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  1. Rapport d'étude (Ceremadoc) Développement des usages des fichiers fonciers. Utilisation de plusieurs millésimes des fichiers fonciers Dossier 2016-134

    Les fichiers fonciers sont des données fiscales permettant d'observer le foncier. Depuis leurs retraitements par le Cerema pour le compte de la DGALN, 5 millésimes ont été produits : en 2009, et de 2011 à 2014. Cette étude se consacre à la comparaison de ces millésimes, entre eux, et plus particulièrement sur l'évolution des parcelles, des locaux et des comptes-propriétaires.
  2. Rapport d'étude (Ceremadoc) Développement des usages des fichiers fonciers. Utilisation de plusieurs millésimes des fichiers fonciers Dossier 2016-134

    Les fichiers fonciers sont des données fiscales permettant d'observer le foncier. Depuis leurs retraitements par le Cerema pour le compte de la DGALN, 5 millésimes ont été produits : en 2009, et de 2011 à 2014. Cette étude se consacre à la comparaison de ces millésimes, entre eux, et plus particulièrement sur l'évolution des parcelles, des locaux et des comptes-propriétaires.
  3. Edition (Ceremadoc) Exploitation d’images satellite pour le littoral : Volet III : Prototype de reconnaissance du trait de côte en tant que limite d'immersion à partir d'images satellite

    Volet I : État de l'art de l'utilisation des technologies satellitaires pour la cartographie du trait de côte et de la bathymétrie Ce rapport établit ainsi l’état de l’art de l’utilisation de l’imagerie satellitaire pour le suivi du trait de côte et la cartographie de la bathymétrie des petits fonds. Il contient en préalable une première partie pédagogique sur les notions d’imagerie satellitaire en observation de la Terre puis analyse les techniques éprouvées au travers d’une étude bibliographique réalisée en 2012. Concernant l’identification et le suivi du trait de côte, la bibliographie montre que l’utilisation de l’imagerie satellitaire permet de cartographier, sur de larges emprises géographiques, avec une fréquence élevée et un faible coût, les faciès littoraux de type eau, plage, dune, végétation, bâti et d’en extraire un marqueur de position du trait de côte de type limite d’immersion, pied de dune pour les côtes sableuses ou pied de falaise pour les côtes à falaise. Les précisions obtenues sont variables en fonction des marqueurs suivis et des types de côte, en particulier les erreurs augmentent sur les côtes rocheuses. Pour la bathymétrie des eaux peu profondes, une méthode d’inversion du signal optique satellitaire permet de fournir des cartes bathymétriques précises sur les 10 premiers mètres en eaux moyennement turbides et sur les 25 premiers mètres en eaux claires. Dans les eaux plus profondes, une méthode exploitant les propriétés de la houle permet de fournir des informations bathymétriques dans les zones de houle (de 10 à 40 m de profondeur). Ces méthodes, réalisées sur la base d’images satellite de type SPOT, ont prouvé leur efficacité et présentent l’avantage de fournir des informations continues, sur de larges zones géographiques avec une fréquence annuelle ou pluriannuelle et à faible coût. D’autres méthodes, basées sur l’altimétrie/gravimétrie et sur la technologie Lidar, sont présentées mais sont plutôt à envisager en termes de perspectives à moyen et long termes. L’extraction semi-automatique de l’information « trait de côte » à partir de l’imagerie satellitaire présente ainsi aujourd’hui une maturité suffisante pour un déploiement sur certains territoires. Elle présente des potentialités intéressantes de capacité de revisite à moindre coût, pour un suivi et une gestion intégrée du trait de côte. Volet II : Réalisation d'un prototype d'extraction du trait de côte à partir d'images satellite. Application à l'archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon Un premier rapport a ainsi établi l’état de l’art des méthodes existantes sur ces problématiques, afin d’identifier les plus prometteuses notamment en fonction des paysages rencontrés (volet I des rapports « Exploitation d’images satellite pour le littoral »). Il a conclu à la maturité de certaines techniques de reconnaissance par imagerie satellitaire de marqueurs de position du trait de côte, notamment en tant qu’interface terre-mer, c’est-à-dire limite entre deux zones présentant des caractéristiques terrestres (au-dessus du trait de côte) et maritimes (en dessous du trait de côte). Le Cerema s’est alors engagé à développer une méthodologie et un prototype qui permettraient d’extraire automatiquement la position du trait de côte en tant qu’interface de faciès terrestres et maritimes à partir d’images satellite à très haute résolution spatiale (images Pléiades). L’objectif final serait de transférer cette technologie à tout acteur qui souhaiterait utiliser les images satellite pour suivre l’évolution de la position du trait de côte, particulièrement sur les territoires macrotidaux où ce type de méthode est particulièrement adapté. Ce rapport (volet II) présente les tests opérés sur l’archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon pour développer un prototype permettant d’extraire automatiquement la position du trait de côte sur des images Pléiades obtenues dans le cadre du programme GEOSUD. Le processus d’acquisition se base sur la réalisation, par classification automatique, d’une cartographie des faciès à proximité du trait de côte puis sur l’extraction de la limite terre – mer comme frontière entre types d’occupation des sols. Le « trait de côte » ainsi obtenu a été comparé à des mesures effectuées sur le terrain. La stabilité de la méthode dans le temps a été évaluée via l’exploitation de deux images de deux années consécutives sur l’île de Saint-Pierre, en 2012 et 2013. Les travaux effectués montrent que la méthode peut conduire à des précisions de localisation de marqueurs de position du trait de côte de 2 à 3 m en moyenne lorsqu’il s’agit d’une limite de végétation ou d’érosion. Dans les autres cas (rochers, pieds de dune, gabions, galets), la technique donne des résultats plus inégaux et dans l’ensemble de moins bonne qualité. Des pistes sont proposées pour améliorer la méthode en prévision d’une évaluation plus large sur davantage de paysages et situations : utilisation de modèles numériques de terrain, exploitation d’informations issues des bases de données disponibles sur les zones étudiées (référentiels IGN par exemple) ou recours à des algorithmes de simplification de lignes. Volet III : Prototype de reconnaissance du trait de côte en tant que limite d’immersion à partir d’images satellite Un premier rapport a ainsi établi l’état de l’art des méthodes existantes sur ces problématiques, afin d’identifier les plus prometteuses notamment en fonction des paysages rencontrés (volet I des rapports « Exploitation d’images satellite pour le littoral »). Il a conclu à la maturité de certaines techniques de reconnaissance de marqueurs de position du trait de côte, notamment de la limite d’immersion (limite du jet de rive ou limite eau/non eau). Le Cerema s’est alors engagé à développer une méthodologie et un prototype qui permettraient d’extraire automatiquement la position du jet de rive à partir d’images satellite à très haute résolution spatiale (images Pléiades). L’objectif final serait de transférer cette technologie à tout acteur de la gestion intégrée du trait de côte qui souhaiterait utiliser les images satellite pour en suivre son évolution. Ce type de méthode est particulièrement adapté au suivi du trait de côte pour des territoires à faible marnage ou pour le suivi « instantané » de la position du jet de rive. Ce rapport (volet III) présente les tests opérés sur le secteur du Grau-du-Roi (30) pour développer un prototype permettant d’extraire automatiquement la position du trait de côte sur des images Pléiades à l’aide d’une méthode de type seuillage. Les marqueurs de limites hautes et basses du jet de rive extraits suivent fidèlement le jet de rive observé sur l’image satellite. Quelques rares anomalies apparaissent ponctuellement en présence de nuages ou d’ombres qui intersectent le trait de côte. Cette méthode présente les avantages d’être précise, notamment pour la limite basse du jet de rive, transférable géographiquement et relativement simple à mettre en œuvre sur un secteur géographique donné. Ces résultats montrent qu’un outil opérationnel de suivi du trait de côte à partir d’images satellite est aujourd’hui accessible en milieu microtidal. Des développements complémentaires doivent néanmoins être réalisés pour couvrir un linéaire côtier de plusieurs dizaines de kilomètres, vérifier la répétitivité temporelle des seuils fixés, développer un outil ergonomique et assurer son transfert vers des utilisateurs finaux. Un comité d’utilisateurs sera monté dans cette optique à partir de 2016. Volet I : État de l'art de l'utilisation des technologies satellitaires pour la cartographie du trait de côte et de la bathymétrie I. INTRODUCTION I.1 Contexte de l’étude I.2 Les informations géographiques recherchées II. LES SATELLITES D’OBSERVATION DE LA TERRE : QUELQUES NOTIONS II.1 Les satellites d’observation de la Terre II.2 L’exploitation des images satellites II.3 Atouts de l’imagerie satellitaire III. ÉTAT DE L’ART de la CARTOGRAPHIE DU TRAIT DE CÔTE À PARTIR D’IMAGES SATELLITES III.1 Exploitation des images satellites par photo-interprétation III.2 Extraction semi-automatique du trait de côte III.3 Détection de l’artificialisation du trait de côte III.4 Analyse de l’état de l’art IV. ÉTAT DE L’ART DES MESURES DE BATHYMETRIE PAR SATELLITE IV.1 Mesures de bathymétrie par détection des limites entre zones émergées et zones immergées IV.2 Mesures de bathymétrie par inversion du signal optique IV.3 Mesures bathymétriques par détection des crêtes de houle IV.4 Autres méthodes et perspectives IV.5 Analyse de l’état de l’art V. CONCLUSIONS VI. Annexes VI.1 Annexe 1 : Estimation de la bathymétrie par gravimétrie/altimétrie VI.2 Annexe 2 : Mesures de bathymétrie par Lidar Satellitaire Volet II : Réalisation d’un prototype d’extraction du trait de côte à partir d’images satellite. Application à l’archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon I. Introduction II. La cartographie du trait de côte par imagerie spatiale II.1 Définitions du trait de côte II.2 Cartographie du trait de côte par imagerie spatiale III. Zones d’étude III.1 L’archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon III.2 L’isthme de Miquelon-Langlade (zone A) III.3 L’île de Saint-Pierre (zone B) IV. Données disponibles IV.1 Les images Pléiades IV.2 Les levés terrain de la DTAM de Saint-Pierre-et-Miquelon IV.3 Trait de côte Histolitt® IV.4 Modèle numérique de surface V. Méthode d’extraction du trait de côte V.1 Principe général et logiciels utilisés V.2 Préparation du chantier V.3 Création et sélection des indices et textures V.4 Classifications des images V.5 Extraction du trait de côte V.6 Évaluation des résultats VI. Synthèse des résultats VI.1 Classifications VI.2 Trait de côte extrait VII. Bilan VII.1 Analyse de la performance du prototype développé VII.2 Perspectives VII.3 Conclusion VIII. Annexe : Résultats complets VIII.1 Zone A Isthme de Miquelon-Langlade VIII.2 Zone B1 Etang VIII.3 Zone B2 Aéroport VIII.4 Zone B3 Ile aux Marins Volet III : Prototype de reconnaissance du trait de côte en tant que limite d’immersion à partir d’images satellite I. Contexte et objectif II. Contexte géomatique II.1 Site d’étude II.2 Données disponibles III. Extraction du jet de rive III.1 Principe de la méthode III.2 Traitement de l’image Pléiades IV. Analyse des résultats IV.1 Analyse visuelle IV.2 Analyse quantitative : comparaison au trait de côte digitalisé sur l’Ortho Littorale V2 V. CONCLUSIONS
  4. Edition (Ceremadoc) Exploitation d’images satellite pour le littoral : Volet III : Prototype de reconnaissance du trait de côte en tant que limite d'immersion à partir d'images satellite

    Volet I : État de l'art de l'utilisation des technologies satellitaires pour la cartographie du trait de côte et de la bathymétrie Ce rapport établit ainsi l’état de l’art de l’utilisation de l’imagerie satellitaire pour le suivi du trait de côte et la cartographie de la bathymétrie des petits fonds. Il contient en préalable une première partie pédagogique sur les notions d’imagerie satellitaire en observation de la Terre puis analyse les techniques éprouvées au travers d’une étude bibliographique réalisée en 2012. Concernant l’identification et le suivi du trait de côte, la bibliographie montre que l’utilisation de l’imagerie satellitaire permet de cartographier, sur de larges emprises géographiques, avec une fréquence élevée et un faible coût, les faciès littoraux de type eau, plage, dune, végétation, bâti et d’en extraire un marqueur de position du trait de côte de type limite d’immersion, pied de dune pour les côtes sableuses ou pied de falaise pour les côtes à falaise. Les précisions obtenues sont variables en fonction des marqueurs suivis et des types de côte, en particulier les erreurs augmentent sur les côtes rocheuses. Pour la bathymétrie des eaux peu profondes, une méthode d’inversion du signal optique satellitaire permet de fournir des cartes bathymétriques précises sur les 10 premiers mètres en eaux moyennement turbides et sur les 25 premiers mètres en eaux claires. Dans les eaux plus profondes, une méthode exploitant les propriétés de la houle permet de fournir des informations bathymétriques dans les zones de houle (de 10 à 40 m de profondeur). Ces méthodes, réalisées sur la base d’images satellite de type SPOT, ont prouvé leur efficacité et présentent l’avantage de fournir des informations continues, sur de larges zones géographiques avec une fréquence annuelle ou pluriannuelle et à faible coût. D’autres méthodes, basées sur l’altimétrie/gravimétrie et sur la technologie Lidar, sont présentées mais sont plutôt à envisager en termes de perspectives à moyen et long termes. L’extraction semi-automatique de l’information « trait de côte » à partir de l’imagerie satellitaire présente ainsi aujourd’hui une maturité suffisante pour un déploiement sur certains territoires. Elle présente des potentialités intéressantes de capacité de revisite à moindre coût, pour un suivi et une gestion intégrée du trait de côte. Volet II : Réalisation d'un prototype d'extraction du trait de côte à partir d'images satellite. Application à l'archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon Un premier rapport a ainsi établi l’état de l’art des méthodes existantes sur ces problématiques, afin d’identifier les plus prometteuses notamment en fonction des paysages rencontrés (volet I des rapports « Exploitation d’images satellite pour le littoral »). Il a conclu à la maturité de certaines techniques de reconnaissance par imagerie satellitaire de marqueurs de position du trait de côte, notamment en tant qu’interface terre-mer, c’est-à-dire limite entre deux zones présentant des caractéristiques terrestres (au-dessus du trait de côte) et maritimes (en dessous du trait de côte). Le Cerema s’est alors engagé à développer une méthodologie et un prototype qui permettraient d’extraire automatiquement la position du trait de côte en tant qu’interface de faciès terrestres et maritimes à partir d’images satellite à très haute résolution spatiale (images Pléiades). L’objectif final serait de transférer cette technologie à tout acteur qui souhaiterait utiliser les images satellite pour suivre l’évolution de la position du trait de côte, particulièrement sur les territoires macrotidaux où ce type de méthode est particulièrement adapté. Ce rapport (volet II) présente les tests opérés sur l’archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon pour développer un prototype permettant d’extraire automatiquement la position du trait de côte sur des images Pléiades obtenues dans le cadre du programme GEOSUD. Le processus d’acquisition se base sur la réalisation, par classification automatique, d’une cartographie des faciès à proximité du trait de côte puis sur l’extraction de la limite terre – mer comme frontière entre types d’occupation des sols. Le « trait de côte » ainsi obtenu a été comparé à des mesures effectuées sur le terrain. La stabilité de la méthode dans le temps a été évaluée via l’exploitation de deux images de deux années consécutives sur l’île de Saint-Pierre, en 2012 et 2013. Les travaux effectués montrent que la méthode peut conduire à des précisions de localisation de marqueurs de position du trait de côte de 2 à 3 m en moyenne lorsqu’il s’agit d’une limite de végétation ou d’érosion. Dans les autres cas (rochers, pieds de dune, gabions, galets), la technique donne des résultats plus inégaux et dans l’ensemble de moins bonne qualité. Des pistes sont proposées pour améliorer la méthode en prévision d’une évaluation plus large sur davantage de paysages et situations : utilisation de modèles numériques de terrain, exploitation d’informations issues des bases de données disponibles sur les zones étudiées (référentiels IGN par exemple) ou recours à des algorithmes de simplification de lignes. Volet III : Prototype de reconnaissance du trait de côte en tant que limite d’immersion à partir d’images satellite Un premier rapport a ainsi établi l’état de l’art des méthodes existantes sur ces problématiques, afin d’identifier les plus prometteuses notamment en fonction des paysages rencontrés (volet I des rapports « Exploitation d’images satellite pour le littoral »). Il a conclu à la maturité de certaines techniques de reconnaissance de marqueurs de position du trait de côte, notamment de la limite d’immersion (limite du jet de rive ou limite eau/non eau). Le Cerema s’est alors engagé à développer une méthodologie et un prototype qui permettraient d’extraire automatiquement la position du jet de rive à partir d’images satellite à très haute résolution spatiale (images Pléiades). L’objectif final serait de transférer cette technologie à tout acteur de la gestion intégrée du trait de côte qui souhaiterait utiliser les images satellite pour en suivre son évolution. Ce type de méthode est particulièrement adapté au suivi du trait de côte pour des territoires à faible marnage ou pour le suivi « instantané » de la position du jet de rive. Ce rapport (volet III) présente les tests opérés sur le secteur du Grau-du-Roi (30) pour développer un prototype permettant d’extraire automatiquement la position du trait de côte sur des images Pléiades à l’aide d’une méthode de type seuillage. Les marqueurs de limites hautes et basses du jet de rive extraits suivent fidèlement le jet de rive observé sur l’image satellite. Quelques rares anomalies apparaissent ponctuellement en présence de nuages ou d’ombres qui intersectent le trait de côte. Cette méthode présente les avantages d’être précise, notamment pour la limite basse du jet de rive, transférable géographiquement et relativement simple à mettre en œuvre sur un secteur géographique donné. Ces résultats montrent qu’un outil opérationnel de suivi du trait de côte à partir d’images satellite est aujourd’hui accessible en milieu microtidal. Des développements complémentaires doivent néanmoins être réalisés pour couvrir un linéaire côtier de plusieurs dizaines de kilomètres, vérifier la répétitivité temporelle des seuils fixés, développer un outil ergonomique et assurer son transfert vers des utilisateurs finaux. Un comité d’utilisateurs sera monté dans cette optique à partir de 2016. Volet I : État de l'art de l'utilisation des technologies satellitaires pour la cartographie du trait de côte et de la bathymétrie I. INTRODUCTION I.1 Contexte de l’étude I.2 Les informations géographiques recherchées II. LES SATELLITES D’OBSERVATION DE LA TERRE : QUELQUES NOTIONS II.1 Les satellites d’observation de la Terre II.2 L’exploitation des images satellites II.3 Atouts de l’imagerie satellitaire III. ÉTAT DE L’ART de la CARTOGRAPHIE DU TRAIT DE CÔTE À PARTIR D’IMAGES SATELLITES III.1 Exploitation des images satellites par photo-interprétation III.2 Extraction semi-automatique du trait de côte III.3 Détection de l’artificialisation du trait de côte III.4 Analyse de l’état de l’art IV. ÉTAT DE L’ART DES MESURES DE BATHYMETRIE PAR SATELLITE IV.1 Mesures de bathymétrie par détection des limites entre zones émergées et zones immergées IV.2 Mesures de bathymétrie par inversion du signal optique IV.3 Mesures bathymétriques par détection des crêtes de houle IV.4 Autres méthodes et perspectives IV.5 Analyse de l’état de l’art V. CONCLUSIONS VI. Annexes VI.1 Annexe 1 : Estimation de la bathymétrie par gravimétrie/altimétrie VI.2 Annexe 2 : Mesures de bathymétrie par Lidar Satellitaire Volet II : Réalisation d’un prototype d’extraction du trait de côte à partir d’images satellite. Application à l’archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon I. Introduction II. La cartographie du trait de côte par imagerie spatiale II.1 Définitions du trait de côte II.2 Cartographie du trait de côte par imagerie spatiale III. Zones d’étude III.1 L’archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon III.2 L’isthme de Miquelon-Langlade (zone A) III.3 L’île de Saint-Pierre (zone B) IV. Données disponibles IV.1 Les images Pléiades IV.2 Les levés terrain de la DTAM de Saint-Pierre-et-Miquelon IV.3 Trait de côte Histolitt® IV.4 Modèle numérique de surface V. Méthode d’extraction du trait de côte V.1 Principe général et logiciels utilisés V.2 Préparation du chantier V.3 Création et sélection des indices et textures V.4 Classifications des images V.5 Extraction du trait de côte V.6 Évaluation des résultats VI. Synthèse des résultats VI.1 Classifications VI.2 Trait de côte extrait VII. Bilan VII.1 Analyse de la performance du prototype développé VII.2 Perspectives VII.3 Conclusion VIII. Annexe : Résultats complets VIII.1 Zone A Isthme de Miquelon-Langlade VIII.2 Zone B1 Etang VIII.3 Zone B2 Aéroport VIII.4 Zone B3 Ile aux Marins Volet III : Prototype de reconnaissance du trait de côte en tant que limite d’immersion à partir d’images satellite I. Contexte et objectif II. Contexte géomatique II.1 Site d’étude II.2 Données disponibles III. Extraction du jet de rive III.1 Principe de la méthode III.2 Traitement de l’image Pléiades IV. Analyse des résultats IV.1 Analyse visuelle IV.2 Analyse quantitative : comparaison au trait de côte digitalisé sur l’Ortho Littorale V2 V. CONCLUSIONS
  5. Article (Ceremadoc) IoT, prêts, partez !

    À peine apparus, les capteurs pour connaître le niveau de remplissage des conteneurs de déchets, le taux d’occupation des zones de stationnement ou encore le bruit ambiant sont-ils déjà dépassés ? Les nouvelles technologies de l’internet des objets (IoT) promettent de suivre la qualité de l’air, l’état du trafic routier ou encore l’état des ouvrages d’art. Face à la prolifération des usages, la réglementation se met en place et encadre l’utilisation des données ainsi générées. Dans cet environnement mouvant, les collectivités doivent être vigilantes sur le mode d’organisation à adopter (régie, marché public, délégation de service public) avant de se lancer. 1 - Des capteurs bientôt omniprésents. Entretien avec Yohan Souci, Chef de projet IoT au Sde. 2 - Des usages diversifiés. 3 - Bien choisir son organisation.
  6. Article (Ceremadoc) IoT, prêts, partez !

    À peine apparus, les capteurs pour connaître le niveau de remplissage des conteneurs de déchets, le taux d’occupation des zones de stationnement ou encore le bruit ambiant sont-ils déjà dépassés ? Les nouvelles technologies de l’internet des objets (IoT) promettent de suivre la qualité de l’air, l’état du trafic routier ou encore l’état des ouvrages d’art. Face à la prolifération des usages, la réglementation se met en place et encadre l’utilisation des données ainsi générées. Dans cet environnement mouvant, les collectivités doivent être vigilantes sur le mode d’organisation à adopter (régie, marché public, délégation de service public) avant de se lancer. 1 - Des capteurs bientôt omniprésents. Entretien avec Yohan Souci, Chef de projet IoT au Sde. 2 - Des usages diversifiés. 3 - Bien choisir son organisation.
  7. ESN - Expertise mes compétences et centres d'intérêt

  8. Article SCOUT : 2 usages vus récemment sur le web

    Deux usages de SCOUT (parmi 100(0) ?) mentionnés récemment sur le web. Pour les deux usages, SCOUT sert à relever des observations de terrain en vue : de consolider des données devant alimenter les cercles collaboratifs d'URBANSIMUL d'alimenter la plate-forme nationale collaborative de repères de crues Lire l'article pour en savoir +
  9. ESN - Expertise mes compétences et centres d'intérêt

  10. ESN - Expertise mes compétences et centres d'intérêt

  11. ESN - Expertise mes compétences et centres d'intérêt

  12. ESN - Expertise mes compétences et centres d'intérêt

  13. ESN - Expertise mes compétences et centres d'intérêt

  14. ESN - Expertise mes compétences et centres d'intérêt

  15. ESN - Expertise mes compétences et centres d'intérêt

  16. ESN - Expertise mes compétences et centres d'intérêt

  17. ESN - Expertise mes compétences et centres d'intérêt

  18. ESN - Expertise mes compétences et centres d'intérêt

  19. ESN - Expertise mes compétences et centres d'intérêt

  20. ESN - Expertise mes compétences et centres d'intérêt

  21. ESN - Expertise mes compétences et centres d'intérêt

  22. ESN - Expertise mes compétences et centres d'intérêt

  23. ESN - Expertise mes compétences et centres d'intérêt

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  25. ESN - Expertise mes compétences et centres d'intérêt

  26. Article SCOUT toujours prêt : les dernières versions à jour : n° de versions et téléchargement (le 22/01/23)

    Pour profiter de toutes les fonctionnalités de SCOUT, il est important d'avoir toujours une version à jour. Les dernières versions à jour sont les suivantes : SCOUT : V2.5.0 visible en bas de la page "Paramètres" Téléchargement sur le Playstore ouu l'Appstore > Chercher "SCOUT Cerema" (selon les paramètres de vos appareils, les mises jour peuvent ne pas se lancer automatiquement) Editeur de visites : V1.1.1.0 visible dans la barre de menu : "?">"à propos de " Téléchargement ici : https://cerema.app.box.com/v/SCOUT-editeur-visites
  27. ESN - Expertise mes compétences et centres d'intérêt

  28. ESN - Expertise mes compétences et centres d'intérêt

  29. ESN - Expertise mes compétences et centres d'intérêt

  30. ESN - Expertise mes compétences et centres d'intérêt

  31. ESN - Expertise mes compétences et centres d'intérêt

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  39. ESN - Expertise mes compétences et centres d'intérêt

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  49. ESN - Expertise mes compétences et centres d'intérêt

  50. ESN - Expertise mes compétences et centres d'intérêt

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  125. ESN - Expertise mes compétences et centres d'intérêt

  126. ESN - Expertise mes compétences et centres d'intérêt

  127. ESN - Expertise mes compétences et centres d'intérêt

  128. ESN - Expertise mes compétences et centres d'intérêt

  129. ESN - Expertise mes compétences et centres d'intérêt

  130. ESN - Expertise mes compétences et centres d'intérêt

  131. ESN - Expertise mes compétences et centres d'intérêt

  132. ESN - Expertise mes compétences et centres d'intérêt

  133. ESN - Expertise mes compétences et centres d'intérêt

  134. ESN - Expertise mes compétences et centres d'intérêt

  135. ESN - Expertise mes compétences et centres d'intérêt

  136. ESN - Expertise mes compétences et centres d'intérêt

  137. ESN - Expertise mes compétences et centres d'intérêt

  138. ESN - Expertise mes compétences et centres d'intérêt

  139. ESN - Expertise mes compétences et centres d'intérêt

  140. ESN - Expertise mes compétences et centres d'intérêt

  141. ESN - Expertise mes compétences et centres d'intérêt

  142. ESN - Expertise mes compétences et centres d'intérêt

  143. ESN - Expertise mes compétences et centres d'intérêt

  144. ESN - Expertise mes compétences et centres d'intérêt

  145. Question de FAQ collaborative Possibilité d'annoter une photo

    Bonjour, voici une question très intéressante qui m'a été posée ! La réponse peut vous être utile. Voici la question : "... Est-il possible d'écrire d'écrire directement sur la photo (comme quand on modifie une photo sur Whatsapp, désolée pour la référence) afin de situer au mieux un désordre, c'est plus facile qu'un commentaire."
  146. Question de FAQ collaborative Boîte à idées

    Bonjour, Je vous propose de réunir dans ce fil de discussion toutes nouvelles idées et souhaits d'ajout de fonctionnalités de l'appli et de l'éditeur de visite afin de les centraliser. Je laisse le soin au modérateur de valider la démarche ou, a contrario, supprimer ce message. Sans ordre de priorité ni d'importance, voici nos premiers retours utilisateurs suite au lancement de notre campagne interne de visites annuelles de nos ouvrages d'art : Appli : - avoir en début de visite la possibilité d'ajouter des renseignements liés aux conditions de réalisation de celle-ci (données météo, moyens d'accès et matériel mis en oeuvre, nom des participants supplémentaires, parties non visitées, ...) et que l'on pourrait insérer automatiquement dans le rapport via un repère de texte - possibilité d'enregistrer plusieurs commentaires vocaux - avoir l'information de l'azimut dans les données de localisation (pour contrôle) Editeur : - ajouter l'export direct en PDF - exporter l'ensemble des photos prises pour un même constat (sur plusieurs lignes par exemple avec le même numéro de constat) - ajout d'un vérificateur d'orthographe dans les commentaires Appli et/ou éditeur : - possibilité de scinder/découper une visite à partir d'une certaine heure
  147. Question de FAQ collaborative Comment suite aux relevés revenir sur les différents points consatés

    Bonjour, Une fois le relevé fait, le rapport établi de Scout, je souhaite pouvoir transmettre les données à une autre personne qui devra retourner sur les mêmes points selon l'itinéraire prévu. Comment et sous quelle forme je transmets les coordonnées GPS ou un fichier afin que cette personne puisse se rendre d'un point à un autre sans avoir à resaissir les points? et permette ensuite de comparer les deux rapports. Cordialement
  148. Question de FAQ collaborative Relevé de dégradation de chaussée ou repèrage travaux

    Bonjour, Est-ce que quelqu'un a fait des listes métiers pour répèrage dégradations de chausée ( fissure, faiëncages, ..) ou autre liste pour réparation de chaussée (PATA, purge ...) ou se ssrt de scout pour repèrer les travaux d'entrtien sur chaussée? merci
  149. Edition (Ceremadoc) Exploitation d’images satellite pour le littoral : Volet III : Prototype de reconnaissance du trait de côte en tant que limite d'immersion à partir d'images satellite

    Volet I : État de l'art de l'utilisation des technologies satellitaires pour la cartographie du trait de côte et de la bathymétrie Ce rapport établit ainsi l’état de l’art de l’utilisation de l’imagerie satellitaire pour le suivi du trait de côte et la cartographie de la bathymétrie des petits fonds. Il contient en préalable une première partie pédagogique sur les notions d’imagerie satellitaire en observation de la Terre puis analyse les techniques éprouvées au travers d’une étude bibliographique réalisée en 2012. Concernant l’identification et le suivi du trait de côte, la bibliographie montre que l’utilisation de l’imagerie satellitaire permet de cartographier, sur de larges emprises géographiques, avec une fréquence élevée et un faible coût, les faciès littoraux de type eau, plage, dune, végétation, bâti et d’en extraire un marqueur de position du trait de côte de type limite d’immersion, pied de dune pour les côtes sableuses ou pied de falaise pour les côtes à falaise. Les précisions obtenues sont variables en fonction des marqueurs suivis et des types de côte, en particulier les erreurs augmentent sur les côtes rocheuses. Pour la bathymétrie des eaux peu profondes, une méthode d’inversion du signal optique satellitaire permet de fournir des cartes bathymétriques précises sur les 10 premiers mètres en eaux moyennement turbides et sur les 25 premiers mètres en eaux claires. Dans les eaux plus profondes, une méthode exploitant les propriétés de la houle permet de fournir des informations bathymétriques dans les zones de houle (de 10 à 40 m de profondeur). Ces méthodes, réalisées sur la base d’images satellite de type SPOT, ont prouvé leur efficacité et présentent l’avantage de fournir des informations continues, sur de larges zones géographiques avec une fréquence annuelle ou pluriannuelle et à faible coût. D’autres méthodes, basées sur l’altimétrie/gravimétrie et sur la technologie Lidar, sont présentées mais sont plutôt à envisager en termes de perspectives à moyen et long termes. L’extraction semi-automatique de l’information « trait de côte » à partir de l’imagerie satellitaire présente ainsi aujourd’hui une maturité suffisante pour un déploiement sur certains territoires. Elle présente des potentialités intéressantes de capacité de revisite à moindre coût, pour un suivi et une gestion intégrée du trait de côte. Volet II : Réalisation d'un prototype d'extraction du trait de côte à partir d'images satellite. Application à l'archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon Un premier rapport a ainsi établi l’état de l’art des méthodes existantes sur ces problématiques, afin d’identifier les plus prometteuses notamment en fonction des paysages rencontrés (volet I des rapports « Exploitation d’images satellite pour le littoral »). Il a conclu à la maturité de certaines techniques de reconnaissance par imagerie satellitaire de marqueurs de position du trait de côte, notamment en tant qu’interface terre-mer, c’est-à-dire limite entre deux zones présentant des caractéristiques terrestres (au-dessus du trait de côte) et maritimes (en dessous du trait de côte). Le Cerema s’est alors engagé à développer une méthodologie et un prototype qui permettraient d’extraire automatiquement la position du trait de côte en tant qu’interface de faciès terrestres et maritimes à partir d’images satellite à très haute résolution spatiale (images Pléiades). L’objectif final serait de transférer cette technologie à tout acteur qui souhaiterait utiliser les images satellite pour suivre l’évolution de la position du trait de côte, particulièrement sur les territoires macrotidaux où ce type de méthode est particulièrement adapté. Ce rapport (volet II) présente les tests opérés sur l’archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon pour développer un prototype permettant d’extraire automatiquement la position du trait de côte sur des images Pléiades obtenues dans le cadre du programme GEOSUD. Le processus d’acquisition se base sur la réalisation, par classification automatique, d’une cartographie des faciès à proximité du trait de côte puis sur l’extraction de la limite terre – mer comme frontière entre types d’occupation des sols. Le « trait de côte » ainsi obtenu a été comparé à des mesures effectuées sur le terrain. La stabilité de la méthode dans le temps a été évaluée via l’exploitation de deux images de deux années consécutives sur l’île de Saint-Pierre, en 2012 et 2013. Les travaux effectués montrent que la méthode peut conduire à des précisions de localisation de marqueurs de position du trait de côte de 2 à 3 m en moyenne lorsqu’il s’agit d’une limite de végétation ou d’érosion. Dans les autres cas (rochers, pieds de dune, gabions, galets), la technique donne des résultats plus inégaux et dans l’ensemble de moins bonne qualité. Des pistes sont proposées pour améliorer la méthode en prévision d’une évaluation plus large sur davantage de paysages et situations : utilisation de modèles numériques de terrain, exploitation d’informations issues des bases de données disponibles sur les zones étudiées (référentiels IGN par exemple) ou recours à des algorithmes de simplification de lignes. Volet III : Prototype de reconnaissance du trait de côte en tant que limite d’immersion à partir d’images satellite Un premier rapport a ainsi établi l’état de l’art des méthodes existantes sur ces problématiques, afin d’identifier les plus prometteuses notamment en fonction des paysages rencontrés (volet I des rapports « Exploitation d’images satellite pour le littoral »). Il a conclu à la maturité de certaines techniques de reconnaissance de marqueurs de position du trait de côte, notamment de la limite d’immersion (limite du jet de rive ou limite eau/non eau). Le Cerema s’est alors engagé à développer une méthodologie et un prototype qui permettraient d’extraire automatiquement la position du jet de rive à partir d’images satellite à très haute résolution spatiale (images Pléiades). L’objectif final serait de transférer cette technologie à tout acteur de la gestion intégrée du trait de côte qui souhaiterait utiliser les images satellite pour en suivre son évolution. Ce type de méthode est particulièrement adapté au suivi du trait de côte pour des territoires à faible marnage ou pour le suivi « instantané » de la position du jet de rive. Ce rapport (volet III) présente les tests opérés sur le secteur du Grau-du-Roi (30) pour développer un prototype permettant d’extraire automatiquement la position du trait de côte sur des images Pléiades à l’aide d’une méthode de type seuillage. Les marqueurs de limites hautes et basses du jet de rive extraits suivent fidèlement le jet de rive observé sur l’image satellite. Quelques rares anomalies apparaissent ponctuellement en présence de nuages ou d’ombres qui intersectent le trait de côte. Cette méthode présente les avantages d’être précise, notamment pour la limite basse du jet de rive, transférable géographiquement et relativement simple à mettre en œuvre sur un secteur géographique donné. Ces résultats montrent qu’un outil opérationnel de suivi du trait de côte à partir d’images satellite est aujourd’hui accessible en milieu microtidal. Des développements complémentaires doivent néanmoins être réalisés pour couvrir un linéaire côtier de plusieurs dizaines de kilomètres, vérifier la répétitivité temporelle des seuils fixés, développer un outil ergonomique et assurer son transfert vers des utilisateurs finaux. Un comité d’utilisateurs sera monté dans cette optique à partir de 2016. Volet I : État de l'art de l'utilisation des technologies satellitaires pour la cartographie du trait de côte et de la bathymétrie I. INTRODUCTION I.1 Contexte de l’étude I.2 Les informations géographiques recherchées II. LES SATELLITES D’OBSERVATION DE LA TERRE : QUELQUES NOTIONS II.1 Les satellites d’observation de la Terre II.2 L’exploitation des images satellites II.3 Atouts de l’imagerie satellitaire III. ÉTAT DE L’ART de la CARTOGRAPHIE DU TRAIT DE CÔTE À PARTIR D’IMAGES SATELLITES III.1 Exploitation des images satellites par photo-interprétation III.2 Extraction semi-automatique du trait de côte III.3 Détection de l’artificialisation du trait de côte III.4 Analyse de l’état de l’art IV. ÉTAT DE L’ART DES MESURES DE BATHYMETRIE PAR SATELLITE IV.1 Mesures de bathymétrie par détection des limites entre zones émergées et zones immergées IV.2 Mesures de bathymétrie par inversion du signal optique IV.3 Mesures bathymétriques par détection des crêtes de houle IV.4 Autres méthodes et perspectives IV.5 Analyse de l’état de l’art V. CONCLUSIONS VI. Annexes VI.1 Annexe 1 : Estimation de la bathymétrie par gravimétrie/altimétrie VI.2 Annexe 2 : Mesures de bathymétrie par Lidar Satellitaire Volet II : Réalisation d’un prototype d’extraction du trait de côte à partir d’images satellite. Application à l’archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon I. Introduction II. La cartographie du trait de côte par imagerie spatiale II.1 Définitions du trait de côte II.2 Cartographie du trait de côte par imagerie spatiale III. Zones d’étude III.1 L’archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon III.2 L’isthme de Miquelon-Langlade (zone A) III.3 L’île de Saint-Pierre (zone B) IV. Données disponibles IV.1 Les images Pléiades IV.2 Les levés terrain de la DTAM de Saint-Pierre-et-Miquelon IV.3 Trait de côte Histolitt® IV.4 Modèle numérique de surface V. Méthode d’extraction du trait de côte V.1 Principe général et logiciels utilisés V.2 Préparation du chantier V.3 Création et sélection des indices et textures V.4 Classifications des images V.5 Extraction du trait de côte V.6 Évaluation des résultats VI. Synthèse des résultats VI.1 Classifications VI.2 Trait de côte extrait VII. Bilan VII.1 Analyse de la performance du prototype développé VII.2 Perspectives VII.3 Conclusion VIII. Annexe : Résultats complets VIII.1 Zone A Isthme de Miquelon-Langlade VIII.2 Zone B1 Etang VIII.3 Zone B2 Aéroport VIII.4 Zone B3 Ile aux Marins Volet III : Prototype de reconnaissance du trait de côte en tant que limite d’immersion à partir d’images satellite I. Contexte et objectif II. Contexte géomatique II.1 Site d’étude II.2 Données disponibles III. Extraction du jet de rive III.1 Principe de la méthode III.2 Traitement de l’image Pléiades IV. Analyse des résultats IV.1 Analyse visuelle IV.2 Analyse quantitative : comparaison au trait de côte digitalisé sur l’Ortho Littorale V2 V. CONCLUSIONS
  150. Article (Ceremadoc) IoT, prêts, partez !

    À peine apparus, les capteurs pour connaître le niveau de remplissage des conteneurs de déchets, le taux d’occupation des zones de stationnement ou encore le bruit ambiant sont-ils déjà dépassés ? Les nouvelles technologies de l’internet des objets (IoT) promettent de suivre la qualité de l’air, l’état du trafic routier ou encore l’état des ouvrages d’art. Face à la prolifération des usages, la réglementation se met en place et encadre l’utilisation des données ainsi générées. Dans cet environnement mouvant, les collectivités doivent être vigilantes sur le mode d’organisation à adopter (régie, marché public, délégation de service public) avant de se lancer. 1 - Des capteurs bientôt omniprésents. Entretien avec Yohan Souci, Chef de projet IoT au Sde. 2 - Des usages diversifiés. 3 - Bien choisir son organisation.
  151. Question de FAQ collaborative Utiliser SCOUT dans un lieu dépourvu de signal GPS

    Bonjour, En prévision du contrôle d'un caisson métallique (donc en intérieur et sans réception directe d'un signal GPS), quid de l'utilisation de l'application SCOUT ? Y a-t-il des précautions à prendre comme démarrer la visite avant d'entrer dans le caisson pour avoir a minima la bonne localisation en tout début de visite ? Une fois à l'intérieur, est-il possible de couper la recherche de localisation pour ne pas avoir un tracé aberrant et pour économiser la batterie ? Dans le but de palier à ce problème : existerait-il une solution de réception déportée du signal GPS comme pour les drones (balise RTK par exemple) ?
  152. Article On ne l'avait pas prévu mais on l'a fait ! >> enrichissez en quelques clics vos visites SCOUT avec un grand nombre de couches cartographiques

    La nouvelle version de l'éditeur de visites de SCOUT sera sous le sapin bien avant Noël ! Nous espérons qu'elle améliorera significativement votre expérience utilisateur grâce à l'optimisation technique et à l'ajout d'un petit paquet de nouvelles fonctionnalités associées : - Mesure de distances - Mesure de surfaces - Mesure des itinéraires parcourus - Insertion d'images en tant que couches pour insérer un plan,des schémas, une légende, etc... - Utilisation de couches cartographiques WMTS (optimisé par rapport aux couches WMS actuelles !) 🍒 Cerise sur le gâteau 🍒, grâce aux géoservices de l'IGN, vous pourrez maintenant en quelques clics afficher toutes les couches cartographiques diffusées librement par l'IGN et les ajouter à votre visite !
  153. Article Formation SCOUT / CRISI au Sénégal pour la collecte de données suite à une submersion marine

    Un petit article qui illustre l'une des applications de SCOUT à l'international : Une formation à l'utilisation de l'application #SCOUT et de l'outil #CRISI développés par le Cerema pour la collecte de données après une #submersion marine, au Sénégal.
  154. Question de FAQ collaborative Nouveaux repères de texte

    Bonjour, Dans l'éditeur de visite il est possible de renseigner une boite de dialogue "Informations générales" dans laquelle on retrouve le nom de l'opérateur et l'intitulé de la visite mais également le département, le nom de la commune et un champ observations complémentaires. Serait-il possible d'ajouter un repère de texte pour ces éléments et ainsi permettre de les insérer automatiquement dans le rapport ? Cordialement
  155. Question de FAQ collaborative Appli SCOUT : export de visite et mise en veille de l'écran du smartphone

    Bonjour, J'ai remarqué que la mise en veille de l'écran du téléphone interrompait l'export de la visite. Pourrait-on ajouter à l'application une option de non mise en veille automatique (ce qui serait également utile lors des relevés) ou faut-il agir sur les paramètres du téléphone ? Cordialement,
  156. Article Déjà plus de 200 membres : beaucoup de points communs et donc d'usages à partager

    Notre communauté vient de passer la barre des 200 membres : 203 le temps que je publie un article sur le sujet ! C'est l'occasion de vous en dire un peu plus sur nous tous ! Vous devriez constater que d'autres membres ont beaucoup de points communs avec vous, soit autant de raison de partager des expériences pour améliorer vos usages de SCOUT ou son déploiement.
  157. Article Aperçu des nouvelles fonctionnalités d'affichage cartographique

    Courte vidéo (6 min) montrant un aperçu des nouvelles fonctionnalités d'affichage cartographique prévues avant la fin de l'année : affichage possible des relevés sous forme de zones de densité (pour faciliter la visualisation à certains niveaux de zoom) outil de mesure de distance et de surface mesure de la distance des itinéraires parcourus insertion d'images pour servir de fond de carte (pan bâtiment ou aménagement routier par ex) ou pour illustrer une visite (icônes, schémas, etc)
  158. Article Positions améliorées avec SCOUT : nos tous premiers pas avec un rover RTK Centipède !

    Nous venons tout juste de réaliser nos premier essais avec un rover centipède fait maison connecté à SCOUT. 🌟 La faisabilité est démontrée : il est possible d'utiliser l'application SCOUT couplée avec un rover Centipède, pour obtenir une géolocalisation < 1 m (dans de bonnes conditions de visibilité, avec une bonne connexion internet et une station de base en service) 🌟
  159. Question de FAQ collaborative Problème avec la création de listes métiers

    Bonjour, J'utilise la version 1.1.1.0 de l'éditeur de visites et j'ai essayé de reprendre une liste métier que j'avais créée il y a quelques temps déjà, mais impossible de créer de nouveaux items (avec le clic droit, je n'ai que les fonctions supprimer et modifier). Pareil pour la création d'une nouvelle liste. Je crée le premier item, puis, plus rien... Y a-t-il un bug ou suis-je le seul à avoir ces soucis? Cordialement
  160. Article Tuto SCOUT : transfert d'une visite depuis votre appareil mobile vers un PC et quelques astuces pour l'ouverture des visites

    Ce petit tutoriel vidéo montre comment transférer une visite SCOUT depuis un appareil mobile (sous Android) vers un PC et comment procéder pour l'ouvrir. La vidéo montre aussi quelques petites fonctionnalités bien utiles (emplacements favoris, visites récentes, etc).
  161. Article Vous souhaitez vous lancer avec SCOUT ? Juste voir à quoi ça ressemble ? Ou en savoir plus sur la communauté SCOUT ? Ca se passe ici !

    Prêts à démarrer avec SCOUT ? Je vous conseille de parcourir les différents articles qui suivent, de préférence dans l'ordre indiqué, pour découvrir SCOUT et bien débuter.
  162. Article Démo de SCOUT (V2.5) en vidéo pour découvrir SCOUT et des fonctionnalités utiles mais peu connues

    Démo de SCOUT en vidéo : 📱 pour découvrir l'application mobile 💻 pour découvrir en détail comment les visites SCOUT peuvent être exploitées (affichage cartographique, ajout de relevés virtuels, rapports, exports SIG, etc) avec l'éditeur de visites Cette vidéo est à jour des toutes dernières fonctions de SCOUT (V2.5) ! Deux bonnes raisons de la regarder : 👉 Pour les débutants : découvrir concrètement SCOUT 👉 Pour les utilisateurs aguerris : découvrir des fonctionnalités bien utiles de l'éditeur de visites pas toujours bien connues (ajout de relevés virtuels par lot d'images, fusion des visites, rapports personnalisés, etc).
  163. Rapport d'étude (Ceremadoc) Développement des usages des fichiers fonciers. Utilisation de plusieurs millésimes des fichiers fonciers Dossier 2016-134

    Les fichiers fonciers sont des données fiscales permettant d'observer le foncier. Depuis leurs retraitements par le Cerema pour le compte de la DGALN, 5 millésimes ont été produits : en 2009, et de 2011 à 2014. Cette étude se consacre à la comparaison de ces millésimes, entre eux, et plus particulièrement sur l'évolution des parcelles, des locaux et des comptes-propriétaires.
  164. Question de FAQ collaborative Non reconnaissance des visites faites via l'application par l'éditeur de visite (windows)

    Bonjour, J'ai bien lu la FAQ et regardé les vidéos tutoriels mais rien n'y fait. Toutes les visites extraites d'un mobile ne sont pas reconnues par l'éditeur de visite : - Les fichiers de la visite sont sur le Bureau - Il n'y a pas de .scout dans les fichier extraits (zip ou non) et je ne sais pas quel fichier il faut renommer avec ce suffix d'extension, dans le doute j'ai essayé avec chacun d'entre eux (y compris le zip lui même non extrait). Je sèche, comment faire ?
  165. Article Visite de la communauté SCOUT en vidéo

    Voici une petite visite de la communauté SCOUT en vidéo ! 👉 Pour vous donner un aperçu de ce que vous pouvez y trouver 👉 Pour vous inviter à rejoindre notre (votre) communauté 👉 Pour garder une trace et voir comment elle aura évolué d'ici un an !
  166. Question de FAQ collaborative Modifier un relevé après l'avoir enregistré au cours d'une viste

    Bonjour. Je voulais savoir si au cours d'une "visite" on peut revenir sur un relevé déjà enregistré On peut le consulter mais pas le modifier. La seule façon c'est de le faire après avec l'éditeur de visite, c'est exact ? Si oui, je propose cette amélioration afin de rajouter ou supprimer une info d'un relevé pendant la visite avant de l'exporter. Cdt
  167. Article Bug signalé + corrigé > impossible de générer un rapport pour une visite sans liste métier

    😱 Bug signalé sur Editeur de visites V1.1.0 😱 Pour une visite SCOUT sans liste métier avancée, la génération du rapport ne fonctionne plus ! 🔧 Le bug a été corrigé par une mise à jour de l'édteur de visites (V1.1.1) 🔧 Je vous invite donc à télécharger cette mise à jour ici : https://cerema.app.box.com/v/SCOUT-editeur-visites Puiis désinstaller l'éditeur de visites et installer la nouvelle version
  168. Article SCOUT + rover centipède RTK > relevés et itinéraires beaucoup plus précis pour pas cher !?

    Mes collègues ont imprimé le boîtier en 3D et les premières pièces sont arrivées : je devrai bientôt avoir un rover RTK opérationnel ! Nous allons donc pouvoir bientôt tester son utilisation avec SCOUT et voir si le passage d'une localisation métrique à centimétrique est facile. Pour tous les usages qui nécessitent des relevés plus précis que ceux possibles avec un smartphone classique et qui n'ont pas le budget matériel et abonnement, le réseau Centipède est tentant
  169. Article SCOUT V2.5.0 : l'appli de relevé de terrain du Cerema est en ligne sur le Play Store depuis quelques minutes !

    SCOUT V2.5.0 est en ligne sur le Play Store (Version Android) ! La version iOS devrait logiquement arriver très vite aussi. Selon les préférences de votre appareil, la mise à jour sera réalisée ou non de façon automatique. Vous pouvez vérifier à tout moment votre version via l'écran "Paramètres" > le numéro de version est affiché en bas de l'écran. Pour exploiter les nouvelles fonctions (listes métier avancées), n'oubliez pas de télécharger la nouvelle version de l'éditeur de visites (V1.1.0) ici : https://cerema.box.com/v/SCOUT-editeur-visites Il vous permettra de créer vos formulaires personnalisés En attendant un tutoriel vidéo dédié et la mise à jour du guide avancé, vous pouvez visonner une démo ici (extraite de la rediffusion du feu de camp SCOUT n°2°) : https://cerema.box.com/s/y17oel35f05dpzc1ynxpqsoouo6x2tte
  170. Article SCOUT V2.5 sur le Play Store et l'App Store dans quelques jours : créez vos formulaires personnalisés avancés !

    La nouvelle version de SCOUT ainsi que la nouvelle version de l'éditeur de visites ont été validées ! Vous pouvez télécharger la nouvelle version de l'éditeur de visites (V1.1.0) ici : https://cerema.box.com/v/SCOUT-editeur-visites Vous pouvez ainsi dès maintenant créer vos formulaires personnalisés avec la nouvelle fonction : listes métier avancées. En attendant un tutoriel vidéo dédié et la mise à jour du guide avancé, vous pouvez visonner une démo ici (extraite de la rediffusion du feu de camp SCOUT n°2°) : https://cerema.box.com/s/y17oel35f05dpzc1ynxpqsoouo6x2tte La nouvelle version de SCOUT est en cours de déploiement sur le Playstore et l'Appstore. Elle devrait être disponible d'ici quelques jours. Je vous tiens au courant !
  171. Article Replay et supports du feu de camp SCOUT n°2

    Bonjour, notre second feu de camp SCOUT s'est déroulé hier : merci à la quarantaine de participants d'avoir partagé ce moment d'échanges ! Encore merci Marion TORTEROTOT de nous avoir présenté ses travaux de diagnostics d'accessibilité avec SCOUT et d'avoir quasi bêta testé les nouvelles listes métier ! Comme promis voici le lien vers : - 🎦 l'enregistrement du webinaire : https://cerema.box.com/s/gyzjo8irrjb9o20sh3gktjav1oz7uttl - 🏕 le support de présentation du feu de camp 🔥 : https://cerema.box.com/s/vyd547shz685xaw7d0b3zfz4zd4vmrtq - ♿ le support de présentation du témoignage de Marion : https://cerema.box.com/s/906d507jxwdz80vl8dwjx4ywkxqjlj5b - 💬 une édition de la fenêtre de dialogue comprenant certaines des questions/réponses traitées par écrit : https://cerema.box.com/s/784mhuwxhqj3cedtbv7kal8kafug390g et pour faire + simple, un pdf comprenant tous ces liens (one link to rule them all...) : https://cerema.box.com/s/x12m7vl73cr617us4ksr0nso6x1zx53h
  172. Article J-2 ! Venez en apprendre beaucoup plus sur l'application SCOUT ce jeudi matin (9h00 à 10h15) pour faciliter la collecte de vos données de terrain

    Ce petit webinaire sera l'occasion de découvrir : les futures fonctionnalités dont le très attendu nouveau formulaire avancé un exemple concret d'utilisation et d'exploitation dans le cadre d'un diagnostic d'accessibilité d'échanger librement avec l'équipe SCOUT Si vous n'avez jamais utilisé SCOUT, cela sera une bonne occasion d'avoir une vison d'ensemble et de découvrir le fonctionnement de l'appli ! Si vous êtes déjà un SCOUT aguerri, vous resterez au top sur le sujet ! Programme détaillé et inscription ici : Feu de camp SCOUT n°2 > je rappelle au cas où : 7 Bonnes raisons d'essayer SCOUT @Cerema pour numériser vos collectes de données > pour ceux qui ne connaissent pas du tout SCOUT, une petite vidéo de démo (sans les toutes dernières fonctionnalités) : (Lien en accès restreint) Je sais, il faut que j'en fasse une nouvelle à jour. Promis juste après la nouvelle version qui va arriver tès vite après le feu de camp !