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  1. Rapport d'étude (Ceremadoc) Etude hydrogéologique G1 ES et PGC à La Bassée

    À la demande de la Métropole Européenne de Lille (MEL) unité territoriale Marcq-En-Baroeul – La Bassée, le Cerema Hauts-de-France, département Infrastructures, a réalisé une étude géotechnique préalable concernant la désimperméabilisation de trois rues dans La Bassée (59) couplée à une étanchéification du réseau d’eaux usées. Les trois rues concernées sont : rue de Lille, rue du Général Leclerc et rue de Lens. La présente étude correspond à une mission G1 phases ES (Étude de Site) et PGC (Principes Généraux de Construction) au sens de la norme NF P94-500 de novembre 2013. Une recherche historique a été menée. Elle montre que les épaisseurs importantes de remblais visibles dans la BSS (Banque de Données du Sous-Sol) ou les investigations fournies ont des explications : remblaiement de fossés ou de douves et destruction de la première guerre mondiale. La rue de Lens est d’ailleurs une ancienne voie romaine. D’après l’étude bibliographique, deux configurations géologiques différentes sont présentes à l’échelle de la ville de La Bassée : - Alluvions sur craie à proximité du canal d’Aire - Sables du Landénien sur l’argile de Louvil au Nord de la rue du Général Leclerc L’analyse de la BSS du BRGM et des investigations fournies par la MEL montrent un déficit de connaissance sur la piézométrie. Un programme d’investigations est proposé dans cette optique. L’analyse des données d’entrée de la STEP de Salomé pour la branche La Bassée révèle un écart important entre le débit théorique et le débit réel. Une étude des eaux claires parasites a été lancée par la MEL pour conclure sur leurs origines. Une origine possible à démontrer est le drainage de la nappe par les réseaux d’assainissement. Un lien chiffré avec la nappe pourrait être calculé si des chroniques piézométriques existaient.
  2. Rapport d'étude (Ceremadoc) Etude hydrogéologique du Marais d'Isle à Saint-Quentin

    Cette étude hydrogéologique a été demandée par le CEN pour mieux comprendre les interactions entre la nappe et le marais d'Isle. Ce rapport détaille d'abord les données géologiques et historiques existantes puis les résultats de l'enquête terrain réalisée pour aboutir à une proposition du fonctionnement des interactions entre le marais d'Isle et les nappes ainsi que des investigations recommandées.
  3. Rapport d'étude (Ceremadoc) Etude hydrogéologique G1 ES et PGC à La Bassée

    À la demande de la Métropole Européenne de Lille (MEL) unité territoriale Marcq-En-Baroeul – La Bassée, le Cerema Hauts-de-France, département Infrastructures, a réalisé une étude géotechnique préalable concernant la désimperméabilisation de trois rues dans La Bassée (59) couplée à une étanchéification du réseau d’eaux usées. Les trois rues concernées sont : rue de Lille, rue du Général Leclerc et rue de Lens. La présente étude correspond à une mission G1 phases ES (Étude de Site) et PGC (Principes Généraux de Construction) au sens de la norme NF P94-500 de novembre 2013. Une recherche historique a été menée. Elle montre que les épaisseurs importantes de remblais visibles dans la BSS (Banque de Données du Sous-Sol) ou les investigations fournies ont des explications : remblaiement de fossés ou de douves et destruction de la première guerre mondiale. La rue de Lens est d’ailleurs une ancienne voie romaine. D’après l’étude bibliographique, deux configurations géologiques différentes sont présentes à l’échelle de la ville de La Bassée : - Alluvions sur craie à proximité du canal d’Aire - Sables du Landénien sur l’argile de Louvil au Nord de la rue du Général Leclerc L’analyse de la BSS du BRGM et des investigations fournies par la MEL montrent un déficit de connaissance sur la piézométrie. Un programme d’investigations est proposé dans cette optique. L’analyse des données d’entrée de la STEP de Salomé pour la branche La Bassée révèle un écart important entre le débit théorique et le débit réel. Une étude des eaux claires parasites a été lancée par la MEL pour conclure sur leurs origines. Une origine possible à démontrer est le drainage de la nappe par les réseaux d’assainissement. Un lien chiffré avec la nappe pourrait être calculé si des chroniques piézométriques existaient.
  4. Rapport d'étude (Ceremadoc) Etude hydrogéologique du Marais d'Isle à Saint-Quentin

    Cette étude hydrogéologique a été demandée par le CEN pour mieux comprendre les interactions entre la nappe et le marais d'Isle. Ce rapport détaille d'abord les données géologiques et historiques existantes puis les résultats de l'enquête terrain réalisée pour aboutir à une proposition du fonctionnement des interactions entre le marais d'Isle et les nappes ainsi que des investigations recommandées.
  5. Rapport d'étude (Ceremadoc) Tâche 2 : évaluation des séries d'observations pluviométriques et hydrométriques

    La DEAL Guadeloupe souhaite étudier l’opportunité de mettre en place une cellule de veille hydrologique sur son territoire. Pour cela, un plan d’actions triennal a été élaboré. Il est décomposé en 3 axes dont l’axe 2 qui consiste à étudier selon une approche territorialisée les modalités techniques de prévision des crues, des inondations et des étiages. Une des actions de cet axe 2 consiste en l’étude de la qualité et de l’exploitabilité des données hydrométriques et pluviométriques dans l’objectif de prévision des crues. Dans ce cadre, une tâche (la tâche 2) doit permettre d’évaluer les données hydrométriques et pluviométriques à disposition, valorisables dans le cadre de la mise en place d’une cellule de veille hydrologique. Le présent rapport s’attache à décrire les données hydrométriques et pluviométriques disponibles, à fournir une information sur la qualité de ces données, les temps de propagation ainsi que les temps de réponse des sous-bassins versants étudiés.
  6. Rapport d'étude (Ceremadoc) Tâche 2 : évaluation des séries d'observations pluviométriques et hydrométriques

    La DEAL Guadeloupe souhaite étudier l’opportunité de mettre en place une cellule de veille hydrologique sur son territoire. Pour cela, un plan d’actions triennal a été élaboré. Il est décomposé en 3 axes dont l’axe 2 qui consiste à étudier selon une approche territorialisée les modalités techniques de prévision des crues, des inondations et des étiages. Une des actions de cet axe 2 consiste en l’étude de la qualité et de l’exploitabilité des données hydrométriques et pluviométriques dans l’objectif de prévision des crues. Dans ce cadre, une tâche (la tâche 2) doit permettre d’évaluer les données hydrométriques et pluviométriques à disposition, valorisables dans le cadre de la mise en place d’une cellule de veille hydrologique. Le présent rapport s’attache à décrire les données hydrométriques et pluviométriques disponibles, à fournir une information sur la qualité de ces données, les temps de propagation ainsi que les temps de réponse des sous-bassins versants étudiés.
  7. Edition (Ceremadoc) Éviter les interférences des échangeurs géothermiques : Méthodologie pour déterminer le volume d’exploitation d’un gîte géothermique

    La présente publication apporte une définition technique à la notion de volume d’exploitation applicable aux échangeurs géothermiques basse ou très basse énergie verticaux, ouverts ou fermés. La définition proposée permet d’éviter que de nouvelles installations altèrent le bon fonctionnement du projet sur la durée du permis sollicité. Cette définition permet également d’optimiser l’extension du volume d’exploitation afin de maintenir l’accessibilité à la ressource géothermique, et donc de favoriser le développement de cette énergie renouvelable. Finalement, le document présente un cadre méthodologique, en quatre étapes, pour déterminer le volume d’exploitation d’une installation géothermique. Introduction Contexte et objectif Domaine d’application et structure du document 1. Définitions et étapes pour déterminer le volume d’exploitation d’un gîte géothermique 2. Méthode pour déterminer le volume d’exploitation 2.1 Définir la perturbation thermique ΔTmax acceptable (étape 1) 2.2 Cartographier les probabilités que des transferts thermiques atteignent une installation géothermique (étape 2) 2.2.1 Cas des échangeurs ouverts 2.2.2 Cas des échangeurs fermés dans une formation aquifère 2.2.3 Cas des échangeurs fermés dans une formation non-aquifère 2.2.4 Cartographie des probabilités par modélisation numérique 2.3 Délimiter l’extension horizontale du volume d’exploitation (étape 3) 2.3.1 Définir la puissance thermique vis-à-vis de laquelle l’installation doit être protégée 2.3.2 Prendre en compte le profil géologique 2.4 Délimiter la limite supérieure et inférieure du volume d’exploitation (étape 4) 2.4.1 Cas des échangeurs ouverts 2.4.2 Cas des échangeurs fermés 3. Bibliographie Annexe 1 Propriétés hydrauliques et thermiques de formations géologiques communes Nomenclature
  8. Edition (Ceremadoc) Éviter les interférences des échangeurs géothermiques : Méthodologie pour déterminer le volume d’exploitation d’un gîte géothermique

    La présente publication apporte une définition technique à la notion de volume d’exploitation applicable aux échangeurs géothermiques basse ou très basse énergie verticaux, ouverts ou fermés. La définition proposée permet d’éviter que de nouvelles installations altèrent le bon fonctionnement du projet sur la durée du permis sollicité. Cette définition permet également d’optimiser l’extension du volume d’exploitation afin de maintenir l’accessibilité à la ressource géothermique, et donc de favoriser le développement de cette énergie renouvelable. Finalement, le document présente un cadre méthodologique, en quatre étapes, pour déterminer le volume d’exploitation d’une installation géothermique. Introduction Contexte et objectif Domaine d’application et structure du document 1. Définitions et étapes pour déterminer le volume d’exploitation d’un gîte géothermique 2. Méthode pour déterminer le volume d’exploitation 2.1 Définir la perturbation thermique ΔTmax acceptable (étape 1) 2.2 Cartographier les probabilités que des transferts thermiques atteignent une installation géothermique (étape 2) 2.2.1 Cas des échangeurs ouverts 2.2.2 Cas des échangeurs fermés dans une formation aquifère 2.2.3 Cas des échangeurs fermés dans une formation non-aquifère 2.2.4 Cartographie des probabilités par modélisation numérique 2.3 Délimiter l’extension horizontale du volume d’exploitation (étape 3) 2.3.1 Définir la puissance thermique vis-à-vis de laquelle l’installation doit être protégée 2.3.2 Prendre en compte le profil géologique 2.4 Délimiter la limite supérieure et inférieure du volume d’exploitation (étape 4) 2.4.1 Cas des échangeurs ouverts 2.4.2 Cas des échangeurs fermés 3. Bibliographie Annexe 1 Propriétés hydrauliques et thermiques de formations géologiques communes Nomenclature
  9. Rapport d'étude (Ceremadoc) Actualisation du profil d'équilibre de la Rivière du Mât - Analyse des évolutions morphologiques depuis 2007

    L’étude a pour objet d’analyser l’évolution morphologique depuis octobre 2007 du lit de la Rivière du Mât située sur l’Île de la Réunion. L’analyse morphologique a été réalisée sur la partie aval de la rivière depuis l’amont de la prise d’eau ILO « Irrigation du Littoral Ouest » (agglomération de Salazie) jusqu’à son embouchure dans l’Océan Indien (agglomérations de Saint-André et de Bras-Panon) où se concentrent les principaux enjeux concernés par les aléas d’inondation et d’érosion liés aux crues cycloniques. Elle est basée sur la comparaison du levé topographique réalisé par photogrammétrie en août-octobre 2007 et du levé topographique le plus récent réalisé par LIDAR en septembre 2017. Cette étude propose également une actualisation du profil en long d'équilibre et de l’espace de mobilité en plan de la Rivière du Mât.
  10. Rapport d'étude (Ceremadoc) Actualisation du profil d'équilibre de la Rivière du Mât - Analyse des évolutions morphologiques depuis 2007

    L’étude a pour objet d’analyser l’évolution morphologique depuis octobre 2007 du lit de la Rivière du Mât située sur l’Île de la Réunion. L’analyse morphologique a été réalisée sur la partie aval de la rivière depuis l’amont de la prise d’eau ILO « Irrigation du Littoral Ouest » (agglomération de Salazie) jusqu’à son embouchure dans l’Océan Indien (agglomérations de Saint-André et de Bras-Panon) où se concentrent les principaux enjeux concernés par les aléas d’inondation et d’érosion liés aux crues cycloniques. Elle est basée sur la comparaison du levé topographique réalisé par photogrammétrie en août-octobre 2007 et du levé topographique le plus récent réalisé par LIDAR en septembre 2017. Cette étude propose également une actualisation du profil en long d'équilibre et de l’espace de mobilité en plan de la Rivière du Mât.