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  1. Rapport d'étude (Ceremadoc) OBSMMA - Observatoire pour la mobilité des modes actifs - Synthèse des préconisations

    Dans le cadre du projet d’observatoire de la mobilité des modes actifs (OBSMMA), une méthode de production d’indicateurs à partir de données de comptage a été construite (livrable 9). Elle s’appuie sur l’expérience accumulée en matière de comptage vélos. Ce document vise à tester cette méthode dans le cas de données de comptage piéton. Il s’appuie sur les données de comptage remontées à la plateforme nationale des fréquentations mais non encore exploitées jusqu’à présent.
  2. Rapport d'étude (Ceremadoc) Accidentalité domicile-travail et choix modal

    L’accidentalité routière dans le cadre des trajets domicile-travail représente un enjeu de sécurité routière (11% des personnes tuées sur les routes entre 2013 et 2014). Les politiques publiques visent à favoriser des moyens de transports alternatifs à la voiture particulière notamment dans les trajets domicile-travail. Favoriser ces modes diminue-t-il l’insécurité routière ou au minimum ne l’augmente-t-elle pas?L’objectif de cette étude est de répondre à cette question; elle est basée sur l’analyse des accidents du fichier national des bulletins d’analyse des accidents corporels de la circulation (BAAC) sur la période 2013-2014.L’étude montre que le choix modal influence fortement l’accidentalité dans le cadre des trajets domicile-travail.Le train et les transports collectifs apparaissent comme très sûrs. La voiture particulière est sûre par rapport à la fréquence de son usage. La marche est un mode de transport peu accidentogène par rapport à la fréquence de son usage. L’usage de la bicyclette entraîne un sur-risque d’accident par rapport à la fréquence de son usage (rapport de 4,6à 1 par rapport à la voiture). Toutefois, ce sur-risque est à mettre en balance avec les gains obtenus en termes de santé résultant, dans la pratique, d’une activité quotidienne.L’usage du deux-roues motorisé (2RM) est fortement accidentogène (rapport de 25,6 à 1par rapport à la voiture). La sur-accidentalité masculine semble provenir du choix modal. En revanche, chez les jeunes de 18 à 24 ans, la sur-accidentalité semble combiner le choix modal (davantage de2RM) et un sur-risque d’accidents en particulier pour les 2RM et la voiture.Des compléments d’étude sont nécessaires pour mieux connaître l’accidentalité vélo et2RM, notamment en agglomération où les accidents sont plus nombreux. Une analyse spécifique de la base accident devra être mise en oeuvre pour traiter le thème du covoiturage.
  3. Rapport d'étude (Ceremadoc) Evaluation du CA Vitesses. Bilan de l'année 2016

    L'étude consiste à évaluer l'impact des radars vitesses sur l'accidentologie et sur les vitesses pratiquées, 5 ans après leur mise en service. Il s'agit pour le Cerema Méditerranée d'exploiter les données vitesses enregistrées par les stations Siredo du réseau national avant la mise en service des radars situés à proximité et celles enregistrées 5 ans plus tard. L'exploitation des données vitesses de l'année d'étude donne lieu à la production de différents indicateurs (taux de dépassement de la VLA, V85, vitesses moyennes...) pour comparaison avec ceux calculés sur la période précédant la mise en service des radars. Ces indicatuers sont fournis au Groupe Etudes et Statistiques d'Accidents (GESA) de la Direction territoriale Sud Ouest du Cerema en charge de l'étude d'impact des radars vitesses. Pour chaque radar, l'évolution de ces indicateurs peut einsi être suivie depuis 2010, année de début de l'étude d'évaluation. Le présent bilan du traitement des données porte sur l'année 2016 et prend en compte les radars mis en service entre 2003 et 2012.
  4. Rapport d'étude (Ceremadoc) Point d’arrêt bus. Quais modulaires

    La sénatrice Claire-Lise Campion a remis son rapport “Réussir 2015 : Accessibilité des personnes handicapées au logement, aux établissements recevant du public,aux transports, à la voirie et aux espaces publics” au Premier ministre le vendredi1er mars. Ce rapport livre 40 propositions visant à garantir le maintien d’une dynamique forte en faveur de l’accessibilité, tout en prenant en compte la réalité des contraintes.La proposition 32 de ce rapport, à l’origine de cette étude, précise: «Pour les trans-ports interurbains, demander au Centre d’études sur les réseaux, les transports, l’urbanisme et les constructions publiques (CERTU) d’analyser, de tester et d’évaluer le coût, dans un délai de six mois, les dispositifs existants de type «arrêts accessible smodulaires» et parallèlement, d’engager avec l’Agence française de normalisation(AFNOR) un processus de normalisation de ces nouveaux arrêts.» Un des points clés de la loi du 11 février 2005 est de rendre accessible l'intégralité de la chaîne du déplacement, qui comprend le cadre bâti, la voirie, les aménagements des espaces publics, les systèmes de transport et leur intermodalité.Pour les systèmes de transports, le point d’arrêt de bus, situé à l’interface entre la voirie et le véhicule, est un maillon stratégique pour la continuité de l’accessibilité de cette chaîne du déplacement.
  5. Rapport d'étude (Ceremadoc) Le Shared Space : Valorisation des travaux de recherche du projet européen Shared Space

    Le projet Shared Space est à l'origine un projet de coopération européen qui s'est déroulé de 2004 à 2008 avec pour objectif de développer de nouveaux concepts d'aménagement en vue d'équilibrer la circulation, le stationnement et d'autres fonctions de l'espace urbain. Ce rapport présente le concept du Shared Space,des différentes analyses existantes sur cet aménagement et l'évaluation du programme européen associé. Sur la base de ces résultats et de ceux d'autres expérimentations, il propose de retenir les éléments essentiels de ce concept aidant à la compréhension du Shared Space et les données importantes pouvant être utiles pour les gestionnaires de voirie. Avertissement : Ceci est un document permettant de comprendre cet aménagement étranger. Il n'est cependant pas recommandé de le mettre en place en France.
  6. Rapport d'étude (Ceremadoc) Expérimentation de la circulation inter-files des deux-roues motorisés. Rapport d’évaluation – janvier 2021

    Décidée par le gouvernement, l’expérimentation de la circulation inter-files (CIF) des deux roues motorisés (2RM) sur les autoroutes et les voies à caractéristiques autoroutières de onze départements a commencé le 2 février 2016. Elle concernait les huit départements de la Région Île-de-France, les Bouches-du-Rhône, la Gironde et du Rhône. De plus le département de la Haute-Garonne a été choisi comme « zone témoin ». Son objectif principal était d’encadrer la pratique largement répandue parmi les 2RM et d’évaluer les effets de la légalisation et de l’encadrement de cette pratique. Cette mission d’évaluation a été confiée par la Délégation interministérielle à la Sécurité Routière au Cerema pour l’analyse de l’accidentalité, des comportements et de l’acceptabilité de la mesure, et à l’université Gustave Eiffel et à la société Ergo-Centre pour la partie formation.
  7. Rapport d'étude (Ceremadoc) Usagers et déplacements à vélo en milieu urbain. Analyse des enquêtes ménages déplacements

    Dans un contexte de contrainte sur l'offre de transport liée à l'augmentation du prix des carburants et aux problèmes de financement des réseaux de transport collectif, le vélo apparaît comme un mode de déplacement pertinent en milieu urbain ; en effet, une grande majorité (plus de 80 %) des déplacements est réalisée sur des distances inférieures à 5 kilomètres, donc a priori réalisables en vélo. À la fin des années 1970, 4 % des déplacements locaux étaient réalisés à vélo. Cet usage a fortement régressé dans les deux décennies suivantes pour tomber à moins de 2 % au début des années 2000. Les années 2000 ont vu la « réhabilitation » du vélo comme mode urbain utilitaire. Certes, les progressions sont encore modestes : depuis 2005, la part de marché du vélo progresse légèrement pour revenir au-dessus des 2 %. Mais l’image du vélo s’améliore et près d e 63 % des Français en ont une opinion positive. Sa visibilité s’accroît, notamment dans les centres-villes, où la mise en place des systèmes de vélo en libre-service (VLS) traduit la volonté politique de redonner une place à ce mode, et plus généralement aux modes actifs. Une visibilité dans la ville, une image positive, mais un usage qui reste faible : les marges de manœuvre sont importantes, notamment sur les déplacements courts. Afin de mieux comprendre les pratiques de déplacements à vélo en milieu urbain, quatorze enquêtes ménages déplacements (EMD) récentes ont été compilées et analysées. L'objectif est de mieux connaître le profil des usagers du vélo et les caractéristiques de déplacements réalisés à vélo.
  8. Rapport d'étude (Ceremadoc) L'évaluation appliquée aux projets de gestion des trafics : Éléments de méthode et d’organisation

    Face aux difficultés de circulation observées sur les voies structurantes d’agglomération (VSA) autour des grandes agglomérations, la direction générale des Infrastructures, des Transports et de la Mer (DGITM) a impulsé une politique tendant à l’optimisation de l’utilisation des voies existantes par le déploiement de projets de gestion des trafics. Dans un contexte de rigueur budgétaire, la demande d’évaluation, initialement réservée aux grands projets d’infrastructures, s’est progressivement élargie au champ des projets ou systèmes de gestion (dynamique) des trafics. Cette demande concerne les évaluations a priori menées pour justifier le projet d’investissement et les évaluations a posteriori destinées à vérifier que les performances des projets ou systèmes mis en œuvre correspondent bien aux attentes.Les difficultés spécifiques rencontrées dans la mise en œuvre des évaluations des premiers de ces projets ont fait émerger le besoin d’une mise à plat de la méthodologie dans son ensemble.Le présent document traite de méthode et d’organisation. Destiné aux maîtres d’ouvrages, il s’attache à présenter la démarche d’évaluation, les différentes étapes de l’évaluation d’un projet et l’organisation à mettre en place pour la mener à bien. Il répond aux questions: que faut-il faire? Quelle organisation faut-il mettre en place?Il présente d’abord (chapitre1) la démarche d’évaluation dans son ensemble, puis il la décline aux projets de gestion des trafics (chapitre2), en précisant les grandes étapes de la démarche et les différentes thématiques à traiter. Le chapitre3 présente les différents acteurs de la démarche d’évaluation et propose une organisation de la gouvernance de l’évaluation.Les éléments communs à toutes les étapes d’évaluation sont traités au chapitre4.Le chapitre5 présente les spécificités de l’évaluation a priori.Le chapitre6 traite du suivi du projet entre son déploiement et l’évaluation a posteriori.Le chapitre7 présente les spécificités de l’évaluation a posteriori.Enfin, le chapitre8 aborde le retour d’expérience qui participe à l’amélioration des connaissances dans le domaine de la gestion (dynamique) des trafics et à l’amélioration de la pratique de l’évaluation des projets de ce type.
  9. Rapport d'étude (Ceremadoc) Impact du cycle de feux sur la capacité,l'acceptabilité de l'attente aux feux et la sécurité

    Les carrefours à feux ont une gestion de plus en plus complexe qui pousse les gestionnaires à augmenter la durée de cycle. La conception des carrefours à feux repose aujourd'hui sur des méthodes de calculs simples. Plus généralement, le guide de conception des carrefours à feux estbasé sur une approche capacitaire de la gestion des flux routiers. La volonté de favoriser des modes de transports alternatifs à la voiture particulière interroge sur les temps accordés à chacun des modes et en particulier pour le piéton. L'étude a pour but d'étudier la question de la durée des cycles de feux selon une triple approche capacité-acceptabilité-sécurité.La démarche de l'étude a consisté en premier lieu à réaliser une analyse bibliographique sur les méthodes de conception des carrefours à feux, les temps d'attente et leur perception par les différents modes.Les enseignements tirés sont:- le débit de saturation (débit maximal de véhicules admis par une voie de circulation) dépend de l'environnement du carrefour et évolue pendant la durée du vert- les cycles longs avec des temps d'attente longs peuvent induire des comportements à risques- les phases de vert courtes peuvent également engendrer des franchissements de feux. Dans un deuxième temps, le questionnement s'est porté plus spécifiquement sur les hypothèses de conception des carrefours à feux. L'analyse de données existantes et des expérimentations sur des carrefours semblent indiquer que les valeurs mentionnées dans le guide de conception des carrefours à feux sont optimistes en terme capacitaire et méritent d'être adaptées au cas par cas.Ces premiers éléments vont permettre de définir les approfondissements à faire dans la deuxième phase de l'étude. Les gestionnaires de feux seront interrogés sur leur pratiques et leur retour d'expériences. Des expérimentations qualitatives seront menées sur les comportements des usagers des différents modes pour connaître l'influence du temps d'attente sur l'acceptabilité et la prise de risques aux feux.
  10. Rapport d'étude (Ceremadoc) Évaluation des ETD. Équipements de Terrain Discriminants

    En France les infractions au code de la route sont fréquentes mais ne sont pas toujours sanctionnées.Pour faire en sorte que chaque usager respecte les règles nécessaires au bon partage de la route, des dispositifs de contrôle automatisés de différents types sont développés et déployés de façon significative sur tout le réseau. Tous les dispositifs font l'objet d'évaluations sur le comportement des usagers. Ce rapport présente l'évaluation réalisée sur le dispositif permettant le contrôle des véhicules légers et des poids lourds en fonction de leurs limitations de vitesses respectives. Ce système est appelé Équipement de Terrain Discriminant (ETD). L'objectif de l'étude est de mesurer l'impact de l'ETD sur le comportement des conducteurs des VL et des PL. L'évaluation est réalisée sur trois sites de caractéristiques et de niveaux de trafics différents. Les mesures des vitesses sont réalisées avant et après l'installation des ETD puis elles sont comparées. Les points d'enregistrement des vitesses sont situés en amont, au droit et à l'aval des ETD et permettent de déterminer la zone d'influence. L'effet global est ensuite déterminé et permet une comparaison des résultats entre les sites