitaine compte 33 espèces de chiroptères, communément appelés chauves-souris, toutes protégées au titre de la loi. Elles bénéficient également d’un statut de protection international (Conventions de Bonn, de Berne, accord Eurobats, espèces d’intérêt communautaire). En 2007, un plan national de restauration des chiroptères a été lancé pour la période 2008-2012. Parmi les actions de ce plan, le Sétra a été chargé de conduire : ● l’élaboration et la mise en œuvre d’une méthodologie pour la prise en compte des chiroptères lors de la construction et de l’entretien d’infrastructures et d’ouvrages d’art ; ● l’évaluation de l’efficacité de systèmes de réduction d’impact des infrastructures de transport. Dans ce cadre, un guide technique proposera, à terme, des recommandations techniques aux concepteurs d’infrastructures de transport, sur la base d’une étude bibliographique, de suivis de sites de collision et d’aménagements pour les chiroptères. Ce rapport présente la première phase d’élaboration de ce futur guide : un bilan des connaissances nationales et internationales sur le thème des chiroptères et des infrastructures linéaires.
  313. Edition (Ceremadoc) SCoT Grenelle - Synthèse des entretiens , n°6 : Prise en compte de la biodiversité et de la nature dans les 12 SCoT Grenelle

    Le Certu a extrait les 12 SCoT Grenelle, sur la base des entretiens conduits par les Cete auprès des différents acteurs de la démarche afin de connaître plus précisément comment ils se sont saisis du sujet. La restitution fera état des acteurs en présence, des démarches engagées, des méthodes déployées avant de développer les différentes modalités de prise en compte de la biodiversité et de la nature par les SCoT. Après avoir précisé les principaux outils utilisés par les maîtres d'ouvrage des SCoT pour lutter contre l'érosion de la biodiversité, la présente synthèse exposera les modalités de prise en compte de la biodiversité et de la nature dans les 12 SCoT.
  314. Edition (Ceremadoc) SCoT Grenelle. SCoT et Biodiversité. Série de fiches : Scot sud Meurthe et Moselle

    La démarche « SCoT Grenelle » est une démarche d'accompagnement des thèmes nouveaux impulsés par le Grenelle de l'environnement dans les SCoT. Elle se déroule pendant 3 ans sur 12 sites . Elle est pilotée par le Ministère de l'Écologie, du Développement Durable des Transports et du Logement . Le Certu assure une assistance au maître d'ouvrage en lien avec les Cete. La thématique de la biodiversité a fait l'objet d'une analyse menée par le Certu et Cete en partenariat avec les maîtres d'ouvrage concernés. Destinées aux collectivités élaborant leur SCoT, ces six fiches permettent de diffuser et partager l'expérience de ces SCoT « Grenelle ».
  315. Edition (Ceremadoc) Schémas régionaux de raccordement au réseau électrique des énergies renouvelables

    La loi Grenelle 2 par son article 71 modifie deux articles de la loi 2000-108 du 10 février 2000 relative à la modernisation et au développement du service public de l’électricité, pour instituer les schémas régionaux de raccordement au réseau des énergies renouvelables, et permettre de mutualiser les frais de raccordement au réseau pour les énergies renouvelables.
  316. Edition (Ceremadoc) Seismic site-response variability: from site-classification to soil non-linear behaviour

    The risk of devastating earthquakes exist all over the world. It is therefore necessary to develop digital tools in order to improve our knowledge of the seismic risk and understand the local surface level amplifications created and caused by the geological and topographical structure. The risks on buildings and works are measured in this way. Julie Regnier, from Cerema Méditerranée, completed this thesis in order to introduce the digital modelisation of soil non-linear behaviour into the forecast methods already used within her team at Cerema. Résumé Remerciements Résumé étendu Notation General introduction I Basic concepts and data processing 1 Linear wave propagation 1.1 Wave propagation in linear elastic and visco-elastic media 1.2 Wave propagation in a linear visco-elastic layered model 1.3 Borehole-site response and implication for inversion purposes 1.4 Computational approach 1.5 Sensitivity analysis 2 KiK-net database: data-selection, signal processing and site-response calculations 2.1 Data selection and signal processing 2.2 Empirical site-response calculations 2.3 Computation of the empirical site response 2.4 Definition of the soil and linear site-response proxy parameters 2.5 Definition of the seismic motion intensity parameters 2.6 Conclusions II Analysis of empirical seismic site response variability 3 Inter-site site-response variability 3.1 Introduction 3.2 Selection of the KiK-net sites with 1-D site configuration 3.3 Variability of the Vs profiles and site responses according to Vs30 only 3.4 On the use of additional parameters to Vs30 3.5 Illustration of three KiK-net sites 3.6 Analyses of the Vs profile and BFSRemp variabilities of the 1-D selected sites 3.7 Conclusion and discussion 4 Inter-event site-response variability 4.1 Introduction 4.2 Elements of soil non-linear behaviour 4.3 Quantification of the non-linear effects 4.4 Statistical analyses of the event/ site parameters 4.5 Optimal parameters to assess soil non-linearity 4.6 Conclusions III Inversion of the borehole transfer function 5 The simulated annealing downhill simplex hybrid global inverse algorithm 5.1 Simulated annealing 5.2 Downhill simplex method 5.3 The hybrid method 5.4 Inversions on synthetic cases 6 Inversion of empirical data 6.1 Introduction 6.2 Description of the selected KiK-net sites 6.3 Inversion of linear data 6.4 Inversion of non-linear data 6.5 discussion on the inversion of non-linear data 6.6 Conclusion Conclusions Conclusion and perspectives References A Earthquake locations at sites FKSH12, FKSH14, KSRH10 and MYGH04 B Illustration of the down-going wave effect on the numerical borehole site responses C Picking the fundamental resonance frequency C.1 Methodology C.2 Comparison of the f0 C.3 Conclusion and discussion D Characteristics of KiK-net sites that have recorded at least two earthquakes with PGAs at depth >50 cm/s2
  317. Edition (Ceremadoc) SCoT Grenelle : SCoT et Eau, fiches 8 -9. Synthèse des entretiens SCoT Grenelle : SCoT de la région urbaine de Grenoble Communauté de l’eau potable

    Les entretiens, conduits avec les différents acteurs de l’urbanisme, ont montré tout l'intérêt qu'il pouvait y avoir à regarder plus singulièrement comment les territoires gèrent, intègrent cette donnée, en quelque sorte vitale, pour composer leur projet. De fait et à plus d'un titre, l'eau présente pour la très grande majorité des SCoT Grenelle un enjeu capital pour le développement de leur territoire. Par ailleurs, les SCoT ne peuvent se soustraire à cette prise en compte en raison d'un contexte législatif qui s'impose à eux.
  318. Edition (Ceremadoc) Sécurité globale et résilience des territoires Ingénierie, effets de levier et stratégies à promouvoir - Séminaire organisé à Lyon le 17 et 18 janvier 2019

    Trois séminaires organisés par le Cerema successivement en septembre 2016, octobre 2017 et janvier 2019 ont affirmé la place de la résilience dans la recherche de sécurité globale des territoires. Ces séminaires ont à chaque fois impliqué dans une réflexion collective plusieurs dizaines de participants : professionnels, experts et scientifiques représentant les disciplines les plus variées. Faisant écho aux premières Assises nationales de la sécurité globale des territoires, qui se sont tenues à Lyon fin mai 2018, le séminaire de janvier 2019, dont le travail « vivant » est reproduit dans cet ouvrage, a abordé la question des grands défis à relever par les gestionnaires des territoires et les métropoles. Ces défis sont souvent liés aux transitions énergétiques et écologiques. Une nouvelle fois, les travaux ont mis l’accent sur l’urgence de casser les silos, de valoriser les initiatives prises au-delà de leur domaine d’emploi initial, d’articuler des outils relevant aujourd’hui de registres différents. L’activation de toutes ces passerelles démultiplie en effet les possibilités offertes par les approches sectorielles, en matière d’adaptation et de résilience. Pour affronter les grands changements en cours, le moment est venu d’adopter des approches bien plus collaboratives et transversales. PréfaceAvant-proposÉquipe-projet et collaborationsSommaireProgramme du séminaire PREMIÈRE PARTIE Cadre du séminaire Présentation générale Regard scientifique sur la notion de défi Ingénierie, leviers et stratégies : quels apports à la résilience ? Table ronde introductive DEUXIÈME PARTIE Défi A - Sécuriser les territoires eu égard aux défaillances des systèmes techniques Présentation du défi Cas pratique 1 : la résilience des secteurs urbains exposés à des ruptures de réseaux primaires Cas pratique 2 : la résilience des vallées isolées par un aléa naturel Restitution des échanges Enseignements TROISIÈME PARTIE Défi B - Faire de la nature une composante majeure de l’aménagement urbain résilient Présentation du défi Cas pratique 3 : les arbres en ville, comment aller vers la foresterie urbaine ? Cas pratique 4 : aménager avec plus d’eau en valorisant les écosystèmes Restitution des échanges Enseignements QUATRIÈME PARTIE Défi C - Intégrer les risques dans l’aménagement des territoires et des infrastructures Présentation du défi Cas pratique 5 : territoire industriel et transition écologique : le cas de la vallée de la chimie Cas pratique 6 : territoire littoral en mutation : le cas de Semarang en Indonésie Cas pratique 7 : infrastructures de transport et adaptation au changement climatique en Europe Restitution des échanges Enseignements CINQUIÈME PARTIE Défi D - Assurer une prise en charge coordonnée des grands enjeux Présentation du défi Cas pratique 8 : l’approvisionnement alimentaire des métropoles, un exemple du besoin de coordination Restitution des échanges Enseignements Sans-Regret-sur-Rhône en 2035 : une métropole résiliente SIXIÈME PARTIE Regards transverses Agir aujourd’hui pour donner leur place aux arbres et aux forêts urbaines dans les villes du XXIe siècle Synthèse scientifique Ingénierie et résilience De la vulnérabilité à la sécurité globale par la résilience SEPTIÈME PARTIE Projets connexes Le projet Sanctum Orientations du Puca La résilience aux risques majeurs, au coeur de la stratégie de Grenoble-Alpes-Métropole Propos conclusifs Annexes Liste des participants Éléments bibliographiques
  319. Edition (Ceremadoc) Schémas régionaux du climat, de l'air et de l'énergie (SRCAE). Les collectivités en action : Cahier thématique transport

    Destiné aux collectivités et aux services déconcentrés de l’État, cet ouvrage constitue une aide précieuse à la mise en oeuvre des Schémas régionaux climat air et énergie (SRCAE) et des démarches régionales de planification énergie-climat. S’appuyant sur une analyse d’un panel de trois SRCAE et de 15 actions menées par des collectivités infra-régionales, cet ouvrage comprend : un dossier offrant un panorama : 1. des leviers énergie-climat disponibles dans un SRCAE en matière d’économies d’énergies, d’émissions de GES évitées, et de production d’énergie renouvelable, 2. des actions que les collectivités infra-régionales peuvent mener afin de contribuer à la mise en œuvre des SRCAE, 3. des outils de financement mobilisés par les collectivités dans la mise en œuvre opérationnelle des leviers, des indicateurs de suivi du SRCAE ; un ensemble de cahiers thématiques regroupant par domaine de l’aménagement (urbanisme, transport, bâtiment, énergie renouvelable) un ensemble de quinze fiches. Chacune de ces fiches détaille une action d’une collectivité contribuant à la mise en œuvre effective du SRCAE. Des informations importantes sont ainsi livrées concernant le contenu de l’action, son efficacité sur le plan énergétique et climatique, son degré de réplicabilité, ses impacts sociaux et environnementaux, ses modes de financement, et son coût. Au final, le lecteur trouvera dans cet ouvrage des indications sur les leviers des SRCAE et leurs articulations avec des actions de collectivités infra-régionales, ainsi que de nombreux enseignements concernant le contenu et les résultats obtenus par de telles actions.
  320. Edition (Ceremadoc) Schémas régionaux du climat, de l'air et de l'énergie (SRCAE). Les collectivités en action : Cahier thématique urbanisme

    Destiné aux collectivités et aux services déconcentrés de l’État, cet ouvrage constitue une aide précieuse à la mise en oeuvre des Schémas régionaux climat air et énergie (SRCAE) et des démarches régionales de planification énergie-climat. S’appuyant sur une analyse d’un panel de trois SRCAE et de 15 actions menées par des collectivités infra-régionales, cet ouvrage comprend : un dossier offrant un panorama : 1. des leviers énergie-climat disponibles dans un SRCAE en matière d’économies d’énergies, d’émissions de GES évitées, et de production d’énergie renouvelable, 2. des actions que les collectivités infra-régionales peuvent mener afin de contribuer à la mise en œuvre des SRCAE, 3. des outils de financement mobilisés par les collectivités dans la mise en œuvre opérationnelle des leviers, des indicateurs de suivi du SRCAE ; un ensemble de cahiers thématiques regroupant par domaine de l’aménagement (urbanisme, transport, bâtiment, énergie renouvelable) un ensemble de quinze fiches. Chacune de ces fiches détaille une action d’une collectivité contribuant à la mise en œuvre effective du SRCAE. Des informations importantes sont ainsi livrées concernant le contenu de l’action, son efficacité sur le plan énergétique et climatique, son degré de réplicabilité, ses impacts sociaux et environnementaux, ses modes de financement, et son coût. Au final, le lecteur trouvera dans cet ouvrage des indications sur les leviers des SRCAE et leurs articulations avec des actions de collectivités infra-régionales, ainsi que de nombreux enseignements concernant le contenu et les résultats obtenus par de telles actions.
  321. Edition (Ceremadoc) Sécurisation des projets d’infrastructures linéaires de transports - volet espèces protégées

    Cependant, une prise en compte des enjeux environnementaux efficace s’effectue bien avant la réalisation des différentes procédures environnementales qui n’en constituent que l’aboutissement. Des réflexions dès la phase conception des projets permettront plus aisément d’éviter les impacts, de les réduire au maximum, et si besoin, de les compenser. L’objectif de l’étude est donc de minimiser l’insécurité juridique en s’appuyant sur l’analyse des avis environnementaux sur des projets récents, dont la liste a été définie en concertation avec la DGALN, la DGITM et le CGDD. L’étude de dossiers diversifiés par leur ampleur, leur complexité, leur objet, les listes d’espèces concernées doit permettre d’identifier les principaux écueils rencontrés et les moyens de les éviter.
  322. Edition (Ceremadoc) SCoT Grenelle. SCoT et Biodiversité. Série de fiches : Scot Marne Brosse et Gondoire

    La démarche « SCoT Grenelle » est une démarche d'accompagnement des thèmes nouveaux impulsés par le Grenelle de l'environnement dans les SCoT. Elle se déroule pendant 3 ans sur 12 sites . Elle est pilotée par le Ministère de l'Écologie, du Développement Durable des Transports et du Logement . Le Certu assure une assistance au maître d'ouvrage en lien avec les Cete. La thématique de la biodiversité a fait l'objet d'une analyse menée par le Certu et Cete en partenariat avec les maîtres d'ouvrage concernés. Destinées aux collectivités élaborant leur SCoT, ces six fiches permettent de diffuser et partager l'expérience de ces SCoT « Grenelle ».
  323. Edition (Ceremadoc) SCoT Grenelle : SCoT et Eau, fiches 8 -9. Synthèse des entretiens SCoT Grenelle : Fiche n° 8 : L'eau dans les SCoT Grenelle - synthèse des entretiens SCoT grenelle

    Les entretiens, conduits avec les différents acteurs de l’urbanisme, ont montré tout l'intérêt qu'il pouvait y avoir à regarder plus singulièrement comment les territoires gèrent, intègrent cette donnée, en quelque sorte vitale, pour composer leur projet. De fait et à plus d'un titre, l'eau présente pour la très grande majorité des SCoT Grenelle un enjeu capital pour le développement de leur territoire. Par ailleurs, les SCoT ne peuvent se soustraire à cette prise en compte en raison d'un contexte législatif qui s'impose à eux.
  324. Edition (Ceremadoc) Sécurisation des projets d’infrastructures linéaires de transports - volet eau

    Dans un contexte de complexité des dossiers et des projets et de prescriptions environnementales de plus en plus exigeantes, il apparaît indispensable d’éclairer les maîtres d’ouvrages sur les aspects les plus sensibles vis-à-vis du risque de contentieux administratif. La présente note a pour objet de présenter les conclusions de l’étude du Cerema sur les causes fréquentes de contentieux des arrêtés « loi sur l’eau », et de proposer quelques recommandations sur des thématiques à enjeux de manière à sécuriser les dossiers « loi sur l’eau ». Elle vise aussi à améliorer la qualité des arrêtés afin d’en assurer la solidité juridique.
  325. Edition (Ceremadoc) Routes et passages à faune - 40 ans d'évolution

    Les passages à faune ont connu de nombreuses évolutions depuis les premières implantations dans les années 60. Dispositifs au départ destinés au gibier, ils répondent maintenant à une demande plus large de conservation de la biodiversité tout en assurant pour le réseau routier un rôle de sécurité. Deux guides techniques, édités par le Sétra en 1993 pour la grande faune et en 2005 pour la petite faune, définissent les principes, méthodes et gestions nécessaires à leur implantation et à leur bon fonctionnement. Ce rapport présente les progrès accomplis sur le terrain afin de les rendre plus fonctionnels et mieux adaptés aux espèces considérées. Il fait état des diverses possibilités offertes, notamment avec les nouveaux matériaux et la meilleure connaissance des problèmes defragmentation des habitats, à travers notamment l'exemple de réflexions globales à l'échelle d'un territoire. Enfin, il présente, compte tenu des nouvelles perspectives, la réflexion préalable à la mise en place des nouveaux passages.
  326. Edition (Ceremadoc) Schémas régionaux du climat, de l'air et de l'énergie (SRCAE). Les collectivités en action

    Destiné aux collectivités et aux services déconcentrés de l’État, cet ouvrage constitue une aide précieuse à la mise en oeuvre des Schémas régionaux climat air et énergie (SRCAE) et des démarches régionales de planification énergie-climat. S’appuyant sur une analyse d’un panel de trois SRCAE et de 15 actions menées par des collectivités infra-régionales, cet ouvrage comprend : un dossier offrant un panorama : 1. des leviers énergie-climat disponibles dans un SRCAE en matière d’économies d’énergies, d’émissions de GES évitées, et de production d’énergie renouvelable, 2. des actions que les collectivités infra-régionales peuvent mener afin de contribuer à la mise en œuvre des SRCAE, 3. des outils de financement mobilisés par les collectivités dans la mise en œuvre opérationnelle des leviers, des indicateurs de suivi du SRCAE ; un ensemble de cahiers thématiques regroupant par domaine de l’aménagement (urbanisme, transport, bâtiment, énergie renouvelable) un ensemble de quinze fiches. Chacune de ces fiches détaille une action d’une collectivité contribuant à la mise en œuvre effective du SRCAE. Des informations importantes sont ainsi livrées concernant le contenu de l’action, son efficacité sur le plan énergétique et climatique, son degré de réplicabilité, ses impacts sociaux et environnementaux, ses modes de financement, et son coût. Au final, le lecteur trouvera dans cet ouvrage des indications sur les leviers des SRCAE et leurs articulations avec des actions de collectivités infra-régionales, ainsi que de nombreux enseignements concernant le contenu et les résultats obtenus par de telles actions.
  327. Edition (Ceremadoc) SCoT Grenelle. SCoT et Biodiversité. Série de fiches : Scot du valenciennois

    La démarche « SCoT Grenelle » est une démarche d'accompagnement des thèmes nouveaux impulsés par le Grenelle de l'environnement dans les SCoT. Elle se déroule pendant 3 ans sur 12 sites . Elle est pilotée par le Ministère de l'Écologie, du Développement Durable des Transports et du Logement . Le Certu assure une assistance au maître d'ouvrage en lien avec les Cete. La thématique de la biodiversité a fait l'objet d'une analyse menée par le Certu et Cete en partenariat avec les maîtres d'ouvrage concernés. Destinées aux collectivités élaborant leur SCoT, ces six fiches permettent de diffuser et partager l'expérience de ces SCoT « Grenelle ».
  328. Edition (Ceremadoc) Schémas régionaux du climat, de l'air et de l'énergie (SRCAE). Les collectivités en action : Cahier thématique énergie renouvelable

    Destiné aux collectivités et aux services déconcentrés de l’État, cet ouvrage constitue une aide précieuse à la mise en oeuvre des Schémas régionaux climat air et énergie (SRCAE) et des démarches régionales de planification énergie-climat. S’appuyant sur une analyse d’un panel de trois SRCAE et de 15 actions menées par des collectivités infra-régionales, cet ouvrage comprend : un dossier offrant un panorama : 1. des leviers énergie-climat disponibles dans un SRCAE en matière d’économies d’énergies, d’émissions de GES évitées, et de production d’énergie renouvelable, 2. des actions que les collectivités infra-régionales peuvent mener afin de contribuer à la mise en œuvre des SRCAE, 3. des outils de financement mobilisés par les collectivités dans la mise en œuvre opérationnelle des leviers, des indicateurs de suivi du SRCAE ; un ensemble de cahiers thématiques regroupant par domaine de l’aménagement (urbanisme, transport, bâtiment, énergie renouvelable) un ensemble de quinze fiches. Chacune de ces fiches détaille une action d’une collectivité contribuant à la mise en œuvre effective du SRCAE. Des informations importantes sont ainsi livrées concernant le contenu de l’action, son efficacité sur le plan énergétique et climatique, son degré de réplicabilité, ses impacts sociaux et environnementaux, ses modes de financement, et son coût. Au final, le lecteur trouvera dans cet ouvrage des indications sur les leviers des SRCAE et leurs articulations avec des actions de collectivités infra-régionales, ainsi que de nombreux enseignements concernant le contenu et les résultats obtenus par de telles actions.
  329. Edition (Ceremadoc) SCoT Grenelle. SCoT et Biodiversité. Série de fiches : Scot de Cergy-Pontoise

    La démarche « SCoT Grenelle » est une démarche d'accompagnement des thèmes nouveaux impulsés par le Grenelle de l'environnement dans les SCoT. Elle se déroule pendant 3 ans sur 12 sites . Elle est pilotée par le Ministère de l'Écologie, du Développement Durable des Transports et du Logement . Le Certu assure une assistance au maître d'ouvrage en lien avec les Cete. La thématique de la biodiversité a fait l'objet d'une analyse menée par le Certu et Cete en partenariat avec les maîtres d'ouvrage concernés. Destinées aux collectivités élaborant leur SCoT, ces six fiches permettent de diffuser et partager l'expérience de ces SCoT « Grenelle ».
  330. Edition (Ceremadoc) Végétal et entrées de villes. Compositions paysagères autour des grandes voiries : Végétal et entrées de villes pages 77 à 92

    Les abords des grandes voiries en périphérie d'agglomération présentent souvent un aspect désagréable ou déqualifié : abords délaissés ou dégradés, désordre urbanistique et architectural, agressivités commerciales ou publicitaires... La réflexion menée sur les entrées de ville sert, entre autres, de base à ce document. Après avoir abordé la problématique des entrées de ville, espaces souvent lâches ou mal structurés, alors qu'elles sont des lieux stratégiques pour la qualité du paysage urbain, cet ouvrage rappelle le rôle fondamental que peut jouer la végétalisation pour une reconquête paysagère, pour la requalification, la structuration ou tout simplement l'embellissement de ces lieux qui s'émaillent souvent d'espaces "résiduels" peu ou mal utilisés. Un certain nombre de solutions pour l'amélioration des abords de ces voies sont ensuite proposées, sans s'arrêter forcément aux emprises publiques.
  331. Edition (Ceremadoc) Végétal et entrées de villes. Compositions paysagères autour des grandes voiries : Végétal et entrées de villes pages 63 à 76

    Les abords des grandes voiries en périphérie d'agglomération présentent souvent un aspect désagréable ou déqualifié : abords délaissés ou dégradés, désordre urbanistique et architectural, agressivités commerciales ou publicitaires... La réflexion menée sur les entrées de ville sert, entre autres, de base à ce document. Après avoir abordé la problématique des entrées de ville, espaces souvent lâches ou mal structurés, alors qu'elles sont des lieux stratégiques pour la qualité du paysage urbain, cet ouvrage rappelle le rôle fondamental que peut jouer la végétalisation pour une reconquête paysagère, pour la requalification, la structuration ou tout simplement l'embellissement de ces lieux qui s'émaillent souvent d'espaces "résiduels" peu ou mal utilisés. Un certain nombre de solutions pour l'amélioration des abords de ces voies sont ensuite proposées, sans s'arrêter forcément aux emprises publiques.
  332. Edition (Ceremadoc) Végétal et entrées de villes. Compositions paysagères autour des grandes voiries : Végétal et entrées de villes pages 93 à 104

    Les abords des grandes voiries en périphérie d'agglomération présentent souvent un aspect désagréable ou déqualifié : abords délaissés ou dégradés, désordre urbanistique et architectural, agressivités commerciales ou publicitaires... La réflexion menée sur les entrées de ville sert, entre autres, de base à ce document. Après avoir abordé la problématique des entrées de ville, espaces souvent lâches ou mal structurés, alors qu'elles sont des lieux stratégiques pour la qualité du paysage urbain, cet ouvrage rappelle le rôle fondamental que peut jouer la végétalisation pour une reconquête paysagère, pour la requalification, la structuration ou tout simplement l'embellissement de ces lieux qui s'émaillent souvent d'espaces "résiduels" peu ou mal utilisés. Un certain nombre de solutions pour l'amélioration des abords de ces voies sont ensuite proposées, sans s'arrêter forcément aux emprises publiques.
  333. Edition (Ceremadoc) Végétal et entrées de villes. Compositions paysagères autour des grandes voiries : Végétal et entrées de villes pages 19 à 32

    Les abords des grandes voiries en périphérie d'agglomération présentent souvent un aspect désagréable ou déqualifié : abords délaissés ou dégradés, désordre urbanistique et architectural, agressivités commerciales ou publicitaires... La réflexion menée sur les entrées de ville sert, entre autres, de base à ce document. Après avoir abordé la problématique des entrées de ville, espaces souvent lâches ou mal structurés, alors qu'elles sont des lieux stratégiques pour la qualité du paysage urbain, cet ouvrage rappelle le rôle fondamental que peut jouer la végétalisation pour une reconquête paysagère, pour la requalification, la structuration ou tout simplement l'embellissement de ces lieux qui s'émaillent souvent d'espaces "résiduels" peu ou mal utilisés. Un certain nombre de solutions pour l'amélioration des abords de ces voies sont ensuite proposées, sans s'arrêter forcément aux emprises publiques.
  334. Edition (Ceremadoc) Végétal et entrées de villes. Compositions paysagères autour des grandes voiries : Végétal et entrées de villes pages 1 à 18

    Les abords des grandes voiries en périphérie d'agglomération présentent souvent un aspect désagréable ou déqualifié : abords délaissés ou dégradés, désordre urbanistique et architectural, agressivités commerciales ou publicitaires... La réflexion menée sur les entrées de ville sert, entre autres, de base à ce document. Après avoir abordé la problématique des entrées de ville, espaces souvent lâches ou mal structurés, alors qu'elles sont des lieux stratégiques pour la qualité du paysage urbain, cet ouvrage rappelle le rôle fondamental que peut jouer la végétalisation pour une reconquête paysagère, pour la requalification, la structuration ou tout simplement l'embellissement de ces lieux qui s'émaillent souvent d'espaces "résiduels" peu ou mal utilisés. Un certain nombre de solutions pour l'amélioration des abords de ces voies sont ensuite proposées, sans s'arrêter forcément aux emprises publiques.
  335. Edition (Ceremadoc) Validité des modèles physiques sédimentologiques fluviaux : Étude de synthèse.

    L’objectif de cette étude est de recenser de façon exhaustive les études réalisées à Artelia dans le domaine concerné, de dégager une typologie des modèles, de donner des informations plus précises pour chaque type identifié en fournissant des fiches descriptives d’un certain nombre de modèles caractéristiques pour chaque type, de dégager les principes généraux permettant de guider les choix des ingénieurs et aménageurs confrontés à des problématiques susceptibles de relever de la modélisation physique comme outil principal d’étude. Il s’agit en conclusion de réaliser un état de l’art et une réflexion sur la validité et l’avenir de cet outil dans ses divers domaines d’application. Introduction 1. Consistance de l’étude 2. Problèmes traites par la modélisation physique sédimentologique et typologie des modèles 2.1. terminologie 2.2. distinction fonds affouillables/ fonds mobiles 2.3. problématiques traitées par les modèles sédimentologiques fluviaux 3. La modélisation physique : intérêts et principes 3.1. objectifs de la modélisation physique 3.2. raisons de la réduction à l’échelle 3.3. terminologie 3.4. principes de la similitude 3.4.1. similitude hydraulique 3.4.2. échelles de similitude géométriques et hydrauliques 3.4.3. similitude sédimentologique 3.4.3.1. typologie 3.4.3.2. similitude de début d’entrainement 3.4.3.3. similitude de transport solide 3.4.4. distorsion 4. Les équipements de la modélisation physique sédimentologique 4.1. liste des équipements 4.2. caractérisation des sédiments 4.3. caractérisation des dépôts et érosions 4.4. caractérisation des volumes injectes et transportes 5. Modèles réduits sédimentologiques recensement et fiche type 5.1. recensement 5.2. typologie des modèles 5.2.1. régime d’écoulement et de transport solide 5.2.2. type d’aménagement 5.2.3. gamme d’échelles 5.3. fiche type 5.4. retour d’expérience 5.5. fiches modèle GlossaireAnnexes annexe a. fiches modèles : torrents (22) annexe b. fiches modèles : laves torrentielles (4) annexe c. fiches modèles : rivières (9) annexe d. fiches modèles : ponts (11) annexe e. fiches modèles : seuils (7) annexe f. fiches modèles : barrages (9) Tableaux tabl. 1 - modèle non distordu en similitude de froude tabl. 2 - modèle distordu en similitude de froude Figures fig. 1. sonde laser sur son support mobile fig. 2. exemple de levé bathymétrique autour des piles de pont fig. 3. année de réalisation des modèles réduits sédimentologiques répertoriés (période 1978-2006) fig. 4. modèles physiques – statistique par régime d’écoulement et type de transport fig. 5. modèles physiques – statistique par type d’ouvrage fig. 6. modèles physiques – statistique par gamme d’échelles
  336. Edition (Ceremadoc) Valise pédagogique : Plan séisme Antilles

    Initialement conçue pour le risque sismique dans les Antilles, la valise intéressera les collectivités souhaitant développer leur propre stratégie de prévention du risque, qu’il s’agisse d’un risque sismique ou pas. La valise fournit un questionnement permettant d’appréhender les enjeux locaux et d’identifier les pistes d’actions du point de vue communal. Elle contient également un référentiel de connaissances relatives au phénomène sismique et à sa traduction territoriale dans les différentes composantes urbaines : bâti et population, déplacements, économie locale, infrastructures et services publics, environnement et territoire, gestion municipale avant, pendant et après l’événement. Cette version correspond à la valise Guadeloupe, il existe également une valise Martinique. Le document doit être dézippé après téléchargement pour le bon fonctionnement des liens internes.
  337. Edition (Ceremadoc) Végétal et entrées de villes. Compositions paysagères autour des grandes voiries : Végétal et entrées de villes pages 105 à 116

    Les abords des grandes voiries en périphérie d'agglomération présentent souvent un aspect désagréable ou déqualifié : abords délaissés ou dégradés, désordre urbanistique et architectural, agressivités commerciales ou publicitaires... La réflexion menée sur les entrées de ville sert, entre autres, de base à ce document. Après avoir abordé la problématique des entrées de ville, espaces souvent lâches ou mal structurés, alors qu'elles sont des lieux stratégiques pour la qualité du paysage urbain, cet ouvrage rappelle le rôle fondamental que peut jouer la végétalisation pour une reconquête paysagère, pour la requalification, la structuration ou tout simplement l'embellissement de ces lieux qui s'émaillent souvent d'espaces "résiduels" peu ou mal utilisés. Un certain nombre de solutions pour l'amélioration des abords de ces voies sont ensuite proposées, sans s'arrêter forcément aux emprises publiques.
  338. Edition (Ceremadoc) Suivi environnemental des aménagements portuaires et littoraux : Guide de recommandations.

    Après un 1er chapitre présentant les différents aspects de l'environnement littoral, les aménagements maritimes et leurs impacts ainsi que le contexte réglementaire, l'ouvrage détaille, dans le chapitre 2, les outils permettant de mettre en œuvre un programme de suivi environnemental. Le chapitre 3 comprend 14 fiches thématiques apportant des recommandations d'ordre technique, pratiques et réglementaires pour chaque composante à suivre dans 3 milieux : physique, vivant terrestre et vivant aquatique. Enfin des annexes complètent la compréhension de certains aspects développés dans le 1er chapitre et un glossaire reprend la définition des termes spécifiques rencontrés, ainsi que la significations des sigles et acronymes. PréfaceSommaire IntroductionCHAPITRE 1 : Généralités 1.1 L'environnement littoral 1.1.1 Notions d’écologie côtière 1.1.1.2 Les organismes marins 1.1.1.3 Influence de la qualité des eaux marines et des sédiments sur les organismes 1.1.1.4 Le cas particulier des estuaires 1.1.1.5 Le cas particulier des zones humides 1.1.2 Fonctionnalité des habitats 1.1.2.1 Maintien de la biodiversité 1.1.2.2 Nourricerie ou nurserie 1.1.2.3 Frayère 1.2 Les aménagements maritimes et leurs impacts 1.2.1 Les différents types d'aménagements 1.2.2 Les impacts des aménagements maritimes 1.3 Le contexte réglementaire 1.3.1 La loi sur la protection de la nature de 1976 et l’étude d’impact 1.3.2 La loi sur l’eau (codifiée aux articles L.210-1 et suivants du code de l'environnement) 1.3.3 L’autorisation des aménagements portuaires 1.3.4 L'autorisation des aménagements sur le domaine public maritime naturel 1.3.5 L’évaluation des incidences des projets sur les sites NATURA 2000 1.3.6 La concertation 1.3.7 Le suivi environnemental dans la réglementation CHAPITRE 2 : Mise en oeuvre d’un suivi environnemental 2.1 Les objectifs du suivi 2.2 La conception du programme de suivi 2.2.1 État des connaissances 2.2.1.1 Établissement de l'état zéro 2.2.1.2 Détermination des enjeux environnementaux du projet 2.2.2 Identification des composantes environnementales à suivre 2.2.3 Cadrage spatio-temporel 2.2.3.1 L’échelle spatiale 2.2.3.1.1 Délimitation de la zone de suivi 2.2.3.1.2 Les différentes échelles de suivi 2.2.3.2 L’échelle temporelle 2.2.4 Les outils de gestion 2.2.4.1 Cartographie, géomatique 2.2.4.1.1 Les cartes des dossiers d’autorisation 2.2.4.1.2 Les données des organismes ressources 2.2.4.1.2.1 Les experts et les ressources cartographiques 2.2.4.1.2.2 Les sources de données cartographiques par thématique 2.2.4.1.3 Les Systèmes d’Information Géographique (SIG) 2.2.4.1.4 Conclusion : recommandations 2.2.4.2 Gestion de la bibliographie 2.2.4.3 Gestion des compétences 2.3 La mise en place du programme de suivi 2.3.1 Procédures administratives liées à la demande d’autorisation 2.3.2 Mise en place du programme de suivi environnemental 2.4 L'évaluation du suivi 2.4.1 Évaluation initiale du suivi 2.4.2 Évaluation périodique du suivi 2.4.2.1 Le contenu 2.4.2.2 La méthode 2.4.3 Évaluation finale du suivi 2.4.3.1 Le contenu 2.4.3.2 La méthode 2.4.4 Conclusion CHAPITRE 3 : Méthodes et techniques de suivi environnemental 3.1 Introduction 3.2 Milieu physique 3.2.1 Hydraulique 3.2.2 Bathymétrie/Topographie des fonds 3.2.3 Érosion /Géomorphologie 3.2.4 Qualité des sédiments 3.2.5 Qualité des eaux littorales 3.3 Milieu vivant terrestre 3.3.1 Flore et végétation littorales 3.3.2 Faune littorale terrestre 3.4 Milieu vivant aquatique 3.4.1 Milieu pélagique 3.4.1.1 Plancton 3.4.1.2 Zooplancton 3.4.1.3 Poissons 3.4.1.4 Mammifères marins 3.4.2 Milieu benthique 3.4.2.1 Milieu benthique en substrats meubles 3.4.2.1.1 Invertébrés 3.4.2.1.2 Poissons 3.4.2.1.3 Les herbiers de Zostères 3.4.2.1.4 Les bancs de maërl 3.4.2.2 Milieu benthique en substrats durs 3.4.2.2.1 Macroinvertébrés intertidaux 3.4.2.2.2 Les macroalgues ANNEXE 1 : Les outils de protection du littoralANNEXE 2 : Domaine Public Maritime Naturel (DPMN) et limites administratives des eaux littorales Glossaire
  339. Edition (Ceremadoc) Synthèse des Entretiens du Cerema - Biennale de l'ingénierie territoriale du Cnfpt : 03 et 04 février 2015

    Transition énergétique, développement durable, égalité des territoires, économies en matière d’investissement public : les quatre grands thèmes de réflexion proposés par les « Entretiens du Cerema - Biennale de l’ingénierie territoriale du CNFPT » qui se sont tenus en février 2015 ne manquaient pas d’ambition. Cet événement, riche en présentations d’expériences et d’innovations, avait pour objectif de provoquer échanges et discussions entre professionnels et décideurs d’origines variées. Il a permis de mettre en exergue le rôle accru des acteurs des territoires, l’importance de la ressource locale qu’il faut savoir identifier, et l’enjeu aujourd’hui d’établir des partenariats avec de nouveaux acteurs comme les habitants, entre autres, et dont la capacité d’expertise doit être reconnue. L’enjeu pour les autorités publiques est alors de savoir discerner ces nouveaux paradigmes en émergence, avec souvent la nécessité pour elles de changer de positionnement et de méthodes, afin de valoriser toutes ces ressources comme vecteur de dialogue et d’investissement. Cet ouvrage est une synthèse restituant les points saillants abordés pendant ces deux jours de présentation de cas et de débats, les éléments de convergence et les controverses sur des sujets qui ne sont pas encore stabilisés. Ces Entretiens ont aussi permis de mettre en évidence des thématiques émergentes qui pourraient contribuer au renouvellement des modèles de l’action publique au cours des prochaines années. Cet ouvrage s’adresse aux acteurs agissant pour le développement des villes et des territoires, professionnels et décideurs, mais aussi plus largement à tout public intéressé par ces questions cruciales de développement durable. Introduction Première partie État des lieux Les territoires au prisme des grandes mutations économiques La croissance entre doutes et opportunités Les métropoles ont tendance à concentrer la croissance Des territoires de plus en plus polarisés Égalité territoriale ou égalité sociale ? La Troisième révolution industrielle, mythe ou levier d’action ? Un « accélérateur de progrès » Deuxième partie Débats Vers un renouvellement en profondeur de l’action publique ? Un changement de paradigme Favoriser les ressources locales, l’expertise et l’approche intégrées L’habitant, le citoyen, l’usager, acteur(s) des mutations De nouvelles modalités d’action, du partenariat à la co-construction Troisième partie Perspectives Pistes d’actions transversales pour demain Des métiers en devenir, une ingénierie à réinventer Innover localement, penser globalement Un État « facilitateur » pour des acteurs « impliqués » Favoriser des logiques à long terme Faire confiance au « local » Conclusion Annexes Références bibliographiques Programme détaillé de la manifestation
  340. Edition (Ceremadoc) Systèmes et mesures visant à réduire le nombre de collisions avec les grands ongulés : Note d'Information - Économie Environnement Conception - Série(EEC) n° 72

    Cette note analyse les raisons de l'augmentation des collisions entre véhicules et grands ongulés.Elle fait ensuite l'inventaire des systèmes existants et de leur taux d'efficacité :') Agir sur les animaux a) Empêcher les ongulés de franchir la voie :- les réflecteurs ;- les miroirs ;- les répulsifs ;- les dispositifs ultra-sons ;- l'éclairage de la route ;- les clôtures ;- les clôtures électriques.b) Gérer l'habitat- agir sur les lieux de vie des ongulés ;- gérer les emprises vertes du domaine public et les zones de proximité.c) Gérer les populations 2) Modifier le comportement des automobilistes a) Prévenir du danger :- le panneau A15b, indiquant la traversée d'animaux sauvages ;- le dispositif d'alerte dynamique ;- la circulation "apaisée". b) Campagnes d'information et de sensibilisation.La dernière partie évoque la solution de combinaison de ces dispositifs pour une lutte plus efficace contre ces accidents.
  341. Edition (Ceremadoc) SISMOA - Evaluation préliminaire du risque sismique sur les ouvrages d’art existants

    La méthode SISMOA est une procédure d’évaluation préliminaire du risque sismique sur les ouvrages d’art existants. Elle repose sur les données géométriques et typologiques des ouvrages. Les résultats permettent de localiser les éléments sensibles et aboutissent à l’évaluation d’une valeur de risque par ouvrage.
  342. Edition (Ceremadoc) Monétarisation des externalités environnementales : Synthèse

    Il permet d’identifier les champs à investir pour faire évoluer les pratiques françaises actuelles. En outre, il cherche à quantifier, sur la base d’un exemple réel d’évaluation d’un projet routier, quelles seraient les conséquences sur les résultats du bilan socio-économique des évolutions possibles des valeurs tutélaires accordées aux externalités environnementales. L’étude s’intéresse aussi bien aux externalités environnementales pour lesquelles une valeur tutélaire est actuellement fixée (pollution atmosphérique, nuisances sonores, émissions de gaz à effet de serre) qu’aux externalités qui ne sont aujourd’hui pas prises en compte dans le calcul socio-économique (perte de biodiversité, pollution des eaux et des sols, effets de coupure, atteintes aux paysages).
  343. Edition (Ceremadoc) Nature en ville - série de fiches : Fiche n° 2 : Prendre en compte les milieux humides dans l'aménagement

    >>>>>> Voir la vidéo La Nature en ville comme élément de confort climatique Série de fiches thématiques sur la nature en ville dans les projets d’aménagement urbain. La fiche n° 1 se propose d’expliquer la manière dont le maître d’ouvrage urbain peut intégrer la nature en ville sous toutes ses formes dans le déroulement de son projet. Elle est largement illustrée à partir des retours d’expériences des quartiers lauréats de la démarche Écoquartier portée par le ministère en charge du logement. La fiche n° 2 a vocation à mieux appréhender et intégrer les milieux humides dans le processus d'une opération d'aménagement. Elle s'appuie sur des retours d'expériences, de visites de sites et d'analyses de dossiers Ecoquartiers. La fiche n° 3 se propose d'expliquer les interactions entre la nature en ville et la santé des habitants et usagers. Elle est largement illustrée à partir d'Ecoquartiers labellisés dans le cadre de la démarche portée par le Ministère en charge du logement. La fiche n° 4 présente quelques conseils pratiques afin de gérer au mieux les conflits d'usages liés aux milieux humides et de prévenir l’émergence de conflits futurs. Elle s’adresse plus particulièrement aux services techniques de collectivités territoriales locales, et aux agents de syndicats de bassins.
  344. Edition (Ceremadoc) Méthode de hiérarchisation de la vulnérabilité de la ressource en eau : Note d'Information - Économie Environnement Conception 80 - Série (EEC)

    La protection de la ressource en eau exige des mesures et ouvrages appropriés aux enjeux. Pour atteindre cet objectif, il est nécessaire de qualifier et de hiérarchiser la vulnérabilité des milieux aquatiques et superficiels.L'objet de la présente note est de faire connaître une méthode de hiérachisation de la vulnérabilité de la ressource en eau, notamment vis-à-vis des risques de pollution accidentelle, déjà utilisée dans le milieu routier.Elle s'applique aux infrastructures existantes et aux nouveaux projets.La méthode présentée permet au maître d'ouvrage :- dans le cas des infrastructures existantes : de définir des priorités d'actions en vue de protéger la ressource en eau ;- dans le cas des nouveaux projets : de localiser les zones à forts enjeux vis-à-vis de la ressource en eau, et de privilégier ainsi une stratégie d'évitement des zones les plus vulnérables ;- d'élaborer une stratégie concernant la nature des protections à mettre en oeuvre ;- d'avoir la connaissance des milieux traversés par son infrastructure. Contexte Méthodologie Conclusion Exemple de cartographie Bibliographie Liste d'abréviations
  345. Edition (Ceremadoc) Nomenclature de la loi sur l'eau - Application aux infrastructures routières : Guide technique

    Application aux infrastructures routières de la nomenclature établie au titre de la loi sur l'eau" est un document d'information réalisé conjointement par les services du ministère chargé de l'Equipement et du ministère de l'Ecologie et du Développement durable. Il a pour vocation de centrer l'attention des acteurs du domaine autour de la sauvegarde du milieu aquatique. Son objectif est de préciser et de faciliter l'utilisation des principales rubriques de la nomenclature de la loi sur l'eau (loi n°92-3 sur l'eau du 3 janvier 1992 intégrée au titre I du livre II du code de l'environnement) dans le domaine des infrastructures linéaires. Ce document vise aussi à harmoniser les pratiques de services. Il est destiné, notamment, aux services instructeurs des missions inter services de l'eau, aux services du ministère de l'Equipement en charge des projets routiers, aux sociétés concessionnaires d'autoroutes, et aux bureaux d'études. La première partie s'attache à rappeler le cadre réglementaire et législatif concernant : le régime de l'autorisation, le régime de la déclaration, les travaux d'urgence, la régularisation des ouvrages, les rejets... et les recours juridiques. La seconde partie correspond à la description et aux commentaires sur les principales rubriques de la nomenclature de la loi sur l'eau concernant les infrastructures linéaires.
  346. Edition (Ceremadoc) Passage pour la grande faune : Guide technique.

    Ce guide présente tous les éléments nécessaires à la conception et à la gestion de passages efficaces pour la grande faune. Il établit une méthodologie d'approche globale du problème et des règles d'implantation, de construction et d'aménagement des abords, afin que les chefs de projets routiers puissent prendre en compte les besoins spécifiques de la grande faune depuis l'établissement des avant-projets jusqu'à la réalisation des travaux. Il développe aussi les principes de gestion et d'entretien des passages pour la grande faune. Il inclut des fiches thématiques sur la vie de la grande faune, les impacts de la route, le coût des ouvrages, et un modèle de convention de gestion. Une bibliographie complète ce guide. IntroductionPoints clés1 - Des passages ; pourquoi ? Fondements biologiques des passages pour les grands mammifères sauvages Déplacements des grands mammifères sauvages Principe de la transparence Recensement national des passages : le bilan 2 - Démarche pour conduire les études Définition de l'aire d'étude Importance de la définition du tracé Méthodes pour conduire les études Continuité de l'information - Coordination des études 3 - Règles d'implantation et de construction des passages Choix de l'implantation Passage inférieur ou supérieur : que choisir ? Passages spécifiques ou ouvrages mixtes Dimensions des passages 4 - Règles d'aménagements des passages et de leurs abords Aménagements des passages Aménagements des abords 5 - Gestion des passages Gestion - Entretien : définitions Négociations et partenariat Intérêt d'un document contractuel : signature d'une convention de gestion Contraintes et servitudes réglementaires, mesures d'accompagnement pour la protection des abords Fiches techniques Fiche n° 1 : Originalité et comportement des grands mammifères sauvages Fiche n° 2 : Habitats et territoires des grands mammifères sauvages Fiche n° 3 : Déplacements des grands mammifères sauvages Fiche n° 4 : Statut des grands mammifères sauvages Fiche n° 5 : Mortalité des grands mammifères sauvages Fiche n° 6 : Dérangement des grands mammifères sauvages Fiche n° 7 : Effets de coupure, isolement des populations Fiche n ° 8 : Effet de substitution Fiche n° 9 : Coûts des passages pour les grands mammifères sauvages Fiche n° 10 : Méthodes d'études en vue du recueil des données Fiche n° 11: Choix des essences et mélanges pour l'aménagement des abords Fiche n° 12 : Exemple de convention de gestion Bibliographie
  347. Edition (Ceremadoc) Permettre à la faune de franchir les infrastructures linéaires de transport - Exemples de requalifications d'infrastructures

    Les infrastructures de transport, en fragmentant le territoire, contribuent à la rupture des continuités écologiques qui constituent un réseau d’échanges permettant à la faune et à la flore d’accomplir leur cycle de vie. Ce réseau leur assure en effet la possibilité de communiquer, circuler, s’alimenter, se reproduire, se reposer. À la faveur de l’urgence déclarée de moderniser les infrastructures, la prise en compte de la biodiversité par les gestionnaires des réseaux prend tout son sens. Cet ouvrage a pour objectif de présenter une méthodologie à observer pour rétablir les transparences écologiques en l’illustrant par de nombreux exemples de réalisations pris sur l’ensemble du territoire. Il s’adresse aux maîtres d’ouvrage et maîtres d’œuvre pour les accompagner dans le rétablissement durable de la transparence écologique de leurs Infrastructures linéaires de transport (ILT). Introduction1 - Dans quelles situations se fait la requalification ? 2 - Spécificités et contraintes de ces opérations par rapport aux travaux neufs 3 - Structure des fichesFiches : 01- DREAL Grand Est : Hamsteroducs du raccordement A35/A352 02- CD 51 : Batrachoduc d’Arrigny – lac du Der-Chantecoq 03- Cofiroute : Rétablissement de continuités écologiques pour la petite faune 04- CD 33 – RD 222 : Reconstruction du pont de Luas à Préchac 05- CD 44 – RD 33 : Reconstruction du pont de la Voûte sur la rivière Pont d’Arm 06- DIR Ouest : Aménagement de passages pour la Loutre 07- SNCF Réseau : Aménagement d’une passe à poissons au niveau du radier du pont ferroviaire du Vidourle 08- DEAL Guyane : RN 2 : Réalisation de ponts de singe au droit de couloirs écologiques 09- ASF – A 83 : Déplacement de clôtures, la fonction corridor écologique appliquée aux dépendances vertes 10- DREAL Picardie : Mise à 2x2 voies de la RN2 entre Boissy-Fresnoy et Vauxbuin 11- ESCOTA : Création de deux écoponts sur A8 et A57 12- Sanef – SAPN : Requalification d’un tronçon de l’A13 sur le même thème - Clôtures routières et ferroviaires et faune sauvage - Critères de choix et recommandations d’implantation (2019) - Amphibiens et dispositifs de franchissement des infrastructures de transport terrestre (2019) - Les chantiers d’infrastructures routières et les milieux naturels - Prise en compte des habitats et des espèces (2018) - Chiroptères et infrastructures de transport (2016) - Aménagements et mesures pour la petite faune (2005)Notes d’information : - Infrastructures linéaires de transport et Odonates - Petits ouvrages hydrauliques et continuités écologiques - Cas de la faune piscicole - Mustélidés semi-aquatiques (les) et les infrastructures routières et ferroviaires - Loutre et vison d’Europe - Routes et passages à faune - 40 ans d’évolution - Aménagements pour la faune sauvage
  348. Edition (Ceremadoc) Paysage et infrastructures de transport : Guide méthodologique

    Quelle place donner au paysagiste au sein de l'équipe projet ? Quels enjeux paysagers rechercher à ce niveau d'étude, pour tel type de projet ? Quels documents à attendre à chaque étape ? Telles sont les questions auxquelles cet ouvrage tente de répondre, en s'adressant notamment aux chefs de projet, dont le rôle de coordination est essentiel, mais aussi aux paysagistes qui ont une place dans la définition des grandes orientations et des partis d'aménagement paysagers, et qui permettent ainsi d'assurer la cohérence des interventions sur le territoire. Avant-propos Chapitre 1 -Le paysage, un élément clé dans la démarche de projet Répondre à un enjeu majeur d’aménagement du territoire et de développement durable Favoriser les démarches de projets de paysage, au-delà des seuls projets techniques Traiter toute la question du paysage et non celle du seul « paysagement » Favoriser le travail en commun Faciliter la pérennité des ambitions qualitatives Mieux tirer parti des expériences et s’adapter aux évolutions récentes Traiter toutes les infrastructures linéaires Chapitre 2 - Infrastructures neuves et projet de paysage De l’intention du projet d’infrastructure de transport à sa réalisation, les grandes étapes d’un projet Du débat public à l’enquête publique: l’infrastructure dans le paysage De la Dup à la réception des travaux : le paysage de l’infrastructure Chapitre 3 - Réaménagement des infrastructures existantes et projet de paysage Le réaménagement de l’existant: une gestion du territoire Les enjeux paysagers du réaménagement de l’existant déclinés par infrastructure Déroulement et contenu des études paysagères pour une modification de voie existante Chapitre 4 - Conseils pour la conduite des études paysagères Suivi et animation des équipes d’études Les fondamentaux de la construction d’un cahier des charges «paysage» Comment mener une démarche participative constructive autour du paysage? Apport des outils du paysagiste dans la représentation et la communication du projet Annexes Les textes de référence Circulaire du 7 janvier 2008 de la Dgr Références bibliographiques Abréviations Glossaire
  349. Edition (Ceremadoc) Politique 1 % Paysage & Développement. Les itinéraires de découverte : Guide méthodologique

    Cet ouvrage présente le concept des itinéraires de découverte dans le cadre de la politique du 1% Paysage et Développement. Il repose essentiellement sur les différentes expériences vécues lors de la création des premiers itinéraires de découverte sur l'A75 et l'A20, et sur les enseignements qui en ont déjà été tirés. Il explicite la notion d'itinéraire de découverte, en décrit la genèse ainsi que la mise en oeuvre (rôle des divers intervenants publics et privés, l'avant-projet). Il fournit ensuite un tableau de bord des opérations et de leur suivi. En annexes : description de diverses expériences réalisées sur l'A75 et l'A20 (Route Dauphiné d'Auvergne, Route de la Vallée de l'Alagon, Route Larzac et Dourbie, Route Causses et Vallées de l'Hérault, Route du Val de Creuse) et charte de qualité des itinéraires de découverte, bibliographie et glossaire.
  350. Edition (Ceremadoc) PLUi et énergie. Série de fiches : Fiche n° 04 Les dispositions du PLUi en matière de réseaux de chaleur

    Fiche n° 01 - Les Planification énergie-climat, PLUi : quelles articulations ? La loi de transition énergétique, la loi portant Nouvelle organisation du territoire de la république (NOTRe), la loi de Modernisation de l’action publique territoriale et de l’action des métropoles (MAPTAM) amènent à faire évoluer les documents de planification énergie-climat et leurs articulations avec le Plan local d’urbanisme intercommunal (PLUi). Cette fiche dresse un état des lieux des principales évolutions, portant sur : le contenu du plan climat, qui devient le Plan Climat air énergie territoire (PCAET) le SRADDET, document intégrateur comprenant le SRCAE les nouveaux outils nationaux de planification de l’énergie (SNBC, PPE) Fiche n° 02 - Les dispositions du PLUi en matière d’éolien Le Plan Local d’Urbanisme Intercommunal PLUi une réponse à la bonne échelle Les éoliennes, une technologie pour la transition énergétique des territoires Recommandations pour mieux intégrer l’éolien dans les PLUi Fiche n° 03 Les dispositions du PLUi en matière de photovoltaïque Dans cette fiche, des exemples de plan local d’urbanisme intercommunal (PLUi) viennent illustrer la manière dont la rédaction du PLUi concourt au développement du solaire photovoltaïque. Les différentes recommandations formulées doivent contribuer à mieux intégrer le solaire photovoltaïque, tout en prenant en considération les enjeux environnementaux. Fiche n° 04 - Les dispositions du PLUi en matière de réseaux de chaleur Le développement des réseaux de chaleur répond à de nombreux enjeux pour les territoires, comme la lutte contre le changement climatique, ou l’autonomie énergétique. Le plan local d’urbanisme intercommunal (PLUi) peut contribuer à développer l’implantation des réseaux de chaleur sur le territoire de l’EPCI. Fiche n° 05 - Intégrer la méthanisation dans les PLUi Le développement de la méthanisation répond à de nombreux enjeux sur les plans énergétique, environnemental et économique. La récente programmation pluriannuelle de l’énergie (PPE) publiée le 21 avril 2020 prévoit de multiplier par 4 à 6 fois la production de biogaz d’ici à 2028 par rapport à 2017 (soit entre 24 et 32 TWh d’ici à 2028). Le PLU(i) peut être utilisé pour favoriser et organiser le développement de la méthanisation sur le territoire, en cohérence avec les orientations énergétiques prises par le territoire, par exemple en lien avec le PCAET (plan climat air énergie territoire).
  351. Edition (Ceremadoc) PLU - Thème déplacements. Série de fiches : 2 (PLU - Paysage) - Un secteur d'extension urbaine dans le centre bourg

    Le Plan Local d'Urbanisme (PLU) est le document de planification à l'échelle communale. Il a remplacé le Plan d'Occupation des Sols avec la Loi SRU du 13 décembre 2000. Le dossier PLU est composé de divers éléments : un rapport de présentation ; un PADD ; des orientations d'aménagement par quartier ou par secteur (facultatives) ; un règlement et ses documents graphiques ; des annexes. Nous vous proposons ici une série de Fiches de cas concernant la thématique du paysage et des coupures vertes. Il s'agit notamment des Fiches de cas n°1 et 2 (portant sur Villers-au-Tertre), n°5 (Criel-sur-Mer) et n°6 (St Nicolas d'Aliermont). D'autres fiches de cas sont disponibles sur la Thématique Déplacements et la Thématique Evaluation environnementale.
  352. Edition (Ceremadoc) PLUi et énergie. Série de fiches : Fiche n° 01 Planification énergie - climat, PLUi : quelles articulations ?

    Fiche n° 01 - Les Planification énergie-climat, PLUi : quelles articulations ? La loi de transition énergétique, la loi portant Nouvelle organisation du territoire de la république (NOTRe), la loi de Modernisation de l’action publique territoriale et de l’action des métropoles (MAPTAM) amènent à faire évoluer les documents de planification énergie-climat et leurs articulations avec le Plan local d’urbanisme intercommunal (PLUi). Cette fiche dresse un état des lieux des principales évolutions, portant sur : le contenu du plan climat, qui devient le Plan Climat air énergie territoire (PCAET) le SRADDET, document intégrateur comprenant le SRCAE les nouveaux outils nationaux de planification de l’énergie (SNBC, PPE) Fiche n° 02 - Les dispositions du PLUi en matière d’éolien Le Plan Local d’Urbanisme Intercommunal PLUi une réponse à la bonne échelle Les éoliennes, une technologie pour la transition énergétique des territoires Recommandations pour mieux intégrer l’éolien dans les PLUi Fiche n° 03 Les dispositions du PLUi en matière de photovoltaïque Dans cette fiche, des exemples de plan local d’urbanisme intercommunal (PLUi) viennent illustrer la manière dont la rédaction du PLUi concourt au développement du solaire photovoltaïque. Les différentes recommandations formulées doivent contribuer à mieux intégrer le solaire photovoltaïque, tout en prenant en considération les enjeux environnementaux. Fiche n° 04 - Les dispositions du PLUi en matière de réseaux de chaleur Le développement des réseaux de chaleur répond à de nombreux enjeux pour les territoires, comme la lutte contre le changement climatique, ou l’autonomie énergétique. Le plan local d’urbanisme intercommunal (PLUi) peut contribuer à développer l’implantation des réseaux de chaleur sur le territoire de l’EPCI. Fiche n° 05 - Intégrer la méthanisation dans les PLUi Le développement de la méthanisation répond à de nombreux enjeux sur les plans énergétique, environnemental et économique. La récente programmation pluriannuelle de l’énergie (PPE) publiée le 21 avril 2020 prévoit de multiplier par 4 à 6 fois la production de biogaz d’ici à 2028 par rapport à 2017 (soit entre 24 et 32 TWh d’ici à 2028). Le PLU(i) peut être utilisé pour favoriser et organiser le développement de la méthanisation sur le territoire, en cohérence avec les orientations énergétiques prises par le territoire, par exemple en lien avec le PCAET (plan climat air énergie territoire).
  353. Edition (Ceremadoc) PLU et production d'énergie. Série de fiches : Fiche n°1 : PLU et réseaux de chaleur

    Les présentes fiches « PLU et production d’énergie » traitent de l’implantation en milieu urbain de systèmes techniques de production d’énergie à partir de sources renouvelables. Elles constituent un état des lieux des leviers du PLU à disposition mais ne proposent pas d’exemples de rédaction.
  354. Edition (Ceremadoc) SCoT Grenelle. SCoT et Biodiversité. Série de fiches : Scot de Cergy-Pontoise

    La démarche « SCoT Grenelle » est une démarche d'accompagnement des thèmes nouveaux impulsés par le Grenelle de l'environnement dans les SCoT. Elle se déroule pendant 3 ans sur 12 sites . Elle est pilotée par le Ministère de l'Écologie, du Développement Durable des Transports et du Logement . Le Certu assure une assistance au maître d'ouvrage en lien avec les Cete. La thématique de la biodiversité a fait l'objet d'une analyse menée par le Certu et Cete en partenariat avec les maîtres d'ouvrage concernés. Destinées aux collectivités élaborant leur SCoT, ces six fiches permettent de diffuser et partager l'expérience de ces SCoT « Grenelle ».
  355. Edition (Ceremadoc) Schémas régionaux du climat, de l'air et de l'énergie (SRCAE). Les collectivités en action : Cahier thématique énergie renouvelable

    Destiné aux collectivités et aux services déconcentrés de l’État, cet ouvrage constitue une aide précieuse à la mise en oeuvre des Schémas régionaux climat air et énergie (SRCAE) et des démarches régionales de planification énergie-climat. S’appuyant sur une analyse d’un panel de trois SRCAE et de 15 actions menées par des collectivités infra-régionales, cet ouvrage comprend : un dossier offrant un panorama : 1. des leviers énergie-climat disponibles dans un SRCAE en matière d’économies d’énergies, d’émissions de GES évitées, et de production d’énergie renouvelable, 2. des actions que les collectivités infra-régionales peuvent mener afin de contribuer à la mise en œuvre des SRCAE, 3. des outils de financement mobilisés par les collectivités dans la mise en œuvre opérationnelle des leviers, des indicateurs de suivi du SRCAE ; un ensemble de cahiers thématiques regroupant par domaine de l’aménagement (urbanisme, transport, bâtiment, énergie renouvelable) un ensemble de quinze fiches. Chacune de ces fiches détaille une action d’une collectivité contribuant à la mise en œuvre effective du SRCAE. Des informations importantes sont ainsi livrées concernant le contenu de l’action, son efficacité sur le plan énergétique et climatique, son degré de réplicabilité, ses impacts sociaux et environnementaux, ses modes de financement, et son coût. Au final, le lecteur trouvera dans cet ouvrage des indications sur les leviers des SRCAE et leurs articulations avec des actions de collectivités infra-régionales, ainsi que de nombreux enseignements concernant le contenu et les résultats obtenus par de telles actions.
  356. Edition (Ceremadoc) SCoT Grenelle. SCoT et Biodiversité. Série de fiches : Scot du valenciennois

    La démarche « SCoT Grenelle » est une démarche d'accompagnement des thèmes nouveaux impulsés par le Grenelle de l'environnement dans les SCoT. Elle se déroule pendant 3 ans sur 12 sites . Elle est pilotée par le Ministère de l'Écologie, du Développement Durable des Transports et du Logement . Le Certu assure une assistance au maître d'ouvrage en lien avec les Cete. La thématique de la biodiversité a fait l'objet d'une analyse menée par le Certu et Cete en partenariat avec les maîtres d'ouvrage concernés. Destinées aux collectivités élaborant leur SCoT, ces six fiches permettent de diffuser et partager l'expérience de ces SCoT « Grenelle ».
  357. Edition (Ceremadoc) Schémas régionaux du climat, de l'air et de l'énergie (SRCAE). Les collectivités en action

    Destiné aux collectivités et aux services déconcentrés de l’État, cet ouvrage constitue une aide précieuse à la mise en oeuvre des Schémas régionaux climat air et énergie (SRCAE) et des démarches régionales de planification énergie-climat. S’appuyant sur une analyse d’un panel de trois SRCAE et de 15 actions menées par des collectivités infra-régionales, cet ouvrage comprend : un dossier offrant un panorama : 1. des leviers énergie-climat disponibles dans un SRCAE en matière d’économies d’énergies, d’émissions de GES évitées, et de production d’énergie renouvelable, 2. des actions que les collectivités infra-régionales peuvent mener afin de contribuer à la mise en œuvre des SRCAE, 3. des outils de financement mobilisés par les collectivités dans la mise en œuvre opérationnelle des leviers, des indicateurs de suivi du SRCAE ; un ensemble de cahiers thématiques regroupant par domaine de l’aménagement (urbanisme, transport, bâtiment, énergie renouvelable) un ensemble de quinze fiches. Chacune de ces fiches détaille une action d’une collectivité contribuant à la mise en œuvre effective du SRCAE. Des informations importantes sont ainsi livrées concernant le contenu de l’action, son efficacité sur le plan énergétique et climatique, son degré de réplicabilité, ses impacts sociaux et environnementaux, ses modes de financement, et son coût. Au final, le lecteur trouvera dans cet ouvrage des indications sur les leviers des SRCAE et leurs articulations avec des actions de collectivités infra-régionales, ainsi que de nombreux enseignements concernant le contenu et les résultats obtenus par de telles actions.
  358. Edition (Ceremadoc) Routes et passages à faune - 40 ans d'évolution

    Les passages à faune ont connu de nombreuses évolutions depuis les premières implantations dans les années 60. Dispositifs au départ destinés au gibier, ils répondent maintenant à une demande plus large de conservation de la biodiversité tout en assurant pour le réseau routier un rôle de sécurité. Deux guides techniques, édités par le Sétra en 1993 pour la grande faune et en 2005 pour la petite faune, définissent les principes, méthodes et gestions nécessaires à leur implantation et à leur bon fonctionnement. Ce rapport présente les progrès accomplis sur le terrain afin de les rendre plus fonctionnels et mieux adaptés aux espèces considérées. Il fait état des diverses possibilités offertes, notamment avec les nouveaux matériaux et la meilleure connaissance des problèmes defragmentation des habitats, à travers notamment l'exemple de réflexions globales à l'échelle d'un territoire. Enfin, il présente, compte tenu des nouvelles perspectives, la réflexion préalable à la mise en place des nouveaux passages.
  359. Edition (Ceremadoc) Sécurisation des projets d’infrastructures linéaires de transports - volet eau

    Dans un contexte de complexité des dossiers et des projets et de prescriptions environnementales de plus en plus exigeantes, il apparaît indispensable d’éclairer les maîtres d’ouvrages sur les aspects les plus sensibles vis-à-vis du risque de contentieux administratif. La présente note a pour objet de présenter les conclusions de l’étude du Cerema sur les causes fréquentes de contentieux des arrêtés « loi sur l’eau », et de proposer quelques recommandations sur des thématiques à enjeux de manière à sécuriser les dossiers « loi sur l’eau ». Elle vise aussi à améliorer la qualité des arrêtés afin d’en assurer la solidité juridique.
  360. Edition (Ceremadoc) SCoT Grenelle : SCoT et Eau, fiches 8 -9. Synthèse des entretiens SCoT Grenelle : Fiche n° 8 : L'eau dans les SCoT Grenelle - synthèse des entretiens SCoT grenelle

    Les entretiens, conduits avec les différents acteurs de l’urbanisme, ont montré tout l'intérêt qu'il pouvait y avoir à regarder plus singulièrement comment les territoires gèrent, intègrent cette donnée, en quelque sorte vitale, pour composer leur projet. De fait et à plus d'un titre, l'eau présente pour la très grande majorité des SCoT Grenelle un enjeu capital pour le développement de leur territoire. Par ailleurs, les SCoT ne peuvent se soustraire à cette prise en compte en raison d'un contexte législatif qui s'impose à eux.
  361. Edition (Ceremadoc) SCoT Grenelle. SCoT et Biodiversité. Série de fiches : Scot Marne Brosse et Gondoire

    La démarche « SCoT Grenelle » est une démarche d'accompagnement des thèmes nouveaux impulsés par le Grenelle de l'environnement dans les SCoT. Elle se déroule pendant 3 ans sur 12 sites . Elle est pilotée par le Ministère de l'Écologie, du Développement Durable des Transports et du Logement . Le Certu assure une assistance au maître d'ouvrage en lien avec les Cete. La thématique de la biodiversité a fait l'objet d'une analyse menée par le Certu et Cete en partenariat avec les maîtres d'ouvrage concernés. Destinées aux collectivités élaborant leur SCoT, ces six fiches permettent de diffuser et partager l'expérience de ces SCoT « Grenelle ».
  362. Edition (Ceremadoc) Sécurisation des projets d’infrastructures linéaires de transports - volet espèces protégées

    Cependant, une prise en compte des enjeux environnementaux efficace s’effectue bien avant la réalisation des différentes procédures environnementales qui n’en constituent que l’aboutissement. Des réflexions dès la phase conception des projets permettront plus aisément d’éviter les impacts, de les réduire au maximum, et si besoin, de les compenser. L’objectif de l’étude est donc de minimiser l’insécurité juridique en s’appuyant sur l’analyse des avis environnementaux sur des projets récents, dont la liste a été définie en concertation avec la DGALN, la DGITM et le CGDD. L’étude de dossiers diversifiés par leur ampleur, leur complexité, leur objet, les listes d’espèces concernées doit permettre d’identifier les principaux écueils rencontrés et les moyens de les éviter.
  363. Edition (Ceremadoc) Schémas régionaux du climat, de l'air et de l'énergie (SRCAE). Les collectivités en action : Cahier thématique urbanisme

    Destiné aux collectivités et aux services déconcentrés de l’État, cet ouvrage constitue une aide précieuse à la mise en oeuvre des Schémas régionaux climat air et énergie (SRCAE) et des démarches régionales de planification énergie-climat. S’appuyant sur une analyse d’un panel de trois SRCAE et de 15 actions menées par des collectivités infra-régionales, cet ouvrage comprend : un dossier offrant un panorama : 1. des leviers énergie-climat disponibles dans un SRCAE en matière d’économies d’énergies, d’émissions de GES évitées, et de production d’énergie renouvelable, 2. des actions que les collectivités infra-régionales peuvent mener afin de contribuer à la mise en œuvre des SRCAE, 3. des outils de financement mobilisés par les collectivités dans la mise en œuvre opérationnelle des leviers, des indicateurs de suivi du SRCAE ; un ensemble de cahiers thématiques regroupant par domaine de l’aménagement (urbanisme, transport, bâtiment, énergie renouvelable) un ensemble de quinze fiches. Chacune de ces fiches détaille une action d’une collectivité contribuant à la mise en œuvre effective du SRCAE. Des informations importantes sont ainsi livrées concernant le contenu de l’action, son efficacité sur le plan énergétique et climatique, son degré de réplicabilité, ses impacts sociaux et environnementaux, ses modes de financement, et son coût. Au final, le lecteur trouvera dans cet ouvrage des indications sur les leviers des SRCAE et leurs articulations avec des actions de collectivités infra-régionales, ainsi que de nombreux enseignements concernant le contenu et les résultats obtenus par de telles actions.
  364. Edition (Ceremadoc) Schémas régionaux du climat, de l'air et de l'énergie (SRCAE). Les collectivités en action : Cahier thématique transport

    Destiné aux collectivités et aux services déconcentrés de l’État, cet ouvrage constitue une aide précieuse à la mise en oeuvre des Schémas régionaux climat air et énergie (SRCAE) et des démarches régionales de planification énergie-climat. S’appuyant sur une analyse d’un panel de trois SRCAE et de 15 actions menées par des collectivités infra-régionales, cet ouvrage comprend : un dossier offrant un panorama : 1. des leviers énergie-climat disponibles dans un SRCAE en matière d’économies d’énergies, d’émissions de GES évitées, et de production d’énergie renouvelable, 2. des actions que les collectivités infra-régionales peuvent mener afin de contribuer à la mise en œuvre des SRCAE, 3. des outils de financement mobilisés par les collectivités dans la mise en œuvre opérationnelle des leviers, des indicateurs de suivi du SRCAE ; un ensemble de cahiers thématiques regroupant par domaine de l’aménagement (urbanisme, transport, bâtiment, énergie renouvelable) un ensemble de quinze fiches. Chacune de ces fiches détaille une action d’une collectivité contribuant à la mise en œuvre effective du SRCAE. Des informations importantes sont ainsi livrées concernant le contenu de l’action, son efficacité sur le plan énergétique et climatique, son degré de réplicabilité, ses impacts sociaux et environnementaux, ses modes de financement, et son coût. Au final, le lecteur trouvera dans cet ouvrage des indications sur les leviers des SRCAE et leurs articulations avec des actions de collectivités infra-régionales, ainsi que de nombreux enseignements concernant le contenu et les résultats obtenus par de telles actions.
  365. Edition (Ceremadoc) Sécurité globale et résilience des territoires Ingénierie, effets de levier et stratégies à promouvoir - Séminaire organisé à Lyon le 17 et 18 janvier 2019

    Trois séminaires organisés par le Cerema successivement en septembre 2016, octobre 2017 et janvier 2019 ont affirmé la place de la résilience dans la recherche de sécurité globale des territoires. Ces séminaires ont à chaque fois impliqué dans une réflexion collective plusieurs dizaines de participants : professionnels, experts et scientifiques représentant les disciplines les plus variées. Faisant écho aux premières Assises nationales de la sécurité globale des territoires, qui se sont tenues à Lyon fin mai 2018, le séminaire de janvier 2019, dont le travail « vivant » est reproduit dans cet ouvrage, a abordé la question des grands défis à relever par les gestionnaires des territoires et les métropoles. Ces défis sont souvent liés aux transitions énergétiques et écologiques. Une nouvelle fois, les travaux ont mis l’accent sur l’urgence de casser les silos, de valoriser les initiatives prises au-delà de leur domaine d’emploi initial, d’articuler des outils relevant aujourd’hui de registres différents. L’activation de toutes ces passerelles démultiplie en effet les possibilités offertes par les approches sectorielles, en matière d’adaptation et de résilience. Pour affronter les grands changements en cours, le moment est venu d’adopter des approches bien plus collaboratives et transversales. PréfaceAvant-proposÉquipe-projet et collaborationsSommaireProgramme du séminaire PREMIÈRE PARTIE Cadre du séminaire Présentation générale Regard scientifique sur la notion de défi Ingénierie, leviers et stratégies : quels apports à la résilience ? Table ronde introductive DEUXIÈME PARTIE Défi A - Sécuriser les territoires eu égard aux défaillances des systèmes techniques Présentation du défi Cas pratique 1 : la résilience des secteurs urbains exposés à des ruptures de réseaux primaires Cas pratique 2 : la résilience des vallées isolées par un aléa naturel Restitution des échanges Enseignements TROISIÈME PARTIE Défi B - Faire de la nature une composante majeure de l’aménagement urbain résilient Présentation du défi Cas pratique 3 : les arbres en ville, comment aller vers la foresterie urbaine ? Cas pratique 4 : aménager avec plus d’eau en valorisant les écosystèmes Restitution des échanges Enseignements QUATRIÈME PARTIE Défi C - Intégrer les risques dans l’aménagement des territoires et des infrastructures Présentation du défi Cas pratique 5 : territoire industriel et transition écologique : le cas de la vallée de la chimie Cas pratique 6 : territoire littoral en mutation : le cas de Semarang en Indonésie Cas pratique 7 : infrastructures de transport et adaptation au changement climatique en Europe Restitution des échanges Enseignements CINQUIÈME PARTIE Défi D - Assurer une prise en charge coordonnée des grands enjeux Présentation du défi Cas pratique 8 : l’approvisionnement alimentaire des métropoles, un exemple du besoin de coordination Restitution des échanges Enseignements Sans-Regret-sur-Rhône en 2035 : une métropole résiliente SIXIÈME PARTIE Regards transverses Agir aujourd’hui pour donner leur place aux arbres et aux forêts urbaines dans les villes du XXIe siècle Synthèse scientifique Ingénierie et résilience De la vulnérabilité à la sécurité globale par la résilience SEPTIÈME PARTIE Projets connexes Le projet Sanctum Orientations du Puca La résilience aux risques majeurs, au coeur de la stratégie de Grenoble-Alpes-Métropole Propos conclusifs Annexes Liste des participants Éléments bibliographiques
  366. Edition (Ceremadoc) SCoT Grenelle : SCoT et Eau, fiches 8 -9. Synthèse des entretiens SCoT Grenelle : SCoT de la région urbaine de Grenoble Communauté de l’eau potable

    Les entretiens, conduits avec les différents acteurs de l’urbanisme, ont montré tout l'intérêt qu'il pouvait y avoir à regarder plus singulièrement comment les territoires gèrent, intègrent cette donnée, en quelque sorte vitale, pour composer leur projet. De fait et à plus d'un titre, l'eau présente pour la très grande majorité des SCoT Grenelle un enjeu capital pour le développement de leur territoire. Par ailleurs, les SCoT ne peuvent se soustraire à cette prise en compte en raison d'un contexte législatif qui s'impose à eux.
  367. Edition (Ceremadoc) Seismic site-response variability: from site-classification to soil non-linear behaviour

    The risk of devastating earthquakes exist all over the world. It is therefore necessary to develop digital tools in order to improve our knowledge of the seismic risk and understand the local surface level amplifications created and caused by the geological and topographical structure. The risks on buildings and works are measured in this way. Julie Regnier, from Cerema Méditerranée, completed this thesis in order to introduce the digital modelisation of soil non-linear behaviour into the forecast methods already used within her team at Cerema. Résumé Remerciements Résumé étendu Notation General introduction I Basic concepts and data processing 1 Linear wave propagation 1.1 Wave propagation in linear elastic and visco-elastic media 1.2 Wave propagation in a linear visco-elastic layered model 1.3 Borehole-site response and implication for inversion purposes 1.4 Computational approach 1.5 Sensitivity analysis 2 KiK-net database: data-selection, signal processing and site-response calculations 2.1 Data selection and signal processing 2.2 Empirical site-response calculations 2.3 Computation of the empirical site response 2.4 Definition of the soil and linear site-response proxy parameters 2.5 Definition of the seismic motion intensity parameters 2.6 Conclusions II Analysis of empirical seismic site response variability 3 Inter-site site-response variability 3.1 Introduction 3.2 Selection of the KiK-net sites with 1-D site configuration 3.3 Variability of the Vs profiles and site responses according to Vs30 only 3.4 On the use of additional parameters to Vs30 3.5 Illustration of three KiK-net sites 3.6 Analyses of the Vs profile and BFSRemp variabilities of the 1-D selected sites 3.7 Conclusion and discussion 4 Inter-event site-response variability 4.1 Introduction 4.2 Elements of soil non-linear behaviour 4.3 Quantification of the non-linear effects 4.4 Statistical analyses of the event/ site parameters 4.5 Optimal parameters to assess soil non-linearity 4.6 Conclusions III Inversion of the borehole transfer function 5 The simulated annealing downhill simplex hybrid global inverse algorithm 5.1 Simulated annealing 5.2 Downhill simplex method 5.3 The hybrid method 5.4 Inversions on synthetic cases 6 Inversion of empirical data 6.1 Introduction 6.2 Description of the selected KiK-net sites 6.3 Inversion of linear data 6.4 Inversion of non-linear data 6.5 discussion on the inversion of non-linear data 6.6 Conclusion Conclusions Conclusion and perspectives References A Earthquake locations at sites FKSH12, FKSH14, KSRH10 and MYGH04 B Illustration of the down-going wave effect on the numerical borehole site responses C Picking the fundamental resonance frequency C.1 Methodology C.2 Comparison of the f0 C.3 Conclusion and discussion D Characteristics of KiK-net sites that have recorded at least two earthquakes with PGAs at depth >50 cm/s2
  368. Edition (Ceremadoc) Schémas régionaux de raccordement au réseau électrique des énergies renouvelables

    La loi Grenelle 2 par son article 71 modifie deux articles de la loi 2000-108 du 10 février 2000 relative à la modernisation et au développement du service public de l’électricité, pour instituer les schémas régionaux de raccordement au réseau des énergies renouvelables, et permettre de mutualiser les frais de raccordement au réseau pour les énergies renouvelables.
  369. Edition (Ceremadoc) SCoT Grenelle. SCoT et Biodiversité. Série de fiches : Scot sud Meurthe et Moselle

    La démarche « SCoT Grenelle » est une démarche d'accompagnement des thèmes nouveaux impulsés par le Grenelle de l'environnement dans les SCoT. Elle se déroule pendant 3 ans sur 12 sites . Elle est pilotée par le Ministère de l'Écologie, du Développement Durable des Transports et du Logement . Le Certu assure une assistance au maître d'ouvrage en lien avec les Cete. La thématique de la biodiversité a fait l'objet d'une analyse menée par le Certu et Cete en partenariat avec les maîtres d'ouvrage concernés. Destinées aux collectivités élaborant leur SCoT, ces six fiches permettent de diffuser et partager l'expérience de ces SCoT « Grenelle ».
  370. Edition (Ceremadoc) SCoT Grenelle - Synthèse des entretiens , n°6 : Prise en compte de la biodiversité et de la nature dans les 12 SCoT Grenelle

    Le Certu a extrait les 12 SCoT Grenelle, sur la base des entretiens conduits par les Cete auprès des différents acteurs de la démarche afin de connaître plus précisément comment ils se sont saisis du sujet. La restitution fera état des acteurs en présence, des démarches engagées, des méthodes déployées avant de développer les différentes modalités de prise en compte de la biodiversité et de la nature par les SCoT. Après avoir précisé les principaux outils utilisés par les maîtres d'ouvrage des SCoT pour lutter contre l'érosion de la biodiversité, la présente synthèse exposera les modalités de prise en compte de la biodiversité et de la nature dans les 12 SCoT.
  371. Edition (Ceremadoc) Routes et chiroptères : Synthèse

    La France métropolitaine compte 33 espèces de chiroptères, communément appelés chauves-souris, toutes protégées au titre de la loi. Elles bénéficient également d’un statut de protection international (Conventions de Bonn, de Berne, accord Eurobats, espèces d’intérêt communautaire). En 2007, un plan national de restauration des chiroptères a été lancé pour la période 2008-2012. Parmi les actions de ce plan, le Sétra a été chargé de conduire : ● l’élaboration et la mise en œuvre d’une méthodologie pour la prise en compte des chiroptères lors de la construction et de l’entretien d’infrastructures et d’ouvrages d’art ; ● l’évaluation de l’efficacité de systèmes de réduction d’impact des infrastructures de transport. Dans ce cadre, un guide technique proposera, à terme, des recommandations techniques aux concepteurs d’infrastructures de transport, sur la base d’une étude bibliographique, de suivis de sites de collision et d’aménagements pour les chiroptères. Ce rapport présente la première phase d’élaboration de ce futur guide : un bilan des connaissances nationales et internationales sur le thème des chiroptères et des infrastructures linéaires.
  372. Edition (Ceremadoc) Route et paysage

    La première partie de ce guide présente le cadre général d'intervention, la politique en matière de route et de paysage, puis la démarche globale d'aménagement. La deuxième partie présente pour chaque mission, les objectifs, la méthode de travail, le type de documents à remettre et les bases de rémunération. La présentation des missions reprend le cadre des phases successives d'élaboration du projet routier, depuis l'analyse de l'état initial, les études préalables au choix du tracé, le choix du tracé, la communication, la mise au point du projet.
  373. Edition (Ceremadoc) Road noise prediction : 2 - -Noise propagation computation method including meteorolgical effects(NMPB 2008)

    The NMPB-Roads-2008 is the French road noise prediction method leading on from the NMPB-Roads-1996. It is designed for both road project impact studies and for noise mapping in application of Directive 2002/49/EC. This document is intended for both users (design offices, State departments) and software program publishers. It specifies the breakdown of a linear infrastructure into point sources, the micrometeorological characterisation of a site, the search for elementary trajectories and the calculation of the attenuation in an elementary trajectory. The probabilities of occurrence of favourable conditions are tabulated for 41 stations spread across France. Foreword Introduction Definitions and notations Method overview Description of the source Taking the micrometeorology into account Propagation analysis Calculations in an elementary path Bibliography A- Calculation method flow chart B- Occurrence values and maps of downward-refraction conditions for France C- Meteorology and sound propagation D- Meteorological analysis of an acoustic situation E- Geometric aspects F- Dealing with special elements G- Validation elements H- Description of the sites of the experimental campaigns I- Sample NMPB-Roads-2008 applications J- From the NMPB-Roads-96 to the NMPB-Roads-2008
  374. Edition (Ceremadoc) Pratiques de développement durable dans le bâtiment en France. Campagne d’évaluations 2006-2009. 30 opérations : Bpdd 10 : Cuisine centrale (76)

    De nombreux bâtiments sont réputés « durables » (certifications HQE, Habitat Environnement...) ou affichent des performances, labels de nature énergétique sans que l'on ne sache : les qualités ou caractéristiques de ces bâtiments au moment de leur construction (les choix effectués) ou les performances réellement atteintes (par exemple sur le plan énergétique) ; comment ces bâtiments évoluent : fonctionnement, consommations, usages, lien avec la ville... Dans cette perspective, le ministère de l'écologie, du Développement durable, des transports et du logement a mené une campagne entre 2006 et 2010 d'analyses de 30 opérations de tous types, logements, bureaux, établissements scolaires, équipements sportifs...Il s'agit d'identifier, de présenter, d'évaluer des bâtiments présentant des progrès significatifs dans un domaine particulier (énergétique, économique, mais aussi évolutivité, usage, santé, eau...). A cet effet le CERTU, les CETEs et le CSTB, réunis dans un comité technique d'experts, ont développé des outils de référence : un guide de questionnement pour l'analyse et une fiche de restitution. Le travail de terrain a été assuré par un réseau d'expertise issu des spécialistes « Construction et Développement durable » des CETEs. Ces bâtiments (logements, équipements, tertiaire) devait être en service depuis au moins un an afin d'apprécier leurs performances réelles en exploitation et vis-à-vis de l'usage. Les réalisations ont été choisies autant sur leurs performances que sur la cohérence et la maîtrise des ambitions de durabilité depuis le programme jusqu'à la mise en service et la vie de l'équipement. À l'heure où les professionnels, et notamment les maîtres d'ouvrage, s'interrogent encore sur la viabilité économique de tels projets, mais aussi sur la manière la plus efficace de les mener, il s'agit de démythifier le coût du développement durable et de généraliser le progrès. Ainsi ont été établies 30 fiches monographiques mettant en avant les points forts de chaque opération selon cinq thèmes emblématiques des pratiques professionnelles liées au développement durable appliqué au bâtiment : gouvernance ; qualité urbaine, qualité d'usage, qualité environnementale, économie.
  375. Edition (Ceremadoc) Pollution (la) des sols et des végétaux à proximité des routes : Note d'Information - Économie Environnement Conception - Série(EEC) N° 73

    La réalisation de bilans aux abords des infrastructures est difficile en raison de la multiplicité des sources de pollution et en l'absence de normes françaises. Pourtant, ces bilans de pollution sont nécessaires à la réalisation des études d'impacts "sol" rendues obligatoires par le décret n°93-245 du 25 février 1993, qui précise la notion d'environnement et transpose en droit interne les prescription de la directive CEE n°85-337du 27 juin 1985 concernant l'évaluation des incidences de certains projets publics et privés sur l'environnement.Cette note d'information a pour objectif de fournir des références et des éléments pour faciliter la réalisation des études d'impact "sol", et plus précisément, pour permettre la prise en compte de la pollution atmosphérique de proximité par les éléments traces métalliques, autrefois désignés métaux lourds.Les études sur lesquelles cette note d'information s'appuie ont été réalisées sur des voies supportant des trafics de référence allant de 20 000 à 80 000 véhicules par jour. Les éléments traces métalliques Éléments pour la réalisation des études d'impacts sol Mesures envisageables
  376. Edition (Ceremadoc) Pratiques de développement durable dans le bâtiment en France. Campagne d’évaluations 2006-2009. 30 opérations : Bpdd 14 : Piscine de Villenave d’Ornon (33)

    De nombreux bâtiments sont réputés « durables » (certifications HQE, Habitat Environnement...) ou affichent des performances, labels de nature énergétique sans que l'on ne sache : les qualités ou caractéristiques de ces bâtiments au moment de leur construction (les choix effectués) ou les performances réellement atteintes (par exemple sur le plan énergétique) ; comment ces bâtiments évoluent : fonctionnement, consommations, usages, lien avec la ville... Dans cette perspective, le ministère de l'écologie, du Développement durable, des transports et du logement a mené une campagne entre 2006 et 2010 d'analyses de 30 opérations de tous types, logements, bureaux, établissements scolaires, équipements sportifs...Il s'agit d'identifier, de présenter, d'évaluer des bâtiments présentant des progrès significatifs dans un domaine particulier (énergétique, économique, mais aussi évolutivité, usage, santé, eau...). A cet effet le CERTU, les CETEs et le CSTB, réunis dans un comité technique d'experts, ont développé des outils de référence : un guide de questionnement pour l'analyse et une fiche de restitution. Le travail de terrain a été assuré par un réseau d'expertise issu des spécialistes « Construction et Développement durable » des CETEs. Ces bâtiments (logements, équipements, tertiaire) devait être en service depuis au moins un an afin d'apprécier leurs performances réelles en exploitation et vis-à-vis de l'usage. Les réalisations ont été choisies autant sur leurs performances que sur la cohérence et la maîtrise des ambitions de durabilité depuis le programme jusqu'à la mise en service et la vie de l'équipement. À l'heure où les professionnels, et notamment les maîtres d'ouvrage, s'interrogent encore sur la viabilité économique de tels projets, mais aussi sur la manière la plus efficace de les mener, il s'agit de démythifier le coût du développement durable et de généraliser le progrès. Ainsi ont été établies 30 fiches monographiques mettant en avant les points forts de chaque opération selon cinq thèmes emblématiques des pratiques professionnelles liées au développement durable appliqué au bâtiment : gouvernance ; qualité urbaine, qualité d'usage, qualité environnementale, économie.
  377. Edition (Ceremadoc) Pratiques de développement durable dans le bâtiment en France. Campagne d’évaluations 2006-2009. 30 opérations : Bpdd 1 : Notre Dame de Gravenchon (76)

    De nombreux bâtiments sont réputés « durables » (certifications HQE, Habitat Environnement...) ou affichent des performances, labels de nature énergétique sans que l'on ne sache : les qualités ou caractéristiques de ces bâtiments au moment de leur construction (les choix effectués) ou les performances réellement atteintes (par exemple sur le plan énergétique) ; comment ces bâtiments évoluent : fonctionnement, consommations, usages, lien avec la ville... Dans cette perspective, le ministère de l'écologie, du Développement durable, des transports et du logement a mené une campagne entre 2006 et 2010 d'analyses de 30 opérations de tous types, logements, bureaux, établissements scolaires, équipements sportifs...Il s'agit d'identifier, de présenter, d'évaluer des bâtiments présentant des progrès significatifs dans un domaine particulier (énergétique, économique, mais aussi évolutivité, usage, santé, eau...). A cet effet le CERTU, les CETEs et le CSTB, réunis dans un comité technique d'experts, ont développé des outils de référence : un guide de questionnement pour l'analyse et une fiche de restitution. Le travail de terrain a été assuré par un réseau d'expertise issu des spécialistes « Construction et Développement durable » des CETEs. Ces bâtiments (logements, équipements, tertiaire) devait être en service depuis au moins un an afin d'apprécier leurs performances réelles en exploitation et vis-à-vis de l'usage. Les réalisations ont été choisies autant sur leurs performances que sur la cohérence et la maîtrise des ambitions de durabilité depuis le programme jusqu'à la mise en service et la vie de l'équipement. À l'heure où les professionnels, et notamment les maîtres d'ouvrage, s'interrogent encore sur la viabilité économique de tels projets, mais aussi sur la manière la plus efficace de les mener, il s'agit de démythifier le coût du développement durable et de généraliser le progrès. Ainsi ont été établies 30 fiches monographiques mettant en avant les points forts de chaque opération selon cinq thèmes emblématiques des pratiques professionnelles liées au développement durable appliqué au bâtiment : gouvernance ; qualité urbaine, qualité d'usage, qualité environnementale, économie.
  378. Edition (Ceremadoc) PLU, évaluation environnementale. Série de fiches : Pj 12 (plu) - des secteurs de développement conditionnés par l'avifaune - st symphorien

    La Directive européenne « Plans Programmes » 2001/42 du 27 juin 2001 a été traduite en droit français par l'Ordonnance du 03 juin 2004 et les décrets du 27 mai 2005. Ainsi, certains Plan Local d'Urbanisme (PLU) susceptibles d'avoir des effets notables sur l'environnement doivent comporter une évaluation environnementale. Le rapport de présentation de ces PLU doit notamment, en plus des obligations générales communes à tous les PLU, présenter les mesures envisagées pour éviter, réduire et, si possible, compenser les conséquences dommageables de la mise en œuvre du plan. Ce sont ces types de mesures d'évitement, de correction ou de réduction, voire de compensation, ainsi que les mesures de conservations prises en complément, qui ont guidé le travail du Certu et du Cete Méditerranée dans l'étude de 6 cas et la réalisation de 7 fiches de cas PLU correspondantes. D'autres fiches de cas sont disponibles sur les Thématique Déplacements et Thématique Paysage.
  379. Edition (Ceremadoc) PLU et production d'énergie. Série de fiches : Fiche n°3 : PLU, solaire photovoltaïque et solaire thermique

    Les présentes fiches « PLU et production d’énergie » traitent de l’implantation en milieu urbain de systèmes techniques de production d’énergie à partir de sources renouvelables. Elles constituent un état des lieux des leviers du PLU à disposition mais ne proposent pas d’exemples de rédaction.
  380. Edition (Ceremadoc) PLU, évaluation environnementale. Série de fiches : Pj 17 (plu) - la protection du réseau écologique global et des corridors qui le composent - st martin d'uriage

    La Directive européenne « Plans Programmes » 2001/42 du 27 juin 2001 a été traduite en droit français par l'Ordonnance du 03 juin 2004 et les décrets du 27 mai 2005. Ainsi, certains Plan Local d'Urbanisme (PLU) susceptibles d'avoir des effets notables sur l'environnement doivent comporter une évaluation environnementale. Le rapport de présentation de ces PLU doit notamment, en plus des obligations générales communes à tous les PLU, présenter les mesures envisagées pour éviter, réduire et, si possible, compenser les conséquences dommageables de la mise en œuvre du plan. Ce sont ces types de mesures d'évitement, de correction ou de réduction, voire de compensation, ainsi que les mesures de conservations prises en complément, qui ont guidé le travail du Certu et du Cete Méditerranée dans l'étude de 6 cas et la réalisation de 7 fiches de cas PLU correspondantes. D'autres fiches de cas sont disponibles sur les Thématique Déplacements et Thématique Paysage.
  381. Edition (Ceremadoc) PLU - Thème déplacements. Série de fiches : 1 (PLU - Paysage) - Un PADD de petite commune fondé sur une politique paysagère forte

    Le Plan Local d'Urbanisme (PLU) est le document de planification à l'échelle communale. Il a remplacé le Plan d'Occupation des Sols avec la Loi SRU du 13 décembre 2000. Le dossier PLU est composé de divers éléments : un rapport de présentation ; un PADD ; des orientations d'aménagement par quartier ou par secteur (facultatives) ; un règlement et ses documents graphiques ; des annexes. Nous vous proposons ici une série de Fiches de cas concernant la thématique du paysage et des coupures vertes. Il s'agit notamment des Fiches de cas n°1 et 2 (portant sur Villers-au-Tertre), n°5 (Criel-sur-Mer) et n°6 (St Nicolas d'Aliermont). D'autres fiches de cas sont disponibles sur la Thématique Déplacements et la Thématique Evaluation environnementale.
  382. Edition (Ceremadoc) PLUi et énergie. Série de fiches : Fiche n° 03 Les dispositions du PLUi en matière de photovoltaïque

    Fiche n° 01 - Les Planification énergie-climat, PLUi : quelles articulations ? La loi de transition énergétique, la loi portant Nouvelle organisation du territoire de la république (NOTRe), la loi de Modernisation de l’action publique territoriale et de l’action des métropoles (MAPTAM) amènent à faire évoluer les documents de planification énergie-climat et leurs articulations avec le Plan local d’urbanisme intercommunal (PLUi). Cette fiche dresse un état des lieux des principales évolutions, portant sur : le contenu du plan climat, qui devient le Plan Climat air énergie territoire (PCAET) le SRADDET, document intégrateur comprenant le SRCAE les nouveaux outils nationaux de planification de l’énergie (SNBC, PPE) Fiche n° 02 - Les dispositions du PLUi en matière d’éolien Le Plan Local d’Urbanisme Intercommunal PLUi une réponse à la bonne échelle Les éoliennes, une technologie pour la transition énergétique des territoires Recommandations pour mieux intégrer l’éolien dans les PLUi Fiche n° 03 Les dispositions du PLUi en matière de photovoltaïque Dans cette fiche, des exemples de plan local d’urbanisme intercommunal (PLUi) viennent illustrer la manière dont la rédaction du PLUi concourt au développement du solaire photovoltaïque. Les différentes recommandations formulées doivent contribuer à mieux intégrer le solaire photovoltaïque, tout en prenant en considération les enjeux environnementaux. Fiche n° 04 - Les dispositions du PLUi en matière de réseaux de chaleur Le développement des réseaux de chaleur répond à de nombreux enjeux pour les territoires, comme la lutte contre le changement climatique, ou l’autonomie énergétique. Le plan local d’urbanisme intercommunal (PLUi) peut contribuer à développer l’implantation des réseaux de chaleur sur le territoire de l’EPCI. Fiche n° 05 - Intégrer la méthanisation dans les PLUi Le développement de la méthanisation répond à de nombreux enjeux sur les plans énergétique, environnemental et économique. La récente programmation pluriannuelle de l’énergie (PPE) publiée le 21 avril 2020 prévoit de multiplier par 4 à 6 fois la production de biogaz d’ici à 2028 par rapport à 2017 (soit entre 24 et 32 TWh d’ici à 2028). Le PLU(i) peut être utilisé pour favoriser et organiser le développement de la méthanisation sur le territoire, en cohérence avec les orientations énergétiques prises par le territoire, par exemple en lien avec le PCAET (plan climat air énergie territoire).
  383. Edition (Ceremadoc) PLU, évaluation environnementale. Série de fiches : Pj 16 (plu) - la préservation des corridors écologiques situés en milieux forestiers et aquatiques – vaulnaveuys-le-haut

    La Directive européenne « Plans Programmes » 2001/42 du 27 juin 2001 a été traduite en droit français par l'Ordonnance du 03 juin 2004 et les décrets du 27 mai 2005. Ainsi, certains Plan Local d'Urbanisme (PLU) susceptibles d'avoir des effets notables sur l'environnement doivent comporter une évaluation environnementale. Le rapport de présentation de ces PLU doit notamment, en plus des obligations générales communes à tous les PLU, présenter les mesures envisagées pour éviter, réduire et, si possible, compenser les conséquences dommageables de la mise en œuvre du plan. Ce sont ces types de mesures d'évitement, de correction ou de réduction, voire de compensation, ainsi que les mesures de conservations prises en complément, qui ont guidé le travail du Certu et du Cete Méditerranée dans l'étude de 6 cas et la réalisation de 7 fiches de cas PLU correspondantes. D'autres fiches de cas sont disponibles sur les Thématique Déplacements et Thématique Paysage.
  384. Edition (Ceremadoc) PLUi et GEMAPI - Vers une approche intégrée de l’eau dans la planification

    La compétence Gestion des milieux aquatiques et prévention des inondations (GEMAPI) est dévolue aux EPCI à fiscalité propre depuis le 1er janvier 2018. En parallèle, les plans locaux d’urbanisme (PLU) à l’échelle intercommunale se généralisent. L’exercice de ces deux compétences pour les métropoles et communautés doit être considéré comme une opportunité pour renforcer les liens entre les enjeux relatifs à l’eau et la planification de l’aménagement d’un territoire. Ce guide à destination des collectivités et de leurs groupements fournit des éléments méthodologiques concrets pour faciliter la cohérence entre les deux compétences. Il s’appuie sur l’expérience de pairs qui, par leur organisation et par la mobilisation de différents types de leviers, utilisent le document d’urbanisme au service de la préservation, de la valorisation des milieux aquatiques, et de la protection des populations vis-à-vis des inondations. Sommaire : Introduction 1. Contexte et enjeux 2. Assurer la cohérence des compétences PLUi et GEMAPI au service des enjeux liés a l’eau 3. Le diagnostic, une étape clé pour appréhender les enjeux de la gestion de l’eau sur le territoire intercommunal 4. Agir dans le PLUi pour une meilleure gestion de l’eau sur le territoire intercommunal 5. Conclusion 6. Liste des sigles 7. Glossaire 8. Bibliographie 9. Annexes 10. Table des matières Sur le même thèmeEn téléchargement gratuit sur www.cerema.fr : Prévenir et gérer les conflits d’usages liés aux milieux humides dans un contexte urbanisé _ Fiche «Nature en ville» - 2019 - PLUi et grand territoire - 2018Anticiper la compétence GEMAPI - Fiche «Gestion des milieux aquatiques et prévention des inondations» - 2018P’tit essentiel sur la GEMAPI : - Planification littorale - contraintes et potentiels - 2019 - La GEMAPI - vers une gestion intégrée de l’eau dans les territoires - 2018Introduction à la prise de compétence - Gestion des milieux aquatiques et prévention des inondations - 2018 - Guide international sur les digues 2019 - The International Levee Handbook (2013) Version française - 2019 - L’intérêt de l’utilisation de l’eau de pluie dans la maîtrise du ruissellement urbain Les enseignements d’un panorama international - Seconde édition - 2018 - Jardins de pluie - Une dimension écologique et paysagère de l’aménagement - 2016
  385. Edition (Ceremadoc) Plantations routières : un nouveau procédé de paillage : Note d'Information - Économie Environnement Conception - Série(EEC)

    Cette note présente un matériau destiné au paillage des plantations, l'Isoplant, dont les caractéristiques et les conditions d'utilisation correspondent aux besoins des aménagements plantés des abords des routes :- meilleure reprise des végétaux plantés,- croissance rapide des plantes,- meilleur état phytosanitaire des jeunes plantations,- entretien réduit,- protection de la structure du sol...
  386. Edition (Ceremadoc) PLUi et énergie. Série de fiches : Fiche n° 05 Intégrer la méthanisation dans les PLUi

    Fiche n° 01 - Les Planification énergie-climat, PLUi : quelles articulations ? La loi de transition énergétique, la loi portant Nouvelle organisation du territoire de la république (NOTRe), la loi de Modernisation de l’action publique territoriale et de l’action des métropoles (MAPTAM) amènent à faire évoluer les documents de planification énergie-climat et leurs articulations avec le Plan local d’urbanisme intercommunal (PLUi). Cette fiche dresse un état des lieux des principales évolutions, portant sur : le contenu du plan climat, qui devient le Plan Climat air énergie territoire (PCAET) le SRADDET, document intégrateur comprenant le SRCAE les nouveaux outils nationaux de planification de l’énergie (SNBC, PPE) Fiche n° 02 - Les dispositions du PLUi en matière d’éolien Le Plan Local d’Urbanisme Intercommunal PLUi une réponse à la bonne échelle Les éoliennes, une technologie pour la transition énergétique des territoires Recommandations pour mieux intégrer l’éolien dans les PLUi Fiche n° 03 Les dispositions du PLUi en matière de photovoltaïque Dans cette fiche, des exemples de plan local d’urbanisme intercommunal (PLUi) viennent illustrer la manière dont la rédaction du PLUi concourt au développement du solaire photovoltaïque. Les différentes recommandations formulées doivent contribuer à mieux intégrer le solaire photovoltaïque, tout en prenant en considération les enjeux environnementaux. Fiche n° 04 - Les dispositions du PLUi en matière de réseaux de chaleur Le développement des réseaux de chaleur répond à de nombreux enjeux pour les territoires, comme la lutte contre le changement climatique, ou l’autonomie énergétique. Le plan local d’urbanisme intercommunal (PLUi) peut contribuer à développer l’implantation des réseaux de chaleur sur le territoire de l’EPCI. Fiche n° 05 - Intégrer la méthanisation dans les PLUi Le développement de la méthanisation répond à de nombreux enjeux sur les plans énergétique, environnemental et économique. La récente programmation pluriannuelle de l’énergie (PPE) publiée le 21 avril 2020 prévoit de multiplier par 4 à 6 fois la production de biogaz d’ici à 2028 par rapport à 2017 (soit entre 24 et 32 TWh d’ici à 2028). Le PLU(i) peut être utilisé pour favoriser et organiser le développement de la méthanisation sur le territoire, en cohérence avec les orientations énergétiques prises par le territoire, par exemple en lien avec le PCAET (plan climat air énergie territoire).
  387. Edition (Ceremadoc) PLU, évaluation environnementale. Série de fiches : Pj 13 (plu) - des mesures conservatoires et réductrices pour une protection de l'avifaune - st symphorien

    La Directive européenne « Plans Programmes » 2001/42 du 27 juin 2001 a été traduite en droit français par l'Ordonnance du 03 juin 2004 et les décrets du 27 mai 2005. Ainsi, certains Plan Local d'Urbanisme (PLU) susceptibles d'avoir des effets notables sur l'environnement doivent comporter une évaluation environnementale. Le rapport de présentation de ces PLU doit notamment, en plus des obligations générales communes à tous les PLU, présenter les mesures envisagées pour éviter, réduire et, si possible, compenser les conséquences dommageables de la mise en œuvre du plan. Ce sont ces types de mesures d'évitement, de correction ou de réduction, voire de compensation, ainsi que les mesures de conservations prises en complément, qui ont guidé le travail du Certu et du Cete Méditerranée dans l'étude de 6 cas et la réalisation de 7 fiches de cas PLU correspondantes. D'autres fiches de cas sont disponibles sur les Thématique Déplacements et Thématique Paysage.
  388. Edition (Ceremadoc) PLUi et énergie. Série de fiches : Fiche N° 02 Les dispositions du PLUi en matière d’éolien

    Fiche n° 01 - Les Planification énergie-climat, PLUi : quelles articulations ? La loi de transition énergétique, la loi portant Nouvelle organisation du territoire de la république (NOTRe), la loi de Modernisation de l’action publique territoriale et de l’action des métropoles (MAPTAM) amènent à faire évoluer les documents de planification énergie-climat et leurs articulations avec le Plan local d’urbanisme intercommunal (PLUi). Cette fiche dresse un état des lieux des principales évolutions, portant sur : le contenu du plan climat, qui devient le Plan Climat air énergie territoire (PCAET) le SRADDET, document intégrateur comprenant le SRCAE les nouveaux outils nationaux de planification de l’énergie (SNBC, PPE) Fiche n° 02 - Les dispositions du PLUi en matière d’éolien Le Plan Local d’Urbanisme Intercommunal PLUi une réponse à la bonne échelle Les éoliennes, une technologie pour la transition énergétique des territoires Recommandations pour mieux intégrer l’éolien dans les PLUi Fiche n° 03 Les dispositions du PLUi en matière de photovoltaïque Dans cette fiche, des exemples de plan local d’urbanisme intercommunal (PLUi) viennent illustrer la manière dont la rédaction du PLUi concourt au développement du solaire photovoltaïque. Les différentes recommandations formulées doivent contribuer à mieux intégrer le solaire photovoltaïque, tout en prenant en considération les enjeux environnementaux. Fiche n° 04 - Les dispositions du PLUi en matière de réseaux de chaleur Le développement des réseaux de chaleur répond à de nombreux enjeux pour les territoires, comme la lutte contre le changement climatique, ou l’autonomie énergétique. Le plan local d’urbanisme intercommunal (PLUi) peut contribuer à développer l’implantation des réseaux de chaleur sur le territoire de l’EPCI. Fiche n° 05 - Intégrer la méthanisation dans les PLUi Le développement de la méthanisation répond à de nombreux enjeux sur les plans énergétique, environnemental et économique. La récente programmation pluriannuelle de l’énergie (PPE) publiée le 21 avril 2020 prévoit de multiplier par 4 à 6 fois la production de biogaz d’ici à 2028 par rapport à 2017 (soit entre 24 et 32 TWh d’ici à 2028). Le PLU(i) peut être utilisé pour favoriser et organiser le développement de la méthanisation sur le territoire, en cohérence avec les orientations énergétiques prises par le territoire, par exemple en lien avec le PCAET (plan climat air énergie territoire).
  389. Edition (Ceremadoc) PLU et production d'énergie. Série de fiches : Fiche n°2 : PLU et éoliennes terrestres

    Les présentes fiches « PLU et production d’énergie » traitent de l’implantation en milieu urbain de systèmes techniques de production d’énergie à partir de sources renouvelables. Elles constituent un état des lieux des leviers du PLU à disposition mais ne proposent pas d’exemples de rédaction.
  390. Edition (Ceremadoc) Ponts courants en zone sismique : Guide de conception

    La prise en compte du risque sismique est obligatoire depuis 1996 pour l'élaboration des projets d'ouvrages d'art. Ce document apporte une aide en termes de conception et de justifications parasismiques aux bureaux d'études travaillant sur les ponts routes courants tels que définis dans la circulaire du 5 mai 1994, ainsi que sur certains ouvrages courants du domaine ferroviaire. Ce guide reprend l'ensemble des textes relatifs à la protection parasismique des diverses parties d'ouvrages. Les règles de justification reposent essentiellement sur celles édictées par le Guide AFPS 92 (1) pour la protection parasismique des ponts. Elles sont déclinées dans le cas des ponts courants avec de nombreux commentaires explicatifs. Il fournit quelques rappels théoriques permettant de comprendre le fonctionnement des structures sous séisme : généralités sur les problèmes sismiques, principes de base du calcul dynamique des structures (méthode d'analyse, comportement d'un pont sous séisme). Il développe les principes généraux de la conception parasismique : conception des ponts courants en zone sismique (conception générale, choix des structures et du système d'appui, conception des piles, des culées et des fondations, conception détaillée). Il présente l'ensemble des règles de justification : les principes de base du calcul sismique (détermination des actions sismiques, méthode d'analyse, calculs justificatifs de l'ouvrage). Un sous-chapitre est consacré aux organes d'appui des tabliers, un autre aux ponts-cadres et portiques. Il développe les dispositions constructives : dispositions générales, réglementaires et application aux éléments structuraux ou types de structure). Il propose un exemple numérique complet : dimensionnement d'un pont-dalle en zone sismique (données générales, dimensionnement des appareils d'appui, piles, fondation superficielle, fondation profonde, culées, mur garde-grève fusible).En annexe : condition sur le biais et la courbure pour appliquer la méthode monomodale, dimensionnement des fondations profondes tenant compte des déplacements imposés par le sol et des actions inertielles provenant de la structure en élévation, prise en compte de l'interaction sol -pieux, poussée active du terrain, méthode de Mononobe-Okabe, les murs garde-grève fusibles, zonage sismique (annexe du décret n° 91-461 du 14 mai 1991 relatif à la prévention du risque sismique), références et bibliographie sommaire.(1) Diffusion : Presses de ENPC
  391. Edition (Ceremadoc) Pratiques de développement durable dans le bâtiment en France. Campagne d’évaluations 2006-2009. 30 opérations : Bpdd 13 : Maison Détot Kavoukdjian (04)

    De nombreux bâtiments sont réputés « durables » (certifications HQE, Habitat Environnement...) ou affichent des performances, labels de nature énergétique sans que l'on ne sache : les qualités ou caractéristiques de ces bâtiments au moment de leur construction (les choix effectués) ou les performances réellement atteintes (par exemple sur le plan énergétique) ; comment ces bâtiments évoluent : fonctionnement, consommations, usages, lien avec la ville... Dans cette perspective, le ministère de l'écologie, du Développement durable, des transports et du logement a mené une campagne entre 2006 et 2010 d'analyses de 30 opérations de tous types, logements, bureaux, établissements scolaires, équipements sportifs...Il s'agit d'identifier, de présenter, d'évaluer des bâtiments présentant des progrès significatifs dans un domaine particulier (énergétique, économique, mais aussi évolutivité, usage, santé, eau...). A cet effet le CERTU, les CETEs et le CSTB, réunis dans un comité technique d'experts, ont développé des outils de référence : un guide de questionnement pour l'analyse et une fiche de restitution. Le travail de terrain a été assuré par un réseau d'expertise issu des spécialistes « Construction et Développement durable » des CETEs. Ces bâtiments (logements, équipements, tertiaire) devait être en service depuis au moins un an afin d'apprécier leurs performances réelles en exploitation et vis-à-vis de l'usage. Les réalisations ont été choisies autant sur leurs performances que sur la cohérence et la maîtrise des ambitions de durabilité depuis le programme jusqu'à la mise en service et la vie de l'équipement. À l'heure où les professionnels, et notamment les maîtres d'ouvrage, s'interrogent encore sur la viabilité économique de tels projets, mais aussi sur la manière la plus efficace de les mener, il s'agit de démythifier le coût du développement durable et de généraliser le progrès. Ainsi ont été établies 30 fiches monographiques mettant en avant les points forts de chaque opération selon cinq thèmes emblématiques des pratiques professionnelles liées au développement durable appliqué au bâtiment : gouvernance ; qualité urbaine, qualité d'usage, qualité environnementale, économie.
  392. Edition (Ceremadoc) Pratiques de développement durable dans le bâtiment en France. Campagne d’évaluations 2006-2009. 30 opérations : Bpdd 15 : Groupe scolaire Jean Mineur (59)

    De nombreux bâtiments sont réputés « durables » (certifications HQE, Habitat Environnement...) ou affichent des performances, labels de nature énergétique sans que l'on ne sache : les qualités ou caractéristiques de ces bâtiments au moment de leur construction (les choix effectués) ou les performances réellement atteintes (par exemple sur le plan énergétique) ; comment ces bâtiments évoluent : fonctionnement, consommations, usages, lien avec la ville... Dans cette perspective, le ministère de l'écologie, du Développement durable, des transports et du logement a mené une campagne entre 2006 et 2010 d'analyses de 30 opérations de tous types, logements, bureaux, établissements scolaires, équipements sportifs...Il s'agit d'identifier, de présenter, d'évaluer des bâtiments présentant des progrès significatifs dans un domaine particulier (énergétique, économique, mais aussi évolutivité, usage, santé, eau...). A cet effet le CERTU, les CETEs et le CSTB, réunis dans un comité technique d'experts, ont développé des outils de référence : un guide de questionnement pour l'analyse et une fiche de restitution. Le travail de terrain a été assuré par un réseau d'expertise issu des spécialistes « Construction et Développement durable » des CETEs. Ces bâtiments (logements, équipements, tertiaire) devait être en service depuis au moins un an afin d'apprécier leurs performances réelles en exploitation et vis-à-vis de l'usage. Les réalisations ont été choisies autant sur leurs performances que sur la cohérence et la maîtrise des ambitions de durabilité depuis le programme jusqu'à la mise en service et la vie de l'équipement. À l'heure où les professionnels, et notamment les maîtres d'ouvrage, s'interrogent encore sur la viabilité économique de tels projets, mais aussi sur la manière la plus efficace de les mener, il s'agit de démythifier le coût du développement durable et de généraliser le progrès. Ainsi ont été établies 30 fiches monographiques mettant en avant les points forts de chaque opération selon cinq thèmes emblématiques des pratiques professionnelles liées au développement durable appliqué au bâtiment : gouvernance ; qualité urbaine, qualité d'usage, qualité environnementale, économie.
  393. Edition (Ceremadoc) Pratiques de développement durable dans le bâtiment en France. Campagne d’évaluations 2006-2009. 30 opérations : Bpdd 12 : Lycée Emulation dieppoise (76)

    De nombreux bâtiments sont réputés « durables » (certifications HQE, Habitat Environnement...) ou affichent des performances, labels de nature énergétique sans que l'on ne sache : les qualités ou caractéristiques de ces bâtiments au moment de leur construction (les choix effectués) ou les performances réellement atteintes (par exemple sur le plan énergétique) ; comment ces bâtiments évoluent : fonctionnement, consommations, usages, lien avec la ville... Dans cette perspective, le ministère de l'écologie, du Développement durable, des transports et du logement a mené une campagne entre 2006 et 2010 d'analyses de 30 opérations de tous types, logements, bureaux, établissements scolaires, équipements sportifs...Il s'agit d'identifier, de présenter, d'évaluer des bâtiments présentant des progrès significatifs dans un domaine particulier (énergétique, économique, mais aussi évolutivité, usage, santé, eau...). A cet effet le CERTU, les CETEs et le CSTB, réunis dans un comité technique d'experts, ont développé des outils de référence : un guide de questionnement pour l'analyse et une fiche de restitution. Le travail de terrain a été assuré par un réseau d'expertise issu des spécialistes « Construction et Développement durable » des CETEs. Ces bâtiments (logements, équipements, tertiaire) devait être en service depuis au moins un an afin d'apprécier leurs performances réelles en exploitation et vis-à-vis de l'usage. Les réalisations ont été choisies autant sur leurs performances que sur la cohérence et la maîtrise des ambitions de durabilité depuis le programme jusqu'à la mise en service et la vie de l'équipement. À l'heure où les professionnels, et notamment les maîtres d'ouvrage, s'interrogent encore sur la viabilité économique de tels projets, mais aussi sur la manière la plus efficace de les mener, il s'agit de démythifier le coût du développement durable et de généraliser le progrès. Ainsi ont été établies 30 fiches monographiques mettant en avant les points forts de chaque opération selon cinq thèmes emblématiques des pratiques professionnelles liées au développement durable appliqué au bâtiment : gouvernance ; qualité urbaine, qualité d'usage, qualité environnementale, économie.
  394. Edition (Ceremadoc) PLU - Thème déplacements. Série de fiches : 6 (PLU - Paysage) - Prise en compte des coupures vertes dans le PLU

    Le Plan Local d'Urbanisme (PLU) est le document de planification à l'échelle communale. Il a remplacé le Plan d'Occupation des Sols avec la Loi SRU du 13 décembre 2000. Le dossier PLU est composé de divers éléments : un rapport de présentation ; un PADD ; des orientations d'aménagement par quartier ou par secteur (facultatives) ; un règlement et ses documents graphiques ; des annexes. Nous vous proposons ici une série de Fiches de cas concernant la thématique du paysage et des coupures vertes. Il s'agit notamment des Fiches de cas n°1 et 2 (portant sur Villers-au-Tertre), n°5 (Criel-sur-Mer) et n°6 (St Nicolas d'Aliermont). D'autres fiches de cas sont disponibles sur la Thématique Déplacements et la Thématique Evaluation environnementale.
  395. Edition (Ceremadoc) PLU, évaluation environnementale. Série de fiches : Pj 14 (plu) - la protection de la biodiversité dans les zones humides – niort

    La Directive européenne « Plans Programmes » 2001/42 du 27 juin 2001 a été traduite en droit français par l'Ordonnance du 03 juin 2004 et les décrets du 27 mai 2005. Ainsi, certains Plan Local d'Urbanisme (PLU) susceptibles d'avoir des effets notables sur l'environnement doivent comporter une évaluation environnementale. Le rapport de présentation de ces PLU doit notamment, en plus des obligations générales communes à tous les PLU, présenter les mesures envisagées pour éviter, réduire et, si possible, compenser les conséquences dommageables de la mise en œuvre du plan. Ce sont ces types de mesures d'évitement, de correction ou de réduction, voire de compensation, ainsi que les mesures de conservations prises en complément, qui ont guidé le travail du Certu et du Cete Méditerranée dans l'étude de 6 cas et la réalisation de 7 fiches de cas PLU correspondantes. D'autres fiches de cas sont disponibles sur les Thématique Déplacements et Thématique Paysage.
  396. Edition (Ceremadoc) PLU - Thème déplacements. Série de fiches : 5 (PLU - Paysage) - Prise en compte des composantes paysagères dans le PLU

    Le Plan Local d'Urbanisme (PLU) est le document de planification à l'échelle communale. Il a remplacé le Plan d'Occupation des Sols avec la Loi SRU du 13 décembre 2000. Le dossier PLU est composé de divers éléments : un rapport de présentation ; un PADD ; des orientations d'aménagement par quartier ou par secteur (facultatives) ; un règlement et ses documents graphiques ; des annexes. Nous vous proposons ici une série de Fiches de cas concernant la thématique du paysage et des coupures vertes. Il s'agit notamment des Fiches de cas n°1 et 2 (portant sur Villers-au-Tertre), n°5 (Criel-sur-Mer) et n°6 (St Nicolas d'Aliermont). D'autres fiches de cas sont disponibles sur la Thématique Déplacements et la Thématique Evaluation environnementale.
  397. Edition (Ceremadoc) PLU, évaluation environnementale. Série de fiches : Pj 15 (plu) - la protection des micro-naturalités et d'une espèce spécifique dans le plu – echirolles

    La Directive européenne « Plans Programmes » 2001/42 du 27 juin 2001 a été traduite en droit français par l'Ordonnance du 03 juin 2004 et les décrets du 27 mai 2005. Ainsi, certains Plan Local d'Urbanisme (PLU) susceptibles d'avoir des effets notables sur l'environnement doivent comporter une évaluation environnementale. Le rapport de présentation de ces PLU doit notamment, en plus des obligations générales communes à tous les PLU, présenter les mesures envisagées pour éviter, réduire et, si possible, compenser les conséquences dommageables de la mise en œuvre du plan. Ce sont ces types de mesures d'évitement, de correction ou de réduction, voire de compensation, ainsi que les mesures de conservations prises en complément, qui ont guidé le travail du Certu et du Cete Méditerranée dans l'étude de 6 cas et la réalisation de 7 fiches de cas PLU correspondantes. D'autres fiches de cas sont disponibles sur les Thématique Déplacements et Thématique Paysage.
  398. Edition (Ceremadoc) Pratiques de développement durable dans le bâtiment en France. Campagne d’évaluations 2006-2009. 30 opérations : Bpdd 11 : Maison de la vie associative (92)

    De nombreux bâtiments sont réputés « durables » (certifications HQE, Habitat Environnement...) ou affichent des performances, labels de nature énergétique sans que l'on ne sache : les qualités ou caractéristiques de ces bâtiments au moment de leur construction (les choix effectués) ou les performances réellement atteintes (par exemple sur le plan énergétique) ; comment ces bâtiments évoluent : fonctionnement, consommations, usages, lien avec la ville... Dans cette perspective, le ministère de l'écologie, du Développement durable, des transports et du logement a mené une campagne entre 2006 et 2010 d'analyses de 30 opérations de tous types, logements, bureaux, établissements scolaires, équipements sportifs...Il s'agit d'identifier, de présenter, d'évaluer des bâtiments présentant des progrès significatifs dans un domaine particulier (énergétique, économique, mais aussi évolutivité, usage, santé, eau...). A cet effet le CERTU, les CETEs et le CSTB, réunis dans un comité technique d'experts, ont développé des outils de référence : un guide de questionnement pour l'analyse et une fiche de restitution. Le travail de terrain a été assuré par un réseau d'expertise issu des spécialistes « Construction et Développement durable » des CETEs. Ces bâtiments (logements, équipements, tertiaire) devait être en service depuis au moins un an afin d'apprécier leurs performances réelles en exploitation et vis-à-vis de l'usage. Les réalisations ont été choisies autant sur leurs performances que sur la cohérence et la maîtrise des ambitions de durabilité depuis le programme jusqu'à la mise en service et la vie de l'équipement. À l'heure où les professionnels, et notamment les maîtres d'ouvrage, s'interrogent encore sur la viabilité économique de tels projets, mais aussi sur la manière la plus efficace de les mener, il s'agit de démythifier le coût du développement durable et de généraliser le progrès. Ainsi ont été établies 30 fiches monographiques mettant en avant les points forts de chaque opération selon cinq thèmes emblématiques des pratiques professionnelles liées au développement durable appliqué au bâtiment : gouvernance ; qualité urbaine, qualité d'usage, qualité environnementale, économie.
  399. Edition (Ceremadoc) Ports de commerce et Natura 2000 en mer

    Le guide présente les normes européennes à la source des outils NATURA 2000 de protection de l’environnement ainsi que les lois et décrets fixant en droit français leur transposition. Il décrit ensuite la réalité d’un port de commerce, son emprise géographique, ses activités courantes, ainsi que celles des navires qui le fréquentent. Il détermine les catégories de pression exercées sur les milieux et les espèces marines (oiseaux, poissons, mammifères). Un point méthodologique est fait sur la mesure environnementale des pressions et des impacts, qui permet de jeter les bases du suivi environnemental et d’évaluer les possibles mesures destinées à les réduire, les supprimer ou les compenser. 1 LES OBJECTIFS DE L'ÉTUDE L'extension du réseau Natura 2000 en mer 2 NATURA 2000 EN MER 2.1 Origine et objectif 2.2 Directive « Oiseaux » 2.3 Directive « Habitats, Faune, Flore sauvages » 2.4 Extension en mer 2.5 Désignation des sites 2.6 Gestion des zones Natura 2000 en mer : élaboration et approbation du document d'objectif 2.6.1 Élaboration du document d'objectifs 2.6.2 Approbation du document d'objectifs 2.7 Évaluation de l'état de conservation des habitats et espèces d'intérêt communautaire 2.8 L'ÉVALUATION DES INCIDENCES NATURA 2000 : UNE OBLIGATION RÉGLEMENTAIRE 2.8.1 Les principes 2.8.2 La transposition en droit français 2.8.3 Le contenu du dossier d'évaluation des incidences (voir annexe 1) L'évaluation environnementale 3 LES PORTS DE COMMERCE 3.1 La part des ports de commerce dans l'économie française 3.2 Les activités portuaires et leur emprise géographique 3.2.1 L'emprise spatiale d'un port et les ouvrages associés 3.2.1.1 L'emprise spatiale d'un port 3.2.1.2 Les ouvrages et équipements associés aux ports 3.2.2 Les activités portuaires considérées/ Natura 2000 en mer 3.2.3 Le port : un abri pour les navires 3.2.3.1 L'entretien et la réparation des ouvrages 3.2.3.2 L'extension d'ouvrages 3.2.3.3 Le dragage d'entretien du chenal d'accès et de l'avant-port (cf guide GEODE) 3.2.3.4 L'activité de relocalisation des sédiments 3.2.3.5 L'activité de gestion des sédiments à terre 3.2.4 Activités/problématiques liées au commerce 3.2.4.1 Terminaux à vracs liquides 3.2.4.2 Terminaux à gaz liquéfiés 3.2.4.3. Terminaux pétroliers 3.2.4.4 Terminaux à vracs solides inertes 3.2.4.5 Terminaux à vracs solides organiques 3.2.4.6 Terminaux à marchandises diverses conventionnelles 3.2.4.7 Terminaux à conteneurs 3.2.4.8 Terminaux rouliers 3.2.4.9 Terminaux à passagers 3.2.4.10 La circulation des engins motorisés sur les terre-pleins portuaires 3.2.4.11 La gestion des eaux de ruissellement 3.2.5 Activités/problématiques liées aux navires 3.2.5.1 Les différents types de navires présents dans un port de commerce 3.2.5.2 La circulation des navires 3.2.5.3 Le mouillage des navires en zone d'attente 3.2.5.4 L'activité de réparation navale L'activité de carénage 3.2.5.5 La gestion des eaux de ballast 3.2.5.6 La gestion des déchets des navires 3.3 Réglementation applicable aux eaux portuaires 4 MÉTHODOLOGIE RETENUE 4.1 Cadrage de l'étude 4.1.1 Rappel : limites spatiales 4.1.2 Limites temporelles 4.2 Détail de la méthodologie 4.2.1 Concept : le modèle DPSIR 4.2.2 Méthode en pratique 4.3 Limites de l'évaluation 5 PRESSIONS PRODUITES PAR LES ACTIVITÉS PORTUAIRES 5.1 Définitions des pressions et de leur interaction spatiale avec les espèces et habitats 5.2 Résultat du groupe de travail « ports et environnement » 5.2.1 Emprise spatiale des activités portuaires 5.2.2 Interaction entre les activités/problématiques et le milieu marin 5.3 Résultat du groupe de travail « Oiseaux » 5.4 Résultat du groupe de travail « Habitats marins » 5.5 Résultat du groupe de travail «espèces marines» 5.5.1 Poissons marins au titre de Natura 2000 en mer 5.5.2 Mammifères marins 5.5.3 Espèces non Natura 2000 en mer 6 SYNTHÈSE DES RÉSULTATS : ACTIVITÉS/PROBLÉMATIQUES PORTUAIRES SUR LES HABITATS ET ESPÈCES NATURA 2000 EN MER Mode d'emploi des livrets 7 MESURES ENVIRONNEMENTALES 7.1 Importance du suivi environnemental 7.2 Mesures de suppression 7.3 Mesures de réduction 7.4 Mesures de compensation 7.5 Mesures d'accompagnement 8 CONCLUSION 9 FICHES DE SYNTHÈSE ACRONYMES | GLOSSAIRE PORTUAIRE ET ENVIRONNEMENTAL | BIBLIOGRAPHIEAnnexe 1 - Directive «Habitats Faune Flore sauvages» et Directive « Oiseaux » et évaluation des incidences, Directive «Habitats Faune Flore sauvages», Directive « Oiseaux », Evaluation des incidences Dossier-type (article R. 414-23 du code de l'environnement)Annexe 2 - Les ouvrages portuaires et leur construction (Les digues à talus, les digues verticales, les digues mixtes, autres types de digues) II - Ouvrages d'amarrage/accostageAnnexe 3 - Ouvrages liés aux terminaux portuairesAnnexe 4 - Ouvrages liés à la réparation navaleAnnexe 5 - Les différents types de naviresAnnexe 6 - Composition des quatre groupes de travail (I - Groupe de travail « Ports et environnement » II - Groupe de travail « Oiseaux », III - Groupe de travail « Habitats marins », IV - Groupe de travail « Espèces marines »)Annexe 7- Le transport maritime et les émissions dans l'atmosphèreAnnexe 8 - Réglementation applicable aux eaux portuaires
  400. Edition (Ceremadoc) Mustélidés semi-aquatiques (les) et les infrastructures routières et ferroviaires - Loutre et vison d'Europe : Note d'Information - Économie Environnement Conception - Série(EEC)

    Les mustélidés semi-aquatiques protégés sont représentés par deux espèces autochtones en France : la loutre d'Europe et le vison d'Europe. Ces espèces sont spécifiques des milieux humides. La pression exercée sur ces milieux, et leur régression ces 30 dernières années, a fortement contribué au déclin de ces deux espèces.Les collisions avec les véhicules circulant sur les réseaux routier et autoroutier ainsi que le cloisonnement progressif du territoire par les infrastructures linéaires sont parmi les principales causes de régression.Contrairement à celles portant sur les collisions avec la grande faune, les études et recherches sont récentes sur le sujet et la survie de ces espèces en dépend partiellement. L'objectif de cette note d'information est de présenter la biologie, l'habitat et le comportement du vison et de la loutre d'Europe, et de faire le point sur les menaces sur ces espèces. Ce document est illustré de quelques exemples de mesures.Il a également pour objectif de permettre à un aménageur ou à un décideur d'évaluer les actions à mener pour préserver au mieux ces espèces, conformément à l'orientation de préservation des habitats et des espèces définie dans le plan d'action infrastructures de transports terrestres* du ministère de l'Environnement, publié en novembre 2005 dans le cadre de la stratégie nationale pour la biodiversité.*Le plan d'action infrastructures de transports terrestres a pour principal objectif la limitation des impacts des grandes infrastructures sur la biodiversité.Cet objectif est réalisé :- en optimisant les tracés ;- en mobilisant l'expertise écologique requise ;- en limitant l'usage de biocides dans l'entretien des dépendances ;- en respectant ou restaurant les corridors biologiques.La formation et la sensibilisation des maîtres d'ouvrage et des maîtres d'oeuvre sont mises en place et des partenariats sont établis avec la communauté scientifique. Présentation des espèces Menaces potentielles et évolution des populations des deux espèces Propositions d'actions
  401. Edition (Ceremadoc) Nouveau (le) fascicule 35 du CCTG. Aménagements paysagers - Aires de sports et de loisirs de plein air. Apports et conseils d'utilisation : Note d'Information - Économie Environnement Conception - Série(EEC)

    Publié il y a plus de 20 ans, le fascicule 35 du CCTG a fait l'objet d'une refonte.Cette note, destinée à faciliter la tâche des utilisateurs chargés d'élaborer des marchés entrant dans le champ d'application de ce fascicule, présente, d'une part :- le plan général du fascicule : les dispositions communes, les travaux neufs, les travaux d'entretien et les annexes ;- les principaux apports : domaine d'application élargi (végétalisation par semis hydraulique, traitements phytosanitaires, arrosage, bassins et fontaines, aires de jeux et leurs équipements, élagage des arbres), clauses contractuelles nouvelles, recommandation pour la maîtrise d'ouvrage ;- l'explicitation de recherche d'articles et numérotation ;- des extraits concernant les prescriptions relatives aux travaux concernant les végétaux et les semences ;- les délais contractuels pour la réception et la période de garantie,d'autre part, des conseils pour l'élaboration d'un CCTP concernant :- les recommandations pour l'élaboration d'un DCE comportant des plantations ou de la végétalisation par semis hydraulique (VHS) ;- l'obligation de référence aux normes ;- les documents à fournir par l'entrepreneur ;- les produits, prestations soumis à l'acceptation du maître d'oeuvre.
  402. Edition (Ceremadoc) Natura 2000 - Principes d'évaluation des incidences des infrastructures de transports terrestres : Note d'Information - Économie Environnement Conception - Série(EEC)

    La démarche Natura 2000 vise la protection et la constitution d'un réseau de sites naturels reconnus pour abriter des habitats naturels ou des espèces remarquables nécessaires au maintien de la biodiversité en Europe.Cette note d'information se base sur la circulaire interministérielle du 5 octobre 2004, prise pour l'application des articles du Code de l'environnement relatif à l'évaluation des incidences des programmes et projets de travaux, d'ouvrages ou d'aménagements susceptibles d'affecter de façon notable les sites Natura 2000.Afin de clarifier les procédures, cette note présente également la démarche à suivre pour des projets affectant des espèces protégées au titre de l'Annexe IV de la directive Habitats ou concernés par la directive Oiseaux hors zones Natura 2000 (Article R. 411-1 du Code de l'environnement) . La phase étude Le contenu du dossier d’évaluation des incidences Exemples de mesures de suppression ou de réduction Exemples de mesures compensatoires (au sens de Natura 2000) Partenariat et concertation Cas des espèces protégées Lexique . Glossaire Bibliographie
  403. Edition (Ceremadoc) Nature en ville - série de fiches : Fiche n° 1 : La nature comme élément du projet d'aménagement urbain

    >>>>>> Voir la vidéo La Nature en ville comme élément de confort climatique Série de fiches thématiques sur la nature en ville dans les projets d’aménagement urbain. La fiche n° 1 se propose d’expliquer la manière dont le maître d’ouvrage urbain peut intégrer la nature en ville sous toutes ses formes dans le déroulement de son projet. Elle est largement illustrée à partir des retours d’expériences des quartiers lauréats de la démarche Écoquartier portée par le ministère en charge du logement. La fiche n° 2 a vocation à mieux appréhender et intégrer les milieux humides dans le processus d'une opération d'aménagement. Elle s'appuie sur des retours d'expériences, de visites de sites et d'analyses de dossiers Ecoquartiers. La fiche n° 3 se propose d'expliquer les interactions entre la nature en ville et la santé des habitants et usagers. Elle est largement illustrée à partir d'Ecoquartiers labellisés dans le cadre de la démarche portée par le Ministère en charge du logement. La fiche n° 4 présente quelques conseils pratiques afin de gérer au mieux les conflits d'usages liés aux milieux humides et de prévenir l’émergence de conflits futurs. Elle s’adresse plus particulièrement aux services techniques de collectivités territoriales locales, et aux agents de syndicats de bassins.
  404. Edition (Ceremadoc) Nature en ville - série de fiches : Fiche n° 4 : Milieux humides, conflits d’usages et urbanisme - Prévenir et gérer les conflits d’usages liés aux milieux humides dans un contexte urbanisé

    >>>>>> Voir la vidéo La Nature en ville comme élément de confort climatique Série de fiches thématiques sur la nature en ville dans les projets d’aménagement urbain. La fiche n° 1 se propose d’expliquer la manière dont le maître d’ouvrage urbain peut intégrer la nature en ville sous toutes ses formes dans le déroulement de son projet. Elle est largement illustrée à partir des retours d’expériences des quartiers lauréats de la démarche Écoquartier portée par le ministère en charge du logement. La fiche n° 2 a vocation à mieux appréhender et intégrer les milieux humides dans le processus d'une opération d'aménagement. Elle s'appuie sur des retours d'expériences, de visites de sites et d'analyses de dossiers Ecoquartiers. La fiche n° 3 se propose d'expliquer les interactions entre la nature en ville et la santé des habitants et usagers. Elle est largement illustrée à partir d'Ecoquartiers labellisés dans le cadre de la démarche portée par le Ministère en charge du logement. La fiche n° 4 présente quelques conseils pratiques afin de gérer au mieux les conflits d'usages liés aux milieux humides et de prévenir l’émergence de conflits futurs. Elle s’adresse plus particulièrement aux services techniques de collectivités territoriales locales, et aux agents de syndicats de bassins.
  405. Edition (Ceremadoc) PLU et production d'énergie. Série de fiches : Fiche n°1 : PLU et réseaux de chaleur

    Les présentes fiches « PLU et production d’énergie » traitent de l’implantation en milieu urbain de systèmes techniques de production d’énergie à partir de sources renouvelables. Elles constituent un état des lieux des leviers du PLU à disposition mais ne proposent pas d’exemples de rédaction.
  406. Edition (Ceremadoc) PLUi et énergie. Série de fiches : Fiche n° 01 Planification énergie - climat, PLUi : quelles articulations ?

    Fiche n° 01 - Les Planification énergie-climat, PLUi : quelles articulations ? La loi de transition énergétique, la loi portant Nouvelle organisation du territoire de la république (NOTRe), la loi de Modernisation de l’action publique territoriale et de l’action des métropoles (MAPTAM) amènent à faire évoluer les documents de planification énergie-climat et leurs articulations avec le Plan local d’urbanisme intercommunal (PLUi). Cette fiche dresse un état des lieux des principales évolutions, portant sur : le contenu du plan climat, qui devient le Plan Climat air énergie territoire (PCAET) le SRADDET, document intégrateur comprenant le SRCAE les nouveaux outils nationaux de planification de l’énergie (SNBC, PPE) Fiche n° 02 - Les dispositions du PLUi en matière d’éolien Le Plan Local d’Urbanisme Intercommunal PLUi une réponse à la bonne échelle Les éoliennes, une technologie pour la transition énergétique des territoires Recommandations pour mieux intégrer l’éolien dans les PLUi Fiche n° 03 Les dispositions du PLUi en matière de photovoltaïque Dans cette fiche, des exemples de plan local d’urbanisme intercommunal (PLUi) viennent illustrer la manière dont la rédaction du PLUi concourt au développement du solaire photovoltaïque. Les différentes recommandations formulées doivent contribuer à mieux intégrer le solaire photovoltaïque, tout en prenant en considération les enjeux environnementaux. Fiche n° 04 - Les dispositions du PLUi en matière de réseaux de chaleur Le développement des réseaux de chaleur répond à de nombreux enjeux pour les territoires, comme la lutte contre le changement climatique, ou l’autonomie énergétique. Le plan local d’urbanisme intercommunal (PLUi) peut contribuer à développer l’implantation des réseaux de chaleur sur le territoire de l’EPCI. Fiche n° 05 - Intégrer la méthanisation dans les PLUi Le développement de la méthanisation répond à de nombreux enjeux sur les plans énergétique, environnemental et économique. La récente programmation pluriannuelle de l’énergie (PPE) publiée le 21 avril 2020 prévoit de multiplier par 4 à 6 fois la production de biogaz d’ici à 2028 par rapport à 2017 (soit entre 24 et 32 TWh d’ici à 2028). Le PLU(i) peut être utilisé pour favoriser et organiser le développement de la méthanisation sur le territoire, en cohérence avec les orientations énergétiques prises par le territoire, par exemple en lien avec le PCAET (plan climat air énergie territoire).
  407. Edition (Ceremadoc) PLU - Thème déplacements. Série de fiches : 2 (PLU - Paysage) - Un secteur d'extension urbaine dans le centre bourg

    Le Plan Local d'Urbanisme (PLU) est le document de planification à l'échelle communale. Il a remplacé le Plan d'Occupation des Sols avec la Loi SRU du 13 décembre 2000. Le dossier PLU est composé de divers éléments : un rapport de présentation ; un PADD ; des orientations d'aménagement par quartier ou par secteur (facultatives) ; un règlement et ses documents graphiques ; des annexes. Nous vous proposons ici une série de Fiches de cas concernant la thématique du paysage et des coupures vertes. Il s'agit notamment des Fiches de cas n°1 et 2 (portant sur Villers-au-Tertre), n°5 (Criel-sur-Mer) et n°6 (St Nicolas d'Aliermont). D'autres fiches de cas sont disponibles sur la Thématique Déplacements et la Thématique Evaluation environnementale.
  408. Edition (Ceremadoc) PLUi et énergie. Série de fiches : Fiche n° 04 Les dispositions du PLUi en matière de réseaux de chaleur

    Fiche n° 01 - Les Planification énergie-climat, PLUi : quelles articulations ? La loi de transition énergétique, la loi portant Nouvelle organisation du territoire de la république (NOTRe), la loi de Modernisation de l’action publique territoriale et de l’action des métropoles (MAPTAM) amènent à faire évoluer les documents de planification énergie-climat et leurs articulations avec le Plan local d’urbanisme intercommunal (PLUi). Cette fiche dresse un état des lieux des principales évolutions, portant sur : le contenu du plan climat, qui devient le Plan Climat air énergie territoire (PCAET) le SRADDET, document intégrateur comprenant le SRCAE les nouveaux outils nationaux de planification de l’énergie (SNBC, PPE) Fiche n° 02 - Les dispositions du PLUi en matière d’éolien Le Plan Local d’Urbanisme Intercommunal PLUi une réponse à la bonne échelle Les éoliennes, une technologie pour la transition énergétique des territoires Recommandations pour mieux intégrer l’éolien dans les PLUi Fiche n° 03 Les dispositions du PLUi en matière de photovoltaïque Dans cette fiche, des exemples de plan local d’urbanisme intercommunal (PLUi) viennent illustrer la manière dont la rédaction du PLUi concourt au développement du solaire photovoltaïque. Les différentes recommandations formulées doivent contribuer à mieux intégrer le solaire photovoltaïque, tout en prenant en considération les enjeux environnementaux. Fiche n° 04 - Les dispositions du PLUi en matière de réseaux de chaleur Le développement des réseaux de chaleur répond à de nombreux enjeux pour les territoires, comme la lutte contre le changement climatique, ou l’autonomie énergétique. Le plan local d’urbanisme intercommunal (PLUi) peut contribuer à développer l’implantation des réseaux de chaleur sur le territoire de l’EPCI. Fiche n° 05 - Intégrer la méthanisation dans les PLUi Le développement de la méthanisation répond à de nombreux enjeux sur les plans énergétique, environnemental et économique. La récente programmation pluriannuelle de l’énergie (PPE) publiée le 21 avril 2020 prévoit de multiplier par 4 à 6 fois la production de biogaz d’ici à 2028 par rapport à 2017 (soit entre 24 et 32 TWh d’ici à 2028). Le PLU(i) peut être utilisé pour favoriser et organiser le développement de la méthanisation sur le territoire, en cohérence avec les orientations énergétiques prises par le territoire, par exemple en lien avec le PCAET (plan climat air énergie territoire).
  409. Edition (Ceremadoc) Politique 1 % Paysage & Développement. Les itinéraires de découverte : Guide méthodologique

    Cet ouvrage présente le concept des itinéraires de découverte dans le cadre de la politique du 1% Paysage et Développement. Il repose essentiellement sur les différentes expériences vécues lors de la création des premiers itinéraires de découverte sur l'A75 et l'A20, et sur les enseignements qui en ont déjà été tirés. Il explicite la notion d'itinéraire de découverte, en décrit la genèse ainsi que la mise en oeuvre (rôle des divers intervenants publics et privés, l'avant-projet). Il fournit ensuite un tableau de bord des opérations et de leur suivi. En annexes : description de diverses expériences réalisées sur l'A75 et l'A20 (Route Dauphiné d'Auvergne, Route de la Vallée de l'Alagon, Route Larzac et Dourbie, Route Causses et Vallées de l'Hérault, Route du Val de Creuse) et charte de qualité des itinéraires de découverte, bibliographie et glossaire.
  410. Edition (Ceremadoc) Paysage et infrastructures de transport : Guide méthodologique

    Quelle place donner au paysagiste au sein de l'équipe projet ? Quels enjeux paysagers rechercher à ce niveau d'étude, pour tel type de projet ? Quels documents à attendre à chaque étape ? Telles sont les questions auxquelles cet ouvrage tente de répondre, en s'adressant notamment aux chefs de projet, dont le rôle de coordination est essentiel, mais aussi aux paysagistes qui ont une place dans la définition des grandes orientations et des partis d'aménagement paysagers, et qui permettent ainsi d'assurer la cohérence des interventions sur le territoire. Avant-propos Chapitre 1 -Le paysage, un élément clé dans la démarche de projet Répondre à un enjeu majeur d’aménagement du territoire et de développement durable Favoriser les démarches de projets de paysage, au-delà des seuls projets techniques Traiter toute la question du paysage et non celle du seul « paysagement » Favoriser le travail en commun Faciliter la pérennité des ambitions qualitatives Mieux tirer parti des expériences et s’adapter aux évolutions récentes Traiter toutes les infrastructures linéaires Chapitre 2 - Infrastructures neuves et projet de paysage De l’intention du projet d’infrastructure de transport à sa réalisation, les grandes étapes d’un projet Du débat public à l’enquête publique: l’infrastructure dans le paysage De la Dup à la réception des travaux : le paysage de l’infrastructure Chapitre 3 - Réaménagement des infrastructures existantes et projet de paysage Le réaménagement de l’existant: une gestion du territoire Les enjeux paysagers du réaménagement de l’existant déclinés par infrastructure Déroulement et contenu des études paysagères pour une modification de voie existante Chapitre 4 - Conseils pour la conduite des études paysagères Suivi et animation des équipes d’études Les fondamentaux de la construction d’un cahier des charges «paysage» Comment mener une démarche participative constructive autour du paysage? Apport des outils du paysagiste dans la représentation et la communication du projet Annexes Les textes de référence Circulaire du 7 janvier 2008 de la Dgr Références bibliographiques Abréviations Glossaire
  411. Edition (Ceremadoc) Permettre à la faune de franchir les infrastructures linéaires de transport - Exemples de requalifications d'infrastructures

    Les infrastructures de transport, en fragmentant le territoire, contribuent à la rupture des continuités écologiques qui constituent un réseau d’échanges permettant à la faune et à la flore d’accomplir leur cycle de vie. Ce réseau leur assure en effet la possibilité de communiquer, circuler, s’alimenter, se reproduire, se reposer. À la faveur de l’urgence déclarée de moderniser les infrastructures, la prise en compte de la biodiversité par les gestionnaires des réseaux prend tout son sens. Cet ouvrage a pour objectif de présenter une méthodologie à observer pour rétablir les transparences écologiques en l’illustrant par de nombreux exemples de réalisations pris sur l’ensemble du territoire. Il s’adresse aux maîtres d’ouvrage et maîtres d’œuvre pour les accompagner dans le rétablissement durable de la transparence écologique de leurs Infrastructures linéaires de transport (ILT). Introduction1 - Dans quelles situations se fait la requalification ? 2 - Spécificités et contraintes de ces opérations par rapport aux travaux neufs 3 - Structure des fichesFiches : 01- DREAL Grand Est : Hamsteroducs du raccordement A35/A352 02- CD 51 : Batrachoduc d’Arrigny – lac du Der-Chantecoq 03- Cofiroute : Rétablissement de continuités écologiques pour la petite faune 04- CD 33 – RD 222 : Reconstruction du pont de Luas à Préchac 05- CD 44 – RD 33 : Reconstruction du pont de la Voûte sur la rivière Pont d’Arm 06- DIR Ouest : Aménagement de passages pour la Loutre 07- SNCF Réseau : Aménagement d’une passe à poissons au niveau du radier du pont ferroviaire du Vidourle 08- DEAL Guyane : RN 2 : Réalisation de ponts de singe au droit de couloirs écologiques 09- ASF – A 83 : Déplacement de clôtures, la fonction corridor écologique appliquée aux dépendances vertes 10- DREAL Picardie : Mise à 2x2 voies de la RN2 entre Boissy-Fresnoy et Vauxbuin 11- ESCOTA : Création de deux écoponts sur A8 et A57 12- Sanef – SAPN : Requalification d’un tronçon de l’A13 sur le même thème - Clôtures routières et ferroviaires et faune sauvage - Critères de choix et recommandations d’implantation (2019) - Amphibiens et dispositifs de franchissement des infrastructures de transport terrestre (2019) - Les chantiers d’infrastructures routières et les milieux naturels - Prise en compte des habitats et des espèces (2018) - Chiroptères et infrastructures de transport (2016) - Aménagements et mesures pour la petite faune (2005)Notes d’information : - Infrastructures linéaires de transport et Odonates - Petits ouvrages hydrauliques et continuités écologiques - Cas de la faune piscicole - Mustélidés semi-aquatiques (les) et les infrastructures routières et ferroviaires - Loutre et vison d’Europe - Routes et passages à faune - 40 ans d’évolution - Aménagements pour la faune sauvage
  412. Edition (Ceremadoc) Passage pour la grande faune : Guide technique.

    Ce guide présente tous les éléments nécessaires à la conception et à la gestion de passages efficaces pour la grande faune. Il établit une méthodologie d'approche globale du problème et des règles d'implantation, de construction et d'aménagement des abords, afin que les chefs de projets routiers puissent prendre en compte les besoins spécifiques de la grande faune depuis l'établissement des avant-projets jusqu'à la réalisation des travaux. Il développe aussi les principes de gestion et d'entretien des passages pour la grande faune. Il inclut des fiches thématiques sur la vie de la grande faune, les impacts de la route, le coût des ouvrages, et un modèle de convention de gestion. Une bibliographie complète ce guide. IntroductionPoints clés1 - Des passages ; pourquoi ? Fondements biologiques des passages pour les grands mammifères sauvages Déplacements des grands mammifères sauvages Principe de la transparence Recensement national des passages : le bilan 2 - Démarche pour conduire les études Définition de l'aire d'étude Importance de la définition du tracé Méthodes pour conduire les études Continuité de l'information - Coordination des études 3 - Règles d'implantation et de construction des passages Choix de l'implantation Passage inférieur ou supérieur : que choisir ? Passages spécifiques ou ouvrages mixtes Dimensions des passages 4 - Règles d'aménagements des passages et de leurs abords Aménagements des passages Aménagements des abords 5 - Gestion des passages Gestion - Entretien : définitions Négociations et partenariat Intérêt d'un document contractuel : signature d'une convention de gestion Contraintes et servitudes réglementaires, mesures d'accompagnement pour la protection des abords Fiches techniques Fiche n° 1 : Originalité et comportement des grands mammifères sauvages Fiche n° 2 : Habitats et territoires des grands mammifères sauvages Fiche n° 3 : Déplacements des grands mammifères sauvages Fiche n° 4 : Statut des grands mammifères sauvages Fiche n° 5 : Mortalité des grands mammifères sauvages Fiche n° 6 : Dérangement des grands mammifères sauvages Fiche n° 7 : Effets de coupure, isolement des populations Fiche n ° 8 : Effet de substitution Fiche n° 9 : Coûts des passages pour les grands mammifères sauvages Fiche n° 10 : Méthodes d'études en vue du recueil des données Fiche n° 11: Choix des essences et mélanges pour l'aménagement des abords Fiche n° 12 : Exemple de convention de gestion Bibliographie
  413. Edition (Ceremadoc) Nomenclature de la loi sur l'eau - Application aux infrastructures routières : Guide technique

    Application aux infrastructures routières de la nomenclature établie au titre de la loi sur l'eau" est un document d'information réalisé conjointement par les services du ministère chargé de l'Equipement et du ministère de l'Ecologie et du Développement durable. Il a pour vocation de centrer l'attention des acteurs du domaine autour de la sauvegarde du milieu aquatique. Son objectif est de préciser et de faciliter l'utilisation des principales rubriques de la nomenclature de la loi sur l'eau (loi n°92-3 sur l'eau du 3 janvier 1992 intégrée au titre I du livre II du code de l'environnement) dans le domaine des infrastructures linéaires. Ce document vise aussi à harmoniser les pratiques de services. Il est destiné, notamment, aux services instructeurs des missions inter services de l'eau, aux services du ministère de l'Equipement en charge des projets routiers, aux sociétés concessionnaires d'autoroutes, et aux bureaux d'études. La première partie s'attache à rappeler le cadre réglementaire et législatif concernant : le régime de l'autorisation, le régime de la déclaration, les travaux d'urgence, la régularisation des ouvrages, les rejets... et les recours juridiques. La seconde partie correspond à la description et aux commentaires sur les principales rubriques de la nomenclature de la loi sur l'eau concernant les infrastructures linéaires.
  414. Edition (Ceremadoc) Méthode de hiérarchisation de la vulnérabilité de la ressource en eau : Note d'Information - Économie Environnement Conception 80 - Série (EEC)

    La protection de la ressource en eau exige des mesures et ouvrages appropriés aux enjeux. Pour atteindre cet objectif, il est nécessaire de qualifier et de hiérarchiser la vulnérabilité des milieux aquatiques et superficiels.L'objet de la présente note est de faire connaître une méthode de hiérachisation de la vulnérabilité de la ressource en eau, notamment vis-à-vis des risques de pollution accidentelle, déjà utilisée dans le milieu routier.Elle s'applique aux infrastructures existantes et aux nouveaux projets.La méthode présentée permet au maître d'ouvrage :- dans le cas des infrastructures existantes : de définir des priorités d'actions en vue de protéger la ressource en eau ;- dans le cas des nouveaux projets : de localiser les zones à forts enjeux vis-à-vis de la ressource en eau, et de privilégier ainsi une stratégie d'évitement des zones les plus vulnérables ;- d'élaborer une stratégie concernant la nature des protections à mettre en oeuvre ;- d'avoir la connaissance des milieux traversés par son infrastructure. Contexte Méthodologie Conclusion Exemple de cartographie Bibliographie Liste d'abréviations
  415. Edition (Ceremadoc) Nature en ville - série de fiches : Fiche n° 2 : Prendre en compte les milieux humides dans l'aménagement

    >>>>>> Voir la vidéo La Nature en ville comme élément de confort climatique Série de fiches thématiques sur la nature en ville dans les projets d’aménagement urbain. La fiche n° 1 se propose d’expliquer la manière dont le maître d’ouvrage urbain peut intégrer la nature en ville sous toutes ses formes dans le déroulement de son projet. Elle est largement illustrée à partir des retours d’expériences des quartiers lauréats de la démarche Écoquartier portée par le ministère en charge du logement. La fiche n° 2 a vocation à mieux appréhender et intégrer les milieux humides dans le processus d'une opération d'aménagement. Elle s'appuie sur des retours d'expériences, de visites de sites et d'analyses de dossiers Ecoquartiers. La fiche n° 3 se propose d'expliquer les interactions entre la nature en ville et la santé des habitants et usagers. Elle est largement illustrée à partir d'Ecoquartiers labellisés dans le cadre de la démarche portée par le Ministère en charge du logement. La fiche n° 4 présente quelques conseils pratiques afin de gérer au mieux les conflits d'usages liés aux milieux humides et de prévenir l’émergence de conflits futurs. Elle s’adresse plus particulièrement aux services techniques de collectivités territoriales locales, et aux agents de syndicats de bassins.
  416. Edition (Ceremadoc) Monétarisation des externalités environnementales : Synthèse

    Il permet d’identifier les champs à investir pour faire évoluer les pratiques françaises actuelles. En outre, il cherche à quantifier, sur la base d’un exemple réel d’évaluation d’un projet routier, quelles seraient les conséquences sur les résultats du bilan socio-économique des évolutions possibles des valeurs tutélaires accordées aux externalités environnementales. L’étude s’intéresse aussi bien aux externalités environnementales pour lesquelles une valeur tutélaire est actuellement fixée (pollution atmosphérique, nuisances sonores, émissions de gaz à effet de serre) qu’aux externalités qui ne sont aujourd’hui pas prises en compte dans le calcul socio-économique (perte de biodiversité, pollution des eaux et des sols, effets de coupure, atteintes aux paysages).
  417. Edition (Ceremadoc) Désimperméabilisation et renaturation des sols. Série de fiches : Fiche n° 03 - Favoriser l'infiltration et la réutilisation des eaux pluviales - Le réaménagement de la rue Garibaldi à Lyon

    Cette série de fiches vise à faire connaitre à travers des retours d'expérience, des solutions variées de désimperméabilisation et de renaturation de sols urbains. Ces solutions concernent différentes échelles, de la rue à la ville en passant par le quartier. Elles visent à répondre aux enjeux de la ville de demain en lien avec l'adaptation au changement climatique mais aussi aux besoins exprimés de plus de nature en ville et de développement de la biodiversité. Elle comporte 4 fiches : Fiche n° 01 Sol et végétal : au cœur des aménagements urbains - Le renouvellement du quartier Victor Hugo à Bagneux Fiche n° 02 Paysage et désimperméabilisation à Marseille : les sols dans le projet urbain durable pour la ville héritée Fiche n° 03 Favoriser l'infiltration et la réutilisation des eaux pluviales - Le réaménagement de la rue Garibaldi à Lyon Fiche n° 04 Impliquer les citoyens dans la renaturation de leur quartier Opération « Strasbourg ça pousse » Sommaire commun à toutes les fiches Descriptif Éléments clés du projet Quels bénéfices pour la collectivité ? Enseignements utiles pour d'autres territoires
  418. Edition (Ceremadoc) Désimperméabilisation et renaturation des sols. Série de fiches : Fiche n° 02 - Paysage et désimperméabilisation à Marseille : les sols dans le projet urbain durable pour la ville héritée

    Cette série de fiches vise à faire connaitre à travers des retours d'expérience, des solutions variées de désimperméabilisation et de renaturation de sols urbains. Ces solutions concernent différentes échelles, de la rue à la ville en passant par le quartier. Elles visent à répondre aux enjeux de la ville de demain en lien avec l'adaptation au changement climatique mais aussi aux besoins exprimés de plus de nature en ville et de développement de la biodiversité. Elle comporte 4 fiches : Fiche n° 01 Sol et végétal : au cœur des aménagements urbains - Le renouvellement du quartier Victor Hugo à Bagneux Fiche n° 02 Paysage et désimperméabilisation à Marseille : les sols dans le projet urbain durable pour la ville héritée Fiche n° 03 Favoriser l'infiltration et la réutilisation des eaux pluviales - Le réaménagement de la rue Garibaldi à Lyon Fiche n° 04 Impliquer les citoyens dans la renaturation de leur quartier Opération « Strasbourg ça pousse » Sommaire commun à toutes les fiches Descriptif Éléments clés du projet Quels bénéfices pour la collectivité ? Enseignements utiles pour d'autres territoires
  419. Edition (Ceremadoc) Développement de la production d’origine éolienne

    Les procédures de développement de la production électrique par des éoliennes sont profondément transformées par la loi Grenelle 2 à travers : la modification des règles d’implantation des zones de développement éolien (ZDE), et l’insertion au sein du Schéma régional du climat, de l’air et de l’énergie l’évolution de la réglementation au sein des ZDE Cette fiche en décrypte les principes.
  420. Edition (Ceremadoc) Désimperméabilisation et renaturation des sols. Série de fiches : Fiche n° 04 - Impliquer les citoyens dans la renaturation de leur quartier - Opération « Strasbourg ça pousse »

    Cette série de fiches vise à faire connaitre à travers des retours d'expérience, des solutions variées de désimperméabilisation et de renaturation de sols urbains. Ces solutions concernent différentes échelles, de la rue à la ville en passant par le quartier. Elles visent à répondre aux enjeux de la ville de demain en lien avec l'adaptation au changement climatique mais aussi aux besoins exprimés de plus de nature en ville et de développement de la biodiversité. Elle comporte 4 fiches : Fiche n° 01 Sol et végétal : au cœur des aménagements urbains - Le renouvellement du quartier Victor Hugo à Bagneux Fiche n° 02 Paysage et désimperméabilisation à Marseille : les sols dans le projet urbain durable pour la ville héritée Fiche n° 03 Favoriser l'infiltration et la réutilisation des eaux pluviales - Le réaménagement de la rue Garibaldi à Lyon Fiche n° 04 Impliquer les citoyens dans la renaturation de leur quartier Opération « Strasbourg ça pousse » Sommaire commun à toutes les fiches Descriptif Éléments clés du projet Quels bénéfices pour la collectivité ? Enseignements utiles pour d'autres territoires
  421. Edition (Ceremadoc) Démarche d'évaluation environnementale. Série de fiches : Fiche 2 : Démarche d'élaboration du SCOT

    La démarche d'évaluation environnementale s'opère tout au long du processus d'élaboration du document du PLU ou du SCoT. L'objectif de cette évaluation est d'intégrer la question environnementale à chaque étape du processus de conception du document d'urbanisme. Afin de visualiser les grandes étapes d'une démarche d'évaluation environnementale, nous proposons 2 fiches synthétiques.
  422. Edition (Ceremadoc) Drainage routier

    Ce guide technique "Drainage routier" est le premier document méthodologique qui incite à la prise en compte systématique des besoins de drainage dans les travaux routiers.Il propose des solutions en terme de : type d'ouvrage ; d'implantation ; de dimensionnement et d'entretien pour les projets routiers neufs y compris les terrassements et pour les chaussées existantes. Ce document s'adresse aux maîtres d'oeuvre et d'ouvrage, aux gestionnaires, aux bureaux d'études et entreprises de travaux publics concernés par l'étude du drainage routier, sa réalisation et sa maintenance. Introduction Notions générales sur le drainage Drainage dans un projet routier neuf Drainage d’une chaussée existante Caractéristiques des dispositifs de drainage et des matériaux utilisés dans ces dispositifs Exécution des travaux, application de l’assurance qualité, achèvement des travaux de drainage, exploitation et entretien Annexes Études hydrogéologiques particulières Amélioration des conditions hydriques des matériaux Évaluation des débits à drainer Éléments pour l’établissement du cahier des clauses techniques particulières (CCTP) Bibliographie Abréviations et glossaire
  423. Edition (Ceremadoc) Entretien des dépendances vertes : Guide pratique

    Après avoir défini les dépendances vertes, leur rôle (sécurité des usagers, maintien du bon état de la route et de ses abords, image de lieux agréables et propres, préservation de l'environnement) et leurs caractéristiques, ce guide présente les différents travaux d'entretien : fauchage et débroussaillage utilisation des produits phytosanitaires taille des arbres et des arbustes plantations autres tâches d'entretien : entretien des terres pleins centraux, propreté de la route, ramassage et élimination des branches et feuilles, entretien de la végétation sur les ouvrages d'art. Il délivre des recommandations et conseils pratiques pour l'exécution des tâches réalisées en subdivision territoriale et dans les parcs d'entretien routier.
  424. Edition (Ceremadoc) Emissions routières de polluants atmosphériques - Courbes et facteurs d'influence : Note d'Information - Économie Environnement Conception - Série(EEC)

    En France, la contribution des transports routiers aux émissions de polluants atmosphériques est significative pour de nombreuses substances, voire majoritaire pour certaines. Dans le cadre de l’évaluation des projets d’infrastructures routières, de plans et programmes ou de mesures portant sur le trafic, il est intéressant de connaître les facteurs qui ont un impact sur les émissions de polluants atmosphériques dues au transport routier. Or les courbes issues des modèles permettant de déterminer les émissions de polluants en fonction de la vitesse du véhicule sont peu connues. Cette note d’information permet de présenter la démarche de construction de ces courbes et les principales variables, outre la vitesse, qui influent sur les émissions de polluants des différentes catégories de véhicules. Les courbes ainsi construites constituent un outil d’aide à la définition de mesures visant à limiter l’impact du trafic sur la pollution atmosphérique. Contexte et objectifs Présentation de la démarche de construction des courbes d’émissions Courbes d’émissions : analyse de l’influence des différents paramètres Conclusions et perspectives Bibliographie
  425. Edition (Ceremadoc) Plan National d’Adaptation au Changement Climatique, volet infrastructures et systèmes de transport : Action 3 : Analyse des risques liés aux événements climatiques extrêmes sur les infrastructures, systèmes et services de transport Recueil de concepts

    Ce plan couvre notamment le domaine des transports, pour lequel différentes actions d’adaptation à court, moyen et long termes ont été décidées. Ces actions concernent les infrastructures aéroportuaires, fluviales, maritimes, portuaires et routières, installations de transport par câbles, ouvrages d’art et en terre et remontées mécaniques. À la demande de la Direction Générale des Infrastructures de Transport et de la Mer (DGITM), ces actions ont été mises en œuvre par le Cerema, en lien avec plusieurs directions techniques et territoriales du Cerema, IFRECOR, RFF, la SNCF, le STAC, le STRMTG et VNF. ACTION 3 L’action 3 cible les futures conditions climatiques extrêmes. Dans le cadre de cette action, le Cerema développe une méthodologie d’analyse des risques encourus par les infrastructures de transport face aux événements extrêmes du changement climatique. Cette méthodologie se base principalement sur les trois volets suivants : la caractérisation des aléas retenus pour l’analyse, basée sur l’étude des aléas passés et à venir ; l’analyse de la vulnérabilité physique des infrastructures du territoire étudié, grâce à la décomposition du réseau en sous-éléments et à l’étude des facteurs de vulnérabilité de chacun de ces éléments ; l’analyse de vulnérabilité fonctionnelle, qui dépend des fonctionnalités étudiées (accès des secours, déplacements domicile-travail, etc.) et s’appuie sur différentes méthodologies de résolution. La construction de cette méthodologie se base sur la capitalisation de retours d’expérience issus d’analyses de risque menées sur différents territoires et pour plusieurs types d’infrastructures.
  426. Edition (Ceremadoc) Petits ouvrages hydrauliques et continuités écologiques - Cas de la faune piscicole : Note d’information - série Économie, Environnement, Conception n° 96

    La prise en compte des cours d’eau dans les projets d’infrastructures linéaires s’est longtemps limitée à l’étude des enjeux hydrauliques et à la prise en compte des risques d’inondations. De ce fait, leur franchissement et aménagement étaient réalisés de manière à assurer la pérennité des projets sans se soucier véritablement des autres enjeux associés aux milieux aquatiques, en particulier des fonctions biologiques qu’ils assurent : corridor de déplacement de la faune, zones préférentielles de reproduction, d’alimentation, d’abris ou de repos pour de nombreuses espèces animales terrestres, milieux de vie des espèces aquatiques. La « loi pêche » de 1984, la « loi sur l’eau » de 1992, la « Directive Cadre Européenne sur l’Eau (DCE) » de 2000 et la loi sur l’eau et les milieux aquatiques de 2006 ont enrichi cette approche purement hydraulique du franchissement des cours d’eau. Il importe désormais de rétablir la continuité écologique au sein de ces infrastructures, via la mise en place d’ouvrages adaptés aux enjeux environnementaux comme aux risques hydrauliques. Une attention toute particulière est portée à la préservation de la continuité écologique au sein des ouvrages fermés (dits « à radier » ou « avec assise dans le lit mineur »), ceci étant une obligation réglementaire pour tout I.O.T.A. [2] en rivière, modifiant le profil en long et en travers d’un cours d’eau. Dans ce cadre, la note présente les grands principes à respecter a minima et les paramètres à prendre en compte lors de la conception et l’installation de ces ouvrages 1 - Introduction 2 - Les ouvrages hydrauliques concernés 3 - Le constat 4 - Éléments clés de la réglementation 5 - Paramètres à prendre en compte lors du franchissement d'un cours d'eau Conclusion Glossaire Bibliographie
  427. Edition (Ceremadoc) Plan National Adaptation au Changement climatique : Évaluation des enjeux trafic via l’utilisation d’un modèle de déplacement

    Ce document a été élaboré sous le pilotage de la DTecITM par le PCI "Méthodes, Outils et Démarches pour la Modélisation et l’Organisation des Déplacements". Le PCI vise à proposer des évolutions dans la manière de conduire les études de déplacements afin de pouvoir répondre aux attentes sociétales complexes relevant directement ou indirectement de ce domaine d’investigations. La modélisation des déplacements est donc la cible principale du PCI mais il a aussi vocation à proposer, spécifier ou améliorer d’autres démarches, méthodes et outils pour permettre une prise en compte plus large et plus efficace des enjeux de déplacements. Le PCI est situé à la DTer Normandie-Centre. Le rapport présente la démarche suivie par le PCI Modélisation pour effectuer des analyses d’enjeux sur des réseaux de transports en vue de la création d’un guide méthodologique sur l’adaptation au changement climatique.
  428. Edition (Ceremadoc) Plan de prévention du bruit dans l’environnement - Méthodologie d’aide aux acteurs pour l’intégration des données dans MapBruit v2 : Note d'Information - Économie Environnement Conception - Série(EEC)

    La réalisation des plans de prévention du bruit dans l’environnement (PPBE) est imposée par la directive européenne 2002/49/CE. Celle-ci concerne la gestion et la prévention des bruits dans l’environnement, nécessite la mise en place d’outils permettant de stocker les informations qui leur sont relatifs. Ces informations sont de différente nature, comme la localisation des sites concernés, les mesures de protection mises en œuvre, leur coût et leur modalité de financement. Elle propose un formatage des données à stocker au travers de l’emploi d’un outil appelé MapBruit généralement utilisé dans les services de l’État. Cet outil est disponible sur le site du Certu. Le suivi de ce formatage permet d’extraire facilement ces informations spécifiques aux PPBE en interrogeant la base de données au travers du langage SQL. Introduction Objectifs de cette note d’information Rappel du contexte réglementaire Rôle des CETE Données à fournir à la Commission européenne . Opportunité d’utiliser MapBruit v2 Gestion d’un PPBE à partir de MapBruit v2 Conclusion Bibliographie Glossaire
  429. Edition (Ceremadoc) Nature en ville - série de fiches : Fiche n° 4 : Milieux humides, conflits d’usages et urbanisme - Prévenir et gérer les conflits d’usages liés aux milieux humides dans un contexte urbanisé

    >>>>>> Voir la vidéo La Nature en ville comme élément de confort climatique Série de fiches thématiques sur la nature en ville dans les projets d’aménagement urbain. La fiche n° 1 se propose d’expliquer la manière dont le maître d’ouvrage urbain peut intégrer la nature en ville sous toutes ses formes dans le déroulement de son projet. Elle est largement illustrée à partir des retours d’expériences des quartiers lauréats de la démarche Écoquartier portée par le ministère en charge du logement. La fiche n° 2 a vocation à mieux appréhender et intégrer les milieux humides dans le processus d'une opération d'aménagement. Elle s'appuie sur des retours d'expériences, de visites de sites et d'analyses de dossiers Ecoquartiers. La fiche n° 3 se propose d'expliquer les interactions entre la nature en ville et la santé des habitants et usagers. Elle est largement illustrée à partir d'Ecoquartiers labellisés dans le cadre de la démarche portée par le Ministère en charge du logement. La fiche n° 4 présente quelques conseils pratiques afin de gérer au mieux les conflits d'usages liés aux milieux humides et de prévenir l’émergence de conflits futurs. Elle s’adresse plus particulièrement aux services techniques de collectivités territoriales locales, et aux agents de syndicats de bassins.
  430. Edition (Ceremadoc) Nature en ville - série de fiches : Fiche n° 1 : La nature comme élément du projet d'aménagement urbain

    >>>>>> Voir la vidéo La Nature en ville comme élément de confort climatique Série de fiches thématiques sur la nature en ville dans les projets d’aménagement urbain. La fiche n° 1 se propose d’expliquer la manière dont le maître d’ouvrage urbain peut intégrer la nature en ville sous toutes ses formes dans le déroulement de son projet. Elle est largement illustrée à partir des retours d’expériences des quartiers lauréats de la démarche Écoquartier portée par le ministère en charge du logement. La fiche n° 2 a vocation à mieux appréhender et intégrer les milieux humides dans le processus d'une opération d'aménagement. Elle s'appuie sur des retours d'expériences, de visites de sites et d'analyses de dossiers Ecoquartiers. La fiche n° 3 se propose d'expliquer les interactions entre la nature en ville et la santé des habitants et usagers. Elle est largement illustrée à partir d'Ecoquartiers labellisés dans le cadre de la démarche portée par le Ministère en charge du logement. La fiche n° 4 présente quelques conseils pratiques afin de gérer au mieux les conflits d'usages liés aux milieux humides et de prévenir l’émergence de conflits futurs. Elle s’adresse plus particulièrement aux services techniques de collectivités territoriales locales, et aux agents de syndicats de bassins.
  431. Edition (Ceremadoc) Natura 2000 - Principes d'évaluation des incidences des infrastructures de transports terrestres : Note d'Information - Économie Environnement Conception - Série(EEC)

    La démarche Natura 2000 vise la protection et la constitution d'un réseau de sites naturels reconnus pour abriter des habitats naturels ou des espèces remarquables nécessaires au maintien de la biodiversité en Europe.Cette note d'information se base sur la circulaire interministérielle du 5 octobre 2004, prise pour l'application des articles du Code de l'environnement relatif à l'évaluation des incidences des programmes et projets de travaux, d'ouvrages ou d'aménagements susceptibles d'affecter de façon notable les sites Natura 2000.Afin de clarifier les procédures, cette note présente également la démarche à suivre pour des projets affectant des espèces protégées au titre de l'Annexe IV de la directive Habitats ou concernés par la directive Oiseaux hors zones Natura 2000 (Article R. 411-1 du Code de l'environnement) . La phase étude Le contenu du dossier d’évaluation des incidences Exemples de mesures de suppression ou de réduction Exemples de mesures compensatoires (au sens de Natura 2000) Partenariat et concertation Cas des espèces protégées Lexique . Glossaire Bibliographie
  432. Edition (Ceremadoc) Nouveau (le) fascicule 35 du CCTG. Aménagements paysagers - Aires de sports et de loisirs de plein air. Apports et conseils d'utilisation : Note d'Information - Économie Environnement Conception - Série(EEC)

    Publié il y a plus de 20 ans, le fascicule 35 du CCTG a fait l'objet d'une refonte.Cette note, destinée à faciliter la tâche des utilisateurs chargés d'élaborer des marchés entrant dans le champ d'application de ce fascicule, présente, d'une part :- le plan général du fascicule : les dispositions communes, les travaux neufs, les travaux d'entretien et les annexes ;- les principaux apports : domaine d'application élargi (végétalisation par semis hydraulique, traitements phytosanitaires, arrosage, bassins et fontaines, aires de jeux et leurs équipements, élagage des arbres), clauses contractuelles nouvelles, recommandation pour la maîtrise d'ouvrage ;- l'explicitation de recherche d'articles et numérotation ;- des extraits concernant les prescriptions relatives aux travaux concernant les végétaux et les semences ;- les délais contractuels pour la réception et la période de garantie,d'autre part, des conseils pour l'élaboration d'un CCTP concernant :- les recommandations pour l'élaboration d'un DCE comportant des plantations ou de la végétalisation par semis hydraulique (VHS) ;- l'obligation de référence aux normes ;- les documents à fournir par l'entrepreneur ;- les produits, prestations soumis à l'acceptation du maître d'oeuvre.
  433. Edition (Ceremadoc) Mustélidés semi-aquatiques (les) et les infrastructures routières et ferroviaires - Loutre et vison d'Europe : Note d'Information - Économie Environnement Conception - Série(EEC)

    Les mustélidés semi-aquatiques protégés sont représentés par deux espèces autochtones en France : la loutre d'Europe et le vison d'Europe. Ces espèces sont spécifiques des milieux humides. La pression exercée sur ces milieux, et leur régression ces 30 dernières années, a fortement contribué au déclin de ces deux espèces.Les collisions avec les véhicules circulant sur les réseaux routier et autoroutier ainsi que le cloisonnement progressif du territoire par les infrastructures linéaires sont parmi les principales causes de régression.Contrairement à celles portant sur les collisions avec la grande faune, les études et recherches sont récentes sur le sujet et la survie de ces espèces en dépend partiellement. L'objectif de cette note d'information est de présenter la biologie, l'habitat et le comportement du vison et de la loutre d'Europe, et de faire le point sur les menaces sur ces espèces. Ce document est illustré de quelques exemples de mesures.Il a également pour objectif de permettre à un aménageur ou à un décideur d'évaluer les actions à mener pour préserver au mieux ces espèces, conformément à l'orientation de préservation des habitats et des espèces définie dans le plan d'action infrastructures de transports terrestres* du ministère de l'Environnement, publié en novembre 2005 dans le cadre de la stratégie nationale pour la biodiversité.*Le plan d'action infrastructures de transports terrestres a pour principal objectif la limitation des impacts des grandes infrastructures sur la biodiversité.Cet objectif est réalisé :- en optimisant les tracés ;- en mobilisant l'expertise écologique requise ;- en limitant l'usage de biocides dans l'entretien des dépendances ;- en respectant ou restaurant les corridors biologiques.La formation et la sensibilisation des maîtres d'ouvrage et des maîtres d'oeuvre sont mises en place et des partenariats sont établis avec la communauté scientifique. Présentation des espèces Menaces potentielles et évolution des populations des deux espèces Propositions d'actions
  434. Edition (Ceremadoc) Ports de commerce et Natura 2000 en mer

    Le guide présente les normes européennes à la source des outils NATURA 2000 de protection de l’environnement ainsi que les lois et décrets fixant en droit français leur transposition. Il décrit ensuite la réalité d’un port de commerce, son emprise géographique, ses activités courantes, ainsi que celles des navires qui le fréquentent. Il détermine les catégories de pression exercées sur les milieux et les espèces marines (oiseaux, poissons, mammifères). Un point méthodologique est fait sur la mesure environnementale des pressions et des impacts, qui permet de jeter les bases du suivi environnemental et d’évaluer les possibles mesures destinées à les réduire, les supprimer ou les compenser. 1 LES OBJECTIFS DE L'ÉTUDE L'extension du réseau Natura 2000 en mer 2 NATURA 2000 EN MER 2.1 Origine et objectif 2.2 Directive « Oiseaux » 2.3 Directive « Habitats, Faune, Flore sauvages » 2.4 Extension en mer 2.5 Désignation des sites 2.6 Gestion des zones Natura 2000 en mer : élaboration et approbation du document d'objectif 2.6.1 Élaboration du document d'objectifs 2.6.2 Approbation du document d'objectifs 2.7 Évaluation de l'état de conservation des habitats et espèces d'intérêt communautaire 2.8 L'ÉVALUATION DES INCIDENCES NATURA 2000 : UNE OBLIGATION RÉGLEMENTAIRE 2.8.1 Les principes 2.8.2 La transposition en droit français 2.8.3 Le contenu du dossier d'évaluation des incidences (voir annexe 1) L'évaluation environnementale 3 LES PORTS DE COMMERCE 3.1 La part des ports de commerce dans l'économie française 3.2 Les activités portuaires et leur emprise géographique 3.2.1 L'emprise spatiale d'un port et les ouvrages associés 3.2.1.1 L'emprise spatiale d'un port 3.2.1.2 Les ouvrages et équipements associés aux ports 3.2.2 Les activités portuaires considérées/ Natura 2000 en mer 3.2.3 Le port : un abri pour les navires 3.2.3.1 L'entretien et la réparation des ouvrages 3.2.3.2 L'extension d'ouvrages 3.2.3.3 Le dragage d'entretien du chenal d'accès et de l'avant-port (cf guide GEODE) 3.2.3.4 L'activité de relocalisation des sédiments 3.2.3.5 L'activité de gestion des sédiments à terre 3.2.4 Activités/problématiques liées au commerce 3.2.4.1 Terminaux à vracs liquides 3.2.4.2 Terminaux à gaz liquéfiés 3.2.4.3. Terminaux pétroliers 3.2.4.4 Terminaux à vracs solides inertes 3.2.4.5 Terminaux à vracs solides organiques 3.2.4.6 Terminaux à marchandises diverses conventionnelles 3.2.4.7 Terminaux à conteneurs 3.2.4.8 Terminaux rouliers 3.2.4.9 Terminaux à passagers 3.2.4.10 La circulation des engins motorisés sur les terre-pleins portuaires 3.2.4.11 La gestion des eaux de ruissellement 3.2.5 Activités/problématiques liées aux navires 3.2.5.1 Les différents types de navires présents dans un port de commerce 3.2.5.2 La circulation des navires 3.2.5.3 Le mouillage des navires en zone d'attente 3.2.5.4 L'activité de réparation navale L'activité de carénage 3.2.5.5 La gestion des eaux de ballast 3.2.5.6 La gestion des déchets des navires 3.3 Réglementation applicable aux eaux portuaires 4 MÉTHODOLOGIE RETENUE 4.1 Cadrage de l'étude 4.1.1 Rappel : limites spatiales 4.1.2 Limites temporelles 4.2 Détail de la méthodologie 4.2.1 Concept : le modèle DPSIR 4.2.2 Méthode en pratique 4.3 Limites de l'évaluation 5 PRESSIONS PRODUITES PAR LES ACTIVITÉS PORTUAIRES 5.1 Définitions des pressions et de leur interaction spatiale avec les espèces et habitats 5.2 Résultat du groupe de travail « ports et environnement » 5.2.1 Emprise spatiale des activités portuaires 5.2.2 Interaction entre les activités/problématiques et le milieu marin 5.3 Résultat du groupe de travail « Oiseaux » 5.4 Résultat du groupe de travail « Habitats marins » 5.5 Résultat du groupe de travail «espèces marines» 5.5.1 Poissons marins au titre de Natura 2000 en mer 5.5.2 Mammifères marins 5.5.3 Espèces non Natura 2000 en mer 6 SYNTHÈSE DES RÉSULTATS : ACTIVITÉS/PROBLÉMATIQUES PORTUAIRES SUR LES HABITATS ET ESPÈCES NATURA 2000 EN MER Mode d'emploi des livrets 7 MESURES ENVIRONNEMENTALES 7.1 Importance du suivi environnemental 7.2 Mesures de suppression 7.3 Mesures de réduction 7.4 Mesures de compensation 7.5 Mesures d'accompagnement 8 CONCLUSION 9 FICHES DE SYNTHÈSE ACRONYMES | GLOSSAIRE PORTUAIRE ET ENVIRONNEMENTAL | BIBLIOGRAPHIEAnnexe 1 - Directive «Habitats Faune Flore sauvages» et Directive « Oiseaux » et évaluation des incidences, Directive «Habitats Faune Flore sauvages», Directive « Oiseaux », Evaluation des incidences Dossier-type (article R. 414-23 du code de l'environnement)Annexe 2 - Les ouvrages portuaires et leur construction (Les digues à talus, les digues verticales, les digues mixtes, autres types de digues) II - Ouvrages d'amarrage/accostageAnnexe 3 - Ouvrages liés aux terminaux portuairesAnnexe 4 - Ouvrages liés à la réparation navaleAnnexe 5 - Les différents types de naviresAnnexe 6 - Composition des quatre groupes de travail (I - Groupe de travail « Ports et environnement » II - Groupe de travail « Oiseaux », III - Groupe de travail « Habitats marins », IV - Groupe de travail « Espèces marines »)Annexe 7- Le transport maritime et les émissions dans l'atmosphèreAnnexe 8 - Réglementation applicable aux eaux portuaires
  435. Edition (Ceremadoc) Pratiques de développement durable dans le bâtiment en France. Campagne d’évaluations 2006-2009. 30 opérations : Bpdd 11 : Maison de la vie associative (92)

    De nombreux bâtiments sont réputés « durables » (certifications HQE, Habitat Environnement...) ou affichent des performances, labels de nature énergétique sans que l'on ne sache : les qualités ou caractéristiques de ces bâtiments au moment de leur construction (les choix effectués) ou les performances réellement atteintes (par exemple sur le plan énergétique) ; comment ces bâtiments évoluent : fonctionnement, consommations, usages, lien avec la ville... Dans cette perspective, le ministère de l'écologie, du Développement durable, des transports et du logement a mené une campagne entre 2006 et 2010 d'analyses de 30 opérations de tous types, logements, bureaux, établissements scolaires, équipements sportifs...Il s'agit d'identifier, de présenter, d'évaluer des bâtiments présentant des progrès significatifs dans un domaine particulier (énergétique, économique, mais aussi évolutivité, usage, santé, eau...). A cet effet le CERTU, les CETEs et le CSTB, réunis dans un comité technique d'experts, ont développé des outils de référence : un guide de questionnement pour l'analyse et une fiche de restitution. Le travail de terrain a été assuré par un réseau d'expertise issu des spécialistes « Construction et Développement durable » des CETEs. Ces bâtiments (logements, équipements, tertiaire) devait être en service depuis au moins un an afin d'apprécier leurs performances réelles en exploitation et vis-à-vis de l'usage. Les réalisations ont été choisies autant sur leurs performances que sur la cohérence et la maîtrise des ambitions de durabilité depuis le programme jusqu'à la mise en service et la vie de l'équipement. À l'heure où les professionnels, et notamment les maîtres d'ouvrage, s'interrogent encore sur la viabilité économique de tels projets, mais aussi sur la manière la plus efficace de les mener, il s'agit de démythifier le coût du développement durable et de généraliser le progrès. Ainsi ont été établies 30 fiches monographiques mettant en avant les points forts de chaque opération selon cinq thèmes emblématiques des pratiques professionnelles liées au développement durable appliqué au bâtiment : gouvernance ; qualité urbaine, qualité d'usage, qualité environnementale, économie.
  436. Edition (Ceremadoc) PLU, évaluation environnementale. Série de fiches : Pj 15 (plu) - la protection des micro-naturalités et d'une espèce spécifique dans le plu – echirolles

    La Directive européenne « Plans Programmes » 2001/42 du 27 juin 2001 a été traduite en droit français par l'Ordonnance du 03 juin 2004 et les décrets du 27 mai 2005. Ainsi, certains Plan Local d'Urbanisme (PLU) susceptibles d'avoir des effets notables sur l'environnement doivent comporter une évaluation environnementale. Le rapport de présentation de ces PLU doit notamment, en plus des obligations générales communes à tous les PLU, présenter les mesures envisagées pour éviter, réduire et, si possible, compenser les conséquences dommageables de la mise en œuvre du plan. Ce sont ces types de mesures d'évitement, de correction ou de réduction, voire de compensation, ainsi que les mesures de conservations prises en complément, qui ont guidé le travail du Certu et du Cete Méditerranée dans l'étude de 6 cas et la réalisation de 7 fiches de cas PLU correspondantes. D'autres fiches de cas sont disponibles sur les Thématique Déplacements et Thématique Paysage.
  437. Edition (Ceremadoc) PLU - Thème déplacements. Série de fiches : 5 (PLU - Paysage) - Prise en compte des composantes paysagères dans le PLU

    Le Plan Local d'Urbanisme (PLU) est le document de planification à l'échelle communale. Il a remplacé le Plan d'Occupation des Sols avec la Loi SRU du 13 décembre 2000. Le dossier PLU est composé de divers éléments : un rapport de présentation ; un PADD ; des orientations d'aménagement par quartier ou par secteur (facultatives) ; un règlement et ses documents graphiques ; des annexes. Nous vous proposons ici une série de Fiches de cas concernant la thématique du paysage et des coupures vertes. Il s'agit notamment des Fiches de cas n°1 et 2 (portant sur Villers-au-Tertre), n°5 (Criel-sur-Mer) et n°6 (St Nicolas d'Aliermont). D'autres fiches de cas sont disponibles sur la Thématique Déplacements et la Thématique Evaluation environnementale.
  438. Edition (Ceremadoc) PLU, évaluation environnementale. Série de fiches : Pj 14 (plu) - la protection de la biodiversité dans les zones humides – niort

    La Directive européenne « Plans Programmes » 2001/42 du 27 juin 2001 a été traduite en droit français par l'Ordonnance du 03 juin 2004 et les décrets du 27 mai 2005. Ainsi, certains Plan Local d'Urbanisme (PLU) susceptibles d'avoir des effets notables sur l'environnement doivent comporter une évaluation environnementale. Le rapport de présentation de ces PLU doit notamment, en plus des obligations générales communes à tous les PLU, présenter les mesures envisagées pour éviter, réduire et, si possible, compenser les conséquences dommageables de la mise en œuvre du plan. Ce sont ces types de mesures d'évitement, de correction ou de réduction, voire de compensation, ainsi que les mesures de conservations prises en complément, qui ont guidé le travail du Certu et du Cete Méditerranée dans l'étude de 6 cas et la réalisation de 7 fiches de cas PLU correspondantes. D'autres fiches de cas sont disponibles sur les Thématique Déplacements et Thématique Paysage.
  439. Edition (Ceremadoc) PLU - Thème déplacements. Série de fiches : 6 (PLU - Paysage) - Prise en compte des coupures vertes dans le PLU

    Le Plan Local d'Urbanisme (PLU) est le document de planification à l'échelle communale. Il a remplacé le Plan d'Occupation des Sols avec la Loi SRU du 13 décembre 2000. Le dossier PLU est composé de divers éléments : un rapport de présentation ; un PADD ; des orientations d'aménagement par quartier ou par secteur (facultatives) ; un règlement et ses documents graphiques ; des annexes. Nous vous proposons ici une série de Fiches de cas concernant la thématique du paysage et des coupures vertes. Il s'agit notamment des Fiches de cas n°1 et 2 (portant sur Villers-au-Tertre), n°5 (Criel-sur-Mer) et n°6 (St Nicolas d'Aliermont). D'autres fiches de cas sont disponibles sur la Thématique Déplacements et la Thématique Evaluation environnementale.
  440. Edition (Ceremadoc) Pratiques de développement durable dans le bâtiment en France. Campagne d’évaluations 2006-2009. 30 opérations : Bpdd 12 : Lycée Emulation dieppoise (76)

    De nombreux bâtiments sont réputés « durables » (certifications HQE, Habitat Environnement...) ou affichent des performances, labels de nature énergétique sans que l'on ne sache : les qualités ou caractéristiques de ces bâtiments au moment de leur construction (les choix effectués) ou les performances réellement atteintes (par exemple sur le plan énergétique) ; comment ces bâtiments évoluent : fonctionnement, consommations, usages, lien avec la ville... Dans cette perspective, le ministère de l'écologie, du Développement durable, des transports et du logement a mené une campagne entre 2006 et 2010 d'analyses de 30 opérations de tous types, logements, bureaux, établissements scolaires, équipements sportifs...Il s'agit d'identifier, de présenter, d'évaluer des bâtiments présentant des progrès significatifs dans un domaine particulier (énergétique, économique, mais aussi évolutivité, usage, santé, eau...). A cet effet le CERTU, les CETEs et le CSTB, réunis dans un comité technique d'experts, ont développé des outils de référence : un guide de questionnement pour l'analyse et une fiche de restitution. Le travail de terrain a été assuré par un réseau d'expertise issu des spécialistes « Construction et Développement durable » des CETEs. Ces bâtiments (logements, équipements, tertiaire) devait être en service depuis au moins un an afin d'apprécier leurs performances réelles en exploitation et vis-à-vis de l'usage. Les réalisations ont été choisies autant sur leurs performances que sur la cohérence et la maîtrise des ambitions de durabilité depuis le programme jusqu'à la mise en service et la vie de l'équipement. À l'heure où les professionnels, et notamment les maîtres d'ouvrage, s'interrogent encore sur la viabilité économique de tels projets, mais aussi sur la manière la plus efficace de les mener, il s'agit de démythifier le coût du développement durable et de généraliser le progrès. Ainsi ont été établies 30 fiches monographiques mettant en avant les points forts de chaque opération selon cinq thèmes emblématiques des pratiques professionnelles liées au développement durable appliqué au bâtiment : gouvernance ; qualité urbaine, qualité d'usage, qualité environnementale, économie.
  441. Edition (Ceremadoc) Pratiques de développement durable dans le bâtiment en France. Campagne d’évaluations 2006-2009. 30 opérations : Bpdd 15 : Groupe scolaire Jean Mineur (59)

    De nombreux bâtiments sont réputés « durables » (certifications HQE, Habitat Environnement...) ou affichent des performances, labels de nature énergétique sans que l'on ne sache : les qualités ou caractéristiques de ces bâtiments au moment de leur construction (les choix effectués) ou les performances réellement atteintes (par exemple sur le plan énergétique) ; comment ces bâtiments évoluent : fonctionnement, consommations, usages, lien avec la ville... Dans cette perspective, le ministère de l'écologie, du Développement durable, des transports et du logement a mené une campagne entre 2006 et 2010 d'analyses de 30 opérations de tous types, logements, bureaux, établissements scolaires, équipements sportifs...Il s'agit d'identifier, de présenter, d'évaluer des bâtiments présentant des progrès significatifs dans un domaine particulier (énergétique, économique, mais aussi évolutivité, usage, santé, eau...). A cet effet le CERTU, les CETEs et le CSTB, réunis dans un comité technique d'experts, ont développé des outils de référence : un guide de questionnement pour l'analyse et une fiche de restitution. Le travail de terrain a été assuré par un réseau d'expertise issu des spécialistes « Construction et Développement durable » des CETEs. Ces bâtiments (logements, équipements, tertiaire) devait être en service depuis au moins un an afin d'apprécier leurs performances réelles en exploitation et vis-à-vis de l'usage. Les réalisations ont été choisies autant sur leurs performances que sur la cohérence et la maîtrise des ambitions de durabilité depuis le programme jusqu'à la mise en service et la vie de l'équipement. À l'heure où les professionnels, et notamment les maîtres d'ouvrage, s'interrogent encore sur la viabilité économique de tels projets, mais aussi sur la manière la plus efficace de les mener, il s'agit de démythifier le coût du développement durable et de généraliser le progrès. Ainsi ont été établies 30 fiches monographiques mettant en avant les points forts de chaque opération selon cinq thèmes emblématiques des pratiques professionnelles liées au développement durable appliqué au bâtiment : gouvernance ; qualité urbaine, qualité d'usage, qualité environnementale, économie.
  442. Edition (Ceremadoc) Pratiques de développement durable dans le bâtiment en France. Campagne d’évaluations 2006-2009. 30 opérations : Bpdd 13 : Maison Détot Kavoukdjian (04)

    De nombreux bâtiments sont réputés « durables » (certifications HQE, Habitat Environnement...) ou affichent des performances, labels de nature énergétique sans que l'on ne sache : les qualités ou caractéristiques de ces bâtiments au moment de leur construction (les choix effectués) ou les performances réellement atteintes (par exemple sur le plan énergétique) ; comment ces bâtiments évoluent : fonctionnement, consommations, usages, lien avec la ville... Dans cette perspective, le ministère de l'écologie, du Développement durable, des transports et du logement a mené une campagne entre 2006 et 2010 d'analyses de 30 opérations de tous types, logements, bureaux, établissements scolaires, équipements sportifs...Il s'agit d'identifier, de présenter, d'évaluer des bâtiments présentant des progrès significatifs dans un domaine particulier (énergétique, économique, mais aussi évolutivité, usage, santé, eau...). A cet effet le CERTU, les CETEs et le CSTB, réunis dans un comité technique d'experts, ont développé des outils de référence : un guide de questionnement pour l'analyse et une fiche de restitution. Le travail de terrain a été assuré par un réseau d'expertise issu des spécialistes « Construction et Développement durable » des CETEs. Ces bâtiments (logements, équipements, tertiaire) devait être en service depuis au moins un an afin d'apprécier leurs performances réelles en exploitation et vis-à-vis de l'usage. Les réalisations ont été choisies autant sur leurs performances que sur la cohérence et la maîtrise des ambitions de durabilité depuis le programme jusqu'à la mise en service et la vie de l'équipement. À l'heure où les professionnels, et notamment les maîtres d'ouvrage, s'interrogent encore sur la viabilité économique de tels projets, mais aussi sur la manière la plus efficace de les mener, il s'agit de démythifier le coût du développement durable et de généraliser le progrès. Ainsi ont été établies 30 fiches monographiques mettant en avant les points forts de chaque opération selon cinq thèmes emblématiques des pratiques professionnelles liées au développement durable appliqué au bâtiment : gouvernance ; qualité urbaine, qualité d'usage, qualité environnementale, économie.
  443. Edition (Ceremadoc) Ponts courants en zone sismique : Guide de conception

    La prise en compte du risque sismique est obligatoire depuis 1996 pour l'élaboration des projets d'ouvrages d'art. Ce document apporte une aide en termes de conception et de justifications parasismiques aux bureaux d'études travaillant sur les ponts routes courants tels que définis dans la circulaire du 5 mai 1994, ainsi que sur certains ouvrages courants du domaine ferroviaire. Ce guide reprend l'ensemble des textes relatifs à la protection parasismique des diverses parties d'ouvrages. Les règles de justification reposent essentiellement sur celles édictées par le Guide AFPS 92 (1) pour la protection parasismique des ponts. Elles sont déclinées dans le cas des ponts courants avec de nombreux commentaires explicatifs. Il fournit quelques rappels théoriques permettant de comprendre le fonctionnement des structures sous séisme : généralités sur les problèmes sismiques, principes de base du calcul dynamique des structures (méthode d'analyse, comportement d'un pont sous séisme). Il développe les principes généraux de la conception parasismique : conception des ponts courants en zone sismique (conception générale, choix des structures et du système d'appui, conception des piles, des culées et des fondations, conception détaillée). Il présente l'ensemble des règles de justification : les principes de base du calcul sismique (détermination des actions sismiques, méthode d'analyse, calculs justificatifs de l'ouvrage). Un sous-chapitre est consacré aux organes d'appui des tabliers, un autre aux ponts-cadres et portiques. Il développe les dispositions constructives : dispositions générales, réglementaires et application aux éléments structuraux ou types de structure). Il propose un exemple numérique complet : dimensionnement d'un pont-dalle en zone sismique (données générales, dimensionnement des appareils d'appui, piles, fondation superficielle, fondation profonde, culées, mur garde-grève fusible).En annexe : condition sur le biais et la courbure pour appliquer la méthode monomodale, dimensionnement des fondations profondes tenant compte des déplacements imposés par le sol et des actions inertielles provenant de la structure en élévation, prise en compte de l'interaction sol -pieux, poussée active du terrain, méthode de Mononobe-Okabe, les murs garde-grève fusibles, zonage sismique (annexe du décret n° 91-461 du 14 mai 1991 relatif à la prévention du risque sismique), références et bibliographie sommaire.(1) Diffusion : Presses de ENPC
  444. Edition (Ceremadoc) PLU et production d'énergie. Série de fiches : Fiche n°2 : PLU et éoliennes terrestres

    Les présentes fiches « PLU et production d’énergie » traitent de l’implantation en milieu urbain de systèmes techniques de production d’énergie à partir de sources renouvelables. Elles constituent un état des lieux des leviers du PLU à disposition mais ne proposent pas d’exemples de rédaction.
  445. Edition (Ceremadoc) PLUi et énergie. Série de fiches : Fiche N° 02 Les dispositions du PLUi en matière d’éolien

    Fiche n° 01 - Les Planification énergie-climat, PLUi : quelles articulations ? La loi de transition énergétique, la loi portant Nouvelle organisation du territoire de la république (NOTRe), la loi de Modernisation de l’action publique territoriale et de l’action des métropoles (MAPTAM) amènent à faire évoluer les documents de planification énergie-climat et leurs articulations avec le Plan local d’urbanisme intercommunal (PLUi). Cette fiche dresse un état des lieux des principales évolutions, portant sur : le contenu du plan climat, qui devient le Plan Climat air énergie territoire (PCAET) le SRADDET, document intégrateur comprenant le SRCAE les nouveaux outils nationaux de planification de l’énergie (SNBC, PPE) Fiche n° 02 - Les dispositions du PLUi en matière d’éolien Le Plan Local d’Urbanisme Intercommunal PLUi une réponse à la bonne échelle Les éoliennes, une technologie pour la transition énergétique des territoires Recommandations pour mieux intégrer l’éolien dans les PLUi Fiche n° 03 Les dispositions du PLUi en matière de photovoltaïque Dans cette fiche, des exemples de plan local d’urbanisme intercommunal (PLUi) viennent illustrer la manière dont la rédaction du PLUi concourt au développement du solaire photovoltaïque. Les différentes recommandations formulées doivent contribuer à mieux intégrer le solaire photovoltaïque, tout en prenant en considération les enjeux environnementaux. Fiche n° 04 - Les dispositions du PLUi en matière de réseaux de chaleur Le développement des réseaux de chaleur répond à de nombreux enjeux pour les territoires, comme la lutte contre le changement climatique, ou l’autonomie énergétique. Le plan local d’urbanisme intercommunal (PLUi) peut contribuer à développer l’implantation des réseaux de chaleur sur le territoire de l’EPCI. Fiche n° 05 - Intégrer la méthanisation dans les PLUi Le développement de la méthanisation répond à de nombreux enjeux sur les plans énergétique, environnemental et économique. La récente programmation pluriannuelle de l’énergie (PPE) publiée le 21 avril 2020 prévoit de multiplier par 4 à 6 fois la production de biogaz d’ici à 2028 par rapport à 2017 (soit entre 24 et 32 TWh d’ici à 2028). Le PLU(i) peut être utilisé pour favoriser et organiser le développement de la méthanisation sur le territoire, en cohérence avec les orientations énergétiques prises par le territoire, par exemple en lien avec le PCAET (plan climat air énergie territoire).
  446. Edition (Ceremadoc) PLU, évaluation environnementale. Série de fiches : Pj 13 (plu) - des mesures conservatoires et réductrices pour une protection de l'avifaune - st symphorien

    La Directive européenne « Plans Programmes » 2001/42 du 27 juin 2001 a été traduite en droit français par l'Ordonnance du 03 juin 2004 et les décrets du 27 mai 2005. Ainsi, certains Plan Local d'Urbanisme (PLU) susceptibles d'avoir des effets notables sur l'environnement doivent comporter une évaluation environnementale. Le rapport de présentation de ces PLU doit notamment, en plus des obligations générales communes à tous les PLU, présenter les mesures envisagées pour éviter, réduire et, si possible, compenser les conséquences dommageables de la mise en œuvre du plan. Ce sont ces types de mesures d'évitement, de correction ou de réduction, voire de compensation, ainsi que les mesures de conservations prises en complément, qui ont guidé le travail du Certu et du Cete Méditerranée dans l'étude de 6 cas et la réalisation de 7 fiches de cas PLU correspondantes. D'autres fiches de cas sont disponibles sur les Thématique Déplacements et Thématique Paysage.
  447. Edition (Ceremadoc) PLUi et énergie. Série de fiches : Fiche n° 05 Intégrer la méthanisation dans les PLUi

    Fiche n° 01 - Les Planification énergie-climat, PLUi : quelles articulations ? La loi de transition énergétique, la loi portant Nouvelle organisation du territoire de la république (NOTRe), la loi de Modernisation de l’action publique territoriale et de l’action des métropoles (MAPTAM) amènent à faire évoluer les documents de planification énergie-climat et leurs articulations avec le Plan local d’urbanisme intercommunal (PLUi). Cette fiche dresse un état des lieux des principales évolutions, portant sur : le contenu du plan climat, qui devient le Plan Climat air énergie territoire (PCAET) le SRADDET, document intégrateur comprenant le SRCAE les nouveaux outils nationaux de planification de l’énergie (SNBC, PPE) Fiche n° 02 - Les dispositions du PLUi en matière d’éolien Le Plan Local d’Urbanisme Intercommunal PLUi une réponse à la bonne échelle Les éoliennes, une technologie pour la transition énergétique des territoires Recommandations pour mieux intégrer l’éolien dans les PLUi Fiche n° 03 Les dispositions du PLUi en matière de photovoltaïque Dans cette fiche, des exemples de plan local d’urbanisme intercommunal (PLUi) viennent illustrer la manière dont la rédaction du PLUi concourt au développement du solaire photovoltaïque. Les différentes recommandations formulées doivent contribuer à mieux intégrer le solaire photovoltaïque, tout en prenant en considération les enjeux environnementaux. Fiche n° 04 - Les dispositions du PLUi en matière de réseaux de chaleur Le développement des réseaux de chaleur répond à de nombreux enjeux pour les territoires, comme la lutte contre le changement climatique, ou l’autonomie énergétique. Le plan local d’urbanisme intercommunal (PLUi) peut contribuer à développer l’implantation des réseaux de chaleur sur le territoire de l’EPCI. Fiche n° 05 - Intégrer la méthanisation dans les PLUi Le développement de la méthanisation répond à de nombreux enjeux sur les plans énergétique, environnemental et économique. La récente programmation pluriannuelle de l’énergie (PPE) publiée le 21 avril 2020 prévoit de multiplier par 4 à 6 fois la production de biogaz d’ici à 2028 par rapport à 2017 (soit entre 24 et 32 TWh d’ici à 2028). Le PLU(i) peut être utilisé pour favoriser et organiser le développement de la méthanisation sur le territoire, en cohérence avec les orientations énergétiques prises par le territoire, par exemple en lien avec le PCAET (plan climat air énergie territoire).
  448. Edition (Ceremadoc) Plantations routières : un nouveau procédé de paillage : Note d'Information - Économie Environnement Conception - Série(EEC)

    Cette note présente un matériau destiné au paillage des plantations, l'Isoplant, dont les caractéristiques et les conditions d'utilisation correspondent aux besoins des aménagements plantés des abords des routes :- meilleure reprise des végétaux plantés,- croissance rapide des plantes,- meilleur état phytosanitaire des jeunes plantations,- entretien réduit,- protection de la structure du sol...
  449. Edition (Ceremadoc) PLUi et GEMAPI - Vers une approche intégrée de l’eau dans la planification

    La compétence Gestion des milieux aquatiques et prévention des inondations (GEMAPI) est dévolue aux EPCI à fiscalité propre depuis le 1er janvier 2018. En parallèle, les plans locaux d’urbanisme (PLU) à l’échelle intercommunale se généralisent. L’exercice de ces deux compétences pour les métropoles et communautés doit être considéré comme une opportunité pour renforcer les liens entre les enjeux relatifs à l’eau et la planification de l’aménagement d’un territoire. Ce guide à destination des collectivités et de leurs groupements fournit des éléments méthodologiques concrets pour faciliter la cohérence entre les deux compétences. Il s’appuie sur l’expérience de pairs qui, par leur organisation et par la mobilisation de différents types de leviers, utilisent le document d’urbanisme au service de la préservation, de la valorisation des milieux aquatiques, et de la protection des populations vis-à-vis des inondations. Sommaire : Introduction 1. Contexte et enjeux 2. Assurer la cohérence des compétences PLUi et GEMAPI au service des enjeux liés a l’eau 3. Le diagnostic, une étape clé pour appréhender les enjeux de la gestion de l’eau sur le territoire intercommunal 4. Agir dans le PLUi pour une meilleure gestion de l’eau sur le territoire intercommunal 5. Conclusion 6. Liste des sigles 7. Glossaire 8. Bibliographie 9. Annexes 10. Table des matières Sur le même thèmeEn téléchargement gratuit sur www.cerema.fr : Prévenir et gérer les conflits d’usages liés aux milieux humides dans un contexte urbanisé _ Fiche «Nature en ville» - 2019 - PLUi et grand territoire - 2018Anticiper la compétence GEMAPI - Fiche «Gestion des milieux aquatiques et prévention des inondations» - 2018P’tit essentiel sur la GEMAPI : - Planification littorale - contraintes et potentiels - 2019 - La GEMAPI - vers une gestion intégrée de l’eau dans les territoires - 2018Introduction à la prise de compétence - Gestion des milieux aquatiques et prévention des inondations - 2018 - Guide international sur les digues 2019 - The International Levee Handbook (2013) Version française - 2019 - L’intérêt de l’utilisation de l’eau de pluie dans la maîtrise du ruissellement urbain Les enseignements d’un panorama international - Seconde édition - 2018 - Jardins de pluie - Une dimension écologique et paysagère de l’aménagement - 2016
  450. Edition (Ceremadoc) PLU, évaluation environnementale. Série de fiches : Pj 16 (plu) - la préservation des corridors écologiques situés en milieux forestiers et aquatiques – vaulnaveuys-le-haut

    La Directive européenne « Plans Programmes » 2001/42 du 27 juin 2001 a été traduite en droit français par l'Ordonnance du 03 juin 2004 et les décrets du 27 mai 2005. Ainsi, certains Plan Local d'Urbanisme (PLU) susceptibles d'avoir des effets notables sur l'environnement doivent comporter une évaluation environnementale. Le rapport de présentation de ces PLU doit notamment, en plus des obligations générales communes à tous les PLU, présenter les mesures envisagées pour éviter, réduire et, si possible, compenser les conséquences dommageables de la mise en œuvre du plan. Ce sont ces types de mesures d'évitement, de correction ou de réduction, voire de compensation, ainsi que les mesures de conservations prises en complément, qui ont guidé le travail du Certu et du Cete Méditerranée dans l'étude de 6 cas et la réalisation de 7 fiches de cas PLU correspondantes. D'autres fiches de cas sont disponibles sur les Thématique Déplacements et Thématique Paysage.
  451. Edition (Ceremadoc) PLUi et énergie. Série de fiches : Fiche n° 03 Les dispositions du PLUi en matière de photovoltaïque

    Fiche n° 01 - Les Planification énergie-climat, PLUi : quelles articulations ? La loi de transition énergétique, la loi portant Nouvelle organisation du territoire de la république (NOTRe), la loi de Modernisation de l’action publique territoriale et de l’action des métropoles (MAPTAM) amènent à faire évoluer les documents de planification énergie-climat et leurs articulations avec le Plan local d’urbanisme intercommunal (PLUi). Cette fiche dresse un état des lieux des principales évolutions, portant sur : le contenu du plan climat, qui devient le Plan Climat air énergie territoire (PCAET) le SRADDET, document intégrateur comprenant le SRCAE les nouveaux outils nationaux de planification de l’énergie (SNBC, PPE) Fiche n° 02 - Les dispositions du PLUi en matière d’éolien Le Plan Local d’Urbanisme Intercommunal PLUi une réponse à la bonne échelle Les éoliennes, une technologie pour la transition énergétique des territoires Recommandations pour mieux intégrer l’éolien dans les PLUi Fiche n° 03 Les dispositions du PLUi en matière de photovoltaïque Dans cette fiche, des exemples de plan local d’urbanisme intercommunal (PLUi) viennent illustrer la manière dont la rédaction du PLUi concourt au développement du solaire photovoltaïque. Les différentes recommandations formulées doivent contribuer à mieux intégrer le solaire photovoltaïque, tout en prenant en considération les enjeux environnementaux. Fiche n° 04 - Les dispositions du PLUi en matière de réseaux de chaleur Le développement des réseaux de chaleur répond à de nombreux enjeux pour les territoires, comme la lutte contre le changement climatique, ou l’autonomie énergétique. Le plan local d’urbanisme intercommunal (PLUi) peut contribuer à développer l’implantation des réseaux de chaleur sur le territoire de l’EPCI. Fiche n° 05 - Intégrer la méthanisation dans les PLUi Le développement de la méthanisation répond à de nombreux enjeux sur les plans énergétique, environnemental et économique. La récente programmation pluriannuelle de l’énergie (PPE) publiée le 21 avril 2020 prévoit de multiplier par 4 à 6 fois la production de biogaz d’ici à 2028 par rapport à 2017 (soit entre 24 et 32 TWh d’ici à 2028). Le PLU(i) peut être utilisé pour favoriser et organiser le développement de la méthanisation sur le territoire, en cohérence avec les orientations énergétiques prises par le territoire, par exemple en lien avec le PCAET (plan climat air énergie territoire).
  452. Edition (Ceremadoc) PLU - Thème déplacements. Série de fiches : 1 (PLU - Paysage) - Un PADD de petite commune fondé sur une politique paysagère forte

    Le Plan Local d'Urbanisme (PLU) est le document de planification à l'échelle communale. Il a remplacé le Plan d'Occupation des Sols avec la Loi SRU du 13 décembre 2000. Le dossier PLU est composé de divers éléments : un rapport de présentation ; un PADD ; des orientations d'aménagement par quartier ou par secteur (facultatives) ; un règlement et ses documents graphiques ; des annexes. Nous vous proposons ici une série de Fiches de cas concernant la thématique du paysage et des coupures vertes. Il s'agit notamment des Fiches de cas n°1 et 2 (portant sur Villers-au-Tertre), n°5 (Criel-sur-Mer) et n°6 (St Nicolas d'Aliermont). D'autres fiches de cas sont disponibles sur la Thématique Déplacements et la Thématique Evaluation environnementale.
  453. Edition (Ceremadoc) PLU, évaluation environnementale. Série de fiches : Pj 17 (plu) - la protection du réseau écologique global et des corridors qui le composent - st martin d'uriage

    La Directive européenne « Plans Programmes » 2001/42 du 27 juin 2001 a été traduite en droit français par l'Ordonnance du 03 juin 2004 et les décrets du 27 mai 2005. Ainsi, certains Plan Local d'Urbanisme (PLU) susceptibles d'avoir des effets notables sur l'environnement doivent comporter une évaluation environnementale. Le rapport de présentation de ces PLU doit notamment, en plus des obligations générales communes à tous les PLU, présenter les mesures envisagées pour éviter, réduire et, si possible, compenser les conséquences dommageables de la mise en œuvre du plan. Ce sont ces types de mesures d'évitement, de correction ou de réduction, voire de compensation, ainsi que les mesures de conservations prises en complément, qui ont guidé le travail du Certu et du Cete Méditerranée dans l'étude de 6 cas et la réalisation de 7 fiches de cas PLU correspondantes. D'autres fiches de cas sont disponibles sur les Thématique Déplacements et Thématique Paysage.
  454. Edition (Ceremadoc) Chantiers routiers et préservation du milieu aquatique : Management environnemental et solutions techniques - Guide technique

    Ce guide est destiné aux prescripteurs, constructeurs et services instructeurs. Il rassemble les éléments techniques permettant de prendre en compte les dispositions contenues dans la loi sur l'eau de janvier 1992, intégrées depuis 2001 dans le code de l'environnement (Livre II, Titre 1er), lors de la réalisation de chantiers routiers vis à vis : des pollutions des cours d'eau et des nappes souterraines ; des modifications des écoulements superficiels ou souterrains ; des variations du niveau des nappes phréatiques. Ce guide : présente les risques possibles des chantiers routiers sur les ressources en eaux ; rappelle le cadre réglementaire et législatif en vigueur en novembre 2006 et les démarches à entreprendre en conséquence ; émet des préconisations techniques pour la prise en compte de la protection des eaux dès les études d'un projet et durant les diverses phases de préparation et de réalisation des travaux. comprend des fiches de cas, un bêtisier, des références bibliographiques et un glossaire. Ce document a été établi dans l'optique d'une application aux infrastructures routières. Les principes généraux qui y sont présentés peuvent néanmoins être valables pour les autres infrastructures linéaires.
  455. Edition (Ceremadoc) Collecte d'informations sur le terrain suite à une inondation : Guide méthodologique

    Ce guide donne des éléments de méthode sur l’organisation, le matériel nécessaire, la procédure de collecte et la capitalisation des informations collectées. Réalisé en amont de la survenue d’un événement, le protocole permet : de gagner du temps entre la survenue de l’événement et le lancement de la collecte, de réaliser efficacement et rapidement des reconnaissances de terrain adaptées au type d’inondation rencontré et à la configuration des lieux. Les informations collectées sont ainsi plus fiables et homogènes en termes de contenu et de forme avec celles collectées sur un territoire proche ou pour un autre événement. Les données collectées contribuent aux analyses de l’événement (définition des emprises des zones inondées, déroulement de l’événement…) et permettent de mieux comprendre la survenance et le déroulement de l’événement d’un point de vue hydraulique. 1 Présentation 1.1 Contexte général 1.2 Objectifs et contenu du guide 1.3 Types d’inondations et informations à collecter 1.3.1 Types d’inondations concernés 1.3.2 Informations à collecter sur le terrain après une inondation 2 Élaboration d’un protocole préalable organisant la collecte d’informations 2.1 Présentation d’un protocole 2.2 Grandes étapes d’élaboration et de mise en oeuvre d’un protocole 2.3 Élaboration d’un protocole 2.3.1 Connaissance de l’aléa inondation sur le territoire 2.3.2 Préparation de la collecte des informations 2.3.3 Définition de la méthode de capitalisation 3 Collecte d’informations sur le terrain 3.1 Levés des Plus Hautes Eaux (PHE) 3.1.1 Objectif 3.1.2 Méthodologie 3.1.3 Fiche de levée 3.2 Levés de laisses 3.2.1 Objectif 3.2.2 Méthodologie 3.2.3 Fiche de levés 3.3 Enquêtes – Témoignages 3.3.1 Objectif 3.3.2 Méthodologie 3.3.3 Fiche de levés 4 Annexes Annexe 1 : Documents consultés Annexe 2 : Glossaire Annexe 3 : Sigles et acronymes Annexe 4 : Exemple de tableau de repères de crues Annexe 5 : Trame de cahier des charges et bordereau des prix
  456. Edition (Ceremadoc) Cartes de bruit. Série de fiches : Cartes de bruit : fiche n° 10 : Comment réaliser les cartes d'évolution des niveaux de bruit ?

    La directive européenne 2002/49/CE du 25 juin 2002 relative à l'évaluation et à la gestion du bruit dans l'environnement et transposée en France par les articles L572-1 à L572-11 et R572-1 à R572-11 du code de l'Environnement et l'arrêté du 4 avril 2006 relatif à l'établissement des cartes de bruit et des plans de prévention du bruit dans l'environnement, impose la réalisation de cartes de bruit pour les agglomérations de plus de 100 000 habitants. Afin d'aider les collectivités en charge de la réalisation de ces cartes, le Certu a publié en 2006 un guide méthodologique « Comment réaliser les cartes de bruit stratégiques en agglomération ». Pour compléter et enrichir ce guide, il élabore dans le cadre d'un groupe de travail, des fiches techniques, qui s'appuient sur les retours d'expérience collectés lors de la réalisation des premières cartes de bruit. Ces fiches sont destinées en particulier aux autorités compétentes des agglomérations. Mais elles peuvent aussi être utilisées, pour certains sujets, pour la réalisation des cartes de bruit des grandes infrastructures de transports.
  457. Edition (Ceremadoc) Clôtures routières et ferroviaires & faune sauvage - Critères de choix et recommandations d’implantation

    Quatre critères sont à prendre en compte pour la mise en place efficace d’une clôture à faune : la hauteur, la dimension de la maille, l’emplacement et l’entretien. En effet, un même panneau de clôture peut avoir différentes dimensions de mailles, plus serrées sur le bas (pour prendre en compte la moyenne et petite faune). Il est également possible de superposer par agrafage plusieurs grillages à maillages différents afin de cibler la grande, moyenne et petite faune (amphibiens notamment). Après un rappel des enjeux de sécurité et de biodiversité et des spécificités liées à la faune, cet ouvrage a pour objectif de présenter les caractéristiques et les usages des clôtures, les conditions de leur pose et de leur entretien. Evolution des besoins de clôtures sur les infrastructures linéaires Un rôle en évolution Des obligations pour la sécurité des usagers liées à la jurisprudence La préservation de la biodiversité et les autres enjeux Quelles clôtures pour quelle faune ? Les critères faunistiques de décision Les différentes clôtures implantées sur les infrastructures linéaires Les dispositifs d’accompagnement Recommandations techniques Les conditions d’implantation Le choix des équipements L'entretien Les éléments de coût Conclusion Bibliographie Annexes Annexe 1 - Analyse de la jurisprudence sur les voies routières entre 1995 et 2013 Annexe 2 - Principales caractéristiques techniques des différents types de clôture Annexe 3 - Principales caractéristiques techniques des clôtures et grillages pour chaque espèce / groupes d’espèces Annexe 4 - Grillages souples à maille progressive à enterrer ou à poser au sol Annexe 5 - Principe de construction d’une grille canadienne Annexe 6 - Diamètre des fils selon les types de treillis et les usages Annexe 7 - Caractéristiques des poteaux et recommandations techniques
  458. Edition (Ceremadoc) Connaître les énergies renouvelables. Éléments de connaissances : Fiche n° 02 : Exploiter la filière éolienne terrestre

    Dans le cadre de la loi relative à la transition énergétique pour la croissance verte (LTECV) et de ses objectifs ambitieux fixés à l’horizon 2020 et 2030, cette série de 7 fiches présente de façon factuelle les aspects techniques, juridiques et économiques relatifs aux différentes filières d’énergies renouvelables. Elles détaillent les exploitations que l'on peut tirer des différentes filières en décrivant les aspects techniques, juridiques et économiques : la biomasse solide les éoliennes terrestres la photovoltaïque le biogaz le solaire thermique la géothermie les réseaux de chaleur
  459. Edition (Ceremadoc) Climat - Réussir le changement Volume 2 : Mettre en œuvre un projet territorial intégrant l'adaptation

    Cet ouvrage est à destination des techniciens des collectivités. Il fournit des clés pour comprendre la question climatique et organiser les étapes d’une démarche participative, visant à inciter les acteurs du territoire à contribuer à l’action. Les membres du Groupe de Réflexion et d'Action pour l'Adaptation aux effets du Changement Climatique (GRAACC), piloté par RAEE et auquel participe le Certu (devenu Cerema), ont contribué à la rédaction du présent document. Celui-ci fait partie d'un ensemble de trois volumes qui vient compléter la brochure « Changement climatique, comment s'adapter en Rhône-Alpes », édité par Rhône-Alpes Énergie Environnement (RAEE) en 2007 et également diffusé par le Certu (devenu Cerema).
  460. Edition (Ceremadoc) Chiroptères et infrastructures de transport

    En France, les chauves-souris font partie des mammifères les plus menacés notamment en raison des activités humaines. Parmi toutes ces menaces, il est avéré que le passage d’une infrastructure de transport constitue une perturbation importante pour le fonctionnement écologique de ces mammifères et une cause majeure de mortalité. Afin de répondre à ces préoccupations et plus globalement d’assurer la protection des 34 espèces de chauves-souris présentes en France métropolitaine, l’État a engagé la réalisation d’un Plan National d’Actions (PNA) en faveur des chiroptères. Engagé pour la période 2009-2013, ce plan se poursuit aujourd’hui par un nouveau projet pour la période 2016-2025. Parmi les actions correspondantes à ce programme, le Cerema a été chargé de la rédaction du présent guide « Chiroptères et infrastructures de transport terrestre ». Organisé autour d’un texte générique sur chacune des thématiques abordées et très largement illustré, ce guide est un ouvrage méthodologique et technique qui met à disposition un panel conséquent d’informations et de recommandations nécessaires à la bonne prise en compte des Chiroptères lors de la construction ou l’exploitation des infrastructures. Il est destiné à l’ensemble des acteurs d’un projet routier ou ferroviaire, qu’ils soient maître d’ouvrage (État, concessionnaires, etc.), maître d’oeuvre, collectivité, bureau d’études, service instructeur, association, etc. Structuré de façon simple et pédagogique afin de constituer une base documentaire dans laquelle chacun puisse extraire l’information dont il a besoin, ce guide fait la synthèse d’un nombre important de retours d’expériences et cas concrets en s’appuyant notamment sur des études et références techniques et scientifiques francophones et anglo-saxonnes. Sommaire Introduction Chapitre 1 - Généralités Caractéristiques biologiques et physiques Menaces, protection et statut Chapitre 2 - Impacts des infrastructures sur les Chauves-souris Impacts directs Les impacts indirects et induits Quelques effets positifs Chapitre 3 - Inventaire des Chauves-souris dans le cadre d’un projet d’infrastructure Définition de l’aire d’étude Démarches d’inventaire Techniques d’inventaires Chapitre 4 - Mesures environnementales Mesures d’évitement des impacts Mesures de réduction des impacts Mesures compensatoires Synthèse des mesures, efficacité et notion de coût Chapitre 5 - Mesures d’accompagnement Chapitre 6 - Requalification des infrastructures Chapitre 7 - Prise en compte des chiroptères dans l’entretien des infrastructures Entretien de la végétation Entretien des ouvrages d’art Chapitre 8 - Suivi et évaluation de l’efficacité des mesures Rôle du suivi Réglementation sur les suivis Méthode – Protocole Glossaire Bibliographie Annexes Annexe 1 : Caractéristiques morphologiques des Chiroptères présents en France Annexe 2 : Types de gîtes occupés par les Chiroptères en France Annexe 3 : Critères sur lesquels repose la demande d’une étude d’impact soit de façon systématique, soit après un examen au cas par cas dans le cadre de travaux, ouvrages ou aménagements Annexe 4 : Circuit du dossier de dérogation d’espèces protégées et arrêtés Annexe 5 : Circuit du dossier d’évaluation d’incidence Natura 2000 Annexe 6 : Techniques de suivis Annexe 7 : Typologie des ouvrages et attraits pour les chiroptères Annexe 8 : Schéma type d’un ouvrage
  461. Edition (Ceremadoc) Chantiers de traitement de sols en place - Recommandations vis-à-vis du taux d'émission de poussières - Application de la norme NF P 94-103 : Note d'Information - Chaussées Dépendances - Série(CD)

    Le traitement des sols en place avec de la chaux et/ou des liants hydrauliques, en plein essor depuis plusieurs décennies, présente de nombreux avantages techniques et économiques. En effet, il permet de valoriser des sols qui seraient inaptes au réemploi dans leur état naturel en préservant ainsi les ressources (notamment dans les régions pauvres en gisements alluvionnaires ou rocheux) et en limitant les nuisances engendrées par le transport des matériaux. Cependant, les opérations de traitement des sols en place peuvent générer des émissions de poussières du produit de traitement, susceptibles d’être dommageables dans certains contextes de chantier (zones urbanisées, zones naturelles sensibles, etc.). La norme NF P94-103 décrit un essai permettant d’évaluer l’aptitude d’un produit de traitement minéral sec à émettre de la poussière. L’essai a été homologué par trois Laboratoires régionaux des ponts et chaussées (LRPC), le Laboratoire central des ponts et chaussées (LCPC) et des laboratoires d’entreprises, par le biais d’une campagne d’essais croisés. Le résultat de la mesure s’exprime sous la forme d’un taux d’émission de poussière (TEP). Cependant, la norme ne fixe pas de valeur seuil permettant de distinguer les produits de traitement en fonction de leur capacité d’envol. Contexte et utilité d’un essai spécifique Principe de l'essai Situation des produits de traitement Recommandations Références bibliographiques.
  462. Edition (Ceremadoc) Clôtures routières et faune - Critères de choix et recommandations d'implantation : Note d'Information - Économie Environnement Conception - Série(EEC)

    Cette note d'information a pour objet, après un rappel des enjeux de sécurité, de biodiversité et des spécificités faunistiques, de présenter les différentes caractéristiques et usages des clôtures, les conditions de leur pose et de leur entretien. Evolution des besoins de clôtures sur les infrastructures linéaires Quelles clôtures pour quelle faune ? Recommandations techniques Conclusion Bibliographie
  463. Edition (Ceremadoc) Connaître les énergies renouvelables. Éléments de connaissances : Fiche n° 01: Exploiter la filière biomasse solide

    Dans le cadre de la loi relative à la transition énergétique pour la croissance verte (LTECV) et de ses objectifs ambitieux fixés à l’horizon 2020 et 2030, cette série de 7 fiches présente de façon factuelle les aspects techniques, juridiques et économiques relatifs aux différentes filières d’énergies renouvelables. Elles détaillent les exploitations que l'on peut tirer des différentes filières en décrivant les aspects techniques, juridiques et économiques : la biomasse solide les éoliennes terrestres la photovoltaïque le biogaz le solaire thermique la géothermie les réseaux de chaleur
  464. Edition (Ceremadoc) Démarche d'évaluation environnementale. Série de fiches : Fiches 1 & 2

    La démarche d'évaluation environnementale s'opère tout au long du processus d'élaboration du document du PLU ou du SCoT. L'objectif de cette évaluation est d'intégrer la question environnementale à chaque étape du processus de conception du document d'urbanisme. Afin de visualiser les grandes étapes d'une démarche d'évaluation environnementale, nous proposons 2 fiches synthétiques.
  465. Edition (Ceremadoc) Désimperméabilisation et renaturation des sols. Série de fiches : Fiche n° 01 - Sol et végétal : au cœur des aménagements urbains - Le renouvellement du quartier Victor Hugo à Bagneux

    Cette série de fiches vise à faire connaitre à travers des retours d'expérience, des solutions variées de désimperméabilisation et de renaturation de sols urbains. Ces solutions concernent différentes échelles, de la rue à la ville en passant par le quartier. Elles visent à répondre aux enjeux de la ville de demain en lien avec l'adaptation au changement climatique mais aussi aux besoins exprimés de plus de nature en ville et de développement de la biodiversité. Elle comporte 4 fiches : Fiche n° 01 Sol et végétal : au cœur des aménagements urbains - Le renouvellement du quartier Victor Hugo à Bagneux Fiche n° 02 Paysage et désimperméabilisation à Marseille : les sols dans le projet urbain durable pour la ville héritée Fiche n° 03 Favoriser l'infiltration et la réutilisation des eaux pluviales - Le réaménagement de la rue Garibaldi à Lyon Fiche n° 04 Impliquer les citoyens dans la renaturation de leur quartier Opération « Strasbourg ça pousse » Sommaire commun à toutes les fiches Descriptif Éléments clés du projet Quels bénéfices pour la collectivité ? Enseignements utiles pour d'autres territoires
  466. Edition (Ceremadoc) Décryptage Grenelle : Énergie et climat, série de fiches : Recueil de fiches

    La vocation commune d'appui méthodologique aux territoires a conduit ETD et le Certu à mutualiser leurs compétences pour réaliser un décryptage de l'impact du Grenelle 2 sur la mise en œuvre des politiques publiques des collectivités dans les champs de l'aménagement, de l'environnement et des transports. Destinées aux collectivités de toute taille, les 25 « fiches décryptage du Grenelle » proposées par ETD et le Certu traitent des questions abordées dans la loi Grenelle 2 pour le déploiement desquelles un éclairage technique ou juridique s'avère indispensable. Chaque fiche explicite le contenu de la loi, « ce que dit la loi » et approfondit les conséquences et les impacts pour les collectivités, « ce que cela implique pour les collectivités ». Enfin, quand le sujet le permet, des éléments de méthodes et des illustrations sont fournies à partir des expériences menées par « quelques collectivités pionnières ». Pour ceux qui veulent aller plus loin, les fiches proposent dans la rubrique « en savoir plus » les ressources documentaires indispensables et les contacts avec les rédacteurs des fiches. Promulguée le 12 juillet 2010, la loi portant engagement national pour l'environnement, dite « Grenelle 2 », est un texte d'application et de territorialisation du Grenelle Environnement et de la loi Grenelle 1, qui décline pour six domaines majeurs les objectifs entérinés par le premier volet législatif. D'autres thématiques sont traitées: - Transports - Bâtiments et urbanisme - Biodiversité - Gouvernance.
  467. Edition (Ceremadoc) Démarche d'évaluation environnementale. Série de fiches : Fiche 1 : Démarche d'élaboration du PLU

    La démarche d'évaluation environnementale s'opère tout au long du processus d'élaboration du document du PLU ou du SCoT. L'objectif de cette évaluation est d'intégrer la question environnementale à chaque étape du processus de conception du document d'urbanisme. Afin de visualiser les grandes étapes d'une démarche d'évaluation environnementale, nous proposons 2 fiches synthétiques.
  468. Edition (Ceremadoc) Décryptage Grenelle : Énergie et climat, série de fiches : Pj 6 - développement de la production d’origine éolienne

    La vocation commune d'appui méthodologique aux territoires a conduit ETD et le Certu à mutualiser leurs compétences pour réaliser un décryptage de l'impact du Grenelle 2 sur la mise en œuvre des politiques publiques des collectivités dans les champs de l'aménagement, de l'environnement et des transports. Destinées aux collectivités de toute taille, les 25 « fiches décryptage du Grenelle » proposées par ETD et le Certu traitent des questions abordées dans la loi Grenelle 2 pour le déploiement desquelles un éclairage technique ou juridique s'avère indispensable. Chaque fiche explicite le contenu de la loi, « ce que dit la loi » et approfondit les conséquences et les impacts pour les collectivités, « ce que cela implique pour les collectivités ». Enfin, quand le sujet le permet, des éléments de méthodes et des illustrations sont fournies à partir des expériences menées par « quelques collectivités pionnières ». Pour ceux qui veulent aller plus loin, les fiches proposent dans la rubrique « en savoir plus » les ressources documentaires indispensables et les contacts avec les rédacteurs des fiches. Promulguée le 12 juillet 2010, la loi portant engagement national pour l'environnement, dite « Grenelle 2 », est un texte d'application et de territorialisation du Grenelle Environnement et de la loi Grenelle 1, qui décline pour six domaines majeurs les objectifs entérinés par le premier volet législatif. D'autres thématiques sont traitées: - Transports - Bâtiments et urbanisme - Biodiversité - Gouvernance.
  469. Edition (Ceremadoc) Démolition des ponts et gestion de leurs déchets - Annexes téléchargeables

    L’annexe A présente, de façon non exhaustive, différents types de matériels et donne des indications sur les types de vérifications à conduire à partir des caractéristiques fournies par les constructeurs. En pratique, le concepteur devra adapter son projet au site et aux matériels retenus. L’annexe B présente vingt monographies de démolitions de petits ou de grands ouvrages illustrant la variété des situations. L’annexe C fournit des exemples de clauses types à insérer dans les cahiers des charges et des supports utiles à la gestion des déchets. Le contexte réglementaire étant susceptible d’évoluer rapidement, le concepteur s’attachera à vérifier l’actualité des textes présentés à la date de publication de ce document. Annexe A1 - Nomenclature des déchets inertes admissibles en ISDI Déchet - Caractérisation des propriétés dangereuses Annexe A2 A - Matériel de démolition - Documentation technique Bigues fluviales Grues mobile Grues sur pneus Grues sur chenilles Annexe A2B - Choix et utilisation d'une grue Grue (sur pneus) au levage - descente de charge par patin Stabilité d'un « mur » sous la poussée d'un appui de grue Mise en place d’un platelage de répartition Plan de grutage - exemple détaillé Stabilité d'une poutre au grutage Exemple appliqué de la vérification de stabilité de poutre Annexe A 3 - Démolition par explosifs - Surpressions - Vibrations Nuisances inhérentes au procédé de la démolition par explosifs
  470. Edition (Ceremadoc) Aménagements pour la faune sauvage : Note d'Information - Économie Environnement Conception - Série(EEC)

    Cette note dresse l'état des aménagements de protection ou de compensation conçus pour réduire les impacts de la route sur la faune sauvage :- des passages (passages supérieurs ou passages inférieurs) ;- des clôtures pour la grande faune ;- les collecteurs pour les petits animaux ;- des milieux de substitution pour éviter la traversée des animaux.Elle traite également de la gestion des ouvrages et de leurs abords et du suivi de leur efficacité.
  471. Edition (Ceremadoc) Analyse des risques appliquée aux buses métalliques

    Le retour d’expérience sur les buses métalliques a montré que ces ouvrages ont une durée de vie réelle réduite par rapport à leur durée de service initialement prévue. Plusieurs ruptures de buses métalliques liées notamment à la corrosion et leur affouillement ont pu être observées. À la demande de la DGITM/DIT (Direction Générale des Infrastructures des Transports et de la Mer/Direction des Infrastructures de Transport), le réseau scientifique et technique du ministère a mis au point une méthodologie d’analyse des risques spécialement adaptée à ce type d’ouvrage. Cette méthode permet à un maître d’ouvrage d’analyser et de classer l’ensemble des buses métalliques en fonction des aléas auxquels elles sont soumises, de leur vulnérabilité et des conséquences de leur défaillance potentielle. L’objectif est aussi d’aboutir aux meilleurs arbitrages techniques et financiers compte tenu des enjeux socio-économiques et humains.
  472. Edition (Ceremadoc) Plan de prévention du bruit dans l’environnement - Méthodologie d’aide aux acteurs pour l’intégration des données dans MapBruit v2 : Note d'Information - Économie Environnement Conception - Série(EEC)

    La réalisation des plans de prévention du bruit dans l’environnement (PPBE) est imposée par la directive européenne 2002/49/CE. Celle-ci concerne la gestion et la prévention des bruits dans l’environnement, nécessite la mise en place d’outils permettant de stocker les informations qui leur sont relatifs. Ces informations sont de différente nature, comme la localisation des sites concernés, les mesures de protection mises en œuvre, leur coût et leur modalité de financement. Elle propose un formatage des données à stocker au travers de l’emploi d’un outil appelé MapBruit généralement utilisé dans les services de l’État. Cet outil est disponible sur le site du Certu. Le suivi de ce formatage permet d’extraire facilement ces informations spécifiques aux PPBE en interrogeant la base de données au travers du langage SQL. Introduction Objectifs de cette note d’information Rappel du contexte réglementaire Rôle des CETE Données à fournir à la Commission européenne . Opportunité d’utiliser MapBruit v2 Gestion d’un PPBE à partir de MapBruit v2 Conclusion Bibliographie Glossaire
  473. Edition (Ceremadoc) Plan National Adaptation au Changement climatique : Évaluation des enjeux trafic via l’utilisation d’un modèle de déplacement

    Ce document a été élaboré sous le pilotage de la DTecITM par le PCI "Méthodes, Outils et Démarches pour la Modélisation et l’Organisation des Déplacements". Le PCI vise à proposer des évolutions dans la manière de conduire les études de déplacements afin de pouvoir répondre aux attentes sociétales complexes relevant directement ou indirectement de ce domaine d’investigations. La modélisation des déplacements est donc la cible principale du PCI mais il a aussi vocation à proposer, spécifier ou améliorer d’autres démarches, méthodes et outils pour permettre une prise en compte plus large et plus efficace des enjeux de déplacements. Le PCI est situé à la DTer Normandie-Centre. Le rapport présente la démarche suivie par le PCI Modélisation pour effectuer des analyses d’enjeux sur des réseaux de transports en vue de la création d’un guide méthodologique sur l’adaptation au changement climatique.
  474. Edition (Ceremadoc) Petits ouvrages hydrauliques et continuités écologiques - Cas de la faune piscicole : Note d’information - série Économie, Environnement, Conception n° 96

    La prise en compte des cours d’eau dans les projets d’infrastructures linéaires s’est longtemps limitée à l’étude des enjeux hydrauliques et à la prise en compte des risques d’inondations. De ce fait, leur franchissement et aménagement étaient réalisés de manière à assurer la pérennité des projets sans se soucier véritablement des autres enjeux associés aux milieux aquatiques, en particulier des fonctions biologiques qu’ils assurent : corridor de déplacement de la faune, zones préférentielles de reproduction, d’alimentation, d’abris ou de repos pour de nombreuses espèces animales terrestres, milieux de vie des espèces aquatiques. La « loi pêche » de 1984, la « loi sur l’eau » de 1992, la « Directive Cadre Européenne sur l’Eau (DCE) » de 2000 et la loi sur l’eau et les milieux aquatiques de 2006 ont enrichi cette approche purement hydraulique du franchissement des cours d’eau. Il importe désormais de rétablir la continuité écologique au sein de ces infrastructures, via la mise en place d’ouvrages adaptés aux enjeux environnementaux comme aux risques hydrauliques. Une attention toute particulière est portée à la préservation de la continuité écologique au sein des ouvrages fermés (dits « à radier » ou « avec assise dans le lit mineur »), ceci étant une obligation réglementaire pour tout I.O.T.A. [2] en rivière, modifiant le profil en long et en travers d’un cours d’eau. Dans ce cadre, la note présente les grands principes à respecter a minima et les paramètres à prendre en compte lors de la conception et l’installation de ces ouvrages 1 - Introduction 2 - Les ouvrages hydrauliques concernés 3 - Le constat 4 - Éléments clés de la réglementation 5 - Paramètres à prendre en compte lors du franchissement d'un cours d'eau Conclusion Glossaire Bibliographie
  475. Edition (Ceremadoc) Plan National d’Adaptation au Changement Climatique, volet infrastructures et systèmes de transport : Action 3 : Analyse des risques liés aux événements climatiques extrêmes sur les infrastructures, systèmes et services de transport Recueil de concepts

    Ce plan couvre notamment le domaine des transports, pour lequel différentes actions d’adaptation à court, moyen et long termes ont été décidées. Ces actions concernent les infrastructures aéroportuaires, fluviales, maritimes, portuaires et routières, installations de transport par câbles, ouvrages d’art et en terre et remontées mécaniques. À la demande de la Direction Générale des Infrastructures de Transport et de la Mer (DGITM), ces actions ont été mises en œuvre par le Cerema, en lien avec plusieurs directions techniques et territoriales du Cerema, IFRECOR, RFF, la SNCF, le STAC, le STRMTG et VNF. ACTION 3 L’action 3 cible les futures conditions climatiques extrêmes. Dans le cadre de cette action, le Cerema développe une méthodologie d’analyse des risques encourus par les infrastructures de transport face aux événements extrêmes du changement climatique. Cette méthodologie se base principalement sur les trois volets suivants : la caractérisation des aléas retenus pour l’analyse, basée sur l’étude des aléas passés et à venir ; l’analyse de la vulnérabilité physique des infrastructures du territoire étudié, grâce à la décomposition du réseau en sous-éléments et à l’étude des facteurs de vulnérabilité de chacun de ces éléments ; l’analyse de vulnérabilité fonctionnelle, qui dépend des fonctionnalités étudiées (accès des secours, déplacements domicile-travail, etc.) et s’appuie sur différentes méthodologies de résolution. La construction de cette méthodologie se base sur la capitalisation de retours d’expérience issus d’analyses de risque menées sur différents territoires et pour plusieurs types d’infrastructures.
  476. Edition (Ceremadoc) Emissions routières de polluants atmosphériques - Courbes et facteurs d'influence : Note d'Information - Économie Environnement Conception - Série(EEC)

    En France, la contribution des transports routiers aux émissions de polluants atmosphériques est significative pour de nombreuses substances, voire majoritaire pour certaines. Dans le cadre de l’évaluation des projets d’infrastructures routières, de plans et programmes ou de mesures portant sur le trafic, il est intéressant de connaître les facteurs qui ont un impact sur les émissions de polluants atmosphériques dues au transport routier. Or les courbes issues des modèles permettant de déterminer les émissions de polluants en fonction de la vitesse du véhicule sont peu connues. Cette note d’information permet de présenter la démarche de construction de ces courbes et les principales variables, outre la vitesse, qui influent sur les émissions de polluants des différentes catégories de véhicules. Les courbes ainsi construites constituent un outil d’aide à la définition de mesures visant à limiter l’impact du trafic sur la pollution atmosphérique. Contexte et objectifs Présentation de la démarche de construction des courbes d’émissions Courbes d’émissions : analyse de l’influence des différents paramètres Conclusions et perspectives Bibliographie
  477. Edition (Ceremadoc) Entretien des dépendances vertes : Guide pratique

    Après avoir défini les dépendances vertes, leur rôle (sécurité des usagers, maintien du bon état de la route et de ses abords, image de lieux agréables et propres, préservation de l'environnement) et leurs caractéristiques, ce guide présente les différents travaux d'entretien : fauchage et débroussaillage utilisation des produits phytosanitaires taille des arbres et des arbustes plantations autres tâches d'entretien : entretien des terres pleins centraux, propreté de la route, ramassage et élimination des branches et feuilles, entretien de la végétation sur les ouvrages d'art. Il délivre des recommandations et conseils pratiques pour l'exécution des tâches réalisées en subdivision territoriale et dans les parcs d'entretien routier.
  478. Edition (Ceremadoc) Drainage routier

    Ce guide technique "Drainage routier" est le premier document méthodologique qui incite à la prise en compte systématique des besoins de drainage dans les travaux routiers.Il propose des solutions en terme de : type d'ouvrage ; d'implantation ; de dimensionnement et d'entretien pour les projets routiers neufs y compris les terrassements et pour les chaussées existantes. Ce document s'adresse aux maîtres d'oeuvre et d'ouvrage, aux gestionnaires, aux bureaux d'études et entreprises de travaux publics concernés par l'étude du drainage routier, sa réalisation et sa maintenance. Introduction Notions générales sur le drainage Drainage dans un projet routier neuf Drainage d’une chaussée existante Caractéristiques des dispositifs de drainage et des matériaux utilisés dans ces dispositifs Exécution des travaux, application de l’assurance qualité, achèvement des travaux de drainage, exploitation et entretien Annexes Études hydrogéologiques particulières Amélioration des conditions hydriques des matériaux Évaluation des débits à drainer Éléments pour l’établissement du cahier des clauses techniques particulières (CCTP) Bibliographie Abréviations et glossaire
  479. Edition (Ceremadoc) Démarche d'évaluation environnementale. Série de fiches : Fiche 2 : Démarche d'élaboration du SCOT

    La démarche d'évaluation environnementale s'opère tout au long du processus d'élaboration du document du PLU ou du SCoT. L'objectif de cette évaluation est d'intégrer la question environnementale à chaque étape du processus de conception du document d'urbanisme. Afin de visualiser les grandes étapes d'une démarche d'évaluation environnementale, nous proposons 2 fiches synthétiques.
  480. Edition (Ceremadoc) Désimperméabilisation et renaturation des sols. Série de fiches : Fiche n° 04 - Impliquer les citoyens dans la renaturation de leur quartier - Opération « Strasbourg ça pousse »

    Cette série de fiches vise à faire connaitre à travers des retours d'expérience, des solutions variées de désimperméabilisation et de renaturation de sols urbains. Ces solutions concernent différentes échelles, de la rue à la ville en passant par le quartier. Elles visent à répondre aux enjeux de la ville de demain en lien avec l'adaptation au changement climatique mais aussi aux besoins exprimés de plus de nature en ville et de développement de la biodiversité. Elle comporte 4 fiches : Fiche n° 01 Sol et végétal : au cœur des aménagements urbains - Le renouvellement du quartier Victor Hugo à Bagneux Fiche n° 02 Paysage et désimperméabilisation à Marseille : les sols dans le projet urbain durable pour la ville héritée Fiche n° 03 Favoriser l'infiltration et la réutilisation des eaux pluviales - Le réaménagement de la rue Garibaldi à Lyon Fiche n° 04 Impliquer les citoyens dans la renaturation de leur quartier Opération « Strasbourg ça pousse » Sommaire commun à toutes les fiches Descriptif Éléments clés du projet Quels bénéfices pour la collectivité ? Enseignements utiles pour d'autres territoires
  481. Edition (Ceremadoc) Développement de la production d’origine éolienne

    Les procédures de développement de la production électrique par des éoliennes sont profondément transformées par la loi Grenelle 2 à travers : la modification des règles d’implantation des zones de développement éolien (ZDE), et l’insertion au sein du Schéma régional du climat, de l’air et de l’énergie l’évolution de la réglementation au sein des ZDE Cette fiche en décrypte les principes.
  482. Edition (Ceremadoc) Désimperméabilisation et renaturation des sols. Série de fiches : Fiche n° 02 - Paysage et désimperméabilisation à Marseille : les sols dans le projet urbain durable pour la ville héritée

    Cette série de fiches vise à faire connaitre à travers des retours d'expérience, des solutions variées de désimperméabilisation et de renaturation de sols urbains. Ces solutions concernent différentes échelles, de la rue à la ville en passant par le quartier. Elles visent à répondre aux enjeux de la ville de demain en lien avec l'adaptation au changement climatique mais aussi aux besoins exprimés de plus de nature en ville et de développement de la biodiversité. Elle comporte 4 fiches : Fiche n° 01 Sol et végétal : au cœur des aménagements urbains - Le renouvellement du quartier Victor Hugo à Bagneux Fiche n° 02 Paysage et désimperméabilisation à Marseille : les sols dans le projet urbain durable pour la ville héritée Fiche n° 03 Favoriser l'infiltration et la réutilisation des eaux pluviales - Le réaménagement de la rue Garibaldi à Lyon Fiche n° 04 Impliquer les citoyens dans la renaturation de leur quartier Opération « Strasbourg ça pousse » Sommaire commun à toutes les fiches Descriptif Éléments clés du projet Quels bénéfices pour la collectivité ? Enseignements utiles pour d'autres territoires
  483. Edition (Ceremadoc) Désimperméabilisation et renaturation des sols. Série de fiches : Fiche n° 03 - Favoriser l'infiltration et la réutilisation des eaux pluviales - Le réaménagement de la rue Garibaldi à Lyon

    Cette série de fiches vise à faire connaitre à travers des retours d'expérience, des solutions variées de désimperméabilisation et de renaturation de sols urbains. Ces solutions concernent différentes échelles, de la rue à la ville en passant par le quartier. Elles visent à répondre aux enjeux de la ville de demain en lien avec l'adaptation au changement climatique mais aussi aux besoins exprimés de plus de nature en ville et de développement de la biodiversité. Elle comporte 4 fiches : Fiche n° 01 Sol et végétal : au cœur des aménagements urbains - Le renouvellement du quartier Victor Hugo à Bagneux Fiche n° 02 Paysage et désimperméabilisation à Marseille : les sols dans le projet urbain durable pour la ville héritée Fiche n° 03 Favoriser l'infiltration et la réutilisation des eaux pluviales - Le réaménagement de la rue Garibaldi à Lyon Fiche n° 04 Impliquer les citoyens dans la renaturation de leur quartier Opération « Strasbourg ça pousse » Sommaire commun à toutes les fiches Descriptif Éléments clés du projet Quels bénéfices pour la collectivité ? Enseignements utiles pour d'autres territoires