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  1. Edition (Ceremadoc) Auscultation, surveillance et entretien des ouvrages maritimes - fascicule 1 : Les ouvrages en maçonnerie

    Ce premier fascicule décrit les phénomènes pouvant altérer ou ruiner les ouvrages portuaires dont la structure principale est en maçonnerie, comme les murs de quais, les jetées, les digues et les écluses, mais également les bajoyers, cales, perrés, ou même les phares et tourelles. Ce guide récapitule donc les méthodes qui permettent de détecter et d'analyser ces phénomènes, ainsi que les moyens pour éventuellement y remédier. Ce document est une mise à jour d'un document précédent publié en août 1994.La mise à jour a consisté : à compléter l’information sur la pathologie de gonflement des maçonneries (en particulier sur les liants, les mortiers, l’attaque des ciments par l’eau de mer) et sur l’auscultation radar, à développer les précédentes conclusions sur les désordres liés à l’altération des matériaux de la maçonnerie dans une nouvelle section « conclusions sur la durabilité des maçonneries en site maritime », à reprendre le chapitre sur la surveillance et à le compléter par l’insertion de nouveaux paragraphes sur le contexte et la spécificité maritimes et le contenu et les modalités d’organisation de la surveillance continue, à actualiser les parties sur le rejointoiement et sur les réparations par injection dans la maçonnerie. 1. Généralités – Le dossier d'ouvrage 1.1 La maçonnerie 1.2 Aperçu sur la conception des ouvrages maritimes en maçonnerie 1.3 Le dossier d'ouvrage 2. Causes et manifestations des désordres 2.1 La pathologie des matériaux de maçonnerie 2.2 La pathologie due aux actions mécaniques sur l'ouvrage 3. La surveillance 3.1 Contexte et spécificité maritime 3.2 Principes généraux de la surveillance 3.3 Contenu et modalités d'organisation de la surveillance continue 3.4 Les moyens de la surveillance 3.5 L'instrumentation 4. L'entretien des ouvrages 4.1 Établissement d'un diagnostic sur l'état de l'ouvrage 4.2 Le nettoyage 4.3 Évacuation des eaux - drainage 4.4 Traitement de la pierre 4.5 Réfection des joints de maçonnerie 4.6 Protection des fondations par des enrochements 4.7 Aperçu sur les grosses réparations 5. Annexes 6. Bibliographie 7. Glossaire des termes de maçonnerie 8. Index
  2. Edition (Ceremadoc) Mer et littoral : Journées Sciences & Territoires 2017 Enjeux, stratégies, prospective

    Cette première édition a abordé les enjeux liés aux territoires littoraux et maritimes sous l’angle de la planification déclinée dans quatre thématiques : les risques, l’énergie, l’observation des territoires, les acteurs des territoires. L’objectif de cet ouvrage est de rendre compte de ces journées, d’en restituer les principaux apports et de dégager les propositions évoquées. Introduction L’ambition d’un territoire maritime et littoral durableEnjeux Des territoires maritimes et littoraux en tension Entre risques et opportunités, un diagnostic contrasté La connaissance et le partage de l’information Une dimension économique stratégique Mer, littoral et transition énergétique Le citoyen, bénéficiaire ou acteur des politiques publiques ? La mémoire des événements maritimes et littoraux, un patrimoine Une approche résiliente intégrant l’environnementStratégies Vers un renouvellement de l’action publique La politique maritime intégrée et la gestion des zones côtières Une stratégie nationale pour la mer et le littoral Mobiliser l’ensemble des acteurs des territoires maritimes et littoraux Concilier vision stratégique et actions opérationnelles Favoriser la résilience des territoires maritimes et littorauxExpérimentations - innovations Pistes de recherche et d’action Observation : de nouveaux outils à mieux croiser et partager Innovation et production d’énergies renouvelables La nature, une solution pour la gestion des risques ? Planification concertée : vers des démarches de gestion intégrée Conclusion Quels futurs souhaitables pour les territoires maritimes et littoraux ?
  3. Edition (Ceremadoc) Les 6èmes Assises du Port du futur : 20 et 21 septembre 2016.

    Les Assises du Port du futur sont un évènement du ministère de la Transition écologique et solidaire organisé par le Cerema Eau, mer et fleuves. Elles sont devenues depuis 2011 un événement annuel incontournable où acteurs publics et privés, milieux économiques et universitaires se retrouvent pour des journées de travail et d’échanges à l’intersection entre différentes disciplines (ingénierie, technique, sociologie, économie, écologie…). Elles offrent ainsi des moments d’échanges autour des nouveaux enjeux qui se présentent au monde portuaire mais garantissent aussi des débats techniques sur des sujets d’actualité nationale. Lors de cette édition 2016, un retour sur les récentes conférences fret fluvial et ferroviaire ainsi que sur les missions parlementaires sur l’attractivité des grandes places portuaires françaises a permis d’ouvrir les débats sur les infrastructures et les solutions innovantes pour fluidifier le trafic. Les échanges se sont poursuivis autour du rôle des ports au sein de la chaîne numérique. La seconde journée a été l'occasion d'évoquer les relations ville-ports au travers des contributions de la session "Le port du futur au service de la cité du futur". Enfin, les Assises se sont clôturées par des échanges autour du port industriel et notamment sur des sujets d’innovation tels que les enjeux de l’hydrogène et les ouvrages portuaires améliorés. Ce document présente les principaux thèmes et sujets abordés et les résultats issus des deux jours de débats lors de ces 6èmes Assises du Port du futur. Quelles infrastructures et solutions innovantes pour fluidifier les trafics ? Les besoins techniques des connexions fluviales et ferroviaires Solutions, services innovants et perspectives de développement Financer l’innovation Conclusion Les ports acteurs de la chaîne numérique Enjeux logistiques et interconnexion Le rôle du port dans la chaîne numérique Exemples d’initiatives Les difficultés des ports engagés dans la voie du numérique Conclusion Le port industriel Enjeux et perspectives de l’hydrogène Conclusion Les ouvrages portuaires améliorés Conclusion Le port du futur au service de la cité du futur La déconnexion entre villes et ports au cours du 20e siècle Les défis du 21e siècle La nécessaire coopération de la ville et du port gage de résilience Nouvelles fonctionnalités, nouvelle économie : comment les villes-ports s’adaptent ? Conclusion Conclusion générale
  4. Edition (Ceremadoc) Les 3èmes Assises du port du futur : 23 et 24 mai 2013. L’essentiel.

    La démarche « port du futur » a pour but de réfléchir collectivement à l’avenir des ports français et de promouvoir la recherche et l’innovation dans le domaine portuaire. Cette démarche regroupe plusieurs partenaires au sein d’un comité de pilotage : le Ministère chargé des transports s’appuyant sur son service expert le Direction technique Eau, mer et fleuves, les Pôles de compétitivité (Pôle Mer Bretagne, Pôle Mer Méditerranée, I-Trans et Novalog), l’Union des Ports de France, l’Association des Utilisateurs de Transport de Fret, l’Association des Régions de France et le Cluster Maritime Français. Le port du futur : une définition Éléments de prospective Le trafic maritime et les ports français Pour une transition vers l’économie circulaire Écouter les besoins des clients des ports Port du futur et énergie L'essor des EMR Optimiser la consommation, une question de gouvernance Les ports moteurs d’une compétitivité durable Le rôle primordial des armateurs Le passage au GNL La logistique durable, un processus global Les relations ville-port, entre attirance et defiance Valoriser le foncier portuaire Les relations ville-port
  5. Edition (Ceremadoc) Les abords d'une écluse sur voie à grand gabarit : Synthèse sur les dispositions types des abords d’une écluse implantée sur une voie à grand gabarit.

    L’objectif de ce document est de présenter une synthèse sur les dispositions types des abords d’une écluse implantée sur une voie à grand gabarit. Des installations sont nécessaires pour faciliter et rendre plus sûre l’entrée des automoteurs et convois poussés dans l’écluse ainsi que leur sortie. Ces installations permettent d’une part le stationnement, d’autre part de guider et contrôler les mouvements des bateaux lors de leurs manœuvres. Ce document propose, donc, à la lumière de diverses expériences acquises, de préciser certaines règles sur : l’implantation des écluses, la disposition des avant-ports, les garages d’attente ou zones d’amarrage, les estacades de guidage, les murs guides, les ducs d’Albe. Elle a également pour objet d’approfondir les principes de conception et de calcul des murs guides et des ducs d’Albe (chocs de bateaux) et de présenter quatre exemples d’étude détaillée de murs guides en annexe. I. IMPLANTATION DES ECLUSES I.1 Implantation sur un canal de navigation I.2 Implantation sur une rivière canalisée I.2.1 Possibilité d’établir une dérivation I.2.2 Impossibilité d’établir une dérivation II. LA DISPOSITION DES AVANT-PORTS II.1 Généralités II.2 Terminologie II.3 Etablissement de projet II.4 Implantation et alignement des avant-ports II.4.1 Remarques générales II.4.2 Avant-ports rectilignes II.4.3 Avant-ports implantés dans un méandre II.4.4 Canaux de dérivation des écluses III. LES GARAGES D’ATTENTE OU ZONE D’AMARRAGE IV. LES OUVRAGES DE GUIDAGE IV.1 Les estacades de guidage IV.2 Les murs guides IV.2.1 Présentation des murs guides IV.2.2 Dispositions retenues sur diverses voies navigables V. LES DUCS D’ALBE V.1 Description des ducs d’Albe V.2 Hypothèse de calcul V.2.1 Données concernant le choc V.2.2 Efforts statiques V.2.3 Calcul à la torsion V.2.4 Utilisation d’amortisseurs pour l’accostage de bateaux sur des duc d’Albe rigides BIBLIOGRAPHIE TABLE DES ILLUSTRATIONS
  6. Edition (Ceremadoc) Le transport fluvial « Freycinet » en France : Éléments de connaissance

    En France, depuis le milieu des années 90, le transport fluvial connaît un renouveau certain attesté par un accroissement du volume des marchandises transportées, ainsi que par un positionnement sur de nouvelles filières. La loi de programmation relative à la mise en œuvre du Grenelle de l’environnement de 2009, dite loi Grenelle n°1, a confirmé le report du transport de marchandises vers des modes alternatifs à la route comme un des moyens à mettre en œuvre pour réduire les émissions de gaz à effet de serre dans le domaine du transport de marchandises ; la réalisation du projet de canal Seine-Nord Europe à l’horizon 2020 y est inscrite. Dans un contexte favorable au développement du transport fluvial avec des objectifs importants de développement de ce mode de transport alternatif à la route, le transport fluvial sur le réseau dit Freycinet (à petit gabarit) occupe une place à part. Il a connu une érosion sans précédent depuis maintenant quarante ans. Depuis quelques années, le transport fluvial Freycinet connaît un regain d’intérêt certain porté par Voies navigables de France (VNF) et l’association Entreprendre pour le fluvial. Ces marchés de niche méritent qu’on s’y intéresse, car ils participent, même modestement, au maintien, voire au développement, du transport fluvial.
  7. Edition (Ceremadoc) Les 4èmes Assises du port du futur : 9 et 10 septembre 2014.

    Les Assises du Port du futur sont un événement annuel du Ministère de l'écologie du développement durable et de l'énergie organisé par le Cerema (Direction technique Eau, mer et fleuves). Il s'agit d'un colloque destiné aux décideurs français et européens, aux responsables des grands ports mondiaux, aux industriels, aux opérateurs de services de transport et aux chercheurs pour leur permettre de travailler et pour échanger sur les enjeux portuaires d’aujourd’hui et de demain. L'essentiel des Assises est un document qui synthétise les débats qui se sont tenus lors de ce colloque à l'attention d'un public généraliste. Édito Le port stratège Europe France Ports Stratégie Défis Le port entrepreneur La question des sédiments de dragage, ou le port aménageur physique Définition Volumes Gestion Réglementation Bonnes pratiques Capitalisation Conclusion Le port développeur de services Un port attractif Les ports français Filières Conclusions
  8. Edition (Ceremadoc) Les 5èmes assises du port du futur : 30 septembre et 1er octobre 2015

    Dans un contexte en perpétuelle évolution, les ports doivent s’adapter et innover pour faire face aux nouveaux enjeux qui se présentent à eux. Que ce soit en termes de développement durable, de gestion de l’hinterland ou d’intégration des systèmes d’information, les ports du futur doivent répondre à des attentes sans cesse renouvelées. Depuis 2011, les Assises « Port du Futur » rassemblent les décideurs, chercheurs, industriels et opérateurs de services impliqués dans la construction et l’activité portuaire pour débattre des nouveaux enjeux et de la manière d’y répondre. L’édition 2015 s’intéresse au rôle des ports comme acteurs moteurs du développement durable. Par ailleurs, les ports sont des acteurs majeurs sur leur territoire et contribuent à le structurer à travers leur hinterland. Enfin, afin de répondre aux besoins des acteurs portuaires, les ports doivent innover, notamment à travers les nouveaux outils connectés. Ce document présente les principaux thèmes et sujets abordés et les résultats issus des deux jours de débats lors de ces 5èmes Assises de « Port du Futur ». Les ports moteurs du développement durable Un contexte en constante évolution L’innovation par la technologie L’innovation organisationnelle et institutionnelle Une communication innovante Conclusions Le port architecte de son hinterland Le port logisticien Un port adapté au contexte local Conclusion Le port connecté Des outils nombreux mais qui manquent d’interopérabilité Conclusion Le port acteur de la transition énergétique Des politiques nouvelles, qui demandent de s’adapter Réduire les émissions polluantes vers l’atmosphère Lutter contre les pollutions accidentelles Mettre en place une filière de démantèlement respectueuse des hommes et de l’environnement Conclusions
  9. Edition (Ceremadoc) Les 7èmes Assises du Port du futur : 26 et 27 septembre 2017

    Le contexte portuaire français actuel se caractérise par une multiplicité des enjeux, par des contraintes croissantes (concurrence, pression démographique, évolutions technologiques, aspects environnementaux…) et par une multitude d’acteurs. La démarche Port du futur a été initiée par le Cerema, pour le compte de la Direction Générale des Infrastructures, des Transports et de la Mer (DGTIM) du ministère de la Transition écologique et solidaire (MTES). Elle est animée par un réseau de partenaires : l’Union des Ports de France, les pôles Mer, les pôles de compétitivité Novalog et i-Trans, le Cluster maritime français ainsi que l’Agence d’urbanisme de la Région du Havre et de l’Estuaire de la Seine. Exposition photo Vision prospective du secteur portuaire français et européen Les acteurs portuaires et territoires L’intégration du port dans son environnement L’innovation au service du passage portuaire Trophée Port du futur Les enjeux de la sécurité et de la sûreté physique et numérique La sécurité et la sécurisation des infrastructures La cybersécurité
  10. Edition (Ceremadoc) Les 8es Assises du Port du futur : 25 - 28 septembre 2018

    La démarche Port du futur cherche à rassembler les acteurs du milieu portuaire. L’objectif est de réfléchir à l’avenir des ports français et de promouvoir l’innovation dans le domaine portuaire. Cette démarche est rythmée chaque année par les Assises du Port du futur où acteurs publics et privés, milieux économiques et universitaires se retrouvent pour des journées de travail et d’échange à l’intersection entre différentes disciplines (ingénierie, technique, sociologie, économie, écologie…). Les Assises sont organisées par le Cerema avec un réseau de partenaires la Direction Générale des Infrastructures, des Transports et de la Mer (DIGTM) du ministère de la Transition écologique et solidaire (MTES), l’Union des Ports de France, les Pôles Mer, les Pôles de compétitivité Novalog et I-trans, le Cluster maritime français, le club territoire maritime et portuaire de la Fédération nationale des Agences d’Urbanisme. Vision prospective du secteur portuaire français et européen Partage d’expériences et réactions L’innovation pour les pôles de compétitivité Des ports dynamiques pour répondre aux défis de demain Construire et dynamiser son hinterland Quelles innovations pour concevoir des infrastructures portuaires respectueuses de l’environnement ? Solutions innovantes de traitement et de valorisation des sédiments de dragage
  11. Edition (Ceremadoc) Les 8es Assises du Port du futur : 25 - 28 septembre 2018

    La démarche Port du futur cherche à rassembler les acteurs du milieu portuaire. L’objectif est de réfléchir à l’avenir des ports français et de promouvoir l’innovation dans le domaine portuaire. Cette démarche est rythmée chaque année par les Assises du Port du futur où acteurs publics et privés, milieux économiques et universitaires se retrouvent pour des journées de travail et d’échange à l’intersection entre différentes disciplines (ingénierie, technique, sociologie, économie, écologie…). Les Assises sont organisées par le Cerema avec un réseau de partenaires la Direction Générale des Infrastructures, des Transports et de la Mer (DIGTM) du ministère de la Transition écologique et solidaire (MTES), l’Union des Ports de France, les Pôles Mer, les Pôles de compétitivité Novalog et I-trans, le Cluster maritime français, le club territoire maritime et portuaire de la Fédération nationale des Agences d’Urbanisme. Vision prospective du secteur portuaire français et européen Partage d’expériences et réactions L’innovation pour les pôles de compétitivité Des ports dynamiques pour répondre aux défis de demain Construire et dynamiser son hinterland Quelles innovations pour concevoir des infrastructures portuaires respectueuses de l’environnement ? Solutions innovantes de traitement et de valorisation des sédiments de dragage
  12. Edition (Ceremadoc) Les 7èmes Assises du Port du futur : 26 et 27 septembre 2017

    Le contexte portuaire français actuel se caractérise par une multiplicité des enjeux, par des contraintes croissantes (concurrence, pression démographique, évolutions technologiques, aspects environnementaux…) et par une multitude d’acteurs. La démarche Port du futur a été initiée par le Cerema, pour le compte de la Direction Générale des Infrastructures, des Transports et de la Mer (DGTIM) du ministère de la Transition écologique et solidaire (MTES). Elle est animée par un réseau de partenaires : l’Union des Ports de France, les pôles Mer, les pôles de compétitivité Novalog et i-Trans, le Cluster maritime français ainsi que l’Agence d’urbanisme de la Région du Havre et de l’Estuaire de la Seine. Exposition photo Vision prospective du secteur portuaire français et européen Les acteurs portuaires et territoires L’intégration du port dans son environnement L’innovation au service du passage portuaire Trophée Port du futur Les enjeux de la sécurité et de la sûreté physique et numérique La sécurité et la sécurisation des infrastructures La cybersécurité
  13. Edition (Ceremadoc) Les 5èmes assises du port du futur : 30 septembre et 1er octobre 2015

    Dans un contexte en perpétuelle évolution, les ports doivent s’adapter et innover pour faire face aux nouveaux enjeux qui se présentent à eux. Que ce soit en termes de développement durable, de gestion de l’hinterland ou d’intégration des systèmes d’information, les ports du futur doivent répondre à des attentes sans cesse renouvelées. Depuis 2011, les Assises « Port du Futur » rassemblent les décideurs, chercheurs, industriels et opérateurs de services impliqués dans la construction et l’activité portuaire pour débattre des nouveaux enjeux et de la manière d’y répondre. L’édition 2015 s’intéresse au rôle des ports comme acteurs moteurs du développement durable. Par ailleurs, les ports sont des acteurs majeurs sur leur territoire et contribuent à le structurer à travers leur hinterland. Enfin, afin de répondre aux besoins des acteurs portuaires, les ports doivent innover, notamment à travers les nouveaux outils connectés. Ce document présente les principaux thèmes et sujets abordés et les résultats issus des deux jours de débats lors de ces 5èmes Assises de « Port du Futur ». Les ports moteurs du développement durable Un contexte en constante évolution L’innovation par la technologie L’innovation organisationnelle et institutionnelle Une communication innovante Conclusions Le port architecte de son hinterland Le port logisticien Un port adapté au contexte local Conclusion Le port connecté Des outils nombreux mais qui manquent d’interopérabilité Conclusion Le port acteur de la transition énergétique Des politiques nouvelles, qui demandent de s’adapter Réduire les émissions polluantes vers l’atmosphère Lutter contre les pollutions accidentelles Mettre en place une filière de démantèlement respectueuse des hommes et de l’environnement Conclusions
  14. Edition (Ceremadoc) Les 4èmes Assises du port du futur : 9 et 10 septembre 2014.

    Les Assises du Port du futur sont un événement annuel du Ministère de l'écologie du développement durable et de l'énergie organisé par le Cerema (Direction technique Eau, mer et fleuves). Il s'agit d'un colloque destiné aux décideurs français et européens, aux responsables des grands ports mondiaux, aux industriels, aux opérateurs de services de transport et aux chercheurs pour leur permettre de travailler et pour échanger sur les enjeux portuaires d’aujourd’hui et de demain. L'essentiel des Assises est un document qui synthétise les débats qui se sont tenus lors de ce colloque à l'attention d'un public généraliste. Édito Le port stratège Europe France Ports Stratégie Défis Le port entrepreneur La question des sédiments de dragage, ou le port aménageur physique Définition Volumes Gestion Réglementation Bonnes pratiques Capitalisation Conclusion Le port développeur de services Un port attractif Les ports français Filières Conclusions
  15. Edition (Ceremadoc) Le transport fluvial « Freycinet » en France : Éléments de connaissance

    En France, depuis le milieu des années 90, le transport fluvial connaît un renouveau certain attesté par un accroissement du volume des marchandises transportées, ainsi que par un positionnement sur de nouvelles filières. La loi de programmation relative à la mise en œuvre du Grenelle de l’environnement de 2009, dite loi Grenelle n°1, a confirmé le report du transport de marchandises vers des modes alternatifs à la route comme un des moyens à mettre en œuvre pour réduire les émissions de gaz à effet de serre dans le domaine du transport de marchandises ; la réalisation du projet de canal Seine-Nord Europe à l’horizon 2020 y est inscrite. Dans un contexte favorable au développement du transport fluvial avec des objectifs importants de développement de ce mode de transport alternatif à la route, le transport fluvial sur le réseau dit Freycinet (à petit gabarit) occupe une place à part. Il a connu une érosion sans précédent depuis maintenant quarante ans. Depuis quelques années, le transport fluvial Freycinet connaît un regain d’intérêt certain porté par Voies navigables de France (VNF) et l’association Entreprendre pour le fluvial. Ces marchés de niche méritent qu’on s’y intéresse, car ils participent, même modestement, au maintien, voire au développement, du transport fluvial.
  16. Edition (Ceremadoc) Les abords d'une écluse sur voie à grand gabarit : Synthèse sur les dispositions types des abords d’une écluse implantée sur une voie à grand gabarit.

    L’objectif de ce document est de présenter une synthèse sur les dispositions types des abords d’une écluse implantée sur une voie à grand gabarit. Des installations sont nécessaires pour faciliter et rendre plus sûre l’entrée des automoteurs et convois poussés dans l’écluse ainsi que leur sortie. Ces installations permettent d’une part le stationnement, d’autre part de guider et contrôler les mouvements des bateaux lors de leurs manœuvres. Ce document propose, donc, à la lumière de diverses expériences acquises, de préciser certaines règles sur : l’implantation des écluses, la disposition des avant-ports, les garages d’attente ou zones d’amarrage, les estacades de guidage, les murs guides, les ducs d’Albe. Elle a également pour objet d’approfondir les principes de conception et de calcul des murs guides et des ducs d’Albe (chocs de bateaux) et de présenter quatre exemples d’étude détaillée de murs guides en annexe. I. IMPLANTATION DES ECLUSES I.1 Implantation sur un canal de navigation I.2 Implantation sur une rivière canalisée I.2.1 Possibilité d’établir une dérivation I.2.2 Impossibilité d’établir une dérivation II. LA DISPOSITION DES AVANT-PORTS II.1 Généralités II.2 Terminologie II.3 Etablissement de projet II.4 Implantation et alignement des avant-ports II.4.1 Remarques générales II.4.2 Avant-ports rectilignes II.4.3 Avant-ports implantés dans un méandre II.4.4 Canaux de dérivation des écluses III. LES GARAGES D’ATTENTE OU ZONE D’AMARRAGE IV. LES OUVRAGES DE GUIDAGE IV.1 Les estacades de guidage IV.2 Les murs guides IV.2.1 Présentation des murs guides IV.2.2 Dispositions retenues sur diverses voies navigables V. LES DUCS D’ALBE V.1 Description des ducs d’Albe V.2 Hypothèse de calcul V.2.1 Données concernant le choc V.2.2 Efforts statiques V.2.3 Calcul à la torsion V.2.4 Utilisation d’amortisseurs pour l’accostage de bateaux sur des duc d’Albe rigides BIBLIOGRAPHIE TABLE DES ILLUSTRATIONS
  17. Edition (Ceremadoc) Les 3èmes Assises du port du futur : 23 et 24 mai 2013. L’essentiel.

    La démarche « port du futur » a pour but de réfléchir collectivement à l’avenir des ports français et de promouvoir la recherche et l’innovation dans le domaine portuaire. Cette démarche regroupe plusieurs partenaires au sein d’un comité de pilotage : le Ministère chargé des transports s’appuyant sur son service expert le Direction technique Eau, mer et fleuves, les Pôles de compétitivité (Pôle Mer Bretagne, Pôle Mer Méditerranée, I-Trans et Novalog), l’Union des Ports de France, l’Association des Utilisateurs de Transport de Fret, l’Association des Régions de France et le Cluster Maritime Français. Le port du futur : une définition Éléments de prospective Le trafic maritime et les ports français Pour une transition vers l’économie circulaire Écouter les besoins des clients des ports Port du futur et énergie L'essor des EMR Optimiser la consommation, une question de gouvernance Les ports moteurs d’une compétitivité durable Le rôle primordial des armateurs Le passage au GNL La logistique durable, un processus global Les relations ville-port, entre attirance et defiance Valoriser le foncier portuaire Les relations ville-port
  18. Edition (Ceremadoc) Les 6èmes Assises du Port du futur : 20 et 21 septembre 2016.

    Les Assises du Port du futur sont un évènement du ministère de la Transition écologique et solidaire organisé par le Cerema Eau, mer et fleuves. Elles sont devenues depuis 2011 un événement annuel incontournable où acteurs publics et privés, milieux économiques et universitaires se retrouvent pour des journées de travail et d’échanges à l’intersection entre différentes disciplines (ingénierie, technique, sociologie, économie, écologie…). Elles offrent ainsi des moments d’échanges autour des nouveaux enjeux qui se présentent au monde portuaire mais garantissent aussi des débats techniques sur des sujets d’actualité nationale. Lors de cette édition 2016, un retour sur les récentes conférences fret fluvial et ferroviaire ainsi que sur les missions parlementaires sur l’attractivité des grandes places portuaires françaises a permis d’ouvrir les débats sur les infrastructures et les solutions innovantes pour fluidifier le trafic. Les échanges se sont poursuivis autour du rôle des ports au sein de la chaîne numérique. La seconde journée a été l'occasion d'évoquer les relations ville-ports au travers des contributions de la session "Le port du futur au service de la cité du futur". Enfin, les Assises se sont clôturées par des échanges autour du port industriel et notamment sur des sujets d’innovation tels que les enjeux de l’hydrogène et les ouvrages portuaires améliorés. Ce document présente les principaux thèmes et sujets abordés et les résultats issus des deux jours de débats lors de ces 6èmes Assises du Port du futur. Quelles infrastructures et solutions innovantes pour fluidifier les trafics ? Les besoins techniques des connexions fluviales et ferroviaires Solutions, services innovants et perspectives de développement Financer l’innovation Conclusion Les ports acteurs de la chaîne numérique Enjeux logistiques et interconnexion Le rôle du port dans la chaîne numérique Exemples d’initiatives Les difficultés des ports engagés dans la voie du numérique Conclusion Le port industriel Enjeux et perspectives de l’hydrogène Conclusion Les ouvrages portuaires améliorés Conclusion Le port du futur au service de la cité du futur La déconnexion entre villes et ports au cours du 20e siècle Les défis du 21e siècle La nécessaire coopération de la ville et du port gage de résilience Nouvelles fonctionnalités, nouvelle économie : comment les villes-ports s’adaptent ? Conclusion Conclusion générale
  19. Edition (Ceremadoc) Guide de mise en sécurité des écluses automatisées

    Le présent guide s’intéresse aux équipements qui sont nécessaires à l’exploitation ou contribuent à la sécurité des écluses automatisées à petit gabarit : Equipements d’amarrage, bouées, échelles, interphone, séparation des zones de circulation, passerelles et portes d’écluse, appontements – accès à la berge, éclairage, panneau d’information. Il contient d’une part, une synthèse des fonctions attendues, des éléments de choix et modes d’installation de ces équipements d’exploitation et de sécurité, et d’autre part une méthodologie favorisant une installation respectueuse de l’identité et de l’environnement de l’itinéraire sur lequel ils sont implantés. Présentation et mode d’emploi du guide METHODOLOGIE : DEFINITION D’UNE CHARTE D’ITINERAIRE FICHES TECHNIQUES Quelques règles générales d’intégration Equipements d’amarrage Bouées Echelle Interphone Séparation des zones de circulation Passerelles et portes d’écluse Appontements – accès à la berge Eclairage Panneau d’information EXEMPLE DE DEMARCHE D’ITINERAIRE Le Canal du Rhône au Rhin Exemple de fiches de visite
  20. Edition (Ceremadoc) Guide de mise en sécurité des écluses automatisées

    Le présent guide s’intéresse aux équipements qui sont nécessaires à l’exploitation ou contribuent à la sécurité des écluses automatisées à petit gabarit : Equipements d’amarrage, bouées, échelles, interphone, séparation des zones de circulation, passerelles et portes d’écluse, appontements – accès à la berge, éclairage, panneau d’information. Il contient d’une part, une synthèse des fonctions attendues, des éléments de choix et modes d’installation de ces équipements d’exploitation et de sécurité, et d’autre part une méthodologie favorisant une installation respectueuse de l’identité et de l’environnement de l’itinéraire sur lequel ils sont implantés. Présentation et mode d’emploi du guide METHODOLOGIE : DEFINITION D’UNE CHARTE D’ITINERAIRE FICHES TECHNIQUES Quelques règles générales d’intégration Equipements d’amarrage Bouées Echelle Interphone Séparation des zones de circulation Passerelles et portes d’écluse Appontements – accès à la berge Eclairage Panneau d’information EXEMPLE DE DEMARCHE D’ITINERAIRE Le Canal du Rhône au Rhin Exemple de fiches de visite
  21. Edition (Ceremadoc) Submersions marines - Plan communal de sauvegarde : il est incontournable !

    Submersion marine et plan communal de sauvegarde Ce P’tit Essentiel sur le risque submersion marine (inondation temporaire) s’adresse aux élus et décideurs des collectivités vulnérables aux submersions marines souhaitant acquérir une vision globale et une mise en perspective du plan communal de sauvegarde face à l’aléa de submersion marine. Il explique, entre autres, les méthodes mises en places pour diagnostiquer le risque d’inondation temporaire lié à une submersion marine sur chaque territoire en fonction des systèmes de protection et des épisodes de crise passés, et quelles actions mettre en place. Ce P'tit essentiel vous permet d’aller à l’essentiel en comprenant le contexte, les enjeux et la méthodologie d’action pour anticiper au mieux la gestion du risque de submersion marine. Submersion marine et inondation temporaire : Pourquoi le plan communal de sauvegarde est-il nécessaire ? Le plan communal de sauvegarde (PCS) est, pour les maires, un outil opérationnel indispensable pour gérer des crises liés , entres autres, aux tempêtes, ouragan, inondations engendrant des submersions marines. Il permet de planifier les actions des acteurs communaux de la gestion du risque en cas d’événements majeurs, naturels, technologiques ou sanitaires. Ce P'tit essentiel vous livre de manière synthétique les clés de la réglementation pour votre plan de sauvegarde communal. Gestion de crise face à l’aléa de submersion marine : Comment mieux protéger les habitants de ma commune ? Les inondations causées par submersion marine font partie des situations qui demandent une réaction communale rapide et organisée. Le maire doit donc avoir une bonne connaissance de ce phénomène et de ses conséquences sur son territoire et des dispositifs de prévision existants. Ce P'tit essentiel vous apporte les clés pour bien anticiper la gestion de crise liée à l’aléa de submersion marine. Plan communal de sauvegarde et risque de submersion marine : Comment rendre mon plan communal de sauvegarde opérationnel ? Le plan communal de sauvegarde (PCS) doit être un outil opérationnel permettant aux personnes d’anticiper de manière adéquate, efficace et rapide. Adapté à la taille de la commune, à son mode de fonctionnement et au contexte local, il nécessite une bonne connaissance du territoire impacté et une vision stratégique des actions à mener. Retrouvez de manière synthétique les 5 actions à mener pour rendre votre plan communal de sauvegarde opérationnel face aux submersions marines (inondation temporaire). Submersions marines et plan communal de sauvegarde Le contexte : Pourquoi le plan communal de sauvegarde est-il nécessaire ? Submersions marines : le plan communal de sauvegarde, essentiel à la gestion de crise Les enjeux : Comment mieux protéger les habitants de ma commune ? Anticiper la gestion de crise : bien connaître l'aléa de submersion marine La méthode : Comment rendre mon PCS opérationnel ? 5 axes pour rendre opération votre Plan de Sauvegarde Communal Mémo : Ma boîte à outils pour rédiger un PCS opérationnel
  22. Edition (Ceremadoc) Fondations de ponts en site aquatique en état précaire : Guide pour la surveillance et le confortement

    Ce document est consacré aux mesures à mettre en oeuvre sur les ouvrages dont les fondations immergées sont en état précaire. Il s'agit de mettre en place la surveillance, l'entretien ou le confortement des fondations grâce aux moyens techniques répertoriés, ainsi que les mesures de sécurité à prendre pour la mise en oeuvre de chaque méthode.
  23. Edition (Ceremadoc) Fiches synthétiques de mesure des états de mer du réseau CANDHIS-MAJ 2020 : Tome 1 - Mer du Nord, Manche et Atlantique

    Ce catalogue est un support à la diffusion des données. Il présente les informations disponibles et leurs traitements et pour chaque campagne une analyse complète des données sur toute la durée des observations disponibles. Cela comprend des informations générales, l’établissement des climatologies moyennes, l’analyse des valeurs extrêmes et un zoom sur les caractéristiques des états de mer observés lors des événements les plus marquants. Ce catalogue est destiné aux bureaux d’ingénierie, aux services de l’État ou des collectivités, aux organismes de recherche, et plus généralement à ceux qui travaillent de près ou de loin sur les états de mer. Ce catalogue, composé de trois tomes, est une actualisation de l’édition 2020 : le premier tome pour la Mer du Nord, la Manche et l’Atlantique, le deuxième tome pour la Méditerranée, et le troisième tome pour la l'outre-mer. 1. Introduction 2. Définitions 2.1 Analyse vague par vague 2.2 Analyse spectrale 3. Rappel théorique 3.1 Analyse vague par vague (ou analyse temporelle) 3.2 Analyse spectrale 3.2.1 Spectre de variance non directionnel 3.2.3 Spectre directionnel de variance 4. La mesure 4.1 Le réseau de mesures CANDHIS 4.2 Les appareils de mesure 4.3 État des données 4.3.1 Avertissement quant à l’usage des données 4.3.2 Pas de mesure des paramètres d’états de mer 4.4 Contrôle des données 4.4.1 Premier niveau de contrôle 4.4.2 Deuxième niveau de contrôle 5. Présentation des résultats 5.1 Convention d’unités 5.2 Informations générales 5.3 Climatologie moyenne 5.4 Analyse des valeurs extrêmes 5.4.1 Méthodologie 5.4.2 Interprétation 5.5 Sélection des événements remarquables 5.5.1 Méthodologie 5.5.2 Interprétation Annexes : les fiches synthétiques
  24. Edition (Ceremadoc) Fiches synthétiques de mesure des états de mer du réseau CANDHIS-MAJ 2020 : Tome 3 - Outre-mer

    Ce catalogue est un support à la diffusion des données. Il présente les informations disponibles et leurs traitements et pour chaque campagne une analyse complète des données sur toute la durée des observations disponibles. Cela comprend des informations générales, l’établissement des climatologies moyennes, l’analyse des valeurs extrêmes et un zoom sur les caractéristiques des états de mer observés lors des événements les plus marquants. Ce catalogue est destiné aux bureaux d’ingénierie, aux services de l’État ou des collectivités, aux organismes de recherche, et plus généralement à ceux qui travaillent de près ou de loin sur les états de mer. Ce catalogue, composé de trois tomes, est une actualisation de l’édition 2020 : le premier tome pour la Mer du Nord, la Manche et l’Atlantique, le deuxième tome pour la Méditerranée, et le troisième tome pour la l'outre-mer. 1. Introduction 2. Définitions 2.1 Analyse vague par vague 2.2 Analyse spectrale 3. Rappel théorique 3.1 Analyse vague par vague (ou analyse temporelle) 3.2 Analyse spectrale 3.2.1 Spectre de variance non directionnel 3.2.3 Spectre directionnel de variance 4. La mesure 4.1 Le réseau de mesures CANDHIS 4.2 Les appareils de mesure 4.3 État des données 4.3.1 Avertissement quant à l’usage des données 4.3.2 Pas de mesure des paramètres d’états de mer 4.4 Contrôle des données 4.4.1 Premier niveau de contrôle 4.4.2 Deuxième niveau de contrôle 5. Présentation des résultats 5.1 Convention d’unités 5.2 Informations générales 5.3 Climatologie moyenne 5.4 Analyse des valeurs extrêmes 5.4.1 Méthodologie 5.4.2 Interprétation 5.5 Sélection des événements remarquables 5.5.1 Méthodologie 5.5.2 Interprétation Annexes : les fiches synthétiques
  25. Edition (Ceremadoc) Forme de diagramme de rayonnement des feux de signalisation maritime : Ingénierie des aides à la navigation.

    La recommandation portant sur la forme des diagrammes de rayonnement est complémentaire à la recommandation AISM n° E122.La recommandation AISM n° E122 porte sur : la mesure du feu ; la présentation des résultats ; la détermination des caractéristiques du feu (portée et divergences). Les préconisations d'un pays à un autre étant très différentes, la recommandation AISM n° E122 ne traite pas de : la forme des diagrammes de rayonnement ; la divergence minimale du feu ; la réduction de portée liée aux mouvements de la bouée. Les préconisations françaises concernant ces trois points sont détaillées dans cette publication. 1. INTRODUCTION2. DESCRIPTION DE LA METHODE DES GABARITS A. DEFINITION DES DIAGRAMMES DE RAYONNEMENT EN SITE ET EN AZIMUT A.1. Repère orthonormé A.2. Types de diagramme de rayonnement B. PRINCIPE DE LA METHODE DES GABARITS C. CARACTERISATlON DU PROJECTEUR C.1. Définition du faisceau C.2. Zone normale d'utilisation C.3. Ouverture verticale du faisceau 3. FEUX D'HORIZON SUR SUPPORT FIXE A. DEFINITION DE LA PORTEE MOYENNE B. FORME DES GABARITS B.1. Forme du gabarit en azimut pour un angle de site nul B.2. Forme du gabarit en site pour un angle d'azimut fixé 4. FEUX D'HORIZON SUR SUPPORT FLOTTANT A. DEFINITION DE LA PORTEE MOYENNE B. FORME DES GABARITS B.1. Forme du gabarit en azimut pour un angle de site nul B.2. Forme du gabarit en site pour un angle d'azimut fixé 5. FEUX DE DIRECTION ET FEUX A FAISCEAUX TOURNANTS A. DEFINITION DE LA PORTEE DE REFERENCE B. FORME DES GABARITS
  26. Edition (Ceremadoc) Énergies renouvelables en mer - De nouveaux leviers énergétiques et économiques

    La France s’engage pour une croissance verte et bleue. Exploiter les ressources du milieu marin Les énergies renouvelables en mer sont des technologies permettant de produire de l’électricité à partir du milieu marin : le vent, les vagues, les courants, les marées, la température de l'eau... Comment mettre les énergies marines au cœur de la transition énergétique ? Quelles retombées pour mon territoire ? Quelle stratégie adopter pour préparer les projets ? Quelles sont les actions à engager en priorité ?
  27. Edition (Ceremadoc) Etudes géotechniques préalables à la réalisation des aménagements maritimes

    Cette notice, établie en collaboration avec le LCPC, permet d'examiner l'organisation et le contenu par phases successives de l'étude géotechnique. Elle présente les problèmes posés par les différents types d'ouvrages et ceux liés aux comportements du sol, et définit les paramètres nécessaires aux dimensionnements. Elle évoque les méthodes de reconnaissances applicables en site aquatique, les principaux essais en place et sondages couramment utilisés. INTRODUCTION 1 - ORGANISATION ET CONTENU DE L’ETUDE GEOTECHNIQUE 1.1. Phasage de l’étude géotechnique 1.2. Phase 1 : Enquête préalable sur le site 1.2.1. Documents généraux : géologie, topographie... 1.2.2. Reconnaissances antérieures 1.2.3. Travaux antérieurs 1.2.4. Comportement des ouvrages existants - Dossiers d’ouvrage 1.2.5. Banque de données 1.2.6. Examens du site 1.2.7. Rapport d’analyse des données géotechniques existantes 1.3. Phase 2 : Reconnaissance géotechnique qualitative ou semi-quantitative 1.3.1. Objectif 1.3.2. Moyens à mettre en oeuvre 1.3.3. Rapport de synthèse géotechnique 1.4. Phase 3 : Etude spécifique 1.4.1. Objectif 1.4.2. Moyens à mettre en oeuvre 1.4.3. Rapport d’étude spécifique 2 - PROBLEMES POSES PAR LES DIFFERENTS TYPES D’OUVRAGES 2.1. Murs-Poids - Caissons 2.2. Rideaux de palplanches - Parois moulées 2.3. Gabions - Batardeaux 2.4. Quais - Appontements sur pieux 2.5. Ducs d’Albe 2.6. Talus 2.7. Digues 2.8. Rempiètement 3 - PROLEMES TYPES LIES AU COMPORTEMENT DU SOL 3.1. Introduction 12 3.2. Problèmes-types liés au comportement mécanique de l’ensemble « ouvrage- sol environnant » 3.2.1. Ouvrages en site aquatique et ouvrages en site terrestre 3.2.2. Stabilité des ouvrages en terre 3.2.2.1. Cas des déblais 3.2.2.2. Cas des remblais 3.2.3. Fondations superficielles 3.2.4. Fondations profondes 3.2.5. Ouvrages de soutènement 3.2.6. Tableau récapitulatif 4 - RECONNAISSANCE DES SOLS EN SITE AQUATIQUE SONDAGES ET ESSAIS 4.1. Site terrestre et site aquatique 4.2. Aspect logistique 4.2.1. Reconnaissance dans la zone de l’estran 4.2.2. Reconnaissance en zones constamment immergées 4.3. Aspect géotechnique 4.3.1. Remarques générales 4.3.2. Carottage continu en gros diamètre 4.3.3. Carottage en rotation 4.3.4. Zone meuble superficielle 5 - REALISATION ET SUIVI DES OUVRAGES ANNEXES 1 - Essai pressiométrique 2 - Le scissomètre de chantier 3 - Pénétromètres statiques et dynamiques 4 - Carottages et essais dans le rocher 5 - Prélèvement de sols mous au carottier à piston stationnaire 6 - Essai de perméabilité Lugeon 7 - Contrôle de battage des pieux - Mesure de la résistance dynamique 8 - Contrôle des pieux exécutés en place - Auscultation sonique par transparence 9 - Inclinomètre LPC 10 - Le distancemètre LPC 11 - Le tassomètre 12 - Le piezomètre 13 - Essai statique de pieu 14 - Essai de tirant 15 - Méthodes géophysiques de reconnaissance des sols
  28. Edition (Ceremadoc) Etape de cartographie des surfaces inondables et des risques dans le cadre de la directive « inondations » : Rapport de la mission 5 "Inondations par submersions marines et tsunamis".

    La direction européenne relative à l'évaluation et à la gestion des inondations demande l'élaboration pour fin 2013 de cartes des zones inondables et de cartes de risques sur les secteurs identifiés comme à risques potentiels important d'inondations. Tous aléas naturels d'inondations sont concernés par ces cartographies. Ce document a pour objectif de présenter la méthodologie retenue pour les aléas submersion marine et tsunami. Pour l'aléa submersion marines, trois cartes doivent être réalisées pour trois périodicité d'événement différentes, pour des événements fréquent, moyen et extrême. La prise en compte des ouvrages est à définir en fonction de la période de l'événement et des caractéristiques des ouvrages. Les principales méthodes de cartographie sont décrites pour les événements fréquent et moyen, superposition d'un niveau marin à la topographie, estimation des volumes entrant et répartition topographique et modélisation numérique, ainsi que pour les événements extrêmes, où la confrontation de différentes approches (historique, géomorphologique, topographique, géologique) a été retenue. Les cartes existantes peuvent être ré-exploitées si elles conviennent. Il est proposé de ne pas réaliser de cartes d'aléa tsunami mais de faire une synthèse des connaissances sur les événements potentiels et les mesures de prévention existantes sur le territoire. 1 Introduction 2 Méthodologie d'élaboration des cartes d'aléa submersion marine 3 Démarche générale de l'étude d'aléa 3.1 l'analyse du fonctionnement du littoral (phase 1) 3.2 choix des événements naturels étudiés (phase 2.1) 3.3 prise en compte des ouvrages et scénarios à étudier (phase 2.1) 3.4 les méthodes de cartographie pour les événements fréquent et moyen (phase 2.2) 3.5 les méthodes de cartographie pour les événements extrêmes (phase 2.2) 3.6 résultats attendus 3.7 démarche de travail pour la mise en oeuvre de la cartographie di 4 Méthodologie d'élaboration des cartes d'aléa tsunami 5 Références bibliographiques 6 Annexes 6.1 estimation des surcotes extrêmes sur les côtes métropolitaines 6.2 éléments de cahier des charges 6.3 réflexions sur les données bathymétriques 6.4 organisation de la mission « aléas submersion marine et tsunami » 6.5 extraits des premiers éléments méthodologiques pour l'élaboration des plans de prévention des risques littoraux
  29. Edition (Ceremadoc) Exploitation d’images satellite pour le littoral : Volet III : Prototype de reconnaissance du trait de côte en tant que limite d'immersion à partir d'images satellite

    Volet I : État de l'art de l'utilisation des technologies satellitaires pour la cartographie du trait de côte et de la bathymétrie Ce rapport établit ainsi l’état de l’art de l’utilisation de l’imagerie satellitaire pour le suivi du trait de côte et la cartographie de la bathymétrie des petits fonds. Il contient en préalable une première partie pédagogique sur les notions d’imagerie satellitaire en observation de la Terre puis analyse les techniques éprouvées au travers d’une étude bibliographique réalisée en 2012. Concernant l’identification et le suivi du trait de côte, la bibliographie montre que l’utilisation de l’imagerie satellitaire permet de cartographier, sur de larges emprises géographiques, avec une fréquence élevée et un faible coût, les faciès littoraux de type eau, plage, dune, végétation, bâti et d’en extraire un marqueur de position du trait de côte de type limite d’immersion, pied de dune pour les côtes sableuses ou pied de falaise pour les côtes à falaise. Les précisions obtenues sont variables en fonction des marqueurs suivis et des types de côte, en particulier les erreurs augmentent sur les côtes rocheuses. Pour la bathymétrie des eaux peu profondes, une méthode d’inversion du signal optique satellitaire permet de fournir des cartes bathymétriques précises sur les 10 premiers mètres en eaux moyennement turbides et sur les 25 premiers mètres en eaux claires. Dans les eaux plus profondes, une méthode exploitant les propriétés de la houle permet de fournir des informations bathymétriques dans les zones de houle (de 10 à 40 m de profondeur). Ces méthodes, réalisées sur la base d’images satellite de type SPOT, ont prouvé leur efficacité et présentent l’avantage de fournir des informations continues, sur de larges zones géographiques avec une fréquence annuelle ou pluriannuelle et à faible coût. D’autres méthodes, basées sur l’altimétrie/gravimétrie et sur la technologie Lidar, sont présentées mais sont plutôt à envisager en termes de perspectives à moyen et long termes. L’extraction semi-automatique de l’information « trait de côte » à partir de l’imagerie satellitaire présente ainsi aujourd’hui une maturité suffisante pour un déploiement sur certains territoires. Elle présente des potentialités intéressantes de capacité de revisite à moindre coût, pour un suivi et une gestion intégrée du trait de côte. Volet II : Réalisation d'un prototype d'extraction du trait de côte à partir d'images satellite. Application à l'archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon Un premier rapport a ainsi établi l’état de l’art des méthodes existantes sur ces problématiques, afin d’identifier les plus prometteuses notamment en fonction des paysages rencontrés (volet I des rapports « Exploitation d’images satellite pour le littoral »). Il a conclu à la maturité de certaines techniques de reconnaissance par imagerie satellitaire de marqueurs de position du trait de côte, notamment en tant qu’interface terre-mer, c’est-à-dire limite entre deux zones présentant des caractéristiques terrestres (au-dessus du trait de côte) et maritimes (en dessous du trait de côte). Le Cerema s’est alors engagé à développer une méthodologie et un prototype qui permettraient d’extraire automatiquement la position du trait de côte en tant qu’interface de faciès terrestres et maritimes à partir d’images satellite à très haute résolution spatiale (images Pléiades). L’objectif final serait de transférer cette technologie à tout acteur qui souhaiterait utiliser les images satellite pour suivre l’évolution de la position du trait de côte, particulièrement sur les territoires macrotidaux où ce type de méthode est particulièrement adapté. Ce rapport (volet II) présente les tests opérés sur l’archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon pour développer un prototype permettant d’extraire automatiquement la position du trait de côte sur des images Pléiades obtenues dans le cadre du programme GEOSUD. Le processus d’acquisition se base sur la réalisation, par classification automatique, d’une cartographie des faciès à proximité du trait de côte puis sur l’extraction de la limite terre – mer comme frontière entre types d’occupation des sols. Le « trait de côte » ainsi obtenu a été comparé à des mesures effectuées sur le terrain. La stabilité de la méthode dans le temps a été évaluée via l’exploitation de deux images de deux années consécutives sur l’île de Saint-Pierre, en 2012 et 2013. Les travaux effectués montrent que la méthode peut conduire à des précisions de localisation de marqueurs de position du trait de côte de 2 à 3 m en moyenne lorsqu’il s’agit d’une limite de végétation ou d’érosion. Dans les autres cas (rochers, pieds de dune, gabions, galets), la technique donne des résultats plus inégaux et dans l’ensemble de moins bonne qualité. Des pistes sont proposées pour améliorer la méthode en prévision d’une évaluation plus large sur davantage de paysages et situations : utilisation de modèles numériques de terrain, exploitation d’informations issues des bases de données disponibles sur les zones étudiées (référentiels IGN par exemple) ou recours à des algorithmes de simplification de lignes. Volet III : Prototype de reconnaissance du trait de côte en tant que limite d’immersion à partir d’images satellite Un premier rapport a ainsi établi l’état de l’art des méthodes existantes sur ces problématiques, afin d’identifier les plus prometteuses notamment en fonction des paysages rencontrés (volet I des rapports « Exploitation d’images satellite pour le littoral »). Il a conclu à la maturité de certaines techniques de reconnaissance de marqueurs de position du trait de côte, notamment de la limite d’immersion (limite du jet de rive ou limite eau/non eau). Le Cerema s’est alors engagé à développer une méthodologie et un prototype qui permettraient d’extraire automatiquement la position du jet de rive à partir d’images satellite à très haute résolution spatiale (images Pléiades). L’objectif final serait de transférer cette technologie à tout acteur de la gestion intégrée du trait de côte qui souhaiterait utiliser les images satellite pour en suivre son évolution. Ce type de méthode est particulièrement adapté au suivi du trait de côte pour des territoires à faible marnage ou pour le suivi « instantané » de la position du jet de rive. Ce rapport (volet III) présente les tests opérés sur le secteur du Grau-du-Roi (30) pour développer un prototype permettant d’extraire automatiquement la position du trait de côte sur des images Pléiades à l’aide d’une méthode de type seuillage. Les marqueurs de limites hautes et basses du jet de rive extraits suivent fidèlement le jet de rive observé sur l’image satellite. Quelques rares anomalies apparaissent ponctuellement en présence de nuages ou d’ombres qui intersectent le trait de côte. Cette méthode présente les avantages d’être précise, notamment pour la limite basse du jet de rive, transférable géographiquement et relativement simple à mettre en œuvre sur un secteur géographique donné. Ces résultats montrent qu’un outil opérationnel de suivi du trait de côte à partir d’images satellite est aujourd’hui accessible en milieu microtidal. Des développements complémentaires doivent néanmoins être réalisés pour couvrir un linéaire côtier de plusieurs dizaines de kilomètres, vérifier la répétitivité temporelle des seuils fixés, développer un outil ergonomique et assurer son transfert vers des utilisateurs finaux. Un comité d’utilisateurs sera monté dans cette optique à partir de 2016. Volet I : État de l'art de l'utilisation des technologies satellitaires pour la cartographie du trait de côte et de la bathymétrie I. INTRODUCTION I.1 Contexte de l’étude I.2 Les informations géographiques recherchées II. LES SATELLITES D’OBSERVATION DE LA TERRE : QUELQUES NOTIONS II.1 Les satellites d’observation de la Terre II.2 L’exploitation des images satellites II.3 Atouts de l’imagerie satellitaire III. ÉTAT DE L’ART de la CARTOGRAPHIE DU TRAIT DE CÔTE À PARTIR D’IMAGES SATELLITES III.1 Exploitation des images satellites par photo-interprétation III.2 Extraction semi-automatique du trait de côte III.3 Détection de l’artificialisation du trait de côte III.4 Analyse de l’état de l’art IV. ÉTAT DE L’ART DES MESURES DE BATHYMETRIE PAR SATELLITE IV.1 Mesures de bathymétrie par détection des limites entre zones émergées et zones immergées IV.2 Mesures de bathymétrie par inversion du signal optique IV.3 Mesures bathymétriques par détection des crêtes de houle IV.4 Autres méthodes et perspectives IV.5 Analyse de l’état de l’art V. CONCLUSIONS VI. Annexes VI.1 Annexe 1 : Estimation de la bathymétrie par gravimétrie/altimétrie VI.2 Annexe 2 : Mesures de bathymétrie par Lidar Satellitaire Volet II : Réalisation d’un prototype d’extraction du trait de côte à partir d’images satellite. Application à l’archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon I. Introduction II. La cartographie du trait de côte par imagerie spatiale II.1 Définitions du trait de côte II.2 Cartographie du trait de côte par imagerie spatiale III. Zones d’étude III.1 L’archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon III.2 L’isthme de Miquelon-Langlade (zone A) III.3 L’île de Saint-Pierre (zone B) IV. Données disponibles IV.1 Les images Pléiades IV.2 Les levés terrain de la DTAM de Saint-Pierre-et-Miquelon IV.3 Trait de côte Histolitt® IV.4 Modèle numérique de surface V. Méthode d’extraction du trait de côte V.1 Principe général et logiciels utilisés V.2 Préparation du chantier V.3 Création et sélection des indices et textures V.4 Classifications des images V.5 Extraction du trait de côte V.6 Évaluation des résultats VI. Synthèse des résultats VI.1 Classifications VI.2 Trait de côte extrait VII. Bilan VII.1 Analyse de la performance du prototype développé VII.2 Perspectives VII.3 Conclusion VIII. Annexe : Résultats complets VIII.1 Zone A Isthme de Miquelon-Langlade VIII.2 Zone B1 Etang VIII.3 Zone B2 Aéroport VIII.4 Zone B3 Ile aux Marins Volet III : Prototype de reconnaissance du trait de côte en tant que limite d’immersion à partir d’images satellite I. Contexte et objectif II. Contexte géomatique II.1 Site d’étude II.2 Données disponibles III. Extraction du jet de rive III.1 Principe de la méthode III.2 Traitement de l’image Pléiades IV. Analyse des résultats IV.1 Analyse visuelle IV.2 Analyse quantitative : comparaison au trait de côte digitalisé sur l’Ortho Littorale V2 V. CONCLUSIONS
  30. Edition (Ceremadoc) Enquête Dragage 2014 : Enquête nationale sur les dragages des ports maritimes

    Cette enquête est réalisée chaque année par le Cerema. Elle vise à exploiter l'ensemble des données relatives aux opérations de dragage. Ces données sont transmises par les Services de Police des Eaux Littorales de l'ensemble des départements maritimes de France métropolitaine et d'outre-mer, ainsi que par les grands ports maritimes. Ces données sont ensuite synthétisées par le Cerema et retranscrites dans des tableaux formatés adoptés par les lignes directrices internationales. Le document expose les quantités de sédiments dragués en France, les différentes techniques utilisées ainsi que les différentes destinations de ces sédiments et leurs niveaux de contaminations au regard des niveaux de réglementaires existants. 1 - GÉNÉRALITÉS 1.1 - Contexte de l'enquête 1.2 - Étendue de l'enquête 1.3 - Contenu du rapport 2 - DRAGAGE 2.1 - Quantités de matière sèche draguées en France 2.1.2 - L’outre-mer en 2014 2.1.3 - Grands ports maritimes métropolitains en 2014 2.1.4 - Autres ports métropolitains 2.2 - Techniques de dragage 2.2.1 - Grands ports maritimes métropolitains 2.2.2 - Autres ports métropolitains 2.3 - Travaux neufs et travaux d'entretien 3 - DESTINATION DES SÉDIMENTS 3.1 – Destination et usages répertoriés 3.1.1 - Immersion et rejet des sédiments en mer 3.1.2 - Rechargement de plages 3.1.3 - Dépôt à terre 3.1.4 - Dépôt en mer 3.1.5 - Les autres destinations 3.2 – Destination par type de port 3.2.1 - Grands ports maritimes métropolitains 3.2.2 – Autres ports 4 - LES PERMIS D'IMMERSION 5 - LES CONTAMINANTS 5.1 - Les éléments-traces métalliques (ETM) 5.2 - Les polychlorobiphényles (PCB) 5.3 - Le tributylétain (TBT) 5.4 - Les hydrocarbures aromatiques polycycliques (HAP) 6 - BILAN DES DONNÉES DE SUIVI RECUEILLIES CONCLUSION
  31. Edition (Ceremadoc) Exploitation d’images satellite pour le littoral : Volet I : État de l'art de l'utilisation des technologies satellitaires pour la cartographie du trait de côte et de la bathymétrie

    Volet I : État de l'art de l'utilisation des technologies satellitaires pour la cartographie du trait de côte et de la bathymétrie Ce rapport établit ainsi l’état de l’art de l’utilisation de l’imagerie satellitaire pour le suivi du trait de côte et la cartographie de la bathymétrie des petits fonds. Il contient en préalable une première partie pédagogique sur les notions d’imagerie satellitaire en observation de la Terre puis analyse les techniques éprouvées au travers d’une étude bibliographique réalisée en 2012. Concernant l’identification et le suivi du trait de côte, la bibliographie montre que l’utilisation de l’imagerie satellitaire permet de cartographier, sur de larges emprises géographiques, avec une fréquence élevée et un faible coût, les faciès littoraux de type eau, plage, dune, végétation, bâti et d’en extraire un marqueur de position du trait de côte de type limite d’immersion, pied de dune pour les côtes sableuses ou pied de falaise pour les côtes à falaise. Les précisions obtenues sont variables en fonction des marqueurs suivis et des types de côte, en particulier les erreurs augmentent sur les côtes rocheuses. Pour la bathymétrie des eaux peu profondes, une méthode d’inversion du signal optique satellitaire permet de fournir des cartes bathymétriques précises sur les 10 premiers mètres en eaux moyennement turbides et sur les 25 premiers mètres en eaux claires. Dans les eaux plus profondes, une méthode exploitant les propriétés de la houle permet de fournir des informations bathymétriques dans les zones de houle (de 10 à 40 m de profondeur). Ces méthodes, réalisées sur la base d’images satellite de type SPOT, ont prouvé leur efficacité et présentent l’avantage de fournir des informations continues, sur de larges zones géographiques avec une fréquence annuelle ou pluriannuelle et à faible coût. D’autres méthodes, basées sur l’altimétrie/gravimétrie et sur la technologie Lidar, sont présentées mais sont plutôt à envisager en termes de perspectives à moyen et long termes. L’extraction semi-automatique de l’information « trait de côte » à partir de l’imagerie satellitaire présente ainsi aujourd’hui une maturité suffisante pour un déploiement sur certains territoires. Elle présente des potentialités intéressantes de capacité de revisite à moindre coût, pour un suivi et une gestion intégrée du trait de côte. Volet II : Réalisation d'un prototype d'extraction du trait de côte à partir d'images satellite. Application à l'archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon Un premier rapport a ainsi établi l’état de l’art des méthodes existantes sur ces problématiques, afin d’identifier les plus prometteuses notamment en fonction des paysages rencontrés (volet I des rapports « Exploitation d’images satellite pour le littoral »). Il a conclu à la maturité de certaines techniques de reconnaissance par imagerie satellitaire de marqueurs de position du trait de côte, notamment en tant qu’interface terre-mer, c’est-à-dire limite entre deux zones présentant des caractéristiques terrestres (au-dessus du trait de côte) et maritimes (en dessous du trait de côte). Le Cerema s’est alors engagé à développer une méthodologie et un prototype qui permettraient d’extraire automatiquement la position du trait de côte en tant qu’interface de faciès terrestres et maritimes à partir d’images satellite à très haute résolution spatiale (images Pléiades). L’objectif final serait de transférer cette technologie à tout acteur qui souhaiterait utiliser les images satellite pour suivre l’évolution de la position du trait de côte, particulièrement sur les territoires macrotidaux où ce type de méthode est particulièrement adapté. Ce rapport (volet II) présente les tests opérés sur l’archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon pour développer un prototype permettant d’extraire automatiquement la position du trait de côte sur des images Pléiades obtenues dans le cadre du programme GEOSUD. Le processus d’acquisition se base sur la réalisation, par classification automatique, d’une cartographie des faciès à proximité du trait de côte puis sur l’extraction de la limite terre – mer comme frontière entre types d’occupation des sols. Le « trait de côte » ainsi obtenu a été comparé à des mesures effectuées sur le terrain. La stabilité de la méthode dans le temps a été évaluée via l’exploitation de deux images de deux années consécutives sur l’île de Saint-Pierre, en 2012 et 2013. Les travaux effectués montrent que la méthode peut conduire à des précisions de localisation de marqueurs de position du trait de côte de 2 à 3 m en moyenne lorsqu’il s’agit d’une limite de végétation ou d’érosion. Dans les autres cas (rochers, pieds de dune, gabions, galets), la technique donne des résultats plus inégaux et dans l’ensemble de moins bonne qualité. Des pistes sont proposées pour améliorer la méthode en prévision d’une évaluation plus large sur davantage de paysages et situations : utilisation de modèles numériques de terrain, exploitation d’informations issues des bases de données disponibles sur les zones étudiées (référentiels IGN par exemple) ou recours à des algorithmes de simplification de lignes. Volet III : Prototype de reconnaissance du trait de côte en tant que limite d’immersion à partir d’images satellite Un premier rapport a ainsi établi l’état de l’art des méthodes existantes sur ces problématiques, afin d’identifier les plus prometteuses notamment en fonction des paysages rencontrés (volet I des rapports « Exploitation d’images satellite pour le littoral »). Il a conclu à la maturité de certaines techniques de reconnaissance de marqueurs de position du trait de côte, notamment de la limite d’immersion (limite du jet de rive ou limite eau/non eau). Le Cerema s’est alors engagé à développer une méthodologie et un prototype qui permettraient d’extraire automatiquement la position du jet de rive à partir d’images satellite à très haute résolution spatiale (images Pléiades). L’objectif final serait de transférer cette technologie à tout acteur de la gestion intégrée du trait de côte qui souhaiterait utiliser les images satellite pour en suivre son évolution. Ce type de méthode est particulièrement adapté au suivi du trait de côte pour des territoires à faible marnage ou pour le suivi « instantané » de la position du jet de rive. Ce rapport (volet III) présente les tests opérés sur le secteur du Grau-du-Roi (30) pour développer un prototype permettant d’extraire automatiquement la position du trait de côte sur des images Pléiades à l’aide d’une méthode de type seuillage. Les marqueurs de limites hautes et basses du jet de rive extraits suivent fidèlement le jet de rive observé sur l’image satellite. Quelques rares anomalies apparaissent ponctuellement en présence de nuages ou d’ombres qui intersectent le trait de côte. Cette méthode présente les avantages d’être précise, notamment pour la limite basse du jet de rive, transférable géographiquement et relativement simple à mettre en œuvre sur un secteur géographique donné. Ces résultats montrent qu’un outil opérationnel de suivi du trait de côte à partir d’images satellite est aujourd’hui accessible en milieu microtidal. Des développements complémentaires doivent néanmoins être réalisés pour couvrir un linéaire côtier de plusieurs dizaines de kilomètres, vérifier la répétitivité temporelle des seuils fixés, développer un outil ergonomique et assurer son transfert vers des utilisateurs finaux. Un comité d’utilisateurs sera monté dans cette optique à partir de 2016. Volet I : État de l'art de l'utilisation des technologies satellitaires pour la cartographie du trait de côte et de la bathymétrie I. INTRODUCTION I.1 Contexte de l’étude I.2 Les informations géographiques recherchées II. LES SATELLITES D’OBSERVATION DE LA TERRE : QUELQUES NOTIONS II.1 Les satellites d’observation de la Terre II.2 L’exploitation des images satellites II.3 Atouts de l’imagerie satellitaire III. ÉTAT DE L’ART de la CARTOGRAPHIE DU TRAIT DE CÔTE À PARTIR D’IMAGES SATELLITES III.1 Exploitation des images satellites par photo-interprétation III.2 Extraction semi-automatique du trait de côte III.3 Détection de l’artificialisation du trait de côte III.4 Analyse de l’état de l’art IV. ÉTAT DE L’ART DES MESURES DE BATHYMETRIE PAR SATELLITE IV.1 Mesures de bathymétrie par détection des limites entre zones émergées et zones immergées IV.2 Mesures de bathymétrie par inversion du signal optique IV.3 Mesures bathymétriques par détection des crêtes de houle IV.4 Autres méthodes et perspectives IV.5 Analyse de l’état de l’art V. CONCLUSIONS VI. Annexes VI.1 Annexe 1 : Estimation de la bathymétrie par gravimétrie/altimétrie VI.2 Annexe 2 : Mesures de bathymétrie par Lidar Satellitaire Volet II : Réalisation d’un prototype d’extraction du trait de côte à partir d’images satellite. Application à l’archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon I. Introduction II. La cartographie du trait de côte par imagerie spatiale II.1 Définitions du trait de côte II.2 Cartographie du trait de côte par imagerie spatiale III. Zones d’étude III.1 L’archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon III.2 L’isthme de Miquelon-Langlade (zone A) III.3 L’île de Saint-Pierre (zone B) IV. Données disponibles IV.1 Les images Pléiades IV.2 Les levés terrain de la DTAM de Saint-Pierre-et-Miquelon IV.3 Trait de côte Histolitt® IV.4 Modèle numérique de surface V. Méthode d’extraction du trait de côte V.1 Principe général et logiciels utilisés V.2 Préparation du chantier V.3 Création et sélection des indices et textures V.4 Classifications des images V.5 Extraction du trait de côte V.6 Évaluation des résultats VI. Synthèse des résultats VI.1 Classifications VI.2 Trait de côte extrait VII. Bilan VII.1 Analyse de la performance du prototype développé VII.2 Perspectives VII.3 Conclusion VIII. Annexe : Résultats complets VIII.1 Zone A Isthme de Miquelon-Langlade VIII.2 Zone B1 Etang VIII.3 Zone B2 Aéroport VIII.4 Zone B3 Ile aux Marins Volet III : Prototype de reconnaissance du trait de côte en tant que limite d’immersion à partir d’images satellite I. Contexte et objectif II. Contexte géomatique II.1 Site d’étude II.2 Données disponibles III. Extraction du jet de rive III.1 Principe de la méthode III.2 Traitement de l’image Pléiades IV. Analyse des résultats IV.1 Analyse visuelle IV.2 Analyse quantitative : comparaison au trait de côte digitalisé sur l’Ortho Littorale V2 V. CONCLUSIONS
  32. Edition (Ceremadoc) Etudes des perturbations par les éoliennes des équipements électromagnétiques de localisation maritimes et fluviaux

    Dans un souci de réduction des émissions de gaz à effet de serre, la France souhaite favoriser le développement des énergies renouvelables, en particulier l'éolien. Néanmoins, le mouvement des pales des aérogénérateurs est susceptible de perturber sérieusement les équipements radioélectriques qui fonctionnent à proximité ; il convient donc de recenser la nature de ces perturbations et d'estimer leur impact. Ce document évalue les perturbations apportées par l’implantation de parcs éoliens à proximité des équipements radioélectriques tels que les radars des CROSS et des ports, les goniomètres en bande VHF et les GPS différentiels (DGPS). électromagnétiques du Centre d’Etudes Techniques Maritimes et Fluviales (Direction technique Eau, mer et fleuves). 1. INTRODUCTION 2. ABREVIATIONS3. ANALYSE DU FONCTIONNEMENT DES EQUIPEMENTS DU CETMEF 3.1. Radar 3.1.1. Particularités des radars utilisés dans l’environnement maritime et fluvial 3.1.2. Rappel de quelques caractéristiques du radar du Stiff à Ouessant 3.1.3. Rappel de quelques caractéristiques du radar de Honfleur port du Havre 3.2. Goniomètres 3.3. DGPS 4. EFFETS PERTURBATEURS ENVISAGEABLES 4.1. Radar 4.1.1. Effet de masquage 4.1.2. Génération de fausses cibles 4.1.3. Dégradation de la résolution distance des radars 4.1.4. Dégradation de la mesure angulaire 4.2. Goniomètre 4.2.1. Effet de masquage 4.2.2. Effet des multi-trajets 4.3. DGPS 4.3.1. Perturbation de la réception GPS par la station de référence 4.3.2. Perturbation de la propagation du signal radio 4.3.3. Perturbation de la réception GPS par le navire 4.4. Résumé des effets perturbateurs possibles 5. TABLEAU DES DEGRADATIONS TOLERABLES 6. QUANTIFICATION DES EFFETS PERTURBATEURS DES EOLIENNES 6.1. Taille de l’éolienne test 6.2. Effets perturbateurs sur les radars 6.2.1. Quantification des effets de masquage 6.2.2. Quantification de l’effet d’aveuglement par fausses cibles 6.2.3. Dégradation de la localisation distance des radars 6.3. Sur les goniomètres 6.3.1. Effet de masquage 6.3.2. Effet d’erreur de mesure angulaire 6.4. Sur le DGPS 6.4.1. Perturbation des communications à 300 kHz par masquage 6.4.2. Perturbation de la réception satellite GPS (station de référence ou sur bateau) par multitrajets 7. PRECONISATION SUR L’IMPLANTATION DES PARCS EOLIENS 7.1. Conclusions sur les effets perturbateurs apportés 7.1.1. Aux radars 7.1.2. Aux Goniomètres 7.1.3. Sur les DGPS 7.2. Proposition de préconisation d’implantation des éoliennes 7.2.1. Face aux radars 7.2.2. Face aux goniomètres Doppler 7.2.3. Face aux DGPS 8. REDUCTION DE L’EFFET DES PARCS EOLIENS SUR LA FONCTION RADAR9. REFERENCES
  33. Edition (Ceremadoc) Guide d'utilisation du béton en site maritime

    Le présent document est un guide sur l’utilisation du béton dans les ouvrages maritimes. Sans se substituer aux normes et règlements existants, il a pour objectif d’apporter des informations pratiques afin de faciliter la formulation du béton la plus appropriée pour la réalisation d’un ouvrage fonctionnel, économique et durable dans un environnement maritime. Il rappelle également les règles de l’art principales relatives à la mise en œuvre, au contrôle de la fabrication et de la mise en œuvre du béton et à la gestion de l’entretien des ouvrages en béton. Il s’adresse essentiellement aux maîtres d'œuvre qui ont à préparer un projet d’ouvrage en béton dans un environnement maritime, mais aussi à tous les acteurs de la construction dans les ports et sur le littoral maritime en France métropolitaine et outre-mer. Ce document traite donc du matériau béton essentiellement pour les ouvrages intérieurs aux ports maritimes, mais il peut aussi s’appliquer aux ouvrages de protection des ports, aux ouvrages de protection du littoral et aux établissements de signalisation maritime. 1. INTRODUCTION GÉNÉRALE 1.1 Champ d’application du guide 1.2 Objectif du guide 1.3 Contenu, articulation des chapitres 1.4 Qu’est-ce que le béton ? 1.4.1 Les ciments 1.4.2 Les granulats 1.4.3 Les additions 1.4.4 Les adjuvants 1.4.5 Les ajouts 1.4.6 L’eau de gâchage 2. SPECIFICITES DES OUVRAGES EN BETON EN ENVIRONNEMENT MARITIME 2.1 Typologie des ouvrages 2.2 Construction 2.3 Agressivité du milieu 2.3.1 Généralités 2.3.2 Attaques externes sur le béton seul 2.3.3 Attaques internes du béton 2.3.4 Cycles de gel-dégel 2.3.5 Corrosion des armatures 2.3.6 Bilan des attaques du béton pour un ouvrage maritime 3. BETON EN SITE MARITIME, EXIGENCES ET SPECIFICATIONS 3.1 Exigences performantielles 3.1.1 Résistance mécanique 3.1.2 Exigences esthétiques 3.1.3 Ouvrabilité 3.1.4 Exigences de durabilité 3.2 Référentiel technique 3.3 Stipulations 3.3.1 Généralités 3.3.2 Durée d'utilisation du projet 3.3.3 Types de béton 3.3.4 Classes d'exposition 3.3.5 Classes de teneur en chlorures 3.3.6 Spécifications principales pour la composition et les propriétés du béton 3.3.7 Prévention contre les risques d'alcali-réaction 3.3.8 Prévention contre les risques de réaction sulfatique interne 3.3.9 Enrobage des armatures 3.3.10 Autres spécifications 3.4 Durabilité et approche performantielle 3.4.1 Les indicateurs de durabilité 3.4.2 Les témoins de durée de vie 3.5 Bétons aux nouvelles performances 3.5.1 Bétons autoplaçants (BAP) 3.5.2 Bétons Hautes Performances (BHP) 3.5.3 Bétons fibrés 3.5.4 BFUP 3.5.5 Produits spéciaux 3.6 Armatures en acier inoxydable 3.6.1 Nuances d’acier inoxydable 3.6.2 Avantages et inconvénients 4. MISE EN OEUVRE DU BETON 4.1 Structures coulées en place 4.1.1 Fabrication du béton 4.1.2 Transport du béton 4.1.3 Matériels couramment utilisés pour le transport du béton 4.1.4 Cas spécifique du béton coulé sous l'eau 4.1.5 Dispositions constructives 4.2 Préfabrication 4.2.1 Fabrication des éléments en béton 4.2.2 Transport et stockage 4.2.3 Blocs de défenses préfabriqués 4.3 Environnement 4.3.1 Aspect législatif 4.3.2 Mesures de protection du milieu 5. CONTRÔLE DE LA QUALITE 5.1 Démarche 5.2 Exigences du Dossier de Consultation des Entreprises 5.3 Analyse des offres 5.4 Contrôle extérieur 5.4.1 Analyse des plans d'assurance qualité (PAQ) 5.4.2 Vérification du contrôle intérieur 5.4.3 Epreuves 6. GESTION DES OUVRAGES 6.1 Dispositions constructives 6.2 Surveillance 6.2.1 Généralités 6.2.2 Dossier d'ouvrage 6.2.3 Surveillance continue de l'ouvrage 6.2.4 Visites d'évaluation 6.2.5 Inspections détaillées 6.3 Suivi des paramètres de durabilité du béton 6.3.1 Généralités 6.3.2 Méthodologie 7. APPLICATIONANNEXES
  34. Edition (Ceremadoc) Guide d'utilisation du béton en site maritime

    Le présent document est un guide sur l’utilisation du béton dans les ouvrages maritimes. Sans se substituer aux normes et règlements existants, il a pour objectif d’apporter des informations pratiques afin de faciliter la formulation du béton la plus appropriée pour la réalisation d’un ouvrage fonctionnel, économique et durable dans un environnement maritime. Il rappelle également les règles de l’art principales relatives à la mise en œuvre, au contrôle de la fabrication et de la mise en œuvre du béton et à la gestion de l’entretien des ouvrages en béton. Il s’adresse essentiellement aux maîtres d'œuvre qui ont à préparer un projet d’ouvrage en béton dans un environnement maritime, mais aussi à tous les acteurs de la construction dans les ports et sur le littoral maritime en France métropolitaine et outre-mer. Ce document traite donc du matériau béton essentiellement pour les ouvrages intérieurs aux ports maritimes, mais il peut aussi s’appliquer aux ouvrages de protection des ports, aux ouvrages de protection du littoral et aux établissements de signalisation maritime. 1. INTRODUCTION GÉNÉRALE 1.1 Champ d’application du guide 1.2 Objectif du guide 1.3 Contenu, articulation des chapitres 1.4 Qu’est-ce que le béton ? 1.4.1 Les ciments 1.4.2 Les granulats 1.4.3 Les additions 1.4.4 Les adjuvants 1.4.5 Les ajouts 1.4.6 L’eau de gâchage 2. SPECIFICITES DES OUVRAGES EN BETON EN ENVIRONNEMENT MARITIME 2.1 Typologie des ouvrages 2.2 Construction 2.3 Agressivité du milieu 2.3.1 Généralités 2.3.2 Attaques externes sur le béton seul 2.3.3 Attaques internes du béton 2.3.4 Cycles de gel-dégel 2.3.5 Corrosion des armatures 2.3.6 Bilan des attaques du béton pour un ouvrage maritime 3. BETON EN SITE MARITIME, EXIGENCES ET SPECIFICATIONS 3.1 Exigences performantielles 3.1.1 Résistance mécanique 3.1.2 Exigences esthétiques 3.1.3 Ouvrabilité 3.1.4 Exigences de durabilité 3.2 Référentiel technique 3.3 Stipulations 3.3.1 Généralités 3.3.2 Durée d'utilisation du projet 3.3.3 Types de béton 3.3.4 Classes d'exposition 3.3.5 Classes de teneur en chlorures 3.3.6 Spécifications principales pour la composition et les propriétés du béton 3.3.7 Prévention contre les risques d'alcali-réaction 3.3.8 Prévention contre les risques de réaction sulfatique interne 3.3.9 Enrobage des armatures 3.3.10 Autres spécifications 3.4 Durabilité et approche performantielle 3.4.1 Les indicateurs de durabilité 3.4.2 Les témoins de durée de vie 3.5 Bétons aux nouvelles performances 3.5.1 Bétons autoplaçants (BAP) 3.5.2 Bétons Hautes Performances (BHP) 3.5.3 Bétons fibrés 3.5.4 BFUP 3.5.5 Produits spéciaux 3.6 Armatures en acier inoxydable 3.6.1 Nuances d’acier inoxydable 3.6.2 Avantages et inconvénients 4. MISE EN OEUVRE DU BETON 4.1 Structures coulées en place 4.1.1 Fabrication du béton 4.1.2 Transport du béton 4.1.3 Matériels couramment utilisés pour le transport du béton 4.1.4 Cas spécifique du béton coulé sous l'eau 4.1.5 Dispositions constructives 4.2 Préfabrication 4.2.1 Fabrication des éléments en béton 4.2.2 Transport et stockage 4.2.3 Blocs de défenses préfabriqués 4.3 Environnement 4.3.1 Aspect législatif 4.3.2 Mesures de protection du milieu 5. CONTRÔLE DE LA QUALITE 5.1 Démarche 5.2 Exigences du Dossier de Consultation des Entreprises 5.3 Analyse des offres 5.4 Contrôle extérieur 5.4.1 Analyse des plans d'assurance qualité (PAQ) 5.4.2 Vérification du contrôle intérieur 5.4.3 Epreuves 6. GESTION DES OUVRAGES 6.1 Dispositions constructives 6.2 Surveillance 6.2.1 Généralités 6.2.2 Dossier d'ouvrage 6.2.3 Surveillance continue de l'ouvrage 6.2.4 Visites d'évaluation 6.2.5 Inspections détaillées 6.3 Suivi des paramètres de durabilité du béton 6.3.1 Généralités 6.3.2 Méthodologie 7. APPLICATIONANNEXES
  35. Edition (Ceremadoc) Etudes des perturbations par les éoliennes des équipements électromagnétiques de localisation maritimes et fluviaux

    Dans un souci de réduction des émissions de gaz à effet de serre, la France souhaite favoriser le développement des énergies renouvelables, en particulier l'éolien. Néanmoins, le mouvement des pales des aérogénérateurs est susceptible de perturber sérieusement les équipements radioélectriques qui fonctionnent à proximité ; il convient donc de recenser la nature de ces perturbations et d'estimer leur impact. Ce document évalue les perturbations apportées par l’implantation de parcs éoliens à proximité des équipements radioélectriques tels que les radars des CROSS et des ports, les goniomètres en bande VHF et les GPS différentiels (DGPS). électromagnétiques du Centre d’Etudes Techniques Maritimes et Fluviales (Direction technique Eau, mer et fleuves). 1. INTRODUCTION 2. ABREVIATIONS3. ANALYSE DU FONCTIONNEMENT DES EQUIPEMENTS DU CETMEF 3.1. Radar 3.1.1. Particularités des radars utilisés dans l’environnement maritime et fluvial 3.1.2. Rappel de quelques caractéristiques du radar du Stiff à Ouessant 3.1.3. Rappel de quelques caractéristiques du radar de Honfleur port du Havre 3.2. Goniomètres 3.3. DGPS 4. EFFETS PERTURBATEURS ENVISAGEABLES 4.1. Radar 4.1.1. Effet de masquage 4.1.2. Génération de fausses cibles 4.1.3. Dégradation de la résolution distance des radars 4.1.4. Dégradation de la mesure angulaire 4.2. Goniomètre 4.2.1. Effet de masquage 4.2.2. Effet des multi-trajets 4.3. DGPS 4.3.1. Perturbation de la réception GPS par la station de référence 4.3.2. Perturbation de la propagation du signal radio 4.3.3. Perturbation de la réception GPS par le navire 4.4. Résumé des effets perturbateurs possibles 5. TABLEAU DES DEGRADATIONS TOLERABLES 6. QUANTIFICATION DES EFFETS PERTURBATEURS DES EOLIENNES 6.1. Taille de l’éolienne test 6.2. Effets perturbateurs sur les radars 6.2.1. Quantification des effets de masquage 6.2.2. Quantification de l’effet d’aveuglement par fausses cibles 6.2.3. Dégradation de la localisation distance des radars 6.3. Sur les goniomètres 6.3.1. Effet de masquage 6.3.2. Effet d’erreur de mesure angulaire 6.4. Sur le DGPS 6.4.1. Perturbation des communications à 300 kHz par masquage 6.4.2. Perturbation de la réception satellite GPS (station de référence ou sur bateau) par multitrajets 7. PRECONISATION SUR L’IMPLANTATION DES PARCS EOLIENS 7.1. Conclusions sur les effets perturbateurs apportés 7.1.1. Aux radars 7.1.2. Aux Goniomètres 7.1.3. Sur les DGPS 7.2. Proposition de préconisation d’implantation des éoliennes 7.2.1. Face aux radars 7.2.2. Face aux goniomètres Doppler 7.2.3. Face aux DGPS 8. REDUCTION DE L’EFFET DES PARCS EOLIENS SUR LA FONCTION RADAR9. REFERENCES
  36. Edition (Ceremadoc) Exploitation d’images satellite pour le littoral : Volet I : État de l'art de l'utilisation des technologies satellitaires pour la cartographie du trait de côte et de la bathymétrie

    Volet I : État de l'art de l'utilisation des technologies satellitaires pour la cartographie du trait de côte et de la bathymétrie Ce rapport établit ainsi l’état de l’art de l’utilisation de l’imagerie satellitaire pour le suivi du trait de côte et la cartographie de la bathymétrie des petits fonds. Il contient en préalable une première partie pédagogique sur les notions d’imagerie satellitaire en observation de la Terre puis analyse les techniques éprouvées au travers d’une étude bibliographique réalisée en 2012. Concernant l’identification et le suivi du trait de côte, la bibliographie montre que l’utilisation de l’imagerie satellitaire permet de cartographier, sur de larges emprises géographiques, avec une fréquence élevée et un faible coût, les faciès littoraux de type eau, plage, dune, végétation, bâti et d’en extraire un marqueur de position du trait de côte de type limite d’immersion, pied de dune pour les côtes sableuses ou pied de falaise pour les côtes à falaise. Les précisions obtenues sont variables en fonction des marqueurs suivis et des types de côte, en particulier les erreurs augmentent sur les côtes rocheuses. Pour la bathymétrie des eaux peu profondes, une méthode d’inversion du signal optique satellitaire permet de fournir des cartes bathymétriques précises sur les 10 premiers mètres en eaux moyennement turbides et sur les 25 premiers mètres en eaux claires. Dans les eaux plus profondes, une méthode exploitant les propriétés de la houle permet de fournir des informations bathymétriques dans les zones de houle (de 10 à 40 m de profondeur). Ces méthodes, réalisées sur la base d’images satellite de type SPOT, ont prouvé leur efficacité et présentent l’avantage de fournir des informations continues, sur de larges zones géographiques avec une fréquence annuelle ou pluriannuelle et à faible coût. D’autres méthodes, basées sur l’altimétrie/gravimétrie et sur la technologie Lidar, sont présentées mais sont plutôt à envisager en termes de perspectives à moyen et long termes. L’extraction semi-automatique de l’information « trait de côte » à partir de l’imagerie satellitaire présente ainsi aujourd’hui une maturité suffisante pour un déploiement sur certains territoires. Elle présente des potentialités intéressantes de capacité de revisite à moindre coût, pour un suivi et une gestion intégrée du trait de côte. Volet II : Réalisation d'un prototype d'extraction du trait de côte à partir d'images satellite. Application à l'archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon Un premier rapport a ainsi établi l’état de l’art des méthodes existantes sur ces problématiques, afin d’identifier les plus prometteuses notamment en fonction des paysages rencontrés (volet I des rapports « Exploitation d’images satellite pour le littoral »). Il a conclu à la maturité de certaines techniques de reconnaissance par imagerie satellitaire de marqueurs de position du trait de côte, notamment en tant qu’interface terre-mer, c’est-à-dire limite entre deux zones présentant des caractéristiques terrestres (au-dessus du trait de côte) et maritimes (en dessous du trait de côte). Le Cerema s’est alors engagé à développer une méthodologie et un prototype qui permettraient d’extraire automatiquement la position du trait de côte en tant qu’interface de faciès terrestres et maritimes à partir d’images satellite à très haute résolution spatiale (images Pléiades). L’objectif final serait de transférer cette technologie à tout acteur qui souhaiterait utiliser les images satellite pour suivre l’évolution de la position du trait de côte, particulièrement sur les territoires macrotidaux où ce type de méthode est particulièrement adapté. Ce rapport (volet II) présente les tests opérés sur l’archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon pour développer un prototype permettant d’extraire automatiquement la position du trait de côte sur des images Pléiades obtenues dans le cadre du programme GEOSUD. Le processus d’acquisition se base sur la réalisation, par classification automatique, d’une cartographie des faciès à proximité du trait de côte puis sur l’extraction de la limite terre – mer comme frontière entre types d’occupation des sols. Le « trait de côte » ainsi obtenu a été comparé à des mesures effectuées sur le terrain. La stabilité de la méthode dans le temps a été évaluée via l’exploitation de deux images de deux années consécutives sur l’île de Saint-Pierre, en 2012 et 2013. Les travaux effectués montrent que la méthode peut conduire à des précisions de localisation de marqueurs de position du trait de côte de 2 à 3 m en moyenne lorsqu’il s’agit d’une limite de végétation ou d’érosion. Dans les autres cas (rochers, pieds de dune, gabions, galets), la technique donne des résultats plus inégaux et dans l’ensemble de moins bonne qualité. Des pistes sont proposées pour améliorer la méthode en prévision d’une évaluation plus large sur davantage de paysages et situations : utilisation de modèles numériques de terrain, exploitation d’informations issues des bases de données disponibles sur les zones étudiées (référentiels IGN par exemple) ou recours à des algorithmes de simplification de lignes. Volet III : Prototype de reconnaissance du trait de côte en tant que limite d’immersion à partir d’images satellite Un premier rapport a ainsi établi l’état de l’art des méthodes existantes sur ces problématiques, afin d’identifier les plus prometteuses notamment en fonction des paysages rencontrés (volet I des rapports « Exploitation d’images satellite pour le littoral »). Il a conclu à la maturité de certaines techniques de reconnaissance de marqueurs de position du trait de côte, notamment de la limite d’immersion (limite du jet de rive ou limite eau/non eau). Le Cerema s’est alors engagé à développer une méthodologie et un prototype qui permettraient d’extraire automatiquement la position du jet de rive à partir d’images satellite à très haute résolution spatiale (images Pléiades). L’objectif final serait de transférer cette technologie à tout acteur de la gestion intégrée du trait de côte qui souhaiterait utiliser les images satellite pour en suivre son évolution. Ce type de méthode est particulièrement adapté au suivi du trait de côte pour des territoires à faible marnage ou pour le suivi « instantané » de la position du jet de rive. Ce rapport (volet III) présente les tests opérés sur le secteur du Grau-du-Roi (30) pour développer un prototype permettant d’extraire automatiquement la position du trait de côte sur des images Pléiades à l’aide d’une méthode de type seuillage. Les marqueurs de limites hautes et basses du jet de rive extraits suivent fidèlement le jet de rive observé sur l’image satellite. Quelques rares anomalies apparaissent ponctuellement en présence de nuages ou d’ombres qui intersectent le trait de côte. Cette méthode présente les avantages d’être précise, notamment pour la limite basse du jet de rive, transférable géographiquement et relativement simple à mettre en œuvre sur un secteur géographique donné. Ces résultats montrent qu’un outil opérationnel de suivi du trait de côte à partir d’images satellite est aujourd’hui accessible en milieu microtidal. Des développements complémentaires doivent néanmoins être réalisés pour couvrir un linéaire côtier de plusieurs dizaines de kilomètres, vérifier la répétitivité temporelle des seuils fixés, développer un outil ergonomique et assurer son transfert vers des utilisateurs finaux. Un comité d’utilisateurs sera monté dans cette optique à partir de 2016. Volet I : État de l'art de l'utilisation des technologies satellitaires pour la cartographie du trait de côte et de la bathymétrie I. INTRODUCTION I.1 Contexte de l’étude I.2 Les informations géographiques recherchées II. LES SATELLITES D’OBSERVATION DE LA TERRE : QUELQUES NOTIONS II.1 Les satellites d’observation de la Terre II.2 L’exploitation des images satellites II.3 Atouts de l’imagerie satellitaire III. ÉTAT DE L’ART de la CARTOGRAPHIE DU TRAIT DE CÔTE À PARTIR D’IMAGES SATELLITES III.1 Exploitation des images satellites par photo-interprétation III.2 Extraction semi-automatique du trait de côte III.3 Détection de l’artificialisation du trait de côte III.4 Analyse de l’état de l’art IV. ÉTAT DE L’ART DES MESURES DE BATHYMETRIE PAR SATELLITE IV.1 Mesures de bathymétrie par détection des limites entre zones émergées et zones immergées IV.2 Mesures de bathymétrie par inversion du signal optique IV.3 Mesures bathymétriques par détection des crêtes de houle IV.4 Autres méthodes et perspectives IV.5 Analyse de l’état de l’art V. CONCLUSIONS VI. Annexes VI.1 Annexe 1 : Estimation de la bathymétrie par gravimétrie/altimétrie VI.2 Annexe 2 : Mesures de bathymétrie par Lidar Satellitaire Volet II : Réalisation d’un prototype d’extraction du trait de côte à partir d’images satellite. Application à l’archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon I. Introduction II. La cartographie du trait de côte par imagerie spatiale II.1 Définitions du trait de côte II.2 Cartographie du trait de côte par imagerie spatiale III. Zones d’étude III.1 L’archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon III.2 L’isthme de Miquelon-Langlade (zone A) III.3 L’île de Saint-Pierre (zone B) IV. Données disponibles IV.1 Les images Pléiades IV.2 Les levés terrain de la DTAM de Saint-Pierre-et-Miquelon IV.3 Trait de côte Histolitt® IV.4 Modèle numérique de surface V. Méthode d’extraction du trait de côte V.1 Principe général et logiciels utilisés V.2 Préparation du chantier V.3 Création et sélection des indices et textures V.4 Classifications des images V.5 Extraction du trait de côte V.6 Évaluation des résultats VI. Synthèse des résultats VI.1 Classifications VI.2 Trait de côte extrait VII. Bilan VII.1 Analyse de la performance du prototype développé VII.2 Perspectives VII.3 Conclusion VIII. Annexe : Résultats complets VIII.1 Zone A Isthme de Miquelon-Langlade VIII.2 Zone B1 Etang VIII.3 Zone B2 Aéroport VIII.4 Zone B3 Ile aux Marins Volet III : Prototype de reconnaissance du trait de côte en tant que limite d’immersion à partir d’images satellite I. Contexte et objectif II. Contexte géomatique II.1 Site d’étude II.2 Données disponibles III. Extraction du jet de rive III.1 Principe de la méthode III.2 Traitement de l’image Pléiades IV. Analyse des résultats IV.1 Analyse visuelle IV.2 Analyse quantitative : comparaison au trait de côte digitalisé sur l’Ortho Littorale V2 V. CONCLUSIONS
  37. Edition (Ceremadoc) Enquête Dragage 2014 : Enquête nationale sur les dragages des ports maritimes

    Cette enquête est réalisée chaque année par le Cerema. Elle vise à exploiter l'ensemble des données relatives aux opérations de dragage. Ces données sont transmises par les Services de Police des Eaux Littorales de l'ensemble des départements maritimes de France métropolitaine et d'outre-mer, ainsi que par les grands ports maritimes. Ces données sont ensuite synthétisées par le Cerema et retranscrites dans des tableaux formatés adoptés par les lignes directrices internationales. Le document expose les quantités de sédiments dragués en France, les différentes techniques utilisées ainsi que les différentes destinations de ces sédiments et leurs niveaux de contaminations au regard des niveaux de réglementaires existants. 1 - GÉNÉRALITÉS 1.1 - Contexte de l'enquête 1.2 - Étendue de l'enquête 1.3 - Contenu du rapport 2 - DRAGAGE 2.1 - Quantités de matière sèche draguées en France 2.1.2 - L’outre-mer en 2014 2.1.3 - Grands ports maritimes métropolitains en 2014 2.1.4 - Autres ports métropolitains 2.2 - Techniques de dragage 2.2.1 - Grands ports maritimes métropolitains 2.2.2 - Autres ports métropolitains 2.3 - Travaux neufs et travaux d'entretien 3 - DESTINATION DES SÉDIMENTS 3.1 – Destination et usages répertoriés 3.1.1 - Immersion et rejet des sédiments en mer 3.1.2 - Rechargement de plages 3.1.3 - Dépôt à terre 3.1.4 - Dépôt en mer 3.1.5 - Les autres destinations 3.2 – Destination par type de port 3.2.1 - Grands ports maritimes métropolitains 3.2.2 – Autres ports 4 - LES PERMIS D'IMMERSION 5 - LES CONTAMINANTS 5.1 - Les éléments-traces métalliques (ETM) 5.2 - Les polychlorobiphényles (PCB) 5.3 - Le tributylétain (TBT) 5.4 - Les hydrocarbures aromatiques polycycliques (HAP) 6 - BILAN DES DONNÉES DE SUIVI RECUEILLIES CONCLUSION
  38. Edition (Ceremadoc) Exploitation d’images satellite pour le littoral : Volet III : Prototype de reconnaissance du trait de côte en tant que limite d'immersion à partir d'images satellite

    Volet I : État de l'art de l'utilisation des technologies satellitaires pour la cartographie du trait de côte et de la bathymétrie Ce rapport établit ainsi l’état de l’art de l’utilisation de l’imagerie satellitaire pour le suivi du trait de côte et la cartographie de la bathymétrie des petits fonds. Il contient en préalable une première partie pédagogique sur les notions d’imagerie satellitaire en observation de la Terre puis analyse les techniques éprouvées au travers d’une étude bibliographique réalisée en 2012. Concernant l’identification et le suivi du trait de côte, la bibliographie montre que l’utilisation de l’imagerie satellitaire permet de cartographier, sur de larges emprises géographiques, avec une fréquence élevée et un faible coût, les faciès littoraux de type eau, plage, dune, végétation, bâti et d’en extraire un marqueur de position du trait de côte de type limite d’immersion, pied de dune pour les côtes sableuses ou pied de falaise pour les côtes à falaise. Les précisions obtenues sont variables en fonction des marqueurs suivis et des types de côte, en particulier les erreurs augmentent sur les côtes rocheuses. Pour la bathymétrie des eaux peu profondes, une méthode d’inversion du signal optique satellitaire permet de fournir des cartes bathymétriques précises sur les 10 premiers mètres en eaux moyennement turbides et sur les 25 premiers mètres en eaux claires. Dans les eaux plus profondes, une méthode exploitant les propriétés de la houle permet de fournir des informations bathymétriques dans les zones de houle (de 10 à 40 m de profondeur). Ces méthodes, réalisées sur la base d’images satellite de type SPOT, ont prouvé leur efficacité et présentent l’avantage de fournir des informations continues, sur de larges zones géographiques avec une fréquence annuelle ou pluriannuelle et à faible coût. D’autres méthodes, basées sur l’altimétrie/gravimétrie et sur la technologie Lidar, sont présentées mais sont plutôt à envisager en termes de perspectives à moyen et long termes. L’extraction semi-automatique de l’information « trait de côte » à partir de l’imagerie satellitaire présente ainsi aujourd’hui une maturité suffisante pour un déploiement sur certains territoires. Elle présente des potentialités intéressantes de capacité de revisite à moindre coût, pour un suivi et une gestion intégrée du trait de côte. Volet II : Réalisation d'un prototype d'extraction du trait de côte à partir d'images satellite. Application à l'archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon Un premier rapport a ainsi établi l’état de l’art des méthodes existantes sur ces problématiques, afin d’identifier les plus prometteuses notamment en fonction des paysages rencontrés (volet I des rapports « Exploitation d’images satellite pour le littoral »). Il a conclu à la maturité de certaines techniques de reconnaissance par imagerie satellitaire de marqueurs de position du trait de côte, notamment en tant qu’interface terre-mer, c’est-à-dire limite entre deux zones présentant des caractéristiques terrestres (au-dessus du trait de côte) et maritimes (en dessous du trait de côte). Le Cerema s’est alors engagé à développer une méthodologie et un prototype qui permettraient d’extraire automatiquement la position du trait de côte en tant qu’interface de faciès terrestres et maritimes à partir d’images satellite à très haute résolution spatiale (images Pléiades). L’objectif final serait de transférer cette technologie à tout acteur qui souhaiterait utiliser les images satellite pour suivre l’évolution de la position du trait de côte, particulièrement sur les territoires macrotidaux où ce type de méthode est particulièrement adapté. Ce rapport (volet II) présente les tests opérés sur l’archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon pour développer un prototype permettant d’extraire automatiquement la position du trait de côte sur des images Pléiades obtenues dans le cadre du programme GEOSUD. Le processus d’acquisition se base sur la réalisation, par classification automatique, d’une cartographie des faciès à proximité du trait de côte puis sur l’extraction de la limite terre – mer comme frontière entre types d’occupation des sols. Le « trait de côte » ainsi obtenu a été comparé à des mesures effectuées sur le terrain. La stabilité de la méthode dans le temps a été évaluée via l’exploitation de deux images de deux années consécutives sur l’île de Saint-Pierre, en 2012 et 2013. Les travaux effectués montrent que la méthode peut conduire à des précisions de localisation de marqueurs de position du trait de côte de 2 à 3 m en moyenne lorsqu’il s’agit d’une limite de végétation ou d’érosion. Dans les autres cas (rochers, pieds de dune, gabions, galets), la technique donne des résultats plus inégaux et dans l’ensemble de moins bonne qualité. Des pistes sont proposées pour améliorer la méthode en prévision d’une évaluation plus large sur davantage de paysages et situations : utilisation de modèles numériques de terrain, exploitation d’informations issues des bases de données disponibles sur les zones étudiées (référentiels IGN par exemple) ou recours à des algorithmes de simplification de lignes. Volet III : Prototype de reconnaissance du trait de côte en tant que limite d’immersion à partir d’images satellite Un premier rapport a ainsi établi l’état de l’art des méthodes existantes sur ces problématiques, afin d’identifier les plus prometteuses notamment en fonction des paysages rencontrés (volet I des rapports « Exploitation d’images satellite pour le littoral »). Il a conclu à la maturité de certaines techniques de reconnaissance de marqueurs de position du trait de côte, notamment de la limite d’immersion (limite du jet de rive ou limite eau/non eau). Le Cerema s’est alors engagé à développer une méthodologie et un prototype qui permettraient d’extraire automatiquement la position du jet de rive à partir d’images satellite à très haute résolution spatiale (images Pléiades). L’objectif final serait de transférer cette technologie à tout acteur de la gestion intégrée du trait de côte qui souhaiterait utiliser les images satellite pour en suivre son évolution. Ce type de méthode est particulièrement adapté au suivi du trait de côte pour des territoires à faible marnage ou pour le suivi « instantané » de la position du jet de rive. Ce rapport (volet III) présente les tests opérés sur le secteur du Grau-du-Roi (30) pour développer un prototype permettant d’extraire automatiquement la position du trait de côte sur des images Pléiades à l’aide d’une méthode de type seuillage. Les marqueurs de limites hautes et basses du jet de rive extraits suivent fidèlement le jet de rive observé sur l’image satellite. Quelques rares anomalies apparaissent ponctuellement en présence de nuages ou d’ombres qui intersectent le trait de côte. Cette méthode présente les avantages d’être précise, notamment pour la limite basse du jet de rive, transférable géographiquement et relativement simple à mettre en œuvre sur un secteur géographique donné. Ces résultats montrent qu’un outil opérationnel de suivi du trait de côte à partir d’images satellite est aujourd’hui accessible en milieu microtidal. Des développements complémentaires doivent néanmoins être réalisés pour couvrir un linéaire côtier de plusieurs dizaines de kilomètres, vérifier la répétitivité temporelle des seuils fixés, développer un outil ergonomique et assurer son transfert vers des utilisateurs finaux. Un comité d’utilisateurs sera monté dans cette optique à partir de 2016. Volet I : État de l'art de l'utilisation des technologies satellitaires pour la cartographie du trait de côte et de la bathymétrie I. INTRODUCTION I.1 Contexte de l’étude I.2 Les informations géographiques recherchées II. LES SATELLITES D’OBSERVATION DE LA TERRE : QUELQUES NOTIONS II.1 Les satellites d’observation de la Terre II.2 L’exploitation des images satellites II.3 Atouts de l’imagerie satellitaire III. ÉTAT DE L’ART de la CARTOGRAPHIE DU TRAIT DE CÔTE À PARTIR D’IMAGES SATELLITES III.1 Exploitation des images satellites par photo-interprétation III.2 Extraction semi-automatique du trait de côte III.3 Détection de l’artificialisation du trait de côte III.4 Analyse de l’état de l’art IV. ÉTAT DE L’ART DES MESURES DE BATHYMETRIE PAR SATELLITE IV.1 Mesures de bathymétrie par détection des limites entre zones émergées et zones immergées IV.2 Mesures de bathymétrie par inversion du signal optique IV.3 Mesures bathymétriques par détection des crêtes de houle IV.4 Autres méthodes et perspectives IV.5 Analyse de l’état de l’art V. CONCLUSIONS VI. Annexes VI.1 Annexe 1 : Estimation de la bathymétrie par gravimétrie/altimétrie VI.2 Annexe 2 : Mesures de bathymétrie par Lidar Satellitaire Volet II : Réalisation d’un prototype d’extraction du trait de côte à partir d’images satellite. Application à l’archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon I. Introduction II. La cartographie du trait de côte par imagerie spatiale II.1 Définitions du trait de côte II.2 Cartographie du trait de côte par imagerie spatiale III. Zones d’étude III.1 L’archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon III.2 L’isthme de Miquelon-Langlade (zone A) III.3 L’île de Saint-Pierre (zone B) IV. Données disponibles IV.1 Les images Pléiades IV.2 Les levés terrain de la DTAM de Saint-Pierre-et-Miquelon IV.3 Trait de côte Histolitt® IV.4 Modèle numérique de surface V. Méthode d’extraction du trait de côte V.1 Principe général et logiciels utilisés V.2 Préparation du chantier V.3 Création et sélection des indices et textures V.4 Classifications des images V.5 Extraction du trait de côte V.6 Évaluation des résultats VI. Synthèse des résultats VI.1 Classifications VI.2 Trait de côte extrait VII. Bilan VII.1 Analyse de la performance du prototype développé VII.2 Perspectives VII.3 Conclusion VIII. Annexe : Résultats complets VIII.1 Zone A Isthme de Miquelon-Langlade VIII.2 Zone B1 Etang VIII.3 Zone B2 Aéroport VIII.4 Zone B3 Ile aux Marins Volet III : Prototype de reconnaissance du trait de côte en tant que limite d’immersion à partir d’images satellite I. Contexte et objectif II. Contexte géomatique II.1 Site d’étude II.2 Données disponibles III. Extraction du jet de rive III.1 Principe de la méthode III.2 Traitement de l’image Pléiades IV. Analyse des résultats IV.1 Analyse visuelle IV.2 Analyse quantitative : comparaison au trait de côte digitalisé sur l’Ortho Littorale V2 V. CONCLUSIONS
  39. Edition (Ceremadoc) Etape de cartographie des surfaces inondables et des risques dans le cadre de la directive « inondations » : Rapport de la mission 5 "Inondations par submersions marines et tsunamis".

    La direction européenne relative à l'évaluation et à la gestion des inondations demande l'élaboration pour fin 2013 de cartes des zones inondables et de cartes de risques sur les secteurs identifiés comme à risques potentiels important d'inondations. Tous aléas naturels d'inondations sont concernés par ces cartographies. Ce document a pour objectif de présenter la méthodologie retenue pour les aléas submersion marine et tsunami. Pour l'aléa submersion marines, trois cartes doivent être réalisées pour trois périodicité d'événement différentes, pour des événements fréquent, moyen et extrême. La prise en compte des ouvrages est à définir en fonction de la période de l'événement et des caractéristiques des ouvrages. Les principales méthodes de cartographie sont décrites pour les événements fréquent et moyen, superposition d'un niveau marin à la topographie, estimation des volumes entrant et répartition topographique et modélisation numérique, ainsi que pour les événements extrêmes, où la confrontation de différentes approches (historique, géomorphologique, topographique, géologique) a été retenue. Les cartes existantes peuvent être ré-exploitées si elles conviennent. Il est proposé de ne pas réaliser de cartes d'aléa tsunami mais de faire une synthèse des connaissances sur les événements potentiels et les mesures de prévention existantes sur le territoire. 1 Introduction 2 Méthodologie d'élaboration des cartes d'aléa submersion marine 3 Démarche générale de l'étude d'aléa 3.1 l'analyse du fonctionnement du littoral (phase 1) 3.2 choix des événements naturels étudiés (phase 2.1) 3.3 prise en compte des ouvrages et scénarios à étudier (phase 2.1) 3.4 les méthodes de cartographie pour les événements fréquent et moyen (phase 2.2) 3.5 les méthodes de cartographie pour les événements extrêmes (phase 2.2) 3.6 résultats attendus 3.7 démarche de travail pour la mise en oeuvre de la cartographie di 4 Méthodologie d'élaboration des cartes d'aléa tsunami 5 Références bibliographiques 6 Annexes 6.1 estimation des surcotes extrêmes sur les côtes métropolitaines 6.2 éléments de cahier des charges 6.3 réflexions sur les données bathymétriques 6.4 organisation de la mission « aléas submersion marine et tsunami » 6.5 extraits des premiers éléments méthodologiques pour l'élaboration des plans de prévention des risques littoraux
  40. Edition (Ceremadoc) Etudes géotechniques préalables à la réalisation des aménagements maritimes

    Cette notice, établie en collaboration avec le LCPC, permet d'examiner l'organisation et le contenu par phases successives de l'étude géotechnique. Elle présente les problèmes posés par les différents types d'ouvrages et ceux liés aux comportements du sol, et définit les paramètres nécessaires aux dimensionnements. Elle évoque les méthodes de reconnaissances applicables en site aquatique, les principaux essais en place et sondages couramment utilisés. INTRODUCTION 1 - ORGANISATION ET CONTENU DE L’ETUDE GEOTECHNIQUE 1.1. Phasage de l’étude géotechnique 1.2. Phase 1 : Enquête préalable sur le site 1.2.1. Documents généraux : géologie, topographie... 1.2.2. Reconnaissances antérieures 1.2.3. Travaux antérieurs 1.2.4. Comportement des ouvrages existants - Dossiers d’ouvrage 1.2.5. Banque de données 1.2.6. Examens du site 1.2.7. Rapport d’analyse des données géotechniques existantes 1.3. Phase 2 : Reconnaissance géotechnique qualitative ou semi-quantitative 1.3.1. Objectif 1.3.2. Moyens à mettre en oeuvre 1.3.3. Rapport de synthèse géotechnique 1.4. Phase 3 : Etude spécifique 1.4.1. Objectif 1.4.2. Moyens à mettre en oeuvre 1.4.3. Rapport d’étude spécifique 2 - PROBLEMES POSES PAR LES DIFFERENTS TYPES D’OUVRAGES 2.1. Murs-Poids - Caissons 2.2. Rideaux de palplanches - Parois moulées 2.3. Gabions - Batardeaux 2.4. Quais - Appontements sur pieux 2.5. Ducs d’Albe 2.6. Talus 2.7. Digues 2.8. Rempiètement 3 - PROLEMES TYPES LIES AU COMPORTEMENT DU SOL 3.1. Introduction 12 3.2. Problèmes-types liés au comportement mécanique de l’ensemble « ouvrage- sol environnant » 3.2.1. Ouvrages en site aquatique et ouvrages en site terrestre 3.2.2. Stabilité des ouvrages en terre 3.2.2.1. Cas des déblais 3.2.2.2. Cas des remblais 3.2.3. Fondations superficielles 3.2.4. Fondations profondes 3.2.5. Ouvrages de soutènement 3.2.6. Tableau récapitulatif 4 - RECONNAISSANCE DES SOLS EN SITE AQUATIQUE SONDAGES ET ESSAIS 4.1. Site terrestre et site aquatique 4.2. Aspect logistique 4.2.1. Reconnaissance dans la zone de l’estran 4.2.2. Reconnaissance en zones constamment immergées 4.3. Aspect géotechnique 4.3.1. Remarques générales 4.3.2. Carottage continu en gros diamètre 4.3.3. Carottage en rotation 4.3.4. Zone meuble superficielle 5 - REALISATION ET SUIVI DES OUVRAGES ANNEXES 1 - Essai pressiométrique 2 - Le scissomètre de chantier 3 - Pénétromètres statiques et dynamiques 4 - Carottages et essais dans le rocher 5 - Prélèvement de sols mous au carottier à piston stationnaire 6 - Essai de perméabilité Lugeon 7 - Contrôle de battage des pieux - Mesure de la résistance dynamique 8 - Contrôle des pieux exécutés en place - Auscultation sonique par transparence 9 - Inclinomètre LPC 10 - Le distancemètre LPC 11 - Le tassomètre 12 - Le piezomètre 13 - Essai statique de pieu 14 - Essai de tirant 15 - Méthodes géophysiques de reconnaissance des sols
  41. Edition (Ceremadoc) Énergies renouvelables en mer - De nouveaux leviers énergétiques et économiques

    La France s’engage pour une croissance verte et bleue. Exploiter les ressources du milieu marin Les énergies renouvelables en mer sont des technologies permettant de produire de l’électricité à partir du milieu marin : le vent, les vagues, les courants, les marées, la température de l'eau... Comment mettre les énergies marines au cœur de la transition énergétique ? Quelles retombées pour mon territoire ? Quelle stratégie adopter pour préparer les projets ? Quelles sont les actions à engager en priorité ?
  42. Edition (Ceremadoc) Forme de diagramme de rayonnement des feux de signalisation maritime : Ingénierie des aides à la navigation.

    La recommandation portant sur la forme des diagrammes de rayonnement est complémentaire à la recommandation AISM n° E122.La recommandation AISM n° E122 porte sur : la mesure du feu ; la présentation des résultats ; la détermination des caractéristiques du feu (portée et divergences). Les préconisations d'un pays à un autre étant très différentes, la recommandation AISM n° E122 ne traite pas de : la forme des diagrammes de rayonnement ; la divergence minimale du feu ; la réduction de portée liée aux mouvements de la bouée. Les préconisations françaises concernant ces trois points sont détaillées dans cette publication. 1. INTRODUCTION2. DESCRIPTION DE LA METHODE DES GABARITS A. DEFINITION DES DIAGRAMMES DE RAYONNEMENT EN SITE ET EN AZIMUT A.1. Repère orthonormé A.2. Types de diagramme de rayonnement B. PRINCIPE DE LA METHODE DES GABARITS C. CARACTERISATlON DU PROJECTEUR C.1. Définition du faisceau C.2. Zone normale d'utilisation C.3. Ouverture verticale du faisceau 3. FEUX D'HORIZON SUR SUPPORT FIXE A. DEFINITION DE LA PORTEE MOYENNE B. FORME DES GABARITS B.1. Forme du gabarit en azimut pour un angle de site nul B.2. Forme du gabarit en site pour un angle d'azimut fixé 4. FEUX D'HORIZON SUR SUPPORT FLOTTANT A. DEFINITION DE LA PORTEE MOYENNE B. FORME DES GABARITS B.1. Forme du gabarit en azimut pour un angle de site nul B.2. Forme du gabarit en site pour un angle d'azimut fixé 5. FEUX DE DIRECTION ET FEUX A FAISCEAUX TOURNANTS A. DEFINITION DE LA PORTEE DE REFERENCE B. FORME DES GABARITS
  43. Edition (Ceremadoc) Fiches synthétiques de mesure des états de mer du réseau CANDHIS-MAJ 2020 : Tome 3 - Outre-mer

    Ce catalogue est un support à la diffusion des données. Il présente les informations disponibles et leurs traitements et pour chaque campagne une analyse complète des données sur toute la durée des observations disponibles. Cela comprend des informations générales, l’établissement des climatologies moyennes, l’analyse des valeurs extrêmes et un zoom sur les caractéristiques des états de mer observés lors des événements les plus marquants. Ce catalogue est destiné aux bureaux d’ingénierie, aux services de l’État ou des collectivités, aux organismes de recherche, et plus généralement à ceux qui travaillent de près ou de loin sur les états de mer. Ce catalogue, composé de trois tomes, est une actualisation de l’édition 2020 : le premier tome pour la Mer du Nord, la Manche et l’Atlantique, le deuxième tome pour la Méditerranée, et le troisième tome pour la l'outre-mer. 1. Introduction 2. Définitions 2.1 Analyse vague par vague 2.2 Analyse spectrale 3. Rappel théorique 3.1 Analyse vague par vague (ou analyse temporelle) 3.2 Analyse spectrale 3.2.1 Spectre de variance non directionnel 3.2.3 Spectre directionnel de variance 4. La mesure 4.1 Le réseau de mesures CANDHIS 4.2 Les appareils de mesure 4.3 État des données 4.3.1 Avertissement quant à l’usage des données 4.3.2 Pas de mesure des paramètres d’états de mer 4.4 Contrôle des données 4.4.1 Premier niveau de contrôle 4.4.2 Deuxième niveau de contrôle 5. Présentation des résultats 5.1 Convention d’unités 5.2 Informations générales 5.3 Climatologie moyenne 5.4 Analyse des valeurs extrêmes 5.4.1 Méthodologie 5.4.2 Interprétation 5.5 Sélection des événements remarquables 5.5.1 Méthodologie 5.5.2 Interprétation Annexes : les fiches synthétiques
  44. Edition (Ceremadoc) Fiches synthétiques de mesure des états de mer du réseau CANDHIS-MAJ 2020 : Tome 1 - Mer du Nord, Manche et Atlantique

    Ce catalogue est un support à la diffusion des données. Il présente les informations disponibles et leurs traitements et pour chaque campagne une analyse complète des données sur toute la durée des observations disponibles. Cela comprend des informations générales, l’établissement des climatologies moyennes, l’analyse des valeurs extrêmes et un zoom sur les caractéristiques des états de mer observés lors des événements les plus marquants. Ce catalogue est destiné aux bureaux d’ingénierie, aux services de l’État ou des collectivités, aux organismes de recherche, et plus généralement à ceux qui travaillent de près ou de loin sur les états de mer. Ce catalogue, composé de trois tomes, est une actualisation de l’édition 2020 : le premier tome pour la Mer du Nord, la Manche et l’Atlantique, le deuxième tome pour la Méditerranée, et le troisième tome pour la l'outre-mer. 1. Introduction 2. Définitions 2.1 Analyse vague par vague 2.2 Analyse spectrale 3. Rappel théorique 3.1 Analyse vague par vague (ou analyse temporelle) 3.2 Analyse spectrale 3.2.1 Spectre de variance non directionnel 3.2.3 Spectre directionnel de variance 4. La mesure 4.1 Le réseau de mesures CANDHIS 4.2 Les appareils de mesure 4.3 État des données 4.3.1 Avertissement quant à l’usage des données 4.3.2 Pas de mesure des paramètres d’états de mer 4.4 Contrôle des données 4.4.1 Premier niveau de contrôle 4.4.2 Deuxième niveau de contrôle 5. Présentation des résultats 5.1 Convention d’unités 5.2 Informations générales 5.3 Climatologie moyenne 5.4 Analyse des valeurs extrêmes 5.4.1 Méthodologie 5.4.2 Interprétation 5.5 Sélection des événements remarquables 5.5.1 Méthodologie 5.5.2 Interprétation Annexes : les fiches synthétiques
  45. Edition (Ceremadoc) Fondations de ponts en site aquatique en état précaire : Guide pour la surveillance et le confortement

    Ce document est consacré aux mesures à mettre en oeuvre sur les ouvrages dont les fondations immergées sont en état précaire. Il s'agit de mettre en place la surveillance, l'entretien ou le confortement des fondations grâce aux moyens techniques répertoriés, ainsi que les mesures de sécurité à prendre pour la mise en oeuvre de chaque méthode.
  46. Edition (Ceremadoc) Submersions marines - Plan communal de sauvegarde : il est incontournable !

    Submersion marine et plan communal de sauvegarde Ce P’tit Essentiel sur le risque submersion marine (inondation temporaire) s’adresse aux élus et décideurs des collectivités vulnérables aux submersions marines souhaitant acquérir une vision globale et une mise en perspective du plan communal de sauvegarde face à l’aléa de submersion marine. Il explique, entre autres, les méthodes mises en places pour diagnostiquer le risque d’inondation temporaire lié à une submersion marine sur chaque territoire en fonction des systèmes de protection et des épisodes de crise passés, et quelles actions mettre en place. Ce P'tit essentiel vous permet d’aller à l’essentiel en comprenant le contexte, les enjeux et la méthodologie d’action pour anticiper au mieux la gestion du risque de submersion marine. Submersion marine et inondation temporaire : Pourquoi le plan communal de sauvegarde est-il nécessaire ? Le plan communal de sauvegarde (PCS) est, pour les maires, un outil opérationnel indispensable pour gérer des crises liés , entres autres, aux tempêtes, ouragan, inondations engendrant des submersions marines. Il permet de planifier les actions des acteurs communaux de la gestion du risque en cas d’événements majeurs, naturels, technologiques ou sanitaires. Ce P'tit essentiel vous livre de manière synthétique les clés de la réglementation pour votre plan de sauvegarde communal. Gestion de crise face à l’aléa de submersion marine : Comment mieux protéger les habitants de ma commune ? Les inondations causées par submersion marine font partie des situations qui demandent une réaction communale rapide et organisée. Le maire doit donc avoir une bonne connaissance de ce phénomène et de ses conséquences sur son territoire et des dispositifs de prévision existants. Ce P'tit essentiel vous apporte les clés pour bien anticiper la gestion de crise liée à l’aléa de submersion marine. Plan communal de sauvegarde et risque de submersion marine : Comment rendre mon plan communal de sauvegarde opérationnel ? Le plan communal de sauvegarde (PCS) doit être un outil opérationnel permettant aux personnes d’anticiper de manière adéquate, efficace et rapide. Adapté à la taille de la commune, à son mode de fonctionnement et au contexte local, il nécessite une bonne connaissance du territoire impacté et une vision stratégique des actions à mener. Retrouvez de manière synthétique les 5 actions à mener pour rendre votre plan communal de sauvegarde opérationnel face aux submersions marines (inondation temporaire). Submersions marines et plan communal de sauvegarde Le contexte : Pourquoi le plan communal de sauvegarde est-il nécessaire ? Submersions marines : le plan communal de sauvegarde, essentiel à la gestion de crise Les enjeux : Comment mieux protéger les habitants de ma commune ? Anticiper la gestion de crise : bien connaître l'aléa de submersion marine La méthode : Comment rendre mon PCS opérationnel ? 5 axes pour rendre opération votre Plan de Sauvegarde Communal Mémo : Ma boîte à outils pour rédiger un PCS opérationnel
  47. Edition (Ceremadoc) Lignes de mouillage : Signalisation maritime. Documentation technique. Exploitation du balisage

    Ce guide aborde : éléments des lignes de mouillage des bouées (chaînes et accessoires, corps-morts); projets de lignes de mouillage (dimensionnement, constitution de la ligne, fractionnement, mouillages spéciaux); entretien des lignes de mouillage (visites périodiques, réemploi des chaînes usagées) 1. PREAMBULE A. INDICATIONS GENERALES B. TERMINOLOGIE 2. ELEMENTS DES LIGNES DE MOUILLAGE DES BOUEES A. CHAINES ET ACCESSOIRES A.1. Chaînes A.1.1. Types de chaînes A.1.2. Pas des chaînes A.1.3. Calibre des chaînes A.1.4. Nature des aciers pour chaînes A.2. Accessoires de chaînes A.2.1. Manilles A.2.2. Emerillons B. CORPS-MORTS B.1. Conception générale B.2. Réalisation des corps-morts en béton armé B.3. Exemples de corps-mort en béton armé B.4. Autres dispositions B.4.1. Corps-mort en acier ou en fonte B.4.2. Ancres B.4.3. Paquets de chaînes B.4.4. Scellements B.4.5. Double cigale 3. PROJETS DE LIGNES DE MOUILLAGE A. DIMENSIONNEMENT A.1. Observations générales A.2. Détermination rapide d’un mouillage en chaîne A.2.1. Efforts horizontaux A.2.2. Longueur et calibre de la chaîne A.2.3. Masse du corps-mort A.3. Exemples de dimensionnements courants B. CONSTITUTION DE LA LIGNE - FRACTIONNEMENT B.1. Observations générales B.2. Chaîne de cul-de-bouée – patte d’oie B.3. Chaîne flottante B.4. Chaîne de marnage B.5. Chaîne dormante B.6. Mouillages par petits fonds C. MOUILLAGES SPECIAUX C.1. Empennelage C.2. Mouillage multiligne – affourchage C.3. Utilisation de câbles synthétiques C.4. Mouillages tendus 4. ENTRETIEN DES LIGNES DE MOUILLAGES A. VISITES PERIODIQUES A.1. Fréquences des visites A.2. Consistance des opérations A.3. Exploitation des observations – le registre du balisage flottant B. REEMPLOI DES CHAINES USAGEES B.1. Restauration d’éléments de chaînes usagées B.2. Réemploi en l’état à des postes moins sollicités
  48. Edition (Ceremadoc) Littoral - Intégrer l’évolution du trait de côte à son projet de territoire

    En France, les différents littoraux s’étendent sur près de 20 000 km et présentent des enjeux de croissance durable majeurs. L’équilibre entre développement des territoires, évolution du trait de côte et préservation des écosystèmes requiert une connaissance détaillée du milieu et de ses différents phénomènes. Quel constat sur les territoires littoraux ? Quelles tendances d'évolution sur le littoral ? Quelles étapes pour définir sa stratégie locale de gestion intégrée du trait de côte ? Les fondamentaux de la démarche
  49. Edition (Ceremadoc) Les sources lumineuses utilisées pour les aides visuelles à la navigation : Ingénierie des aides à la navigation

    Les travaux menés par l'AISM lors des différents comités ou groupes de travail ont permis de rassembler des données précises et complètes sur les évolutions des sources lumineuses. La présente publication regroupe en un seul document l'ensemble de ces informations portant sur les sources lumineuses actuelles ou en cours de développement susceptibles d'intéresser les différents membres de l'AISM. Les sources lumineuses recommandées par le Direction technique Eau, mer et fleuves étant en nombre beaucoup plus limité, cette publication précise en préambule les spécificités françaises dans le domaine. 1. Préambule 2. Commentaires généraux 3. Commentaires particuliers selon le type de sources lumineuses 4. Annexe (traduction de la ligne directrice aism n° 1043 portant sur les sources lumineuses utilisées pour les aides visuelles à la navigation)
  50. Edition (Ceremadoc) Les méthodes géophysiques pour la reconnaissance des digues des voies navigables

    A la demande du Direction technique Eau, mer et fleuves et de VNF, commanditaire de l’étude, le LRPC d'Autun a mis à jour une notice méthodologique d'auscultation des digues de voies navigables par méthodes géophysiques. Cette notice recense l'ensemble des méthodes permettant la caractérisation des corps de digue au moyen de techniques non destructrices en mettant l'accent sur leurs principes physiques, leur mise en œuvre, leurs conditions d'application et leurs limites. Pour les méthodes les plus couramment mises en œuvre (traîné électrique aquatique, panneau électrique, potentiels spontanés, radar géologique, radio-magnétotellurique, méthodes Slingram, sismique réfraction), des expérimentations sur deux sites ont été réalisées afin de valider leurs performances. Les données ont été traitées et interprétées de façon à illustrer leur emploi. Les deux sites retenus pour les expérimentations, le canal du Centre à Rémigny (Saône-et-Loire) et la digue de Loire à Sandillon (Loiret) étaient déjà connus par de précédentes reconnaissances mécaniques, ce qui a permis de disposer de sites cadrés pour la présentation des résultats. Les méthodes employées présentent la plupart du temps une très bonne corrélation avec l'organisation géologique et géotechnique du secteur. Pour chaque nouvelle campagne d'investigation, il est nécessaire de réaliser des sondages géotechniques conjointement à ces reconnaissances géophysiques afin de confirmer et d'ausculter les anomalies détectées et pour procéder à une deuxième interprétation des données issues des reconnaissances géophysiques 1 . Généralités 2 . Présentation des sites d'étude 2.1. site de rémigny 2.2. site de sandillon (durand , 2003) 3. Les méthodes géophysiques appliquées à la reconnaissance des digues de voies navigables 3.1. électromagnétisme basse fréquence en champ proche : la méthode slingram 3.2. électromagnétisme basse fréquence en champ lointain : la radio-magnétotellurique 3.3. radar géologique 3.4. prospection électrique aquatique 3.5. panneau électrique 3.6. traîné aquatique de potentiels spontanés 3.7. sismique réfraction 3.8. mesures physiques sur les eaux 3.9. méthodes diagraphiques 3.10. autres méthodes 4 . Exemple d'intégration de résultats de prospection géophysique 5 . Synthèse et conclusions 6 . Références bibliographiques
  51. Edition (Ceremadoc) Les méthodes géophysiques pour la reconnaissance des digues des voies navigables

    A la demande du Direction technique Eau, mer et fleuves et de VNF, commanditaire de l’étude, le LRPC d'Autun a mis à jour une notice méthodologique d'auscultation des digues de voies navigables par méthodes géophysiques. Cette notice recense l'ensemble des méthodes permettant la caractérisation des corps de digue au moyen de techniques non destructrices en mettant l'accent sur leurs principes physiques, leur mise en œuvre, leurs conditions d'application et leurs limites. Pour les méthodes les plus couramment mises en œuvre (traîné électrique aquatique, panneau électrique, potentiels spontanés, radar géologique, radio-magnétotellurique, méthodes Slingram, sismique réfraction), des expérimentations sur deux sites ont été réalisées afin de valider leurs performances. Les données ont été traitées et interprétées de façon à illustrer leur emploi. Les deux sites retenus pour les expérimentations, le canal du Centre à Rémigny (Saône-et-Loire) et la digue de Loire à Sandillon (Loiret) étaient déjà connus par de précédentes reconnaissances mécaniques, ce qui a permis de disposer de sites cadrés pour la présentation des résultats. Les méthodes employées présentent la plupart du temps une très bonne corrélation avec l'organisation géologique et géotechnique du secteur. Pour chaque nouvelle campagne d'investigation, il est nécessaire de réaliser des sondages géotechniques conjointement à ces reconnaissances géophysiques afin de confirmer et d'ausculter les anomalies détectées et pour procéder à une deuxième interprétation des données issues des reconnaissances géophysiques 1 . Généralités 2 . Présentation des sites d'étude 2.1. site de rémigny 2.2. site de sandillon (durand , 2003) 3. Les méthodes géophysiques appliquées à la reconnaissance des digues de voies navigables 3.1. électromagnétisme basse fréquence en champ proche : la méthode slingram 3.2. électromagnétisme basse fréquence en champ lointain : la radio-magnétotellurique 3.3. radar géologique 3.4. prospection électrique aquatique 3.5. panneau électrique 3.6. traîné aquatique de potentiels spontanés 3.7. sismique réfraction 3.8. mesures physiques sur les eaux 3.9. méthodes diagraphiques 3.10. autres méthodes 4 . Exemple d'intégration de résultats de prospection géophysique 5 . Synthèse et conclusions 6 . Références bibliographiques
  52. Edition (Ceremadoc) Les sources lumineuses utilisées pour les aides visuelles à la navigation : Ingénierie des aides à la navigation

    Les travaux menés par l'AISM lors des différents comités ou groupes de travail ont permis de rassembler des données précises et complètes sur les évolutions des sources lumineuses. La présente publication regroupe en un seul document l'ensemble de ces informations portant sur les sources lumineuses actuelles ou en cours de développement susceptibles d'intéresser les différents membres de l'AISM. Les sources lumineuses recommandées par le Direction technique Eau, mer et fleuves étant en nombre beaucoup plus limité, cette publication précise en préambule les spécificités françaises dans le domaine. 1. Préambule 2. Commentaires généraux 3. Commentaires particuliers selon le type de sources lumineuses 4. Annexe (traduction de la ligne directrice aism n° 1043 portant sur les sources lumineuses utilisées pour les aides visuelles à la navigation)
  53. Edition (Ceremadoc) Littoral - Intégrer l’évolution du trait de côte à son projet de territoire

    En France, les différents littoraux s’étendent sur près de 20 000 km et présentent des enjeux de croissance durable majeurs. L’équilibre entre développement des territoires, évolution du trait de côte et préservation des écosystèmes requiert une connaissance détaillée du milieu et de ses différents phénomènes. Quel constat sur les territoires littoraux ? Quelles tendances d'évolution sur le littoral ? Quelles étapes pour définir sa stratégie locale de gestion intégrée du trait de côte ? Les fondamentaux de la démarche
  54. Edition (Ceremadoc) Lignes de mouillage : Signalisation maritime. Documentation technique. Exploitation du balisage

    Ce guide aborde : éléments des lignes de mouillage des bouées (chaînes et accessoires, corps-morts); projets de lignes de mouillage (dimensionnement, constitution de la ligne, fractionnement, mouillages spéciaux); entretien des lignes de mouillage (visites périodiques, réemploi des chaînes usagées) 1. PREAMBULE A. INDICATIONS GENERALES B. TERMINOLOGIE 2. ELEMENTS DES LIGNES DE MOUILLAGE DES BOUEES A. CHAINES ET ACCESSOIRES A.1. Chaînes A.1.1. Types de chaînes A.1.2. Pas des chaînes A.1.3. Calibre des chaînes A.1.4. Nature des aciers pour chaînes A.2. Accessoires de chaînes A.2.1. Manilles A.2.2. Emerillons B. CORPS-MORTS B.1. Conception générale B.2. Réalisation des corps-morts en béton armé B.3. Exemples de corps-mort en béton armé B.4. Autres dispositions B.4.1. Corps-mort en acier ou en fonte B.4.2. Ancres B.4.3. Paquets de chaînes B.4.4. Scellements B.4.5. Double cigale 3. PROJETS DE LIGNES DE MOUILLAGE A. DIMENSIONNEMENT A.1. Observations générales A.2. Détermination rapide d’un mouillage en chaîne A.2.1. Efforts horizontaux A.2.2. Longueur et calibre de la chaîne A.2.3. Masse du corps-mort A.3. Exemples de dimensionnements courants B. CONSTITUTION DE LA LIGNE - FRACTIONNEMENT B.1. Observations générales B.2. Chaîne de cul-de-bouée – patte d’oie B.3. Chaîne flottante B.4. Chaîne de marnage B.5. Chaîne dormante B.6. Mouillages par petits fonds C. MOUILLAGES SPECIAUX C.1. Empennelage C.2. Mouillage multiligne – affourchage C.3. Utilisation de câbles synthétiques C.4. Mouillages tendus 4. ENTRETIEN DES LIGNES DE MOUILLAGES A. VISITES PERIODIQUES A.1. Fréquences des visites A.2. Consistance des opérations A.3. Exploitation des observations – le registre du balisage flottant B. REEMPLOI DES CHAINES USAGEES B.1. Restauration d’éléments de chaînes usagées B.2. Réemploi en l’état à des postes moins sollicités
  55. Edition (Ceremadoc) La filière "déchets" - Analyse du transport fluvial de déchets sur l’axe Rhône-Saône : Synthèse

    Les faibles distances moyennes parcourues par les déchets et la proximité des lieux de traitement avec les lieux de production font du transport routier le mode prédominant dans le transport des déchets. Néanmoins, il convient de noter que certains déchets sont désormais transportés sur des distances plus importantes du fait d’une législation de plus en plus contraignante. Cette étude du « transport fluvial de déchets sur l’axe Rhône-Saône », réalisée en 2006 par le CETE(*) de Lyon, analyse le fonctionnement de la filière déchets de façon globale, puis sur le bassin Rhône-Saône, dans l’objectif de mieux comprendre le rôle et les caractéristiques du mode fluvial par rapport aux autres modes pour ce type de transport. Le document d’étude identifie des potentialités de report sur le mode fluvial pour le transport de déchets sur l’ensemble du bassin Rhône-Saône.
  56. Edition (Ceremadoc) La filière "déchets" - Analyse du transport fluvial de déchets sur l’axe Rhône-Saône : Rapport

    Les faibles distances moyennes parcourues par les déchets et la proximité des lieux de traitement avec les lieux de production font du transport routier le mode prédominant dans le transport des déchets. Néanmoins, il convient de noter que certains déchets sont désormais transportés sur des distances plus importantes du fait d’une législation de plus en plus contraignante. Cette étude du « transport fluvial de déchets sur l’axe Rhône-Saône », réalisée en 2006 par le CETE(*) de Lyon, analyse le fonctionnement de la filière déchets de façon globale, puis sur le bassin Rhône-Saône, dans l’objectif de mieux comprendre le rôle et les caractéristiques du mode fluvial par rapport aux autres modes pour ce type de transport. Le document d’étude identifie des potentialités de report sur le mode fluvial pour le transport de déchets sur l’ensemble du bassin Rhône-Saône.
  57. Edition (Ceremadoc) La GEMAPI - Vers une gestion intégrée de l'eau dans les territoires

    Concilier urbanisme, prévention des inondations et gestion des milieux aquatiques Les territoires s’organisent pour gérer leur patrimoine naturel et le risque d’inondation. Quelle gouvernance et quelles responsabilités ? Quels objectifs et quel accompagnement ? Comment mettre en œuvre la compétence GEMAPI ? La compétence GEMAPI en pratique
  58. Edition (Ceremadoc) L’estuaire de la Loire et son débouché maritime : un territoire maritime et littoral à valeur d’expérience : Pour une gouvernance de l’estuaire de la Loire et de son débouché maritime qui favorise l’innovation et le développement économique

    Cette journée doit également permettre de faire connaître au niveau national les freins juridiques, méthodologiques et financiers rencontrés qui entravent la mise en œuvre concrète et efficace de la Stratégie nationale Mer et littoral (SNML). Les journées TMLVE (Territoire Maritime et Littoral à Valeur d'Expérience) s’adressent donc à tous les acteurs locaux : Collectivités, établissements publics, universitaires, acteurs privés, pôles de compétitivités et clusters. Le Cerema a organisé le 7 novembre 2018, en partenariat avec l’Institut Universitaire Mer et Littoral (IUML) et le Pôle Mer Bretagne Atlantique (PMBA) la première journée d’échanges de la démarche intitulée «territoires maritimes et littoraux à valeur d’expérience» sur le thème de la gouvernance de l’estuaire de la Loire et de son débouché maritime en vue de favoriser le développement économique et l’innovation dans ces territoires et «mer-ritoire». - Introduction de la journée. La philosophie de la démarche TMLVE - Partage d’expériences sur l’estuaire de la Loire et son débouché maritime - Éclairage académique pluridisciplinaire – droit, économie, géographie - L’accompagnement de l’innovation dans l’économie maritime - L'articulation des stratégies politiques et des projets de territoire - Du concept à la pratique: quelle gouvernance pour accompagner les transitions ? - Connaissance et innovation: Organiser et capitaliser la connaissance
  59. Edition (Ceremadoc) L’estuaire de la Loire et son débouché maritime : un territoire maritime et littoral à valeur d’expérience : Pour une gouvernance de l’estuaire de la Loire et de son débouché maritime qui favorise l’innovation et le développement économique

    Cette journée doit également permettre de faire connaître au niveau national les freins juridiques, méthodologiques et financiers rencontrés qui entravent la mise en œuvre concrète et efficace de la Stratégie nationale Mer et littoral (SNML). Les journées TMLVE (Territoire Maritime et Littoral à Valeur d'Expérience) s’adressent donc à tous les acteurs locaux : Collectivités, établissements publics, universitaires, acteurs privés, pôles de compétitivités et clusters. Le Cerema a organisé le 7 novembre 2018, en partenariat avec l’Institut Universitaire Mer et Littoral (IUML) et le Pôle Mer Bretagne Atlantique (PMBA) la première journée d’échanges de la démarche intitulée «territoires maritimes et littoraux à valeur d’expérience» sur le thème de la gouvernance de l’estuaire de la Loire et de son débouché maritime en vue de favoriser le développement économique et l’innovation dans ces territoires et «mer-ritoire». - Introduction de la journée. La philosophie de la démarche TMLVE - Partage d’expériences sur l’estuaire de la Loire et son débouché maritime - Éclairage académique pluridisciplinaire – droit, économie, géographie - L’accompagnement de l’innovation dans l’économie maritime - L'articulation des stratégies politiques et des projets de territoire - Du concept à la pratique: quelle gouvernance pour accompagner les transitions ? - Connaissance et innovation: Organiser et capitaliser la connaissance
  60. Edition (Ceremadoc) La GEMAPI - Vers une gestion intégrée de l'eau dans les territoires

    Concilier urbanisme, prévention des inondations et gestion des milieux aquatiques Les territoires s’organisent pour gérer leur patrimoine naturel et le risque d’inondation. Quelle gouvernance et quelles responsabilités ? Quels objectifs et quel accompagnement ? Comment mettre en œuvre la compétence GEMAPI ? La compétence GEMAPI en pratique
  61. Edition (Ceremadoc) La filière "déchets" - Analyse du transport fluvial de déchets sur l’axe Rhône-Saône : Rapport

    Les faibles distances moyennes parcourues par les déchets et la proximité des lieux de traitement avec les lieux de production font du transport routier le mode prédominant dans le transport des déchets. Néanmoins, il convient de noter que certains déchets sont désormais transportés sur des distances plus importantes du fait d’une législation de plus en plus contraignante. Cette étude du « transport fluvial de déchets sur l’axe Rhône-Saône », réalisée en 2006 par le CETE(*) de Lyon, analyse le fonctionnement de la filière déchets de façon globale, puis sur le bassin Rhône-Saône, dans l’objectif de mieux comprendre le rôle et les caractéristiques du mode fluvial par rapport aux autres modes pour ce type de transport. Le document d’étude identifie des potentialités de report sur le mode fluvial pour le transport de déchets sur l’ensemble du bassin Rhône-Saône.
  62. Edition (Ceremadoc) La filière "déchets" - Analyse du transport fluvial de déchets sur l’axe Rhône-Saône : Synthèse

    Les faibles distances moyennes parcourues par les déchets et la proximité des lieux de traitement avec les lieux de production font du transport routier le mode prédominant dans le transport des déchets. Néanmoins, il convient de noter que certains déchets sont désormais transportés sur des distances plus importantes du fait d’une législation de plus en plus contraignante. Cette étude du « transport fluvial de déchets sur l’axe Rhône-Saône », réalisée en 2006 par le CETE(*) de Lyon, analyse le fonctionnement de la filière déchets de façon globale, puis sur le bassin Rhône-Saône, dans l’objectif de mieux comprendre le rôle et les caractéristiques du mode fluvial par rapport aux autres modes pour ce type de transport. Le document d’étude identifie des potentialités de report sur le mode fluvial pour le transport de déchets sur l’ensemble du bassin Rhône-Saône.
  63. Edition (Ceremadoc) IBIM 0260 - Rythmes normalisés à utiliser pour les feux de signalisation maritime

    Le présent document expose les conditions dans lesquelles l'administration des Phares et Balises applique les recommandations de l'Association Internationale de Signalisation Maritime pour les rythmes des feux de signalisation maritime.Le document est construit en deux parties : Première partie : Traduction des textes de recommandation de l'A.I.S.M. pour les rythmes des feux de signalisation maritime (Recommandation E-110 - Juin 2012). Deuxième partie : Tableaux des rythmes normalisés à utiliser en France par les services en charge de la signalisation maritime et adaptés aux cartes programmateurs et automates de gestion Co-ESM. Ces rythmes sont également à privilégier sur les feux disposant d'une programmation par télécommande. 1 - INTRODUCTION 2 - PREMIÈRE PARTIE : RECOMMANDATION DE L'A.I.S.M. POUR LES RYTHMES DES FEUX DE SIGNALISATION MARITIME 2.1 - Généralités 2.2 - Considérations temporelles 2.3 - Confusions de couleurs 2.4 - Système de balisage maritime préconisé par l'A.l.S.M. 2.4.1 -Définitions et remarques 2.4.2 -Périodes maximales 2.4.3 -Classification des rythmes de feux 3 - DEUXIEME PARTIE : RYTHMES NORMALISES UTILISES PAR L'ADMINISTRATION DES PHARES ET BALISES POUR LES FEUX DE SIGNALISATION MARITIME 3.1 - Tableau I : feux à optique fixe 3.1.1 -Feux fixes 3.1.2 -Feux à occultations 3.1.3 -Feux isophases 3.1.4 -Feux à éclats 3.1.5 -Feux scintillants 3.1.6 -Feux scintillants rapides 3.1.7 -Feux particuliers 3.2 - Tableau II : feux à optique fixe (rythmes économiques) 3.2.1 -Feux à éclats 3.2.2 -Feux scintillants 3.2.3 -Feux scintillants rapides 3.3 - Tableau III : feux à optique tournante 3.3.1 -Feux à éclats 3.3.2 -Feux scintillants
  64. Edition (Ceremadoc) Hydraulique des cours d'eau. La théorie et sa mise en pratique

    L’objet du présent cours n’est pas de reprendre de manière exhaustive tout l’état de l’art en matière d’hydraulique fluviale. D’éminents hydrauliciens participent régulièrement à la rédaction d’ouvrages de référence auxquels ce cours emprunte beaucoup, et dont la liste, fournie dans la bibliographie, doit être lue comme une invitation à y approfondir les éléments abordés succinctement. Car ce recueil se contente de compiler et d’expliquer dans un ordre aussi pédagogique que possible les principes d’hydraulique fluviale tels que les services des ministères en charge de la gestion, de l’exploitation de l’aménagement ou de la police des rivières peuvent les rencontrer dans les études hydrauliques qu’ils auront à réaliser, piloter ou critiquer. L’approche adoptée n’est donc pas toujours très orthodoxe, privilégiant, autant que possible, les notions intuitives et pratiques avant de les expliquer par la théorie ou de les compléter par les formules empiriques. 1. Conventions, definitions et parametres 1.1 grandeurs caracteristiques 1.2 regimes d’ecoulements 1.3 equations de l’hydraulique fluviale 2. Regime permanent 2.1 regime uniforme 2.2 regime graduellement varie 2.3 changements de regime 3. Pertes de charge singulieres 3.1 pertes de charge de type borda 3.2 pertes de charge liees aux piles en rivieres en regime fluvial 3.3 pertes de charge liees aux seuils 3.4 pertes de charge liees a la morphologie 4. Notions simplifiees de sedimentologie 4.1 mecanismes d’arrachement des materiaux 4.2 force tractrice et affouillement autour des ouvrages 4.3 quantification des affouillements 5. Regimes transitoires 5.1 les crues des cours d’eau (ondes de continuite) 5.2 les ondes rapides (ondes de rupture) 6. Bibliographie
  65. Edition (Ceremadoc) Humidité dans les phares

    Le guide "Humidité, condensation et entretien des structures des phares", s’attache à expliciter les phénomènes de condensation et à appréhender leurs conséquences sur la conservation du patrimoine. Il s’adresse principalement aux maîtres d’ouvrage. Riche en apports théoriques, il garde toutefois un côté opérationnel par le recours à des expériences menées sur des phares français et la proposition d’un formulaire d’audit humidité pour les établissements de signalisation maritime. Il vient enrichir la collection documentaire technique sur la signalisation maritime produite et diffusée par le Direction technique Eau, mer et fleuves à destination de l’ensemble des acteurs de la filière des phares et balises. Préambule Introduction 1 L'humidité dans les phares – phénomènes en jeu 2 Condition d'apparition de la condensation a la surface ou a l'intérieur d'une paroi 3 Actions de lutte contre l'humidité 4 Retour d'expéerience sur les esm des côtes francaises 5 Conclusions 6 Annexe – formulaire : « audit humidité » Glossaire Références
  66. Edition (Ceremadoc) Guide stabilité des écluses

    L'objectif de ce guide est de proposer une méthodologie de réalisation de vidange d'écluse. La première partie présente les éléments de fonctionnement, de dimensionnement et d'évaluation de l'état d'une écluse. La seconde propose une méthodologie pour évaluer la faisabilité de la vidange en analysant plusieurs critères (géométrie, données du site, travaux antérieurs, observations de l'état de l'écluse) puis propose, si la vidange n'est pas envisageable, les investigations complémentaires à réaliser, les travaux de confortement possibles et des recommandations pour la surveillance de l'ouvrage lors du déroulement de la vidange. Enfin la dernière partie présente trois exemples d'application de cette méthodologie : Port à l'anglais sur la Seine, Damery sur la Marne canalisée et les Quatre cheminées sur la Meuse. Éléments de fonctionnement, de dimensionnement et d’évaluation de l’état d’une écluse Éléments de fonctionnement d’une écluse Principes de fonctionnement Types d’écluse Description de quelques éléments constituant une écluse Éléments de dimensionnement d’une écluse Circulations hydrauliques Éléments de dimensionnement des bajoyers Éléments de dimensionnement des radiers Conclusion Éléments d’évaluation de l’état et du comportement d’une écluse avant et pendant Dégradation naturelle et physico-chimique des matériaux Les sollicitations mécaniques Les actions de l’eau Réalisation d’une vidange d’entretien Définition des étapes Géométrie générale Données du site Synthèse n°1 Travaux antérieurs - Archives Expériences précédentes de vidanges Observations sur l’état de l’écluse Synthèse n°2 Réflexion – Faisabilité de la vidange Investigations complémentaires Travaux de confortement Déroulement de la vidange Fiche de suivi de la méthodologie Exemple d’application de la méthodologie « vidange du sas d’une écluse » Fiche n°1 : Écluse de Port à l’Anglais Fiche n°2 : Écluse n°2 de Damery Fiche n°3 : Écluse des Quatre Cheminées
  67. Edition (Ceremadoc) Guide des matériels de signalisation maritime : Signalisation maritime. Documentation technique. Ingénierie des aides à la navigation

    Catalogue composé de fiches de présentation des matériels recommandés en signalisation maritime rangées par type de matériel : supports, aides passives, aides lumineuses, ARN, énergie, gestion et surveillance de l'ESM, connectique. 0. GUIDE CETMEF 0.1. EXPLICATIF 0.1.1. Utilisation du guide 0.1.2. Procédure d'achat 0.1.3. Contenu des fiches 0.1.4. Sommaire 1. SUPPORTS 1.1. BOUEES ET BALISES 1.1.1. Bouées de grande taille 1.1.2. Bouées de petite taille 1.1.3. Bouées de balisage provisoire 1.1.4. Balises à flotteurs 1.2. MOUILLAGE : CHAÎNES ET ACCESSOIRES 1.2.1. Chaînes 1.2.2. Accessoires 2. AIDE PASSIVE 2.1. REVÊTEMENT RETROREFLECHISSANT 2.2. REFLECTEURS PASSIFS RADAR 3. AIDE SONORE4. AIDE LUMINEUSE 4.1. FANAUX ET OPTIQUES (fixes et flottants) 4.1.1. Horizon 4.1.2. Tournants 4.1.3. Direction 4.1.4. Guidage 4.2. SOURCES LUMINEUSES ET MATERIELS ASSOCIES 4.2.1. Synoptique 4.2.2. Lampes à incandescence 4.2.3. Lampes aux halogènes 4.2.4. Lampes aux halogénures métalliques 4.2.5. Support de lampes 4.2.6. Platines d'alimentation 4.3. FEUX A DELS - FEUX AUTONOMES 4.3.1. Galette à DELS 4.3.2. Feux à DELS avec commande 4.3.3. Feux autonomes 5. ARN 5.1 RACON 5.2 DGPS 5.3 AUTRES TYPES D'ARN 6. ENERGIE 6.1. PRODUCTION 6.1.1. Batteries 6.1.2. Aérogénérateurs 6.1.3. Groupes électrogènes 6.1.4. Solaire 6.2. APPAREILLAGE DE CONVERSION DE L'ENERGIE 6.2.1. Conversion alternatif > continu - CHARGEURS 6.2.2. Conversion continu > continu - REGULATEURS 6.2.3. Conversion continu > alternatif – ONDULEURS 6.3. PROTECTION CONTRE LA FOUDRE 7. GESTION ET SURVEILLANCE DE L'ESM 7.1. CAPTEURS ET DETECTEURS 7.1.1. Dispositifs de détection jour / nuit 7.1.2. Détecteurs de brume 7.1.3. Dispositifs de synchronisation des rythmes 7.1.4. Dispositifs de détection de courant & tension 7.2. ROTATION ET MATERIELS ASSOCIES 7.2.1. Soubassements 7.2.2. Moteurs de rotation & cartes de cde associées 7.2.3. Dispositif de contrôle de rotation 7.3. BOÎTIERS DE COMMANDE ET CONTRÔLE 7.3.1. Boîtiers équipés pour feux rythmés 7.3.2. Boîtiers équipés pour feux tournants 7.3.3. Ss ensembles de commande et contrôle 7.4. TELECONTRÔLE – TELECOMMANDE 7.4.1. Télécontrôle SERPE 8. CONNECTIQUE 8.1. CABLES 8.1.1. Achat câbles 8.2. CONNECTEURS 8.2.1. Connecteurs étanches
  68. Edition (Ceremadoc) Guide méthodologique pour le pilotage des études hydrauliques

    Ce guide a été commandé au Direction technique Eau, mer et fleuves par la DGUHC en 2000 pour répondre aux besoins des services déconcentrés de l’Etat se trouvant souvent dans la position de commander, d’aider à définir, de réceptionner ou de juger des études hydrauliques, notamment sur modèles numériques. De nombreux contributeurs ont participé à la réalisation du document : dans les groupes de travail dont l’objectif était de rassembler la matière utile à la rédaction du guide, ou à travers la rédaction de l’ouvrage et de ses annexes. Le guide vise à apporter une contribution et une aide aux agents en charge de commander, piloter et évaluer une étude hydraulique, en complément des formations techniques spécialisées et de l’expérience acquise sur le terrain. Il est structuré autour des trois étapes d’une étude hydraulique : préparation de l’étude, rédaction du cahier des charges et suivi de l’étude. Sept annexes techniques fournissent des éléments : sur les objectifs d’une étude hydraulique, les données hydrauliques, les données hydrologiques, le choix de l’outil de modélisation hydraulique, les données bathymétriques et topographiques, le suivi de l’étude et la cartographie des résultats. 0. Préambule 1. Préparation de l’étude 1.1. Les objectifs 1.1.1. Décrire la problématique et ses aspects connexes 1.1.2. Analyse fonctionnelle et configurations de projet 1.1.3. Objectifs de la maîtrise d’ouvrage 1.1.4. Fixer des indicateurs d’évaluation de l’étude en vue de choisir et valider un objectif 1.2. Inventaire critique des données disponibles 1.2.1. Collecte des données : bibliographie, archives 1.2.2. Évaluation des données hydrologiques et hydrauliques 1.2.2.1 Données hydrologiques 1.2.2.2 Données hydrauliques 1.2.3. Évaluation des données topographiques 1.2.3.1 Données utiles aux calculs hydrauliques 1.2.3.2 Données cartographiques 1.3. Expertise préalable à la rédaction du cahier des charges 1.3.1. Analyse qualitative 1.3.1.1 Topologie hydraulique : hydrographie, orographie et géomorphologie 1.3.1.2 Analyse quantitative des paramètres hydrauliques 1.3.1.3 Complexité de l’étude 1.3.2. Adéquation données / outils / complexité 1.3.2.1 Variables à étudier 1.3.2.2 Phénomènes à représenter 2. Rédaction du cahier des charges et jugement des offres 2.1. Rédaction du cahier des charges 2.1.1. Le préambule 2.1.2. Contexte et hypothèses de travail 2.1.3. Objectifs 2.1.3.1 Cas d’une étude de risque 2.1.3.2 Cas d’une étude d’aménagement 2.1.4. Les Moyens, la démarche 2.1.4.1 La collecte de données 2.1.4.2 Enquête de terrain 2.1.4.3 L’étude hydrologique 2.1.4.4 Données topographiques 2.1.4.5 Modélisation numérique 2.1.4.6 Hydrogéomorphologie 2.1.5. Rapports et communication 2.1.5.1 Les rendus écrits 2.1.5.2 Les rendus oraux 2.1.5.3 Les rendus informatiques 2.2. Jugement des offres 2.2.1. La démarche 2.2.1.1 La note technique 2.2.1.2 Les compétences techniques et les références du bureau d’étude 2.2.1.3 Les capacités du bureau d’études et de ses techniciens 2.2.2. Le prix de la prestation 3. Suivi de l’étude et gestion de ses produits 3.1. Déroulement général d’une étude 3.1.1. Réunion de lancement de l’étude 3.1.2. Collecte et analyse des données 3.1.3. Construction, calage et validation de l’outil d’analyse 3.1.4. Fonctionnement actuel du secteur d’étude 3.1.5. Conception de l’état projeté 3.1.6. Livraison du résultat final 3.2. Les critères de validation de l’étude 3.2.1. Comptes-rendus des observations de terrain 3.2.2. Synthèse bibliographique 3.2.3. Fonctionnement hydrologique 3.2.4. Choix de l’outil d’analyse 3.2.5. Pertinence du calage de l’outil d’analyse 3.2.6. Cohérence des résultats 3.2.7. Vérification des hypothèses de calculs 3.3. Sensibilité des calculs et gestion des incertitudes 3.3.1. De l’incertitude en hydraulique 3.3.2. Les sources de l’incertitude 3.3.2.1 - Les incertitudes liées aux mesures de données 3.3.2.2 - Les incertitudes liées à la représentativité de l’information 3.3.2.3 - Les incertitudes liées aux données reconstituées 3.3.2.4 - Les incertitudes liées aux hypothèses de modélisation 3.3.2.5 - Incertitudes spécifiques liées au régime transitoire 3.3.2.6 - L’évolutivité des données significatives 3.3.3. Description des tests de sensibilité 3.3.3.1 - Etape n°1a : les tests de sensibilité portant sur les valeurs imposées 3.3.3.2 - Etape n°1b : les tests de sensibilité portant sur les paramètres de calage 3.3.3.3 - Etape n°2 : analyser le faisceau des lignes d’eau 3.3.4. Spécifier les tests de sensibilité 3.4. Archivage, propriété et droits d’usages des produits de l’étude 3.4.1. Archivage des produits de l’étude 3.4.1.1. Le rapport 3.4.1.2. Les fichiers de calcul 3.4.2. Propriété et droits d’usage des données produites à l’occasion de l’étude 3.4.2.1 Définition des données publiques 3.4.2.2 Protection des données publiques 3.4.3. Propriété et droits d’usage des oeuvres produites 3.4.3.1 Définition des oeuvres 3.4.3.2 Protection juridique des oeuvres 3.4.3.3 Des bonnes manières en matière d’oeuvres 3.4.3.4 Cahier des Clauses Administratives Générales - prestations intellectuelles (C.C.A.G. - P.I.) 3.4.4. Cas particulier des logiciels de modélisation numérique Annexes Annexe 1 - Formuler les objectifs de l’étude Annexe 2 - Analyse du fonctionnement hydraulique du secteur d’étude Annexe 3 - Données hydrologiques Annexe 4 - Choix de la modélisation Annexe 5 - Bathymétrie et topographie Annexe 6 - Suivi de la réalisation de l’étude hydraulique Annexe 7 - Rendu cartographique Références documentaires Lexique du guide pilotage d’une étude hydraulique
  69. Edition (Ceremadoc) Guide international sur les digues 2019 : The International Levee Handbook (2013) : version française (2019)

    D’origine fluviale ou maritime, les inondations et les submersions représentent un risque aux conséquences parfois désastreuses. Les digues, qu’on appelle aussi levées, constituent des éléments importants de protection et de défense contre les submersions et les inondations. On estime à plusieurs centaines de milliers de kilomètres le linéaire de digues en bordure des fleuves et des côtes en Europe et aux États-Unis. Compte tenu de leur rôle critique dans l’atténuation du risque d’inondation ou de submersion, les digues représentent donc un enjeu majeur face aux évolutions climatiques et aux risques d’occurrences d’événements extrêmes dans l’avenir. Les gouvernements de cinq pays (France, Irlande, Pays-Bas, Royaume-Uni et États-Unis) ont décidé la production d’une référence commune sur les bonnes pratiques de gestion et de conception des digues : l’International Levee Handbook (dont le présent ouvrage est la traduction française) est ainsi le fruit d’un partage d’expériences et de connaissances mené dans le cadre d’une collaboration internationale. Conçu dans une approche exhaustive le Guide international des digues est un manuel complet qui intègre l’essentiel des bonnes pratiques de l’évaluation de la sécurité, la conception en passant par la construction, la maintenance et jusqu’à la gestion des digues. Sans prétendre être un code de pratiques prescriptif, il doit toutefois être considéré comme un important support de décision et constitue un manuel de référence à destination des collectivités territoriales, des propriétaires et des gestionnaires de digues, des bureaux d’études, des services de contrôle de l’État et des entreprises de travaux publics. 1 Introduction 2 Les digues dans le cadre de la gestion du risque d’inondation 3 Fonctions, formes et défaillances des digues 4 Gestion et entretien 5 Inspection et évaluation des digues et attribution des risques 6 Gestion de crise et interventions d’urgence 7 Caractérisation des sites et collecte de données 8 Processus physiques et outils pour l’évaluation et la conception des digues 9 Conception 10 Construction Glossaire Abréviations Notations
  70. Edition (Ceremadoc) Guide de prise en main Fudaa-Mascaret 3.0

    Le logiciel MASCARET est un code de calcul de modélisation hydraulique 1D avec casier. Ce guide est destiné à accompagner un nouvel utilisateur dans l’apprentissage du logiciel. Le parti est pris dans un premier temps d’expliciter tous les menus du logiciel indépendamment des noyaux de calcul et dans un second temps d’accompagner la prise en main par un exemple réel de calcul 1D filaire, depuis la préparation des fichiers jusqu’à l’obtention de la ligne d’eau pour chacun des noyaux de calcul (permanent, non permanent, transcritique et un cas avec casiers). 1 PREAMBULE 1.1 Introduction 1.2 Installation du logiciel 1.3 Recensement des fichiers nécessaires avant exécution de Mascaret 1.4 Description des principaux boutons et des outils graphiques de Mascaret 1.4.1 Boutons des boites de dialogue 1.4.2 Boutons édition du réseau 1.4.3 Lancement de Mascaret 2 DESCRIPTION DU LOGICIEL 2.1 Ouverture et réouverture d’une étude déjà existante 2.2 Création d’une étude : choix du noyau de calcul 2.3 Enregistrement de l’étude créée 2.4 Edition du réseau hydraulique 2.4.1 Edition du réseau hydraulique 2.4.2 Positionnement des objets du réseau 2.5 Création des profils 2.6 Lois hydrauliques et choix des conditions limites 2.6.1 Création des lois hydrauliques 2.6.2 Choix des conditions limites 2.7 Maillage 2.8 Planimétrage 2.9 Conditions initiales 2.10 Paramètres temporels 2.11 Paramètres généraux 2.11.1 Les paramètres de modélisation 2.11.2 Les laisses de crues 2.11.3 Les zones de frottement 2.11.4 Les paramètres numériques du casier 2.11.5 Options avancées 2.12 Paramètres résultats 2.13 Calage automatique 2.13.1 Lancement du calcul du calage automatique 2.13.2 Les résultats du calage automatique 2.14 Tableaux de synthèse 2.15 Lancement du calcul 2.16 Résultats généraux 2.17 Résultats graphiques 2.18 Exportation des résultats 2.19 Importation des fichiers 2.20 Impression des résultats graphiques 3 Cas d’erreurs les plus fréquents dans l’utilisation de Fudaa-Mascaret 3.1 Erreur dans le choix de la loi hydraulique 3.2 Minimum deux lois hydrauliques pour un calcul 3.3 Affectation des lois hydrauliques aux extrémités libres du réseau hydraulique 3.4 Les abscisses du bief ne s’affichent pas 3.5 Erreur dans les conditions initiales 3.6 Choix du pas de temps 3.7 Choix du temps initial 3.8 Durée du calcul incompatible avec les lois hydrauliques 3.9 Les coefficients de Strickler ont été oubliés 3.10 Pas de temps avec le noyau « transcritique » 3.11 Cotes initiales dans les casiers 4 EXEMPLE D’UN ECOULEMENT FLUVIAL PERMANENT 4.1 Description de l’exemple traité en régime fluvial permanent : cas_fluvial_permanent.masc 4.2 Noyau de calcul 4.3 Edition du réseau hydraulique 4.4 Lois hydrauliques 4.5 Maillage 4.6 Planimétrage 4.7 Conditions Initiales 4.8 Paramètres temporels 4.9 Paramètres généraux 4.10 Paramètres résultats 4.11 Lancement du calcul 4.12 Visualisation des résultats 5 EXEMPLE D’UN ECOULEMENT FLUVIAL NON PERMANENT 5.1 Description de l’exemple traité en régime fluvial non permanent 5.2 Noyau de calcul 5.3 Edition du réseau hydraulique 5.4 Lois hydrauliques 5.5 Maillage 5.6 Planimétrage 5.7 Conditions Initiales 5.8 Paramètres temporels 5.9 Paramètres généraux 5.10 Paramètres résultats 5.11 Lancement du calcul 5.12 Visualisation des résultats 6 EXEMPLE D’UN ECOULEMENT transcritique 6.1 Description de l’exemple traité en régime transcritique 6.2 Construction du modèle, calcul préalable avec le noyau fluvial permanent, puis calcul avec le noyau transcritique 6.2.1 Noyau de calcul 6.2.2 Edition du réseau hydraulique 6.2.3 Lois hydrauliques 6.2.4 Maillage 6.2.5 Planimétrage 6.2.6 Conditions Initiales 6.2.7 Paramètres temporels 6.2.8 Paramètres généraux 6.2.9 Paramètres résultats 6.2.10 Lancement du calcul 6.2.11 Visualisation des résultats 6.3 Utilisation du noyau transcritique 6.3.1 Noyau de calcul 6.3.2 Conditions Initiales 6.3.3 Paramètres temporels 6.3.4 Paramètres généraux 6.3.5 Paramètres résultats 6.3.6 Lancement du calcul 6.3.7 Visualisation des résultats 6.4 Option « implicitation du noyau transcritique » 6.4.1 Paramètres généraux 6.4.2 Paramètres temporels 6.4.3 Lancement du calcul 6.4.4 Visualisation des résultats 7 EXEMPLE D’UN ECOULEMENT avec casiers 7.1 Description de l’exemple traité avec le module casiers 7.2 Calcul de la ligne d’eau initiale à 5 m3/s avec le noyau fluvial-permanent 7.2.1 Noyau de calcul 7.2.2 Lois hydrauliques 7.2.3 Paramètres temporels 7.2.4 Paramètres généraux 7.2.5 Paramètres résultats 7.2.6 Lancement du calcul 7.2.7 Visualisation des résultats 7.2.8 Export de la ligne d’eau initiale 7.3 Utilisation du noyau de calculs transcritique et du module casiers 7.3.1 Noyau de calcul 7.3.2 Lois hydrauliques 7.3.3 Géométrie des casiers 7.3.4 Conditions Initiales 7.3.5 Paramètres temporels 7.3.6 Paramètres généraux 7.3.7 Paramètres résultats 7.3.8 Lancement du calcul 7.3.9 Visualisation des résultats 7.4 Poursuite du calcul jusqu’à 160 m3/s avec le module casiers 7.4.1 Lois hydrauliques 7.4.2 Conditions Initiales 7.4.3 Lancement du calcul 7.4.4 Visualisation des résultats 7.5 Résultat du réglage du modèle sur la crue de 1978 8 ANNEXES 8.1 Description des paramètres du confluent en régime transcritique 8.2 Format d’importation du casier en mode « semis de points » 8.3 Format d’importation des points frontières ou des points intérieurs du casier e n mode « semis de points » 8.4 Format d’importation du casier en mode « planimétrie » 8.5 Format d’importation de la géométrie des biefs 8.6 Format d’importation des profils 8.7 Format d’importation des lois (*.loi) 8.8 Format d’importation du maillage (*.mail) 8.9 Format d’importation du fichier de reprise de calcul 8.10 Format d’importation du fichier ligne d’eau initiale 8.11 Format d’importation du fichier des laisses de crue (*.lai) 8.12 Format d’importation du fichier des zones de frottement
  71. Edition (Ceremadoc) Fiches synthétiques de mesure des états de mer du réseau CANDHIS-MAJ 2020 : Tome 2 - Méditerranée

    Ce catalogue est un support à la diffusion des données. Il présente les informations disponibles et leurs traitements et pour chaque campagne une analyse complète des données sur toute la durée des observations disponibles. Cela comprend des informations générales, l’établissement des climatologies moyennes, l’analyse des valeurs extrêmes et un zoom sur les caractéristiques des états de mer observés lors des événements les plus marquants. Ce catalogue est destiné aux bureaux d’ingénierie, aux services de l’État ou des collectivités, aux organismes de recherche, et plus généralement à ceux qui travaillent de près ou de loin sur les états de mer. Ce catalogue, composé de trois tomes, est une actualisation de l’édition 2020 : le premier tome pour la Mer du Nord, la Manche et l’Atlantique, le deuxième tome pour la Méditerranée, et le troisième tome pour la l'outre-mer. 1. Introduction 2. Définitions 2.1 Analyse vague par vague 2.2 Analyse spectrale 3. Rappel théorique 3.1 Analyse vague par vague (ou analyse temporelle) 3.2 Analyse spectrale 3.2.1 Spectre de variance non directionnel 3.2.3 Spectre directionnel de variance 4. La mesure 4.1 Le réseau de mesures CANDHIS 4.2 Les appareils de mesure 4.3 État des données 4.3.1 Avertissement quant à l’usage des données 4.3.2 Pas de mesure des paramètres d’états de mer 4.4 Contrôle des données 4.4.1 Premier niveau de contrôle 4.4.2 Deuxième niveau de contrôle 5. Présentation des résultats 5.1 Convention d’unités 5.2 Informations générales 5.3 Climatologie moyenne 5.4 Analyse des valeurs extrêmes 5.4.1 Méthodologie 5.4.2 Interprétation 5.5 Sélection des événements remarquables 5.5.1 Méthodologie 5.5.2 Interprétation Annexes : les fiches synthétiques
  72. Edition (Ceremadoc) Guide GEMAPI 2018 : Introduction à la prise de compétence « Gestion des milieux aquatiques et prévention des inondations »

    Ce guide a vocation à présenter de manière simple les contours de cette nouvelle compétence, afin de faciliter son appropriation par les acteurs et son explication auprès des citoyens. Il oriente les lecteurs vers d'autres supports permettant d'approfondir les thématiques abordées. Il est organisé en 5 parties principales : la première partie aborde les caractéristiques des milieux et les enjeux concernés par la compétence; la deuxième présente le contexte réglementaire et quelques caractéristiques de la compétence ; la troisième expose les politiques publiques qui concernent les milieux aquatiques et la prévention des inondations, et les liens avec la compétence GEMAPI ; la quatrième présente les principaux acteurs liés à la compétence ; la cinquième détaille des outils d'aménagement du territoire, financiers, opérationnels et réglementaires pouvant participer à la mise en œuvre de la compétence. Cette publication a été actualisée en 2018. 1 Notions élémentaires 1.1 Les milieux aquatiques 1.2 Des milieux qui évoluent 1.3 Quels liens entre ces milieux et les activités humaines ? 2 Qu’est-ce que la compétence GEMAPI ? 2.1 Pourquoi a-t-elle été créée ? 2.2 Quelles missions comprend-elle ? 2.3 Quelles responsabilités implique la compétence GEMAPI ? 2.4 Quand s’applique la prise de compétence GEMAPI et quelles sont les dispositions transitoires ? 2.5 Les missions de la compétence GEMAPI peuvent-elles être exercées par plusieurs structures ? 3 Comment la compétence GEMAPI s’articule-t-elle avec les politiques de gestion de l’eau et de gestion du risque inondation ? 3.1 La politique de gestion de l’eau en France 3.2 La politique de gestion du risque inondation en France 3.3 La politique de gestion du trait de côte 3.4 Quelle est la place de la compétence GEMAPI dans ces politiques ? 3.5 Les contours de la compétence GEMAPI 4 Quels acteurs autour de la compétence GEMAPI ? 4.1 Les collectivités territoriales et leurs groupements 4.2 Les propriétaires riverains et les associations syndicales de propriétaires 4.3 Les conseils départementaux et régionaux 4.4 Les services de l’État 4.5 Les missions d’appui technique de bassin 4.6 Les agences et les offices de l’eau 4.7 L’agence française pour la biodiversité 5 Comment mettre en œuvre la compétence GEMAPI ? 5.1 Que doit faire une structure au titre de la compétence GEMAPI ? 5.2 Comment définir une « stratégie de gestion des milieux aquatiques et de prévention des inondations » ? 5.3 Quels outils sont à disposition des territoires pour la mettre en œuvre ? 5.4 Comment financer l’exercice de cette compétence ? 5.5 Quel accompagnement de la compétence GEMAPI ? 6 Pour aller plus loin 6.1 Documentation générale 6.2 Retours d’expérience et illustrations 6.3 Textes législatifs et réglementaires 7 Annexes 7.1 Réglementation et gestion des systèmes d’endiguement 7.2 Les missions des services de l’État en lien avec la compétence GEMAPI 7.3 L’organisation synthétisée de la prise de compétence GEMAPI pour les collectivités territoriales et leurs groupements et dispositions transitoires 8 Sigles et acronymes
  73. Edition (Ceremadoc) Guide Enrochement - L’utilisation des enrochements dans les ouvrages hydrauliques : Traduction française du Rock Manual - 2nde édition - Manual for the use of rock in hydraulic engineering or Rock Manual.

    La France a été précurseur dans le domaine avec la publication en 1989 du Guide LCPC « les enrochements ». Le CIRIA (UK) a publié en 1991 un document plus complet, le « manual on the use of rock in coastal and shoreline engineering », généralement connu sous le nom de « rock manual ». Le CUR (NL) a procédé à la première mise à jour du « rock manual » en 1995 distribué sous le nom de « manual on the use of rock in hydraulic engineering » qui intégra les voies navigables et les aspects constructifs. L’objectif du guide est un document autoporteur de notoriété européenne sur les enrochements, les blocs artificiels, et leurs utilisations dans les ouvrages hydrauliques. La conception, le dimensionnement, les matériaux, la construction ainsi que la maintenance sont abordés. Le « rock manual – 2ème édition » est basé sur les trois manuels européens existants et prend en compte les derniers développements liés à la normalisation européenne, aux recherches en cours en Europe. Il intègre de nouvelles approches aussi bien sur l’aspect dimensionnement que prise en compte de l’environnement. 1. Introduction 2. Conception des ouvrages 3. Matériaux 4. Caractérisation du site et collecte des données 5. Phénomènes physiques et outils de dimensionnement 6. Conception des ouvrages à la mer 7. Conception des digues de fermetures et des barrages 8. Conception des ouvrages en rivière et canal 9. Construction 10. Surveillance, inspection, maintenance et réparation
  74. Edition (Ceremadoc) Guide passes à poissons

    Ce guide constitue un outil d’aide à la décision pour orienter les Maîtres d’Ouvrage dans le montage de leurs programmes et leur permettre de juger de la bonne exécution des différentes étapes du projet. A cet effet, il répertorie les principaux points à traiter pour concevoir un dispositif efficace et conforme aux attentes exprimées dans le programme de l’opération. Au travers des 3 parties qui le composent, ce guide: précise en premier lieu comment aborder, placer et « traiter » de la continuité écologique dans le canevas de la « procédure projets » classiquement suivie par les responsables techniques, passe ensuite en revue les différents types d’ouvrages de franchissement piscicole, puis expose les phases de réalisation d’un projet ainsi que leur contenu, aborde enfin les aspects maintenance contrôle et efficacité des passes à poissons. Pour ce dernier point, le guide fixe des préconisations ambitieuses qui pourront justifier, au cas par cas, en fonction des moyens financiers et humains, une mise en place progressive. Avant – proposI. Recommandations pour l’établissement d’un programme 1 CADRAGE DU PROGRAMME a) Quelques repères sur la migration des poissons b) Ouvrages obstacle à la migration des poissons 2 LE PROGRAMME a) Les besoins du programme b) Les contraintes du programme c) Les exigences du programme 3 LA CONCERTATION 4 LES ETUDES SPECIFIQUES a) Contraintes fonctionnelles b) Contraintes structurelles II. « Catalogue » des passes à poissons et Phases de conception 1 PRINCIPES DES PASSES A POISSONS 2 CATALOGUE « PASSES A POISSONS » a) Passes à bassins et prébarrages b) Passes à ralentisseurs c) Passes « naturelles » d) Ascenseurs et écluses e) Passes à anguilles 3 PRINCIPES D’IMPLANTATION DES PASSES A POISSONS a) Principes et critères de base b) Configuration de l’obstacle c) Conditions hydrodynamiques 4 CONTENU DES ETUDES SPECIFIQUES a) Etudes préliminaires b) Etudes d’Avant Projet (AVP) c) Etudes de Projet (PRO) d) Après les études de Projet PRO III. Exploitation, maintenance et contrôle des passes à poissons 1 MAINTENANCE PREVENTIVE a) La maintenance préventive, pourquoi ? b) Précautions lors de la conception c) Maintenance de l‘ouvrage 2 CONTROLE DU FONCTIONNEMENT a) Efficacité - Fonctionnalité b) Suivi piscicole Annexes 1 Aménagement hydro-électrique et passes à poissons 2 Coûts et financement des passes à poissons 3 Canevas du programme (cas de reconstitution du barrage) 4 Cadre réglementaire Pour en savoir plus Glossaire Liste des figures et des photographies
  75. Edition (Ceremadoc) Exploitation d’images satellite pour le littoral : Volet II : Réalisation d’un prototype d’extraction du trait de côte à partir d’images satellite. Application à l’archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon

    Volet I : État de l'art de l'utilisation des technologies satellitaires pour la cartographie du trait de côte et de la bathymétrie Ce rapport établit ainsi l’état de l’art de l’utilisation de l’imagerie satellitaire pour le suivi du trait de côte et la cartographie de la bathymétrie des petits fonds. Il contient en préalable une première partie pédagogique sur les notions d’imagerie satellitaire en observation de la Terre puis analyse les techniques éprouvées au travers d’une étude bibliographique réalisée en 2012. Concernant l’identification et le suivi du trait de côte, la bibliographie montre que l’utilisation de l’imagerie satellitaire permet de cartographier, sur de larges emprises géographiques, avec une fréquence élevée et un faible coût, les faciès littoraux de type eau, plage, dune, végétation, bâti et d’en extraire un marqueur de position du trait de côte de type limite d’immersion, pied de dune pour les côtes sableuses ou pied de falaise pour les côtes à falaise. Les précisions obtenues sont variables en fonction des marqueurs suivis et des types de côte, en particulier les erreurs augmentent sur les côtes rocheuses. Pour la bathymétrie des eaux peu profondes, une méthode d’inversion du signal optique satellitaire permet de fournir des cartes bathymétriques précises sur les 10 premiers mètres en eaux moyennement turbides et sur les 25 premiers mètres en eaux claires. Dans les eaux plus profondes, une méthode exploitant les propriétés de la houle permet de fournir des informations bathymétriques dans les zones de houle (de 10 à 40 m de profondeur). Ces méthodes, réalisées sur la base d’images satellite de type SPOT, ont prouvé leur efficacité et présentent l’avantage de fournir des informations continues, sur de larges zones géographiques avec une fréquence annuelle ou pluriannuelle et à faible coût. D’autres méthodes, basées sur l’altimétrie/gravimétrie et sur la technologie Lidar, sont présentées mais sont plutôt à envisager en termes de perspectives à moyen et long termes. L’extraction semi-automatique de l’information « trait de côte » à partir de l’imagerie satellitaire présente ainsi aujourd’hui une maturité suffisante pour un déploiement sur certains territoires. Elle présente des potentialités intéressantes de capacité de revisite à moindre coût, pour un suivi et une gestion intégrée du trait de côte. Volet II : Réalisation d'un prototype d'extraction du trait de côte à partir d'images satellite. Application à l'archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon Un premier rapport a ainsi établi l’état de l’art des méthodes existantes sur ces problématiques, afin d’identifier les plus prometteuses notamment en fonction des paysages rencontrés (volet I des rapports « Exploitation d’images satellite pour le littoral »). Il a conclu à la maturité de certaines techniques de reconnaissance par imagerie satellitaire de marqueurs de position du trait de côte, notamment en tant qu’interface terre-mer, c’est-à-dire limite entre deux zones présentant des caractéristiques terrestres (au-dessus du trait de côte) et maritimes (en dessous du trait de côte). Le Cerema s’est alors engagé à développer une méthodologie et un prototype qui permettraient d’extraire automatiquement la position du trait de côte en tant qu’interface de faciès terrestres et maritimes à partir d’images satellite à très haute résolution spatiale (images Pléiades). L’objectif final serait de transférer cette technologie à tout acteur qui souhaiterait utiliser les images satellite pour suivre l’évolution de la position du trait de côte, particulièrement sur les territoires macrotidaux où ce type de méthode est particulièrement adapté. Ce rapport (volet II) présente les tests opérés sur l’archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon pour développer un prototype permettant d’extraire automatiquement la position du trait de côte sur des images Pléiades obtenues dans le cadre du programme GEOSUD. Le processus d’acquisition se base sur la réalisation, par classification automatique, d’une cartographie des faciès à proximité du trait de côte puis sur l’extraction de la limite terre – mer comme frontière entre types d’occupation des sols. Le « trait de côte » ainsi obtenu a été comparé à des mesures effectuées sur le terrain. La stabilité de la méthode dans le temps a été évaluée via l’exploitation de deux images de deux années consécutives sur l’île de Saint-Pierre, en 2012 et 2013. Les travaux effectués montrent que la méthode peut conduire à des précisions de localisation de marqueurs de position du trait de côte de 2 à 3 m en moyenne lorsqu’il s’agit d’une limite de végétation ou d’érosion. Dans les autres cas (rochers, pieds de dune, gabions, galets), la technique donne des résultats plus inégaux et dans l’ensemble de moins bonne qualité. Des pistes sont proposées pour améliorer la méthode en prévision d’une évaluation plus large sur davantage de paysages et situations : utilisation de modèles numériques de terrain, exploitation d’informations issues des bases de données disponibles sur les zones étudiées (référentiels IGN par exemple) ou recours à des algorithmes de simplification de lignes. Volet III : Prototype de reconnaissance du trait de côte en tant que limite d’immersion à partir d’images satellite Un premier rapport a ainsi établi l’état de l’art des méthodes existantes sur ces problématiques, afin d’identifier les plus prometteuses notamment en fonction des paysages rencontrés (volet I des rapports « Exploitation d’images satellite pour le littoral »). Il a conclu à la maturité de certaines techniques de reconnaissance de marqueurs de position du trait de côte, notamment de la limite d’immersion (limite du jet de rive ou limite eau/non eau). Le Cerema s’est alors engagé à développer une méthodologie et un prototype qui permettraient d’extraire automatiquement la position du jet de rive à partir d’images satellite à très haute résolution spatiale (images Pléiades). L’objectif final serait de transférer cette technologie à tout acteur de la gestion intégrée du trait de côte qui souhaiterait utiliser les images satellite pour en suivre son évolution. Ce type de méthode est particulièrement adapté au suivi du trait de côte pour des territoires à faible marnage ou pour le suivi « instantané » de la position du jet de rive. Ce rapport (volet III) présente les tests opérés sur le secteur du Grau-du-Roi (30) pour développer un prototype permettant d’extraire automatiquement la position du trait de côte sur des images Pléiades à l’aide d’une méthode de type seuillage. Les marqueurs de limites hautes et basses du jet de rive extraits suivent fidèlement le jet de rive observé sur l’image satellite. Quelques rares anomalies apparaissent ponctuellement en présence de nuages ou d’ombres qui intersectent le trait de côte. Cette méthode présente les avantages d’être précise, notamment pour la limite basse du jet de rive, transférable géographiquement et relativement simple à mettre en œuvre sur un secteur géographique donné. Ces résultats montrent qu’un outil opérationnel de suivi du trait de côte à partir d’images satellite est aujourd’hui accessible en milieu microtidal. Des développements complémentaires doivent néanmoins être réalisés pour couvrir un linéaire côtier de plusieurs dizaines de kilomètres, vérifier la répétitivité temporelle des seuils fixés, développer un outil ergonomique et assurer son transfert vers des utilisateurs finaux. Un comité d’utilisateurs sera monté dans cette optique à partir de 2016. Volet I : État de l'art de l'utilisation des technologies satellitaires pour la cartographie du trait de côte et de la bathymétrie I. INTRODUCTION I.1 Contexte de l’étude I.2 Les informations géographiques recherchées II. LES SATELLITES D’OBSERVATION DE LA TERRE : QUELQUES NOTIONS II.1 Les satellites d’observation de la Terre II.2 L’exploitation des images satellites II.3 Atouts de l’imagerie satellitaire III. ÉTAT DE L’ART de la CARTOGRAPHIE DU TRAIT DE CÔTE À PARTIR D’IMAGES SATELLITES III.1 Exploitation des images satellites par photo-interprétation III.2 Extraction semi-automatique du trait de côte III.3 Détection de l’artificialisation du trait de côte III.4 Analyse de l’état de l’art IV. ÉTAT DE L’ART DES MESURES DE BATHYMETRIE PAR SATELLITE IV.1 Mesures de bathymétrie par détection des limites entre zones émergées et zones immergées IV.2 Mesures de bathymétrie par inversion du signal optique IV.3 Mesures bathymétriques par détection des crêtes de houle IV.4 Autres méthodes et perspectives IV.5 Analyse de l’état de l’art V. CONCLUSIONS VI. Annexes VI.1 Annexe 1 : Estimation de la bathymétrie par gravimétrie/altimétrie VI.2 Annexe 2 : Mesures de bathymétrie par Lidar Satellitaire Volet II : Réalisation d’un prototype d’extraction du trait de côte à partir d’images satellite. Application à l’archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon I. Introduction II. La cartographie du trait de côte par imagerie spatiale II.1 Définitions du trait de côte II.2 Cartographie du trait de côte par imagerie spatiale III. Zones d’étude III.1 L’archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon III.2 L’isthme de Miquelon-Langlade (zone A) III.3 L’île de Saint-Pierre (zone B) IV. Données disponibles IV.1 Les images Pléiades IV.2 Les levés terrain de la DTAM de Saint-Pierre-et-Miquelon IV.3 Trait de côte Histolitt® IV.4 Modèle numérique de surface V. Méthode d’extraction du trait de côte V.1 Principe général et logiciels utilisés V.2 Préparation du chantier V.3 Création et sélection des indices et textures V.4 Classifications des images V.5 Extraction du trait de côte V.6 Évaluation des résultats VI. Synthèse des résultats VI.1 Classifications VI.2 Trait de côte extrait VII. Bilan VII.1 Analyse de la performance du prototype développé VII.2 Perspectives VII.3 Conclusion VIII. Annexe : Résultats complets VIII.1 Zone A Isthme de Miquelon-Langlade VIII.2 Zone B1 Etang VIII.3 Zone B2 Aéroport VIII.4 Zone B3 Ile aux Marins Volet III : Prototype de reconnaissance du trait de côte en tant que limite d’immersion à partir d’images satellite I. Contexte et objectif II. Contexte géomatique II.1 Site d’étude II.2 Données disponibles III. Extraction du jet de rive III.1 Principe de la méthode III.2 Traitement de l’image Pléiades IV. Analyse des résultats IV.1 Analyse visuelle IV.2 Analyse quantitative : comparaison au trait de côte digitalisé sur l’Ortho Littorale V2 V. CONCLUSIONS
  76. Edition (Ceremadoc) Guide passes à poissons

    Ce guide constitue un outil d’aide à la décision pour orienter les Maîtres d’Ouvrage dans le montage de leurs programmes et leur permettre de juger de la bonne exécution des différentes étapes du projet. A cet effet, il répertorie les principaux points à traiter pour concevoir un dispositif efficace et conforme aux attentes exprimées dans le programme de l’opération. Au travers des 3 parties qui le composent, ce guide: précise en premier lieu comment aborder, placer et « traiter » de la continuité écologique dans le canevas de la « procédure projets » classiquement suivie par les responsables techniques, passe ensuite en revue les différents types d’ouvrages de franchissement piscicole, puis expose les phases de réalisation d’un projet ainsi que leur contenu, aborde enfin les aspects maintenance contrôle et efficacité des passes à poissons. Pour ce dernier point, le guide fixe des préconisations ambitieuses qui pourront justifier, au cas par cas, en fonction des moyens financiers et humains, une mise en place progressive. Avant – proposI. Recommandations pour l’établissement d’un programme 1 CADRAGE DU PROGRAMME a) Quelques repères sur la migration des poissons b) Ouvrages obstacle à la migration des poissons 2 LE PROGRAMME a) Les besoins du programme b) Les contraintes du programme c) Les exigences du programme 3 LA CONCERTATION 4 LES ETUDES SPECIFIQUES a) Contraintes fonctionnelles b) Contraintes structurelles II. « Catalogue » des passes à poissons et Phases de conception 1 PRINCIPES DES PASSES A POISSONS 2 CATALOGUE « PASSES A POISSONS » a) Passes à bassins et prébarrages b) Passes à ralentisseurs c) Passes « naturelles » d) Ascenseurs et écluses e) Passes à anguilles 3 PRINCIPES D’IMPLANTATION DES PASSES A POISSONS a) Principes et critères de base b) Configuration de l’obstacle c) Conditions hydrodynamiques 4 CONTENU DES ETUDES SPECIFIQUES a) Etudes préliminaires b) Etudes d’Avant Projet (AVP) c) Etudes de Projet (PRO) d) Après les études de Projet PRO III. Exploitation, maintenance et contrôle des passes à poissons 1 MAINTENANCE PREVENTIVE a) La maintenance préventive, pourquoi ? b) Précautions lors de la conception c) Maintenance de l‘ouvrage 2 CONTROLE DU FONCTIONNEMENT a) Efficacité - Fonctionnalité b) Suivi piscicole Annexes 1 Aménagement hydro-électrique et passes à poissons 2 Coûts et financement des passes à poissons 3 Canevas du programme (cas de reconstitution du barrage) 4 Cadre réglementaire Pour en savoir plus Glossaire Liste des figures et des photographies
  77. Edition (Ceremadoc) Guide Enrochement - L’utilisation des enrochements dans les ouvrages hydrauliques : Traduction française du Rock Manual - 2nde édition - Manual for the use of rock in hydraulic engineering or Rock Manual.

    La France a été précurseur dans le domaine avec la publication en 1989 du Guide LCPC « les enrochements ». Le CIRIA (UK) a publié en 1991 un document plus complet, le « manual on the use of rock in coastal and shoreline engineering », généralement connu sous le nom de « rock manual ». Le CUR (NL) a procédé à la première mise à jour du « rock manual » en 1995 distribué sous le nom de « manual on the use of rock in hydraulic engineering » qui intégra les voies navigables et les aspects constructifs. L’objectif du guide est un document autoporteur de notoriété européenne sur les enrochements, les blocs artificiels, et leurs utilisations dans les ouvrages hydrauliques. La conception, le dimensionnement, les matériaux, la construction ainsi que la maintenance sont abordés. Le « rock manual – 2ème édition » est basé sur les trois manuels européens existants et prend en compte les derniers développements liés à la normalisation européenne, aux recherches en cours en Europe. Il intègre de nouvelles approches aussi bien sur l’aspect dimensionnement que prise en compte de l’environnement. 1. Introduction 2. Conception des ouvrages 3. Matériaux 4. Caractérisation du site et collecte des données 5. Phénomènes physiques et outils de dimensionnement 6. Conception des ouvrages à la mer 7. Conception des digues de fermetures et des barrages 8. Conception des ouvrages en rivière et canal 9. Construction 10. Surveillance, inspection, maintenance et réparation
  78. Edition (Ceremadoc) Guide GEMAPI 2018 : Introduction à la prise de compétence « Gestion des milieux aquatiques et prévention des inondations »

    Ce guide a vocation à présenter de manière simple les contours de cette nouvelle compétence, afin de faciliter son appropriation par les acteurs et son explication auprès des citoyens. Il oriente les lecteurs vers d'autres supports permettant d'approfondir les thématiques abordées. Il est organisé en 5 parties principales : la première partie aborde les caractéristiques des milieux et les enjeux concernés par la compétence; la deuxième présente le contexte réglementaire et quelques caractéristiques de la compétence ; la troisième expose les politiques publiques qui concernent les milieux aquatiques et la prévention des inondations, et les liens avec la compétence GEMAPI ; la quatrième présente les principaux acteurs liés à la compétence ; la cinquième détaille des outils d'aménagement du territoire, financiers, opérationnels et réglementaires pouvant participer à la mise en œuvre de la compétence. Cette publication a été actualisée en 2018. 1 Notions élémentaires 1.1 Les milieux aquatiques 1.2 Des milieux qui évoluent 1.3 Quels liens entre ces milieux et les activités humaines ? 2 Qu’est-ce que la compétence GEMAPI ? 2.1 Pourquoi a-t-elle été créée ? 2.2 Quelles missions comprend-elle ? 2.3 Quelles responsabilités implique la compétence GEMAPI ? 2.4 Quand s’applique la prise de compétence GEMAPI et quelles sont les dispositions transitoires ? 2.5 Les missions de la compétence GEMAPI peuvent-elles être exercées par plusieurs structures ? 3 Comment la compétence GEMAPI s’articule-t-elle avec les politiques de gestion de l’eau et de gestion du risque inondation ? 3.1 La politique de gestion de l’eau en France 3.2 La politique de gestion du risque inondation en France 3.3 La politique de gestion du trait de côte 3.4 Quelle est la place de la compétence GEMAPI dans ces politiques ? 3.5 Les contours de la compétence GEMAPI 4 Quels acteurs autour de la compétence GEMAPI ? 4.1 Les collectivités territoriales et leurs groupements 4.2 Les propriétaires riverains et les associations syndicales de propriétaires 4.3 Les conseils départementaux et régionaux 4.4 Les services de l’État 4.5 Les missions d’appui technique de bassin 4.6 Les agences et les offices de l’eau 4.7 L’agence française pour la biodiversité 5 Comment mettre en œuvre la compétence GEMAPI ? 5.1 Que doit faire une structure au titre de la compétence GEMAPI ? 5.2 Comment définir une « stratégie de gestion des milieux aquatiques et de prévention des inondations » ? 5.3 Quels outils sont à disposition des territoires pour la mettre en œuvre ? 5.4 Comment financer l’exercice de cette compétence ? 5.5 Quel accompagnement de la compétence GEMAPI ? 6 Pour aller plus loin 6.1 Documentation générale 6.2 Retours d’expérience et illustrations 6.3 Textes législatifs et réglementaires 7 Annexes 7.1 Réglementation et gestion des systèmes d’endiguement 7.2 Les missions des services de l’État en lien avec la compétence GEMAPI 7.3 L’organisation synthétisée de la prise de compétence GEMAPI pour les collectivités territoriales et leurs groupements et dispositions transitoires 8 Sigles et acronymes
  79. Edition (Ceremadoc) Fiches synthétiques de mesure des états de mer du réseau CANDHIS-MAJ 2020 : Tome 2 - Méditerranée

    Ce catalogue est un support à la diffusion des données. Il présente les informations disponibles et leurs traitements et pour chaque campagne une analyse complète des données sur toute la durée des observations disponibles. Cela comprend des informations générales, l’établissement des climatologies moyennes, l’analyse des valeurs extrêmes et un zoom sur les caractéristiques des états de mer observés lors des événements les plus marquants. Ce catalogue est destiné aux bureaux d’ingénierie, aux services de l’État ou des collectivités, aux organismes de recherche, et plus généralement à ceux qui travaillent de près ou de loin sur les états de mer. Ce catalogue, composé de trois tomes, est une actualisation de l’édition 2020 : le premier tome pour la Mer du Nord, la Manche et l’Atlantique, le deuxième tome pour la Méditerranée, et le troisième tome pour la l'outre-mer. 1. Introduction 2. Définitions 2.1 Analyse vague par vague 2.2 Analyse spectrale 3. Rappel théorique 3.1 Analyse vague par vague (ou analyse temporelle) 3.2 Analyse spectrale 3.2.1 Spectre de variance non directionnel 3.2.3 Spectre directionnel de variance 4. La mesure 4.1 Le réseau de mesures CANDHIS 4.2 Les appareils de mesure 4.3 État des données 4.3.1 Avertissement quant à l’usage des données 4.3.2 Pas de mesure des paramètres d’états de mer 4.4 Contrôle des données 4.4.1 Premier niveau de contrôle 4.4.2 Deuxième niveau de contrôle 5. Présentation des résultats 5.1 Convention d’unités 5.2 Informations générales 5.3 Climatologie moyenne 5.4 Analyse des valeurs extrêmes 5.4.1 Méthodologie 5.4.2 Interprétation 5.5 Sélection des événements remarquables 5.5.1 Méthodologie 5.5.2 Interprétation Annexes : les fiches synthétiques
  80. Edition (Ceremadoc) Guide de prise en main Fudaa-Mascaret 3.0

    Le logiciel MASCARET est un code de calcul de modélisation hydraulique 1D avec casier. Ce guide est destiné à accompagner un nouvel utilisateur dans l’apprentissage du logiciel. Le parti est pris dans un premier temps d’expliciter tous les menus du logiciel indépendamment des noyaux de calcul et dans un second temps d’accompagner la prise en main par un exemple réel de calcul 1D filaire, depuis la préparation des fichiers jusqu’à l’obtention de la ligne d’eau pour chacun des noyaux de calcul (permanent, non permanent, transcritique et un cas avec casiers). 1 PREAMBULE 1.1 Introduction 1.2 Installation du logiciel 1.3 Recensement des fichiers nécessaires avant exécution de Mascaret 1.4 Description des principaux boutons et des outils graphiques de Mascaret 1.4.1 Boutons des boites de dialogue 1.4.2 Boutons édition du réseau 1.4.3 Lancement de Mascaret 2 DESCRIPTION DU LOGICIEL 2.1 Ouverture et réouverture d’une étude déjà existante 2.2 Création d’une étude : choix du noyau de calcul 2.3 Enregistrement de l’étude créée 2.4 Edition du réseau hydraulique 2.4.1 Edition du réseau hydraulique 2.4.2 Positionnement des objets du réseau 2.5 Création des profils 2.6 Lois hydrauliques et choix des conditions limites 2.6.1 Création des lois hydrauliques 2.6.2 Choix des conditions limites 2.7 Maillage 2.8 Planimétrage 2.9 Conditions initiales 2.10 Paramètres temporels 2.11 Paramètres généraux 2.11.1 Les paramètres de modélisation 2.11.2 Les laisses de crues 2.11.3 Les zones de frottement 2.11.4 Les paramètres numériques du casier 2.11.5 Options avancées 2.12 Paramètres résultats 2.13 Calage automatique 2.13.1 Lancement du calcul du calage automatique 2.13.2 Les résultats du calage automatique 2.14 Tableaux de synthèse 2.15 Lancement du calcul 2.16 Résultats généraux 2.17 Résultats graphiques 2.18 Exportation des résultats 2.19 Importation des fichiers 2.20 Impression des résultats graphiques 3 Cas d’erreurs les plus fréquents dans l’utilisation de Fudaa-Mascaret 3.1 Erreur dans le choix de la loi hydraulique 3.2 Minimum deux lois hydrauliques pour un calcul 3.3 Affectation des lois hydrauliques aux extrémités libres du réseau hydraulique 3.4 Les abscisses du bief ne s’affichent pas 3.5 Erreur dans les conditions initiales 3.6 Choix du pas de temps 3.7 Choix du temps initial 3.8 Durée du calcul incompatible avec les lois hydrauliques 3.9 Les coefficients de Strickler ont été oubliés 3.10 Pas de temps avec le noyau « transcritique » 3.11 Cotes initiales dans les casiers 4 EXEMPLE D’UN ECOULEMENT FLUVIAL PERMANENT 4.1 Description de l’exemple traité en régime fluvial permanent : cas_fluvial_permanent.masc 4.2 Noyau de calcul 4.3 Edition du réseau hydraulique 4.4 Lois hydrauliques 4.5 Maillage 4.6 Planimétrage 4.7 Conditions Initiales 4.8 Paramètres temporels 4.9 Paramètres généraux 4.10 Paramètres résultats 4.11 Lancement du calcul 4.12 Visualisation des résultats 5 EXEMPLE D’UN ECOULEMENT FLUVIAL NON PERMANENT 5.1 Description de l’exemple traité en régime fluvial non permanent 5.2 Noyau de calcul 5.3 Edition du réseau hydraulique 5.4 Lois hydrauliques 5.5 Maillage 5.6 Planimétrage 5.7 Conditions Initiales 5.8 Paramètres temporels 5.9 Paramètres généraux 5.10 Paramètres résultats 5.11 Lancement du calcul 5.12 Visualisation des résultats 6 EXEMPLE D’UN ECOULEMENT transcritique 6.1 Description de l’exemple traité en régime transcritique 6.2 Construction du modèle, calcul préalable avec le noyau fluvial permanent, puis calcul avec le noyau transcritique 6.2.1 Noyau de calcul 6.2.2 Edition du réseau hydraulique 6.2.3 Lois hydrauliques 6.2.4 Maillage 6.2.5 Planimétrage 6.2.6 Conditions Initiales 6.2.7 Paramètres temporels 6.2.8 Paramètres généraux 6.2.9 Paramètres résultats 6.2.10 Lancement du calcul 6.2.11 Visualisation des résultats 6.3 Utilisation du noyau transcritique 6.3.1 Noyau de calcul 6.3.2 Conditions Initiales 6.3.3 Paramètres temporels 6.3.4 Paramètres généraux 6.3.5 Paramètres résultats 6.3.6 Lancement du calcul 6.3.7 Visualisation des résultats 6.4 Option « implicitation du noyau transcritique » 6.4.1 Paramètres généraux 6.4.2 Paramètres temporels 6.4.3 Lancement du calcul 6.4.4 Visualisation des résultats 7 EXEMPLE D’UN ECOULEMENT avec casiers 7.1 Description de l’exemple traité avec le module casiers 7.2 Calcul de la ligne d’eau initiale à 5 m3/s avec le noyau fluvial-permanent 7.2.1 Noyau de calcul 7.2.2 Lois hydrauliques 7.2.3 Paramètres temporels 7.2.4 Paramètres généraux 7.2.5 Paramètres résultats 7.2.6 Lancement du calcul 7.2.7 Visualisation des résultats 7.2.8 Export de la ligne d’eau initiale 7.3 Utilisation du noyau de calculs transcritique et du module casiers 7.3.1 Noyau de calcul 7.3.2 Lois hydrauliques 7.3.3 Géométrie des casiers 7.3.4 Conditions Initiales 7.3.5 Paramètres temporels 7.3.6 Paramètres généraux 7.3.7 Paramètres résultats 7.3.8 Lancement du calcul 7.3.9 Visualisation des résultats 7.4 Poursuite du calcul jusqu’à 160 m3/s avec le module casiers 7.4.1 Lois hydrauliques 7.4.2 Conditions Initiales 7.4.3 Lancement du calcul 7.4.4 Visualisation des résultats 7.5 Résultat du réglage du modèle sur la crue de 1978 8 ANNEXES 8.1 Description des paramètres du confluent en régime transcritique 8.2 Format d’importation du casier en mode « semis de points » 8.3 Format d’importation des points frontières ou des points intérieurs du casier e n mode « semis de points » 8.4 Format d’importation du casier en mode « planimétrie » 8.5 Format d’importation de la géométrie des biefs 8.6 Format d’importation des profils 8.7 Format d’importation des lois (*.loi) 8.8 Format d’importation du maillage (*.mail) 8.9 Format d’importation du fichier de reprise de calcul 8.10 Format d’importation du fichier ligne d’eau initiale 8.11 Format d’importation du fichier des laisses de crue (*.lai) 8.12 Format d’importation du fichier des zones de frottement
  81. Edition (Ceremadoc) Guide international sur les digues 2019 : The International Levee Handbook (2013) : version française (2019)

    D’origine fluviale ou maritime, les inondations et les submersions représentent un risque aux conséquences parfois désastreuses. Les digues, qu’on appelle aussi levées, constituent des éléments importants de protection et de défense contre les submersions et les inondations. On estime à plusieurs centaines de milliers de kilomètres le linéaire de digues en bordure des fleuves et des côtes en Europe et aux États-Unis. Compte tenu de leur rôle critique dans l’atténuation du risque d’inondation ou de submersion, les digues représentent donc un enjeu majeur face aux évolutions climatiques et aux risques d’occurrences d’événements extrêmes dans l’avenir. Les gouvernements de cinq pays (France, Irlande, Pays-Bas, Royaume-Uni et États-Unis) ont décidé la production d’une référence commune sur les bonnes pratiques de gestion et de conception des digues : l’International Levee Handbook (dont le présent ouvrage est la traduction française) est ainsi le fruit d’un partage d’expériences et de connaissances mené dans le cadre d’une collaboration internationale. Conçu dans une approche exhaustive le Guide international des digues est un manuel complet qui intègre l’essentiel des bonnes pratiques de l’évaluation de la sécurité, la conception en passant par la construction, la maintenance et jusqu’à la gestion des digues. Sans prétendre être un code de pratiques prescriptif, il doit toutefois être considéré comme un important support de décision et constitue un manuel de référence à destination des collectivités territoriales, des propriétaires et des gestionnaires de digues, des bureaux d’études, des services de contrôle de l’État et des entreprises de travaux publics. 1 Introduction 2 Les digues dans le cadre de la gestion du risque d’inondation 3 Fonctions, formes et défaillances des digues 4 Gestion et entretien 5 Inspection et évaluation des digues et attribution des risques 6 Gestion de crise et interventions d’urgence 7 Caractérisation des sites et collecte de données 8 Processus physiques et outils pour l’évaluation et la conception des digues 9 Conception 10 Construction Glossaire Abréviations Notations
  82. Edition (Ceremadoc) Guide méthodologique pour le pilotage des études hydrauliques

    Ce guide a été commandé au Direction technique Eau, mer et fleuves par la DGUHC en 2000 pour répondre aux besoins des services déconcentrés de l’Etat se trouvant souvent dans la position de commander, d’aider à définir, de réceptionner ou de juger des études hydrauliques, notamment sur modèles numériques. De nombreux contributeurs ont participé à la réalisation du document : dans les groupes de travail dont l’objectif était de rassembler la matière utile à la rédaction du guide, ou à travers la rédaction de l’ouvrage et de ses annexes. Le guide vise à apporter une contribution et une aide aux agents en charge de commander, piloter et évaluer une étude hydraulique, en complément des formations techniques spécialisées et de l’expérience acquise sur le terrain. Il est structuré autour des trois étapes d’une étude hydraulique : préparation de l’étude, rédaction du cahier des charges et suivi de l’étude. Sept annexes techniques fournissent des éléments : sur les objectifs d’une étude hydraulique, les données hydrauliques, les données hydrologiques, le choix de l’outil de modélisation hydraulique, les données bathymétriques et topographiques, le suivi de l’étude et la cartographie des résultats. 0. Préambule 1. Préparation de l’étude 1.1. Les objectifs 1.1.1. Décrire la problématique et ses aspects connexes 1.1.2. Analyse fonctionnelle et configurations de projet 1.1.3. Objectifs de la maîtrise d’ouvrage 1.1.4. Fixer des indicateurs d’évaluation de l’étude en vue de choisir et valider un objectif 1.2. Inventaire critique des données disponibles 1.2.1. Collecte des données : bibliographie, archives 1.2.2. Évaluation des données hydrologiques et hydrauliques 1.2.2.1 Données hydrologiques 1.2.2.2 Données hydrauliques 1.2.3. Évaluation des données topographiques 1.2.3.1 Données utiles aux calculs hydrauliques 1.2.3.2 Données cartographiques 1.3. Expertise préalable à la rédaction du cahier des charges 1.3.1. Analyse qualitative 1.3.1.1 Topologie hydraulique : hydrographie, orographie et géomorphologie 1.3.1.2 Analyse quantitative des paramètres hydrauliques 1.3.1.3 Complexité de l’étude 1.3.2. Adéquation données / outils / complexité 1.3.2.1 Variables à étudier 1.3.2.2 Phénomènes à représenter 2. Rédaction du cahier des charges et jugement des offres 2.1. Rédaction du cahier des charges 2.1.1. Le préambule 2.1.2. Contexte et hypothèses de travail 2.1.3. Objectifs 2.1.3.1 Cas d’une étude de risque 2.1.3.2 Cas d’une étude d’aménagement 2.1.4. Les Moyens, la démarche 2.1.4.1 La collecte de données 2.1.4.2 Enquête de terrain 2.1.4.3 L’étude hydrologique 2.1.4.4 Données topographiques 2.1.4.5 Modélisation numérique 2.1.4.6 Hydrogéomorphologie 2.1.5. Rapports et communication 2.1.5.1 Les rendus écrits 2.1.5.2 Les rendus oraux 2.1.5.3 Les rendus informatiques 2.2. Jugement des offres 2.2.1. La démarche 2.2.1.1 La note technique 2.2.1.2 Les compétences techniques et les références du bureau d’étude 2.2.1.3 Les capacités du bureau d’études et de ses techniciens 2.2.2. Le prix de la prestation 3. Suivi de l’étude et gestion de ses produits 3.1. Déroulement général d’une étude 3.1.1. Réunion de lancement de l’étude 3.1.2. Collecte et analyse des données 3.1.3. Construction, calage et validation de l’outil d’analyse 3.1.4. Fonctionnement actuel du secteur d’étude 3.1.5. Conception de l’état projeté 3.1.6. Livraison du résultat final 3.2. Les critères de validation de l’étude 3.2.1. Comptes-rendus des observations de terrain 3.2.2. Synthèse bibliographique 3.2.3. Fonctionnement hydrologique 3.2.4. Choix de l’outil d’analyse 3.2.5. Pertinence du calage de l’outil d’analyse 3.2.6. Cohérence des résultats 3.2.7. Vérification des hypothèses de calculs 3.3. Sensibilité des calculs et gestion des incertitudes 3.3.1. De l’incertitude en hydraulique 3.3.2. Les sources de l’incertitude 3.3.2.1 - Les incertitudes liées aux mesures de données 3.3.2.2 - Les incertitudes liées à la représentativité de l’information 3.3.2.3 - Les incertitudes liées aux données reconstituées 3.3.2.4 - Les incertitudes liées aux hypothèses de modélisation 3.3.2.5 - Incertitudes spécifiques liées au régime transitoire 3.3.2.6 - L’évolutivité des données significatives 3.3.3. Description des tests de sensibilité 3.3.3.1 - Etape n°1a : les tests de sensibilité portant sur les valeurs imposées 3.3.3.2 - Etape n°1b : les tests de sensibilité portant sur les paramètres de calage 3.3.3.3 - Etape n°2 : analyser le faisceau des lignes d’eau 3.3.4. Spécifier les tests de sensibilité 3.4. Archivage, propriété et droits d’usages des produits de l’étude 3.4.1. Archivage des produits de l’étude 3.4.1.1. Le rapport 3.4.1.2. Les fichiers de calcul 3.4.2. Propriété et droits d’usage des données produites à l’occasion de l’étude 3.4.2.1 Définition des données publiques 3.4.2.2 Protection des données publiques 3.4.3. Propriété et droits d’usage des oeuvres produites 3.4.3.1 Définition des oeuvres 3.4.3.2 Protection juridique des oeuvres 3.4.3.3 Des bonnes manières en matière d’oeuvres 3.4.3.4 Cahier des Clauses Administratives Générales - prestations intellectuelles (C.C.A.G. - P.I.) 3.4.4. Cas particulier des logiciels de modélisation numérique Annexes Annexe 1 - Formuler les objectifs de l’étude Annexe 2 - Analyse du fonctionnement hydraulique du secteur d’étude Annexe 3 - Données hydrologiques Annexe 4 - Choix de la modélisation Annexe 5 - Bathymétrie et topographie Annexe 6 - Suivi de la réalisation de l’étude hydraulique Annexe 7 - Rendu cartographique Références documentaires Lexique du guide pilotage d’une étude hydraulique
  83. Edition (Ceremadoc) Guide des matériels de signalisation maritime : Signalisation maritime. Documentation technique. Ingénierie des aides à la navigation

    Catalogue composé de fiches de présentation des matériels recommandés en signalisation maritime rangées par type de matériel : supports, aides passives, aides lumineuses, ARN, énergie, gestion et surveillance de l'ESM, connectique. 0. GUIDE CETMEF 0.1. EXPLICATIF 0.1.1. Utilisation du guide 0.1.2. Procédure d'achat 0.1.3. Contenu des fiches 0.1.4. Sommaire 1. SUPPORTS 1.1. BOUEES ET BALISES 1.1.1. Bouées de grande taille 1.1.2. Bouées de petite taille 1.1.3. Bouées de balisage provisoire 1.1.4. Balises à flotteurs 1.2. MOUILLAGE : CHAÎNES ET ACCESSOIRES 1.2.1. Chaînes 1.2.2. Accessoires 2. AIDE PASSIVE 2.1. REVÊTEMENT RETROREFLECHISSANT 2.2. REFLECTEURS PASSIFS RADAR 3. AIDE SONORE4. AIDE LUMINEUSE 4.1. FANAUX ET OPTIQUES (fixes et flottants) 4.1.1. Horizon 4.1.2. Tournants 4.1.3. Direction 4.1.4. Guidage 4.2. SOURCES LUMINEUSES ET MATERIELS ASSOCIES 4.2.1. Synoptique 4.2.2. Lampes à incandescence 4.2.3. Lampes aux halogènes 4.2.4. Lampes aux halogénures métalliques 4.2.5. Support de lampes 4.2.6. Platines d'alimentation 4.3. FEUX A DELS - FEUX AUTONOMES 4.3.1. Galette à DELS 4.3.2. Feux à DELS avec commande 4.3.3. Feux autonomes 5. ARN 5.1 RACON 5.2 DGPS 5.3 AUTRES TYPES D'ARN 6. ENERGIE 6.1. PRODUCTION 6.1.1. Batteries 6.1.2. Aérogénérateurs 6.1.3. Groupes électrogènes 6.1.4. Solaire 6.2. APPAREILLAGE DE CONVERSION DE L'ENERGIE 6.2.1. Conversion alternatif > continu - CHARGEURS 6.2.2. Conversion continu > continu - REGULATEURS 6.2.3. Conversion continu > alternatif – ONDULEURS 6.3. PROTECTION CONTRE LA FOUDRE 7. GESTION ET SURVEILLANCE DE L'ESM 7.1. CAPTEURS ET DETECTEURS 7.1.1. Dispositifs de détection jour / nuit 7.1.2. Détecteurs de brume 7.1.3. Dispositifs de synchronisation des rythmes 7.1.4. Dispositifs de détection de courant & tension 7.2. ROTATION ET MATERIELS ASSOCIES 7.2.1. Soubassements 7.2.2. Moteurs de rotation & cartes de cde associées 7.2.3. Dispositif de contrôle de rotation 7.3. BOÎTIERS DE COMMANDE ET CONTRÔLE 7.3.1. Boîtiers équipés pour feux rythmés 7.3.2. Boîtiers équipés pour feux tournants 7.3.3. Ss ensembles de commande et contrôle 7.4. TELECONTRÔLE – TELECOMMANDE 7.4.1. Télécontrôle SERPE 8. CONNECTIQUE 8.1. CABLES 8.1.1. Achat câbles 8.2. CONNECTEURS 8.2.1. Connecteurs étanches
  84. Edition (Ceremadoc) Guide stabilité des écluses

    L'objectif de ce guide est de proposer une méthodologie de réalisation de vidange d'écluse. La première partie présente les éléments de fonctionnement, de dimensionnement et d'évaluation de l'état d'une écluse. La seconde propose une méthodologie pour évaluer la faisabilité de la vidange en analysant plusieurs critères (géométrie, données du site, travaux antérieurs, observations de l'état de l'écluse) puis propose, si la vidange n'est pas envisageable, les investigations complémentaires à réaliser, les travaux de confortement possibles et des recommandations pour la surveillance de l'ouvrage lors du déroulement de la vidange. Enfin la dernière partie présente trois exemples d'application de cette méthodologie : Port à l'anglais sur la Seine, Damery sur la Marne canalisée et les Quatre cheminées sur la Meuse. Éléments de fonctionnement, de dimensionnement et d’évaluation de l’état d’une écluse Éléments de fonctionnement d’une écluse Principes de fonctionnement Types d’écluse Description de quelques éléments constituant une écluse Éléments de dimensionnement d’une écluse Circulations hydrauliques Éléments de dimensionnement des bajoyers Éléments de dimensionnement des radiers Conclusion Éléments d’évaluation de l’état et du comportement d’une écluse avant et pendant Dégradation naturelle et physico-chimique des matériaux Les sollicitations mécaniques Les actions de l’eau Réalisation d’une vidange d’entretien Définition des étapes Géométrie générale Données du site Synthèse n°1 Travaux antérieurs - Archives Expériences précédentes de vidanges Observations sur l’état de l’écluse Synthèse n°2 Réflexion – Faisabilité de la vidange Investigations complémentaires Travaux de confortement Déroulement de la vidange Fiche de suivi de la méthodologie Exemple d’application de la méthodologie « vidange du sas d’une écluse » Fiche n°1 : Écluse de Port à l’Anglais Fiche n°2 : Écluse n°2 de Damery Fiche n°3 : Écluse des Quatre Cheminées
  85. Edition (Ceremadoc) Humidité dans les phares

    Le guide "Humidité, condensation et entretien des structures des phares", s’attache à expliciter les phénomènes de condensation et à appréhender leurs conséquences sur la conservation du patrimoine. Il s’adresse principalement aux maîtres d’ouvrage. Riche en apports théoriques, il garde toutefois un côté opérationnel par le recours à des expériences menées sur des phares français et la proposition d’un formulaire d’audit humidité pour les établissements de signalisation maritime. Il vient enrichir la collection documentaire technique sur la signalisation maritime produite et diffusée par le Direction technique Eau, mer et fleuves à destination de l’ensemble des acteurs de la filière des phares et balises. Préambule Introduction 1 L'humidité dans les phares – phénomènes en jeu 2 Condition d'apparition de la condensation a la surface ou a l'intérieur d'une paroi 3 Actions de lutte contre l'humidité 4 Retour d'expéerience sur les esm des côtes francaises 5 Conclusions 6 Annexe – formulaire : « audit humidité » Glossaire Références
  86. Edition (Ceremadoc) Hydraulique des cours d'eau. La théorie et sa mise en pratique

    L’objet du présent cours n’est pas de reprendre de manière exhaustive tout l’état de l’art en matière d’hydraulique fluviale. D’éminents hydrauliciens participent régulièrement à la rédaction d’ouvrages de référence auxquels ce cours emprunte beaucoup, et dont la liste, fournie dans la bibliographie, doit être lue comme une invitation à y approfondir les éléments abordés succinctement. Car ce recueil se contente de compiler et d’expliquer dans un ordre aussi pédagogique que possible les principes d’hydraulique fluviale tels que les services des ministères en charge de la gestion, de l’exploitation de l’aménagement ou de la police des rivières peuvent les rencontrer dans les études hydrauliques qu’ils auront à réaliser, piloter ou critiquer. L’approche adoptée n’est donc pas toujours très orthodoxe, privilégiant, autant que possible, les notions intuitives et pratiques avant de les expliquer par la théorie ou de les compléter par les formules empiriques. 1. Conventions, definitions et parametres 1.1 grandeurs caracteristiques 1.2 regimes d’ecoulements 1.3 equations de l’hydraulique fluviale 2. Regime permanent 2.1 regime uniforme 2.2 regime graduellement varie 2.3 changements de regime 3. Pertes de charge singulieres 3.1 pertes de charge de type borda 3.2 pertes de charge liees aux piles en rivieres en regime fluvial 3.3 pertes de charge liees aux seuils 3.4 pertes de charge liees a la morphologie 4. Notions simplifiees de sedimentologie 4.1 mecanismes d’arrachement des materiaux 4.2 force tractrice et affouillement autour des ouvrages 4.3 quantification des affouillements 5. Regimes transitoires 5.1 les crues des cours d’eau (ondes de continuite) 5.2 les ondes rapides (ondes de rupture) 6. Bibliographie
  87. Edition (Ceremadoc) IBIM 0260 - Rythmes normalisés à utiliser pour les feux de signalisation maritime

    Le présent document expose les conditions dans lesquelles l'administration des Phares et Balises applique les recommandations de l'Association Internationale de Signalisation Maritime pour les rythmes des feux de signalisation maritime.Le document est construit en deux parties : Première partie : Traduction des textes de recommandation de l'A.I.S.M. pour les rythmes des feux de signalisation maritime (Recommandation E-110 - Juin 2012). Deuxième partie : Tableaux des rythmes normalisés à utiliser en France par les services en charge de la signalisation maritime et adaptés aux cartes programmateurs et automates de gestion Co-ESM. Ces rythmes sont également à privilégier sur les feux disposant d'une programmation par télécommande. 1 - INTRODUCTION 2 - PREMIÈRE PARTIE : RECOMMANDATION DE L'A.I.S.M. POUR LES RYTHMES DES FEUX DE SIGNALISATION MARITIME 2.1 - Généralités 2.2 - Considérations temporelles 2.3 - Confusions de couleurs 2.4 - Système de balisage maritime préconisé par l'A.l.S.M. 2.4.1 -Définitions et remarques 2.4.2 -Périodes maximales 2.4.3 -Classification des rythmes de feux 3 - DEUXIEME PARTIE : RYTHMES NORMALISES UTILISES PAR L'ADMINISTRATION DES PHARES ET BALISES POUR LES FEUX DE SIGNALISATION MARITIME 3.1 - Tableau I : feux à optique fixe 3.1.1 -Feux fixes 3.1.2 -Feux à occultations 3.1.3 -Feux isophases 3.1.4 -Feux à éclats 3.1.5 -Feux scintillants 3.1.6 -Feux scintillants rapides 3.1.7 -Feux particuliers 3.2 - Tableau II : feux à optique fixe (rythmes économiques) 3.2.1 -Feux à éclats 3.2.2 -Feux scintillants 3.2.3 -Feux scintillants rapides 3.3 - Tableau III : feux à optique tournante 3.3.1 -Feux à éclats 3.3.2 -Feux scintillants
  88. Edition (Ceremadoc) Exploitation d’images satellite pour le littoral : Volet II : Réalisation d’un prototype d’extraction du trait de côte à partir d’images satellite. Application à l’archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon

    Volet I : État de l'art de l'utilisation des technologies satellitaires pour la cartographie du trait de côte et de la bathymétrie Ce rapport établit ainsi l’état de l’art de l’utilisation de l’imagerie satellitaire pour le suivi du trait de côte et la cartographie de la bathymétrie des petits fonds. Il contient en préalable une première partie pédagogique sur les notions d’imagerie satellitaire en observation de la Terre puis analyse les techniques éprouvées au travers d’une étude bibliographique réalisée en 2012. Concernant l’identification et le suivi du trait de côte, la bibliographie montre que l’utilisation de l’imagerie satellitaire permet de cartographier, sur de larges emprises géographiques, avec une fréquence élevée et un faible coût, les faciès littoraux de type eau, plage, dune, végétation, bâti et d’en extraire un marqueur de position du trait de côte de type limite d’immersion, pied de dune pour les côtes sableuses ou pied de falaise pour les côtes à falaise. Les précisions obtenues sont variables en fonction des marqueurs suivis et des types de côte, en particulier les erreurs augmentent sur les côtes rocheuses. Pour la bathymétrie des eaux peu profondes, une méthode d’inversion du signal optique satellitaire permet de fournir des cartes bathymétriques précises sur les 10 premiers mètres en eaux moyennement turbides et sur les 25 premiers mètres en eaux claires. Dans les eaux plus profondes, une méthode exploitant les propriétés de la houle permet de fournir des informations bathymétriques dans les zones de houle (de 10 à 40 m de profondeur). Ces méthodes, réalisées sur la base d’images satellite de type SPOT, ont prouvé leur efficacité et présentent l’avantage de fournir des informations continues, sur de larges zones géographiques avec une fréquence annuelle ou pluriannuelle et à faible coût. D’autres méthodes, basées sur l’altimétrie/gravimétrie et sur la technologie Lidar, sont présentées mais sont plutôt à envisager en termes de perspectives à moyen et long termes. L’extraction semi-automatique de l’information « trait de côte » à partir de l’imagerie satellitaire présente ainsi aujourd’hui une maturité suffisante pour un déploiement sur certains territoires. Elle présente des potentialités intéressantes de capacité de revisite à moindre coût, pour un suivi et une gestion intégrée du trait de côte. Volet II : Réalisation d'un prototype d'extraction du trait de côte à partir d'images satellite. Application à l'archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon Un premier rapport a ainsi établi l’état de l’art des méthodes existantes sur ces problématiques, afin d’identifier les plus prometteuses notamment en fonction des paysages rencontrés (volet I des rapports « Exploitation d’images satellite pour le littoral »). Il a conclu à la maturité de certaines techniques de reconnaissance par imagerie satellitaire de marqueurs de position du trait de côte, notamment en tant qu’interface terre-mer, c’est-à-dire limite entre deux zones présentant des caractéristiques terrestres (au-dessus du trait de côte) et maritimes (en dessous du trait de côte). Le Cerema s’est alors engagé à développer une méthodologie et un prototype qui permettraient d’extraire automatiquement la position du trait de côte en tant qu’interface de faciès terrestres et maritimes à partir d’images satellite à très haute résolution spatiale (images Pléiades). L’objectif final serait de transférer cette technologie à tout acteur qui souhaiterait utiliser les images satellite pour suivre l’évolution de la position du trait de côte, particulièrement sur les territoires macrotidaux où ce type de méthode est particulièrement adapté. Ce rapport (volet II) présente les tests opérés sur l’archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon pour développer un prototype permettant d’extraire automatiquement la position du trait de côte sur des images Pléiades obtenues dans le cadre du programme GEOSUD. Le processus d’acquisition se base sur la réalisation, par classification automatique, d’une cartographie des faciès à proximité du trait de côte puis sur l’extraction de la limite terre – mer comme frontière entre types d’occupation des sols. Le « trait de côte » ainsi obtenu a été comparé à des mesures effectuées sur le terrain. La stabilité de la méthode dans le temps a été évaluée via l’exploitation de deux images de deux années consécutives sur l’île de Saint-Pierre, en 2012 et 2013. Les travaux effectués montrent que la méthode peut conduire à des précisions de localisation de marqueurs de position du trait de côte de 2 à 3 m en moyenne lorsqu’il s’agit d’une limite de végétation ou d’érosion. Dans les autres cas (rochers, pieds de dune, gabions, galets), la technique donne des résultats plus inégaux et dans l’ensemble de moins bonne qualité. Des pistes sont proposées pour améliorer la méthode en prévision d’une évaluation plus large sur davantage de paysages et situations : utilisation de modèles numériques de terrain, exploitation d’informations issues des bases de données disponibles sur les zones étudiées (référentiels IGN par exemple) ou recours à des algorithmes de simplification de lignes. Volet III : Prototype de reconnaissance du trait de côte en tant que limite d’immersion à partir d’images satellite Un premier rapport a ainsi établi l’état de l’art des méthodes existantes sur ces problématiques, afin d’identifier les plus prometteuses notamment en fonction des paysages rencontrés (volet I des rapports « Exploitation d’images satellite pour le littoral »). Il a conclu à la maturité de certaines techniques de reconnaissance de marqueurs de position du trait de côte, notamment de la limite d’immersion (limite du jet de rive ou limite eau/non eau). Le Cerema s’est alors engagé à développer une méthodologie et un prototype qui permettraient d’extraire automatiquement la position du jet de rive à partir d’images satellite à très haute résolution spatiale (images Pléiades). L’objectif final serait de transférer cette technologie à tout acteur de la gestion intégrée du trait de côte qui souhaiterait utiliser les images satellite pour en suivre son évolution. Ce type de méthode est particulièrement adapté au suivi du trait de côte pour des territoires à faible marnage ou pour le suivi « instantané » de la position du jet de rive. Ce rapport (volet III) présente les tests opérés sur le secteur du Grau-du-Roi (30) pour développer un prototype permettant d’extraire automatiquement la position du trait de côte sur des images Pléiades à l’aide d’une méthode de type seuillage. Les marqueurs de limites hautes et basses du jet de rive extraits suivent fidèlement le jet de rive observé sur l’image satellite. Quelques rares anomalies apparaissent ponctuellement en présence de nuages ou d’ombres qui intersectent le trait de côte. Cette méthode présente les avantages d’être précise, notamment pour la limite basse du jet de rive, transférable géographiquement et relativement simple à mettre en œuvre sur un secteur géographique donné. Ces résultats montrent qu’un outil opérationnel de suivi du trait de côte à partir d’images satellite est aujourd’hui accessible en milieu microtidal. Des développements complémentaires doivent néanmoins être réalisés pour couvrir un linéaire côtier de plusieurs dizaines de kilomètres, vérifier la répétitivité temporelle des seuils fixés, développer un outil ergonomique et assurer son transfert vers des utilisateurs finaux. Un comité d’utilisateurs sera monté dans cette optique à partir de 2016. Volet I : État de l'art de l'utilisation des technologies satellitaires pour la cartographie du trait de côte et de la bathymétrie I. INTRODUCTION I.1 Contexte de l’étude I.2 Les informations géographiques recherchées II. LES SATELLITES D’OBSERVATION DE LA TERRE : QUELQUES NOTIONS II.1 Les satellites d’observation de la Terre II.2 L’exploitation des images satellites II.3 Atouts de l’imagerie satellitaire III. ÉTAT DE L’ART de la CARTOGRAPHIE DU TRAIT DE CÔTE À PARTIR D’IMAGES SATELLITES III.1 Exploitation des images satellites par photo-interprétation III.2 Extraction semi-automatique du trait de côte III.3 Détection de l’artificialisation du trait de côte III.4 Analyse de l’état de l’art IV. ÉTAT DE L’ART DES MESURES DE BATHYMETRIE PAR SATELLITE IV.1 Mesures de bathymétrie par détection des limites entre zones émergées et zones immergées IV.2 Mesures de bathymétrie par inversion du signal optique IV.3 Mesures bathymétriques par détection des crêtes de houle IV.4 Autres méthodes et perspectives IV.5 Analyse de l’état de l’art V. CONCLUSIONS VI. Annexes VI.1 Annexe 1 : Estimation de la bathymétrie par gravimétrie/altimétrie VI.2 Annexe 2 : Mesures de bathymétrie par Lidar Satellitaire Volet II : Réalisation d’un prototype d’extraction du trait de côte à partir d’images satellite. Application à l’archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon I. Introduction II. La cartographie du trait de côte par imagerie spatiale II.1 Définitions du trait de côte II.2 Cartographie du trait de côte par imagerie spatiale III. Zones d’étude III.1 L’archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon III.2 L’isthme de Miquelon-Langlade (zone A) III.3 L’île de Saint-Pierre (zone B) IV. Données disponibles IV.1 Les images Pléiades IV.2 Les levés terrain de la DTAM de Saint-Pierre-et-Miquelon IV.3 Trait de côte Histolitt® IV.4 Modèle numérique de surface V. Méthode d’extraction du trait de côte V.1 Principe général et logiciels utilisés V.2 Préparation du chantier V.3 Création et sélection des indices et textures V.4 Classifications des images V.5 Extraction du trait de côte V.6 Évaluation des résultats VI. Synthèse des résultats VI.1 Classifications VI.2 Trait de côte extrait VII. Bilan VII.1 Analyse de la performance du prototype développé VII.2 Perspectives VII.3 Conclusion VIII. Annexe : Résultats complets VIII.1 Zone A Isthme de Miquelon-Langlade VIII.2 Zone B1 Etang VIII.3 Zone B2 Aéroport VIII.4 Zone B3 Ile aux Marins Volet III : Prototype de reconnaissance du trait de côte en tant que limite d’immersion à partir d’images satellite I. Contexte et objectif II. Contexte géomatique II.1 Site d’étude II.2 Données disponibles III. Extraction du jet de rive III.1 Principe de la méthode III.2 Traitement de l’image Pléiades IV. Analyse des résultats IV.1 Analyse visuelle IV.2 Analyse quantitative : comparaison au trait de côte digitalisé sur l’Ortho Littorale V2 V. CONCLUSIONS
  89. Edition (Ceremadoc) Étude des aléas littoraux dans le cadre d’une analyse coûts-bénéfices (ACB)

    Les analyses coût/bénéfice (ACB) sont des outils d’aide à la définition des stratégies de prévention des risques permettant d’estimer la rentabilité économique d’un projet. Développées initialement pour les projets de prévention des inondations par débordements de cours d’eau, les ACB littorales sont confrontées à des difficultés méthodologiques. Les méthodes de détermination des aléas submersion marine et recul du trait de côte, aléa non abordé dans les documents existants, sont précisées dans ce document. Pour que l’ACB puisse jouer son rôle, d’évaluation de la pertinence des projets d’ouvrages de protection, l’impact de ceux-ci sur les aléas doit être finement défini. Pour la submersion marine, deux niveaux de mise en œuvre d’une ACB sont proposés suivant l’avancée du projet. Le choix des événements théoriques à étudier pour construire la courbe dommages-fréquence est abordé en lien avec le comportement des ouvrages de protection (niveau de protection et niveau de sûreté) et les niveaux de dommages aux enjeux. Le changement climatique nécessite l’élaboration d’au moins deux courbes dommages-fréquence Préambule 1 - Contexte 2 - Principes d'une ACB 2.1 - Objectifs 2.2 - Contexte méthodologique des projets subventionnés par l’État 3 - Connaissance des aléas littoraux et des impacts projets sur les aléas 3.1 - Généralités 3.2 - Études utiles à la réalisation d'une étude d'aléas littoraux dans le cadre d’une ACB 3.3 - Phase 1 : Analyse générale du fonctionnement du littoral 3.4 - Phase 2 : Cartographie des aléas littoraux 4 - Principes de l'analyse des aléas littoraux 4.1 - Échelle d’analyse 4.2 - Horizon temporel de l’analyse 4.3 - Choix des situations étudiées 4.3.1 -Situation de référence 4.3.2 -Situations de projets 4.3.3 -Situation « sans ouvrage » 4.4 - Un niveau d’analyse lié à l’avancement du projet 4.5 - Estimation des coûts associés au projet 4.5.1 -Les coûts d’entretien et de gestion 4.5.2 -Les coûts de réparation et de reconstruction 5 - Analyse du recul du trait de côte et/ou de l'érosion 5.1 - Informations nécessaires à l'analyse du recul du trait de côte et/ou de l’érosion 5.2 - Cartographie de l'aléa recul du trait de côte 5.2.1 -Estimation d’un recul linéaire dans le temps 5.2.2 -Estimation d’un recul du trait de côte non linéaire dans le temps 5.3 - Changement climatique 5.4 - Étude de sensibilité 5.4.1 -Horizon temporel 5.4.2 -Zone soumise au recul 5.4.3 -Distribution du recul du trait de côte dans le temps 6 - Analyse de l'aléa submersion marine 6.1 - Principes de réalisation d'une étude d'aléa submersion marine préalable à l'élaboration d'une ACB 6.1.1 -Plusieurs niveaux d'analyse 6.1.2 -Informations nécessaires à l'élaboration de la cartographie de l'aléa submersion marine 6.1.3 -Choix des événements hydrauliques/scénarios étudiés 6.1.4 -Aléa non constant et changement climatique 6.1.5 -Cartographie de l’aléa submersion marine 6.1.5.a - Méthode de cartographie 6.1.5.b - Paramètres à cartographier 6.2 - Analyse simplifiée de l'aléa submersion marine 6.2.1 -Informations nécessaires sur le projet 6.2.2 -Scénarios étudiés 6.2.2.a - Choix des scénarios étudiés 6.2.2.b - Description des événements hydrauliques 6.2.3 -Cartographie de l'aléa submersion marine 6.2.4 -Estimation des dommages évités 6.2.5 -Études de sensibilité 6.2.5.a - Fréquence des événements hydrauliques (niveaux marins) 6.2.5.b - Horizon temporel 6.2.5.c - Changement climatique 6.3 - Analyse affinée de l'aléa submersion marine 6.3.1 -Informations nécessaires sur le projet 6.3.2 -Scénarios étudiés 6.3.2.a - Choix des scénarios étudiés 6.3.2.b - Description des événements hydrauliques 6.3.3 -Cartographie de l'aléa submersion marine 6.3.4 -Estimation des dommages 6.3.5 -Études de sensibilité 6.3.5.a - Fréquence des événements hydrauliques 6.3.5.b - Horizon temporel 6.3.5.c - Changement climatique 6.3.5.d - Comportement hydraulique et structurel de l'ouvrage 7 - Limites de la méthode 8 - Glossaire 9 – Bibiographie
  90. Edition (Ceremadoc) Enquête dragage 2016 : Enquête nationale sur les dragages des ports maritimes

    Ces données sont transmises par les Services de Police des Eaux Littorales (SPEL) de l’ensemble des départements maritimes de France métropolitaine et d’outre-mer, ainsi que par les grands ports maritimes. Elles sont ensuite synthétisées par le Cerema et retranscrites dans des tableaux formatés adoptés par les lignes directrices internationales. La direction de l’eau et de la biodiversité au MTES transmet après validation ces résultats aux secrétariats des trois conventions. Le document expose donc les quantités de sédiments dragués en France, les différentes techniques utilisées ainsi que les différentes destinations de ces sédiments et leurs niveaux de contaminations au regard des seuils réglementaires existants 1. Généralités 1.1 Contexte de l’enquête 1.2 Étendue de l’enquête 1.3 Contenu du rapport 2. Dragage 2.1 Quantités de matière sèche draguées en France 2.1.1 Rappel historique (source : rapports annuels d’enquête dragage du Cerema) 2.1.2 Évolutions récentes 2.1.3 Quantité totale draguée en France en 2016 2.1.4 Grands ports maritimes en 2016 2.1.5 Autres ports en 2016 2.2 Techniques de dragage 2.2.1 Grands ports maritimes 2.2.2 Autres ports métropolitains 2.3 Travaux neufs et travaux d’entretien 3. Destination des sédiments 3.1 Destination et usages répertoriés 3.1.1 Sédiments immergés et remise en suspension 3.1.2 Sédiments utilisés pour le rechargement de plages 3.1.3 Sédiments déposés à terre 3.1.4 Sédiments déposés en mer (confinement) 3.2 Destination par type de port 3.2.1 Grands ports maritimes 3.2.2 Autres ports 4. Les permis d’immersion 5. Les contaminants 5.1 Les éléments-traces métalliques (ETM) 5.2 Les polychlorobiphényles (PCB) 5.3 Le tributylétain (TBT) 5.4 Les hydrocarbures aromatiques polycycliques (HAP) Conclusion
  91. Edition (Ceremadoc) Rempiètement de quai

    L’évolution des caractéristiques des navires de commerce, de croisières et de pêche voire de loisirs, pose souvent la question du maintien des activités portuaires dans les bassins les plus anciens des ports. L’approfondissement des bassins, solution à l’accueil de ces navires, nécessite l’adaptation des quais et le recours à leur rempiétement.Cette publication fait le point sur les différents techniques de rempiétement, leurs avantages, inconvénients et leurs limites en fonction du type de structure initiale. L’importance des diagnostics géotechniques et structuraux de l’ouvrage rempiété est rappelée notamment quand le rempiétement est en forte interaction avec les ouvrages existants.
  92. Edition (Ceremadoc) Dragages : Anticiper pour une gestion optimisée

    Extraire des sédiments, c’est potentiellement altérer la qualité de l’eau, perturber un milieu naturel ou un système hydrosédimentaire. C’est aussi se poser la question du devenir des matériaux extraits, d’autant qu’à compter du 1er janvier 2025 la réglementation interdira le rejet en mer des sédiments pollués.
  93. Edition (Ceremadoc) ROSA 2000 : Recommandations pour le calcul aux états-limites des Ouvrages en Site Aquatique

    Ce contenu porte sur les méthodes de justification des ouvrages neufs en site aquatique (ouvrages fluviaux ou ouvrages intérieurs des ports maritimes). L'objet de ces recommandations est de permettre de vérifier le dimensionnement d'un ouvrage au moyen des méthodes semi-probabilistes (ou aux coefficients partiels) utilisées par les Eurocodes. Ce document utilise d'une part le vocabulaire harmonisé des Eurocodes et donne d'autre part les raccordements nécessaires entre les textes nationaux et les versions ENV des Eurocodes disponibles lors de la rédaction des recommandations. Le document est découpé en 5 séries de fascicules (dispositions communes, actions, ouvrages, équipements et documents d'applications). Un moteur de recherche multi-critères et des liens hypertextes facilitent la navigation dans le document. Ces recommandations s'adressent à tous ceux qui travaillent à la conception et à la construction des ouvrages en site aquatique. Il peut également constituer un support de cours pour les organismes de formations. INSTALLEZ ROSA 2000 PAR "install.EXE"
  94. Edition (Ceremadoc) Transport collectif par voie d'eau en milieu urbain

    Les lois issues du Grenelle de l’environnement, promulguées en 2009 et 2010, identifient les transports par voie d'eau parmi les alternatives pouvant offrir des réponses performantes, dans une politique de réduction des émissions de polluants. Si de tels systèmes existent depuis longtemps dans les villes tournées vers une façade maritime pour effectuer des traversées de rades ou bras de mer, l'aménagement des berges des fleuves a été jusqu'ici largement dédié à la circulation automobile et n'a pas favorisé le développement des services urbains de navettes fluviales. Cependant, plusieurs collectivités territoriales françaises saisissent l'occasion de réaménager des berges en centre ville pour s'engager dans des projets de transport urbain par voie d'eau. Elles y sont également incitées par le soutien financier de l'État dans le cadre des appels à projets du Ministère du Développement durable. Afin d’aider les autorités organisatrices de transports dans leurs prises de décision, cet ouvrage propose des éléments techniques et réglementaires, ainsi que des informations pratiques quant à la mise en œuvre de ces systèmes. Il s’appuie sur les expériences issues des services existants en milieu urbain (Nantes, Lorient, La Rochelle, Toulon, Marseille,...). Il s’adresse aux responsables et chefs de projets transports des collectivités, aux bureaux d’études ainsi qu’aux exploitants de transport collectif urbain. Il invite également tous les acteurs concernés par les systèmes de transports urbains à réfléchir sur les complémentarités possibles entre les modes d'un réseau de transport, dans une perspective de politique globale de déplacements durables dans les agglomérations. Introduction 1.Vocabulaire et définitions 1.1 Terminologie 1.2 Champ d'application 2.Gouvernance de la voie d'eau et du transport fluvial et maritime en France 2.1 Les acteurs du domaine fluvial 2.2 Répartition et gestion du domaine public fluvial 2.3 Les acteurs du domaine maritime 2.4 Répartition et gestion du domaine public maritime 2.5 Organisation des services de transport fluviaux et maritimes 3.Les principaux points réglementaires du transport par voie d'eau 3.1 Le cadre juridique du transport fluvial 3.2 Le cadre juridique du transport maritime 3.3 Le cadre spécifique du transport fluvio-maritime 3.4 Les règles de navigation et d'exploitation 3.5 Vitesse maximale de navigation 3.6 Obligations réglementaires de sécurité 3.7 Obligations réglementaires pour l'accessibilité aux personnes à mobilité réduite 4.Quand et pourquoi mettre en place un transport urbain par voie d’eau ? 4.1 L’inscription dans un projet d’agglomération 4.2 Des géographies déterminantes pour la configuration d'un service par voie d'eau 4.3 Une typologie de services adaptée à l'organisation spatiale des territoires 4.4 Une infrastructure spécifique mais à partager 4.5 Navigabilité du cours d’eau et environnement aquatique 5.Quelles sont les caractéristiques principales d’un transport par voie d’eau ? 5.1 Présentation des matériels navigants 5.2 Durée de vie des matériels 5.3 Capacité du matériel et du service 5.4 Disponibilité du système 6.Quel niveau de service offre la voie d’eau ? 6.1 Les temps de parcours : un critère à apprécier par d’autres facteurs que la vitesse commerciale 6.2 Fréquence et amplitude horaire de fonctionnement 6.3 Aménagements pour l’accessibilité des personnes à mobilité réduite (PMR) 6.4 L'intégration dans le réseau de transport 6.5 Confort offert 7.Quelles sont les modalités d'exploitation et de maintenance du transport par voie d'eau? 7.1 Des spécificités liées au fluvial et au maritime 7.2 La contractualisation de l'exploitation 7.3 Obligations réglementaires de maintenance 7.4 L'entretien courant et la maintenance continue 7.5 La contractualisation de la maintenance 8.Quel est l’impact environnemental du transport par voie d’eau ? 8.1 Consommation d'énergie 8.2 Émissions de CO2 8.3 Émissions de polluants atmosphériques 8.4 Impact sonore, urbain et visuel 8.5 Impact sur les milieux naturels 9.Coûts d’investissement et d’exploitation 9.1 Les coûts d’investissement 9.2 Les coûts d’exploitation 10.Comment conduire un projet de transport par voie d'eau et le financer ? 10.1 Une démarche partenariale pour concevoir le projet 10.2 Les processus d'autorisations 10.3 Le financement du projet de transport par voie d'eau 11.Synthèse 11.1 Un mode de transport qui a sa place dans un réseau urbain 11.2 L'image du service : un atout pour le réseau et la ville 11.3 Des retours d’expérience à partager et des pistes d’innovation 11.4 Potentiel de développement de la voie d’eau ANNEXES A) Sigles et acronymes B) Glossaire C) Bibliographie D) Réglementation fluviale : RGP et RPP E) Fiches descriptives de services de navettes en France F) Procédures techniques de mise en service d'un service de navettes par voie d'eau
  95. Edition (Ceremadoc) Pathologie de gonflement des maçonneries en site maritime

    Une enquête a montré que ce problème est largement répandu. Après avoir décrit la pathologie, le document présente une méthode complète de diagnostic. Des techniques de réparation et de confortement sont également proposées. 1. Introduction 1.1 Contexte 1.2 Problématique 1.3 Enquête 1.3.1 Objectifs de l’enquête 1.3.2 Résultats 1.3.3 Conclusions de l’enquête 2. Description de la pathologie 2.1 Processus physico-chimique de dégradation 2.1.1 Action des chlorures 2.1.2 Action du magnésium 2.1.3 Attaques des sulfates 2.2 L’exposition de l’ouvrage à l’environnement marin0 2.3 Durabilité de la maçonnerie 2.4 Les symptômes 2.4.1 Matériaux 2.4.2 Structure 2.4.3 Désordres associés 2.4.4 Interprétation des symptômes 3. Les outils pour le diagnostic 3.1 La démarche 3.1.1 Pré-diagnostic 3.1.2 Investigations complémentaires 3.2 Proposition de formulation du diagnostic 4. Les techniques de réparation et de confortement 4.1 Injection 4.2 Confinement / Corsetage / Tirantage 4.3 Substitution partielle de la maçonnerie 4.4 Démolition / Reconstruction partielle 4.5 Enrochement en pied d’ouvrage 4.6 Solution hybride 5. Bibliographie 6. Index Index des figures Index des tableaux
  96. Edition (Ceremadoc) Rejointoiement des ouvrages maritimes en maçonnerie

    Le patrimoine des ouvrages maritimes comporte de nombreuses infrastructures en maçonnerie (quais, jetées, digues, phares ...). La plupart de ces ouvrages sont anciens (antérieurs au XXe siècle). Ces constructions se dégradent avec le temps. Il est souvent judicieux d’entretenir ou de les réparer lorsque les effets du vieillissement sont détectés ou qu’ils ont une valeur patrimoniale reconnue. Dans ce cas il est utile en particulier d’entretenir ou de réparer les joints des pierres de maçonnerie. En fonction des altérations des joints, de la taille des ouvertures de joints, de la profondeur à traiter et des surfaces à rénover, différentes méthodes de rejointoiement sont possibles : le rejointoiement traditionnel, la projection, l’injection ou le matage. Ces méthodes et les conditions de leurs mises en oeuvre sont détaillées, tout comme les précautions à prendre et les contrôles à effectuer lors de l’exécution. 1 Domaine d’application, terminologie, définitions 1.1 Domaine d’application 1.2 Rappels terminologiques 1.2.1 Constitution d’une maçonnerie 1.2.2 Quelques définitions2 Le choix des techniques et des produits 2.1 Les différentes techniques de rejointoiement 2.1.1 Techniques courantes 2.1.2 Techniques alternatives en subaquatique 2.2 Choix de la technique de rejointoiement 2.2.1 Préambule 2.2.2 Choix de la méthode de régénération des maçonneries 2.3 Choix des produits de rejointoiement 2.3.1 Généralités 2.3.2 Technique traditionnelle et matage 2.3.3 Techniques par projection 2.3.4 Choix des constituants 2.4 Référentiel technique3 Exécution 3.1 Les études préalables : un diagnostic préalable 3.2 La préparation de chantier 3.3 Le phasage de chantier 3.4 Le dégarnissage 3.5 Le rejointoiement 3.5.1 Le rejointoiement manuel par la méthode traditionnelle 3.5.2 Le rejointoiement manuel par matage 3.5.3 Le rejointoiement par projection (voies sèche ou mouillée) 3.6 Les contrôles d’exécution 3.6.1 Ciments 3.6.2 Sable 3.6.3 Mortiers et bétons projetés Conclusion
  97. Edition (Ceremadoc) Interventions d’urgence sur les dispositifs de protection contre les submersions marines

    Si les interventions sur les ouvrages de protection contre les submersions marines doivent en général faire l'objet d'études précises et complètes, les interventions en situation d'urgence sont soumises à la contrainte du temps qui impose d'identifier rapidement les solutions techniques les plus pertinentes et de les mettre en oeuvre dans un délai également contraint, en suivant le rythme des événements météo-marins. En réponse à cette problématique, le présent guide apporte des recommandations : sur le plan de l'organisation générale (stratégie, préparation, entraînement) déterminée pour anticiper les périodes de crise, sur le plan opérationnel en considérant des points particuliers : matériel et matériaux, formation et exercices, surveillance, interventions sur les ouvrages. sur les principales techniques d'intervention sur les ouvrages en relation avec leurs « modes de défaillance ». En complément, les dispositions qu'impose la réglementation en matière d'intervention sur les systèmes d'endiguement sont rappelées. 1 Cadre stratégique des interventions d’urgence sur les ouvrages 1.1 Règles communes dans l’organisation des interventions d’urgence 1.1.1 Règles de prudence concernant les interventions 1.1.1.1 Assurer la sécurité du personnel d’intervention 1.1.1.2 Éviter d’aggraver la submersion par des interventions hasardeuses 1.1.2 Coordination avec le dispositif général de gestion de crise 1.1.3 Élaboration, mise à jour et utilisation du plan 1.1.3.1 Définir les objectifs du plan de gestion des ouvrages 1.1.3.2 Définir une organisation dédiée au plan 1.1.3.3 Produire un document support de la démarche 1.1.3.4 Suivre et mettre à jour le plan de gestion 1.1.3.5 Gérer les données et leur utilisation au cours des opérations d’urgence 1.1.4 Quelques points clés en matière de préparation et d’intervention 1.2 Adaptation du plan de gestion des ouvrages aux conditions locales 1.2.1 Adaptation aux conditions météorologiques et hydrauliques 1.2.1.1 Caractérisation des conditions météorologiques et hydrauliques 1.2.1.2 Conséquences sur la planification des interventions d’urgence 1.2.2 Adaptation aux risques de défaillance du système de protection 1.2.2.1 Modes de défaillance des systèmes d’endiguement 1.2.2.2 Principes d’analyse de risques sur un système d’endiguement 1.2.2.3 Éléments de méthodes d’analyse de risques sur un système d’endiguement 1.2.3 Adaptation aux risques de défaillance des ouvrages 1.2.3.1 Modes de défaillance associés aux digues 1.2.3.2 Risques associés aux ouvrages de gestion des eaux 2 Actions particulières de préparation et de gestion de crise 2.1 S’assurer de la disponibilité des équipements et matériaux 2.2 Former et entraîner le personnel d’intervention 2.2.1 Entraînements 2.2.2 Exercices 2.3 Surveiller les digues en période de crise 2.3.1 Actions de surveillance 2.3.2 Précautions en matière de sécurité 2.4 Intervenir sur les digues, les systèmes hydrauliques et les réseaux 2.4.1 Intervenir sur les digues 2.4.2 Intervenir sur les ouvrages hydrauliques et les réseaux 2.5 Adapter les actions à l’évolution de la situation 2.5.1 Actions préliminaires de gestion de crise 2.5.2 Actions en situation de crise 2.5.3 Actions post-crise 3 Techniques d’intervention sur les ouvrages 3.1 Réponses à l’érosion externe 3.1.1 Mesures de protection contre les affouillements 3.1.1.1 Les bermes et carapaces en enrochements 3.1.1.2 Les revêtements d’asphalte ou de bitume 3.1.1.3 Construire des (petits) épis 3.1.2 Protection contre l’érosion due à la surverse ou aux franchissements 3.1.2.1 Les bâches plastiques 3.1.2.2 Les déversoirs d’urgence 3.2 Réponses à l’érosion interne 3.2.1 Les mesures de réduction des infiltrations 3.2.2 Les mesures d’augmentation du chemin hydraulique 3.2.3 Mesures de réduction de la charge hydraulique 3.2.3.1 Confiner les résurgences 3.2.3.2 Augmenter le niveau d’eau côté terre 3.3 Réponses aux problèmes d’instabilité 3.3.1 Réduction de la pente du talus 3.3.2 Réduction des sous-pressions (de soulèvement) 3.3.3 Réduction de la saturation de la digue 3.4 Comblement des brèches 3.4.1 Comprendre le contexte d’intervention 3.4.2 Se procurer et mettre en oeuvre les matériaux 3.5 Dispositifs temporaires de retenue d’eau 3.5.1 Mise en place de tout-venant 3.5.2 Utilisation de sacs de sable 3.5.3 Utilisation de matériaux de type paille, pneus, blocs de béton… 3.5.4 Utilisation des rideaux de palplanches 3.5.5 Méthodes utilisant des panneaux 3.5.5.1 Batardeau ancré par pieux 3.5.5.2 Batardeau portable 3.5.5.3 Batardeau portable avec ancrage préinstallé 3.5.5.4 Batardeau démontable avec ancrage préinstallé 3.5.6 Techniques basées sur le remplissage de caissons 3.5.6.1 Barrières cellulaires en plastique 3.5.6.2 Barrières cellulaires en géotextile 3.5.7 Méthodes basées sur le remplissage de tubes par de l’eau 3.5.7.1 Barrages remplis d’eau 3.5.7.2 Boudins remplis d’eau 3.6 Interventions sur les réseaux d’assainissement et installation des systèmes de pompage de secours 3.6.1 Fermeture des réseaux d’assainissement 3.6.2 Installation de systèmes de pompage de secours 4 Bibliographie
  98. Edition (Ceremadoc) Interventions d’urgence sur les dispositifs de protection contre les submersions marines

    Si les interventions sur les ouvrages de protection contre les submersions marines doivent en général faire l'objet d'études précises et complètes, les interventions en situation d'urgence sont soumises à la contrainte du temps qui impose d'identifier rapidement les solutions techniques les plus pertinentes et de les mettre en oeuvre dans un délai également contraint, en suivant le rythme des événements météo-marins. En réponse à cette problématique, le présent guide apporte des recommandations : sur le plan de l'organisation générale (stratégie, préparation, entraînement) déterminée pour anticiper les périodes de crise, sur le plan opérationnel en considérant des points particuliers : matériel et matériaux, formation et exercices, surveillance, interventions sur les ouvrages. sur les principales techniques d'intervention sur les ouvrages en relation avec leurs « modes de défaillance ». En complément, les dispositions qu'impose la réglementation en matière d'intervention sur les systèmes d'endiguement sont rappelées. 1 Cadre stratégique des interventions d’urgence sur les ouvrages 1.1 Règles communes dans l’organisation des interventions d’urgence 1.1.1 Règles de prudence concernant les interventions 1.1.1.1 Assurer la sécurité du personnel d’intervention 1.1.1.2 Éviter d’aggraver la submersion par des interventions hasardeuses 1.1.2 Coordination avec le dispositif général de gestion de crise 1.1.3 Élaboration, mise à jour et utilisation du plan 1.1.3.1 Définir les objectifs du plan de gestion des ouvrages 1.1.3.2 Définir une organisation dédiée au plan 1.1.3.3 Produire un document support de la démarche 1.1.3.4 Suivre et mettre à jour le plan de gestion 1.1.3.5 Gérer les données et leur utilisation au cours des opérations d’urgence 1.1.4 Quelques points clés en matière de préparation et d’intervention 1.2 Adaptation du plan de gestion des ouvrages aux conditions locales 1.2.1 Adaptation aux conditions météorologiques et hydrauliques 1.2.1.1 Caractérisation des conditions météorologiques et hydrauliques 1.2.1.2 Conséquences sur la planification des interventions d’urgence 1.2.2 Adaptation aux risques de défaillance du système de protection 1.2.2.1 Modes de défaillance des systèmes d’endiguement 1.2.2.2 Principes d’analyse de risques sur un système d’endiguement 1.2.2.3 Éléments de méthodes d’analyse de risques sur un système d’endiguement 1.2.3 Adaptation aux risques de défaillance des ouvrages 1.2.3.1 Modes de défaillance associés aux digues 1.2.3.2 Risques associés aux ouvrages de gestion des eaux 2 Actions particulières de préparation et de gestion de crise 2.1 S’assurer de la disponibilité des équipements et matériaux 2.2 Former et entraîner le personnel d’intervention 2.2.1 Entraînements 2.2.2 Exercices 2.3 Surveiller les digues en période de crise 2.3.1 Actions de surveillance 2.3.2 Précautions en matière de sécurité 2.4 Intervenir sur les digues, les systèmes hydrauliques et les réseaux 2.4.1 Intervenir sur les digues 2.4.2 Intervenir sur les ouvrages hydrauliques et les réseaux 2.5 Adapter les actions à l’évolution de la situation 2.5.1 Actions préliminaires de gestion de crise 2.5.2 Actions en situation de crise 2.5.3 Actions post-crise 3 Techniques d’intervention sur les ouvrages 3.1 Réponses à l’érosion externe 3.1.1 Mesures de protection contre les affouillements 3.1.1.1 Les bermes et carapaces en enrochements 3.1.1.2 Les revêtements d’asphalte ou de bitume 3.1.1.3 Construire des (petits) épis 3.1.2 Protection contre l’érosion due à la surverse ou aux franchissements 3.1.2.1 Les bâches plastiques 3.1.2.2 Les déversoirs d’urgence 3.2 Réponses à l’érosion interne 3.2.1 Les mesures de réduction des infiltrations 3.2.2 Les mesures d’augmentation du chemin hydraulique 3.2.3 Mesures de réduction de la charge hydraulique 3.2.3.1 Confiner les résurgences 3.2.3.2 Augmenter le niveau d’eau côté terre 3.3 Réponses aux problèmes d’instabilité 3.3.1 Réduction de la pente du talus 3.3.2 Réduction des sous-pressions (de soulèvement) 3.3.3 Réduction de la saturation de la digue 3.4 Comblement des brèches 3.4.1 Comprendre le contexte d’intervention 3.4.2 Se procurer et mettre en oeuvre les matériaux 3.5 Dispositifs temporaires de retenue d’eau 3.5.1 Mise en place de tout-venant 3.5.2 Utilisation de sacs de sable 3.5.3 Utilisation de matériaux de type paille, pneus, blocs de béton… 3.5.4 Utilisation des rideaux de palplanches 3.5.5 Méthodes utilisant des panneaux 3.5.5.1 Batardeau ancré par pieux 3.5.5.2 Batardeau portable 3.5.5.3 Batardeau portable avec ancrage préinstallé 3.5.5.4 Batardeau démontable avec ancrage préinstallé 3.5.6 Techniques basées sur le remplissage de caissons 3.5.6.1 Barrières cellulaires en plastique 3.5.6.2 Barrières cellulaires en géotextile 3.5.7 Méthodes basées sur le remplissage de tubes par de l’eau 3.5.7.1 Barrages remplis d’eau 3.5.7.2 Boudins remplis d’eau 3.6 Interventions sur les réseaux d’assainissement et installation des systèmes de pompage de secours 3.6.1 Fermeture des réseaux d’assainissement 3.6.2 Installation de systèmes de pompage de secours 4 Bibliographie
  99. Edition (Ceremadoc) Rejointoiement des ouvrages maritimes en maçonnerie

    Le patrimoine des ouvrages maritimes comporte de nombreuses infrastructures en maçonnerie (quais, jetées, digues, phares ...). La plupart de ces ouvrages sont anciens (antérieurs au XXe siècle). Ces constructions se dégradent avec le temps. Il est souvent judicieux d’entretenir ou de les réparer lorsque les effets du vieillissement sont détectés ou qu’ils ont une valeur patrimoniale reconnue. Dans ce cas il est utile en particulier d’entretenir ou de réparer les joints des pierres de maçonnerie. En fonction des altérations des joints, de la taille des ouvertures de joints, de la profondeur à traiter et des surfaces à rénover, différentes méthodes de rejointoiement sont possibles : le rejointoiement traditionnel, la projection, l’injection ou le matage. Ces méthodes et les conditions de leurs mises en oeuvre sont détaillées, tout comme les précautions à prendre et les contrôles à effectuer lors de l’exécution. 1 Domaine d’application, terminologie, définitions 1.1 Domaine d’application 1.2 Rappels terminologiques 1.2.1 Constitution d’une maçonnerie 1.2.2 Quelques définitions2 Le choix des techniques et des produits 2.1 Les différentes techniques de rejointoiement 2.1.1 Techniques courantes 2.1.2 Techniques alternatives en subaquatique 2.2 Choix de la technique de rejointoiement 2.2.1 Préambule 2.2.2 Choix de la méthode de régénération des maçonneries 2.3 Choix des produits de rejointoiement 2.3.1 Généralités 2.3.2 Technique traditionnelle et matage 2.3.3 Techniques par projection 2.3.4 Choix des constituants 2.4 Référentiel technique3 Exécution 3.1 Les études préalables : un diagnostic préalable 3.2 La préparation de chantier 3.3 Le phasage de chantier 3.4 Le dégarnissage 3.5 Le rejointoiement 3.5.1 Le rejointoiement manuel par la méthode traditionnelle 3.5.2 Le rejointoiement manuel par matage 3.5.3 Le rejointoiement par projection (voies sèche ou mouillée) 3.6 Les contrôles d’exécution 3.6.1 Ciments 3.6.2 Sable 3.6.3 Mortiers et bétons projetés Conclusion
  100. Edition (Ceremadoc) Pathologie de gonflement des maçonneries en site maritime

    Une enquête a montré que ce problème est largement répandu. Après avoir décrit la pathologie, le document présente une méthode complète de diagnostic. Des techniques de réparation et de confortement sont également proposées. 1. Introduction 1.1 Contexte 1.2 Problématique 1.3 Enquête 1.3.1 Objectifs de l’enquête 1.3.2 Résultats 1.3.3 Conclusions de l’enquête 2. Description de la pathologie 2.1 Processus physico-chimique de dégradation 2.1.1 Action des chlorures 2.1.2 Action du magnésium 2.1.3 Attaques des sulfates 2.2 L’exposition de l’ouvrage à l’environnement marin0 2.3 Durabilité de la maçonnerie 2.4 Les symptômes 2.4.1 Matériaux 2.4.2 Structure 2.4.3 Désordres associés 2.4.4 Interprétation des symptômes 3. Les outils pour le diagnostic 3.1 La démarche 3.1.1 Pré-diagnostic 3.1.2 Investigations complémentaires 3.2 Proposition de formulation du diagnostic 4. Les techniques de réparation et de confortement 4.1 Injection 4.2 Confinement / Corsetage / Tirantage 4.3 Substitution partielle de la maçonnerie 4.4 Démolition / Reconstruction partielle 4.5 Enrochement en pied d’ouvrage 4.6 Solution hybride 5. Bibliographie 6. Index Index des figures Index des tableaux
  101. Edition (Ceremadoc) Transport collectif par voie d'eau en milieu urbain

    Les lois issues du Grenelle de l’environnement, promulguées en 2009 et 2010, identifient les transports par voie d'eau parmi les alternatives pouvant offrir des réponses performantes, dans une politique de réduction des émissions de polluants. Si de tels systèmes existent depuis longtemps dans les villes tournées vers une façade maritime pour effectuer des traversées de rades ou bras de mer, l'aménagement des berges des fleuves a été jusqu'ici largement dédié à la circulation automobile et n'a pas favorisé le développement des services urbains de navettes fluviales. Cependant, plusieurs collectivités territoriales françaises saisissent l'occasion de réaménager des berges en centre ville pour s'engager dans des projets de transport urbain par voie d'eau. Elles y sont également incitées par le soutien financier de l'État dans le cadre des appels à projets du Ministère du Développement durable. Afin d’aider les autorités organisatrices de transports dans leurs prises de décision, cet ouvrage propose des éléments techniques et réglementaires, ainsi que des informations pratiques quant à la mise en œuvre de ces systèmes. Il s’appuie sur les expériences issues des services existants en milieu urbain (Nantes, Lorient, La Rochelle, Toulon, Marseille,...). Il s’adresse aux responsables et chefs de projets transports des collectivités, aux bureaux d’études ainsi qu’aux exploitants de transport collectif urbain. Il invite également tous les acteurs concernés par les systèmes de transports urbains à réfléchir sur les complémentarités possibles entre les modes d'un réseau de transport, dans une perspective de politique globale de déplacements durables dans les agglomérations. Introduction 1.Vocabulaire et définitions 1.1 Terminologie 1.2 Champ d'application 2.Gouvernance de la voie d'eau et du transport fluvial et maritime en France 2.1 Les acteurs du domaine fluvial 2.2 Répartition et gestion du domaine public fluvial 2.3 Les acteurs du domaine maritime 2.4 Répartition et gestion du domaine public maritime 2.5 Organisation des services de transport fluviaux et maritimes 3.Les principaux points réglementaires du transport par voie d'eau 3.1 Le cadre juridique du transport fluvial 3.2 Le cadre juridique du transport maritime 3.3 Le cadre spécifique du transport fluvio-maritime 3.4 Les règles de navigation et d'exploitation 3.5 Vitesse maximale de navigation 3.6 Obligations réglementaires de sécurité 3.7 Obligations réglementaires pour l'accessibilité aux personnes à mobilité réduite 4.Quand et pourquoi mettre en place un transport urbain par voie d’eau ? 4.1 L’inscription dans un projet d’agglomération 4.2 Des géographies déterminantes pour la configuration d'un service par voie d'eau 4.3 Une typologie de services adaptée à l'organisation spatiale des territoires 4.4 Une infrastructure spécifique mais à partager 4.5 Navigabilité du cours d’eau et environnement aquatique 5.Quelles sont les caractéristiques principales d’un transport par voie d’eau ? 5.1 Présentation des matériels navigants 5.2 Durée de vie des matériels 5.3 Capacité du matériel et du service 5.4 Disponibilité du système 6.Quel niveau de service offre la voie d’eau ? 6.1 Les temps de parcours : un critère à apprécier par d’autres facteurs que la vitesse commerciale 6.2 Fréquence et amplitude horaire de fonctionnement 6.3 Aménagements pour l’accessibilité des personnes à mobilité réduite (PMR) 6.4 L'intégration dans le réseau de transport 6.5 Confort offert 7.Quelles sont les modalités d'exploitation et de maintenance du transport par voie d'eau? 7.1 Des spécificités liées au fluvial et au maritime 7.2 La contractualisation de l'exploitation 7.3 Obligations réglementaires de maintenance 7.4 L'entretien courant et la maintenance continue 7.5 La contractualisation de la maintenance 8.Quel est l’impact environnemental du transport par voie d’eau ? 8.1 Consommation d'énergie 8.2 Émissions de CO2 8.3 Émissions de polluants atmosphériques 8.4 Impact sonore, urbain et visuel 8.5 Impact sur les milieux naturels 9.Coûts d’investissement et d’exploitation 9.1 Les coûts d’investissement 9.2 Les coûts d’exploitation 10.Comment conduire un projet de transport par voie d'eau et le financer ? 10.1 Une démarche partenariale pour concevoir le projet 10.2 Les processus d'autorisations 10.3 Le financement du projet de transport par voie d'eau 11.Synthèse 11.1 Un mode de transport qui a sa place dans un réseau urbain 11.2 L'image du service : un atout pour le réseau et la ville 11.3 Des retours d’expérience à partager et des pistes d’innovation 11.4 Potentiel de développement de la voie d’eau ANNEXES A) Sigles et acronymes B) Glossaire C) Bibliographie D) Réglementation fluviale : RGP et RPP E) Fiches descriptives de services de navettes en France F) Procédures techniques de mise en service d'un service de navettes par voie d'eau
  102. Edition (Ceremadoc) ROSA 2000 : Recommandations pour le calcul aux états-limites des Ouvrages en Site Aquatique

    Ce contenu porte sur les méthodes de justification des ouvrages neufs en site aquatique (ouvrages fluviaux ou ouvrages intérieurs des ports maritimes). L'objet de ces recommandations est de permettre de vérifier le dimensionnement d'un ouvrage au moyen des méthodes semi-probabilistes (ou aux coefficients partiels) utilisées par les Eurocodes. Ce document utilise d'une part le vocabulaire harmonisé des Eurocodes et donne d'autre part les raccordements nécessaires entre les textes nationaux et les versions ENV des Eurocodes disponibles lors de la rédaction des recommandations. Le document est découpé en 5 séries de fascicules (dispositions communes, actions, ouvrages, équipements et documents d'applications). Un moteur de recherche multi-critères et des liens hypertextes facilitent la navigation dans le document. Ces recommandations s'adressent à tous ceux qui travaillent à la conception et à la construction des ouvrages en site aquatique. Il peut également constituer un support de cours pour les organismes de formations. INSTALLEZ ROSA 2000 PAR "install.EXE"
  103. Edition (Ceremadoc) Dragages : Anticiper pour une gestion optimisée

    Extraire des sédiments, c’est potentiellement altérer la qualité de l’eau, perturber un milieu naturel ou un système hydrosédimentaire. C’est aussi se poser la question du devenir des matériaux extraits, d’autant qu’à compter du 1er janvier 2025 la réglementation interdira le rejet en mer des sédiments pollués.
  104. Edition (Ceremadoc) Rempiètement de quai

    L’évolution des caractéristiques des navires de commerce, de croisières et de pêche voire de loisirs, pose souvent la question du maintien des activités portuaires dans les bassins les plus anciens des ports. L’approfondissement des bassins, solution à l’accueil de ces navires, nécessite l’adaptation des quais et le recours à leur rempiétement.Cette publication fait le point sur les différents techniques de rempiétement, leurs avantages, inconvénients et leurs limites en fonction du type de structure initiale. L’importance des diagnostics géotechniques et structuraux de l’ouvrage rempiété est rappelée notamment quand le rempiétement est en forte interaction avec les ouvrages existants.
  105. Edition (Ceremadoc) Enquête dragage 2016 : Enquête nationale sur les dragages des ports maritimes

    Ces données sont transmises par les Services de Police des Eaux Littorales (SPEL) de l’ensemble des départements maritimes de France métropolitaine et d’outre-mer, ainsi que par les grands ports maritimes. Elles sont ensuite synthétisées par le Cerema et retranscrites dans des tableaux formatés adoptés par les lignes directrices internationales. La direction de l’eau et de la biodiversité au MTES transmet après validation ces résultats aux secrétariats des trois conventions. Le document expose donc les quantités de sédiments dragués en France, les différentes techniques utilisées ainsi que les différentes destinations de ces sédiments et leurs niveaux de contaminations au regard des seuils réglementaires existants 1. Généralités 1.1 Contexte de l’enquête 1.2 Étendue de l’enquête 1.3 Contenu du rapport 2. Dragage 2.1 Quantités de matière sèche draguées en France 2.1.1 Rappel historique (source : rapports annuels d’enquête dragage du Cerema) 2.1.2 Évolutions récentes 2.1.3 Quantité totale draguée en France en 2016 2.1.4 Grands ports maritimes en 2016 2.1.5 Autres ports en 2016 2.2 Techniques de dragage 2.2.1 Grands ports maritimes 2.2.2 Autres ports métropolitains 2.3 Travaux neufs et travaux d’entretien 3. Destination des sédiments 3.1 Destination et usages répertoriés 3.1.1 Sédiments immergés et remise en suspension 3.1.2 Sédiments utilisés pour le rechargement de plages 3.1.3 Sédiments déposés à terre 3.1.4 Sédiments déposés en mer (confinement) 3.2 Destination par type de port 3.2.1 Grands ports maritimes 3.2.2 Autres ports 4. Les permis d’immersion 5. Les contaminants 5.1 Les éléments-traces métalliques (ETM) 5.2 Les polychlorobiphényles (PCB) 5.3 Le tributylétain (TBT) 5.4 Les hydrocarbures aromatiques polycycliques (HAP) Conclusion
  106. Edition (Ceremadoc) Étude des aléas littoraux dans le cadre d’une analyse coûts-bénéfices (ACB)

    Les analyses coût/bénéfice (ACB) sont des outils d’aide à la définition des stratégies de prévention des risques permettant d’estimer la rentabilité économique d’un projet. Développées initialement pour les projets de prévention des inondations par débordements de cours d’eau, les ACB littorales sont confrontées à des difficultés méthodologiques. Les méthodes de détermination des aléas submersion marine et recul du trait de côte, aléa non abordé dans les documents existants, sont précisées dans ce document. Pour que l’ACB puisse jouer son rôle, d’évaluation de la pertinence des projets d’ouvrages de protection, l’impact de ceux-ci sur les aléas doit être finement défini. Pour la submersion marine, deux niveaux de mise en œuvre d’une ACB sont proposés suivant l’avancée du projet. Le choix des événements théoriques à étudier pour construire la courbe dommages-fréquence est abordé en lien avec le comportement des ouvrages de protection (niveau de protection et niveau de sûreté) et les niveaux de dommages aux enjeux. Le changement climatique nécessite l’élaboration d’au moins deux courbes dommages-fréquence Préambule 1 - Contexte 2 - Principes d'une ACB 2.1 - Objectifs 2.2 - Contexte méthodologique des projets subventionnés par l’État 3 - Connaissance des aléas littoraux et des impacts projets sur les aléas 3.1 - Généralités 3.2 - Études utiles à la réalisation d'une étude d'aléas littoraux dans le cadre d’une ACB 3.3 - Phase 1 : Analyse générale du fonctionnement du littoral 3.4 - Phase 2 : Cartographie des aléas littoraux 4 - Principes de l'analyse des aléas littoraux 4.1 - Échelle d’analyse 4.2 - Horizon temporel de l’analyse 4.3 - Choix des situations étudiées 4.3.1 -Situation de référence 4.3.2 -Situations de projets 4.3.3 -Situation « sans ouvrage » 4.4 - Un niveau d’analyse lié à l’avancement du projet 4.5 - Estimation des coûts associés au projet 4.5.1 -Les coûts d’entretien et de gestion 4.5.2 -Les coûts de réparation et de reconstruction 5 - Analyse du recul du trait de côte et/ou de l'érosion 5.1 - Informations nécessaires à l'analyse du recul du trait de côte et/ou de l’érosion 5.2 - Cartographie de l'aléa recul du trait de côte 5.2.1 -Estimation d’un recul linéaire dans le temps 5.2.2 -Estimation d’un recul du trait de côte non linéaire dans le temps 5.3 - Changement climatique 5.4 - Étude de sensibilité 5.4.1 -Horizon temporel 5.4.2 -Zone soumise au recul 5.4.3 -Distribution du recul du trait de côte dans le temps 6 - Analyse de l'aléa submersion marine 6.1 - Principes de réalisation d'une étude d'aléa submersion marine préalable à l'élaboration d'une ACB 6.1.1 -Plusieurs niveaux d'analyse 6.1.2 -Informations nécessaires à l'élaboration de la cartographie de l'aléa submersion marine 6.1.3 -Choix des événements hydrauliques/scénarios étudiés 6.1.4 -Aléa non constant et changement climatique 6.1.5 -Cartographie de l’aléa submersion marine 6.1.5.a - Méthode de cartographie 6.1.5.b - Paramètres à cartographier 6.2 - Analyse simplifiée de l'aléa submersion marine 6.2.1 -Informations nécessaires sur le projet 6.2.2 -Scénarios étudiés 6.2.2.a - Choix des scénarios étudiés 6.2.2.b - Description des événements hydrauliques 6.2.3 -Cartographie de l'aléa submersion marine 6.2.4 -Estimation des dommages évités 6.2.5 -Études de sensibilité 6.2.5.a - Fréquence des événements hydrauliques (niveaux marins) 6.2.5.b - Horizon temporel 6.2.5.c - Changement climatique 6.3 - Analyse affinée de l'aléa submersion marine 6.3.1 -Informations nécessaires sur le projet 6.3.2 -Scénarios étudiés 6.3.2.a - Choix des scénarios étudiés 6.3.2.b - Description des événements hydrauliques 6.3.3 -Cartographie de l'aléa submersion marine 6.3.4 -Estimation des dommages 6.3.5 -Études de sensibilité 6.3.5.a - Fréquence des événements hydrauliques 6.3.5.b - Horizon temporel 6.3.5.c - Changement climatique 6.3.5.d - Comportement hydraulique et structurel de l'ouvrage 7 - Limites de la méthode 8 - Glossaire 9 – Bibiographie
  107. Edition (Ceremadoc) La ventilation des souterrains fluviaux

    Le passage des bateaux automoteurs dans les souterrains fluviaux pose le problème de la qualité de l’air pour les occupants de ceux-ci. Détection des polluants et mesures à mettre en place pour diluer et évacuer ces polluants.Exemple de quatre tunnels canaux équipés de système de ventilation mécanique. PRÉAMBULE PRESENTATION DU PROBLEMEI. TOXICITE DES GAZ D’ECHAPPEMENT I.1. Les composants de gaz d’échappement I.1.1. Les produits de la combustion I.1.2. Les produits de réaction entre les composants du comburant (air) I.1.3. Combustion de produits dissous dans le carburant I.1.4. Ordres de grandeur des rejets I.2. Les seuils de pollution admissibles I.2.1. Toxicité du monoxyde de carbone I.2.2. Toxicité des oxydes d’azote I.2.3. Toxicité des hydrocarbures et des aldéhydes I.2.4. Toxicité des produits sulfurés I.2.5. Les effets de synergie et les circonstances aggravantes I.2.6. Opacité II. ETUDE THEORIQUE DE LA VENTILATION II.1. Ventilation naturelle II.1.1. Écoulement de l’air II.1.1.1. Définition des contrepressions atmosphériques II.1.1.2. Écoulement de l’air sous l’effet des contrepressions atmosphériques ΔPa (régime stationnaire) II.1.1.3. Influence du pistonnement des péniches II.1.2. Pollution en souterrain II.1.2.1. Hypothèses générales II.1.2.2. Calcul de pollution II.1.2.3. Evolution de la pollution en souterrain II.2. Ventilation mécanique II.2.1. Principes de ventilation envisageables II.2.2. Techniques applicables au cas des souterrains fluviaux II.2.3. Dimensionnement des installations II.2.3.1. Débits d’air nécessaires II.2.3.2. Système avec porte et station de ventilation II.2.3.3. Système par accélérateurs III. INSTALLATION DE VENTILATION III.1. Equipements propres à la ventilation III.1.1. Station de ventilation III.1.2. Accélérateurs III.1.3. Surveillance - entretien III.1.4. Coûts III.1.4.1. Coûts d’investissement III.1.4.2. Coût d’exploitation III.2. Les capteurs de pollution pour le contrôle des gaz nocifs III.2.1. Le contrôle de l’oxyde de carbone III.2.1.1. Les analyseurs à absorption infrarouge III.2.1.2. Les détecteurs catalytiques (ou thermochimiques) III.2.1.3. Les détecteurs électrochimiques III.2.1.4. Autres principes de mesures III.2.1.5. Conditions d’utilisation III.2.1.6. Choix d’un analyseur de CO III.2.2. Le contrôle des oxydes d’azote (NO, NO2, NOx) III.2.2.1. Les capteurs à chimiluminescence III.2.2.2. Capteurs électrochimiques III.2.2.3. Conclusions sur les analyseurs d’oxyde d’azote III.2.3. Le contrôle de l’opacité III.2.3.1. Généralités III.2.3.2. Les transmissiomètres III.2.3.3. Les diffusiomètres III.2.3.4. Conclusions sur les opacimètres III.2.4. Contrôle de la vitesse et du sens du courant d’air à l’intérieur du souterrain III.2.4.1. Principe de mesure III.2.4.1.1. Anémomètre à « palette » III.2.4.1.2. Anémomètre à « moulinet » III.2.4.1.3. Anémomètre basé sur la mesure de l’abaissement de température dû au courant d’air (fil chaud - thermistance) III.2.4.1.4. Anémomètre ultrasonique III.2.4.2. Choix d’un anémomètre IV. COMMANDE DE LA VENTILATION IV.1. Généralités IV.2. Principes de commandes envisageables IV.2.1. Absence de tout capteur IV.2.2. Détection de passage des bateaux aux têtes lV.2.3. Détection du sens du courant d’air en souterrain IV.2.4. Anémomètre réversible lV.2.5. Détecteurs de passage et anémomètres réversibles IV.2.6. Détecteur de pollution IV.2.7. Détecteurs de passage et de pollution aux têtes IV.2.8. Détecteurs de passage et de pollution aux têtes complétés d’un anémomètre ANNEXE I Description des systèmes de ventilation réalisés dans les souterrains fluviauxI. LE SOUTERRAIN DE RUYAULCOURT I.1. Description sommaire I.2. Modalités d’exploitation I.3. Ventilation I.4. Contrôle de la ventilation I.5. Coût d’exploitation II. LE SOUTERRAIN DE BRAYE-EN-LAONNOIS II.1. Description sommaire II.2. Modalités d’exploitation II.2.1. Trafic II.2.2. Exploitation II.3. Ventilation II.3.1. Caractéristiques de l’installation II.3.2. Mode de fonctionnement (au moment de l’installation) II.3.3. Description générale du matériel installé II.3.4. Prescriptions relatives aux appareils installés II.4. Contrôle de l’efficacité de la ventilation (au moment de l’installation mais hors service depuis 1993 et non remplacée) II.5. Coût II.5.1. Coût du premier établissement II.5.2. Coût d’exploitation lII. LE SOUTERRAIN DU MONT-DE-BILLY III.1. Description sommaire 111.2. Modalités d’exploitation 111.3. Ventilation mise en place 111.4. Etude du nouveau fonctionnement 111.5. Principe de fonctionnement actuel 111.6. Coûts 111.6.1. Coût de premier établissement 111.6.2. Coût de l’automatisation de la gestion du souterrain (Prix 1994) IV. LE SOUTERRAIN D’ARZVILLER IV.1. Description sommaire IV.2. Modalités d’exploitation IV.3. Ventilation IV.3.1. Choix de la solution IV.3.2. Débit d’air frais IV.3.3. Dimensionnement de l’installation IV.3.4. Description de l’installation IV.4. Contrôle de l’efficacité de ta ventilation IV.4.1. Analyseur de monoxyde de carbone - Opacimètre IV.4.2. Anémomètre - girouette ANNEXE 2 Le moteur diesel ANNEXE 3 Puissance de propulsion nécessaire au franchissement des souterrains ANNEXE 4 La pollution et la réglementation ANNEXE 5 Projet de ventilation
  108. Edition (Ceremadoc) Coût des protections contre les aléas littoraux

    Le présent guide expose les stratégies envisageables et apporte des éléments de méthode et des coûts unitaires pour évaluer sur la durée les dépenses d’investissement, d’entretien et de gestion associées à la protection contre les aléas littoraux. Évaluation du coût global actualisé d’un projet Types d’aménagements, effets attendus et évolution dans le temps Méthodologie d’analyse des coûts observés Coûts observés sur les opérations globales de gestion du trait de côte Coûts observés sur les opérations globales de protection contre les submersions marines Coûts observés sur les rechargements de plage, le transfert hydraulique et les drains de plage Coûts observés sur les cordons dunaires Coûts observés sur les systèmes d’endiguement (en particulier les digues) Coûts observés sur les ouvrages de génie civil (perrés, murs et ouvrages de soutènement, épis, brise-lames et butées) Analyse transversale des coûts observés sur les différents types d’intervention Références
  109. Edition (Ceremadoc) Aides Radar (RACON)

    Ce guide comprend : Fonction du RACON Documents de référence Exemples d'utilisation Avantages du RACON Principales caractéristiques techniques Principe de fonctionnement Portée de fonctionnement d'un RACON Importance des réglages du radar Réglages du RACON 1. Fonction du racon 2. Documents de reference 3. Exemples d’utilisation du racon 4. Avantages du racon 5. Principales caracteristiques techniques 6. Principe de fonctionnement a. signaux emis b. traitement de suppression des lobes secondaires 7. Portee de fonctionnement d’un racon 8. Importance des reglaces du radar a. le f.t.c. et la lisibilite de la reponse racon b. le s.t.c. et la lisibilite de la reponse racon c. les reglages du radar : conclusion 9. Reglages du racon a. longueur de la reponse b. facteur de travail c. temps de suppression des lobes secondaires d. sensibilite
  110. Edition (Ceremadoc) Alimentation en eau des voies navigables

    Cette notice se veut une compilation des nombreux documents existants sur l’alimentation en eau des canaux, renforcée par les expériences de quelques services gestionnaires pour poser les bases d’une culture technique et d’une approche méthodologique du diagnostic et de l’optimisation des systèmes d’alimentation en eau présents et à venir. Après un inventaire des ressources naturelles et artificielles existantes ainsi que des méthodes pour les évaluer, seront présentés l’influence du trafic connu sur la consommation d’exploitation et un bilan hydrique, avant d'aborder les solutions possibles pour une optimisation de la gestion. I. LES USAGES DE LA RESSOURCE EN EAU A. Naviguer d’un bassin a l’autre B. Des usages antagonistes de l’eau 1. L’eau, bien commun de la nation 2. Les divers usages de la voie d’eau II. DIAGNOSTIC DES RESSOURCES NATURELLES ET ARTIFICIELLES A. Introduction B. Ressources naturelles 1. Ressources de surface 2. Nappes phréatiques et écoulements souterrains C. Ressources artificielles 1. Barrages réservoirs 2. Etangs artificiels 3. Canaux de navigation 4. Ouvrages d’amenée d’eau D. Inventaire cartographié des ressources disponibles III. CONSOMMATION DES RESSOURCES EN EAU A. Connaissance du trafic, évaluation des besoins en eau 1. Flotte connue, tourisme, commerce et perspectives d’évolution 2. Trafic 3. Bassinées d’écluses 4. Débits dans les bras de décharge et fosses de contournement 5. Lâchers excédentaires B. Consommation liée aux activités connexes 1. Alimentation en eau potable 2. Prises d’eau pour l’irrigation et l’industrie 3. Contraintes liées aux activités de loisir et à la valorisation touristique des sites C. Consommation naturelle et pertes en eau 1. Soutien d’étiage des cours d’eau 2. Régulation du plan d’eau pour la navigation 3. Fuites dans les infrastructures 4. Infiltration, évaporation et transfert d’eau IV. OPTIMISATION DE LA GESTION DES RESSOURCES EN EAU A. BILAN HYDRIQUE 1. Bilan des ressources mobilisables 2. Bilan des besoins en eau 3. Consommation générale annuelle B. Réduction des pertes en eau C. Economie de la ressource en eau 1. Bassins d’épargne 2. Recyclage par pompage, alimentation des biefs amont par pompage 3. Règles de gestion des éclusages D. Consignes d’optimisation de gestion 1. Optimisation de gestion des prises d’eau 2. Gestion du destockage des barrages-réservoirs 3. Tableau de bord de gestion 4. Chômages V. RECAPITULATIF DES ELEMENTS DE C.C.T.P. A. Diagnostic du réseau d’alimentation du canal et de son fonctionnement actuel 1. description succincte du canal 2. recensement et description de la fonctionnalité des ouvrages de prises et rejets, lois hydrauliques utilisées et diagnostic du fonctionnement 3. besoins du canal et pertes 4. description des apports 5. contraintes d’exploitation internes et externes 6. les différents schémas de fonctionnement du système d’alimentation B. Etude quantitative des apports et des besoins du canal C. Fonctionnement du système d’alimentation 1. réajustement des lois de tous les ouvrages 2. lois hauteur/surface et hauteur/capacité de tous les plans d’eau 3. étude hydraulique sommaire des écoulements 4. analyse critique et pistes d’amélioration D. voies d’amélioration 1. Instrumentation 2. Télétransmission 3. Automatisation VI. Glossaire VII. Bibliographie TABLE DES ILLUSTRATIONS photo 1 : chambre de tranquillisation photo 2 : Pont canal de Briare nécessitant une usine élévatoire pour être alimenté et franchir la Loire photo 3 : Travaux d’étanchéité bief de Coulanges (canal Nivernais) Figures Figure 1 : canal de jonction Figure 2 : Le réseau des voies navigables en France Figure 3 : Répartition des consommations d’eau Figure 4 : Bief de partage Figure 5 : Cycle de l'eau Figure 6 : Exemple de trace de bassin versant Figure 7 : Détournement de cours d’eau (vue en plan) Figure 8 : Détournement de cours d’eau (profil en long) Figure 9 : Exemple de courbe de tarage Figure 10 : Exploration du champ de vitesse Figure 11 : Traitement des données hydrauliques Figure 12 : station limnigraphique Figure 13 : écoulements souterrains Figure 14 : niveau piézométrique Figure 15 : barrage-réservoir Figure 16 : escalier d'eau Figure 17 : Rigole d’alimentation du Canal du Centre à partir barrage réservoir de Berthaud Figure 18 : ligne d'eau générée par l'ouverture d'une vanne Figure 19 : bassin de compensation Figure 20 : contournement d'écluses Figure 21 : contournement d’écluse par aqueduc enterré Figure 22 : schéma d’alimentation du canal du Centre (Source : VNF, Coyne et Bellier ; 02/1999) Figure 23 : évolution du fret fluvial entre 1998 et 1999 Figure 24 : évolution du trafic sur le canal du Centre Figure 25 : fuites Figure 26 : consommation générale annuelle du canal du Centre Figure 27 : économie d'eau selon le nombre de bassins d'épargne Figure 28 : bassin d’épargne Figure 29 : station de pompage
  111. Edition (Ceremadoc) Sécurité routière dans les plans de déplacements urbains (PDU) : approche et méthode

    L'un des objectifs forts des PDU est la sécurité routière. Comment en effet parler de déplacements efficaces s'il y a quotidiennement des accidents et des victimes sur les voies de l'agglomération ? Et comment développer les modes doux mis en avant dans les PDU si la ville n'est pas suffisamment sûre pour l'ensemble des usagers vulnérables ? Ce guide fournit des réponses des réponses aux questions que cela pose aux élus et techniciens, chargés des PDU : Qu'entend-on par sécurité des déplacements dans un PDU ? Comment identifier les enjeux à l'échelle d'une agglomération ? Que peut faire l'équipe projet PDU ? Qui doit-elle mobiliser et pour quels types d'actions ? Quelle est la démarche à adopter ? Comment analyser les problèmes de sécurité et choisir les actions les plus efficaces ? Comment s'organiser localement pour définir et mettre en œuvre les actions puis assurer un suivi de la sécurité ? Élaboré par le CERTU, en partenariat avec l'Inrets, les Cete et des professionnels directement en charge des PDU, ce guide s'adresse en priorité aux responsables politiques, aux chefs de projet PDU et aux techniciens de la sécurité. Il a pour ambition de faire prendre conscience de la réalité de l'insécurité des déplacements urbains. Il propose des solutions pour prévenir et traiter les accidents de la circulation en agglomération. Il met en lumière les liens étroits entre l'objectif « sécurité » et les autres objectifs du PDU dont le développement va souvent de pair, comme la multimodalité, le partage de la voirie, la qualité de vie... De nombreuses agglomérations françaises et étrangères se sont déjà attaquées au problème de l'insécurité. Leurs expériences, riches d'enseignements, témoignent que des solutions techniques éprouvées existent et sont mises en œuvre avec succès pour diminuer le nombre et la gravité des accidents. Elles montrent aussi que la lutte contre l'insécurité est une œuvre collective de longue haleine qui, pour réussir, réclame, de l'ensemble des acteurs engagés dans la démarche PDU, persévérance et cohérence dans la durée.
  112. Edition (Ceremadoc) La ventilation des souterrains fluviaux

    Le passage des bateaux automoteurs dans les souterrains fluviaux pose le problème de la qualité de l’air pour les occupants de ceux-ci. Détection des polluants et mesures à mettre en place pour diluer et évacuer ces polluants.Exemple de quatre tunnels canaux équipés de système de ventilation mécanique. PRÉAMBULE PRESENTATION DU PROBLEMEI. TOXICITE DES GAZ D’ECHAPPEMENT I.1. Les composants de gaz d’échappement I.1.1. Les produits de la combustion I.1.2. Les produits de réaction entre les composants du comburant (air) I.1.3. Combustion de produits dissous dans le carburant I.1.4. Ordres de grandeur des rejets I.2. Les seuils de pollution admissibles I.2.1. Toxicité du monoxyde de carbone I.2.2. Toxicité des oxydes d’azote I.2.3. Toxicité des hydrocarbures et des aldéhydes I.2.4. Toxicité des produits sulfurés I.2.5. Les effets de synergie et les circonstances aggravantes I.2.6. Opacité II. ETUDE THEORIQUE DE LA VENTILATION II.1. Ventilation naturelle II.1.1. Écoulement de l’air II.1.1.1. Définition des contrepressions atmosphériques II.1.1.2. Écoulement de l’air sous l’effet des contrepressions atmosphériques ΔPa (régime stationnaire) II.1.1.3. Influence du pistonnement des péniches II.1.2. Pollution en souterrain II.1.2.1. Hypothèses générales II.1.2.2. Calcul de pollution II.1.2.3. Evolution de la pollution en souterrain II.2. Ventilation mécanique II.2.1. Principes de ventilation envisageables II.2.2. Techniques applicables au cas des souterrains fluviaux II.2.3. Dimensionnement des installations II.2.3.1. Débits d’air nécessaires II.2.3.2. Système avec porte et station de ventilation II.2.3.3. Système par accélérateurs III. INSTALLATION DE VENTILATION III.1. Equipements propres à la ventilation III.1.1. Station de ventilation III.1.2. Accélérateurs III.1.3. Surveillance - entretien III.1.4. Coûts III.1.4.1. Coûts d’investissement III.1.4.2. Coût d’exploitation III.2. Les capteurs de pollution pour le contrôle des gaz nocifs III.2.1. Le contrôle de l’oxyde de carbone III.2.1.1. Les analyseurs à absorption infrarouge III.2.1.2. Les détecteurs catalytiques (ou thermochimiques) III.2.1.3. Les détecteurs électrochimiques III.2.1.4. Autres principes de mesures III.2.1.5. Conditions d’utilisation III.2.1.6. Choix d’un analyseur de CO III.2.2. Le contrôle des oxydes d’azote (NO, NO2, NOx) III.2.2.1. Les capteurs à chimiluminescence III.2.2.2. Capteurs électrochimiques III.2.2.3. Conclusions sur les analyseurs d’oxyde d’azote III.2.3. Le contrôle de l’opacité III.2.3.1. Généralités III.2.3.2. Les transmissiomètres III.2.3.3. Les diffusiomètres III.2.3.4. Conclusions sur les opacimètres III.2.4. Contrôle de la vitesse et du sens du courant d’air à l’intérieur du souterrain III.2.4.1. Principe de mesure III.2.4.1.1. Anémomètre à « palette » III.2.4.1.2. Anémomètre à « moulinet » III.2.4.1.3. Anémomètre basé sur la mesure de l’abaissement de température dû au courant d’air (fil chaud - thermistance) III.2.4.1.4. Anémomètre ultrasonique III.2.4.2. Choix d’un anémomètre IV. COMMANDE DE LA VENTILATION IV.1. Généralités IV.2. Principes de commandes envisageables IV.2.1. Absence de tout capteur IV.2.2. Détection de passage des bateaux aux têtes lV.2.3. Détection du sens du courant d’air en souterrain IV.2.4. Anémomètre réversible lV.2.5. Détecteurs de passage et anémomètres réversibles IV.2.6. Détecteur de pollution IV.2.7. Détecteurs de passage et de pollution aux têtes IV.2.8. Détecteurs de passage et de pollution aux têtes complétés d’un anémomètre ANNEXE I Description des systèmes de ventilation réalisés dans les souterrains fluviauxI. LE SOUTERRAIN DE RUYAULCOURT I.1. Description sommaire I.2. Modalités d’exploitation I.3. Ventilation I.4. Contrôle de la ventilation I.5. Coût d’exploitation II. LE SOUTERRAIN DE BRAYE-EN-LAONNOIS II.1. Description sommaire II.2. Modalités d’exploitation II.2.1. Trafic II.2.2. Exploitation II.3. Ventilation II.3.1. Caractéristiques de l’installation II.3.2. Mode de fonctionnement (au moment de l’installation) II.3.3. Description générale du matériel installé II.3.4. Prescriptions relatives aux appareils installés II.4. Contrôle de l’efficacité de la ventilation (au moment de l’installation mais hors service depuis 1993 et non remplacée) II.5. Coût II.5.1. Coût du premier établissement II.5.2. Coût d’exploitation lII. LE SOUTERRAIN DU MONT-DE-BILLY III.1. Description sommaire 111.2. Modalités d’exploitation 111.3. Ventilation mise en place 111.4. Etude du nouveau fonctionnement 111.5. Principe de fonctionnement actuel 111.6. Coûts 111.6.1. Coût de premier établissement 111.6.2. Coût de l’automatisation de la gestion du souterrain (Prix 1994) IV. LE SOUTERRAIN D’ARZVILLER IV.1. Description sommaire IV.2. Modalités d’exploitation IV.3. Ventilation IV.3.1. Choix de la solution IV.3.2. Débit d’air frais IV.3.3. Dimensionnement de l’installation IV.3.4. Description de l’installation IV.4. Contrôle de l’efficacité de ta ventilation IV.4.1. Analyseur de monoxyde de carbone - Opacimètre IV.4.2. Anémomètre - girouette ANNEXE 2 Le moteur diesel ANNEXE 3 Puissance de propulsion nécessaire au franchissement des souterrains ANNEXE 4 La pollution et la réglementation ANNEXE 5 Projet de ventilation
  113. Edition (Ceremadoc) Sécurité routière dans les plans de déplacements urbains (PDU) : approche et méthode

    L'un des objectifs forts des PDU est la sécurité routière. Comment en effet parler de déplacements efficaces s'il y a quotidiennement des accidents et des victimes sur les voies de l'agglomération ? Et comment développer les modes doux mis en avant dans les PDU si la ville n'est pas suffisamment sûre pour l'ensemble des usagers vulnérables ? Ce guide fournit des réponses des réponses aux questions que cela pose aux élus et techniciens, chargés des PDU : Qu'entend-on par sécurité des déplacements dans un PDU ? Comment identifier les enjeux à l'échelle d'une agglomération ? Que peut faire l'équipe projet PDU ? Qui doit-elle mobiliser et pour quels types d'actions ? Quelle est la démarche à adopter ? Comment analyser les problèmes de sécurité et choisir les actions les plus efficaces ? Comment s'organiser localement pour définir et mettre en œuvre les actions puis assurer un suivi de la sécurité ? Élaboré par le CERTU, en partenariat avec l'Inrets, les Cete et des professionnels directement en charge des PDU, ce guide s'adresse en priorité aux responsables politiques, aux chefs de projet PDU et aux techniciens de la sécurité. Il a pour ambition de faire prendre conscience de la réalité de l'insécurité des déplacements urbains. Il propose des solutions pour prévenir et traiter les accidents de la circulation en agglomération. Il met en lumière les liens étroits entre l'objectif « sécurité » et les autres objectifs du PDU dont le développement va souvent de pair, comme la multimodalité, le partage de la voirie, la qualité de vie... De nombreuses agglomérations françaises et étrangères se sont déjà attaquées au problème de l'insécurité. Leurs expériences, riches d'enseignements, témoignent que des solutions techniques éprouvées existent et sont mises en œuvre avec succès pour diminuer le nombre et la gravité des accidents. Elles montrent aussi que la lutte contre l'insécurité est une œuvre collective de longue haleine qui, pour réussir, réclame, de l'ensemble des acteurs engagés dans la démarche PDU, persévérance et cohérence dans la durée.
  114. Edition (Ceremadoc) Alimentation en eau des voies navigables

    Cette notice se veut une compilation des nombreux documents existants sur l’alimentation en eau des canaux, renforcée par les expériences de quelques services gestionnaires pour poser les bases d’une culture technique et d’une approche méthodologique du diagnostic et de l’optimisation des systèmes d’alimentation en eau présents et à venir. Après un inventaire des ressources naturelles et artificielles existantes ainsi que des méthodes pour les évaluer, seront présentés l’influence du trafic connu sur la consommation d’exploitation et un bilan hydrique, avant d'aborder les solutions possibles pour une optimisation de la gestion. I. LES USAGES DE LA RESSOURCE EN EAU A. Naviguer d’un bassin a l’autre B. Des usages antagonistes de l’eau 1. L’eau, bien commun de la nation 2. Les divers usages de la voie d’eau II. DIAGNOSTIC DES RESSOURCES NATURELLES ET ARTIFICIELLES A. Introduction B. Ressources naturelles 1. Ressources de surface 2. Nappes phréatiques et écoulements souterrains C. Ressources artificielles 1. Barrages réservoirs 2. Etangs artificiels 3. Canaux de navigation 4. Ouvrages d’amenée d’eau D. Inventaire cartographié des ressources disponibles III. CONSOMMATION DES RESSOURCES EN EAU A. Connaissance du trafic, évaluation des besoins en eau 1. Flotte connue, tourisme, commerce et perspectives d’évolution 2. Trafic 3. Bassinées d’écluses 4. Débits dans les bras de décharge et fosses de contournement 5. Lâchers excédentaires B. Consommation liée aux activités connexes 1. Alimentation en eau potable 2. Prises d’eau pour l’irrigation et l’industrie 3. Contraintes liées aux activités de loisir et à la valorisation touristique des sites C. Consommation naturelle et pertes en eau 1. Soutien d’étiage des cours d’eau 2. Régulation du plan d’eau pour la navigation 3. Fuites dans les infrastructures 4. Infiltration, évaporation et transfert d’eau IV. OPTIMISATION DE LA GESTION DES RESSOURCES EN EAU A. BILAN HYDRIQUE 1. Bilan des ressources mobilisables 2. Bilan des besoins en eau 3. Consommation générale annuelle B. Réduction des pertes en eau C. Economie de la ressource en eau 1. Bassins d’épargne 2. Recyclage par pompage, alimentation des biefs amont par pompage 3. Règles de gestion des éclusages D. Consignes d’optimisation de gestion 1. Optimisation de gestion des prises d’eau 2. Gestion du destockage des barrages-réservoirs 3. Tableau de bord de gestion 4. Chômages V. RECAPITULATIF DES ELEMENTS DE C.C.T.P. A. Diagnostic du réseau d’alimentation du canal et de son fonctionnement actuel 1. description succincte du canal 2. recensement et description de la fonctionnalité des ouvrages de prises et rejets, lois hydrauliques utilisées et diagnostic du fonctionnement 3. besoins du canal et pertes 4. description des apports 5. contraintes d’exploitation internes et externes 6. les différents schémas de fonctionnement du système d’alimentation B. Etude quantitative des apports et des besoins du canal C. Fonctionnement du système d’alimentation 1. réajustement des lois de tous les ouvrages 2. lois hauteur/surface et hauteur/capacité de tous les plans d’eau 3. étude hydraulique sommaire des écoulements 4. analyse critique et pistes d’amélioration D. voies d’amélioration 1. Instrumentation 2. Télétransmission 3. Automatisation VI. Glossaire VII. Bibliographie TABLE DES ILLUSTRATIONS photo 1 : chambre de tranquillisation photo 2 : Pont canal de Briare nécessitant une usine élévatoire pour être alimenté et franchir la Loire photo 3 : Travaux d’étanchéité bief de Coulanges (canal Nivernais) Figures Figure 1 : canal de jonction Figure 2 : Le réseau des voies navigables en France Figure 3 : Répartition des consommations d’eau Figure 4 : Bief de partage Figure 5 : Cycle de l'eau Figure 6 : Exemple de trace de bassin versant Figure 7 : Détournement de cours d’eau (vue en plan) Figure 8 : Détournement de cours d’eau (profil en long) Figure 9 : Exemple de courbe de tarage Figure 10 : Exploration du champ de vitesse Figure 11 : Traitement des données hydrauliques Figure 12 : station limnigraphique Figure 13 : écoulements souterrains Figure 14 : niveau piézométrique Figure 15 : barrage-réservoir Figure 16 : escalier d'eau Figure 17 : Rigole d’alimentation du Canal du Centre à partir barrage réservoir de Berthaud Figure 18 : ligne d'eau générée par l'ouverture d'une vanne Figure 19 : bassin de compensation Figure 20 : contournement d'écluses Figure 21 : contournement d’écluse par aqueduc enterré Figure 22 : schéma d’alimentation du canal du Centre (Source : VNF, Coyne et Bellier ; 02/1999) Figure 23 : évolution du fret fluvial entre 1998 et 1999 Figure 24 : évolution du trafic sur le canal du Centre Figure 25 : fuites Figure 26 : consommation générale annuelle du canal du Centre Figure 27 : économie d'eau selon le nombre de bassins d'épargne Figure 28 : bassin d’épargne Figure 29 : station de pompage
  115. Edition (Ceremadoc) Aides Radar (RACON)

    Ce guide comprend : Fonction du RACON Documents de référence Exemples d'utilisation Avantages du RACON Principales caractéristiques techniques Principe de fonctionnement Portée de fonctionnement d'un RACON Importance des réglages du radar Réglages du RACON 1. Fonction du racon 2. Documents de reference 3. Exemples d’utilisation du racon 4. Avantages du racon 5. Principales caracteristiques techniques 6. Principe de fonctionnement a. signaux emis b. traitement de suppression des lobes secondaires 7. Portee de fonctionnement d’un racon 8. Importance des reglaces du radar a. le f.t.c. et la lisibilite de la reponse racon b. le s.t.c. et la lisibilite de la reponse racon c. les reglages du radar : conclusion 9. Reglages du racon a. longueur de la reponse b. facteur de travail c. temps de suppression des lobes secondaires d. sensibilite
  116. Edition (Ceremadoc) Coût des protections contre les aléas littoraux

    Le présent guide expose les stratégies envisageables et apporte des éléments de méthode et des coûts unitaires pour évaluer sur la durée les dépenses d’investissement, d’entretien et de gestion associées à la protection contre les aléas littoraux. Évaluation du coût global actualisé d’un projet Types d’aménagements, effets attendus et évolution dans le temps Méthodologie d’analyse des coûts observés Coûts observés sur les opérations globales de gestion du trait de côte Coûts observés sur les opérations globales de protection contre les submersions marines Coûts observés sur les rechargements de plage, le transfert hydraulique et les drains de plage Coûts observés sur les cordons dunaires Coûts observés sur les systèmes d’endiguement (en particulier les digues) Coûts observés sur les ouvrages de génie civil (perrés, murs et ouvrages de soutènement, épis, brise-lames et butées) Analyse transversale des coûts observés sur les différents types d’intervention Références
  117. Edition (Ceremadoc) Systèmes houlomoteurs bords à quai : Guide de conception en phase avant-projet

    Ce guide présente les enjeux et intérêts des dispositifs pour les aménageurs. Il décrit d’abord les quatre familles de dispositifs (système à franchissement, colonne d’eau oscillante, batteur oscillant, flotteur pilonnant). Il dresse ensuite une liste de sites potentiels en France métropolitaine avec leurs caractéristiques, en approfondissant l’analyse pour quelques sites. Pour chaque famille de dispositif, une estimation de la production est donnée, le dimensionnement du convertisseur et de la structure est produit à travers notamment une analyse de la survivabilité. Une évaluation coût-bénéfice permet enfin de déterminer le coût de l’énergie pour les quatre familles sur le site particulier de Saint-Jean-de-Luz. La filière des génératrices houlomotrices étant encore aujourd’hui au stade de développement avec seulement quelques prototypes en fonctionnement en conditions réelles, les méthodes utilisées dans tous les compartiments de l’étude sont issues de la recherche et sont elles-mêmes en constante évolution ; elles peuvent donc à ce stade comporter des incertitudes importantes. Il conviendra donc d’en tenir compte et de réserver l’usage de ce guide au stade de l’avant-projet ou de l’étude de faisabilité. Introduction Premier chapitre - Enjeux et intérêts des systèmes houlomoteurs bord à quai pour les aménageurs 1 Qu’est-ce qu’un système houlomoteur bord à quai ? 2 La production électrique 3 Rôle dans la protection portuaire ou côtière et dans l’adaptation au changement climatique 4 Une contribution à la transition écologique pour la croissance verte 5 Développement d’une filière industrielle locale innovante 6 Estimation de rentabilité 7 Les différents systèmes de récupération de l’énergie de la houle bord à quai 8 Exemples de réalisation Deuxième chapitre - Considérations pour l’identification des sites propices à l’installation de systèmes houlomoteurs bord à quai 1 Estimation de la puissance récupérée 2 Évaluation de potentiels houlomoteurs sur le littoral français 3 Considérations géotechniques 4 Enjeux environnementaux et réglementations associées 5 Raccordement et stockage 6 Références bibliographiques Troisième chapitre - Évaluation des différents concepts 1 Les différents concepts 2 Estimation de production 3 Dimensionnement des WEC : Eléments de méthodologie et exemples d’application 4 Effets sur les ouvrages porteurs 5 Impact hydrosédimentaire 6 Références bibliographiques Quatrième chapitre - Évaluation coût-bénéfice 1 Choix et optimisation du dispositif de récupération de l’énergie de la houle 2 Coûts de construction 3 Coûts de production 4 Références bibliographiques Conclusion
  118. Edition (Ceremadoc) Les niveaux marins extrêmes : Ports de métropole

    Ce rapport présente une estimation statistique des valeurs extrêmes de niveau d'eau aux marégraphes portuaires de métropole. Seuls les marégraphes possédant plus de dix ans de données sont étudiés, soient 28 marégraphes (21 pour les façades de mer du Nord, Manche et Atlantique, 7 pour la façade méditerranéenne). La méthode s'appuie sur la théorie des valeurs extrêmes et permet d'estimer les niveaux associés à des périodes de retour jusqu'à 1000 ans. Les intervalles de confiance calculés représentent l'incertitude d'échantillonnage. Le rapport présente aussi certains résultats intermédiaires, à savoir un relevé des tempêtes ayant produit les plus forts niveaux d'eau et, pour les ports de mer du Nord, Manche et Atlantique, une estimation des périodes de retour associés aux surcotes de pleine mer. 1. Introduction 1.1 Contexte 1.2 Objectif de l’étude 2. La méthodologie d’analyse statistique des extrêmes 2.1 Données 2.2 Analyse statistique 2.2.1 Approche indirecte : mer du Nord, Manche et Atlantique 2.2.2 Approche directe : Méditerranée 2.3 Incertitudes 2.3.1 Incertitude liée à la mesure ou aux données initiales 2.3.2 Incertitude de représentativité 2.3.3 Incertitude du choix du modèle statistique 2.3.4 Incertitude d’échantillonnage 2.4 Présentation des résultats 3 Résultats par port 3.1 Marégraphe de Dunkerque 3.1.1 Disponibilité et valeurs maximales observées 3.1.2 Estimation des valeurs extrêmes de surcote de pleine mer 3.1.3 Estimation des valeurs extrêmes de niveau d’eau au marégraphe 3.2 Marégraphe de Calais 3.2.1 Disponibilité et valeurs maximales observées 3.2.2 Estimation des valeurs extrêmes de surcote de pleine mer 3.2.3 Estimation des valeurs extrêmes de niveau d’eau au marégraphe 3.3 Marégraphe de Boulogne-sur-Mer 3.3.1 Disponibilité et valeurs maximales observées 3.3.2 Estimation des valeurs extrêmes de surcote de pleine mer 3.3.3 Estimation des valeurs extrêmes de niveau d’eau au marégraphe 3.4 Marégraphe de Dieppe 3.4.1 Disponibilité et valeurs maximales observées 3.4.2 Estimation des valeurs extrêmes de surcote de pleine mer 3.4.3 Estimation des valeurs extrêmes de niveau d’eau au marégraphe 3.5 Marégraphe du Havre 3.5.1 Disponibilité et valeurs maximales observées 3.5.2 Estimation des valeurs extrêmes de surcote de pleine mer 3.5.3 Estimation des valeurs extrêmes de niveau d’eau au marégraphe 3.6 Marégraphe de Cherbourg 3.6.1 Disponibilité et valeurs maximales observées 3.6.2 Estimation des valeurs extrêmes de surcote de pleine mer 3.6.3 Estimation des valeurs extrêmes de niveau d’eau au marégraphe 3.7 Marégraphe de Saint-Malo 3.7.1 Disponibilité et valeurs maximales observées 3.7.2 Estimation des valeurs extrêmes de surcote de pleine mer 3.7.3 Estimation des valeurs extrêmes de niveau d’eau au marégraphe 3.8 Marégraphe de Roscoff 3.8.1 Disponibilité et valeurs maximales observées 3.8.2 Estimation des valeurs extrêmes de surcote de pleine mer 3.8.3 Estimation des valeurs extrêmes de niveau d’eau au marégraphe 3.9 Marégraphe du Conquet 3.9.1 Disponibilité et valeurs maximales observées 3.9.2 Estimation des valeurs extrêmes de surcote de pleine mer 3.9.3 Estimation des valeurs extrêmes de niveau d’eau au marégraphe 3.10 Marégraphe de Brest 3.10.1 Disponibilité et valeurs maximales observées 3.10.2 Estimation des valeurs extrêmes de surcote de pleine mer 3.10.3 Estimation des valeurs extrêmes de niveau d’eau au marégraphe 3.11 Marégraphe de Concarneau 3.11.1 Disponibilité et valeurs maximales observées 3.11.2 Estimation des valeurs extrêmes de surcote de pleine mer 3.11.3 Estimation des valeurs extrêmes de niveau d’eau au marégraphe 3.12 Marégraphe de Port-Tudy 3.12.1 Disponibilité et valeurs maximales observées 3.12.2 Estimation des valeurs extrêmes de surcote de pleine mer 3.12.3 Estimation des valeurs extrêmes de niveau d’eau au marégraphe 3.13 Marégraphe du Crouesty 3.13.1 Disponibilité et valeurs maximales observées 3.13.2 Estimation des valeurs extrêmes de surcote de pleine mer 3.13.3 Estimation des valeurs extrêmes de niveau d’eau au marégraphe 3.14 Marégraphe de Saint-Nazaire 3.14.1 Disponibilité et valeurs maximales observées 3.14.2 Estimation des valeurs extrêmes de surcote de pleine mer 3.14.3 Estimation des valeurs extrêmes de niveau d’eau au marégraphe 3.15 Marégraphe de la Pointe Saint-Gildas 3.15.1 Disponibilité et valeurs maximales observées 3.15.2 Estimation des valeurs extrêmes de surcote de pleine mer 3.15.3 Estimation des valeurs extrêmes de niveau d’eau au marégraphe 3.16 Marégraphe des Sables d’Olonne 3.16.1 Disponibilité et valeurs maximales observées 3.16.2 Estimation des valeurs extrêmes de surcote de pleine mer 3.16.3 Estimation des valeurs extrêmes de niveau d’eau au marégraphe 3.17 Marégraphe de La Rochelle 3.17.1 Disponibilité et valeurs maximales observées 3.17.2 Estimation des valeurs extrêmes de surcote de pleine mer 3.17.3 Estimation des valeurs extrêmes de niveau d’eau au marégraphe 3.18 Marégraphe de Port-Bloc 62 3.18.1 Disponibilité et valeurs maximales observées 3.18.2 Estimation des valeurs extrêmes de surcote de pleine mer 3.18.3 Estimation des valeurs extrêmes de niveau d’eau au marégraphe 3.19 Marégraphe d’Arcachon 3.19.1 Disponibilité et valeurs maximales observées 3.19.2 Estimation des valeurs extrêmes de surcote de pleine mer 3.19.3 Estimation des valeurs extrêmes de niveau d’eau au marégraphe 3.20 Marégraphe de Bayonne 3.20.1 Disponibilité et valeurs maximales observées 3.20.2 Estimation des valeurs extrêmes de surcote de pleine mer 3.20.3 Estimation des valeurs extrêmes de niveau d’eau au marégraphe 3.21 Marégraphe de Saint-Jean-de-Luz 3.21.1 Disponibilité et valeurs maximales observées 3.21.2 Estimation des valeurs extrêmes de surcote de pleine mer 3.21.3 Estimation des valeurs extrêmes de niveau d’eau au marégraphe 3.22 Marégraphe de Port-Vendres 3.22.1 Disponibilité et valeurs maximales observées 3.22.2 Estimation des valeurs extrêmes de niveau d’eau au marégraphe 3.23 Marégraphe de Sète 3.23.1 Disponibilité et valeurs maximales observées 3.23.2 Estimation des valeurs extrêmes de niveau d’eau au marégraphe 3.24 Marégraphe de Marseille 3.24.1 Estimation des valeurs extrêmes de niveau d’eau au marégraphe 3.25 Marégraphe de Toulon 3.25.1 Disponibilité et valeurs maximales observées 3.25.2 Estimation des valeurs extrêmes de niveau d’eau au marégraphe 3.26 Marégraphe de Nice 3.26.1 Disponibilité et valeurs maximales observées 3.26.2 Estimation des valeurs extrêmes de niveau d’eau au marégraphe 3.27 Marégraphe de Monaco 3.27.1 Disponibilité et valeurs maximales observées 3.27.2 Estimation des valeurs extrêmes de niveau d’eau au marégraphe 3.28 Marégraphe d’Ajaccio 3.28.1 Disponibilité et valeurs maximales observées 3.28.2 Estimation des valeurs extrêmes de niveau d’eau au marégraphe Annexe 1 : Outils de calcul et données utilisées 1. Outils de calcul utilisés 2. Origine des données utilisées 2.1 Les prédictions de niveau de marée 2.2 Les observations de niveaux d’eau Annexe 2 : Estimation de l’eustatisme et de l’isostasie Ports en mer du Nord, Manche et Atlantique Méditerranée Annexe 3 : Analyse de sensibilité du critère d’indépendance des surcotes de pleine mer Annexe 4 : Données REFMAR aux marégraphes de référence en Méditerranée lors des principales tempêtes
  119. Edition (Ceremadoc) Manuel de corrosion et protection des ouvrages en sites aquatiques

    Cet ouvrage propose un aperçu des phénomènes de corrosion et leurs conséquences sur les structures métalliques dans les milieux portuaires et fluviaux et en bord de mer. Les spécialistes et ceux que les activités amènent à concevoir ou à gérer des ouvrages métalliques dans ou proche des milieux aquatiques et salins y trouveront des bases pour comprendre la corrosion et ses mécanismes et des méthodes pour lutter contre. Cette publication propose également des pistes pour approfondir et des recommandations pour aborder les problématiques liées à la corrosion. Le guide corrosion présente dans un premier temps, les structures, les milieux et la corrosion par description des structures métalliques en milieu portuaire ou fluvial, de leurs matériaux et de la manière dont la corrosion peut les fragiliser. Il détaille la surveillance et les mesures : les méthodes et les outils d’évaluation du niveau de corrosion. Il passe en revue et donne les principes des systèmes de protection : passive, active et combinaison des deux. Enfin il rapporte quatre retours d’expériences. I. Structures, milieu et corrosion 1. Introduction 2. Les structures métalliques en milieu portuaire ou fluvial 3. La corrosion en milieu portuaire ou fluvial II. Surveillance et mesures 1. Méthodes et outils d’évaluation 2. Inspection visuelle de l’état de surface 3. Mesures d’épaisseurs résiduelles 4. Mesures de potentiel électrochimique 5. Détection des micro-organismes influençant la corrosion 6. Mesures physico-chimiques du milieu 7. Détection des courants vagabonds 8. Autres techniques d’appréciation ou de détection III. Les systèmes de protection 1. Principes et méthodes de protection 2. Systèmes de protection par peinture 3. Systèmes de protection cathodique 4. Autres techniques de protection IV. Retour d’expériences 1. Remise en état du quai de l’Escaut du port de Dunkerque 2. Remise en état de l’écluse de Watier du port de Dunkerque 3. Démarche investigatrice d’identification de la corrosion du quai des Tellines au port de Marseille-Fos 4. Réfection de la protection anticorrosion du pont-canal de Briare V. Glossaire et liste des sigles
  120. Edition (Ceremadoc) Les essences de bois alternatives pour la construction maritime et fluviale

    L'objectif de ce guide est d'encourager la préconisation et l'utilisation d'essences actuellement sous-employées dans les travaux maritimes et fluviaux, comme alternatives au Greenheart et à l'Azobé. Basé sur un projet de recherche commandé par l'Agence de l'environnement, le guide intéressera toute personne qui utilise le bois en eau de mer et en eau douce, notamment les ingénieurs de structure et génie civil, les consultants chargés de la conception, les entrepreneurs et les gestionnaires d'ouvrages. Il contient une méthodologie pour identifier le bois le plus approprié à chaque application, ainsi qu'un tableau contenant les données techniques sur les propriétés essentielles (par exemple robustesse, résistance aux xylophages marins et à l'abrasion) de cinq espèces sous-employées : l'Angelim Vermelho, le Cupiuba, l'Eveuss, l'Okan et le Tali. Les performances de ces cinq espèces ont été comparées aux performances du Greenheart et de l'Azobé. 1. Introduction 1.1. Aperçu général du projet 1.2. Les questions relatives à l'approvisionnement en bois 1.3. Propriétés du bois 1.4. Spécification et utilisation du bois 2. Méthodologie 2.1. Logigramme illustrant la méthodologie 2.2. Exemple d'application – La méthodologie en pratique 3. Informations techniques 4. Bibliographie Annexes Annexe 1 – Information sur les xylophages marins Annexe 2 – Résumé des essais de résistance aux xylophages marins et à l'abrasion Annexe 3 – Usinage et ouvrabilité Annexe 4 – Dimensions courantes des sections et utilisations classiques Tableau 3.1 Performance des cinq espèces de bois sous-employées classées HS (BS5756) comparées au Greenheart et à l'Azobé Tableau 3.2 Valeurs caractéristiques résultant des données des essais réalisés suivant la norme BS EN 384 pour les cinq essences sous-employées classées HS (BS5756) Tableau 3.3 Performances de treize espèces de bois sous-employées comparées au Greenheart et à l'Azobé
  121. Edition (Ceremadoc) Étude des systèmes de protection contre les submersions marines

    La tempête Xynthia, qui a frappé les côtes françaises le 28 février 2010 a provoqué la submersion de vastes territoires, malgré la présence d’ouvrages de défense. Cette catastrophe a mis en évidence la nécessité de mieux étudier le comportement des systèmes de protection contre les submersions marines, en choisissant une échelle géographique adaptée et en intégrant la cinématique des événements. Le travail de recherche engagé sur le fonctionnement et les défaillances de ces systèmes a conduit à des avancées significatives sur le plan de la connaissance des mécanismes en jeu et des stratégies et des méthodes dédiées à leur analyse et leur représentation. La méthodologie développée, éprouvée sur quatre sites submergés lors de Xynthia (Loix, Les Boucholeurs et Boyardville en Charente-Maritime, Batz-sur-mer en Loire-Atlantique), a vocation à guider le diagnostic des sites sujets à submersion marine, depuis le lancement des premières investigations jusqu’à la restitution formelle des analyses. Préface | Résumé | Abstract | Présentation générale | Contexte | Objectif | Lectorat ciblé | Domaines de compétences mobilisés | Sélection de quatre sites pour les études de cas | Protocole d’élaboration de la méthodologie | Organisation du document I – Méthodologie 1 Cadre conceptuel 1.1 Concepts pour l’analyse géographique 1.1.1 Système de protection 1.1.2 Casier hydraulique 1.1.3 Modèle « source-transfert-cible » 1.2 Phénomène naturel, événement, aléa, enjeux et vulnérabilité 1.2.1 Phénomène naturel initiateur 1.2.2 Événement et scénario d’événements 1.2.3 Aléa 1.2.4 Enjeux 1.2.5 Vulnérabilité 1.3 Risque : caractérisation, évolution, acceptabilité et perception 1.3.1 Caractérisation du risque dans le cadre d’une analyse 1.3.2 Évolution du risque 1.3.3 Acceptabilité et perception du risque 1.4 Politiques et mesures de prévention du risque 1.4.1 Politiques de prévention du risque 1.4.2 Mesures de prévention du risque et leurs effets 1.4.3 Stratégie de gestion du risque 1.4.4 Organisation, rôles et responsabilités 2 Systèmes de protection – présentation à l’échelle globale 2.1 Analyse des phénomènes naturels à l’origine des submersions 2.2 Fonction de protection et objectifs de performance d’un système 2.2.1 Détermination des phénomènes naturels de référence 2.2.2 Caractérisation de la performance d’un système vis-à-vis des phénomènes naturels 2.3 Fonctionnement, dysfonctionnement, maintenance et gestion 2.3.1 Modes de fonctionnement d’un système de protection 2.3.2 Dysfonctionnements d’un système de protection 2.3.3 Maintenance et gestion 2.4 Fonctions de défense contre les entrées d’eau 2.4.1 Phénomènes hydrauliques affectant la ligne de défense 2.4.2 Fonctionnement d’ensemble de la ligne de défense 2.4.3 Défaillances couramment observées 2.5 Fonctions de gestion de l’eau 2.5.1 Phénomènes hydrauliques déterminants 2.5.2 Fonctionnement d’ensemble 2.5.3 Défaillances couramment observées 3 Systèmes de protection – présentation à l’échelle des structures 3.1 Structures de défense 3.1.1 Formations naturelles ou partiellement anthropisées 3.1.2 Digues 3.1.3 Perrés 3.1.4 Murs et ouvrages de soutènement 3.1.5 Épis 3.1.6 Brise-lames 3.2 Dispositifs de gestion de l’eau 3.2.1 Drains 3.2.2 Canaux et fossés 3.2.3 Canalisations à section fermée 3.2.4 Aires de stockage ou d’expansion 3.2.5 Clapets, vannes et écluses 3.2.6 Dispositifs de pompage 3.3 Effets de l’évolution des composants sur le système 3.3.1 Évolution des dispositifs de défense et effets sur le système 3.3.2 Évolution des dispositifs intérieurs et effets sur le système 4 Stratégies d’étude et méthodes d’analyse 4.1 Contexte opérationnel de l’étude des systèmes 4.2 Stratégie et organisation de la conduite d’étude 4.3 Méthodes d’analyse 4.3.1 Arbre des défaillances 4.3.2 Arbre des événements 4.3.3 Logigramme de type « nœud papillon » 4.4 Prolongements possibles des analyses 5 Investigation et modélisation 5.1 Observation de l’événement météorologique 5.2 Observation des phénomènes en mer 5.2.1 Observation des niveaux marins 5.2.2 Observation des états de mer et des courants 5.3 Observation du comportement du système 5.3.1 Images satellitaires 5.3.2 Photographies aériennes 5.3.3 Les modèles numériques de terrain 5.3.4 Investigations spécifiques aux ouvrages et autres structures 5.3.5 Exploitation des laisses de mer 5.4 Techniques de modélisation hydraulique 5.4.1 Analyse et modélisation de l’inondation 5.4.2 Modélisation du comportement des structures 5.5 Incertitudes et précautions d’usage 5.5.1 Incertitudes sur les observations 5.5.2 Incertitudes liées à la modélisation ANNEXE A Recommandations pour la rédaction des analyses de siteIntroduction1.Cadrage de l’analyse 1.1.Description générale du site 1.2.Analyse des enjeux 1.2.1.Recensement des enjeux 1.2.2.Identification des enjeux centraux de l’analyse 1.3.Aléa(s) de référence et objectifs de protection 1.4.Données disponibles pour l’analyse 1.5.Stratégie d’analyse 2.Définition du (ou des) système(s) de protection 2.1.Délimitation du (ou des) système(s) de protection 2.1.1.Topographie de la zone d’étude 2.1.2.Positionnement des dispositifs de protection 2.1.3.Conclusion sur le(s) système(s) à étudier 2.2.Schématisation du système de protection 2.2.1.Représentation des contours du système et des zones d’enjeux 2.2.2.Représentation des casiers hydrauliques et des dispositifs intérieurs 2.2.3.Schéma de synthèse 2.3.Logigramme du système de protection 3.Fonctionnement global du système au cours de l’événement 3.1.Conditions hydrauliques extérieures 3.2.Comportement du système au cours de l’événement 3.3.Étude hydraulique globale 3.4.Analyse optionnelle sur les effets des vagues 4.Description des événements (approche détaillée) 4.1.Description du fonctionnement des casiers 1 à m 4.1.1.Casier 1 4.1.2.Casier i 4.1.3.Casier m 4.2.Description du fonctionnement des structures types et des structures particulières (défense et gestion des eaux) 4.2.1.Structure type ayant une fonction de défense 4.2.2.Structure type ayant une fonction de gestion des eaux 4.2.3.Structure type j 4.2.4.Structure particulière p 5.Synthèse et conclusion 5.1.Synthèse 5.2.Conclusion ANNEXE B : Recommandations sur la production cartographique ANNEXE C : Références bibliographiques II – Études de cas Sites étudiés Note introductive aux études de cas
  122. Edition (Ceremadoc) Les essences de bois alternatives pour la construction maritime et fluviale

    L'objectif de ce guide est d'encourager la préconisation et l'utilisation d'essences actuellement sous-employées dans les travaux maritimes et fluviaux, comme alternatives au Greenheart et à l'Azobé. Basé sur un projet de recherche commandé par l'Agence de l'environnement, le guide intéressera toute personne qui utilise le bois en eau de mer et en eau douce, notamment les ingénieurs de structure et génie civil, les consultants chargés de la conception, les entrepreneurs et les gestionnaires d'ouvrages. Il contient une méthodologie pour identifier le bois le plus approprié à chaque application, ainsi qu'un tableau contenant les données techniques sur les propriétés essentielles (par exemple robustesse, résistance aux xylophages marins et à l'abrasion) de cinq espèces sous-employées : l'Angelim Vermelho, le Cupiuba, l'Eveuss, l'Okan et le Tali. Les performances de ces cinq espèces ont été comparées aux performances du Greenheart et de l'Azobé. 1. Introduction 1.1. Aperçu général du projet 1.2. Les questions relatives à l'approvisionnement en bois 1.3. Propriétés du bois 1.4. Spécification et utilisation du bois 2. Méthodologie 2.1. Logigramme illustrant la méthodologie 2.2. Exemple d'application – La méthodologie en pratique 3. Informations techniques 4. Bibliographie Annexes Annexe 1 – Information sur les xylophages marins Annexe 2 – Résumé des essais de résistance aux xylophages marins et à l'abrasion Annexe 3 – Usinage et ouvrabilité Annexe 4 – Dimensions courantes des sections et utilisations classiques Tableau 3.1 Performance des cinq espèces de bois sous-employées classées HS (BS5756) comparées au Greenheart et à l'Azobé Tableau 3.2 Valeurs caractéristiques résultant des données des essais réalisés suivant la norme BS EN 384 pour les cinq essences sous-employées classées HS (BS5756) Tableau 3.3 Performances de treize espèces de bois sous-employées comparées au Greenheart et à l'Azobé
  123. Edition (Ceremadoc) Manuel de corrosion et protection des ouvrages en sites aquatiques

    Cet ouvrage propose un aperçu des phénomènes de corrosion et leurs conséquences sur les structures métalliques dans les milieux portuaires et fluviaux et en bord de mer. Les spécialistes et ceux que les activités amènent à concevoir ou à gérer des ouvrages métalliques dans ou proche des milieux aquatiques et salins y trouveront des bases pour comprendre la corrosion et ses mécanismes et des méthodes pour lutter contre. Cette publication propose également des pistes pour approfondir et des recommandations pour aborder les problématiques liées à la corrosion. Le guide corrosion présente dans un premier temps, les structures, les milieux et la corrosion par description des structures métalliques en milieu portuaire ou fluvial, de leurs matériaux et de la manière dont la corrosion peut les fragiliser. Il détaille la surveillance et les mesures : les méthodes et les outils d’évaluation du niveau de corrosion. Il passe en revue et donne les principes des systèmes de protection : passive, active et combinaison des deux. Enfin il rapporte quatre retours d’expériences. I. Structures, milieu et corrosion 1. Introduction 2. Les structures métalliques en milieu portuaire ou fluvial 3. La corrosion en milieu portuaire ou fluvial II. Surveillance et mesures 1. Méthodes et outils d’évaluation 2. Inspection visuelle de l’état de surface 3. Mesures d’épaisseurs résiduelles 4. Mesures de potentiel électrochimique 5. Détection des micro-organismes influençant la corrosion 6. Mesures physico-chimiques du milieu 7. Détection des courants vagabonds 8. Autres techniques d’appréciation ou de détection III. Les systèmes de protection 1. Principes et méthodes de protection 2. Systèmes de protection par peinture 3. Systèmes de protection cathodique 4. Autres techniques de protection IV. Retour d’expériences 1. Remise en état du quai de l’Escaut du port de Dunkerque 2. Remise en état de l’écluse de Watier du port de Dunkerque 3. Démarche investigatrice d’identification de la corrosion du quai des Tellines au port de Marseille-Fos 4. Réfection de la protection anticorrosion du pont-canal de Briare V. Glossaire et liste des sigles
  124. Edition (Ceremadoc) Les niveaux marins extrêmes : Ports de métropole

    Ce rapport présente une estimation statistique des valeurs extrêmes de niveau d'eau aux marégraphes portuaires de métropole. Seuls les marégraphes possédant plus de dix ans de données sont étudiés, soient 28 marégraphes (21 pour les façades de mer du Nord, Manche et Atlantique, 7 pour la façade méditerranéenne). La méthode s'appuie sur la théorie des valeurs extrêmes et permet d'estimer les niveaux associés à des périodes de retour jusqu'à 1000 ans. Les intervalles de confiance calculés représentent l'incertitude d'échantillonnage. Le rapport présente aussi certains résultats intermédiaires, à savoir un relevé des tempêtes ayant produit les plus forts niveaux d'eau et, pour les ports de mer du Nord, Manche et Atlantique, une estimation des périodes de retour associés aux surcotes de pleine mer. 1. Introduction 1.1 Contexte 1.2 Objectif de l’étude 2. La méthodologie d’analyse statistique des extrêmes 2.1 Données 2.2 Analyse statistique 2.2.1 Approche indirecte : mer du Nord, Manche et Atlantique 2.2.2 Approche directe : Méditerranée 2.3 Incertitudes 2.3.1 Incertitude liée à la mesure ou aux données initiales 2.3.2 Incertitude de représentativité 2.3.3 Incertitude du choix du modèle statistique 2.3.4 Incertitude d’échantillonnage 2.4 Présentation des résultats 3 Résultats par port 3.1 Marégraphe de Dunkerque 3.1.1 Disponibilité et valeurs maximales observées 3.1.2 Estimation des valeurs extrêmes de surcote de pleine mer 3.1.3 Estimation des valeurs extrêmes de niveau d’eau au marégraphe 3.2 Marégraphe de Calais 3.2.1 Disponibilité et valeurs maximales observées 3.2.2 Estimation des valeurs extrêmes de surcote de pleine mer 3.2.3 Estimation des valeurs extrêmes de niveau d’eau au marégraphe 3.3 Marégraphe de Boulogne-sur-Mer 3.3.1 Disponibilité et valeurs maximales observées 3.3.2 Estimation des valeurs extrêmes de surcote de pleine mer 3.3.3 Estimation des valeurs extrêmes de niveau d’eau au marégraphe 3.4 Marégraphe de Dieppe 3.4.1 Disponibilité et valeurs maximales observées 3.4.2 Estimation des valeurs extrêmes de surcote de pleine mer 3.4.3 Estimation des valeurs extrêmes de niveau d’eau au marégraphe 3.5 Marégraphe du Havre 3.5.1 Disponibilité et valeurs maximales observées 3.5.2 Estimation des valeurs extrêmes de surcote de pleine mer 3.5.3 Estimation des valeurs extrêmes de niveau d’eau au marégraphe 3.6 Marégraphe de Cherbourg 3.6.1 Disponibilité et valeurs maximales observées 3.6.2 Estimation des valeurs extrêmes de surcote de pleine mer 3.6.3 Estimation des valeurs extrêmes de niveau d’eau au marégraphe 3.7 Marégraphe de Saint-Malo 3.7.1 Disponibilité et valeurs maximales observées 3.7.2 Estimation des valeurs extrêmes de surcote de pleine mer 3.7.3 Estimation des valeurs extrêmes de niveau d’eau au marégraphe 3.8 Marégraphe de Roscoff 3.8.1 Disponibilité et valeurs maximales observées 3.8.2 Estimation des valeurs extrêmes de surcote de pleine mer 3.8.3 Estimation des valeurs extrêmes de niveau d’eau au marégraphe 3.9 Marégraphe du Conquet 3.9.1 Disponibilité et valeurs maximales observées 3.9.2 Estimation des valeurs extrêmes de surcote de pleine mer 3.9.3 Estimation des valeurs extrêmes de niveau d’eau au marégraphe 3.10 Marégraphe de Brest 3.10.1 Disponibilité et valeurs maximales observées 3.10.2 Estimation des valeurs extrêmes de surcote de pleine mer 3.10.3 Estimation des valeurs extrêmes de niveau d’eau au marégraphe 3.11 Marégraphe de Concarneau 3.11.1 Disponibilité et valeurs maximales observées 3.11.2 Estimation des valeurs extrêmes de surcote de pleine mer 3.11.3 Estimation des valeurs extrêmes de niveau d’eau au marégraphe 3.12 Marégraphe de Port-Tudy 3.12.1 Disponibilité et valeurs maximales observées 3.12.2 Estimation des valeurs extrêmes de surcote de pleine mer 3.12.3 Estimation des valeurs extrêmes de niveau d’eau au marégraphe 3.13 Marégraphe du Crouesty 3.13.1 Disponibilité et valeurs maximales observées 3.13.2 Estimation des valeurs extrêmes de surcote de pleine mer 3.13.3 Estimation des valeurs extrêmes de niveau d’eau au marégraphe 3.14 Marégraphe de Saint-Nazaire 3.14.1 Disponibilité et valeurs maximales observées 3.14.2 Estimation des valeurs extrêmes de surcote de pleine mer 3.14.3 Estimation des valeurs extrêmes de niveau d’eau au marégraphe 3.15 Marégraphe de la Pointe Saint-Gildas 3.15.1 Disponibilité et valeurs maximales observées 3.15.2 Estimation des valeurs extrêmes de surcote de pleine mer 3.15.3 Estimation des valeurs extrêmes de niveau d’eau au marégraphe 3.16 Marégraphe des Sables d’Olonne 3.16.1 Disponibilité et valeurs maximales observées 3.16.2 Estimation des valeurs extrêmes de surcote de pleine mer 3.16.3 Estimation des valeurs extrêmes de niveau d’eau au marégraphe 3.17 Marégraphe de La Rochelle 3.17.1 Disponibilité et valeurs maximales observées 3.17.2 Estimation des valeurs extrêmes de surcote de pleine mer 3.17.3 Estimation des valeurs extrêmes de niveau d’eau au marégraphe 3.18 Marégraphe de Port-Bloc 62 3.18.1 Disponibilité et valeurs maximales observées 3.18.2 Estimation des valeurs extrêmes de surcote de pleine mer 3.18.3 Estimation des valeurs extrêmes de niveau d’eau au marégraphe 3.19 Marégraphe d’Arcachon 3.19.1 Disponibilité et valeurs maximales observées 3.19.2 Estimation des valeurs extrêmes de surcote de pleine mer 3.19.3 Estimation des valeurs extrêmes de niveau d’eau au marégraphe 3.20 Marégraphe de Bayonne 3.20.1 Disponibilité et valeurs maximales observées 3.20.2 Estimation des valeurs extrêmes de surcote de pleine mer 3.20.3 Estimation des valeurs extrêmes de niveau d’eau au marégraphe 3.21 Marégraphe de Saint-Jean-de-Luz 3.21.1 Disponibilité et valeurs maximales observées 3.21.2 Estimation des valeurs extrêmes de surcote de pleine mer 3.21.3 Estimation des valeurs extrêmes de niveau d’eau au marégraphe 3.22 Marégraphe de Port-Vendres 3.22.1 Disponibilité et valeurs maximales observées 3.22.2 Estimation des valeurs extrêmes de niveau d’eau au marégraphe 3.23 Marégraphe de Sète 3.23.1 Disponibilité et valeurs maximales observées 3.23.2 Estimation des valeurs extrêmes de niveau d’eau au marégraphe 3.24 Marégraphe de Marseille 3.24.1 Estimation des valeurs extrêmes de niveau d’eau au marégraphe 3.25 Marégraphe de Toulon 3.25.1 Disponibilité et valeurs maximales observées 3.25.2 Estimation des valeurs extrêmes de niveau d’eau au marégraphe 3.26 Marégraphe de Nice 3.26.1 Disponibilité et valeurs maximales observées 3.26.2 Estimation des valeurs extrêmes de niveau d’eau au marégraphe 3.27 Marégraphe de Monaco 3.27.1 Disponibilité et valeurs maximales observées 3.27.2 Estimation des valeurs extrêmes de niveau d’eau au marégraphe 3.28 Marégraphe d’Ajaccio 3.28.1 Disponibilité et valeurs maximales observées 3.28.2 Estimation des valeurs extrêmes de niveau d’eau au marégraphe Annexe 1 : Outils de calcul et données utilisées 1. Outils de calcul utilisés 2. Origine des données utilisées 2.1 Les prédictions de niveau de marée 2.2 Les observations de niveaux d’eau Annexe 2 : Estimation de l’eustatisme et de l’isostasie Ports en mer du Nord, Manche et Atlantique Méditerranée Annexe 3 : Analyse de sensibilité du critère d’indépendance des surcotes de pleine mer Annexe 4 : Données REFMAR aux marégraphes de référence en Méditerranée lors des principales tempêtes
  125. Edition (Ceremadoc) Systèmes houlomoteurs bords à quai : Guide de conception en phase avant-projet

    Ce guide présente les enjeux et intérêts des dispositifs pour les aménageurs. Il décrit d’abord les quatre familles de dispositifs (système à franchissement, colonne d’eau oscillante, batteur oscillant, flotteur pilonnant). Il dresse ensuite une liste de sites potentiels en France métropolitaine avec leurs caractéristiques, en approfondissant l’analyse pour quelques sites. Pour chaque famille de dispositif, une estimation de la production est donnée, le dimensionnement du convertisseur et de la structure est produit à travers notamment une analyse de la survivabilité. Une évaluation coût-bénéfice permet enfin de déterminer le coût de l’énergie pour les quatre familles sur le site particulier de Saint-Jean-de-Luz. La filière des génératrices houlomotrices étant encore aujourd’hui au stade de développement avec seulement quelques prototypes en fonctionnement en conditions réelles, les méthodes utilisées dans tous les compartiments de l’étude sont issues de la recherche et sont elles-mêmes en constante évolution ; elles peuvent donc à ce stade comporter des incertitudes importantes. Il conviendra donc d’en tenir compte et de réserver l’usage de ce guide au stade de l’avant-projet ou de l’étude de faisabilité. Introduction Premier chapitre - Enjeux et intérêts des systèmes houlomoteurs bord à quai pour les aménageurs 1 Qu’est-ce qu’un système houlomoteur bord à quai ? 2 La production électrique 3 Rôle dans la protection portuaire ou côtière et dans l’adaptation au changement climatique 4 Une contribution à la transition écologique pour la croissance verte 5 Développement d’une filière industrielle locale innovante 6 Estimation de rentabilité 7 Les différents systèmes de récupération de l’énergie de la houle bord à quai 8 Exemples de réalisation Deuxième chapitre - Considérations pour l’identification des sites propices à l’installation de systèmes houlomoteurs bord à quai 1 Estimation de la puissance récupérée 2 Évaluation de potentiels houlomoteurs sur le littoral français 3 Considérations géotechniques 4 Enjeux environnementaux et réglementations associées 5 Raccordement et stockage 6 Références bibliographiques Troisième chapitre - Évaluation des différents concepts 1 Les différents concepts 2 Estimation de production 3 Dimensionnement des WEC : Eléments de méthodologie et exemples d’application 4 Effets sur les ouvrages porteurs 5 Impact hydrosédimentaire 6 Références bibliographiques Quatrième chapitre - Évaluation coût-bénéfice 1 Choix et optimisation du dispositif de récupération de l’énergie de la houle 2 Coûts de construction 3 Coûts de production 4 Références bibliographiques Conclusion
  126. Edition (Ceremadoc) Étude des systèmes de protection contre les submersions marines

    La tempête Xynthia, qui a frappé les côtes françaises le 28 février 2010 a provoqué la submersion de vastes territoires, malgré la présence d’ouvrages de défense. Cette catastrophe a mis en évidence la nécessité de mieux étudier le comportement des systèmes de protection contre les submersions marines, en choisissant une échelle géographique adaptée et en intégrant la cinématique des événements. Le travail de recherche engagé sur le fonctionnement et les défaillances de ces systèmes a conduit à des avancées significatives sur le plan de la connaissance des mécanismes en jeu et des stratégies et des méthodes dédiées à leur analyse et leur représentation. La méthodologie développée, éprouvée sur quatre sites submergés lors de Xynthia (Loix, Les Boucholeurs et Boyardville en Charente-Maritime, Batz-sur-mer en Loire-Atlantique), a vocation à guider le diagnostic des sites sujets à submersion marine, depuis le lancement des premières investigations jusqu’à la restitution formelle des analyses. Préface | Résumé | Abstract | Présentation générale | Contexte | Objectif | Lectorat ciblé | Domaines de compétences mobilisés | Sélection de quatre sites pour les études de cas | Protocole d’élaboration de la méthodologie | Organisation du document I – Méthodologie 1 Cadre conceptuel 1.1 Concepts pour l’analyse géographique 1.1.1 Système de protection 1.1.2 Casier hydraulique 1.1.3 Modèle « source-transfert-cible » 1.2 Phénomène naturel, événement, aléa, enjeux et vulnérabilité 1.2.1 Phénomène naturel initiateur 1.2.2 Événement et scénario d’événements 1.2.3 Aléa 1.2.4 Enjeux 1.2.5 Vulnérabilité 1.3 Risque : caractérisation, évolution, acceptabilité et perception 1.3.1 Caractérisation du risque dans le cadre d’une analyse 1.3.2 Évolution du risque 1.3.3 Acceptabilité et perception du risque 1.4 Politiques et mesures de prévention du risque 1.4.1 Politiques de prévention du risque 1.4.2 Mesures de prévention du risque et leurs effets 1.4.3 Stratégie de gestion du risque 1.4.4 Organisation, rôles et responsabilités 2 Systèmes de protection – présentation à l’échelle globale 2.1 Analyse des phénomènes naturels à l’origine des submersions 2.2 Fonction de protection et objectifs de performance d’un système 2.2.1 Détermination des phénomènes naturels de référence 2.2.2 Caractérisation de la performance d’un système vis-à-vis des phénomènes naturels 2.3 Fonctionnement, dysfonctionnement, maintenance et gestion 2.3.1 Modes de fonctionnement d’un système de protection 2.3.2 Dysfonctionnements d’un système de protection 2.3.3 Maintenance et gestion 2.4 Fonctions de défense contre les entrées d’eau 2.4.1 Phénomènes hydrauliques affectant la ligne de défense 2.4.2 Fonctionnement d’ensemble de la ligne de défense 2.4.3 Défaillances couramment observées 2.5 Fonctions de gestion de l’eau 2.5.1 Phénomènes hydrauliques déterminants 2.5.2 Fonctionnement d’ensemble 2.5.3 Défaillances couramment observées 3 Systèmes de protection – présentation à l’échelle des structures 3.1 Structures de défense 3.1.1 Formations naturelles ou partiellement anthropisées 3.1.2 Digues 3.1.3 Perrés 3.1.4 Murs et ouvrages de soutènement 3.1.5 Épis 3.1.6 Brise-lames 3.2 Dispositifs de gestion de l’eau 3.2.1 Drains 3.2.2 Canaux et fossés 3.2.3 Canalisations à section fermée 3.2.4 Aires de stockage ou d’expansion 3.2.5 Clapets, vannes et écluses 3.2.6 Dispositifs de pompage 3.3 Effets de l’évolution des composants sur le système 3.3.1 Évolution des dispositifs de défense et effets sur le système 3.3.2 Évolution des dispositifs intérieurs et effets sur le système 4 Stratégies d’étude et méthodes d’analyse 4.1 Contexte opérationnel de l’étude des systèmes 4.2 Stratégie et organisation de la conduite d’étude 4.3 Méthodes d’analyse 4.3.1 Arbre des défaillances 4.3.2 Arbre des événements 4.3.3 Logigramme de type « nœud papillon » 4.4 Prolongements possibles des analyses 5 Investigation et modélisation 5.1 Observation de l’événement météorologique 5.2 Observation des phénomènes en mer 5.2.1 Observation des niveaux marins 5.2.2 Observation des états de mer et des courants 5.3 Observation du comportement du système 5.3.1 Images satellitaires 5.3.2 Photographies aériennes 5.3.3 Les modèles numériques de terrain 5.3.4 Investigations spécifiques aux ouvrages et autres structures 5.3.5 Exploitation des laisses de mer 5.4 Techniques de modélisation hydraulique 5.4.1 Analyse et modélisation de l’inondation 5.4.2 Modélisation du comportement des structures 5.5 Incertitudes et précautions d’usage 5.5.1 Incertitudes sur les observations 5.5.2 Incertitudes liées à la modélisation ANNEXE A Recommandations pour la rédaction des analyses de siteIntroduction1.Cadrage de l’analyse 1.1.Description générale du site 1.2.Analyse des enjeux 1.2.1.Recensement des enjeux 1.2.2.Identification des enjeux centraux de l’analyse 1.3.Aléa(s) de référence et objectifs de protection 1.4.Données disponibles pour l’analyse 1.5.Stratégie d’analyse 2.Définition du (ou des) système(s) de protection 2.1.Délimitation du (ou des) système(s) de protection 2.1.1.Topographie de la zone d’étude 2.1.2.Positionnement des dispositifs de protection 2.1.3.Conclusion sur le(s) système(s) à étudier 2.2.Schématisation du système de protection 2.2.1.Représentation des contours du système et des zones d’enjeux 2.2.2.Représentation des casiers hydrauliques et des dispositifs intérieurs 2.2.3.Schéma de synthèse 2.3.Logigramme du système de protection 3.Fonctionnement global du système au cours de l’événement 3.1.Conditions hydrauliques extérieures 3.2.Comportement du système au cours de l’événement 3.3.Étude hydraulique globale 3.4.Analyse optionnelle sur les effets des vagues 4.Description des événements (approche détaillée) 4.1.Description du fonctionnement des casiers 1 à m 4.1.1.Casier 1 4.1.2.Casier i 4.1.3.Casier m 4.2.Description du fonctionnement des structures types et des structures particulières (défense et gestion des eaux) 4.2.1.Structure type ayant une fonction de défense 4.2.2.Structure type ayant une fonction de gestion des eaux 4.2.3.Structure type j 4.2.4.Structure particulière p 5.Synthèse et conclusion 5.1.Synthèse 5.2.Conclusion ANNEXE B : Recommandations sur la production cartographique ANNEXE C : Références bibliographiques II – Études de cas Sites étudiés Note introductive aux études de cas
  127. Edition (Ceremadoc) Démarche pour la modernisation des méthodes d’exploitation des ouvrages de navigation

    Les démarches de modernisation sont courantes et a priori simples d’approche, elles ne sont cependant que rarement formalisées, en particulier dans leur partie préparatoire. Pourtant, la définition des objectifs et des performances visés conditionnent leur succès. L’objet du guide « Démarche pour la modernisation des méthodes d’exploitation des ouvrages de navigation » consiste à proposer une démarche rationnelle exhaustive de modernisation par une approche fonctionnelle. Celle-ci s’appuie sur l’expérience acquise au CETMEF puis à la DTecEMF du Cerema. Elle se compose de phases successives partant de l’expression des besoins et de l’analyse de l’existant. Elle vise in fine à une modernisation, qui répond aux besoins des différents acteurs, qui est adaptée aux contraintes connues et qui permet de s’assurer que l’ensemble des enjeux sont bien pris en compte. Le guide expose l’ensemble de la démarche à l’attention de tout gestionnaire ayant pour projet la modernisation d’un secteur de voies navigables. Il complète d’autres outils et publications traitant de points spécifiques non abordés ici, comme l’analyse de risque, les modes de marche et d’arrêt, les fonctionnements dégradés, etc. 1 Analyse de l’existant 1.1 Les caractéristiques générales du secteur concerné et de ses ouvrages 1.2 Les modes d’exploitation et les missions assurées par les agents 1.3 L’état mécanique des ouvrages (génie civil et structures) 1.3.1 Pré-diagnostic du secteur 1.3.2 Description et analyse des systèmes techniques existants 2 Définition des objectifs de la modernisation 2.1 Les objectifs d’exploitation 2.2 Les objectifs d’entretien et de maintenance 2.3 Les contraintes 3 Choix organisationnels et techniques 3.1 La documentation technique de référence 3.1.1 Bibliographie 3.2 Le recours aux experts et l’utilisation des retours d’expériences 3.3 Les méthodes d’exploitation à envisager 3.3.1 Techniques de manœuvre 3.3.2 Modes d’exploitation 3.4 Les choix organisationnels et techniques 4 Phases de réalisation 4.1 Établissement du programme 4.2 Organisation du projet 4.3 Rédaction du DCE 4.4 Publication, analyse des offres, choix du ou des prestataires 4.5 Suivi des travaux, tests et recettes 5 Suivi de l’exploitation et de la maintenanceAnnexes Annexe I : Estimation des moyens humains nécessaires à l’exploitation et la maintenance suivant le mode d’exploitation Annexe II : Estimation des moyens humains nécessaires à l’exploitation et la maintenance suivant le mode d’exploitation : Précision pour les secteurs automatisés Fonctionnement d’un secteur automatisé Compétences nécessaires Annexe III : Estimation des moyens humains nécessaires à l’exploitation et la maintenance suivant le mode d’exploitation. Précision pour les secteurs en accompagnement Annexe IV : Actions à réaliser lors d’un pré-diagnostic Annexe V : Bibliographie Annexe VI : Glossaire
  128. Edition (Ceremadoc) Estimation du wave set-up : Formules empiriques et analytiques

    En première approche l’utilisation des formules de calcul empirique et analytique du wave set-up est traditionnellement privilégiée. Ce document est un outil d’aide à la décision quant au choix d’une formule pour un domaine d’application particulier et selon un critère conservatif. En conclusion, des propositions sont faites dans un cadre général. 1. Introduction 2. Influence des vagues sur le niveau d’eau 2.1 Variations statiques et dynamiques du niveau d’eau 2.2 Les différentes appellations du niveau d’eau 2.2.1 Le niveau d’eau au repos 2.2.2 Le niveau d’eau statique 2.2.3 Le niveau d’eau dynamique 2.3 Conditions de formation du wave set-up 3. Théorie 3.1 Contrainte de radiation 3.1.1 Formule générale 3.1.2 En grande profondeur 3.1.3 En profondeur finie 3.1.4 En faible profondeur 3.2 Wave set-down et wave set-up 3.2.1 Variations du niveau d’eau statique 3.2.2 Wave set-down 3.2.3 Wave set-up 4. Modélisation du wave set-up 4.1 Modèles empiriques et paramétriques 4.1.1 Méthodes de mesure 4.1.2 Types de Capteurs 4.1.3 Conditions de mesure 4.1.4 Grandeurs caractéristiques de référence 4.2 Modèles numériques 4.3 Modèles physiques 5. Calculs empiriques et analytiques du wave set-up 5.1 Comparaison 5.2 Comportement général 5.3 Variabilité des mesures 5.4 Limites 5.4.1 Protocoles de mesure 5.4.2 Variables d’analyse 5.4.3 Conditions de mesure 5.5 Choix d’une formule de calcul 6. Conclusion 7. Références Annexe-Synthèse des principales formules empiriques et analytiques utilisées pour l’estimation du wave set-up
  129. Edition (Ceremadoc) Études hydrauliques maritimes : Guide à destination des maîtres d'ouvrage

    Ce guide est composé de deux parties distinctes : la première partie définit et décrit les principales données nécessaires et les phénomènes physiques impliqués en mer et sur le littoral : topographie et bathymétrie, sédimentologie, pression atmosphérique et vent, niveau marin, états de mer, courants marins ou océaniques. Cette partie expose également leur mode d’observations et les sources de données associées. la seconde partie présente dans des sections distinctes et indépendantes les principaux types d’études hydrauliques réalisées en milieu maritime pour lesquels une modélisation pourra être envisagée. Sept types d’études y sont décrits et sont listés ci-dessous : étude de courantologie, étude de propagation de houle du large à la côte, étude d’agitation portuaire, étude de dimensionnement d’ouvrage, étude de submersion marine, études hydro-sédimentaires littorales, études hydro-sédimentaires côtières et estuariennes associées aux études de transport de polluants et dispersion de sédiments. Considérations générales sur les modélisations hydrauliques 1. Les types de modélisation 2. La définition du besoin 3. Recommandations pour la passation des marchés Données et phénomènes physiques à prendre en compte 1. Topographie et bathymétrie 2. Sédimentologie 3. Pression atmosphérique et vent 4. Niveau marin 5. États de mer 6. Courants marins ou océaniques Principales études hydrauliques maritimes 1. Étude de courantologie 2. Étude de propagation de houle du large à la côte 3. Étude d’agitation portuaire 4. Étude de dimensionnement hydraulique 5. Étude de submersion marine 6. Étude hydrosédimentaire littorale 7. Étude hydrosédimentaire côtière et estuarienne et étude de transport de polluants (qualité des eaux) et dispersion de sédiments Glossaire Sigles Bibliographie
  130. Edition (Ceremadoc) Énergie éolienne en mer : Retour d’expérience sur l’identification du potentiel

    Cet ouvrage apporte les informations utiles pour la poursuite d’exercices de concertation en s’appuyant notamment sur les questions clés qui se posent lors de la phase de lancement des projets et les réponses qui y ont été apportées jusqu’alors. Cet ouvrage destiné à l’ensemble des acteurs de la filière répond ainsi aux questions suivantes : Quelles sont les méthodes employées pour déterminer le potentiel technico-économique ? Comment sont délimités les secteurs d’exploitation de l’énergie éolienne offshore en fonction des caractéristiques du milieu marin (données de bathymétrie, de vent, de houle, de courant) ? Comment évolue le potentiel éolien en mer avec le développement des nouvelles technologies ? Quelles sont les étapes de lancement d’un projet et quels sont les rôles des acteurs impliqués ? Comment s’organise la concertation avec l’ensemble des acteurs pour sélectionner les meilleurs sites ? Quelles sont les nouvelles procédures pour le développement des prochains parcs commerciaux ? Introduction 1. Techniques et stratégie d’étude : les fondamentaux 1.1. Caractéristiques des projets éoliens en mer 1.1.1. Fonctionnement des éoliennes 1.1.2. Configuration et raccordement des projets 1.1.3. Technologies considérées 1.2. Principes d’évaluation du potentiel technico-économique 1.2.1. Zones d’études 1.2.2. Informations technico-économiques pour l’identification du potentiel 1.2.3. Paramètres physiques 1.3. Potentiel de production 2. Sources de données 2.1. Données de vent 2.2. Données de bathymétrie 2.3. Données relatives aux conditions météocéaniques 2.4. Données d’activités et d’usages 3. Analyse des données physiques 3.1. Vitesse du vent à 100 mètres 3.1.1. Moyenne des vitesses de vent 3.1.2. Roses des vents 3.1.3. Distributions et variations du vent pour quelques points 3.2. Bathymétrie 3.2.1. Projets éoliens posés 3.2.2. Projets éoliens flottants 3.3. Conditions météocéaniques 3.3.1. Marnage 3.3.2. Courants de marées 3.3.3. Hauteurs des vagues 4. Représentation du potentiel technico-économique 4.1. Principes pour la représentation du potentiel technico-économique 4.1.1. Principes retenus en 2014 4.1.2. Principes retenus en 2018 4.1.3. Bilan des éléments pris en compte 4.2. Application des principes de représentation pour des parcs commerciaux éoliens posés 4.3. Application des principes de représentation pour des fermes pilotes et des parcs commerciaux éoliens flottants 5. Délimitation des zones par un processus de concertation 5.1. Lancement d’un projet éolien en mer 5.1.1. Acteurs impliqués dans les projets éoliens en mer 5.1.2. Étapes pour le lancement d’un projet 5.2. Objectifs et déroulement des exercices de concertation pour la définition de zones potentielles 5.2.1. Objectifs des exercices de concertation 5.2.2. Déroulement des exercices de concertation 5.3. Zones retenues à l’issue de la concertation 5.3.1. Zones figurant dans des appels à projets lancés en 2015 et 2016 5.3.2. Zones pour préparer de nouveaux appels d’offres Acronymes Références Annexe A : Accès aux données Annexe B : Atlas du potentiel éolien en mer
  131. Edition (Ceremadoc) Accompagner la compétence GEMAPI - Gestion des milieux aquatiques et prévention des inondations - Fiche n°11 : Partage d'expérience de la collectivité territoriale département de la Seine-Maritime

    La compétence de gestion des milieux aquatiques et de prévention des inondations (GEMAPI) est obligatoire pour l’ensemble des établissements publics de coopération intercommunale à fiscalité propre (EPCI-FP) depuis le 1er janvier 2018. L’ambition est de rendre plus cohérente et efficace l’organisation territoriale dans le domaine de l’eau, pour relever les défis de restauration des milieux aquatiques et de réduction de la vulnérabilité aux inondations. Le législateur a par ailleurs donné la possibilité aux départements et aux régions qui étaient historiquement impliqués dans la GEMAPI de continuer à participer à ces missions au-delà du 1er janvier 2020, par voie de conventions obligatoirement signées avant cette date. Ainsi le département de la Seine-Maritime, actif pour la gestion de digues sur l’estuaire de la Seine depuis 1960 et sur le littoral depuis 1920, s’est positionné pour continuer à réaliser des missions historiques en lien avec la compétence GEMAPI.
  132. Edition (Ceremadoc) Enquête dragage 2017. Enquête nationale sur les dragages des ports maritimes

    Ces données sont transmises par les Services de Police des Eaux Littorales (SPEL) de l’ensemble des départements maritimes de France métropolitaine et d’outre-mer, ainsi que par les grands ports maritimes. Elles sont ensuite synthétisées par le Cerema et retranscrites dans des tableaux formatés adoptés par les lignes directrices internationales. La direction de l’eau et de la biodiversité au MTE transmet après validation ces résultats aux secrétariats des trois conventions. Le document expose donc les quantités de sédiments dragués en France, les différentes techniques utilisées ainsi que les différentes destinations de ces sédiments et leurs niveaux de contaminations au regard des seuils réglementaires existants.
  133. Edition (Ceremadoc) Enquête dragage 2017. Enquête nationale sur les dragages des ports maritimes

    Ces données sont transmises par les Services de Police des Eaux Littorales (SPEL) de l’ensemble des départements maritimes de France métropolitaine et d’outre-mer, ainsi que par les grands ports maritimes. Elles sont ensuite synthétisées par le Cerema et retranscrites dans des tableaux formatés adoptés par les lignes directrices internationales. La direction de l’eau et de la biodiversité au MTE transmet après validation ces résultats aux secrétariats des trois conventions. Le document expose donc les quantités de sédiments dragués en France, les différentes techniques utilisées ainsi que les différentes destinations de ces sédiments et leurs niveaux de contaminations au regard des seuils réglementaires existants.
  134. Edition (Ceremadoc) Accompagner la compétence GEMAPI - Gestion des milieux aquatiques et prévention des inondations - Fiche n°11 : Partage d'expérience de la collectivité territoriale département de la Seine-Maritime

    La compétence de gestion des milieux aquatiques et de prévention des inondations (GEMAPI) est obligatoire pour l’ensemble des établissements publics de coopération intercommunale à fiscalité propre (EPCI-FP) depuis le 1er janvier 2018. L’ambition est de rendre plus cohérente et efficace l’organisation territoriale dans le domaine de l’eau, pour relever les défis de restauration des milieux aquatiques et de réduction de la vulnérabilité aux inondations. Le législateur a par ailleurs donné la possibilité aux départements et aux régions qui étaient historiquement impliqués dans la GEMAPI de continuer à participer à ces missions au-delà du 1er janvier 2020, par voie de conventions obligatoirement signées avant cette date. Ainsi le département de la Seine-Maritime, actif pour la gestion de digues sur l’estuaire de la Seine depuis 1960 et sur le littoral depuis 1920, s’est positionné pour continuer à réaliser des missions historiques en lien avec la compétence GEMAPI.
  135. Edition (Ceremadoc) Énergie éolienne en mer : Retour d’expérience sur l’identification du potentiel

    Cet ouvrage apporte les informations utiles pour la poursuite d’exercices de concertation en s’appuyant notamment sur les questions clés qui se posent lors de la phase de lancement des projets et les réponses qui y ont été apportées jusqu’alors. Cet ouvrage destiné à l’ensemble des acteurs de la filière répond ainsi aux questions suivantes : Quelles sont les méthodes employées pour déterminer le potentiel technico-économique ? Comment sont délimités les secteurs d’exploitation de l’énergie éolienne offshore en fonction des caractéristiques du milieu marin (données de bathymétrie, de vent, de houle, de courant) ? Comment évolue le potentiel éolien en mer avec le développement des nouvelles technologies ? Quelles sont les étapes de lancement d’un projet et quels sont les rôles des acteurs impliqués ? Comment s’organise la concertation avec l’ensemble des acteurs pour sélectionner les meilleurs sites ? Quelles sont les nouvelles procédures pour le développement des prochains parcs commerciaux ? Introduction 1. Techniques et stratégie d’étude : les fondamentaux 1.1. Caractéristiques des projets éoliens en mer 1.1.1. Fonctionnement des éoliennes 1.1.2. Configuration et raccordement des projets 1.1.3. Technologies considérées 1.2. Principes d’évaluation du potentiel technico-économique 1.2.1. Zones d’études 1.2.2. Informations technico-économiques pour l’identification du potentiel 1.2.3. Paramètres physiques 1.3. Potentiel de production 2. Sources de données 2.1. Données de vent 2.2. Données de bathymétrie 2.3. Données relatives aux conditions météocéaniques 2.4. Données d’activités et d’usages 3. Analyse des données physiques 3.1. Vitesse du vent à 100 mètres 3.1.1. Moyenne des vitesses de vent 3.1.2. Roses des vents 3.1.3. Distributions et variations du vent pour quelques points 3.2. Bathymétrie 3.2.1. Projets éoliens posés 3.2.2. Projets éoliens flottants 3.3. Conditions météocéaniques 3.3.1. Marnage 3.3.2. Courants de marées 3.3.3. Hauteurs des vagues 4. Représentation du potentiel technico-économique 4.1. Principes pour la représentation du potentiel technico-économique 4.1.1. Principes retenus en 2014 4.1.2. Principes retenus en 2018 4.1.3. Bilan des éléments pris en compte 4.2. Application des principes de représentation pour des parcs commerciaux éoliens posés 4.3. Application des principes de représentation pour des fermes pilotes et des parcs commerciaux éoliens flottants 5. Délimitation des zones par un processus de concertation 5.1. Lancement d’un projet éolien en mer 5.1.1. Acteurs impliqués dans les projets éoliens en mer 5.1.2. Étapes pour le lancement d’un projet 5.2. Objectifs et déroulement des exercices de concertation pour la définition de zones potentielles 5.2.1. Objectifs des exercices de concertation 5.2.2. Déroulement des exercices de concertation 5.3. Zones retenues à l’issue de la concertation 5.3.1. Zones figurant dans des appels à projets lancés en 2015 et 2016 5.3.2. Zones pour préparer de nouveaux appels d’offres Acronymes Références Annexe A : Accès aux données Annexe B : Atlas du potentiel éolien en mer
  136. Edition (Ceremadoc) Études hydrauliques maritimes : Guide à destination des maîtres d'ouvrage

    Ce guide est composé de deux parties distinctes : la première partie définit et décrit les principales données nécessaires et les phénomènes physiques impliqués en mer et sur le littoral : topographie et bathymétrie, sédimentologie, pression atmosphérique et vent, niveau marin, états de mer, courants marins ou océaniques. Cette partie expose également leur mode d’observations et les sources de données associées. la seconde partie présente dans des sections distinctes et indépendantes les principaux types d’études hydrauliques réalisées en milieu maritime pour lesquels une modélisation pourra être envisagée. Sept types d’études y sont décrits et sont listés ci-dessous : étude de courantologie, étude de propagation de houle du large à la côte, étude d’agitation portuaire, étude de dimensionnement d’ouvrage, étude de submersion marine, études hydro-sédimentaires littorales, études hydro-sédimentaires côtières et estuariennes associées aux études de transport de polluants et dispersion de sédiments. Considérations générales sur les modélisations hydrauliques 1. Les types de modélisation 2. La définition du besoin 3. Recommandations pour la passation des marchés Données et phénomènes physiques à prendre en compte 1. Topographie et bathymétrie 2. Sédimentologie 3. Pression atmosphérique et vent 4. Niveau marin 5. États de mer 6. Courants marins ou océaniques Principales études hydrauliques maritimes 1. Étude de courantologie 2. Étude de propagation de houle du large à la côte 3. Étude d’agitation portuaire 4. Étude de dimensionnement hydraulique 5. Étude de submersion marine 6. Étude hydrosédimentaire littorale 7. Étude hydrosédimentaire côtière et estuarienne et étude de transport de polluants (qualité des eaux) et dispersion de sédiments Glossaire Sigles Bibliographie
  137. Edition (Ceremadoc) Estimation du wave set-up : Formules empiriques et analytiques

    En première approche l’utilisation des formules de calcul empirique et analytique du wave set-up est traditionnellement privilégiée. Ce document est un outil d’aide à la décision quant au choix d’une formule pour un domaine d’application particulier et selon un critère conservatif. En conclusion, des propositions sont faites dans un cadre général. 1. Introduction 2. Influence des vagues sur le niveau d’eau 2.1 Variations statiques et dynamiques du niveau d’eau 2.2 Les différentes appellations du niveau d’eau 2.2.1 Le niveau d’eau au repos 2.2.2 Le niveau d’eau statique 2.2.3 Le niveau d’eau dynamique 2.3 Conditions de formation du wave set-up 3. Théorie 3.1 Contrainte de radiation 3.1.1 Formule générale 3.1.2 En grande profondeur 3.1.3 En profondeur finie 3.1.4 En faible profondeur 3.2 Wave set-down et wave set-up 3.2.1 Variations du niveau d’eau statique 3.2.2 Wave set-down 3.2.3 Wave set-up 4. Modélisation du wave set-up 4.1 Modèles empiriques et paramétriques 4.1.1 Méthodes de mesure 4.1.2 Types de Capteurs 4.1.3 Conditions de mesure 4.1.4 Grandeurs caractéristiques de référence 4.2 Modèles numériques 4.3 Modèles physiques 5. Calculs empiriques et analytiques du wave set-up 5.1 Comparaison 5.2 Comportement général 5.3 Variabilité des mesures 5.4 Limites 5.4.1 Protocoles de mesure 5.4.2 Variables d’analyse 5.4.3 Conditions de mesure 5.5 Choix d’une formule de calcul 6. Conclusion 7. Références Annexe-Synthèse des principales formules empiriques et analytiques utilisées pour l’estimation du wave set-up
  138. Edition (Ceremadoc) Démarche pour la modernisation des méthodes d’exploitation des ouvrages de navigation

    Les démarches de modernisation sont courantes et a priori simples d’approche, elles ne sont cependant que rarement formalisées, en particulier dans leur partie préparatoire. Pourtant, la définition des objectifs et des performances visés conditionnent leur succès. L’objet du guide « Démarche pour la modernisation des méthodes d’exploitation des ouvrages de navigation » consiste à proposer une démarche rationnelle exhaustive de modernisation par une approche fonctionnelle. Celle-ci s’appuie sur l’expérience acquise au CETMEF puis à la DTecEMF du Cerema. Elle se compose de phases successives partant de l’expression des besoins et de l’analyse de l’existant. Elle vise in fine à une modernisation, qui répond aux besoins des différents acteurs, qui est adaptée aux contraintes connues et qui permet de s’assurer que l’ensemble des enjeux sont bien pris en compte. Le guide expose l’ensemble de la démarche à l’attention de tout gestionnaire ayant pour projet la modernisation d’un secteur de voies navigables. Il complète d’autres outils et publications traitant de points spécifiques non abordés ici, comme l’analyse de risque, les modes de marche et d’arrêt, les fonctionnements dégradés, etc. 1 Analyse de l’existant 1.1 Les caractéristiques générales du secteur concerné et de ses ouvrages 1.2 Les modes d’exploitation et les missions assurées par les agents 1.3 L’état mécanique des ouvrages (génie civil et structures) 1.3.1 Pré-diagnostic du secteur 1.3.2 Description et analyse des systèmes techniques existants 2 Définition des objectifs de la modernisation 2.1 Les objectifs d’exploitation 2.2 Les objectifs d’entretien et de maintenance 2.3 Les contraintes 3 Choix organisationnels et techniques 3.1 La documentation technique de référence 3.1.1 Bibliographie 3.2 Le recours aux experts et l’utilisation des retours d’expériences 3.3 Les méthodes d’exploitation à envisager 3.3.1 Techniques de manœuvre 3.3.2 Modes d’exploitation 3.4 Les choix organisationnels et techniques 4 Phases de réalisation 4.1 Établissement du programme 4.2 Organisation du projet 4.3 Rédaction du DCE 4.4 Publication, analyse des offres, choix du ou des prestataires 4.5 Suivi des travaux, tests et recettes 5 Suivi de l’exploitation et de la maintenanceAnnexes Annexe I : Estimation des moyens humains nécessaires à l’exploitation et la maintenance suivant le mode d’exploitation Annexe II : Estimation des moyens humains nécessaires à l’exploitation et la maintenance suivant le mode d’exploitation : Précision pour les secteurs automatisés Fonctionnement d’un secteur automatisé Compétences nécessaires Annexe III : Estimation des moyens humains nécessaires à l’exploitation et la maintenance suivant le mode d’exploitation. Précision pour les secteurs en accompagnement Annexe IV : Actions à réaliser lors d’un pré-diagnostic Annexe V : Bibliographie Annexe VI : Glossaire
  139. Edition (Ceremadoc) Assises du Port du futur 2022. Accélérer la transition écologique : la solution face aux crises ?

    Depuis 2011 les Assises Port du futur rassemblent les décideurs, les responsables des ports, les industriels, les opérateurs de services de transport et les chercheurs pour travailler et échanger sur les enjeux portuaires d’aujourd’hui et de demain. L’édition 2022 organisée à Lorient (56) a permis de faire le bilan des crises successives – Covid-19 et guerre russo-ukrainienne – qui ont bouleversé le monde et les ports français depuis 2020. Entre agilité et résilience, transitaires, compagnies maritimes, chargeurs et chercheurs partagent leurs expériences et livrent des enseignements pour s’engager durablement dans la transition écologique.
  140. Edition (Ceremadoc) Territoires littoraux et changement climatique : Séminaire sur la gestion intégrée du littoral 2021

    L'attractivité des territoires littoraux ne se dément pas malgré des risques naturels importants, amenés à être amplifiés par le changement climatique. La loi Climat et résilience d'août 2021 a traduit une prise de conscience collective de la nécessité de gérer, d'anticiper au mieux ces phénomènes et les collectivités territoriales expriment aujourd'hui le besoin d'être accompagnées pour relever les défis qui les attendent. Dès 2019, le Cerema et l'Association nationale des élus du littoral (ANEL) se sont mobilisés pour aider les collectivités dans le développement d'une gestion globale, anticipée, adaptée et préventive. Cette démarche dénommée Appel à partenaires Gestion intégrée du littoral rassemble dix-sept territoires volontaires. Première production, le webinaire Territoires littoraux et changement climatique du 1er décembre 2021 a permis d'illustrer les problématiques et de partager l'état de l'art des connaissances scientifiques.
  141. Edition (Ceremadoc) Territoires littoraux, le défi des transitions : Séminaire sur la gestion intégrée du littoral 2023

    Dès 2019, le Cerema et l'Association Nationale des Élus des Littoraux (ANEL) se sont mobilisés pour aider les collectivités dans le développement d'une gestion globale et préventive du littoral. Cette démarche dénommée "Appel à partenaires Gestion intégrée du littoral" rassemble dix-sept territoires volontaires. Point d'étape intermédiaire, le séminaire "Premiers enseignements issus des études de l’appel à partenaires ANEL-Cerema" du 13 juin 2023 a permis d’échanger sur les expérimentations en cours, de partager les retours d’expérience des territoires dont les études sont terminées et de dégager des pistes d’enseignements communes avec d’autres initiatives en France et dans le monde.
  142. Edition (Ceremadoc) Étude de dangers de systèmes d'endiguement - Concepts et principes de réalisation des études

    Les systèmes d'endiguement font l'objet d'une réglementation spécifique en raison des risques qu'ils génèrent, notamment pour la sécurité des riverains, de leurs effets potentiellement indésirables sur l'environnement et de la nécessaire justification de la protection qu'ils doivent apporter contre les inondations. Ils sont ainsi soumis à des dispositions réglementaires particulières dont la réalisation d'études de dangers. Ce document traite du contenu et de l'élaboration des études de dangers appliquées aux systèmes d'endiguement ayant une vocation de défense contre les inondations fluviales et maritimes. Il a pour objectifs de présenter aux gestionnaires de systèmes d'endiguement : le cadre conceptuel, réglementaire et technique de ces études ; leurs principes et modalités de réalisation ; les outils disponibles et mobilisables pour leur élaboration ; enfin les produits générés par la réalisation de telles études.
  143. Edition (Ceremadoc) Étude de dangers de systèmes d'endiguement - Concepts et principes de réalisation des études

    Les systèmes d'endiguement font l'objet d'une réglementation spécifique en raison des risques qu'ils génèrent, notamment pour la sécurité des riverains, de leurs effets potentiellement indésirables sur l'environnement et de la nécessaire justification de la protection qu'ils doivent apporter contre les inondations. Ils sont ainsi soumis à des dispositions réglementaires particulières dont la réalisation d'études de dangers. Ce document traite du contenu et de l'élaboration des études de dangers appliquées aux systèmes d'endiguement ayant une vocation de défense contre les inondations fluviales et maritimes. Il a pour objectifs de présenter aux gestionnaires de systèmes d'endiguement : le cadre conceptuel, réglementaire et technique de ces études ; leurs principes et modalités de réalisation ; les outils disponibles et mobilisables pour leur élaboration ; enfin les produits générés par la réalisation de telles études.
  144. Edition (Ceremadoc) Territoires littoraux, le défi des transitions : Séminaire sur la gestion intégrée du littoral 2023

    Dès 2019, le Cerema et l'Association Nationale des Élus des Littoraux (ANEL) se sont mobilisés pour aider les collectivités dans le développement d'une gestion globale et préventive du littoral. Cette démarche dénommée "Appel à partenaires Gestion intégrée du littoral" rassemble dix-sept territoires volontaires. Point d'étape intermédiaire, le séminaire "Premiers enseignements issus des études de l’appel à partenaires ANEL-Cerema" du 13 juin 2023 a permis d’échanger sur les expérimentations en cours, de partager les retours d’expérience des territoires dont les études sont terminées et de dégager des pistes d’enseignements communes avec d’autres initiatives en France et dans le monde.
  145. Edition (Ceremadoc) Territoires littoraux et changement climatique : Séminaire sur la gestion intégrée du littoral 2021

    L'attractivité des territoires littoraux ne se dément pas malgré des risques naturels importants, amenés à être amplifiés par le changement climatique. La loi Climat et résilience d'août 2021 a traduit une prise de conscience collective de la nécessité de gérer, d'anticiper au mieux ces phénomènes et les collectivités territoriales expriment aujourd'hui le besoin d'être accompagnées pour relever les défis qui les attendent. Dès 2019, le Cerema et l'Association nationale des élus du littoral (ANEL) se sont mobilisés pour aider les collectivités dans le développement d'une gestion globale, anticipée, adaptée et préventive. Cette démarche dénommée Appel à partenaires Gestion intégrée du littoral rassemble dix-sept territoires volontaires. Première production, le webinaire Territoires littoraux et changement climatique du 1er décembre 2021 a permis d'illustrer les problématiques et de partager l'état de l'art des connaissances scientifiques.
  146. Edition (Ceremadoc) Assises du Port du futur 2022. Accélérer la transition écologique : la solution face aux crises ?

    Depuis 2011 les Assises Port du futur rassemblent les décideurs, les responsables des ports, les industriels, les opérateurs de services de transport et les chercheurs pour travailler et échanger sur les enjeux portuaires d’aujourd’hui et de demain. L’édition 2022 organisée à Lorient (56) a permis de faire le bilan des crises successives – Covid-19 et guerre russo-ukrainienne – qui ont bouleversé le monde et les ports français depuis 2020. Entre agilité et résilience, transitaires, compagnies maritimes, chargeurs et chercheurs partagent leurs expériences et livrent des enseignements pour s’engager durablement dans la transition écologique.
  147. Article (Ceremadoc) Une zone côtière et des estuaires très prisés mais sous pression

    La zone côtière, partout dans le monde, attire d’importantes populations. Aujourd’hui, environ 40 % de la population mondiale vit à moins de 100 kilomètres des côtes. Cette proportion devrait se maintenir d’ici 2050. Depuis l’Antiquité, la majorité des grandes métropoles sont côtières, et plus spécifiquement situées au niveau des estuaires.
  148. Article (Ceremadoc) Une zone côtière et des estuaires très prisés mais sous pression

    La zone côtière, partout dans le monde, attire d’importantes populations. Aujourd’hui, environ 40 % de la population mondiale vit à moins de 100 kilomètres des côtes. Cette proportion devrait se maintenir d’ici 2050. Depuis l’Antiquité, la majorité des grandes métropoles sont côtières, et plus spécifiquement situées au niveau des estuaires.
  149. Calendar event Favoriser les pollinisateurs sauvages en ville

    la LPO vous invite à participer à la 38ème rencontre du Club U2B coorganisée avec l'OPIE (Office Pour les Insectes et leur Environnement) sur la thématique : Favoriser les pollinisateurs sauvages en ville Jeudi 20 juin 2024 Pavillons 1 du Parc Floral de Paris, route de la Pyramide, 75012 Paris 9 h 30 - 17 h Déjeuner sur place Les pollinisateurs, indispensables à la reproduction de 80% des espèces de plantes à fleurs, font face à un déclin alarmant qui nécessite notre engagement collectif. Agir en faveur des pollinisateurs, c'est agir pour l'ensemble du vivant. L’abeille mellifère est devenue un symbole, si bien qu’entreprises et collectivités installent souvent des ruches sur les toits en pensant préserver les pollinisateurs. C'est omettre que la France compte environ 10 000 espèces de butineurs, qui participent à la pollinisation, et ont besoin de divers éléments du paysage pour boucler leur cycle de vie. Pour accueillir les insectes pollinisateurs, les actions vraiment efficaces sont celles qui leur offrent le gîte et le couvert : des lieux de reproduction et de vie en toute saison, ainsi que des ressources alimentaires diversifiées. Participer à cette journée d'échange sera l'occasion d'explorer des solutions pour accueillir les pollinisateurs sauvages en ville. Vous découvrirez que préserver ces insectes est aussi une opportunité pour adapter les espaces urbains aux changements climatiques, réaliser des économies dans la gestion des espaces de nature en ville, et répondre à une demande croissante de la société pour un avenir durable. Au programme : 9 h 30 : Accueil café 10 h - 12 h 30 : Présentations et retours d'expérience sur les solutions pour favoriser les pollinisateurs en ville 12 h 30 - 14 h : Buffet déjeuner 14 h - 17 h : Ateliers et sortie terrain "observation des pollinisateurs" Parmi les intervenants : Rémi Chabert, Chargé de mission pollinisateurs et mobilisation à Arthropologia Mathieu de Flores, Chargé de mission sciences participatives à l’OPIE Mylène Goux, Directrice de projet Approches environnementales intégrées au Cerema Tifenn Pedron, Chargée de mission Plan pollinisateurs à l'OPIE Yohan Tison, Écologue à la Ville de Lille
  150. Calendar event Faire revenir la biodiversité dans les quartiers prioritaires

    Le programme "Plus de nature dans mon quartier" fête ses 2 ans ! Allain Bougrain Dubourg, président de la LPO, vous invite à participer à la journée de restitution de ces 2 années d'expérimentation du programme. "Faire revenir la biodiversité dans les quartiers prioritaires" L'occasion de présenter les résultats et enseignements issus des 17 quartiers pilotes impliqués dans la démarche en 2022 et 2023. Engagée depuis de nombreuses années pour promouvoir la place de la nature en ville, la LPO s’est investie depuis 2 ans dans la renaturation des quartiers prioritaires de la politique de la ville avec ses habitants, à travers ce programme. Cette matinée d'échange et de conférences permettra de présenter les modalités d'action de la LPO dans les quartiers, de donner la parole aux acteurs et d'analyser les retours d'expérimentation en matière de participation des habitants et de restauration de la biodiversité (renaturation, aménagements favorables à la faune, plantations d'arbres etc.). En présence du Président de la LPO Allain Bougrain Dubourg, l'évènement accueillera des intervenants du ministère de la Ville, de l'Office Français e la Biodiversité, des chercheurs, formateurs mais aussi des équipes de la LPO qui ont conduit ce projet sur le terrain. Au programme : 8 h 30 : Accueil café 9 h - 9 h 30 : Ouverture par Allain Bougrain Dubourg 9 h 30 - 13 h: Présentations, mots des partenaires et tables rondes "Comment donner envie aux acteurs locaux d'agir en faveur de la nature dans les QPV? La Nature dans le quartier : témoignages et expérimentations 13 h : Echanges autour d'un buffet déjeunatoire Pour moins de déchets, pensez à amener votre ecocup !
  151. Calendar event How often should we observe our rivers? Progress towards satellite requirements to capture discharge dynamics.

    River discharge is widely recognized as one of the most crucial variables for improving our comprehension of hydrological processes because it integrates all upstream water cycle dynamics. A detailed understanding of the space-time variability of streamflow is vital to providing the accurate knowledge needed to support decision-making for water resources management and flood forecasting and mitigation for rivers around the world. The spatial coverage of gauges worldwide is limited and has been declining in recent years, with placement bias towards large rivers and developed regions. Data sharing constraints across political boundaries further constrain the availability of river observations for global research and decision-making. Much hope is being placed on remote sensing as a potential game-changer, including data from the recently launched SWOT mission. Yet, it remains unclear what temporal revisit, spatial sampling, spatial resolution, and variable of interest from satellites are best suited to capture discharge dynamics in rivers. We take you on a tour of the space-time propagation of water in rivers and provide insights on recent and ongoing efforts to reveal the type of observing capabilities that could lead to an accurate understanding and representation of water movement through Earth’s hydrographic networks. https://www.legos.omp.eu/event/how-often-should-we-observe-our-rivers-progress-towards-satellite-requirements-to-capture-discharge-dynamics/
  152. Calendar event La transition écologique fil vert des politiques locales : tous acteurs de nos territoires

    Communauté référente pour la transition écologique territoriale, COMETE compte aujourd’hui plus de 5.000 membres. Elle s’appuie sur son réseau de partenaires pour amplifier la transition écologique dans les territoires : accompagnement, cocréations et diffusion de méthodes, outils et ressources, mise en valeur de démarches inspirantes, diversité d'acteurs et d'expertises thématiques, transversalité, espace d'échange et de dialogue… La communauté organise, le 13 juin prochain, les Rencontres de la transition écologique dans les territoires, dans toute leur diversité, pour : RASSEMBLER la communauté et au-delà tous les acteurs territoriaux autour des enjeux de transition écologique VALORISER les actions inspirantes des territoires, prendre connaissance d'outils et de méthodes éprouvés COMMENT PASSER A L'ACTION ? La journée se déroulera en distanciel, de 9h30 à 16h30. Elle sera structurée autour de trois sujets majeurs : • Dépasser les tensions • Articuler les enjeux écologiques et les projets d’actions locaux • Favoriser la coopération des acteurs Elle s’articulera autour de temps de retours d’expérience et des moments d’échange, d'éclairages thématiques sur la transition écologique territoriale et d'une mise en perspective par de grands témoins - chercheurs et élus. Le programme détaillé sera prochainement disponible. Les Rencontres s’adressent à tous les acteurs territoriaux - collectivités et leurs groupements, acteurs du monde associatif et économique, acteurs de la sphère État. Au-delà des membres de COMETE, elles visent à déployer la mobilisation de nouveaux acteurs à l’échelle locale. Une page dédiée regroupant toutes les informations sur l'événement a été ouverte sur le site COMETE. Bloquez vos agendas dès à présent, inscrivez-vous aux Rencontres la transition écologique dans les territoires.
  153. Calendar event Surveillance satellitaire des mouvements du sol : deux wébinaires sur l'utilisation et l'interprétation des données EGMS.

    Grâce à l'observation de la Terre par satellite, le Service européen des mouvements du sol (EGMS) fournit des données gratuites et ouvertes sur mouvements du sols, avec une précision millimètrique sur l'ensemble du continent européen. Afin de faciliter l'utilisation des produits EGMS, l'Agence Européenne de l'Environnement organise deux webinaires consacrés à l'utilisation et à l'interprétation des données sur les mouvements du sol. Ces webinaires sont ouverts à tous. Chaque webinaire durera une heure et comprendra une session de questions-réponses en direct. Premier wébinaire (13 mai, 14h-15h) : comment utiliser les données EGMS dans vos propres projets, comment les traiter dans un système d'information géographique ? Second wébinaire (17 juin, 14h-15h) : comment visualiser et interpréter les données de l'EGMS ? Information et inscription depuis : https://land.copernicus.eu/en/events/learn-to-use-and-interpret-the-european-ground-motion-service-data L'ensemble des rapports liés à la validation indépendante du service EGMS, auxquels le BRGM a participé, est par ailleurs désormais disponible sur le site du CLMS : https://land.copernicus.eu/en/products/european-ground-motion-service?tab=main Enfin, vous pouvez sans attendre retrouver la série de wébinaires thématiques de l'AEE ainsi que le séminaire national organisés en 2023 autour de l'EGMS : https://www.applisat.fr/nouveautes/retour-sur-seminaire-sensibilisation-au-service-egms https://land.copernicus.eu/en/events/egms-a-general-introduction https://land.copernicus.eu/en/events/egms-and-geological-hazards https://land.copernicus.eu/en/events/egms-and-exploitation-of-natural-resources https://land.copernicus.eu/en/events/egms-urban-areas-and-infrastructure https://land.copernicus.eu/en/events/egms-and-climate-change-adaptation
  154. Calendar event Surveillance satellitaire des mouvements du sol : deux wébinaires sur l'utilisation et l'interprétation des données EGMS.

    Grâce à l'observation de la Terre par satellite, le Service européen des mouvements du sol (EGMS) fournit des données gratuites et ouvertes sur mouvements du sols, avec une précision millimètrique sur l'ensemble du continent européen. Afin de faciliter l'utilisation des produits EGMS, l'Agence Européenne de l'Environnement organise deux webinaires consacrés à l'utilisation et à l'interprétation des données sur les mouvements du sol. Ces webinaires sont ouverts à tous. Chaque webinaire durera une heure et comprendra une session de questions-réponses en direct. Premier wébinaire (13 mai, 14h-15h) : comment utiliser les données EGMS dans vos propres projets, comment les traiter dans un système d'information géographique ? Second wébinaire (17 juin, 14h-15h) : comment visualiser et interpréter les données de l'EGMS ? Information et inscription depuis : https://land.copernicus.eu/en/events/learn-to-use-and-interpret-the-european-ground-motion-service-data L'ensemble des rapports liés à la validation indépendante du service EGMS, auxquels le BRGM a participé, est par ailleurs désormais disponible sur le site du CLMS : https://land.copernicus.eu/en/products/european-ground-motion-service?tab=main Enfin, vous pouvez sans attendre retrouver la série de wébinaires thématiques de l'AEE ainsi que le séminaire national organisés en 2023 autour de l'EGMS : https://www.applisat.fr/nouveautes/retour-sur-seminaire-sensibilisation-au-service-egms https://land.copernicus.eu/en/events/egms-a-general-introduction https://land.copernicus.eu/en/events/egms-and-geological-hazards https://land.copernicus.eu/en/events/egms-and-exploitation-of-natural-resources https://land.copernicus.eu/en/events/egms-urban-areas-and-infrastructure https://land.copernicus.eu/en/events/egms-and-climate-change-adaptation
  155. Calendar event Webinaire renaturation en ville

    1) Présentation de Plus fraîche ma ville La start-up d'Etat Plus fraîche ma ville (https://plusfraichemaville.fr/) accompagne les agents et les élus de collectivités dans leurs choix de solutions de rafraîchissement urbain pérennes et durables. Ce service numérique public gratuit d'aide à la décision favorise un passage à l'action. Par Arnault Trac, responsable du déploiement et des partenariats 2) Intervention de l'OFB (Office Français de la Biodiversité) sur la méthodologie de projet de renaturation Présentation des outils proposés aux collectivités : - Connaître son territoire : l'Atlas de la biodiversité communale - Se faire accompagner pour passer à l'action : Territoire engagé pour la nature - Les solutions d'adaptation aux changements climatiques : un centre de ressources à votre disposition Par Mathilde Maïsano, chargée de mission "Territoires engagés pour la nature" à l'OFB 3) Présentation du Plan Canopée de Grenobles Alpes Métropole Délibéré en février 2022, ce plan vise à augmenter la surface de canopée du territoire urbain à l'horizon 2030 et 2050. Présentation des principales actions mises en œuvre dans le cadre de cette politique : renaturation des espaces urbains, protection réglementaire des arbres, études sur les essences adaptées aux changements climatiques, animation de groupes de travail en interne et avec les communes de la métropole, ... Par Martin Bé, chargé de mission Plan Canopée - Grenoble Alpes Métropole 4) Présentation d'un cas concret : la Place aux enfants, à Grenoble De larges espaces végétalisés ont été créés, accueillant 44 nouveaux arbres et laissant s'infiltrer les eaux pluviales. Des aménagements ludiques permettent de réinvestir l'espace en créant un lieu à multiples usages. Par Line Lemarchand, cheffe de projet au Bureau d'Études Aménagement des Espaces Publics, service commun de Grenoble Alpes Métropole et des villes de Grenoble et Meylan
  156. Calendar event Pichauris fête la nature

    Afin de célébrer la nature autour d’ateliers, de sorties pédagogiques, de rencontres avec des spécialistes de la protection de la nature et de la découverte des espaces naturels du Département des Bouches du Rhône, le département 13 vous invite pour la première saison de : “Pichauris Fête la Nature”, le samedi 18 mai 2024 de 9h30 à 18h00, au Parc départemental de Pichauris, Route des termes – 13190 Allauch
  157. Calendar event Démystifier les technologies spatiales pour les villes - Gestion de la mobilité urbaine

    Participez à la troisième édition d'une série de webinaires organisée par le projet européen SPACE4Cities. Inscrivez-vous ici ! La mobilité urbaine est une compétence-clé de toute ville et de toute région, car elle permet aux personnes et aux marchandises de se mouvoir dans la ville et détermine l'efficacité de l'accès aux services pour les habitants. La mobilité urbaine englobe tous les modes de transport et comprend généralement la marche, le vélo, les transports publics, les services de mobilité partagée et la logistique. Agenda 13:00-13:05: Welcome and intro to webinar series (Alex Gluhak, Open and Agile Smart Cities) 13:05-13:15: “Simplifying the design of low emission zones: A case study from Cartagena”, John David Babyack Hernández, Libellium 13:15-13:30: “Understanding car use and parking across Nordic Cities”, Johan Høgåsen-Hallesby, Beta Mobility 13:30-13:45: “Designing better and safer cycling infrastructure in cities ”, Luca Leomanni, Social Tech Projects 13:45-14:15: Panel discussion with presenters, Q&A and wrap-up (Moderated by Alex Gluhak, Open and Agile Smart Cities) Cette session présente des études de cas et des exemples de la manière dont les villes tirent parti de solutions basées sur les technologies satellitaires, l'intelligence artificielle et d'autres avancées pour garantir la fourniture d'infrastructures et de services de mobilité adéquats. Les sujets abordés comprennent la conception de zones à faibles émissions, la gestion de l'utilisation des voitures et du stationnement dans les villes et l'amélioration de l'infrastructure cyclable. Le webinaire sera enregistré et mis à la disposition des participants inscrits après le webinaire. L'objectif de cette série de webinaires est de sensibiliser au potentiel des technologies spatiales pour les villes, les communautés et les régions d'Europe, de fournir des informations sur les opportunités que les technologies spatiales pourraient leur offrir et d'explorer des cas d'utilisation réussie où ces technologies sont appliquées pour résoudre les défis des villes.
  158. Calendar event Qualité de l'air : service Copernicus de surveillance de l'atmosphère (CAMS)

    Le service Copernicus de surveillance de l'atmosphère Copernicus (CAMS) tiendra sa huitième assemblée générale en hybride du 10 au 13 juin 2024. Des sessions plénières ouvertes à tous sont prévues les 12 et le 13 juin, avec des focus sur des thèmes tels que : les événements liés aux poussières et leur impact sur la qualité de l'air le statut et l'évaluation des services régionaux et des services pour les décideurs les produits CAMS sur les flux et les émissions Une journée des utilisateurs CAMS est également prévue en marge de l'événement, le 11 juin au matin (présentiel uniquement, détails ici). Les objectifs de cette assemblée générale sont de mettre en lumière les derniers développements au sein du service CAMS, de partager l'expertise des fournisseurs des services CAMS, partager les besoins des utilisateurs et leurs commentaires sur le service, et de faire se rencontrer les utilisateurs et les experts. Participation et informations pratiques : Date : 10 au 13 juin 2024 Lieu : Bruxelles (Belgique) et retransmission en direct Inscription libre gratuite obligatoire avant le 31 mai pour une participation sur site Agenda préliminaire : https://atmosphere.copernicus.eu/sites/default/files/custom-uploads/CAMS%208TH%20GA/8th%20CAMS%20GA_Agenda_Short_240422.pdf Informations, programme (à venir) et inscription : https://atmosphere.copernicus.eu/8th-cams-general-assembly-copernicus Contact : copernicus-events@ecmwf.int
  159. Calendar event Information sur l'actualité des programmes COPERNICUS et GALILEO à destination de l'écosystème spatial national

    Dans la suite du groupe de travail ECOSPACE auquel certains d’entre vous ont participé, les coordinateurs interministériels nationaux des programmes européens Copernicus et Galileo souhaitent vous proposer en ce début d’année 2024 une série de réunions d’information, sur une base trimestrielle, s’adressant à toutes les parties prenantes en amont comme en aval de la filière spatiale. Ce point d’information, organisé avec le soutien du GIFAS, permettra de revenir sur l’avancement du programme lui-même, les prochains grands jalons et vous communiquer les appels à projets/manifestations d’intérêt susceptibles d’intéresser l’ensemble de l’écosystème. Ces sessions pourront également être l’opportunité de partage/échange sur des enjeux spécifiques liés à la mise en œuvre de ces programmes. La première réunion aura lieu le mardi 30 janvier prochain de 9h30 à 11h00 en visioconférence et portera sur le programme Copernicus. Les suivantes sont programmées respectivement le 5 avril (Copernicus et Galileo), le 2 juillet (Copernicus), le 1er octobre (Copernicus et Galileo) et le 10 décembre (Copernicus) sur le même créneau horaire. Contact pour suivre ces réunions : Marie-Catherine.Lejard@gifas.fr Précision : Ces réunions ont vocation à fournir une information générale à tous les types d’acteurs concernés par Copernicus et Galileo, filières économiques en particulier. Elles complètent les canaux plus spécifiques qui existent pour les utilisateurs institutionnels de Copernicus : Les webinaires et séminaires généralistes ou thématiques dédiés autour de l’offre de service et des cas d’utilisation de Copernicus. Organisés aux niveaux national ou européen, ceux-ci sont largement relayés sur Expertise-Territoire et Applisat ; Les réunions nationales trimestrielles consacrées à l’évolution de Copernicus et ses services thématiques, avec les représentants des principaux utilisateurs institutionnels (groupe miroir national du « forum des utilisateurs Copernicus ») ; Les questions et demandes d’accompagnement relatives à l’utilisation des données et produits Copernicus peuvent être adressées soit aux directement aux Services Copernicus concernés, soit sur ce forum Expertise Territoire. Contact pour les utilisateurs institutionnels: alexis.foussard@developpement-durable.gouv.fr ________________________________________________________________________________ Réunion Microsoft Teams Participez à partir de votre ordinateur, de votre application mobile ou de l’appareil de la salle Cliquez ici pour rejoindre la réunion<https://teams.microsoft.com/l/meetup-join/19%3ameeting_MDc4NTIxMTYtMzFlYy00NWUwLWI3ZGUtY2FmNjE4Njk0Nzgz%40thread.v2/0?context=%7b%22Tid%22%3a%22bed69598-e2b7-4688-a6a8-d517531ab1ce%22%2c%22Oid%22%3a%227248aa2a-94fd-49f3-b2a3-fb6aafafcccb%22%7d> ID de la réunion : 361 156 971 964 Code secret : uzsht2 Télécharger Teams<https://www.microsoft.com/en-us/microsoft-teams/download-app> | Rejoindre sur le web<https://www.microsoft.com/microsoft-teams/join-a-meeting> Ou composer le numéro (audio seulement) +33 1 85 65 59 55,,811225431#<tel:+33185655955,,811225431#> France, Paris ID Conférence Téléphone: 811 225 431# Rechercher un numéro local<https://dialin.teams.microsoft.com/195ae1ec-d75d-4179-8ec5-20af5049191d?id=811225431> | Réinitialiser le code confidentiel<https://dialin.teams.microsoft.com/usp/pstnconferencing> Pour en savoir plus<https://aka.ms/JoinTeamsMeeting> | Options de réunion<https://teams.microsoft.com/meetingOptions/?organizerId=7248aa2a-94fd-49f3-b2a3-fb6aafafcccb&tenantId=bed69598-e2b7-4688-a6a8-d517531ab1ce&threadId=19_meeting_MDc4NTIxMTYtMzFlYy00NWUwLWI3ZGUtY2FmNjE4Njk0Nzgz@thread.v2&messageId=0&language=fr-FR> ________________________________________________________________________________
  160. Calendar event Découvrir les ODD pour mieux y répondre - ODD 7 : Energie Propre et coût abordable

    La série de webinaires « Découvrir les ODD pour mieux y répondre » se poursuit ! Le premier webinaire de l'année 2024 se tiendra le 17 mai 2024 de 13h45 à 14h30, et portera sur l'ODD 7 : Energie propre et coût abordable. Ce sera l'occasion de découvrir cet ODD ainsi quele retour d'expérience sur l'outil BATISTATO qui permet d'identifier les enjeux de rénovation énergétique sur le territoire francilien. Infos et inscription : https://www.teddif.org/evenements/decouvrir-les-odd-pour-mieux-y-repondre-odd-7-energie-propre-et-cout-abordable
  161. Calendar event Séminaire de clôture AP GIL

    À vos agendas ! Nous nous retrouverons au Pouliguen, les 7 et 8 octobre prochains, afin de mettre en lumière les démarches de gestion intégrée du littoral engagées avec nos 17 collectivités partenaires. Ce rendez-vous permettra de tirer les enseignements des expériences locales et de présenter des expérimentations inspirantes ! Le programme et les modalités d'inscription vous seront envoyés prochainement. Ces deux journées pourront être suivies en distanciel.
  162. ESN - Competencies mes compétences et centres d'intérêt

  163. Calendar event Copernicus Marine Service : assemblée générale

    L'assemblée annuelle du service Marin de Copernicus se déroulera les 4 et 5 juin 2024. L'évènement, virtuel, est ouvert à tous. Le premier jour mettra en avant les réalisations des centres de production du CMEMS (observations et modèles) et du Marine Data Store en 2023, ainsi que leurs principales d'évolution pour 2024. Cette année est également placée sous le signe de l'accès à un océan numérique intégré. Le développement du jumeau numérique de l'océan sera l'un des principaux thèmes de cette première journée. Le deuxième jour sera consacré aux besoins des utilisateurs avec la présentation des projets de R&D sur l'évolution des services et des projets Horizon Europe, et leur contribution à l'évolution de Copernicus Marine. Un focus sera fait sur les zones côtières. Informations complémentaires et programme : https://events.marine.copernicus.eu/copernicus-marine-general-assembly-2024
  164. ESN - Competencies mes compétences et centres d'intérêt

  165. Article SCOUT : 2 usages vus récemment sur le web

    Deux usages de SCOUT (parmi 100(0) ?) mentionnés récemment sur le web. Pour les deux usages, SCOUT sert à relever des observations de terrain en vue : de consolider des données devant alimenter les cercles collaboratifs d'URBANSIMUL d'alimenter la plate-forme nationale collaborative de repères de crues Lire l'article pour en savoir +
  166. Collaborative FAQ Question Dynamique de commandes d'images - Retour d'expérience à l'échelle DDT(M)

    Bonjour, je suis à la recherche de retours d'expériences sur la mise en place, à l'échelle d'une DDT(M), d'une dynamique de commande d'images satellites. Au sortir des cas d'usages, il s'agit plutôt de bénéficier d'informations sur les méthodologies de commandes, des facilités de mises en place et des éventuelles difficultés rencontrées, d'éventuels partenariats établis sur une même zone d'intérêt avec divers acteurs (EPCI, communes...). Mais aussi des coûts évalués depuis la mise en place de la dynamique en interne, de leur budgétisation et de l'appréhension des éventuelles restrictions à venir, également des aspects pratiques concernant les éventuels aménagements d'infrastructures de stockage et de déploiement d'outils ou encore de sensibilisation à l'usage de la télédétection à l'échelle locale. Merci.