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  1. Study report (Ceremadoc) Equihen-plage. Diagnostic de sécurité d'habitations en crête de falaise

    La falaise d'Equihen-Plage est soumise à de récurrents glissements de terrains. Certains entraînent un recul du sommet urbanisé. Dans ce contexte, la DDTM du Pas-de-Calais a sollicité le Cerema pour évaluer la sécurité d'habitations situées dans les secteurs du Cap-Horn et du Becquet. Dans le secteur du Cap-Horn, des sondages de reconnaissance ont été réalisés et des inclinomètres permettent de déterminer la stabilité des terrains sous-jacents. Les parcelles des deux secteurs concernés et leurs bâtiments ont également été observés. Cette étude a permis de mieux cerner la dynamique érosive à Equihen-Plage et définir l'exposition au risque des habitations.
  2. Study report (Ceremadoc) Étude prévisionnelle des points noirs de bruit de la RN2. Entre Barenton-Bugny et Saint-Gobert

    Cette étude de fiabilisation s'inscrit dans la continuité du programme résorption des Points noirs de bruit (PNB) engagé dans le cadre des plans de prévention du bruit dans l'environnement (PPBE) du réseau national bruit. Lors du PPBE de première échéance, le secteur de RN2 entre Barenton et Saint-Gobert., bien qu'identifié comme présentant de potentiels PNB, n'a pas fait l'objet d'actions car la RN2 n'atteignait pas le seuil de trafic des grandes infrastructures concernées par la cartographie stratégique de bruit et PPBE associé (Trafic Moyen Journalier annuel >8000 véhicules/jour). L'ensemble des PNB du réseau national routier de l'Aisne soumis à ces PBE et nécessitant un traitement à la source ayant été diagnostiqués, la DDT02 en accord avec la DREAL Hauts de France a souhaité poursuivre son action de résorption le long du réseau national en réalisant une étude spécifique de la RN2 entre Barenton et Saint-Gobert. Ainsi , l'objet de cette étude prévisionnelle basée sur une modélisation acoustique consiste donc sur ce secteur à : * identifier les potentiels bâtiments dépassant les seuils PNB d LAeq(6h-22h) =70db(A) et/ou LAeq(22h-6h)=65dB(A); * déterminer l'objectif d'isolement de façade à retenir pour chaque batiment dans le cadre d'un traitement de façade. Cette étude identifie 89 bâtiments dépassant les seuils PNB ainsi que 58 bâtiments dont le niveau sonore en façade est sous les seuils à 1dB(A) près.
  3. Study report (Ceremadoc) Étude prévisionnelle des points noirs de bruit de la RN2. Entre Gercy et Fontaine-lès-Vervins

    Cette étude de fiabilisation s'inscrit dans la continuité du programme résorption des Points noirs de bruit (PNB) engagé dans le cadre des plans de prévention du bruit dans l'environnement (PPBE) du réseau national bruit. Lors du PPBE de première échéance, le secteur de RN2 entre Gercy et Fontaine-lès-Vervins, bien qu'identifié comme présentant de potentiels PNB, n'a pas fait l'objet d'actions car la RN2 n'atteignait pas le seuil de trafic des grandes infrastructures concernées par la cartographie stratégique de bruit et PPBE associé (Trafic Moyen Journalier annuel >8000 véhicules/jour). L'ensemble des PNB du réseau national routier de l'Aisne soumis à ces PBE et nécessitant un traitement à la source ayant été diagnostiqués, la DDT02 en accord avec la DREAL Hauts de France a souhaité poursuivre son action de résorption le long du réseau national en réalisant une étude spécifique de la RN2 entre Gercy, Vervins et Fontaine-lès-Vervins. Ainsi , l'objet de cette étude prévisionnelle basée sur une modélisation acoustique consiste donc sur ce secteur à : * identifier les potentiels bâtiments dépassant les seuils PNB d LAeq(6h-22h) =70db(A) et/ou LAeq(22h-6h)=65dB(A); * déterminer l'objectif d'isolement de façade à retenir pour chaque batiment dans le cadre d'un traitement de façade. Cette étude identifie 89 bâtiments dépassant les seuils PNB ainsi que 58 bâtiments dont le niveau sonore en façade est sous les seuils à 1dB(A) près.
  4. Study report (Ceremadoc) Étude prévisionnelle des points noirs de bruit de la RN2. Entre Froidestrées et Étréaupont

    Cette étude de fiabilisation s'inscrit dans la continuité du programme résorption des Points noirs de bruit (PNB) engagé dans le cadre des plans de prévention du bruit dans l'environnement (PPBE) du réseau national bruit. Lors du PPBE de première échéance, le secteur de RN2 entre Froidestrées et Etréaupont, bien qu'identifié comme présentant de potentiels PNB, n'a pas fait l'objet d'actions car la RN2 n'atteignait pas le seuil de trafic des grandes infrastructures concernées par la cartographie stratégique de bruit et PPBE associé (Trafic Moyen Journalier annuel >8000 véhicules/jour). L'ensemble des PNB du réseau national routier de l'Aisne soumis à ces PBE et nécessitant un traitement à la source ayant été diagnostiqués, la DDT02 en accord avec la DREAL Hauts de France a souhaité poursuivre son action de résorption le long du réseau national en réalisant une étude spécifique de la RN2 entre entre Froidestrées et Etréaupont Ainsi , l'objet de cette étude prévisionnelle basée sur une modélisation acoustique consiste donc sur ce secteur à : * identifier les potentiels bâtiments dépassant les seuils PNB d LAeq(6h-22h) =70db(A) et/ou LAeq(22h-6h)=65dB(A); * déterminer l'objectif d'isolement de façade à retenir pour chaque batiment dans le cadre d'un traitement de façade. Cette étude identifie 76 bâtiments dépassant les seuils PNB ainsi que 25 bâtiments dont le niveau sonore en façade est sous les seuils à 1dB(A) près.
  5. Study report (Ceremadoc) RN 225 - Vulnérabilité des eaux souterraines entre l'A16 et l'échangeur de Bergues.

    Ce rapport dresse l'inventaire des données géologiques disponibles dans les archives de construction de la RN225 stockés au Cerema. Sur la base de ces éléments, la vulnérabilité des eaux souterraines est caractérisée selon la méthodologiede la note d'information sur la méthode de hiéarchisation de la vulnérabilité de la ressource en eau du Cerema ITM. Cette méthodologie est adaptée à la définition de la vulnérabilité vis-à-vis de la pollution routière et notamment la pollution accidentelle. La vulnérabilité des eaux souterraines obtenue est moyenne à faible vis-à-vis de la RN 225 et permet de relativiser la vulnérabilité forte définie par la cartographie de la vulnérabilité intrinséque des eaux souterraines réalisée dans le Nord-Pas-de-Calais par le BRGM;
  6. Study report (Ceremadoc) Étude du potentiel solaire (panneaux solaires photovoltaïques) sur les bâtiments de l'État dans le département du Calvados

    La préfecture du Calvados élabore un Plan Vert. Dans ce cadre elle souhaite favoriser l'équipement des bâtiments de l'État en panneaux solaires photovoltaïques. L'objectif de l'étude est de définir le potentiel d'équipement des bâtiments de l'État en panneaux solaires photovoltaïques. La DREAL Normandie a confié à la Direction Territoriale Normandie Centre du Cerema la réalisation de cette étude qui a été menée de juillet 2017 à février 2018 en 3 phases. La première phase a consisté à réaliser le cadastre solaire des bâtiments pour aboutir à une cartographie des toitures présentant leur potentiel solaire, en dégradé de couleur de faible à fort. Les modélisations ont permis l'élaboration de 2 cartographies : une avec le potentiel brut en chaque point de toiture et une avec le potentiel moyen au m² pour chaque toiture. La deuxième phase a consisté à calculer des estimations de productibles en énergie électrique en intégrant la partie des toitures réellement exploitable. Les résultats sont restitués dans une 3eme cartographie qui présente le productible annuel estimé par toiture. La troisième phase a consisté à réaliser des analyses sur les estimations de productibles pour mettre en valeur les bâtiments présentant un potentiel solaire significatif. Des regroupements ont été réalisés par ministère d'appartenance et par gestionnaires. Un zoom plus particulier a été réalisé sur les bâtiments inscrits au Schéma Directeur Immobilier de l'État en Région Normandie (SDIR). Cette étude permet de sélectionner les bâtiments présentant un potentiel solaire significatif. Pour pouvoir engager par la suite l'installation de panneau solaire, une étude de dimensionnement au cas par cas est nécessaire.
  7. Study report (Ceremadoc) Gestion des milieux aquatiques et prévention des inondations Anticiper la compétence GEMAPI Partage d'expérience de la Communauté Urbaine de Dunkerque

    La compétence de gestion des milieux aquatiques et de prévention des inondations (GEMAPI) est obligatoire depuis le 1er janvier 2018. L'ambition ? Rendre plus cohérente et plus efficace l'organisation territoriale dans le domaine de l'eau pour relever les défis de restauration des milieux aquatiques et de réduction de la vulnérabilité aux inondations. Quelques territoires ont toutefois devancé l'échéance. C'est le cas de la Communauté urbaine de Dunkerque sur le littoral de la mer du Nord. Un système hydraulique et des digues maintiennent hors d'eau ce territoire gagné sur la mer depuis des siècles. L'existence et la viabilité économique de la plaine des wateringues1 en dépendent. Avec six autres intercommunalités (dans le triangle Saint-Omer - Calais - Dunkerque), la Communauté Urbaine de Dunkerque décide de se saisir de cette nouvelle compétence : elle crée ainsi une Institution Intercommunale des Wateringues pour prendre le relais des départements et elle instaure la taxe GEMAPI. Retour sur cette expérience pionnière en milieu littoral qui souligne le besoin, selon les spécificités du contexte local, de ménager des transitions territoriales.
  8. Study report (Ceremadoc) Actualisation du profil d'équilibre de la Rivière du Mât - Analyse des évolutions morphologiques depuis 2007

    L’étude a pour objet d’analyser l’évolution morphologique depuis octobre 2007 du lit de la Rivière du Mât située sur l’Île de la Réunion. L’analyse morphologique a été réalisée sur la partie aval de la rivière depuis l’amont de la prise d’eau ILO « Irrigation du Littoral Ouest » (agglomération de Salazie) jusqu’à son embouchure dans l’Océan Indien (agglomérations de Saint-André et de Bras-Panon) où se concentrent les principaux enjeux concernés par les aléas d’inondation et d’érosion liés aux crues cycloniques. Elle est basée sur la comparaison du levé topographique réalisé par photogrammétrie en août-octobre 2007 et du levé topographique le plus récent réalisé par LIDAR en septembre 2017. Cette étude propose également une actualisation du profil en long d'équilibre et de l’espace de mobilité en plan de la Rivière du Mât.
  9. Study report (Ceremadoc) Evaluation française des écosystèmes et des services écosystémiques. Ecosystèmes urbains. Tomes 1 et 2, annexes

    au niveau de la france, l’evaluation française des ecosytèmes et des services ecosystémiques (efese) est une adaptation du millenium ecosystem assessment (mea, 2005) porté par l’organisation des nations unies. afin de répondre aux objectifs d’évaluation national, un cadre conceptuel (cgdd 2016) commun a été validé, certaines orientations spécifiques ont été retenues pour conduire les évaluations à l’échelle nationale. il définit le périmètre de l’évaluation et fournit une base de travail commune à l’ensemble des acteurs impliqués. le périmètre de l'efese s’étend à l’ensemble des écosystèmes terrestres et marins de france métropolitaine et d’outre-mer. l’évaluation est organisée autour de six grands types d’écosystèmes dont « l’écosystème urbain » objet du présent travail. l’écosystème urbain se définit comme un système peuplé et aménagé par et pour l’être humain, constitué de milieux dominés par le vivant dont le sol est le support des différents types d’occupations (les parcs, les jardins et milieux humides urbains, les pieds d’arbres… ) et par l’artificialisation comme la voirie et les bâtiments, qui constituent l’habitat des êtres humains. au sein de ce milieu complexe et fortement hétérogène les espaces de nature en ville, objet des présents travaux, regroupent les espaces urbains non imperméabilisés où le sol permet le développement d’espèces et d’habitats terrestres.
  10. Study report (Ceremadoc) Étude du fonctionnement hydrologique de l'Austreberthe

    Dans la perspective d’accompagner la mise en œuvre de systèmes d’alerte locaux, le SPC Seine aval côtiers normands a confié au laboratoire régional de Blois le soin de caractériser le fonctionnement hydrologique de l’Austreberthe, affluent de la Seine. Cette étude comprend différentes parties décrivant le bassin versant dans sa globalité, les chroniques pluviométriques et hydrométriques disponibles ainsi que les crues observées depuis la mise en place des données de pluie radar. La réaction du bassin lors d’événements pluvieux localisés, engendrant des crues, fait l’objet d’une analyse particulière. Des relations permettant de déterminer l’accroissement de débit et des abaques de vigilance ont été établis à partir des données disponibles en opérationnel.
  11. Study report (Ceremadoc) Étude du fonctionnement hydrologique de la Blaise

    Le SPC Seine aval côtiers normands a confié au Cerema le soin de caractériser le fonctionnement hydrologique de la Blaise, affluent de l’Eure, au niveau de l’ancienne station hydrométrique de Garnay. Cette étude comprend différentes parties décrivant le bassin versant dans sa globalité, les chroniques pluviométriques et hydrométriques disponibles ainsi que les crues observées depuis la mise en service du premier pluviomètre du secteur (Marville). Des relations d’aide à la vigilance sont établies, notamment pour déterminer le débit de pointe ou l’accroissement de débit en fonction des données disponibles en conditions opérationnelles.
  12. Study report (Ceremadoc) Restauration de la continuité écologique du passage inférieur de la drève de Bassy en forêt domaniale de Raismes - Saint-Amand - Wallers (phase 1 Etudes )

    Ce document rassemble tous les éléments utiles à la restauration de la continuité écologique du passage inférieur de la drève de Bassy en forêt domaniale de Raismes-Saint-Amand-Wallers, projet cofinancé par l'agence de l'eau et le Cerema. Une première partie décrit le contexte du projet, les acteurs et les enjeux. Une deuxième partie fait le bilan de l'état initial pour le groupe des mammifères, notamment les chauves-souris, les amphibiens, reptiles, les habitats naturels et le réseau des mares forestières. La troisième et dernière partie détaille toutes les mesures à prendre pour restaurer la continuité écologique, notamment les aménagements à réaliser avec leur coût. Sont également présentées toutes les pistes possibles pour le portage des travaux et la prise en charge de leurs coûts. Ce document rassemble tous les éléments utiles à la restauration de la continuité écologique du passage inférieur de la drève de Bassy en forêt domaniale de Raismes-Saint-Amand-Wallers, projet cofinancé par l'agence de l'eau et le Cerema. Une première partie décrit le contexte du projet, les acteurs et les enjeux. Une deuxième partie fait le bilan de l'état initial pour le groupe des mammifères, notamment les chauves-souris, les amphibiens, reptiles, les habitats naturels et le réseau de mares forestières. La troisième et dernière partie détaille toutes les mesures à prendre pour restaurer la continuité écologique, notamment les aménagements à réaliser avec leur coût. Sont également présentées toutes les pistes possibles pour le portage des travaux et la prise en charge de leurs coûts.
  13. Study report (Ceremadoc) Ex parc départemental de Reims. Rapport bilan suivi des eaux souterraines 2017/18 C16NB0078

    L'ex parc départemental de Reims fait l'objet actuellement d'un suivi de la nappe des eaux souterraines suite à une pollution des sols du site diagnostiquée fin 2008 par le Cete NP (devenu Cerema en janvier 2014). Les polluants détectés lors du diagnostic, à savoir les hydrocarbures totaux (HcT), les Hydrocarbures Aromatiques Polycycliques (HAP) et des composés organiques volatils tels que le benzène, le toluène, l'éthylbenzène, et le xylène (BTEX) sont quantifiés à chaque prélèvement. Les résultats du suivi 2015 ont montré un dépassement des valeurs seuils en HAP lors de la première campagne de prélèvements. Les conclusions du Cerema étaient alors de poursuivre le suivi afin de respecter les dispositions de l'arrêté préfectoral 2010-APC-171-IC. Ce suivi s'est poursuivi grâce à deux campagnes de prélèvements, une en août 2017 et l'autre en avril 2018. L'ensemble des résultats des analyses chimiques des deux campagnes étant inférieur aux limites de quantification, le Cerema recommande la levée du suivi des eaux souterraines
  14. Study report (Ceremadoc) Etude de fiabilisation des points noirs de bruit de la RN2. Larouillies - Avesnelles sud (59)

    Cette étude de fiabilisation s'inscrit dans la continuité du programme résorption des Points Noirs de Bruit (PNB) engagé dans le cadre des Plans de Prévention du Bruit dans l'Environnement (PPBE) du réseau national bruit. Lors du PPBE de première échéance, le secteur de RN2 entre Larouillies et Avesnelles, bien qu'identifié comme présentant de potentiels PNB, n'a pas fait l'objet d'actions car la RN2 n'atteignait pas le seuil de trafic des grandes infrastructures concernées par la cartographie stratégique de bruit et PPBE associé (Trafic Moyen Journalier Annuel > 8200 véhicules/jour). L'ensemble des PNB du réseau national routier du Nord soumis à ces PPBE et nécessitant un traitement à la source ayant été diagnostiqués, la DREAL Hauts-de-France a souhaité poursuivre son action de résorption le long du réseau national en réalisant une étude spécifique de la RN2 en traversée de Larouillies, Étroeungt, Haut-Lieu et le sud d'Avesnelles. En effet, un projet de déviation de la RN2 autour de la ville d'Avesnes-sur-Helpe devrait permettre de traiter les potentiels PNB du nord d'Avesnelles. Ainsi, l'objet de cette étude prévisionnelle basée sur une modélisation acoustique consiste sur ce secteur à : " identifier les potentiels bâtiments dépassant les seuils PNB de LAeq(6h-22h) = 70dB(A) et/ou LAeq(22h-6h) = 65dB(A) ; " déterminer l'objectif d'isolement de façade à retenir pour chaque bâtiment dans le cadre d'un traitement de façade. Cette étude identifie 88 bâtiments dépassant les seuils PNB dans le secteur évalué.
  15. Study report (Ceremadoc) Mise en oeuvre de la démarche Secteurs d'Information sur les Sols - Année 2017

    La loi ALUR de mars 2014 a introduit un certain nombre de dispositions en matière de gestion des sites et sols pollués dont la notion de « secteurs d'information sur les sols » (SIS), devant être élaborées par l'État entre 2016 et 2019 sur la base notamment de l'inventaire BASOL. Dans ce contexte, la DGPR / Bureau du sol et du sous-sol (B3S) a sollicité le Cerema pour porter appui aux DREAL pour la définition et la saisie des SIS et pour les consultations à mener auprès des collectivités et propriétaires des parcelles concernées. La mission du Cerema se déroule sur 3 ans ; l'identification des SIS a été mise en place la première année, en 2016, sur 3 régions pilotes de façon à caler la méthodologie : les Hauts de France, AuRA et Île-de-France. L'intervention du Cerema s'est poursuivie en 2017 par un appui auprès de quatre DREAL : Grand-Est, Occitanie, Nouvelle Aquitaine et Provence Alpes Côte d'Azur. Les prestations ont été adaptées aux besoins et attentes des services déconcentrés, allant d'une assistance méthodologique pour la hiérarchisation des SIS jusqu'au développement d'un outil de traitement de données et une aide à la cartographie selon les cas. Le présent rapport est un compte-rendu détaillé des démarches conduites en 2017 auprès des DREAL concernées, reprenant les méthodologies mises en oeuvre, les difficultés rencontrées par les services et les propositions d'adaptation ou d'apports méthodologiques éventuels.
  16. Study report (Ceremadoc) Sites du Cerema Normandie-Centre. Analyse de la pollution des sols à proximité des anciennes cuves de carburants.

    Dans le cadre de l'arrêt de la distribution de carburants sur les sites de Blois et Rouen du Cerema Normandie Centre, le Secrétariat Général souhaite réaliser une étude de pollution afin de vérifier s'il y a eu des fuites autour des cuves enterrées lors de la phase d'exploitation. Le Cerema Normandie Centre a mené des campagnes de prélèvements de sols, et a sollicité l'appui du Cerema Nord Picardie pour interpréter les résultats des analyses chimiques pratiquées sur les échantillons prélevés.
  17. Study report (Ceremadoc) Etude de bruit de roulement sur A21. Secteur de Fouquières-les-lens.

    Dans le cadre de la Convention d'Engagement Volontaire de 2009, la Direction Interrégionale des Routes du Nord (DIR N), cherche à mieux appréhender les critères de coût, performance et durée de vie des revêtements de chaussée, dans un contexte économique contraint. La DIR N expérimente la technique de l'Enduit Coulé à Froid (ECF) sur une partie de son réseau, sur A21 dont la zone de Fouquières-lès-Lens. La DIR N a sollicité le Cerema Nord-Picardie pour réaliser différents essais dont la caractérisation des performances acoustiques du nouveau revêtement. Les mesures ont été réalisées en champ proche ou encore Close ProXimity (CPX). L'essai sur le revêtement neuf constitue la valeur de référence, dans l'objectif d'un suivi de performance annuel. La comparaison entre l'ancien revêtement (Béton Bitumineux Drainant, -BBDr-) et le revêtement ECF de type Matériaux Bitumineux Coulé à Froid -MBCF-, permet d'estimer le gain acoustique au temps T0. L'écart relatif entre ces deux revêtements est de l'ordre de 5 dB(A), en faveur du MBCF neuf. Le niveau sonore (Lrev) du nouveau revêtement (MBCF) est de 98 dB(A) à 90 km/h et 20 °C. La comparaison spectrale entre les deux revêtements montre que le gain porte principalement sur la bande de fréquences 630-1600 Hz. Ce gain sur cette bande spectrale, doit permettre une amélioration de la qualité de la communication orale à proximité de l'autoroute A21. Le Cerema recommande un suivi annuel des performances acoustiques, afin de mieux appréhender le vieillissement de ce type de revêtement.
  18. Study report (Ceremadoc) Impact des curages sur la qualité de l'eau en Nord-Pas de Calais. Retour sur les bilans environnementaux 2014-2017

    Chaque année, Voies Navigables de France fait réaliser des dragages dans ses voies d'eau pour maintenir le trafic fluvial. Chaque opération de dragage fait l'objet d'un suivi environnemental, notamment pendant la période de chantier pour suivre les effets de la remise en suspension du sédiment dragué. Le suivi de paramètres physico-chimiques (matières en suspension, oxygène, conductivité...) et selon les cas, de paramètres chimiques (éléments traces, PCB, HAP) est ainsi réalisé et fait l'objet d'un retour via un rapport de bilan environnemental. Afin d'avoir un aperçu des impacts les plus fréquemment constatés pendant des chantiers en Nord-Pas de Calais, nous nous sommes intéressés aux résultats des suivis, consignés dans les bilans environnementaux rédigés pour 3 saisons de curage, entre 2014 et 2017.
  19. Study report (Ceremadoc) Calage de modèles de prévision des crues sur le bassin du Golo (Corse) - Analyse des données et calage d'un modèle global horaire

    Le Service Central d'Hydrométéorologie et d'Appui à la Prévision des Inondations (SCHAPI), en lien avec le Service de Prévision des Crues Méditerranée-Est (SPC Med Est) de Météo France et la DREAL Corse, a décidé de mettre en place, comme sur le continent, un service de prévision des crues (SPC) en Corse. Actuellement, le SPC Med-Est fournit aux institutionnels un indicateur de sensibilité hydrologique (ISH) basé sur une relation pluie prévue à échéance 24 et 48h et humidité des sols. Cet indicateur global a été mis au point pour cinq bassins versants de Corse (Golo, Tavignano, Solenzara, Rizzanese, Gravone) [1]. Il va devoir évoluer et le SPC Med Est travaille au développement d'autres outils de vigilance et prévision. L'objectif est que les sections aval des principaux fleuves côtiers de l'île de beauté soient être intégrés à la carte nationale de vigilance d'ici 2020. Le premier tronçon de vigilance prévu est le Golo aval. En effet, ce bassin, le plus important de Corse, présente des enjeux à l'aval et dans la zone de Ponte Leccia en amont de la confluence avec son principal affluent l'Asco. Par ailleurs le réseau de mesure et les données disponibles (réseau hydrométrique et pluviométriques) permettent d'envisager le calage et la mise en place de modèles de prévision. Le SPC Med Est a demandé au Cerema Méditerranée de tester un calage de modèle pluie/débit évènementiel type GR initialisé par des données d'humidité du sol (indice d'humidité de la chaîne SIM Météo France). La présente étude vise à rassembler et critiquer les données hydrométéorologiques disponibles sur le bassin du Golo et à caler un modèle pluie/débit évènementiel global (type GR) initialisé à partir de données d'humidité du sol au niveau des stations de Barchetta sur le Golo et Morosaglia sur l'Asco.
  20. Study report (Ceremadoc) Le Maroni à Maripasoula, Calage d'un modèle SCS-LR sous Plathynes

    Suite au calage non concluant d'un modèle hydrologique global (GRP), la CVH de Guyane a sollicité le Cerema pour caler un modèle distribué sur le bassin versant du Maroni à Maripasoula dans un objectif de prévision des crues. Le modèle SCS-LR a été utilisé, sous la plateforme Plathynes. Pour le calage, les pluies satellitaires TRMM 3B42 et les données hydrométriques de la station de Maripasoula ont été utilisées. Les résultats ne se sont pas avérés plus concluants qu'avec GRP. Le modèle SCS-LR ne semble ainsi pas adapté au bassin versant du Maroni. Ceci peut être expliqué par les spécificités du bassin étudié (taille et crues lentes) qui ne correspondent pas au domaine d'utilisation du modèle (crues rapides, bassins de quelques dizaines à quelques centaines de km²). Ces résultats peuvent également être expliqués par la qualité des données de pluie utilisées.
  21. Study report (Ceremadoc) Fiche technique de lutte contre la renouée : pulvérisation d'huile de cèdre

    Les espèces invasives constituent une des principales causes d'érosion de la biodiversité. La renouée du Japon (Fallopia japonica) est ainsi très présente sur les dépendances des infrastructures routières. La DIR Nord a réalisé, avec le conseil du Cerema, un protocole de recensement et de cartographie de la renouée du Japon sur son réseau, via ses agents d'exploitation qui ont recensé les plants de renouées à l'aide de fiches d'identification lors d'opérations d'entretien. C'est dans ce cadre d'exploitation que trois solutions ont été étudiées : le bâchage, le pâturage et la pulvérisation d'huile de cèdre. La présente fiche technique présente le protocole de mise en oeuvre de la pulvérisation d'huile de cèdre par le gestionnaire d'espaces naturels, quel qu'il soit.
  22. Study report (Ceremadoc) Commune de Saint-Jouin-Bruneval (76). Diagnostic de stabilité de falaise

    Informé par la mairie de Saint-Jouin-Bruneval en juin 2017 quant à la présence d’une nouvelle fracture au niveau de l’un des pinacles surplombant la plage de Saint-Jouin-Bruneval, la Préfecture a missionné le BRGM pour évaluer ce risque. Concluant qu’un aléa « chute d’écailles ou de rupture de colonne » n’était pas exclu à plus ou moins long terme, le BRGM a recommandé de modifier le merlon déjà présent en pied de versant. La mairie a modifié le merlon existant en ce sens, portant sa hauteur à environ 5 m. Suite au diagnostic du BRGM, la mairie a souhaité solliciter un bureau d’études spécialisé pour, en se basant sur une étude trajectographique, proposer et dimensionner la parade la plus adaptée pour une sécurisation des enjeux disposés en aval du site à long terme. Le CEREMA est intervenu en ce sens en octobre 2017. Les objectifs de cette étude étaient de : • diagnostiquer l’aléa « éboulement rocheux » au droit de la zone, • vérifier l'adéquation de la parade en place (merlon) avec les éléments potentiellement mobilisés, • le cas échéant, proposer des solutions de mise en sécurité, • Sans diagnostiquer finement la barre rocheuse localisée légèrement au Sud des pinacles, vérifier l'impact de départs potentiels issus de cette barre sur la sente de randonnée, La phase « terrain » s'est déroulée au sein des pinacles et dans le versant. De ce travail, il en a découlé l’identification de plusieurs masses rocheuses potentiellement instables. Ensuite, s'appuyant sur cette phase « terrain », un modèle numérique de terrain 3D a été généré par photogrammétrie. Ce modèle a permis d’identifier et localiser les couloirs préférentiels de propagations potentielles. Des profils en 2D de ces couloirs ont ainsi pu être isolés du MNT. Se basant sur ces profils, et s'appuyant sur les éléments potentiellement instables identifiés lors de la phase « terrain », une étude trajectographique a été menée. Cette étude a rapidement montré qu’il était nécessaire de modifier le merlon ou de disposer des parades d’interception. En se basant sur les trajectoires les plus pénalisantes par profil, et en complément de l’ancrage des masses supérieures à 30 m3, le CEREMA propose plusieurs solutions se basant soit : → sur la modification du merlon en pied associée à la mise en place d’un écran de Classe VII implanté en aval de la base du compartiment 13, → soit sur la mise en place d’un écran de Classe VII implanté en aval de la base des pinacles associé à un écran déformable de Classe VII implanté en aval de la base du compartiment 13. Par ailleurs, le compartiment 14 situé au Sud du site d’étude, sera mis en sécurité par ancrages et purges. En parallèle de la sécurisation du site comme indiqué ci-avant, le CEREMA propose également une mise en sécurité du « front rocheux immédiatement en amont de l’estran ». Cette mise en sécurité se fera par la mise en place d’ancrages et des purges.
  23. Study report (Ceremadoc) Synthèse sur le devenir des émulseurs fluorés dans l'environnement : Rapport bibliographique

    Ce rapport présente une synthèse bibliographique des propriétés des émulseurs à base de tensio-actifs fluorés et leur devenir dans l’environnement. Les émulseurs fluorés sont utilisés dans le cadre de la lutte contre les incendies de classe B, c’est-à-dire impliquant des hydrocarbures et leurs dérivés, que ce soit notamment dans le domaine militaire, du transport ou de l’industrie pétrochimique. Les propriétés physico-chimiques des tensio-actifs contenus dans les émulseurs confèrent à ces derniers la capacité à lutter efficacement contre les incendies d’hydrocarbures. Toutefois, elles sont également à l’origine de leur faible biodégradabilité dans l’environnement. Certaines substances sont d’ores et déjà contrôlées par différentes instances. Néanmoins, la question du devenir des émulseurs fluorés est à poser en raison de l‘impact sanitaire, la bioaccumulation et la persistance des tensioactifs qu’ils contiennent.
  24. Study report (Ceremadoc) Définition de l'échelle de vigilance du bassin versant de la Lézarde (Martinique) - Étude de propagation des crues

    Suite aux différents cyclones ayant touché la Martinique ces dernières années, la DEAL locale a mis en place une Cellule de Veille Hydrologique afin de prévenir des inondations. Dans ce cadre, la DEAL Martinique souhaite élaborer une échelle de vigilance sur la Lézarde, plus important bassin versant de la Martinique en ce qui concerne les enjeux. Elle cherche donc à identifier des seuils de hauteurs d’eau déclenchant alors différents niveaux d’alerte appropriés aux risques auxquels la population et les biens sont exposés. Afin de définir l’échelle de vigilance sur le bassin versant de la Lézarde, le Cerema Normandie-Centre a réalisé en 2018 la construction d’un modèle hydraulique bi-dimensionnel sur la plaine du Lamentin, avec injection des débits au niveau de la station du Lamentin [Pont RN 1]. L’étude de propagation des débits mesurés sur les stations amont du bassin versant de la Lézarde, décrite dans le présent rapport, permet de prévoir les débits de pointe du fleuve au Lamentin [Pont RN 1].
  25. Study report (Ceremadoc) ORRNA - INONDATIONS SUR LA VALLEE DE L’OUSSE (64)

    Une perturbation orageuse de forte intensité a causé les 24 et 25 juillet 2014 dans le secteur de Bizanos / Idron des débordements importants de la rivière de l’Ousse transformée en torrent et de son affluent rive gauche, l’Arriou Merdé. Des dégâts importants sont à déplorer sur l’ensemble du territoire sinistré.
  26. Study report (Ceremadoc) ORRNA - INONDATIONS SUR LA VALLEE DE L’OUSSE (64)

    Une perturbation orageuse de forte intensité a causé les 24 et 25 juillet 2014 dans le secteur de Bizanos / Idron des débordements importants de la rivière de l’Ousse transformée en torrent et de son affluent rive gauche, l’Arriou Merdé. Des dégâts importants sont à déplorer sur l’ensemble du territoire sinistré.
  27. Study report (Ceremadoc) ORRNA - INONDATIONS SUR BAYONNE 19/09/2009 (64)

    De très violents orages d’une intensité exceptionnelle ont causé le 19/09/2009 sur Bayonne et son l’agglomération des débordements importants consécutifs à des phénomènes de ruissellement et à une saturation des réseaux d’eaux pluviales. Des dégâts très importants sont à déplorer sur l’ensemble du territoire impacté.
  28. Study report (Ceremadoc) ORRNA - INONDATIONS SUR BAYONNE 19/09/2009 (64)

    De très violents orages d’une intensité exceptionnelle ont causé le 19/09/2009 sur Bayonne et son l’agglomération des débordements importants consécutifs à des phénomènes de ruissellement et à une saturation des réseaux d’eaux pluviales. Des dégâts très importants sont à déplorer sur l’ensemble du territoire impacté.
  29. Study report (Ceremadoc) ORRNA - INONDATIONS SUR LA NIVE AMONT (64)

    Des orages d’une forte intensité ont causé le 04/07/2014 sur la Nive Amont, dans le secteur compris entre Saint-Jean-Pied-de-Port et Cambo-les-Bains, des crues importantes. De nombreux petits cours d’eau ont également débordé. On déplore des conséquences graves avec des dégâts importants sur l’ensemble du territoire impacté.
  30. Study report (Ceremadoc) ORRNA - INONDATIONS SUR LA NIVE AMONT (64)

    Des orages d’une forte intensité ont causé le 04/07/2014 sur la Nive Amont, dans le secteur compris entre Saint-Jean-Pied-de-Port et Cambo-les-Bains, des crues importantes. De nombreux petits cours d’eau ont également débordé. On déplore des conséquences graves avec des dégâts importants sur l’ensemble du territoire impacté.
  31. Study report (Ceremadoc) Pour une meilleur qualité sanitaire dans les collèges... 3e Plan Régional Santé Environnement - 27/11/2018

    Il s'agit d'une présentation destinée aux établissements scolaires. Objectifs : - Sensibilisation sur la thématique de la qualité de l’air à l’intérieur des collèges - Partage de connaissance, montée en compétence collective - Contribuer à l’amélioration de la qualité de l’air intérieur - Capitalisation à partir de cette expérience afin de permettre de reproduire l’action
  32. Study report (Ceremadoc) Ruissellement dans l'arc méditerranéen : Fourniture de données Exzeco et Cartino

    Les DREAL Paca et Occitanie ont commandé une étude globale sur le ruissellement, à la suite des événements d'octobre 2015 dans les Alpes Maritimes. Quatre tests (Cannes (06) - Nice (06) - Sainte Anastasie (30) - Banyuls (66)) et des sites témoins (métropole marseillaise, Montpellier...) sont étudiés. L'objet de cette notice est la fourniture de résultats de calculs Exzeco et Cartino sur ces territoires. Ces résultats sont fournis sous format informatique Qgis et seront appelés "le projet Qgis" dans la présente notice.
  33. Study report (Ceremadoc) Utilisation de données anciennes pour l'analyse fréquentielle des débits. Stations d'Anduze, Mialet, Saumane, Saint-Jean-du-Gard.

    L'objet de cette étude est : analyser l'impact de l'utilisation de données hydrologiques anciennes incertaines dans l'estimation des débits caractéristiques Q2, Q5, Q10, Q50, Q100. Pour cela, utiliser le logiciel HBay (Benjamin Renard, Irstea Lyon) qui permet une incertitude autour des maximums annuels, et notamment de considérer une lacune comme une donnée incertaine comprise dans un intervalle. Rédiger une notice permettant au Service de Prévision des Crues Grand Delta d'appliquer la méthode de manière autonome.
  34. Study report (Ceremadoc) Evaluation du linéaire de réseau routier RD/VC des cartes de bruit. Département du Nord.

    Dans le cadre de la troisième échéance des Cartes de Bruit Stratégiques, commandées par la Commission Européenne à travers la directive 2002/49/CE, la DDTM du Nord doit évaluer le linéaire routier des réseaux départementaux et communaux à traiter. Une note méthodologique, concertée avec la DGPR cible les cas où les cartes de la précédente échéance 2012 peuvent être ré-utilisées ou non. Ainsi, l'analyse du département du Nord conclut à la reconduction de l'ensemble des cartes de réseaux départementaux, communaux et communautaires; sauf le secteur de la Métropole Européenne de Lille (MEL) qui est traité directement par leurs services.
  35. Study report (Ceremadoc) Expertise Santé-Bâtiment au CHU Guadeloupe. Rapport d'intervention sur site.

    Suite à l'incendie survenu le 28 novembre 2017 au Centre Hospitalier Universitaire (CHU) de Pointe à Pitre et consécutivement aux symptomatologies ressenties par une partie du personnel de l'hôpital après réintégration des locaux, l'Agence Régionale de Santé (ARS) de la Guadeloupe a mise en place une cellule de veille épidémiologique dont le pilotage a été confié à la Cellule Interrégionale et Régionale d'Epidémiologie (CIRE). A la demande de l'Agence Régionale de Santé (ARS) de la Guadeloupe, une mission d'assistance technique a été confiée au Cerema. Le Cerema est donc intervenu sur place pour réaliser une expertise Bâtiment-Santé destinée à la cellule interdisciplinaire en tant qu'aide à la décision pour : * étudier le système d'aération : ventilation du CHU. * Observer l'état des installations existantes, leur entretien et les modifications générées par l'incendie. * évaluer les risques potentiels ou avérés encourus par les patients et le personnel du CHU; * Donner un avis argumenté sur les risques à maintenir en fonctionnement le CHU et sur les mesures à prendre pour préserver la santé des patients et du personnel. A l'issue de l'expertise et d'un travail collectif de l'ensemble des experts CEREMA, 11 préconisations ont été transmises à l'ARS et au CHU; Les propositions de pistes d'amélioration portées par le Cerema, conformément à la commande sont : * des actions sur le bâti, les installations, les produits et les pratiques; * la résorption des dysfonctionnements constatés; * l'identification claire des priorités; * la programmation des actions nécessitant peu d'investissement. Les actions simples et les moins coûteuses possibles ont été proposées comme des travaux ou des installations/remplacements d'équipement.
  36. Study report (Ceremadoc) MEL : Bassin de pollution à Wasquehal (59). Mission G1 :étude géotechnique préalable.

    À la demande de la Métropole Européenne de Lille (MEL), le Cerema Nord-Picardie,département Risques et Développement des Territoires, a réalisé une étude géotechnique préalable concernant le projet d'un bassin à Wasquehal entre la rue de Marcq-en-Baroeul et le canal de Roubaix. Peu d'éléments sont disponibles à ce stade, concernant notamment la géométrie du projet. Suivant l'emprise disponible, une géométrie circulaire ou rectangulaire du bassin peut être envisagée. Le projet étant de faible profondeur (La présence de la nappe entre 1 et 2 m de profondeur entraîne des problématiques de pompage en phase provisoire et de pression sous le radier en phase définitive.
  37. Study report (Ceremadoc) Activités de carénage dans les ports de plaisance, zones de mouillages et chantiers nautiques privés. Etat de l'existant et préconisations techniques.

    La mise en oeuvre de la Directive Cadre Stratégie Milieu Marin s’est déclinée au travers de l’adoption des Plans d’actions pour le Milieu Marin au niveau de chaque sous région Marine, puis des programmes de mesures associés. Ces derniers comportent l’ensemble des actions concrètes et opérationnelles répondant à un ou plusieurs objectifs environnementaux, en vue d’atteindre ou de maintenir le bon état écologique des eaux marines à l’horizon 2020. Une action sur les aires de carénage fait partie des mesures mises en oeuvre à l’échelle nationale : La mesure M013 – NAT2 : Procéder au recensement des aires de carénage des ports de plaisance, inciter à la délimitation et à la mutualisation des aires de carénage et favoriser la suppression des rejets de contaminants à la mer. Dans ce cadre, le Cerema a été chargé par la Direction de l’eau et de la Biodiversité du Ministère de la Transition Écologique et Solidaire de réaliser une étude nationale recensant les aires de carénage des ports de plaisance, des zones de mouillage et des chantiers nautiques privés afin d’évaluer leur respect de l’environnement et de proposer des scenarii de mutualisation, de remise aux normes, ou de mise en place de dispositifs de traitement des effluents. Pour le Cerema, ont également participé à l'étude : Julien LARDEMER, Alan QUENTRIC, Clotilde MALAN, Céline HEBRARD, Nassim YELLES-CHAOUCHE, Karim KHITER, Fanny GUILLOT, Marion BRICHET, Zéphyre THINUS, Pierre VIGNE, Yannick REDOR, Vanina GUEVEL, Maryse GANNE, Eric LE MITOUARD, Stéphane MAGRI, Michel MELIO, Jean-Baptiste SAVIN, Philippe AUJAS, Olivier GIRET
  38. Study report (Ceremadoc) RN25 - Vulnérabilité des eaux souterraines entre l'A16 et l'échangeur de Bergues

    Ce rapport dresse l'inventaire des données géologiques disponibles dans les archives de construction de la RN225 stockées au Cerema. Sur la base de ces éléments, la vulnérabilité des eaux souterraines est caractérisée selon la méthodologie de la note d'information sur la méthode de hiéarchisation de la vulnérabilité de la ressource en eau du Cerema ITM. Cette méthodologie est adaptée à la définition de la vulnérabilité des eaux souterraines obtenue est moyenne à faible vis-à-vis de la RN225 et permet de relativiser la vulnérabilité forte définie par la cartographie de la vulnérabilité intrinsèque des eaux souterraines réalisée dans le Nord-Pas-de-Calais par le BRGM.
  39. Study report (Ceremadoc) Zones (Les) de rejet végétalisées en Adour-Garonne : guide pratique pour la conception et la gestion

    Suivi exprimental du fonctionnement des zones de rejet vgtalises et des milieux rcepteurs associs - Etude en 2 parties: Suivi et valuation de leur efficacit et Recommandations pour la conception et la gestion Depuis une dizaine d'annes, de nouveaux amnagements apparaissent en aval des stations d'puration: les zones de rejet vgtalises (ZRV). En l'absence de suivis qualitatifs suffisants, l'Agence de l'eau Adour-Garonne a lanc une tude pour suivre cinq sites en fonctionnement sur trois annes, ce qui a permis d'valuer le rle des ZRV et de proposer des prconisations en termes de conception et d'entretien. L'intgralit des lments de l'tude, compose de 2 parties, est consultable sur le portail documentaire Eau et biodiversit?. Un guide pratique compos de fiches techniques est disponible et consultable sur le site internet de l'agence de l'eau: www.eau-adour-garonne.fr stp: https://fr.calameo.com/books/000222...
  40. Study report (Ceremadoc) Bilan de la qualité de l'air extérieur en France en 2017

    Le bilan de la qualité de l'air en France en 2017 confirme que la qualité de l'air s'améliore en lien avec la réduction des émissions de polluants, qui fait suite à la mise en oeuvre depuis plusieurs années de stratégies et plans d'action dans différents secteurs d'activité. Toutefois, des dépassements des normes réglementaires de qualité de l'air pour la protection de la santé humaine persistent, même s'ils sont moins nombreux que par le passé et touchent moins de zones. Ils concernent les particules de diamètre inférieur à 10 µm et le dioxyde d'azote, principalement à proximité du trafic routier, ainsi que l'ozone.
  41. Study report (Ceremadoc) Service (le) de régulation de l'érosion côtière en Aquitaine

    L'érosion de notre littoral constitue une préoccupation forte à laquelle nos écosystèmes peuvent offrir des réponses. Des efforts importants d'évaluation de ce potentiel aujourd'hui trop peu exploité méritent d'être menés, en particulier, sur l'identification des caractéristiques spécifiques qui freinent le recul du trait de côte et sur les mesures de protection et de gestion nécessaires à leur développement. Ces connaissances permettront d'assurer, in fine, la pleine intégration des possibilités offertes par ces milieux dans les processus de planification engagés pour faire face au recul du trait de côte sur différents territoires. Cette étude constitue une avancée dans ce sens. Cette étude porte sur les écosystèmes sableux en Aquitaine. Elle met en lumière le rôle que peuvent jouer ces écosystèmes dans la régulation de l'évolution du trait de côte dans une région où cet enjeu constitue une préoccupation forte. La comparaison du rôle des écosystèmes à celui joué par des ouvrages de protection montre que non seulement les ouvrages ont une action plus limitée dans le temps et dans l'espace que les écosystèmes mais qu'en outre ils affectent les écosystèmes littoraux ainsi que la dynamique sédimentaire. Cette étude souligne également un besoin d'amélioration des connaissances afin de faciliter l'intégration des écosystèmes littoraux et leur gestion dans les processus de planification et de décision qui sont mis en place pour faire face à l'érosion littorale.
  42. Study report (Ceremadoc) Bilan énergétique de la France pour 2016

    Même s'il reste à un niveau historiquement élevé, le taux d'indépendance énergétique de la France métropolitaine baisse de deux points en 2016. En effet, la production primaire baisse de 4,8 % en raison d'arrêts prolongés de centrales nucléaires, tandis que la consommation primaire décroît plus modérément de 1,6 %. Compte tenu des températures moins douces en 2016 qu'en 2015, la baisse de la consommation primaire corrigée des variations climatiques atteint même 3,2 %. Elle trouve son origine à la fois dans la diminution des pertes de transformation (liée à celle de la production nucléaire) et dans celle de la consommation finale. Ainsi, si la consommation se stabilise dans les transports, elle baisse légèrement dans le résidentiel et, de manière plus marquée, dans l'industrie et le tertiaire à climat constant. La facture énergétique des ménages, malgré la hausse de leur consommation réelle, reste stable grâce à la baisse des prix du gaz et des produits pétroliers et au ralentissement de celui de l'électricité. La consommation d'énergie primaire des départements d'outre-mer (DOM) s'élève à 3,6 Mtep, en hausse de 0,5 %.
  43. Study report (Ceremadoc) Analyse de données de vent en Europe pour caractériser le potentiel éolien en mer

    Cette étude a été réalisée dans le cadre de travaux sur la onnaissance du potentiel éolien en mer. Des données issues de modèles météorologiques et de mesures in situ ont ainsi été collectées puis analysées pour : - identifier les écarts entre modèles et mesures ; - caractériser des variations spatiales et temporelles du vent; - identifier et comparer des formules pour l’extrapolation verticale du vent ; - déterminer un facteur de charge théorique pour les éoliennes en mer.
  44. Study report (Ceremadoc) Espèces (Les) exotiques envahissantes dans la région Grand Est. Perceptions, initiatives et attentes des acteurs du territoire

    Cette étude a pour but d'identifier dans un premier temps, les acteurs du territoire qui sont actifs sur ce sujet, que ce soit au travers d’actions concrètes de terrain, d’actions de connaissance et d’inventaire, ou de sensibilisation, et de dresser un tableau des actions qu’ils mettent en œuvre ou sont prêts à mettre en œuvre. Dans un deuxième temps, il s’agit de recueillir les besoins des mêmes acteurs en matière de coordination (une coordination régionale est-elle ressentie comme utile ? quelles sont précisément les attentes de ces acteurs en la matière ? pour quelles espèces ?) puis d’établir des prescriptions d’organisation en région Grand Est. En 2017, la Direction Régionale de l’Environnement, de l’Aménagement et du Logement (DREAL) de la région Grand Est, l’Agence de l’Eau Rhin Meuse (AERM), en partenariat avec la Région Grand Est, ont souhaité la réalisation d’une étude équivalente afin d’éclairer les pratiques et les décisions de l’ensemble de la communauté d’acteurs publics et privés, et de renforcer la coopération entre eux.
  45. Study report (Ceremadoc) Territoires (Les) face au ruissellement. Les territoires face au ruissellement. Analyse des dispositifs et enseignements tirés de 4 études de cas

    Cette étude, de nature exploratoire, relate les réponses apportées de 4 sites de territoires face au ruissellement. Les observations réalisées permettent de constater qu’il n’est pas nécessaire de disposer d’une définition générale du ruissellement pour passer à l’action, et que le facteur déterminant au niveau local est la prise en main du sujet par au moins un acteur, collectivité ou État.
  46. Study report (Ceremadoc) Développer l’offre de chaleur issue de la méthanisation. Barrières et leviers pour une meilleure valorisation

    Cette étude a pour but d'expliquer la valorisation de chaleur issue de la méthanisation et des moyens pour l'optimiser. Elle décrit les pistes techniques et financières qui peuvent alléger les contraintes évoquées pour la valorisation de la chaleur. Elle analyse les témoignages des acteurs de la filière.
  47. Study report (Ceremadoc) Recherche d'indices de drainage par télédétection au sein de plusieurs AAC. Pithiviers, Aulnay-la-Rivière, Le Malesherbois, Puiseaux

    Le principal objectif de cette étude est l’identification des indices de drainage superficiel(écoulements de sub-surface, réseaux de drainage, points d’infiltration...) sur les 4 Aires d’Alimentation de Captage situées dans les environs de Pithiviers, à l’aide de méthodes de télédétection spatiale développées par le Pôle «Observation des Territoires et Applications Satellitaires».
  48. Study report (Ceremadoc) Groupe de travail AMC- Note d'étape sur les dommages directs des inondations aux infrastructures de transport.

    Cette note a pour but de définir une (ou des) fonction(s) de dommages pour les impacts directs des inondations aux infrastructures de transport. Plus précisément, seuls les impacts directs des inondations fluviales sur les infrastructures routières ont été étudiés. Pour cela, il s'agit de définir comment les inondations impactent la ou les typologie(s) de route et de quelle(s) manière(s). Cette note présente les résultats obtenus en 2017 ainsi que les perspectives pour 2018. Afin d'avancer sur cette thématique, il convient de s'adresser à des spécialistes du sujet. Des contacts avec les directions du Cerema (Territoires et Villes (Lyon) et Infrastructures de Transport et Matériaux) ont été pris pour avoir une vue d'ensemble des travaux des experts du Cerema sur les infrastructures routières et les ouvrages d'art. Des contacts avec des partenaires extérieurs au Cerema seront peut-être possibles : IFFSTAR, RGRA, Dir, cofiroute, etc. La première étape est essentielle, car elle permettra de réussir à associer des caractéristiques de l'aléa à des types de dommages sur les types de routes. Ensuite, des éléments de coût seront associés. Au vu de discussions informelles, les travaux sont plutôt en cours pour associer des caractéristiques de l'aléa à des types de dommages sur les types de routes. Les travaux sur ce sujet, à l'heure actuelle, ne sont pas encore aboutis
  49. Edition (Ceremadoc) Sécurisation des projets d’infrastructures linéaires de transports - volet eau

    Dans un contexte de complexité des dossiers et des projets et de prescriptions environnementales de plus en plus exigeantes, il apparaît indispensable d’éclairer les maîtres d’ouvrages sur les aspects les plus sensibles vis-à-vis du risque de contentieux administratif. La présente note a pour objet de présenter les conclusions de l’étude du Cerema sur les causes fréquentes de contentieux des arrêtés « loi sur l’eau », et de proposer quelques recommandations sur des thématiques à enjeux de manière à sécuriser les dossiers « loi sur l’eau ». Elle vise aussi à améliorer la qualité des arrêtés afin d’en assurer la solidité juridique.
  50. Edition (Ceremadoc) Sécurisation des projets d’infrastructures linéaires de transports - volet espèces protégées

    Cependant, une prise en compte des enjeux environnementaux efficace s’effectue bien avant la réalisation des différentes procédures environnementales qui n’en constituent que l’aboutissement. Des réflexions dès la phase conception des projets permettront plus aisément d’éviter les impacts, de les réduire au maximum, et si besoin, de les compenser. L’objectif de l’étude est donc de minimiser l’insécurité juridique en s’appuyant sur l’analyse des avis environnementaux sur des projets récents, dont la liste a été définie en concertation avec la DGALN, la DGITM et le CGDD. L’étude de dossiers diversifiés par leur ampleur, leur complexité, leur objet, les listes d’espèces concernées doit permettre d’identifier les principaux écueils rencontrés et les moyens de les éviter.
  51. Edition (Ceremadoc) PLUi et énergie. Série de fiches : Fiche n° 01 Planification énergie - climat, PLUi : quelles articulations ?

    Fiche n° 01 - Les Planification énergie-climat, PLUi : quelles articulations ? La loi de transition énergétique, la loi portant Nouvelle organisation du territoire de la république (NOTRe), la loi de Modernisation de l’action publique territoriale et de l’action des métropoles (MAPTAM) amènent à faire évoluer les documents de planification énergie-climat et leurs articulations avec le Plan local d’urbanisme intercommunal (PLUi). Cette fiche dresse un état des lieux des principales évolutions, portant sur : le contenu du plan climat, qui devient le Plan Climat air énergie territoire (PCAET) le SRADDET, document intégrateur comprenant le SRCAE les nouveaux outils nationaux de planification de l’énergie (SNBC, PPE) Fiche n° 02 - Les dispositions du PLUi en matière d’éolien Le Plan Local d’Urbanisme Intercommunal PLUi une réponse à la bonne échelle Les éoliennes, une technologie pour la transition énergétique des territoires Recommandations pour mieux intégrer l’éolien dans les PLUi Fiche n° 03 Les dispositions du PLUi en matière de photovoltaïque Dans cette fiche, des exemples de plan local d’urbanisme intercommunal (PLUi) viennent illustrer la manière dont la rédaction du PLUi concourt au développement du solaire photovoltaïque. Les différentes recommandations formulées doivent contribuer à mieux intégrer le solaire photovoltaïque, tout en prenant en considération les enjeux environnementaux. Fiche n° 04 - Les dispositions du PLUi en matière de réseaux de chaleur Le développement des réseaux de chaleur répond à de nombreux enjeux pour les territoires, comme la lutte contre le changement climatique, ou l’autonomie énergétique. Le plan local d’urbanisme intercommunal (PLUi) peut contribuer à développer l’implantation des réseaux de chaleur sur le territoire de l’EPCI. Fiche n° 05 - Intégrer la méthanisation dans les PLUi Le développement de la méthanisation répond à de nombreux enjeux sur les plans énergétique, environnemental et économique. La récente programmation pluriannuelle de l’énergie (PPE) publiée le 21 avril 2020 prévoit de multiplier par 4 à 6 fois la production de biogaz d’ici à 2028 par rapport à 2017 (soit entre 24 et 32 TWh d’ici à 2028). Le PLU(i) peut être utilisé pour favoriser et organiser le développement de la méthanisation sur le territoire, en cohérence avec les orientations énergétiques prises par le territoire, par exemple en lien avec le PCAET (plan climat air énergie territoire).
  52. Edition (Ceremadoc) PLUi et énergie. Série de fiches : Fiche n° 04 Les dispositions du PLUi en matière de réseaux de chaleur

    Fiche n° 01 - Les Planification énergie-climat, PLUi : quelles articulations ? La loi de transition énergétique, la loi portant Nouvelle organisation du territoire de la république (NOTRe), la loi de Modernisation de l’action publique territoriale et de l’action des métropoles (MAPTAM) amènent à faire évoluer les documents de planification énergie-climat et leurs articulations avec le Plan local d’urbanisme intercommunal (PLUi). Cette fiche dresse un état des lieux des principales évolutions, portant sur : le contenu du plan climat, qui devient le Plan Climat air énergie territoire (PCAET) le SRADDET, document intégrateur comprenant le SRCAE les nouveaux outils nationaux de planification de l’énergie (SNBC, PPE) Fiche n° 02 - Les dispositions du PLUi en matière d’éolien Le Plan Local d’Urbanisme Intercommunal PLUi une réponse à la bonne échelle Les éoliennes, une technologie pour la transition énergétique des territoires Recommandations pour mieux intégrer l’éolien dans les PLUi Fiche n° 03 Les dispositions du PLUi en matière de photovoltaïque Dans cette fiche, des exemples de plan local d’urbanisme intercommunal (PLUi) viennent illustrer la manière dont la rédaction du PLUi concourt au développement du solaire photovoltaïque. Les différentes recommandations formulées doivent contribuer à mieux intégrer le solaire photovoltaïque, tout en prenant en considération les enjeux environnementaux. Fiche n° 04 - Les dispositions du PLUi en matière de réseaux de chaleur Le développement des réseaux de chaleur répond à de nombreux enjeux pour les territoires, comme la lutte contre le changement climatique, ou l’autonomie énergétique. Le plan local d’urbanisme intercommunal (PLUi) peut contribuer à développer l’implantation des réseaux de chaleur sur le territoire de l’EPCI. Fiche n° 05 - Intégrer la méthanisation dans les PLUi Le développement de la méthanisation répond à de nombreux enjeux sur les plans énergétique, environnemental et économique. La récente programmation pluriannuelle de l’énergie (PPE) publiée le 21 avril 2020 prévoit de multiplier par 4 à 6 fois la production de biogaz d’ici à 2028 par rapport à 2017 (soit entre 24 et 32 TWh d’ici à 2028). Le PLU(i) peut être utilisé pour favoriser et organiser le développement de la méthanisation sur le territoire, en cohérence avec les orientations énergétiques prises par le territoire, par exemple en lien avec le PCAET (plan climat air énergie territoire).
  53. Edition (Ceremadoc) PLUi et énergie. Série de fiches : Fiche N° 02 Les dispositions du PLUi en matière d’éolien

    Fiche n° 01 - Les Planification énergie-climat, PLUi : quelles articulations ? La loi de transition énergétique, la loi portant Nouvelle organisation du territoire de la république (NOTRe), la loi de Modernisation de l’action publique territoriale et de l’action des métropoles (MAPTAM) amènent à faire évoluer les documents de planification énergie-climat et leurs articulations avec le Plan local d’urbanisme intercommunal (PLUi). Cette fiche dresse un état des lieux des principales évolutions, portant sur : le contenu du plan climat, qui devient le Plan Climat air énergie territoire (PCAET) le SRADDET, document intégrateur comprenant le SRCAE les nouveaux outils nationaux de planification de l’énergie (SNBC, PPE) Fiche n° 02 - Les dispositions du PLUi en matière d’éolien Le Plan Local d’Urbanisme Intercommunal PLUi une réponse à la bonne échelle Les éoliennes, une technologie pour la transition énergétique des territoires Recommandations pour mieux intégrer l’éolien dans les PLUi Fiche n° 03 Les dispositions du PLUi en matière de photovoltaïque Dans cette fiche, des exemples de plan local d’urbanisme intercommunal (PLUi) viennent illustrer la manière dont la rédaction du PLUi concourt au développement du solaire photovoltaïque. Les différentes recommandations formulées doivent contribuer à mieux intégrer le solaire photovoltaïque, tout en prenant en considération les enjeux environnementaux. Fiche n° 04 - Les dispositions du PLUi en matière de réseaux de chaleur Le développement des réseaux de chaleur répond à de nombreux enjeux pour les territoires, comme la lutte contre le changement climatique, ou l’autonomie énergétique. Le plan local d’urbanisme intercommunal (PLUi) peut contribuer à développer l’implantation des réseaux de chaleur sur le territoire de l’EPCI. Fiche n° 05 - Intégrer la méthanisation dans les PLUi Le développement de la méthanisation répond à de nombreux enjeux sur les plans énergétique, environnemental et économique. La récente programmation pluriannuelle de l’énergie (PPE) publiée le 21 avril 2020 prévoit de multiplier par 4 à 6 fois la production de biogaz d’ici à 2028 par rapport à 2017 (soit entre 24 et 32 TWh d’ici à 2028). Le PLU(i) peut être utilisé pour favoriser et organiser le développement de la méthanisation sur le territoire, en cohérence avec les orientations énergétiques prises par le territoire, par exemple en lien avec le PCAET (plan climat air énergie territoire).
  54. Edition (Ceremadoc) PLUi et énergie. Série de fiches : Fiche n° 05 Intégrer la méthanisation dans les PLUi

    Fiche n° 01 - Les Planification énergie-climat, PLUi : quelles articulations ? La loi de transition énergétique, la loi portant Nouvelle organisation du territoire de la république (NOTRe), la loi de Modernisation de l’action publique territoriale et de l’action des métropoles (MAPTAM) amènent à faire évoluer les documents de planification énergie-climat et leurs articulations avec le Plan local d’urbanisme intercommunal (PLUi). Cette fiche dresse un état des lieux des principales évolutions, portant sur : le contenu du plan climat, qui devient le Plan Climat air énergie territoire (PCAET) le SRADDET, document intégrateur comprenant le SRCAE les nouveaux outils nationaux de planification de l’énergie (SNBC, PPE) Fiche n° 02 - Les dispositions du PLUi en matière d’éolien Le Plan Local d’Urbanisme Intercommunal PLUi une réponse à la bonne échelle Les éoliennes, une technologie pour la transition énergétique des territoires Recommandations pour mieux intégrer l’éolien dans les PLUi Fiche n° 03 Les dispositions du PLUi en matière de photovoltaïque Dans cette fiche, des exemples de plan local d’urbanisme intercommunal (PLUi) viennent illustrer la manière dont la rédaction du PLUi concourt au développement du solaire photovoltaïque. Les différentes recommandations formulées doivent contribuer à mieux intégrer le solaire photovoltaïque, tout en prenant en considération les enjeux environnementaux. Fiche n° 04 - Les dispositions du PLUi en matière de réseaux de chaleur Le développement des réseaux de chaleur répond à de nombreux enjeux pour les territoires, comme la lutte contre le changement climatique, ou l’autonomie énergétique. Le plan local d’urbanisme intercommunal (PLUi) peut contribuer à développer l’implantation des réseaux de chaleur sur le territoire de l’EPCI. Fiche n° 05 - Intégrer la méthanisation dans les PLUi Le développement de la méthanisation répond à de nombreux enjeux sur les plans énergétique, environnemental et économique. La récente programmation pluriannuelle de l’énergie (PPE) publiée le 21 avril 2020 prévoit de multiplier par 4 à 6 fois la production de biogaz d’ici à 2028 par rapport à 2017 (soit entre 24 et 32 TWh d’ici à 2028). Le PLU(i) peut être utilisé pour favoriser et organiser le développement de la méthanisation sur le territoire, en cohérence avec les orientations énergétiques prises par le territoire, par exemple en lien avec le PCAET (plan climat air énergie territoire).
  55. Edition (Ceremadoc) PLUi et énergie. Série de fiches : Fiche n° 03 Les dispositions du PLUi en matière de photovoltaïque

    Fiche n° 01 - Les Planification énergie-climat, PLUi : quelles articulations ? La loi de transition énergétique, la loi portant Nouvelle organisation du territoire de la république (NOTRe), la loi de Modernisation de l’action publique territoriale et de l’action des métropoles (MAPTAM) amènent à faire évoluer les documents de planification énergie-climat et leurs articulations avec le Plan local d’urbanisme intercommunal (PLUi). Cette fiche dresse un état des lieux des principales évolutions, portant sur : le contenu du plan climat, qui devient le Plan Climat air énergie territoire (PCAET) le SRADDET, document intégrateur comprenant le SRCAE les nouveaux outils nationaux de planification de l’énergie (SNBC, PPE) Fiche n° 02 - Les dispositions du PLUi en matière d’éolien Le Plan Local d’Urbanisme Intercommunal PLUi une réponse à la bonne échelle Les éoliennes, une technologie pour la transition énergétique des territoires Recommandations pour mieux intégrer l’éolien dans les PLUi Fiche n° 03 Les dispositions du PLUi en matière de photovoltaïque Dans cette fiche, des exemples de plan local d’urbanisme intercommunal (PLUi) viennent illustrer la manière dont la rédaction du PLUi concourt au développement du solaire photovoltaïque. Les différentes recommandations formulées doivent contribuer à mieux intégrer le solaire photovoltaïque, tout en prenant en considération les enjeux environnementaux. Fiche n° 04 - Les dispositions du PLUi en matière de réseaux de chaleur Le développement des réseaux de chaleur répond à de nombreux enjeux pour les territoires, comme la lutte contre le changement climatique, ou l’autonomie énergétique. Le plan local d’urbanisme intercommunal (PLUi) peut contribuer à développer l’implantation des réseaux de chaleur sur le territoire de l’EPCI. Fiche n° 05 - Intégrer la méthanisation dans les PLUi Le développement de la méthanisation répond à de nombreux enjeux sur les plans énergétique, environnemental et économique. La récente programmation pluriannuelle de l’énergie (PPE) publiée le 21 avril 2020 prévoit de multiplier par 4 à 6 fois la production de biogaz d’ici à 2028 par rapport à 2017 (soit entre 24 et 32 TWh d’ici à 2028). Le PLU(i) peut être utilisé pour favoriser et organiser le développement de la méthanisation sur le territoire, en cohérence avec les orientations énergétiques prises par le territoire, par exemple en lien avec le PCAET (plan climat air énergie territoire).
  56. Edition (Ceremadoc) Collecte d'informations sur le terrain suite à une inondation : Guide méthodologique

    Ce guide donne des éléments de méthode sur l’organisation, le matériel nécessaire, la procédure de collecte et la capitalisation des informations collectées. Réalisé en amont de la survenue d’un événement, le protocole permet : de gagner du temps entre la survenue de l’événement et le lancement de la collecte, de réaliser efficacement et rapidement des reconnaissances de terrain adaptées au type d’inondation rencontré et à la configuration des lieux. Les informations collectées sont ainsi plus fiables et homogènes en termes de contenu et de forme avec celles collectées sur un territoire proche ou pour un autre événement. Les données collectées contribuent aux analyses de l’événement (définition des emprises des zones inondées, déroulement de l’événement…) et permettent de mieux comprendre la survenance et le déroulement de l’événement d’un point de vue hydraulique. 1 Présentation 1.1 Contexte général 1.2 Objectifs et contenu du guide 1.3 Types d’inondations et informations à collecter 1.3.1 Types d’inondations concernés 1.3.2 Informations à collecter sur le terrain après une inondation 2 Élaboration d’un protocole préalable organisant la collecte d’informations 2.1 Présentation d’un protocole 2.2 Grandes étapes d’élaboration et de mise en oeuvre d’un protocole 2.3 Élaboration d’un protocole 2.3.1 Connaissance de l’aléa inondation sur le territoire 2.3.2 Préparation de la collecte des informations 2.3.3 Définition de la méthode de capitalisation 3 Collecte d’informations sur le terrain 3.1 Levés des Plus Hautes Eaux (PHE) 3.1.1 Objectif 3.1.2 Méthodologie 3.1.3 Fiche de levée 3.2 Levés de laisses 3.2.1 Objectif 3.2.2 Méthodologie 3.2.3 Fiche de levés 3.3 Enquêtes – Témoignages 3.3.1 Objectif 3.3.2 Méthodologie 3.3.3 Fiche de levés 4 Annexes Annexe 1 : Documents consultés Annexe 2 : Glossaire Annexe 3 : Sigles et acronymes Annexe 4 : Exemple de tableau de repères de crues Annexe 5 : Trame de cahier des charges et bordereau des prix
  57. Edition (Ceremadoc) 500 maisons rénovées basse consommation : Enseignements opérationnels des programmes « Je rénove BBC » en Alsace. D. Le bilan carbone des rénovations énergétiques

    La rénovation énergétique des maisons individuelles est au cœur des politiques publiques de l’habitat et de la transition énergétique pour la croissance verte. Elle recouvre également des enjeux économiques et sociétaux importants que ce soit pour les filières du bâtiment ou pour les habitants. EDF, Électricité de Strasbourg et la Région Alsace ont lancé dès 2008 un vaste programme d’incitation à la rénovation énergétique des maisons individuelles, selon le standard « basse consommation ». Ce programme a touché près de 500 opérations. L’objectif de cette publication est de capitaliser les différents enseignements opérationnels issus de ces rénovations. Elle est destinée aux professionnels du bâtiment (architectes, bureaux d’études, artisans, …) et aux donneurs d’ordre. Les huit fascicules qui constituent cette publication traitent chacun une thématique en particulier. Une synthèse de ces retours d’expériences complète cet ensemble. Introduction - Contexte et enjeux des programmes Synthèse générale A. La performance énergétique globale et le confort thermique B. La performance de l’enveloppe C. Les systèmes de chauffage, d’eau chaude sanitaire et de ventilation D. Le bilan carbone des rénovations énergétiques E. La qualité de l’air intérieur F. La mise en œuvre G. Les enseignements économiques H. Les enseignements sociologiques
  58. Edition (Ceremadoc) 500 maisons rénovées basse consommation : Enseignements opérationnels des programmes « Je rénove BBC » en Alsace. E. La qualité de l’air intérieur

    La rénovation énergétique des maisons individuelles est au cœur des politiques publiques de l’habitat et de la transition énergétique pour la croissance verte. Elle recouvre également des enjeux économiques et sociétaux importants que ce soit pour les filières du bâtiment ou pour les habitants. EDF, Électricité de Strasbourg et la Région Alsace ont lancé dès 2008 un vaste programme d’incitation à la rénovation énergétique des maisons individuelles, selon le standard « basse consommation ». Ce programme a touché près de 500 opérations. L’objectif de cette publication est de capitaliser les différents enseignements opérationnels issus de ces rénovations. Elle est destinée aux professionnels du bâtiment (architectes, bureaux d’études, artisans, …) et aux donneurs d’ordre. Les huit fascicules qui constituent cette publication traitent chacun une thématique en particulier. Une synthèse de ces retours d’expériences complète cet ensemble. Introduction - Contexte et enjeux des programmes Synthèse générale A. La performance énergétique globale et le confort thermique B. La performance de l’enveloppe C. Les systèmes de chauffage, d’eau chaude sanitaire et de ventilation D. Le bilan carbone des rénovations énergétiques E. La qualité de l’air intérieur F. La mise en œuvre G. Les enseignements économiques H. Les enseignements sociologiques
  59. Edition (Ceremadoc) 500 maisons rénovées basse consommation : Enseignements opérationnels des programmes « Je rénove BBC » en Alsace. F. La mise en œuvre

    La rénovation énergétique des maisons individuelles est au cœur des politiques publiques de l’habitat et de la transition énergétique pour la croissance verte. Elle recouvre également des enjeux économiques et sociétaux importants que ce soit pour les filières du bâtiment ou pour les habitants. EDF, Électricité de Strasbourg et la Région Alsace ont lancé dès 2008 un vaste programme d’incitation à la rénovation énergétique des maisons individuelles, selon le standard « basse consommation ». Ce programme a touché près de 500 opérations. L’objectif de cette publication est de capitaliser les différents enseignements opérationnels issus de ces rénovations. Elle est destinée aux professionnels du bâtiment (architectes, bureaux d’études, artisans, …) et aux donneurs d’ordre. Les huit fascicules qui constituent cette publication traitent chacun une thématique en particulier. Une synthèse de ces retours d’expériences complète cet ensemble. Introduction - Contexte et enjeux des programmes Synthèse générale A. La performance énergétique globale et le confort thermique B. La performance de l’enveloppe C. Les systèmes de chauffage, d’eau chaude sanitaire et de ventilation D. Le bilan carbone des rénovations énergétiques E. La qualité de l’air intérieur F. La mise en œuvre G. Les enseignements économiques H. Les enseignements sociologiques
  60. Edition (Ceremadoc) 500 maisons rénovées basse consommation : Enseignements opérationnels des programmes « Je rénove BBC » en Alsace. A. La performance énergétique globale et le confort thermique

    La rénovation énergétique des maisons individuelles est au cœur des politiques publiques de l’habitat et de la transition énergétique pour la croissance verte. Elle recouvre également des enjeux économiques et sociétaux importants que ce soit pour les filières du bâtiment ou pour les habitants. EDF, Électricité de Strasbourg et la Région Alsace ont lancé dès 2008 un vaste programme d’incitation à la rénovation énergétique des maisons individuelles, selon le standard « basse consommation ». Ce programme a touché près de 500 opérations. L’objectif de cette publication est de capitaliser les différents enseignements opérationnels issus de ces rénovations. Elle est destinée aux professionnels du bâtiment (architectes, bureaux d’études, artisans, …) et aux donneurs d’ordre. Les huit fascicules qui constituent cette publication traitent chacun une thématique en particulier. Une synthèse de ces retours d’expériences complète cet ensemble. Introduction - Contexte et enjeux des programmes Synthèse générale A. La performance énergétique globale et le confort thermique B. La performance de l’enveloppe C. Les systèmes de chauffage, d’eau chaude sanitaire et de ventilation D. Le bilan carbone des rénovations énergétiques E. La qualité de l’air intérieur F. La mise en œuvre G. Les enseignements économiques H. Les enseignements sociologiques
  61. Edition (Ceremadoc) 500 maisons rénovées basse consommation : Enseignements opérationnels des programmes « Je rénove BBC » en Alsace. Synthèse générale

    La rénovation énergétique des maisons individuelles est au cœur des politiques publiques de l’habitat et de la transition énergétique pour la croissance verte. Elle recouvre également des enjeux économiques et sociétaux importants que ce soit pour les filières du bâtiment ou pour les habitants. EDF, Électricité de Strasbourg et la Région Alsace ont lancé dès 2008 un vaste programme d’incitation à la rénovation énergétique des maisons individuelles, selon le standard « basse consommation ». Ce programme a touché près de 500 opérations. L’objectif de cette publication est de capitaliser les différents enseignements opérationnels issus de ces rénovations. Elle est destinée aux professionnels du bâtiment (architectes, bureaux d’études, artisans, …) et aux donneurs d’ordre. Les huit fascicules qui constituent cette publication traitent chacun une thématique en particulier. Une synthèse de ces retours d’expériences complète cet ensemble. Introduction - Contexte et enjeux des programmes Synthèse générale A. La performance énergétique globale et le confort thermique B. La performance de l’enveloppe C. Les systèmes de chauffage, d’eau chaude sanitaire et de ventilation D. Le bilan carbone des rénovations énergétiques E. La qualité de l’air intérieur F. La mise en œuvre G. Les enseignements économiques H. Les enseignements sociologiques
  62. Edition (Ceremadoc) 500 maisons rénovées basse consommation : Enseignements opérationnels des programmes « Je rénove BBC » en Alsace. H. Les enseignements sociologiques

    La rénovation énergétique des maisons individuelles est au cœur des politiques publiques de l’habitat et de la transition énergétique pour la croissance verte. Elle recouvre également des enjeux économiques et sociétaux importants que ce soit pour les filières du bâtiment ou pour les habitants. EDF, Électricité de Strasbourg et la Région Alsace ont lancé dès 2008 un vaste programme d’incitation à la rénovation énergétique des maisons individuelles, selon le standard « basse consommation ». Ce programme a touché près de 500 opérations. L’objectif de cette publication est de capitaliser les différents enseignements opérationnels issus de ces rénovations. Elle est destinée aux professionnels du bâtiment (architectes, bureaux d’études, artisans, …) et aux donneurs d’ordre. Les huit fascicules qui constituent cette publication traitent chacun une thématique en particulier. Une synthèse de ces retours d’expériences complète cet ensemble. Introduction - Contexte et enjeux des programmes Synthèse générale A. La performance énergétique globale et le confort thermique B. La performance de l’enveloppe C. Les systèmes de chauffage, d’eau chaude sanitaire et de ventilation D. Le bilan carbone des rénovations énergétiques E. La qualité de l’air intérieur F. La mise en œuvre G. Les enseignements économiques H. Les enseignements sociologiques
  63. Edition (Ceremadoc) 500 maisons rénovées basse consommation : Enseignements opérationnels des programmes « Je rénove BBC » en Alsace. B. La performance de l’enveloppe

    La rénovation énergétique des maisons individuelles est au cœur des politiques publiques de l’habitat et de la transition énergétique pour la croissance verte. Elle recouvre également des enjeux économiques et sociétaux importants que ce soit pour les filières du bâtiment ou pour les habitants. EDF, Électricité de Strasbourg et la Région Alsace ont lancé dès 2008 un vaste programme d’incitation à la rénovation énergétique des maisons individuelles, selon le standard « basse consommation ». Ce programme a touché près de 500 opérations. L’objectif de cette publication est de capitaliser les différents enseignements opérationnels issus de ces rénovations. Elle est destinée aux professionnels du bâtiment (architectes, bureaux d’études, artisans, …) et aux donneurs d’ordre. Les huit fascicules qui constituent cette publication traitent chacun une thématique en particulier. Une synthèse de ces retours d’expériences complète cet ensemble. Introduction - Contexte et enjeux des programmes Synthèse générale A. La performance énergétique globale et le confort thermique B. La performance de l’enveloppe C. Les systèmes de chauffage, d’eau chaude sanitaire et de ventilation D. Le bilan carbone des rénovations énergétiques E. La qualité de l’air intérieur F. La mise en œuvre G. Les enseignements économiques H. Les enseignements sociologiques
  64. Edition (Ceremadoc) Enquête sur les pratiques de collectes d’informations par moyens aéroportés et reconnaissances de terrain suite à une inondation

    Afin d’identifier par quels moyens (moyens aéroportés, visites de terrain...) et de quelle manière ces collectes ont été menées par le passé en France, le CETMEF aujourd’hui Cerema a lancé en 2012 un questionnaire qui concerne tous les types d’inondation : submersion marine, débordement de cours d’eau, remontée de nappe, ruissellement... Ce rapport présente les résultats issus de ce questionnaire. Il permet d’identifier les méthodes de collecte menées à la suite de l’inondation (par moyens aéroportés, par visites de terrain…), d’analyser la manière dont les investigations menées se sont déroulées (connaissance au préalable d’un protocole, difficultés rencontrées, etc.). 1 - Introduction 1.1 - Contexte 1.2 - Présentation du questionnaire 2 - Données générales 2.1 - Réponses au questionnaire 2.2 - Types d’inondation 2.3 - Événement(s) d’inondation pour lesquels les participants ont effectué ou commandé des collectes 2.4 - Linéaire ou surface de la zone concernée par les collectes 2.5 - Participation ou commande de collectes d’informations 2.6 - Moyen(s) de collecte d’informations 3 - Moyens aéroportés 3.1 - Moyens aéroportés employés 3.2 - Commande de la collecte 3.3 - Réalisation de la collecte 3.4 - Types de données collectées 3.5 - Objectifs de la collecte 3.6 - Détermination des zones où effectuer la collecte 3.7 - Moment des survols 3.8 - Méthodes employées 3.9 - Outils utilisés 3.10 - Protocole pour effectuer la collecte 3.11 - Pertinence des données collectées 3.12 - Moyens matériels et humains mobilisés 3.13 - Amélioration des méthodes employées 4 - Visites de terrain 4.1 - Généralités 4.1.1 - Commande de la collecte d’informations 4.1.2 - Réalisation des levés 4.1.3 - Moyen de commande 4.1.4 - Connaissance de collectes mises en oeuvre par d’autres organismes 4.1.5 - Types d’informations recherchés 4.1.6 - Manière de collecter 4.2 - Préparation de la mission de terrain 4.2.1 - Détermination des zones où effectuer les collectes sur le terrain 4.2.2 - Fiches de terrain préremplies 4.2.3 - Protocoles particuliers mis en oeuvre 4.3 - Mission de terrain 4.3.1 - Types de laisses (traces de passage de l’eau) rencontrés sur le terrain 4.3.2 - Types de laisses des plus hautes eaux rencontrés sur le terrain 4.3.3 - Matériel utilisé sur le terrain 4.3.4 - Utilisation de cartes afin de positionner les levés de laisses 4.3.5 - Points GPS 4.3.6 - Photographies au sol 4.4 - Enquêtes de terrain 4.5 - Retours d’expérience 4.5.1 - Connaissance des inondations 4.5.2 - Retour sur la rapidité ou la réalisation des collectes de manière à faciliter les exploitations 4.5.3 - Difficultés rencontrées lors de la mise en oeuvre des collectes 4.5.4 - Efficacité des moyens humains et matériels mobilisés 4.5.5 - Amélioration de la méthode de réalisation des collectes ou du protocole utilisé 4.5.6 - Renouvellement d’un événement 5 - Capitalisation 5.1 - Manière de capitaliser les informations collectées 5.2 - Manque d’informations pour analyser la situation 6 - Commentaire 6.1 - Apport mutuel des différents types de collecte de données et ordre de mise en oeuvre 6.2 - Attentes par rapport au guide national en cours 6.3 - Points complémentaires à aborder ou préciser 7 - Conclusion 8 - Annexes Annexe 1 : Le questionnaire Annexe 2 : Réponses brutes aux questions ouvertes
  65. Edition (Ceremadoc) Décryptage de la loi de transition énergétique : Fiche n° 6 : Gouvernance : que dit la loi de transition énergétique ?

    Ces fiches "Décryptage de la loi de transition énergétique" visent à fournir aux services déconcentrés de l'Etat et aux collectivités territoriales des éléments de compréhension concernant la loi relative à la transition énergétique et la croissance verte. n° 1 - précarité énergétique n° 2 - Transports n° 3 - Bâtiments n° 4 - les énergies renouvelables n° 5 - Réseaux de chaleur n° 6 - gouvernance énergie-climat n° 7 - Qualité de l'air n° 8 - Economie circulaire
  66. Edition (Ceremadoc) Décryptage de la loi de transition énergétique : Fiche n° 3 : Bâtiments : que dit la loi de transition énergétique ?

    Ces fiches "Décryptage de la loi de transition énergétique" visent à fournir aux services déconcentrés de l'Etat et aux collectivités territoriales des éléments de compréhension concernant la loi relative à la transition énergétique et la croissance verte. n° 1 - précarité énergétique n° 2 - Transports n° 3 - Bâtiments n° 4 - les énergies renouvelables n° 5 - Réseaux de chaleur n° 6 - gouvernance énergie-climat n° 7 - Qualité de l'air n° 8 - Economie circulaire
  67. Edition (Ceremadoc) Décryptage de la loi de transition énergétique : Fiche n°7 : Qualité de l'air

    Ces fiches "Décryptage de la loi de transition énergétique" visent à fournir aux services déconcentrés de l'Etat et aux collectivités territoriales des éléments de compréhension concernant la loi relative à la transition énergétique et la croissance verte. n° 1 - précarité énergétique n° 2 - Transports n° 3 - Bâtiments n° 4 - les énergies renouvelables n° 5 - Réseaux de chaleur n° 6 - gouvernance énergie-climat n° 7 - Qualité de l'air n° 8 - Economie circulaire
  68. Edition (Ceremadoc) Décryptage de la loi de transition énergétique : Fiche n° 4 : Les énergies renouvelables : que dit la loi de transition énergétique ?

    Ces fiches "Décryptage de la loi de transition énergétique" visent à fournir aux services déconcentrés de l'Etat et aux collectivités territoriales des éléments de compréhension concernant la loi relative à la transition énergétique et la croissance verte. n° 1 - précarité énergétique n° 2 - Transports n° 3 - Bâtiments n° 4 - les énergies renouvelables n° 5 - Réseaux de chaleur n° 6 - gouvernance énergie-climat n° 7 - Qualité de l'air n° 8 - Economie circulaire
  69. Edition (Ceremadoc) Décryptage de la loi de transition énergétique : Fiche n°2 : Transports : que dit la loi de transition énergétique ?

    Ces fiches "Décryptage de la loi de transition énergétique" visent à fournir aux services déconcentrés de l'Etat et aux collectivités territoriales des éléments de compréhension concernant la loi relative à la transition énergétique et la croissance verte. n° 1 - précarité énergétique n° 2 - Transports n° 3 - Bâtiments n° 4 - les énergies renouvelables n° 5 - Réseaux de chaleur n° 6 - gouvernance énergie-climat n° 7 - Qualité de l'air n° 8 - Economie circulaire
  70. Edition (Ceremadoc) Blue and green infrastructure - Experiences of foreign cities : Factsheet no. 01b Rome, a green city - The example of Appia Antica Regional Park

    The blue and green infrastructure factsheets collection aims at presenting both French and foreign experiences of how these installations are implemented in towns. Each factsheet brings out elements of method and knowledge about including this infrastructure within a project, whatever its scale, in the light of a theme or a particular aspect. They show the governance modes used by the local authorities and the local participants : scale, network, organisation of the natural and agricultural spaces, the management of continuity. These sheets aim at helping local governments implementing their blue and green infrastructure projects, mainly through sharing experiences.
  71. Edition (Ceremadoc) Blue and green infrastructure - Experiences of foreign cities : Factsheet no. 02b The Chicago Park System - The example of Lake Front Park

    The blue and green infrastructure factsheets collection aims at presenting both French and foreign experiences of how these installations are implemented in towns. Each factsheet brings out elements of method and knowledge about including this infrastructure within a project, whatever its scale, in the light of a theme or a particular aspect. They show the governance modes used by the local authorities and the local participants : scale, network, organisation of the natural and agricultural spaces, the management of continuity. These sheets aim at helping local governments implementing their blue and green infrastructure projects, mainly through sharing experiences.
  72. Edition (Ceremadoc) Blue and green infrastructure - Experiences of foreign cities : Factsheet no. 03b Berlin, a parkland city - Natur-Park Schöneberger Südgelände

    The blue and green infrastructure factsheets collection aims at presenting both French and foreign experiences of how these installations are implemented in towns. Each factsheet brings out elements of method and knowledge about including this infrastructure within a project, whatever its scale, in the light of a theme or a particular aspect. They show the governance modes used by the local authorities and the local participants : scale, network, organisation of the natural and agricultural spaces, the management of continuity. These sheets aim at helping local governments implementing their blue and green infrastructure projects, mainly through sharing experiences.
  73. Edition (Ceremadoc) Urban Resilience and Crisis Management : Workshop in Lyon, from 28 to 30 September 2016

    From 28 to 30 September 2016, a Franco-German seminar on urban resilience and crisis management was held in Lyon. This seminar brought together scientists, experts and public policy practitioners from France and Germany to tackle in an interdisciplinary and collective way the complex situations that generate or result from crises, the very many fields that need to be invested in to improve resilience, the integration of populations with challenges to be met, and the use of new technologies. Very practical questions were then dealt with, such as how to form a network by weaving a kind of web between French and German organisations Among the ideas that have emerged are the need to develop cross-sectoral approaches, the need to be attentive to cross-border issues, the mobilisation of new technologies, the issue of critical infrastructure and the value of rethinking security, taking new energies into account. The Lyon seminar opens up a major project for developing the prevention of urban crises by sharing knowledge and experience between the two European countries. Introduction P A R T O N E Workshope rationale and scope Urban systems The concept of resilience Themes and principles P A R T T W O Workshop outline Intention and objectives Format and organization At a glance: working group sessions Schedule and agenda Working group sessions and composition P A R T T H R E E Session results / Session report Session 1: Identify changes in the status quo (SWAP-Analysis) Session 2: Identifying options for future collaboration Session 3: Formulating vision statement (LAPCO) Session 4: Drafting a future road map P A R T F O U R Presentations The Atlas Of Vulnerability and Resilience The Mont-Blanc Tunnel Fire, resilient issues 17 years on European activites in the field of industrial safety and security Conclusion Appendices List of participants Recommended Reading
  74. Edition (Ceremadoc) Submersions marines - Mieux les comprendre pour s'en protéger

    Dans la nuit du 27 au 28 février 2010, la tempête Xynthia balaye le littoral atlantique. Malgré la présence de structures de défense, l’eau s’est très vite propagée dans les terres. Ce phénomène dévastateur a mis en évidence la nécessité de mieux étudier le comportement des systèmes de protection contre les submersions marines (il sera question ici non pas d'analyser la réglementation sur les ouvrages de défense mais de s'attacher à l'efficacité des systèmes de protection). Quels enseignements tirer de la tempête Xynthia ? Mes ouvrages de protection empêcheront-ils le passage de l'eau lors des prochaines tempêtes ? Quelles démarches mettre en oeuvre ? Maintenant, quelles actions engager ?
  75. Edition (Ceremadoc) Protection contre les instabilités rocheuses - Dimensionnement et exécution des boulons

    Le premier chapitre de ce document évoque les principes d’utilisation des boulons scellés au coulis de ciment, en distinguant le comportement individuel d’un boulon du comportement intégré dans un dispositif de renforcement passif. Après ces quelques éléments technologiques, les principes de conception générale sont présentés. Le chapitre suivant aborde les méthodes de dimensionnement, les principales hypothèses adoptées, les paramètres utilisés et les coefficients de pondération de ces paramètres. Le chapitre 4 est consacré au choix des matériaux constitutifs des boulons scellés au coulis de ciment. Il s’agit des aciers, des ciments et autres produits de scellement et des accessoires. Le chapitre 5 s’adresse aux procédés de réalisation des boulons scellés au coulis de ciment dans le but d’évoquer les principaux aspects pratiques de la réalisation d’un dispositif de renforcement passif. Le guide se termine par des recommandations Avant-propos Règlement et terminologie Chapitre 1 - Introduction Chapitre 2 - Principe d’utilisation des boulons Cas d’utilisation courante des boulons Comportement individuel d’un boulons Comportement d’un dispositif de boulons Chapitre 3 - Études et conception d’un dispositif de boulonnage Principes généraux des études Éléments technologiques concernant les boulons Conception du dispositif de renforcement Chapitre 4 - Calcul du dispositif de renforcement Renforcement d’un bloc isolé en glissement plan Boulon sollicité en tête Application des Eurocodes au calcul des boulons Exemple d’application Les études Chapitre 5 - Matériaux constitutifs des boulons Choix des aciers Choix des ciments et produits de scellement Choix des accessoires Anticorrosion des aciers Chapitre 6 - Réalisation du dispositif de renforcement Principaux aspects pratiques Règles d’ordre technologique Méthodes de foration des trous Éléments de phasage de l’exécution d’un boulon Éléments d’exécution du dispositif de renforcement passif Éléments de contrôle Éléments d’auscultation Éléments de l’assurance qualité Réception des ouvrages - Récolement Bibliographie
  76. Edition (Ceremadoc) Qualité de l'air et Plan local d'urbanisme : Recueil de fiches 01 à 05

    La série de fiches « Qualité de l’air et PLU » a pour vocation d’apporter un corpus de connaissance, dans le domaine de la qualité de l’air, aux acteurs locaux impliqués dans la réalisation et la mise en œuvre des documents de planification. Elle présente par ailleurs les leviers qu’il est possible d’actionner dans un PLU(i) pour réduire les émissions de polluants et protéger les populations.
  77. Study report (Ceremadoc) Modèles de rédaction des prescriptions relatives aux mesures de compensation "milieux aquatiques et humides"

    Ce document synthétique propose d'apporter un soutien rédactionnel aux services instructeurs en matière de police de l'eau pour les actes relatifs aux mesures de compensations des milieux humides et aquatiques. Il se compose de plusieurs éléments : une note sur les points de vigilance majeur, des modèles de rédaction de prescription pour des cas simples ou complexes, des recommandations générales pour l'instruction des demandes et des annexes juridiques et techniques essentiels.
  78. Study report (Ceremadoc) Réaliser les cartes stratégiques du bruit

    Ce guide décrit de façon détaillée les étapes de production des cartes de bruit « grandes infrastructures » au sein du Cerema pour l'échéance 3 : les données nécessaires, les traitements à réaliser, l'utilisation du logiciel de calcul Mithra-Sig V5 et la production des cartes au format attendu par le GéoStandard « bruit dans l'environnement ».
  79. Study report (Ceremadoc) ZAC Maubon. Avis sur l'assainissement pluvial

    LAgglomération de la Région de Compiègne a confié au Cerema la réalisation d'un avis sur le système de gestion des eaux pluviales projeté pour la ZAC Maubon. Les volumes mis en place au niveau des ouvrages de stockage retenus ont notamment été vérifiés. Il apparaît que les volumes de stockage mis en place sont globalement cohérents avec les vérifications effectuée, sous réserve de la mise en place de cloisons sur les noues en pente de forte longueur. L'attention du maître d'ouvrage est enfin attirée sur l'incertitude de la perméabilité des sols remblayés.
  80. Study report (Ceremadoc) Marais d'Isle de Saint-Quentin. Synthèse bibliographique et premiers éléments d'exploitation. (Affaire C16NB0096)

    Le Marais d'Isle de Saint-Quentin (Picardie) est une réserve naturelle nationale unique en France, de par son emplacement en centre-ville. Largement étudiée depuis des années, il n'en reste pas moins que ce milieu, fragile, reste soumis aux contraintes d'un environnement urbain (proximité des déversoirs d'orage, eutrophisation...). En 2017, l'Agence de l'Eau Artois-Picardie et le Cerema mènent une étude conjointe pour améliorer la compréhension du fonctionnement de l'hydrosystème marais-rivière Somme, et proposer des aménagements, dans un contexte de définition du nouveau plan de gestion de la Réserve. Ce rapport constitue un premier bilan des données existantes sur le marais, d'un point de vue biologique, chimique et hydraulique.
  81. Study report (Ceremadoc) Evaluation écotoxicologique du produit RC (Bioversal). Tests de biodégradabilité et d'écotoxicité. (Affaire C16NI0202)

    Dans le cadre de l'évaluation des caractéristiques du produit de nettoyage et d'élimination des hydrocarbures sur les infrastructures routières, commercialisé sous le nom de RC, l'équipe QMA a été sollicitée pour produire un avis sur l'impact de la substance sur le milieu aquatique.. L'objectif est de déterminer si le produit, dans les conditions opérationnelles d'utilisation, représente un danger pour les espèces présentes dans le milieu aquatique. Selon les résultats obtenus par le Cerema et la classification CLP, le produit RC dans sa forme pure ne présente pas de nocivité pour les organismes aquatiques. Par conséquent, dans les conditions opérationnelles d'utilisation (dilution à 5 %), RC ne représente pas de danger pour les espèces présentes dans le milieu aquatique.
  82. Study report (Ceremadoc) Cavités souterraines de Senlis. Etat des lieux et proposition de méthodes de gestion des risques cavités. Dossier 2017-033 (affaire C16NR0080)

    A la demande de la Direction départementale de l'Oise, le Cerema Nord Picardie a réalisé un premier bilan des données cavités existantes à Senlis. Les objectifs de l'étude sont : - d'identifier les differentes sources de données portant sur les cavités, - d'étudier la faisabilité d'une mise en forme d'un système d'information géographique, - de jeter les bases d'un outil d'aide à la gestion du risque "cavitésé" e de priorisation des actions à mener, - de donner les possibilités d'amélioration et les perspectives. Le présent rapport constitue une formalisation des résultats et des propositions présentées en réunion le 10 février 2017 à Senlis par le Cerema.
  83. Study report (Ceremadoc) Viaducs de l'A28 à Abbeville. Etude acoustique des effets du décapage de la peinture sur la faune

    Les deux viaducs de l'A28 doivent subir des réfections de peinture anti-corrosion. Pour la première phase de décapage, plusieurs techniques sont envisagées : par technique abrasive, par Ultra Haute Pression (UHP) et par induction. Les viaducs de l'A28 sur Abbeville sont sur un site Natura 2000. La DIR Nord-Ouest a demandé au Cerema d'étudier l'exposition acoustique des riverains, de la faune environnante et des usagers des chemins de promenade en fonction des différentes méthodes de décapage possible. La mission consiste à fournir des éléments permettant à la DIR NO de choisir la technique de décapage la moins impactante acoustiquement, pour limiter les risques notamment sur les espèces du site Natura 2000.
  84. Study report (Ceremadoc) Etat des lieux de la biomasse supplémentaire mobilisable. Soutien à l'élaboration du Schéma régional biomasse en Région Hauts-de-France

    Les problématiques liées à la mobilisation de la biomasse sont complexes et l'articulation des usages entre ses différents débouchés, dont celui de l'énergie qui nous intéresse prioritairement ici, peuvent faire l'objet de tension au sein des filières, d'autant plus que tous les débouchés ne sont pas encore tous connus. La filière de production biomasse-énergie en Région Hauts-de-France va poursuivre son développement pour que la France atteigne ses objectifs en matière renouvelables. Dans ce contexte, le présent document est une première étape tentant de dresser une analyse et une synthèse de la ressource supplémentaire théoriquement mobilisable énergétiquement sur le territoire régional, ainsi que les enjeux que connaît cette filière. Cette démarche s'inscrit dans l'élaboration du Schéma Régional de Biomass dont les grandes orientations sont déclinées dans la Stratégie Nationale de Mobilisation de la Biomasse.
  85. Study report (Ceremadoc) Décharge de Bohain-en-Vermandois (02) - Suivi de la nappe de la craie. Analyses physico-chimiques et bactériologiques - Août et décembre 2016. (Affaire C16NB0094)

    Le présent rapport s'inscrit dans le cadre du suivi semestriel de la nappe de la craie à partir d'un réseau de surveillance constitué de 5 piézomètres implantés à proximité du centre d'enfouissement technique de Bohain-en-Vermandois. La Communauté de Communes du Vermandois a sollicité l'intervention du Cerema Nord-Picardie afin de : - procéder à des relevés de niveaux d'eau au droit de chacun des piézomètres, - prélever des échantillons d'eau en vue d'analyses physico-chimiques et bactériologiques. Le présent rapport rend compte des résultats des campagnes de prélèvement de 2016. Les prélèvements ont été réalisés le 22 et 23 août 2016 et les 19 et 20 décembre 2016. L'étude des résultats d'analyses montre que la nappe de la craie au niveau du centre d'enfouissement ne respecte pas les seuils DCE concernant la qualité des eaux souterraines quand ils existent, ni les seuils concernant les Eaux Destinées à la Consommation Humaine (EDCH). Comme l'indiquait le rapport précédent, l'étude des valeurs de 2016 montre que pour un paramètre (COT), le seuil concernant les eaux brutes utilisées pour la production d'EDCH n'est plus respecté.
  86. Study report (Ceremadoc) Compte-rendu de mise en oeuvre de la démarche SIS - Année 2016. SIS : Secteurs d'Information sur les Sols. (Affaire C16NB0048)

    La loi ALUR de mars 2014 a introduit un certain nombre de dispositions en matière de gestion des sites et sols pollués dont la notion de "secteurs d'Information sur les Sols" (SIS), devant être élaborés par l'Etat, entre 2016 et 2019, sur la base notamment de l'inventaire BASOL. Dans ce contexte, la DGPR/Bureau du Sol et du sous-sol (B3S) a sollicité le Cerema pour une intervention portant sur une assistance aux DREAL pilotes pour l'élaboration des SIS et d'une façon plus générale, sur une aide aux services déconcentrés et collectivités ayant un problème de Sites et Sols Pollués (SSP). L'identification des SIS a été mise en place , la première année, sur 3 régions pilotes de façon à caler la méthodologie : les Hauts de France, AuRA et Ile de France. Le présent compte-rendu expose les démarches menées en 2016 auprès des services déconcentré pilotes et les enseignements tirés de ces premières expériences.
  87. Study report (Ceremadoc) Expertise des remarques de l'enquête publique sur les aléas du PPRI Verse.

    Le Cerema Nord-Picardie a été sollicité par la DDT de l'Oise afin de l'assister dans la procédure d'élaboration du PPRI de la Verse. Les risques étudiés par le PPR sont les risques inondation par ruissellement et inondation par débordement. Le Cerema Nord-Picardie a réalisé les cartes d'aléa du PPR en 2014 et 2015 à partir, d'une part, des résultats d'une étude préexistante pour l'aléa inondation par débordement et d'autre part d'une production spécifique pour l'aléa inondation par ruissellement. La DDT souhaite s'appuyer sur une expertise du Cerema pour la prise en compte des remarques émises sur l'aléa du PPRI jusqu'à l'approbation du projet. En 2016, l'assistance a porté sur les remarques effectuées avant et dans le cadre des consultations officielles du dosssier du PPRI Verse. En 2017, la présente prestation concerne l'analyse des remarques exprimées lors de l'enquête publique du dossier.
  88. Study report (Ceremadoc) Rivière Cher - Cahier de laisses et de repères de la crue de mai-juin 2016 et les crues diverses - De Villefranche-sur-Cher à la confluence avec la Loire

    Suite à l'événement de mai-juin 2016, le SPC Loire Cher Indre a sollicité le Cerema pour recenser et niveler les laisses et repères de cette crue (et de crues antérieures) afin de capitaliser de l'information sur le Cher.
  89. Study report (Ceremadoc) A46 - PS615 Suivi extensométrique 2016

    La campagne de mesures de l'année 2016, relative à l'ouvrage PS 615, s'est déroulée le 19 octobre 2016 pour les mesures d'extensométrie sur l'autoroute et le 24 novembre 2016 pour le nivellement sur le CD 150. Le suivi réalisé par le Cerema a débuté quelques années après la construction de l'ouvrage et met en évidence des tassements absolus et différentiels notables des trois appuis de l'ouvrage, ainsi que de ses deux remblais d'accès. Des mouvements significatifs se sont produits entre la construction de l'ouvrage et le début du suivi en 1996. Les mouvements, en particulier ceux affectant la culée nord, ont progressivement ralenti entre 1996 et 2002, avant une stabilisation des vitesses de tassement à partir de cette date. Les appareils d’appuis de l’ouvrage supportent très bien les déformations existantes et il n’y a pas de travaux de recalage à prévoir à moyen terme si les évolutions restent du même ordre de grandeur qu’actuellement. Nous vous proposons de maintenir le suivi actuel avec une périodicité de 2 ans. La prochaine intervention devra comprendre une inspection des appareils d’appui de la pile et les mesures extensométriques liées à la pile.
  90. Study report (Ceremadoc) Extrapolation de la courbe de tarage de la station d'Acitaja sur le Fium Alto

    Le débit du Fium Alto est mesuré depuis 1959, à la station de Taglio-Isolaccio [Acitaja], gérée par la DREAL Corse. L'échelle et les capteurs de la station sont situés dans une zone d'écoulement très agitée en crue. Les jaugeages de crue sont très peu nombreux et difficilement exploitables. La DREAL Corse, insatisfaite de l'actuelle courbe de tarage pour les débits de crue, a demandé au Cerema d'en revoir l'extrapolation.
  91. Study report (Ceremadoc) MEL : Projet d'aménagement de l'Espierre. Assistance à maîtrise d'ouvrage - Faisabilité.

    A la demande de la Métropole Européenne Lilloise (MEL)\Unité Centrale Eau et Assainissement, le Cerema Nord-Picardie a été missionné pour donner un avis géotechnique concernant le rapport de faisabilité de Naldéo de Mars 2016 sur le projet d'aménagement du bassin versant de l'Espierre. Ce rapport a essayé d'apporter une vision critique sur les choix retenus par Naldéo et d'élargir certaines options par un regard extérieur. Notre analyse du contexte géotechnique et les calculs de pré-dimensionnement effectués dans le présent rapport devraient permettre de conforter ou de revoir certaines solutions avec pour principal objectif d'aider au confortement du montant de l'opération. Par rapport aux différents documents étudiés, certaines données géotechniques nous paraissent manquantes ce qui peut conduire à des ordres de grandeur erronés. Ces informations portent à notre sens principalement sur les possibilités de rabattement ou de drainage. Etant donné la sensibilité du site PCUK, il sera nécessaire d'obtenir une étude hydrologique de la zone permettant d'apprécier le sens des écoulements de la nappe, l'incidence d'un potentiel effet barrage, les effets du rabattement. Cette étude étant longue est onéreuse, il est conseillé dans un premier temps d'essayer d'obtenir celle existant au niveau de PCUK. Dans le but de définir une future campagne géotechnique G2 AVP adéquate, nous suggérons au maître d'ouvrage, de faire entreprendre un nouveau travail, dans le cadre d'une G1 par exemple, d'analyse poussée de la géologie du site et des sondages déjà existants. Cette étude permettra notamment de préciser les types, nombres à localisations des nouveaux sondages à entreprendre. Les modalités de la future campagne devront s'appuyer sur les choix techniques déjà envisagés. Enfin, on gardera à l'esprit que bien que ce rapport est une dominante géotechnique importante, il n'a pas vocation à être utilisé dans le cadre de la norme NF P94-500 portant sur les missions d'ingénierie géotechnique. Pour la suite du projet, des missions géotechniques seront à entreprendre conformément à ce cadre normatif. Le présent rapport sera alors uen première base à cette future analyse.
  92. Study report (Ceremadoc) Extrapolation de courbes de tarage par modélisation hydraulique. Stations de Marles-les-Mines (Affaire C16FI0040)

    La Direction Territoriale Nord-Picardie du Cerema a été sollicitée par le Service de Prévision des Crues (SPC) Artois-Picardie afin de proposer des extrapolations par modélisation hydraulique des courbes de tarage de plusieurs stations du bassin Artois-Picardie. L'objectif est d'améliorer la qualité des courbes de tarage pour les plus forts débits où ne sont disponible que peu ou pas de jaugeages.
  93. Study report (Ceremadoc) DIR Nord - District d'Amiens-Valenciennes - Stocks de résidus de dérasement. Caractérisation des résidus pour envoi en ISD (Affaire C16NB0057)

    Depuis plusieurs années, les résidus issus du dérasement des accotements routiers sont entreposés sur divers sites de stockage du District d'Amiens-Valenciennes de la DIR Nord. Ces sites de stockage posent des problèmes de gestion : saturation des sites, choix des filières d'évacuation appropriées. Le Cerema Nord Picardie est sollicité pour caractériser de manière environnementale les résidus de dérasement afin de déterminer la filière d'élimination la plus adaptée. Les analyses menées sur les résidus de dérasement indiquent que la filière d'élimination pourra être celle d'une Installation de Stockage de Déchets Non Dangereux (ISDND), à condition que le travail d'interprétation de la dangerosité soit validé par l'installation ou l'autorité environnementale compétente. Une valorisation en technique routière a également été étudiée. Seul un tas isolé du site d'Arras est potentiellement valorisable (sous réserve de validation géotechnique). Les volumes de résidus stockés sur les 4 sites dépassent les seuils fixés par la nomenclature ICPE. Ces installations sont donc soumises à la réglementation ICPE et, si elles restent en l'état, elles devront être rapidement mises en conformité.
  94. Study report (Ceremadoc) ZAC du Camp des Sablons. Avis sur le système d'assainissement pluvial

    L'Agglomération Régionale de Compiègne a confié au Cerema un avis sur le système de gestion des eaux pluviales projeté pour la ZAC du Camp des Sablons. Cette ZAC prévoit la construction d'environ 600 logements. L'avis a été décomposé en 3 parties : examen des hypothèses et données d'entrées, débits d'eaux pluviales retenus, analyse des volumes retenus.
  95. Study report (Ceremadoc) Les réseaux de chaleur dans les écoquartiers : Approche de la pertinence technique et économique

    Du premier appel à projets de 2009 à la dernière vague de projets labellisés en 2016, la démarche ÉcoQuartier a pris de l’ampleur avec près de 59 projets labellisés et 140 engagés dans la labellisation début 2018. Ce label comprend une charte de 20 engagements relatifs à la démarche, au cadre de vie, au développement territorial ainsi qu’à l’environnement et au climat. Concernant cette dernière thématique, l’engagement 17 vise la sobriété énergétique et la diversification des sources au profit des énergies renouvelables et de récupération. Les réseaux de chaleur, par leur capacité à mettre en œuvre de grandes quantités d’énergies renouvelables, sont une opportunité pour diversifier le mix énergétique des territoires qu’ils desservent au profit des énergies renouvelables. Toutefois, certains projets de réseaux de chaleur n’ont pu aboutir dans certains écoquartiers, interrogeant alors la pertinence technique et économique de cette solution. L’étude cherche à répondre à cette problématique en dissociant l’analyse des réseaux de chaleur créés ex-nihilo (cas 1, 2 et 3) de l’analyse des réseaux étendus à un écoquartier (cas 4) ou préexistant (cas 5) sur l’écoquartier. Enfin, des retours d’expériences de collectivités interviewées viennent compléter l’approche scientifique.
  96. Study report (Ceremadoc) Les réseaux de chaleur dans les écoquartiers : Approche de la pertinence technique et économique

    Du premier appel à projets de 2009 à la dernière vague de projets labellisés en 2016, la démarche ÉcoQuartier a pris de l’ampleur avec près de 59 projets labellisés et 140 engagés dans la labellisation début 2018. Ce label comprend une charte de 20 engagements relatifs à la démarche, au cadre de vie, au développement territorial ainsi qu’à l’environnement et au climat. Concernant cette dernière thématique, l’engagement 17 vise la sobriété énergétique et la diversification des sources au profit des énergies renouvelables et de récupération. Les réseaux de chaleur, par leur capacité à mettre en œuvre de grandes quantités d’énergies renouvelables, sont une opportunité pour diversifier le mix énergétique des territoires qu’ils desservent au profit des énergies renouvelables. Toutefois, certains projets de réseaux de chaleur n’ont pu aboutir dans certains écoquartiers, interrogeant alors la pertinence technique et économique de cette solution. L’étude cherche à répondre à cette problématique en dissociant l’analyse des réseaux de chaleur créés ex-nihilo (cas 1, 2 et 3) de l’analyse des réseaux étendus à un écoquartier (cas 4) ou préexistant (cas 5) sur l’écoquartier. Enfin, des retours d’expériences de collectivités interviewées viennent compléter l’approche scientifique.
  97. Study report (Ceremadoc) Extrapolation de courbe de tarage : Station d'Agnat [Pont d'Auzon] K2430810, rivière l'Allier

    La DREAL Auvergne-Rhône-Alpes a sollicité le Cerema Normandie-Centre pour réaliser l'extrapolation des courbes de tarage de l'Allier à Agnat [Pont d'Auzon] (K2430810) et de la Couze Chambon à Champeix (K2674010). Le présent rapport concerne la station de l'Allier à Agnat [Pont d'Auzon]. Pour représenter les écoulements au droit de la station étudiée, un modèle hydraulique 1D a été construit sous HEC-RAS puis calé avec les données de jaugeages. Des débits forts à extrêmes ont été injectés dans ce modèle afin d'extrapoler la courbe de tarage. La résilience de la station a également été testée en déterminant les débits pour lesquels les cotes caractéristiques de la station et de l'ouvrage de franchissement sont atteintes.
  98. Study report (Ceremadoc) Extrapolation de courbe de tarage, Station de Champeix (63) K2674010, rivière Couze Chambon

    Le service de prévision des crues (SPC) de la DREAL Auvergne-Rhône-Alpes a commandé au Cerema Blois une étude sur l'extrapolation des courbes de tarage des stations de Champeix et Pont d'Auzon (ce rapport ne concerne que la station de Champeix). Pour ce faire, un modèle 1D a été construit sous HEC-RAS afin de représenter les écoulements au droit de la station de Champeix. Une fois calé avec les données jaugées, des débits forts à extrêmes ont été injectés dans ce modèle dans le but d'extrapoler la courbe de tarage. De plus, la résilience de la station a été testée en injectant plusieurs jeux de débits dans le modèle puis en comparant les cotes atteintes pour chacun des débits aux cotes caractéristiques des équipements.
  99. Study report (Ceremadoc) Actualisation du modèle pluie / débit - GR sur le bassin de l'Aille Initialisation à partir de la nouvelle version d'indice d'humidité HU - novembre 2017

    Cette étude remet à jour l'initialisation du modèle GR calé en 2015 sur le bassin de l'Aille en fonction d'une valeur moyenne d'humidité des sols. Elle comprend une comparaison des valeurs d'humidité des sols issus de la chaîne SIM1 et celles issues de la nouvelle chaîne SIM2. Une formule d'initialisation a pu être calculée en fonction des nouvelles données. Les résultats du modèle calé à partir des deux indices ont été comparés et ne présentent pas de différence notable. Enfin une formule d'évaluation en temps réel d'indice d'humidité du bassin de l'Aille est aussi proposée.
  100. Study report (Ceremadoc) Commune de St Pierre de Varengeville (76) « La Chaise de Gargantua ». Diagnostic de stabilité de falaise

    L’éboulement du 20 novembre 2016, survenu le long de la RD 982 (PR14+225) sur la commune de St Pierre de Varengeville, a impacté la chaussée sur une longueur d’environ 30-35 m (volumes unitaires maximums de 0,25 m3). Cet éboulement a donné lieu à un diagnostic, par le CEREMA, de la zone susceptible d’être à l’origine de cet événement (talus routier) dans le but de qualifier l’aléa « éboulement rocheux » résiduel de cette zone (Affaire n° 16RR0246). Ce « fiche d’intervention » concluait, notamment, sur la nécessité de diagnostiquer l’éperon rocheux en amont du site (« La Chaise de Gargantua »). C’est dans ce cadre que le CEREMA est intervenu le 25 janvier 2017 pour établir un diagnostic de stabilité du front rocheux de l’éperon, mais également présenter des principes de mise en sécurité du site. Après diagnostic de l’éperon et du versant aval, le CEREMA propose la mise en place d’un écran de filet en partie basse de versant afin d’intercepter l’ensemble des éléments susceptibles de se propager, via ce versant, sur la route. Le caractère très fracturé du front, induisant des éléments rocheux potentiellement instables très épars et non individualisables, milite pour un principe de mise en sécurité global et non ciblé.
  101. Study report (Ceremadoc) SRCE et SCoT en Bourgogne-Franche- Comté Intégration de la Trame verte et bleue

    Le présent rapport vise à participer à l’évaluation et au bilan de la prise en compte des Schémas Régionaux de Cohérence Écologique (SRCE) de Bourgogne et Franche- Comté sur un panel de Schémas de Cohérence Territoriale (SCoT) de la région fusionnée Bourgogne-Franche-Comté. Cette analyse porte à la fois sur les documents produits par les SCoT mais aussi via des entretiens réalisés auprès des structures porteuses des SCoT ainsi que des Bureaux d’études auxquels elles ont fait appel. La fusion des régions Bourgogne et Franche-Comté étant postérieure à l’adoption des SRCE, une analyse et une comparaison des deux SRCE ainsi que de leurs exigences respectives quant à l’intégration de la Trame Verte et Bleue (TVB) dans les SCoT précède la synthèse des entretiens réalisés auprès des différents acteurs concernés.
  102. Study report (Ceremadoc) Analyse de l’intégration des continuités écologiques dans la Séquence « Éviter - Réduire - Compenser » des projets d’aménagements. Problématiques, pistes et leviers d’amélioration issus de l’analyse de dossiers en Bretagne

    L’objectif de ce travail est d’identifier les difficultés et les points d’amélioration dans la prise en compte des continuités écologiques dans la séquence Éviter-Réduire-Compenser sur la base d’études de cas issus de différents types de projets en Bretagne. Le rapport présente dans un premier temps la méthodologie de travail développée pour cette étude. Puis, il décrit les éléments de contexte à la fois sur les continuités écologiques et la doctrine Eviter-Réduire-Compenser. La troisième partie est consacrée à la présentation des problématiques, et des difficultés identifiées au cours de l’analyse des dossiers dans l’inventaire des continuités écologiques, dans la mesure des impacts des projets sur ces continuités et dans les propositions de mesures d’insertion (démarche ERC). Des recommandations sous forme d’encadré prennent place dans cette partie à chaque fois qu’il a été possible d’en émettre. Enfin, la dernière partie expose en fonction des rôles de chacun des acteurs d’un projet (maître d’ouvrage, maître d’œuvre et bureau d’études, services instructeurs) les pistes et leviers d’amélioration.
  103. Study report (Ceremadoc) Analyse hydraulique des PPRi de la Vilaine et affluents. Analyse préalable des changements prévisibles en cas de révision

    La présente étude présente les analyses réalisées en préalable de la révision des PPRI du bassin de la Vilaine. L’étude a consisté à analyser l’impact des nouveautés (nouveaux MNT pour la cartographie, nouveau modèle hydraulique) sur la cartographie d’aléa par rapport aux PPRI initiaux. L’effet du changement de MNT de référence utilisé pour la spatialisation (cartographie) de l’aléa a été étudié en cartographiant l’aléa sur le nouveau MNT en partant des côtes de référence des six PPRI. Les principales zones impactées comme changeant d’aléa (aggravation ou diminution de l’aléa) ont été identifiées. Les scénarios hydrologiques des PPRI ont été rejoués avec les modèles hydrauliques de la Vilaine (présentés comme faisant foi par l’EPTB Vilaine et la DREAL) afin de comparer les lignes d’eau avec celles des PPRI.
  104. Study report (Ceremadoc) Stratégie de positionnement de l’État pour la gestion intégrée du trait de côte en Bretagne. Phase 1 : état des lieux des connaissances et des pratiques des services de l’État

    La présente étude réalisée pour le compte de la Dreal de Bretagne vise à préciser le cadre de positionnement de l’État sur l’ensemble de la région Bretagne en vue de construire et de porter une dynamique pour l’élaboration d’une stratégie régionale de gestion du trait de côte. La première phase de cette étude, objet du présent document, concerne : • un état des lieux des connaissances et des pratiques des services de l’État avec en particulier un parangonnage des stratégies ou démarches assimilables en métropole ; • la proposition d’une typologie du linéaire côtier breton illustrant sa vulnérabilité en croisant divers critères : prédisposition à l’érosion, dynamique d’érosion, nature des enjeux menacés, etc. • une enquête auprès des quatre DDTM bretonnes sur la gestion de 15 sites témoins qui a donné lieu à des enseignements constituant une base pour identifier les enjeux de positionnement qui seront traités dans la phase 3.
  105. Study report (Ceremadoc) Réflexion préalable à la mise en place de la GEMAPI. Analyse du système de protection du val de Louet entre Les Ponts de Cé et Rochefort sur Loire : Réflexion préalable à la GEMAPI – analyse du système de protection du val de Louet

    Dans la perspective de la mise en œuvre de la Gemapi, la DREAL Pays de la Loire a demandé au Cerema d’étudier le secteur du val de Louet entre Les Ponts-de-Cé et Rochefort-sur-Loire afin d’apporter des éléments d’aide à la décision aux collectivités qui auront la charge de cette nouvelle compétence. Cette étude identifie et qualifie, à l’aide d’une méthodologie adaptée, les systèmes jouant un rôle dans la protection contre les inondations, les zones protégées par ces systèmes et évalue la population protégée. Cinq casiers ont été délimités et analysés en tenant compte d’une propagation de l’inondation venant tant du côté de la Loire que du côté du Louet.
  106. Study report (Ceremadoc) Vigilance crues en Corse. Analyse GLOBALE des enjeux sur 14 bassins.

    Dans le cadre de la mise en place d'une vigilance crues en Corse, l'étude vise à quantifier, rapidement et de manière globale, le nombre d'enjeux exposés aux inondations sur quatorze bassins versants sélectionnés par la DREAL Corse. Les indicateurs utilisés sont ceux produits lors de l'évaluation préliminaire des risques inondation (EPRI) réalisée en 2011 par la DREAL Corse, dans le cadre de la Directive Inondation. L'étude conduit à une classification des bassins suivant les enjeux (population, logement, bâtiments d'activités) situés dans l'Enveloppe Approchée des Inondations Potentielles (EAIP), aléa "maximal" utilisé dans le cadre de l'EPRI. Les limites de la méthode sont exposées. Les résultats sont commentés pour chaque bassin, et nuancés le cas échéant.
  107. Study report (Ceremadoc) Mayotte PPR 3ème vague. Fourniture de données par le Cerema.

    La DEAL de Mayotte a lancé un marché dont l'objectif est le suivant : réalisation d'un Plan de Prévention des Risques Naturels 5PPRN) multi-aléas sur 7 communes et accompagner la DEAL de Mayotte dans toute la démarche de concertation et de consultation des parties prenantes et du public jusqu'à l'approbation de ces 7 PPRN. Le Cerema a une mission d'assistance et de contrôle sur l'ensemble de la prestation. Il a aussi au démarrage pour la partie aléa inondation une mission pour fournir des éléments de connaissance à grand rendement des secteurs sensibles. L'objet de ce rapport est lié à la fourniture de ces éléments pricipalement SIG.
  108. Study report (Ceremadoc) Numérisation des données Grau de la Dent avec NUNIEAU de 1996 à 2015.

    L'objet de cette prestation a été de numériser les données du marégraphe géré par la Compagnie des Salins du Midi au Grau de la Dent, petit port entre le grand Rhône et la pointe de Beauduc. Le Cerema Méditerranée (ex CETE Méditerranée) avait avant cette étude déjà numérisé des données de 1960 à 1995 sur ce marégraphe avec le logiciel NUNIEAU. Les données issues de ce travail au format numérique sont disponibles de 1996 à 2015 sauf quelques semaines manquantes (données manquantes, irrécupérables...) et surtout les années 2012 et 2013 non trouvées par la Compagnie des Salins du Midi. Cette période a été plus complexe à numériser, stylet défaillant, nombreux recalages sans indications, dérives de l'appareil et quelques pertes de qualité lié au pliage des feuilles. En synthèse, ces données sont exploitables pour l'analyse d'événements historiques en particulier les tempêtes, la réalisation d'analyses statistiques sur le niveau marin direct et sur les surcôtes (après vérification de quelques décalages temporels). En revanche, l'analyse de la remontée du niveau marin peut être réalisée avec énormément de précaution. Une analyse des évolutions des tempêtes est par contre envisageable.
  109. Study report (Ceremadoc) Étude de site, cale de la Mascotte. Erquy - Plage de Caroual

    Le site d'étude se localise dans la partie SW de la plage de Caroual (commune d'Erquy) et s'étend depuis l'extrémité sud de la Promenade de la Mer jusqu'à 250m au-delà de la cale de la Mascotte en direction du SW. Au NE de cette cale, le trait de côte est artificialisé (enrochements), au SW il est encore naturel (dunes). L'évolution du trait de côte de part et d'autre de la cale de la Mascotte reste variable. Si sur une période de 60 ans, la tendance générale est au recul (0-8m), à une échelle de temps plus réduite (1-4 ans), cette tendance présente des phases de stabilité, d'accrétion ou de recul. Majoritairement, les désordres relevés le sont aux ouvrages et correspondent à des affouillements, voir à la ruine totale de linéaire d'enrochements. Des mesures d'aménagements de type recul des parkings, végétalisation de l'arrière dune, mise en œuvre de réseau de ganivelles ou mono-fils sont préconisées pour restaurer le secteur. Ces mesures ne seront efficaces que si elles sont accompagnées d'un protocole de suivi du système ( analyse à l'échelle de la cellule hydrosédimentaire) permettant d'améliorer la connaissance du milieu et d'intégrer la notion de reconstruction naturelle.
  110. Study report (Ceremadoc) CD35 - Bilan environnemental des travaux d’entretien 2016. Eco-comparateur ECORCE

    Le Département Laboratoire de Saint-Brieuc a réalisé un bilan environnemental de l’activité 2016 de travaux d’entretien du réseau routier départemental d’Ille-et-Vilaine à l’aide de l’éco-comparateur ECORCE, en s’appuyant sur le recueil de données (type de produits, tonnages et surfaces mis en œuvre…) mené par le conseil départemental d’Ille-et-Vilaine. Ce bilan met en évidence les principaux postes émissifs, et les éventuelles pistes d’amélioration. L’étude de sensibilité met en évidence la très faible perte d’information liée à l’utilisation du bilan simplifié. Enfin, un outil Excel doublé d’un tutoriel a été créé pour permettre la mise à jour des données d’une année sur l’autre, en autonomie, par le conseil départemental.
  111. Study report (Ceremadoc) Étude de la problématique de pollution des eaux par le Diuron. Cas de la Bretagne

    L’objectif de ce rapport est de préciser l’origine et l’ampleur du phénomène de pollution des eaux superficielles par le Diuron en Bretagne. Cet ancien produit phytosanitaire, interdit en France en 2008, est aujourd’hui utilisé en usage Biocide. 40 spécialités commerciales à usage professionnel contiennent du Diuron pour des protections de pellicules (TP07) et/ou pour protéger les ouvrages de maçonnerie (TP10). L’étude montre que l’on retrouve cette molécule et ses produits de dégradation à des niveaux élevés dans certaines zones du bassin versant Loire-Bretagne notamment en Bretagne. La présence du Diuron semble à corréler selon la bibliographie des études Suisses et Allemandes et les observations terrains avec des secteurs avec une forte densité d’habitat en construction notamment suite à des lessivages d’enduits de façades ou de produits de toiture. Des études complémentaires en cours doivent permettre de préciser l’origine des pollutions.
  112. Study report (Ceremadoc) Recueil d’expériences de gestion des invasives terrestres en Pays de la Loire

    Ce rapport a pour objectif d’établir une synthèse des interventions conduites par les gestionnaires des milieux terrestres sur les espèces exotiques envahissantes terrestres et, pour les plus documentées, de proposer des fiches de recueil d’expérience dans le modèle du GT IBMA. Après un rappel du contexte de l’étude et du cadre réglementaire relatif à la gestion des espèces envahissantes, une présentation des expériences de gestion est faite par gestionnaire, puis par espèces. Au final, les retours des expériences sur les invasives terrestres concernent principalement les gestionnaires routiers et dans quelques cas des milieux naturels. Ils sont pour la plupart très récents ou partiels et n’ont pas permis la réalisation de fiches de retours d’expérience. Seule une fiche a été réalisée pour le Baccharis dans les Marais de Noirmoutier.
  113. Study report (Ceremadoc) Stratégie de positionnement de l’État pour la gestion intégrée du trait de côte en Bretagne. Phase 3 : Stratégie de positionnement des services de l’État

    La présente étude réalisée pour le compte de la DREAL Bretagne vise à préciser le cadre de positionnement de l’État sur l’ensemble de la région Bretagne en vue de construire et de porter une dynamique pour l’élaboration d’une stratégie régionale de gestion du trait de côte. Une première phase d’état des lieux des connaissances et des pratiques des services de l’État a été réalisée avec en particulier un parangonnage des stratégies existantes et une enquête auprès des DDTM sur la gestion de 15 sites témoins répartis sur les 4 départements bretons qui a donné lieu à des enseignements. Le présent document concerne la structuration de la stratégie de l’État en Bretagne avec une première déclinaison en programme d’action pour les services de l’État. Elle s’est appuyée sur les enseignements du travail de la première phase d’étude qui a permis d’identifier des objectifs de positionnement internes à l’État d’une part, et vis-à-vis des autres acteurs d’autre part.
  114. Study report (Ceremadoc) Entrée de ville des Ponts-de-Cé. Prise en compte du risque d’inondation

    Pour permettre la requalification de son entrée de ville tout en tenant compte du risque d’inondation par débordement de la Loire, la commune des Ponts-de-Cé doit repenser les aménagements initialement prévus. Afin de conserver la qualité urbaine du projet, le Cerema a présenté des opérations réalisées en zone inondable, et s’inspire de ces exemples pour proposer des principes d’orientation à donner au futur projet. Parallèlement, le Cerema a travaillé avec la Direction départementale des territoires, en charge de l’élaboration du plan de prévention des risques qui affecte la commune, afin que le règlement de ce document anticipe sur la réalisation de l’opération, et prenne en compte ses contraintes spécifiques.
  115. Study report (Ceremadoc) Etude AUBE. Aménagement Urbain Biodiversité et Eclairage. Ile-de-la-Réunion.

    Cette étude réalisée à la demande de la DEAL de la Réunion, a été menée en 2016 et 2017. Elle apporte des réponses scientifiques, techniques et organisationnelles pouvant être mobilisées par les collectivités, aménageurs, gestionnaires d'espaces naturels, services instructeurs, etc. L'éclairage artificiel extérieur est mis en place pour répondre à des besoins humains de confort, de sécurité, de mise en valeur du patrimoine, etc. Pour autant, cet éclairage est consommateur d'énergie et fait l'objet aujourd'hui de réflexions afin d'en réduire le coût énergétique et carboné. Par ailleurs, cette incursion de lumière dans la période nocturne n'est pas sans incidence sur les espèces animales et végétales. En effet, leur rythme de vie est habituellement réglé sur les cycles du soleil et de la lune. Il apparait donc nécessaire de tenir compte des enjeux énergétiques et environnementaux lors des réflexions menées pour l'installation ou la maintenance de systèmes d'éclairage. Ce rapport comprend différents chapitres pouvant chacun intéresser un public spécifique: synthèse bibliographique des effets connus de l'éclairage sur la biodiversité - caractéristiques des principaux systèmes et technologies d'éclairage et de leur impact sur la biodiversité - méthodes de mesures de la «pollution lumineuse» - contexte énergétique et d'éclairage de la Réunion - analyse de quelques installations d'éclairage rencontrées lors du diagnostic de terrain - focus sur quelques espèces réunionnaises particulièrement sensibles à l'éclairage artificiel - dispositifs réglementaires, outils et techniques mobilisables pour améliorer la prise en compte de l'enjeu biodiversité dans la planification et la maintenance de l'éclairage.
  116. Study report (Ceremadoc) Vigilance crues en Corse. Analyse EXPERTISEE des enjeux sur 6 bassins.

    Dans le cadre de la mise en place d'une vigilance crues en Corse, l'étude vise à quantifier le nombre d'enjeux exposés aux inondations sur six bassins versants sélectionnés par la DREAL Corse, parmi ceux ayant fait l'objet de l'étude Cerema "Vigilance crues en Corse - Analyse globale des enjeux sur 14 bassins" (Cote : ETU-4558 août 2017). Les enjeux pris en compte sont la population, le nombre de logements, la surface des bâtiments d'activités, les campings, les points de prélèvement pour l'alimentation en eau potable, ainsi que des enjeux ponctuels tels que routes, aéroports, villages vacances. Ils sont identifiés sur chaque bassin à l'intérieur d'un périmètre constitué des zones d'aléas PPRI (Plan de Prévention des Risques Inondation) et AZI (Atlas des Zones Inondables) disponibles. Cette étude n'a pas fait l'objet d'une visite de terrain.
  117. Study report (Ceremadoc) Bilan carbone (R) du CVRH d'Aix-en-Provence.

    L'article L.229.25 du code de l'environnement impose la réalisation d'un bilan des émissions de gaz à effet de serre pour un certain nombre d'acteurs dont les services d'Etat tels le CVRH d'Aix-en-Provence. Ce bilan consiste à évaluer la quantité de gaz à effet de serre émise dans l'atmosphère sur une année par les activités d'une entité; l'objectif est de réaliser un diagnostic des émissions et d'identifier des actions permettant de les réduire. Le bilan à effet de serre du CVRH d'Aix-en-provence a été réalisé à partir de la méthodologie Bilan Carbone (R). Ce bilan prend en compte toutes les émissions directes ou indirectes générées par l'activité de l'organisme : les sources fixes liées aux consommations d'énergie, les déplacements des personnes (salariés et stagiaires/intervenants lors des formations), les produits ou services consommés, les bâtiments/parkings/véhicules/etc. Pour l'année 2015, les émissions globales de gaz à effet de serre de l'organisme sont estimées à 294 tonnes équivalent carbone dont 85% proviennent des déplacements, en particulier des déplacements des stagiaires et intervenants dans le cadre des formations. Pour améliorer le Bilan Carbone (R), des efforts significatifs sont à réaliser, principalement sur ce poste d'émission. Des actions de communication auprès des stagiaires sont à envisager afin de favoriser l'utilisation des transports collectifs ou le covoiturage, des actions d'ordre organisationnel pour réduire les déplacements.
  118. Study report (Ceremadoc) Prospections écologiques RN31. Pré-diagnostic d'une parcelle à Sacy-le-Grand en vue d'éventuelles mesures compensatoires.

    Ce rapport constitue la synthèse des inventaires naturalistes réalisés sur une parcelle foncière appartenant à la DREAL Haut-de-France. Ces inventaires ayant pour objectif de définir les éventuels enjeux sur cette parcelle en vue d'en évaluer les potentialités en vue de la réalisation éventuelle de mesures compensatoires sur cette parcelle.
  119. Study report (Ceremadoc) Etude exploratoire sur le ruissellement - Commune de Andres (62)

    Cette étude exploratoire a pour objectif d'identifier le traitement du ruissellement sur des territoires tests, à travers différents entretiens. Cet exemple traite de la commune d'Andres dans le Pas-de-Calais. C'est une commune rurale dans le territoire particulier des wateringues (polder), fortement soumis au risque de ruissellement. Plusieurs épisodes d'inondations ont eu lieu. C'est l'inondation d'août 2006 qui est l'épisode intense de référence à l'heure actuelle. Il est difficile pour les interviewés de définir clairement ce que représente le ruissellement. État et collectivités ne sous-entendent pas la même chose quand ils utilisent ce terme. Cela est source d'incompréhension. Outre la commune, les compétences sur le territoire sont réparties entre de nombreux acteurs : SIRA, propriétaires privés, communautés de communes Pays d'Opale, département du Pas-de-Calais, syndicat des wateringues... Le nombre des acteurs complexifie la démarche de l'équipe municipale. L'État travaille sur le ruissellement selon différentes approches comme les risques, la gestion de crise, la police de l'eau ou encore l'ADS. Plusieurs documents et dispositifs existent sur le territoire : - les différents plans de la DDTM (PPRI Pieds de Coteaux, PGRI Artois Picardie, doctrine wateringue), - ceux des collectivités et leurs émanations (PAPI delta de l'Aa, projet ARARAT 1 et 2, SAGE delta de l'Aa, SCOT du calaisis, PLUi). Toutes ces démarches montrent une prise en compte de plus en plus importante des inondations en général, et notamment du ruissellement. Toutefois, beaucoup d'entre elles sont en cours et il est difficile d'en tirer actuellement des conclusions. De nombreuses difficultés restent à lever. D'une part, la communication entre les différents acteurs doit être améliorée. D'autre part, la commune d'Andres a besoin de soutien concernant la compréhension de la réglementation et d'aide technique, par exemple sur l'élaboration d'un schéma d'assainissement pluvial.
  120. Study report (Ceremadoc) Dispositif d'Alerte Sonore. Etude acoustique et vibratoire sur la RN113 à St Martin de Crau.

    L'arrêté du 12 mars 2012 portant sur l'équipement des autoroutes de dispositifs d'alerte sonore en rive de chaussée, est exécutoire à partir du 01/7/2012. Les routes sujettes à l'arrêté doivent être équipées 10 ans au plus tard après la publication de l'arrêté, soit en 2022 au plus tard. Ces dispositifs ont pour fonction de réduire les accidents liés à l'hypovigilance des conducteurs. La direction inter-régionale des Routes Méditerranée (DIR Med) souhaite améliorer la sécurité routière sur son réseau avec la mise en place de dispositifs d'alerte sonore (DAS) de type engravure (Rumble strips). Pour se faire, la DIR Med a lancé une expérimentation sur la RN113 (St Martin de Crau). Le Cerema a été sollicité pour étudier sur 3 ans les paramètres suivants : -l'implantation du DAS sur l'axe de la ligne de rive, - le comportemet des usagers de nuit, - l'hypovigilance (acoustique et vibration), - l'alerte aux éventuelles personnes sur la BAU (acoustique), - la gêne aux riverains (acoustique). Les études acoustique et vibration sont réalisées par le Cerema NP(Cerema CE en appui), sur des DAS sec et mouillé. Les véhicules testés sont un véhicule léger, un poids-lourd et une moto. Ce rapport synthétise les résultats après réalisation des DAS, age 0 an.
  121. Study report (Ceremadoc) Décharge de Bohain-en-Vermandois (02) -Suivi de la nappe de la craie. Analyse physico-chimiques et bactériologique - Septembre et décembre 2017

    Le présent rapport s'inscrit dans le cadre du suivi semestriel de la nappe de la craie à partir d'un réseau de surveillance constitué de 5 piézomètres implantés à proximité du centre d'enfouissement technique de Bohain-en-Vermandois. La Communauté de Communes du Vermandois a sollicité l'intervention du Cerema Nord-Picardie afin de : procéder à des relevés de niveaux d'eau au droit de ¢ chacun des piézomètres, ¢ prélever des échantillons d'eau en vue d'analyses physico-chimiques et bactériologiques. Le présent rapport rend compte des résultats des campagnes de prélèvement de 2017. Les prélèvements ont été réalisés les 26 et 27 septembre 2017 et les 12 et 13 décembre 2017. L'étude des résultats d'analyses montre que la nappe de la craie au niveau du centre d'enfouissement ne respecte pas les seuils DCE concernant la qualité des eaux souterraines quand ils existent, ni les seuils concernant les Eaux Destinées à la Consommation Humaine (EDCH). Comme l'indiquait le rapport précédent, l'étude des valeurs de 2017 montre que pour un paramètre (COT), le seuil concernant les eaux brutes utilisées pour la production d'EDCH n'est plus respecté.
  122. Study report (Ceremadoc) Rapport de contrôle. Aménagements environnementaux ASF (A11, A83, A87)

    Ce rapport réalisé à la demande de la mission contrôle des concessions (DGITM/GRA/GCA3) du Ministère de l’Environnement, de l’Energie et de la Mer (MEEM) a pour objectif de dresser le bilan du contrôle de la réalisation de 8 aménagements pour la biodiversité par ASF (Autoroute du Sud de la France) sur son réseau autoroutier Ouest (A83, A87, A11). Il s’agit de 3 écoducs, 1 banquette, 2 valorisations écologiques de milieux naturels et 2 ouvertures de corridors longitudinaux. Les contrôles menés les 5 mai, 12 juillet 2016 et 4 janvier 2017 confirment la bonne réalisation des ouvrages selon les règles de l’art en matière d’aménagement pour la biodiversité. L’absence de recul dû à la récente réalisation de ces ouvrages (2016) et de données de suivi ne nous permettent pas de confirmer leur fonctionnalité même si tous les éléments de réalisation (dimensionnement, matériaux,…), leur localisation, le font penser. Les résultats de la campagne de suivis mise en place par ASF à partir de 2017 devront être communiqués au MEEM afin de valider la fonctionnalité de ces réalisations.
  123. Study report (Ceremadoc) Rapport de contrôle. Plan de relance autoroutier - Cofiroute A 11 Rétablissement de continuités écologiques

    Dans le cadre du plan de relance autoroutier, la mission de contrôle des concessions (DGITM/GRA/GCA3) du Ministère de la Transition Écologique et Solidaire (MTES) a confié au Cerema Ouest le contrôle de deux écoducs foncés sous l’A11 (axe Nantes-Angers) par la Société Cofiroute du Groupe Vinci Autoroute. La visite sur site avait pour objectifs le contrôle de l’exécution des travaux et la vérification de la fonctionnalité des ouvrages. Alors que l’on constate la bonne réalisation des ouvrages selon les règles de l’art en matière d’aménagement pour la biodiversité, l’absence de recul dû à la récente réalisation de ces ouvrages (1er trimestre 2017) et de données de suivi ne permettent pas de confirmer leur fonctionnalité même si tous les éléments de réalisation (dimensionnement, matériaux,,…), leur localisation et les traces déjà présentes le laissent penser. Les résultats de la campagne de suivi mise en place par Cofiroute à partir de l’été 2017 devront être communiqués au MTES afin de valider la fonctionnalité effective de ces réalisations.
  124. Study report (Ceremadoc) Chiffres clés de l'énergie - édition 2016

    La politique énergétique, plus encore que dans les autres domaines, se caractérise par un grand nombre d'objectifs quantitatifs, comme en atteste la récente loi relative à la transition énergétique pour la croissance verte. Faire connaître à un large public les principales statistiques du domaine est donc essentiel pour éclairer le débat. Tel est l'objectif de la présente publication, qui fournit des informations notamment sur la production, la consommation et les prix pour les différentes formes d'énergie, en France et dans le monde. En prenant du recul dans le temps, autant que les données le permettent, elle s'efforce de mettre en lumière les principales évolutions à l'oeuvre.
  125. Study report (Ceremadoc) Evaluation environnementale stratégique (EES) du programme régional de la forêt et du bois de la région Normandie - Rapport état initial de l'environnement

    Dans le rapport, pour chaque thématique environnementale, sont envisagés successivement, les éléments de contexte, la synthèse des points clés et éléments chiffrés, les principales pressions identifiées, les grandes tendances et les principaux enjeux. Or ces éléments ne s’appliquent pas uniformément sur le territoire. Des ensembles territoriaux écologiquement cohérents ont été définis pour approcher au plus près la réalité des pressions, tendances et enjeux. Plutôt que d’asseoir ces ensembles sur des limites administratives, il a été retenu de travailler à partir des sylvoécorégions nationales (SER nationales) présentes en Normandie, telles que définies par l’Inventaire Géographique National.
  126. Study report (Ceremadoc) Inspection visuelle de la carrière souterraine de Glanum - Saint-Rémy-de-Provence (13)

    Le Cerema Méditerranée a réalisé, pour le compte de la Ville de Saint-Rémy-de-Provence, l’inspection visuelle de la carrière souterraine de Glanum, située à proximité des fouilles archéologiques du site antique de Glanum. Cette inspection a permis de constater que la carrière présente, en grande partie, un état de stabilité globalement bon. Cependant, certains secteurs, notamment ceux présentant le moins de recouvrement, montrent des formes souterraines significatives d’une dégradation lente de la stabilité. Des mesures de sécurité sont préconisées en souterrain et en surface : destruction d’un mur menaçant ruine à l’entrée de la carrière et clôture des zones les plus dangereuses notamment. Des investigations complémentaires sont également préconisées afin d’affiner la connaissance du risque et pouvoir définir les moyens de s’en prémunir : levés topographiques, diagnostics de stabilité, inspections périodiques.
  127. Study report (Ceremadoc) Les collectivités littorales aquitaines face aux défis de l'urbanisation et de la montée des risques naturels. Synthèse de l'enquête thématique locale

    ntre 2014 et 2016, la chambre régionale des comptes de Nouvelle Aquitaine a procédé au contrôle de 7 intercommunalités et 13 communes implantées sur les 650 kilomètres de littoral atlantique relevant de son ressort. Chacun de ces contrôles a donné lieu à un rapport d'observations aujourd'hui définitif, après que les procédures contradictoires à l'égard de chacun des organismes contrôlés ont été menées à leur terme. Ces contrôles ont mis en évidence les tensions spécifiques auxquelles sont exposés des territoires littoraux, caractérisés par une concentration croissante des populations et une concurrence des activités sur un espace aux possibilités d'urbanisation limitées, fragile au plan environnemental et de plus en plus exposé aux risques d'érosion côtière et de submersion marine exacerbés par le changement climatique.
  128. Study report (Ceremadoc) Chiffres clés du climat France, Europe et Monde.

    Cette publication, par son organisation et le choix des thèmes abordés, a pour ambition d'informer un public le plus large possible sur le changement climatique, ses mécanismes, causes et effets ainsi que sur les dispositifs mis en place pour le circonscrire, aux échelles internationale, européenne, et nationale. Elle fournit en particulier des statistiques détaillées sur les émissions de gaz à effet de serre dans le monde, en Europe et en France.
  129. Edition (Ceremadoc) Seismic site-response variability: from site-classification to soil non-linear behaviour

    The risk of devastating earthquakes exist all over the world. It is therefore necessary to develop digital tools in order to improve our knowledge of the seismic risk and understand the local surface level amplifications created and caused by the geological and topographical structure. The risks on buildings and works are measured in this way. Julie Regnier, from Cerema Méditerranée, completed this thesis in order to introduce the digital modelisation of soil non-linear behaviour into the forecast methods already used within her team at Cerema. Résumé Remerciements Résumé étendu Notation General introduction I Basic concepts and data processing 1 Linear wave propagation 1.1 Wave propagation in linear elastic and visco-elastic media 1.2 Wave propagation in a linear visco-elastic layered model 1.3 Borehole-site response and implication for inversion purposes 1.4 Computational approach 1.5 Sensitivity analysis 2 KiK-net database: data-selection, signal processing and site-response calculations 2.1 Data selection and signal processing 2.2 Empirical site-response calculations 2.3 Computation of the empirical site response 2.4 Definition of the soil and linear site-response proxy parameters 2.5 Definition of the seismic motion intensity parameters 2.6 Conclusions II Analysis of empirical seismic site response variability 3 Inter-site site-response variability 3.1 Introduction 3.2 Selection of the KiK-net sites with 1-D site configuration 3.3 Variability of the Vs profiles and site responses according to Vs30 only 3.4 On the use of additional parameters to Vs30 3.5 Illustration of three KiK-net sites 3.6 Analyses of the Vs profile and BFSRemp variabilities of the 1-D selected sites 3.7 Conclusion and discussion 4 Inter-event site-response variability 4.1 Introduction 4.2 Elements of soil non-linear behaviour 4.3 Quantification of the non-linear effects 4.4 Statistical analyses of the event/ site parameters 4.5 Optimal parameters to assess soil non-linearity 4.6 Conclusions III Inversion of the borehole transfer function 5 The simulated annealing downhill simplex hybrid global inverse algorithm 5.1 Simulated annealing 5.2 Downhill simplex method 5.3 The hybrid method 5.4 Inversions on synthetic cases 6 Inversion of empirical data 6.1 Introduction 6.2 Description of the selected KiK-net sites 6.3 Inversion of linear data 6.4 Inversion of non-linear data 6.5 discussion on the inversion of non-linear data 6.6 Conclusion Conclusions Conclusion and perspectives References A Earthquake locations at sites FKSH12, FKSH14, KSRH10 and MYGH04 B Illustration of the down-going wave effect on the numerical borehole site responses C Picking the fundamental resonance frequency C.1 Methodology C.2 Comparison of the f0 C.3 Conclusion and discussion D Characteristics of KiK-net sites that have recorded at least two earthquakes with PGAs at depth >50 cm/s2
  130. Edition (Ceremadoc) Analyse de risques appliquée aux tranchées couvertes et aux tunnels creusés avec parements rapportés

    Le présent guide propose une méthodologie d’analyse simplifiée des risques des tunnels et des tranchées et couvertures qui comportent des parements, conformément au guide du Sétra « Maîtrise des risques – Application aux ouvrages d’art ». Il est décomposé en trois parties. La première traite de l’analyse simplifiée elle-même, la suivante aborde la problématique de la gestion du risque en proposant quelques indications pour interpréter les résultats de l’analyse. La dernière partie, proposée en annexe, donne des recommandations quant à l’inspection des ouvrages recouverts de parements et pour l’établissement de projets de pose de parements.
  131. Edition (Ceremadoc) L'autosurveillance des réseaux d'assainissement : Fiche n°02 : Experience de la CC Coeur d'Ostrevent

    Cette série de fiches capitalise l’expérience de collectivités en matière d’autosurveillance des réseaux d’assainissement. L’autosurveillance a été confortée par l’arrêté du 21 juillet 2015 qui actualise la réglementation initiale de 1994, puis de 2007. A paraître : Fiche n° 1 - L’essentiel de l’autosurveillance Fiche n° 3 - L’expérience de la CA Villefranche Saône Fiche n° 4 - L’expérience de la SPL Eau de Ponant Fiche n° 5 - L’expérience de la CU de Dunkerque Fiche n° 6 - L’expérience de la CA Thionville Portes de France Fiche n° 8 - L’expérience de la CA Sud Pays Basque Fiche n° 7 - L’expérience de la métropole de Rouen Fiche n° 9 - Les enseignements tirés de l’expérience de 7 collectivités
  132. Edition (Ceremadoc) Étude des éco-comparateurs : Phase 2 – Comparaison des facteurs d’émissions de SEVE et ECORCE

    À la conception, ils permettent de comparer l’impact écologique de tracés, de variantes constructives pour un projet d’infrastructure de transport ou d’opérations d’entretien. Dans le domaine des chaussées, deux éco-comparateurs sont principalement utilisés : ECORCE et SEVE. Le présent rapport vise à comparer les facteurs d’émission utilisés par les deux logiciels afin de mettre en évidence d’éventuels écarts provenant des hypothèses considérées.
  133. Edition (Ceremadoc) Étude des éco-comparateurs : Phase 1 - Synthèse d’études de cas

    Cette étude sur les éco-comparateurs est séparée en 3 phases : • Phase 1 : Cette phase capitalise les études réalisées par le Cerema (Dter Est, Dter Ouest et Dter Sud-Ouest) à l’aide d’éco-comparateurs. Ces études de cas particulières ont permis de mettre en évidence différents exemples d’utilisation des éco-comparateurs. Leur analyse a permis de faire ressortir des tendances relatives à l’impact environnemental de différentes techniques routières, de mettre en évidence des paramètres influents ainsi que des recommandations d’emploi ou des points de vigilance. • Phase 2 : Cette phase compare de manière plus approfondie les données d’entrée des logiciels SEVE (v2) et ECORCE (v2.0), et notamment les facteurs d’émission utilisés. • Phase 3 :Cette phase vise à comparer sur un cycle de vie le bilan environnemental de différentes structures de chaussées à partir d’un éco-comparateur. Alors que les bilans environnementaux sont souvent limités à la seule phase de construction, cette étude permettra d’évaluer l’incidence des politiques de dimensionnement initiales et de différentes politiques d’entretien.
  134. Edition (Ceremadoc) Les toitures végétalisées, puits et sources d’éléments en traces métalliques

    Alors que « construire des villes durables » est un virage qu’il faut prendre pour préserver notre environnement, la végétalisation de toitures connaît, depuis 2009, un fort développement. Pour améliorer la connaissance et pouvoir quantifier les effets dépolluant de telles structures, Julie Schwager-Guilloux, au Cerema Est, a mené ce travail doctoral. Elle a analysé en vraie grandeur les transferts produits dans des toitures expérimentales présentes au Cerema Est et caractérisé au laboratoire les phénomènes de sorption (absorption par les végétaux) et de lixiviation (extraction par l’eau qui circule) de polluants. Les capacités épuratoires de telles structures végétales pourront ainsi mieux être estimées et optimisées. Résumé Abstract Liste des figures Liste des tableauxIntroduction Partie I - Évaluation de l’impact des toitures végétalisées extensives sur la qualité des eaux Chapitre 1 : Une conception actuelle des toitures végétalisées non adaptée à une diminution des rejets de polluants Chapitre 2 : Matériel et méthodesConclusion Partie II - Hypothèses sur les capacités de rétention et d’émission des structures à partir des caractéristiques initiales des différents matériaux Chapitre 1 : Caractéristiques initiales des structures expérimentales de végétalisation de toitures Chapitre 2 : Capacité de rétention des substrats et des drainages utilisés vis à vis des ETM Conclusion Partie III – Concentrations et flux de polluants dans les eaux issues des toitures végétalisées Chapitre 1 : Entrées du système Chapitre 2 : Eaux en sortie des parcelles expérimentales Conclusion Partie IV – Évolution des structures Chapitre 1 : Approche globale par parcelle Chapitre 2 : Changement d’échelle, zoom sur la toiture extensive Conclusion Partie V – Mécanismes influençant la qualité des eaux en sortie de toitures végétalisées Chapitre 1 : Rétention des ETM par les différents compartiments Chapitre 2 : Estimation du potentiel d’émission des matériaux ConclusionDiscussion générale - Les toitures végétalisées sont-elles un puits ou une source d’éléments en traces métalliques? Conclusion Références bibliographiques Annexes
  135. Edition (Ceremadoc) Étude de la mortalité de la petite faune dans les caniveaux d’assainissement en « U » le long des routes dans l’Est de la France

    Le Cerema propose au travers de cette étude de qualifier et quantifier cette mortalité particulière, peu visible pour les usagers ou les exploitants des infrastructures routières mais qui, dans certains cas, peut s’avérer être importante. L’objectif de ce rapport est d’établir un état initial des connaissances dans ce domaine en mettant en place une méthodologie pour évaluer la mortalité de la petite faune dans différents contextes (dimension des ouvrages, localisation, occupation du sol alentours). Dans un premier temps, seront exposées la méthodologie mise en place dans le cadre de cette étude ainsi que les résultats obtenus complétés de leur analyse et interprétation. Dans un second temps, des mesures seront proposées pour éviter ou réduire ce phénomène.
  136. Edition (Ceremadoc) Including Wetlands as part of urban development - values to be shared in the area

    Wetlands are among the richest and most valuable natural areas in the world. Whether they are full of water continuously or intermittently, these are areas of great diversity. Aquatic plants such as reeds and irises decorate these environments. Frogs, birds and insects find the necessary conditions to live and reproduce in these areas.
  137. Edition (Ceremadoc) Étude des systèmes de protection contre les submersions marines

    La tempête Xynthia, qui a frappé les côtes françaises le 28 février 2010 a provoqué la submersion de vastes territoires, malgré la présence d’ouvrages de défense. Cette catastrophe a mis en évidence la nécessité de mieux étudier le comportement des systèmes de protection contre les submersions marines, en choisissant une échelle géographique adaptée et en intégrant la cinématique des événements. Le travail de recherche engagé sur le fonctionnement et les défaillances de ces systèmes a conduit à des avancées significatives sur le plan de la connaissance des mécanismes en jeu et des stratégies et des méthodes dédiées à leur analyse et leur représentation. La méthodologie développée, éprouvée sur quatre sites submergés lors de Xynthia (Loix, Les Boucholeurs et Boyardville en Charente-Maritime, Batz-sur-mer en Loire-Atlantique), a vocation à guider le diagnostic des sites sujets à submersion marine, depuis le lancement des premières investigations jusqu’à la restitution formelle des analyses. Préface | Résumé | Abstract | Présentation générale | Contexte | Objectif | Lectorat ciblé | Domaines de compétences mobilisés | Sélection de quatre sites pour les études de cas | Protocole d’élaboration de la méthodologie | Organisation du document I – Méthodologie 1 Cadre conceptuel 1.1 Concepts pour l’analyse géographique 1.1.1 Système de protection 1.1.2 Casier hydraulique 1.1.3 Modèle « source-transfert-cible » 1.2 Phénomène naturel, événement, aléa, enjeux et vulnérabilité 1.2.1 Phénomène naturel initiateur 1.2.2 Événement et scénario d’événements 1.2.3 Aléa 1.2.4 Enjeux 1.2.5 Vulnérabilité 1.3 Risque : caractérisation, évolution, acceptabilité et perception 1.3.1 Caractérisation du risque dans le cadre d’une analyse 1.3.2 Évolution du risque 1.3.3 Acceptabilité et perception du risque 1.4 Politiques et mesures de prévention du risque 1.4.1 Politiques de prévention du risque 1.4.2 Mesures de prévention du risque et leurs effets 1.4.3 Stratégie de gestion du risque 1.4.4 Organisation, rôles et responsabilités 2 Systèmes de protection – présentation à l’échelle globale 2.1 Analyse des phénomènes naturels à l’origine des submersions 2.2 Fonction de protection et objectifs de performance d’un système 2.2.1 Détermination des phénomènes naturels de référence 2.2.2 Caractérisation de la performance d’un système vis-à-vis des phénomènes naturels 2.3 Fonctionnement, dysfonctionnement, maintenance et gestion 2.3.1 Modes de fonctionnement d’un système de protection 2.3.2 Dysfonctionnements d’un système de protection 2.3.3 Maintenance et gestion 2.4 Fonctions de défense contre les entrées d’eau 2.4.1 Phénomènes hydrauliques affectant la ligne de défense 2.4.2 Fonctionnement d’ensemble de la ligne de défense 2.4.3 Défaillances couramment observées 2.5 Fonctions de gestion de l’eau 2.5.1 Phénomènes hydrauliques déterminants 2.5.2 Fonctionnement d’ensemble 2.5.3 Défaillances couramment observées 3 Systèmes de protection – présentation à l’échelle des structures 3.1 Structures de défense 3.1.1 Formations naturelles ou partiellement anthropisées 3.1.2 Digues 3.1.3 Perrés 3.1.4 Murs et ouvrages de soutènement 3.1.5 Épis 3.1.6 Brise-lames 3.2 Dispositifs de gestion de l’eau 3.2.1 Drains 3.2.2 Canaux et fossés 3.2.3 Canalisations à section fermée 3.2.4 Aires de stockage ou d’expansion 3.2.5 Clapets, vannes et écluses 3.2.6 Dispositifs de pompage 3.3 Effets de l’évolution des composants sur le système 3.3.1 Évolution des dispositifs de défense et effets sur le système 3.3.2 Évolution des dispositifs intérieurs et effets sur le système 4 Stratégies d’étude et méthodes d’analyse 4.1 Contexte opérationnel de l’étude des systèmes 4.2 Stratégie et organisation de la conduite d’étude 4.3 Méthodes d’analyse 4.3.1 Arbre des défaillances 4.3.2 Arbre des événements 4.3.3 Logigramme de type « nœud papillon » 4.4 Prolongements possibles des analyses 5 Investigation et modélisation 5.1 Observation de l’événement météorologique 5.2 Observation des phénomènes en mer 5.2.1 Observation des niveaux marins 5.2.2 Observation des états de mer et des courants 5.3 Observation du comportement du système 5.3.1 Images satellitaires 5.3.2 Photographies aériennes 5.3.3 Les modèles numériques de terrain 5.3.4 Investigations spécifiques aux ouvrages et autres structures 5.3.5 Exploitation des laisses de mer 5.4 Techniques de modélisation hydraulique 5.4.1 Analyse et modélisation de l’inondation 5.4.2 Modélisation du comportement des structures 5.5 Incertitudes et précautions d’usage 5.5.1 Incertitudes sur les observations 5.5.2 Incertitudes liées à la modélisation ANNEXE A Recommandations pour la rédaction des analyses de siteIntroduction1.Cadrage de l’analyse 1.1.Description générale du site 1.2.Analyse des enjeux 1.2.1.Recensement des enjeux 1.2.2.Identification des enjeux centraux de l’analyse 1.3.Aléa(s) de référence et objectifs de protection 1.4.Données disponibles pour l’analyse 1.5.Stratégie d’analyse 2.Définition du (ou des) système(s) de protection 2.1.Délimitation du (ou des) système(s) de protection 2.1.1.Topographie de la zone d’étude 2.1.2.Positionnement des dispositifs de protection 2.1.3.Conclusion sur le(s) système(s) à étudier 2.2.Schématisation du système de protection 2.2.1.Représentation des contours du système et des zones d’enjeux 2.2.2.Représentation des casiers hydrauliques et des dispositifs intérieurs 2.2.3.Schéma de synthèse 2.3.Logigramme du système de protection 3.Fonctionnement global du système au cours de l’événement 3.1.Conditions hydrauliques extérieures 3.2.Comportement du système au cours de l’événement 3.3.Étude hydraulique globale 3.4.Analyse optionnelle sur les effets des vagues 4.Description des événements (approche détaillée) 4.1.Description du fonctionnement des casiers 1 à m 4.1.1.Casier 1 4.1.2.Casier i 4.1.3.Casier m 4.2.Description du fonctionnement des structures types et des structures particulières (défense et gestion des eaux) 4.2.1.Structure type ayant une fonction de défense 4.2.2.Structure type ayant une fonction de gestion des eaux 4.2.3.Structure type j 4.2.4.Structure particulière p 5.Synthèse et conclusion 5.1.Synthèse 5.2.Conclusion ANNEXE B : Recommandations sur la production cartographique ANNEXE C : Références bibliographiques II – Études de cas Sites étudiés Note introductive aux études de cas
  138. Edition (Ceremadoc) Modeling of sound propagation in forests using the transmission line matrix method = Simulation de la propagation du son en forêt par la méthode des lignes de transmission

    La forêt occupe une part significative de notre territoire. Pour l’acousticien, elle est susceptible d’abriter de nombreuses zones calmes, d’atténuer les bruits d’origine humaine. Elle héberge aussi nombre d’espèces animales dont certaines sont sensibles au bruit. Or la prise en compte de la forêt dans les modèles de prévision de bruit est très limitée. Pour y remédier, Pierre Chobeau, étudiant à l’école doctorale SPIGA, a effectué sa thèse co-dirigée par l’Ifsttar et le Cerema, au sein du Groupe Acoustique du Cerema Est, durant laquelle il a étendu et exploité les possibilités de la méthode TLM (matrice de lignes de transmission). Il a d’abord proposé une nouvelle couche absorbante pour cette méthode, puis montré que la TLM convient bien à la simulation de la diffusion par les troncs avant d’étudier l’influence de différents paramètres (épaisseur, densité, distribution des arbres, diamètre des troncs) sur la propagation acoustique. Forests cover a significant part of the French territory. For the acoustician, forests are likely to harbour many quiet areas and they muffle the noise created by humans. Forests also harbour a large number of animals and some of them are sensitive to noise. However, forests are barely taken into account in the models for noise forecasting. It is this subject that Pierre Chobeau, a student at the doctoral school SPIGA, decided to study for his thesis. He was supervised by IFSTTAR and Cerema, and worked within the acoustic group at Cerema Est. His thesis explores the potential of the transmission line matrix method. He firstly describes a new absorbing layer for the TLM method and then shows the TLM is relevant for tree trunks scattering modeling and finally studies the influence of a variety of factors (thickness, density, trees layout, diameter of trunks) on acoustic scattering. Remerciements List of Symbols General introduction 1 Context 2 Noise mitigation and vegetation 3 Forested areas in France and their interest for acoustics 4 Prediction methods and forest 5 Thesis organization 1 Forest and sound propagation 1.1 Introduction 1.2 Ground effects inside forest 1.2.1 Introduction to the forest floor 1.2.2 Impedance models 1.2.3 Estimation of the ground impedance parameters 1.2.4 Insertion loss measurements 1.2.5 Discussion on the ground effect related to forest floors 1.3 Scattering of acoustic waves inside forests 1.3.1 Introduction 1.3.2 Single scattering from an isolated tree-trunk 1.3.3 Multiple scattering 1.3.4 Discussion on sound scattering inside forests 1.4 Meteorological effects 1.4.1 Meteorological fluctuation related to forests 1.4.2 Impact of the meteorological fluctuations on acoustics 1.4.3 Discussion on the meteorological effects 1.5 Synthesis of the literature review 2 Absorbing matched layers for the transmission-line matrix method 2.1 Presentation of the transmission-line matrix (TLM) method 2.1.1 Introduction 2.1.2 Description of the TLM method 2.1.3 Implementation of the TLM method 2.2 An absorbing matched layer implementation for the TLM method 2.2.1 Introduction 2.2.2 Overview of the absorbing conditions used for the TLM method 2.2.3 The perfectly matched layer (PML) theory 2.2.4 Derivation of a PML-based absorbing layer for the TLM method 2.2.5 Numerical results 2.2.6 Conclusion on the AML formulations 2.3 Conclusion 3 Scattering of acoustic waves by circular scatterers using the TLM method 3.1 Introduction 3.2 Simulation of single scattering using the TLM method 3.2.1 Scattering of a plane wave by a 2D circular scatterer 3.2.2 Scattering of spherical wave by a cylinder normal to an impedance ground (3D) 3.2.3 Conclusion 3.3 Simulation of multiple scattering using the TLM method 3.3.1 Multiple scattering by 2D circular scatterers 3.3.2 Multiple scattering above a ground (3D) 3.4 Conclusion 4 Sound propagation in a simplified forest 4.1 Introduction 4.2 Design of the numerical simulations 4.2.1 Geometry 4.2.2 TLM simulations parameters 4.3 Results and discussion 4.3.1 Time signals 4.3.2 Frequency responses 4.4 Conclusion Conclusion Appendix Bibliography
  139. Edition (Ceremadoc) Mesures compensatoires des impacts sur les milieux naturels - Application aux projets d’infrastructures de transport : Note d'information Environnement-Santé-Risque n° 5

    En réponse aux impacts résiduels d’un projet, les mesures compensatoires interviennent après évitement et réduction. Elles visent à remédier aux effets négatifs notables pour l’environnement ou la santé. Elles doivent donc théoriquement permettre de rétablir une situation dont la qualité globale est proche de la situation antérieure ou d’un état de l’environnement jugé fonctionnellement normal. Elles visent un bilan écologique neutre, voire, si possible, une amélioration globale de la valeur écologique. Si le recours aux mesures compensatoires est prévu par la réglementation, leur mise en œuvre concrète dépend, d’une part, des compétences et des moyens des maîtres d’ouvrage et, d’autre part, de la vigilance des services instructeurs. La réglementation continue cependant d’évoluer et est aujourd’hui de plus en plus rigoureuse sur les termes de la compensation. Dernièrement, la réforme des études d'impact de 2011 a renforcé ces dispositions en généralisant l’inscription des mesures environnementales (évitement, réduction, compensation) directement dans les actes d’autorisation avec un contrôle par les services de l’État. Pourtant, les mesures compensatoires restent les mesures les plus délicates à concevoir. Les projets étudiés pour la rédaction de cette note datent d’avant la réforme de 2011 précitée. Suite aux récentes évolutions réglementaires, de nombreux points restent encore à éclaircir pour améliorer la mise en œuvre, le suivi et surtout la pérennisation de ces mesures. Cette note d’information s’adresse aux maîtres d’ouvrage, aux acteurs de l’environnement (associations, établissements publics, conservatoires, muséums, etc.), aux préfectures, bureaux d’études et collectivités territoriales. 1. Le cadre des mesures compensatoires Les principes Les textes de références 2. Application aux infrastructures de transports terrestres (ITT) La mise en œuvre de la compensation Des exemples de compensation dans les dossiers de projets d’infrastructures de transports terrestres Les mesures d’accompagnement 3. Les outils de pérennisation Les outils pour l’acquisition Les outils pour la protection L’évaluation, la gestion et le suivi 4. Bibliographie 5. Liste d’abréviations 6. Annexes
  140. Study report (Ceremadoc) Bilan d'expérimentation de l'écopâturage par des chèvres pour lutter contre la renouée du Japon

    Dans le cadre de sa prise en compte de la problémtaique liée aux espéces exotiques envahissantes, la DIRN a initié des expérimentations de lutte contre la renouée du Japon. C'est dans ce contexte qu'elle a missionné le Cerema Nord-Picardie afin d'une part de réaliser une synthèse bibliographique sur le sujet, et d'autre part d'assurer le suivie de la bonne mise en oeuvre de ces expérimentations de lutte contre la renouée du Japon ainsi que le suivi de l'efficacité de chacune des experimentations (bâchage de la renouée, pulvérisation d'huile de cédre, écopaturage caprin).
  141. Study report (Ceremadoc) Décharge de Bohain-en-Vermandois (02) - Suivi de la nappe de la craie. : Analyses physico-chimiques et bactériologiques - Août 2015 et janvier 2016

    Le présent rapport s'inscrit dans le cadre du suivi semestriel de la nappe de la craie à partir d'un réseau de surveillance constitué de 5 piézomètres implantés à proximité du centre d'enfouissement technique de Bohain-en-Vermandois. La Communauté de Communes du Vermandois a sollicité l'intervention de la Direction Territoriale Nord-Picardie du Cerema afin de : - procéder à des relevés de niveaux d'eau au droit de chacun des piézomètres, - prélever des échantillons d'eau en vue d'analyses physico-chimiques et bactériologiques. Le présent rapport rend compte des résultats des campagnes de prélèvement de 2015. Les prélèvements ont été réalisés les 27 et 28 août 2015 et les 12 et 13 janvier 2016. L'étude des résultats d'analyses montre que la nappe de la craie au niveau du centre d'enfouissement ne respecte pas les seuils concernant la qualité des eaux souterraines (DCE) quand ils existent, ni les seuils concernant les Eaux Destinées à la Consommation Humaine (EDCH). L'étude de l'évolution des valeurs depuis 2000 montre certaines valeurs inquiétantes laissant présager un dépassement possible des seuils concernant les eaux brutes utilisées pour la production d' EDCH.
  142. Study report (Ceremadoc) Modélisation pluie/débit sur le bassin de l'Aille. : Apport de données d'humidité des sols.

    L'Aille est un affluent en rive droite de l'Argens dans le Var. C'est un bassin de taille moyenne (environ 280 km2), peu perméable, à réaction répide. Le Service de Prévision des Crues Méditerranée Est l'a jugé adapté pour réaliser des tests de calage et d'optimisation d'un modèle hydrologique global et évènementiel (GR3h) en prenant en compte un paramètre : l'humidité des sols. Cette étude comporte 3 phases : la constitution d'une chronique horaire de données humidité et pluie-débit sur le bassin qui permet de fournir des recommandations pour l'extraction de données de débits issus de la Banque Hydro et de proposer une méthode transposable pour reconstituer une chronique horaire d'indice d'humidité des sols HU2 (Météo France) à partir de données journalières - le calage d'un modèle évènementiel GR3h (IRSTEA) sur un échantillon d'évènements et une proposition d'utilisation de l'indice d'humidité des sols HU2 (Météo France) pour initialiser le modèle - l'analyse des biais du modèle et des propositions d'amélioration. Pour ce faire, le modèle GR3h a été codé (en Python) pour faciliter sa ré-exploitation et sa modification ultérieure. Au terme de cette étude, il est démontré que l'indice d'humidité des sols HU2 peut être utilisé pour définir une plage possible d'initialisation du modèle GR3h (valeur de remplissage initial du réservoir sol S0/A) sur le bassin de l'Aille. Les scénarios de crues qui en résultent (testés en pluies futures parfaitement connues) pourraient être utilisés pour de la vigilance opérationnelle. Il apparait envisageable de transposer les méthodes de calage mises au point sur le bassin de l'Aille sur d'autres bassins. Au préalable, des propositions d'optimisation du modèle pourront être étudiées.
  143. Study report (Ceremadoc) Carrière de Tacon, Actualisation géologique - diagnostic de stabilité des zones exploitées

    Les nouvelles zones exploitées depuis janvier 2015 ont mis en évidence les calcaires noduleux dans la plupart des galeries avec quelques incertitudes dans la partie ouest. Des travaux d’entretien classiques tels que la suppression des écailles au toit, sur les parois des galeries et des piliers sont à réaliser. L’exploitation a rencontré le réseau de failles verticales dans les galeries I, G et C, d’orientation ONO-ESE. Cette zone de failles est associée à un karst avec des circulations d’eau importantes. La stabilité de ce secteur sera vérifiée en une surveillance visuelle de l’évolution du toit et des parois si l’exploitation est terminée. Si l’exploitation doit se poursuivre au-delà de cette zone faillée, des confortements du toit et des parois seront indispensables. Le secteur Sud-Est met en évidence le contact stratigraphique des calcaires à nodules et des calcaires à polypiers au toit, nécessitant du boulonnage pour conforter les plaques de calcaires.
  144. Study report (Ceremadoc) Falaise des Egratz, Suivi extensométrique 2016

    Les mesures réalisées en 2016 confirment l’instabilité du compartiment rocheux, avec la fracture en pied constituant le verrou du compartiment présentant des variations de 5,9 mm en 24 mois. Compte tenu des enjeux et de l’évolution de l’instabilité, une fréquence semestrielle doit être conservée. En fonction des résultats, le passage à une fréquence trimestrielle pourra être proposé.
  145. Study report (Ceremadoc) La Vésubie à Cros d'Utelle - Amélioration de la courbe de tarage de la station de Cros d'Utelle

    La station hydrométrique de Cros d'Utelle sur la Vésubie, gérée par la DREAL PACA, est utilisée par le SPC Méditerranée Est pour la prévision des crues sur le fleuve Var. Sa courbe de tarage a fait l'objet de deux études récentes avec modélisation hydraulique : • Étude SCP en 2012, réalisée avec le logiciel HEC-RAS, qui n'a pas donné satisfaction, • Étude Egis en 2015, réalisée avec le logiciel Mascaret, sujette à interrogation. La présente étude Cerema comprend : • la reprise des modèles HEC-RAS et Mascaret, avec comparaison des résultats obtenus avec les deux logiciels, • des tests complémentaires sur les modèles, ainsi que des analyses, à partir des limnigrammes de crue notamment, • une proposition d'extrapolation de courbe de tarage, dont le domaine de validité s'avère restreint. On montre en effet qu'il n'est pas possible, avec les données dont nous disposons, d'extrapoler la courbe au-delà des hauteurs déjà effectivement mesurées par la station.
  146. Study report (Ceremadoc) Incendie du 10/08/2016. Expertise des risques imminents sur la commune de Vitrolles. Aggravations par le feu de l'aléa chute de blocs et des dommages causés aux ouvrages de confortement, risques de ravinement diffus.

    L'expertise, menée sur le terrain avec le concours des services municipaux, a permis de déterminer la présence généralisée d'un aléa de ravinement diffus, l'absence d'incidence de l'incendie sur les aléas chutes de bloc (à l'exception de 2 cas) et un impact fort sur les ouvrages de protection, notamment les écrans constitués de poteaux en bois. Des préconisations sont données vis-à-vis de ces aléas.
  147. Study report (Ceremadoc) Galerie de Ponsérand, Surveillance extensométrique année 2016

    Le suivi de la galerie de Ponsérand, réalisé au mois de novembre 2016, constitue la onzième intervention de surveillance depuis la fin des travaux de confortement de novembre 2004. Les résultats des mesures extensométriques et de nivellement montrent un signe de déversement de l’ouvrage côté vallée, lié à un mouvement de divergence des piédroits. La fracture longitudinale en rein semble stabilisée. La poursuite de la surveillance périodique devrait permettre de confirmer ces résultats ainsi que de vérifier l’amplitude des mouvements résiduels.
  148. Study report (Ceremadoc) Calage de modèles GRP sur le Maroni

    La cellule de veille hydrologique de la DEAL Guyane souhaite tester des modèles GRP pour améliorer la prévision des crues. Actuellement, cinq stations hydrométriques sont installées sur le bassin versant du Maroni : Maripasoula, Langa Tabiki, Taluen, Papaïchton et Grand Santi. Seules les deux premières possèdent une profondeur de données suffisante en termes de débits pour le calage de modèles GRP. Étant donné la faible densité du réseau de pluviomètres, des pluies satellitaires issues du produit TRMM 3B42 v.7 sont utilisées en données d’entrée. Des abaques de correction établis par l’Irstea sont appliqués à ces pluies brutes. Des modèles GRP sont ainsi calés sur le Maroni à Maripasoula et Langa Tabiki pour des horizons de prévision de 6, 12 et 24 h avec des pluies satellitaires brutes puis corrigées, afin de déterminer l’apport de ces dernières. La correction des pluies satellitaires apporte peu d’amélioration. GRP ne semble pas adapté aux bassins versants étudiés au sein desquels des réactions différentes sont observées du fait de la répartition spatiale des pluies et des apports des affluents. Un modèle distribué apporterait probablement de meilleurs résultats.
  149. Study report (Ceremadoc) Étude sur les passages à faune potentiels sur le réseau routier national francilien : Tome 1 : Forêt de Sénart - Bilan du gisement des passages potentiels

    La DRIEE souhaite mettre à jour les données du Schéma régional de cohérence écologique (SRCE) concernant les passages à grande, moyenne et petite faune. Après avoir étudié, en première phase, plusieurs méthodologies de détermination du gisement des passages potentiels et avoir identifié 22 passages à faune potentiels sur le tronçon PR13 – PR23 de l’A13 (forêt de Marly), en seconde phase, ce rapport se fixe deux objectifs : • Valider une méthode de détermination du gisement des passages potentiels utilisant la BDTOPO® 2.1 complété de l’application en ligne ISIDOR2 1 ; • Étudier le gisement des passages potentiels dans un contexte de zones humides (N6 // PR0-PR11 - Forêt de Sénart) et dans un contexte plus urbain (N104 // PR26-PR37).
  150. Study report (Ceremadoc) Visite technique approfondie. Val de Cisse Amont : Digue de classe B, Campagne 2015

    Ce rapport présente la visite technique approfondie de la digue du Val de Cisse amont qui protège contre les inondations le Val de Cisse dans le département du Loir et Cher (37). La digue du Val de Cisse se situe en rive droite de la Loire et représente un linéaire de 20 324 mètres, compris entre la borne BR 119 DD située à l’extrémité aval de la commune de Blois jusqu’à la borne BR 140 DD correspondant à la limite départementale avec l'Indre-et-Loire. Outre sa fonction principale de protection contre les inondations, la digue sert également d'axe routier avec la présence en crête de la route départementale D952 reliant Blois et Tours. Selon ces caractéristiques, la digue du Val de Cisse est considérée comme un ouvrage de classe B au titre du décret n° 2007-1735 du 11 décembre 2007. La visite technique approfondie réalisée par la Direction territoriale Ouest du Cerema au titre de la campagne 2015 montre une digue correctement entretenue et bien suivie par son gestionnaire (DDT 41). Des travaux d’entretien et de réparation restent toutefois à mener ainsi qu’une réflexion approfondie sur les méthodes de fauchage de certaines zones du talus côté Val.
  151. Study report (Ceremadoc) Identification de sites propices à l’implantation d’éoliennes terrestres de grande hauteur

    La société Enercon, entreprise allemande spécialisée dans le développement et la fabrication d’éoliennes, est à la recherche d’un territoire (à une échelle infra-régionale) qui pourrait accueillir notamment la mise en service d’un site d’expérimentation pour le développement et la mise sur le marché d’une nouvelle éolienne terrestre de grande taille – fin 2016 / début 2017. Bretagne Développement Innovation, agence de développement économique de la Région Bretagne, a été sollicitée pour porter une candidature bretonne à cet appel d’offres. L’étude a pré-identifié 6 zones qui pourraient potentiellement accueillir le site d’expérimentation souhaité par l’industriel pour ériger un prototype d’éolienne terrestre d’une hauteur totale de 230 mètres. Ces zones répondent aux exigences réglementaires actuelles et dans la mesure du possible aux souhaits de l’industriel (superficie, éloignement par rapport à Brest, distance aux habitations, etc.). Toutefois, le département du Finistère est soumis à de nombreuses servitudes et contraintes, notamment des contraintes radioélectriques militaires, qui pourraient encore être étendues par le décret (non paru à ce jour) d’application de l’article L. 553-2 du code de l’environnement. Un dialogue avec les autorités compétentes (aviation et Défense) devra être utilement engagé par l’industriel (sans doute en lien avec la Région) suite au positionnement potentiel envisagé. La caractéristique « d’expérimentation » spécifique du site pourra être un atout à l’occasion de ce dialogue, notamment sa durée d’existence limitée et son caractère non pérenne.
  152. Study report (Ceremadoc) Traitement acoustique de la salle "mur d'images" du CIGT de Nantes : Expertise et préconisation de travaux

    Le Centre d’Ingénierie et de Gestion du Trafic (CIGT) de Nantes, Service de la Direction Interdépartementale des Routes Ouest (DIR Ouest), dispose d’un « mur d’images » destiné à visualiser les images recueillies par les équipements dynamiques équipant notamment le périphérique nantais. Cet équipement récent génère un niveau de bruit rendant pénible l’utilisation de la salle d’exploitation dans laquelle il est installé. La DIR Ouest a sollicité le Cerema afin de réaliser une expertise visant à caractériser la gêne et le cas échéant à proposer des solutions permettant de réduire le niveau de bruit émis par le mur d’images dans la salle d’exploitation. Des mesures acoustiques réalisées le 16 mars 2016 par le Cerema ont mis en évidence l’existence de niveaux de bruit pouvant sur la durée constituer une gêne significative au regard de certaines normes couramment admises sur des lieux de travail tels que les bureaux, lorsque le mur d’images est en service. En conclusion, afin de permettre une utilisation plus confortable de la salle d’exploitation avec son mur d’images, le présent rapport propose la réalisation de quelques travaux simples permettant de réduire le niveau de bruit dans la salle en question.
  153. Study report (Ceremadoc) Retour d’expérience sur Xynthia : Analyse par photo-interprétation des clichés aériens de l’IGN (baie de l’Aiguillon)

    Le présent rapport rend compte de l’analyse stéréoscopique, à l’aide du logiciel GeoView ®, des clichés IGN post-Xynthia du secteur de la baie de l’Aiguillon. Cette étude a été commandée par la DGPR dans le cadre des retours d’expérience de l’événement Xynthia. Après un rappel du contexte de l’étude, de sa phase de préparation et de ses objectifs initiaux, le rapport présente la méthodologie mise en œuvre, les résultats obtenus, ainsi que les apports et limites de l’outil GeoView ® vis-à-vis de la connaissance de l’événement Xynthia dans une partie de la baie de l’Aiguillon (marais de la Dive). L’étude analyse les résultats vis-à-vis d’autres documents et données réalisés suite à l’événement Xynthia et met en évidence leur cohérence d’ensemble. Toutefois, la stéréoscopie numérique permet d’affiner la compréhension du déroulement de la submersion et de mieux cerner son enveloppe. L’outil GeoView ® est donc un outil potentiellement intéressant pour l’analyse d’événements de submersion, sous réserve d’une part, de fixer des objectifs atteignables dans un temps limité et d’autre part, de réaliser les clichés aériens le plus près possible de la date de l’événement.
  154. Study report (Ceremadoc) LGV BPL jonction Milesse voyageurs ouvrage de la Courbe : rapport de suivi de la banquette petite faune

    La Direction territoriale Ouest du Cerema a réalisé de février 2015 à janvier 2016 le suivi faunistique de la banquette « petite faune » mise en place dans l’ouvrage hydraulique de la Courbe dans le cadre des travaux de jonction de la LGV BPL. Le suivi faunistique a été assuré à l’aide d’un piège photographique permettant de visualiser (de jour comme de nuit) les déplacements de la faune sur la banquette ou sur les abords. 434 photos ont été prises avec 106 clichés de faune, la fréquentation humaine représente 304 prises de vue. Le reste des photos est dû à d’autres types de déclenchement (vent). Les résultats des 10 mois de suivi montrent que l’ouvrage n’a pas été fréquenté par la faune. Plusieurs éléments peuvent être avancés pour expliquer cette situation : 1- Travaux toujours en cours au début du suivi ; 2- Banquette cassée côté aval, 5 mois après le début du suivi ; 3- Banquette cassée côté amont, dans le dernier mois de suivi ; 4- Les travaux n’ont pas changé les possibilités de cheminement dans la zone (pas de grillage ou d’aménagement pour empêcher la faune d’accéder aux voies), ce qui conduit à la conservation des habitudes de passage. Des propositions d’amélioration ont été faites, notamment pour pérenniser la banquette et éviter qu’elle soit empruntée par les pêcheurs : • Modifier le système de fixation du platelage ; • Avertir qu’il s’agit d’une banquette pour la petite faune.
  155. Study report (Ceremadoc) Étude de stabilité des sols suite aux tempêtes de l’hiver 2013/2014 dans le Finistère : diagnostic de risques de la SPPL Commune de Crozon

    Les sections de sentier littoral étudiées sur la commune de Crozon progressent pour la majeure partie en versant de falaise massive rocheuse ou reposent sur des dépôts meubles provenant de coulées périglaciaires. La succession d'épisodes de tempêtes durant l'hiver 2013-2014 a conduit aux recensements par les services de l’État d'un certain nombre de désordres ayant impliqué localement la fermeture du sentier littoral pour des raisons de sécurité des usagers. Le diagnostic de risques ainsi établi montre que ces désordres ont un impact direct sur le sentier littoral ou le menace en agissant sur le versant côtier et peuvent de ce fait, mettre en danger les usagers. Cette étude de risques met également en avant le travail des gestionnaires qui, pour la moitié des sections inspectées, ont déjà mis en place des mesures de sécurité, de retrait ou de délocalisation du sentier. Sur d'autres sites, de telles mesures sont à prévoir. Dans tous les cas, à une échéance de 15 ans, il paraît difficile de quantifier l'évolution du rivage sous influence des mécanismes d'érosion continentale et marine, et de ce fait d'anticiper le positionnement du sentier littoral à cette échéance. Il appartient donc aux gestionnaires de poursuivre leurs suivis et d'adapter en conséquence les mesures de préventions pour assurer la pérennité du sentier littoral.
  156. Study report (Ceremadoc) Étude de l’érosion du trait de côte suite aux tempêtes de l’hiver 2013/2014 dans le Finistère : Préconisations de suivi et de gestion du site de Boutrouilles - Commune de Kerlouan

    La phase 1 de l’étude (année 2015) a consisté en une analyse du fonctionnement du site réalisée à l’échelle de la cellule hydrosédimentaire en distinguant l’évolution événementielle de la dune et de la plage des évolutions à plus long terme. L’analyse des phénomènes d’une part et des enjeux d’autre part ne mettait pas en évidence une situation justifiant la mise en place de mesures lourdes de fixation du trait de côte. Elle préconisait à court comme à moyen termes la mise en place de mesure d’accompagnement des processus naturels. Le site de Boutrouilles est exemplaire pour son suivi réalisé depuis 2006 par le Laboratoire GEOMER – UMR 6554 LETG CNRS Institut Universitaire Européen de la Mer. Le protocole de suivi appliqué peut être repris et adapté à d’autres sites.
  157. Study report (Ceremadoc) Expertise des modèles hydrauliques 1D en milieu estuarien : amélioration du modèle Loire et enseignements tirés

    Fin 2014, les Services de Prévision de Crue Seine Aval Côtiers Normands, Maine Loire Aval et le SCHAPI ont exprimé un besoin d’appui pour améliorer la modélisation opérationnelle de la Seine et de la Loire. Le Cerema (directions territoriales Méditerranée et Ouest) a été missionné pour un diagnostic des modèles Loire et Seine. A l’issue d’une première phase d’analyse effectuée par le Cerema au second semestre 2015, le SPC SACN a repéré une origine potentielle des dysfonctionnements. La présente étude a pour objet une investigation plus fine des dysfonctionnements des modèles estuariens. Le déroulement et le cheminement du diagnostic y sont rappelés. Le code Mascaret est testé sur un catalogue de cas tests répondant à des configurations simplifiées. Ces cas tests peuvent être utilisés pour une initiation à la modélisation des débordements progressifs sous Mascaret. Ils ont été créés pour illustrer un dysfonctionnement du code Mascaret. Le modèle Loire Aval a été amélioré permettant une prévision (en mode rejeu) de bien meilleure qualité. Enfin, quelques principes généraux et bonnes pratiques ont été listés dans le présent rapport.
  158. Study report (Ceremadoc) Le petit éolien. Note bibliographique

    Cette étude bibliographique présentée vise, dans un premier temps, à définir la notion de «petit éolien» puis, dans un second temps, à réaliser un état des lieux du développement de la filière en France. Enfin, une approche sur le développement du petit éolien en Région Provence-Alpes-Côte-d'Azur est proposée afin d’estimer la réelle possibilité de développer cette fraction de la filière éolienne terrestre dans cette région.
  159. Study report (Ceremadoc) Levée de la Divatte - Digue de classe B : Visite Technique Initiale 2016

    Ce rapport présente la visite technique initiale de la digue de la Divatte, digue qui protège contre les inondations le val de la Divatte en amont de l’agglomération Nantaise, en Loire-Atlantique (44). La digue du val de la Divatte se situe en rive gauche de la Loire. Elle s’étend sur 16,1 km du nord-est de La Chapelle Basse-Mer (au lieu-dit Port Moron) à Saint-Sébastien-sur-Loire. Elle se décompose en deux tronçons : • un tronçon géré par le Conseil Départemental de Loire Atlantique, qui s’étend sur 13,6 km entre La Chapelle Basse-Mer et l’échangeur de Bellevue (Basse-Goulaine), avec un mur de revanche côté Loire, • un tronçon géré par la DIR Ouest, dont le tracé est plus complexe avec un mur en limite de l’échangeur et du périphérique faisant office de mur de revanche, et qui s’étend sur 2,5 km à partir de l’échangeur de Bellevue. La zone protégée par l’ensemble du système de protection du val de la Divatte rassemble environ 22 000 habitants et environ 6500 salariés. Les deux tiers de la rive gauche du val de la Divatte sont occupés par des cultures maraîchères. Une vingtaine d’enjeux sensibles (établissements scolaires, médico-sociaux, hôpitaux) et dizaine d’enjeux nécessaires à la gestion de crise (mairies, gendarmeries, pompiers…) sont implantés dans le val. Les enjeux les plus importants sont concentrés entre la Chapelle Basse-Mer et Saint-Juliende-Concelles où l’on recense des activités de métallerie, de mécanique ainsi que l’ensemble des sièges d’exploitation des maraîchers et des entreprises. La digue du val de la Divatte est une digue de classe B au titre du décret n° 2015–526 du 12 mai 2015 et de l’article R.214-113 du code de l’environnement.
  160. Study report (Ceremadoc) Énergies (Les) renouvelables en zone de montagne : contraintes et opportunités de développement - Étude sur la partie Sud des Alpes

    L’étude a été réalisée par le Pôle de Compétences et d’Innovation (PCI) «Énergies renouvelables» pour le compte du PCI «Politique et aménagement de la montagne du Cerema. Cette étude a visé à identifier quels étaient les leviers et les freins pour développer les énergies renouvelables en zone de montagne. Afin de ne pas être trop générale, mais croisée avec des préoccupations locales existantes, cette étude s’est attachée également à évaluer le potentiel de développement des énergies renouvelables sur le territoire du Pays Serre-Ponçon-Ubaye-Durance, composé de 31 communes situées en zone de montagne et lauréat de l’appel à projet TEPCV
  161. Edition (Ceremadoc) Schémas régionaux du climat, de l'air et de l'énergie (SRCAE). Les collectivités en action : Cahier thématique énergie renouvelable

    Destiné aux collectivités et aux services déconcentrés de l’État, cet ouvrage constitue une aide précieuse à la mise en oeuvre des Schémas régionaux climat air et énergie (SRCAE) et des démarches régionales de planification énergie-climat. S’appuyant sur une analyse d’un panel de trois SRCAE et de 15 actions menées par des collectivités infra-régionales, cet ouvrage comprend : un dossier offrant un panorama : 1. des leviers énergie-climat disponibles dans un SRCAE en matière d’économies d’énergies, d’émissions de GES évitées, et de production d’énergie renouvelable, 2. des actions que les collectivités infra-régionales peuvent mener afin de contribuer à la mise en œuvre des SRCAE, 3. des outils de financement mobilisés par les collectivités dans la mise en œuvre opérationnelle des leviers, des indicateurs de suivi du SRCAE ; un ensemble de cahiers thématiques regroupant par domaine de l’aménagement (urbanisme, transport, bâtiment, énergie renouvelable) un ensemble de quinze fiches. Chacune de ces fiches détaille une action d’une collectivité contribuant à la mise en œuvre effective du SRCAE. Des informations importantes sont ainsi livrées concernant le contenu de l’action, son efficacité sur le plan énergétique et climatique, son degré de réplicabilité, ses impacts sociaux et environnementaux, ses modes de financement, et son coût. Au final, le lecteur trouvera dans cet ouvrage des indications sur les leviers des SRCAE et leurs articulations avec des actions de collectivités infra-régionales, ainsi que de nombreux enseignements concernant le contenu et les résultats obtenus par de telles actions.
  162. Edition (Ceremadoc) Schémas régionaux du climat, de l'air et de l'énergie (SRCAE). Les collectivités en action

    Destiné aux collectivités et aux services déconcentrés de l’État, cet ouvrage constitue une aide précieuse à la mise en oeuvre des Schémas régionaux climat air et énergie (SRCAE) et des démarches régionales de planification énergie-climat. S’appuyant sur une analyse d’un panel de trois SRCAE et de 15 actions menées par des collectivités infra-régionales, cet ouvrage comprend : un dossier offrant un panorama : 1. des leviers énergie-climat disponibles dans un SRCAE en matière d’économies d’énergies, d’émissions de GES évitées, et de production d’énergie renouvelable, 2. des actions que les collectivités infra-régionales peuvent mener afin de contribuer à la mise en œuvre des SRCAE, 3. des outils de financement mobilisés par les collectivités dans la mise en œuvre opérationnelle des leviers, des indicateurs de suivi du SRCAE ; un ensemble de cahiers thématiques regroupant par domaine de l’aménagement (urbanisme, transport, bâtiment, énergie renouvelable) un ensemble de quinze fiches. Chacune de ces fiches détaille une action d’une collectivité contribuant à la mise en œuvre effective du SRCAE. Des informations importantes sont ainsi livrées concernant le contenu de l’action, son efficacité sur le plan énergétique et climatique, son degré de réplicabilité, ses impacts sociaux et environnementaux, ses modes de financement, et son coût. Au final, le lecteur trouvera dans cet ouvrage des indications sur les leviers des SRCAE et leurs articulations avec des actions de collectivités infra-régionales, ainsi que de nombreux enseignements concernant le contenu et les résultats obtenus par de telles actions.
  163. Edition (Ceremadoc) Schémas régionaux du climat, de l'air et de l'énergie (SRCAE). Les collectivités en action : Cahier thématique urbanisme

    Destiné aux collectivités et aux services déconcentrés de l’État, cet ouvrage constitue une aide précieuse à la mise en oeuvre des Schémas régionaux climat air et énergie (SRCAE) et des démarches régionales de planification énergie-climat. S’appuyant sur une analyse d’un panel de trois SRCAE et de 15 actions menées par des collectivités infra-régionales, cet ouvrage comprend : un dossier offrant un panorama : 1. des leviers énergie-climat disponibles dans un SRCAE en matière d’économies d’énergies, d’émissions de GES évitées, et de production d’énergie renouvelable, 2. des actions que les collectivités infra-régionales peuvent mener afin de contribuer à la mise en œuvre des SRCAE, 3. des outils de financement mobilisés par les collectivités dans la mise en œuvre opérationnelle des leviers, des indicateurs de suivi du SRCAE ; un ensemble de cahiers thématiques regroupant par domaine de l’aménagement (urbanisme, transport, bâtiment, énergie renouvelable) un ensemble de quinze fiches. Chacune de ces fiches détaille une action d’une collectivité contribuant à la mise en œuvre effective du SRCAE. Des informations importantes sont ainsi livrées concernant le contenu de l’action, son efficacité sur le plan énergétique et climatique, son degré de réplicabilité, ses impacts sociaux et environnementaux, ses modes de financement, et son coût. Au final, le lecteur trouvera dans cet ouvrage des indications sur les leviers des SRCAE et leurs articulations avec des actions de collectivités infra-régionales, ainsi que de nombreux enseignements concernant le contenu et les résultats obtenus par de telles actions.
  164. Edition (Ceremadoc) Schémas régionaux du climat, de l'air et de l'énergie (SRCAE). Les collectivités en action : Cahier thématique transport

    Destiné aux collectivités et aux services déconcentrés de l’État, cet ouvrage constitue une aide précieuse à la mise en oeuvre des Schémas régionaux climat air et énergie (SRCAE) et des démarches régionales de planification énergie-climat. S’appuyant sur une analyse d’un panel de trois SRCAE et de 15 actions menées par des collectivités infra-régionales, cet ouvrage comprend : un dossier offrant un panorama : 1. des leviers énergie-climat disponibles dans un SRCAE en matière d’économies d’énergies, d’émissions de GES évitées, et de production d’énergie renouvelable, 2. des actions que les collectivités infra-régionales peuvent mener afin de contribuer à la mise en œuvre des SRCAE, 3. des outils de financement mobilisés par les collectivités dans la mise en œuvre opérationnelle des leviers, des indicateurs de suivi du SRCAE ; un ensemble de cahiers thématiques regroupant par domaine de l’aménagement (urbanisme, transport, bâtiment, énergie renouvelable) un ensemble de quinze fiches. Chacune de ces fiches détaille une action d’une collectivité contribuant à la mise en œuvre effective du SRCAE. Des informations importantes sont ainsi livrées concernant le contenu de l’action, son efficacité sur le plan énergétique et climatique, son degré de réplicabilité, ses impacts sociaux et environnementaux, ses modes de financement, et son coût. Au final, le lecteur trouvera dans cet ouvrage des indications sur les leviers des SRCAE et leurs articulations avec des actions de collectivités infra-régionales, ainsi que de nombreux enseignements concernant le contenu et les résultats obtenus par de telles actions.
  165. Edition (Ceremadoc) Plan National d’Adaptation au Changement Climatique, volet infrastructures et systèmes de transport : Action 3 : Analyse des risques liés aux événements climatiques extrêmes sur les infrastructures, systèmes et services de transport Recueil de concepts

    Ce plan couvre notamment le domaine des transports, pour lequel différentes actions d’adaptation à court, moyen et long termes ont été décidées. Ces actions concernent les infrastructures aéroportuaires, fluviales, maritimes, portuaires et routières, installations de transport par câbles, ouvrages d’art et en terre et remontées mécaniques. À la demande de la Direction Générale des Infrastructures de Transport et de la Mer (DGITM), ces actions ont été mises en œuvre par le Cerema, en lien avec plusieurs directions techniques et territoriales du Cerema, IFRECOR, RFF, la SNCF, le STAC, le STRMTG et VNF. ACTION 3 L’action 3 cible les futures conditions climatiques extrêmes. Dans le cadre de cette action, le Cerema développe une méthodologie d’analyse des risques encourus par les infrastructures de transport face aux événements extrêmes du changement climatique. Cette méthodologie se base principalement sur les trois volets suivants : la caractérisation des aléas retenus pour l’analyse, basée sur l’étude des aléas passés et à venir ; l’analyse de la vulnérabilité physique des infrastructures du territoire étudié, grâce à la décomposition du réseau en sous-éléments et à l’étude des facteurs de vulnérabilité de chacun de ces éléments ; l’analyse de vulnérabilité fonctionnelle, qui dépend des fonctionnalités étudiées (accès des secours, déplacements domicile-travail, etc.) et s’appuie sur différentes méthodologies de résolution. La construction de cette méthodologie se base sur la capitalisation de retours d’expérience issus d’analyses de risque menées sur différents territoires et pour plusieurs types d’infrastructures.
  166. Edition (Ceremadoc) Analyse du fonctionnement hydro-sédimentaire du littoral : Cahier technique

    Ce cahier technique traite de l’analyse du fonctionnement hydro-sédimentaire du littoral. Cette analyse est indispensable pour toute étude d’aménagement côtier et d’aléas littoraux (recul du trait de côte, submersion marine, migration dunaire), notamment comme première phase avant la caractérisation et la cartographie des aléas. Cette phase tente de comprendre les évolutions physiques du littoral, à différentes échelles de temps, sous l’effet de multiples facteurs, climatiques et météorologiques, mais aussi anthropiques. Cette analyse du fonctionnement du littoral est réalisée indépendamment des aléas qui affectent le territoire considéré. Elle démarre par une analyse du fonctionnement hydro-sédimentaire, comprenant notamment une analyse géomorphologique du territoire, une analyse des conditions météorologiques et hydro-dynamiques et une analyse du fonctionnement hydro-sédimentaire. Elle se poursuit par une analyse historique qui étudie au cours du temps l’évolution de la configuration de la frange littorale et des implantations humaines ainsi que les conséquences des tempêtes en termes de submersions marines ou d’évolution de la morphologie de la frange littorale. Enfin, une synthèse permet de définir précisément le périmètre d’étude et les aléas à considérer et, pour chaque aléa à caractériser, les principaux phénomènes à leur origine, permettant de définir les méthodes de caractérisation et les hypothèses adaptées. PRÉAMBULE 1 – INTRODUCTION 2 - PRÉREQUIS TECHNIQUES CONCERNANT LA CONNAISSANCE DES PHÉNOMÈNES ET ALÉAS LITTORAUX 2.1 - Les formes littorales 2.1.1 - Les côtes basses meubles 2.1.2 - Les côtes à falaises 2.1.3 - Baies, estuaires et deltas 2.2 - Les ouvrages de protection 2.3 - Phénomènes météo-marins 2.3.1 - Le niveau marin 2.3.1.a - Le niveau moyen de la mer 2.3.1.b - La marée théorique 2.3.1.c - Les surcotes / décotes 2.3.2 - Les effets hydrodynamiques et météorologiques locaux 2.3.2.a - Le déferlement des vagues 2.3.2.b - Les seiches 2.3.3 - Les tsunamis 2.3.4 - Le changement climatique 2.4 - Aléas littoraux 2.4.1 - Le recul du trait de côte 2.4.2 - La migration dunaire 2.4.3 - La submersion marine 3 - MÉTHODE D'ANALYSE DU FONCTIONNEMENT HYDRO-SÉDIMENTAIRE DU LITTORAL 3.1 - Une méthode d'analyse des aléas littoraux en deux temps 3.2 - Principes généraux du fonctionnement hydro-sédimentaire du littoral 3.3 - Fonctionnement hydro-morphosédimentaire du secteur d’étude 3.3.1 - Analyse du cadre géomorphologique 3.3.1.a - Les caractéristiques géologiques et hydrogéologiques 3.3.1.b - Les caractéristiques sédimentologiques des plages 3.3.1.c - Les caractéristiques topo-bathymétriques 3.3.1.d - Caractéristiques morpho-sédimentaires et bathymétriques des fonds et de l’estran 3.3.2 - Analyse des conditions climatiques, météorologiques et hydrodynamiques 3.3.2.a - Contexte climatique et météorologique 3.3.2.b - Les conditions hydrodynamiques 3.3.3 - Fonctionnement hydro-sédimentaire du littoral 3.3.3.a - La cellule hydro-sédimentaire 3.3.3.b - Le trait de côte : modalités de définition et limites 3.3.3.c - Le profil de plage : modalités de définition et limites 3.3.3.d - Le système dune-plage : un transport sédimentaire lié au vent 3.3.3.e - Les transports sédimentaires sous l’action des houles et des marées 3.3.3.f - L'analyse du recul des falaises : actions continentales et marines 3.3.4 - Les ouvrages de protection contre les aléas littoraux 3.3.5 - Analyse du fonctionnement hydraulique du site 3.4 - Approche historique 3.4.1 - Évolution du trait de côte 3.4.1.a - L'analyse diachronique de la dynamique côtière 3.4.1.b - L'estimation des vitesses et des rythmes d’évolution 3.4.2 - L'inventaire des submersions marines historiques 3.4.3 - L'évolution de l'occupation humaine : modes d'urbanisation et occupation du sol 3.5 - Synthèse de l'analyse du fonctionnement hydro-sédimentaire du littoral : identification des facteurs à l'origine des aléas littoraux 3.5.1 - Le recul des côtes rocheuses et à falaises 3.5.2 - Le recul des côtes basses meubles et la migration dunaire 3.5.3 - La submersion marine 3.5.4 - Résultats attendus 4 - CONCLUSION 5 - GLOSSAIRE TECHNIQUE 6 - SIGLES 7 - PRINCIPALES RÉFÉRENCES BIBLIOGRAPHIQUES Analyse
  167. Edition (Ceremadoc) Analyse des risques appliquée aux buses métalliques

    Le retour d’expérience sur les buses métalliques a montré que ces ouvrages ont une durée de vie réelle réduite par rapport à leur durée de service initialement prévue. Plusieurs ruptures de buses métalliques liées notamment à la corrosion et leur affouillement ont pu être observées. À la demande de la DGITM/DIT (Direction Générale des Infrastructures des Transports et de la Mer/Direction des Infrastructures de Transport), le réseau scientifique et technique du ministère a mis au point une méthodologie d’analyse des risques spécialement adaptée à ce type d’ouvrage. Cette méthode permet à un maître d’ouvrage d’analyser et de classer l’ensemble des buses métalliques en fonction des aléas auxquels elles sont soumises, de leur vulnérabilité et des conséquences de leur défaillance potentielle. L’objectif est aussi d’aboutir aux meilleurs arbitrages techniques et financiers compte tenu des enjeux socio-économiques et humains.
  168. Edition (Ceremadoc) Bruit routier et faune sauvage

    Les résultats de recherche démontrent nettement l’impact du bruit tant sur la communication acoustique de la faune et notamment des oiseaux, que sur les écosystèmes. L’objectif de ce rapport à destination des gestionnaires d’espaces ou d’infrastructures linéaires de transport, est de les sensibiliser sur cet impact potentiel relativement méconnu. Au travers d’une bibliographie riche et internationale le document s’efforce d’éclairer sur la question de l’impact du bruit engendré par les transports routiers sur la faune sauvage en milieu rural. Il ne s’agit pas d’une méthodologie d’étude d’impact acoustique sur la faune mais bien d’un retour d’expériences des travaux de recherche dans le domaine. L’étude des effets et des impacts du bruit sur les écosystèmes mènera à des pistes de leurs prises en compte dans les projets routiers.
  169. Edition (Ceremadoc) Conception des ouvrages d’assainissement provisoires en phase chantier - Retour d’expériences : Note d'information - Environnement-Santé-Risque n°2

    Dans un premier temps, cette note fait le point sur la réglementation et sur l'efficacité "qualitative" de ces différents ouvrages accompagné de prescriptions de conception. Par la suite, elle sera complétée par un retour d'expériences sur l'efficacité "quantitative" des différents types d'ouvrages. La phase chantier des projets d’infrastructures, de part les mouvements de terre qu’elle entraîne et la présence d’engins,est susceptible de générer une pollution importante des cours d’eau si des mesures préventives ne sont pas mises en œuvre. Les sources de pollutions potentielles sont de plusieurs types : les pollutions par les Matières En Suspension (MES) liées aux mouvements de terre et décapage des sols ; les pollutions par hydrocarbures liées aux installations de chantier, au ravitaillement des engins et à la mise en œuvre d’enrobés ; les pollutions liées aux forages, aux bétons et huiles de décoffrage ; les pollutions liées à l’utilisation de produits de traitement des sols ou d'explosifs ; les pollutions de type organique, liées aux bases de vie. Les MES proviennent de l'érosion des sols décapés, des remblais et déblais, des dépôts provisoires ou définitifs, des eaux de lavage des engins et des matériaux, et enfin du pompage des eaux de fouilles. Les hydrocarbures peuvent être issus du stockage d’hydrocarbures sur chantier, du ravitaillement des engins et groupes électrogènes, des ateliers d’entretien des engins, de l'utilisation d’hydrocarbures pour le nettoyage des camions de transport de bitumes, ou encore de l'utilisation d’émulsions bitumineuses. 1. La problématique des matières en suspension (MES) Les risques pour les milieux aquatiques Les concentrations admissibles Les concentrations « naturelles » des eaux (hors chantier) 2. Les mesures de protection sur chantier Le constat Les recommandations 3. Conclusion 4. Annexe : Extraits d'arrêtés préfectoraux portant autorisation au titre de la réglementation sur l'eau et comportant des limites pour les matières en suspension 5. Références 6. Bibliographie 7. Liste d’abréviations
  170. Edition (Ceremadoc) Linear transport infrastructures and Reptiles : Application to three significant protected species. Information memo Environment - Health - Risk

    Almost all reptiles are protected on a nationwide scale, apart from some species of lizard that are protected on a European scale (Fauna, Flora and Habitat Directive, Annexes II and IV) and/or an international scale (Bern Convention, Appendix III). This means that these taxons must be taken into consideration in development projects. Reptiles in the lizards suborder (Lacertibaenia) are represented in France by 14 species and those in the snakes suborder (Serpentes) by 13 species. The purpose of this information memo is not to introduce all the species in these two taxonomic groups. It is rather to shed light and detail on the biology, the preferred habitat and the behavior of some of them: two species of snake – the Meadow viper and the Southern smooth snake – and one species of lizard – the Ocellated lizard – and to review the risks they are exposed to. This document, which is illustrated by some examples of measures to mitigate the impacts of roads, also aims to allow contracting authorities, designers or operators to assess the various measures of the AMC (avoidance, mitigation and compensation) doctrine that they should adopt in order to best conserve these species, and reptiles in general, in accordance with the outlines of habitat and species conservation defined in the French SNIT (national land transport infrastructures master plan) published in October 2012 as part of the national strategy for biodiversity [2]. 1.Introduction 2.Presentation of species Meadow viper Southern smooth snake Ocellated lizard 3. Measures to avoid, mitigate or compensate the impacts of linear transport infrastructures Avoidance and mitigation measures in the various project design phases Application of mitigation measures to reptiles Compensation measures 4. Monitoring the effectiveness of measures 5. Glossary 6. Bibliography
  171. Edition (Ceremadoc) Étude des aléas littoraux dans le cadre d’une analyse coûts-bénéfices (ACB)

    Les analyses coût/bénéfice (ACB) sont des outils d’aide à la définition des stratégies de prévention des risques permettant d’estimer la rentabilité économique d’un projet. Développées initialement pour les projets de prévention des inondations par débordements de cours d’eau, les ACB littorales sont confrontées à des difficultés méthodologiques. Les méthodes de détermination des aléas submersion marine et recul du trait de côte, aléa non abordé dans les documents existants, sont précisées dans ce document. Pour que l’ACB puisse jouer son rôle, d’évaluation de la pertinence des projets d’ouvrages de protection, l’impact de ceux-ci sur les aléas doit être finement défini. Pour la submersion marine, deux niveaux de mise en œuvre d’une ACB sont proposés suivant l’avancée du projet. Le choix des événements théoriques à étudier pour construire la courbe dommages-fréquence est abordé en lien avec le comportement des ouvrages de protection (niveau de protection et niveau de sûreté) et les niveaux de dommages aux enjeux. Le changement climatique nécessite l’élaboration d’au moins deux courbes dommages-fréquence Préambule 1 - Contexte 2 - Principes d'une ACB 2.1 - Objectifs 2.2 - Contexte méthodologique des projets subventionnés par l’État 3 - Connaissance des aléas littoraux et des impacts projets sur les aléas 3.1 - Généralités 3.2 - Études utiles à la réalisation d'une étude d'aléas littoraux dans le cadre d’une ACB 3.3 - Phase 1 : Analyse générale du fonctionnement du littoral 3.4 - Phase 2 : Cartographie des aléas littoraux 4 - Principes de l'analyse des aléas littoraux 4.1 - Échelle d’analyse 4.2 - Horizon temporel de l’analyse 4.3 - Choix des situations étudiées 4.3.1 -Situation de référence 4.3.2 -Situations de projets 4.3.3 -Situation « sans ouvrage » 4.4 - Un niveau d’analyse lié à l’avancement du projet 4.5 - Estimation des coûts associés au projet 4.5.1 -Les coûts d’entretien et de gestion 4.5.2 -Les coûts de réparation et de reconstruction 5 - Analyse du recul du trait de côte et/ou de l'érosion 5.1 - Informations nécessaires à l'analyse du recul du trait de côte et/ou de l’érosion 5.2 - Cartographie de l'aléa recul du trait de côte 5.2.1 -Estimation d’un recul linéaire dans le temps 5.2.2 -Estimation d’un recul du trait de côte non linéaire dans le temps 5.3 - Changement climatique 5.4 - Étude de sensibilité 5.4.1 -Horizon temporel 5.4.2 -Zone soumise au recul 5.4.3 -Distribution du recul du trait de côte dans le temps 6 - Analyse de l'aléa submersion marine 6.1 - Principes de réalisation d'une étude d'aléa submersion marine préalable à l'élaboration d'une ACB 6.1.1 -Plusieurs niveaux d'analyse 6.1.2 -Informations nécessaires à l'élaboration de la cartographie de l'aléa submersion marine 6.1.3 -Choix des événements hydrauliques/scénarios étudiés 6.1.4 -Aléa non constant et changement climatique 6.1.5 -Cartographie de l’aléa submersion marine 6.1.5.a - Méthode de cartographie 6.1.5.b - Paramètres à cartographier 6.2 - Analyse simplifiée de l'aléa submersion marine 6.2.1 -Informations nécessaires sur le projet 6.2.2 -Scénarios étudiés 6.2.2.a - Choix des scénarios étudiés 6.2.2.b - Description des événements hydrauliques 6.2.3 -Cartographie de l'aléa submersion marine 6.2.4 -Estimation des dommages évités 6.2.5 -Études de sensibilité 6.2.5.a - Fréquence des événements hydrauliques (niveaux marins) 6.2.5.b - Horizon temporel 6.2.5.c - Changement climatique 6.3 - Analyse affinée de l'aléa submersion marine 6.3.1 -Informations nécessaires sur le projet 6.3.2 -Scénarios étudiés 6.3.2.a - Choix des scénarios étudiés 6.3.2.b - Description des événements hydrauliques 6.3.3 -Cartographie de l'aléa submersion marine 6.3.4 -Estimation des dommages 6.3.5 -Études de sensibilité 6.3.5.a - Fréquence des événements hydrauliques 6.3.5.b - Horizon temporel 6.3.5.c - Changement climatique 6.3.5.d - Comportement hydraulique et structurel de l'ouvrage 7 - Limites de la méthode 8 - Glossaire 9 – Bibiographie
  172. Edition (Ceremadoc) Milieux humides et aménagement urbain : Dix expériences innovantes

    DECOUVRIR L'ESSENTIEL DE LA PUBLICATION En France, plus de 67 % des milieux humides ont disparu depuis le début du XXe siècle. En provoquant fragmentation, pollution et drainage des sols, l'urbanisation contribue à cette disparition. Pourtant, ces espaces représentent de précieux réservoirs de biodiversité. En outre, ils contribuent à épurer les eaux de ruissellement, à réguler les débits hydrauliques et constituent un lieu propice au développement culturel. Des collectivités ont pris conscience de la diversité des services que peuvent fournir les milieux humides. Aussi, elles se sont pleinement engagées dans leur valorisation, restauration, voire dans des projets de création de nouveaux milieux. Réparties sur l'ensemble du territoire français, ces actions apportent des réponses opérationnelles et pragmatiques aux enjeux de plusieurs politiques publiques (gestion des eaux pluviales, protection contre les inondations, préservation des espèces menacées, création de trame verte et bleue...) Réhabilitation d'un milieu humide asséché en vue de la gestion des eaux pluviales, préservation au travers des documents d'urbanisme, création d'un parc urbain autour des milieux humides sont autant de sujets développés dans le présent ouvrage. Les dix projets présentés mettent en lumière la multiplicité des solutions possibles pour préserver et valoriser les milieux humides. Ils sont ici décrits dans leur ensemble : contexte, gouvernance, durée de réalisation, modalités de mise en oeuvre... L'accent est porté sur les points forts des projets et leur intégration réussie dans l'aménagement urbain. Le développement de nouvelles réalisations est une condition nécessaire dans les années futures afin de favoriser et garantir la préservation des milieux humides en territoire urbain. Visionnez la vidéo La Nature en ville comme élément de confort climatique Des enjeux et des enseignements à partager Première partie : Prise en compte des milieux humides dans les documents d’urbanisme - La préservation des milieux humides au travers du PLU et de la gestion – Vimines (73) - Une planification partagée pour préserver le marais et ses usages – Saint - Omer (62) Deuxième partie : Préservation de la biodiversité en milieu urbanisé - Création d’un réseau de mares intégré dans un corridor écologique en milieu urbain – Strasbourg (67) - Redécouverte et valorisation d’un milieu humide dégradé par des incivilités – Le Mesnil - le - Roi (78) - Redécouverte et gestion des marais à l’orée de la ville – Rochefort (17) Troisième partie : Gestion des crues et des eaux pluviales - Préservation des milieux humides du bassin - versant de l’Aygas – Tarnos (40) - Restauration d’un milieu humide dans l’optique de gérer les eaux pluviales – Montbéliard (25) - Création de bassins paysagers de gestion des crues – Dol - de - Bretagne (35) Quatrième partie : Intégration des milieux humides dans l'aménagement urbain - La valorisation des milieux humides au coeur d’un projet de parc urbain – Saint - Jacques- de - la - Lande (35) Cinquième partie : Sensibilisation du public sur la préservation des milieux humides - Aménagement d’un parc pédagogique sur les milieux humides – Évian - les - Bains (74)
  173. Edition (Ceremadoc) Préconisations relatives à l'évaluation environnementale stratégique : Note méthodologique

    Cette note détaille la méthodologie des EES en insistant sur l’articulation entre les évaluations environnementales et la démarche d’élaboration des plans, schémas et programmes. La fiche se décompose en deux parties principales : la première concerne les grands principes de l’EES et la façon dont elle s’intègre dans la démarche d’élaboration du plan/programme ; et la seconde propose des recommandations relative à la démarche et à chaque partie du rapport. C’est par exemple le cas de l’analyse des effets cumulés, des incidences Natura 2000 ou de la démarche "éviter, réduire, compenser". Destinée en premier lieu aux bureaux d’études et aux maîtres d’ouvrage, elle constitue aussi un document essentiel à l’exercice des missions "d’autorité environnementale" exercées par certains services de l’Etat compétents en matière d’environnement.
  174. Edition (Ceremadoc) Schémas régionaux du climat, de l'air et de l'énergie (SRCAE). Les collectivités en action : Cahier thématique bâtiment

    Destiné aux collectivités et aux services déconcentrés de l’État, cet ouvrage constitue une aide précieuse à la mise en oeuvre des Schémas régionaux climat air et énergie (SRCAE) et des démarches régionales de planification énergie-climat. S’appuyant sur une analyse d’un panel de trois SRCAE et de 15 actions menées par des collectivités infra-régionales, cet ouvrage comprend : un dossier offrant un panorama : 1. des leviers énergie-climat disponibles dans un SRCAE en matière d’économies d’énergies, d’émissions de GES évitées, et de production d’énergie renouvelable, 2. des actions que les collectivités infra-régionales peuvent mener afin de contribuer à la mise en œuvre des SRCAE, 3. des outils de financement mobilisés par les collectivités dans la mise en œuvre opérationnelle des leviers, des indicateurs de suivi du SRCAE ; un ensemble de cahiers thématiques regroupant par domaine de l’aménagement (urbanisme, transport, bâtiment, énergie renouvelable) un ensemble de quinze fiches. Chacune de ces fiches détaille une action d’une collectivité contribuant à la mise en œuvre effective du SRCAE. Des informations importantes sont ainsi livrées concernant le contenu de l’action, son efficacité sur le plan énergétique et climatique, son degré de réplicabilité, ses impacts sociaux et environnementaux, ses modes de financement, et son coût. Au final, le lecteur trouvera dans cet ouvrage des indications sur les leviers des SRCAE et leurs articulations avec des actions de collectivités infra-régionales, ainsi que de nombreux enseignements concernant le contenu et les résultats obtenus par de telles actions.
  175. Study report (Ceremadoc) L'arc à Meyreuil. Amélioration de la courbe de tarage de la station de Pont de Bayeux. Note d'analyse du modèle DRELA-SPC.

    L'étude SAFEGE réalisée dans le cadre des Territoires à Risque important d'Inondation (TRI) de la rivière l'Arc a mis en évidence une forte sous-estimation de la courbe de tarage de la station de Meyreuil. La DREAL PACA et le SPC Med Est ont donc décidé de réaliser un modèle hydraulique avec le logiciel HEC-RAS afin d'améliorer cette courbe de tarage. Le CEREMA intervient comme appui méthodologique et conseil pour la modélisation réalisée. La restauration du seuil situé en aval de la station de mesure durant l'été 2010 nécessite également de redéfinir une autre courbe de tarage antérieure à cette modification.
  176. Study report (Ceremadoc) Modélisation hydraulique sur la commune de Bonifacio

    La Direction Départementale des Territoires et de la Mer de Corse du Sud (DDTM2A) a confié au Cerema Direction Territoriale Méditerranée la réalisation d'une étude hydraulique sur la commune de Bonifacio au niveau de deux cours d'eau (le Vallon Saint Julien et le Valle) venant terminer leur parcours dans le Port. L'analyse hydro-topographique met en évidence des singularités du secteur d'étude qui devront être prises en compte pour réaliser une étude hydraulique cohérente. L'analyse hydrologique permet de déterminer une fourchette de débits centennaux pour la modélisation hydraulique. La modélisation hydraulique monodimensionnelle a été réalisée avec l'outil Cartino développé dans le cadre de la Directive Inondation. Les résultats obtenus ont permis de cartographier les hauteurs d'eau et les vitesses d'écoulements moyennes sur les deux cours d'eau. La grille de qualification de l'aléa "inondation" fournie par la DDTM2A a permis de cartographier l'aléa sur un fond de plan de la BD Parcellaire avec une échelle de validité au 1/5.000.
  177. Study report (Ceremadoc) Modélisation hydraulique sur la commune de Bonifacio

    La Direction Départementale des Territoires et de la Mer de Corse du Sud (DDTM2A) a confié au Cerema Direction Territoriale Méditerranée la réalisation d'une étude hydraulique sur la commune de Bonifacio au niveau de deux cours d'eau (le Vallon Saint Julien et le Valle) venant terminer leur parcours dans le Port. L'analyse hydro-topographique met en évidence des singularités du secteur d'étude qui devront être prises en compte pour réaliser une étude hydraulique cohérente. L'analyse hydrologique permet de déterminer une fourchette de débits centennaux pour la modélisation hydraulique. La modélisation hydraulique monodimensionnelle a été réalisée avec l'outil Cartino développé dans le cadre de la Directive Inondation. Les résultats obtenus ont permis de cartographier les hauteurs d'eau et les vitesses d'écoulements moyennes sur les deux cours d'eau. La grille de qualification de l'aléa "inondation" fournie par la DDTM2A a permis de cartographier l'aléa sur un fond de plan de la BD Parcellaire avec une échelle de validité au 1/5.000.
  178. Study report (Ceremadoc) Retour d'EXpérience des intempéries sur les départements de l'Hérault et du Gard de septembre à décembre 2014. Rapport d'expertise sur la commune de Chamborigaud

    Suite aux inondations de mi-septembre à début décembre 2014 dans les départements de l'Hérault et du Gard, la DDTM 34 et la DDTM 30 ont sollicité la Direction Territoriale Méditerranée du CEREMA pour un retour d'EXpérience (REX) sur 9 communes concernées par des demandes d'acquisitions de maisons impactées par ces inondations et susceptibles d'être concernées par le dispositif d'acquisition de biens exposés au sens du FPRNM (Financement par le fonds de prévention des risques naturels majeurs). L'objectif de ce REX porte sur la caractérisation de l'événement (hydrologie, hydraulique et dommages) avec identification de son origine (débordement de cours d'eau et/ou ruissellement pluvial), l'établissement d'une analyse objective des cas où des mesures foncières sont à mettre en oeuvre. Le présent rapport concerne la commune de Chamborigaud.
  179. Study report (Ceremadoc) Seuil du Captage Verrou sur la Ravine Saint-Gilles. Expertise sur les conséquences de l'arasement du seuil. Avis définitif

    La DEAL Réunion a confié une expertise au Cerema sur les conséquences d'un arasement du seuil du Captage Verrou sur le profil en long du lit de la Ravine Saint-Gilles. Le Cerema et la DREAL Réunion ont effectué une visite du seuil du Captage Verrou sur la Ravine Saint-Gilles le 5 juin 2015 après-midi. Un arasement complet ou partiel du seuil du Captage Verrou sur la Ravine Saint-Gilles jusqu'au niveau des blocs et du substratum sur lesquels il est fondé n'aurait pas de conséquences significatives sur le profil en long du lit du cours d'eau en amont et en aval de l'ouvrage. Par conséquence, cet arasement complet ou partiel n'aurait également pas d'impact sur le risque inondation et sur les prélèvements amonts. Les sédiments stockés en amont de l'ouvrage devraient pouvoir être évacués facilement vers l'aval jusqu'à l'océan lors des prochaines crues notamment en période cyclonique. Il est recommandé également l'enlèvement des canalisations inutilisées situées en aval de la prise d'eau sur la berge rive droit inondable de la Ravine Saint-Gilles, pour limiter les risques d'embâcles en aval en particulier sous les ponts de Saint-Gilles (RN1 et surtout ancienne RN1).
  180. Study report (Ceremadoc) Seuil du Captage Verrou sur la Ravine Saint-Gilles. Expertise sur les conséquences de l'arasement du seuil. Avis définitif

    La DEAL Réunion a confié une expertise au Cerema sur les conséquences d'un arasement du seuil du Captage Verrou sur le profil en long du lit de la Ravine Saint-Gilles. Le Cerema et la DREAL Réunion ont effectué une visite du seuil du Captage Verrou sur la Ravine Saint-Gilles le 5 juin 2015 après-midi. Un arasement complet ou partiel du seuil du Captage Verrou sur la Ravine Saint-Gilles jusqu'au niveau des blocs et du substratum sur lesquels il est fondé n'aurait pas de conséquences significatives sur le profil en long du lit du cours d'eau en amont et en aval de l'ouvrage. Par conséquence, cet arasement complet ou partiel n'aurait également pas d'impact sur le risque inondation et sur les prélèvements amonts. Les sédiments stockés en amont de l'ouvrage devraient pouvoir être évacués facilement vers l'aval jusqu'à l'océan lors des prochaines crues notamment en période cyclonique. Il est recommandé également l'enlèvement des canalisations inutilisées situées en aval de la prise d'eau sur la berge rive droit inondable de la Ravine Saint-Gilles, pour limiter les risques d'embâcles en aval en particulier sous les ponts de Saint-Gilles (RN1 et surtout ancienne RN1).
  181. Study report (Ceremadoc) Retour d'EXpérience des intempéries sur les départements de l'Hérault et du Gard de septembre à décembre 2014. Rapport d'expertise sur la commune de Juvignac

    Suite aux inondations de mi-septembre à début décembre 2014 dans les départements de l'Hérault et du Gard, la DDTM 34 et la DDTM 30 ont sollicité la Direction Territoriale Méditerranée du CEREMA pour un retour d'EXpérience (REX) sur 9 communes concernées par des demandes d'acquisitions de maisons impactées par ces inondations et susceptibles d'être concernées par le dispositif d'acquisition de biens exposés au sens du FPRNM (Financement par le fonds de prévention des risques naturels majeurs). L'objectif de ce REX porte sur la caractérisation de l'événement (hydrologie, hydraulique et dommages) avec identification de son origine (débordement de cours d'eau et/ou ruissellement pluvial), l'établissement d'une analyse objective des cas où des mesures foncières sont à mettre en oeuvre. Le présent rapport concerne la commune de Juvignac.
  182. Study report (Ceremadoc) Retour d'EXpérience des intempéries sur les départements de l'Hérault et du Gard de septembre à décembre 2014. Rapport d'expertise sur la commune de Saint-Laurent-le-Minier

    Suite aux inondations de mi-septembre à début décembre 2014 dans les départements de l'Hérault et du Gard, la DDTM 34 et la DDTM 30 ont sollicité la Direction Territoriale Méditerranée du CEREMA pour un retour d'EXpérience (REX) sur 9 communes concernées par des demandes d'acquisitions de maisons impactées par ces inondations et susceptibles d'être concernées par le dispositif d'acquisition de biens exposés au sens du FPRNM (Financement par le fonds de prévention des risques naturels majeurs). L'objectif de ce REX porte sur la caractérisation de l'événement (hydrologie, hydraulique et dommages) avec identification de son origine (débordement de cours d'eau et/ou ruissellement pluvial), l'établissement d'une analyse objective des cas où des mesures foncières sont à mettre en oeuvre. Le présent rapport concerne la commune de Saint-Laurent-le-Minier
  183. Study report (Ceremadoc) Expertise des pré-contrats Natura 2000 de Picardie : Rapport d'activité de l'année 2014

    La thématique Qualité des Sols - Déchets du groupe Eaux & Sols de la Direction Territoriale Nord Picardie (Dter NP) du Cerema est sollicitée par la DtecITM (Sétra) dans le cadre du Pôle de Compétence et Innovation - EETB (Empreinte Ecologique des Transports et Biodiversité) pour rédiger un retour d'expérience relatif à la valorisation des déchets minéraux en technique routière depuis la sortie du guide méthodologique Sétra sur "l'accessibilité de matériaux alternatifs en technique routière - évaluation environnementale " sorti en mars 2011. Ce document porte sur 5 types de déchets définis conjointement par la DTechITM et la Direction Territoriale Nord Picardie (Dter NP) du Cerema à savoir les Laitiers sidérurgiques, les Mâchefers d'Incinération de Déchets Non Dangereux (MIDND), les Schistes houilers, les Cendres Volantes des Centrales Thermiques et de Papeteries et les Sables de fonderie. Ce document comporte : - Un état des lieux des déchets ciblés qui présente leur typologie ainsi qu'une description des filières de valorisation. - Un bilan de l'enquête menée par la Dter NP pour recenser les exemples et les expériences récentes de valorisation. Le rapport s'appuie sur des recherches bibliographiques, des données issues de différentes sources : des maîtres d'ouvrage, d'oeuvres, des applicateurs, et des syndicats professionnels. Ce rapport constitue un point d'étape dans le cadre du retour d'expérience sur la valorisation des matériaux alternatifs en technique routière. Afin de poursuivre et améliorer ce retour d'expérience, la Direction Territoriale Nord-Picardie préconise pour la suite : - Une mise au point avec la DtecITM pour orienter plus efficacement l'étude. - Garder le principe du questionnaire et de l'enquête, en l'améliorant et en passant cette fois-ci par une plate-forme officielle du Cerema. - Définir un périmètre plus précis, aussi bien au niveau local qu'au niveau national. - Accentuer la demande de renseignements auprès des syndicats professionnels et des détenteurs/fournisseurs de ces déchets pour connaître la situation réelle des exutoires de valorisation. - Déployer d'autres acteurs au sein du Cerema pour contribuer à ce retour d'expérience.
  184. Study report (Ceremadoc) La contribution des territoires de Picardie au SRCAE : Indicateurs illustrant les potentiels des territoires

    L'étude propose une première méthodologie visant à déterminer le potentiel de chaque territoire de la région Picardie à répondre aux enjeux du SRCAE (Schéma Régional du Climat, de l'Air et de l'Energie), en vue d'aider à en mettre les mesures d'application. L'étude se fera à l'échelle des EPCI (établissements publics de coopération intercommunale) qui a été jugée comme la plus pertinente par le commanditaire. Le rendu consistera en la fourniture d'un panel d'indicateurs territoriaux pour évaluer la situation actuelle et anticiper le suivi des orientations du SRCAE, ventilés par enjeux et secteurs.
  185. Study report (Ceremadoc) La contribution des territoires de Picardie au SRCAE : Indicateurs illustrant les potentiels des territoires

    L'étude propose une première méthodologie visant à déterminer le potentiel de chaque territoire de la région Picardie à répondre aux enjeux du SRCAE (Schéma Régional du Climat, de l'Air et de l'Energie), en vue d'aider à en mettre les mesures d'application. L'étude se fera à l'échelle des EPCI (établissements publics de coopération intercommunale) qui a été jugée comme la plus pertinente par le commanditaire. Le rendu consistera en la fourniture d'un panel d'indicateurs territoriaux pour évaluer la situation actuelle et anticiper le suivi des orientations du SRCAE, ventilés par enjeux et secteurs.
  186. Study report (Ceremadoc) Ecrans pare-blocs de la RN90. Inspection détaillée printemps 2015

    L’inspection détaillée de printemps 2015 a été réalisée en avril 2015. Les écrans sont en bon état général et ne nécessitent que quelques interventions s’inscrivant dans une maintenance routinière, à l’exception de ceux du secteur de Montgalgan qui n’ont pas fait l’objet de travaux de maintenance. Des ouvrages ont été impactés par des blocs : les dégâts occasionnés devront être réparés rapidement. Le remplacement d’ancrages déchaussés, corrodés, voire écrouis, est nécessaire. Sur demande de la DIR CE, deux nouveaux secteurs d’inspection ont ajoutés « Villette est » et « Saint-Marcel ». Concernant le secteur de « Saint-Marcel » les écrans sont assez anciens. Des travaux de remises à niveau sont à réaliser rapidement, tels que le remplacement des chaînes fusibles par des manilles et l’application d’une couche de peinture anti corrosion sur les freins corrodés. Le secteur de » Villette-est » étant équipé d’écrans très récents, aucun défaut n’est à signaler. Les secteurs qui ont été débroussaillés ont été dans l’ensemble bien traités. Cependant quelques zones ont été oubliées ou restent encore à traiter dans les secteurs de « Centron », « Dagan », « Montgalgan » et « Notre-Dame-de-Briançon ». L’inspection de automne 2015 ne peut être réalisée en l’état actuel sans débroussaillage. Un débroussaillage sélectif régulier, qui limite la fréquence et l’ampleur des interventions, est préconisé.
  187. Study report (Ceremadoc) Étude des bordures urbaines et naturelles en Seine-Saint-Denis Phase 2 : Analyse du cas du parc du Sausset et pistes de valorisation des bordures

    mandaté depuis janvier 2015 par la direction régionale et interdépartementale de l’équipement et de l’aménagement d’île-de-france (driea) via l’unité territoriale de seine-saint-denis (ut93) la dter ile-de-france du cerema propose une étude des espaces frontaliers entre ville et nature au sein de la seine-saint-denis. la finalité de l’étude globale consiste à faire évoluer l’image et les usages de ces espaces frontières afin qu’ils ne soient plus considérés ni comme étant soumis à une contrainte à l’urbanisation mettant en péril les objectifs de préservation des milieux et des espèces protégés, ni comme espaces systématiquement « sanctuarisés » d’un point de vue environnemental, bloquant toute dynamique de transformation urbaine. une première phase de l’étude rendue en septembre 2015 a présenté la méthodologie d’analyse de sites et a permis de retenir 3 cas d’étude. la deuxième phase présente le diagnostic du fonctionnement des bordures urbaines du parc du sausset afin d’identifier des pistes de valorisation possibles de ces espaces.
  188. Study report (Ceremadoc) Cartographie des risques liés à la géothermie de minime importance, Note explicative de la méthodologie appliquée pour les phénomènes liés aux mouvements de terrain et aux panaches de pollution

    Le cadre réglementaire relatif à la géothermie de minime importance impose le recours à une cartographie indicative pour la mise en oeuvre des installations petites ou modestes, exprimant les différents phénomènes pouvant être rencontrés lors de la réalisation des travaux de forage ou d’exploitation. La révision actuelle de cette cartographie à l’échelle régionale s’appuie sur la méthodologie nationale du MEDDE, pour aboutir à une cartographie plus fine et détaillée des risques (2016). La présence de mouvements de terrain et de panaches de pollutions constituent des critères pondérants pris en compte. Dans cette étude la localisation des glissements de terrain, des effondrements, des affaissements et tassements liés aux cavités souterraines sont répartis d’une façon hétérogène sur le territoire rhône-alpin, dépendant essentiellement de la géologie, du contexte géographique et morphologique, mais aussi de l’accessibilité aux données. La connaissance de la localisation et de l’importance des panaches polluant en Rhône-Alpes restant très faible, il est ici proposé une approche analytique, reposant sur l’exploitation des données acquises sur les pollutions avérées, pour caractériser ces panaches potentiels et les figurer dans la carte régionale. Les données de la banque BASOL sont utilisées pour définir les lieux et types de contamination, ainsi que le comportement des pollutions résultantes dans leur environnement. Ces éléments sont utilisés pour appréhender la localisation et l’extension des panaches dans les sols et les nappes. Ceux-ci sont cartographiés et traduits dans une grille régionale de géoréférencement des facteurs pouvant influencer une exploitation géothermique. La méthodologie du guide de mars 2014 moyennant des adaptations à la région Rhône-Alpes a abouti aux cartes suivantes : • carte du phénomène « affaissement/effondrement lié aux cavités (hors mine), • carte du phénomène « affaissement/effondrement lié aux cavités minières », • carte du phénomène « mouvement de terrain (glissement) », • carte du phénomène pollution des sols et des nappes souterraines (panache de pollution).
  189. Study report (Ceremadoc) Relargage des coulis géothermiques et impacts potentiels sur la ressource en eau : Comparaison des paramètres d'analyse des lixiviats

    Dans un contexte où des travaux de normalisation des coulis utilisés pour la cimentation des sondes géothermiques dans le sol sont en cours, il y a lieu de s'interroger sur le relargage de pollution de ces coulis géothermiques dans la nappe phréatique et des impacts potentiels sur la ressource en eau. En effet, dans la plupart des cas, ces sondes traversent des formations géologiques et des aquifères qu'il est indispensable de protéger. Pour cela, les paramètres à analyser doivent être en adéquation avec les composants des coulis et les substances jugées pertinentes pour évaluer la qualité de la ressource en eau. Cette étude a donc pour objectif de mettre en évidence les paramètres les plus représentatifs et pertinents , d'une part en corrélant les réglementations française et allemande et d'autre part en s'appuyant sur ce qui est le plus fréquemment réalisé chez les fournisseurs de coulis allemands. Les résultats de l'étude permettent d'établir une liste de paramètres à rechercher pour évaluer la qualité des eaux souterraines vis à vis de la production d'eau potable en croisant plusieurs réglementations nationales, des directives européennes et des lignes directrices internationales. Ils montrent à travers les rapports fournis par les fabricants une alcalinité importante de l'eau avec une valeur de pH qui dépasse les seuils de référence ainsi que des taux d'ammonium pouvant, lors de la première phase de durcissement du coulis (jusqu'à 7 jours), dépasser les limites fixées par la réglementation.
  190. Study report (Ceremadoc) Relargage des coulis géothermiques et impacts potentiels sur la ressource en eau : Comparaison des paramètres d'analyse des lixiviats

    Dans un contexte où des travaux de normalisation des coulis utilisés pour la cimentation des sondes géothermiques dans le sol sont en cours, il y a lieu de s'interroger sur le relargage de pollution de ces coulis géothermiques dans la nappe phréatique et des impacts potentiels sur la ressource en eau. En effet, dans la plupart des cas, ces sondes traversent des formations géologiques et des aquifères qu'il est indispensable de protéger. Pour cela, les paramètres à analyser doivent être en adéquation avec les composants des coulis et les substances jugées pertinentes pour évaluer la qualité de la ressource en eau. Cette étude a donc pour objectif de mettre en évidence les paramètres les plus représentatifs et pertinents , d'une part en corrélant les réglementations française et allemande et d'autre part en s'appuyant sur ce qui est le plus fréquemment réalisé chez les fournisseurs de coulis allemands. Les résultats de l'étude permettent d'établir une liste de paramètres à rechercher pour évaluer la qualité des eaux souterraines vis à vis de la production d'eau potable en croisant plusieurs réglementations nationales, des directives européennes et des lignes directrices internationales. Ils montrent à travers les rapports fournis par les fabricants une alcalinité importante de l'eau avec une valeur de pH qui dépasse les seuils de référence ainsi que des taux d'ammonium pouvant, lors de la première phase de durcissement du coulis (jusqu'à 7 jours), dépasser les limites fixées par la réglementation.
  191. Study report (Ceremadoc) Analyse multi-échelle de la fragmentation de l'inter-région Nord- Pas-de-Calais Picardie par les infrastructures linéaires de transport

    En 2011, l'étude de l'Agence européenne de l'environnement (A.E.E.) sur les niveaux de fragmentation des pays européens, classe les régions du Nord de la France et de Paris parmi celles qui sont les plus touchées. Or d'après eux, la fragmentation est l'une des principales causes d'érosion de la biodiversité à l'échelle européenne, et plus largement à l'échelle planétaire. Elle est responsable d'une diminution des surfaces d'habitat disponible et d'une augmentation de leur isolement, affectant ainsi les espèces qui en dépendent. Pour répondre à cet enjeu de préservation de la biodiversité via une réduction de la fragmentation, la France a mis en place la politique Trame Verte et Bleue qui vise à préserver et restaurer les continuités écologiques des territoires. Les politiques et aménagements liés aux infrastructures linéraires de transport, sources importante de fragmentation des paysages, doivent intégrer cette nouvelle politique via le respect des orientations nationales Trame Verte et Bleue et la prise en compte des Schémas Régionaux de Cohérence écologique (S.R.C.E.). Ceux-ci doivent identifier à l'échelle régionale les zones de conflit entre les continuités écologiques et les infrastructures linéaires de transport. La localisation et l'importance de telles zones restent toutefois assez limités et nécessitent souvent d'améliorer en amont l'état de la connaissance sur la contribution des infrastructures à la fragmentation. Face à ce constat, la Direction Territoriale Nord-Picardie du CEREMA a souhaité étudier la possibilité de réexploiter la méthodologie proposée par l'Agence Européenne de l'Environnement, en la transposant à l'échelle de connexion entre 2 individus d'une même espèce, a pour objectif de caractériser quantitativement et de manière globale la fragmentation, de préciser la contribution de chacun des modes de transport (routier, ferré et fluvial) à ce phénomène et de mettre en évidence les effets de cumul d'infrastructures.
  192. Study report (Ceremadoc) Analyse multi-échelle de la fragmentation de l'inter-région Nord- Pas-de-Calais Picardie par les infrastructures linéaires de transport

    En 2011, l'étude de l'Agence européenne de l'environnement (A.E.E.) sur les niveaux de fragmentation des pays européens, classe les régions du Nord de la France et de Paris parmi celles qui sont les plus touchées. Or d'après eux, la fragmentation est l'une des principales causes d'érosion de la biodiversité à l'échelle européenne, et plus largement à l'échelle planétaire. Elle est responsable d'une diminution des surfaces d'habitat disponible et d'une augmentation de leur isolement, affectant ainsi les espèces qui en dépendent. Pour répondre à cet enjeu de préservation de la biodiversité via une réduction de la fragmentation, la France a mis en place la politique Trame Verte et Bleue qui vise à préserver et restaurer les continuités écologiques des territoires. Les politiques et aménagements liés aux infrastructures linéraires de transport, sources importante de fragmentation des paysages, doivent intégrer cette nouvelle politique via le respect des orientations nationales Trame Verte et Bleue et la prise en compte des Schémas Régionaux de Cohérence écologique (S.R.C.E.). Ceux-ci doivent identifier à l'échelle régionale les zones de conflit entre les continuités écologiques et les infrastructures linéaires de transport. La localisation et l'importance de telles zones restent toutefois assez limités et nécessitent souvent d'améliorer en amont l'état de la connaissance sur la contribution des infrastructures à la fragmentation. Face à ce constat, la Direction Territoriale Nord-Picardie du CEREMA a souhaité étudier la possibilité de réexploiter la méthodologie proposée par l'Agence Européenne de l'Environnement, en la transposant à l'échelle de connexion entre 2 individus d'une même espèce, a pour objectif de caractériser quantitativement et de manière globale la fragmentation, de préciser la contribution de chacun des modes de transport (routier, ferré et fluvial) à ce phénomène et de mettre en évidence les effets de cumul d'infrastructures.
  193. Study report (Ceremadoc) Le transport de matières dangereuses dans la région Nord-Pas-de-Calais : Estimation des flux et des risques liés au TMD

    La prévention des risques et les modalités d'intervention en situation de crise sont des enjeux importants sur lesquels l'Etat, en particulier les services du ministère de l'Ecologie, du Developpement Durable et de l'Energie (MEDDE) dans la Région, doivent se construire une connaissance, un discours et des critères d'aide à la décision. Dans le cadre d'un programme d'ensemble sur la prise en compte des risques, la DDTM du Pas-de-Calais a souhaité en particulier, disposer de données et de méthodes pour mieux caractériser et décliner dans ses missions, l'aspect du transport de matière dangereuse. L'objectif est d'élaborer, à terme, une politique de prévention du risque (urbanisme, réglementation de la circulation) et de disposer d'un outil d'aide à la décision adaptée à la préparation de crise. Dans cette perspective, la DDTM du Pas-de-Calais a associé la DDTM du Nord et la DREAL Nord Pas-de-Calais pour confier au Cerema Nord Picardie une étude visant à mieux connaître les flux de Transport de Matières Dangereuses (TMD) et les risques inhérents à ce type de transport sur la Région. L'estimation des volumes et des flux de matières dangereuses transportés constitue la première dimension de l'étude. Elle permet en particulier d'identifier les types de matières dangereuses transportées et les modes de transports privilégiés. L'estimation du risque lié au transport de matières dangereuses représente le deuxième aspect de l'étude. Enfin, des premières pistes d'actions pour les services de l'Etat permettant une meilleure prise en compte des risques pour ce type de transport sont proposées. Ces pistes d'actions peuvent être : l'élaboration d'un schéma d'itinéraires TMD, la mise en cohérence des réglementations, l'intégration des itinéraires TMD dans les documents de planification...
  194. Study report (Ceremadoc) Le transport de matières dangereuses dans la région Nord-Pas-de-Calais : Estimation des flux et des risques liés au TMD

    La prévention des risques et les modalités d'intervention en situation de crise sont des enjeux importants sur lesquels l'Etat, en particulier les services du ministère de l'Ecologie, du Developpement Durable et de l'Energie (MEDDE) dans la Région, doivent se construire une connaissance, un discours et des critères d'aide à la décision. Dans le cadre d'un programme d'ensemble sur la prise en compte des risques, la DDTM du Pas-de-Calais a souhaité en particulier, disposer de données et de méthodes pour mieux caractériser et décliner dans ses missions, l'aspect du transport de matière dangereuse. L'objectif est d'élaborer, à terme, une politique de prévention du risque (urbanisme, réglementation de la circulation) et de disposer d'un outil d'aide à la décision adaptée à la préparation de crise. Dans cette perspective, la DDTM du Pas-de-Calais a associé la DDTM du Nord et la DREAL Nord Pas-de-Calais pour confier au Cerema Nord Picardie une étude visant à mieux connaître les flux de Transport de Matières Dangereuses (TMD) et les risques inhérents à ce type de transport sur la Région. L'estimation des volumes et des flux de matières dangereuses transportés constitue la première dimension de l'étude. Elle permet en particulier d'identifier les types de matières dangereuses transportées et les modes de transports privilégiés. L'estimation du risque lié au transport de matières dangereuses représente le deuxième aspect de l'étude. Enfin, des premières pistes d'actions pour les services de l'Etat permettant une meilleure prise en compte des risques pour ce type de transport sont proposées. Ces pistes d'actions peuvent être : l'élaboration d'un schéma d'itinéraires TMD, la mise en cohérence des réglementations, l'intégration des itinéraires TMD dans les documents de planification...
  195. Study report (Ceremadoc) Améliorations de la perméabilité écologique de la RN2 : section Hautmont-Beaufort

    L'autorisation de la construction de la section Hautmont-Beaufort de la RN2 liaison Avesnes-sud - Maubeuge sud s'est accompagnée de la définition de mesures de réduction et de compensation des impacts sur la biodiversité avec engagement des services de l'Etat à les mettre en oeuvre. L'inspection préalable à la Mise en Service (IPMS), menée en août 2011 par la Direction territoriale Est du CEREMA, suite à la réalisation des travaux de construction a toutefois mis en avant l'absence de mise en oeuvre d'une bonne partie de ces mesures et/ou de sérieux manques dans leur réalisation, amenant la conclusion suivante : "le projet réalisé n'a pas pris en compte l'ensemble des engagements de l'état, ni respecté les arrêtés d'autorisation "loi sur l'eau". Face à ce constat, la DREAL Nord/Pas-de-Calais en tant que maîtrise d'ouvrage a sollicité son maître d'oeuvre, le Service d'Ingénierie Routière de l'Ouest de la DIR Nord, afin de régler les problèmes identifiés et de répondre ainsi aux engagements pris. Pour ce faire, le SIR Ouest a en collaboration avec la Dter Est du Cerema définit un parti d'aménagemenent et a ensuite sollicité la DTer Nord-Picardie afin de les accompagner dans la définition du contenu technique de ces mesures. Nous avons procédé à une analyse complète de la fonctionnalité écologique des ouvrages dédiés spécifiquement ou non à la faune via des visites de terrain et la méthode du piégeage photographique. Cette analyse a permis de mettre en évidence les évolutions à apporter (plantations, mise en place de banquettes écologiques, etc.) dans la mise en oeuvre du parti d'aménagement au regard de la fonctionnalité écologique actuelle des ouvrages, de la faisabilité technique de mise en oeuvre, et de la situation actuelle. L'objectif général de la démarche étant de pouvoir apporter suffisamment de précisions techniques à la maîtrise d'ouvrage d'art afin qu'elle puisse établir un cahier des clauses techniques et particulières et lancer ainsi une consultation d'entreprises. L'amélioration de la fonctionnalité écologique des ouvrages trouvera son efficacité optimum avec la réalisation par les acteurs du territoire, d'un ensemble d'actions en faveur de la biodiversité et des continuités écologiques (mise en oeuvre de la Trame Verte et Bleue (TVB).
  196. Study report (Ceremadoc) Améliorations de la perméabilité écologique de la RN2 : section Hautmont-Beaufort

    L'autorisation de la construction de la section Hautmont-Beaufort de la RN2 liaison Avesnes-sud - Maubeuge sud s'est accompagnée de la définition de mesures de réduction et de compensation des impacts sur la biodiversité avec engagement des services de l'Etat à les mettre en oeuvre. L'inspection préalable à la Mise en Service (IPMS), menée en août 2011 par la Direction territoriale Est du CEREMA, suite à la réalisation des travaux de construction a toutefois mis en avant l'absence de mise en oeuvre d'une bonne partie de ces mesures et/ou de sérieux manques dans leur réalisation, amenant la conclusion suivante : "le projet réalisé n'a pas pris en compte l'ensemble des engagements de l'état, ni respecté les arrêtés d'autorisation "loi sur l'eau". Face à ce constat, la DREAL Nord/Pas-de-Calais en tant que maîtrise d'ouvrage a sollicité son maître d'oeuvre, le Service d'Ingénierie Routière de l'Ouest de la DIR Nord, afin de régler les problèmes identifiés et de répondre ainsi aux engagements pris. Pour ce faire, le SIR Ouest a en collaboration avec la Dter Est du Cerema définit un parti d'aménagemenent et a ensuite sollicité la DTer Nord-Picardie afin de les accompagner dans la définition du contenu technique de ces mesures. Nous avons procédé à une analyse complète de la fonctionnalité écologique des ouvrages dédiés spécifiquement ou non à la faune via des visites de terrain et la méthode du piégeage photographique. Cette analyse a permis de mettre en évidence les évolutions à apporter (plantations, mise en place de banquettes écologiques, etc.) dans la mise en oeuvre du parti d'aménagement au regard de la fonctionnalité écologique actuelle des ouvrages, de la faisabilité technique de mise en oeuvre, et de la situation actuelle. L'objectif général de la démarche étant de pouvoir apporter suffisamment de précisions techniques à la maîtrise d'ouvrage d'art afin qu'elle puisse établir un cahier des clauses techniques et particulières et lancer ainsi une consultation d'entreprises. L'amélioration de la fonctionnalité écologique des ouvrages trouvera son efficacité optimum avec la réalisation par les acteurs du territoire, d'un ensemble d'actions en faveur de la biodiversité et des continuités écologiques (mise en oeuvre de la Trame Verte et Bleue (TVB).
  197. Study report (Ceremadoc) Étude sur les passages à faune potentiels sur le réseau routier national francilien (A13 PR13 - PR23) : Tome 1

    La DRIEE souhaite mettre à jour les données du SRCE concernant les passages à grande et petite faune à réaliser l’inventaire des « Passages contraints au niveau d’un ouvrage sur une infrastructure linéaire », des « Secteurs riches en mares et mouillères recoupés par des infrastructures de transport » et des « milieux humides alluviaux recoupés par des infrastructures de transport ». Sur le tronçon PR13 – PR23 de l’A13, le SRCE identifie quatre « Passages contraints au niveau d’un ouvrage sur une infrastructure linéaire » notés P. L’étude qui suit permet quant à elle de recenser 21 passages à faune potentiels dont il restera à définir la fonctionnalité écologique avant de les intégrer à la liste des points de fragilité P, M ou H. Les sources mobilisées apportent un complément d’information substantiel par rapport à celle du SRCE. La source de données la plus complète est le plan AUTOCAD accompagné de son diagnostic assainissement de la DIRIF. Cependant, cette donnée n’est pas disponible sur l’ensemble du réseau. Les BDTOPO 2.0 et 2.1, les tables infrastructures du SRCE ou encore le SCAN25 offrent une information partielle sur les petits ouvrages hydrauliques, mais apportent une information complète en matière d’ouvrage d’art. En dernier lieu, une analyse du temps passé pour traiter les différentes sources de données permet de définir une méthode de recensement des passages à faune potentiels à l’échelle du réseau géré par la DIRIF. La phase de visite de terrain permet de valider les points, affiner la méthode de recensement et préciser la fonctionnalité des passages potentiels
  198. Study report (Ceremadoc) Label EcoQuartier et biodiversité, Evaluation de 7 EcoQuartiers

    Sept écoquartiers labellisés ou en cours de labellisation ont été choisis pour être évalués en termes de résultats sur leur prise en compte de la biodiversité. A partir d'une grille d'analyse établie dans le cadre de cette étude, le regard est porté sur diverses facettes : la superficie et la localisation des zones de pleine terre, les milieux naturels présents et les équipements dédiés à la faune, le rôle du bâti, les continuités vertes et les fonctionnalités de ces continuités, les aménités et les services rendus, les données sur la flore et la faune présentes, la gestion, la communication et la sensibilisation, et enfin sur les indicateurs de suivi utilisés. A partir de ces sept études de cas, nous proposons une définition d'un niveau moyen des labels EcoQuartiers 2014 sur le sujet de la biodiversité.
  199. Study report (Ceremadoc) Étude sur les passages à faune potentiels sur le réseau routier national non concédé francilien (A13 PR13 – PR23) : Forêt de Marly

    La Direction Régionale et Interdépartementale de l’Environnement et de l’Energie (DRIEE) souhaite mettre à jour les données du SRCE concernant les passages à grande et petite faune à réaliser l’inventaire des « Passages contraints au niveau d’un ouvrage sur une infrastructure linéaire », des « Secteurs riches en mares et mouillères recoupés par des infrastructures de transport » et des « milieux humides alluviaux recoupés par des infrastructures de transport ». Sur le tronçon PR13 – PR23 de l’A13, le SRCE identifie quatre « Passages contraints au niveau d’un ouvrage sur une infrastructure linéaire » notés P. L’étude qui suit permet quant à elle de recenser 21 passages à faune potentiels dont il restera à définir la fonctionnalité écologique avant de les intégrer à la liste des points de fragilité P, M ou H. Les sources mobilisées apportent un complément d’information substantiel par rapport à celle du Schéma Régional de Cohérence Écologique (SRCE). La source de données la plus complète est le plan AUTOCAD accompagné de son diagnostic assainissement de la direction des routes d'Île-de-France (DIRIF). Cependant, cette donnée n’est pas disponible sur l’ensemble du réseau. Les BDTOPO 2.0 et 2.1, les tables infrastructures du SRCE ou encore le SCAN25 offrent une information partielle sur les petits ouvrages hydrauliques, mais apportent une information complète en matière d’ouvrage d’art. En dernier lieu, une analyse du temps passé pour traiter les différentes sources de données permet de définir une méthode de recensement des passages à faune potentiels à l’échelle du réseau géré par la DIRIF. La phase de visite de terrain permet de valider les points, affiner la méthode de recensement et préciser la fonctionnalité des passages potentiels.
  200. Study report (Ceremadoc) Retour d'EXpérience des intempéries sur les départements de l'Hérault et du Gard de septembre à décembre 2014. Rapport d'expertise sur la commune de Grabels

    Suite aux inondations de mi-septembre à début décembre 2014 dans les départements de l'Hérault et du Gard, la DDTM 34 et la DDTM 30 ont sollicité la Direction Territoriale Méditerranée du CEREMA pour un retour d'EXpérience (REX) sur 9 communes concernées par des demandes d'acquisitions de maisons impactées par ces inondations et susceptibles d'être concernées par le dispositif d'acquisition de biens exposés au sens du FPRNM (Financement par le fonds de prévention des risques naturels majeurs). L'objectif de ce REX porte sur la caractérisation de l'événement (hydrologie, hydraulique et dommages) avec identification de son origine (débordement de cours d'eau et/ou ruissellement pluvial), l'établissement d'une analyse objective des cas où des mesures foncières sont à mettre en oeuvre. Le présent rapport concerne la commune de Grabels.
  201. Study report (Ceremadoc) Retour d'EXpérience des intempéries sur les départements de l'Hérault et du Gard de septembre à décembre 2014. Rapport d'expertise sur la communes de Lamalou-les-Bains

    Suite aux inondations de mi-septembre à début décembre 2014 dans les départements de l'Hérault et du Gard, la DDTM 34 et la DDTM 30 ont sollicité la Direction Territoriale Méditerranée du CEREMA pour un retour d'EXpérience (REX) sur 9 communes concernées par des demandes d'acquisitions de maisons impactées par ces inondations et susceptibles d'être concernées par le dispositif d'acquisition de biens exposés au sens du FPRNM (Financement par le fonds de prévention des risques naturels majeurs). L'objectif de ce REX porte sur la caractérisation de l'événement (hydrologie, hydraulique et dommages) avec identification de son origine (débordement de cours d'eau et/ou ruissellement pluvial), l'établissement d'une analyse objective des cas où des mesures foncières sont à mettre en oeuvre. Le présent rapport concerne la commune de Lamalou-les-Bains.
  202. Study report (Ceremadoc) Retour d'EXpérience des intempéries sur les départements de l'Hérault et du Gard de septembre à décembre 2014. Rapport d'expertise sur la commune de Bélarga

    Suite aux inondations de mi-septembre à début décembre 2014 dans les départements de l'Hérault et du Gard, la DDTM 34 et la DDTM 30 ont sollicité la Direction Territoriale Méditerranée du CEREMA pour un retour d'EXpérience (REX) sur 9 communes concernées par des demandes d'acquisitions de maisons impactées par ces inondations et susceptibles d'être concernées par le dispositif d'acquisition de biens exposés au sens du FPRNM (Financement par le fonds de prévention des risques naturels majeurs). L'objectif de ce REX porte sur la caractérisation de l'événement (hydrologie, hydraulique et dommages) avec identification de son origine (débordement de cours d'eau et/ou ruissellement pluvial), l'établissement d'une analyse objective des cas où des mesures foncières sont à mettre en oeuvre. Le présent rapport concerne la commune de Bélarga.
  203. Study report (Ceremadoc) Cartographie de référence sur les risques naturels inondations et mouvements de terrain

    Suite aux orages catastrophiques du 25 juillet 2014 sur le territoire de la Communauté de Communes du Vallon de l'Artolie, une cartographie informative de référence a été réalisée par le Cerema/DTerSO/Laboratoire de BORDEAUX. Elle permet aux élus d'optimiser la gestion de leur territoire en terme d'urbanisme et d'engager une politique globale de prévention des risques. Ce rapport présente les résultats des observations et des mesures de réduction de la vulnérabilité en matière d'inondations et de mouvements de terrain.
  204. Study report (Ceremadoc) Cartographie de référence sur les risques naturels inondations et mouvements de terrain

    Suite aux orages catastrophiques du 25 juillet 2014 sur le territoire de la Communauté de Communes du Vallon de l'Artolie, une cartographie informative de référence a été réalisée par le Cerema/DTerSO/Laboratoire de BORDEAUX. Elle permet aux élus d'optimiser la gestion de leur territoire en terme d'urbanisme et d'engager une politique globale de prévention des risques. Ce rapport présente les résultats des observations et des mesures de réduction de la vulnérabilité en matière d'inondations et de mouvements de terrain.
  205. Study report (Ceremadoc) Mission de parangonnage 2015 : Analyse des stratégies de reconstruction post-catastrophe dans une perspective d'amélioration de la résilience territoriale : étude de cas des inondations de 1996 au Saguenay-Lac-Saint-Jean (Québec)

    De nombreux rapports ont fait état du rôle crucial de la phase dite « post-catastrophe », ou encore de « reconstruction », dans la réduction de vulnérabilité des territoires sinistrés. Cependant, il n’existe pas à ce jour d’outils ou de méthodes disponibles permettant d'envisager la mise en place d'un plan d'actions post-inondation. Afin d'explorer cette nouvelle approche potentielle d'une politique de réduction de vulnérabilité territoriale, cette mission s'est concentrée essentiellement sur l'analyse des conditions actuelles de la reconstruction et sur l'exploration des modes d'actions possibles suite aux inondations de 1996 au Saguenay-Lac-Saint-Jean (Québec). La mission avait pour objectif de : 1. faire un retour d'expérience de l'événement afin de comprendre le processus de "reconstruction" du territoire suite à cette catastrophe et dresser un calendrier des actions post-crue qui ont été réalisées. Sur le terrain, nous nous intéresserons à visiter les lieux sinistrés par ces événements : le quartier du Bassin dans l'arrondissement de Chicoutimi, le quartier historique Saint-Alexis-de-Grande-Baie dans l'arrondissement de la Baie, les différents ouvrages hydrauliques impactés. 2. réaliser des entretiens d'acteurs ayant participé à la reconstruction du territoire post-catastrophe aux différentes échelles de gouvernances (locale, régionale, gouvernementale).
  206. Study report (Ceremadoc) Intégration des enjeux énergétiques et climatiques dans les SCoT : Proposition méthodologique ; Exemple du SCoT du Pays de la Vallée de la Sarthe

    Le présent rapport propose une méthode en plusieurs étapes, pour aider à l’identification et l’intégration des enjeux énergétiques et climatiques dans un projet de territoire et la démarche de SCoT. La méthodologie est présentée en 12 étapes pour faciliter sa reproductibilité. Les étapes 1 à 3 s’attachent à identifier les enjeux croisés énergétiques, climatiques et aménagement sur le territoire étudié. Les suivantes, 4 à 7 s’intéressent à la traduction de ces enjeux énergie-climat dans un projet de territoire et aboutissent ainsi à la définition de préconisations différenciées selon les étapes de l’élaboration du SCOT, le diagnostic et le PADD. A partir de ces préconisations, sont repérés des d’exemples de formulations et de prescriptions dans plusieurs SCOT récemment élaborés sur le territoire national (étape 8). Lors des étapes 9 et 10, une illustration de ces préconisations est proposée par une série d’hypothèses chiffrées définissant des objectifs ambitieux mais réalistes pour l’habitat, le tertiaire, les déplacements, l’occupation du sol, les énergies renouvelables. Par comparaison avec un scénario fil de l’eau, le scénario « SCOT 2030 » alors construit, permet d’évaluer les marges de manœuvre du territoire pour l’intégration des enjeux énergie-climat dans son projet d’aménagement et sa contribution à l’atténuation et l’adaptation au changement climatique. Enfin, lorsque le diagnostic de SCoT et le projet de PADD sont réalisés, les préconisations établies aux étapes 4 à 7 permettent leur analyse et l’identification des correspondances et des divergences. L’ensemble de ces étapes de travail vise à : - interroger la prise en compte des enjeux énergétiques et climatiques sur le territoire, - favoriser la sensibilisation des différents acteurs, - faciliter l’émergence de stratégies à l’échelle du territoire, en considérant les synergies entre thématiques sectorielles pour une vision systémique des problématiques énergie-climat. Les étapes sont mises en œuvre pour le Pays de la Vallée de la Sarthe, qui a produit en 2013 le diagnostic de SCot et en 2014 une première version de projet de PADD. Les analyses proposées en illustration de chaque étape méthodologique, ré-interrogent ces documents déjà élaborés pour favoriser une intégration plus complète des enjeux énergétiques et climatiques et améliorer la complémentarité entre PCET et SCoT.
  207. Study report (Ceremadoc) Commune de Saint-Nicolas du Pelem : Mesures de bruit dans l'environnement

    A la demande de la commune de Saint-Nicolas du Pelem, dans le département des Côtes d'Armor, le CEREMA/Direction Territoriale Ouest/Département Laboratoire de Saint-Brieuc est intervenu pour réaliser des mesures de bruit afin de définir les niveaux de bruit générés par l'exploitation d'une entreprise de transport sur la plate-forme de chargement/déchargement, chez un riverain. S'agissant d'une installation classée pour la protection de l'environnement soumise à déclaration, les indicateurs à mettre en évidence sont les niveaux de bruit en réception à l'extérieur du bâtiment d'habitation riverain et l'émergence de bruit (présence puis absence d'activités sur la plate-forme) à l'intérieur de l'habitation. On constate que le niveau de bruit en réception est supérieur à la valeur limite à ne pas dépasser et que l'émergence mesurée excède nettement la valeur réglementaire.
  208. Study report (Ceremadoc) Etude hydraulique de la mise à l'air libre du Gesvres aux abords du périphérique nantais

    Le périphérique de Nantes est régulièrement soumis à des phénomènes de débordement du Gesvres sur la chaussée, entre la porte de la Chapelle et le pont de la Beaujoire. Le groupe de travail mis en place spécifiquement sur ce sujet, et regroupant la DDTM 44, la DREAL des Pays de la Loire, Nantes Métropole, le Département de Loire-Atlantique, et la DIR Ouest a identifié une paire de buses pouvant jouer le rôle de bouchon hydraulique à proximité de l’infrastructure. Cette étude vise à étudier l’impact hydraulique de la suppression de ces buses et la remise à l’air libre du cours d’eau, sur environ 80 mètres. Cela nécessite dans un premier temps, de revenir sur les analyses hydrologiques effectuées dans les études antérieures, afin de caler les débits de projet. Ensuite, une modélisation hydraulique est réalisée afin de simuler les hauteurs d’eau atteintes par le Gesvres lors d’évènements relativement fréquents, de la crue annuelle à la crue décennale. Des mesures complémentaires, notamment la diminution du niveau de l’Erdre qui constitue une contrainte avale importante, sont enfin explorées. Il en ressort que la suppression de ces buses aurait un effet positif notable sur les crues du Gesvres, en diminuant fortement les hauteurs d’eau atteintes et donc les phénomènes de submersion de la voirie. Cet effet semble atténué en cas de crue de l’Erdre, dont la diminution du niveau hivernal pourrait constituer une autre piste de diminution de l’occurrence des inondations.
  209. Study report (Ceremadoc) Photo-interprétation pour la recherche d'indices de cavités souterraines : ORSI PRECAS 11R124 Axe 3

    Dans le cadre du sujet 3 de l’opération de recherche Prévention des risques d’effondrement des cavités souterraines (Precas), la direction territoriale Ouest (DTerOuest) du Cerema, Département laboratoire et CECP d’Angers a proposé de travailler, en partenariat avec le Pôle de compétences et innovation (PCI) « Applications satellitaires et télécommunications » du Cerema, direction territoriale Sud-Ouest, sur les potentialités des images satellitaires pour la recherche et la localisation d’indices de présence de cavités souterraines. Le présent rapport rend compte de l’état de l’art actuel de la photo-interprétation d’images aériennes verticales pour la recherche et la localisation de ces indices. À partir de deux études de cas réalisées sur des territoires communaux de la région Pays de la Loire (Saint-Cyr-en-Bourg, 49 et Thoiré-sur-Dinan, 72), cette étude montre que la photo-interprétation est une technique pertinente pour la recherche d’indices de cavités souterraines. Pour obtenir les meilleurs résultats possibles, la photo-interprétation doit faire l’objet d’une préparation soignée en amont, pour bien connaître le contexte territorial ainsi que la typologie des cavités recherchées. Cette préparation permet de choisir les photographies aériennes adaptées ainsi que les modes d’exploitation susceptibles d’être les plus efficients. Dans la majorité des cas, les meilleurs résultats seront atteints par : - une analyse stéréoscopique, - une analyse multi-dates, - une analyse de missions à grande échelle, - l’utilisation d’images noir et blanc (panchromatique et infrarouge proche). Il est à noter toutefois un certain nombre de limites, inhérentes aux photographies aériennes, aux indices recherchés ou au photo-interprète, dont les principales sont : - nombreux objets correspondant à des leurres non liés à des cavités souterraines (en lien avec l’occupation du sol, notamment agricole), - zones masquées (forêts, zones urbaines…), - indices visibles à certaines dates et invisibles à d’autres, - erreurs métriques à plurimétriques sur la position réelle des objets, - rendement qualitatif et quantitatif très dépendant de la compétence du photo-interprète.
  210. Study report (Ceremadoc) Modélisation hydraulique de plusieurs cours d'eau sur la commune de Porto-Vecchio

    La DDTM de Corse-du-Sud a confié au CEREMA la réalisation d'une étude hydraulique qur la commune de Porto-Vecchio. L'objectif de cette étude est de venir compléter l'étude hydraulique sur le Stabiacciu ayant servi à l'élaboration du PPRI, sur des secteurs à enjeux localisés dans des bassins versants couverts par la cartographie géomorphologique issue de l'Atlas des Zones Inondables. Ces secteurs à enjeux ont été définis sur proposition de la commune de Porto-Vecchio. Cette étude comprend une analyse hydrologique qui a permis de proposer des débits de référence sur chaque cours d'eau étudié. La modélisation hydraulique a été réalisée avec le logiciel de calcul HEC-RAS permettant de quantifier les hauteurs d'eau et les vitesses d'écoulement. Ces deux éléments conduisant à la qualification de l'aléa inondation sur les différents secteurs d'étude.
  211. Study report (Ceremadoc) Modélisation hydraulique de plusieurs cours d'eau sur la commune de Porto-Vecchio

    La DDTM de Corse-du-Sud a confié au CEREMA la réalisation d'une étude hydraulique qur la commune de Porto-Vecchio. L'objectif de cette étude est de venir compléter l'étude hydraulique sur le Stabiacciu ayant servi à l'élaboration du PPRI, sur des secteurs à enjeux localisés dans des bassins versants couverts par la cartographie géomorphologique issue de l'Atlas des Zones Inondables. Ces secteurs à enjeux ont été définis sur proposition de la commune de Porto-Vecchio. Cette étude comprend une analyse hydrologique qui a permis de proposer des débits de référence sur chaque cours d'eau étudié. La modélisation hydraulique a été réalisée avec le logiciel de calcul HEC-RAS permettant de quantifier les hauteurs d'eau et les vitesses d'écoulement. Ces deux éléments conduisant à la qualification de l'aléa inondation sur les différents secteurs d'étude.
  212. Study report (Ceremadoc) Expertise suite à la crue du 2 octobre 2015 en Haute-Corse. Commune de Penta-di-Casinca

    Suite aux intempéries du 2 octobre 2015 dans le département de Haute-Corse, la DREAL a sollicité la Direction territoriale Méditerranée du CEREMA pour une expertise ponctuelle sur la commune de Penta-di-Casinca sur le rives du Fium Alto. Sur cette commune des maisons inondées pourraient être concernées par le dispositif d'acquisition du Fonds de Prévention des Risques Naturels Majeurs (FPRNM ou fonds Barnier). L'objectif de cette expertise est de caractériser au mieux des informations disponibles sur l'événement (Hydrologie - hydraulique et dommages) et d'établir une analyse technique des constructions qui pourraient bénéficier du dispositif d'acquisition du FPRNM.
  213. Study report (Ceremadoc) Expertise suite à la crue du 2 octobre 2015 en Haute-Corse. Commune de Penta-di-Casinca

    Suite aux intempéries du 2 octobre 2015 dans le département de Haute-Corse, la DREAL a sollicité la Direction territoriale Méditerranée du CEREMA pour une expertise ponctuelle sur la commune de Penta-di-Casinca sur le rives du Fium Alto. Sur cette commune des maisons inondées pourraient être concernées par le dispositif d'acquisition du Fonds de Prévention des Risques Naturels Majeurs (FPRNM ou fonds Barnier). L'objectif de cette expertise est de caractériser au mieux des informations disponibles sur l'événement (Hydrologie - hydraulique et dommages) et d'établir une analyse technique des constructions qui pourraient bénéficier du dispositif d'acquisition du FPRNM.
  214. Study report (Ceremadoc) Gapeau (Le) à Hyères. Amélioration de la courbe de tarage de la station de Sainte Eulalie

    La station hydrométrique de Sainte Eulalie sur le Gapeau, gérée par la DREAL PACA, est située à l'amont de la ville de Hyères. Elle est utilisée pour la prévision des crues dans le cadre de la procédure nationale de vigilance crues (Vigicrues). Il est, par conséquent, essentiel de disposer d'une courbe de tarage fiable pour les débits élevés. Cette étude a pour objectif de consolider la courbe de tarage actuelle et d'en proposer une extrapolation pour les débits de crue, ceci à l'aide des données disponibles (jaugeages, études antérieures, topographie). L'étude comprend : une proposition de nouvelle courbe de tarage pour le débit en lit majeur à la station de Sainte Eulalie - une étude de faisabilité pour la réalisation d'une courbe de tarage qui intègre le débit qui s'écoule en lit majeur. Elle montre qu'il est possible de réaliser une telle courbe, à condition de disposer de données topographiques complémentaires.
  215. Study report (Ceremadoc) Gapeau (Le) à Hyères. Amélioration de la courbe de tarage de la station de Sainte Eulalie

    La station hydrométrique de Sainte Eulalie sur le Gapeau, gérée par la DREAL PACA, est située à l'amont de la ville de Hyères. Elle est utilisée pour la prévision des crues dans le cadre de la procédure nationale de vigilance crues (Vigicrues). Il est, par conséquent, essentiel de disposer d'une courbe de tarage fiable pour les débits élevés. Cette étude a pour objectif de consolider la courbe de tarage actuelle et d'en proposer une extrapolation pour les débits de crue, ceci à l'aide des données disponibles (jaugeages, études antérieures, topographie). L'étude comprend : une proposition de nouvelle courbe de tarage pour le débit en lit majeur à la station de Sainte Eulalie - une étude de faisabilité pour la réalisation d'une courbe de tarage qui intègre le débit qui s'écoule en lit majeur. Elle montre qu'il est possible de réaliser une telle courbe, à condition de disposer de données topographiques complémentaires.
  216. Study report (Ceremadoc) National climate change adaptation plan - Transportation infrastructures and systems, action 1 : Potential impacts of climate change on transportation infrastructures and systems, on their design, maintenance and operation standards, and the need for deta

    Cette étude a pour but d'analyser les impacts potentiels du changement climatique sur le design, la maintenance des infrastructures de transport et relate l'action n°1 des systèmes d'infrastructure de transport du plan national d'adaptation au changement climatique adopté par la France en 2011
  217. Study report (Ceremadoc) Exploitation des données du portail DRIAS pour l'étude des épisodes de chaleurs extrêmes - Exemple de la Région Rhône-Alpes

    Ce document propose un recensement des indices de chaleur trouvés dans différentes études climatiques et sources bibliographiques afin de réaliser des traitements pertinents de données de projections climatiques pour l’étude des épisodes de chaleur extrême. (Partie II) Il propose également un recensement des données disponibles sur le portail Drias pouvant permettre de calculer les indices de chaleur considérés comme pertinents pour le cas d’étude choisi. Les types de données concernées sont les simulations et modèles climatiques, les scénarios d’émission du Groupe intergouvernemental d’Experts sur le Climat (GIEC), les données corrigées (températures, précipitations, vent, humidité, rayonnement) et les indices calculés associés à ces données. (Partie III) L’exploitation des données du portail Drias est réalisée via un outil de traitement SIG, ce qui permet d’obtenir des cartes pour la région Rhône-Alpes, le département du Rhône et l’agglomération lyonnaise. Les différentes étapes de réalisation des cartes ainsi que les résultats obtenus sont décrits dans la partie IV du rapport
  218. Study report (Ceremadoc) Changement (le) climatique et ses effets en Haute Normandie (mai 2015)

    « Le réchauffement du système climatique est sans équivoque » (source : 5ème rapport du GIEC)) - Quelles incidences sur nos bâtiments ? Le changement climatique a une forte incidence sur le confort d'été des bâtiments (habitation et tertiaire) ainsi que sur l'augmentation des fréquences de canicules et l'amplification de l'effet « îlot de chaleur ». - Comment anticiper et s'adapter à ces effets ? Cette étude vous est présentée sous la forme de panneaux : 2 généraux sur les effets du changement climatique en Haute-Normandie suivis des 5 premières études de cas mettant en avant les qualités de bâtiments permettant de faire face aux effets du changement climatique.
  219. Study report (Ceremadoc) Changement (le) climatique et ses effets en Haute Normandie (mai 2015)

    « Le réchauffement du système climatique est sans équivoque » (source : 5ème rapport du GIEC)) - Quelles incidences sur nos bâtiments ? Le changement climatique a une forte incidence sur le confort d'été des bâtiments (habitation et tertiaire) ainsi que sur l'augmentation des fréquences de canicules et l'amplification de l'effet « îlot de chaleur ». - Comment anticiper et s'adapter à ces effets ? Cette étude vous est présentée sous la forme de panneaux : 2 généraux sur les effets du changement climatique en Haute-Normandie suivis des 5 premières études de cas mettant en avant les qualités de bâtiments permettant de faire face aux effets du changement climatique.
  220. Edition (Ceremadoc) Plan National d’Adaptation au Changement Climatique (PNACC) volet infrastructures et systèmes de transport : Action 1 : Impacts potentiels du changement climatique sur les infrastructures et systèmes de transport, sur leurs référentiels de conception, ent

    Pour faire face à ces impacts, la France a mis en application en 2011 et pour une durée de cinq ans un Plan National d’Adaptation au Changement Climatique (PNACC). Ce plan couvre notamment le domaine des transports, pour lequel différentes actions d’adaptation à court, moyen et long termes ont été décidées. Ces actions concernent les infrastructures aéroportuaires, fluviales, maritimes, portuaires et routières, installations de transport par câbles, ouvrages d’art et en terre et remontées mécaniques. À la demande de la Direction Générale des Infrastructures de Transport et de la Mer (DGITM), ces actions ont été mises en œuvre par le Cerema, en lien avec plusieurs directions techniques et territoriales du Cerema, IFRECOR, RFF, la SNCF, le STAC, le STRMTG et VNF. ACTION 1 L’action 1 s’intéresse à l’adaptation des référentiels de conception, d’entretien et d’exploitation des infrastructures de transport aux futures conditions climatiques standard. L’objectif du travail a été d’identifier les référentiels à adapter et les projections climatiques nécessaires à leur adaptation. Le présent rapport présente la démarche réalisée pour mettre en œuvre ce travail. Cette démarche s’est notamment basée sur l’analyse des principales évolutions climatiques attendues en France, leurs impacts potentiels sur les infrastructures de transport. Des référentiels techniques (guides, notes d’information, etc.), réglementaires (arrêtés, circulaires, etc.) et normes de conception, d’entretien et d’exploitation des infrastructures qui s’appuient sur des variables climatiques ont été listés et catégorisés par priorité d’adaptation. L’expression « variables climatiques » est envisagée ici au sens large du terme : valeurs de température, de pluviométrie, de vent ou encore, simple mention à des aléas de type inondation, tempête, chute de neige, etc. Enfin, une liste de demandes de projections climatiques nécessaires à l’adaptation des référentiels a été établie. Il est prévu de poursuivre ce travail par l’étude des demandes de projections climatiques et enfin, l’adaptation des référentiels retenus.
  221. Edition (Ceremadoc) Plan National Adaptation au Changement climatique : Évaluation des enjeux trafic via l’utilisation d’un modèle de déplacement

    Ce document a été élaboré sous le pilotage de la DTecITM par le PCI "Méthodes, Outils et Démarches pour la Modélisation et l’Organisation des Déplacements". Le PCI vise à proposer des évolutions dans la manière de conduire les études de déplacements afin de pouvoir répondre aux attentes sociétales complexes relevant directement ou indirectement de ce domaine d’investigations. La modélisation des déplacements est donc la cible principale du PCI mais il a aussi vocation à proposer, spécifier ou améliorer d’autres démarches, méthodes et outils pour permettre une prise en compte plus large et plus efficace des enjeux de déplacements. Le PCI est situé à la DTer Normandie-Centre. Le rapport présente la démarche suivie par le PCI Modélisation pour effectuer des analyses d’enjeux sur des réseaux de transports en vue de la création d’un guide méthodologique sur l’adaptation au changement climatique.
  222. Edition (Ceremadoc) Coût des protections contre les inondations fluviales

    La présente étude est destinée à servir de référence pour l’évaluation des coûts des ouvrages dans le domaine fluvial. En ce sens elle présente, d’une part une méthodologie de calcul du coût global actualisé d’un ouvrage, et d’autre part une synthèse des coûts observés en France au cours des dix dernières années. Les coûts présentés sont issus de deux approches complémentaires : estimation des coûts annuels linéaires liés aux investissements, à l’entretien et à la gestion des ouvrages sur la base des dépenses de trois grands parcs d’ouvrages : la Loire, le Rhône et l’Isère, estimation du coût des interventions au travers l’étude des marchés de travaux réalisés depuis 2001 en France métropolitaine. L’analyse a porté sur 140 opérations mettant en œuvre les principales techniques de construction, reconstruction, confortement, réparation ou maintenance. Destination de l'étude. Mode d'élaboration de l'étude 1 Évaluation du coût global actualisé de la création, réfection ou du renforcement d'un ouvrage 1.1 Principe de calcul du coût global actualisé 1.2 Séquence de calcul du coût global actualisé 2 Dépenses observées à l’échelle des parcs (investissement, entretien, gestion) 2.1 Spécificités des ouvrages et terminologie liée aux dépenses. 2.2 Méthodologie pour l’estimation des dépenses à l’échelle des parcs 2.3 Étude des dépenses sur trois grands parcs français 2.4 Comparaison des dépenses observées sur les parcs 3 Composition des ouvrages et autres facteurs influençant les coûts d’intervention 3.1 Typologie des ouvrages et facteurs déterminants essentiels 3.2 Forme, composition et fonction des ouvrages 3.3 Influence de la forme et la composition des ouvrages sur le coût 3.4 Coût des mesures opérationnelles et d’accompagnement 3.5 Composition du coût d’une intervention 4 Méthodologie relative aux coûts des marchés de travaux 4.1 Les produits de sortie de l'analyse 4.2 Organisation des données d'entrée 4.3 Mode opératoire de traitement des données 4.4 Forme de la restitution des résultats 5 Coûts observés sur les digues 5.1 Synthèse des coûts observés sur les digues 5.2 Détail des coûts observés sur les digues 6 Coûts observés sur les perrés, murs et ouvrages de soutènement 6.1 Synthèse des coûts observés 6.2 Détail des coûts observés sur les perrés 6.3 Détail des coûts observés sur les murs de soutènement 7 Coûts observés sur les épis et les dispositifs de rétention 7.1 Synthèse des coûts observés sur les épis et les dispositifs de rétention 7.2 Détail des coûts observés sur les épis 7.3 Détail des coûts observés sur les dispositifs de rétention 8 Analyse transversale des coûts des interventions et des techniques 8.1 Principe, méthode et bénéfices escomptés 8.2 Analyse des coûts globaux 8.3 Analyse du coût des techniques – coûts surfaciquesn 8.4 Analyse du coût des techniques – coûts volumiques 8.5 Analyse du coût des techniques – coûts massiques 9 Étude spécifique sur les terrassements 9.1 Objet de cette étude spécifique 9.2 Synthèse des coûts observés sur les terrassements 9.3 Détail des coûts observés sur les débroussaillages, déblais, dépôt, évacuation 9.4 Détail des coûts observés sur les remblais et les aménagements de surface 10 Étude spécifique sur les maçonneries 10.1 Objet de cette étude spécifique 10.2 Synthèse des coûts observés sur les maçonneries 10.3 Détail des coûts observés sur les maçonneries 11 Références
  223. Edition (Ceremadoc) Climat - réussir le changement - Volume 3 : Comprendre la complexité du changement climatique Volume 3 : Eléments scientifiques

    Cet ouvrage est à destination de tout public souhaitant comprendre la complexité des phénomènes en cause dans le processus de changement climatique en cours. Il fournit des clés pour comprendre les phénomènes physiques qui sous-tendent les évolutions du climat. Les membres du Groupe de Réflexion et d'Action pour l'Adaptation aux effets du Changement Climatique (GRAACC), piloté par RAEE et auquel participe la direction Territoires et ville du Cerema, ont contribué à la rédaction du présent document. Cet ouvrage complète un ensemble de deux volumes, également diffusé sur notre catalogue en ligne, portant sur la constitution d'une stratégie d'adaptation aux effets du changement climatique et l'organisation d'une démarche participative pour sa mise en œuvre. Introduction Quelques repères sur l'atmosphère Pour aller à l'essentiel FICHE 1 › Les facteurs de la variabilité climatique › Faire la différence entre la variabilité du climat et le changement climatique FICHE 2 › Le réchauffement global actuel › Comprendre le changement climatique, son origine et la diversité des situations locales FICHE 3 › Gaz à effet de serre et aérosols › Comprendre l’importance relative des gaz et aérosols mis en cause dans l’effet de serre additionnel FICHE 4 › Principes physico-chimiques impliqués dans l’effet de serre › Comprendre l’effet de serre et les déséquilibres introduits par l’Homme FICHE 5 › Puits de carbone versus sources de carbone › Comprendre le cycle du carbone et la nécessité de réduire les émissions de gaz à effet de serre FICHE 6 › Effets du changement d’affectation des terres et de l'agriculture › Comprendre l’importance du changement d’affectation des terres sur le climat FICHE 7 › Effets combinés de l’action de l’Homme sur l’atmosphère › Savoir considérer les interactions entre problématiques environnementales FICHE 8 › Changement climatique et océans › Apprécier le rôle fondamental des océans dans la régulation du climat FICHE 9 › Changement climatique et cryosphère › Clarifier le rôle et l’importance relative des composantes de la cryosphère FICHE 10 › Changement climatique et biodiversité › Savoir aborder la question de l’adaptation des milieux naturels aux effets du changement climatique FICHE 11 › Evénements météorologiques et climatiques extrêmes et leurs conséquences › Comprendre les difficultés d’appréciation de l’influence du changement climatique sur l’évolution des événements météorologiques et climatiques extrêmes Bibliographie Figures et tableaux
  224. Edition (Ceremadoc) Guide Enrochement - L’utilisation des enrochements dans les ouvrages hydrauliques : Traduction française du Rock Manual - 2nde édition - Manual for the use of rock in hydraulic engineering or Rock Manual.

    La France a été précurseur dans le domaine avec la publication en 1989 du Guide LCPC « les enrochements ». Le CIRIA (UK) a publié en 1991 un document plus complet, le « manual on the use of rock in coastal and shoreline engineering », généralement connu sous le nom de « rock manual ». Le CUR (NL) a procédé à la première mise à jour du « rock manual » en 1995 distribué sous le nom de « manual on the use of rock in hydraulic engineering » qui intégra les voies navigables et les aspects constructifs. L’objectif du guide est un document autoporteur de notoriété européenne sur les enrochements, les blocs artificiels, et leurs utilisations dans les ouvrages hydrauliques. La conception, le dimensionnement, les matériaux, la construction ainsi que la maintenance sont abordés. Le « rock manual – 2ème édition » est basé sur les trois manuels européens existants et prend en compte les derniers développements liés à la normalisation européenne, aux recherches en cours en Europe. Il intègre de nouvelles approches aussi bien sur l’aspect dimensionnement que prise en compte de l’environnement. 1. Introduction 2. Conception des ouvrages 3. Matériaux 4. Caractérisation du site et collecte des données 5. Phénomènes physiques et outils de dimensionnement 6. Conception des ouvrages à la mer 7. Conception des digues de fermetures et des barrages 8. Conception des ouvrages en rivière et canal 9. Construction 10. Surveillance, inspection, maintenance et réparation
  225. Edition (Ceremadoc) De l'évaluation des PPRN vers la résilience aux risques naturels : les enseignements de la Martinique

    Les travaux développés ces derniers mois sur la résilience des territoires aux aléas naturels mettent en évidence l’importance d’une gestion collective des risques. La réalisation d’un retour d’expérience après catastrophe, la définition d’un projet intégrant les risques, l’évaluation d’un document prescriptif sont des moments privilégiés pour entreprendre un travail collaboratif. Ces moments peuvent être conçus comme des processus de mise en relation de différentes collectivités publiques mais aussi de professionnels intervenants dans des champs d’activité où la question de la prévention mérite d’être intégrée : l’aménagement, la construction, la gestion des déplacements… Au-delà de son intérêt immédiat pour améliorer les documents eux-mêmes, la démarche d’évaluation des plans de prévention des risques naturels en Martinique, menée par la Deal, illustre la possibilité plus large qu’offre le PPRN de relier les acteurs pour activer la résilience aux risques naturels. 1. Introduction : PPRN et prévention des risques2. La Martinique : des spécificités en matière de vulnérabilité 2.1 Une urbanisation forte et inégalement répartie 2.2 Des vulnérabilités de différentes formes 2.3 Des risques de différentes natures 3. L’évaluation des PPRN en préalable à leur révision 3.1 Le PPRN : un outil réglementaire pour prévenir les effets des catastrophes naturelles 3.2 La démarche d’évaluation comme exercice pratique 4. Des indicateurs aux acteurs 4.1 L’évaluation par le recours à l’expertise 4.2 Pour chaque acteur : rapprocher principes et pratiques 5. Les enseignements 5.1 Les particularités à reconsidérer 5.2 Du projet à la règle et de la règle au projet 5.3 L’importance du rôle des instructeurs de l’urbanisme opérationnel 5.4 La connaissance à gérer 6. Conclusion : le PPRN, un catalyseur de résilience territoriale ?
  226. Edition (Ceremadoc) Monétarisation des impacts sur le bruit des projets routiers

    Ce rapport reprend tout d’abord les concepts de base de calcul de bruit. Il revient ensuite sur les principales méthodes de monétarisation du bruit et les valeurs et études de référence en Europe. Ensuite, une méthode de type top-down est appliquée en utilisant des cartes de bruit stratégiques en France et permet d’obtenir des coûts moyens du bruit. La quatrième partie est basée sur une méthode de type bottom-up qui permet de calculer un coefficient de marginalité du bruit à partir d’un modèle d’émission propagation de bruit simplifié. Enfin, une application est proposée sur un cas d’aménagement sur place sans l’utilisation d’une carte de bruit stratégique.
  227. Edition (Ceremadoc) Méthode de hiérarchisation de la vulnérabilité de la ressource en eau : Note d'information - Environnement-Santé-Risque n°1

    En phase travaux et en phase d’exploitation, les infrastructures routières peuvent être à l’origine de pollutions chroniques, saisonnières et accidentelles préjudiciables à la qualité et à la préservation des milieux aquatiques. Aussi afin de protéger les masses d'eaux souterraines et superficielles, des mesures de protection adaptées doivent être mises en œuvre. Pour définir ces mesures de protections, il est primordial de connaître la vulnérabilité des milieux aquatiques exposés. Cette méthode s'appuie sur la méthode présentée dans la note d’information n°80 du Sétra de décembre 2007 en y intégrant les nouveaux objectifs définis par la Directive cadre européenne sur l'Eau (DCE). Elle s’applique aux infrastructures existantes et aux projets neufs. 1 - Contexte 2- Méthodologie Recueil de données Synthèse des données Application des critères : la définition des classes de vulnérabilité 3 - Conclusion 4 - Bibliographie 5 - liste d'abréviations
  228. Edition (Ceremadoc) Méthode de hiérarchisation de la vulnérabilité de la ressource en eau : Note d'information - Cerema - Série Environnement-Santé-Risque

    En phase travaux et en phase d'exploitation, les infrastructures routières peuvent être à l'origine de pollutions chroniques, saisonnières et accidentelles préjudiciables à la qualité et à la préservation des milieux aquatiques. Afin de protéger les masses d'eaux souterraines et superficielles, des mesures de protection adaptées doivent être mises en oeuvre. Pour définir ces mesures de protections, il est primordial de connaître la vulnérabilité des milieux aquatiques exposés. Contexte Méthodologie Recueil des données Synthèse des données Application des critères : la définition des classes de vulnérabilité Conclusion Bibliographie Liste d’abréviations
  229. Study report (Ceremadoc) Retour d’expérience, Inondations de janvier 2014 dans le département du Var Volet 2 - « Conséquences et examen des dommages »

    Le présent rapport constitue le volet 2 « conséquences et examen des dommages » du retour d'expérience des inondations de janvier 2014 qui ont touchées le département du Var. Il est le fruit d'un travail commun entre les services de l’État, les principaux acteurs techniques du territoire et les représentants des assureurs de l'observatoire national des risques naturels. Les crues de janvier 2014 dans le Var ont particulièrement touché les 4 communes littorales suivantes : Hyères, La Londe-les-Maures, Bormes-Les-Mimosas et Le Lavandou. L’étude explore la possibilité d’établir un cadre pour le retour d’expérience d’un tel évènement, pris sous l’angle des dégâts et des dysfonctionnements. Elle conclut que les éléments disponibles ne permettent pas une exploitation de détail, mais permettent tout de même de capitaliser des informations utiles au retour d'expérience et à l'anticipation d'une gestion de crise. Ce rapport dresse enfin le bilan de l’évènement : 2 morts, 1400 interventions, 1800 logements inondés, 600 véhicules endommagés. Des enseignements sont tirés des situations rencontrées et des facteurs de vulnérabilité observés.
  230. Study report (Ceremadoc) Vulnérabilité aux inondations et urbanisme , Critères d’analyse de projets

    La vulnérabilité aux inondations recouvre un ensemble divers de concepts et de définitions. La présente étude, en s’intéressant aux dommages potentiels de tous ordres liés à une inondation propose une lecture de ces concepts permettant d’établir des grilles d’analyse des projets de construction, d’opération d’aménagement ou de Plan Locaux d’Urbanisme.
  231. Study report (Ceremadoc) Acceptabilité des technosables en technique routière. Evaluation environnementale et étude des risques écotoxicologiques.

    La Communauté de Communes Epernay Pas de Champagne (CCEPC) dispose d'un gisement de matériau appelé "technosable", issu de la filière de gestion des boues de la station d'épuration, pour lequel elle recherche des filières de valorisation. Etant par ailleurs maître d'ouvrage de travaux sur voiries et réseaux divers, elle envisage d'utiliser ces technosables sur ses chantiers. Afin d'étudier cette possibilité, la DTer Nord-Picardie du CEREMA a été chargée de définir, au regard d'exigences techniques et environnementales, des solutions de valorisations des technosables en travaux publics, et de fournir au maître d'ouvrage les données et outils lui permettant d'effectuer les choix de conception et d'entretien de ses infrastructures adaptés aux enjeux locaux.
  232. Study report (Ceremadoc) Commune des ANDELYS. Étude d'aléa « éboulement rocheux »

    Sur la commune des Andelys (27), en arrière de bâtiments situés en bordure de la RD313 et en contre bas de Château-Gaillard, un front rocheux mobilise des éléments. Ces éléments sont, aujourd’hui, contenus par un ouvrage non adapté en pied de ce front. Par ailleurs, ce front se situe en aval, et au droit, d’un versant majeur et d’éperons rocheux sur lesquels prennent place Château-Gaillard. Dans ce cadre, la mairie des Andelys a demandé au LR de Rouen du CEREMA d’entreprendre un diagnostic de stabilité du front, mais également de la zone au droit de ce dernier, et de proposer des principes de mises en sécurité du site. Afin de sécuriser le site, il a été choisi de réduire l'aléa « éboulement rocheux » en agissant sur les instabilités identifiées en disposant des solutions techniques actives (purge, ancrages) ou passives (écran). Il ressort de ce diagnostic que, pour sécuriser l’ensemble du site, il est réellement indispensable de prendre en compte l’ensemble des entités situés au droit du front derrière le bâti, et ne pas se limiter qu’au front de la partie basse.
  233. Study report (Ceremadoc) Étude du risque inondation par débordement de cours d’eau

    Le présent rapport constitue la suite du rapport « Étude relative au risque submersion marine – Courants côtiers de Mimizan, Contis, Soustons et Capbreton - 2010». Il constitue l’aboutissement d’une réflexion menée par le CEREMA Dter Sud-Ouest, conjointement avec le BRGM et la DDTM40 pour délimiter des zones submersibles. Ce travail de reconnaissance et d’identification de zones situées sous un niveau marin de référence se traduit par une cartographie de submersibilité issue de l'analyse LIDAR par pas de 0,50 m (niveaux calés entre +2,50 m NGF à + 4,50 m NGF).
  234. Study report (Ceremadoc) Étude du risque inondation par débordement de cours d’eau

    Le présent rapport constitue la suite du rapport « Étude relative au risque submersion marine – Courants côtiers de Mimizan, Contis, Soustons et Capbreton - 2010». Il constitue l’aboutissement d’une réflexion menée par le CEREMA Dter Sud-Ouest, conjointement avec le BRGM et la DDTM40 pour délimiter des zones submersibles. Ce travail de reconnaissance et d’identification de zones situées sous un niveau marin de référence se traduit par une cartographie de submersibilité issue de l'analyse LIDAR par pas de 0,50 m (niveaux calés entre +2,50 m NGF à + 4,50 m NGF).
  235. Study report (Ceremadoc) Rapports intermédiaire et final de perméabilité à l'air de l'établissement de placement éducatif de Caen

    Perméabilité à l'air - Établissement de Placement Éducatif de Caen. Ce fichier contient les deux rapports de mesures de perméabilité à l'air du bâtiment effectuées en cours de construction, puis à sa livraison. La qualité de l’enveloppe des bâtiments joue un rôle crucial dans la limitation des déperditions d’énergie. La perméabilité à l’air (ou étanchéité à l'air) devient ainsi un enjeu majeur des bâtiments à faible consommation. La perméabilité à l’air est représentée par le débit de fuite d’air rapporté à l’aire de l’enveloppe, mesuré sous pression différentielle, à travers l’enveloppe du bâtiment. Ce débit est mesuré à l’aide d’une porte soufflante (bâche étanche munie de ventilateur(s)), permettant de stabiliser la pression intérieure du bâtiment et de mesurer le débit d’air nécessaire à cette stabilisation. Une fois l’ensemble des entrées et sorties d’air volontaires colmatées, ce débit d’air est celui des fuites d’air parasites. Les deux rapports de l'étude EPE de Caen présentent les résultats de mesures de perméabilité à l’air d'une extension neuve du bâtiment, l'une (intermédiaire) réalisée en cours de construction après le clos-couvert du bâtiment et les travaux d'étanchéité de l'enveloppe quasi réalisés, et l'autre (finale) réalisée juste avant la livraison du bâtiment. Les résultats montrent une légère dégradation entre la mesure intermédiaire et la mesure finale qui s'explique par le fait qu'en état intermédiaire certains éléments du bâti ont été colmatés pour la mesure et ont pu améliorer de ce fait le résultat. Ce dernier (1,06 m³/(h.m²) reste néanmoins tout à fait satisfaisant au regard de l'objectif recherché (<(1,7 m³/(h.m²).
  236. Study report (Ceremadoc) Evaluation environnementale stratégique du plan d'action pour le milieu marin de la sous-région marine Golfe de Gascogne

    Les Plans d’Actions pour le Milieu Marin (PAMM) sont le volet environnemental des futurs documents stratégiques de façade (DSF), déclinaison de la stratégie nationale pour la mer et le littoral. Ils découlent de la directive cadre européenne « stratégie pour le milieu marin » (DCSMM) qui incite les États membres de l'Union Européenne à agir pour atteindre l'objectif du bon état écologique de l'ensemble des eaux marines d'ici 2020. En France métropolitaine, cette stratégie se décline au niveau des quatre sous-régions marines (SRM): Manche mer du Nord, Golfe de Gascogne, Mers Celtiques, et Méditerranée occidentale. La Dter Ouest et la Dter Sud Ouest ont appuyé les DIRM Nord Atlantique Manche Ouest (NAMO) et Sud Atlantique (SA) lors des différentes phases de construction des PAMM Golfe de Gascogne et Mers Celtiques et notamment pour la définition des objectifs environnementaux (2012) et l'élaboration du programme de mesures des PAMM (2013/2014). Les DTer Ouest et Sud Ouest, avec la coordination et l'appui du PCI Evaluation environnementale, ont également réalisé l'évaluation environnementale de ces PAMM tel que prescrit par la directive européenne 2001/42/CE du 27 juin 2001 relative à l'évaluation des incidences de certains plans et programmes sur l'environnement. La démarche d’évaluation environnementale menée en 2014 s'est traduite par la production d'un rapport environnemental, soumis à la consultation du public, qui a permis : - de rendre compte de la cohérence d’ensemble du dispositif, en posant un éclairage complémentaire autour de la spatialisation des enjeux/objectifs/mesures, - de compléter certains champs d’analyse non pris en compte par l’évaluation initiale du PAMM, mais entrant dans les champs de l’évaluation environnementale stratégique (changement climatique, paysage sous marin, …), - de mettre au jour des incohérences potentielles entre les objectifs/mesures, -de contribuer à apporter plus de sécurité juridique au PAMM.
  237. Study report (Ceremadoc) Evaluation environnementale stratégique du plan d'action pour le milieu marin de la sous-région marine Mers celtiques

    Les Plans d’Actions pour le Milieu Marin (PAMM) sont le volet environnemental des futurs documents stratégiques de façade (DSF), déclinaison de la stratégie nationale pour la mer et le littoral. Ils découlent de la directive cadre européenne « stratégie pour le milieu marin » (DCSMM) qui incite les États membres de l'Union Européenne à agir pour atteindre l'objectif du bon état écologique de l'ensemble des eaux marines d'ici 2020. En France métropolitaine, cette stratégie se décline au niveau des quatre sous-régions marines (SRM): Manche mer du Nord, Golfe de Gascogne, Mers Celtiques, et Méditerranée occidentale. La Dter Ouest et la Dter Sud Ouest ont appuyé les DIRM Nord Atlantique Manche Ouest (NAMO) et Sud Atlantique (SA) lors des différentes phases de construction des PAMM Golfe de Gascogne et Mers Celtiques et notamment pour la définition des objectifs environnementaux (2012) et l'élaboration du programme de mesures des PAMM (2013/2014). Les DTer Ouest et Sud Ouest, avec la coordination et l'appui du PCI Evaluation environnementale, ont également réalisé l'évaluation environnementale de ces PAMM tel que prescrit par la directive européenne 2001/42/CE du 27 juin 2001 relative à l'évaluation des incidences de certains plans et programmes sur l'environnement. La démarche d’évaluation environnementale menée en 2014 s'est traduite par la production d'un rapport environnemental, soumis à la consultation du public, qui a permis : - de rendre compte de la cohérence d’ensemble du dispositif, en posant un éclairage complémentaire autour de la spatialisation des enjeux/objectifs/mesures, - de compléter certains champs d’analyse non pris en compte par l’évaluation initiale du PAMM, mais entrant dans les champs de l’évaluation environnementale stratégique (changement climatique, paysage sous marin, …), - de mettre au jour des incohérences potentielles entre les objectifs/mesures, -de contribuer à apporter plus de sécurité juridique au PAMM.
  238. Study report (Ceremadoc) Bilan agronomique des sols du jardin de la Maison Clémenceau à Saint-Vincent-sur-Jard (Vendée)

    La maison de Georges Clemenceau, située sur la commune de Saint-Vincent-sur-Jard en Vendée, est classée monument historique de France depuis 1970, et son jardin fait partie de ce classement. En 2006, ce jardin a fait l’objet d’une rénovation cherchant à redonner aux lieux un esprit impressionniste et naturel, et un cahier des charges concernant son entretien a été élaboré par Françoise Phiquepal (Architecte Paysagiste). Ce cahier préconisait notamment d’effectuer, tous les 3 ans, une analyse agronomique des sols pour adapter le plan de fumure et d’amendement à l’évolution des conditions pédologiques. Ces analyses n’ont pas eu lieu, et en 2014 le Centre des Monuments Nationaux a confié au Cerema une mission d’expertise agronomique des sols du jardin historique de la maison Clemenceau. Cette étude consiste donc un état initial des sols du jardin, puisque aucune étude préalable n’a été effectuée, accompagnée d’un inventaire des espèces rencontrées sur place. L’objectif est d’aboutir à des préconisations de gestion en accord avec l’esprit et l’ambiance « impressionniste » recherchés. Cette mission a consisté en une journée terrain, réalisée le 23 juillet 2014 en la présence de Marie-Christine Vernillet, Responsable du jardin Clemenceau. Cette journée a donné lieu à des observations de la végétation en place et du sol, pour lequel des échantillons ont été prélevés puis transmis au laboratoire d’analyse INOVALYS basé à Nantes. Les résultats de ces analyses ainsi que de l’expertise de terrain sont présentés dans la suite de ce rapport.
  239. Study report (Ceremadoc) Identifier le potentiel d’installation de panneaux solaires sur toiture : Cas de l’Ille-et-Vilaine

    Ce rapport présente la méthodologie et les résultats de l’identification du potentiel de toiture utile en Ille-et-Vilaine pour l’installation de panneaux solaires. La méthode distingue les bâtiments de plus de 1000 m2 au sol, des plus petits. Le seuil de 1000 m2 est considéré acceptable à une échelle départementale pour tenir compte des différences de nature et de fonction des bâtiments toute en allégeant le traitement des bases de données. Les bâtiments de plus de 1000 m2 sont repérés à partir de la base de données BD Topo de l’IGN, du fichier des propriétés bâtis du cadastre et du fichier foncier MAJIC de la DGFiP. Environ 10 000 bâtiments, soit 23 millions de m2, sont identifiés et regroupés en catégories : bâtiments industriels, commerciaux, agricoles, serres, établissements de santé, d’enseignement, sportifs et culturels, administratifs, militaires /pompiers /pénitentiaires et mixtes /habitats /activités. Moins de 1 % de la surface est incluse dans des secteurs sensibles présentant des contraintes environnementales et patrimoniales très fortes ou rédhibitoires (secteurs sauvegardés, sites classés et ZPPAUP) et à peine 10 % dans les zones à enjeux forts (sites inscrits, périmètres de protection des monuments historiques et périmètres d’opération grand site). A partir de l’étude de zones tests, des ratios par catégorie de bâtiments sont déterminés pour répartir les surfaces identifiées entre toitures terrasses ou inclinées, pour déterminer la part de toitures inclinées favorablement orientées au sud puis pour ajuster les coefficients de masques théoriques fournis par la DGEC. Les coefficients obtenus sont ensuite appliqués à l’ensemble du département. Ainsi, 37% de la totalité des surfaces de toitures des bâtiments de plus 1000 m2 en Ille-et-Vilaine, soit près de 9 millions de m2, seraient disponibles pour une installation de panneaux solaires. Les bâtiments de moins de 1000 m2 sont identifiés à partir du fichier des propriétés bâtis du plan cadastral informatisé (PCI) de la DGFiP, duquel sont exclus les bâtiments de plus de 1000 m2, qualifiés de « légers » (en opposition à « durs ») et les bâtiments isolés de moins de 50 m2. A partir du fichier foncier MAJIC, les catégories maison, appartement, commerce et mixte sont repérées et regroupent environ 360 000 bâtiments, soit 46,5 millions de m2. Moins de 2 % de la surface est incluse dans des secteurs sensibles présentant des contraintes environnementales et patrimoniales très fortes ou rédhibitoires et à peine 15 % se situe dans des zones à enjeux forts (dont 12% dans un périmètre de protection de monuments historiques). Le fichier foncier MAJIC permet de qualifier la plupart des toitures de bâtiment et d’en déduire leur type : terrasses ou inclinées. Deux communes tests sont retenues pour préciser les toitures indéterminées et étudier l’orientation des toitures inclinées par rapport au sud. Les coefficients obtenus sont ensuite appliqués à l’ensemble du département. Ainsi, 18% de la totalité des surfaces de toitures des bâtiments de moins 1000 m2 en Ille-et-Vilaine, soit près de 8,3 millions de m2, seraient disponibles pour une installation de panneaux solaires. Avec un coefficient de masque plus réduit (0,3 vs 0,5) pour les toitures inclinées, le potentiel diminue à 6 millions soit 13 % de la totalité des surfaces de toitures des bâtiments de moins 1000 m2 en Ille-et-Vilaine.
  240. Study report (Ceremadoc) Ligne à grande vitesse Bretagne Pays de la Loire : Mise en place d'une banquette petite faune dans l'ouvrage de la jonction de La Milesse Voyageurs

    Le présent cahier des charges a pour objet la réalisation d'une banquette petite faune à l'intérieur de l'ouvrage de la Courbe dont l'allongement a été réalisé lors des travaux de la jonction de « La Milesse voyageurs », opération située à l’interface entre la Ligne à Grande Vitesse Bretagne - Pays de la Loire et le réseau ferré national existant. Cette opération est réalisée sous Maîtrise d’Ouvrage SNCF Réseau.
  241. Study report (Ceremadoc) Extrapolation de courbe de tarage : Station d’Orthez sur le Gave de Pau

    L’extrapolation de la courbe de tarage de la station d’Orthez située sur le Gave de Pau a été réalisée pour le compte du service de prévision des crues Gironde Adour Dordogne. L’extrapolation réalisée permet de disposer d’une relation entre la cote lue à l’échelle et le débit pour des régimes d’écoulements non jaugés. Le présent rapport rend compte de la visite de terrain, des données pré-existantes, de l’analyse critique des données (jaugeages) disponibles et de l’extrapolation de la courbe dans des gammes non jaugées. L’extrapolation s’appuie d’une part sur un modèle hydraulique 1d construit pour cette étude. La méthode Baratin (développée par l’IRSTEA et promue par la Dter IdF du cerema) est utilisée pour disposer d’un cadre scientifique rigoureux et partagé.
  242. Study report (Ceremadoc) RN 162, rocade sud de Château-Gontier : Audit environnemental un an après mise en service

    La RN162 se développe selon un axe nord-sud entre Mayenne (Mayenne) et Le Lion d’Angers (Maine-et-Loire). Au niveau de l’agglomération de Château-Gontier/Bazouges, cet axe a déjà en partie été aménagé : la rocade est contourne le centre-ville entre le rond-point de Laval au nord et le pont de la voie ferrée à la Masure. L’itinéraire emprunte ensuite l’avenue Georges Pompidou, la rue Garnier et enfin l’avenue du Maréchal Joffre. La RN162 constitue un axe important du département de la Mayenne et des Pays de la Loire : elle est l’élément structurant du réseau viaire du sud-est de l’agglomération de Château-Gontier/Bazouges et assure à ce titre un important rôle de desserte urbaine. Afin de limiter les difficultés de circulation constatées au niveau de l’agglomération, la rocade sud de Château-Gontier a été réalisée. Cette infrastructure routière nouvelle aménagée en chaussée unique bidirectionnelle se développe sur un linéaire de 2,4 kilomètres et comporte 3 carrefours giratoires. Elle a été mise en service en juin 2013. Le maître d’ouvrage, la Direction Régionale de l’Environnement, de l’Aménagement et du Logement (DREAL) des Pays de la Loire, a souhaité confier à la Direction territoriale Ouest du Cerema une mission d’audit environnemental sur l’ensemble de cette rocade, un an après sa mise en service.
  243. Edition (Ceremadoc) Valise pédagogique : Plan séisme Antilles

    Initialement conçue pour le risque sismique dans les Antilles, la valise intéressera les collectivités souhaitant développer leur propre stratégie de prévention du risque, qu’il s’agisse d’un risque sismique ou pas. La valise fournit un questionnement permettant d’appréhender les enjeux locaux et d’identifier les pistes d’actions du point de vue communal. Elle contient également un référentiel de connaissances relatives au phénomène sismique et à sa traduction territoriale dans les différentes composantes urbaines : bâti et population, déplacements, économie locale, infrastructures et services publics, environnement et territoire, gestion municipale avant, pendant et après l’événement. Cette version correspond à la valise Guadeloupe, il existe également une valise Martinique. Le document doit être dézippé après téléchargement pour le bon fonctionnement des liens internes.
  244. Edition (Ceremadoc) Petits ouvrages hydrauliques et continuités écologiques - Cas de la faune piscicole : Note d’information - série Économie, Environnement, Conception n° 96

    La prise en compte des cours d’eau dans les projets d’infrastructures linéaires s’est longtemps limitée à l’étude des enjeux hydrauliques et à la prise en compte des risques d’inondations. De ce fait, leur franchissement et aménagement étaient réalisés de manière à assurer la pérennité des projets sans se soucier véritablement des autres enjeux associés aux milieux aquatiques, en particulier des fonctions biologiques qu’ils assurent : corridor de déplacement de la faune, zones préférentielles de reproduction, d’alimentation, d’abris ou de repos pour de nombreuses espèces animales terrestres, milieux de vie des espèces aquatiques. La « loi pêche » de 1984, la « loi sur l’eau » de 1992, la « Directive Cadre Européenne sur l’Eau (DCE) » de 2000 et la loi sur l’eau et les milieux aquatiques de 2006 ont enrichi cette approche purement hydraulique du franchissement des cours d’eau. Il importe désormais de rétablir la continuité écologique au sein de ces infrastructures, via la mise en place d’ouvrages adaptés aux enjeux environnementaux comme aux risques hydrauliques. Une attention toute particulière est portée à la préservation de la continuité écologique au sein des ouvrages fermés (dits « à radier » ou « avec assise dans le lit mineur »), ceci étant une obligation réglementaire pour tout I.O.T.A. [2] en rivière, modifiant le profil en long et en travers d’un cours d’eau. Dans ce cadre, la note présente les grands principes à respecter a minima et les paramètres à prendre en compte lors de la conception et l’installation de ces ouvrages 1 - Introduction 2 - Les ouvrages hydrauliques concernés 3 - Le constat 4 - Éléments clés de la réglementation 5 - Paramètres à prendre en compte lors du franchissement d'un cours d'eau Conclusion Glossaire Bibliographie
  245. Edition (Ceremadoc) Climat - Réussir le changement Volume 2 : Mettre en œuvre un projet territorial intégrant l'adaptation

    Cet ouvrage est à destination des techniciens des collectivités. Il fournit des clés pour comprendre la question climatique et organiser les étapes d’une démarche participative, visant à inciter les acteurs du territoire à contribuer à l’action. Les membres du Groupe de Réflexion et d'Action pour l'Adaptation aux effets du Changement Climatique (GRAACC), piloté par RAEE et auquel participe le Certu (devenu Cerema), ont contribué à la rédaction du présent document. Celui-ci fait partie d'un ensemble de trois volumes qui vient compléter la brochure « Changement climatique, comment s'adapter en Rhône-Alpes », édité par Rhône-Alpes Énergie Environnement (RAEE) en 2007 et également diffusé par le Certu (devenu Cerema).
  246. Edition (Ceremadoc) Entretien des dépendances - Eléments de réflexion sur les stratégies de choix des outils de fauchage et débroussaillage

    Choisir un matériel est un exercice parfois difficile qui doit concilier le contexte générale de l'entretien des dépendances routières et les exigences des divers intervenants (maître d'ouvrage, maître d'oeuvre, acheteur du matériel, utilisateur, personnels de maintenance).Le choix d’un matériel doit prendre en compte ces positionnements et constituer une synthèse des attentes de chacun. 1 - Éléments déterminant le choix des matériels Généralités Aspect développement durable Caractérisation des bords de route Eléments particuliers impactant l’organisation de l’entretien des dépendances 2 - Définition et description des fonctions du fauchage et du débroussaillage Le fauchage Le débroussaillage L’élagage – La taille mécanique des végétaux 3 - Définition et description des matériels et outils Définitions Les porteurs et leur adéquation à l’outil Machines de fauchage, de débroussaillage et d’élagage Outils 4 - Choix des machines et des outils Fonctions principales Fp Fonctions contraintes et d’adaptation Fc Options annexes Bibliographie
  247. Edition (Ceremadoc) Bilans régionaux des émissions de transports : Eléments de méthode

    Ce rapport décrit la démarche mise au point par le CETE du sud-ouest, qui participe au pôle de compétences et d’innovation « Évaluation des projets et politiques de transports ». Cette démarche peut aussi être capitalisée au pôle de compétences et d’innovation évaluation des projets et politiques de transports, pour d’éventuelles autres cas d’application. Cette démarche permet de reconstituer les données régionales de trafic utilisées pour les différentes situations étudiées (initiales, futures) et pour le transport de personnes et de marchandises. Elle propose des méthodes pour le calcul des émissions des modes de transport suivants : routier, ferroviaire, maritime, fluvial et aérien.
  248. Edition (Ceremadoc) Réduction de la vulnérabilité aux inondations et valorisation urbaine

    Cet ouvrage a été réalisé à la suite du séminaire organisé par la DGPR à Béziers, en mars 2006 sur la réduction de la vulnérabilité des personnes et des biens aux inondations. Il propose un cadre méthodologique pour établir un diagnostic de vulnérabilité d'un quartier aux inondations. La méthodologie situe le quartier dans l'ensemble urbain et explicite ses relations à l'inondation. Au moment où la mise en œuvre de la directive inondation prévoit l'établissement de stratégies locales de gestion des inondations dans les territoires à risques d'inondation important, ce dossier aide les collectivités à évaluer la vulnérabilité des quartiers exposés pour rechercher des mesures de mitigation et pour développer la résilience de la population. 1 Présentation 1.1 De l’approche hydraulique à la « valorisation urbaine » 1.2 Présentation du document 1.3 Le quartier du Faubourg 2 Les étapes à suivre pour la conduite d’un diagnostic de quartier inondable 2.1 Décrire le quartier inondable et son contexte urbain 2.2 Évaluer le risque inondation sur le quartier 2.3 Faire la synthèse des approches « urbaine » et « inondation » 3 Les questions à se poser 3.1 Quelles sont l’identité de ce quartier et sa place dans l’ensemble urbain ? 3.2 Quelle est la relation de ce quartier à l’inondation ? 3.3 Qu’apporte le croisement de ces différentes analyses, quelle configuration d’ensemble ? 4 Principes et outils pour l’émergence d’une stratégie 4.1 Quelle(s) stratégie(s) possible(s) pour le quartier ? 4.2 Quelle méthode de travail ? 4.3 Quels outils ? 4.4 Les principales sources de données
  249. Study report (Ceremadoc) Commune de Yport (76) . Étude d'aléa « éboulement rocheux »

    Le Cabinet COLBOC, syndic de copropriété, a demandé au LRPC (Laboratoire Régional des Ponts et Chaussées) de Rouen : - de procéder à un diagnostic de stabilité de la falaise proche de la résidence « Pleine mer » située au n° 3 de la rue Foy à Yport, et des cavités anthropiques situées à mi-hauteur de celle-ci. - de définir des principes de solutions de mise en sécurité du site. Il en ressort que, concernant les aléas résultants, ceux-ci ont été qualifiés, pour 75 %, de FORT et pour 25 % de MOYEN. Les distances de propagation s'étendent de 7 à 15 m. Afin de sécuriser le site, 2 options sont envisageables : - réduire l'aléa « éboulement rocheux » en agissant sur les instabilités identifiées : disposer des solutions techniques actives (purge, ancrages, buton, enrochements, …) ou passives (grillage pendu), - agir sur les enjeux : interdire la fréquentation du public sur le site, en pied de falaise.
  250. Study report (Ceremadoc) Diagnostic et recommandations sur l'organisation de la gestion de crise de la DDTM de Vendée

    Dans le cadre de la mission confiée par la DDTM de Vendée au CETE de l'Ouest pour l'assister en vue de l'amélioration de son organisation de gestion crise, un diagnostic portant sur les outils existants et basé sur des entretiens avec un panel représentatif des Cadres de Permanence du service a été conduit. Sur la base des nombreux textes réglementaires existants, parfois encore à l'état de projet, un travail de détermination des domaines incombant à la DDTM en matière de gestion de crise a été réalisé, la liste des domaines a fait l'objet d'une comparaison avec les moyens et compétences actuellement présents au sein de la DDTM. Sur la base de ce travail, 33 recommandations formalisées dans un plan d'action sont proposées à la direction de la DDTM. Quatorze d'entre-elles portent sur l'organisation du service, onze sur des outils utilisés ou à mettre en place, et huit sur l'animation de l'équipe des Cadres de Permanence.
  251. Study report (Ceremadoc) A11 : Contournement nord d'Angers ; Bilan environnemental final

    La prise en compte de l’environnement à toutes les étapes d’un aménagement autoroutier nécessite la mise en œuvre d’un ensemble de procédures, de méthodes et d’outils. La loi du 10 juillet 1976 (codifiée aux articles L.122-1 et suivants du Code de l’Environnement) a instauré l’étude d’impact, présentée lors de l’enquête préalable à la Déclaration d’Utilité Publique (DUP). Depuis 1992, les engagements pris par l’État pour améliorer les projets et leur insertion dans les territoires sont rendus publics en même temps que le décret d’Utilité Publique du projet. Un comité de suivi des Engagements de l’État rassemble les élus concernés, les représentants des milieux socio-économiques locaux, les associations agréées intervenant dans le domaine de l’environnement et les administrations. Ce comité doit s’assurer de la mise en œuvre concrète des engagements pris, et ce de la DUP jusqu’à la présentation du bilan environnemental final. Pour le contournement nord d’Angers, une première réunion du comité de suivi s’est tenue le 20 décembre 2000. à cette occasion, le dossier des engagements de l’État en matière d’environnement, le programme de travail du concessionnaire (Cofiroute) et les modalités de conduite de la concertation ont été présentés. Avant la mise en service le 24 avril 2008, le comité de suivi s’est réuni à deux reprises : le 6 juin 2001 pour un rapport d’étape et le 26 novembre 2001 pour présenter les résultats de la concertation. Une fois l’infrastructure mise en service, un bilan environnemental doit être réalisé en deux étapes : un bilan intermédiaire, un an après la mise en service, et un bilan final, entre trois et cinq ans après cette dernière. Ce bilan environnemental est prévu par la Circulaire Bianco du 15 décembre 1992. Le 11 décembre 2009, le comité de suivi s’est réuni pour la présentation du bilan environnemental intermédiaire. Le présent document traite du bilan environnemental final de l’autoroute A11 pour la section du contournement nord d’Angers.
  252. Study report (Ceremadoc) Déchets post-Xynthia (85) : Gestion, caractérisation de déchets générés par la déconstruction de 820 habitations situés en périmètre de solidarité à La Faute sur Mer et l'Aiguillon sur Mer : Déchets post – Xynthia (85) – Caractérisation, gestion

    À la demande de la Direction Départementale des Territoires et de la Mer de Vendée (DDTM 85), le Centre d’études Techniques de l’Équipement de l’Ouest (C.E.T.E. De l'Ouest), département Laboratoire et CECP d’Angers (D.L.R.C.A.), Unité Environnement-Risques naturels, a été chargé de réaliser un plan de gestion de déchets générés par la déconstruction de maisons d’habitations acquises par l'État suite au passage de la tempête Xynthia survenue le 28 février 2010. Il s’agit plus précisément de déchets générés par la déconstruction de 820 habitations, situées dans les quatre périmètres de solidarité que l'État a institué sur les communes de La Faute-sur-Mer (600 habitations) et l'Aiguillon-sur-Mer (220 habitations), situées en territoire vendéen (85). Pour ces déconstructions, la maîtrise d’œuvre a été confiée à la société AD Ingé, 103 avenue Henri Fréville – 35200 Rennes. Dans le cadre du marché de travaux à réaliser, le CCTP précise les modalités à suivre pour la déconstruction, soit un démantèlement préalable en vue de l’isolement de tous les matériaux réputés non inertes au titre de la nomenclature des déchets. L’entrepreneur a notamment en charge le tri des déchets, la pesée à l’aide d’une bascule et renseigne un bordereau de suivi des déchets de chantier. Pour ce qui concerne les déchets inertes recyclables, Il est prévu que le titulaire de chaque lot concasse sur site au moyen d’une installation mobile de concassage l’ensemble des inertes nobles issus du chantier selon deux granulométries différentes : – environ 65 % des inertes en 0/80mm – environ 35 % des inertes restants en 0/31.5mm Le concasseur mobile à béton doit notamment être équipé d’un overband pour l’extraction sélective des métaux. Le 0/80 ne doit contenir que de petits éléments métalliques et une part infime d’impuretés. Le 0/31.5 obtenu doit être exempt de ferraille. Si nécessaire, des opérateurs à pied seront chargés d’une purge des matériaux pour obtenir le niveau de qualité requis. Les bétons recyclés seront ensuite acheminés vers leurs sites de réemploi. Quant aux matériaux excédentaires, ils devront être acheminés vers des plateformes mises à disposition par les communes de la Faute-sur-Mer et de l’Aiguillon-sur-Mer, situées sur leurs emprises (distance de transport de 5 km maximum). Ils y seront entreposés en 2 tas propres et homogènes, selon la granulométrie, pour mise à disposition des communes pour usage ultérieur. Selon les informations communiquées par les services de la DDTM 85, environ 20 % des granulats produits (principalement des 0/31.5) ont pu être recyclés par cessions gratuites aux communes et particuliers. L’utilisation locale étant saturée, il resterait à gérer l’équivalent de 105 000 tonnes de granulats en 0/100 répartis sur deux plateformes, l’une de 90 000 tonnes à la Faute-sur-Mer (une dizaine de tas), la seconde de 15 000 tonnes à l’Aiguillon-sur-Mer (deux tas). Nota : Environ cent habitations restent à déconstruire, soit l’équivalent d’environ un dixième de volume de déchets supplémentaire. Les déchets générés par ces cent déconstructions ne rentrent pas dans le cadre de cette étude.
  253. Study report (Ceremadoc) Atlas des cavités souterraines - Région sud de la Loire et est du département du Maine-et-Loire. Rapport phase 2

    De par la Loi n°87565 du 22 juillet 1987 relative à la prévention des risques majeurs, renforcée par la Loi Risques n°2003699 du 30 juillet 2003, l'État doit collecter toutes les informations concernant l'existence de zones à risques et les porter à la connaissance des collectivités locales et des citoyens. Les communes doivent tenir compte de ces informations dans leurs projets d'aménagement et dans l'affectation des sols. Dans la continuité de l'atlas des cavités souterraines de la région saumuroise réalisé en 2010, le Département Laboratoire et CECP d'Angers (DLRCA) a été mandaté par la DDT 49, Service Urbanisme Aménagement Risques, Unité Prévention des Risques Naturels et Technologiques, pour conduire une nouvelle étude de recensement des cavités souterraines dans la région sud de la Loire et est du département du Maine-et-Loire. La DDE du Maine-et-Loire avait confié en 1998 au Laboratoire Régional des Ponts et Chaussées d'Angers l'étude cartographique des aléas liés à la présence de cavités souterraines dans le canton de Longué (affaire n° 12.97.49.16). Pour réaliser cette étude, le LRPC d'Angers s'était principalement servi des documents archivés par le Service de Géologie et des Carrières Souterraines de la Direction des Routes et des Transports (SGCS) du Département du Maine-et-Loire. A partir de ceux-ci, il avait interprété les risques de mouvements de terrain en terme d'aléa et cartographié les zones d'extension de ces risques. L’objet de l’étude actuelle concerne la réalisation d'un atlas des cavités souterraines sur la région sud de la Loire et est du département du Maine-et-Loire. Cet atlas permettra l'actualisation de l'étude réalisée par le LRPC d'Angers en 1998 pour le canton de Loire-Longué. L'étude proposée ci-après comprend deux phases : • Phase 1 : Recherche bibliographique, enquête communale et définition des zones à enjeux vis-à-vis de l'aléa mouvements de terrain, • Phase 2 : Caractérisation et hiérarchisation des aléas, en particulier dans les zones à enjeux. Le présent rapport présente les résultats de la deuxième phase de l'étude. Les investigations de cette deuxième phase ont consisté en l'analyse détaillée des données d'archives, une enquête orale et des reconnaissances de terrain. Ainsi, les aléas ont pu être caractérisés sur les différentes communes et des actions sont proposées afin de préciser le risque mouvements de terrain liés à la présence de cavités souterraines et, le cas échéant, à la présence d'un versant rocheux vertical (coteau).
  254. Study report (Ceremadoc) Définition d'une méthodologie de recensement des cavités adaptée au contexte saumurois : Opération de recherche PRECAS, Sujet 6

    Dans le cadre de l'opération de recherche du programme de recherche et développement de l'IFSTTAR intitulée PRECAS, le Centre d’Études Techniques de l'Ouest (CETEO), représenté par l'unité Environnement Risques du Département Laboratoire et CECP d'Angers (DLRCA), pilote le sujet 6, intitulé « Connaissance de l'aléa et diffusion de l'information ». Ce sujet a été proposé suite à des retours auprès de certains CETE de la part d'acteurs de terrain (services de l’État ou collectivités), exprimant le besoin de disposer de guides de gestion des cavités adaptés à leur territoire. Certains de ces acteurs ont déjà réalisé ce type de guides (départements Seine-Maritime, Nord, Eure) ou sont en train de le finaliser (Saumur Agglo). En 2011, une action menée par le DLRCA dans le cadre du Plan National Cavités avait conclu à la pertinence de tels guides, sous réserve qu'ils soient rédigés spécifiquement pour un territoire ou un bassin de risque donné, afin de tenir compte du contexte local, notamment en terme de cavités (géologie, typologie, aléas). En 2012, le DLRCA a proposé une action en assistance d'une communauté d'agglomération (Saumur Agglo) qui a débuté la rédaction d'un guide de gestion des cavités destiné aux communes de son territoire (24 au total) concernées par un risque lié aux cavités. Ce guide, en cours de finalisation (diffusion publique prévue au 1er semestre 2013), présente les aspects techniques, juridiques et environnementaux nécessaires à un Maire pour qu'il puisse mettre en œuvre ses obligations règlementaires et ses responsabilités vis-à-vis de la loi. La proposition du DLRCA porte sur la définition d'une méthodologie de recensement des cavités adaptée au contexte saumurois, en testant les investigations classiquement mises en œuvre (recherche bibliographique, recueil des informations orales, photointerprétation, reconnaissance de terrain) sur une commune volontaire, de façon à définir les investigations indispensables, leur mode de réalisation, les supports de rendus. Le but à terme est que Saumur Agglo réalise pour les communes volontaires : • le recueil des données bibliographiques existantes, • la collecte d'informations issues de la mémoire locale. Les informations collectées seront ensuite mises à disposition des communes, sous un format adapté à l'usage qui en sera fait dans le cadre des obligations règlementaires et des responsabilités des Maires. L'objectif recherché par Saumur Agglo est de convaincre ces communes de terminer ces inventaires sur leurs fonds propres, en faisant réaliser par des bureaux d'études spécialisés les investigations complémentaires qui viendront préciser les données déjà recueillies et/ou en apporteront de nouvelles. Dans le guide à l'usage des Maires, l'action menée par Saumur Agglo pour initier ces recensements est présentée, ainsi que les investigations restant à la charge de la commune pour réaliser un inventaire le plus exhaustif possible des cavités présentes sur son territoire. Le présent rapport rend compte du travail d'inventaire en cours de réalisation sur la commune test et définit, à partir des résultats de cet inventaire, la méthodologie adaptée pour le contexte saumurois, présentée sous la forme d'une proposition de cahier des charges type.
  255. Study report (Ceremadoc) Plan de Prévention du Bruit dans l'Environnement des DeuxSèvres - Première et seconde échéance Etape n°1 : Identification des zones bruyantes du réseau national non concédé

    L'identification des zones bruyantes, préalable à la définition des mesures de réduction de bruit, permet d'affiner les résultats de la cartographie européenne par rapprochement avec les données de l'observatoire du bruit des transports terrestres. Cette étude permet l'identification par voie du nombre de bâtiments sensibles et des populations exposées sur la RN10, RN11, la RN149 et la RN249 dans le département des Deux-Sèvres.
  256. Edition (Ceremadoc) SCoT Grenelle : SCoT et Eau, fiches 8 -9. Synthèse des entretiens SCoT Grenelle : Fiche n° 8 : L'eau dans les SCoT Grenelle - synthèse des entretiens SCoT grenelle

    Les entretiens, conduits avec les différents acteurs de l’urbanisme, ont montré tout l'intérêt qu'il pouvait y avoir à regarder plus singulièrement comment les territoires gèrent, intègrent cette donnée, en quelque sorte vitale, pour composer leur projet. De fait et à plus d'un titre, l'eau présente pour la très grande majorité des SCoT Grenelle un enjeu capital pour le développement de leur territoire. Par ailleurs, les SCoT ne peuvent se soustraire à cette prise en compte en raison d'un contexte législatif qui s'impose à eux.
  257. Edition (Ceremadoc) SCoT Grenelle : SCoT et Eau, fiches 8 -9. Synthèse des entretiens SCoT Grenelle : SCoT de la région urbaine de Grenoble Communauté de l’eau potable

    Les entretiens, conduits avec les différents acteurs de l’urbanisme, ont montré tout l'intérêt qu'il pouvait y avoir à regarder plus singulièrement comment les territoires gèrent, intègrent cette donnée, en quelque sorte vitale, pour composer leur projet. De fait et à plus d'un titre, l'eau présente pour la très grande majorité des SCoT Grenelle un enjeu capital pour le développement de leur territoire. Par ailleurs, les SCoT ne peuvent se soustraire à cette prise en compte en raison d'un contexte législatif qui s'impose à eux.
  258. Edition (Ceremadoc) PLU et production d'énergie. Série de fiches : Fiche n°3 : PLU, solaire photovoltaïque et solaire thermique

    Les présentes fiches « PLU et production d’énergie » traitent de l’implantation en milieu urbain de systèmes techniques de production d’énergie à partir de sources renouvelables. Elles constituent un état des lieux des leviers du PLU à disposition mais ne proposent pas d’exemples de rédaction.
  259. Edition (Ceremadoc) PLU et production d'énergie. Série de fiches : Fiche n°1 : PLU et réseaux de chaleur

    Les présentes fiches « PLU et production d’énergie » traitent de l’implantation en milieu urbain de systèmes techniques de production d’énergie à partir de sources renouvelables. Elles constituent un état des lieux des leviers du PLU à disposition mais ne proposent pas d’exemples de rédaction.
  260. Edition (Ceremadoc) Ports de commerce et Natura 2000 en mer

    Le guide présente les normes européennes à la source des outils NATURA 2000 de protection de l’environnement ainsi que les lois et décrets fixant en droit français leur transposition. Il décrit ensuite la réalité d’un port de commerce, son emprise géographique, ses activités courantes, ainsi que celles des navires qui le fréquentent. Il détermine les catégories de pression exercées sur les milieux et les espèces marines (oiseaux, poissons, mammifères). Un point méthodologique est fait sur la mesure environnementale des pressions et des impacts, qui permet de jeter les bases du suivi environnemental et d’évaluer les possibles mesures destinées à les réduire, les supprimer ou les compenser. 1 LES OBJECTIFS DE L'ÉTUDE L'extension du réseau Natura 2000 en mer 2 NATURA 2000 EN MER 2.1 Origine et objectif 2.2 Directive « Oiseaux » 2.3 Directive « Habitats, Faune, Flore sauvages » 2.4 Extension en mer 2.5 Désignation des sites 2.6 Gestion des zones Natura 2000 en mer : élaboration et approbation du document d'objectif 2.6.1 Élaboration du document d'objectifs 2.6.2 Approbation du document d'objectifs 2.7 Évaluation de l'état de conservation des habitats et espèces d'intérêt communautaire 2.8 L'ÉVALUATION DES INCIDENCES NATURA 2000 : UNE OBLIGATION RÉGLEMENTAIRE 2.8.1 Les principes 2.8.2 La transposition en droit français 2.8.3 Le contenu du dossier d'évaluation des incidences (voir annexe 1) L'évaluation environnementale 3 LES PORTS DE COMMERCE 3.1 La part des ports de commerce dans l'économie française 3.2 Les activités portuaires et leur emprise géographique 3.2.1 L'emprise spatiale d'un port et les ouvrages associés 3.2.1.1 L'emprise spatiale d'un port 3.2.1.2 Les ouvrages et équipements associés aux ports 3.2.2 Les activités portuaires considérées/ Natura 2000 en mer 3.2.3 Le port : un abri pour les navires 3.2.3.1 L'entretien et la réparation des ouvrages 3.2.3.2 L'extension d'ouvrages 3.2.3.3 Le dragage d'entretien du chenal d'accès et de l'avant-port (cf guide GEODE) 3.2.3.4 L'activité de relocalisation des sédiments 3.2.3.5 L'activité de gestion des sédiments à terre 3.2.4 Activités/problématiques liées au commerce 3.2.4.1 Terminaux à vracs liquides 3.2.4.2 Terminaux à gaz liquéfiés 3.2.4.3. Terminaux pétroliers 3.2.4.4 Terminaux à vracs solides inertes 3.2.4.5 Terminaux à vracs solides organiques 3.2.4.6 Terminaux à marchandises diverses conventionnelles 3.2.4.7 Terminaux à conteneurs 3.2.4.8 Terminaux rouliers 3.2.4.9 Terminaux à passagers 3.2.4.10 La circulation des engins motorisés sur les terre-pleins portuaires 3.2.4.11 La gestion des eaux de ruissellement 3.2.5 Activités/problématiques liées aux navires 3.2.5.1 Les différents types de navires présents dans un port de commerce 3.2.5.2 La circulation des navires 3.2.5.3 Le mouillage des navires en zone d'attente 3.2.5.4 L'activité de réparation navale L'activité de carénage 3.2.5.5 La gestion des eaux de ballast 3.2.5.6 La gestion des déchets des navires 3.3 Réglementation applicable aux eaux portuaires 4 MÉTHODOLOGIE RETENUE 4.1 Cadrage de l'étude 4.1.1 Rappel : limites spatiales 4.1.2 Limites temporelles 4.2 Détail de la méthodologie 4.2.1 Concept : le modèle DPSIR 4.2.2 Méthode en pratique 4.3 Limites de l'évaluation 5 PRESSIONS PRODUITES PAR LES ACTIVITÉS PORTUAIRES 5.1 Définitions des pressions et de leur interaction spatiale avec les espèces et habitats 5.2 Résultat du groupe de travail « ports et environnement » 5.2.1 Emprise spatiale des activités portuaires 5.2.2 Interaction entre les activités/problématiques et le milieu marin 5.3 Résultat du groupe de travail « Oiseaux » 5.4 Résultat du groupe de travail « Habitats marins » 5.5 Résultat du groupe de travail «espèces marines» 5.5.1 Poissons marins au titre de Natura 2000 en mer 5.5.2 Mammifères marins 5.5.3 Espèces non Natura 2000 en mer 6 SYNTHÈSE DES RÉSULTATS : ACTIVITÉS/PROBLÉMATIQUES PORTUAIRES SUR LES HABITATS ET ESPÈCES NATURA 2000 EN MER Mode d'emploi des livrets 7 MESURES ENVIRONNEMENTALES 7.1 Importance du suivi environnemental 7.2 Mesures de suppression 7.3 Mesures de réduction 7.4 Mesures de compensation 7.5 Mesures d'accompagnement 8 CONCLUSION 9 FICHES DE SYNTHÈSE ACRONYMES | GLOSSAIRE PORTUAIRE ET ENVIRONNEMENTAL | BIBLIOGRAPHIEAnnexe 1 - Directive «Habitats Faune Flore sauvages» et Directive « Oiseaux » et évaluation des incidences, Directive «Habitats Faune Flore sauvages», Directive « Oiseaux », Evaluation des incidences Dossier-type (article R. 414-23 du code de l'environnement)Annexe 2 - Les ouvrages portuaires et leur construction (Les digues à talus, les digues verticales, les digues mixtes, autres types de digues) II - Ouvrages d'amarrage/accostageAnnexe 3 - Ouvrages liés aux terminaux portuairesAnnexe 4 - Ouvrages liés à la réparation navaleAnnexe 5 - Les différents types de naviresAnnexe 6 - Composition des quatre groupes de travail (I - Groupe de travail « Ports et environnement » II - Groupe de travail « Oiseaux », III - Groupe de travail « Habitats marins », IV - Groupe de travail « Espèces marines »)Annexe 7- Le transport maritime et les émissions dans l'atmosphèreAnnexe 8 - Réglementation applicable aux eaux portuaires
  261. Edition (Ceremadoc) PLU et production d'énergie. Série de fiches : Fiche n°2 : PLU et éoliennes terrestres

    Les présentes fiches « PLU et production d’énergie » traitent de l’implantation en milieu urbain de systèmes techniques de production d’énergie à partir de sources renouvelables. Elles constituent un état des lieux des leviers du PLU à disposition mais ne proposent pas d’exemples de rédaction.
  262. Edition (Ceremadoc) Acceptabilité environnementale de matériaux alternatifs en technique routière - Les laitiers sidérurgiques

    L’objectif du présent guide d’application est de favoriser le recyclage des laitiers sidérurgiques en indiquant aux producteurs de laitiers sidérurgiques les conditions dans lesquelles ils peuvent les valoriser sans mettre en danger la santé humaine et sans nuire à l’environnement. Il sera également un guide pour les services de l’Etat pour fixer des critères de valorisation dans les arrêtés préfectoraux d’autorisation des installations sidérurgiques. Par ailleurs, le présent guide d’application vise à fournir aux maîtres d’ouvrage et aux maîtres d’oeuvre, publics et privés, ainsi qu’aux entreprises, les prescriptions et exigences opérationnelles relatives à l’acceptabilité environnementale des matériaux alternatifs fabriqués à partir de laitiers sidérurgiques, et destinés à être utilisés en technique routière. Ces spécifications doivent ainsi permettre aux maîtres d’ouvrage et aux maîtres d’oeuvre d’élaborer des cahiers des charges de projets ou d’analyser les variantes proposées dans le cadre d’appels d’offres. Le contenu de ce guide s’inscrit résolument dans une démarche de promotion de l’utilisation de matériaux alternatifs en technique routière sur tout le territoire national, dans des conditions environnementales maîtrisées. En ce sens, il répond aux objectifs communautaires en matière de valorisation des déchets, ainsi que de réduction de leur stockage. Avant-propos Introduction, objet et définitions Description du gisement et des matériaux fabriqués Domaines d’emploi et limitations d’usage Assurance de la qualité environnementale Annexes Annexe A : critères environnementaux à respecter pour la valorisation des laitiers sidérurgiques en technique routière Annexe B : prescriptions pour les laboratoires d’essai Annexe C : procédure d’échantillonnage des laitiers sidérurgiques Annexe D : documentation qualité permettant d’assurer la traçabilité et la qualité environnementale des matériaux fabriqués Annexe E : exemple de fiche technique produit des matériaux fabriqués Annexe F : acronymes Bibliographie
  263. Edition (Ceremadoc) Acceptabilité environnementale de matériaux alternatifs en technique routière - Les mâchefers d'incinération de déchets non dangereux (MIDND)

    L’objectif du présent guide d’application est de favoriser le recyclage des mâchefers d’incinération de déchets non dangereux. Il décline les principes définis par l’arrêté du 18 novembre 2011 relatif au recyclage en technique routière des mâchefers d’incinération de déchets non dangereux. Le présent guide d’application vise à fournir aux maîtres d’ouvrage et aux maîtres d’oeuvre, publics et privés, ainsi qu’aux entreprises, les prescriptions et exigences opérationnelles relatives à l’acceptabilité environnementale des matériaux alternatifs fabriqués à partir de mâchefers d’incinération de déchets non dangereux, et destinés à être utilisés en technique routière. Ces spécifications doivent ainsi permettre aux maîtres d’ouvrage et aux maîtres d’oeuvre d’élaborer des cahiers des charges de projets ou d’analyser les variantes proposées dans le cadre d’appels d’offres. Le contenu de ce guide s’inscrit résolument dans une démarche de promotion de l’utilisation de matériaux alternatifs en technique routière sur tout le territoire national, dans des conditions environnementales maîtrisées. En ce sens, il répond aux objectifs communautaires en matière de valorisation des déchets, ainsi que de réduction de leur stockage. Avant-propos1 - objet, définitions et aspect contractuel objet Définitions Aspect contractuel 2 - Du mâchefer à la grave de mâchefer Gisement et caractéristiques des mâchefers Elaboration du matériau alternatif Le processus de préparation des graves de mâchefer Caractéristiques géotechniques de la grave de mâchefer Localisation des IME 3 - Domaines d’emploi et limitation d’usage Nature des usages routiers Référentiels d’utilisation / Normes / Guides Limitations d’usage de l’arrêté du 18 novembre 2011 4 - procédure d’assurance qualité et traçabilité Approvisionnement des MIDND Réception des MIDND planification Exploitation du gisement : maturation et traitement mécanique Stockage et gestion des stocks Contrôles Traitement des écarts Traçabilité en sortie d’IME Annexes Annexe 1 : critères de recyclage liés à la teneur intrinsèque en éléments polluants et au comportement à la lixiviation Annexe 2 : fiches d’emploi des graves de mâchefer Annexe 3 : exemple de fiche de recommandations et de suivi des graves de mâchefer Annexe 4 : exemples de document technique des graves de mâchefer Annexe 5 : exemple de fiche de classement environnemental d’un lot de mâchefer élaboré 38 Annexe 6 : prescriptions pour les prélèvements et la préparation des échantillons Annexe 7 : prescriptions pour les laboratoires d’essais Annexe 8 : liste des acronymes Bibliographie
  264. Edition (Ceremadoc) Évaluation environnementale des projets de gestion dynamique de trafic - La qualité de l'air

    Ce rapport a pour objectif de présenter des éléments de méthodologie pour l’ évaluation de l’impact sur la qualité de l’air d’un projet de gestion dynamique de trafic, que ce soit pour des études a priori ou a posteriori. Ce rapport aborde notamment la question du périmètre géographique et temporel de l’étude (zone d’étude, horizon d’étude), des scénarios à comparer, des indicateurs (polluants, gaz à effet de serre, consommation de carburant). Ce rapport dresse également un panorama des types de modèles mobilisables Il s’intéresse principalement à la quantification des émissions, aborde rapidement la question des concentrations, mais ne traite pas de l’exposition des personnes.
  265. Edition (Ceremadoc) Études sur les énergies renouvelables dans les nouveaux aménagements : Conseils pour la mise en œuvre de l'article L128-4 du Code de l'Urbanisme

    La loi n°2009-967 du 3 août 2009 de programmation relative à la mise en œuvre du Grenelle de l’environnement instaure que : « Toute action ou opération d’aménagement telle que définie à l’article L. 300-1 et faisant l’objet d’une étude d’impact doit faire l’objet d’une étude de faisabilité sur le potentiel de développement en énergies renouvelables de la zone, en particulier sur l’opportunité de la création ou du raccordement à un réseau de chaleur ou de froid ayant recours aux énergies renouvelables et de récupération. » - Article L128-4 du Code de l’urbanisme. Le guide « Études sur les énergies renouvelables dans les nouveaux aménagements : Conseils pour la mise en œuvre de l’article L128-4 du Code de l’Urbanisme » propose des points de méthodologie, d’organisation et de vigilance pour cette étude de faisabilité. Notamment, il comprend en annexe une trame de cahier des charges pour la réalisation d’une étude de faisabilité du développement des énergies renouvelables. Ce guide a été réalisé par le CETE de l’Ouest, le CERTU, la DREAL Rhône-Alpes et le CETE Méditerranée, avec la participation de collectivités, bureaux d’études et associations.
  266. Edition (Ceremadoc) Etape de cartographie des surfaces inondables et des risques dans le cadre de la directive « inondations » : Rapport de la mission 5 "Inondations par submersions marines et tsunamis".

    La direction européenne relative à l'évaluation et à la gestion des inondations demande l'élaboration pour fin 2013 de cartes des zones inondables et de cartes de risques sur les secteurs identifiés comme à risques potentiels important d'inondations. Tous aléas naturels d'inondations sont concernés par ces cartographies. Ce document a pour objectif de présenter la méthodologie retenue pour les aléas submersion marine et tsunami. Pour l'aléa submersion marines, trois cartes doivent être réalisées pour trois périodicité d'événement différentes, pour des événements fréquent, moyen et extrême. La prise en compte des ouvrages est à définir en fonction de la période de l'événement et des caractéristiques des ouvrages. Les principales méthodes de cartographie sont décrites pour les événements fréquent et moyen, superposition d'un niveau marin à la topographie, estimation des volumes entrant et répartition topographique et modélisation numérique, ainsi que pour les événements extrêmes, où la confrontation de différentes approches (historique, géomorphologique, topographique, géologique) a été retenue. Les cartes existantes peuvent être ré-exploitées si elles conviennent. Il est proposé de ne pas réaliser de cartes d'aléa tsunami mais de faire une synthèse des connaissances sur les événements potentiels et les mesures de prévention existantes sur le territoire. 1 Introduction 2 Méthodologie d'élaboration des cartes d'aléa submersion marine 3 Démarche générale de l'étude d'aléa 3.1 l'analyse du fonctionnement du littoral (phase 1) 3.2 choix des événements naturels étudiés (phase 2.1) 3.3 prise en compte des ouvrages et scénarios à étudier (phase 2.1) 3.4 les méthodes de cartographie pour les événements fréquent et moyen (phase 2.2) 3.5 les méthodes de cartographie pour les événements extrêmes (phase 2.2) 3.6 résultats attendus 3.7 démarche de travail pour la mise en oeuvre de la cartographie di 4 Méthodologie d'élaboration des cartes d'aléa tsunami 5 Références bibliographiques 6 Annexes 6.1 estimation des surcotes extrêmes sur les côtes métropolitaines 6.2 éléments de cahier des charges 6.3 réflexions sur les données bathymétriques 6.4 organisation de la mission « aléas submersion marine et tsunami » 6.5 extraits des premiers éléments méthodologiques pour l'élaboration des plans de prévention des risques littoraux
  267. Edition (Ceremadoc) Énergie et climat : le rôle des agglomérations

    Plusieurs démarches territoriales et notamment les Agendas 21 locaux, les Plans Climat Énergie Territoriaux (PCET) et les plans d’actions de la Convention des maires (PAED) rendent compte de la contribution des villes et des agglomérations au Paquet Énergie-Climat. Le Commissariat général au développement durable (CGDD) a souhaité un état des lieux des engagements énergétiques et climatiques et des actions lancées par les principales agglomérations françaises. 30 collectivités ont contribué à l’analyse en mettant à disposition des données et documents de 39 démarches adoptées ou en cours d’adoption par leur assemblée délibérante au début de l’année 2011. Cet état des lieux, démarré en février 2011 et achevé en octobre 2011, est donc un panorama non exhaustif et à un instant donné des démarches territoriales étudiées. L’étude tient compte uniquement des politiques d’atténuation et exclut de fait les politiques d’adaptation au changement climatique mises en place par les collectivités. Elle porte sur des démarches volontaires, antérieures à la loi portant engagement national pour l’environnement du 12 juillet 2010, dite loi Grenelle II, et son décret d’application du 11 juillet 2011. Un premier retour sur les bilans de GES et engagements des collectivités ainsi qu’une analyse des actions selon 8 thématiques mettent en exergue les initiatives locales et les expériences des collectivités concernées.
  268. Edition (Ceremadoc) Climat - réussir le changement - Volume 1

    Cet ouvrage s'attache à répondre aux principales questions que se posent les décideurs au moment d'engager leur réflexion sur l'adaptation aux effets du changement climatique au sein de leur collectivité ou sur leur territoire. Il présente quelques points clés pour imaginer les principales étapes d'élaboration d'une stratégie d'adaptation aux effets du changement climatique. Les membres du Groupe de Réflexion et d'Action pour l'Adaptation aux effets du Changement Climatique (GRAACC), piloté par RAEE et auquel participe le Certu, ont contribué à la rédaction du présent document. Celui-ci fait partie d'un ensemble de deux volumes qui vient compléter la brochure « Changement climatique, comment s'adapter en Rhône-Alpes », édité par Rhône-Alpes Énergie Environnement (RAEE) en 2007 et également diffusé par le Certu.
  269. Edition (Ceremadoc) Vulnérabilité du territoire national aux risques littoraux - Outre-Mer

    Cette étude, pilotée par le Direction technique Eau, mer et fleuves et réalisée en collaboration avec le DTerMed et le DTerOuest, fait une synthèse nationale des connaissances actuelles sur les risques littoraux (érosion des côtes basses meubles et des falaises, avancées dunaires, submersion marine) et établit une représentation cartographique simple des zones actuellement vulnérables aux risques littoraux en France. L’étude est ainsi déclinée en deux parties : une synthèse bibliographique d’une part et la définition de méthodes permettant de quantifier la vulnérabilité à partir d’indicateurs cartographiques d’autre part.Cette deuxième phase d’étude porte sur l’Outre-mer 1 INTRODUCTION 1.1 Contexte 1.2 Objectifs de l'étude 2 SYNTHÈSE BIBLIOGRAPHIQUE 2.1 Objectifs de la synthèse bibliographique 2.2 Synthèses régionales 2.2.1 Guadeloupe (971) 2.2.2 Martinique (972) 2.2.3 Guyane (973) 2.2.4 Réunion (974) 2.2.5 Saint-Pierre et Miquelon (975) 2.2.6 Mayotte (976) 2.2.7 Wallis et Futuna (986) 2.2.8 Polynésie Française (987) 2.2.9 Nouvelle-Calédonie (988) 3 INDICATEURS DE VULNÉRABILITÉ AUX RISQUES LITTORAUX 3.1 Niveau de connaissance de la vulnérabilité aux risques littoraux 3.1.1 Description des données utilisées 3.1.2 Exploitation méthodologique 3.1.3 Résultats et analyse 3.1.4 Limites de l'indicateur 3.2 Zones basses 3.2.1 Description des données utilisées 3.2.2 Exploitation méthodologique 3.2.3 Résultats et analyse 3.2.4 Limites de l'indicateur 3.3 Arrêtés de reconnaissance de l'état de catastrophe naturelle (CAT-NAT) liés à la mer 3.3.1 Description des données utilisées 3.3.2 Exploitation méthodologique 3.3.3 Résultats et analyse 3.3.4 Limites de l'indicateur 3.4 Atlas de Zones Inondables et Plans de Prévention liés à la mer 3.4.1 Description des données utilisées 3.4.2 Exploitation méthodologique 3.4.3 Résultats et analyse 3.4.4 Limites de l'indicateur 3.5 Enjeux situés dans les zones basses 3.5.1 Description des données utilisées 3.5.2 Exploitation méthodologique 3.5.3 Résultats et analyse 3.5.4 Limites des indicateurs 3.6 Indicateurs croisés 3.6.1 Description des données utilisées 3.6.2 Exploitation méthodologique 3.6.3 Résultats et analyse 3.6.4 Limites des indicateurs 4 CONCLUSION 5 BIBLIOGRAPHIEListe des annexes : Annexe 1 : Liste des études retenues pour la synthèse bibliographique Annexe 2 : Fiches études Annexe 3 : Présentation des bases de données Annexe 4 : Produits dérivés du MNT BD Topo® (Zones Basses) Annexe 5 : Méthode de traitement du MNT Annexe 6 : Choix des niveaux marins de référence Annexe 7 : Méthode de détermination des Zones Basses Annexe 8 : Géocodage des données GASPAR CATNAT sous MapInfo Annexe 9 : Nombre d'arrêtés de catastrophes naturelles par région Annexe 10 : Méthodologie et traitement des données des Plans de Prévention des Risques Littoraux et des Atlas de Zones Inondables sous MapInfo Annexe 11 : Méthodologie de détermination des enjeux Annexe 12 : Tableaux des enjeux Annexe 13 : Méthodologie de détermination de l'indicateur croisé de vulnérabilité aux risques littoraux IBC sous MapInfo Annexe 14 : Cartographies produites
  270. Edition (Ceremadoc) Vulnérabilité du territoire national aux risques littoraux - Synthèse nationale

    Cette étude, pilotée par le Direction technique Eau, mer et fleuves et réalisée en collaboration avec le DTerMed et le DTerOuest, fait une synthèse nationale des connaissances actuelles sur les risques littoraux (érosion des côtes basses meubles et des falaises, avancées dunaires, submersion marine) et établit une représentation cartographique simple des zones actuellement vulnérables aux risques littoraux en France. L’étude est ainsi déclinée en deux parties : une synthèse bibliographique d’une part et la définition de méthodes permettant de quantifier la vulnérabilité à partir d’indicateurs cartographiques d’autre part. Cette troisième phase d’étude fait une synthèse nationale. 1 RÉSUMÉ 2 INTRODUCTION 3 INDICATEURS DE VULNÉRABILITÉ AUX RISQUES LITTORAUX 3.1 Niveau de connaissance de la vulnérabilité aux risques littoraux 3.2 Zones basses 3.3 Arrêtés de reconnaissance de l'état de catastrophe naturelle (CAT-NAT) liés à la mer 3.4 Atlas de Zones Inondables et Plans de Prévention liés à la mer 3.5 Enjeux situés dans les zones basses 3.5.1 Les bâtiments 3.5.2 Les infrastructures de transport 3.5.3 Les exploitations industrielles 3.5.4 Les espaces naturels protégés 3.5.5 Conclusion sur les enjeux 3.6 Indicateurs croisés 3.6.1 Indicateur IBC 3.6.2 Indicateur IB 3.6.3 Conclusion sur les indicateurs croisés 4 CONCLUSION 5 BIBLIOGRAPHIE
  271. Edition (Ceremadoc) Prise en compte des risques naturels : 10 monographies

    La politique de prévention des risques naturels a pour objet, tout à la fois, de réduire la vulnérabilité des personnes et des biens exposés et d'apprendre à vivre avec le risque. Les événements tragiques qui ont frappé la France en 2010 - la tempête Xynthia et les intempéries du Var - ont une nouvelle fois rappelé l'importance d'une prise en compte partagée des risques naturels dans les politiques locales d'aménagement. Le ministère de l'Écologie a publié en décembre 2006 un premier album de 13 monographies portant sur des expériences de prise en compte des risques naturels dans l’aménagement. Cet album présentait déjà les difficultés, mais aussi les possibilités d’actions en matière d’aménagement de territoires exposés aux risques naturels. Pour mieux couvrir la très grande diversité des territoires potentiellement concernés et des situations à risque rencontrées, le ministère de l'Écologie a sélectionné dix nouvelles expériences en vue de la réalisation de ce second album. Celui-ci présente des projets conduits au sein de grandes collectivités (Besançon, Bordeaux et Nîmes), de collectivités de taille moyenne (Bois-Guillaume et Périgueux), mais aussi de petites communes (comme Sommières). En outre, plusieurs monographies relèvent du contexte spécifique de l'Outre-Mer (Guadeloupe), particulièrement exposée aux risques naturels. Avant-propos Sommaire Présentation de l’album Fondements législatifsBESANÇON (25) Quartier Pasteur : réaménagement du centre commercialBOIS-GUILLAUME (76) Zac « Les portes de la forêt »BORDEAUX (33) Gestion du pluvial et aménagement des quais rive gaucheLA DÉSIRADE (971) PPR multirisques - Étude d’aménagement du Souffleur - Ouvrages de protectionLES ABYMES (971) Renouvellement urbain des quartiers de Grand-Camp et du RaizetMORNE-À-L’EAU (971) Requalification du quartier de Vieux-BourgNÎMES (30) Renouvellement urbain du quartier Hoche-SernamPÉRIGUEUX (24) Aménagement des berges de l’IslePOINTE-NOIRE (971) Prise en compte des risques dans l’élaboration du PLUSOMMIÈRES (30) Requalification d’un espace urbain existant situé en zone inondable
  272. Study report (Ceremadoc) Etude de la faisabilité pour la mise en place d'un observatoire régional du trait de côte : Partie I - Objectifs et état des lieux de l'existant. Partie II - Evaluation des besoins et des priorités régionales

    Les partenaires de la convention GTCSM (État et collectivités territoriales) souhaitent développer et encourager l'observation du trait de côte, dans le but d'approfondir les connaissances concernant l'évolution du trait de côte et les mouvements hydro-sédimentaires sur le littoral des Pays de la Loire, dans la logique de la récente stratégie nationale de gestion intégrée du trait de côte (2012). Un groupe de travail dédié à la problématique du littoral a été mis en place dans le cadre de GEOPAL. Dans ce contexte, la DREAL a demandé au CETE de l'Ouest de produire une étude de faisabilité pour la mise en place d'un observatoire régional s'appuyant sur les initiatives locales déjà en place ou émergentes. L'étude de faisabilité comporte trois parties : - La Partie I regroupe, après présentation du contexte et des objectifs de l'étude, des initiatives en cours dans le domaine de la gestion du trait de côte et un état des lieux des observatoires existants en France. Les différentes structures et méthodes d'observation utilisées sont analysées, en particulier les initiatives et travaux réalisés localement. Le fonctionnement des observatoires locaux déjà en place en Pays de la Loire est également présenté. - La Partie II comprend une analyse du littoral ligérien sous les angles de la géomorphologie, des enjeux présents et de la mobilité du trait de côte qui permet de proposer des secteurs à suivre en priorité. - En attente pour le moment, une Partie III est envisagée pour esquisser une proposition de mesures à mettre en œuvre, de forme de structure à organiser ainsi qu’une première estimation des moyens nécessaires à la mise en place de l'observatoire. Cette étude est le tout premier pas de la mise en place de l'observatoire régional, et devrait permettre par la suite d'approfondir et de préciser l'organisation à mettre en place, notamment en déterminant clairement le rôle de chaque partenaire, et en commençant à impliquer les acteurs concernés.
  273. Study report (Ceremadoc) Suivi d'un dispositif de ventilation naturelle commandée : Le Parc Delzieux à Saint-Nazaire ; Vérification de la qualité acoustique

    La DGALN/DHUP a missionné le CETE de l'Ouest pour réaliser le suivi du volet expérimental en ventilation naturelle assistée et contrôlée (VNAC) de l’opération de logements « Le Parc Delzieux » menée par le groupe CISN Atlantique à Saint-Nazaire. En raison des spécificités de ce système de ventilation novateur en France dans des logements collectifs, il a été décidé de vérifier les caractéristiques acoustiques des logements, d'une part en matière d'isolement acoustique vis-à-vis de l'extérieur, du fait de sections de passage d'entrée air plus importantes qu'en VMC "classique" et d'autre part en matière d'isolement acoustique entre logements, en raison du risque d'interphonie induit par un réseau de gaines sur-dimensionné. Ce rapport présente les constats en matière de confort acoustique effectués lors de différentes visites, à l'occasion de mesures acoustiques.
  274. Edition (Ceremadoc) SCoT Grenelle : SCoT et Eau, fiches 8 -9. Synthèse des entretiens SCoT Grenelle : Fiches 8 & 9

    Les entretiens, conduits avec les différents acteurs de l’urbanisme, ont montré tout l'intérêt qu'il pouvait y avoir à regarder plus singulièrement comment les territoires gèrent, intègrent cette donnée, en quelque sorte vitale, pour composer leur projet. De fait et à plus d'un titre, l'eau présente pour la très grande majorité des SCoT Grenelle un enjeu capital pour le développement de leur territoire. Par ailleurs, les SCoT ne peuvent se soustraire à cette prise en compte en raison d'un contexte législatif qui s'impose à eux.
  275. Edition (Ceremadoc) SCoT Grenelle. SCoT et Biodiversité. Série de fiches : Scot de Cergy-Pontoise

    La démarche « SCoT Grenelle » est une démarche d'accompagnement des thèmes nouveaux impulsés par le Grenelle de l'environnement dans les SCoT. Elle se déroule pendant 3 ans sur 12 sites . Elle est pilotée par le Ministère de l'Écologie, du Développement Durable des Transports et du Logement . Le Certu assure une assistance au maître d'ouvrage en lien avec les Cete. La thématique de la biodiversité a fait l'objet d'une analyse menée par le Certu et Cete en partenariat avec les maîtres d'ouvrage concernés. Destinées aux collectivités élaborant leur SCoT, ces six fiches permettent de diffuser et partager l'expérience de ces SCoT « Grenelle ».
  276. Edition (Ceremadoc) SCoT Grenelle. SCoT et Biodiversité. Série de fiches : Scot du valenciennois

    La démarche « SCoT Grenelle » est une démarche d'accompagnement des thèmes nouveaux impulsés par le Grenelle de l'environnement dans les SCoT. Elle se déroule pendant 3 ans sur 12 sites . Elle est pilotée par le Ministère de l'Écologie, du Développement Durable des Transports et du Logement . Le Certu assure une assistance au maître d'ouvrage en lien avec les Cete. La thématique de la biodiversité a fait l'objet d'une analyse menée par le Certu et Cete en partenariat avec les maîtres d'ouvrage concernés. Destinées aux collectivités élaborant leur SCoT, ces six fiches permettent de diffuser et partager l'expérience de ces SCoT « Grenelle ».
  277. Edition (Ceremadoc) SCoT Grenelle. SCoT et Biodiversité. Série de fiches : Scot Marne Brosse et Gondoire

    La démarche « SCoT Grenelle » est une démarche d'accompagnement des thèmes nouveaux impulsés par le Grenelle de l'environnement dans les SCoT. Elle se déroule pendant 3 ans sur 12 sites . Elle est pilotée par le Ministère de l'Écologie, du Développement Durable des Transports et du Logement . Le Certu assure une assistance au maître d'ouvrage en lien avec les Cete. La thématique de la biodiversité a fait l'objet d'une analyse menée par le Certu et Cete en partenariat avec les maîtres d'ouvrage concernés. Destinées aux collectivités élaborant leur SCoT, ces six fiches permettent de diffuser et partager l'expérience de ces SCoT « Grenelle ».
  278. Edition (Ceremadoc) SCoT Grenelle. SCoT et Biodiversité. Série de fiches : Scot sud Meurthe et Moselle

    La démarche « SCoT Grenelle » est une démarche d'accompagnement des thèmes nouveaux impulsés par le Grenelle de l'environnement dans les SCoT. Elle se déroule pendant 3 ans sur 12 sites . Elle est pilotée par le Ministère de l'Écologie, du Développement Durable des Transports et du Logement . Le Certu assure une assistance au maître d'ouvrage en lien avec les Cete. La thématique de la biodiversité a fait l'objet d'une analyse menée par le Certu et Cete en partenariat avec les maîtres d'ouvrage concernés. Destinées aux collectivités élaborant leur SCoT, ces six fiches permettent de diffuser et partager l'expérience de ces SCoT « Grenelle ».
  279. Edition (Ceremadoc) SCoT Grenelle - Synthèse des entretiens , n°6 : Prise en compte de la biodiversité et de la nature dans les 12 SCoT Grenelle

    Le Certu a extrait les 12 SCoT Grenelle, sur la base des entretiens conduits par les Cete auprès des différents acteurs de la démarche afin de connaître plus précisément comment ils se sont saisis du sujet. La restitution fera état des acteurs en présence, des démarches engagées, des méthodes déployées avant de développer les différentes modalités de prise en compte de la biodiversité et de la nature par les SCoT. Après avoir précisé les principaux outils utilisés par les maîtres d'ouvrage des SCoT pour lutter contre l'érosion de la biodiversité, la présente synthèse exposera les modalités de prise en compte de la biodiversité et de la nature dans les 12 SCoT.
  280. Edition (Ceremadoc) Acceptabilité de matériaux alternatifs en technique routière - Evaluation environnementale

    Le présent guide méthodologique vise à fournir une démarche d’évaluation de l’acceptabilité environnementale de matériaux alternatifs élaborés à partir de déchets et destinés à être utilisés en technique routière. Dans la première partie sont définis l'objet, le cadre et le champ d'application du guide méthodologique. La deuxième partie établit les étapes de la caractérisation du matériau alternatif ainsi que du déchet dont il est issu et fournit ensuite le déroulement de la démarche d'évaluation environnementale sur l'acceptabilité du matériau. La deuxième partie du guide développe d'abord les étapes de la caractérisation du matériau alternatif et du/des déchets dont il est issu ; Doivent ainsi être renseignées l'origine, la nature et l'historique de ces matériaux (déchets compris), la description au sens large des étapes du processus d'élaboration du matériau alternatif et de ces constituants (comprenant le stockage, lieux de synthèse etc.) ainsi que l'ensemble des caractéristiques sur le mode de valorisation en technique routière. Dans un deuxième temps, la démarche d'évaluation environnementale appliquée aux matériaux alternatifs et routiers est déroulée à travers 5 niveau d'investigation graduant l'effort de démontration en fonction du risque que présentent les matériaux vis-à-vis de l'environnement. Ce guide complète le guide du CFTR : "Valorisation des matériaux locaux" d'octobre 2004. Avant-proposChapitre 1 : Objet, définitions et champ d’application1 - Objet Objet du guide méthodologique Objet des guides d’application 2 - Définitions Matériau alternatif Matériau routier Usage routier 3 - Champ d’application Nature des matériaux alternatifs Nature des usages Chapitre 2: Démarche d’évaluation environnementale1 - Introduction 2 - Présentation de la démarche d’évaluation Etape 1: Description du déchet et de son gisement Etape 2: Description du matériau alternatif, du matériau routier et de l’usage routier envisagé Etape 3: Caractérisation environnementale du matériau alternatif et du matériau routier 3 - Contenu d’un guide d’applicationAnnexes1 - Acronymes 2 - Règles d’organisation pour la constitution des échantillons Introduction Règles générales Positionnement initial d’un gisement produit de manière discontinue Contrôle de conformité d’un gisement produit de manière discontinue 3 - Valeurs limites associées à la caractérisation environnementale de niveau 1 4 - Valeurs limites associées à la caractérisation environnementale de niveau 25 - Principes de la modélisation employéeBibliographie
  281. Edition (Ceremadoc) Acceptability of alternative materials in road construction : Environmental assessment = Acceptabilité des matériaux alternatifs en construction routière

    The present methodological guide is intended to provide an approach to assessing the environmental acceptability of alternative materials manufactured from waste and intended for road construction usage. It applies to alternative materials, whose usefulness for road construction applications has been previously justified to ensure that the road does not become a substitute for disposal to landfill. This methodological guide is mainly intended for civil engineering professionals and industrial organisations wishing to study the possibilities of recycling the waste materials they possess or produce through road construction applications. In relation to alternative material sources from which experience feedback is convincing, this methodological guide has been broken down into more operational application guides, mainly intended for Prime Contractors, whose aim is to provide a solid reference frame on which technical personnel can base project design or analysis of alternatives proposed within a tender invitation framework. Reference to the assessment approach provided in this methodological guide is therefore of no help for alternative materials covered by an application guide. In such cases, the instructions given in relevant application guide should be directly followed. This methodological guide and its associated application guides are wholly embraced by an approach that promotes alternative material usage in road construction under controlled environmental conditions. Foreword Section 1: Purpose, Definitions and Scope Purpose Definitions Scope Section 2: Environmental Assessment Approach Introduction Description of Assessment Approach Application Guide Content Appendices Acronyms Organisational Rules for Composing Samples Limit Values associated with Level 1 Environmental Characterisation Limit Values associated with Level 2 Environmental Characterisation Modelling Principles Applied Bibliography
  282. Edition (Ceremadoc) Schéma régional du climat, de l'air et de l'énergie (SRCAE). Fiche n°1. Mise à jour Février 2011 : Décryptage Grenelle : Énergie et climat. Série de fiches

    La vocation commune d'appui méthodologique aux territoires a conduit ETD et le Certu à mutualiser leurs compétences pour réaliser un décryptage de l'impact du Grenelle 2 sur la mise en œuvre des politiques publiques des collectivités dans les champs de l'aménagement, de l'environnement et des transports. Destinées aux collectivités de toute taille, les 25 « fiches décryptage du Grenelle » proposées par ETD et le Certu traitent des questions abordées dans la loi Grenelle 2 pour le déploiement desquelles un éclairage technique ou juridique s'avère indispensable. Chaque fiche explicite le contenu de la loi, « ce que dit la loi » et approfondit les conséquences et les impacts pour les collectivités, « ce que cela implique pour les collectivités ». Enfin, quand le sujet le permet, des éléments de méthodes et des illustrations sont fournies à partir des expériences menées par « quelques collectivités pionnières ». Pour ceux qui veulent aller plus loin, les fiches proposent dans la rubrique « en savoir plus » les ressources documentaires indispensables et les contacts avec les rédacteurs des fiches. Promulguée le 12 juillet 2010, la loi portant engagement national pour l'environnement, dite « Grenelle 2 », est un texte d'application et de territorialisation du Grenelle Environnement et de la loi Grenelle 1, qui décline pour six domaines majeurs les objectifs entérinés par le premier volet législatif. D'autres thématiques sont traitées: - Transports - Bâtiments et urbanisme - Biodiversité - Gouvernance.
  283. Edition (Ceremadoc) Budget énergétique des ménages : Atlas des territoires vulnérables

    L'accès à un foncier moins cher qu'en coeur des villes et à une énergie abordable a permis de répondre aux aspirations de bons nombre de ménages : accéder à une maison à la campagne, ayant une plus grande superficie qu'en ville, et confortable en toutes saisons ... Le pic pétrolier de l'été 2008 a remis sous les projecteurs les frais de carburants. Ces derniers sont encore al identifiés par les ménages par rapport à d'autres charges comme les loyers ou les remboursements de prêt, ou perçus à tort comme résiduels ; la perspective d'un accroissement rapide de ce poste a réhabilité les analyses spécifiques sur ce thème. Par les multiples dynamiques qui touchent la notion de « périurbain », ces territoires à distance des lieux historiques de concentration des populations, services et activités sont devenus une zone d'enjeu d'étude et d'expérimentation pour la promotion d'une ville économe en énergie. Ce document discute et pose les bases d'une méthode de spatialisation de la vulnérabilité énergétique des ménages. L'objectif est de repérer les territoires dont les consommations des ménages sont plus importantes ou plus sensibles à une hausse du prix des énergies. Cette analyse prend en compte les dépenses énergétiques domestiques des ménages et les dépenses de carburant liées aux déplacements des actifs pour se rendre au travail en voiture. 1. Objet de l’étude 1.1 Finalités et parti pris 1.2 Présentation sommaire de la méthodologie 2. Principaux résultats 2.1 Analyse des déplacements domicile-travail 2.2 Analyse du poste énergétique des ménages pour le logement 2.3 Adaptabilité à l’évolution du prix des énergies 3. Méthodologie détaillée 3.1 Coûts de déplacement : analyse des distances et coûts carburants des actifs utilisant leur voiture pour se rendre à leur travail 3.2 Coûts énergétiques des logements : chauffage, eau chaude sanitaire, électricité spécifique et cuisson 4. Bibliographie
  284. Edition (Ceremadoc) Impact (l') des fondants routiers sur l'environnement - Etat des connaissances et pistes d'actions : Note d'Information - Économie Environnement Conception - Série(EEC)

    La nécessité de garantir la sécurité des usagers de la route en hiver conduit les gestionnaires routiers à employer des fondants routiers de manière préventive ou curative sur l'ensemble du réseau routier. La présente note vise à sensibiliser les gestionnaires de la route sur la vulnérabilité des milieux naturels vis-à-vis de la présence de ces produits dans l'environnement, en vue d'une utilisation plus raisonnée de ces fondants. Après une introduction sur la caratérisation des pressions polluantes introduites dans l'environnement par les fondants, ce document rappelle le contexte réglementaire environnemental qui encadre l'utilisation de ce type de produits en France et à l'international. Le document présente ensuite les différentes étapes et modalités de pénétration des polluants dans l'environnement puis la nature des impacts produits sur les milieux naturels. Il conclut enfin sur la description de pistes d'actions permettant d'ores et déjà au gestionnaire de réduire les quantités de fondants et les impacts sur l'environnement en intégrant les enjeux environnementaux, en amont et tout au long du processus de mise en oeuvre des fondants. Caractérisation des pressions polluantes Contexte réglementaire Voies de pénétration dans l’environnement....... Sensibilité* des milieux naturels aux fondants (hors impacts des métaux lourds) Pistes d’actions pour réduire les impacts Conclusion Glossaire* Bibliographie
  285. Edition (Ceremadoc) Gestion des secours et prévention des risques : Séminaire inondation des 22 et 23 janvier 2009 - exemple de Neuville sur Saône

    Le séminaire s'est donné pour fil conducteur le renforcement des liens entre la prévention des risques et la gestion des secours. Concrètement, ce rapprochement a été recherché au travers d'une étude de cas fondée sur le scénario de la crue de la Saône du 23 janvier 1955, d'occurrence centennale, et centrée sur la commune de Neuville-sur-Saône. Ce séminaire a rassemblé, autour de cette étude de cas, des acteurs de l'aménagement : élus, agents des administrations, techniciens du bâtiment, architectes, urbanistes, etc. et des professionnels de la gestion des risques : services territoriaux de l'état, service de défense, d'incendie et de secours (SDIS), assureurs, etc. L'approche de l'inondation à partir de l'échelon local ne signifie pas que la crise se gère seulement à cette échelle. Dans le cas présent, l'inondation concerne au moins l'ensemble du Val de Saône, voire au-delà, ce qui conduit le préfet à mettre en place le centre opérationnel départemental (COD). L'approche locale est cependant propice à identifier les problématiques au plus près du terrain et de la population. Elle conduit les acteurs locaux à mieux appréhender la vulnérabilité de leur territoire et permet aux différents professionnels de porter un regard décentré sur leur action. L'objet de l'étude de cas n'était pas la gestion de l'événement par elle-même. Il s'agissait de partir d'une situation de crise imaginée pour identifier les vulnérabilités puis pour envisager les mesures ou actions de nature à réduire les dommages et les perturbations. Les propositions qui ont émergé montrent l'importance d'articuler les échelles et les différentes natures d'intervention, de relier le registre de la prévention et celui de la préparation à la crise, enfin de favoriser une action collective appuyée sur des relais multiples.
  286. Edition (Ceremadoc) Aménager avec le végétal : Pour des espaces verts durables

    Embellir, fleurir, jardiner, paysager, végétaliser, autant d'expressions qui légitiment de nouveaux rapports entre la nature et la ville. Aujourd'hui, de plus en plus d'architectes, urbanistes, architectes-paysagistes, concepteurs d'espaces publics intègrent le végétal dans leurs projets : les arbres, arbustes, fleurs, graminées, grimpent le long des murs et des façades, investissent les toitures et les terrasses, gagnent les lignes de tramways jusqu'aux fissures des trottoirs, sous la forme de micro-implantations florales. Les espaces végétalisés sont convoqués pour dessiner des écoquartiers, composer des parcs et jardins, répondre à la demande de nature des habitants, réenchanter la ville de demain. Cet ouvrage réunit des témoignages d'élus, de spécialistes et d'experts, ayant initié une politique de développement et de mise en valeur du végétal. Il apporte des éléments de méthode pour que le végétal ne soit plus le parent pauvre des pratiques d'aménagement, ni un vulgaire décor, ni un simple mobilier. Il propose une stratégie par étapes pour engager une démarche d'aménagement et de gestion durable des espaces verts publics, depuis la phase de réflexion jusqu'à la mise en œuvre effective des projets. Les recommandations et les conseils se fondent sur l'expérience de collectivités concernées par le concours des villes et villages fleuris. L'ouvrage bénéficie de l'appui technique des Conseils d'Architecture, d'Urbanisme et de l'Environnement dont les missions de conseil et d'accompagnement sont très souvent associées à une demande d'embellissement par le végétal. « Aménager avec le végétal » s'adresse à un public de professionnels de l'aménagement et de la gestion des espaces verts publics, mais aussi aux étudiants en écoles de paysage, enseignants et formateurs, chercheurs, personnes s'intéressant à l'art des jardins, à l'urbanisme et au paysage. Visionnez la vidéo « La Nature en ville comme élément de confort climatique ».
  287. Edition (Ceremadoc) Maîtrise du bruit des chantiers de construction des infrastructures de transports terrestres

    Après un rappel de la réglementation des chantiers ainsi que des engins rencontrés sur ces sites, le guide résume les différents types de chantiers d'infrastructures de transports terrestres ( routiers et ponctuellement ferroviaires) pouvant être source de bruit. Il donne des ordres de grandeurs de niveaux sonores mesurés effectivement in situ, ainsi que ceux fournis par les constructeurs (valeurs d'homologation). Des modèles simplifiés de prévision du bruit permettent d'évaluer les niveaux sonores en tenant compte des critères comme les valeurs d'homologation, le sol du chantier, voire l'âge du matériel. Après avoir pris en compte le ressenti des riverains du chantier, des moyens d'action sont proposés pour diminuer son impact sur les individus (organisation du chantier, choix des trajets d'approvisionnement, choix des techniques/matériels employés, mise en place de protections phoniques, surveillance du chantier, information du public…). Des annexes rappellent des notions de base d'acoustique, présentent des fiches de mesures avec le spectre d'émission des engins, et un exemple de questionnaire permettant de percevoir la spécificité du site avoisinant vis à vis des habitants. Des exemples d'arrêtés ou de programme de surveillance de bruit sont proposés afin d'aider les acteurs dans la prévention des plaintes des riverains vis à vis du chantier. Introduction La réglementation du bruit des chantiers Au niveau des chantiers Réglementation des engins de chantier Les différents types de chantiers et leur impact sonore Les principaux types de chantiers Phases de travaux Matériels et engins utilisés Niveaux sonores globaux émis par ces types de chantiers Niveaux de bruit émis par les engins de chantier La prévision du bruit d’un chantier Le ressenti des riverains Les moyens d’action Bibliographie Annexes Annexe A – Notions d’acoustique et méthode de mesure du niveau de puissance Lw Annexe B – La réglementation du bruit des chantiers Annexe C – La réglementation des matériels et engins de chantier Annexe D – Bruit des engins ou matériels dans leurs conditions de fonctionnement « in situ » Annexe E – Le ressenti des riverains Annexe F – Les moyens d’actions Annexe G – Modèle de cahier des charges « Bruit » Annexe H – Proposition du contenu du dossier à présenter au préfet avant le démarrage des travaux (article 8 du décret du 9 janvier 1995)
  288. Edition (Ceremadoc) SCoT Grenelle. SCoT et Biodiversité. Série de fiches : Scot du Pays de la baie du Mont-Saint-Michel

    La démarche « SCoT Grenelle » est une démarche d'accompagnement des thèmes nouveaux impulsés par le Grenelle de l'environnement dans les SCoT. Elle se déroule pendant 3 ans sur 12 sites . Elle est pilotée par le Ministère de l'Écologie, du Développement Durable des Transports et du Logement . Le Certu assure une assistance au maître d'ouvrage en lien avec les Cete. La thématique de la biodiversité a fait l'objet d'une analyse menée par le Certu et Cete en partenariat avec les maîtres d'ouvrage concernés. Destinées aux collectivités élaborant leur SCoT, ces six fiches permettent de diffuser et partager l'expérience de ces SCoT « Grenelle ».
  289. Edition (Ceremadoc) SCoT Grenelle. SCoT et Biodiversité. Série de fiches : Scot de Caen Métropole

    La démarche « SCoT Grenelle » est une démarche d'accompagnement des thèmes nouveaux impulsés par le Grenelle de l'environnement dans les SCoT. Elle se déroule pendant 3 ans sur 12 sites . Elle est pilotée par le Ministère de l'Écologie, du Développement Durable des Transports et du Logement . Le Certu assure une assistance au maître d'ouvrage en lien avec les Cete. La thématique de la biodiversité a fait l'objet d'une analyse menée par le Certu et Cete en partenariat avec les maîtres d'ouvrage concernés. Destinées aux collectivités élaborant leur SCoT, ces six fiches permettent de diffuser et partager l'expérience de ces SCoT « Grenelle ».
  290. Study report (Ceremadoc) Artificialisation des sols en 2006 en Champagne-Ardenne.

    L'étude fait le point sur l'occupation du sol, par département, pour les quatre grandes aires ainsi que sur l'évolution de cette occupation depuis l'an 2000 à travers la base de données Corine Land Cover (2000 rectifiée, 2006). La Champagne-Ardenne fait partie du peloton des six régions les moins artificialisées de province avec la Corse, le Limousin, Midi-Pyrénées, l'Auvergne et la Bourgogne. Toutefois, malgré la baisse de population régionale, la vitesse d'artificialisation augmente depuis les années 2000, notamment avec l'augmentation des terrains consacrés aux zones d'activités et aux infrastructures. La Champagne-Ardenne est la région qui connaît la densité résidentielle la plus faible de France. Trois fiches-indicateurs concernant respectivement les territoires artificialisés ( fiche n° 1), les territoires agricoles (fiche n° 2), les territoires naturels (fiche n° 3) composent cette étude.
  291. Edition (Ceremadoc) Verdissement et renforcement du plan local d’urbanisme (PLU)

    La loi SRU de décembre 2000, fondatrice des Schémas de Cohérence Territoriale (SCoT) et des PLU, traduisait la volonté de promouvoir un aménagement des aires urbaines plus cohérent, plus solidaire et plus soucieux du développement durable. La loi portant engagement national pour l’environnement du 12 juillet 2010, dite « Grenelle 2 », complète ce dispositif législatif en renforçant la dimension environnementale et la mise en cohérence des SCoT et PLU.
  292. Edition (Ceremadoc) SISMOA - Evaluation préliminaire du risque sismique sur les ouvrages d’art existants

    La méthode SISMOA est une procédure d’évaluation préliminaire du risque sismique sur les ouvrages d’art existants. Elle repose sur les données géométriques et typologiques des ouvrages. Les résultats permettent de localiser les éléments sensibles et aboutissent à l’évaluation d’une valeur de risque par ouvrage.
  293. Edition (Ceremadoc) Pratiques de développement durable dans le bâtiment en France. Campagne d’évaluations 2006-2009. 30 opérations : Bpdd 10 : Cuisine centrale (76)

    De nombreux bâtiments sont réputés « durables » (certifications HQE, Habitat Environnement...) ou affichent des performances, labels de nature énergétique sans que l'on ne sache : les qualités ou caractéristiques de ces bâtiments au moment de leur construction (les choix effectués) ou les performances réellement atteintes (par exemple sur le plan énergétique) ; comment ces bâtiments évoluent : fonctionnement, consommations, usages, lien avec la ville... Dans cette perspective, le ministère de l'écologie, du Développement durable, des transports et du logement a mené une campagne entre 2006 et 2010 d'analyses de 30 opérations de tous types, logements, bureaux, établissements scolaires, équipements sportifs...Il s'agit d'identifier, de présenter, d'évaluer des bâtiments présentant des progrès significatifs dans un domaine particulier (énergétique, économique, mais aussi évolutivité, usage, santé, eau...). A cet effet le CERTU, les CETEs et le CSTB, réunis dans un comité technique d'experts, ont développé des outils de référence : un guide de questionnement pour l'analyse et une fiche de restitution. Le travail de terrain a été assuré par un réseau d'expertise issu des spécialistes « Construction et Développement durable » des CETEs. Ces bâtiments (logements, équipements, tertiaire) devait être en service depuis au moins un an afin d'apprécier leurs performances réelles en exploitation et vis-à-vis de l'usage. Les réalisations ont été choisies autant sur leurs performances que sur la cohérence et la maîtrise des ambitions de durabilité depuis le programme jusqu'à la mise en service et la vie de l'équipement. À l'heure où les professionnels, et notamment les maîtres d'ouvrage, s'interrogent encore sur la viabilité économique de tels projets, mais aussi sur la manière la plus efficace de les mener, il s'agit de démythifier le coût du développement durable et de généraliser le progrès. Ainsi ont été établies 30 fiches monographiques mettant en avant les points forts de chaque opération selon cinq thèmes emblématiques des pratiques professionnelles liées au développement durable appliqué au bâtiment : gouvernance ; qualité urbaine, qualité d'usage, qualité environnementale, économie.
  294. Edition (Ceremadoc) Pratiques de développement durable dans le bâtiment en France. Campagne d’évaluations 2006-2009. 30 opérations : Bpdd 14 : Piscine de Villenave d’Ornon (33)

    De nombreux bâtiments sont réputés « durables » (certifications HQE, Habitat Environnement...) ou affichent des performances, labels de nature énergétique sans que l'on ne sache : les qualités ou caractéristiques de ces bâtiments au moment de leur construction (les choix effectués) ou les performances réellement atteintes (par exemple sur le plan énergétique) ; comment ces bâtiments évoluent : fonctionnement, consommations, usages, lien avec la ville... Dans cette perspective, le ministère de l'écologie, du Développement durable, des transports et du logement a mené une campagne entre 2006 et 2010 d'analyses de 30 opérations de tous types, logements, bureaux, établissements scolaires, équipements sportifs...Il s'agit d'identifier, de présenter, d'évaluer des bâtiments présentant des progrès significatifs dans un domaine particulier (énergétique, économique, mais aussi évolutivité, usage, santé, eau...). A cet effet le CERTU, les CETEs et le CSTB, réunis dans un comité technique d'experts, ont développé des outils de référence : un guide de questionnement pour l'analyse et une fiche de restitution. Le travail de terrain a été assuré par un réseau d'expertise issu des spécialistes « Construction et Développement durable » des CETEs. Ces bâtiments (logements, équipements, tertiaire) devait être en service depuis au moins un an afin d'apprécier leurs performances réelles en exploitation et vis-à-vis de l'usage. Les réalisations ont été choisies autant sur leurs performances que sur la cohérence et la maîtrise des ambitions de durabilité depuis le programme jusqu'à la mise en service et la vie de l'équipement. À l'heure où les professionnels, et notamment les maîtres d'ouvrage, s'interrogent encore sur la viabilité économique de tels projets, mais aussi sur la manière la plus efficace de les mener, il s'agit de démythifier le coût du développement durable et de généraliser le progrès. Ainsi ont été établies 30 fiches monographiques mettant en avant les points forts de chaque opération selon cinq thèmes emblématiques des pratiques professionnelles liées au développement durable appliqué au bâtiment : gouvernance ; qualité urbaine, qualité d'usage, qualité environnementale, économie.
  295. Edition (Ceremadoc) Pratiques de développement durable dans le bâtiment en France. Campagne d’évaluations 2006-2009. 30 opérations : Bpdd 1 : Notre Dame de Gravenchon (76)

    De nombreux bâtiments sont réputés « durables » (certifications HQE, Habitat Environnement...) ou affichent des performances, labels de nature énergétique sans que l'on ne sache : les qualités ou caractéristiques de ces bâtiments au moment de leur construction (les choix effectués) ou les performances réellement atteintes (par exemple sur le plan énergétique) ; comment ces bâtiments évoluent : fonctionnement, consommations, usages, lien avec la ville... Dans cette perspective, le ministère de l'écologie, du Développement durable, des transports et du logement a mené une campagne entre 2006 et 2010 d'analyses de 30 opérations de tous types, logements, bureaux, établissements scolaires, équipements sportifs...Il s'agit d'identifier, de présenter, d'évaluer des bâtiments présentant des progrès significatifs dans un domaine particulier (énergétique, économique, mais aussi évolutivité, usage, santé, eau...). A cet effet le CERTU, les CETEs et le CSTB, réunis dans un comité technique d'experts, ont développé des outils de référence : un guide de questionnement pour l'analyse et une fiche de restitution. Le travail de terrain a été assuré par un réseau d'expertise issu des spécialistes « Construction et Développement durable » des CETEs. Ces bâtiments (logements, équipements, tertiaire) devait être en service depuis au moins un an afin d'apprécier leurs performances réelles en exploitation et vis-à-vis de l'usage. Les réalisations ont été choisies autant sur leurs performances que sur la cohérence et la maîtrise des ambitions de durabilité depuis le programme jusqu'à la mise en service et la vie de l'équipement. À l'heure où les professionnels, et notamment les maîtres d'ouvrage, s'interrogent encore sur la viabilité économique de tels projets, mais aussi sur la manière la plus efficace de les mener, il s'agit de démythifier le coût du développement durable et de généraliser le progrès. Ainsi ont été établies 30 fiches monographiques mettant en avant les points forts de chaque opération selon cinq thèmes emblématiques des pratiques professionnelles liées au développement durable appliqué au bâtiment : gouvernance ; qualité urbaine, qualité d'usage, qualité environnementale, économie.
  296. Edition (Ceremadoc) PLU, évaluation environnementale. Série de fiches : Pj 12 (plu) - des secteurs de développement conditionnés par l'avifaune - st symphorien

    La Directive européenne « Plans Programmes » 2001/42 du 27 juin 2001 a été traduite en droit français par l'Ordonnance du 03 juin 2004 et les décrets du 27 mai 2005. Ainsi, certains Plan Local d'Urbanisme (PLU) susceptibles d'avoir des effets notables sur l'environnement doivent comporter une évaluation environnementale. Le rapport de présentation de ces PLU doit notamment, en plus des obligations générales communes à tous les PLU, présenter les mesures envisagées pour éviter, réduire et, si possible, compenser les conséquences dommageables de la mise en œuvre du plan. Ce sont ces types de mesures d'évitement, de correction ou de réduction, voire de compensation, ainsi que les mesures de conservations prises en complément, qui ont guidé le travail du Certu et du Cete Méditerranée dans l'étude de 6 cas et la réalisation de 7 fiches de cas PLU correspondantes. D'autres fiches de cas sont disponibles sur les Thématique Déplacements et Thématique Paysage.
  297. Edition (Ceremadoc) PLU - Thème déplacements. Série de fiches : 2 (PLU - Paysage) - Un secteur d'extension urbaine dans le centre bourg

    Le Plan Local d'Urbanisme (PLU) est le document de planification à l'échelle communale. Il a remplacé le Plan d'Occupation des Sols avec la Loi SRU du 13 décembre 2000. Le dossier PLU est composé de divers éléments : un rapport de présentation ; un PADD ; des orientations d'aménagement par quartier ou par secteur (facultatives) ; un règlement et ses documents graphiques ; des annexes. Nous vous proposons ici une série de Fiches de cas concernant la thématique du paysage et des coupures vertes. Il s'agit notamment des Fiches de cas n°1 et 2 (portant sur Villers-au-Tertre), n°5 (Criel-sur-Mer) et n°6 (St Nicolas d'Aliermont). D'autres fiches de cas sont disponibles sur la Thématique Déplacements et la Thématique Evaluation environnementale.
  298. Edition (Ceremadoc) Monétarisation des externalités environnementales : Synthèse

    Il permet d’identifier les champs à investir pour faire évoluer les pratiques françaises actuelles. En outre, il cherche à quantifier, sur la base d’un exemple réel d’évaluation d’un projet routier, quelles seraient les conséquences sur les résultats du bilan socio-économique des évolutions possibles des valeurs tutélaires accordées aux externalités environnementales. L’étude s’intéresse aussi bien aux externalités environnementales pour lesquelles une valeur tutélaire est actuellement fixée (pollution atmosphérique, nuisances sonores, émissions de gaz à effet de serre) qu’aux externalités qui ne sont aujourd’hui pas prises en compte dans le calcul socio-économique (perte de biodiversité, pollution des eaux et des sols, effets de coupure, atteintes aux paysages).
  299. Edition (Ceremadoc) Pratiques de développement durable dans le bâtiment en France. Campagne d’évaluations 2006-2009. 30 opérations : Bpdd 11 : Maison de la vie associative (92)

    De nombreux bâtiments sont réputés « durables » (certifications HQE, Habitat Environnement...) ou affichent des performances, labels de nature énergétique sans que l'on ne sache : les qualités ou caractéristiques de ces bâtiments au moment de leur construction (les choix effectués) ou les performances réellement atteintes (par exemple sur le plan énergétique) ; comment ces bâtiments évoluent : fonctionnement, consommations, usages, lien avec la ville... Dans cette perspective, le ministère de l'écologie, du Développement durable, des transports et du logement a mené une campagne entre 2006 et 2010 d'analyses de 30 opérations de tous types, logements, bureaux, établissements scolaires, équipements sportifs...Il s'agit d'identifier, de présenter, d'évaluer des bâtiments présentant des progrès significatifs dans un domaine particulier (énergétique, économique, mais aussi évolutivité, usage, santé, eau...). A cet effet le CERTU, les CETEs et le CSTB, réunis dans un comité technique d'experts, ont développé des outils de référence : un guide de questionnement pour l'analyse et une fiche de restitution. Le travail de terrain a été assuré par un réseau d'expertise issu des spécialistes « Construction et Développement durable » des CETEs. Ces bâtiments (logements, équipements, tertiaire) devait être en service depuis au moins un an afin d'apprécier leurs performances réelles en exploitation et vis-à-vis de l'usage. Les réalisations ont été choisies autant sur leurs performances que sur la cohérence et la maîtrise des ambitions de durabilité depuis le programme jusqu'à la mise en service et la vie de l'équipement. À l'heure où les professionnels, et notamment les maîtres d'ouvrage, s'interrogent encore sur la viabilité économique de tels projets, mais aussi sur la manière la plus efficace de les mener, il s'agit de démythifier le coût du développement durable et de généraliser le progrès. Ainsi ont été établies 30 fiches monographiques mettant en avant les points forts de chaque opération selon cinq thèmes emblématiques des pratiques professionnelles liées au développement durable appliqué au bâtiment : gouvernance ; qualité urbaine, qualité d'usage, qualité environnementale, économie.
  300. Edition (Ceremadoc) PLU, évaluation environnementale. Série de fiches : Pj 15 (plu) - la protection des micro-naturalités et d'une espèce spécifique dans le plu – echirolles

    La Directive européenne « Plans Programmes » 2001/42 du 27 juin 2001 a été traduite en droit français par l'Ordonnance du 03 juin 2004 et les décrets du 27 mai 2005. Ainsi, certains Plan Local d'Urbanisme (PLU) susceptibles d'avoir des effets notables sur l'environnement doivent comporter une évaluation environnementale. Le rapport de présentation de ces PLU doit notamment, en plus des obligations générales communes à tous les PLU, présenter les mesures envisagées pour éviter, réduire et, si possible, compenser les conséquences dommageables de la mise en œuvre du plan. Ce sont ces types de mesures d'évitement, de correction ou de réduction, voire de compensation, ainsi que les mesures de conservations prises en complément, qui ont guidé le travail du Certu et du Cete Méditerranée dans l'étude de 6 cas et la réalisation de 7 fiches de cas PLU correspondantes. D'autres fiches de cas sont disponibles sur les Thématique Déplacements et Thématique Paysage.
  301. Edition (Ceremadoc) PLU - Thème déplacements. Série de fiches : 5 (PLU - Paysage) - Prise en compte des composantes paysagères dans le PLU

    Le Plan Local d'Urbanisme (PLU) est le document de planification à l'échelle communale. Il a remplacé le Plan d'Occupation des Sols avec la Loi SRU du 13 décembre 2000. Le dossier PLU est composé de divers éléments : un rapport de présentation ; un PADD ; des orientations d'aménagement par quartier ou par secteur (facultatives) ; un règlement et ses documents graphiques ; des annexes. Nous vous proposons ici une série de Fiches de cas concernant la thématique du paysage et des coupures vertes. Il s'agit notamment des Fiches de cas n°1 et 2 (portant sur Villers-au-Tertre), n°5 (Criel-sur-Mer) et n°6 (St Nicolas d'Aliermont). D'autres fiches de cas sont disponibles sur la Thématique Déplacements et la Thématique Evaluation environnementale.
  302. Edition (Ceremadoc) PLU, évaluation environnementale. Série de fiches : Pj 14 (plu) - la protection de la biodiversité dans les zones humides – niort

    La Directive européenne « Plans Programmes » 2001/42 du 27 juin 2001 a été traduite en droit français par l'Ordonnance du 03 juin 2004 et les décrets du 27 mai 2005. Ainsi, certains Plan Local d'Urbanisme (PLU) susceptibles d'avoir des effets notables sur l'environnement doivent comporter une évaluation environnementale. Le rapport de présentation de ces PLU doit notamment, en plus des obligations générales communes à tous les PLU, présenter les mesures envisagées pour éviter, réduire et, si possible, compenser les conséquences dommageables de la mise en œuvre du plan. Ce sont ces types de mesures d'évitement, de correction ou de réduction, voire de compensation, ainsi que les mesures de conservations prises en complément, qui ont guidé le travail du Certu et du Cete Méditerranée dans l'étude de 6 cas et la réalisation de 7 fiches de cas PLU correspondantes. D'autres fiches de cas sont disponibles sur les Thématique Déplacements et Thématique Paysage.
  303. Edition (Ceremadoc) PLU - Thème déplacements. Série de fiches : 6 (PLU - Paysage) - Prise en compte des coupures vertes dans le PLU

    Le Plan Local d'Urbanisme (PLU) est le document de planification à l'échelle communale. Il a remplacé le Plan d'Occupation des Sols avec la Loi SRU du 13 décembre 2000. Le dossier PLU est composé de divers éléments : un rapport de présentation ; un PADD ; des orientations d'aménagement par quartier ou par secteur (facultatives) ; un règlement et ses documents graphiques ; des annexes. Nous vous proposons ici une série de Fiches de cas concernant la thématique du paysage et des coupures vertes. Il s'agit notamment des Fiches de cas n°1 et 2 (portant sur Villers-au-Tertre), n°5 (Criel-sur-Mer) et n°6 (St Nicolas d'Aliermont). D'autres fiches de cas sont disponibles sur la Thématique Déplacements et la Thématique Evaluation environnementale.
  304. Edition (Ceremadoc) Pratiques de développement durable dans le bâtiment en France. Campagne d’évaluations 2006-2009. 30 opérations : Bpdd 12 : Lycée Emulation dieppoise (76)

    De nombreux bâtiments sont réputés « durables » (certifications HQE, Habitat Environnement...) ou affichent des performances, labels de nature énergétique sans que l'on ne sache : les qualités ou caractéristiques de ces bâtiments au moment de leur construction (les choix effectués) ou les performances réellement atteintes (par exemple sur le plan énergétique) ; comment ces bâtiments évoluent : fonctionnement, consommations, usages, lien avec la ville... Dans cette perspective, le ministère de l'écologie, du Développement durable, des transports et du logement a mené une campagne entre 2006 et 2010 d'analyses de 30 opérations de tous types, logements, bureaux, établissements scolaires, équipements sportifs...Il s'agit d'identifier, de présenter, d'évaluer des bâtiments présentant des progrès significatifs dans un domaine particulier (énergétique, économique, mais aussi évolutivité, usage, santé, eau...). A cet effet le CERTU, les CETEs et le CSTB, réunis dans un comité technique d'experts, ont développé des outils de référence : un guide de questionnement pour l'analyse et une fiche de restitution. Le travail de terrain a été assuré par un réseau d'expertise issu des spécialistes « Construction et Développement durable » des CETEs. Ces bâtiments (logements, équipements, tertiaire) devait être en service depuis au moins un an afin d'apprécier leurs performances réelles en exploitation et vis-à-vis de l'usage. Les réalisations ont été choisies autant sur leurs performances que sur la cohérence et la maîtrise des ambitions de durabilité depuis le programme jusqu'à la mise en service et la vie de l'équipement. À l'heure où les professionnels, et notamment les maîtres d'ouvrage, s'interrogent encore sur la viabilité économique de tels projets, mais aussi sur la manière la plus efficace de les mener, il s'agit de démythifier le coût du développement durable et de généraliser le progrès. Ainsi ont été établies 30 fiches monographiques mettant en avant les points forts de chaque opération selon cinq thèmes emblématiques des pratiques professionnelles liées au développement durable appliqué au bâtiment : gouvernance ; qualité urbaine, qualité d'usage, qualité environnementale, économie.
  305. Edition (Ceremadoc) Pratiques de développement durable dans le bâtiment en France. Campagne d’évaluations 2006-2009. 30 opérations : Bpdd 15 : Groupe scolaire Jean Mineur (59)

    De nombreux bâtiments sont réputés « durables » (certifications HQE, Habitat Environnement...) ou affichent des performances, labels de nature énergétique sans que l'on ne sache : les qualités ou caractéristiques de ces bâtiments au moment de leur construction (les choix effectués) ou les performances réellement atteintes (par exemple sur le plan énergétique) ; comment ces bâtiments évoluent : fonctionnement, consommations, usages, lien avec la ville... Dans cette perspective, le ministère de l'écologie, du Développement durable, des transports et du logement a mené une campagne entre 2006 et 2010 d'analyses de 30 opérations de tous types, logements, bureaux, établissements scolaires, équipements sportifs...Il s'agit d'identifier, de présenter, d'évaluer des bâtiments présentant des progrès significatifs dans un domaine particulier (énergétique, économique, mais aussi évolutivité, usage, santé, eau...). A cet effet le CERTU, les CETEs et le CSTB, réunis dans un comité technique d'experts, ont développé des outils de référence : un guide de questionnement pour l'analyse et une fiche de restitution. Le travail de terrain a été assuré par un réseau d'expertise issu des spécialistes « Construction et Développement durable » des CETEs. Ces bâtiments (logements, équipements, tertiaire) devait être en service depuis au moins un an afin d'apprécier leurs performances réelles en exploitation et vis-à-vis de l'usage. Les réalisations ont été choisies autant sur leurs performances que sur la cohérence et la maîtrise des ambitions de durabilité depuis le programme jusqu'à la mise en service et la vie de l'équipement. À l'heure où les professionnels, et notamment les maîtres d'ouvrage, s'interrogent encore sur la viabilité économique de tels projets, mais aussi sur la manière la plus efficace de les mener, il s'agit de démythifier le coût du développement durable et de généraliser le progrès. Ainsi ont été établies 30 fiches monographiques mettant en avant les points forts de chaque opération selon cinq thèmes emblématiques des pratiques professionnelles liées au développement durable appliqué au bâtiment : gouvernance ; qualité urbaine, qualité d'usage, qualité environnementale, économie.
  306. Edition (Ceremadoc) Pratiques de développement durable dans le bâtiment en France. Campagne d’évaluations 2006-2009. 30 opérations : Bpdd 13 : Maison Détot Kavoukdjian (04)

    De nombreux bâtiments sont réputés « durables » (certifications HQE, Habitat Environnement...) ou affichent des performances, labels de nature énergétique sans que l'on ne sache : les qualités ou caractéristiques de ces bâtiments au moment de leur construction (les choix effectués) ou les performances réellement atteintes (par exemple sur le plan énergétique) ; comment ces bâtiments évoluent : fonctionnement, consommations, usages, lien avec la ville... Dans cette perspective, le ministère de l'écologie, du Développement durable, des transports et du logement a mené une campagne entre 2006 et 2010 d'analyses de 30 opérations de tous types, logements, bureaux, établissements scolaires, équipements sportifs...Il s'agit d'identifier, de présenter, d'évaluer des bâtiments présentant des progrès significatifs dans un domaine particulier (énergétique, économique, mais aussi évolutivité, usage, santé, eau...). A cet effet le CERTU, les CETEs et le CSTB, réunis dans un comité technique d'experts, ont développé des outils de référence : un guide de questionnement pour l'analyse et une fiche de restitution. Le travail de terrain a été assuré par un réseau d'expertise issu des spécialistes « Construction et Développement durable » des CETEs. Ces bâtiments (logements, équipements, tertiaire) devait être en service depuis au moins un an afin d'apprécier leurs performances réelles en exploitation et vis-à-vis de l'usage. Les réalisations ont été choisies autant sur leurs performances que sur la cohérence et la maîtrise des ambitions de durabilité depuis le programme jusqu'à la mise en service et la vie de l'équipement. À l'heure où les professionnels, et notamment les maîtres d'ouvrage, s'interrogent encore sur la viabilité économique de tels projets, mais aussi sur la manière la plus efficace de les mener, il s'agit de démythifier le coût du développement durable et de généraliser le progrès. Ainsi ont été établies 30 fiches monographiques mettant en avant les points forts de chaque opération selon cinq thèmes emblématiques des pratiques professionnelles liées au développement durable appliqué au bâtiment : gouvernance ; qualité urbaine, qualité d'usage, qualité environnementale, économie.
  307. Edition (Ceremadoc) PLU, évaluation environnementale. Série de fiches : Pj 13 (plu) - des mesures conservatoires et réductrices pour une protection de l'avifaune - st symphorien

    La Directive européenne « Plans Programmes » 2001/42 du 27 juin 2001 a été traduite en droit français par l'Ordonnance du 03 juin 2004 et les décrets du 27 mai 2005. Ainsi, certains Plan Local d'Urbanisme (PLU) susceptibles d'avoir des effets notables sur l'environnement doivent comporter une évaluation environnementale. Le rapport de présentation de ces PLU doit notamment, en plus des obligations générales communes à tous les PLU, présenter les mesures envisagées pour éviter, réduire et, si possible, compenser les conséquences dommageables de la mise en œuvre du plan. Ce sont ces types de mesures d'évitement, de correction ou de réduction, voire de compensation, ainsi que les mesures de conservations prises en complément, qui ont guidé le travail du Certu et du Cete Méditerranée dans l'étude de 6 cas et la réalisation de 7 fiches de cas PLU correspondantes. D'autres fiches de cas sont disponibles sur les Thématique Déplacements et Thématique Paysage.
  308. Edition (Ceremadoc) PLU, évaluation environnementale. Série de fiches : Pj 16 (plu) - la préservation des corridors écologiques situés en milieux forestiers et aquatiques – vaulnaveuys-le-haut

    La Directive européenne « Plans Programmes » 2001/42 du 27 juin 2001 a été traduite en droit français par l'Ordonnance du 03 juin 2004 et les décrets du 27 mai 2005. Ainsi, certains Plan Local d'Urbanisme (PLU) susceptibles d'avoir des effets notables sur l'environnement doivent comporter une évaluation environnementale. Le rapport de présentation de ces PLU doit notamment, en plus des obligations générales communes à tous les PLU, présenter les mesures envisagées pour éviter, réduire et, si possible, compenser les conséquences dommageables de la mise en œuvre du plan. Ce sont ces types de mesures d'évitement, de correction ou de réduction, voire de compensation, ainsi que les mesures de conservations prises en complément, qui ont guidé le travail du Certu et du Cete Méditerranée dans l'étude de 6 cas et la réalisation de 7 fiches de cas PLU correspondantes. D'autres fiches de cas sont disponibles sur les Thématique Déplacements et Thématique Paysage.
  309. Edition (Ceremadoc) PLU - Thème déplacements. Série de fiches : 1 (PLU - Paysage) - Un PADD de petite commune fondé sur une politique paysagère forte

    Le Plan Local d'Urbanisme (PLU) est le document de planification à l'échelle communale. Il a remplacé le Plan d'Occupation des Sols avec la Loi SRU du 13 décembre 2000. Le dossier PLU est composé de divers éléments : un rapport de présentation ; un PADD ; des orientations d'aménagement par quartier ou par secteur (facultatives) ; un règlement et ses documents graphiques ; des annexes. Nous vous proposons ici une série de Fiches de cas concernant la thématique du paysage et des coupures vertes. Il s'agit notamment des Fiches de cas n°1 et 2 (portant sur Villers-au-Tertre), n°5 (Criel-sur-Mer) et n°6 (St Nicolas d'Aliermont). D'autres fiches de cas sont disponibles sur la Thématique Déplacements et la Thématique Evaluation environnementale.
  310. Edition (Ceremadoc) PLU, évaluation environnementale. Série de fiches : Pj 17 (plu) - la protection du réseau écologique global et des corridors qui le composent - st martin d'uriage

    La Directive européenne « Plans Programmes » 2001/42 du 27 juin 2001 a été traduite en droit français par l'Ordonnance du 03 juin 2004 et les décrets du 27 mai 2005. Ainsi, certains Plan Local d'Urbanisme (PLU) susceptibles d'avoir des effets notables sur l'environnement doivent comporter une évaluation environnementale. Le rapport de présentation de ces PLU doit notamment, en plus des obligations générales communes à tous les PLU, présenter les mesures envisagées pour éviter, réduire et, si possible, compenser les conséquences dommageables de la mise en œuvre du plan. Ce sont ces types de mesures d'évitement, de correction ou de réduction, voire de compensation, ainsi que les mesures de conservations prises en complément, qui ont guidé le travail du Certu et du Cete Méditerranée dans l'étude de 6 cas et la réalisation de 7 fiches de cas PLU correspondantes. D'autres fiches de cas sont disponibles sur les Thématique Déplacements et Thématique Paysage.
  311. Edition (Ceremadoc) Plan de prévention du bruit dans l’environnement - Méthodologie d’aide aux acteurs pour l’intégration des données dans MapBruit v2 : Note d'Information - Économie Environnement Conception - Série(EEC)

    La réalisation des plans de prévention du bruit dans l’environnement (PPBE) est imposée par la directive européenne 2002/49/CE. Celle-ci concerne la gestion et la prévention des bruits dans l’environnement, nécessite la mise en place d’outils permettant de stocker les informations qui leur sont relatifs. Ces informations sont de différente nature, comme la localisation des sites concernés, les mesures de protection mises en œuvre, leur coût et leur modalité de financement. Elle propose un formatage des données à stocker au travers de l’emploi d’un outil appelé MapBruit généralement utilisé dans les services de l’État. Cet outil est disponible sur le site du Certu. Le suivi de ce formatage permet d’extraire facilement ces informations spécifiques aux PPBE en interrogeant la base de données au travers du langage SQL. Introduction Objectifs de cette note d’information Rappel du contexte réglementaire Rôle des CETE Données à fournir à la Commission européenne . Opportunité d’utiliser MapBruit v2 Gestion d’un PPBE à partir de MapBruit v2 Conclusion Bibliographie Glossaire
  312. Edition (Ceremadoc) Développement de la production d’origine éolienne

    Les procédures de développement de la production électrique par des éoliennes sont profondément transformées par la loi Grenelle 2 à travers : la modification des règles d’implantation des zones de développement éolien (ZDE), et l’insertion au sein du Schéma régional du climat, de l’air et de l’énergie l’évolution de la réglementation au sein des ZDE Cette fiche en décrypte les principes.
  313. Edition (Ceremadoc) Décryptage Grenelle : Énergie et climat, série de fiches : Pj 6 - développement de la production d’origine éolienne

    La vocation commune d'appui méthodologique aux territoires a conduit ETD et le Certu à mutualiser leurs compétences pour réaliser un décryptage de l'impact du Grenelle 2 sur la mise en œuvre des politiques publiques des collectivités dans les champs de l'aménagement, de l'environnement et des transports. Destinées aux collectivités de toute taille, les 25 « fiches décryptage du Grenelle » proposées par ETD et le Certu traitent des questions abordées dans la loi Grenelle 2 pour le déploiement desquelles un éclairage technique ou juridique s'avère indispensable. Chaque fiche explicite le contenu de la loi, « ce que dit la loi » et approfondit les conséquences et les impacts pour les collectivités, « ce que cela implique pour les collectivités ». Enfin, quand le sujet le permet, des éléments de méthodes et des illustrations sont fournies à partir des expériences menées par « quelques collectivités pionnières ». Pour ceux qui veulent aller plus loin, les fiches proposent dans la rubrique « en savoir plus » les ressources documentaires indispensables et les contacts avec les rédacteurs des fiches. Promulguée le 12 juillet 2010, la loi portant engagement national pour l'environnement, dite « Grenelle 2 », est un texte d'application et de territorialisation du Grenelle Environnement et de la loi Grenelle 1, qui décline pour six domaines majeurs les objectifs entérinés par le premier volet législatif. D'autres thématiques sont traitées: - Transports - Bâtiments et urbanisme - Biodiversité - Gouvernance.
  314. Edition (Ceremadoc) Décryptage Grenelle : Énergie et climat, série de fiches : Recueil de fiches

    La vocation commune d'appui méthodologique aux territoires a conduit ETD et le Certu à mutualiser leurs compétences pour réaliser un décryptage de l'impact du Grenelle 2 sur la mise en œuvre des politiques publiques des collectivités dans les champs de l'aménagement, de l'environnement et des transports. Destinées aux collectivités de toute taille, les 25 « fiches décryptage du Grenelle » proposées par ETD et le Certu traitent des questions abordées dans la loi Grenelle 2 pour le déploiement desquelles un éclairage technique ou juridique s'avère indispensable. Chaque fiche explicite le contenu de la loi, « ce que dit la loi » et approfondit les conséquences et les impacts pour les collectivités, « ce que cela implique pour les collectivités ». Enfin, quand le sujet le permet, des éléments de méthodes et des illustrations sont fournies à partir des expériences menées par « quelques collectivités pionnières ». Pour ceux qui veulent aller plus loin, les fiches proposent dans la rubrique « en savoir plus » les ressources documentaires indispensables et les contacts avec les rédacteurs des fiches. Promulguée le 12 juillet 2010, la loi portant engagement national pour l'environnement, dite « Grenelle 2 », est un texte d'application et de territorialisation du Grenelle Environnement et de la loi Grenelle 1, qui décline pour six domaines majeurs les objectifs entérinés par le premier volet législatif. D'autres thématiques sont traitées: - Transports - Bâtiments et urbanisme - Biodiversité - Gouvernance.
  315. Edition (Ceremadoc) Bilan national du RÉPOM : Réseau national de surveillance de la qualité des eaux et des sédiments des ports maritimes

    Ce bilan, réalisé par l'équipe projet de la Division Environnement Marin et Littoral du Direction technique Eau, mer et fleuves, a pour objectif de dresser un état des lieux des dix années de suivis du RÉseau national de surveillance de la qualité de l'eau et des sédiments dans les POrts Maritimes (RÉPOM).Créé en 1997 par le Directeur de l'Eau, le RÉPOM a pour objectif le suivi national de la qualité des eaux et des sédiments des ports maritimes en s'appuyant sur les services chargés de la police des eaux littorales. Ceci s'est inscrit dans le contexte de la mise en œuvre alors récente des Schémas Directeurs d'Aménagement et de Gestion des Eaux (SDAGE) et de la nécessité pour les gestionnaires des milieux aquatiques, et plus particulièrement des milieux littoraux, de disposer d'information leur permettant de guider et d'évaluer leurs actions (circulaire du 7 mars 1997). Après 10 ans de suivis, il est apparu nécessaire d'effectuer un bilan du réseau RÉPOM. L'analyse des données acquises de 1997 à 2006 cherchera à déterminer quel est l'état des lieux et l'éventuelle évolution de la qualité des sédiments et des eaux des zones portuaires à une échelle nationale à partir des données acquises. L'étude est décomposée en deux parties selon les deux programmes existants : Les données du programme Sédiment donnent des informations sur la contamination des sédiments par plusieurs familles de substances chimiques. Nous chercherons à déterminer les substances qui sont peu ou pas présentes dans les sédiments portuaires, celles qui sont présentes dans certains sites particuliers et celles qui sont largement diffusées dans les milieux portuaires. Nous nous interrogerons sur l'effet de l'activité et de l'exposition océanique sur la qualité des sédiments observés. Une agrégation au niveau national sera ainsi réalisée. L'agrégation des données par bassin et pour les différents contaminants permettra d'identifier les substances dépassant des niveaux de référence en fonction des secteurs. Des analyses locales au travers de cartes réalisées pour les contaminants chimiques permettront d'affiner les éléments déjà observés. Ces analyses sur le programme sédiment seront cartographiées dans le CD-ROM qui accompagne ce rapport. Les données du programme Eau seront utilisées pour mettre en évidence les sites portuaires qui présenteraient des niveaux élevés en sels nutritifs et/ou en microorganismes. 1. Contexte 2. Le réseau RÉPOM3. Programme SEDIMENT 3.1 Paramètres mesurés 3.2 Méthode d'analyse 3.3 Répartition des données 3.4 Paramètres descriptifs du sédiment 3.5 Contaminants chimiques 3.5.1 France 3.5.2 Zones géographiques (Bassins) 3.5.3 Analyse en fonction de l'activité 3.5.4 Analyse en fonction de la classe des ports maritimes 3.5.5 Analyse par contaminants 3.5.5.1 Métaux 3.5.5.2 Polychlorobiphényles (PCB) 3.5.5.3 Tributylétain (TBT) 3.5.5.4 Hydrocarbures Aromatiques Polycycliques (HAP) 3.6 Outre-Mer 3.6.1 Saint-Pierre et Miquelon 3.6.2 Martinique 3.6.3 Guadeloupe 3.7 Synthèse pour le programme Sédiment 4. Programme EAU 4.1 Paramètres mesurés 4.2 Répartition des données 4.3 Paramètres microbiologiques 4.3.1 Éléments de contexte 4.3.2 Méthode d'analyse 4.3.3 Résultats 4.3.3.1 Escherichia coli 4.3.3.2 Entérocoques intestinaux 4.3.3.3 Bilan microbiologie 4.4 Éléments nutritifs 4.4.1 Éléments de contexte 4.4.2 Méthode d'analyse 4.4.3 Azote 4.4.3.1 Ammonium 4.4.3.2 Nitrates 4.4.3.3 Nitrite 4.4.3.4 Bilan azote 4.4.4 Phosphates 4.4.5 Bilan éléments nutritifs 4.5 Outre-Mer 4.5.1 Microbiologie 4.5.2 Éléments nutritifs 4.6 Synthèse pour le programme Eau Bibliographie | Liste des sigles | Annexe | Listes des figures et tableaux
  316. Edition (Ceremadoc) Décryptage Grenelle : Énergie et climat, série de fiches : Pj 5 - développement des réseaux de chaleur et de froid

    La vocation commune d'appui méthodologique aux territoires a conduit ETD et le Certu à mutualiser leurs compétences pour réaliser un décryptage de l'impact du Grenelle 2 sur la mise en œuvre des politiques publiques des collectivités dans les champs de l'aménagement, de l'environnement et des transports. Destinées aux collectivités de toute taille, les 25 « fiches décryptage du Grenelle » proposées par ETD et le Certu traitent des questions abordées dans la loi Grenelle 2 pour le déploiement desquelles un éclairage technique ou juridique s'avère indispensable. Chaque fiche explicite le contenu de la loi, « ce que dit la loi » et approfondit les conséquences et les impacts pour les collectivités, « ce que cela implique pour les collectivités ». Enfin, quand le sujet le permet, des éléments de méthodes et des illustrations sont fournies à partir des expériences menées par « quelques collectivités pionnières ». Pour ceux qui veulent aller plus loin, les fiches proposent dans la rubrique « en savoir plus » les ressources documentaires indispensables et les contacts avec les rédacteurs des fiches. Promulguée le 12 juillet 2010, la loi portant engagement national pour l'environnement, dite « Grenelle 2 », est un texte d'application et de territorialisation du Grenelle Environnement et de la loi Grenelle 1, qui décline pour six domaines majeurs les objectifs entérinés par le premier volet législatif. D'autres thématiques sont traitées: - Transports - Bâtiments et urbanisme - Biodiversité - Gouvernance.
  317. Edition (Ceremadoc) Décryptage Grenelle : Énergie et climat, série de fiches : Pj 4 - certificats d’économies d’énergie

    La vocation commune d'appui méthodologique aux territoires a conduit ETD et le Certu à mutualiser leurs compétences pour réaliser un décryptage de l'impact du Grenelle 2 sur la mise en œuvre des politiques publiques des collectivités dans les champs de l'aménagement, de l'environnement et des transports. Destinées aux collectivités de toute taille, les 25 « fiches décryptage du Grenelle » proposées par ETD et le Certu traitent des questions abordées dans la loi Grenelle 2 pour le déploiement desquelles un éclairage technique ou juridique s'avère indispensable. Chaque fiche explicite le contenu de la loi, « ce que dit la loi » et approfondit les conséquences et les impacts pour les collectivités, « ce que cela implique pour les collectivités ». Enfin, quand le sujet le permet, des éléments de méthodes et des illustrations sont fournies à partir des expériences menées par « quelques collectivités pionnières ». Pour ceux qui veulent aller plus loin, les fiches proposent dans la rubrique « en savoir plus » les ressources documentaires indispensables et les contacts avec les rédacteurs des fiches. Promulguée le 12 juillet 2010, la loi portant engagement national pour l'environnement, dite « Grenelle 2 », est un texte d'application et de territorialisation du Grenelle Environnement et de la loi Grenelle 1, qui décline pour six domaines majeurs les objectifs entérinés par le premier volet législatif. D'autres thématiques sont traitées: - Transports - Bâtiments et urbanisme - Biodiversité - Gouvernance.
  318. Edition (Ceremadoc) Décryptage Grenelle : Biodiversité. Série de fiches : Trame verte et bleue

    La vocation commune d'appui méthodologique aux territoires a conduit ETD et le Certu à mutualiser leurs compétences pour réaliser un décryptage de l'impact du Grenelle 2 sur la mise en œuvre des politiques publiques des collectivités dans les champs de l'aménagement, de l'environnement et des transports. Destinées aux collectivités de toute taille, les 25 « fiches décryptage du Grenelle » proposées par ETD et le Certu traitent des questions abordées dans la loi Grenelle 2 pour le déploiement desquelles un éclairage technique ou juridique s'avère indispensable. Chaque fiche explicite le contenu de la loi , « ce que dit la loi » et approfondit les conséquences et les impacts pour les collectivités, « ce que cela implique pour les collectivités ». Enfin, quand le sujet le permet, des éléments de méthodes et des illustrations sont fournies à partir des expériences menées par « quelques collectivités pionnières ». Pour ceux qui veulent aller plus loin, les fiches proposent dans la rubrique « en savoir plus » les ressources documentaires indispensables et les contacts avec les rédacteurs des fiches. Promulguée le 12 juillet 2010, la loi portant engagement national pour l'environnement, dite « Grenelle 2 », est un texte d'application et de territorialisation du Grenelle Environnement et de la loi Grenelle 1, qui décline pour six domaines majeurs les objectifs entérinés par le premier volet législatif. Le titre IV du Grenelle 2 sur la protection de la biodiversité propose des mesures destinées à enrayer les différentes atteintes possibles aux milieux terrestres et marins, aux espèces et aux habitats et a des implications sur l'aménagement du territoire comme sur la gestion des ressources naturelles et l'exercice des activités économiques et notamment agricoles. D'autres thématiques sont traitées : Transports Bâtiments et urbanisme Énergie et climat Gouvernance.
  319. Edition (Ceremadoc) Décryptage Grenelle : Biodiversité. Série de fiches : Taxe pour la gestion des eaux pluviales urbaines

    La vocation commune d'appui méthodologique aux territoires a conduit ETD et le Certu à mutualiser leurs compétences pour réaliser un décryptage de l'impact du Grenelle 2 sur la mise en œuvre des politiques publiques des collectivités dans les champs de l'aménagement, de l'environnement et des transports. Destinées aux collectivités de toute taille, les 25 « fiches décryptage du Grenelle » proposées par ETD et le Certu traitent des questions abordées dans la loi Grenelle 2 pour le déploiement desquelles un éclairage technique ou juridique s'avère indispensable. Chaque fiche explicite le contenu de la loi , « ce que dit la loi » et approfondit les conséquences et les impacts pour les collectivités, « ce que cela implique pour les collectivités ». Enfin, quand le sujet le permet, des éléments de méthodes et des illustrations sont fournies à partir des expériences menées par « quelques collectivités pionnières ». Pour ceux qui veulent aller plus loin, les fiches proposent dans la rubrique « en savoir plus » les ressources documentaires indispensables et les contacts avec les rédacteurs des fiches. Promulguée le 12 juillet 2010, la loi portant engagement national pour l'environnement, dite « Grenelle 2 », est un texte d'application et de territorialisation du Grenelle Environnement et de la loi Grenelle 1, qui décline pour six domaines majeurs les objectifs entérinés par le premier volet législatif. Le titre IV du Grenelle 2 sur la protection de la biodiversité propose des mesures destinées à enrayer les différentes atteintes possibles aux milieux terrestres et marins, aux espèces et aux habitats et a des implications sur l'aménagement du territoire comme sur la gestion des ressources naturelles et l'exercice des activités économiques et notamment agricoles. D'autres thématiques sont traitées : Transports Bâtiments et urbanisme Énergie et climat Gouvernance.
  320. Edition (Ceremadoc) Décryptage Grenelle : Énergie et climat, série de fiches : Pj 2 - schémas régionaux de raccordement au réseau électrique des énergies renouvelables

    La vocation commune d'appui méthodologique aux territoires a conduit ETD et le Certu à mutualiser leurs compétences pour réaliser un décryptage de l'impact du Grenelle 2 sur la mise en œuvre des politiques publiques des collectivités dans les champs de l'aménagement, de l'environnement et des transports. Destinées aux collectivités de toute taille, les 25 « fiches décryptage du Grenelle » proposées par ETD et le Certu traitent des questions abordées dans la loi Grenelle 2 pour le déploiement desquelles un éclairage technique ou juridique s'avère indispensable. Chaque fiche explicite le contenu de la loi, « ce que dit la loi » et approfondit les conséquences et les impacts pour les collectivités, « ce que cela implique pour les collectivités ». Enfin, quand le sujet le permet, des éléments de méthodes et des illustrations sont fournies à partir des expériences menées par « quelques collectivités pionnières ». Pour ceux qui veulent aller plus loin, les fiches proposent dans la rubrique « en savoir plus » les ressources documentaires indispensables et les contacts avec les rédacteurs des fiches. Promulguée le 12 juillet 2010, la loi portant engagement national pour l'environnement, dite « Grenelle 2 », est un texte d'application et de territorialisation du Grenelle Environnement et de la loi Grenelle 1, qui décline pour six domaines majeurs les objectifs entérinés par le premier volet législatif. D'autres thématiques sont traitées: - Transports - Bâtiments et urbanisme - Biodiversité - Gouvernance.
  321. Edition (Ceremadoc) Décryptage Grenelle : Énergie et climat, série de fiches : Pj 3 - plans climat-énergie territoriaux

    La vocation commune d'appui méthodologique aux territoires a conduit ETD et le Certu à mutualiser leurs compétences pour réaliser un décryptage de l'impact du Grenelle 2 sur la mise en œuvre des politiques publiques des collectivités dans les champs de l'aménagement, de l'environnement et des transports. Destinées aux collectivités de toute taille, les 25 « fiches décryptage du Grenelle » proposées par ETD et le Certu traitent des questions abordées dans la loi Grenelle 2 pour le déploiement desquelles un éclairage technique ou juridique s'avère indispensable. Chaque fiche explicite le contenu de la loi, « ce que dit la loi » et approfondit les conséquences et les impacts pour les collectivités, « ce que cela implique pour les collectivités ». Enfin, quand le sujet le permet, des éléments de méthodes et des illustrations sont fournies à partir des expériences menées par « quelques collectivités pionnières ». Pour ceux qui veulent aller plus loin, les fiches proposent dans la rubrique « en savoir plus » les ressources documentaires indispensables et les contacts avec les rédacteurs des fiches. Promulguée le 12 juillet 2010, la loi portant engagement national pour l'environnement, dite « Grenelle 2 », est un texte d'application et de territorialisation du Grenelle Environnement et de la loi Grenelle 1, qui décline pour six domaines majeurs les objectifs entérinés par le premier volet législatif. D'autres thématiques sont traitées: - Transports - Bâtiments et urbanisme - Biodiversité - Gouvernance.
  322. Edition (Ceremadoc) Décryptage Grenelle : Biodiversité. Série de fiches : Protection des espèces et des habitats

    La vocation commune d'appui méthodologique aux territoires a conduit ETD et le Certu à mutualiser leurs compétences pour réaliser un décryptage de l'impact du Grenelle 2 sur la mise en œuvre des politiques publiques des collectivités dans les champs de l'aménagement, de l'environnement et des transports. Destinées aux collectivités de toute taille, les 25 « fiches décryptage du Grenelle » proposées par ETD et le Certu traitent des questions abordées dans la loi Grenelle 2 pour le déploiement desquelles un éclairage technique ou juridique s'avère indispensable. Chaque fiche explicite le contenu de la loi , « ce que dit la loi » et approfondit les conséquences et les impacts pour les collectivités, « ce que cela implique pour les collectivités ». Enfin, quand le sujet le permet, des éléments de méthodes et des illustrations sont fournies à partir des expériences menées par « quelques collectivités pionnières ». Pour ceux qui veulent aller plus loin, les fiches proposent dans la rubrique « en savoir plus » les ressources documentaires indispensables et les contacts avec les rédacteurs des fiches. Promulguée le 12 juillet 2010, la loi portant engagement national pour l'environnement, dite « Grenelle 2 », est un texte d'application et de territorialisation du Grenelle Environnement et de la loi Grenelle 1, qui décline pour six domaines majeurs les objectifs entérinés par le premier volet législatif. Le titre IV du Grenelle 2 sur la protection de la biodiversité propose des mesures destinées à enrayer les différentes atteintes possibles aux milieux terrestres et marins, aux espèces et aux habitats et a des implications sur l'aménagement du territoire comme sur la gestion des ressources naturelles et l'exercice des activités économiques et notamment agricoles. D'autres thématiques sont traitées : Transports Bâtiments et urbanisme Énergie et climat Gouvernance.
  323. Edition (Ceremadoc) Décryptage Grenelle : Biodiversité. Série de fiches : Récupération et utilisation des eaux de pluie

    La vocation commune d'appui méthodologique aux territoires a conduit ETD et le Certu à mutualiser leurs compétences pour réaliser un décryptage de l'impact du Grenelle 2 sur la mise en œuvre des politiques publiques des collectivités dans les champs de l'aménagement, de l'environnement et des transports. Destinées aux collectivités de toute taille, les 25 « fiches décryptage du Grenelle » proposées par ETD et le Certu traitent des questions abordées dans la loi Grenelle 2 pour le déploiement desquelles un éclairage technique ou juridique s'avère indispensable. Chaque fiche explicite le contenu de la loi , « ce que dit la loi » et approfondit les conséquences et les impacts pour les collectivités, « ce que cela implique pour les collectivités ». Enfin, quand le sujet le permet, des éléments de méthodes et des illustrations sont fournies à partir des expériences menées par « quelques collectivités pionnières ». Pour ceux qui veulent aller plus loin, les fiches proposent dans la rubrique « en savoir plus » les ressources documentaires indispensables et les contacts avec les rédacteurs des fiches. Promulguée le 12 juillet 2010, la loi portant engagement national pour l'environnement, dite « Grenelle 2 », est un texte d'application et de territorialisation du Grenelle Environnement et de la loi Grenelle 1, qui décline pour six domaines majeurs les objectifs entérinés par le premier volet législatif. Le titre IV du Grenelle 2 sur la protection de la biodiversité propose des mesures destinées à enrayer les différentes atteintes possibles aux milieux terrestres et marins, aux espèces et aux habitats et a des implications sur l'aménagement du territoire comme sur la gestion des ressources naturelles et l'exercice des activités économiques et notamment agricoles. D'autres thématiques sont traitées : Transports Bâtiments et urbanisme Énergie et climat Gouvernance.
  324. Edition (Ceremadoc) Innovations et ouvrages d’art : Pour des ponts de haute qualité vis-à-vis du développement durable

    La période actuelle est spécialement propice à l’innovation : les maîtres d’ouvrage expriment des attentes nouvelles, les défis du développement durable demandent de repenser nos techniques traditionnelles et la concurrence internationale nous impose d’innover pour garder une longueur d’avance. Les ouvrages d’art sont des ouvrages de génie civil emblématiques. Ils sont le lieu d’expression privilégié de l’innovation dans les domaines des matériaux et structures de génie civil, en en raison du haut niveau de performances qu’ils exigent. Ce rapport illustre les opportunités d’innovations qu’apportent aujourd’hui les ouvrages d’art. Celles-ci sont nombreuses et prometteuses.
  325. Edition (Ceremadoc) Géoréférencement et RGF93. Série de fiches : Fiche T1 : Théorie et Concepts - Notions de géoréférencement

    Le géoréférencement est une problématique incontournable des systèmes d'information géographique. Cette série de 15 fiches autour du géoréférencement légal en France métropolitaine et dans les DOM en aborde les aspects théoriques, juridiques, pratiques et méthodologiques. Deux outils sont intégrés dans la série : un outil de calcul de l'altération linéaire et une grille des altérations linéaires du RGF93 en France métropolitaine, sous MapInfo, au pas de 1 km. Le fichier compressé comporte la totalité des fiches et des outils.
  326. Edition (Ceremadoc) Géoréférencement et RGF93. Série de fiches : Fiche T2 : Théorie et Concepts - RGF93 et Lambert 93

    Le géoréférencement est une problématique incontournable des systèmes d'information géographique. Cette série de 15 fiches autour du géoréférencement légal en France métropolitaine et dans les DOM en aborde les aspects théoriques, juridiques, pratiques et méthodologiques. Deux outils sont intégrés dans la série : un outil de calcul de l'altération linéaire et une grille des altérations linéaires du RGF93 en France métropolitaine, sous MapInfo, au pas de 1 km. Le fichier compressé comporte la totalité des fiches et des outils.
  327. Edition (Ceremadoc) Géoréférencement et RGF93. Série de fiches : Fiche T4 : Théorie et Concepts - Les systèmes de coordonnées utilisés en France métropolitaine et dans les DOM

    Le géoréférencement est une problématique incontournable des systèmes d'information géographique. Cette série de 15 fiches autour du géoréférencement légal en France métropolitaine et dans les DOM en aborde les aspects théoriques, juridiques, pratiques et méthodologiques. Deux outils sont intégrés dans la série : un outil de calcul de l'altération linéaire et une grille des altérations linéaires du RGF93 en France métropolitaine, sous MapInfo, au pas de 1 km. Le fichier compressé comporte la totalité des fiches et des outils.
  328. Edition (Ceremadoc) Géoréférencement et RGF93. Série de fiches : Fiche O3 : Les outils - Principes de la reprojection des images

    Le géoréférencement est une problématique incontournable des systèmes d'information géographique. Cette série de 15 fiches autour du géoréférencement légal en France métropolitaine et dans les DOM en aborde les aspects théoriques, juridiques, pratiques et méthodologiques. Deux outils sont intégrés dans la série : un outil de calcul de l'altération linéaire et une grille des altérations linéaires du RGF93 en France métropolitaine, sous MapInfo, au pas de 1 km. Le fichier compressé comporte la totalité des fiches et des outils.
  329. Edition (Ceremadoc) Géoréférencement et RGF93. Série de fiches : Fiche M3 : Organisation et méthode - Produire des données dans le nouveau système

    Le géoréférencement est une problématique incontournable des systèmes d'information géographique. Cette série de 15 fiches autour du géoréférencement légal en France métropolitaine et dans les DOM en aborde les aspects théoriques, juridiques, pratiques et méthodologiques. Deux outils sont intégrés dans la série : un outil de calcul de l'altération linéaire et une grille des altérations linéaires du RGF93 en France métropolitaine, sous MapInfo, au pas de 1 km. Le fichier compressé comporte la totalité des fiches et des outils.
  330. Edition (Ceremadoc) Géoréférencement et RGF93. Série de fiches : Fiche M4 : Organisation et méthode - Transformer des données de Lambert 93 vers les coniques conformes et vice-versa

    Le géoréférencement est une problématique incontournable des systèmes d'information géographique. Cette série de 15 fiches autour du géoréférencement légal en France métropolitaine et dans les DOM en aborde les aspects théoriques, juridiques, pratiques et méthodologiques. Deux outils sont intégrés dans la série : un outil de calcul de l'altération linéaire et une grille des altérations linéaires du RGF93 en France métropolitaine, sous MapInfo, au pas de 1 km. Le fichier compressé comporte la totalité des fiches et des outils.
  331. Edition (Ceremadoc) Évaluation des émissions de gaz à effet de serre (GES) dans le ScoT

    Cette plaquette présente l'outil GES SCoT. Il fait partie d'une série de trois outils pour les SCoT, PLU et opérations d'aménagement à destination des collectivités locales, des services déconcentrés de l'état et des professionnels de l'urbanisme. Utilisé au moment de la réflexion sur les scénarios dans le cadre de l'élaboration du PADD, cet outil a pour vocation de permettre leur comparaison en termes d'émissions de GES, ceci afin d'apporter des éléments d'aide à la décision.Cette comparaison passe par l'évaluation des émissions de GES des différents scénarios d'aménagement du territoire, sur les thématiques pour lesquelles le SCoT peut avoir un impact ou disposer de leviers d'actions pour réduire les émissions de GES.
  332. Edition (Ceremadoc) Géoréférencement et RGF93. Série de fiches : Fiche T6 : Théorie et Concepts - Les aspects réglementaires

    Le géoréférencement est une problématique incontournable des systèmes d'information géographique. Cette série de 15 fiches autour du géoréférencement légal en France métropolitaine et dans les DOM en aborde les aspects théoriques, juridiques, pratiques et méthodologiques. Deux outils sont intégrés dans la série : un outil de calcul de l'altération linéaire et une grille des altérations linéaires du RGF93 en France métropolitaine, sous MapInfo, au pas de 1 km. Le fichier compressé comporte la totalité des fiches et des outils.
  333. Edition (Ceremadoc) Géoréférencement et RGF93. Série de fiches : Fiche T9 : Théorie et Concepts - Distances et surfaces : comment prendre en compte l’altération linéaire ?

    Le géoréférencement est une problématique incontournable des systèmes d'information géographique. Cette série de 15 fiches autour du géoréférencement légal en France métropolitaine et dans les DOM en aborde les aspects théoriques, juridiques, pratiques et méthodologiques. Deux outils sont intégrés dans la série : un outil de calcul de l'altération linéaire et une grille des altérations linéaires du RGF93 en France métropolitaine, sous MapInfo, au pas de 1 km. Le fichier compressé comporte la totalité des fiches et des outils.
  334. Edition (Ceremadoc) Géoréférencement et RGF93. Série de fiches : Fiche O1 : Les outils - Le géoréférencement dans MapInfo

    Le géoréférencement est une problématique incontournable des systèmes d'information géographique. Cette série de 15 fiches autour du géoréférencement légal en France métropolitaine et dans les DOM en aborde les aspects théoriques, juridiques, pratiques et méthodologiques. Deux outils sont intégrés dans la série : un outil de calcul de l'altération linéaire et une grille des altérations linéaires du RGF93 en France métropolitaine, sous MapInfo, au pas de 1 km. Le fichier compressé comporte la totalité des fiches et des outils.
  335. Edition (Ceremadoc) Géoréférencement et RGF93. Série de fiches : Fiche T9 (annexe 01) : Théorie et Concepts - Feuille de calcul de l’altération linéaire sous Calc

    Le géoréférencement est une problématique incontournable des systèmes d'information géographique. Cette série de 15 fiches autour du géoréférencement légal en France métropolitaine et dans les DOM en aborde les aspects théoriques, juridiques, pratiques et méthodologiques. Deux outils sont intégrés dans la série : un outil de calcul de l'altération linéaire et une grille des altérations linéaires du RGF93 en France métropolitaine, sous MapInfo, au pas de 1 km. Le fichier compressé comporte la totalité des fiches et des outils.
  336. Edition (Ceremadoc) Géoréférencement et RGF93. Série de fiches : Fiche T3 : Théorie et Concepts - Les projections coniques conformes 9 zones

    Le géoréférencement est une problématique incontournable des systèmes d'information géographique. Cette série de 15 fiches autour du géoréférencement légal en France métropolitaine et dans les DOM en aborde les aspects théoriques, juridiques, pratiques et méthodologiques. Deux outils sont intégrés dans la série : un outil de calcul de l'altération linéaire et une grille des altérations linéaires du RGF93 en France métropolitaine, sous MapInfo, au pas de 1 km. Le fichier compressé comporte la totalité des fiches et des outils.
  337. Edition (Ceremadoc) Géoréférencement et RGF93. Série de fiches : Fiche T5 : Théorie et Concepts - Les enjeux du nouveau système

    Le géoréférencement est une problématique incontournable des systèmes d'information géographique. Cette série de 15 fiches autour du géoréférencement légal en France métropolitaine et dans les DOM en aborde les aspects théoriques, juridiques, pratiques et méthodologiques. Deux outils sont intégrés dans la série : un outil de calcul de l'altération linéaire et une grille des altérations linéaires du RGF93 en France métropolitaine, sous MapInfo, au pas de 1 km. Le fichier compressé comporte la totalité des fiches et des outils.
  338. Edition (Ceremadoc) Géoréférencement et RGF93. Série de fiches : Fiche T8 : Théorie et Concepts - Lambert 93 ou coniques conformes 9 zones ?

    Le géoréférencement est une problématique incontournable des systèmes d'information géographique. Cette série de 15 fiches autour du géoréférencement légal en France métropolitaine et dans les DOM en aborde les aspects théoriques, juridiques, pratiques et méthodologiques. Deux outils sont intégrés dans la série : un outil de calcul de l'altération linéaire et une grille des altérations linéaires du RGF93 en France métropolitaine, sous MapInfo, au pas de 1 km. Le fichier compressé comporte la totalité des fiches et des outils.
  339. Edition (Ceremadoc) Géoréférencement et RGF93. Série de fiches : Fiche M5: Organisation et méthode - Problématique des données alphanumériques

    Le géoréférencement est une problématique incontournable des systèmes d'information géographique. Cette série de 15 fiches autour du géoréférencement légal en France métropolitaine et dans les DOM en aborde les aspects théoriques, juridiques, pratiques et méthodologiques. Deux outils sont intégrés dans la série : un outil de calcul de l'altération linéaire et une grille des altérations linéaires du RGF93 en France métropolitaine, sous MapInfo, au pas de 1 km. Le fichier compressé comporte la totalité des fiches et des outils.
  340. Edition (Ceremadoc) Géoréférencement et RGF93. Série de fiches : Fiche T7 : Théorie et Concepts - Les codes EPSG et le registre IGNF

    Le géoréférencement est une problématique incontournable des systèmes d'information géographique. Cette série de 15 fiches autour du géoréférencement légal en France métropolitaine et dans les DOM en aborde les aspects théoriques, juridiques, pratiques et méthodologiques. Deux outils sont intégrés dans la série : un outil de calcul de l'altération linéaire et une grille des altérations linéaires du RGF93 en France métropolitaine, sous MapInfo, au pas de 1 km. Le fichier compressé comporte la totalité des fiches et des outils.
  341. Edition (Ceremadoc) Géoréférencement et RGF93. Série de fiches : Fiche M2 : Organisation et méthode - Transformer des données dans le nouveau système

    Le géoréférencement est une problématique incontournable des systèmes d'information géographique. Cette série de 15 fiches autour du géoréférencement légal en France métropolitaine et dans les DOM en aborde les aspects théoriques, juridiques, pratiques et méthodologiques. Deux outils sont intégrés dans la série : un outil de calcul de l'altération linéaire et une grille des altérations linéaires du RGF93 en France métropolitaine, sous MapInfo, au pas de 1 km. Le fichier compressé comporte la totalité des fiches et des outils.
  342. Edition (Ceremadoc) Géoréférencement et RGF93. Série de fiches : Fiche T9 (annexe 02) : Théorie et Concepts - Grille des altérations linéaires sous MapInfo au pas de 1 km

    Le géoréférencement est une problématique incontournable des systèmes d'information géographique. Cette série de 15 fiches autour du géoréférencement légal en France métropolitaine et dans les DOM en aborde les aspects théoriques, juridiques, pratiques et méthodologiques. Deux outils sont intégrés dans la série : un outil de calcul de l'altération linéaire et une grille des altérations linéaires du RGF93 en France métropolitaine, sous MapInfo, au pas de 1 km. Le fichier compressé comporte la totalité des fiches et des outils.
  343. Edition (Ceremadoc) SCoT Grenelle : Énergie et climat dans les 12 SCoT Grenelle, fiche n° 1

    À travers leurs politiques d'aménagement du territoire et d'urbanisme, d'habitat, de transport, d'approvisionnement énergétique du territoire, les collectivités agissent indirectement sur plus de 50 % des émissions (GES) (Source Ademe : guide méthodologique pour construire et mettre en oeuvre un plan climat territorial élaboré en 2009). Dans le domaine de l'urbanisme, le projet de loi portant engagement national pour l'environnement en débat à l'Assemblée nationale souhaite introduire dans le SCoT non seulement des objectifs de réduction des émissions de GES, de maîtrise de l'énergie et de production énergétique à partir des sources renouvelables, mais aussi des critères de performance énergétique. Le Certu a analysé, comme précédemment, les 12 SCoT Grenelle sur la base d'entretiens conduits par les Cete auprès des différents acteurs de la démarche afin de connaître plus précisément comment ils se sont saisis du sujet. La restitution fera état des acteurs en présence, des démarches engagées, des méthodes déployées avant de développer les différentes modalités de prise en compte des questions de climat et d'énergie par les SCoT.
  344. Edition (Ceremadoc) Pratiques de développement durable dans le bâtiment en France. Campagne d’évaluations 2006-2009. 30 opérations : Bpdd 9 : Résidence Belle-ile (35)

    De nombreux bâtiments sont réputés « durables » (certifications HQE, Habitat Environnement...) ou affichent des performances, labels de nature énergétique sans que l'on ne sache : les qualités ou caractéristiques de ces bâtiments au moment de leur construction (les choix effectués) ou les performances réellement atteintes (par exemple sur le plan énergétique) ; comment ces bâtiments évoluent : fonctionnement, consommations, usages, lien avec la ville... Dans cette perspective, le ministère de l'écologie, du Développement durable, des transports et du logement a mené une campagne entre 2006 et 2010 d'analyses de 30 opérations de tous types, logements, bureaux, établissements scolaires, équipements sportifs...Il s'agit d'identifier, de présenter, d'évaluer des bâtiments présentant des progrès significatifs dans un domaine particulier (énergétique, économique, mais aussi évolutivité, usage, santé, eau...). A cet effet le CERTU, les CETEs et le CSTB, réunis dans un comité technique d'experts, ont développé des outils de référence : un guide de questionnement pour l'analyse et une fiche de restitution. Le travail de terrain a été assuré par un réseau d'expertise issu des spécialistes « Construction et Développement durable » des CETEs. Ces bâtiments (logements, équipements, tertiaire) devait être en service depuis au moins un an afin d'apprécier leurs performances réelles en exploitation et vis-à-vis de l'usage. Les réalisations ont été choisies autant sur leurs performances que sur la cohérence et la maîtrise des ambitions de durabilité depuis le programme jusqu'à la mise en service et la vie de l'équipement. À l'heure où les professionnels, et notamment les maîtres d'ouvrage, s'interrogent encore sur la viabilité économique de tels projets, mais aussi sur la manière la plus efficace de les mener, il s'agit de démythifier le coût du développement durable et de généraliser le progrès. Ainsi ont été établies 30 fiches monographiques mettant en avant les points forts de chaque opération selon cinq thèmes emblématiques des pratiques professionnelles liées au développement durable appliqué au bâtiment : gouvernance ; qualité urbaine, qualité d'usage, qualité environnementale, économie.
  345. Edition (Ceremadoc) Pratiques de développement durable dans le bâtiment en France. Campagne d’évaluations 2006-2009. 30 opérations : Version intégrale

    De nombreux bâtiments sont réputés « durables » (certifications HQE, Habitat Environnement...) ou affichent des performances, labels de nature énergétique sans que l'on ne sache : les qualités ou caractéristiques de ces bâtiments au moment de leur construction (les choix effectués) ou les performances réellement atteintes (par exemple sur le plan énergétique) ; comment ces bâtiments évoluent : fonctionnement, consommations, usages, lien avec la ville... Dans cette perspective, le ministère de l'écologie, du Développement durable, des transports et du logement a mené une campagne entre 2006 et 2010 d'analyses de 30 opérations de tous types, logements, bureaux, établissements scolaires, équipements sportifs...Il s'agit d'identifier, de présenter, d'évaluer des bâtiments présentant des progrès significatifs dans un domaine particulier (énergétique, économique, mais aussi évolutivité, usage, santé, eau...). A cet effet le CERTU, les CETEs et le CSTB, réunis dans un comité technique d'experts, ont développé des outils de référence : un guide de questionnement pour l'analyse et une fiche de restitution. Le travail de terrain a été assuré par un réseau d'expertise issu des spécialistes « Construction et Développement durable » des CETEs. Ces bâtiments (logements, équipements, tertiaire) devait être en service depuis au moins un an afin d'apprécier leurs performances réelles en exploitation et vis-à-vis de l'usage. Les réalisations ont été choisies autant sur leurs performances que sur la cohérence et la maîtrise des ambitions de durabilité depuis le programme jusqu'à la mise en service et la vie de l'équipement. À l'heure où les professionnels, et notamment les maîtres d'ouvrage, s'interrogent encore sur la viabilité économique de tels projets, mais aussi sur la manière la plus efficace de les mener, il s'agit de démythifier le coût du développement durable et de généraliser le progrès. Ainsi ont été établies 30 fiches monographiques mettant en avant les points forts de chaque opération selon cinq thèmes emblématiques des pratiques professionnelles liées au développement durable appliqué au bâtiment : gouvernance ; qualité urbaine, qualité d'usage, qualité environnementale, économie.
  346. Edition (Ceremadoc) Pratiques de développement durable dans le bâtiment en France. Campagne d’évaluations 2006-2009. 30 opérations : Bpdd 5 : Maison de retraite

    De nombreux bâtiments sont réputés « durables » (certifications HQE, Habitat Environnement...) ou affichent des performances, labels de nature énergétique sans que l'on ne sache : les qualités ou caractéristiques de ces bâtiments au moment de leur construction (les choix effectués) ou les performances réellement atteintes (par exemple sur le plan énergétique) ; comment ces bâtiments évoluent : fonctionnement, consommations, usages, lien avec la ville... Dans cette perspective, le ministère de l'écologie, du Développement durable, des transports et du logement a mené une campagne entre 2006 et 2010 d'analyses de 30 opérations de tous types, logements, bureaux, établissements scolaires, équipements sportifs...Il s'agit d'identifier, de présenter, d'évaluer des bâtiments présentant des progrès significatifs dans un domaine particulier (énergétique, économique, mais aussi évolutivité, usage, santé, eau...). A cet effet le CERTU, les CETEs et le CSTB, réunis dans un comité technique d'experts, ont développé des outils de référence : un guide de questionnement pour l'analyse et une fiche de restitution. Le travail de terrain a été assuré par un réseau d'expertise issu des spécialistes « Construction et Développement durable » des CETEs. Ces bâtiments (logements, équipements, tertiaire) devait être en service depuis au moins un an afin d'apprécier leurs performances réelles en exploitation et vis-à-vis de l'usage. Les réalisations ont été choisies autant sur leurs performances que sur la cohérence et la maîtrise des ambitions de durabilité depuis le programme jusqu'à la mise en service et la vie de l'équipement. À l'heure où les professionnels, et notamment les maîtres d'ouvrage, s'interrogent encore sur la viabilité économique de tels projets, mais aussi sur la manière la plus efficace de les mener, il s'agit de démythifier le coût du développement durable et de généraliser le progrès. Ainsi ont été établies 30 fiches monographiques mettant en avant les points forts de chaque opération selon cinq thèmes emblématiques des pratiques professionnelles liées au développement durable appliqué au bâtiment : gouvernance ; qualité urbaine, qualité d'usage, qualité environnementale, économie.
  347. Edition (Ceremadoc) Pratiques de développement durable dans le bâtiment en France. Campagne d’évaluations 2006-2009. 30 opérations : Bpdd 29 : Ecole Nicolas Hulot (56)

    De nombreux bâtiments sont réputés « durables » (certifications HQE, Habitat Environnement...) ou affichent des performances, labels de nature énergétique sans que l'on ne sache : les qualités ou caractéristiques de ces bâtiments au moment de leur construction (les choix effectués) ou les performances réellement atteintes (par exemple sur le plan énergétique) ; comment ces bâtiments évoluent : fonctionnement, consommations, usages, lien avec la ville... Dans cette perspective, le ministère de l'écologie, du Développement durable, des transports et du logement a mené une campagne entre 2006 et 2010 d'analyses de 30 opérations de tous types, logements, bureaux, établissements scolaires, équipements sportifs...Il s'agit d'identifier, de présenter, d'évaluer des bâtiments présentant des progrès significatifs dans un domaine particulier (énergétique, économique, mais aussi évolutivité, usage, santé, eau...). A cet effet le CERTU, les CETEs et le CSTB, réunis dans un comité technique d'experts, ont développé des outils de référence : un guide de questionnement pour l'analyse et une fiche de restitution. Le travail de terrain a été assuré par un réseau d'expertise issu des spécialistes « Construction et Développement durable » des CETEs. Ces bâtiments (logements, équipements, tertiaire) devait être en service depuis au moins un an afin d'apprécier leurs performances réelles en exploitation et vis-à-vis de l'usage. Les réalisations ont été choisies autant sur leurs performances que sur la cohérence et la maîtrise des ambitions de durabilité depuis le programme jusqu'à la mise en service et la vie de l'équipement. À l'heure où les professionnels, et notamment les maîtres d'ouvrage, s'interrogent encore sur la viabilité économique de tels projets, mais aussi sur la manière la plus efficace de les mener, il s'agit de démythifier le coût du développement durable et de généraliser le progrès. Ainsi ont été établies 30 fiches monographiques mettant en avant les points forts de chaque opération selon cinq thèmes emblématiques des pratiques professionnelles liées au développement durable appliqué au bâtiment : gouvernance ; qualité urbaine, qualité d'usage, qualité environnementale, économie.
  348. Edition (Ceremadoc) Pratiques de développement durable dans le bâtiment en France. Campagne d’évaluations 2006-2009. 30 opérations : Bpdd 8 : Lycée Marie Reynoard (38)

    De nombreux bâtiments sont réputés « durables » (certifications HQE, Habitat Environnement...) ou affichent des performances, labels de nature énergétique sans que l'on ne sache : les qualités ou caractéristiques de ces bâtiments au moment de leur construction (les choix effectués) ou les performances réellement atteintes (par exemple sur le plan énergétique) ; comment ces bâtiments évoluent : fonctionnement, consommations, usages, lien avec la ville... Dans cette perspective, le ministère de l'écologie, du Développement durable, des transports et du logement a mené une campagne entre 2006 et 2010 d'analyses de 30 opérations de tous types, logements, bureaux, établissements scolaires, équipements sportifs...Il s'agit d'identifier, de présenter, d'évaluer des bâtiments présentant des progrès significatifs dans un domaine particulier (énergétique, économique, mais aussi évolutivité, usage, santé, eau...). A cet effet le CERTU, les CETEs et le CSTB, réunis dans un comité technique d'experts, ont développé des outils de référence : un guide de questionnement pour l'analyse et une fiche de restitution. Le travail de terrain a été assuré par un réseau d'expertise issu des spécialistes « Construction et Développement durable » des CETEs. Ces bâtiments (logements, équipements, tertiaire) devait être en service depuis au moins un an afin d'apprécier leurs performances réelles en exploitation et vis-à-vis de l'usage. Les réalisations ont été choisies autant sur leurs performances que sur la cohérence et la maîtrise des ambitions de durabilité depuis le programme jusqu'à la mise en service et la vie de l'équipement. À l'heure où les professionnels, et notamment les maîtres d'ouvrage, s'interrogent encore sur la viabilité économique de tels projets, mais aussi sur la manière la plus efficace de les mener, il s'agit de démythifier le coût du développement durable et de généraliser le progrès. Ainsi ont été établies 30 fiches monographiques mettant en avant les points forts de chaque opération selon cinq thèmes emblématiques des pratiques professionnelles liées au développement durable appliqué au bâtiment : gouvernance ; qualité urbaine, qualité d'usage, qualité environnementale, économie.
  349. Edition (Ceremadoc) Pratiques de développement durable dans le bâtiment en France. Campagne d’évaluations 2006-2009. 30 opérations : Bpdd 3 : Bâtiment 270 des EMGP (93)

    De nombreux bâtiments sont réputés « durables » (certifications HQE, Habitat Environnement...) ou affichent des performances, labels de nature énergétique sans que l'on ne sache : les qualités ou caractéristiques de ces bâtiments au moment de leur construction (les choix effectués) ou les performances réellement atteintes (par exemple sur le plan énergétique) ; comment ces bâtiments évoluent : fonctionnement, consommations, usages, lien avec la ville... Dans cette perspective, le ministère de l'écologie, du Développement durable, des transports et du logement a mené une campagne entre 2006 et 2010 d'analyses de 30 opérations de tous types, logements, bureaux, établissements scolaires, équipements sportifs...Il s'agit d'identifier, de présenter, d'évaluer des bâtiments présentant des progrès significatifs dans un domaine particulier (énergétique, économique, mais aussi évolutivité, usage, santé, eau...). A cet effet le CERTU, les CETEs et le CSTB, réunis dans un comité technique d'experts, ont développé des outils de référence : un guide de questionnement pour l'analyse et une fiche de restitution. Le travail de terrain a été assuré par un réseau d'expertise issu des spécialistes « Construction et Développement durable » des CETEs. Ces bâtiments (logements, équipements, tertiaire) devait être en service depuis au moins un an afin d'apprécier leurs performances réelles en exploitation et vis-à-vis de l'usage. Les réalisations ont été choisies autant sur leurs performances que sur la cohérence et la maîtrise des ambitions de durabilité depuis le programme jusqu'à la mise en service et la vie de l'équipement. À l'heure où les professionnels, et notamment les maîtres d'ouvrage, s'interrogent encore sur la viabilité économique de tels projets, mais aussi sur la manière la plus efficace de les mener, il s'agit de démythifier le coût du développement durable et de généraliser le progrès. Ainsi ont été établies 30 fiches monographiques mettant en avant les points forts de chaque opération selon cinq thèmes emblématiques des pratiques professionnelles liées au développement durable appliqué au bâtiment : gouvernance ; qualité urbaine, qualité d'usage, qualité environnementale, économie.
  350. Edition (Ceremadoc) Pratiques de développement durable dans le bâtiment en France. Campagne d’évaluations 2006-2009. 30 opérations : Bpdd 4 : Université des sciences et technologies de Lille (59)

    De nombreux bâtiments sont réputés « durables » (certifications HQE, Habitat Environnement...) ou affichent des performances, labels de nature énergétique sans que l'on ne sache : les qualités ou caractéristiques de ces bâtiments au moment de leur construction (les choix effectués) ou les performances réellement atteintes (par exemple sur le plan énergétique) ; comment ces bâtiments évoluent : fonctionnement, consommations, usages, lien avec la ville... Dans cette perspective, le ministère de l'écologie, du Développement durable, des transports et du logement a mené une campagne entre 2006 et 2010 d'analyses de 30 opérations de tous types, logements, bureaux, établissements scolaires, équipements sportifs...Il s'agit d'identifier, de présenter, d'évaluer des bâtiments présentant des progrès significatifs dans un domaine particulier (énergétique, économique, mais aussi évolutivité, usage, santé, eau...). A cet effet le CERTU, les CETEs et le CSTB, réunis dans un comité technique d'experts, ont développé des outils de référence : un guide de questionnement pour l'analyse et une fiche de restitution. Le travail de terrain a été assuré par un réseau d'expertise issu des spécialistes « Construction et Développement durable » des CETEs. Ces bâtiments (logements, équipements, tertiaire) devait être en service depuis au moins un an afin d'apprécier leurs performances réelles en exploitation et vis-à-vis de l'usage. Les réalisations ont été choisies autant sur leurs performances que sur la cohérence et la maîtrise des ambitions de durabilité depuis le programme jusqu'à la mise en service et la vie de l'équipement. À l'heure où les professionnels, et notamment les maîtres d'ouvrage, s'interrogent encore sur la viabilité économique de tels projets, mais aussi sur la manière la plus efficace de les mener, il s'agit de démythifier le coût du développement durable et de généraliser le progrès. Ainsi ont été établies 30 fiches monographiques mettant en avant les points forts de chaque opération selon cinq thèmes emblématiques des pratiques professionnelles liées au développement durable appliqué au bâtiment : gouvernance ; qualité urbaine, qualité d'usage, qualité environnementale, économie.
  351. Edition (Ceremadoc) Pratiques de développement durable dans le bâtiment en France. Campagne d’évaluations 2006-2009. 30 opérations : Bpdd 6 : Centre de dialyse Michel Basse (64)

    De nombreux bâtiments sont réputés « durables » (certifications HQE, Habitat Environnement...) ou affichent des performances, labels de nature énergétique sans que l'on ne sache : les qualités ou caractéristiques de ces bâtiments au moment de leur construction (les choix effectués) ou les performances réellement atteintes (par exemple sur le plan énergétique) ; comment ces bâtiments évoluent : fonctionnement, consommations, usages, lien avec la ville... Dans cette perspective, le ministère de l'écologie, du Développement durable, des transports et du logement a mené une campagne entre 2006 et 2010 d'analyses de 30 opérations de tous types, logements, bureaux, établissements scolaires, équipements sportifs...Il s'agit d'identifier, de présenter, d'évaluer des bâtiments présentant des progrès significatifs dans un domaine particulier (énergétique, économique, mais aussi évolutivité, usage, santé, eau...). A cet effet le CERTU, les CETEs et le CSTB, réunis dans un comité technique d'experts, ont développé des outils de référence : un guide de questionnement pour l'analyse et une fiche de restitution. Le travail de terrain a été assuré par un réseau d'expertise issu des spécialistes « Construction et Développement durable » des CETEs. Ces bâtiments (logements, équipements, tertiaire) devait être en service depuis au moins un an afin d'apprécier leurs performances réelles en exploitation et vis-à-vis de l'usage. Les réalisations ont été choisies autant sur leurs performances que sur la cohérence et la maîtrise des ambitions de durabilité depuis le programme jusqu'à la mise en service et la vie de l'équipement. À l'heure où les professionnels, et notamment les maîtres d'ouvrage, s'interrogent encore sur la viabilité économique de tels projets, mais aussi sur la manière la plus efficace de les mener, il s'agit de démythifier le coût du développement durable et de généraliser le progrès. Ainsi ont été établies 30 fiches monographiques mettant en avant les points forts de chaque opération selon cinq thèmes emblématiques des pratiques professionnelles liées au développement durable appliqué au bâtiment : gouvernance ; qualité urbaine, qualité d'usage, qualité environnementale, économie.
  352. Edition (Ceremadoc) Pratiques de développement durable dans le bâtiment en France. Campagne d’évaluations 2006-2009. 30 opérations : Bpdd 30 : Réhabilitation de la Tour Corse (44)

    De nombreux bâtiments sont réputés « durables » (certifications HQE, Habitat Environnement...) ou affichent des performances, labels de nature énergétique sans que l'on ne sache : les qualités ou caractéristiques de ces bâtiments au moment de leur construction (les choix effectués) ou les performances réellement atteintes (par exemple sur le plan énergétique) ; comment ces bâtiments évoluent : fonctionnement, consommations, usages, lien avec la ville... Dans cette perspective, le ministère de l'écologie, du Développement durable, des transports et du logement a mené une campagne entre 2006 et 2010 d'analyses de 30 opérations de tous types, logements, bureaux, établissements scolaires, équipements sportifs...Il s'agit d'identifier, de présenter, d'évaluer des bâtiments présentant des progrès significatifs dans un domaine particulier (énergétique, économique, mais aussi évolutivité, usage, santé, eau...). A cet effet le CERTU, les CETEs et le CSTB, réunis dans un comité technique d'experts, ont développé des outils de référence : un guide de questionnement pour l'analyse et une fiche de restitution. Le travail de terrain a été assuré par un réseau d'expertise issu des spécialistes « Construction et Développement durable » des CETEs. Ces bâtiments (logements, équipements, tertiaire) devait être en service depuis au moins un an afin d'apprécier leurs performances réelles en exploitation et vis-à-vis de l'usage. Les réalisations ont été choisies autant sur leurs performances que sur la cohérence et la maîtrise des ambitions de durabilité depuis le programme jusqu'à la mise en service et la vie de l'équipement. À l'heure où les professionnels, et notamment les maîtres d'ouvrage, s'interrogent encore sur la viabilité économique de tels projets, mais aussi sur la manière la plus efficace de les mener, il s'agit de démythifier le coût du développement durable et de généraliser le progrès. Ainsi ont été établies 30 fiches monographiques mettant en avant les points forts de chaque opération selon cinq thèmes emblématiques des pratiques professionnelles liées au développement durable appliqué au bâtiment : gouvernance ; qualité urbaine, qualité d'usage, qualité environnementale, économie.
  353. Edition (Ceremadoc) Pratiques de développement durable dans le bâtiment en France. Campagne d’évaluations 2006-2009. 30 opérations : Bpdd 28 : Cité Wagner (88)

    De nombreux bâtiments sont réputés « durables » (certifications HQE, Habitat Environnement...) ou affichent des performances, labels de nature énergétique sans que l'on ne sache : les qualités ou caractéristiques de ces bâtiments au moment de leur construction (les choix effectués) ou les performances réellement atteintes (par exemple sur le plan énergétique) ; comment ces bâtiments évoluent : fonctionnement, consommations, usages, lien avec la ville... Dans cette perspective, le ministère de l'écologie, du Développement durable, des transports et du logement a mené une campagne entre 2006 et 2010 d'analyses de 30 opérations de tous types, logements, bureaux, établissements scolaires, équipements sportifs...Il s'agit d'identifier, de présenter, d'évaluer des bâtiments présentant des progrès significatifs dans un domaine particulier (énergétique, économique, mais aussi évolutivité, usage, santé, eau...). A cet effet le CERTU, les CETEs et le CSTB, réunis dans un comité technique d'experts, ont développé des outils de référence : un guide de questionnement pour l'analyse et une fiche de restitution. Le travail de terrain a été assuré par un réseau d'expertise issu des spécialistes « Construction et Développement durable » des CETEs. Ces bâtiments (logements, équipements, tertiaire) devait être en service depuis au moins un an afin d'apprécier leurs performances réelles en exploitation et vis-à-vis de l'usage. Les réalisations ont été choisies autant sur leurs performances que sur la cohérence et la maîtrise des ambitions de durabilité depuis le programme jusqu'à la mise en service et la vie de l'équipement. À l'heure où les professionnels, et notamment les maîtres d'ouvrage, s'interrogent encore sur la viabilité économique de tels projets, mais aussi sur la manière la plus efficace de les mener, il s'agit de démythifier le coût du développement durable et de généraliser le progrès. Ainsi ont été établies 30 fiches monographiques mettant en avant les points forts de chaque opération selon cinq thèmes emblématiques des pratiques professionnelles liées au développement durable appliqué au bâtiment : gouvernance ; qualité urbaine, qualité d'usage, qualité environnementale, économie.
  354. Edition (Ceremadoc) Pratiques de développement durable dans le bâtiment en France. Campagne d’évaluations 2006-2009. 30 opérations : Bpdd 25 : Unité de vie de l'hôpital local (88)

    De nombreux bâtiments sont réputés « durables » (certifications HQE, Habitat Environnement...) ou affichent des performances, labels de nature énergétique sans que l'on ne sache : les qualités ou caractéristiques de ces bâtiments au moment de leur construction (les choix effectués) ou les performances réellement atteintes (par exemple sur le plan énergétique) ; comment ces bâtiments évoluent : fonctionnement, consommations, usages, lien avec la ville... Dans cette perspective, le ministère de l'écologie, du Développement durable, des transports et du logement a mené une campagne entre 2006 et 2010 d'analyses de 30 opérations de tous types, logements, bureaux, établissements scolaires, équipements sportifs...Il s'agit d'identifier, de présenter, d'évaluer des bâtiments présentant des progrès significatifs dans un domaine particulier (énergétique, économique, mais aussi évolutivité, usage, santé, eau...). A cet effet le CERTU, les CETEs et le CSTB, réunis dans un comité technique d'experts, ont développé des outils de référence : un guide de questionnement pour l'analyse et une fiche de restitution. Le travail de terrain a été assuré par un réseau d'expertise issu des spécialistes « Construction et Développement durable » des CETEs. Ces bâtiments (logements, équipements, tertiaire) devait être en service depuis au moins un an afin d'apprécier leurs performances réelles en exploitation et vis-à-vis de l'usage. Les réalisations ont été choisies autant sur leurs performances que sur la cohérence et la maîtrise des ambitions de durabilité depuis le programme jusqu'à la mise en service et la vie de l'équipement. À l'heure où les professionnels, et notamment les maîtres d'ouvrage, s'interrogent encore sur la viabilité économique de tels projets, mais aussi sur la manière la plus efficace de les mener, il s'agit de démythifier le coût du développement durable et de généraliser le progrès. Ainsi ont été établies 30 fiches monographiques mettant en avant les points forts de chaque opération selon cinq thèmes emblématiques des pratiques professionnelles liées au développement durable appliqué au bâtiment : gouvernance ; qualité urbaine, qualité d'usage, qualité environnementale, économie.
  355. Edition (Ceremadoc) Pratiques de développement durable dans le bâtiment en France. Campagne d’évaluations 2006-2009. 30 opérations : Bpdd 23 : Restaurant inter-administratif (69)

    De nombreux bâtiments sont réputés « durables » (certifications HQE, Habitat Environnement...) ou affichent des performances, labels de nature énergétique sans que l'on ne sache : les qualités ou caractéristiques de ces bâtiments au moment de leur construction (les choix effectués) ou les performances réellement atteintes (par exemple sur le plan énergétique) ; comment ces bâtiments évoluent : fonctionnement, consommations, usages, lien avec la ville... Dans cette perspective, le ministère de l'écologie, du Développement durable, des transports et du logement a mené une campagne entre 2006 et 2010 d'analyses de 30 opérations de tous types, logements, bureaux, établissements scolaires, équipements sportifs...Il s'agit d'identifier, de présenter, d'évaluer des bâtiments présentant des progrès significatifs dans un domaine particulier (énergétique, économique, mais aussi évolutivité, usage, santé, eau...). A cet effet le CERTU, les CETEs et le CSTB, réunis dans un comité technique d'experts, ont développé des outils de référence : un guide de questionnement pour l'analyse et une fiche de restitution. Le travail de terrain a été assuré par un réseau d'expertise issu des spécialistes « Construction et Développement durable » des CETEs. Ces bâtiments (logements, équipements, tertiaire) devait être en service depuis au moins un an afin d'apprécier leurs performances réelles en exploitation et vis-à-vis de l'usage. Les réalisations ont été choisies autant sur leurs performances que sur la cohérence et la maîtrise des ambitions de durabilité depuis le programme jusqu'à la mise en service et la vie de l'équipement. À l'heure où les professionnels, et notamment les maîtres d'ouvrage, s'interrogent encore sur la viabilité économique de tels projets, mais aussi sur la manière la plus efficace de les mener, il s'agit de démythifier le coût du développement durable et de généraliser le progrès. Ainsi ont été établies 30 fiches monographiques mettant en avant les points forts de chaque opération selon cinq thèmes emblématiques des pratiques professionnelles liées au développement durable appliqué au bâtiment : gouvernance ; qualité urbaine, qualité d'usage, qualité environnementale, économie.
  356. Edition (Ceremadoc) Pratiques de développement durable dans le bâtiment en France. Campagne d’évaluations 2006-2009. 30 opérations : Bpdd 21 : Restauration de la Grange Salomon (57)

    De nombreux bâtiments sont réputés « durables » (certifications HQE, Habitat Environnement...) ou affichent des performances, labels de nature énergétique sans que l'on ne sache : les qualités ou caractéristiques de ces bâtiments au moment de leur construction (les choix effectués) ou les performances réellement atteintes (par exemple sur le plan énergétique) ; comment ces bâtiments évoluent : fonctionnement, consommations, usages, lien avec la ville... Dans cette perspective, le ministère de l'écologie, du Développement durable, des transports et du logement a mené une campagne entre 2006 et 2010 d'analyses de 30 opérations de tous types, logements, bureaux, établissements scolaires, équipements sportifs...Il s'agit d'identifier, de présenter, d'évaluer des bâtiments présentant des progrès significatifs dans un domaine particulier (énergétique, économique, mais aussi évolutivité, usage, santé, eau...). A cet effet le CERTU, les CETEs et le CSTB, réunis dans un comité technique d'experts, ont développé des outils de référence : un guide de questionnement pour l'analyse et une fiche de restitution. Le travail de terrain a été assuré par un réseau d'expertise issu des spécialistes « Construction et Développement durable » des CETEs. Ces bâtiments (logements, équipements, tertiaire) devait être en service depuis au moins un an afin d'apprécier leurs performances réelles en exploitation et vis-à-vis de l'usage. Les réalisations ont été choisies autant sur leurs performances que sur la cohérence et la maîtrise des ambitions de durabilité depuis le programme jusqu'à la mise en service et la vie de l'équipement. À l'heure où les professionnels, et notamment les maîtres d'ouvrage, s'interrogent encore sur la viabilité économique de tels projets, mais aussi sur la manière la plus efficace de les mener, il s'agit de démythifier le coût du développement durable et de généraliser le progrès. Ainsi ont été établies 30 fiches monographiques mettant en avant les points forts de chaque opération selon cinq thèmes emblématiques des pratiques professionnelles liées au développement durable appliqué au bâtiment : gouvernance ; qualité urbaine, qualité d'usage, qualité environnementale, économie.
  357. Edition (Ceremadoc) Pratiques de développement durable dans le bâtiment en France. Campagne d’évaluations 2006-2009. 30 opérations : Bpdd 26 : INEED (26)

    De nombreux bâtiments sont réputés « durables » (certifications HQE, Habitat Environnement...) ou affichent des performances, labels de nature énergétique sans que l'on ne sache : les qualités ou caractéristiques de ces bâtiments au moment de leur construction (les choix effectués) ou les performances réellement atteintes (par exemple sur le plan énergétique) ; comment ces bâtiments évoluent : fonctionnement, consommations, usages, lien avec la ville... Dans cette perspective, le ministère de l'écologie, du Développement durable, des transports et du logement a mené une campagne entre 2006 et 2010 d'analyses de 30 opérations de tous types, logements, bureaux, établissements scolaires, équipements sportifs...Il s'agit d'identifier, de présenter, d'évaluer des bâtiments présentant des progrès significatifs dans un domaine particulier (énergétique, économique, mais aussi évolutivité, usage, santé, eau...). A cet effet le CERTU, les CETEs et le CSTB, réunis dans un comité technique d'experts, ont développé des outils de référence : un guide de questionnement pour l'analyse et une fiche de restitution. Le travail de terrain a été assuré par un réseau d'expertise issu des spécialistes « Construction et Développement durable » des CETEs. Ces bâtiments (logements, équipements, tertiaire) devait être en service depuis au moins un an afin d'apprécier leurs performances réelles en exploitation et vis-à-vis de l'usage. Les réalisations ont été choisies autant sur leurs performances que sur la cohérence et la maîtrise des ambitions de durabilité depuis le programme jusqu'à la mise en service et la vie de l'équipement. À l'heure où les professionnels, et notamment les maîtres d'ouvrage, s'interrogent encore sur la viabilité économique de tels projets, mais aussi sur la manière la plus efficace de les mener, il s'agit de démythifier le coût du développement durable et de généraliser le progrès. Ainsi ont été établies 30 fiches monographiques mettant en avant les points forts de chaque opération selon cinq thèmes emblématiques des pratiques professionnelles liées au développement durable appliqué au bâtiment : gouvernance ; qualité urbaine, qualité d'usage, qualité environnementale, économie.
  358. Edition (Ceremadoc) Pratiques de développement durable dans le bâtiment en France. Campagne d’évaluations 2006-2009. 30 opérations : Bpdd 2 : Hennebont-Blavet-Habitat (56)

    De nombreux bâtiments sont réputés « durables » (certifications HQE, Habitat Environnement...) ou affichent des performances, labels de nature énergétique sans que l'on ne sache : les qualités ou caractéristiques de ces bâtiments au moment de leur construction (les choix effectués) ou les performances réellement atteintes (par exemple sur le plan énergétique) ; comment ces bâtiments évoluent : fonctionnement, consommations, usages, lien avec la ville... Dans cette perspective, le ministère de l'écologie, du Développement durable, des transports et du logement a mené une campagne entre 2006 et 2010 d'analyses de 30 opérations de tous types, logements, bureaux, établissements scolaires, équipements sportifs...Il s'agit d'identifier, de présenter, d'évaluer des bâtiments présentant des progrès significatifs dans un domaine particulier (énergétique, économique, mais aussi évolutivité, usage, santé, eau...). A cet effet le CERTU, les CETEs et le CSTB, réunis dans un comité technique d'experts, ont développé des outils de référence : un guide de questionnement pour l'analyse et une fiche de restitution. Le travail de terrain a été assuré par un réseau d'expertise issu des spécialistes « Construction et Développement durable » des CETEs. Ces bâtiments (logements, équipements, tertiaire) devait être en service depuis au moins un an afin d'apprécier leurs performances réelles en exploitation et vis-à-vis de l'usage. Les réalisations ont été choisies autant sur leurs performances que sur la cohérence et la maîtrise des ambitions de durabilité depuis le programme jusqu'à la mise en service et la vie de l'équipement. À l'heure où les professionnels, et notamment les maîtres d'ouvrage, s'interrogent encore sur la viabilité économique de tels projets, mais aussi sur la manière la plus efficace de les mener, il s'agit de démythifier le coût du développement durable et de généraliser le progrès. Ainsi ont été établies 30 fiches monographiques mettant en avant les points forts de chaque opération selon cinq thèmes emblématiques des pratiques professionnelles liées au développement durable appliqué au bâtiment : gouvernance ; qualité urbaine, qualité d'usage, qualité environnementale, économie.
  359. Edition (Ceremadoc) Pratiques de développement durable dans le bâtiment en France. Campagne d’évaluations 2006-2009. 30 opérations : Bpdd 17 : 20 logements

    De nombreux bâtiments sont réputés « durables » (certifications HQE, Habitat Environnement...) ou affichent des performances, labels de nature énergétique sans que l'on ne sache : les qualités ou caractéristiques de ces bâtiments au moment de leur construction (les choix effectués) ou les performances réellement atteintes (par exemple sur le plan énergétique) ; comment ces bâtiments évoluent : fonctionnement, consommations, usages, lien avec la ville... Dans cette perspective, le ministère de l'écologie, du Développement durable, des transports et du logement a mené une campagne entre 2006 et 2010 d'analyses de 30 opérations de tous types, logements, bureaux, établissements scolaires, équipements sportifs...Il s'agit d'identifier, de présenter, d'évaluer des bâtiments présentant des progrès significatifs dans un domaine particulier (énergétique, économique, mais aussi évolutivité, usage, santé, eau...). A cet effet le CERTU, les CETEs et le CSTB, réunis dans un comité technique d'experts, ont développé des outils de référence : un guide de questionnement pour l'analyse et une fiche de restitution. Le travail de terrain a été assuré par un réseau d'expertise issu des spécialistes « Construction et Développement durable » des CETEs. Ces bâtiments (logements, équipements, tertiaire) devait être en service depuis au moins un an afin d'apprécier leurs performances réelles en exploitation et vis-à-vis de l'usage. Les réalisations ont été choisies autant sur leurs performances que sur la cohérence et la maîtrise des ambitions de durabilité depuis le programme jusqu'à la mise en service et la vie de l'équipement. À l'heure où les professionnels, et notamment les maîtres d'ouvrage, s'interrogent encore sur la viabilité économique de tels projets, mais aussi sur la manière la plus efficace de les mener, il s'agit de démythifier le coût du développement durable et de généraliser le progrès. Ainsi ont été établies 30 fiches monographiques mettant en avant les points forts de chaque opération selon cinq thèmes emblématiques des pratiques professionnelles liées au développement durable appliqué au bâtiment : gouvernance ; qualité urbaine, qualité d'usage, qualité environnementale, économie.
  360. Edition (Ceremadoc) Pratiques de développement durable dans le bâtiment en France. Campagne d’évaluations 2006-2009. 30 opérations : Bpdd 16 : Restauration scolaire de Lompret (59)

    De nombreux bâtiments sont réputés « durables » (certifications HQE, Habitat Environnement...) ou affichent des performances, labels de nature énergétique sans que l'on ne sache : les qualités ou caractéristiques de ces bâtiments au moment de leur construction (les choix effectués) ou les performances réellement atteintes (par exemple sur le plan énergétique) ; comment ces bâtiments évoluent : fonctionnement, consommations, usages, lien avec la ville... Dans cette perspective, le ministère de l'écologie, du Développement durable, des transports et du logement a mené une campagne entre 2006 et 2010 d'analyses de 30 opérations de tous types, logements, bureaux, établissements scolaires, équipements sportifs...Il s'agit d'identifier, de présenter, d'évaluer des bâtiments présentant des progrès significatifs dans un domaine particulier (énergétique, économique, mais aussi évolutivité, usage, santé, eau...). A cet effet le CERTU, les CETEs et le CSTB, réunis dans un comité technique d'experts, ont développé des outils de référence : un guide de questionnement pour l'analyse et une fiche de restitution. Le travail de terrain a été assuré par un réseau d'expertise issu des spécialistes « Construction et Développement durable » des CETEs. Ces bâtiments (logements, équipements, tertiaire) devait être en service depuis au moins un an afin d'apprécier leurs performances réelles en exploitation et vis-à-vis de l'usage. Les réalisations ont été choisies autant sur leurs performances que sur la cohérence et la maîtrise des ambitions de durabilité depuis le programme jusqu'à la mise en service et la vie de l'équipement. À l'heure où les professionnels, et notamment les maîtres d'ouvrage, s'interrogent encore sur la viabilité économique de tels projets, mais aussi sur la manière la plus efficace de les mener, il s'agit de démythifier le coût du développement durable et de généraliser le progrès. Ainsi ont été établies 30 fiches monographiques mettant en avant les points forts de chaque opération selon cinq thèmes emblématiques des pratiques professionnelles liées au développement durable appliqué au bâtiment : gouvernance ; qualité urbaine, qualité d'usage, qualité environnementale, économie.
  361. Edition (Ceremadoc) Pratiques de développement durable dans le bâtiment en France. Campagne d’évaluations 2006-2009. 30 opérations : Bpdd 27 : Résidence Les Fleurs (33)

    De nombreux bâtiments sont réputés « durables » (certifications HQE, Habitat Environnement...) ou affichent des performances, labels de nature énergétique sans que l'on ne sache : les qualités ou caractéristiques de ces bâtiments au moment de leur construction (les choix effectués) ou les performances réellement atteintes (par exemple sur le plan énergétique) ; comment ces bâtiments évoluent : fonctionnement, consommations, usages, lien avec la ville... Dans cette perspective, le ministère de l'écologie, du Développement durable, des transports et du logement a mené une campagne entre 2006 et 2010 d'analyses de 30 opérations de tous types, logements, bureaux, établissements scolaires, équipements sportifs...Il s'agit d'identifier, de présenter, d'évaluer des bâtiments présentant des progrès significatifs dans un domaine particulier (énergétique, économique, mais aussi évolutivité, usage, santé, eau...). A cet effet le CERTU, les CETEs et le CSTB, réunis dans un comité technique d'experts, ont développé des outils de référence : un guide de questionnement pour l'analyse et une fiche de restitution. Le travail de terrain a été assuré par un réseau d'expertise issu des spécialistes « Construction et Développement durable » des CETEs. Ces bâtiments (logements, équipements, tertiaire) devait être en service depuis au moins un an afin d'apprécier leurs performances réelles en exploitation et vis-à-vis de l'usage. Les réalisations ont été choisies autant sur leurs performances que sur la cohérence et la maîtrise des ambitions de durabilité depuis le programme jusqu'à la mise en service et la vie de l'équipement. À l'heure où les professionnels, et notamment les maîtres d'ouvrage, s'interrogent encore sur la viabilité économique de tels projets, mais aussi sur la manière la plus efficace de les mener, il s'agit de démythifier le coût du développement durable et de généraliser le progrès. Ainsi ont été établies 30 fiches monographiques mettant en avant les points forts de chaque opération selon cinq thèmes emblématiques des pratiques professionnelles liées au développement durable appliqué au bâtiment : gouvernance ; qualité urbaine, qualité d'usage, qualité environnementale, économie.
  362. Edition (Ceremadoc) Pratiques de développement durable dans le bâtiment en France. Campagne d’évaluations 2006-2009. 30 opérations : Bpdd 24 : Réhabilitation du bâtiment D du CROUS (34)

    De nombreux bâtiments sont réputés « durables » (certifications HQE, Habitat Environnement...) ou affichent des performances, labels de nature énergétique sans que l'on ne sache : les qualités ou caractéristiques de ces bâtiments au moment de leur construction (les choix effectués) ou les performances réellement atteintes (par exemple sur le plan énergétique) ; comment ces bâtiments évoluent : fonctionnement, consommations, usages, lien avec la ville... Dans cette perspective, le ministère de l'écologie, du Développement durable, des transports et du logement a mené une campagne entre 2006 et 2010 d'analyses de 30 opérations de tous types, logements, bureaux, établissements scolaires, équipements sportifs...Il s'agit d'identifier, de présenter, d'évaluer des bâtiments présentant des progrès significatifs dans un domaine particulier (énergétique, économique, mais aussi évolutivité, usage, santé, eau...). A cet effet le CERTU, les CETEs et le CSTB, réunis dans un comité technique d'experts, ont développé des outils de référence : un guide de questionnement pour l'analyse et une fiche de restitution. Le travail de terrain a été assuré par un réseau d'expertise issu des spécialistes « Construction et Développement durable » des CETEs. Ces bâtiments (logements, équipements, tertiaire) devait être en service depuis au moins un an afin d'apprécier leurs performances réelles en exploitation et vis-à-vis de l'usage. Les réalisations ont été choisies autant sur leurs performances que sur la cohérence et la maîtrise des ambitions de durabilité depuis le programme jusqu'à la mise en service et la vie de l'équipement. À l'heure où les professionnels, et notamment les maîtres d'ouvrage, s'interrogent encore sur la viabilité économique de tels projets, mais aussi sur la manière la plus efficace de les mener, il s'agit de démythifier le coût du développement durable et de généraliser le progrès. Ainsi ont été établies 30 fiches monographiques mettant en avant les points forts de chaque opération selon cinq thèmes emblématiques des pratiques professionnelles liées au développement durable appliqué au bâtiment : gouvernance ; qualité urbaine, qualité d'usage, qualité environnementale, économie.
  363. Edition (Ceremadoc) Pratiques de développement durable dans le bâtiment en France. Campagne d’évaluations 2006-2009. 30 opérations : Bpdd 22 : Réhabilitation de la Maison diocésaine (51)

    De nombreux bâtiments sont réputés « durables » (certifications HQE, Habitat Environnement...) ou affichent des performances, labels de nature énergétique sans que l'on ne sache : les qualités ou caractéristiques de ces bâtiments au moment de leur construction (les choix effectués) ou les performances réellement atteintes (par exemple sur le plan énergétique) ; comment ces bâtiments évoluent : fonctionnement, consommations, usages, lien avec la ville... Dans cette perspective, le ministère de l'écologie, du Développement durable, des transports et du logement a mené une campagne entre 2006 et 2010 d'analyses de 30 opérations de tous types, logements, bureaux, établissements scolaires, équipements sportifs...Il s'agit d'identifier, de présenter, d'évaluer des bâtiments présentant des progrès significatifs dans un domaine particulier (énergétique, économique, mais aussi évolutivité, usage, santé, eau...). A cet effet le CERTU, les CETEs et le CSTB, réunis dans un comité technique d'experts, ont développé des outils de référence : un guide de questionnement pour l'analyse et une fiche de restitution. Le travail de terrain a été assuré par un réseau d'expertise issu des spécialistes « Construction et Développement durable » des CETEs. Ces bâtiments (logements, équipements, tertiaire) devait être en service depuis au moins un an afin d'apprécier leurs performances réelles en exploitation et vis-à-vis de l'usage. Les réalisations ont été choisies autant sur leurs performances que sur la cohérence et la maîtrise des ambitions de durabilité depuis le programme jusqu'à la mise en service et la vie de l'équipement. À l'heure où les professionnels, et notamment les maîtres d'ouvrage, s'interrogent encore sur la viabilité économique de tels projets, mais aussi sur la manière la plus efficace de les mener, il s'agit de démythifier le coût du développement durable et de généraliser le progrès. Ainsi ont été établies 30 fiches monographiques mettant en avant les points forts de chaque opération selon cinq thèmes emblématiques des pratiques professionnelles liées au développement durable appliqué au bâtiment : gouvernance ; qualité urbaine, qualité d'usage, qualité environnementale, économie.
  364. Edition (Ceremadoc) Pratiques de développement durable dans le bâtiment en France. Campagne d’évaluations 2006-2009. 30 opérations : Bpdd 19 : Ecole primaire (35)

    De nombreux bâtiments sont réputés « durables » (certifications HQE, Habitat Environnement...) ou affichent des performances, labels de nature énergétique sans que l'on ne sache : les qualités ou caractéristiques de ces bâtiments au moment de leur construction (les choix effectués) ou les performances réellement atteintes (par exemple sur le plan énergétique) ; comment ces bâtiments évoluent : fonctionnement, consommations, usages, lien avec la ville... Dans cette perspective, le ministère de l'écologie, du Développement durable, des transports et du logement a mené une campagne entre 2006 et 2010 d'analyses de 30 opérations de tous types, logements, bureaux, établissements scolaires, équipements sportifs...Il s'agit d'identifier, de présenter, d'évaluer des bâtiments présentant des progrès significatifs dans un domaine particulier (énergétique, économique, mais aussi évolutivité, usage, santé, eau...). A cet effet le CERTU, les CETEs et le CSTB, réunis dans un comité technique d'experts, ont développé des outils de référence : un guide de questionnement pour l'analyse et une fiche de restitution. Le travail de terrain a été assuré par un réseau d'expertise issu des spécialistes « Construction et Développement durable » des CETEs. Ces bâtiments (logements, équipements, tertiaire) devait être en service depuis au moins un an afin d'apprécier leurs performances réelles en exploitation et vis-à-vis de l'usage. Les réalisations ont été choisies autant sur leurs performances que sur la cohérence et la maîtrise des ambitions de durabilité depuis le programme jusqu'à la mise en service et la vie de l'équipement. À l'heure où les professionnels, et notamment les maîtres d'ouvrage, s'interrogent encore sur la viabilité économique de tels projets, mais aussi sur la manière la plus efficace de les mener, il s'agit de démythifier le coût du développement durable et de généraliser le progrès. Ainsi ont été établies 30 fiches monographiques mettant en avant les points forts de chaque opération selon cinq thèmes emblématiques des pratiques professionnelles liées au développement durable appliqué au bâtiment : gouvernance ; qualité urbaine, qualité d'usage, qualité environnementale, économie.
  365. Edition (Ceremadoc) Pratiques de développement durable dans le bâtiment en France. Campagne d’évaluations 2006-2009. 30 opérations : Bpdd 20 : Complexe sportif des Brosses (69)

    De nombreux bâtiments sont réputés « durables » (certifications HQE, Habitat Environnement...) ou affichent des performances, labels de nature énergétique sans que l'on ne sache : les qualités ou caractéristiques de ces bâtiments au moment de leur construction (les choix effectués) ou les performances réellement atteintes (par exemple sur le plan énergétique) ; comment ces bâtiments évoluent : fonctionnement, consommations, usages, lien avec la ville... Dans cette perspective, le ministère de l'écologie, du Développement durable, des transports et du logement a mené une campagne entre 2006 et 2010 d'analyses de 30 opérations de tous types, logements, bureaux, établissements scolaires, équipements sportifs...Il s'agit d'identifier, de présenter, d'évaluer des bâtiments présentant des progrès significatifs dans un domaine particulier (énergétique, économique, mais aussi évolutivité, usage, santé, eau...). A cet effet le CERTU, les CETEs et le CSTB, réunis dans un comité technique d'experts, ont développé des outils de référence : un guide de questionnement pour l'analyse et une fiche de restitution. Le travail de terrain a été assuré par un réseau d'expertise issu des spécialistes « Construction et Développement durable » des CETEs. Ces bâtiments (logements, équipements, tertiaire) devait être en service depuis au moins un an afin d'apprécier leurs performances réelles en exploitation et vis-à-vis de l'usage. Les réalisations ont été choisies autant sur leurs performances que sur la cohérence et la maîtrise des ambitions de durabilité depuis le programme jusqu'à la mise en service et la vie de l'équipement. À l'heure où les professionnels, et notamment les maîtres d'ouvrage, s'interrogent encore sur la viabilité économique de tels projets, mais aussi sur la manière la plus efficace de les mener, il s'agit de démythifier le coût du développement durable et de généraliser le progrès. Ainsi ont été établies 30 fiches monographiques mettant en avant les points forts de chaque opération selon cinq thèmes emblématiques des pratiques professionnelles liées au développement durable appliqué au bâtiment : gouvernance ; qualité urbaine, qualité d'usage, qualité environnementale, économie.
  366. Edition (Ceremadoc) Pratiques de développement durable dans le bâtiment en France. Campagne d’évaluations 2006-2009. 30 opérations : Bpdd 18 : Lotissement

    De nombreux bâtiments sont réputés « durables » (certifications HQE, Habitat Environnement...) ou affichent des performances, labels de nature énergétique sans que l'on ne sache : les qualités ou caractéristiques de ces bâtiments au moment de leur construction (les choix effectués) ou les performances réellement atteintes (par exemple sur le plan énergétique) ; comment ces bâtiments évoluent : fonctionnement, consommations, usages, lien avec la ville... Dans cette perspective, le ministère de l'écologie, du Développement durable, des transports et du logement a mené une campagne entre 2006 et 2010 d'analyses de 30 opérations de tous types, logements, bureaux, établissements scolaires, équipements sportifs...Il s'agit d'identifier, de présenter, d'évaluer des bâtiments présentant des progrès significatifs dans un domaine particulier (énergétique, économique, mais aussi évolutivité, usage, santé, eau...). A cet effet le CERTU, les CETEs et le CSTB, réunis dans un comité technique d'experts, ont développé des outils de référence : un guide de questionnement pour l'analyse et une fiche de restitution. Le travail de terrain a été assuré par un réseau d'expertise issu des spécialistes « Construction et Développement durable » des CETEs. Ces bâtiments (logements, équipements, tertiaire) devait être en service depuis au moins un an afin d'apprécier leurs performances réelles en exploitation et vis-à-vis de l'usage. Les réalisations ont été choisies autant sur leurs performances que sur la cohérence et la maîtrise des ambitions de durabilité depuis le programme jusqu'à la mise en service et la vie de l'équipement. À l'heure où les professionnels, et notamment les maîtres d'ouvrage, s'interrogent encore sur la viabilité économique de tels projets, mais aussi sur la manière la plus efficace de les mener, il s'agit de démythifier le coût du développement durable et de généraliser le progrès. Ainsi ont été établies 30 fiches monographiques mettant en avant les points forts de chaque opération selon cinq thèmes emblématiques des pratiques professionnelles liées au développement durable appliqué au bâtiment : gouvernance ; qualité urbaine, qualité d'usage, qualité environnementale, économie.
  367. Edition (Ceremadoc) Monétarisation des externalités environnementales : Rapport

    Il permet d’identifier les champs à investir pour faire évoluer les pratiques françaises actuelles. En outre, il cherche à quantifier, sur la base d’un exemple réel d’évaluation d’un projet routier, quelles seraient les conséquences sur les résultats du bilan socio-économique des évolutions possibles des valeurs tutélaires accordées aux externalités environnementales. L’étude s’intéresse aussi bien aux externalités environnementales pour lesquelles une valeur tutélaire est actuellement fixée (pollution atmosphérique, nuisances sonores, émissions de gaz à effet de serre) qu’aux externalités qui ne sont aujourd’hui pas prises en compte dans le calcul socio-économique (perte de biodiversité, pollution des eaux et des sols, effets de coupure, atteintes aux paysages).
  368. Edition (Ceremadoc) Géoréférencement et RGF93. Série de fiches : Version intégrale

    Le géoréférencement est une problématique incontournable des systèmes d'information géographique. Cette série de 15 fiches autour du géoréférencement légal en France métropolitaine et dans les DOM en aborde les aspects théoriques, juridiques, pratiques et méthodologiques. Deux outils sont intégrés dans la série : un outil de calcul de l'altération linéaire et une grille des altérations linéaires du RGF93 en France métropolitaine, sous MapInfo, au pas de 1 km. Le fichier compressé comporte la totalité des fiches et des outils.
  369. Study report (Ceremadoc) Bilan des études de l'impact des barrages de navigation sur l'oxygénation des cours d'eau. Synthèse bibliographique.

    L'oxygène, présent dans l'eau sous forme dissous, constitue un paramètre essentiel dans le maintien de la vie aquatique. Cet indice est intégré dans les systèmes d'évaluation de la qualité des masses d'eau de surface. Parallèlement, les barrages de navigation dont la fonction essentielle est de contrôler le débit en un point d'un cours d'eau pour permettre la navigation (CETMEF, 1996) transforment les caractéristiques environnementales propres à chaque masse d'eau. Le but de cette synthèse bibliographique est d'établir un bilan des études faites à ce jour concernant l'impact des barrages de navigation sur l'oxygénation des cours d'eau. La première partie concerne la réglementation des seuils de qualité en vigueur à respecter. La seconde partie établit le bilan de l'oxygène dissous dans l'eau, décrivant les gains et les pertes. Les différents paramètres constitutifs des barrages de navigation pouvant avoir une influence sur ce bilan sont détaillés dans la troisième partie. Plusieurs modèles permettant de quantifier cet impact sont développés. Pour finir, des possibilités d'aménagements permettant de maximiser l'oxygénation des eaux sont listées.
  370. Edition (Ceremadoc) Road noise prediction : 2 - -Noise propagation computation method including meteorolgical effects(NMPB 2008)

    The NMPB-Roads-2008 is the French road noise prediction method leading on from the NMPB-Roads-1996. It is designed for both road project impact studies and for noise mapping in application of Directive 2002/49/EC. This document is intended for both users (design offices, State departments) and software program publishers. It specifies the breakdown of a linear infrastructure into point sources, the micrometeorological characterisation of a site, the search for elementary trajectories and the calculation of the attenuation in an elementary trajectory. The probabilities of occurrence of favourable conditions are tabulated for 41 stations spread across France. Foreword Introduction Definitions and notations Method overview Description of the source Taking the micrometeorology into account Propagation analysis Calculations in an elementary path Bibliography A- Calculation method flow chart B- Occurrence values and maps of downward-refraction conditions for France C- Meteorology and sound propagation D- Meteorological analysis of an acoustic situation E- Geometric aspects F- Dealing with special elements G- Validation elements H- Description of the sites of the experimental campaigns I- Sample NMPB-Roads-2008 applications J- From the NMPB-Roads-96 to the NMPB-Roads-2008
  371. Edition (Ceremadoc) Emissions routières de polluants atmosphériques - Courbes et facteurs d'influence : Note d'Information - Économie Environnement Conception - Série(EEC)

    En France, la contribution des transports routiers aux émissions de polluants atmosphériques est significative pour de nombreuses substances, voire majoritaire pour certaines. Dans le cadre de l’évaluation des projets d’infrastructures routières, de plans et programmes ou de mesures portant sur le trafic, il est intéressant de connaître les facteurs qui ont un impact sur les émissions de polluants atmosphériques dues au transport routier. Or les courbes issues des modèles permettant de déterminer les émissions de polluants en fonction de la vitesse du véhicule sont peu connues. Cette note d’information permet de présenter la démarche de construction de ces courbes et les principales variables, outre la vitesse, qui influent sur les émissions de polluants des différentes catégories de véhicules. Les courbes ainsi construites constituent un outil d’aide à la définition de mesures visant à limiter l’impact du trafic sur la pollution atmosphérique. Contexte et objectifs Présentation de la démarche de construction des courbes d’émissions Courbes d’émissions : analyse de l’influence des différents paramètres Conclusions et perspectives Bibliographie
  372. Edition (Ceremadoc) Chantiers de traitement de sols en place - Recommandations vis-à-vis du taux d'émission de poussières - Application de la norme NF P 94-103 : Note d'Information - Chaussées Dépendances - Série(CD)

    Le traitement des sols en place avec de la chaux et/ou des liants hydrauliques, en plein essor depuis plusieurs décennies, présente de nombreux avantages techniques et économiques. En effet, il permet de valoriser des sols qui seraient inaptes au réemploi dans leur état naturel en préservant ainsi les ressources (notamment dans les régions pauvres en gisements alluvionnaires ou rocheux) et en limitant les nuisances engendrées par le transport des matériaux. Cependant, les opérations de traitement des sols en place peuvent générer des émissions de poussières du produit de traitement, susceptibles d’être dommageables dans certains contextes de chantier (zones urbanisées, zones naturelles sensibles, etc.). La norme NF P94-103 décrit un essai permettant d’évaluer l’aptitude d’un produit de traitement minéral sec à émettre de la poussière. L’essai a été homologué par trois Laboratoires régionaux des ponts et chaussées (LRPC), le Laboratoire central des ponts et chaussées (LCPC) et des laboratoires d’entreprises, par le biais d’une campagne d’essais croisés. Le résultat de la mesure s’exprime sous la forme d’un taux d’émission de poussière (TEP). Cependant, la norme ne fixe pas de valeur seuil permettant de distinguer les produits de traitement en fonction de leur capacité d’envol. Contexte et utilité d’un essai spécifique Principe de l'essai Situation des produits de traitement Recommandations Références bibliographiques.
  373. Edition (Ceremadoc) Eléments de coût des mesures d'insertion environnementales - Exemple de l'Est de la France : Note d'Information - Économie Environnement Conception - Série(EEC)

    La réglementation prévoit le chiffrage du montant des mesures d’insertion dans le cadre des études d’impact. Ce calcul pose souvent un problème à leurs rédacteurs en raison de l’absence d’éléments financiers fiables ou actualisés. Après un rappel du cadre réglementaire et du vocabulaire consacré aux différentes mesures d’insertion (évitement, réduction, compensation), la note présente un large éventail de dispositifs ou d’aménagements destinés à favoriser l’insertion de projets routiers dans l’environnement. Elle vise à apporter les éléments de réponse au responsable environnement chargé non seulement de chiffrer les mesures d’insertion, mais aussi d’estimer le surcoût de solutions alternatives et de mesures d’optimisation. Celles-ci peuvent aussi nécessiter l’évaluation de nouveaux impacts. Introduction Avertissement Assainissement - Protection - Réaménagementde cours d’eaux Milieu naturel - Faune - Flore Bruit Air Paysage Agriculture - Sylviculture Urbanisme - Tourisme et cadre de vie...
  374. Edition (Ceremadoc) Chiroptères et infrastructures de transports terrestres - Menaces et actions de préservation : Note d'Information - Économie Environnement Conception - Série(EEC)

    La France métropolitaine abrite 34 espèces de chauves-souris. Elles bénéficient d’un statut de protection national et international (Conventions de Bonn, de Berne, accord EUROBATS, espèces d’intérêt communautaire). Seuls mammifères capables de voler, les chiroptères sont un groupe d’espèces particulièrement remarquables dont bon nombre d’entre elles sont aujourd’hui menacées. En réponse aux besoins de mise en place de mesures de conservation pour les espèces colonisant le territoire, un plan national de restauration des chiroptères a été lancé en 2007, pour la période 2009-2013. Parmi les actions de ce plan, le Sétra est chargé de faire le point sur les connaissances disponibles sur les chauves-souris et les infrastructures de transport, et, sur la base de ce bilan et de suivis de sites de collisions et de systèmes de réduction d’impact, de proposer des recommandations techniques aux concepteurs pour la prise en compte des chauves-souris dans les projets. Présentation des chiroptères Des espèces protégées menacées Actions pour la prise en compte des chiroptères dans les infrastructures Bilan des connaissances actuelles et perspectives Bibliographie Annexe
  375. Edition (Ceremadoc) Insertion d'une infrastructure de transport - Concilier assainissement et enjeux de paysage : Note d'Information - Économie Environnement Conception - Série(EEC)

    Composants essentiels d’une infrastructure de transport, les ouvrages d’assainissement ont pour objectif de rendre l’infrastructure fonctionnelle d’un point de vue hydraulique (écoulement des eaux, pérennité de l’infrastructure), conforme au niveau de la protection de la ressource en eau et des milieux naturels (qualité des rejets, état écologique des masses d’eau) et sécurisée pour les usagers et les agents d’entretien. Au-delà de ces enjeux, ces ouvrages doivent également être connectés au territoire, aux paysages et au cadre de vie traversés, car essentiel pour la qualité finale du projet et son insertion dans le territoire. Pour autant, les deux notions assainissement et paysage sont encore trop souvent dissociées. Les objectifs de cette note d’information sont de : - sensibiliser le maître d’ouvrage et les équipes de conception (hydraulique, assainissement et paysage) à l’intérêt d’une démarche concertée pour une meilleure prise en compte des dimensions paysagères lors de la conception ou la réhabilitation des dispositifs de traitement ; - informer sur les techniques d’insertion existantes en présentant leurs avantages et inconvénients (réalisation, entretien, coût, etc.) ; - rappeler le rôle essentiel du chef de projet pour la réussite de cette collaboration entre les équipes assainissement et paysage, et même au-delà avec le futur exploitant. Problématique Contexte Interface assainissement et paysage : intérêts et atouts Pour un projet partagé : démarches et moments clés du travail en équipe Cas de la réhabilitation du réseau existant Conclusion Annexe 1 - Les différents ouvrages d'assainissement et exemples d'insertion paysagère Annexe 2 - Les rendus de chacun Bibliographie Glossaire
  376. Edition (Ceremadoc) Manuel de recommandations pour la prise en compte du développement durable dans la gestion du cycle de l'eau : Version intégrale

    Le développement durable, qui vise à concilier la protection et la mise en valeur de l'environnement, le développement économique et le progrès social, a été reconnu comme un enjeu fondamental pour les générations futures. Avec l'inscription de la notion de développement durable dans la Charte de l'environnement et son annexion à la Constitution française, le 1er mars 2005, ce concept guide dorénavant l'ensemble des politiques publiques. Il s'agit maintenant de le décliner concrètement dans l'ensemble des actions publiques. Le présent document, élaboré par le réseau scientifique et technique du ministère de l'équipement, sous le pilotage du bureau de l'ingénierie d'appui territorial de la DGUHC, s'inscrit dans cette démarche. Il décline, en deux fascicules distincts, la notion de développement durable appliquée à l'ingénierie du cycle de l'eau. Destiné aux maîtres d'ouvrages et aux services déconcentrés qui les assistent, il ne constitue en aucune façon une norme ou une méthode imposée pour la mise en œuvre du concept de développement durable mais simplement un manuel de recommandations visant à faciliter cette mise en œuvre, à travers un questionnement fondé sur la prise en compte des principes et des enjeux qui résultent des référentiels techniques, des textes réglementaires, des divers documents de planification et des expériences locales.
  377. Edition (Ceremadoc) Manuel de recommandations pour la prise en compte du développement durable dans la gestion du cycle de l'eau : 1 - Prise en compte du développement durable dans la gestion du cycle de l’eau : assainissement urbain

    Le développement durable, qui vise à concilier la protection et la mise en valeur de l'environnement, le développement économique et le progrès social, a été reconnu comme un enjeu fondamental pour les générations futures. Avec l'inscription de la notion de développement durable dans la Charte de l'environnement et son annexion à la Constitution française, le 1er mars 2005, ce concept guide dorénavant l'ensemble des politiques publiques. Il s'agit maintenant de le décliner concrètement dans l'ensemble des actions publiques. Le présent document, élaboré par le réseau scientifique et technique du ministère de l'équipement, sous le pilotage du bureau de l'ingénierie d'appui territorial de la DGUHC, s'inscrit dans cette démarche. Il décline, en deux fascicules distincts, la notion de développement durable appliquée à l'ingénierie du cycle de l'eau. Destiné aux maîtres d'ouvrages et aux services déconcentrés qui les assistent, il ne constitue en aucune façon une norme ou une méthode imposée pour la mise en œuvre du concept de développement durable mais simplement un manuel de recommandations visant à faciliter cette mise en œuvre, à travers un questionnement fondé sur la prise en compte des principes et des enjeux qui résultent des référentiels techniques, des textes réglementaires, des divers documents de planification et des expériences locales.
  378. Edition (Ceremadoc) Manuel de recommandations pour la prise en compte du développement durable dans la gestion du cycle de l'eau : 2 - Prise en compte du développement durable dans la gestion du cycle de l’eau : aménagement de bassin versant

    Le développement durable, qui vise à concilier la protection et la mise en valeur de l'environnement, le développement économique et le progrès social, a été reconnu comme un enjeu fondamental pour les générations futures. Avec l'inscription de la notion de développement durable dans la Charte de l'environnement et son annexion à la Constitution française, le 1er mars 2005, ce concept guide dorénavant l'ensemble des politiques publiques. Il s'agit maintenant de le décliner concrètement dans l'ensemble des actions publiques. Le présent document, élaboré par le réseau scientifique et technique du ministère de l'équipement, sous le pilotage du bureau de l'ingénierie d'appui territorial de la DGUHC, s'inscrit dans cette démarche. Il décline, en deux fascicules distincts, la notion de développement durable appliquée à l'ingénierie du cycle de l'eau. Destiné aux maîtres d'ouvrages et aux services déconcentrés qui les assistent, il ne constitue en aucune façon une norme ou une méthode imposée pour la mise en œuvre du concept de développement durable mais simplement un manuel de recommandations visant à faciliter cette mise en œuvre, à travers un questionnement fondé sur la prise en compte des principes et des enjeux qui résultent des référentiels techniques, des textes réglementaires, des divers documents de planification et des expériences locales.
  379. Edition (Ceremadoc) Prévision du bruit routier : calcul des émissions sonores dues au trafic routier

    Le précédent guide de prévision de l'émission du bruit émis par le trafic routier remonte à 1980. Le parc automobile, les revêtements routiers, les méthodes d'évaluation des émissions sonores ont évolué. Il devenait donc indispensable de produire un nouveau guide de calcul des émissions. C'est l'objet de ce document. Le calcul des niveaux sonores ainsi obtenu est nécessaire pour ensuite prévoir les niveaux sonores à grande distance en tenant compte des effets de sol et de météorologie sur la propagation. C'est l'objet d'un autre guide ayant pour titre "Prévision du bruit routier - NMPB 2008- Méthode de calcul de propagation du bruit incluant les effets météorologiques". Après avoir rappelé quelques définitions spécifiques à l'acoustique (définition des grandeurs physiques, de grandeurs caractéristiques du trafic, présentation des hypothèses de travail …), le guide étudie les deux composantes du bruit émis. L'émission est en effet décomposée en deux composantes : une composante due au bruit dit "de roulement", due au contact pneumatique-chaussée, et une composante "moteur". Le guide innove en prenant compte la catégorie du revêtement et son âge dans le calcul du bruit de "roulement". La première partie du guide décrit la méthode (démarches, formules). La deuxième partie présente les enjeux associés, les fondements des formules ou des valeurs utilisées, leurs limites, ainsi qu'une comparaison entre les deux guides (celui de 1980 et celui de 2008). Introduction Méthode factuelle Commentaires et analyses Bibliographie Références bibliographiques Documents bibliographiques du Sétra Annexes
  380. Edition (Ceremadoc) Fauchez mieux, le fauchage raisonné : Note d'Information - Chaussées Dépendances - Série(CD)

    Cette note propose, dans un premier temps, une analyse de ces objectifs et enjeux, puis présente les points clefs de l’établissement d’une politique de fauchage raisonné. Elle a pour but de faire évoluer les pratiques et de mieux intégrer le développement durable au cœur du fauchage. Elle s’adresse à l’ensemble des acteurs en charge de l’entretien des dépendances vertes en bord de route. Elle vient en complément du guide : "Entretien des dépendances vertes" 2004 (Sétra), en y intégrant les enjeux de protection et de développement des caractéristiques écologiques et paysagères de l'ensemble du territoire Avant-propos Rappels / définitions Le fauchage "raisonné" : des objectifs et des enjeux Préconisations pour la mise en œuvre d'un fauchage raisonné Conclusion Annexes Bibliographie
  381. Edition (Ceremadoc) Prévision du bruit routier : méthode de calcul de propagation du bruit incluant les effets météorologiques (NMPB 2008)

    La NMPB-Routes-2008 est la méthode française de prévision du bruit routier issue de la méthode expérimentale NMPB-Routes-1996. Elle est conçue aussi bien pour les études d'impact de projets routiers que pour la réalisation de cartes de bruit en application de la directive 2002/49/CE. Après avoir rappelé son domaine d'application, le document présente la méthodologie suivie : il s'agit de calculer les différents termes à l'origine de l'atténuation de l'onde sonore (divergence géométrique, absorption atmosphérique, effet de sol, diffraction), dans les conditions favorables à sa propagation (effet du vent ou d'inversion de température favorisant la propagation des ondes sonores vers les habitations) ou neutre (on parle alors de condtions homogènes). Le début de l'ouvrage rappelle la manière de décrire la source, en faisant référence au nouveau guide d'émission du bruit 2008 ("Prévision du bruit routier " Document 1 " Calcul des émissions sonores dues au trafic routier"). Il explique ensuite la manière de prendre en compte les effets de la micrométéorologie dans la prévision du bruit à long terme. Le chapitre suivant décrit les différents types de propagation, avant d'aborder la méthodologie de calcul des rayons, en tenant compte des effets de la diffraction s'il y a lieu. Dans les annexes figurent les occurrences météo sur 2 et 3 périodes (2 périodes pour la législation française, 3 périodes pour l'application de la directive Européenne 2002/49/CE) pour 41 villes réparties sur le territoire français. Ces occurrences météorologiques sont utilisées pour calculer le niveau sonore de long terme dans les 18 directions autour du point de mesure considéré. Les annexes rappellent aussi les relations existant entre la météorologie et la propagation du son, avant de préciser les différentes échelles de temps à envisager pour réaliser une analyse météorologique d'une situation acoustique. Les annexes se terminent par une comparaison entre la méthode de propagation du bruit de 1996, avec celle de 2008, avant de proposer des exemples didactiques d'application de cette nouvelle méthode. Introduction Définitions et notations Aperçu général de la méthode Description de la source Prise en compte de la micrométéorologie Analyse de la propagation Calculs sur un trajet élémentaire Bibliographie Organigramme de la méthode de calcul B Valeurs et cartes d’occurrences de conditions favorables pour la France métropolitaine C Météorologie et propagation du son D Analyse météorologique d’une situation acoustique E Aspects géométriques F Traitement des éléments particuliers G Eléments de validation H Description des sites de la validation I Exemples d’application de la NMPB-Routes-2008
  382. Edition (Ceremadoc) Road noise prediction : 1- Calculating sound emissions from road traffic

    The previous guide to predicting noise emissions from road traffic dates back to 1980. The numbers of cars, the road surfaces and the methods of assessing sound emissions have all changed. It was therefore essential to produce a new guide to calculating emissions.This is the purpose of this document. The sound level calculation thus obtained is necessary for the subsequent prediction of far away sound levels by taking account of the effects of the ground and of meteorology on the propagation. This is the purpose of another guide entitled «Road noise prediction - NMPB 2008 - Noise propagation computation method including meteorological effects». The tools thus obtained are ideal for road project impact studies, checking compliance with regulations or an acoustic objective set by the road authority and road design of acoustic protections. Following a summary of a few definitions specific to acoustics (definition of physical magnitudes, characteristic traffic magnitudes, presentation of work hypotheses, etc.), the guide studies the two components of emitted noise. The emission is in fact broken down into two components : one component due to the so-called «driving» noise caused by the contact between tyre and roadway, and an «engine» component. The guide breaks new ground by taking into account the surfacing category and its age when calculating the «driving» noise. The first part of the guide describes the method (approach and formulae). The second part presents the related issues, the bases for formulae or values used and their limitations and compares the two guides (the 1980 guide and the 2008 guide). Introduction Factual method Comments and analyses Bibliography A- Notations and symb ols B- Form C- Daily traffic profiles on intercity roads and motorways D- Vehicle sound emission values E- Graphic results
  383. Study report (Ceremadoc) Etude d'aléa chute de blocs et solutions de mise en sécurité. : Anse des Sablettes - Marseille

    Cette étude fait suite à une demande de la Direction Départementale des Bouches-du-Rhône (13), Arrondissement Maritime - Subdivision Littoral. Elle concerne un front de falaise situé dans l'Anse des Sablettes (Marseille - 13). L'étude a pour objectif d’évaluer le risque de chutes de blocs et de proposer les principes de solutions éventuelles à mettre en œuvre pour sécuriser la zone. Cette zone d'étude concerne un linéaire d'environ 75 m.
  384. Study report (Ceremadoc) Sentier Littoral. Calanque de Niolon - Plage de l'Erevine. Commune du Rove (13). Etude d'aléa chute de blocs sentier littoral

    Cette étude fait suite à une demande de la Direction Départementale des Bouches-du-Rhône (13), Arrondissement Maritime – Subdivision Aménagement du Littoral. Elle a pour objectif d’évaluer le risque de chutes de blocs concernant une portion du sentier littoral située entre la Calanque de Niolon et la plage de l'Erevine (commune du Rove - 13), de proposer des alternatives au tracé actuel (si celles-ci sont possibles) et de décrire les principes des solutions éventuelles à mettre en œuvre pour sécuriser la zone. Cette zone concerne environ 2,8 km de sentier littoral.
  385. Study report (Ceremadoc) Sentier littoral. Le Sémaphore du Bec de l'Aigle - Parc du Mugel. Commune de la Ciotat

    Cette étude fait suite à une demande de la Direction Départementale des Bouches-du-Rhône (13), Arrondissement Maritime - Subdivision Littoral. Elle a pour objectif d’évaluer le risque de chutes de blocs concernant une portion du sentier littoral situé entre le Sémaphore et le Parc du Mugel (commune de la Ciotat - 13), de proposer des modifications possibles du tracé et de décrire les principes des solutions à mettre en œuvre pour sécuriser la zone.
  386. Edition (Ceremadoc) Routes et chiroptères : Synthèse

    La France métropolitaine compte 33 espèces de chiroptères, communément appelés chauves-souris, toutes protégées au titre de la loi. Elles bénéficient également d’un statut de protection international (Conventions de Bonn, de Berne, accord Eurobats, espèces d’intérêt communautaire). En 2007, un plan national de restauration des chiroptères a été lancé pour la période 2008-2012. Parmi les actions de ce plan, le Sétra a été chargé de conduire : ● l’élaboration et la mise en œuvre d’une méthodologie pour la prise en compte des chiroptères lors de la construction et de l’entretien d’infrastructures et d’ouvrages d’art ; ● l’évaluation de l’efficacité de systèmes de réduction d’impact des infrastructures de transport. Dans ce cadre, un guide technique proposera, à terme, des recommandations techniques aux concepteurs d’infrastructures de transport, sur la base d’une étude bibliographique, de suivis de sites de collision et d’aménagements pour les chiroptères. Ce rapport présente la première phase d’élaboration de ce futur guide : un bilan des connaissances nationales et internationales sur le thème des chiroptères et des infrastructures linéaires.
  387. Edition (Ceremadoc) Paysage et infrastructures de transport : Guide méthodologique

    Quelle place donner au paysagiste au sein de l'équipe projet ? Quels enjeux paysagers rechercher à ce niveau d'étude, pour tel type de projet ? Quels documents à attendre à chaque étape ? Telles sont les questions auxquelles cet ouvrage tente de répondre, en s'adressant notamment aux chefs de projet, dont le rôle de coordination est essentiel, mais aussi aux paysagistes qui ont une place dans la définition des grandes orientations et des partis d'aménagement paysagers, et qui permettent ainsi d'assurer la cohérence des interventions sur le territoire. Avant-propos Chapitre 1 -Le paysage, un élément clé dans la démarche de projet Répondre à un enjeu majeur d’aménagement du territoire et de développement durable Favoriser les démarches de projets de paysage, au-delà des seuls projets techniques Traiter toute la question du paysage et non celle du seul « paysagement » Favoriser le travail en commun Faciliter la pérennité des ambitions qualitatives Mieux tirer parti des expériences et s’adapter aux évolutions récentes Traiter toutes les infrastructures linéaires Chapitre 2 - Infrastructures neuves et projet de paysage De l’intention du projet d’infrastructure de transport à sa réalisation, les grandes étapes d’un projet Du débat public à l’enquête publique: l’infrastructure dans le paysage De la Dup à la réception des travaux : le paysage de l’infrastructure Chapitre 3 - Réaménagement des infrastructures existantes et projet de paysage Le réaménagement de l’existant: une gestion du territoire Les enjeux paysagers du réaménagement de l’existant déclinés par infrastructure Déroulement et contenu des études paysagères pour une modification de voie existante Chapitre 4 - Conseils pour la conduite des études paysagères Suivi et animation des équipes d’études Les fondamentaux de la construction d’un cahier des charges «paysage» Comment mener une démarche participative constructive autour du paysage? Apport des outils du paysagiste dans la représentation et la communication du projet Annexes Les textes de référence Circulaire du 7 janvier 2008 de la Dgr Références bibliographiques Abréviations Glossaire
  388. Edition (Ceremadoc) Démarche d'évaluation environnementale. Série de fiches : Fiche 2 : Démarche d'élaboration du SCOT

    La démarche d'évaluation environnementale s'opère tout au long du processus d'élaboration du document du PLU ou du SCoT. L'objectif de cette évaluation est d'intégrer la question environnementale à chaque étape du processus de conception du document d'urbanisme. Afin de visualiser les grandes étapes d'une démarche d'évaluation environnementale, nous proposons 2 fiches synthétiques.
  389. Edition (Ceremadoc) Démarche d'évaluation environnementale. Série de fiches : Fiche 1 : Démarche d'élaboration du PLU

    La démarche d'évaluation environnementale s'opère tout au long du processus d'élaboration du document du PLU ou du SCoT. L'objectif de cette évaluation est d'intégrer la question environnementale à chaque étape du processus de conception du document d'urbanisme. Afin de visualiser les grandes étapes d'une démarche d'évaluation environnementale, nous proposons 2 fiches synthétiques.
  390. Edition (Ceremadoc) Démarche d'évaluation environnementale. Série de fiches : Fiches 1 & 2

    La démarche d'évaluation environnementale s'opère tout au long du processus d'élaboration du document du PLU ou du SCoT. L'objectif de cette évaluation est d'intégrer la question environnementale à chaque étape du processus de conception du document d'urbanisme. Afin de visualiser les grandes étapes d'une démarche d'évaluation environnementale, nous proposons 2 fiches synthétiques.
  391. Edition (Ceremadoc) Clôtures routières et faune - Critères de choix et recommandations d'implantation : Note d'Information - Économie Environnement Conception - Série(EEC)

    Cette note d'information a pour objet, après un rappel des enjeux de sécurité, de biodiversité et des spécificités faunistiques, de présenter les différentes caractéristiques et usages des clôtures, les conditions de leur pose et de leur entretien. Evolution des besoins de clôtures sur les infrastructures linéaires Quelles clôtures pour quelle faune ? Recommandations techniques Conclusion Bibliographie
  392. Edition (Ceremadoc) Cartes de bruit. Série de fiches : Cartes de bruit : fiche n° 10 : Comment réaliser les cartes d'évolution des niveaux de bruit ?

    La directive européenne 2002/49/CE du 25 juin 2002 relative à l'évaluation et à la gestion du bruit dans l'environnement et transposée en France par les articles L572-1 à L572-11 et R572-1 à R572-11 du code de l'Environnement et l'arrêté du 4 avril 2006 relatif à l'établissement des cartes de bruit et des plans de prévention du bruit dans l'environnement, impose la réalisation de cartes de bruit pour les agglomérations de plus de 100 000 habitants. Afin d'aider les collectivités en charge de la réalisation de ces cartes, le Certu a publié en 2006 un guide méthodologique « Comment réaliser les cartes de bruit stratégiques en agglomération ». Pour compléter et enrichir ce guide, il élabore dans le cadre d'un groupe de travail, des fiches techniques, qui s'appuient sur les retours d'expérience collectés lors de la réalisation des premières cartes de bruit. Ces fiches sont destinées en particulier aux autorités compétentes des agglomérations. Mais elles peuvent aussi être utilisées, pour certains sujets, pour la réalisation des cartes de bruit des grandes infrastructures de transports.
  393. Edition (Ceremadoc) Cartes de bruit. Série de fiches : Cartes de bruit : fiche n° 00 : Fiche générale sur les cartes de bruit.

    La directive européenne 2002/49/CE du 25 juin 2002 relative à l'évaluation et à la gestion du bruit dans l'environnement et transposée en France par les articles L572-1 à L572-11 et R572-1 à R572-11 du code de l'Environnement et l'arrêté du 4 avril 2006 relatif à l'établissement des cartes de bruit et des plans de prévention du bruit dans l'environnement, impose la réalisation de cartes de bruit pour les agglomérations de plus de 100 000 habitants. Afin d'aider les collectivités en charge de la réalisation de ces cartes, le Certu a publié en 2006 un guide méthodologique « Comment réaliser les cartes de bruit stratégiques en agglomération ». Pour compléter et enrichir ce guide, il élabore dans le cadre d'un groupe de travail, des fiches techniques, qui s'appuient sur les retours d'expérience collectés lors de la réalisation des premières cartes de bruit. Ces fiches sont destinées en particulier aux autorités compétentes des agglomérations. Mais elles peuvent aussi être utilisées, pour certains sujets, pour la réalisation des cartes de bruit des grandes infrastructures de transports.
  394. Edition (Ceremadoc) Cartes de bruit. Série de fiches : Cartes de bruit : fiche n° 01 : Conseils pour la réalisation d'un cahier des charges.

    La directive européenne 2002/49/CE du 25 juin 2002 relative à l'évaluation et à la gestion du bruit dans l'environnement et transposée en France par les articles L572-1 à L572-11 et R572-1 à R572-11 du code de l'Environnement et l'arrêté du 4 avril 2006 relatif à l'établissement des cartes de bruit et des plans de prévention du bruit dans l'environnement, impose la réalisation de cartes de bruit pour les agglomérations de plus de 100 000 habitants. Afin d'aider les collectivités en charge de la réalisation de ces cartes, le Certu a publié en 2006 un guide méthodologique « Comment réaliser les cartes de bruit stratégiques en agglomération ». Pour compléter et enrichir ce guide, il élabore dans le cadre d'un groupe de travail, des fiches techniques, qui s'appuient sur les retours d'expérience collectés lors de la réalisation des premières cartes de bruit. Ces fiches sont destinées en particulier aux autorités compétentes des agglomérations. Mais elles peuvent aussi être utilisées, pour certains sujets, pour la réalisation des cartes de bruit des grandes infrastructures de transports.
  395. Edition (Ceremadoc) Cartes de bruit. Série de fiches : Cartes de bruit : fiche n° 07 : Quelques pistes pour enrichir la cartographie sonore et intégrer des éléments plus qualificatifs.

    La directive européenne 2002/49/CE du 25 juin 2002 relative à l'évaluation et à la gestion du bruit dans l'environnement et transposée en France par les articles L572-1 à L572-11 et R572-1 à R572-11 du code de l'Environnement et l'arrêté du 4 avril 2006 relatif à l'établissement des cartes de bruit et des plans de prévention du bruit dans l'environnement, impose la réalisation de cartes de bruit pour les agglomérations de plus de 100 000 habitants. Afin d'aider les collectivités en charge de la réalisation de ces cartes, le Certu a publié en 2006 un guide méthodologique « Comment réaliser les cartes de bruit stratégiques en agglomération ». Pour compléter et enrichir ce guide, il élabore dans le cadre d'un groupe de travail, des fiches techniques, qui s'appuient sur les retours d'expérience collectés lors de la réalisation des premières cartes de bruit. Ces fiches sont destinées en particulier aux autorités compétentes des agglomérations. Mais elles peuvent aussi être utilisées, pour certains sujets, pour la réalisation des cartes de bruit des grandes infrastructures de transports.
  396. Edition (Ceremadoc) Cartes de bruit. Série de fiches : Cartes de bruit : fiche n° 08 : Comment prendre en compte le bruit industriel ?

    La directive européenne 2002/49/CE du 25 juin 2002 relative à l'évaluation et à la gestion du bruit dans l'environnement et transposée en France par les articles L572-1 à L572-11 et R572-1 à R572-11 du code de l'Environnement et l'arrêté du 4 avril 2006 relatif à l'établissement des cartes de bruit et des plans de prévention du bruit dans l'environnement, impose la réalisation de cartes de bruit pour les agglomérations de plus de 100 000 habitants. Afin d'aider les collectivités en charge de la réalisation de ces cartes, le Certu a publié en 2006 un guide méthodologique « Comment réaliser les cartes de bruit stratégiques en agglomération ». Pour compléter et enrichir ce guide, il élabore dans le cadre d'un groupe de travail, des fiches techniques, qui s'appuient sur les retours d'expérience collectés lors de la réalisation des premières cartes de bruit. Ces fiches sont destinées en particulier aux autorités compétentes des agglomérations. Mais elles peuvent aussi être utilisées, pour certains sujets, pour la réalisation des cartes de bruit des grandes infrastructures de transports.
  397. Edition (Ceremadoc) Cartes de bruit. Série de fiches : Cartes de bruit : fiche n° 09 : Quelle organisation pour la remontée des informations issues des cartes de bruit ?

    La directive européenne 2002/49/CE du 25 juin 2002 relative à l'évaluation et à la gestion du bruit dans l'environnement et transposée en France par les articles L572-1 à L572-11 et R572-1 à R572-11 du code de l'Environnement et l'arrêté du 4 avril 2006 relatif à l'établissement des cartes de bruit et des plans de prévention du bruit dans l'environnement, impose la réalisation de cartes de bruit pour les agglomérations de plus de 100 000 habitants. Afin d'aider les collectivités en charge de la réalisation de ces cartes, le Certu a publié en 2006 un guide méthodologique « Comment réaliser les cartes de bruit stratégiques en agglomération ». Pour compléter et enrichir ce guide, il élabore dans le cadre d'un groupe de travail, des fiches techniques, qui s'appuient sur les retours d'expérience collectés lors de la réalisation des premières cartes de bruit. Ces fiches sont destinées en particulier aux autorités compétentes des agglomérations. Mais elles peuvent aussi être utilisées, pour certains sujets, pour la réalisation des cartes de bruit des grandes infrastructures de transports.
  398. Edition (Ceremadoc) Agir contre l'effet de serre, la pollution de l'air et le bruit dans les plans de déplacements urbains (PDU) : Approches et méthodes

    25 ans après sa création, le PDU entre dans une nouvelle génération : il est aujourd'hui au cœur des politiques locales, et se situe au-delà de l'organisation des déplacements, en se plaçant en interface avec l'aménagement et la planification urbaines. Il peut être un levier efficace à la disposition des autorités locales pour participer à la réduction des émissions de gaz à effet de serre dans la perspective du Facteur 4, limiter la pollution atmosphérique et le bruit et leurs effets sur la santé. Ce guide, prévu lors de l'actualisation 2006 du plan climat 2004-2012, vient compléter le précédent qui traitait de la prise en compte de la pollution de l'air, du bruit et de la consommation d'énergie dans les plans de déplacements urbains, et qui avait été édité par l'Ademe et le Certu en 1999. Il fournit de nouveaux éléments de compréhension, mais aussi de méthode, pour évaluer les émissions de gaz à effet de serre, la pollution de l'air et le bruit, cerner et hiérarchiser les problèmes, fixer des objectifs quantifiés, mettre en place les moyens de les atteindre, mesurer ce qui a un sens à partir d'indicateurs appropriés, au regard des objectifs politiques qui impérativement doivent être plus drastiques pour limiter les véhicules-km et les tonnes-km.Destiné aux élus et techniciens, il propose des indicateurs et outils pertinents pour leur permettre de prendre en compte les effets des déplacements des personnes et des marchandises pour agir contre l'effet de serre, la pollution de l'air et le bruit, et permettant de mettre en oeuvre une démarche plus complète d'évaluation environnementale. Dans l'attente du texte législatif issu des propositions du « Grenelle de l'environnement », ce guide est présenté dans une version intermédiaire. Son actualisation sera entreprise après la parution du texte.
  399. Edition (Ceremadoc) Cartes de bruit. Série de fiches : Cartes de bruit : fiche n° 04 : Organisation des territoires et des compétences.

    La directive européenne 2002/49/CE du 25 juin 2002 relative à l'évaluation et à la gestion du bruit dans l'environnement et transposée en France par les articles L572-1 à L572-11 et R572-1 à R572-11 du code de l'Environnement et l'arrêté du 4 avril 2006 relatif à l'établissement des cartes de bruit et des plans de prévention du bruit dans l'environnement, impose la réalisation de cartes de bruit pour les agglomérations de plus de 100 000 habitants. Afin d'aider les collectivités en charge de la réalisation de ces cartes, le Certu a publié en 2006 un guide méthodologique « Comment réaliser les cartes de bruit stratégiques en agglomération ». Pour compléter et enrichir ce guide, il élabore dans le cadre d'un groupe de travail, des fiches techniques, qui s'appuient sur les retours d'expérience collectés lors de la réalisation des premières cartes de bruit. Ces fiches sont destinées en particulier aux autorités compétentes des agglomérations. Mais elles peuvent aussi être utilisées, pour certains sujets, pour la réalisation des cartes de bruit des grandes infrastructures de transports.
  400. Edition (Ceremadoc) Cartes de bruit. Série de fiches : Cartes de bruit : fiche n° 02 : Quels bâtiments sensibles prendre en compte ?

    La directive européenne 2002/49/CE du 25 juin 2002 relative à l'évaluation et à la gestion du bruit dans l'environnement et transposée en France par les articles L572-1 à L572-11 et R572-1 à R572-11 du code de l'Environnement et l'arrêté du 4 avril 2006 relatif à l'établissement des cartes de bruit et des plans de prévention du bruit dans l'environnement, impose la réalisation de cartes de bruit pour les agglomérations de plus de 100 000 habitants. Afin d'aider les collectivités en charge de la réalisation de ces cartes, le Certu a publié en 2006 un guide méthodologique « Comment réaliser les cartes de bruit stratégiques en agglomération ». Pour compléter et enrichir ce guide, il élabore dans le cadre d'un groupe de travail, des fiches techniques, qui s'appuient sur les retours d'expérience collectés lors de la réalisation des premières cartes de bruit. Ces fiches sont destinées en particulier aux autorités compétentes des agglomérations. Mais elles peuvent aussi être utilisées, pour certains sujets, pour la réalisation des cartes de bruit des grandes infrastructures de transports.
  401. Edition (Ceremadoc) Cartes de bruit. Série de fiches : Cartes de bruit : fiche n° 05 : Quel montage administratif entre autorités compétentes ?

    La directive européenne 2002/49/CE du 25 juin 2002 relative à l'évaluation et à la gestion du bruit dans l'environnement et transposée en France par les articles L572-1 à L572-11 et R572-1 à R572-11 du code de l'Environnement et l'arrêté du 4 avril 2006 relatif à l'établissement des cartes de bruit et des plans de prévention du bruit dans l'environnement, impose la réalisation de cartes de bruit pour les agglomérations de plus de 100 000 habitants. Afin d'aider les collectivités en charge de la réalisation de ces cartes, le Certu a publié en 2006 un guide méthodologique « Comment réaliser les cartes de bruit stratégiques en agglomération ». Pour compléter et enrichir ce guide, il élabore dans le cadre d'un groupe de travail, des fiches techniques, qui s'appuient sur les retours d'expérience collectés lors de la réalisation des premières cartes de bruit. Ces fiches sont destinées en particulier aux autorités compétentes des agglomérations. Mais elles peuvent aussi être utilisées, pour certains sujets, pour la réalisation des cartes de bruit des grandes infrastructures de transports.
  402. Edition (Ceremadoc) Cartes de bruit. Série de fiches : Cartes de bruit : fiche n° 03 : Comment estimer la population exposée ?

    La directive européenne 2002/49/CE du 25 juin 2002 relative à l'évaluation et à la gestion du bruit dans l'environnement et transposée en France par les articles L572-1 à L572-11 et R572-1 à R572-11 du code de l'Environnement et l'arrêté du 4 avril 2006 relatif à l'établissement des cartes de bruit et des plans de prévention du bruit dans l'environnement, impose la réalisation de cartes de bruit pour les agglomérations de plus de 100 000 habitants. Afin d'aider les collectivités en charge de la réalisation de ces cartes, le Certu a publié en 2006 un guide méthodologique « Comment réaliser les cartes de bruit stratégiques en agglomération ». Pour compléter et enrichir ce guide, il élabore dans le cadre d'un groupe de travail, des fiches techniques, qui s'appuient sur les retours d'expérience collectés lors de la réalisation des premières cartes de bruit. Ces fiches sont destinées en particulier aux autorités compétentes des agglomérations. Mais elles peuvent aussi être utilisées, pour certains sujets, pour la réalisation des cartes de bruit des grandes infrastructures de transports.
  403. Edition (Ceremadoc) Cartes de bruit : Fiches 1 à 10

    La directive européenne 2002/49/CE du 25 juin 2002 relative à l'évaluation et à la gestion du bruit dans l'environnement et transposée en France par les articles L572-1 à L572-11 et R572-1 à R572-11 du code de l'Environnement et l'arrêté du 4 avril 2006 relatif à l'établissement des cartes de bruit et des plans de prévention du bruit dans l'environnement, impose la réalisation de cartes de bruit pour les agglomérations de plus de 100 000 habitants. Afin d'aider les collectivités en charge de la réalisation de ces cartes, le Certu a publié en 2006 un guide méthodologique « Comment réaliser les cartes de bruit stratégiques en agglomération ». Pour compléter et enrichir ce guide, il élabore dans le cadre d'un groupe de travail, des fiches techniques, qui s'appuient sur les retours d'expérience collectés lors de la réalisation des premières cartes de bruit. Ces fiches sont destinées en particulier aux autorités compétentes des agglomérations. Mais elles peuvent aussi être utilisées, pour certains sujets, pour la réalisation des cartes de bruit des grandes infrastructures de transports.
  404. Edition (Ceremadoc) Cartes de bruit. Série de fiches : Cartes de bruit : fiche n° 06 : Comment prendre en compte la multi-exposition sonore ?

    La directive européenne 2002/49/CE du 25 juin 2002 relative à l'évaluation et à la gestion du bruit dans l'environnement et transposée en France par les articles L572-1 à L572-11 et R572-1 à R572-11 du code de l'Environnement et l'arrêté du 4 avril 2006 relatif à l'établissement des cartes de bruit et des plans de prévention du bruit dans l'environnement, impose la réalisation de cartes de bruit pour les agglomérations de plus de 100 000 habitants. Afin d'aider les collectivités en charge de la réalisation de ces cartes, le Certu a publié en 2006 un guide méthodologique « Comment réaliser les cartes de bruit stratégiques en agglomération ». Pour compléter et enrichir ce guide, il élabore dans le cadre d'un groupe de travail, des fiches techniques, qui s'appuient sur les retours d'expérience collectés lors de la réalisation des premières cartes de bruit. Ces fiches sont destinées en particulier aux autorités compétentes des agglomérations. Mais elles peuvent aussi être utilisées, pour certains sujets, pour la réalisation des cartes de bruit des grandes infrastructures de transports.
  405. Edition (Ceremadoc) Les collectivités locales et le ruissellement pluvial

    Les inondations par ruissellement affectent les territoires de façon récurrente. Des évènements ont marqué les esprits, dont certains ont atteint des niveaux de gravité extrêmes ou ont occasionné des dommages significatifs : Nîmes en 1988, Vaison-la-Romaine en 1992, Seine-Maritime en 1998, 1999 et 2000, Nord-Isère et Drôme en 2002, Hérault, Gard en 2005, et tout récemment encore en mai 2008, l'Est et le Sud-Ouest de la France, ainsi que la Corse. À cette répétition des évènements s'ajoute l'actualité réglementaire, qui donne de plus en plus de responsabilités aux collectivités territoriales dans le domaine des risques. La diversité des phénomènes, leur dispersion sur le territoire, comme leur caractère très localisé, posent la question de la transcription du ruissellement pluvial en un ensemble de concepts simples qui pourraient être appropriés puis mis en œuvre par les acteurs locaux dans une politique de prévention adaptée à chaque situation. Comment faire un diagnostic pluvial sur la commune ? Quels sont les outils à disposition des collectivités territoriales et de l'état ? Comment mettre en œuvre les solutions ? La prévention des inondations par ruissellement concerne tout à la fois les collectivités territoriales et l'état, les aménageurs, les techniciens de l'assainissement, de l'agriculture, de l'environnement et de l'urbanisme. Ce dossier s'adresse à l'ensemble de ces acteurs, dont l'action conjointe est nécessaire pour mettre en œuvre des démarches concertées d'aménagement global des bassins versants, recouvrant l'amont et l'aval, le rural et l'urbain. Le dossier présente de façon concise les étapes successives de la démarche de prévention et de réduction du risque de ruissellement : la prise de conscience du risque, l'analyse du territoire, la stratégie retenue, la mise en œuvre des solutions, ainsi que le bilan et le retour d'expérience. Des compléments techniques et des exemples viennent détailler et illustrer le propos.
  406. Edition (Ceremadoc) Insertion d'une infrastructure routière - Concilier terrassements et enjeux paysagers : Note d'Information - Économie Environnement Conception - Série(EEC)

    L'objectif de cette note est de sensibiliser le maître d'ouvrage et les équipes projets tels que les concepteurs routiers, les paysagistes, les géotechniciens ainsi que les chefs de projet, aux enjeux paysagers; il est proposé la mise en place de méthodes de travail garantes du dialogue entre les équipes. Préambule Les acteurs Les moments clés du travail en équipe Les problématiques géotechniques Dialogue entre choix d’aménagements paysagers et terrassements Conclusion Bibliographie
  407. Edition (Ceremadoc) Impact acoustique des aménagements de voirie en urbain : Comprendre les nuisances sonores routières pour les prendre en compte dans un projet d'aménagement de voirie

    L'objet de cette collection de fiches est une présentation de la problématique des nuisances sonores routières pouvant être amplifiées ou atténuées par un aménagement de voirie. Ces fiches se destinent plus particulièrement au milieu urbain. La fiche générale s'intéresse aux facteurs influençant l'émission sonore et donne quelques conclusions sur les aménagements de voirie testés. Elle se destine plus particulièrement aux maîtres d'ouvrage. Elle est associée à plusieurs fiches techniques proposant des cas concrets d'aménagements ayant fait l'objet de mesures acoustiques, tels que : Des transformations de carrefour à feux en carrefour giratoire, Des traversées de communes ou d'agglomérations, Des zones 30, Des aménagements ponctuels tels que dos d'âne, coussin, plateau surélevé...
  408. Edition (Ceremadoc) Impact acoustique des aménagements de voirie en urbain : Aménagements ponctuels isolés

    L'objet de cette collection de fiches est une présentation de la problématique des nuisances sonores routières pouvant être amplifiées ou atténuées par un aménagement de voirie. Ces fiches se destinent plus particulièrement au milieu urbain. La fiche générale s'intéresse aux facteurs influençant l'émission sonore et donne quelques conclusions sur les aménagements de voirie testés. Elle se destine plus particulièrement aux maîtres d'ouvrage. Elle est associée à plusieurs fiches techniques proposant des cas concrets d'aménagements ayant fait l'objet de mesures acoustiques, tels que : Des transformations de carrefour à feux en carrefour giratoire, Des traversées de communes ou d'agglomérations, Des zones 30, Des aménagements ponctuels tels que dos d'âne, coussin, plateau surélevé...
  409. Edition (Ceremadoc) Impact acoustique des aménagements de voirie en urbain : Aménagement d'une zone 30 : Nantes

    L'objet de cette collection de fiches est une présentation de la problématique des nuisances sonores routières pouvant être amplifiées ou atténuées par un aménagement de voirie. Ces fiches se destinent plus particulièrement au milieu urbain. La fiche générale s'intéresse aux facteurs influençant l'émission sonore et donne quelques conclusions sur les aménagements de voirie testés. Elle se destine plus particulièrement aux maîtres d'ouvrage. Elle est associée à plusieurs fiches techniques proposant des cas concrets d'aménagements ayant fait l'objet de mesures acoustiques, tels que : Des transformations de carrefour à feux en carrefour giratoire, Des traversées de communes ou d'agglomérations, Des zones 30, Des aménagements ponctuels tels que dos d'âne, coussin, plateau surélevé...
  410. Edition (Ceremadoc) Impact acoustique des aménagements de voirie en urbain : Impact acoustique des amenagements de voirie en urbain

    L'objet de cette collection de fiches est une présentation de la problématique des nuisances sonores routières pouvant être amplifiées ou atténuées par un aménagement de voirie. Ces fiches se destinent plus particulièrement au milieu urbain. La fiche générale s'intéresse aux facteurs influençant l'émission sonore et donne quelques conclusions sur les aménagements de voirie testés. Elle se destine plus particulièrement aux maîtres d'ouvrage. Elle est associée à plusieurs fiches techniques proposant des cas concrets d'aménagements ayant fait l'objet de mesures acoustiques, tels que : Des transformations de carrefour à feux en carrefour giratoire, Des traversées de communes ou d'agglomérations, Des zones 30, Des aménagements ponctuels tels que dos d'âne, coussin, plateau surélevé...
  411. Edition (Ceremadoc) La filière "déchets" - Analyse du transport fluvial de déchets sur l’axe Rhône-Saône : Synthèse

    Les faibles distances moyennes parcourues par les déchets et la proximité des lieux de traitement avec les lieux de production font du transport routier le mode prédominant dans le transport des déchets. Néanmoins, il convient de noter que certains déchets sont désormais transportés sur des distances plus importantes du fait d’une législation de plus en plus contraignante. Cette étude du « transport fluvial de déchets sur l’axe Rhône-Saône », réalisée en 2006 par le CETE(*) de Lyon, analyse le fonctionnement de la filière déchets de façon globale, puis sur le bassin Rhône-Saône, dans l’objectif de mieux comprendre le rôle et les caractéristiques du mode fluvial par rapport aux autres modes pour ce type de transport. Le document d’étude identifie des potentialités de report sur le mode fluvial pour le transport de déchets sur l’ensemble du bassin Rhône-Saône.
  412. Edition (Ceremadoc) Landscape and transport infrastructures

    Following the publication in 2003 of a report collecting case studies dealing with «Road landscape and legibility», Sétra went thoroughly into this topic in order to create a methodological approach, bringing together road landscape, legibility and safety. This was done within the framework of the seminar «Road otherwise», which was organized by the General Road Directorate and where the problematic of the alteration of road design and equipment principles was tackled in order to change the user’s behaviour in a way that improves road safety. This document doesn’t intend to be a methodological guide, but it briefly highlights the main principles of an approach which brings together road landscape and safety through road legibility and which is based on the user’s perception of road. This approach comes from the transposition of urban practises in interurban areas, which have been proved to be efficient for more than twenty years. It represents additional information regarding traditional road safety approaches, such as SURE (User Safety on the Existing Road Network), bringing new ideas which link together as much as possible infrastructure to the area which is served by the infrastructure. Foreword Chapter 1: The landscape, a key element in the project approach Responding to a major planning and sustainable development challenge Favouring landscape project approaches, beyond mere technical projects Dealing with the entire landscape problem and not only "landscaping" Encouraging joint work Facilitating the survival of quality objectives Making the most of experience and adapting to recent changes Dealing with all linear infrastructures Chapter 2: New infrastructures and landscape project From the intention to create a transport infrastructure project to its completion, the major project stages From the public debate to the public enquiry: infrastructure in the landscape From the DUP to the acceptance of works: the landscape of the infrastructure Chapter 3: Redeveloping existing infrastructures and landscape project Redeveloping existing infrastructures: territorial management stake Redeveloping existing infrastructures: landscape issues, listed per infrastructure Sequence and content of landscape studies when modifying an existing route Chapter 4: Advice on successfully managing landscape studies Monitoring and leading study teams The basic points of constructing “landscape” specifications How to lead a constructive participatory approach to landscaping Contribution of the landscape designer’s tools in representing and communicating the project 1 - Reference texts 2 - DGR circular of 7 January 2008 Bibliography Abbreviations Glossary
  413. Edition (Ceremadoc) La filière "déchets" - Analyse du transport fluvial de déchets sur l’axe Rhône-Saône : Rapport

    Les faibles distances moyennes parcourues par les déchets et la proximité des lieux de traitement avec les lieux de production font du transport routier le mode prédominant dans le transport des déchets. Néanmoins, il convient de noter que certains déchets sont désormais transportés sur des distances plus importantes du fait d’une législation de plus en plus contraignante. Cette étude du « transport fluvial de déchets sur l’axe Rhône-Saône », réalisée en 2006 par le CETE(*) de Lyon, analyse le fonctionnement de la filière déchets de façon globale, puis sur le bassin Rhône-Saône, dans l’objectif de mieux comprendre le rôle et les caractéristiques du mode fluvial par rapport aux autres modes pour ce type de transport. Le document d’étude identifie des potentialités de report sur le mode fluvial pour le transport de déchets sur l’ensemble du bassin Rhône-Saône.
  414. Edition (Ceremadoc) Impact acoustique des aménagements de voirie en urbain : Transformation d'un carrefour à feux en carrefour giratoire dénivelé

    L'objet de cette collection de fiches est une présentation de la problématique des nuisances sonores routières pouvant être amplifiées ou atténuées par un aménagement de voirie. Ces fiches se destinent plus particulièrement au milieu urbain. La fiche générale s'intéresse aux facteurs influençant l'émission sonore et donne quelques conclusions sur les aménagements de voirie testés. Elle se destine plus particulièrement aux maîtres d'ouvrage. Elle est associée à plusieurs fiches techniques proposant des cas concrets d'aménagements ayant fait l'objet de mesures acoustiques, tels que : Des transformations de carrefour à feux en carrefour giratoire, Des traversées de communes ou d'agglomérations, Des zones 30, Des aménagements ponctuels tels que dos d'âne, coussin, plateau surélevé...
  415. Edition (Ceremadoc) Guide passes à poissons

    Ce guide constitue un outil d’aide à la décision pour orienter les Maîtres d’Ouvrage dans le montage de leurs programmes et leur permettre de juger de la bonne exécution des différentes étapes du projet. A cet effet, il répertorie les principaux points à traiter pour concevoir un dispositif efficace et conforme aux attentes exprimées dans le programme de l’opération. Au travers des 3 parties qui le composent, ce guide: précise en premier lieu comment aborder, placer et « traiter » de la continuité écologique dans le canevas de la « procédure projets » classiquement suivie par les responsables techniques, passe ensuite en revue les différents types d’ouvrages de franchissement piscicole, puis expose les phases de réalisation d’un projet ainsi que leur contenu, aborde enfin les aspects maintenance contrôle et efficacité des passes à poissons. Pour ce dernier point, le guide fixe des préconisations ambitieuses qui pourront justifier, au cas par cas, en fonction des moyens financiers et humains, une mise en place progressive. Avant – proposI. Recommandations pour l’établissement d’un programme 1 CADRAGE DU PROGRAMME a) Quelques repères sur la migration des poissons b) Ouvrages obstacle à la migration des poissons 2 LE PROGRAMME a) Les besoins du programme b) Les contraintes du programme c) Les exigences du programme 3 LA CONCERTATION 4 LES ETUDES SPECIFIQUES a) Contraintes fonctionnelles b) Contraintes structurelles II. « Catalogue » des passes à poissons et Phases de conception 1 PRINCIPES DES PASSES A POISSONS 2 CATALOGUE « PASSES A POISSONS » a) Passes à bassins et prébarrages b) Passes à ralentisseurs c) Passes « naturelles » d) Ascenseurs et écluses e) Passes à anguilles 3 PRINCIPES D’IMPLANTATION DES PASSES A POISSONS a) Principes et critères de base b) Configuration de l’obstacle c) Conditions hydrodynamiques 4 CONTENU DES ETUDES SPECIFIQUES a) Etudes préliminaires b) Etudes d’Avant Projet (AVP) c) Etudes de Projet (PRO) d) Après les études de Projet PRO III. Exploitation, maintenance et contrôle des passes à poissons 1 MAINTENANCE PREVENTIVE a) La maintenance préventive, pourquoi ? b) Précautions lors de la conception c) Maintenance de l‘ouvrage 2 CONTROLE DU FONCTIONNEMENT a) Efficacité - Fonctionnalité b) Suivi piscicole Annexes 1 Aménagement hydro-électrique et passes à poissons 2 Coûts et financement des passes à poissons 3 Canevas du programme (cas de reconstitution du barrage) 4 Cadre réglementaire Pour en savoir plus Glossaire Liste des figures et des photographies
  416. Edition (Ceremadoc) Outils d’assistance à l’évaluation environnementale des plans et programmes : Île de la Réunion

    L'objectif de ce cédérom est de guider l'analyse du territoire et d'aider à une meilleure prise en compte de l'environnement dans les plans et programmes. L'entrée retenue est celles des grands thèmes environnementaux. Pour chaque thème, il permet de : mieux connaître les caractéristiques de l'île de la Réunion, par la définition de ses enjeux fondamentaux ; mieux apprécier les implications des plans ou programmes au travers des acteurs et des domaines d'actions concernés ; définir des indicateurs de suivi pouvant être mis en place pour évaluer l'évolution de l'état environnemental du territoire et les incidences des plans ou programmes. Ce cédérom, à destination des agents des collectivités territoriales et des professionnels de l'urbanisme et de l'environnement, permet ainsi de :- réaliser un diagnostic le plus exhaustif possible;- concevoir un projet d'aménagement durable dès le démarrage.
  417. Edition (Ceremadoc) L'assainissement pluvial intégré dans l'aménagement : Éléments clés pour le recours aux techniques alternatives - Édition 2008

    Quelle pollution une tranchée retient-elle ? Une noue peut-elle se colmater ? Comment entretenir un bassin en eau ? La présence d'eau dans la plate-forme routière est-elle compatible avec sa pérennité ? Qui assure la gestion et l'entretien des techniques alternatives ? En cas de dysfonctionnement, qui est responsable ? Autant de questions qui se posent à propos des techniques alternatives et auxquelles cet ouvrage apporte des réponses. Après avoir décrit comment, dans deux opérations d'aménagement réelles, les problèmes d'assainissement pluvial ont été résolus en mettant en œuvre une combinaison de techniques alternatives et en adoptant une approche intégrée, les auteurs exposent, sous forme de fiches, les aspects techniques et le contexte juridique. Il s'adresse à tous les acteurs de l'aménagement susceptibles de mettre en œuvre ou de gérer des techniques alternatives aux réseaux d'assainissement pluvial.
  418. Edition (Ceremadoc) Valorisation des territoires à l'occasion d'un projet routier - L'exemple du 1% Paysage et Développement : Note d'Information - Économie Environnement Conception - Série(EEC)

    A partir d’exemples concrets, cette note d’information présente des actions ou des démarches locales mises en oeuvre sous l’impulsion de la politique "1 % Paysage et Développement" ayant eu un impact favorable sur les paysages et le développement des communes traversées, et générant par la suite d’autres dynamiques de projets. Avant-propos La politique nationale du 1 % Paysage et Développement Exemples d'actions et de dynamiques créés par la politique du 1 % Paysage et Développement Faire participer l'autoroute A75 à la revalorisation du site de Saint-Flour Impulsion pour la rénovation des remparts de La Cavalerie le long de l'A75 Favoriser l'émergence de projets tout au long de l'itinéraire : actions ponctuelles devalorisation sur les tronçons concédés de l'A28 et A85 Conclusion Bibliographie
  419. Edition (Ceremadoc) Routes et chiroptères : Rapport

    La France métropolitaine compte 33 espèces de chiroptères, communément appelés chauves-souris, toutes protégées au titre de la loi. Elles bénéficient également d’un statut de protection international (Conventions de Bonn, de Berne, accord Eurobats, espèces d’intérêt communautaire). En 2007, un plan national de restauration des chiroptères a été lancé pour la période 2008-2012. Parmi les actions de ce plan, le Sétra a été chargé de conduire : ● l’élaboration et la mise en œuvre d’une méthodologie pour la prise en compte des chiroptères lors de la construction et de l’entretien d’infrastructures et d’ouvrages d’art ; ● l’évaluation de l’efficacité de systèmes de réduction d’impact des infrastructures de transport. Dans ce cadre, un guide technique proposera, à terme, des recommandations techniques aux concepteurs d’infrastructures de transport, sur la base d’une étude bibliographique, de suivis de sites de collision et d’aménagements pour les chiroptères. Ce rapport présente la première phase d’élaboration de ce futur guide : un bilan des connaissances nationales et internationales sur le thème des chiroptères et des infrastructures linéaires.
  420. Study report (Ceremadoc) Sentier littoral. La Vesse - tunnel des Aragnols. Commune du Rove. Etude d'aléa chute de blocs

    Cette étude fait suite à une demande de la Direction Départementale des Bouches-du-Rhône (13), Arrondissement Maritime - Subdivision Littoral Elle a pour objectif d’évaluer le risque de chutes de blocs concernant une portion du sentier littoral entre La Vesse et le tunnel des Aragnols, de proposer des modifications possibles du tracé et de décrire les principes de solutions éventuelles à mettre en œuvre pour sécuriser la zone. Cette zone d'étude concerne environ 2 km du sentier littoral.
  421. Edition (Ceremadoc) Méthode de hiérarchisation de la vulnérabilité de la ressource en eau : Note d'Information - Économie Environnement Conception 80 - Série (EEC)

    La protection de la ressource en eau exige des mesures et ouvrages appropriés aux enjeux. Pour atteindre cet objectif, il est nécessaire de qualifier et de hiérarchiser la vulnérabilité des milieux aquatiques et superficiels.L'objet de la présente note est de faire connaître une méthode de hiérachisation de la vulnérabilité de la ressource en eau, notamment vis-à-vis des risques de pollution accidentelle, déjà utilisée dans le milieu routier.Elle s'applique aux infrastructures existantes et aux nouveaux projets.La méthode présentée permet au maître d'ouvrage :- dans le cas des infrastructures existantes : de définir des priorités d'actions en vue de protéger la ressource en eau ;- dans le cas des nouveaux projets : de localiser les zones à forts enjeux vis-à-vis de la ressource en eau, et de privilégier ainsi une stratégie d'évitement des zones les plus vulnérables ;- d'élaborer une stratégie concernant la nature des protections à mettre en oeuvre ;- d'avoir la connaissance des milieux traversés par son infrastructure. Contexte Méthodologie Conclusion Exemple de cartographie Bibliographie Liste d'abréviations
  422. Edition (Ceremadoc) Natura 2000 - Principes d'évaluation des incidences des infrastructures de transports terrestres : Note d'Information - Économie Environnement Conception - Série(EEC)

    La démarche Natura 2000 vise la protection et la constitution d'un réseau de sites naturels reconnus pour abriter des habitats naturels ou des espèces remarquables nécessaires au maintien de la biodiversité en Europe.Cette note d'information se base sur la circulaire interministérielle du 5 octobre 2004, prise pour l'application des articles du Code de l'environnement relatif à l'évaluation des incidences des programmes et projets de travaux, d'ouvrages ou d'aménagements susceptibles d'affecter de façon notable les sites Natura 2000.Afin de clarifier les procédures, cette note présente également la démarche à suivre pour des projets affectant des espèces protégées au titre de l'Annexe IV de la directive Habitats ou concernés par la directive Oiseaux hors zones Natura 2000 (Article R. 411-1 du Code de l'environnement) . La phase étude Le contenu du dossier d’évaluation des incidences Exemples de mesures de suppression ou de réduction Exemples de mesures compensatoires (au sens de Natura 2000) Partenariat et concertation Cas des espèces protégées Lexique . Glossaire Bibliographie
  423. Edition (Ceremadoc) Chantiers routiers et préservation du milieu aquatique : Management environnemental et solutions techniques - Guide technique

    Ce guide est destiné aux prescripteurs, constructeurs et services instructeurs. Il rassemble les éléments techniques permettant de prendre en compte les dispositions contenues dans la loi sur l'eau de janvier 1992, intégrées depuis 2001 dans le code de l'environnement (Livre II, Titre 1er), lors de la réalisation de chantiers routiers vis à vis : des pollutions des cours d'eau et des nappes souterraines ; des modifications des écoulements superficiels ou souterrains ; des variations du niveau des nappes phréatiques. Ce guide : présente les risques possibles des chantiers routiers sur les ressources en eaux ; rappelle le cadre réglementaire et législatif en vigueur en novembre 2006 et les démarches à entreprendre en conséquence ; émet des préconisations techniques pour la prise en compte de la protection des eaux dès les études d'un projet et durant les diverses phases de préparation et de réalisation des travaux. comprend des fiches de cas, un bêtisier, des références bibliographiques et un glossaire. Ce document a été établi dans l'optique d'une application aux infrastructures routières. Les principes généraux qui y sont présentés peuvent néanmoins être valables pour les autres infrastructures linéaires.
  424. Edition (Ceremadoc) Biodiversité et infrastructures de transports terrestres : Note d'Information - Économie Environnement Conception - Série(EEC)

    Après un rappel de la notion de biodiversité, cette note d'information a pour objectif d'apporter, aux maîtres d'ouvrage et maîtres d'oeuvre de projet d'infrastructures de transports terrestres, des éléments pour qu'ils intègrent la protection de la biodiversité à chaque étape de l'élaboration de leurs projets. Qu'est ce que la biodiversité ? Impacts des infrastructures et plan d'action biodiversité Principes de prise en compte de la biodiversité dans les projets Conclusion Bibliographie
  425. Edition (Ceremadoc) Facilities and measures for small fauna : Technical guide

    “Facilities and measures for small fauna” is both a technical guide and a methodological document drafted jointly by departments of the French public works and the French ecology and sustainable development ministries. It provides the most comprehensive summary of knowledge and experience on both national and European levels. Its purpose is to offer a maximum quantity of methodological recommendations and technical information essential to proper consideration of small fauna in new projects or existing infrastructure developments. This work is especially intended for project owners in French public works and French ecology and sustainable development ministry departments, for local authorities, motorway concessionary operators and design consultancies. For the reader’s attention Intended readership and usage Introduction Key points Chapter 1 : A need for fauna facilities ans measures A statement of fact: threatened biodiversity and irreversible risks An increase in species extinction rate Endangered habitats Conservation imperatives Legal arguments and instruments Chapter 2 : Approach to study performance Study of habitats and territories: landscape ecology Species and population study Chapter 3 : Impacts Construction-related effects Structure-related effects Operation-related impacts Negative effects of land reallocation and ancillary works Positive effects of creating new environments Chapter 4 : Facilities and measures for small fauna Road crossing installations Fences and obstructions (low walls, barriers, angles) Other measures in favour of small fauna Chapter 5 : Facility and green dependancy management Facility management Eco-managing green dependencies Technical datasheets Datasheet n°1 : Status of fauna in metropolitan France Datasheet n°2 : Natural area conservation measures and aids Datasheet n°3 : Micromammal trapping Datasheet n°4 : Photographic trapping and video surveillance Datasheet n°5 : Impact of road infrastructure artificial lighting on fauna Datasheet n°6 : Biological corridors Datasheet n°7 : Amphibian substitution pond features Datasheet n°8 : Piscicultural facilities (crossing systems) Datasheet n°9 : Major structure design and management recommendations Datasheet n°10 : Passage developments Species datasheets Datasheet A : Hedgehog (Erinaceus europaeus) Datasheet B : Hermann’s or Maures tortoise (Testudo hermanni) Datasheet C : Chiroptera . Datasheet D : Otter (Lutra lutra) Datasheet E : Badger (Meles meles) Datasheet F : European mink (Mustela lutreola) Datasheet G : Beaver (Castor fiber) Bibliography Glossary
  426. Edition (Ceremadoc) Guide méthodologique pour le pilotage des études hydrauliques

    Ce guide a été commandé au Direction technique Eau, mer et fleuves par la DGUHC en 2000 pour répondre aux besoins des services déconcentrés de l’Etat se trouvant souvent dans la position de commander, d’aider à définir, de réceptionner ou de juger des études hydrauliques, notamment sur modèles numériques. De nombreux contributeurs ont participé à la réalisation du document : dans les groupes de travail dont l’objectif était de rassembler la matière utile à la rédaction du guide, ou à travers la rédaction de l’ouvrage et de ses annexes. Le guide vise à apporter une contribution et une aide aux agents en charge de commander, piloter et évaluer une étude hydraulique, en complément des formations techniques spécialisées et de l’expérience acquise sur le terrain. Il est structuré autour des trois étapes d’une étude hydraulique : préparation de l’étude, rédaction du cahier des charges et suivi de l’étude. Sept annexes techniques fournissent des éléments : sur les objectifs d’une étude hydraulique, les données hydrauliques, les données hydrologiques, le choix de l’outil de modélisation hydraulique, les données bathymétriques et topographiques, le suivi de l’étude et la cartographie des résultats. 0. Préambule 1. Préparation de l’étude 1.1. Les objectifs 1.1.1. Décrire la problématique et ses aspects connexes 1.1.2. Analyse fonctionnelle et configurations de projet 1.1.3. Objectifs de la maîtrise d’ouvrage 1.1.4. Fixer des indicateurs d’évaluation de l’étude en vue de choisir et valider un objectif 1.2. Inventaire critique des données disponibles 1.2.1. Collecte des données : bibliographie, archives 1.2.2. Évaluation des données hydrologiques et hydrauliques 1.2.2.1 Données hydrologiques 1.2.2.2 Données hydrauliques 1.2.3. Évaluation des données topographiques 1.2.3.1 Données utiles aux calculs hydrauliques 1.2.3.2 Données cartographiques 1.3. Expertise préalable à la rédaction du cahier des charges 1.3.1. Analyse qualitative 1.3.1.1 Topologie hydraulique : hydrographie, orographie et géomorphologie 1.3.1.2 Analyse quantitative des paramètres hydrauliques 1.3.1.3 Complexité de l’étude 1.3.2. Adéquation données / outils / complexité 1.3.2.1 Variables à étudier 1.3.2.2 Phénomènes à représenter 2. Rédaction du cahier des charges et jugement des offres 2.1. Rédaction du cahier des charges 2.1.1. Le préambule 2.1.2. Contexte et hypothèses de travail 2.1.3. Objectifs 2.1.3.1 Cas d’une étude de risque 2.1.3.2 Cas d’une étude d’aménagement 2.1.4. Les Moyens, la démarche 2.1.4.1 La collecte de données 2.1.4.2 Enquête de terrain 2.1.4.3 L’étude hydrologique 2.1.4.4 Données topographiques 2.1.4.5 Modélisation numérique 2.1.4.6 Hydrogéomorphologie 2.1.5. Rapports et communication 2.1.5.1 Les rendus écrits 2.1.5.2 Les rendus oraux 2.1.5.3 Les rendus informatiques 2.2. Jugement des offres 2.2.1. La démarche 2.2.1.1 La note technique 2.2.1.2 Les compétences techniques et les références du bureau d’étude 2.2.1.3 Les capacités du bureau d’études et de ses techniciens 2.2.2. Le prix de la prestation 3. Suivi de l’étude et gestion de ses produits 3.1. Déroulement général d’une étude 3.1.1. Réunion de lancement de l’étude 3.1.2. Collecte et analyse des données 3.1.3. Construction, calage et validation de l’outil d’analyse 3.1.4. Fonctionnement actuel du secteur d’étude 3.1.5. Conception de l’état projeté 3.1.6. Livraison du résultat final 3.2. Les critères de validation de l’étude 3.2.1. Comptes-rendus des observations de terrain 3.2.2. Synthèse bibliographique 3.2.3. Fonctionnement hydrologique 3.2.4. Choix de l’outil d’analyse 3.2.5. Pertinence du calage de l’outil d’analyse 3.2.6. Cohérence des résultats 3.2.7. Vérification des hypothèses de calculs 3.3. Sensibilité des calculs et gestion des incertitudes 3.3.1. De l’incertitude en hydraulique 3.3.2. Les sources de l’incertitude 3.3.2.1 - Les incertitudes liées aux mesures de données 3.3.2.2 - Les incertitudes liées à la représentativité de l’information 3.3.2.3 - Les incertitudes liées aux données reconstituées 3.3.2.4 - Les incertitudes liées aux hypothèses de modélisation 3.3.2.5 - Incertitudes spécifiques liées au régime transitoire 3.3.2.6 - L’évolutivité des données significatives 3.3.3. Description des tests de sensibilité 3.3.3.1 - Etape n°1a : les tests de sensibilité portant sur les valeurs imposées 3.3.3.2 - Etape n°1b : les tests de sensibilité portant sur les paramètres de calage 3.3.3.3 - Etape n°2 : analyser le faisceau des lignes d’eau 3.3.4. Spécifier les tests de sensibilité 3.4. Archivage, propriété et droits d’usages des produits de l’étude 3.4.1. Archivage des produits de l’étude 3.4.1.1. Le rapport 3.4.1.2. Les fichiers de calcul 3.4.2. Propriété et droits d’usage des données produites à l’occasion de l’étude 3.4.2.1 Définition des données publiques 3.4.2.2 Protection des données publiques 3.4.3. Propriété et droits d’usage des oeuvres produites 3.4.3.1 Définition des oeuvres 3.4.3.2 Protection juridique des oeuvres 3.4.3.3 Des bonnes manières en matière d’oeuvres 3.4.3.4 Cahier des Clauses Administratives Générales - prestations intellectuelles (C.C.A.G. - P.I.) 3.4.4. Cas particulier des logiciels de modélisation numérique Annexes Annexe 1 - Formuler les objectifs de l’étude Annexe 2 - Analyse du fonctionnement hydraulique du secteur d’étude Annexe 3 - Données hydrologiques Annexe 4 - Choix de la modélisation Annexe 5 - Bathymétrie et topographie Annexe 6 - Suivi de la réalisation de l’étude hydraulique Annexe 7 - Rendu cartographique Références documentaires Lexique du guide pilotage d’une étude hydraulique
  427. Edition (Ceremadoc) Faune et trafic - Manuel européen d’identification des conflits et de conception de solutions

    Ce manuel avait été élaboré sur la base de la connaissance accumulée par une large gamme d’experts des pays participants à l’action de coopération européenne sur la fragmentation de l’habitat causée par les infrastructures de transport (COST 341 Action) et par de nombreux échanges internationaux. Son objectif principal est d’aider les planificateurs et les concepteurs à réduire les effets barrière et fragmentation des infrastructures de transports telles les routes, les voies ferrées et les voies navigables. Ce document donne des conseils pratiques aux intervenants impliqués dans les phases de planification, de construction et d’entretien. Il guide le lecteur chapitre après chapitre à travers ces différentes phases : les premières étapes de planification stratégique, l’intégration des routes dans le paysage, l’utilisation de mesures de réduction comme les passages à faune supérieur ou inférieur, les mesures compensatoires, et enfin les modalités de surveillance et d’évaluation des solutions choisies.
  428. Edition (Ceremadoc) Prise en compte de l'environnement dans les documents d'urbanisme. Série de fiches : Fiches 1 à 7

    Les fiches de cas sur la prise en compte de l'environnement dans les documents d'urbanisme ont pour objectif de présenter, sous l'angle environnement, différentes expériences de cartes communales, plans locaux d'urbanisme, schémas de cohérence territoriale, directives territoriales. Le principe retenu est de partir de documents de planification suffisamment avancés, pour que puisse être mis en exergue le travail réalisé en matière d'analyse de l'état initial de l'environnement et d'évaluation environnementale des choix retenus. Ces fiches à caractère pédagogique illustrent à partir d'exemples sélectionnés les nouvelles exigences législatives et réglementaires, les méthodes et démarches mises en place, l'organisation des maîtrise d'ouvrage et maîtrise d'œuvre, le jeu des acteurs locaux, les principaux thèmes abordés en fonction du contexte et des enjeux et locaux. Fiche n°1 Gérer les espaces naturels et agricoles... l'exemple du SCoT Métropole Savoie. Dans un contexte de croissance urbaine forte, la gestion des espaces naturels et agricoles s'est imposée dans l'élaboration du Schéma de Cohérence Territoriale (SCoT) de Métropole Savoie. Fiche n° 2 Inverser le regard... l'exemple du SCoT de l'agglomération de Montpellier. Le Schéma de Cohérence Territoriale (SCoT) de l'agglomération de Montpellier a l'ambition de préserver le « capital nature » de son territoire en mutation. Une démarche originale bouleversant le rapport ville/nature est alors mise en place : « inverser le regard ». Fiche n°3 Une étude paysagère pour la mise en application de la loi littoral... l'exemple du PLU de la commune de Granville. Les enseignements d'une étude paysagère sur les choix de développement d'une commune touristique littorale du pays de la Baie du Mont Saint-Michel. Fiche n° 4 Comment prendre en compte et traduire dans un PLU les risques d'inondations? L'expérience de la communauté de commune du Pays Granvillais. Fiche n° 5 Le Pays de Montbéliard, en quête d'attractivité à décidé d'utiliser son potentiel naturel afin de réaliser un projet structurant dans le SCoT... une infrastructure verte et bleue. Les différentes pièces du SCoT et plusieurs études sont téléchargeables sur le site de l'Agence de développement et d'urbanisme du Pays de Montbéliard (ADU). Fiche n° 6 À l'occasion de la révision de son PLU, la commune de Bonne entreprend de limiter la périurbanisation et la banalisation de ses paysages. Afin de maîtriser les zones ouvertes à l'urbanisation, l'approche de la commune et de son maître d'œuvre est double : paysagère environnementale notamment sur les fonctionnalités écologiques du territoire. Ici, le diagnostic environnemental et paysager dépasse le cadre des classiques inventaires (zones de protection, biodiversité,...). Ainsi, il prend en compte l'écologie du paysage en mettant en évidence son fonctionnement au niveau du territoire communal. Enfin, un règlement du PLU adapté à l'ambition de pérenniser durablement la richesse des milieux constituant le réseau écologique du territoire. Fiche n° 7 Mesures de protection environnementales, l'exemple du PLU de Saint-Romain-le-Puy (42). Saint-Romain-le-Puy (42) est une commune située au cœur de la plaine du Forez, un territoire riche en biodiversité. Face à des enjeux environnementaux importants : - Protéger les espaces naturels et agricoles de la pression foncière. - Concilier agriculture et environnement, la commune a intégré des mesures de protection environnementales (ou mesures conservatoires) dans son PLU
  429. Edition (Ceremadoc) Prise en compte de l'environnement dans les documents d'urbanisme. Série de fiches : Fiche n°03 - Une étude paysagère pour la mise en application de la loi littoral... l'exemple du PLU de la commune de Granville

    Les fiches de cas sur la prise en compte de l'environnement dans les documents d'urbanisme ont pour objectif de présenter, sous l'angle environnement, différentes expériences de cartes communales, plans locaux d'urbanisme, schémas de cohérence territoriale, directives territoriales. Le principe retenu est de partir de documents de planification suffisamment avancés, pour que puisse être mis en exergue le travail réalisé en matière d'analyse de l'état initial de l'environnement et d'évaluation environnementale des choix retenus. Ces fiches à caractère pédagogique illustrent à partir d'exemples sélectionnés les nouvelles exigences législatives et réglementaires, les méthodes et démarches mises en place, l'organisation des maîtrise d'ouvrage et maîtrise d'œuvre, le jeu des acteurs locaux, les principaux thèmes abordés en fonction du contexte et des enjeux et locaux. Fiche n°1 Gérer les espaces naturels et agricoles... l'exemple du SCoT Métropole Savoie. Dans un contexte de croissance urbaine forte, la gestion des espaces naturels et agricoles s'est imposée dans l'élaboration du Schéma de Cohérence Territoriale (SCoT) de Métropole Savoie. Fiche n° 2 Inverser le regard... l'exemple du SCoT de l'agglomération de Montpellier. Le Schéma de Cohérence Territoriale (SCoT) de l'agglomération de Montpellier a l'ambition de préserver le « capital nature » de son territoire en mutation. Une démarche originale bouleversant le rapport ville/nature est alors mise en place : « inverser le regard ». Fiche n°3 Une étude paysagère pour la mise en application de la loi littoral... l'exemple du PLU de la commune de Granville. Les enseignements d'une étude paysagère sur les choix de développement d'une commune touristique littorale du pays de la Baie du Mont Saint-Michel. Fiche n° 4 Comment prendre en compte et traduire dans un PLU les risques d'inondations? L'expérience de la communauté de commune du Pays Granvillais. Fiche n° 5 Le Pays de Montbéliard, en quête d'attractivité à décidé d'utiliser son potentiel naturel afin de réaliser un projet structurant dans le SCoT... une infrastructure verte et bleue. Les différentes pièces du SCoT et plusieurs études sont téléchargeables sur le site de l'Agence de développement et d'urbanisme du Pays de Montbéliard (ADU). Fiche n° 6 À l'occasion de la révision de son PLU, la commune de Bonne entreprend de limiter la périurbanisation et la banalisation de ses paysages. Afin de maîtriser les zones ouvertes à l'urbanisation, l'approche de la commune et de son maître d'œuvre est double : paysagère environnementale notamment sur les fonctionnalités écologiques du territoire. Ici, le diagnostic environnemental et paysager dépasse le cadre des classiques inventaires (zones de protection, biodiversité,...). Ainsi, il prend en compte l'écologie du paysage en mettant en évidence son fonctionnement au niveau du territoire communal. Enfin, un règlement du PLU adapté à l'ambition de pérenniser durablement la richesse des milieux constituant le réseau écologique du territoire. Fiche n° 7 Mesures de protection environnementales, l'exemple du PLU de Saint-Romain-le-Puy (42). Saint-Romain-le-Puy (42) est une commune située au cœur de la plaine du Forez, un territoire riche en biodiversité. Face à des enjeux environnementaux importants : - Protéger les espaces naturels et agricoles de la pression foncière. - Concilier agriculture et environnement, la commune a intégré des mesures de protection environnementales (ou mesures conservatoires) dans son PLU
  430. Edition (Ceremadoc) Prise en compte de l'environnement dans les documents d'urbanisme. Série de fiches : Fiche n°02 - Inverser le regard... l'exemple du SCOT de l'agglomération de Montpellier

    Les fiches de cas sur la prise en compte de l'environnement dans les documents d'urbanisme ont pour objectif de présenter, sous l'angle environnement, différentes expériences de cartes communales, plans locaux d'urbanisme, schémas de cohérence territoriale, directives territoriales. Le principe retenu est de partir de documents de planification suffisamment avancés, pour que puisse être mis en exergue le travail réalisé en matière d'analyse de l'état initial de l'environnement et d'évaluation environnementale des choix retenus. Ces fiches à caractère pédagogique illustrent à partir d'exemples sélectionnés les nouvelles exigences législatives et réglementaires, les méthodes et démarches mises en place, l'organisation des maîtrise d'ouvrage et maîtrise d'œuvre, le jeu des acteurs locaux, les principaux thèmes abordés en fonction du contexte et des enjeux et locaux. Fiche n°1 Gérer les espaces naturels et agricoles... l'exemple du SCoT Métropole Savoie. Dans un contexte de croissance urbaine forte, la gestion des espaces naturels et agricoles s'est imposée dans l'élaboration du Schéma de Cohérence Territoriale (SCoT) de Métropole Savoie. Fiche n° 2 Inverser le regard... l'exemple du SCoT de l'agglomération de Montpellier. Le Schéma de Cohérence Territoriale (SCoT) de l'agglomération de Montpellier a l'ambition de préserver le « capital nature » de son territoire en mutation. Une démarche originale bouleversant le rapport ville/nature est alors mise en place : « inverser le regard ». Fiche n°3 Une étude paysagère pour la mise en application de la loi littoral... l'exemple du PLU de la commune de Granville. Les enseignements d'une étude paysagère sur les choix de développement d'une commune touristique littorale du pays de la Baie du Mont Saint-Michel. Fiche n° 4 Comment prendre en compte et traduire dans un PLU les risques d'inondations? L'expérience de la communauté de commune du Pays Granvillais. Fiche n° 5 Le Pays de Montbéliard, en quête d'attractivité à décidé d'utiliser son potentiel naturel afin de réaliser un projet structurant dans le SCoT... une infrastructure verte et bleue. Les différentes pièces du SCoT et plusieurs études sont téléchargeables sur le site de l'Agence de développement et d'urbanisme du Pays de Montbéliard (ADU). Fiche n° 6 À l'occasion de la révision de son PLU, la commune de Bonne entreprend de limiter la périurbanisation et la banalisation de ses paysages. Afin de maîtriser les zones ouvertes à l'urbanisation, l'approche de la commune et de son maître d'œuvre est double : paysagère environnementale notamment sur les fonctionnalités écologiques du territoire. Ici, le diagnostic environnemental et paysager dépasse le cadre des classiques inventaires (zones de protection, biodiversité,...). Ainsi, il prend en compte l'écologie du paysage en mettant en évidence son fonctionnement au niveau du territoire communal. Enfin, un règlement du PLU adapté à l'ambition de pérenniser durablement la richesse des milieux constituant le réseau écologique du territoire. Fiche n° 7 Mesures de protection environnementales, l'exemple du PLU de Saint-Romain-le-Puy (42). Saint-Romain-le-Puy (42) est une commune située au cœur de la plaine du Forez, un territoire riche en biodiversité. Face à des enjeux environnementaux importants : - Protéger les espaces naturels et agricoles de la pression foncière. - Concilier agriculture et environnement, la commune a intégré des mesures de protection environnementales (ou mesures conservatoires) dans son PLU
  431. Edition (Ceremadoc) L'ingénierie d'appui territorial au service du développement durable. Manuel de recommandations pour la prise en compte du développement durable dans la gestion du cycle de l’eau : Fascicule 2 : aménagement de bassin versant

    Destiné aux maîtres d’ouvrages et aux services déconcentrés qui les assistent est un manuel de recommandations visant à faciliter cette mise en œuvre, à travers un questionnement fondé sur la prise en compte des principes et des enjeux qui résultent des référentiels techniques, des textes réglementaires, des divers documents de planification et des expériences locales.
  432. Edition (Ceremadoc) Prise en compte de l'environnement dans les documents d'urbanisme. Série de fiches : Fiche n°04 - Evaluation des risques d'inondations et traduction réglementaire dans les PLU - Le Pays Granvillais

    Les fiches de cas sur la prise en compte de l'environnement dans les documents d'urbanisme ont pour objectif de présenter, sous l'angle environnement, différentes expériences de cartes communales, plans locaux d'urbanisme, schémas de cohérence territoriale, directives territoriales. Le principe retenu est de partir de documents de planification suffisamment avancés, pour que puisse être mis en exergue le travail réalisé en matière d'analyse de l'état initial de l'environnement et d'évaluation environnementale des choix retenus. Ces fiches à caractère pédagogique illustrent à partir d'exemples sélectionnés les nouvelles exigences législatives et réglementaires, les méthodes et démarches mises en place, l'organisation des maîtrise d'ouvrage et maîtrise d'œuvre, le jeu des acteurs locaux, les principaux thèmes abordés en fonction du contexte et des enjeux et locaux. Fiche n°1 Gérer les espaces naturels et agricoles... l'exemple du SCoT Métropole Savoie. Dans un contexte de croissance urbaine forte, la gestion des espaces naturels et agricoles s'est imposée dans l'élaboration du Schéma de Cohérence Territoriale (SCoT) de Métropole Savoie. Fiche n° 2 Inverser le regard... l'exemple du SCoT de l'agglomération de Montpellier. Le Schéma de Cohérence Territoriale (SCoT) de l'agglomération de Montpellier a l'ambition de préserver le « capital nature » de son territoire en mutation. Une démarche originale bouleversant le rapport ville/nature est alors mise en place : « inverser le regard ». Fiche n°3 Une étude paysagère pour la mise en application de la loi littoral... l'exemple du PLU de la commune de Granville. Les enseignements d'une étude paysagère sur les choix de développement d'une commune touristique littorale du pays de la Baie du Mont Saint-Michel. Fiche n° 4 Comment prendre en compte et traduire dans un PLU les risques d'inondations? L'expérience de la communauté de commune du Pays Granvillais. Fiche n° 5 Le Pays de Montbéliard, en quête d'attractivité à décidé d'utiliser son potentiel naturel afin de réaliser un projet structurant dans le SCoT... une infrastructure verte et bleue. Les différentes pièces du SCoT et plusieurs études sont téléchargeables sur le site de l'Agence de développement et d'urbanisme du Pays de Montbéliard (ADU). Fiche n° 6 À l'occasion de la révision de son PLU, la commune de Bonne entreprend de limiter la périurbanisation et la banalisation de ses paysages. Afin de maîtriser les zones ouvertes à l'urbanisation, l'approche de la commune et de son maître d'œuvre est double : paysagère environnementale notamment sur les fonctionnalités écologiques du territoire. Ici, le diagnostic environnemental et paysager dépasse le cadre des classiques inventaires (zones de protection, biodiversité,...). Ainsi, il prend en compte l'écologie du paysage en mettant en évidence son fonctionnement au niveau du territoire communal. Enfin, un règlement du PLU adapté à l'ambition de pérenniser durablement la richesse des milieux constituant le réseau écologique du territoire. Fiche n° 7 Mesures de protection environnementales, l'exemple du PLU de Saint-Romain-le-Puy (42). Saint-Romain-le-Puy (42) est une commune située au cœur de la plaine du Forez, un territoire riche en biodiversité. Face à des enjeux environnementaux importants : - Protéger les espaces naturels et agricoles de la pression foncière. - Concilier agriculture et environnement, la commune a intégré des mesures de protection environnementales (ou mesures conservatoires) dans son PLU
  433. Edition (Ceremadoc) Prise en compte de l'environnement dans les documents d'urbanisme. Série de fiches : Fiche n°06 - Préserver le réseau écologique L'exemple du PLU de Bonne en Haute-Savoie

    Les fiches de cas sur la prise en compte de l'environnement dans les documents d'urbanisme ont pour objectif de présenter, sous l'angle environnement, différentes expériences de cartes communales, plans locaux d'urbanisme, schémas de cohérence territoriale, directives territoriales. Le principe retenu est de partir de documents de planification suffisamment avancés, pour que puisse être mis en exergue le travail réalisé en matière d'analyse de l'état initial de l'environnement et d'évaluation environnementale des choix retenus. Ces fiches à caractère pédagogique illustrent à partir d'exemples sélectionnés les nouvelles exigences législatives et réglementaires, les méthodes et démarches mises en place, l'organisation des maîtrise d'ouvrage et maîtrise d'œuvre, le jeu des acteurs locaux, les principaux thèmes abordés en fonction du contexte et des enjeux et locaux. Fiche n°1 Gérer les espaces naturels et agricoles... l'exemple du SCoT Métropole Savoie. Dans un contexte de croissance urbaine forte, la gestion des espaces naturels et agricoles s'est imposée dans l'élaboration du Schéma de Cohérence Territoriale (SCoT) de Métropole Savoie. Fiche n° 2 Inverser le regard... l'exemple du SCoT de l'agglomération de Montpellier. Le Schéma de Cohérence Territoriale (SCoT) de l'agglomération de Montpellier a l'ambition de préserver le « capital nature » de son territoire en mutation. Une démarche originale bouleversant le rapport ville/nature est alors mise en place : « inverser le regard ». Fiche n°3 Une étude paysagère pour la mise en application de la loi littoral... l'exemple du PLU de la commune de Granville. Les enseignements d'une étude paysagère sur les choix de développement d'une commune touristique littorale du pays de la Baie du Mont Saint-Michel. Fiche n° 4 Comment prendre en compte et traduire dans un PLU les risques d'inondations? L'expérience de la communauté de commune du Pays Granvillais. Fiche n° 5 Le Pays de Montbéliard, en quête d'attractivité à décidé d'utiliser son potentiel naturel afin de réaliser un projet structurant dans le SCoT... une infrastructure verte et bleue. Les différentes pièces du SCoT et plusieurs études sont téléchargeables sur le site de l'Agence de développement et d'urbanisme du Pays de Montbéliard (ADU). Fiche n° 6 À l'occasion de la révision de son PLU, la commune de Bonne entreprend de limiter la périurbanisation et la banalisation de ses paysages. Afin de maîtriser les zones ouvertes à l'urbanisation, l'approche de la commune et de son maître d'œuvre est double : paysagère environnementale notamment sur les fonctionnalités écologiques du territoire. Ici, le diagnostic environnemental et paysager dépasse le cadre des classiques inventaires (zones de protection, biodiversité,...). Ainsi, il prend en compte l'écologie du paysage en mettant en évidence son fonctionnement au niveau du territoire communal. Enfin, un règlement du PLU adapté à l'ambition de pérenniser durablement la richesse des milieux constituant le réseau écologique du territoire. Fiche n° 7 Mesures de protection environnementales, l'exemple du PLU de Saint-Romain-le-Puy (42). Saint-Romain-le-Puy (42) est une commune située au cœur de la plaine du Forez, un territoire riche en biodiversité. Face à des enjeux environnementaux importants : - Protéger les espaces naturels et agricoles de la pression foncière. - Concilier agriculture et environnement, la commune a intégré des mesures de protection environnementales (ou mesures conservatoires) dans son PLU
  434. Edition (Ceremadoc) Prise en compte de l'environnement dans les documents d'urbanisme. Série de fiches : Fiche n°01 - Gérer les espaces naturels et agricoles... l'exemple du SCOT Métropole Savoie

    Les fiches de cas sur la prise en compte de l'environnement dans les documents d'urbanisme ont pour objectif de présenter, sous l'angle environnement, différentes expériences de cartes communales, plans locaux d'urbanisme, schémas de cohérence territoriale, directives territoriales. Le principe retenu est de partir de documents de planification suffisamment avancés, pour que puisse être mis en exergue le travail réalisé en matière d'analyse de l'état initial de l'environnement et d'évaluation environnementale des choix retenus. Ces fiches à caractère pédagogique illustrent à partir d'exemples sélectionnés les nouvelles exigences législatives et réglementaires, les méthodes et démarches mises en place, l'organisation des maîtrise d'ouvrage et maîtrise d'œuvre, le jeu des acteurs locaux, les principaux thèmes abordés en fonction du contexte et des enjeux et locaux. Fiche n°1 Gérer les espaces naturels et agricoles... l'exemple du SCoT Métropole Savoie. Dans un contexte de croissance urbaine forte, la gestion des espaces naturels et agricoles s'est imposée dans l'élaboration du Schéma de Cohérence Territoriale (SCoT) de Métropole Savoie. Fiche n° 2 Inverser le regard... l'exemple du SCoT de l'agglomération de Montpellier. Le Schéma de Cohérence Territoriale (SCoT) de l'agglomération de Montpellier a l'ambition de préserver le « capital nature » de son territoire en mutation. Une démarche originale bouleversant le rapport ville/nature est alors mise en place : « inverser le regard ». Fiche n°3 Une étude paysagère pour la mise en application de la loi littoral... l'exemple du PLU de la commune de Granville. Les enseignements d'une étude paysagère sur les choix de développement d'une commune touristique littorale du pays de la Baie du Mont Saint-Michel. Fiche n° 4 Comment prendre en compte et traduire dans un PLU les risques d'inondations? L'expérience de la communauté de commune du Pays Granvillais. Fiche n° 5 Le Pays de Montbéliard, en quête d'attractivité à décidé d'utiliser son potentiel naturel afin de réaliser un projet structurant dans le SCoT... une infrastructure verte et bleue. Les différentes pièces du SCoT et plusieurs études sont téléchargeables sur le site de l'Agence de développement et d'urbanisme du Pays de Montbéliard (ADU). Fiche n° 6 À l'occasion de la révision de son PLU, la commune de Bonne entreprend de limiter la périurbanisation et la banalisation de ses paysages. Afin de maîtriser les zones ouvertes à l'urbanisation, l'approche de la commune et de son maître d'œuvre est double : paysagère environnementale notamment sur les fonctionnalités écologiques du territoire. Ici, le diagnostic environnemental et paysager dépasse le cadre des classiques inventaires (zones de protection, biodiversité,...). Ainsi, il prend en compte l'écologie du paysage en mettant en évidence son fonctionnement au niveau du territoire communal. Enfin, un règlement du PLU adapté à l'ambition de pérenniser durablement la richesse des milieux constituant le réseau écologique du territoire. Fiche n° 7 Mesures de protection environnementales, l'exemple du PLU de Saint-Romain-le-Puy (42). Saint-Romain-le-Puy (42) est une commune située au cœur de la plaine du Forez, un territoire riche en biodiversité. Face à des enjeux environnementaux importants : - Protéger les espaces naturels et agricoles de la pression foncière. - Concilier agriculture et environnement, la commune a intégré des mesures de protection environnementales (ou mesures conservatoires) dans son PLU
  435. Edition (Ceremadoc) Prise en compte de l'environnement dans les documents d'urbanisme. Série de fiches : Fiche n°07 - Mesures de protection environnementales. L'exemple du PLU de Saint Romain le Puy

    Les fiches de cas sur la prise en compte de l'environnement dans les documents d'urbanisme ont pour objectif de présenter, sous l'angle environnement, différentes expériences de cartes communales, plans locaux d'urbanisme, schémas de cohérence territoriale, directives territoriales. Le principe retenu est de partir de documents de planification suffisamment avancés, pour que puisse être mis en exergue le travail réalisé en matière d'analyse de l'état initial de l'environnement et d'évaluation environnementale des choix retenus. Ces fiches à caractère pédagogique illustrent à partir d'exemples sélectionnés les nouvelles exigences législatives et réglementaires, les méthodes et démarches mises en place, l'organisation des maîtrise d'ouvrage et maîtrise d'œuvre, le jeu des acteurs locaux, les principaux thèmes abordés en fonction du contexte et des enjeux et locaux. Fiche n°1 Gérer les espaces naturels et agricoles... l'exemple du SCoT Métropole Savoie. Dans un contexte de croissance urbaine forte, la gestion des espaces naturels et agricoles s'est imposée dans l'élaboration du Schéma de Cohérence Territoriale (SCoT) de Métropole Savoie. Fiche n° 2 Inverser le regard... l'exemple du SCoT de l'agglomération de Montpellier. Le Schéma de Cohérence Territoriale (SCoT) de l'agglomération de Montpellier a l'ambition de préserver le « capital nature » de son territoire en mutation. Une démarche originale bouleversant le rapport ville/nature est alors mise en place : « inverser le regard ». Fiche n°3 Une étude paysagère pour la mise en application de la loi littoral... l'exemple du PLU de la commune de Granville. Les enseignements d'une étude paysagère sur les choix de développement d'une commune touristique littorale du pays de la Baie du Mont Saint-Michel. Fiche n° 4 Comment prendre en compte et traduire dans un PLU les risques d'inondations? L'expérience de la communauté de commune du Pays Granvillais. Fiche n° 5 Le Pays de Montbéliard, en quête d'attractivité à décidé d'utiliser son potentiel naturel afin de réaliser un projet structurant dans le SCoT... une infrastructure verte et bleue. Les différentes pièces du SCoT et plusieurs études sont téléchargeables sur le site de l'Agence de développement et d'urbanisme du Pays de Montbéliard (ADU). Fiche n° 6 À l'occasion de la révision de son PLU, la commune de Bonne entreprend de limiter la périurbanisation et la banalisation de ses paysages. Afin de maîtriser les zones ouvertes à l'urbanisation, l'approche de la commune et de son maître d'œuvre est double : paysagère environnementale notamment sur les fonctionnalités écologiques du territoire. Ici, le diagnostic environnemental et paysager dépasse le cadre des classiques inventaires (zones de protection, biodiversité,...). Ainsi, il prend en compte l'écologie du paysage en mettant en évidence son fonctionnement au niveau du territoire communal. Enfin, un règlement du PLU adapté à l'ambition de pérenniser durablement la richesse des milieux constituant le réseau écologique du territoire. Fiche n° 7 Mesures de protection environnementales, l'exemple du PLU de Saint-Romain-le-Puy (42). Saint-Romain-le-Puy (42) est une commune située au cœur de la plaine du Forez, un territoire riche en biodiversité. Face à des enjeux environnementaux importants : - Protéger les espaces naturels et agricoles de la pression foncière. - Concilier agriculture et environnement, la commune a intégré des mesures de protection environnementales (ou mesures conservatoires) dans son PLU
  436. Edition (Ceremadoc) Prise en compte de l'environnement dans les documents d'urbanisme. Série de fiches : Fiche n°05 - Les infrastructures vertes et bleues intégrées dans un SCoT L'exemple du SCoT du Pays de Montbéliard

    Les fiches de cas sur la prise en compte de l'environnement dans les documents d'urbanisme ont pour objectif de présenter, sous l'angle environnement, différentes expériences de cartes communales, plans locaux d'urbanisme, schémas de cohérence territoriale, directives territoriales. Le principe retenu est de partir de documents de planification suffisamment avancés, pour que puisse être mis en exergue le travail réalisé en matière d'analyse de l'état initial de l'environnement et d'évaluation environnementale des choix retenus. Ces fiches à caractère pédagogique illustrent à partir d'exemples sélectionnés les nouvelles exigences législatives et réglementaires, les méthodes et démarches mises en place, l'organisation des maîtrise d'ouvrage et maîtrise d'œuvre, le jeu des acteurs locaux, les principaux thèmes abordés en fonction du contexte et des enjeux et locaux. Fiche n°1 Gérer les espaces naturels et agricoles... l'exemple du SCoT Métropole Savoie. Dans un contexte de croissance urbaine forte, la gestion des espaces naturels et agricoles s'est imposée dans l'élaboration du Schéma de Cohérence Territoriale (SCoT) de Métropole Savoie. Fiche n° 2 Inverser le regard... l'exemple du SCoT de l'agglomération de Montpellier. Le Schéma de Cohérence Territoriale (SCoT) de l'agglomération de Montpellier a l'ambition de préserver le « capital nature » de son territoire en mutation. Une démarche originale bouleversant le rapport ville/nature est alors mise en place : « inverser le regard ». Fiche n°3 Une étude paysagère pour la mise en application de la loi littoral... l'exemple du PLU de la commune de Granville. Les enseignements d'une étude paysagère sur les choix de développement d'une commune touristique littorale du pays de la Baie du Mont Saint-Michel. Fiche n° 4 Comment prendre en compte et traduire dans un PLU les risques d'inondations? L'expérience de la communauté de commune du Pays Granvillais. Fiche n° 5 Le Pays de Montbéliard, en quête d'attractivité à décidé d'utiliser son potentiel naturel afin de réaliser un projet structurant dans le SCoT... une infrastructure verte et bleue. Les différentes pièces du SCoT et plusieurs études sont téléchargeables sur le site de l'Agence de développement et d'urbanisme du Pays de Montbéliard (ADU). Fiche n° 6 À l'occasion de la révision de son PLU, la commune de Bonne entreprend de limiter la périurbanisation et la banalisation de ses paysages. Afin de maîtriser les zones ouvertes à l'urbanisation, l'approche de la commune et de son maître d'œuvre est double : paysagère environnementale notamment sur les fonctionnalités écologiques du territoire. Ici, le diagnostic environnemental et paysager dépasse le cadre des classiques inventaires (zones de protection, biodiversité,...). Ainsi, il prend en compte l'écologie du paysage en mettant en évidence son fonctionnement au niveau du territoire communal. Enfin, un règlement du PLU adapté à l'ambition de pérenniser durablement la richesse des milieux constituant le réseau écologique du territoire. Fiche n° 7 Mesures de protection environnementales, l'exemple du PLU de Saint-Romain-le-Puy (42). Saint-Romain-le-Puy (42) est une commune située au cœur de la plaine du Forez, un territoire riche en biodiversité. Face à des enjeux environnementaux importants : - Protéger les espaces naturels et agricoles de la pression foncière. - Concilier agriculture et environnement, la commune a intégré des mesures de protection environnementales (ou mesures conservatoires) dans son PLU
  437. Edition (Ceremadoc) SCoT et développement durable : Méthode pour évaluer les schémas de cohérence territoriale au regard des principes du développement durable et définir les indicateurs environnementaux à mettre en place - Application au cas de l'agglomération de Montpellie

    Depuis la Conférence de Rio, le développement durable irrigue progressivement toutes les politiques publiques, notamment celles qui concernent l'urbanisme. Un SCoT doit respecter les principes du développement durable énoncés à l'article L.121-1 du code de l'urbanisme: assurer l'équilibre entre le renouvellement urbain et un développement urbain maîtrisé, veiller à la diversité des fonctions urbaines et à la mixité sociale, garantir une utilisation économe des espaces naturels et la préservation de l'environnement. Afin d'apporter des éléments de méthode qui permettront d'appliquer ces différents principes à toutes les étapes d'élaboration, l'ouvrage propose une grille d'analyse et de questionnement. Celle-ci constitue un outil facile et pratique à utiliser pour suivre et évaluer un SCoT au regard du développement durable. Un SCoT est également soumis à l'évaluation environnementale au titre de l'article R.122-2 du code de l'urbanisme. L'analyse de l'état initial de l'environnement et les perspectives d'évolution des territoires sont désormais des sujets incontournables du rapport de présentation. L'ouvrage aborde la question de la nature et du contenu des indicateurs environnementaux à mettre en place pour analyser les incidences notables et prévisibles du SCoT sur l'environnement, et établir un bilan décennal de son application sur les espaces naturels et ruraux, les paysages, la ressource en eau, l'air, les risques naturels et technologiques, le traitement des déchets.... Les indicateurs de suivi des objectifs environnementaux testés sur le SCoT de Montpellier intéresseront les professionnels qui doivent évaluer leurs documents d'urbanisme vis-à-vis des contraintes et des exigences environnementales. Approuvé le 17 février 2006, le SCoT de Montpellier montre combien la richesse des débats concernant la recherche d'un équilibre entre développement et protection a été déterminante. Ce schéma a permis de fédérer des projets qui fixent des niveaux «d'intensité urbaine» se traduisant par des formes compactes moins consommatrices d'espaces. Mises au point avec l'appui des services de l'état et le concours de la Communauté d'Agglomération de Montpellier, la grille «développement durable» et la liste des indicateurs environnementaux seront une aide méthodologique précieuse pour les élus, les ingénieurs des collectivités, leurs partenaires publics ou privés, qui ont à coeur de construire des SCoT durables.
  438. Edition (Ceremadoc) Routes et passages à faune - 40 ans d'évolution

    Les passages à faune ont connu de nombreuses évolutions depuis les premières implantations dans les années 60. Dispositifs au départ destinés au gibier, ils répondent maintenant à une demande plus large de conservation de la biodiversité tout en assurant pour le réseau routier un rôle de sécurité. Deux guides techniques, édités par le Sétra en 1993 pour la grande faune et en 2005 pour la petite faune, définissent les principes, méthodes et gestions nécessaires à leur implantation et à leur bon fonctionnement. Ce rapport présente les progrès accomplis sur le terrain afin de les rendre plus fonctionnels et mieux adaptés aux espèces considérées. Il fait état des diverses possibilités offertes, notamment avec les nouveaux matériaux et la meilleure connaissance des problèmes defragmentation des habitats, à travers notamment l'exemple de réflexions globales à l'échelle d'un territoire. Enfin, il présente, compte tenu des nouvelles perspectives, la réflexion préalable à la mise en place des nouveaux passages.
  439. Edition (Ceremadoc) Drainage routier

    Ce guide technique "Drainage routier" est le premier document méthodologique qui incite à la prise en compte systématique des besoins de drainage dans les travaux routiers.Il propose des solutions en terme de : type d'ouvrage ; d'implantation ; de dimensionnement et d'entretien pour les projets routiers neufs y compris les terrassements et pour les chaussées existantes. Ce document s'adresse aux maîtres d'oeuvre et d'ouvrage, aux gestionnaires, aux bureaux d'études et entreprises de travaux publics concernés par l'étude du drainage routier, sa réalisation et sa maintenance. Introduction Notions générales sur le drainage Drainage dans un projet routier neuf Drainage d’une chaussée existante Caractéristiques des dispositifs de drainage et des matériaux utilisés dans ces dispositifs Exécution des travaux, application de l’assurance qualité, achèvement des travaux de drainage, exploitation et entretien Annexes Études hydrogéologiques particulières Amélioration des conditions hydriques des matériaux Évaluation des débits à drainer Éléments pour l’établissement du cahier des clauses techniques particulières (CCTP) Bibliographie Abréviations et glossaire
  440. Edition (Ceremadoc) Calcul des charges de pollution chronique des eaux de ruissellement issues des plates-formes routières : Note d'Information - Économie Environnement Conception - Série(EEC)

    Cette note d'information présente le bilan de plusieurs années d'études portant sur la qualification et la quantification de la pollution chronique liée à la circulation routière. Elle fait le point des connaissances acquises dans le domaine de la pollution routière et présente des méthodes de calcul pour l'estimation des charges de pollution.Elle résulte de l'exploitation de mesures acquises durant la période de 1995 à 1998 sur divers sites autoroutiers. Sur chaque site, la durée d'observation a été d'environ un an.Elle doit permettre de donner une base de culture commune, simple et actualisée, aux concepteurs de projets routiers ainsi qu'aux services instructeurs des missions inter-services de l'eau lors de l'élaboration des dossiers "loi sur l'eau". Contexte Démarche méthodologique Définition des sites ouverts et restreints Charges polluantes annuelles véhiculées par les eaux de ruissellement Impact maximal du rejet sur le milieu récepteur Concentration moyenne des rejets d'eau pluviale Performances des ouvrages Exemples de calcul Glossaire Bibliographie
  441. Edition (Ceremadoc) Émissions de polluants des transports routiers en France : Répartition par types de réseaux en 2000 et 2010

    L'Agence de l'Environnement et de la Maitrise de l'Énergie (ADEME), en liaison avec le réseau scientifique et technique « air » du ministère de l'Équipement a lancé une étude pour rechercher la contribution des émissions des transports routiers sur les différents types de réseau routier (national, communal et départemental), et voir l'influence de la décentralisation sur le réseau routier national. L'étude a examiné la consommation énergétique de l'année 2000 et fait une projection d'évolution sur l'année 2010. Les principaux polluants étudiés pour les deux années considérées sont le CO2, les NOx, les particules et les HC. L'étude s'attache à montrer qu'à l'exception du CO2 et de la consommation énergétique qui devraient être en constante progression, les émissions de polluants devraient diminuer pendant cette même période, grâce notamment aux améliorations technologiques des véhicules et à celle des carburants. Il ressort également que le réseau routier national est le réseau le plus consommateur et émetteur d'énergie.
  442. Edition (Ceremadoc) Réduire la vulnérabilité des réseaux urbains aux inondations

    Les multiples réseaux qui innervent la ville — électricité, gaz, télécommunications, déplacements, eau potable, etc. — sont particulièrement exposés aux inondations compte-tenu de leur structure et de leurs contraintes d'implantation. Leur défaillance contribue à aggraver les dommages d'inondation et ses conséquences peuvent être importantes : interruption des communications compliquant l'intervention des secours, arrêt d'activités économiques, interruption de la distribution d'eau potable, etc. Réduire la vulnérabilité des réseaux permet dans le meilleur des cas d'empêcher leur atteinte lors d'une inondation. Il s'agit d'aménagements bien souvent dictés par le bon sens, consistant à mettre le réseau ou les installations sensibles hors d'eau. Il peut s'agir aussi d'actions mises en œuvre dès la conception du réseau, lui permettant par exemple de résister le mieux possible aux atteintes de l'eau. À défaut, dans le cas où les réseaux seraient quand même atteints, il faut assurer la continuité du service, grâce à la mise en œuvre de moyens de substitution ou de maillage, comme par exemple des groupes électrogènes, des déviations, ou la distribution d'eau en bouteille, puis favoriser un retour à la normale dans les meilleures conditions. La réduction de la vulnérabilité des réseaux suppose un travail croisé entre les différents acteurs concernés — gestionnaires de réseaux et collectivités territoriales — et anticipé par rapport aux événements possibles.
  443. Study report (Ceremadoc) Repérage de l'habitat indigne et insalubre dans les Vosges : Première phase.

    Cette étude de repérage constitue la première étape d'une analyse globale visant à évaluer les moyens à mobiliser pour lutter contre l'habitat indigne et insalubre dans le département des Vosges. La phase exploratoire de recensement est effectuée, au moyen de la méthode SQUARE, à partir des données FILICOM 2003, complétées par celles issues du recensement de 1999 pour les données de cadrage. On pratique également un croisement avec les données fournies par la DDASS concernant l'insalubrité : arrêtés d'insalubrité depuis 1981 et plaintes reçues entre 2001 et 2004.
  444. Study report (Ceremadoc) Etude sur la qualité de l'air - RD-419 - Déviation de Ballersdorf.

    L'article 19 de la loi 96-1236 sur l'air et l'utilisation rationnelle de l'énergie (loi sur l'air) énonce la nécessité d'analyser les effets des projets routiers sur la santé, d'estimer les coûts collectifs des pollutions et des avantages induits, ainsi que de faire un bilan de la consommation énergétique. Dans le cas de la déviation de Ballersdorf, au vu du niveau de trafic attendu à terme (inférieur à 25 000 véhicules/jour), l'étude contient : - la détermination de l'aire d'étude et de la bande d'étude, - l'estimation des émissions polluantes et de la consommation énergétique dans l'aire d'étude, - l'analyse des coûts collectifs des pollutions et des nuisances, et des avantages induits pour la collectivité, - un rappel sommaire des impacts de la pollution atmosphérique du projet sur la " santé ", - un rappel sommaire des effets sur la végétation et les sols. L'impact du point de vu de la pollution atmosphérique à Ballersdorf devrait être positif du fait d'un report de trafic traversant actuellement la commune vers le projet. En ce qui concerne les impacts en proximité directe du projet de déviation de la RD419, ceux ci seront limités du fait du faible trafic attendu et du milieu ouvert favorable à une bonne dispersion des polluants. De ce fait ce projet n'appelle pas de mesures compensatoires
  445. Study report (Ceremadoc) Etude sur la qualité de l'air - RD-419 - Déviation de Retzwiller.

    L'article 19 de la loi 96-1236 sur l'air et l'utilisation rationnelle de l'énergie (loi sur l'air) énonce la nécessité d'analyser les effets des projets routiers sur la santé, d'estimer les coûts collectifs des pollutions et des avantages induits, ainsi que de faire un bilan de la consommation énergétique. Dans le cas de la déviation de Retzwiller, au vu du niveau de trafic attendu à terme (inférieur à 25 000 véhicules/jour), l'étude contient : - la détermination de l'aire d'étude et de la bande d'étude - l'estimation des émissions polluantes et de la consommation énergétique dans l'aire d'étude - l'analyse des coûts collectifs des pollutions et des nuisances, et des avantages induits pour la collectivité - un rappel sommaire des impacts de la pollution atmosphérique du projet sur la santé - un rappel sommaire des effets sur la végétation et les sols. L'impact du point de vu de la pollution atmosphérique à Retzwiller devrait être positif du fait d'un report de trafic traversant actuellement la commune vers le projet.En ce qui concerne les impacts en proximité directe du projet de déviation de la RD419, ceux ci seront limités du fait du faible trafic attendu et du milieu ouvert favorable à une bonne dispersion des polluants. De ce fait ce projet n'appelle pas de mesures compensatoires.
  446. Study report (Ceremadoc) RN112 - Etude air et santé de l'aménagement à 2X2 voies entre Labruguière et Saint-Alby

    L'article 19 de la loi 96-1236 sur l'air et l'utilisation rationnelle de l'énergie (loi sur l'air) énonce la nécessité d'analyser les effets des projets routiers sur la santé, d'estimer les coûts collectifs des pollutions et des avantages induits, ainsi que de faire un bilan de la consommation énergétique. Dans le cas de l'aménagement de la RN-112 entre Labruguière et Saint-Albi, au vu du niveau de trafic attendu à terme (inférieur à 50 000 véhicules/jour), l'étude contient : - La détermination de la zone d'étude et de la bande d'étude - La réalisation de l'état initial - L'estimation de l'évolution de la situation à terme en l'absence de l'aménagement, et comparaison des variantes entre elles (vis à vis du bilan des émissions, de leurs impacts sur la santé et des coûts collectifs engendrés) - L'étude de la solution retenue, avec une modélisation des concentrations futures aux abords de la voie - L'analyse simple des coûts collectifs des pollutions et des nuisances, et des avantages induits pour la collectivité - L'étude des impacts de la pollution atmosphérique sur la santé humaine - L'étude des effets sur la végétation, les sols et le patrimoine bâti - Des mesures de réduction ou de compensation des effets La réalisation de l'aménagement sur place de la RN-112 à 2x2 voies entre Labruguière et Saint-Alby permet d'améliorer la situation sanitaire pour le benzène mais la dégrade pour le dioxyde d'azote et les particules.Cependant, les objectifs de qualité de l'air sont très largement respectés sur l'ensemble de l'aire d'étude pour tous les polluants.
  447. Study report (Ceremadoc) RN-3 - RN-33 - Etude air et santé de la déviation nord-ouest de Saint-Avold.

    L'article 19 de la loi 96-1236 sur l'air et l'utilisation rationnelle de l'énergie (loi sur l'air) énonce la nécessité d'analyser les effets des projets routiers sur la santé, d'estimer les coûts collectifs des pollutions et des avantages induits, ainsi que de faire un bilan de la consommation énergétique. Dans le cas de l'aménagement de la déviation de Saint-Avold, au vu du niveau de trafic attendu à terme (supérieur à 25 000 véhicules/jour sur certains tronçons) et de la densité du bâti (supérieure à 10 000 habitants/km²), l'étude contient : - la détermination de l'aire d'étude et de la bande d'étude - la qualification de l'état initial par recherche bibliographique et mesures in-situ - l'estimation des émissions polluantes et de la consommation énergétique dans l'aire de l'étude - l'estimation des concentrations dans la bande d'étude autour du projet - l'analyse des coûts collectifs des pollutions et des nuisances, ainsi que des avantages induits pour la collectivité La qualification de l'état initial 2006 sur la commune de Saint-Avold met en évidence une qualité de l'air relativement médiocre, essentiellement due à la pollution de fond induite par la proximité industrielle.Cependant, les évolutions technologiques attendues sur les véhicules permettent d'envisager une amélioration de la situation dans les années futures malgré la pollution de fond considérée constante. Ceci d'autant plus avec la réalisation du projet qui permettra à priori de transférer une part de la pollution d'origine routière d'un axe proche des populations vers un secteur moins urbanisé
  448. Edition (Ceremadoc) Aide-mémoire pour la mise en place d'un service public d'assainissement non collectif (SPANC) : Conseil au maître d'ouvrage

    Toutes les communes ou leur groupement doivent mettre en place un service public d'assainissement non collectif (SPANC), au plus tard le 31 décembre 2005. Cet aide-mémoire qui rappelle l'intérêt de l'assainissement non collectif et les conditions de son choix, présente les caractéristiques de ce nouveau service public et les démarches préalables à sa mise en place. Il expose les choix à faire et les décisions à prendre pour organiser, gérer ou contrôler la gestion du service et informer le public sur les conséquences résultant de la création de ce service. Enfin il recense les principaux textes applicables à ce domaine. Cet aide-mémoire est destiné à répondre aux principales questions que se posent les élus communaux chargés de créer ce service.
  449. Edition (Ceremadoc) Aménagements et mesures pour la petite faune : Guide technique

    Ce guide présente une synthèse actuelle, la plus complète possible, des connaissances et des expériences nationales et européennes, concernant les aménagements et mesures pour la petite faune. De très nombreux exemples et données illustrent des opérations d'aménagement et de protection menées par des maîtres d'ouvrages, des maîtres d'oeuvre publics ou privés, des bureaux d'études, des associations.Il est organisé en cinq chapitres : Le chapitre I rappelle les bases justifiant les aménagements en faveur de la petite faune Le chapitre II précise la démarche pour conduire les études destinées à mettre en oeuvre les aménagements Le chapitre III expose les différents impacts causés par les infrastructures sur la petite faune Le chapitre IV décrit un certain nombre de mesures et de réalisations Le chapitre V réunit les éléments nécessaires à la gestion des aménagements. Des fiches techniques, des fiches espèces, une bibliographie et un glossaire complètent cet ouvrage. D'autre part, afin de faciliter la prise de connaissance, une synthèse technique, intitulée "les points clés", a été rédigée à l'usage du responsable du projet. Cette synthèse constitue une référence pour les actions à engager par le maître d'ouvrage ou le chef de projet. Introduction Les points clés Des aménagements - des mesures, pourquoi ? Démarche pour conduire les études Impacts Mesures et aménagements en faveur de la petite faune Gestion des aménagements et des dépendances vertes Fiches techniques Fiche n°1 - Statut de la faune de France métropolitaine Fiche n°2- Les mesures et outils de protections des espaces naturels Fiche n° 3- Piégeage des micro-mammifères Fiche n°4 -Piégeage photographique et vidéosurveillance Fiche n°5 - Incidence de l’éclairage artifi ciel des infrastructures routières sur la faune Fiche n°6 - Les corridors biologiques Fiche n°7 - Caractéristiques d’une mare de substitution à amphibiens Fiche n°8 - Aménagements piscicoles (les dispositifs de franchissements) Fiche n°9 - Conseils pour la conception et la gestion des grands ouvrages (type V à VIII) Fiche n°10 - Aménagements des passages Fiches espèces Fiche A -Le hérisson (Erinaceus europaeus) Fiche B -La tortue d’Hermann ou tortue des Maures (Testudo hermanni) Fiche C- Les chiroptères Fiche D - La loutre(Lutra lutra) Fiche E - Le blaireau(Meles meles) Fiche F -Le vison d’Europe(Mustela lutreola) Fiche G - Le castor(Castor fi ber) Bibliographie Glossaire
  450. Edition (Ceremadoc) Mise en oeuvre de la politique du 1% Paysage et Développement : Application de la circulaire du 31 mars 2005

    L'objectif de la politique du 1% Paysage et Développement est de favoriser le développement cohérent et durable des territoires grâce à la découverte et à la valorisation les paysages.Cette note d'application de la circulaire du 31 mars 2005, présente la démarche qui consiste à élaborer un "dossier d'axe" composé de trois éléments :- le diagnostic du paysage ;- la charte d'objectifs ;- le programme d'actions.Sont présentés ensuite les critères d'éligibilité et le financement des études et des actions, ainsi que les principaux interlocuteurs du 1% (niveau national, régional et départemental et niveau local).
  451. Study report (Ceremadoc) Aménagement des carrefours de la RN-4 à Marmoutier. Relevés faunistiques et floristiques complémentaires dans les zones d'implantation des bassins d'assainissement routiers.

    L'aménagement du contournement de Marmoutier par la RN-4 a été déclaré d'utilité publique le 13 octobre 2004. Dasn le cadre du projet d'assainissement, il convient de réaliser un recensement complémentaire des espèces faunistiques et floristiques présentes sur les sites d'emprise possible des bassins de stockage et de traitement des eaux pluviales routières. L'objectif de ce recensement est de parvenir à une hiérarchisation de l'intérêt écologique des milieux en présence afin de positionner au mieux les bassins et de limiter ainsi l'atteinte aux zones naturelles les plus riches.
  452. Study report (Ceremadoc) Déviation de la RN-4 à Saint-Dizier. Etude de l'amélioration du fonctionnement des bassins et de leur sécurisation.

    Si la déviation sud de la RN-4 à Saint-Dizier a été mise en service à deux fois une voie, les huit bassins de collecte et de traitement de la pollution routière de cette portion routière de dix kilomètres ont été dimensionnés pour la future deux fois deux voies. Il s'avère que l'entretien de ces bassins a toujours été source de difficultés et que la pérennité de leur fonctionnement n'est pas assurée. L'étude vise donc à établir un diagnostic de l'assainissement existant le long de cette déviation au regard de l'évolution des connaissances et des textes réglementaires. Bien qu'ils aient été conçus pour l'aménagement à deux fois deux voies, ces ouvrages nécessitent une reprise complète des bassins existants. Le rapport présente des solutions provisoires et des solutions optimales pour ce réaménagement. Les unes et les autres devront être mises en oeuvre en fonction des disponibilités financières sur ce projet. Des mesures en vue de limiter les nombreuses dégradations volontaires des ouvrages sont également proposées.
  453. Study report (Ceremadoc) Prolognement de la RD-33 à Vieux-Thann - Liaison RN-66 - RD-35 - Etude sur la qualité de l'air.

    L'article 19 de la loi 96-1236 sur l'air et l'utilisation rationnelle de l'énergie (loi sur l'air) énonce la nécessité d'analyser les effets des projets routiers sur la santé, d'estimer les coûts collectifs des pollutions et des avantages induits, ainsi que de faire un bilan de la consommation énergétique. Dans le cas du prolongement de la RD 33 sur la commune de VIEUX-THANN, au vu du niveau de trafic attendu à terme (inférieur à 10 000 véhicules/jour), l'étude contient : - la détermination de l'aire d'étude et de la bande d'étude, - l'estimation des émissions polluantes et de la consommation énergétique dans l'aire d'étude - l'analyse des coûts collectifs des pollutions et des nuisances, et des avantages induits pour la collectivité, - des informations concernant la pollution atmosphérique et ses effets sur la santé. La campagne de mesure de NO2 et de benzène réalisée par l'ASPA dans le cadre de l'Observatoire de la qualité de l'air dans la vallée de la Thur a montré que pour les polluants considérés dans cette étude, les teneurs relevées sont satisfaisantes et respectueuses des objectifs de qualité de l'air. Toutefois on a pu noter que les mesures effectuées en proximité immédiate de la RN-66 donnent des résultats supérieurs aux objectifs de la qualité de l'air fixés pour 2010 (soit 40 µg/m3 pour le NO2 et 2 µg/m3 pour le benzène). L'évaluation des situations à l'horizon 2007 et à l'horizon 2020 montre que malgré une augmentation généralisée du trafic, les émissions polluantes devraient être réduites de façon importante, sauf pour les émissions de dioxyde de carbone (CO2) qui sont directement liées à la consommation en carburant et donc aux déplacements. Cette évolution des émissions s'explique par le renouvellement attendu du parc automobile pour des véhicules plus propres (généralisation du pot catalytique sur l'ensemble des véhicules dans les années à venir et reformulation des carburants). Pour la grande majorité des polluants étudiés (CO, COV, benzène, NOx, PM, SO2,), les effets réducteurs dus aux améliorations technologiques sur les véhicules devraient en effet être beaucoup plus forts que les effets pénalisants des augmentations de trafic sur le réseau étudié. Si l'on considère l'implantation du projet, il est certain qu'un transfert de pollution s'effectuera entre la RD-35 traversant Vieux-Thann et le projet, du fait du transfert de trafic attendu entre ces deux itinéraires, modifiant ainsi la nature et le nombre de personnes exposées à la pollution d'origine routière dans l'aire d'étude. Et ce malgré une stabilité du bilan global des émissions dans l'aire d'étude avec la mise en place du prolongement de la RD-33. L'impact du point de vue de la pollution atmosphérique à Vieux-Thann devrait donc être limité mais positif du fait d'un report de trafic traversant actuellement la commune vers le projet. En ce qui concerne les impacts en proximité directe du projet de prolongement de la RD-33, ceux ci seront limités du fait du faible trafic attendu et du milieu ouvert favorable à une bonne dispersion des polluants. De ce fait ce projet n'appelle pas de mesures compensatoires.
  454. Study report (Ceremadoc) RN-126 - Etude air-santé de la liaison Castres à Soual.

    L'article 19 de la loi 96-1236 sur l'air et l'utilisation rationnelle de l'énergie (loi sur l'air) énonce la nécessité d'analyser les effets des projets routiers sur la santé, d'estimer les coûts collectifs des pollutions et des avantages induits, ainsi que de faire un bilan de la consommation énergétique. Dans le cas de l'aménagement de la RN-126 entre Castres et Soual, au vu du niveau de trafic attendu à terme (inférieur à 50 000 véhicules/jour), l'étude contient : - La détermination de la zone d'étude et de la bande d'étude - La réalisation de l'état initial - L'estimation de l'évolution de la situation à terme en l'absence de l'aménagement, et comparaison des variantes entre elles (vis à vis du bilan des émissions, de leurs impacts sur la santé et des coûts collectifs engendrés) - L'étude de la solution retenue, avec une modélisation des concentrations futures aux abords de la voie - L'analyse simple des coûts collectifs des pollutions et des nuisances, et des avantages induits pour la collectivité - L'étude des impacts de la pollution atmosphérique sur la santé humaine - L'étude des effets sur la végétation, les sols et le patrimoine bâti - Des mesures de réduction ou de compensation des effets. La réalisation de la liaison de Castres à Soual en 2x2 voies permet d'améliorer la situation sanitaire en proximité de la RN-126 sans dégrader celle en proximité du projet.
  455. Edition (Ceremadoc) Pollution (la) des sols et des végétaux à proximité des routes : Note d'Information - Économie Environnement Conception - Série(EEC) N° 73

    La réalisation de bilans aux abords des infrastructures est difficile en raison de la multiplicité des sources de pollution et en l'absence de normes françaises. Pourtant, ces bilans de pollution sont nécessaires à la réalisation des études d'impacts "sol" rendues obligatoires par le décret n°93-245 du 25 février 1993, qui précise la notion d'environnement et transpose en droit interne les prescription de la directive CEE n°85-337du 27 juin 1985 concernant l'évaluation des incidences de certains projets publics et privés sur l'environnement.Cette note d'information a pour objectif de fournir des références et des éléments pour faciliter la réalisation des études d'impact "sol", et plus précisément, pour permettre la prise en compte de la pollution atmosphérique de proximité par les éléments traces métalliques, autrefois désignés métaux lourds.Les études sur lesquelles cette note d'information s'appuie ont été réalisées sur des voies supportant des trafics de référence allant de 20 000 à 80 000 véhicules par jour. Les éléments traces métalliques Éléments pour la réalisation des études d'impacts sol Mesures envisageables
  456. Edition (Ceremadoc) Nomenclature de la loi sur l'eau - Application aux infrastructures routières : Guide technique

    Application aux infrastructures routières de la nomenclature établie au titre de la loi sur l'eau" est un document d'information réalisé conjointement par les services du ministère chargé de l'Equipement et du ministère de l'Ecologie et du Développement durable. Il a pour vocation de centrer l'attention des acteurs du domaine autour de la sauvegarde du milieu aquatique. Son objectif est de préciser et de faciliter l'utilisation des principales rubriques de la nomenclature de la loi sur l'eau (loi n°92-3 sur l'eau du 3 janvier 1992 intégrée au titre I du livre II du code de l'environnement) dans le domaine des infrastructures linéaires. Ce document vise aussi à harmoniser les pratiques de services. Il est destiné, notamment, aux services instructeurs des missions inter services de l'eau, aux services du ministère de l'Equipement en charge des projets routiers, aux sociétés concessionnaires d'autoroutes, et aux bureaux d'études. La première partie s'attache à rappeler le cadre réglementaire et législatif concernant : le régime de l'autorisation, le régime de la déclaration, les travaux d'urgence, la régularisation des ouvrages, les rejets... et les recours juridiques. La seconde partie correspond à la description et aux commentaires sur les principales rubriques de la nomenclature de la loi sur l'eau concernant les infrastructures linéaires.
  457. Edition (Ceremadoc) Entretien des dépendances vertes : Guide pratique

    Après avoir défini les dépendances vertes, leur rôle (sécurité des usagers, maintien du bon état de la route et de ses abords, image de lieux agréables et propres, préservation de l'environnement) et leurs caractéristiques, ce guide présente les différents travaux d'entretien : fauchage et débroussaillage utilisation des produits phytosanitaires taille des arbres et des arbustes plantations autres tâches d'entretien : entretien des terres pleins centraux, propreté de la route, ramassage et élimination des branches et feuilles, entretien de la végétation sur les ouvrages d'art. Il délivre des recommandations et conseils pratiques pour l'exécution des tâches réalisées en subdivision territoriale et dans les parcs d'entretien routier.
  458. Edition (Ceremadoc) Centre-ville en zone inondable. Prise en compte du risque

    Pourquoi et comment intervenir sur les centres-villes soumis aux inondations, alors que la politique de prévention tend à limiter ou à interdire les constructions dans les zones exposées ? La question émerge du constat que les centres urbains fréquemment inondés se désertifient, se dévitalisent, et c'est toute la vie locale qui en est alors affectée en profondeur dans ses dimensions économiques et sociales. Faute de pouvoir délocaliser ces centres, l'intervention destinée à réduire les effets des inondations apparaît comme une démarche de recours afin de maintenir en place dans des conditions acceptables les habitants et leurs activités. Cet ouvrage présente des cas mettant en évidence les préoccupations des concepteurs et la façon dont ils ont utilisé les outils techniques, administratifs et financiers pour réaliser des travaux sur le bâti, dans le but de réduire la vulnérabilité dans les zones exposées à ce risque.
  459. Edition (Ceremadoc) Les outils de protection des espaces naturels en France : Aspects juridiques liés aux opérations routières - Guide technique

    Faisant suite à la diffusion en 2001 d'une carte (représentation de la répartition des zonages résultant de 16 outils juridiques de protection, de connaissance ou de gestion des espaces naturels sur le territoire national), ce guide donne une typologie des outils de protection en les regroupant selon leur type d'intervention et d'origine et en sélectionnant les plus représentatifs, présente de manière synthétique chaque outil en le définissant et en déterminant l'impact possible des opérations routières sur lui et analyse les rapports entre les projets d'aménagements routiers et les règles juridiques présidant à la mise en oeuvre de ces outils. Après une présentation rappelant le contexte, les objectifs et la méthodologie retenue, un développement sur le contexte juridique des opérations routières, ce guide est organisé en 5 chapitres : Outil de connaissance national : zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) Outils réglementaires nationaux : parc national, réserve naturelle, réserve nationale de chasse et de faune sauvage, arrêté préfectoral de protection des biotopes, site inscrit ou classé, forêt de protection Outils fonciers nationaux : terrain du Conservatoire de l'espace littoral et des rivages lacustres, politique des espaces naturels sensibles d'un département, terrain du réseau "Espaces naturels de France" Outils européens et internationaux : réseau Natura 2000, réserve biogénétique du Conseil de l'Europe, réserve de biosphère de l'UNESCO, zone humide d'importance internationale Outil contractuel national : parc naturel régional.
  460. Edition (Ceremadoc) Risque industriel et territoires en France et en Europe : État des lieux et perspectives

    Plusieurs accidents récents ont montré que la proximité d'habitations est un facteur essentiel d'aggravation du risque industriel. La maîtrise de l'urbanisation est ainsi devenue peu à peu une composante à part entière de la prévention des risques technologiques majeurs. Ce dossier retrace d'abord l'évolution de la réglementation et des pratiques, en France et en Europe, ponctuée par des accidents majeurs comme celui de Seveso en 1976, ceux de Mexico et Bhopal en 1984 et celui de Toulouse en 2001. Il présente ensuite les perspectives offertes par la recherche et par la réglementation pour une meilleure intégration du risque au territoire. Il intègre notamment les possibilités ouvertes par la loi du 30 juillet 2003 relative à la prévention des risques technologiques et naturels et à la réparation des dommages. Ce dossier synthétique, enrichi au fil du texte par les commentaires d'experts, s'adresse aux acteurs du développement industriel et de l'aménagement du territoire. Il est destiné aussi à tous ceux qui souhaitent disposer d'une vue d'ensemble des questions posées par le voisinage entre les industries à risque et la ville. Europe et international.
  461. Edition (Ceremadoc) Retraitement des chaussées et recyclage des matériaux bitumineux des chaussées

    Les contraintes environnementales pour une économie des ressources non renouvelables et l'obligation de recycler (loi du 13 juillet 1992), imposent la valorisation du gisement de matériaux existant dans les chaussées et de limiter l'apport de matériaux dits "nouveaux" dans l'entretien de ces chaussées. Ce document a pour objectif de recenser, en fonction de leur futur domaine d'emplois, les différentes pratiques existantes en matière de réutilisation des matériaux de chaussées issus de couches de surfaces et de couches d'assises. Il constitue donc une réponse à la nécessité de construire et entretenir les chaussées avec le souci d'une économie durable dans le respect des contraintes environnementales.Quatre techniques sont examinées : retraitement en place à froid ; retraitement en centrale à froid ; recyclage en place à chaud ; recyclage en centrale à chaud. Les deux premières concernent les matériaux d'assises (matériaux traités ou non avec un liant hydraulique) et les matériaux des couches de surface. Les deux dernières concernent les matériaux bitumineux de couches de surface ou de couches de base. Chacune des techniques est présentée avec ses avantages, son domaine et ses limites d'emploi.
  462. Study report (Ceremadoc) RN 83 : aménagement à Fegersheim ; étude la la qualité de l'air. : Rapport final air et santé.

    L'article 19 de la loi 96-1236 sur l'air et l'utilisation rationnelle de l'énergie (loi sur l'air) énonce la nécessité d'analyser les effets des projets routiers sur la santé, d'estimer les coûts collectifs des pollutions et des avantages induits, ainsi que de faire un bilan de la consommation énergétique. Dans le cas de l'aménagement de Fegersheim, et au vu du niveau de trafic attendu à terme (supérieur à 50 000 véhicules/jour sur certains tronçons), l'étude APS contient : - la détermination de l'aire d'étude et de la bande d'étude ; - la qualification de l'état initial par des mesures in-situ ; - l'estimation des émissions polluantes et de la consommation énergétique dans l'aire de l'étude ; - l'estimation des concentrations dans la bande d'étude autour du projet ; - l'analyse des coûts collectifs des pollutions et des nuisances, ainsi que des avantages induits pour la collectivité ; - une étude des impacts de la pollution atmosphérique du projet sur la santé avec calcul d'excès de risques individuels et quotient de danger ; - une étude des effets sur la végétation et les sols.
  463. Study report (Ceremadoc) Les voies rapides urbaines de Strasbourg - Étude d'impact de la réduction des limitations de vitesse sur la sécurité, la circulation, la pollution, le bruit.

    L'objet de cette étude est l'analyse de la circulation sur les voies rapides urbaines (VRU) de l'agglomération strasbourgeoise et l'étude de l'impact qu'aurait la réduction des limitations de vitesse réglementaires actuelles sur la sécurité, les conditions de circulation, le bruit et la pollution. L'analyse des différents aspects pour plusieurs scénarios de réduction de vitesse envisageables permet de proposer la solution qui offre le meilleur compromis. Les voies concernées sont les suivantes : - la liaison entre la partie concédée de l'A-4 et l'A-35 ; - la traversée de l'agglomération et des liaisons inter-quartiers et inter-autoroutes sur le cheminement de l'A-35 ; - l'itinéraire à 2X2 voies qui assure la liaison entre l'A-35 et le nord de l'agglomération ; - l'itinéraire qui assure la liaison entre l'A-35 et la RN-4 venant de Saverne ;$Cr- l'itinéraire qui assure la liaison entre l'A-35 et l'Allemagne ; - l'itinéraire RN-83 à 2X2 voies qui assure la liaison entre l'A-35 et le sud du département ; - l'itinéraire RN-353 à 2X2 voies qui assure la liaison entre la RN-83 et la rive gauche du Rhin et l'Allemagne par le pont Pfimlin.
  464. Study report (Ceremadoc) Etude de la qualité de l'air. RN-33 Déviation de Creutzwald.

    L'article 19 de la loi 96-1236 sur l'air et l'utilisation rationnelle de l'énergie (loi sur l'air) énonce la nécessité d'analyser les effets des projets routiers sur la santé, d'estimer les coûts collectifs des pollutions et des avantages induits, ainsi que de faire un bilan de la consommation énergétique. Dans le cas du contournement de Creutzwald et au vu du niveau de trafic attendu à terme (supérieur à 25 000 véhicules/jour sur certains tronçons), l'étude APS contient : - la détermination de l'aire d'étude et de la bande d'étude ;$Cr- la qualification de l'état initial par des mesures in-situ ; - l'estimation des émissions polluantes et de la consommation énergétique dans l'aire de l'étude ; - l'estimation des concentrations dans la bande d'étude autour du projet ; - l'analyse des coûts collectifs des pollutions et des nuisances, ainsi que des avantages induits pour la collectivité ; - une étude simplifiée des impacts de la pollution atmosphérique du projet sur la santé ; - une étude légère des effets sur la végétation et les sols. Une campagne de mesure réalisée par AIRLOR a montré que, pour tous les polluants considérés dans cette étude, les teneurs relevées sont satisfaisantes et respectueuses de la réglementation. Les concentrations importantes de benzènes ne sont pas dues à la route mais à l'activité industrielle du secteur. A l'horizon 2020, malgré une augmentation du trafic, les émissions polluantes devraient régresser grâce aux évolutions techniques de véhicules. En ce qui concerne l'implantation du projet, un transfert de pollution s'effectuera entre la RN-33 et le projet d'aménagement ; la partie urbaine devrait voir ses taux de pollution diminuer.
  465. Study report (Ceremadoc) Prolongement de l'autoroute A34 vers la Belgique - 2ème phase d'A.P.S. Branche Ouest du Y ardennais - Etude "Air et Santé par inhalation" -. Etude sur la qualité de l'air. Etat initial. Etat de référence. Comparaison des variantes. Etude de la solution re

    L'objectif de cette étude est de pouvoir apprécier, du point de vue de la problématique "qualité de l'air", les conséquences liées à la réalisation du prolongement de l'A34 vers la Belgique. La comparaison des options d'aménagement en fonction de leur bilan d'émissions polluantes routières permettra d'évaluer leurs impacts sur la santé humaine et les risques de dépassement des seuils de la qualité de l'air (notamment aux abords des sites sensibles).