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  1. Rapport d'étude (Ceremadoc) Étude comparative de l’évolution de trait de côte au abords des ouvrages majeurs (côte Seine-Maritime)

    Cette analyse s’inscrit dans la suite de la précédente étude sur le comportement du trait de côte naturel en aval des ouvrages majeurs réalisée en 2018 et 2019 sur la Seine-Maritime, pour la DDTM. Cette étude avait mis en relief une accentuation du recul des falaises sur un secteur compris entre 250 et 300 mètres en aval des ouvrages. Cependant cette variation du recul ne peut être exclusivement attribuée aux ouvrages car d’autres paramètres sont susceptibles de jouer un rôle sur le recul de trait de côte, notamment l’orientation de celui-ci ainsi que la nature géologique et géomorphologique des falaises.
  2. Rapport d'étude (Ceremadoc) RD912 - Etude de la sensibilité aux instabilités de la route de la corniche

    Cette étude a pour objectif d’étudier la stabilité et la sécurité de la route de la corniche (RD912) entre Ciboure et Hendaye, dont l'environnement immédiat présente un aléa localement fort à très fort d'instabilité de falaise. Il s’agit d’une mission d'expertise portant sur l'analyse de la sensibilité de la route vis-à-vis des phénomènes de mouvements de terrain (mécanismes redoutés, dangers encourus et niveau d'urgence). L’analyse se concentre sur l’examen des tronçons les plus vulnérables, identifiés comme prioritaires en raison de leur très fort niveau d’exposition aux aléas naturels. L’étude comprend un diagnostic du site, basé sur une analyse documentaire et une reconnaissance de terrain, la constitution d’un modèle géologique, la réalisation de calculs de stabilité et l’appréhension des effets de la houle sur la stabilité de la falaise.
  3. Rapport d'étude (Ceremadoc) Étude sur l’érosion côtière En aval des ouvrages majeurs en Seine Maritime

    Étude spatio-temporelle du trait de côte naturel en aval des ouvrages majeurs dans le secteur situé entre Sainte-Marguerite-sur-Mer et Mesnil Val en Seine Maritime. L’objectif de l’étude est d’identifier, si possible, l’impact de ces aménagements. Les moyens utilisés sont des prises de vue aériennes historiques et la reproduction de la méthode des casiers utilisée pour calculer l’indicateur national d’érosion côtière. Une tendance dans le comportement du trait de côte derrière les ouvrages est mise en évidence. Trait de côte en aval des ouvrages – Étude spatio-temporelle – mai 2018 2/
  4. Rapport d'étude (Ceremadoc) Étude sur l’érosion côtière En aval des ouvrages majeurs en Seine Maritime (Partie 2)

    Étude spatio-temporelle du trait de côte naturel en aval des ouvrages majeurs dans le secteur situé entre Etretat et Saint-Aubin-sur-Mer en Seine Maritime. L’objectif de l’étude est d’identifier, si possible, l’impact de ces aménagements. Les moyens utilisés sont des prises de vue aériennes historiques et la reproduction de la méthode des casiers utilisée pour calculer l’indicateur national d’érosion côtière. Une tendance dans le comportement du trait de côte derrière les ouvrages est mise en évidence. Cette étude est la seconde partie de l’étude du trait de côte en aval des ouvrages majeurs sur le secteur entre Sainte- Marguerite-sur-Mer et Mesnil-Val.
  5. Rapport d'étude (Ceremadoc) Rapport sur le suivi du cordon de galets de la plage de Quiberville - exploitation des vols drone campagne 2019

    L’analyse photogrammétrique par drone de la plage de Quiberville – Sainte-Marguerite a pour but d’estimer l’évolution du cordon de galets au droit des ouvrages de défense contre la mer et d’évaluer l’impact des tempêtes sur le cordon de galets et le profil de la plage. L’objectif est de capitaliser les informations de manière à mieux cerner le fonctionnement du littoral notamment celui du cordon de galets dans une basse vallée.
  6. Rapport d'étude (Ceremadoc) Etude de l’intensité-durée-fréquence des houles et niveaux marins au large de Sète

    Les modélisations numériques de la submersion marine les plus complexes prennent en compte aujourd’hui les événements marins sur l’ensemble de leur durée, permettant de simuler la pénétration à terre des volumes d’eau de façon adéquate. Cette étude statistique a permis de construire des diagrammes synthétiques monofréquence des grandeurs marines (houle, surcote). Ces diagrammes décrivent l’évolution de la grandeur marine étudiée en fonction du temps lors d’un événement de période de retour donné. Ils sont élaborés pour une utilisation en entrée du modèle numérique de submersion marine sur le territoire du Syndicat Mixte du Bassin de Thau. L’analyse effectuée ici ne prend pas en compte des diagrammes présentant deux ou plusieurs pics. Sur la zone d’étude, seules les données de la base de données Anemoc-2 pour les houles et les données des marégraphes de Sète et de Grau de la Dent ont été utilisées. La comparaison de la base de données Anemoc-2 et des données des houlographes Candhis sur les événements forts communs montre qu’il est possible d’utiliser les houlogrammes synthètiques monofréquence produits dans cette étude. La comparaison des données des marégraphes de Sète et de Grau de la dent sur les événements forts ne plaide pas pour une utilisation directe des données du Grau de la Dent en remplacement des données de Sète.
  7. Rapport d'étude (Ceremadoc) Documents stratégiques de façade et de bassins maritimes volet stratégique, Guide d'élaboration, Volume 1 Principes et contexte

    L'ouvrage est un guide méthodologique pour l'élaboration de la planification stratégique de la gestion intégrée de la mer et du littoral. Le premier volume est consacré aux principes et au cadre législatif et réglementaire, au contenu attendu pour les documents de planification, au lien avec les autres politiques et à la coopération internationale.
  8. Rapport d'étude (Ceremadoc) Documents stratégiques de façade et de bassins maritimes volet stratégique, Guide d'élaboration, Volume 2 Méthodologie

    L'ouvrage est un guide méthodologique pour l'élaboration de la planification stratégique de la gestion intégrée de la mer et du littoral. Le second volume propose une méthode de préparation pas à pas du document stratégique, de l'état des lieux initial et l'identification des enjeux, à la formulation d'une vision pour l'avenir puis sa traduction en objectifs stratégiques et dans une carte des vocations qui fournit une planification de l'espace maritime.
  9. Rapport d'étude (Ceremadoc) Étude sur le recul du trait de côte sur le littoral de la Seine-Maritime 2018

    Cette étude commandée par la DDTM de Seine-Maritime sur le recul du trait de côte a pour objectifs de définir des projections du trait de côte à trois horizons 20, 50 et 100 ans et d’en déduire ensuite les enjeux potentiellement présents dans ces enveloppes et susceptibles d’être concernés par le recul du trait de côte à ces différentes échéances futures. Des tests ont été réalisés afin de caler la méthode qui a été validée par le comité de pilotage de l’étude réunissant l’université de Caen, le ROL, la DDTM et le Cerema. La méthode a consisté en une adaptation de l’indicateur national d’érosion côtière par une amélioration de la précision par casiers de 50m, par la prise en compte des événements majeurs, par la méthode de calculs à la fois par surface perdue et par distance max.
  10. Rapport d'étude (Ceremadoc) Étude sur l’érosion côtière En aval des ouvrages majeurs en Seine Maritime (Partie 2)

    Étude spatio-temporelle du trait de côte naturel en aval des ouvrages majeurs dans le secteur situé entre Etretat et Saint-Aubin-sur-Mer en Seine Maritime. L’objectif de l’étude est d’identifier, si possible, l’impact de ces aménagements. Les moyens utilisés sont des prises de vue aériennes historiques et la reproduction de la méthode des casiers utilisée pour calculer l’indicateur national d’érosion côtière. Une tendance dans le comportement du trait de côte derrière les ouvrages est mise en évidence. Cette étude est la seconde partie de l’étude du trait de côte en aval des ouvrages majeurs sur le secteur entre Sainte- Marguerite-sur-Mer et Mesnil-Val.
  11. Rapport d'étude (Ceremadoc) Étude sur l’érosion côtière En aval des ouvrages majeurs en Seine Maritime

    Étude spatio-temporelle du trait de côte naturel en aval des ouvrages majeurs dans le secteur situé entre Sainte-Marguerite-sur-Mer et Mesnil Val en Seine Maritime. L’objectif de l’étude est d’identifier, si possible, l’impact de ces aménagements. Les moyens utilisés sont des prises de vue aériennes historiques et la reproduction de la méthode des casiers utilisée pour calculer l’indicateur national d’érosion côtière. Une tendance dans le comportement du trait de côte derrière les ouvrages est mise en évidence. Trait de côte en aval des ouvrages – Étude spatio-temporelle – mai 2018 2/
  12. Rapport d'étude (Ceremadoc) RD912 - Etude de la sensibilité aux instabilités de la route de la corniche

    Cette étude a pour objectif d’étudier la stabilité et la sécurité de la route de la corniche (RD912) entre Ciboure et Hendaye, dont l'environnement immédiat présente un aléa localement fort à très fort d'instabilité de falaise. Il s’agit d’une mission d'expertise portant sur l'analyse de la sensibilité de la route vis-à-vis des phénomènes de mouvements de terrain (mécanismes redoutés, dangers encourus et niveau d'urgence). L’analyse se concentre sur l’examen des tronçons les plus vulnérables, identifiés comme prioritaires en raison de leur très fort niveau d’exposition aux aléas naturels. L’étude comprend un diagnostic du site, basé sur une analyse documentaire et une reconnaissance de terrain, la constitution d’un modèle géologique, la réalisation de calculs de stabilité et l’appréhension des effets de la houle sur la stabilité de la falaise.
  13. Rapport d'étude (Ceremadoc) Étude comparative de l’évolution de trait de côte au abords des ouvrages majeurs (côte Seine-Maritime)

    Cette analyse s’inscrit dans la suite de la précédente étude sur le comportement du trait de côte naturel en aval des ouvrages majeurs réalisée en 2018 et 2019 sur la Seine-Maritime, pour la DDTM. Cette étude avait mis en relief une accentuation du recul des falaises sur un secteur compris entre 250 et 300 mètres en aval des ouvrages. Cependant cette variation du recul ne peut être exclusivement attribuée aux ouvrages car d’autres paramètres sont susceptibles de jouer un rôle sur le recul de trait de côte, notamment l’orientation de celui-ci ainsi que la nature géologique et géomorphologique des falaises.
  14. Rapport d'étude (Ceremadoc) Rapport sur le suivi du cordon de galets de la plage de Quiberville - exploitation des vols drone campagne 2019

    L’analyse photogrammétrique par drone de la plage de Quiberville – Sainte-Marguerite a pour but d’estimer l’évolution du cordon de galets au droit des ouvrages de défense contre la mer et d’évaluer l’impact des tempêtes sur le cordon de galets et le profil de la plage. L’objectif est de capitaliser les informations de manière à mieux cerner le fonctionnement du littoral notamment celui du cordon de galets dans une basse vallée.
  15. Rapport d'étude (Ceremadoc) Etude de la faisabilité pour la mise en place d'un observatoire régional du trait de côte : Partie I - Objectifs et état des lieux de l'existant. Partie II - Evaluation des besoins et des priorités régionales

    Les partenaires de la convention GTCSM (État et collectivités territoriales) souhaitent développer et encourager l'observation du trait de côte, dans le but d'approfondir les connaissances concernant l'évolution du trait de côte et les mouvements hydro-sédimentaires sur le littoral des Pays de la Loire, dans la logique de la récente stratégie nationale de gestion intégrée du trait de côte (2012). Un groupe de travail dédié à la problématique du littoral a été mis en place dans le cadre de GEOPAL. Dans ce contexte, la DREAL a demandé au CETE de l'Ouest de produire une étude de faisabilité pour la mise en place d'un observatoire régional s'appuyant sur les initiatives locales déjà en place ou émergentes. L'étude de faisabilité comporte trois parties : - La Partie I regroupe, après présentation du contexte et des objectifs de l'étude, des initiatives en cours dans le domaine de la gestion du trait de côte et un état des lieux des observatoires existants en France. Les différentes structures et méthodes d'observation utilisées sont analysées, en particulier les initiatives et travaux réalisés localement. Le fonctionnement des observatoires locaux déjà en place en Pays de la Loire est également présenté. - La Partie II comprend une analyse du littoral ligérien sous les angles de la géomorphologie, des enjeux présents et de la mobilité du trait de côte qui permet de proposer des secteurs à suivre en priorité. - En attente pour le moment, une Partie III est envisagée pour esquisser une proposition de mesures à mettre en œuvre, de forme de structure à organiser ainsi qu’une première estimation des moyens nécessaires à la mise en place de l'observatoire. Cette étude est le tout premier pas de la mise en place de l'observatoire régional, et devrait permettre par la suite d'approfondir et de préciser l'organisation à mettre en place, notamment en déterminant clairement le rôle de chaque partenaire, et en commençant à impliquer les acteurs concernés.
  16. Rapport d'étude (Ceremadoc) Numérisation des données Grau de la Dent avec NUNIEAU de 1996 à 2015.

    L'objet de cette prestation a été de numériser les données du marégraphe géré par la Compagnie des Salins du Midi au Grau de la Dent, petit port entre le grand Rhône et la pointe de Beauduc. Le Cerema Méditerranée (ex CETE Méditerranée) avait avant cette étude déjà numérisé des données de 1960 à 1995 sur ce marégraphe avec le logiciel NUNIEAU. Les données issues de ce travail au format numérique sont disponibles de 1996 à 2015 sauf quelques semaines manquantes (données manquantes, irrécupérables...) et surtout les années 2012 et 2013 non trouvées par la Compagnie des Salins du Midi. Cette période a été plus complexe à numériser, stylet défaillant, nombreux recalages sans indications, dérives de l'appareil et quelques pertes de qualité lié au pliage des feuilles. En synthèse, ces données sont exploitables pour l'analyse d'événements historiques en particulier les tempêtes, la réalisation d'analyses statistiques sur le niveau marin direct et sur les surcôtes (après vérification de quelques décalages temporels). En revanche, l'analyse de la remontée du niveau marin peut être réalisée avec énormément de précaution. Une analyse des évolutions des tempêtes est par contre envisageable.
  17. Rapport d'étude (Ceremadoc) Étude de stabilité des sols suite aux tempêtes de l’hiver 2013/2014 dans le Finistère : diagnostic de risques de la SPPL Commune de Crozon

    Les sections de sentier littoral étudiées sur la commune de Crozon progressent pour la majeure partie en versant de falaise massive rocheuse ou reposent sur des dépôts meubles provenant de coulées périglaciaires. La succession d'épisodes de tempêtes durant l'hiver 2013-2014 a conduit aux recensements par les services de l’État d'un certain nombre de désordres ayant impliqué localement la fermeture du sentier littoral pour des raisons de sécurité des usagers. Le diagnostic de risques ainsi établi montre que ces désordres ont un impact direct sur le sentier littoral ou le menace en agissant sur le versant côtier et peuvent de ce fait, mettre en danger les usagers. Cette étude de risques met également en avant le travail des gestionnaires qui, pour la moitié des sections inspectées, ont déjà mis en place des mesures de sécurité, de retrait ou de délocalisation du sentier. Sur d'autres sites, de telles mesures sont à prévoir. Dans tous les cas, à une échéance de 15 ans, il paraît difficile de quantifier l'évolution du rivage sous influence des mécanismes d'érosion continentale et marine, et de ce fait d'anticiper le positionnement du sentier littoral à cette échéance. Il appartient donc aux gestionnaires de poursuivre leurs suivis et d'adapter en conséquence les mesures de préventions pour assurer la pérennité du sentier littoral.
  18. Rapport d'étude (Ceremadoc) Étude de l’érosion du trait de côte suite aux tempêtes de l’hiver 2013/2014 dans le Finistère : Préconisations de suivi et de gestion du site de Boutrouilles - Commune de Kerlouan

    La phase 1 de l’étude (année 2015) a consisté en une analyse du fonctionnement du site réalisée à l’échelle de la cellule hydrosédimentaire en distinguant l’évolution événementielle de la dune et de la plage des évolutions à plus long terme. L’analyse des phénomènes d’une part et des enjeux d’autre part ne mettait pas en évidence une situation justifiant la mise en place de mesures lourdes de fixation du trait de côte. Elle préconisait à court comme à moyen termes la mise en place de mesure d’accompagnement des processus naturels. Le site de Boutrouilles est exemplaire pour son suivi réalisé depuis 2006 par le Laboratoire GEOMER – UMR 6554 LETG CNRS Institut Universitaire Européen de la Mer. Le protocole de suivi appliqué peut être repris et adapté à d’autres sites.
  19. Rapport d'étude (Ceremadoc) Retour d’expérience sur Xynthia : Analyse par photo-interprétation des clichés aériens de l’IGN (baie de l’Aiguillon)

    Le présent rapport rend compte de l’analyse stéréoscopique, à l’aide du logiciel GeoView ®, des clichés IGN post-Xynthia du secteur de la baie de l’Aiguillon. Cette étude a été commandée par la DGPR dans le cadre des retours d’expérience de l’événement Xynthia. Après un rappel du contexte de l’étude, de sa phase de préparation et de ses objectifs initiaux, le rapport présente la méthodologie mise en œuvre, les résultats obtenus, ainsi que les apports et limites de l’outil GeoView ® vis-à-vis de la connaissance de l’événement Xynthia dans une partie de la baie de l’Aiguillon (marais de la Dive). L’étude analyse les résultats vis-à-vis d’autres documents et données réalisés suite à l’événement Xynthia et met en évidence leur cohérence d’ensemble. Toutefois, la stéréoscopie numérique permet d’affiner la compréhension du déroulement de la submersion et de mieux cerner son enveloppe. L’outil GeoView ® est donc un outil potentiellement intéressant pour l’analyse d’événements de submersion, sous réserve d’une part, de fixer des objectifs atteignables dans un temps limité et d’autre part, de réaliser les clichés aériens le plus près possible de la date de l’événement.
  20. Rapport d'étude (Ceremadoc) Etude de l’intensité-durée-fréquence des houles et niveaux marins au large de Sète

    Les modélisations numériques de la submersion marine les plus complexes prennent en compte aujourd’hui les événements marins sur l’ensemble de leur durée, permettant de simuler la pénétration à terre des volumes d’eau de façon adéquate. Cette étude statistique a permis de construire des diagrammes synthétiques monofréquence des grandeurs marines (houle, surcote). Ces diagrammes décrivent l’évolution de la grandeur marine étudiée en fonction du temps lors d’un événement de période de retour donné. Ils sont élaborés pour une utilisation en entrée du modèle numérique de submersion marine sur le territoire du Syndicat Mixte du Bassin de Thau. L’analyse effectuée ici ne prend pas en compte des diagrammes présentant deux ou plusieurs pics. Sur la zone d’étude, seules les données de la base de données Anemoc-2 pour les houles et les données des marégraphes de Sète et de Grau de la Dent ont été utilisées. La comparaison de la base de données Anemoc-2 et des données des houlographes Candhis sur les événements forts communs montre qu’il est possible d’utiliser les houlogrammes synthètiques monofréquence produits dans cette étude. La comparaison des données des marégraphes de Sète et de Grau de la dent sur les événements forts ne plaide pas pour une utilisation directe des données du Grau de la Dent en remplacement des données de Sète.
  21. Rapport d'étude (Ceremadoc) Rapport méthodologique : Recensement des événements météorologiques et dommages associés sur les côtes - Fascicule n°4 du guide d’accompagnement des missions RDI

    Le présent rapport, élaboré par le Cerema, sous la tutelle du Schapi et en partenariat avec les DREAL et les missions RDI sur le littoral s’inscrit dans la démarche d’accompagnement méthodologique développée par la DGPR et confiée au Schapi pour favoriser la montée en puissance des missions RDI sur le littoral. Il a pour ambition d’aider les membres de la mission RDI sur le littoral à constituer une base de données permettant de recenser et capitaliser les informations sur les événements météo-océaniques et leurs dommages associés à la côte. L’outil réalisé comprend une base de données sous la forme d’un tableur. Ce tableur pourra être ensuite transposé sous la forme d’un formulaire permettant une saisie plus conviviale. Il pourra également être transposé au sein de systèmes d’information géographique (SIG), pour faciliter le recueil des données, leur traitement, leur représentation et les exploitations ultérieures. Après un bref rappel des phénomènes à prendre en compte, des besoins de la mission RDI sur le littoral et du contenu de la mission RDI sur le littoral, la seconde partie de ce fascicule reprend rapidement la méthodologie de capitalisation par analogie avec des tempêtes passées, prônée par le Schapi et développée dans le fascicule 2 du guide d’accompagnement des missions RDI (Submersions marines : Capitalisation des données littorales pour l’aide à la décision en gestion de crise). Cette seconde partie synthétise également, sans être exhaustive, les études déjà réalisées à l’échelle nationale. Ensuite, la troisième partie présente concrètement comment remplir les fiches « tempête » et son tableur associé. Ce tableur permet de recenser et de capitaliser sous forme de catalogue les informations sur les événements météo-océaniques, en utilisant leurs caractéristiques météo-marines principales (mesures de houle, niveaux d’eau, surcote, marée, vent, etc) associées aux dommages / dégâts observés à la côte. La quatrième partie du rapport présente comment mobiliser la fiche tempête en gestion de crise et la cinquième partie synthétise les principes difficultés rencontrées pour remplir ce tableur et les limites de la méthode des analogues.
  22. Rapport d'étude (Ceremadoc) Apports des éléments historiques pour la connaissance des submersions marines sur le bassin de Thau

    Les modélisations numériques pour le calcul des submersions marines les plus complexes nécessitent de disposer d’un grand nombre d’éléments historiques de calage et de vérification pour ces calages. Après avoir effectué ces vérifications, il convient de bien comprendre le déroulement ou les conséquences d’évènements historiques pour proposer des scenarii possibles de modélisation en particulier pour des phénomènes de faible probabilité. Ce type d’approche nécessite d’étudier les évènements passés, avec des recherches documentaires dans les archives afin de disposer d’un maximum d’éléments factuels. Le Syndicat Mixte du Bassin de Thau (SMBT) a conventionné avec le Cerema Méditerranée pour conduire ce type d’analyse dans l’objectif de choisir des scénarios de modélisation de la submersion marine sur le territoire du SMBT. L’objectif de ce rapport n’est pas de fournir des valeurs ou principes figés mais de montrer les gammes de possibilités et de fournir des éléments de décision au SMBT, aux collectivités de son territoire et mettre à disposition de BRL des éléments pour les travaux en cours sur le projet VIGI-THAU sur les submersions marines.
  23. Rapport d'étude (Ceremadoc) Étude sur le recul du trait de côte sur le littoral de la Seine-Maritime 2018

    Cette étude commandée par la DDTM de Seine-Maritime sur le recul du trait de côte a pour objectifs de définir des projections du trait de côte à trois horizons 20, 50 et 100 ans et d’en déduire ensuite les enjeux potentiellement présents dans ces enveloppes et susceptibles d’être concernés par le recul du trait de côte à ces différentes échéances futures. Des tests ont été réalisés afin de caler la méthode qui a été validée par le comité de pilotage de l’étude réunissant l’université de Caen, le ROL, la DDTM et le Cerema. La méthode a consisté en une adaptation de l’indicateur national d’érosion côtière par une amélioration de la précision par casiers de 50m, par la prise en compte des événements majeurs, par la méthode de calculs à la fois par surface perdue et par distance max.
  24. Rapport d'étude (Ceremadoc) Documents stratégiques de façade et de bassins maritimes volet stratégique, Guide d'élaboration, Volume 2 Méthodologie

    L'ouvrage est un guide méthodologique pour l'élaboration de la planification stratégique de la gestion intégrée de la mer et du littoral. Le second volume propose une méthode de préparation pas à pas du document stratégique, de l'état des lieux initial et l'identification des enjeux, à la formulation d'une vision pour l'avenir puis sa traduction en objectifs stratégiques et dans une carte des vocations qui fournit une planification de l'espace maritime.
  25. Rapport d'étude (Ceremadoc) Documents stratégiques de façade et de bassins maritimes volet stratégique, Guide d'élaboration, Volume 1 Principes et contexte

    L'ouvrage est un guide méthodologique pour l'élaboration de la planification stratégique de la gestion intégrée de la mer et du littoral. Le premier volume est consacré aux principes et au cadre législatif et réglementaire, au contenu attendu pour les documents de planification, au lien avec les autres politiques et à la coopération internationale.
  26. Rapport d'étude (Ceremadoc) Rapport sur l'inventaire et atlas des décharges anciennes et non autorisées en Seine Maritime

    Des décharges anciennes parfois officielles, parfois non autorisées ont pu être installées et exploitées à proximité immédiate du littoral. Au fil du temps, toutes ces décharges ont été abandonnées au profit de systèmes de traitements des déchets respectueux de l’environnement. Une partie de ces décharges a été dégagée mais d’autres sont restées en place en l’état, ou remblayées sans autre traitement ou suivi. Avec les phénomènes d’érosion côtière que connaît le littoral français, ces décharges réapparaissent au gré du recul des falaises ou des cordons dunaires et peuvent ainsi engendrer des risques de pollution. Une bibliographie sur ce sujet montre que globalement il n’existe pas d’inventaire national de ce type. Seules quelques études ponctuelles font état de recensement. Ce besoin de recensement a été exprimé à la fois par les services déconcentrés, les services centraux du Ministère de la Transition Écologique et le Conservatoire du Littoral qui est potentiellement intéressé sur son périmètre d’intervention. Le Cerema est un établissement public qui dispose de données et de compétences pour être en mesure de répondre à cette problématique d’inventaire sur la base d’outils et de méthodes SIG. Cette étude s’appuie sur des travaux de bibliographie, de photo-interprétation de clichés aériens anciens et d’enquêtes auprès des collectivités. La mission confiée au Cerema par la DDTM de Seine-Maritime, le service des données et des études statistiques du Ministère de la Transition Écologique (MTES/CGDD/SDES) et le Conservatoire du Littoral comprend donc trois grandes phases : • le pré-inventaire des décharges par photo-interprétation de clichés anciens, • l’enquête auprès des services • la cartographie des résultats sous forme d’altas
  27. Rapport d'étude (Ceremadoc) Etude de la faisabilité pour la mise en place d'un observatoire régional du trait de côte : Partie I - Objectifs et état des lieux de l'existant. Partie II - Evaluation des besoins et des priorités régionales

    Les partenaires de la convention GTCSM (État et collectivités territoriales) souhaitent développer et encourager l'observation du trait de côte, dans le but d'approfondir les connaissances concernant l'évolution du trait de côte et les mouvements hydro-sédimentaires sur le littoral des Pays de la Loire, dans la logique de la récente stratégie nationale de gestion intégrée du trait de côte (2012). Un groupe de travail dédié à la problématique du littoral a été mis en place dans le cadre de GEOPAL. Dans ce contexte, la DREAL a demandé au CETE de l'Ouest de produire une étude de faisabilité pour la mise en place d'un observatoire régional s'appuyant sur les initiatives locales déjà en place ou émergentes. L'étude de faisabilité comporte trois parties : - La Partie I regroupe, après présentation du contexte et des objectifs de l'étude, des initiatives en cours dans le domaine de la gestion du trait de côte et un état des lieux des observatoires existants en France. Les différentes structures et méthodes d'observation utilisées sont analysées, en particulier les initiatives et travaux réalisés localement. Le fonctionnement des observatoires locaux déjà en place en Pays de la Loire est également présenté. - La Partie II comprend une analyse du littoral ligérien sous les angles de la géomorphologie, des enjeux présents et de la mobilité du trait de côte qui permet de proposer des secteurs à suivre en priorité. - En attente pour le moment, une Partie III est envisagée pour esquisser une proposition de mesures à mettre en œuvre, de forme de structure à organiser ainsi qu’une première estimation des moyens nécessaires à la mise en place de l'observatoire. Cette étude est le tout premier pas de la mise en place de l'observatoire régional, et devrait permettre par la suite d'approfondir et de préciser l'organisation à mettre en place, notamment en déterminant clairement le rôle de chaque partenaire, et en commençant à impliquer les acteurs concernés.
  28. Rapport d'étude (Ceremadoc) Adaptation des territoires littoraux méditerranéens au changement climatique. Phase 2 : outils et méthodologies existants

    Dans un contexte de changement climatique, la stratégie nationale de gestion intégrée du trait de côte a pour ambition de mieux anticiper l’évolution des phénomènes d’érosion et de submersion ainsi que leurs conséquences sur les territoires littoraux, notamment en matière d’aménagement.Cette étude a pour objectif d’accompagner ces déclinaisons locales de la stratégie nationale en menant une approche transversale aménagement, risque érosion, vulnérabilité et environnement, pour permettre une gestion intégrée du trait de côte et des territoires littoraux, notamment par la recomposition spatiale de ces territoires. Ce rapport constitue la phase 2 de l’étude.
  29. Rapport d'étude (Ceremadoc) Adaptation des territoires littoraux méditerranéens au changement climatique. Phase 1 : Benchmarking des expériences existantes

    Dans un contexte de changement climatique, la stratégie nationale de gestion intégrée du trait de côte a pour ambition de mieux anticiper l’évolution des phénomènes d’érosion et de submersion ainsi que leurs conséquences sur les territoires littoraux, notamment en matière d’aménagement. Cette étude a pour objectif d’accompagner les déclinaisons locales de la stratégie nationale en menant une approche transversale aménagement, risque érosion, vulnérabilité et environnement, pour permettre une gestion intégrée du trait de côte et des territoires littoraux, notamment par la recomposition spatiale de ces territoires. Ce rapport constitue la phase 1 de l’étude.
  30. Rapport d'étude (Ceremadoc) Adaptation des territoires littoraux Méditerranéens au changement climatique. Phase 3 : Propositions d’outils et méthodologies

    Dans un contexte de changement climatique, la stratégie nationale de gestion intégrée du trait de côte a pour ambition de mieux anticiper l’évolution des phénomènes d’érosion et de submersion ainsi que leurs conséquences sur les territoires littoraux, notamment en matière d’aménagement. Cette étude a pour objectif d’accompagner ces déclinaisons locales de la stratégie nationale en menant une approche transversale aménagement, risque érosion, vulnérabilité et environnement, pour permettre une gestion intégrée du trait de côte et des territoires littoraux, notamment par la recomposition spatiale de ces territoires. Ce rapport constitue la phase 3 de l’étude.
  31. Rapport d'étude (Ceremadoc) Retour d’expérience sur Xynthia : Analyse par photo-interprétation des clichés aériens de l’IGN (baie de l’Aiguillon)

    Le présent rapport rend compte de l’analyse stéréoscopique, à l’aide du logiciel GeoView ®, des clichés IGN post-Xynthia du secteur de la baie de l’Aiguillon. Cette étude a été commandée par la DGPR dans le cadre des retours d’expérience de l’événement Xynthia. Après un rappel du contexte de l’étude, de sa phase de préparation et de ses objectifs initiaux, le rapport présente la méthodologie mise en œuvre, les résultats obtenus, ainsi que les apports et limites de l’outil GeoView ® vis-à-vis de la connaissance de l’événement Xynthia dans une partie de la baie de l’Aiguillon (marais de la Dive). L’étude analyse les résultats vis-à-vis d’autres documents et données réalisés suite à l’événement Xynthia et met en évidence leur cohérence d’ensemble. Toutefois, la stéréoscopie numérique permet d’affiner la compréhension du déroulement de la submersion et de mieux cerner son enveloppe. L’outil GeoView ® est donc un outil potentiellement intéressant pour l’analyse d’événements de submersion, sous réserve d’une part, de fixer des objectifs atteignables dans un temps limité et d’autre part, de réaliser les clichés aériens le plus près possible de la date de l’événement.
  32. Rapport d'étude (Ceremadoc) Étude de l’érosion du trait de côte suite aux tempêtes de l’hiver 2013/2014 dans le Finistère : Préconisations de suivi et de gestion du site de Boutrouilles - Commune de Kerlouan

    La phase 1 de l’étude (année 2015) a consisté en une analyse du fonctionnement du site réalisée à l’échelle de la cellule hydrosédimentaire en distinguant l’évolution événementielle de la dune et de la plage des évolutions à plus long terme. L’analyse des phénomènes d’une part et des enjeux d’autre part ne mettait pas en évidence une situation justifiant la mise en place de mesures lourdes de fixation du trait de côte. Elle préconisait à court comme à moyen termes la mise en place de mesure d’accompagnement des processus naturels. Le site de Boutrouilles est exemplaire pour son suivi réalisé depuis 2006 par le Laboratoire GEOMER – UMR 6554 LETG CNRS Institut Universitaire Européen de la Mer. Le protocole de suivi appliqué peut être repris et adapté à d’autres sites.
  33. Rapport d'étude (Ceremadoc) Étude de stabilité des sols suite aux tempêtes de l’hiver 2013/2014 dans le Finistère : diagnostic de risques de la SPPL Commune de Crozon

    Les sections de sentier littoral étudiées sur la commune de Crozon progressent pour la majeure partie en versant de falaise massive rocheuse ou reposent sur des dépôts meubles provenant de coulées périglaciaires. La succession d'épisodes de tempêtes durant l'hiver 2013-2014 a conduit aux recensements par les services de l’État d'un certain nombre de désordres ayant impliqué localement la fermeture du sentier littoral pour des raisons de sécurité des usagers. Le diagnostic de risques ainsi établi montre que ces désordres ont un impact direct sur le sentier littoral ou le menace en agissant sur le versant côtier et peuvent de ce fait, mettre en danger les usagers. Cette étude de risques met également en avant le travail des gestionnaires qui, pour la moitié des sections inspectées, ont déjà mis en place des mesures de sécurité, de retrait ou de délocalisation du sentier. Sur d'autres sites, de telles mesures sont à prévoir. Dans tous les cas, à une échéance de 15 ans, il paraît difficile de quantifier l'évolution du rivage sous influence des mécanismes d'érosion continentale et marine, et de ce fait d'anticiper le positionnement du sentier littoral à cette échéance. Il appartient donc aux gestionnaires de poursuivre leurs suivis et d'adapter en conséquence les mesures de préventions pour assurer la pérennité du sentier littoral.
  34. Rapport d'étude (Ceremadoc) Numérisation des données Grau de la Dent avec NUNIEAU de 1996 à 2015.

    L'objet de cette prestation a été de numériser les données du marégraphe géré par la Compagnie des Salins du Midi au Grau de la Dent, petit port entre le grand Rhône et la pointe de Beauduc. Le Cerema Méditerranée (ex CETE Méditerranée) avait avant cette étude déjà numérisé des données de 1960 à 1995 sur ce marégraphe avec le logiciel NUNIEAU. Les données issues de ce travail au format numérique sont disponibles de 1996 à 2015 sauf quelques semaines manquantes (données manquantes, irrécupérables...) et surtout les années 2012 et 2013 non trouvées par la Compagnie des Salins du Midi. Cette période a été plus complexe à numériser, stylet défaillant, nombreux recalages sans indications, dérives de l'appareil et quelques pertes de qualité lié au pliage des feuilles. En synthèse, ces données sont exploitables pour l'analyse d'événements historiques en particulier les tempêtes, la réalisation d'analyses statistiques sur le niveau marin direct et sur les surcôtes (après vérification de quelques décalages temporels). En revanche, l'analyse de la remontée du niveau marin peut être réalisée avec énormément de précaution. Une analyse des évolutions des tempêtes est par contre envisageable.
  35. Rapport d'étude (Ceremadoc) Capitalisation de dix événements de tempêtes et dommages associés sur les côtes - DDTM 29. Automatisation de la partie aléas des "fiches tempêtes" pour le département du Finistère

    Le présent rapport, élaboré par le Cerema, sous la tutelle du Schapi et en partenariat avec la DREAL Bretagne, la mission RDI sur le littoral du Finistère et Météo-France s’inscrit dans la démarche d’accompagnement développée par la DGPR et confiée au Schapi pour favoriser la montée en puissance des missions RDI sur le littoral. Le Cerema vient en aide aux missions RDI sur le littoral pour constituer des « fiches tempête », outil préconisé au niveau national et utile pour recenser et capitaliser les informations sur les événements météo-océaniques et leurs dommages associés à la côte. Ces informations sont regroupées sous forme de catalogue, en utilisant (1) leurs caractéristiques météo-marines principales (houle, niveaux d’eau, surcote, marée, vent, etc) associées (2) aux dommages / dégâts observés à la côte. Ces tempêtes bancarisées peuvent ensuite être comparées aux événements tempétueux en cours, par analogie, pour essayer d’estimer les dommages à la côte, en gestion de crise. La présente étude porte essentiellement sur le remplissage automatique de la partie aléa (caractéristiques météo-marines) des fiches « tempêtes » pour le département du Finistère. En effet, la DDTM 29 réalise déjà un recensement des dommages des tempêtes, mais la partie aléas de ce recensement est aujourd’hui incomplet. Dix tempêtes ont été sélectionnées en lien avec Météo- France. Après un bref rappel de la méthode de capitalisation des analogues préconisée à l’échelle nationale et un rapide constat de la vulnérabilité des côtes du Finistère, les tempêtes sélectionnées pour l’étude et les données récupérées par web scraping (technique permettant de récupérer de l’information publiée sur un site internet public) pour le remplissage de la partie aléas des « fiches tempêtes » sont présentées. Ensuite les outils développés pour le remplissage automatique de la partie aléas sont décrits ainsi que les limites de la méthode et les pistes d’amélioration envisageables.
  36. Rapport d'étude (Ceremadoc) Rapport méthodologique : Recensement des événements météorologiques et dommages associés sur les côtes - Fascicule n°4 du guide d’accompagnement des missions RDI

    Le présent rapport, élaboré par le Cerema, sous la tutelle du Schapi et en partenariat avec les DREAL et les missions RDI sur le littoral s’inscrit dans la démarche d’accompagnement méthodologique développée par la DGPR et confiée au Schapi pour favoriser la montée en puissance des missions RDI sur le littoral. Il a pour ambition d’aider les membres de la mission RDI sur le littoral à constituer une base de données permettant de recenser et capitaliser les informations sur les événements météo-océaniques et leurs dommages associés à la côte. L’outil réalisé comprend une base de données sous la forme d’un tableur. Ce tableur pourra être ensuite transposé sous la forme d’un formulaire permettant une saisie plus conviviale. Il pourra également être transposé au sein de systèmes d’information géographique (SIG), pour faciliter le recueil des données, leur traitement, leur représentation et les exploitations ultérieures. Après un bref rappel des phénomènes à prendre en compte, des besoins de la mission RDI sur le littoral et du contenu de la mission RDI sur le littoral, la seconde partie de ce fascicule reprend rapidement la méthodologie de capitalisation par analogie avec des tempêtes passées, prônée par le Schapi et développée dans le fascicule 2 du guide d’accompagnement des missions RDI (Submersions marines : Capitalisation des données littorales pour l’aide à la décision en gestion de crise). Cette seconde partie synthétise également, sans être exhaustive, les études déjà réalisées à l’échelle nationale. Ensuite, la troisième partie présente concrètement comment remplir les fiches « tempête » et son tableur associé. Ce tableur permet de recenser et de capitaliser sous forme de catalogue les informations sur les événements météo-océaniques, en utilisant leurs caractéristiques météo-marines principales (mesures de houle, niveaux d’eau, surcote, marée, vent, etc) associées aux dommages / dégâts observés à la côte. La quatrième partie du rapport présente comment mobiliser la fiche tempête en gestion de crise et la cinquième partie synthétise les principes difficultés rencontrées pour remplir ce tableur et les limites de la méthode des analogues.
  37. Rapport d'étude (Ceremadoc) Apports des éléments historiques pour la connaissance des submersions marines sur le bassin de Thau

    Les modélisations numériques pour le calcul des submersions marines les plus complexes nécessitent de disposer d’un grand nombre d’éléments historiques de calage et de vérification pour ces calages. Après avoir effectué ces vérifications, il convient de bien comprendre le déroulement ou les conséquences d’évènements historiques pour proposer des scenarii possibles de modélisation en particulier pour des phénomènes de faible probabilité. Ce type d’approche nécessite d’étudier les évènements passés, avec des recherches documentaires dans les archives afin de disposer d’un maximum d’éléments factuels. Le Syndicat Mixte du Bassin de Thau (SMBT) a conventionné avec le Cerema Méditerranée pour conduire ce type d’analyse dans l’objectif de choisir des scénarios de modélisation de la submersion marine sur le territoire du SMBT. L’objectif de ce rapport n’est pas de fournir des valeurs ou principes figés mais de montrer les gammes de possibilités et de fournir des éléments de décision au SMBT, aux collectivités de son territoire et mettre à disposition de BRL des éléments pour les travaux en cours sur le projet VIGI-THAU sur les submersions marines.
  38. Rapport d'étude (Ceremadoc) Rapport sur l'inventaire et atlas des décharges anciennes et non autorisées en Seine Maritime

    Des décharges anciennes parfois officielles, parfois non autorisées ont pu être installées et exploitées à proximité immédiate du littoral. Au fil du temps, toutes ces décharges ont été abandonnées au profit de systèmes de traitements des déchets respectueux de l’environnement. Une partie de ces décharges a été dégagée mais d’autres sont restées en place en l’état, ou remblayées sans autre traitement ou suivi. Avec les phénomènes d’érosion côtière que connaît le littoral français, ces décharges réapparaissent au gré du recul des falaises ou des cordons dunaires et peuvent ainsi engendrer des risques de pollution. Une bibliographie sur ce sujet montre que globalement il n’existe pas d’inventaire national de ce type. Seules quelques études ponctuelles font état de recensement. Ce besoin de recensement a été exprimé à la fois par les services déconcentrés, les services centraux du Ministère de la Transition Écologique et le Conservatoire du Littoral qui est potentiellement intéressé sur son périmètre d’intervention. Le Cerema est un établissement public qui dispose de données et de compétences pour être en mesure de répondre à cette problématique d’inventaire sur la base d’outils et de méthodes SIG. Cette étude s’appuie sur des travaux de bibliographie, de photo-interprétation de clichés aériens anciens et d’enquêtes auprès des collectivités. La mission confiée au Cerema par la DDTM de Seine-Maritime, le service des données et des études statistiques du Ministère de la Transition Écologique (MTES/CGDD/SDES) et le Conservatoire du Littoral comprend donc trois grandes phases : • le pré-inventaire des décharges par photo-interprétation de clichés anciens, • l’enquête auprès des services • la cartographie des résultats sous forme d’altas
  39. Rapport d'étude (Ceremadoc) Lac de Naussac (Lozère). Mesure dynamique de la superficie

    Dans cette étude, de nombreuses images et produits satellitaires ont été considérés afin d’effectuer un suivi temporel fin de la superficie du lac, en complément des référentiels de l’IGN, fournis à une fréquence temporelle plus faible. Les images analysées sur la période 2018-2021 ainsi que la plupart des produits et bases de données fournissent des valeurs de superficie inférieure à 1000 hectares. Seule la BD CARTHAGE de 2017, qui semble surestimer la surface du lac, indique une valeur supérieure à ce seuil (1045 ha). Le lac de Naussac semble donc s’approcher de la limite de 1000 hectares à sa superficie maximale sans toutefois la dépasser. Par ailleurs, en extrapolant la relation entre altimétrie et superficie du lac, on estime qu’à la cote normale d’exploitation du barrage de 944,5 m, la superficie du lac serait égale à 995,4 ha ± 27 ha.
  40. Rapport d'étude (Ceremadoc) Utilisation d'un drone pour les missions de terrain de la DDTM 85 : Étude de faisabilité

    Les missions des Directions départementales des territoires et de la mer (DDTM) requièrent une grande expertise et une connaissance approfondie du domaine public maritime (DPM). Dans un contexte de ressources humaines limitées, les exigences croissantes des autorités départementales poussent les DDTM à s'orienter vers l'usage du drone pour compléter leur connaissances du DPM par l'observation, la mesure et la cartographie. Cette étude vise à accompagner la DDTM 85 sur la pertinence de se doter de l'outil drone ou d'externaliser cette nouvelle méthode d'observation dans l'éventail des outils terrain de la DDTM.
  41. Rapport d'étude (Ceremadoc) Adaptation des territoires littoraux méditerranéens au changement climatique. Phase 1 : Benchmarking des expériences existantes

    Dans un contexte de changement climatique, la stratégie nationale de gestion intégrée du trait de côte a pour ambition de mieux anticiper l’évolution des phénomènes d’érosion et de submersion ainsi que leurs conséquences sur les territoires littoraux, notamment en matière d’aménagement. Cette étude a pour objectif d’accompagner les déclinaisons locales de la stratégie nationale en menant une approche transversale aménagement, risque érosion, vulnérabilité et environnement, pour permettre une gestion intégrée du trait de côte et des territoires littoraux, notamment par la recomposition spatiale de ces territoires. Ce rapport constitue la phase 1 de l’étude.
  42. Rapport d'étude (Ceremadoc) Adaptation des territoires littoraux méditerranéens au changement climatique. Phase 2 : outils et méthodologies existants

    Dans un contexte de changement climatique, la stratégie nationale de gestion intégrée du trait de côte a pour ambition de mieux anticiper l’évolution des phénomènes d’érosion et de submersion ainsi que leurs conséquences sur les territoires littoraux, notamment en matière d’aménagement.Cette étude a pour objectif d’accompagner ces déclinaisons locales de la stratégie nationale en menant une approche transversale aménagement, risque érosion, vulnérabilité et environnement, pour permettre une gestion intégrée du trait de côte et des territoires littoraux, notamment par la recomposition spatiale de ces territoires. Ce rapport constitue la phase 2 de l’étude.
  43. Rapport d'étude (Ceremadoc) Adaptation des territoires littoraux Méditerranéens au changement climatique. Phase 3 : Propositions d’outils et méthodologies

    Dans un contexte de changement climatique, la stratégie nationale de gestion intégrée du trait de côte a pour ambition de mieux anticiper l’évolution des phénomènes d’érosion et de submersion ainsi que leurs conséquences sur les territoires littoraux, notamment en matière d’aménagement. Cette étude a pour objectif d’accompagner ces déclinaisons locales de la stratégie nationale en menant une approche transversale aménagement, risque érosion, vulnérabilité et environnement, pour permettre une gestion intégrée du trait de côte et des territoires littoraux, notamment par la recomposition spatiale de ces territoires. Ce rapport constitue la phase 3 de l’étude.
  44. Rapport d'étude (Ceremadoc) Étude du risque inondation par débordement de cours d’eau

    Le présent rapport constitue la suite du rapport « Étude relative au risque submersion marine – Courants côtiers de Mimizan, Contis, Soustons et Capbreton - 2010». Il constitue l’aboutissement d’une réflexion menée par le CEREMA Dter Sud-Ouest, conjointement avec le BRGM et la DDTM40 pour délimiter des zones submersibles. Ce travail de reconnaissance et d’identification de zones situées sous un niveau marin de référence se traduit par une cartographie de submersibilité issue de l'analyse LIDAR par pas de 0,50 m (niveaux calés entre +2,50 m NGF à + 4,50 m NGF).
  45. Rapport d'étude (Ceremadoc) Capitalisation de dix événements de tempêtes et dommages associés sur les côtes - DDTM 29. Automatisation de la partie aléas des "fiches tempêtes" pour le département du Finistère

    Le présent rapport, élaboré par le Cerema, sous la tutelle du Schapi et en partenariat avec la DREAL Bretagne, la mission RDI sur le littoral du Finistère et Météo-France s’inscrit dans la démarche d’accompagnement développée par la DGPR et confiée au Schapi pour favoriser la montée en puissance des missions RDI sur le littoral. Le Cerema vient en aide aux missions RDI sur le littoral pour constituer des « fiches tempête », outil préconisé au niveau national et utile pour recenser et capitaliser les informations sur les événements météo-océaniques et leurs dommages associés à la côte. Ces informations sont regroupées sous forme de catalogue, en utilisant (1) leurs caractéristiques météo-marines principales (houle, niveaux d’eau, surcote, marée, vent, etc) associées (2) aux dommages / dégâts observés à la côte. Ces tempêtes bancarisées peuvent ensuite être comparées aux événements tempétueux en cours, par analogie, pour essayer d’estimer les dommages à la côte, en gestion de crise. La présente étude porte essentiellement sur le remplissage automatique de la partie aléa (caractéristiques météo-marines) des fiches « tempêtes » pour le département du Finistère. En effet, la DDTM 29 réalise déjà un recensement des dommages des tempêtes, mais la partie aléas de ce recensement est aujourd’hui incomplet. Dix tempêtes ont été sélectionnées en lien avec Météo- France. Après un bref rappel de la méthode de capitalisation des analogues préconisée à l’échelle nationale et un rapide constat de la vulnérabilité des côtes du Finistère, les tempêtes sélectionnées pour l’étude et les données récupérées par web scraping (technique permettant de récupérer de l’information publiée sur un site internet public) pour le remplissage de la partie aléas des « fiches tempêtes » sont présentées. Ensuite les outils développés pour le remplissage automatique de la partie aléas sont décrits ainsi que les limites de la méthode et les pistes d’amélioration envisageables.
  46. Rapport d'étude (Ceremadoc) Adaptation of coastal flood protection systems - Conceptual contributions and research of methodological developments in the context of climate change and land planning

    Coastlines are subject to multiple developments related to land use planning and the effects of climate change, developments likely to generate a strong increase in the risk of coastal flooding. This PhD on published works focuses on systems to protect against this hazard, and presents: • a bibliographical analysis on the concepts, methods and strategies for adapting protection systems through strengthening their resilience. This analysis is based on the essential assumption that a coastal flood protection system is a social-ecological system; • in relation to the state of the art and with the aim of completing it, a summary presentation of the research that led to: ◦ the revision of the concept of a coastal flood protection system; ◦ the establishment of a methodological framework to strengthen the resilience of protection systems.
  47. Rapport d'étude (Ceremadoc) Adaptation des systèmes de protection contre les inondations côtières - Édition française du manuscrit de la thèse sur travaux : "Adaptation of coastal flood protection systems" - Marc IGIGABEL - Université Gustave Eiffel

    Les littoraux sont sujets à de multiples évolutions liées à l’aménagement des territoires et aux effets du changement climatique, évolutions susceptibles de générer un fort accroissement des risques d’inondation côtière. Cette thèse sur travaux traitant des systèmes de protection contre cet aléa comporte : • une analyse bibliographique sur les concepts, les méthodes et les stratégies destinés à l’adaptation des systèmes de protection par le renforcement de leur résilience. Cette analyse repose sur l’hypothèse essentielle qu’un système de protection contre les inondations côtières est un système socio-écologique ; • en relation avec l’état de l’art et dans l’objectif de le compléter, une présentation synthétique des recherches qui ont conduit à : ◦ réviser le concept de système de protection contre les inondations côtières ; ◦ établir un cadre méthodologique de nature à renforcer la résilience des systèmes de protection.
  48. Rapport d'étude (Ceremadoc) Adaptation du littoral grimaudois au changement climatique. Appel à partenariat Gestion intégrée du littoral

    L’objectif de l’étude est d’accompagner la commune de Grimaud dans sa réflexion sur l’adaptation de son littoral face au changement climatique. Ses activités littorales sont exposées aux aléas littoraux, il est nécessaire de l’anticiper et d’envisager les solutions possibles, notamment la relocalisation de certaines activités économiques et la requalification des espaces littoraux. Les travaux ont consisté à : - Caractériser et identifier les enjeux exposés aux aléas littoraux ; - Réaliser un diagnostic du foncier de la commune et en identifier le potentiel pour la relocalisation des activités ; - Proposer un cahier des charges des modalités de concertation à mettre en place concernant l’adaptation du littoral grimaudois face au changement climatique. Le présent document comprend : - Un bilan des connaissances concernant les aléas littoraux, l’identification des enjeux et leur exposition face aux risques ; - Un diagnostic foncier et la définition d’une méthodologie pour étudier les possibilités de relocalisation des activités ; - Un bilan des outils existants et acteurs mobilisables afin de concrétiser une réflexion de relocalisation. Une formation sur l’outil UrbanSimul a été réalisée auprès des agents des services Environnement et Urbanisme de la commune et de la communauté de communes du golfe de St Tropez (CCGST). Les modalités de concertation préconisées concernant l’adaptation du littoral grimaudois face au changement climatique, sont présentées dans une feuille de route qui fait l’objet d’un document annexé au présent rapport.
  49. Rapport d'étude (Ceremadoc) Commune de Saint-Jouin-Bruneval (76). Diagnostic de stabilité de falaise

    Informé par la mairie de Saint-Jouin-Bruneval en juin 2017 quant à la présence d’une nouvelle fracture au niveau de l’un des pinacles surplombant la plage de Saint-Jouin-Bruneval, la Préfecture a missionné le BRGM pour évaluer ce risque. Concluant qu’un aléa « chute d’écailles ou de rupture de colonne » n’était pas exclu à plus ou moins long terme, le BRGM a recommandé de modifier le merlon déjà présent en pied de versant. La mairie a modifié le merlon existant en ce sens, portant sa hauteur à environ 5 m. Suite au diagnostic du BRGM, la mairie a souhaité solliciter un bureau d’études spécialisé pour, en se basant sur une étude trajectographique, proposer et dimensionner la parade la plus adaptée pour une sécurisation des enjeux disposés en aval du site à long terme. Le CEREMA est intervenu en ce sens en octobre 2017. Les objectifs de cette étude étaient de : • diagnostiquer l’aléa « éboulement rocheux » au droit de la zone, • vérifier l'adéquation de la parade en place (merlon) avec les éléments potentiellement mobilisés, • le cas échéant, proposer des solutions de mise en sécurité, • Sans diagnostiquer finement la barre rocheuse localisée légèrement au Sud des pinacles, vérifier l'impact de départs potentiels issus de cette barre sur la sente de randonnée, La phase « terrain » s'est déroulée au sein des pinacles et dans le versant. De ce travail, il en a découlé l’identification de plusieurs masses rocheuses potentiellement instables. Ensuite, s'appuyant sur cette phase « terrain », un modèle numérique de terrain 3D a été généré par photogrammétrie. Ce modèle a permis d’identifier et localiser les couloirs préférentiels de propagations potentielles. Des profils en 2D de ces couloirs ont ainsi pu être isolés du MNT. Se basant sur ces profils, et s'appuyant sur les éléments potentiellement instables identifiés lors de la phase « terrain », une étude trajectographique a été menée. Cette étude a rapidement montré qu’il était nécessaire de modifier le merlon ou de disposer des parades d’interception. En se basant sur les trajectoires les plus pénalisantes par profil, et en complément de l’ancrage des masses supérieures à 30 m3, le CEREMA propose plusieurs solutions se basant soit : → sur la modification du merlon en pied associée à la mise en place d’un écran de Classe VII implanté en aval de la base du compartiment 13, → soit sur la mise en place d’un écran de Classe VII implanté en aval de la base des pinacles associé à un écran déformable de Classe VII implanté en aval de la base du compartiment 13. Par ailleurs, le compartiment 14 situé au Sud du site d’étude, sera mis en sécurité par ancrages et purges. En parallèle de la sécurisation du site comme indiqué ci-avant, le CEREMA propose également une mise en sécurité du « front rocheux immédiatement en amont de l’estran ». Cette mise en sécurité se fera par la mise en place d’ancrages et des purges.
  50. Rapport d'étude (Ceremadoc) Sentier littoral. La Vesse - tunnel des Aragnols. Commune du Rove. Etude d'aléa chute de blocs

    Cette étude fait suite à une demande de la Direction Départementale des Bouches-du-Rhône (13), Arrondissement Maritime - Subdivision Littoral Elle a pour objectif d’évaluer le risque de chutes de blocs concernant une portion du sentier littoral entre La Vesse et le tunnel des Aragnols, de proposer des modifications possibles du tracé et de décrire les principes de solutions éventuelles à mettre en œuvre pour sécuriser la zone. Cette zone d'étude concerne environ 2 km du sentier littoral.
  51. Rapport d'étude (Ceremadoc) Utilisation d'un drone pour les missions de terrain de la DDTM 85 : Étude de faisabilité

    Les missions des Directions départementales des territoires et de la mer (DDTM) requièrent une grande expertise et une connaissance approfondie du domaine public maritime (DPM). Dans un contexte de ressources humaines limitées, les exigences croissantes des autorités départementales poussent les DDTM à s'orienter vers l'usage du drone pour compléter leur connaissances du DPM par l'observation, la mesure et la cartographie. Cette étude vise à accompagner la DDTM 85 sur la pertinence de se doter de l'outil drone ou d'externaliser cette nouvelle méthode d'observation dans l'éventail des outils terrain de la DDTM.
  52. Rapport d'étude (Ceremadoc) Lac de Naussac (Lozère). Mesure dynamique de la superficie

    Dans cette étude, de nombreuses images et produits satellitaires ont été considérés afin d’effectuer un suivi temporel fin de la superficie du lac, en complément des référentiels de l’IGN, fournis à une fréquence temporelle plus faible. Les images analysées sur la période 2018-2021 ainsi que la plupart des produits et bases de données fournissent des valeurs de superficie inférieure à 1000 hectares. Seule la BD CARTHAGE de 2017, qui semble surestimer la surface du lac, indique une valeur supérieure à ce seuil (1045 ha). Le lac de Naussac semble donc s’approcher de la limite de 1000 hectares à sa superficie maximale sans toutefois la dépasser. Par ailleurs, en extrapolant la relation entre altimétrie et superficie du lac, on estime qu’à la cote normale d’exploitation du barrage de 944,5 m, la superficie du lac serait égale à 995,4 ha ± 27 ha.
  53. Rapport d'étude (Ceremadoc) Projection du trait de côte et analyse des enjeux au niveau national - Horizons 2050 et 2100

    Afin de contribuer aux réflexions engagées en 2023 au sein du Comité National Trait de Côte (CNTC), le Cerema, sous le pilotage de la mission d’inspection conjointe entre l’inspection générale de l’administration (IGA) et l’inspection générale de l’environnement et du développement durable (IGEDD), et des services du Ministère de la Transition écologique et de la Cohésion des territoires (MTECT), a étudié les enjeux qui pourraient être menacés à l’avenir par le recul du trait de côte sur les littoraux de métropole et d’outre-mer. L’évaluation du nombre et de la valeur des enjeux potentiellement atteints par le recul du trait de côte aux horizons 2050 et 2100 repose sur des scénarios élaborés en concertation avec des experts nationaux. Ces scénarios intègrent principalement des hypothèses sur l’évolution du littoral et sur le maintien ou non des ouvrages littoraux pour les échéances temporelles étudiées. De nouveaux jeux de données, créés à l’échelle nationale, permettent de compléter les études existantes et de mettre en œuvre ces scénarios. Le scénario envisagé pour 2050 vise à être réaliste malgré certaines contraintes dues à son échelle nationale. A cet horizon, 5 200 logements et 1 400 locaux d’activité pourraient être affectés par l'érosion côtière, représentant une valeur totale de 1,2 milliard d'euros. Le scénario pour 2100 présente quant à lui une perspective nettement différente, basée sur des hypothèses très défavorables : disparition complète des structures de défense côtière et inondation progressive de toutes les zones topographiquement basses du littoral. Le scénario 2100 illustre ainsi les possibles conséquences de l’inaction face aux effets du changement climatique. Dans ce scénario, le nombre très élevé d’enjeux identifiés invite à une réflexion globale à l’échelle de grands territoires. Projection du trait de côte et analyse des enjeux au niveau national - Echéance à 5 ans Afin de contribuer aux réflexions engagées en 2023 au sein du Comité National Trait de Côte (CNTC), le Cerema, sous le pilotage d’une mission d’inspection et des services du Ministère de la Transition écologique et de la Cohésion des territoires (MTECT), étudie les enjeux qui pourraient être menacés à l’avenir par le recul du trait de côte sur les littoraux de métropole et d’outre-mer. Dans le cadre de cette étude, le Cerema vient en appui de la mission d’inspection afin de contribuer à la réalisation d’un inventaire des biens exposés au recul du trait de côte d’ici les 5 prochaines années. Les tempêtes, sources potentielles de reculs événementiels du trait de côte, étant imprévisibles à court terme, l'étude se base sur des hypothèses de recul convenues avec la mission d'inspection. Une première étape de pré-identification à l'échelle nationale a permis d’identifier les bâtiments potentiellement concernés. Les services territoriaux de l'État ont ensuite été sollicités pour enrichir cet inventaire grâce à leur expertise locale. L'analyse consolidée de l'inventaire révèle qu'environ un millier de bâtiments, de toutes sortes, pourraient être touchés par le recul du trait de côte à l'échelle nationale dans les 5 prochaines années. La valeur vénale des bâtiments identifiés, principalement résidentiels et commerciaux, est estimée à environ 240 M€. Ces estimations ne concernent pas la Guyane et Mayotte où les spécificités de ces territoires ne permettent pas le déploiement complet de la méthode.
  54. Rapport d'étude (Ceremadoc) Diagnostic et enjeux. Le territoire de la Baie de Somme, un joyaux à préserver, riche d'espaces agricoles et naturels... : Vulnérable face au changement climatique et qui fait le choix de la résilience

    Le fascicule 1 s’inscrit dans une démarche de recherche-action, réalisée dans le cadre de l’appel à partenaires lancé en 2020 par le Cerema et l’Association Nationale des Elus du Littoral (ANEL), intitulé « Traiter la résilience du territoire aux risques littoraux dans une approche pragmatique et prospective pour mieux anticiper les mutations à venir ». Il a pour objectif de présenter de façon synthétique les éléments du territoire de la Baie de Somme pour mieux connaitre le territoire : diagnostic et enjeux.
  55. Rapport d'étude (Ceremadoc) Cartographie nationale des zones basses du littoral Zones basses définies à la cote des PHMA

    Les données concernant les emprises des zones topographiquement basses par rapport à un niveau haut de la mer (hors événements tempétueux majeurs) sont cruciales pour les études relatives à l’adaptation des territoires littoraux face au recul du trait de côte. Dans le cadre d’études sur la projection du trait de côte, le Cerema a produit la cartographie de l’emprise des zones basses du littoral de métropole et des DROM situées à la cote des niveaux des plus hautes mers astronomiques (PHMA). Une déclinaison de cette cartographie intègre une augmentation d'un mètre aux valeurs des PHMA pour simuler la hausse du niveau de la mer due au changement climatique. Recul événementiel du trait de côte - Constitution d’une base de connaissance à l’échelle nationale. La prise en compte du recul événementiel du trait de côte est essentielle dans les études traitant de l'évolution de la dynamique littorale. Des reculs parfois importants du littoral, souvent de plusieurs mètres, peuvent se produire lors de tempêtes majeures sur les côtes sableuses ou en raison de glissements de terrain sur les falaises côtières. Le Cerema a produit une première cartographie nationale des reculs événementiels susceptibles d’affecter les littoraux de métropole et des départements et régions d’outre-mer (Guadeloupe, Martinique, Guyane, La Réunion et Mayotte). Cette cartographie constitue une base pour un traitement homogène des valeurs de reculs événementiels sur l'ensemble du littoral français.
  56. Rapport d'étude (Ceremadoc) Recul événementiel du trait de côte - Constitution d’une base de connaissance à l’échelle nationale

    La prise en compte du recul événementiel du trait de côte est essentielle dans les études traitant de l'évolution de la dynamique littorale. Des reculs parfois importants du littoral, souvent de plusieurs mètres, peuvent se produire lors de tempêtes majeures sur les côtes sableuses ou en raison de glissements de terrain sur les falaises côtières. Le Cerema a produit une première cartographie nationale des reculs événementiels susceptibles d’affecter les littoraux de métropole et des départements et régions d’outre-mer (Guadeloupe, Martinique, Guyane, La Réunion et Mayotte). Cette cartographie constitue une base pour un traitement homogène des valeurs de reculs événementiels sur l'ensemble du littoral français.
  57. Rapport d'étude (Ceremadoc) Diagnostic et enjeux. Le territoire de la Baie de Somme Positionnements stratégiques et réalisations. fascicule_2

    L’intention de ce fascicule 2 est de mettre des mots sur les stratégies développées et les actions correspondantes, en cours et à venir, en matière de résilience territoriale, pour les rendre compréhensibles par les habitants, les acteurs du territoire et les services de l’Etat. L’intention est qu’elles soient mieux appropriées et réalisées en conscience. Ce fascicule comprend des éléments d’argumentaire en matière de politique d’urbanisme et d’aménagement du territoire résilient, dont le Syndicat Mixte pourra disposer pour être plus explicite dans ses démarches de court, moyen et long terme. Le fascicule présente trois principaux positionnements stratégiques spécifiques et une transversale. Ces positionnements sont la protection des activités et de la présence humaine : stratégie consistant à « faire face » aux éléments dans le but de préserver les biens et les personnes ; l’adaptation aux aléas : stratégie visant à « faire avec » l’aléa : les aménagements sont réalisés en fonction de la présence et de l’évolution des aléas ; le renouvellement, la restructuration, la réhabilitation, la rénovation : stratégie « de détachement » vis-à-vis de l’aléa : le développement local est envisagé en dehors des zones à risque ; l’innovation et la transformation du territoire : poussé par les limites liées aux contraintes de l’aléa, le projet de territoire s’appuie sur de nouvelles ambitions en matière de développement local (tous secteurs confondus).
  58. Rapport d'étude (Ceremadoc) Stratégie littorale Bresle-Somme-Authie : Une approche de résilience territoriale face aux risques littoraux pour de nouvelles perspectives

    Le document de synthèse s’inscrit dans une démarche de recherche-action, réalisée dans le cadre de l’appel à partenaires lancé en 2020 par le Cerema et l’Association Nationale des Elus du Littoral (ANEL), intitulé « Traiter la résilience du territoire aux risques littoraux dans une approche pragmatique et prospective pour mieux anticiper les mutations à venir ». Cette action s’inscrit également dans la Stratégie Littorale, dont fait partie le Programme d’Actions de Prévention des Inondations Bresle Somme Authie (PAPI BSA), approuvé en 2015 par l’Etat, les élus et acteurs du territoire Bresle Somme Authie. Il constitue donc un socle reprenant les données essentielles issues de ladite Stratégie Littorale de 2015, des résultats de la recherche-action sur les stratégies de résilience en cours et à venir face aux risques naturels majeurs, dont ceux de l’atelier participatif et thématique réalisé avec les acteurs du territoire le 24 mars 2022. Destiné aux élu(e)s du territoire, aux acteurs parties prenantes du développement local et à toute personne intéressée, il comprend trois parties visant à présenter le territoire et ses enjeux, faire une synthèse de la stratégie en cours, et préfigurer de nouvelles orientations pour l’avenir tout en veillant à agir à court, moyen et long terme. Sa publication intervient avant le renouvellement de la Stratégie Littorale et se veut une contribution au futur projet de développement du territoire. Il constitue ainsi un appui pour décider d’actions à poursuivre, à réorienter ou à initier, soulignant des principes de gouvernance adaptés à la gestion des risques pour plus de cohésion, de concordance des actions et de coopération.
  59. Rapport d'étude (Ceremadoc) Projection du trait de côte et analyse des enjeux au niveau national - Echéance à 5 ans

    Afin de contribuer aux réflexions engagées en 2023 au sein du Comité National Trait de Côte (CNTC), le Cerema, sous le pilotage d’une mission d’inspection et des services du Ministère de la Transition écologique et de la Cohésion des territoires (MTECT), étudie les enjeux qui pourraient être menacés à l’avenir par le recul du trait de côte sur les littoraux de métropole et d’outre-mer. Dans le cadre de cette étude, le Cerema vient en appui de la mission d’inspection afin de contribuer à la réalisation d’un inventaire des biens exposés au recul du trait de côte d’ici les 5 prochaines années. Les tempêtes, sources potentielles de reculs événementiels du trait de côte, étant imprévisibles à court terme, l'étude se base sur des hypothèses de recul convenues avec la mission d'inspection. Une première étape de pré-identification à l'échelle nationale a permis d’identifier les bâtiments potentiellement concernés. Les services territoriaux de l'État ont ensuite été sollicités pour enrichir cet inventaire grâce à leur expertise locale. L'analyse consolidée de l'inventaire révèle qu'environ un millier de bâtiments, de toutes sortes, pourraient être touchés par le recul du trait de côte à l'échelle nationale dans les 5 prochaines années. La valeur vénale des bâtiments identifiés, principalement résidentiels et commerciaux, est estimée à environ 240 M€. Ces estimations ne concernent pas la Guyane et Mayotte où les spécificités de ces territoires ne permettent pas le déploiement complet de la méthode.
  60. Rapport d'étude (Ceremadoc) Bilan des connaissances des aléas du littoral de la Communauté d'agglomération Hérault Méditerranée. Atlas cartographique

    L’objectif du projet est de poursuivre les réflexions sur la prise en compte des enjeux littoraux dans le projet de territoire et de tester le dispositif expérimental de type S-Able. Les travaux sont répartis en 4 axes : 1. Bilan des connaissances des aléas littoraux sur le territoire de la Communauté d’Agglomération Hérault Méditerranée, incluant un focus sur la côte ouest de Vias. 2. Modalités de prise en compte des enjeux littoraux dans le projet de territoire. 3. Expertises sur le projet de reconstitution du cordon dunaire. 4. Suivi et évaluation de la mise en place d’un dispositif expérimental de type S-Able. Le présent document correspond au bilan des connaissances des aléas et des enjeux du territoire, réalisé pour répondre à l’axe 1 de l’étude.
  61. Rapport d'étude (Ceremadoc) Étude du risque inondation par débordement de cours d’eau

    Le présent rapport constitue la suite du rapport « Étude relative au risque submersion marine – Courants côtiers de Mimizan, Contis, Soustons et Capbreton - 2010». Il constitue l’aboutissement d’une réflexion menée par le CEREMA Dter Sud-Ouest, conjointement avec le BRGM et la DDTM40 pour délimiter des zones submersibles. Ce travail de reconnaissance et d’identification de zones situées sous un niveau marin de référence se traduit par une cartographie de submersibilité issue de l'analyse LIDAR par pas de 0,50 m (niveaux calés entre +2,50 m NGF à + 4,50 m NGF).
  62. Rapport d'étude (Ceremadoc) Appel à partenaires GEMAPI. Communauté d’Agglomération Grand Calais Terres & Mers. Détermination des systèmes d’endiguement

    Le Cerema et Irstea ont lancé en 2016 un appel à partenaires pour l’accompagnement des collectivités territoriales pour la Gestion des Milieux Aquatiques et la Prévention des Inondations (GEMAPI). Dans le cadre de ce partenariat, la communauté d’agglomération Grand Calais Terres & Mers (GCTM) et le Cerema ont travaillé sur la question complexe de la définition des systèmes d’endiguement d’un territoire soumis aux risques d’inondations par submersion marine. Cette collaboration a permis d’aboutir à la détermination des systèmes d’endiguement sur le territoire de Grand Calais Terres & Mer. Le présent rapport rappelle les définitions de cette thématique et le contexte réglementaire. Il aborde ensuite les analyses qui ont conduit aux propositions des systèmes d’endiguement. A ce titre, une analyse détaillée du rôle des digues de second rang en cas de submersion marine a été menée et est expliquée dans ce rapport.
  63. Rapport d'étude (Ceremadoc) Sentier littoral. La Vesse - tunnel des Aragnols. Commune du Rove. Etude d'aléa chute de blocs

    Cette étude fait suite à une demande de la Direction Départementale des Bouches-du-Rhône (13), Arrondissement Maritime - Subdivision Littoral Elle a pour objectif d’évaluer le risque de chutes de blocs concernant une portion du sentier littoral entre La Vesse et le tunnel des Aragnols, de proposer des modifications possibles du tracé et de décrire les principes de solutions éventuelles à mettre en œuvre pour sécuriser la zone. Cette zone d'étude concerne environ 2 km du sentier littoral.
  64. Rapport d'étude (Ceremadoc) Commune de Saint-Jouin-Bruneval (76). Diagnostic de stabilité de falaise

    Informé par la mairie de Saint-Jouin-Bruneval en juin 2017 quant à la présence d’une nouvelle fracture au niveau de l’un des pinacles surplombant la plage de Saint-Jouin-Bruneval, la Préfecture a missionné le BRGM pour évaluer ce risque. Concluant qu’un aléa « chute d’écailles ou de rupture de colonne » n’était pas exclu à plus ou moins long terme, le BRGM a recommandé de modifier le merlon déjà présent en pied de versant. La mairie a modifié le merlon existant en ce sens, portant sa hauteur à environ 5 m. Suite au diagnostic du BRGM, la mairie a souhaité solliciter un bureau d’études spécialisé pour, en se basant sur une étude trajectographique, proposer et dimensionner la parade la plus adaptée pour une sécurisation des enjeux disposés en aval du site à long terme. Le CEREMA est intervenu en ce sens en octobre 2017. Les objectifs de cette étude étaient de : • diagnostiquer l’aléa « éboulement rocheux » au droit de la zone, • vérifier l'adéquation de la parade en place (merlon) avec les éléments potentiellement mobilisés, • le cas échéant, proposer des solutions de mise en sécurité, • Sans diagnostiquer finement la barre rocheuse localisée légèrement au Sud des pinacles, vérifier l'impact de départs potentiels issus de cette barre sur la sente de randonnée, La phase « terrain » s'est déroulée au sein des pinacles et dans le versant. De ce travail, il en a découlé l’identification de plusieurs masses rocheuses potentiellement instables. Ensuite, s'appuyant sur cette phase « terrain », un modèle numérique de terrain 3D a été généré par photogrammétrie. Ce modèle a permis d’identifier et localiser les couloirs préférentiels de propagations potentielles. Des profils en 2D de ces couloirs ont ainsi pu être isolés du MNT. Se basant sur ces profils, et s'appuyant sur les éléments potentiellement instables identifiés lors de la phase « terrain », une étude trajectographique a été menée. Cette étude a rapidement montré qu’il était nécessaire de modifier le merlon ou de disposer des parades d’interception. En se basant sur les trajectoires les plus pénalisantes par profil, et en complément de l’ancrage des masses supérieures à 30 m3, le CEREMA propose plusieurs solutions se basant soit : → sur la modification du merlon en pied associée à la mise en place d’un écran de Classe VII implanté en aval de la base du compartiment 13, → soit sur la mise en place d’un écran de Classe VII implanté en aval de la base des pinacles associé à un écran déformable de Classe VII implanté en aval de la base du compartiment 13. Par ailleurs, le compartiment 14 situé au Sud du site d’étude, sera mis en sécurité par ancrages et purges. En parallèle de la sécurisation du site comme indiqué ci-avant, le CEREMA propose également une mise en sécurité du « front rocheux immédiatement en amont de l’estran ». Cette mise en sécurité se fera par la mise en place d’ancrages et des purges.
  65. Rapport d'étude (Ceremadoc) Adaptation du littoral grimaudois au changement climatique. Appel à partenariat Gestion intégrée du littoral

    L’objectif de l’étude est d’accompagner la commune de Grimaud dans sa réflexion sur l’adaptation de son littoral face au changement climatique. Ses activités littorales sont exposées aux aléas littoraux, il est nécessaire de l’anticiper et d’envisager les solutions possibles, notamment la relocalisation de certaines activités économiques et la requalification des espaces littoraux. Les travaux ont consisté à : - Caractériser et identifier les enjeux exposés aux aléas littoraux ; - Réaliser un diagnostic du foncier de la commune et en identifier le potentiel pour la relocalisation des activités ; - Proposer un cahier des charges des modalités de concertation à mettre en place concernant l’adaptation du littoral grimaudois face au changement climatique. Le présent document comprend : - Un bilan des connaissances concernant les aléas littoraux, l’identification des enjeux et leur exposition face aux risques ; - Un diagnostic foncier et la définition d’une méthodologie pour étudier les possibilités de relocalisation des activités ; - Un bilan des outils existants et acteurs mobilisables afin de concrétiser une réflexion de relocalisation. Une formation sur l’outil UrbanSimul a été réalisée auprès des agents des services Environnement et Urbanisme de la commune et de la communauté de communes du golfe de St Tropez (CCGST). Les modalités de concertation préconisées concernant l’adaptation du littoral grimaudois face au changement climatique, sont présentées dans une feuille de route qui fait l’objet d’un document annexé au présent rapport.
  66. Rapport d'étude (Ceremadoc) Adaptation des systèmes de protection contre les inondations côtières - Édition française du manuscrit de la thèse sur travaux : "Adaptation of coastal flood protection systems" - Marc IGIGABEL - Université Gustave Eiffel

    Les littoraux sont sujets à de multiples évolutions liées à l’aménagement des territoires et aux effets du changement climatique, évolutions susceptibles de générer un fort accroissement des risques d’inondation côtière. Cette thèse sur travaux traitant des systèmes de protection contre cet aléa comporte : • une analyse bibliographique sur les concepts, les méthodes et les stratégies destinés à l’adaptation des systèmes de protection par le renforcement de leur résilience. Cette analyse repose sur l’hypothèse essentielle qu’un système de protection contre les inondations côtières est un système socio-écologique ; • en relation avec l’état de l’art et dans l’objectif de le compléter, une présentation synthétique des recherches qui ont conduit à : ◦ réviser le concept de système de protection contre les inondations côtières ; ◦ établir un cadre méthodologique de nature à renforcer la résilience des systèmes de protection.
  67. Rapport d'étude (Ceremadoc) Adaptation of coastal flood protection systems - Conceptual contributions and research of methodological developments in the context of climate change and land planning

    Coastlines are subject to multiple developments related to land use planning and the effects of climate change, developments likely to generate a strong increase in the risk of coastal flooding. This PhD on published works focuses on systems to protect against this hazard, and presents: • a bibliographical analysis on the concepts, methods and strategies for adapting protection systems through strengthening their resilience. This analysis is based on the essential assumption that a coastal flood protection system is a social-ecological system; • in relation to the state of the art and with the aim of completing it, a summary presentation of the research that led to: ◦ the revision of the concept of a coastal flood protection system; ◦ the establishment of a methodological framework to strengthen the resilience of protection systems.
  68. Rapport d'étude (Ceremadoc) Évaluation écologique du littoral Sud-Atlantique pour le Plan Orsec Zonal : Volet POLMAR TERRE

    Les dispositions spécifiques « POLMAR/Terre » du plan ORSEC ont pour objet de faire face à une pollution marine de grande ampleur, dont les hydrocarbures. La DREAL de zone, a sollicité le Cerema SO pour une assistance méthodologique à maîtrise d'ouvrage quant à la faisabilité technique de la mise en place d'une évaluation écologique du littoral Sud Atlantique.
  69. Rapport d'étude (Ceremadoc) Bilan des connaissances des aléas du littoral de la Communauté d'agglomération Hérault Méditerranée. Note de synthèse des aléas et des enjeux littoraux

    L’objectif du projet est de poursuivre les réflexions sur la prise en compte des enjeux littoraux dans le projet de territoire et de tester le dispositif expérimental de type S-Able. Les travaux sont répartis en 4 axes : 1. Bilan des connaissances des aléas littoraux sur le territoire de la Communauté d’Agglomération Hérault Méditerranée, incluant un focus sur la côte ouest de Vias. 2. Modalités de prise en compte des enjeux littoraux dans le projet de territoire. 3. Expertises sur le projet de reconstitution du cordon dunaire. 4. Suivi et évaluation de la mise en place d’un dispositif expérimental de type S-Able. Le présent document correspond au bilan des connaissances des aléas et des enjeux du territoire, réalisé pour répondre à l’axe 1 de l’étude.
  70. Rapport d'étude (Ceremadoc) Projection du trait de côte et analyse des enjeux au niveau national - Echéance à 5 ans

    Afin de contribuer aux réflexions engagées en 2023 au sein du Comité National Trait de Côte (CNTC), le Cerema, sous le pilotage d’une mission d’inspection et des services du Ministère de la Transition écologique et de la Cohésion des territoires (MTECT), étudie les enjeux qui pourraient être menacés à l’avenir par le recul du trait de côte sur les littoraux de métropole et d’outre-mer. Dans le cadre de cette étude, le Cerema vient en appui de la mission d’inspection afin de contribuer à la réalisation d’un inventaire des biens exposés au recul du trait de côte d’ici les 5 prochaines années. Les tempêtes, sources potentielles de reculs événementiels du trait de côte, étant imprévisibles à court terme, l'étude se base sur des hypothèses de recul convenues avec la mission d'inspection. Une première étape de pré-identification à l'échelle nationale a permis d’identifier les bâtiments potentiellement concernés. Les services territoriaux de l'État ont ensuite été sollicités pour enrichir cet inventaire grâce à leur expertise locale. L'analyse consolidée de l'inventaire révèle qu'environ un millier de bâtiments, de toutes sortes, pourraient être touchés par le recul du trait de côte à l'échelle nationale dans les 5 prochaines années. La valeur vénale des bâtiments identifiés, principalement résidentiels et commerciaux, est estimée à environ 240 M€. Ces estimations ne concernent pas la Guyane et Mayotte où les spécificités de ces territoires ne permettent pas le déploiement complet de la méthode.
  71. Rapport d'étude (Ceremadoc) Stratégie littorale Bresle-Somme-Authie : Une approche de résilience territoriale face aux risques littoraux pour de nouvelles perspectives

    Le document de synthèse s’inscrit dans une démarche de recherche-action, réalisée dans le cadre de l’appel à partenaires lancé en 2020 par le Cerema et l’Association Nationale des Elus du Littoral (ANEL), intitulé « Traiter la résilience du territoire aux risques littoraux dans une approche pragmatique et prospective pour mieux anticiper les mutations à venir ». Cette action s’inscrit également dans la Stratégie Littorale, dont fait partie le Programme d’Actions de Prévention des Inondations Bresle Somme Authie (PAPI BSA), approuvé en 2015 par l’Etat, les élus et acteurs du territoire Bresle Somme Authie. Il constitue donc un socle reprenant les données essentielles issues de ladite Stratégie Littorale de 2015, des résultats de la recherche-action sur les stratégies de résilience en cours et à venir face aux risques naturels majeurs, dont ceux de l’atelier participatif et thématique réalisé avec les acteurs du territoire le 24 mars 2022. Destiné aux élu(e)s du territoire, aux acteurs parties prenantes du développement local et à toute personne intéressée, il comprend trois parties visant à présenter le territoire et ses enjeux, faire une synthèse de la stratégie en cours, et préfigurer de nouvelles orientations pour l’avenir tout en veillant à agir à court, moyen et long terme. Sa publication intervient avant le renouvellement de la Stratégie Littorale et se veut une contribution au futur projet de développement du territoire. Il constitue ainsi un appui pour décider d’actions à poursuivre, à réorienter ou à initier, soulignant des principes de gouvernance adaptés à la gestion des risques pour plus de cohésion, de concordance des actions et de coopération.
  72. Rapport d'étude (Ceremadoc) Diagnostic et enjeux. Le territoire de la Baie de Somme Positionnements stratégiques et réalisations. fascicule_2

    L’intention de ce fascicule 2 est de mettre des mots sur les stratégies développées et les actions correspondantes, en cours et à venir, en matière de résilience territoriale, pour les rendre compréhensibles par les habitants, les acteurs du territoire et les services de l’Etat. L’intention est qu’elles soient mieux appropriées et réalisées en conscience. Ce fascicule comprend des éléments d’argumentaire en matière de politique d’urbanisme et d’aménagement du territoire résilient, dont le Syndicat Mixte pourra disposer pour être plus explicite dans ses démarches de court, moyen et long terme. Le fascicule présente trois principaux positionnements stratégiques spécifiques et une transversale. Ces positionnements sont la protection des activités et de la présence humaine : stratégie consistant à « faire face » aux éléments dans le but de préserver les biens et les personnes ; l’adaptation aux aléas : stratégie visant à « faire avec » l’aléa : les aménagements sont réalisés en fonction de la présence et de l’évolution des aléas ; le renouvellement, la restructuration, la réhabilitation, la rénovation : stratégie « de détachement » vis-à-vis de l’aléa : le développement local est envisagé en dehors des zones à risque ; l’innovation et la transformation du territoire : poussé par les limites liées aux contraintes de l’aléa, le projet de territoire s’appuie sur de nouvelles ambitions en matière de développement local (tous secteurs confondus).
  73. Rapport d'étude (Ceremadoc) Recul événementiel du trait de côte - Constitution d’une base de connaissance à l’échelle nationale

    La prise en compte du recul événementiel du trait de côte est essentielle dans les études traitant de l'évolution de la dynamique littorale. Des reculs parfois importants du littoral, souvent de plusieurs mètres, peuvent se produire lors de tempêtes majeures sur les côtes sableuses ou en raison de glissements de terrain sur les falaises côtières. Le Cerema a produit une première cartographie nationale des reculs événementiels susceptibles d’affecter les littoraux de métropole et des départements et régions d’outre-mer (Guadeloupe, Martinique, Guyane, La Réunion et Mayotte). Cette cartographie constitue une base pour un traitement homogène des valeurs de reculs événementiels sur l'ensemble du littoral français.
  74. Rapport d'étude (Ceremadoc) Cartographie nationale des zones basses du littoral Zones basses définies à la cote des PHMA

    Les données concernant les emprises des zones topographiquement basses par rapport à un niveau haut de la mer (hors événements tempétueux majeurs) sont cruciales pour les études relatives à l’adaptation des territoires littoraux face au recul du trait de côte. Dans le cadre d’études sur la projection du trait de côte, le Cerema a produit la cartographie de l’emprise des zones basses du littoral de métropole et des DROM situées à la cote des niveaux des plus hautes mers astronomiques (PHMA). Une déclinaison de cette cartographie intègre une augmentation d'un mètre aux valeurs des PHMA pour simuler la hausse du niveau de la mer due au changement climatique. Recul événementiel du trait de côte - Constitution d’une base de connaissance à l’échelle nationale. La prise en compte du recul événementiel du trait de côte est essentielle dans les études traitant de l'évolution de la dynamique littorale. Des reculs parfois importants du littoral, souvent de plusieurs mètres, peuvent se produire lors de tempêtes majeures sur les côtes sableuses ou en raison de glissements de terrain sur les falaises côtières. Le Cerema a produit une première cartographie nationale des reculs événementiels susceptibles d’affecter les littoraux de métropole et des départements et régions d’outre-mer (Guadeloupe, Martinique, Guyane, La Réunion et Mayotte). Cette cartographie constitue une base pour un traitement homogène des valeurs de reculs événementiels sur l'ensemble du littoral français.
  75. Rapport d'étude (Ceremadoc) Diagnostic et enjeux. Le territoire de la Baie de Somme, un joyaux à préserver, riche d'espaces agricoles et naturels... : Vulnérable face au changement climatique et qui fait le choix de la résilience

    Le fascicule 1 s’inscrit dans une démarche de recherche-action, réalisée dans le cadre de l’appel à partenaires lancé en 2020 par le Cerema et l’Association Nationale des Elus du Littoral (ANEL), intitulé « Traiter la résilience du territoire aux risques littoraux dans une approche pragmatique et prospective pour mieux anticiper les mutations à venir ». Il a pour objectif de présenter de façon synthétique les éléments du territoire de la Baie de Somme pour mieux connaitre le territoire : diagnostic et enjeux.
  76. Rapport d'étude (Ceremadoc) Projection du trait de côte et analyse des enjeux au niveau national - Horizons 2050 et 2100

    Afin de contribuer aux réflexions engagées en 2023 au sein du Comité National Trait de Côte (CNTC), le Cerema, sous le pilotage de la mission d’inspection conjointe entre l’inspection générale de l’administration (IGA) et l’inspection générale de l’environnement et du développement durable (IGEDD), et des services du Ministère de la Transition écologique et de la Cohésion des territoires (MTECT), a étudié les enjeux qui pourraient être menacés à l’avenir par le recul du trait de côte sur les littoraux de métropole et d’outre-mer. L’évaluation du nombre et de la valeur des enjeux potentiellement atteints par le recul du trait de côte aux horizons 2050 et 2100 repose sur des scénarios élaborés en concertation avec des experts nationaux. Ces scénarios intègrent principalement des hypothèses sur l’évolution du littoral et sur le maintien ou non des ouvrages littoraux pour les échéances temporelles étudiées. De nouveaux jeux de données, créés à l’échelle nationale, permettent de compléter les études existantes et de mettre en œuvre ces scénarios. Le scénario envisagé pour 2050 vise à être réaliste malgré certaines contraintes dues à son échelle nationale. A cet horizon, 5 200 logements et 1 400 locaux d’activité pourraient être affectés par l'érosion côtière, représentant une valeur totale de 1,2 milliard d'euros. Le scénario pour 2100 présente quant à lui une perspective nettement différente, basée sur des hypothèses très défavorables : disparition complète des structures de défense côtière et inondation progressive de toutes les zones topographiquement basses du littoral. Le scénario 2100 illustre ainsi les possibles conséquences de l’inaction face aux effets du changement climatique. Dans ce scénario, le nombre très élevé d’enjeux identifiés invite à une réflexion globale à l’échelle de grands territoires. Projection du trait de côte et analyse des enjeux au niveau national - Echéance à 5 ans Afin de contribuer aux réflexions engagées en 2023 au sein du Comité National Trait de Côte (CNTC), le Cerema, sous le pilotage d’une mission d’inspection et des services du Ministère de la Transition écologique et de la Cohésion des territoires (MTECT), étudie les enjeux qui pourraient être menacés à l’avenir par le recul du trait de côte sur les littoraux de métropole et d’outre-mer. Dans le cadre de cette étude, le Cerema vient en appui de la mission d’inspection afin de contribuer à la réalisation d’un inventaire des biens exposés au recul du trait de côte d’ici les 5 prochaines années. Les tempêtes, sources potentielles de reculs événementiels du trait de côte, étant imprévisibles à court terme, l'étude se base sur des hypothèses de recul convenues avec la mission d'inspection. Une première étape de pré-identification à l'échelle nationale a permis d’identifier les bâtiments potentiellement concernés. Les services territoriaux de l'État ont ensuite été sollicités pour enrichir cet inventaire grâce à leur expertise locale. L'analyse consolidée de l'inventaire révèle qu'environ un millier de bâtiments, de toutes sortes, pourraient être touchés par le recul du trait de côte à l'échelle nationale dans les 5 prochaines années. La valeur vénale des bâtiments identifiés, principalement résidentiels et commerciaux, est estimée à environ 240 M€. Ces estimations ne concernent pas la Guyane et Mayotte où les spécificités de ces territoires ne permettent pas le déploiement complet de la méthode.
  77. Rapport d'étude (Ceremadoc) Bilan des connaissances des aléas du littoral de la Communauté d'agglomération Hérault Méditerranée. Atlas cartographique

    L’objectif du projet est de poursuivre les réflexions sur la prise en compte des enjeux littoraux dans le projet de territoire et de tester le dispositif expérimental de type S-Able. Les travaux sont répartis en 4 axes : 1. Bilan des connaissances des aléas littoraux sur le territoire de la Communauté d’Agglomération Hérault Méditerranée, incluant un focus sur la côte ouest de Vias. 2. Modalités de prise en compte des enjeux littoraux dans le projet de territoire. 3. Expertises sur le projet de reconstitution du cordon dunaire. 4. Suivi et évaluation de la mise en place d’un dispositif expérimental de type S-Able. Le présent document correspond au bilan des connaissances des aléas et des enjeux du territoire, réalisé pour répondre à l’axe 1 de l’étude.
  78. Rapport d'étude (Ceremadoc) Impact sur les bâtiments des vagues franchissant le rivage

    Estimer les efforts sur les structures à proximité du rivage est nécessaire à leur dimensionnement, c’est particulièrement vrai pour les ouvrages de protection. Toutefois toutes les structures n’ont pas à être construites sur la base d’une résistance supposée à une sollicitation donnée. Ce n’est notamment pas le cas des bâtiments soumis aux chocs mécaniques des vagues. Cette étude propose donc une approche originale permettant, sur la base de l’existant, d’approcher les forces exercées par les vagues sur le bâti. Elle a été réalisée à la demande de la direction génrale de la prévention des risques du ministère de la transition écologique et solidaire dans le cadre de l’élaboration des plans de prévention des risques littoraux prioritaires. Elle est accompagnée d’une autre étude visant à fournir des éléments de prescriptions pour les bâtiments susceptibles d’être affectés par le choc mécanique des vagues.
  79. Rapport d'étude (Ceremadoc) Emploi des barrages contre les sargasses. Bilan et perspectives en Guadeloupe

    L’utilisation des barrages est envisagée en Guadeloupe en protection contre les sargasses. Basée sur une étude bibliographique et deux missions réalisées en juillet et en octobre 2019 avec l’appui de la Sous-préfecture et de la DEAL de la Guadeloupe, cette étude vise à : • présenter une typologie des barrages utilisés ou expérimentés en réponse à cette problématique ; • mettre en regard les conditions météocéaniques des côtes de la Guadeloupe avec les conditions de fonctionnement des barrages pour en tirer des conclusions quant à leur positionnement et leur exploitation ; • évaluer l’impact environnemental des barrages et le coût global de leur utilisation ; • dresser des perspectives pour l’emploi des barrages dans le cadre d’un schéma global d’intervention.
  80. Rapport d'étude (Ceremadoc) Appel à partenaires GEMAPI. Communauté d’Agglomération Grand Calais Terres & Mers. Détermination des systèmes d’endiguement

    Le Cerema et Irstea ont lancé en 2016 un appel à partenaires pour l’accompagnement des collectivités territoriales pour la Gestion des Milieux Aquatiques et la Prévention des Inondations (GEMAPI). Dans le cadre de ce partenariat, la communauté d’agglomération Grand Calais Terres & Mers (GCTM) et le Cerema ont travaillé sur la question complexe de la définition des systèmes d’endiguement d’un territoire soumis aux risques d’inondations par submersion marine. Cette collaboration a permis d’aboutir à la détermination des systèmes d’endiguement sur le territoire de Grand Calais Terres & Mer. Le présent rapport rappelle les définitions de cette thématique et le contexte réglementaire. Il aborde ensuite les analyses qui ont conduit aux propositions des systèmes d’endiguement. A ce titre, une analyse détaillée du rôle des digues de second rang en cas de submersion marine a été menée et est expliquée dans ce rapport.
  81. Edition (Ceremadoc) Changement climatique : Adapter les territoires littoraux

    L’augmentation continue de la population littorale et la probabilité importante de risques littoraux représentent un défi majeur pour les collectivités. Le dernier Plan national d’adaptation au changement climatique incite fortement les territoires à anticiper les impacts du changement climatique afin d’améliorer la prévention, la résilience, la préservation, favoriser l’adaptation et de mieux gérer les ressources.
  82. Edition (Ceremadoc) Enjeux écologiques et projets de protection contre les inondations : Recommandations pour une prise en compte, des prémices du projet à l'exploitation des ouvrages

    Le présent guide, à destination des maîtres d’ouvrages et de leur appui technique, porte sur la démarche de prise en compte des enjeux écologiques dans les projets de travaux, et plus globalement d’interventions, sur les ouvrages de protection contre les risques d’inondation. Guide de bonnes pratiques, il vise à aider les maîtres d’ouvrage à assurer une juste prise en compte des enjeux écologiques, à optimiser le calendrier de leurs projets, ainsi qu’à faciliter l’autorisation administrative et la réalisation des travaux relatifs aux systèmes d’endiguements et aménagements hydrauliques. Il établit un lien avec la démarche PAPI (programme d’actions de prévention des inondations), et le nouveau cahier des charges PAPI 3 2021, dans le cadre d’une approche globale et intégrée et aborde plus précisément le sujet des systèmes d’endiguement. Cette publication s’inscrit en complémentarité avec les publications existantes traitant des ouvrages hydrauliques (notamment celles relatives aux études de dangers des systèmes d’endiguement) et du dispositif PAPI, que le lecteur est invité à consulter en tant que de besoin.
  83. Edition (Ceremadoc) Dynamiques et évolution du littoral - Fascicule 08 : de la frontière espagnole à Port-de-Bouc : Atlas cartographique

    Ce fascicule traite de la province sédimentaire s’étendant de la frontière espagnole à Port-de-Bouc. Sommaire de la synthèse 1. Présentation 2. Contexte général : données physiographiques 3. Facteurs hydrodynamiques 4. Données sédimentologiques 5. Interventions humaines le long du littoral 6. Évolution générale du littoral et des fonds 7. Conclusion : Bilan sédimentaire général 8. Annexes Sommaire de l'atlas 1. Cours d’eau et bassins versants 2. Occupation du sol 3. Présentation de la province 4. Topographie - Bathymétrie 5. Géologie 6. Type de côte 7. Habitats naturels 8. Géomorphologie sous-marine de l'avant-côte 9. Climatologie atmosphérique 10. Réseau météorologique 11. Marais maritimes et zones humides 12. Circulation générale de surface dans la mer Méditerranée 13. États de mer 14. Localisation des ports de référence et secondaires 15. Surveillance du réseau hydrographique 16. Réseau hydrographique 17. Température et salinité de l'eau de surface 18. Hauteur significative et direction des vagues 19. Unité Sableuse Supérieure 20. Nature des fonds marins 21. Artificialisation du littoral par un ouvrage ou un aménagement côtier 22. Ouvrages et aménagements côtiers 23. Progression de l'urbanisation 24. Volumes de sédiments dragués et quantités de matières sèches immergées 25. Autres activités humaines 26. Évolution historique de la surface de plage 27. Évolution de l'avant-côte 28. Évolution passée du trait de côte 29. Évolution du trait de côte et de l’avant côte 30. Camargues 31. Carte d’identité des unités morphosédimentaires
  84. Edition (Ceremadoc) Dynamiques et évolution du littoral - Fascicule 03 : du cap d’Antifer au cap de la Hague : Atlas cartographique

    Ce fascicule traite de la province sédimentaire s’étendant du cap d’Antifer au cap de la Hague sur environ 435 km. 1 Présentation 2 Contexte général : données physiographiques 2.1 Géographie 2.2 Géologie des côtes et des fonds marins 2.3 Géomorphologie 2.4 Habitats naturels 2.5 Facteurs et mécanismes d’évolution du littoral 3 Facteurs hydrodynamiques 3.1 Climatologie 3.2 Facteurs océanographiques 3.3 Hydrologie 3.4 Changement climatique et impacts sur les facteurs hydrodynamiques 4 Données sédimentologiques 4.1 Nature et répartition des sédiments 4.2 Origine des sédiments 4.3 Mouvements des sédiments 4.4 Puits de sédiments 4.5 Bilan sur les mouvements de sédiments 5 Interventions humaines le long du littoral 5.1 Aménagements côtiers, ouvrages de défense et ouvrages portuaires 5.2 Extractions 5.3 Dragages et clapages 5.4 Autres activités humaines 6 Évolution générale du littoral et des fonds 6.1 Évolution historique et récente du littoral et des fonds 6.2 Évolution événementielle sur le littoral 6.3 Impact du changement climatique 7 Conclusion : Bilan sédimentaire général 7.1 Évolution du littoral et des fonds 7.2 Le bilan sédimentaire actuel 7.3 Prospective et impact du changement climatique 7.4 Perspectives 8 Annexes 8.1 Bibliographie 8.2 Glossaire 8.3 Abréviations et acronymes 8.4 Annexe du chapitre 2 8.5 Annexes du chapitre 3 8.6 Annexes du chapitre 5 8.7 Annexes du chapitre 6 8.8 Index des figures 8.9 Index des tableaux 8.10 Crédits photographiques 8.11 Couches SIG produites
  85. Edition (Ceremadoc) Dynamiques et évolution du littoral - Fascicule 03 : du cap d’Antifer au cap de la Hague : Synthèse des connaissances

    Ce fascicule traite de la province sédimentaire s’étendant du cap d’Antifer au cap de la Hague sur environ 435 km. 1 Présentation 2 Contexte général : données physiographiques 2.1 Géographie 2.2 Géologie des côtes et des fonds marins 2.3 Géomorphologie 2.4 Habitats naturels 2.5 Facteurs et mécanismes d’évolution du littoral 3 Facteurs hydrodynamiques 3.1 Climatologie 3.2 Facteurs océanographiques 3.3 Hydrologie 3.4 Changement climatique et impacts sur les facteurs hydrodynamiques 4 Données sédimentologiques 4.1 Nature et répartition des sédiments 4.2 Origine des sédiments 4.3 Mouvements des sédiments 4.4 Puits de sédiments 4.5 Bilan sur les mouvements de sédiments 5 Interventions humaines le long du littoral 5.1 Aménagements côtiers, ouvrages de défense et ouvrages portuaires 5.2 Extractions 5.3 Dragages et clapages 5.4 Autres activités humaines 6 Évolution générale du littoral et des fonds 6.1 Évolution historique et récente du littoral et des fonds 6.2 Évolution événementielle sur le littoral 6.3 Impact du changement climatique 7 Conclusion : Bilan sédimentaire général 7.1 Évolution du littoral et des fonds 7.2 Le bilan sédimentaire actuel 7.3 Prospective et impact du changement climatique 7.4 Perspectives 8 Annexes 8.1 Bibliographie 8.2 Glossaire 8.3 Abréviations et acronymes 8.4 Annexe du chapitre 2 8.5 Annexes du chapitre 3 8.6 Annexes du chapitre 5 8.7 Annexes du chapitre 6 8.8 Index des figures 8.9 Index des tableaux 8.10 Crédits photographiques 8.11 Couches SIG produites
  86. Edition (Ceremadoc) Dynamiques et évolution du littoral - Fascicule 13 : la Guadeloupe : Synthèse des connaissances

    Ce fascicule traite de la province sédimentaire de la Guadeloupe. Sommaire de la synthèse 1. Présentation 2. Contexte général : données physiographiques 3. Facteurs hydrodynamiques 4. Données sédimentologiques 5. Interventions humaines le long du littoral 6. Évolution générale du littoral et des fonds 7. Conclusion : Bilan Sédimentaire Général 8. Annexes Sommaire de l'atlas 1. Cours d’eau et bassins versants 2. Occupation du sol 3. Présentation de la province 4. Topographie 5. Type de côte 6. Habitats naturels 7. Bathymétrie Litto 3D® 8. Géomorphologie du littoral 9. Réseau météorologique 10. Zones humides 11. Hauteurs significatives et direction de propagation des vagues 12. États de mer 13. Localisation des ports de référence et secondaires 14. Surveillance du réseau hydrographique 15. Nature des fonds marins 16. Artificialisation du littoral par un ouvrage ou un aménagement côtier 17. Progression de l’urbanisation 18. Interventions humaines le long du littoral 19. Zonages réglementaires 20. Évolution passée du trait de côte 21. Carte d'identité des unités morphosédimentaires
  87. Edition (Ceremadoc) Dynamiques et évolution du littoral - Fascicule 06 : de la pointe de Chémoulin à la pointe de Suzac : Atlas cartographique

    Ce fascicule traite de la province sédimentaire s’étendant de la pointe de Chémoulin à la pointe de Suzac. SOMMAIRE DE LA SYNTHESE 1. Présentation 2. Contexte général : données physiographiques 3. Facteurs hydrodynamiques 4. Données sédimentologiques 5. Interventions humaines le long du littoral 6. Évolution générale du littoral et des fonds 7. Conclusion : Bilan sédimentaire général 8. Annexe SOMMAIRE DE L'ATLAS 1. Cours d’eau et bassins versants 2. Occupation du sol 3. Présentation de la province 4. Topographie - Bathymétrie 5. Géologie 6. Type de côte 7. Habitats naturels 8. Climatologie Atmosphérique 9. Réseau météorologique 10. Marais maritime et zones humides 11. Énergie cinétique des courants marins (2010 - 2015) 12. Salinité de l’eau (2010 - 2015) 13. Température de l’eau (2010 - 2015) 14. Marnage 15. Hauteurs significatives et direction de propagation des vagues (tempête du 7/02/1996) 16. Valeurs extrêmes de niveau de pleine mer aux marégraphes 17. Valeurs extrême de surcote de pleine mer aux marégraphes 18. États de mer issus de l’observation in situ - Hauteurs significatives 19. États de mer - Hauteur significative des vagues issues de simulation ANEMOC 20. États de mer issus de l’observation in situ - Rose de houle 21. Roses des houles issues de simulations numériques ANEMOC 22. Localisation des points d’observation des états de mer 23. États de mer lors de tempête - Hauteurs significatives issues de la modèlisation numérique 25. Courant de marée de surface 26. Localisation des ports de référence et secondaires 27. Roses de courant 28. Niveaux marins centennaux 29. Réseau hydrographique 30. Surveillance du réseau hydrographique 31. Nature des fonds marins 32. Synthèse des échanges sédimentaires connus sur la façade 33. Synthèse des échanges sédimentaires connus sur la façade 34. Cellules hydrosédimentaires 35. Artificialisation du littoral par un ouvrage ou un aménagement côtier 36. Ouvrages et aménagements côtiers
  88. Edition (Ceremadoc) Dynamiques et évolution du littoral - Fascicule 16 : Mayotte : Synthèse des connaissances

    Ce fascicule traite de la province sédimentaire de l’archipel de Mayotte. Il est composé de deux îles principales qui offrent plus de 313 km de côtes très diversifiées en raison leur histoire géologique : Grande-Terre et Petite-Terre, ainsi qu’une trentaine d’îlots, localisés dans un lagon. Le littoral mahorais connaît des pressions anthropiques nombreuses et variées du fait de l’activité touristique, de l’augmentation démographique et de la transformation des modes de vie entraînant la requalification sociale et fonctionnelle des zones côtières. En raison de sa position géographique, Mayotte est également exposée aux évènements météo-marins extrêmes (tempêtes tropicales, cyclones), qui peuvent provoquer des dégâts sociaux-économiques et environnementaux et altérer durablement la vie dans l’archipel. SOMMAIRE DE LA SYNTHESE 1 Présentation 2 Contexte général : données physiographiques 2.1 Géographie 2.2 Géologie des côtes et des fonds marins 2.3 Géomorphologie 2.4 Habitats naturels 2.5 Facteurs et mécanismes d’évolution du littoral 3 Facteurs hydrodynamiques 3.1 Climatologie 3.2 Facteurs océanographiques 3.3 Hydrologie 3.4 Changement climatique et impacts sur les facteurs hydrodynamiques 4 Données sédimentologiques 4.1 Nature et répartition des sédiments 4.2 Origine des sédiments 4.3 Mouvements des sédiments 4.4 Puits de sédiments 4.5 Bilan sur les mouvements de sédiments 5 Interventions humaines le long du littoral 5.1 Aménagements côtiers, ouvrages de défense et ouvrages portuaires 5.2 Extractions 5.3 Dragages et clapages 5.4 Autres activités humaines 6 Évolution générale du littoral et des fonds 6.1 Évolution historique et récente du littoral et des fonds 6.2 Évolution événementielle sur le littoral 6.3 Impact du changement climatique 7 Conclusion : Bilan sédimentaire général 7.1 Le bilan sédimentaire actuel 7.2 Évolution du littoral et des fonds 7.3 Prospective et impact du changement climatique 7.4 Perspectives 8 Bibliographie 9 ANNEXES 9.1 Glossaire 9.2 Abréviations et acronymes 9.3 Crédits photographiques SOMMAIRE DE L'ATLAS 1 Chapitre 2. Contexte général : données physiographiques Présentation de la province Topographie – Bathymétrie Cours d’eau et bassins versants Occupation du sol Type de côte Habitats naturels 2 Chapitre 3. Facteurs hydrodynamiques Réseau météorologique Climatologie atmosphérique (températures, précipitations et fréquences de vents) Température des eaux de surface en 2015 Localisation des ports de référence et secondaires 3 Chapitre 5. Interventions humaines le long du littoral Artificialisation du littoral par un ouvrage ou un aménagement côtier Progression de l’urbanisation Autres activités humaines Espaces protégés 4 Chapitre 6. Évolution générale du littoral et des fonds Évolution passée du trait de côte 5 Chapitre 7. Conclusion : Bilan sédimentaire général Carte d’identité des unités morphosédimentaires
  89. Edition (Ceremadoc) Dynamiques et évolution du littoral - Fascicule 11 : Saint-Pierre-et-Miquelon : Atlas cartographique

    Ce onzième fascicule traite de la province sédimentaire de Saint-Pierre-et-Miquelon. Sommaire de la synthèse 1. Présentation 2. Contexte général : données physiographiques 3. Facteurs hydrodynamiques 4. Données sédimentologiques 5. Interventions humaines le long du littoral 6. Évolution générale du littoral et des fonds 7. Conclusion : Bilan Sédimentaire Général 8. Annexes Sommaire de l'atlas 1. Occupation du sol 2. Présentation de la province 3. Topographie 4. Géologie 5. Réseau hydrographique 6. Type de côte 7. États de mer 8. Localisation des ports de référence et secondaires 9. Réseau hydrographique 10. Présentation de la province 11. Synthèse des échanges sédimentaires connus sur la façade 12. Ouvrages et aménagements côtiers 13. Interventions humaines le long du littoral 14. Zonages réglementaires 15. Évolution passée du trait de côte 16. Carte d'identité des unités morphosédimentaires
  90. Edition (Ceremadoc) Dynamiques et évolution du littoral - Fascicule 14 : la Martinique : Atlas cartographique

    Ce fascicule traite de la province sédimentaire de la Martinique. Sommaire de la synthèse 1. Présentation 2. Contexte général : données physiographiques 3. Facteurs hydrodynamiques 4. Données sédimentologiques 5. Interventions humaines le long du littoral 6. Évolution générale du littoral et des fonds 7. Conclusion : Bilan Sédimentaire Général 8. Annexes Sommaire de l'atlas 1. Cours d'eau et bassins versants 2. Occupation du sol 3. Présentation de la province 4. Topographie 5. Type de côte 6. Habitats naturels 7. Bathymétrie Litto 3D® 8. Réseau météorologique 9. Zones humides 10. États de mer 11. Localisation des points d’observation des états de mer 12. Localisation des ports de référence et secondaires 13. Surveillance du réseau hydrographique 14. Nature des fonds marins 15. Synthèse des échanges sédimentaires connus sur la façade 16. Artificialisation du littoral par un ouvrage ou un aménagement côtier 17. Progression de l’urbanisation 18. Interventions humaines le long du littoral 19. Zonages réglementaires 20. Évolution passée du trait de côte 21. De Sainte-Marie à Le François 22. Carte d’identité des unités morphosédimentaires
  91. Edition (Ceremadoc) Dynamiques et évolution du littoral - Fascicule 01 : de la frontière belge à la pointe du Hourdel : Atlas cartographique

    Ce premier fascicule traite de la province sédimentaire s’étendant de la frontière belge à la pointe du Hourdel (baie de Somme). Trois unités morphosédimentaires la constituent : les deux plaines maritimes picarde et flamande, caractérisées par des systèmes dunaires étendus de quelques dizaines à quelques centaines de mètres, isolant de la mer des territoires bas et potentiellement submersibles, et une côte essentiellement rocheuse à falaises, le Boulonnais. Sur les dernières décennies, 40 % des côtes mobiles sont en accrétion, soit un des taux les plus élevés de métropole. Cependant, ce chiffre masque des différences très marquées, avec des taux de recul du trait de côte pouvant dépasser localement les 3 m/an en moyenne comme en baie d’Authie ou en baie de Wissant. La province ne bénéficie que de peu d’apports sédimentaires actuels ; ceux-ci sont liés au recul des côtes à falaises et aux sédiments transportés par la dérive littorale depuis la province méridionale adjacente. Les mouvements de sédiments correspondent ainsi essentiellement à la remobilisation d’un matériel hérité dont le stock limité n’est pas renouvelé par la production sédimentaire actuelle. Les perspectives d’élévation rapide du niveau de la mer, liées au dérèglement climatique, laissent craindre une fragilisation d’espaces littoraux déjà contraints et un laps de temps insuffisant à l’adaptation des habitats naturels côtiers. Cependant, les évolutions en cours sont soumises à de nombreuses incertitudes et les efforts de mesure et de capitalisation des connaissances sur le devenir de ces territoires littoraux doivent être poursuivis pour adopter des stratégies de gestion locales durables. SOMMAIRE DE LA SYNTHESE 1. Présentation 2. Contexte général : données physiographiques 2.1 Géographie 2.2 Géologie des côtes et des fonds marins 2.3 Géomorphologie 2.4 Habitats naturels 2.5 Facteurs et mécanismes d’évolution du littoral 3. Facteurs hydrodynamiques 3.1 Climatologie 3.2 Facteurs océanographiques 3.3 Hydrologie 3.4 Changement climatique et impacts sur les facteurs hydrodynamiques 4. Données sédimentologiques 4.1 Nature et répartition des sédiments 4.2 Origine des sédiments 4.3 Mouvements des sédiments 4.4 Puits de sédiments 4.5 Bilan sur les mouvements de sédiments 5. Interventions humaines le long du littoral 5.1 Aménagements côtiers, ouvrages de défense et ouvrages portuaires 5.2 Extractions 5.3 Dragages et clapages 5.4 Autres activités humaines 6. Evolution générale du littoral et des fonds 6.1 Evolution historique et récente du littoral et des fonds 6.2 Evolution événementielle sur le littoral 6.3 Impact du changement climatique 7. Conclusion : Bilan sédimentaire général 7.1 Évolution du littoral et des fonds 7.2 Le bilan sédimentaire actuel 7.3 Prospective et impact du changement climatique 7.4 Perspectives 8. Bibliographie 9. Annexes 9.1 Glossaire 9.2 Abréviations et acronymes 9.3 Annexe du chapitre 2 – Détail des habitats naturels de la province 9.4 Annexes du chapitre 3 9.5 Annexe du chapitre 6 – Tableaux d’évolution du trait de côte par cellule hydrosédimentaire. 9.6 Crédits photographiques 9.6 Couches SIG produites SOMMAIRE DE L'ATLAS 1. Chapitre 2. Contexte général : données physiographiques Présentation de la province Topographie – Bathymétrie (MNT bathymétrie Manche/Atlantique, résolution 100 m) Cours d’eau et bassins versants Occupation du sol Géologie Type de côte Habitats naturels 2. Chapitre 3. Facteurs hydrodynamiques Réseau météorologique Climatologie atmosphérique (températures, précipitations et fréquences de vents) Température de l’eau – Chronique pour la période 2010-2015 Salinité de l’eau – Chronique pour la période 2010-2015 Niveau marin Niveaux marins extrêmes États de mer Hauteurs significatives et direction de provenance des vagues Énergie cinétique des courants marins – Climatologie pour la période 2010-2015 Roses de courant Courant de marée de surface – Avant et après la pleine mer de mortes-eaux (coefficient de 45) Courant de marée de surface – Avant et après la pleine mer de vives-eaux (coefficient de 95) Réseau hydrographique Surveillance du réseau hydrographique Marais maritimes et zones humides 3. Chapitre 4. Données sédimentologiques Cellules hydrosédimentaires Nature des fonds marins Diamètre médian des sédiments en baie d’Authie Répartition du grain moyen dans l’estuaire de la Canche Les différents modes de transport sédimentaire Synthèse des échanges sédimentaires connus sur la façade 4. Chapitre 5. Interventions humaines le long du littoral Artificialisation du littoral par un ouvrage ou un aménagement côtier Ouvrages et aménagements côtiers Ressource en granulats marins Volumes de sédiments dragués et quantités de matières sèches immergées Progression de l’urbanisation Autres activités humaines 5. Chapitre 6. Evolution générale du littoral et des fonds Evolution passée du trait de côte Evolution bathymétrique de dunes sous-marines entre 1999 et 2005 – Dunes du Pas-de-Calais 6. Chapitre 7. Conclusion : Bilan sédimentaire général Carte d’identité des unités morphosédimentaires Bilan sédimentaire actuel Références bibliographiques disponibles – Projets en cours
  92. Edition (Ceremadoc) Dynamiques et évolution du littoral - Fascicule 11 : Saint-Pierre-et-Miquelon : Synthèse des connaissances

    Ce onzième fascicule traite de la province sédimentaire de Saint-Pierre-et-Miquelon. Sommaire de la synthèse 1. Présentation 2. Contexte général : données physiographiques 3. Facteurs hydrodynamiques 4. Données sédimentologiques 5. Interventions humaines le long du littoral 6. Évolution générale du littoral et des fonds 7. Conclusion : Bilan Sédimentaire Général 8. Annexes Sommaire de l'atlas 1. Occupation du sol 2. Présentation de la province 3. Topographie 4. Géologie 5. Réseau hydrographique 6. Type de côte 7. États de mer 8. Localisation des ports de référence et secondaires 9. Réseau hydrographique 10. Présentation de la province 11. Synthèse des échanges sédimentaires connus sur la façade 12. Ouvrages et aménagements côtiers 13. Interventions humaines le long du littoral 14. Zonages réglementaires 15. Évolution passée du trait de côte 16. Carte d'identité des unités morphosédimentaires
  93. Edition (Ceremadoc) Dynamiques et évolution du littoral - Fascicule 01 : de la frontière belge à la pointe du Hourdel : Synthèse des connaissances

    Ce premier fascicule traite de la province sédimentaire s’étendant de la frontière belge à la pointe du Hourdel (baie de Somme). Trois unités morphosédimentaires la constituent : les deux plaines maritimes picarde et flamande, caractérisées par des systèmes dunaires étendus de quelques dizaines à quelques centaines de mètres, isolant de la mer des territoires bas et potentiellement submersibles, et une côte essentiellement rocheuse à falaises, le Boulonnais. Sur les dernières décennies, 40 % des côtes mobiles sont en accrétion, soit un des taux les plus élevés de métropole. Cependant, ce chiffre masque des différences très marquées, avec des taux de recul du trait de côte pouvant dépasser localement les 3 m/an en moyenne comme en baie d’Authie ou en baie de Wissant. La province ne bénéficie que de peu d’apports sédimentaires actuels ; ceux-ci sont liés au recul des côtes à falaises et aux sédiments transportés par la dérive littorale depuis la province méridionale adjacente. Les mouvements de sédiments correspondent ainsi essentiellement à la remobilisation d’un matériel hérité dont le stock limité n’est pas renouvelé par la production sédimentaire actuelle. Les perspectives d’élévation rapide du niveau de la mer, liées au dérèglement climatique, laissent craindre une fragilisation d’espaces littoraux déjà contraints et un laps de temps insuffisant à l’adaptation des habitats naturels côtiers. Cependant, les évolutions en cours sont soumises à de nombreuses incertitudes et les efforts de mesure et de capitalisation des connaissances sur le devenir de ces territoires littoraux doivent être poursuivis pour adopter des stratégies de gestion locales durables.
  94. Edition (Ceremadoc) Dynamiques et évolution du littoral - Fascicule 16 : Mayotte : Atlas cartographique

    Ce fascicule traite de la province sédimentaire de l’archipel de Mayotte. Il est composé de deux îles principales qui offrent plus de 313 km de côtes très diversifiées en raison leur histoire géologique : Grande-Terre et Petite-Terre, ainsi qu’une trentaine d’îlots, localisés dans un lagon. Le littoral mahorais connaît des pressions anthropiques nombreuses et variées du fait de l’activité touristique, de l’augmentation démographique et de la transformation des modes de vie entraînant la requalification sociale et fonctionnelle des zones côtières. En raison de sa position géographique, Mayotte est également exposée aux évènements météo-marins extrêmes (tempêtes tropicales, cyclones), qui peuvent provoquer des dégâts sociaux-économiques et environnementaux et altérer durablement la vie dans l’archipel. SOMMAIRE DE LA SYNTHESE 1 Présentation 2 Contexte général : données physiographiques 2.1 Géographie 2.2 Géologie des côtes et des fonds marins 2.3 Géomorphologie 2.4 Habitats naturels 2.5 Facteurs et mécanismes d’évolution du littoral 3 Facteurs hydrodynamiques 3.1 Climatologie 3.2 Facteurs océanographiques 3.3 Hydrologie 3.4 Changement climatique et impacts sur les facteurs hydrodynamiques 4 Données sédimentologiques 4.1 Nature et répartition des sédiments 4.2 Origine des sédiments 4.3 Mouvements des sédiments 4.4 Puits de sédiments 4.5 Bilan sur les mouvements de sédiments 5 Interventions humaines le long du littoral 5.1 Aménagements côtiers, ouvrages de défense et ouvrages portuaires 5.2 Extractions 5.3 Dragages et clapages 5.4 Autres activités humaines 6 Évolution générale du littoral et des fonds 6.1 Évolution historique et récente du littoral et des fonds 6.2 Évolution événementielle sur le littoral 6.3 Impact du changement climatique 7 Conclusion : Bilan sédimentaire général 7.1 Le bilan sédimentaire actuel 7.2 Évolution du littoral et des fonds 7.3 Prospective et impact du changement climatique 7.4 Perspectives 8 Bibliographie 9 ANNEXES 9.1 Glossaire 9.2 Abréviations et acronymes 9.3 Crédits photographiques SOMMAIRE DE L'ATLAS 1 Chapitre 2. Contexte général : données physiographiques Présentation de la province Topographie – Bathymétrie Cours d’eau et bassins versants Occupation du sol Type de côte Habitats naturels 2 Chapitre 3. Facteurs hydrodynamiques Réseau météorologique Climatologie atmosphérique (températures, précipitations et fréquences de vents) Température des eaux de surface en 2015 Localisation des ports de référence et secondaires 3 Chapitre 5. Interventions humaines le long du littoral Artificialisation du littoral par un ouvrage ou un aménagement côtier Progression de l’urbanisation Autres activités humaines Espaces protégés 4 Chapitre 6. Évolution générale du littoral et des fonds Évolution passée du trait de côte 5 Chapitre 7. Conclusion : Bilan sédimentaire général Carte d’identité des unités morphosédimentaires
  95. Edition (Ceremadoc) Dynamiques et évolution du littoral - Fascicule 14 : la Martinique : Synthèse des connaissances

    Ce fascicule traite de la province sédimentaire de la Martinique. Sommaire de la synthèse 1. Présentation 2. Contexte général : données physiographiques 3. Facteurs hydrodynamiques 4. Données sédimentologiques 5. Interventions humaines le long du littoral 6. Évolution générale du littoral et des fonds 7. Conclusion : Bilan Sédimentaire Général 8. Annexes Sommaire de l'atlas 1. Cours d'eau et bassins versants 2. Occupation du sol 3. Présentation de la province 4. Topographie 5. Type de côte 6. Habitats naturels 7. Bathymétrie Litto 3D® 8. Réseau météorologique 9. Zones humides 10. États de mer 11. Localisation des points d’observation des états de mer 12. Localisation des ports de référence et secondaires 13. Surveillance du réseau hydrographique 14. Nature des fonds marins 15. Synthèse des échanges sédimentaires connus sur la façade 16. Artificialisation du littoral par un ouvrage ou un aménagement côtier 17. Progression de l’urbanisation 18. Interventions humaines le long du littoral 19. Zonages réglementaires 20. Évolution passée du trait de côte 21. De Sainte-Marie à Le François 22. Carte d’identité des unités morphosédimentaires
  96. Edition (Ceremadoc) Dynamiques et évolution du littoral - Fascicule 08 : de la frontière espagnole à Port-de-Bouc : Synthèse des connaissances

    Ce fascicule traite de la province sédimentaire s’étendant de la frontière espagnole à Port-de-Bouc. Sommaire de la synthèse 1. Présentation 2. Contexte général : données physiographiques 3. Facteurs hydrodynamiques 4. Données sédimentologiques 5. Interventions humaines le long du littoral 6. Évolution générale du littoral et des fonds 7. Conclusion : Bilan sédimentaire général 8. Annexes Sommaire de l'atlas 1. Cours d’eau et bassins versants 2. Occupation du sol 3. Présentation de la province 4. Topographie - Bathymétrie 5. Géologie 6. Type de côte 7. Habitats naturels 8. Géomorphologie sous-marine de l'avant-côte 9. Climatologie atmosphérique 10. Réseau météorologique 11. Marais maritimes et zones humides 12. Circulation générale de surface dans la mer Méditerranée 13. États de mer 14. Localisation des ports de référence et secondaires 15. Surveillance du réseau hydrographique 16. Réseau hydrographique 17. Température et salinité de l'eau de surface 18. Hauteur significative et direction des vagues 19. Unité Sableuse Supérieure 20. Nature des fonds marins 21. Artificialisation du littoral par un ouvrage ou un aménagement côtier 22. Ouvrages et aménagements côtiers 23. Progression de l'urbanisation 24. Volumes de sédiments dragués et quantités de matières sèches immergées 25. Autres activités humaines 26. Évolution historique de la surface de plage 27. Évolution de l'avant-côte 28. Évolution passée du trait de côte 29. Évolution du trait de côte et de l’avant côte 30. Camargues 31. Carte d’identité des unités morphosédimentaires
  97. Edition (Ceremadoc) Dynamiques et évolution du littoral - Fascicule 12 : Saint-Barthélemy et Saint-Martin : Atlas cartographique

    Ce fascicule traite de la province sédimentaire de Saint-Barthélemy et Saint-Martin. SOMMAIRE DE LA SYNTHESE 1. Présentation 2. Contexte général : données physiographiques 3. Facteurs hydrodynamiques 4. Données sédimentologiques 5. Interventions humaines le long du littoral 6. Évolution générale du littoral et des fonds 7. Conclusion : Bilan sédimentaire général 8. Annexe SOMMAIRE DE L'ATLAS 1. Cours d’eau et bassins versants 2. Présentation de la province 3. Type de côte 4. Habitats naturels 5. Tempête du 6/09/95 : hauteurs significatives et direction de propagation des vagues 6. Tempête du 21/09/98 : hauteurs significatives et direction de propagation des vagues 7. États de mer - Hauteurs significatives de vagues issues des simulations ANEMOC 8. Roses des houles issues de simulations numériques ANEMOC 9. Localisation des ports de référence et secondaires 10. Ouvrages et aménagements côtiers (Saint-Martin) 11. Ouvrages et aménagements côtiers (Saint-Barthélemy) 12. Interventions humaines le long du littoral 13. Zonages réglementaires 14. Évolution passée du trait de côte 15. Évolution passée du trait de côte (Saint-Martin) 16. Évolution passée du trait de côte (Saint-Bathélemy) 17. Carte d 'identité des unités morphosédimentaires
  98. Edition (Ceremadoc) Dynamiques et évolution du littoral - Fascicule 12 : Saint-Barthélemy et Saint-Martin : Synthèse des connaissances

    Ce fascicule traite de la province sédimentaire de Saint-Barthélemy et Saint-Martin. SOMMAIRE DE LA SYNTHESE 1. Présentation 2. Contexte général : données physiographiques 3. Facteurs hydrodynamiques 4. Données sédimentologiques 5. Interventions humaines le long du littoral 6. Évolution générale du littoral et des fonds 7. Conclusion : Bilan sédimentaire général 8. Annexe SOMMAIRE DE L'ATLAS 1. Cours d’eau et bassins versants 2. Présentation de la province 3. Type de côte 4. Habitats naturels 5. Tempête du 6/09/95 : hauteurs significatives et direction de propagation des vagues 6. Tempête du 21/09/98 : hauteurs significatives et direction de propagation des vagues 7. États de mer - Hauteurs significatives de vagues issues des simulations ANEMOC 8. Roses des houles issues de simulations numériques ANEMOC 9. Localisation des ports de référence et secondaires 10. Ouvrages et aménagements côtiers (Saint-Martin) 11. Ouvrages et aménagements côtiers (Saint-Barthélemy) 12. Interventions humaines le long du littoral 13. Zonages réglementaires 14. Évolution passée du trait de côte 15. Évolution passée du trait de côte (Saint-Martin) 16. Évolution passée du trait de côte (Saint-Bathélemy) 17. Carte d 'identité des unités morphosédimentaires
  99. Edition (Ceremadoc) Dynamiques et évolution du littoral - Fascicule 13 : la Guadeloupe : Atlas cartographique

    Ce fascicule traite de la province sédimentaire de la Guadeloupe. Sommaire de la synthèse 1. Présentation 2. Contexte général : données physiographiques 3. Facteurs hydrodynamiques 4. Données sédimentologiques 5. Interventions humaines le long du littoral 6. Évolution générale du littoral et des fonds 7. Conclusion : Bilan Sédimentaire Général 8. Annexes Sommaire de l'atlas 1. Cours d’eau et bassins versants 2. Occupation du sol 3. Présentation de la province 4. Topographie 5. Type de côte 6. Habitats naturels 7. Bathymétrie Litto 3D® 8. Géomorphologie du littoral 9. Réseau météorologique 10. Zones humides 11. Hauteurs significatives et direction de propagation des vagues 12. États de mer 13. Localisation des ports de référence et secondaires 14. Surveillance du réseau hydrographique 15. Nature des fonds marins 16. Artificialisation du littoral par un ouvrage ou un aménagement côtier 17. Progression de l’urbanisation 18. Interventions humaines le long du littoral 19. Zonages réglementaires 20. Évolution passée du trait de côte 21. Carte d'identité des unités morphosédimentaires
  100. Edition (Ceremadoc) Dynamiques et évolution du littoral - Fascicule 07 : de la pointe de Suzac à la frontière espagnole : Atlas cartographique

    Ce septième fascicule traite de la province sédimentaire s’étendant de la pointe de Suzac, au nord de l’estuaire de la Gironde, à la frontière espagnole au sud (matérialisée par l’embouchure de la Bidassoa), sur un linéaire d’environ 270 km. Sommaire de la synthèse 1. Présentation 2. Contexte général : données physiographiques 3. Facteurs hydrodynamiques 4. Données sédimentologiques 5. Interventions humaines le long du littoral 6. Évolution générale du littoral et des fonds 7. Conclusion : Bilan sédimentaire général 8. Annexes Sommaire de l'atlas 1. Présentation de la province 2. Occupation du sol 3. Cours d’eau et bassins versants 4. Topographie - Bathymétrie 5. Géologie 6. Type de côte 7. Habitats naturels 8. Réseau météorologique 9. Marais maritimes et zones humides 10. Climatologie atmosphérique - Températures, précipitations et fréquence des vents 11. Température de l’eau 12. Salinité de l’eau2 13. Localisation des ports de référence et secondaires 14. Marnage 15. Valeurs extrêmes de surcote de pleine mer aux marégraphes 16. Valeurs extrêmes de niveau de pleine mer aux marégraphes 17. Niveaux marins centennaux 18. Localisation des points d’observation des états de mer 19. États de mer issus de l’observation in situ - Rose de houle 20. Roses des houles issues de simulations numériques ANEMOC 21. États de mer - Hauteur significative des vagues issues des simulations ANEMOC 22. États de mer issus de l’observation in situ - Hauteurs significatives 23. États de mer lors de tempêtes 24. Hauteurs significatives et direction de propagation des vagues (tempête du 7/02/96) 25. Energie cinétique des courants marins 26. Roses de courant 27. Courant de marée de surface 28. Réseau hydrographique 29. Cellules hydrosédimentaires 30. Nature des fonds marins 31. Artificialisation du littoral par un ouvrage ou un aménagement côtier 32. Ouvrages et aménagements côtiers 33. Ressource en granulats marins 34. Volumes de sédiments dragués : bilan des travaux maritimes du Syndicat Intercommunal du Bassin d’Arcachon (en m³)0 35. Progression de l’urbanisation 36. Autres activités humaines 37. Évolution passée du trait de côte 38. Cellule 5 et 6 Nord : la Bécassière à la Salie-sud 39. Carte d’identité des unités morphosédimentaires
  101. Edition (Ceremadoc) Dynamiques et évolution du littoral - Fascicule 06 : de la pointe de Chémoulin à la pointe de Suzac : Synthèse des connaissances

    Ce fascicule traite de la province sédimentaire s’étendant de la pointe de Chémoulin à la pointe de Suzac. SOMMAIRE DE LA SYNTHESE 1. Présentation 2. Contexte général : données physiographiques 3. Facteurs hydrodynamiques 4. Données sédimentologiques 5. Interventions humaines le long du littoral 6. Évolution générale du littoral et des fonds 7. Conclusion : Bilan sédimentaire général 8. Annexe SOMMAIRE DE L'ATLAS 1. Cours d’eau et bassins versants 2. Occupation du sol 3. Présentation de la province 4. Topographie - Bathymétrie 5. Géologie 6. Type de côte 7. Habitats naturels 8. Climatologie Atmosphérique 9. Réseau météorologique 10. Marais maritime et zones humides 11. Énergie cinétique des courants marins (2010 - 2015) 12. Salinité de l’eau (2010 - 2015) 13. Température de l’eau (2010 - 2015) 14. Marnage 15. Hauteurs significatives et direction de propagation des vagues (tempête du 7/02/1996) 16. Valeurs extrêmes de niveau de pleine mer aux marégraphes 17. Valeurs extrême de surcote de pleine mer aux marégraphes 18. États de mer issus de l’observation in situ - Hauteurs significatives 19. États de mer - Hauteur significative des vagues issues de simulation ANEMOC 20. États de mer issus de l’observation in situ - Rose de houle 21. Roses des houles issues de simulations numériques ANEMOC 22. Localisation des points d’observation des états de mer 23. États de mer lors de tempête - Hauteurs significatives issues de la modèlisation numérique 25. Courant de marée de surface 26. Localisation des ports de référence et secondaires 27. Roses de courant 28. Niveaux marins centennaux 29. Réseau hydrographique 30. Surveillance du réseau hydrographique 31. Nature des fonds marins 32. Synthèse des échanges sédimentaires connus sur la façade 33. Synthèse des échanges sédimentaires connus sur la façade 34. Cellules hydrosédimentaires 35. Artificialisation du littoral par un ouvrage ou un aménagement côtier 36. Ouvrages et aménagements côtiers
  102. Edition (Ceremadoc) Dynamiques et évolution du littoral - Fascicule 04 - du cap de la Hague à la pointe de Corsen : Synthèse des connaissances

    Ce fascicule constitue le quatrième ouvrage sur la métropole. Il traite de la province de la pointe de la Hague à la pointe de Corsen, territoire qui s’étend sur près de 1 300 km des côtes. La côte en majorité rocheuse, est entrecoupée de baies sableuses à vaseuses (Mont-Saint-Michel, Saint-Brieuc, Lannion et Morlaix).
  103. Edition (Ceremadoc) Dynamiques et évolution du littoral - Fascicule 07 : de la pointe de Suzac à la frontière espagnole : Synthèse des connaissances

    Ce septième fascicule traite de la province sédimentaire s’étendant de la pointe de Suzac, au nord de l’estuaire de la Gironde, à la frontière espagnole au sud (matérialisée par l’embouchure de la Bidassoa), sur un linéaire d’environ 270 km. Sommaire de la synthèse 1. Présentation 2. Contexte général : données physiographiques 3. Facteurs hydrodynamiques 4. Données sédimentologiques 5. Interventions humaines le long du littoral 6. Évolution générale du littoral et des fonds 7. Conclusion : Bilan sédimentaire général 8. Annexes Sommaire de l'atlas 1. Présentation de la province 2. Occupation du sol 3. Cours d’eau et bassins versants 4. Topographie - Bathymétrie 5. Géologie 6. Type de côte 7. Habitats naturels 8. Réseau météorologique 9. Marais maritimes et zones humides 10. Climatologie atmosphérique - Températures, précipitations et fréquence des vents 11. Température de l’eau 12. Salinité de l’eau2 13. Localisation des ports de référence et secondaires 14. Marnage 15. Valeurs extrêmes de surcote de pleine mer aux marégraphes 16. Valeurs extrêmes de niveau de pleine mer aux marégraphes 17. Niveaux marins centennaux 18. Localisation des points d’observation des états de mer 19. États de mer issus de l’observation in situ - Rose de houle 20. Roses des houles issues de simulations numériques ANEMOC 21. États de mer - Hauteur significative des vagues issues des simulations ANEMOC 22. États de mer issus de l’observation in situ - Hauteurs significatives 23. États de mer lors de tempêtes 24. Hauteurs significatives et direction de propagation des vagues (tempête du 7/02/96) 25. Energie cinétique des courants marins 26. Roses de courant 27. Courant de marée de surface 28. Réseau hydrographique 29. Cellules hydrosédimentaires 30. Nature des fonds marins 31. Artificialisation du littoral par un ouvrage ou un aménagement côtier 32. Ouvrages et aménagements côtiers 33. Ressource en granulats marins 34. Volumes de sédiments dragués : bilan des travaux maritimes du Syndicat Intercommunal du Bassin d’Arcachon (en m³)0 35. Progression de l’urbanisation 36. Autres activités humaines 37. Évolution passée du trait de côte 38. Cellule 5 et 6 Nord : la Bécassière à la Salie-sud 39. Carte d’identité des unités morphosédimentaires
  104. Rapport d'étude (Ceremadoc) Bilan des connaissances des aléas du littoral de la Communauté d'agglomération Hérault Méditerranée. Note de synthèse des aléas et des enjeux littoraux

    L’objectif du projet est de poursuivre les réflexions sur la prise en compte des enjeux littoraux dans le projet de territoire et de tester le dispositif expérimental de type S-Able. Les travaux sont répartis en 4 axes : 1. Bilan des connaissances des aléas littoraux sur le territoire de la Communauté d’Agglomération Hérault Méditerranée, incluant un focus sur la côte ouest de Vias. 2. Modalités de prise en compte des enjeux littoraux dans le projet de territoire. 3. Expertises sur le projet de reconstitution du cordon dunaire. 4. Suivi et évaluation de la mise en place d’un dispositif expérimental de type S-Able. Le présent document correspond au bilan des connaissances des aléas et des enjeux du territoire, réalisé pour répondre à l’axe 1 de l’étude.
  105. Rapport d'étude (Ceremadoc) Évaluation écologique du littoral Sud-Atlantique pour le Plan Orsec Zonal : Volet POLMAR TERRE

    Les dispositions spécifiques « POLMAR/Terre » du plan ORSEC ont pour objet de faire face à une pollution marine de grande ampleur, dont les hydrocarbures. La DREAL de zone, a sollicité le Cerema SO pour une assistance méthodologique à maîtrise d'ouvrage quant à la faisabilité technique de la mise en place d'une évaluation écologique du littoral Sud Atlantique.
  106. Edition (Ceremadoc) Recommandations pour la conception et la réalisation des aménagements de défenses du littoral contre l'action de la mer

    Le présent guide s'attache à donner, sous une forme synthétique et relativement complète, des recommandations en vue de l'étude et de la conception des différents types d'aménagements se proposant d'assurer la protection du littoral contre la mer. Il aborde également, mais de façon inévitablement plus sommaire, les problèmes de réalisation, de surveillance, d'entretien et de réhabilitations des ouvrages. Ces recommandations s'efforcent de traiter à la fois des aspects techniques et des problèmes d'insertion dans l'environnement des solutions proposées. Elles sont destinées à constituer, pour les techniciens des services maritimes et des services de l'environnement, un guide pratique leur permettant de concevoir ou de contrôler la conception d'aménagements divers de protection du littoral. INTRODUCTION 1 - Objet du guide 2 - Méthode de travail 3 - Origines des recommandations CHAPITRE I - CONSIDERATIONS GENERALES 1 - Importance de l’érosion marine 2 - Difficultés des problèmes de protection du littoral 3 - Définition des objectifs poursuivis 4 - Différentes solutions possibles 5 - Contenu du guide CHAPITRE II - PROTECTION D’UNE COTE SABLEUSE ACTION DIRECTE SUR LES MATERIAUX 1 - Généralités 2 - Remodelage de l‘estran 3 - Rechargement de plage 4 - Déversement de matériaux par petits fonds 5 - Etablissement d’un transit artificiel 6 - Stabilisation et création de dunes 7 - Impacts de l’action sur les matériaux 8 - Critères de choix entre les différents procédés disponibles CHAPITRE III - PROTECTION D’UNE COTE SABLEUSE REALISATION D’OUVRAGES 1 - Ouvrages longitudinaux de haut de plage 2 - Ouvrages longitudinaux de bas de plage et de petits fonds 3 - Ouvrages transversaux 4 - Digues 5 - Combinaison de différents procédés CHAPITRE IV - PROTECTION D’UNE COTE A GALETS 1 - Généralités 2 - Principes des aménagements 3 - Rechargement de plage 4 - Etablissement d'un transit artificiel 5 - Ouvrages longitudinaux de haut de plage 6 - Ouvrages transversaux 7 - Impacts sur l'environnement CHAPITRE V - PROTECTION D’UNE COTE A FALAISES 1 - Erosion des falaises 2 - Protection contre les actions marines 3 - Stabilisation de la falaise 4 - Impacts sur l’environnement 5 - Exemples CHAPITRE VI - PROCEDES NOUVEAUX POUR LA PROTECTION DU LITTORAL 1 - Nouveaux matériaux 2.- Stabilisation des dunes par un gel 3 - Algues artificielles 4 - Cultures d‘algues 5 - Ouvrages peu réfléchissants 6 - Procédé PRINCIPlA-MONACO 7 - Roche électrolytique CHAPITRE VII - CONTROLE DES EXTRACTIONS DE MATERIAUX LE LONG DU LITTORAL ET GESTION DES DEPOTS DE DRAGAGES PORTUAIRES 1 - Importance et difficulté des problèmes 2 - Effets généraux des souilles draguées 3 - Résultats des études du LCHF sur modèles réduits concernant les souilles draguées 4 - Recommandations pratiques relatives aux souilles draguées 5 - Exemples de souilles draguées 6 - Gestion des dépôts de dragages CHAPITRE VIII - IMPACTS DE TECHNIQUES DE PROTECTION CONTRE LA MER 1 - Déroulement du chantier 2 - Sites et paysages 3 - Le milieu naturel 4 - La qualité des eaux 5 - Les aspects socio-économiques CHAPITRE IX - ETUDES PREALABLES 1 - Caractéristiques générales des études 2 - Etudes préliminaires 3 - Etude des risques littoraux 4 - Etude technique 5 - Etude d'impact sur l’environnement CHAPITRE X - COUTS, SURVEILLANCE ET ENTRETIEN DES AMENAGEMENTS 1 - Coûts 2 - Surveillance et entretien des aménagements CHAPITRE XI - EXEMPLES DETAlLLES D’AMENAGEMENTS 1 - Aménagement de la GRANDE MOTTE (Hérault) 2 - Aménagements d’ANGLET (Pyrénées-Atlantiques) 3 - Aménagement dunaire de QUEND-FORT-MAHON (Somme) BIBLIOGRAPHIE
  107. Edition (Ceremadoc) Fiches synthétiques de mesure des états de mer du réseau CANDHIS : Tome 3 - Outre-mer

    L’observation des vagues est de première importance dans de nombreux domaines tels que la sécurité maritime, les risques d’inondation, les aménagements portuaires, le suivi du trait de côte et les énergies renouvelables. Le Cerema Eau, mer et fleuves assure la gestion du réseau Candhis, réseau national de mesure des états de mer in situ. Ce catalogue est un support à la diffusion des données. Il présente les informations disponibles et leurs traitements et pour chaque campagne une analyse complète des données sur toute la durée des observations disponibles. Cela comprend des informations générales, l’établissement des climatologies moyennes, l’analyse des valeurs extrêmes et un zoom sur les caractéristiques des états de mer observés lors des événements les plus marquants. Ce catalogue est destiné aux bureaux d’ingénierie, aux services de l’État ou des collectivités, aux organismes de recherche, et plus généralement à ceux qui travaillent de près ou de loin sur les états de mer. Ce catalogue est prévu en trois tomes. Ce troisième tome est une actualisation de l’édition 2020 pour l’outre-mer, avec la prise en compte d’observations plus récentes.
  108. Edition (Ceremadoc) Caractérisation de systèmes d'endiguement à l'heure de la GEMAPI : Outils et retours d'expérience

    L’appel à partenaires GEMAPI a été lancé par le Cerema et INRAE en mai 2016 : il a permis d’accompagner dix collectivités dans cette prise de compétence, de répondre à des problématiques variées avec des solutions innovantes et de fournir des réponses adaptées et utiles à d’autres territoires. Le Cerema et INRAE ont travaillé conjointement sur le sujet des systèmes d’endiguement. Cette publication revient sur ces travaux, et notamment sur : • l’identification des zones soumises au risque inondation ; • l’identification des ouvrages et éléments naturels pouvant participer à la protection ; • l’identification des zones qu’ils protègent potentiellement ; • l’identification des enjeux présents dans ces zones.
  109. Edition (Ceremadoc) Culture du risque : Les clefs pour mieux impliquer les populations

    La culture du risque, c'est quoi ? Que faire en tant qu'élu ? Citoyen, acteur de sa propre sécurité ? Pourquoi développer la culture du risque ? Quelles actions pour une implication civile et citoyenne ? Par quelles actions renforcer la culture du risque sur mon territoire? Développer la culture du risque sur mon territoire : la boîte à outils
  110. Edition (Ceremadoc) Fiches synthétiques de mesure des états de mer du réseau CANDHIS : Tome 1 - Mer du Nord, Manche et Atlantique

    L’observation des vagues est de première importance dans de nombreux domaines tels que la sécurité maritime, les risques d’inondation, les aménagements portuaires, le suivi du trait de côte et les énergies renouvelables. Le Cerema Eau, mer et fleuves assure la gestion du réseau Candhis, réseau national de mesure des états de mer in situ. Ce catalogue est un support à la diffusion des données. Il présente les informations disponibles et leurs traitements et pour chaque campagne une analyse complète des données sur toute la durée des observations disponibles. Cela comprend des informations générales, l’établissement des climatologies moyennes, l’analyse des valeurs extrêmes et un zoom sur les caractéristiques des états de mer observés lors des événements les plus marquants. Ce catalogue est destiné aux bureaux d’ingénierie, aux services de l’État ou des collectivités, aux organismes de recherche, et plus généralement à ceux qui travaillent de près ou de loin sur les états de mer. Ce catalogue est prévu en trois tomes. Ce premier tome est une actualisation de l’édition 2020 pour la Mer du Nord, la Manche et l'Atlantique, avec la prise en compte d’observations plus récentes.
  111. Edition (Ceremadoc) Fiches synthétiques de mesure des états de mer du réseau CANDHIS : Tome 2 - Méditerranée

    L’observation des vagues est de première importance dans de nombreux domaines tels que la sécurité maritime, les risques d’inondation, les aménagements portuaires, le suivi du trait de côte et les énergies renouvelables. Le Cerema Eau, mer et fleuves assure la gestion du réseau Candhis, réseau national de mesure des états de mer in situ. Ce catalogue est un support à la diffusion des données. Il présente les informations disponibles et leurs traitements et pour chaque campagne une analyse complète des données sur toute la durée des observations disponibles. Cela comprend des informations générales, l’établissement des climatologies moyennes, l’analyse des valeurs extrêmes et un zoom sur les caractéristiques des états de mer observés lors des événements les plus marquants. Ce catalogue est destiné aux bureaux d’ingénierie, aux services de l’État ou des collectivités, aux organismes de recherche, et plus généralement à ceux qui travaillent de près ou de loin sur les états de mer. Ce catalogue est prévu en trois tomes. Ce deuxième tome est une actualisation de l’édition 2020 pour la Méditerranée, avec la prise en compte d’observations plus récentes.
  112. Rapport d'étude (Ceremadoc) Emploi des barrages contre les sargasses. Bilan et perspectives en Guadeloupe

    L’utilisation des barrages est envisagée en Guadeloupe en protection contre les sargasses. Basée sur une étude bibliographique et deux missions réalisées en juillet et en octobre 2019 avec l’appui de la Sous-préfecture et de la DEAL de la Guadeloupe, cette étude vise à : • présenter une typologie des barrages utilisés ou expérimentés en réponse à cette problématique ; • mettre en regard les conditions météocéaniques des côtes de la Guadeloupe avec les conditions de fonctionnement des barrages pour en tirer des conclusions quant à leur positionnement et leur exploitation ; • évaluer l’impact environnemental des barrages et le coût global de leur utilisation ; • dresser des perspectives pour l’emploi des barrages dans le cadre d’un schéma global d’intervention.
  113. Rapport d'étude (Ceremadoc) Impact sur les bâtiments des vagues franchissant le rivage

    Estimer les efforts sur les structures à proximité du rivage est nécessaire à leur dimensionnement, c’est particulièrement vrai pour les ouvrages de protection. Toutefois toutes les structures n’ont pas à être construites sur la base d’une résistance supposée à une sollicitation donnée. Ce n’est notamment pas le cas des bâtiments soumis aux chocs mécaniques des vagues. Cette étude propose donc une approche originale permettant, sur la base de l’existant, d’approcher les forces exercées par les vagues sur le bâti. Elle a été réalisée à la demande de la direction génrale de la prévention des risques du ministère de la transition écologique et solidaire dans le cadre de l’élaboration des plans de prévention des risques littoraux prioritaires. Elle est accompagnée d’une autre étude visant à fournir des éléments de prescriptions pour les bâtiments susceptibles d’être affectés par le choc mécanique des vagues.
  114. Edition (Ceremadoc) Reconnaissance de la limite du rivage de la mer : Intérêt et potentialité de critères morpho-sédimentaires et botaniques.

    Cette étude fait un bilan des connaissances sur les critères morpho-sédimentaires et botaniques permettant la détermination de la limite atteinte par les plus hautes eaux. En effet, la limite des plus hautes eaux en absence de perturbations météorologiques exceptionnelles est un des critère utilisés pour la délimitation du Domaine Public Maritime. Les méthodes actuelles par levés topographiques lors de hauts niveaux de marée présentent certains inconvénients. Des valeurs intégratrices de cette limite plutôt qu'instantanées sont à privilégier. C'est en ce sens que le SHOM a également engagé une étude sur les niveaux marins extrêmes. La présente étude a pour objet l'étude des indicateurs de délimitation de cette ligne physiologique des plus hautes eaux, frontière contrôlée par différents facteurs. Une synthèse bibliographique ainsi que des études de cas ont permis de proposer des indicateurs morpho-sédimentaires et botaniques suivant les types de côtes pour la délimitation de cette limite des plus hautes eaux, une des nombreuses définitions existantes du « trait de côte ». PREMIERE PARTIE - SYNTHESE BIBLIOGRAPHIQUE I.1. La notion de domaine public maritime I.1.1. Définition en France I.1.2. Exemples à l'étranger I.2. Pratiques de la délimitation I.2.1. Méthode classique I.2.2. Détermination des niveaux atteints par la mer I.2.3. Enquête auprès des services de l'Etat I.3. Typologie géomorphologique des littoraux I.3.1. Les côtes rocheuses à falaise I.3.2. Les côtes sableuses. Plages et dunes littorales I.3.3. Les côtes basses en sédimentation I.3.4. Les littoraux aménagés I.4. Organisation générale de la végétation littorale I.4.1. Les étages littoraux fondamentaux I.4.2. Les côtes rocheuses I.4.3. Les côtes meubles I.4.4. Les côtes basses en sédimentation DEUXIEME PARTIE - ANALYSE DE SITUATIONS CARACTERISTIQUES II.1. Étude de cas sur le littoral français métropolitain II.1.1. Côtes à falaises II.1.2. Côtes meubles II.1.3. Côtes basses en voie de colmatage II.1.4. Exemples d'équivalences latérales de niveau II.2. Analyse de cas réels de délimitation II.2.1. Côtes sableuses II.2.2. Côtes basses, lagunes côtières II.2.3. Estuaire II.3. Autres approches méthodologiques II.3.1. Etude historique de l'évolution du trait de côte II.3.2. Analyse statistique des niveaux extrêmes II.3.3. Apport de prises de vue aériennes II.3.4. Indicateur accidentel Synthèse et conclusion Glossaire Références bibliographiques Liste des illustrations
  115. Edition (Ceremadoc) Dynamiques et évolution du littoral - Fascicule 07 : de la pointe de Suzac à la frontière espagnole : Synthèse des connaissances

    Ce septième fascicule traite de la province sédimentaire s’étendant de la pointe de Suzac, au nord de l’estuaire de la Gironde, à la frontière espagnole au sud (matérialisée par l’embouchure de la Bidassoa), sur un linéaire d’environ 270 km. Sommaire de la synthèse 1. Présentation 2. Contexte général : données physiographiques 3. Facteurs hydrodynamiques 4. Données sédimentologiques 5. Interventions humaines le long du littoral 6. Évolution générale du littoral et des fonds 7. Conclusion : Bilan sédimentaire général 8. Annexes Sommaire de l'atlas 1. Présentation de la province 2. Occupation du sol 3. Cours d’eau et bassins versants 4. Topographie - Bathymétrie 5. Géologie 6. Type de côte 7. Habitats naturels 8. Réseau météorologique 9. Marais maritimes et zones humides 10. Climatologie atmosphérique - Températures, précipitations et fréquence des vents 11. Température de l’eau 12. Salinité de l’eau2 13. Localisation des ports de référence et secondaires 14. Marnage 15. Valeurs extrêmes de surcote de pleine mer aux marégraphes 16. Valeurs extrêmes de niveau de pleine mer aux marégraphes 17. Niveaux marins centennaux 18. Localisation des points d’observation des états de mer 19. États de mer issus de l’observation in situ - Rose de houle 20. Roses des houles issues de simulations numériques ANEMOC 21. États de mer - Hauteur significative des vagues issues des simulations ANEMOC 22. États de mer issus de l’observation in situ - Hauteurs significatives 23. États de mer lors de tempêtes 24. Hauteurs significatives et direction de propagation des vagues (tempête du 7/02/96) 25. Energie cinétique des courants marins 26. Roses de courant 27. Courant de marée de surface 28. Réseau hydrographique 29. Cellules hydrosédimentaires 30. Nature des fonds marins 31. Artificialisation du littoral par un ouvrage ou un aménagement côtier 32. Ouvrages et aménagements côtiers 33. Ressource en granulats marins 34. Volumes de sédiments dragués : bilan des travaux maritimes du Syndicat Intercommunal du Bassin d’Arcachon (en m³)0 35. Progression de l’urbanisation 36. Autres activités humaines 37. Évolution passée du trait de côte 38. Cellule 5 et 6 Nord : la Bécassière à la Salie-sud 39. Carte d’identité des unités morphosédimentaires
  116. Edition (Ceremadoc) Dynamiques et évolution du littoral - Fascicule 04 - du cap de la Hague à la pointe de Corsen : Synthèse des connaissances

    Ce fascicule constitue le quatrième ouvrage sur la métropole. Il traite de la province de la pointe de la Hague à la pointe de Corsen, territoire qui s’étend sur près de 1 300 km des côtes. La côte en majorité rocheuse, est entrecoupée de baies sableuses à vaseuses (Mont-Saint-Michel, Saint-Brieuc, Lannion et Morlaix).
  117. Edition (Ceremadoc) Dynamiques et évolution du littoral - Fascicule 06 : de la pointe de Chémoulin à la pointe de Suzac : Synthèse des connaissances

    Ce fascicule traite de la province sédimentaire s’étendant de la pointe de Chémoulin à la pointe de Suzac. SOMMAIRE DE LA SYNTHESE 1. Présentation 2. Contexte général : données physiographiques 3. Facteurs hydrodynamiques 4. Données sédimentologiques 5. Interventions humaines le long du littoral 6. Évolution générale du littoral et des fonds 7. Conclusion : Bilan sédimentaire général 8. Annexe SOMMAIRE DE L'ATLAS 1. Cours d’eau et bassins versants 2. Occupation du sol 3. Présentation de la province 4. Topographie - Bathymétrie 5. Géologie 6. Type de côte 7. Habitats naturels 8. Climatologie Atmosphérique 9. Réseau météorologique 10. Marais maritime et zones humides 11. Énergie cinétique des courants marins (2010 - 2015) 12. Salinité de l’eau (2010 - 2015) 13. Température de l’eau (2010 - 2015) 14. Marnage 15. Hauteurs significatives et direction de propagation des vagues (tempête du 7/02/1996) 16. Valeurs extrêmes de niveau de pleine mer aux marégraphes 17. Valeurs extrême de surcote de pleine mer aux marégraphes 18. États de mer issus de l’observation in situ - Hauteurs significatives 19. États de mer - Hauteur significative des vagues issues de simulation ANEMOC 20. États de mer issus de l’observation in situ - Rose de houle 21. Roses des houles issues de simulations numériques ANEMOC 22. Localisation des points d’observation des états de mer 23. États de mer lors de tempête - Hauteurs significatives issues de la modèlisation numérique 25. Courant de marée de surface 26. Localisation des ports de référence et secondaires 27. Roses de courant 28. Niveaux marins centennaux 29. Réseau hydrographique 30. Surveillance du réseau hydrographique 31. Nature des fonds marins 32. Synthèse des échanges sédimentaires connus sur la façade 33. Synthèse des échanges sédimentaires connus sur la façade 34. Cellules hydrosédimentaires 35. Artificialisation du littoral par un ouvrage ou un aménagement côtier 36. Ouvrages et aménagements côtiers
  118. Edition (Ceremadoc) Dynamiques et évolution du littoral - Fascicule 07 : de la pointe de Suzac à la frontière espagnole : Atlas cartographique

    Ce septième fascicule traite de la province sédimentaire s’étendant de la pointe de Suzac, au nord de l’estuaire de la Gironde, à la frontière espagnole au sud (matérialisée par l’embouchure de la Bidassoa), sur un linéaire d’environ 270 km. Sommaire de la synthèse 1. Présentation 2. Contexte général : données physiographiques 3. Facteurs hydrodynamiques 4. Données sédimentologiques 5. Interventions humaines le long du littoral 6. Évolution générale du littoral et des fonds 7. Conclusion : Bilan sédimentaire général 8. Annexes Sommaire de l'atlas 1. Présentation de la province 2. Occupation du sol 3. Cours d’eau et bassins versants 4. Topographie - Bathymétrie 5. Géologie 6. Type de côte 7. Habitats naturels 8. Réseau météorologique 9. Marais maritimes et zones humides 10. Climatologie atmosphérique - Températures, précipitations et fréquence des vents 11. Température de l’eau 12. Salinité de l’eau2 13. Localisation des ports de référence et secondaires 14. Marnage 15. Valeurs extrêmes de surcote de pleine mer aux marégraphes 16. Valeurs extrêmes de niveau de pleine mer aux marégraphes 17. Niveaux marins centennaux 18. Localisation des points d’observation des états de mer 19. États de mer issus de l’observation in situ - Rose de houle 20. Roses des houles issues de simulations numériques ANEMOC 21. États de mer - Hauteur significative des vagues issues des simulations ANEMOC 22. États de mer issus de l’observation in situ - Hauteurs significatives 23. États de mer lors de tempêtes 24. Hauteurs significatives et direction de propagation des vagues (tempête du 7/02/96) 25. Energie cinétique des courants marins 26. Roses de courant 27. Courant de marée de surface 28. Réseau hydrographique 29. Cellules hydrosédimentaires 30. Nature des fonds marins 31. Artificialisation du littoral par un ouvrage ou un aménagement côtier 32. Ouvrages et aménagements côtiers 33. Ressource en granulats marins 34. Volumes de sédiments dragués : bilan des travaux maritimes du Syndicat Intercommunal du Bassin d’Arcachon (en m³)0 35. Progression de l’urbanisation 36. Autres activités humaines 37. Évolution passée du trait de côte 38. Cellule 5 et 6 Nord : la Bécassière à la Salie-sud 39. Carte d’identité des unités morphosédimentaires
  119. Edition (Ceremadoc) Dynamiques et évolution du littoral - Fascicule 13 : la Guadeloupe : Atlas cartographique

    Ce fascicule traite de la province sédimentaire de la Guadeloupe. Sommaire de la synthèse 1. Présentation 2. Contexte général : données physiographiques 3. Facteurs hydrodynamiques 4. Données sédimentologiques 5. Interventions humaines le long du littoral 6. Évolution générale du littoral et des fonds 7. Conclusion : Bilan Sédimentaire Général 8. Annexes Sommaire de l'atlas 1. Cours d’eau et bassins versants 2. Occupation du sol 3. Présentation de la province 4. Topographie 5. Type de côte 6. Habitats naturels 7. Bathymétrie Litto 3D® 8. Géomorphologie du littoral 9. Réseau météorologique 10. Zones humides 11. Hauteurs significatives et direction de propagation des vagues 12. États de mer 13. Localisation des ports de référence et secondaires 14. Surveillance du réseau hydrographique 15. Nature des fonds marins 16. Artificialisation du littoral par un ouvrage ou un aménagement côtier 17. Progression de l’urbanisation 18. Interventions humaines le long du littoral 19. Zonages réglementaires 20. Évolution passée du trait de côte 21. Carte d'identité des unités morphosédimentaires
  120. Edition (Ceremadoc) Dynamiques et évolution du littoral - Fascicule 12 : Saint-Barthélemy et Saint-Martin : Synthèse des connaissances

    Ce fascicule traite de la province sédimentaire de Saint-Barthélemy et Saint-Martin. SOMMAIRE DE LA SYNTHESE 1. Présentation 2. Contexte général : données physiographiques 3. Facteurs hydrodynamiques 4. Données sédimentologiques 5. Interventions humaines le long du littoral 6. Évolution générale du littoral et des fonds 7. Conclusion : Bilan sédimentaire général 8. Annexe SOMMAIRE DE L'ATLAS 1. Cours d’eau et bassins versants 2. Présentation de la province 3. Type de côte 4. Habitats naturels 5. Tempête du 6/09/95 : hauteurs significatives et direction de propagation des vagues 6. Tempête du 21/09/98 : hauteurs significatives et direction de propagation des vagues 7. États de mer - Hauteurs significatives de vagues issues des simulations ANEMOC 8. Roses des houles issues de simulations numériques ANEMOC 9. Localisation des ports de référence et secondaires 10. Ouvrages et aménagements côtiers (Saint-Martin) 11. Ouvrages et aménagements côtiers (Saint-Barthélemy) 12. Interventions humaines le long du littoral 13. Zonages réglementaires 14. Évolution passée du trait de côte 15. Évolution passée du trait de côte (Saint-Martin) 16. Évolution passée du trait de côte (Saint-Bathélemy) 17. Carte d 'identité des unités morphosédimentaires
  121. Edition (Ceremadoc) Dynamiques et évolution du littoral - Fascicule 12 : Saint-Barthélemy et Saint-Martin : Atlas cartographique

    Ce fascicule traite de la province sédimentaire de Saint-Barthélemy et Saint-Martin. SOMMAIRE DE LA SYNTHESE 1. Présentation 2. Contexte général : données physiographiques 3. Facteurs hydrodynamiques 4. Données sédimentologiques 5. Interventions humaines le long du littoral 6. Évolution générale du littoral et des fonds 7. Conclusion : Bilan sédimentaire général 8. Annexe SOMMAIRE DE L'ATLAS 1. Cours d’eau et bassins versants 2. Présentation de la province 3. Type de côte 4. Habitats naturels 5. Tempête du 6/09/95 : hauteurs significatives et direction de propagation des vagues 6. Tempête du 21/09/98 : hauteurs significatives et direction de propagation des vagues 7. États de mer - Hauteurs significatives de vagues issues des simulations ANEMOC 8. Roses des houles issues de simulations numériques ANEMOC 9. Localisation des ports de référence et secondaires 10. Ouvrages et aménagements côtiers (Saint-Martin) 11. Ouvrages et aménagements côtiers (Saint-Barthélemy) 12. Interventions humaines le long du littoral 13. Zonages réglementaires 14. Évolution passée du trait de côte 15. Évolution passée du trait de côte (Saint-Martin) 16. Évolution passée du trait de côte (Saint-Bathélemy) 17. Carte d 'identité des unités morphosédimentaires
  122. Edition (Ceremadoc) Dynamiques et évolution du littoral - Fascicule 08 : de la frontière espagnole à Port-de-Bouc : Synthèse des connaissances

    Ce fascicule traite de la province sédimentaire s’étendant de la frontière espagnole à Port-de-Bouc. Sommaire de la synthèse 1. Présentation 2. Contexte général : données physiographiques 3. Facteurs hydrodynamiques 4. Données sédimentologiques 5. Interventions humaines le long du littoral 6. Évolution générale du littoral et des fonds 7. Conclusion : Bilan sédimentaire général 8. Annexes Sommaire de l'atlas 1. Cours d’eau et bassins versants 2. Occupation du sol 3. Présentation de la province 4. Topographie - Bathymétrie 5. Géologie 6. Type de côte 7. Habitats naturels 8. Géomorphologie sous-marine de l'avant-côte 9. Climatologie atmosphérique 10. Réseau météorologique 11. Marais maritimes et zones humides 12. Circulation générale de surface dans la mer Méditerranée 13. États de mer 14. Localisation des ports de référence et secondaires 15. Surveillance du réseau hydrographique 16. Réseau hydrographique 17. Température et salinité de l'eau de surface 18. Hauteur significative et direction des vagues 19. Unité Sableuse Supérieure 20. Nature des fonds marins 21. Artificialisation du littoral par un ouvrage ou un aménagement côtier 22. Ouvrages et aménagements côtiers 23. Progression de l'urbanisation 24. Volumes de sédiments dragués et quantités de matières sèches immergées 25. Autres activités humaines 26. Évolution historique de la surface de plage 27. Évolution de l'avant-côte 28. Évolution passée du trait de côte 29. Évolution du trait de côte et de l’avant côte 30. Camargues 31. Carte d’identité des unités morphosédimentaires
  123. Edition (Ceremadoc) Dynamiques et évolution du littoral - Fascicule 14 : la Martinique : Synthèse des connaissances

    Ce fascicule traite de la province sédimentaire de la Martinique. Sommaire de la synthèse 1. Présentation 2. Contexte général : données physiographiques 3. Facteurs hydrodynamiques 4. Données sédimentologiques 5. Interventions humaines le long du littoral 6. Évolution générale du littoral et des fonds 7. Conclusion : Bilan Sédimentaire Général 8. Annexes Sommaire de l'atlas 1. Cours d'eau et bassins versants 2. Occupation du sol 3. Présentation de la province 4. Topographie 5. Type de côte 6. Habitats naturels 7. Bathymétrie Litto 3D® 8. Réseau météorologique 9. Zones humides 10. États de mer 11. Localisation des points d’observation des états de mer 12. Localisation des ports de référence et secondaires 13. Surveillance du réseau hydrographique 14. Nature des fonds marins 15. Synthèse des échanges sédimentaires connus sur la façade 16. Artificialisation du littoral par un ouvrage ou un aménagement côtier 17. Progression de l’urbanisation 18. Interventions humaines le long du littoral 19. Zonages réglementaires 20. Évolution passée du trait de côte 21. De Sainte-Marie à Le François 22. Carte d’identité des unités morphosédimentaires
  124. Edition (Ceremadoc) Dynamiques et évolution du littoral - Fascicule 16 : Mayotte : Atlas cartographique

    Ce fascicule traite de la province sédimentaire de l’archipel de Mayotte. Il est composé de deux îles principales qui offrent plus de 313 km de côtes très diversifiées en raison leur histoire géologique : Grande-Terre et Petite-Terre, ainsi qu’une trentaine d’îlots, localisés dans un lagon. Le littoral mahorais connaît des pressions anthropiques nombreuses et variées du fait de l’activité touristique, de l’augmentation démographique et de la transformation des modes de vie entraînant la requalification sociale et fonctionnelle des zones côtières. En raison de sa position géographique, Mayotte est également exposée aux évènements météo-marins extrêmes (tempêtes tropicales, cyclones), qui peuvent provoquer des dégâts sociaux-économiques et environnementaux et altérer durablement la vie dans l’archipel. SOMMAIRE DE LA SYNTHESE 1 Présentation 2 Contexte général : données physiographiques 2.1 Géographie 2.2 Géologie des côtes et des fonds marins 2.3 Géomorphologie 2.4 Habitats naturels 2.5 Facteurs et mécanismes d’évolution du littoral 3 Facteurs hydrodynamiques 3.1 Climatologie 3.2 Facteurs océanographiques 3.3 Hydrologie 3.4 Changement climatique et impacts sur les facteurs hydrodynamiques 4 Données sédimentologiques 4.1 Nature et répartition des sédiments 4.2 Origine des sédiments 4.3 Mouvements des sédiments 4.4 Puits de sédiments 4.5 Bilan sur les mouvements de sédiments 5 Interventions humaines le long du littoral 5.1 Aménagements côtiers, ouvrages de défense et ouvrages portuaires 5.2 Extractions 5.3 Dragages et clapages 5.4 Autres activités humaines 6 Évolution générale du littoral et des fonds 6.1 Évolution historique et récente du littoral et des fonds 6.2 Évolution événementielle sur le littoral 6.3 Impact du changement climatique 7 Conclusion : Bilan sédimentaire général 7.1 Le bilan sédimentaire actuel 7.2 Évolution du littoral et des fonds 7.3 Prospective et impact du changement climatique 7.4 Perspectives 8 Bibliographie 9 ANNEXES 9.1 Glossaire 9.2 Abréviations et acronymes 9.3 Crédits photographiques SOMMAIRE DE L'ATLAS 1 Chapitre 2. Contexte général : données physiographiques Présentation de la province Topographie – Bathymétrie Cours d’eau et bassins versants Occupation du sol Type de côte Habitats naturels 2 Chapitre 3. Facteurs hydrodynamiques Réseau météorologique Climatologie atmosphérique (températures, précipitations et fréquences de vents) Température des eaux de surface en 2015 Localisation des ports de référence et secondaires 3 Chapitre 5. Interventions humaines le long du littoral Artificialisation du littoral par un ouvrage ou un aménagement côtier Progression de l’urbanisation Autres activités humaines Espaces protégés 4 Chapitre 6. Évolution générale du littoral et des fonds Évolution passée du trait de côte 5 Chapitre 7. Conclusion : Bilan sédimentaire général Carte d’identité des unités morphosédimentaires
  125. Edition (Ceremadoc) Dynamiques et évolution du littoral - Fascicule 01 : de la frontière belge à la pointe du Hourdel : Synthèse des connaissances

    Ce premier fascicule traite de la province sédimentaire s’étendant de la frontière belge à la pointe du Hourdel (baie de Somme). Trois unités morphosédimentaires la constituent : les deux plaines maritimes picarde et flamande, caractérisées par des systèmes dunaires étendus de quelques dizaines à quelques centaines de mètres, isolant de la mer des territoires bas et potentiellement submersibles, et une côte essentiellement rocheuse à falaises, le Boulonnais. Sur les dernières décennies, 40 % des côtes mobiles sont en accrétion, soit un des taux les plus élevés de métropole. Cependant, ce chiffre masque des différences très marquées, avec des taux de recul du trait de côte pouvant dépasser localement les 3 m/an en moyenne comme en baie d’Authie ou en baie de Wissant. La province ne bénéficie que de peu d’apports sédimentaires actuels ; ceux-ci sont liés au recul des côtes à falaises et aux sédiments transportés par la dérive littorale depuis la province méridionale adjacente. Les mouvements de sédiments correspondent ainsi essentiellement à la remobilisation d’un matériel hérité dont le stock limité n’est pas renouvelé par la production sédimentaire actuelle. Les perspectives d’élévation rapide du niveau de la mer, liées au dérèglement climatique, laissent craindre une fragilisation d’espaces littoraux déjà contraints et un laps de temps insuffisant à l’adaptation des habitats naturels côtiers. Cependant, les évolutions en cours sont soumises à de nombreuses incertitudes et les efforts de mesure et de capitalisation des connaissances sur le devenir de ces territoires littoraux doivent être poursuivis pour adopter des stratégies de gestion locales durables.
  126. Edition (Ceremadoc) Dynamiques et évolution du littoral - Fascicule 11 : Saint-Pierre-et-Miquelon : Synthèse des connaissances

    Ce onzième fascicule traite de la province sédimentaire de Saint-Pierre-et-Miquelon. Sommaire de la synthèse 1. Présentation 2. Contexte général : données physiographiques 3. Facteurs hydrodynamiques 4. Données sédimentologiques 5. Interventions humaines le long du littoral 6. Évolution générale du littoral et des fonds 7. Conclusion : Bilan Sédimentaire Général 8. Annexes Sommaire de l'atlas 1. Occupation du sol 2. Présentation de la province 3. Topographie 4. Géologie 5. Réseau hydrographique 6. Type de côte 7. États de mer 8. Localisation des ports de référence et secondaires 9. Réseau hydrographique 10. Présentation de la province 11. Synthèse des échanges sédimentaires connus sur la façade 12. Ouvrages et aménagements côtiers 13. Interventions humaines le long du littoral 14. Zonages réglementaires 15. Évolution passée du trait de côte 16. Carte d'identité des unités morphosédimentaires
  127. Edition (Ceremadoc) Dynamiques et évolution du littoral - Fascicule 01 : de la frontière belge à la pointe du Hourdel : Atlas cartographique

    Ce premier fascicule traite de la province sédimentaire s’étendant de la frontière belge à la pointe du Hourdel (baie de Somme). Trois unités morphosédimentaires la constituent : les deux plaines maritimes picarde et flamande, caractérisées par des systèmes dunaires étendus de quelques dizaines à quelques centaines de mètres, isolant de la mer des territoires bas et potentiellement submersibles, et une côte essentiellement rocheuse à falaises, le Boulonnais. Sur les dernières décennies, 40 % des côtes mobiles sont en accrétion, soit un des taux les plus élevés de métropole. Cependant, ce chiffre masque des différences très marquées, avec des taux de recul du trait de côte pouvant dépasser localement les 3 m/an en moyenne comme en baie d’Authie ou en baie de Wissant. La province ne bénéficie que de peu d’apports sédimentaires actuels ; ceux-ci sont liés au recul des côtes à falaises et aux sédiments transportés par la dérive littorale depuis la province méridionale adjacente. Les mouvements de sédiments correspondent ainsi essentiellement à la remobilisation d’un matériel hérité dont le stock limité n’est pas renouvelé par la production sédimentaire actuelle. Les perspectives d’élévation rapide du niveau de la mer, liées au dérèglement climatique, laissent craindre une fragilisation d’espaces littoraux déjà contraints et un laps de temps insuffisant à l’adaptation des habitats naturels côtiers. Cependant, les évolutions en cours sont soumises à de nombreuses incertitudes et les efforts de mesure et de capitalisation des connaissances sur le devenir de ces territoires littoraux doivent être poursuivis pour adopter des stratégies de gestion locales durables. SOMMAIRE DE LA SYNTHESE 1. Présentation 2. Contexte général : données physiographiques 2.1 Géographie 2.2 Géologie des côtes et des fonds marins 2.3 Géomorphologie 2.4 Habitats naturels 2.5 Facteurs et mécanismes d’évolution du littoral 3. Facteurs hydrodynamiques 3.1 Climatologie 3.2 Facteurs océanographiques 3.3 Hydrologie 3.4 Changement climatique et impacts sur les facteurs hydrodynamiques 4. Données sédimentologiques 4.1 Nature et répartition des sédiments 4.2 Origine des sédiments 4.3 Mouvements des sédiments 4.4 Puits de sédiments 4.5 Bilan sur les mouvements de sédiments 5. Interventions humaines le long du littoral 5.1 Aménagements côtiers, ouvrages de défense et ouvrages portuaires 5.2 Extractions 5.3 Dragages et clapages 5.4 Autres activités humaines 6. Evolution générale du littoral et des fonds 6.1 Evolution historique et récente du littoral et des fonds 6.2 Evolution événementielle sur le littoral 6.3 Impact du changement climatique 7. Conclusion : Bilan sédimentaire général 7.1 Évolution du littoral et des fonds 7.2 Le bilan sédimentaire actuel 7.3 Prospective et impact du changement climatique 7.4 Perspectives 8. Bibliographie 9. Annexes 9.1 Glossaire 9.2 Abréviations et acronymes 9.3 Annexe du chapitre 2 – Détail des habitats naturels de la province 9.4 Annexes du chapitre 3 9.5 Annexe du chapitre 6 – Tableaux d’évolution du trait de côte par cellule hydrosédimentaire. 9.6 Crédits photographiques 9.6 Couches SIG produites SOMMAIRE DE L'ATLAS 1. Chapitre 2. Contexte général : données physiographiques Présentation de la province Topographie – Bathymétrie (MNT bathymétrie Manche/Atlantique, résolution 100 m) Cours d’eau et bassins versants Occupation du sol Géologie Type de côte Habitats naturels 2. Chapitre 3. Facteurs hydrodynamiques Réseau météorologique Climatologie atmosphérique (températures, précipitations et fréquences de vents) Température de l’eau – Chronique pour la période 2010-2015 Salinité de l’eau – Chronique pour la période 2010-2015 Niveau marin Niveaux marins extrêmes États de mer Hauteurs significatives et direction de provenance des vagues Énergie cinétique des courants marins – Climatologie pour la période 2010-2015 Roses de courant Courant de marée de surface – Avant et après la pleine mer de mortes-eaux (coefficient de 45) Courant de marée de surface – Avant et après la pleine mer de vives-eaux (coefficient de 95) Réseau hydrographique Surveillance du réseau hydrographique Marais maritimes et zones humides 3. Chapitre 4. Données sédimentologiques Cellules hydrosédimentaires Nature des fonds marins Diamètre médian des sédiments en baie d’Authie Répartition du grain moyen dans l’estuaire de la Canche Les différents modes de transport sédimentaire Synthèse des échanges sédimentaires connus sur la façade 4. Chapitre 5. Interventions humaines le long du littoral Artificialisation du littoral par un ouvrage ou un aménagement côtier Ouvrages et aménagements côtiers Ressource en granulats marins Volumes de sédiments dragués et quantités de matières sèches immergées Progression de l’urbanisation Autres activités humaines 5. Chapitre 6. Evolution générale du littoral et des fonds Evolution passée du trait de côte Evolution bathymétrique de dunes sous-marines entre 1999 et 2005 – Dunes du Pas-de-Calais 6. Chapitre 7. Conclusion : Bilan sédimentaire général Carte d’identité des unités morphosédimentaires Bilan sédimentaire actuel Références bibliographiques disponibles – Projets en cours
  128. Edition (Ceremadoc) Dynamiques et évolution du littoral - Fascicule 14 : la Martinique : Atlas cartographique

    Ce fascicule traite de la province sédimentaire de la Martinique. Sommaire de la synthèse 1. Présentation 2. Contexte général : données physiographiques 3. Facteurs hydrodynamiques 4. Données sédimentologiques 5. Interventions humaines le long du littoral 6. Évolution générale du littoral et des fonds 7. Conclusion : Bilan Sédimentaire Général 8. Annexes Sommaire de l'atlas 1. Cours d'eau et bassins versants 2. Occupation du sol 3. Présentation de la province 4. Topographie 5. Type de côte 6. Habitats naturels 7. Bathymétrie Litto 3D® 8. Réseau météorologique 9. Zones humides 10. États de mer 11. Localisation des points d’observation des états de mer 12. Localisation des ports de référence et secondaires 13. Surveillance du réseau hydrographique 14. Nature des fonds marins 15. Synthèse des échanges sédimentaires connus sur la façade 16. Artificialisation du littoral par un ouvrage ou un aménagement côtier 17. Progression de l’urbanisation 18. Interventions humaines le long du littoral 19. Zonages réglementaires 20. Évolution passée du trait de côte 21. De Sainte-Marie à Le François 22. Carte d’identité des unités morphosédimentaires
  129. Edition (Ceremadoc) Dynamiques et évolution du littoral - Fascicule 11 : Saint-Pierre-et-Miquelon : Atlas cartographique

    Ce onzième fascicule traite de la province sédimentaire de Saint-Pierre-et-Miquelon. Sommaire de la synthèse 1. Présentation 2. Contexte général : données physiographiques 3. Facteurs hydrodynamiques 4. Données sédimentologiques 5. Interventions humaines le long du littoral 6. Évolution générale du littoral et des fonds 7. Conclusion : Bilan Sédimentaire Général 8. Annexes Sommaire de l'atlas 1. Occupation du sol 2. Présentation de la province 3. Topographie 4. Géologie 5. Réseau hydrographique 6. Type de côte 7. États de mer 8. Localisation des ports de référence et secondaires 9. Réseau hydrographique 10. Présentation de la province 11. Synthèse des échanges sédimentaires connus sur la façade 12. Ouvrages et aménagements côtiers 13. Interventions humaines le long du littoral 14. Zonages réglementaires 15. Évolution passée du trait de côte 16. Carte d'identité des unités morphosédimentaires
  130. Edition (Ceremadoc) Dynamiques et évolution du littoral - Fascicule 16 : Mayotte : Synthèse des connaissances

    Ce fascicule traite de la province sédimentaire de l’archipel de Mayotte. Il est composé de deux îles principales qui offrent plus de 313 km de côtes très diversifiées en raison leur histoire géologique : Grande-Terre et Petite-Terre, ainsi qu’une trentaine d’îlots, localisés dans un lagon. Le littoral mahorais connaît des pressions anthropiques nombreuses et variées du fait de l’activité touristique, de l’augmentation démographique et de la transformation des modes de vie entraînant la requalification sociale et fonctionnelle des zones côtières. En raison de sa position géographique, Mayotte est également exposée aux évènements météo-marins extrêmes (tempêtes tropicales, cyclones), qui peuvent provoquer des dégâts sociaux-économiques et environnementaux et altérer durablement la vie dans l’archipel. SOMMAIRE DE LA SYNTHESE 1 Présentation 2 Contexte général : données physiographiques 2.1 Géographie 2.2 Géologie des côtes et des fonds marins 2.3 Géomorphologie 2.4 Habitats naturels 2.5 Facteurs et mécanismes d’évolution du littoral 3 Facteurs hydrodynamiques 3.1 Climatologie 3.2 Facteurs océanographiques 3.3 Hydrologie 3.4 Changement climatique et impacts sur les facteurs hydrodynamiques 4 Données sédimentologiques 4.1 Nature et répartition des sédiments 4.2 Origine des sédiments 4.3 Mouvements des sédiments 4.4 Puits de sédiments 4.5 Bilan sur les mouvements de sédiments 5 Interventions humaines le long du littoral 5.1 Aménagements côtiers, ouvrages de défense et ouvrages portuaires 5.2 Extractions 5.3 Dragages et clapages 5.4 Autres activités humaines 6 Évolution générale du littoral et des fonds 6.1 Évolution historique et récente du littoral et des fonds 6.2 Évolution événementielle sur le littoral 6.3 Impact du changement climatique 7 Conclusion : Bilan sédimentaire général 7.1 Le bilan sédimentaire actuel 7.2 Évolution du littoral et des fonds 7.3 Prospective et impact du changement climatique 7.4 Perspectives 8 Bibliographie 9 ANNEXES 9.1 Glossaire 9.2 Abréviations et acronymes 9.3 Crédits photographiques SOMMAIRE DE L'ATLAS 1 Chapitre 2. Contexte général : données physiographiques Présentation de la province Topographie – Bathymétrie Cours d’eau et bassins versants Occupation du sol Type de côte Habitats naturels 2 Chapitre 3. Facteurs hydrodynamiques Réseau météorologique Climatologie atmosphérique (températures, précipitations et fréquences de vents) Température des eaux de surface en 2015 Localisation des ports de référence et secondaires 3 Chapitre 5. Interventions humaines le long du littoral Artificialisation du littoral par un ouvrage ou un aménagement côtier Progression de l’urbanisation Autres activités humaines Espaces protégés 4 Chapitre 6. Évolution générale du littoral et des fonds Évolution passée du trait de côte 5 Chapitre 7. Conclusion : Bilan sédimentaire général Carte d’identité des unités morphosédimentaires
  131. Edition (Ceremadoc) Dynamiques et évolution du littoral - Fascicule 06 : de la pointe de Chémoulin à la pointe de Suzac : Atlas cartographique

    Ce fascicule traite de la province sédimentaire s’étendant de la pointe de Chémoulin à la pointe de Suzac. SOMMAIRE DE LA SYNTHESE 1. Présentation 2. Contexte général : données physiographiques 3. Facteurs hydrodynamiques 4. Données sédimentologiques 5. Interventions humaines le long du littoral 6. Évolution générale du littoral et des fonds 7. Conclusion : Bilan sédimentaire général 8. Annexe SOMMAIRE DE L'ATLAS 1. Cours d’eau et bassins versants 2. Occupation du sol 3. Présentation de la province 4. Topographie - Bathymétrie 5. Géologie 6. Type de côte 7. Habitats naturels 8. Climatologie Atmosphérique 9. Réseau météorologique 10. Marais maritime et zones humides 11. Énergie cinétique des courants marins (2010 - 2015) 12. Salinité de l’eau (2010 - 2015) 13. Température de l’eau (2010 - 2015) 14. Marnage 15. Hauteurs significatives et direction de propagation des vagues (tempête du 7/02/1996) 16. Valeurs extrêmes de niveau de pleine mer aux marégraphes 17. Valeurs extrême de surcote de pleine mer aux marégraphes 18. États de mer issus de l’observation in situ - Hauteurs significatives 19. États de mer - Hauteur significative des vagues issues de simulation ANEMOC 20. États de mer issus de l’observation in situ - Rose de houle 21. Roses des houles issues de simulations numériques ANEMOC 22. Localisation des points d’observation des états de mer 23. États de mer lors de tempête - Hauteurs significatives issues de la modèlisation numérique 25. Courant de marée de surface 26. Localisation des ports de référence et secondaires 27. Roses de courant 28. Niveaux marins centennaux 29. Réseau hydrographique 30. Surveillance du réseau hydrographique 31. Nature des fonds marins 32. Synthèse des échanges sédimentaires connus sur la façade 33. Synthèse des échanges sédimentaires connus sur la façade 34. Cellules hydrosédimentaires 35. Artificialisation du littoral par un ouvrage ou un aménagement côtier 36. Ouvrages et aménagements côtiers
  132. Edition (Ceremadoc) Dynamiques et évolution du littoral - Fascicule 13 : la Guadeloupe : Synthèse des connaissances

    Ce fascicule traite de la province sédimentaire de la Guadeloupe. Sommaire de la synthèse 1. Présentation 2. Contexte général : données physiographiques 3. Facteurs hydrodynamiques 4. Données sédimentologiques 5. Interventions humaines le long du littoral 6. Évolution générale du littoral et des fonds 7. Conclusion : Bilan Sédimentaire Général 8. Annexes Sommaire de l'atlas 1. Cours d’eau et bassins versants 2. Occupation du sol 3. Présentation de la province 4. Topographie 5. Type de côte 6. Habitats naturels 7. Bathymétrie Litto 3D® 8. Géomorphologie du littoral 9. Réseau météorologique 10. Zones humides 11. Hauteurs significatives et direction de propagation des vagues 12. États de mer 13. Localisation des ports de référence et secondaires 14. Surveillance du réseau hydrographique 15. Nature des fonds marins 16. Artificialisation du littoral par un ouvrage ou un aménagement côtier 17. Progression de l’urbanisation 18. Interventions humaines le long du littoral 19. Zonages réglementaires 20. Évolution passée du trait de côte 21. Carte d'identité des unités morphosédimentaires
  133. Edition (Ceremadoc) Dynamiques et évolution du littoral - Fascicule 03 : du cap d’Antifer au cap de la Hague : Synthèse des connaissances

    Ce fascicule traite de la province sédimentaire s’étendant du cap d’Antifer au cap de la Hague sur environ 435 km. 1 Présentation 2 Contexte général : données physiographiques 2.1 Géographie 2.2 Géologie des côtes et des fonds marins 2.3 Géomorphologie 2.4 Habitats naturels 2.5 Facteurs et mécanismes d’évolution du littoral 3 Facteurs hydrodynamiques 3.1 Climatologie 3.2 Facteurs océanographiques 3.3 Hydrologie 3.4 Changement climatique et impacts sur les facteurs hydrodynamiques 4 Données sédimentologiques 4.1 Nature et répartition des sédiments 4.2 Origine des sédiments 4.3 Mouvements des sédiments 4.4 Puits de sédiments 4.5 Bilan sur les mouvements de sédiments 5 Interventions humaines le long du littoral 5.1 Aménagements côtiers, ouvrages de défense et ouvrages portuaires 5.2 Extractions 5.3 Dragages et clapages 5.4 Autres activités humaines 6 Évolution générale du littoral et des fonds 6.1 Évolution historique et récente du littoral et des fonds 6.2 Évolution événementielle sur le littoral 6.3 Impact du changement climatique 7 Conclusion : Bilan sédimentaire général 7.1 Évolution du littoral et des fonds 7.2 Le bilan sédimentaire actuel 7.3 Prospective et impact du changement climatique 7.4 Perspectives 8 Annexes 8.1 Bibliographie 8.2 Glossaire 8.3 Abréviations et acronymes 8.4 Annexe du chapitre 2 8.5 Annexes du chapitre 3 8.6 Annexes du chapitre 5 8.7 Annexes du chapitre 6 8.8 Index des figures 8.9 Index des tableaux 8.10 Crédits photographiques 8.11 Couches SIG produites
  134. Edition (Ceremadoc) Dynamiques et évolution du littoral - Fascicule 03 : du cap d’Antifer au cap de la Hague : Atlas cartographique

    Ce fascicule traite de la province sédimentaire s’étendant du cap d’Antifer au cap de la Hague sur environ 435 km. 1 Présentation 2 Contexte général : données physiographiques 2.1 Géographie 2.2 Géologie des côtes et des fonds marins 2.3 Géomorphologie 2.4 Habitats naturels 2.5 Facteurs et mécanismes d’évolution du littoral 3 Facteurs hydrodynamiques 3.1 Climatologie 3.2 Facteurs océanographiques 3.3 Hydrologie 3.4 Changement climatique et impacts sur les facteurs hydrodynamiques 4 Données sédimentologiques 4.1 Nature et répartition des sédiments 4.2 Origine des sédiments 4.3 Mouvements des sédiments 4.4 Puits de sédiments 4.5 Bilan sur les mouvements de sédiments 5 Interventions humaines le long du littoral 5.1 Aménagements côtiers, ouvrages de défense et ouvrages portuaires 5.2 Extractions 5.3 Dragages et clapages 5.4 Autres activités humaines 6 Évolution générale du littoral et des fonds 6.1 Évolution historique et récente du littoral et des fonds 6.2 Évolution événementielle sur le littoral 6.3 Impact du changement climatique 7 Conclusion : Bilan sédimentaire général 7.1 Évolution du littoral et des fonds 7.2 Le bilan sédimentaire actuel 7.3 Prospective et impact du changement climatique 7.4 Perspectives 8 Annexes 8.1 Bibliographie 8.2 Glossaire 8.3 Abréviations et acronymes 8.4 Annexe du chapitre 2 8.5 Annexes du chapitre 3 8.6 Annexes du chapitre 5 8.7 Annexes du chapitre 6 8.8 Index des figures 8.9 Index des tableaux 8.10 Crédits photographiques 8.11 Couches SIG produites
  135. Edition (Ceremadoc) Dynamiques et évolution du littoral - Fascicule 08 : de la frontière espagnole à Port-de-Bouc : Atlas cartographique

    Ce fascicule traite de la province sédimentaire s’étendant de la frontière espagnole à Port-de-Bouc. Sommaire de la synthèse 1. Présentation 2. Contexte général : données physiographiques 3. Facteurs hydrodynamiques 4. Données sédimentologiques 5. Interventions humaines le long du littoral 6. Évolution générale du littoral et des fonds 7. Conclusion : Bilan sédimentaire général 8. Annexes Sommaire de l'atlas 1. Cours d’eau et bassins versants 2. Occupation du sol 3. Présentation de la province 4. Topographie - Bathymétrie 5. Géologie 6. Type de côte 7. Habitats naturels 8. Géomorphologie sous-marine de l'avant-côte 9. Climatologie atmosphérique 10. Réseau météorologique 11. Marais maritimes et zones humides 12. Circulation générale de surface dans la mer Méditerranée 13. États de mer 14. Localisation des ports de référence et secondaires 15. Surveillance du réseau hydrographique 16. Réseau hydrographique 17. Température et salinité de l'eau de surface 18. Hauteur significative et direction des vagues 19. Unité Sableuse Supérieure 20. Nature des fonds marins 21. Artificialisation du littoral par un ouvrage ou un aménagement côtier 22. Ouvrages et aménagements côtiers 23. Progression de l'urbanisation 24. Volumes de sédiments dragués et quantités de matières sèches immergées 25. Autres activités humaines 26. Évolution historique de la surface de plage 27. Évolution de l'avant-côte 28. Évolution passée du trait de côte 29. Évolution du trait de côte et de l’avant côte 30. Camargues 31. Carte d’identité des unités morphosédimentaires
  136. Edition (Ceremadoc) Enjeux écologiques et projets de protection contre les inondations : Recommandations pour une prise en compte, des prémices du projet à l'exploitation des ouvrages

    Le présent guide, à destination des maîtres d’ouvrages et de leur appui technique, porte sur la démarche de prise en compte des enjeux écologiques dans les projets de travaux, et plus globalement d’interventions, sur les ouvrages de protection contre les risques d’inondation. Guide de bonnes pratiques, il vise à aider les maîtres d’ouvrage à assurer une juste prise en compte des enjeux écologiques, à optimiser le calendrier de leurs projets, ainsi qu’à faciliter l’autorisation administrative et la réalisation des travaux relatifs aux systèmes d’endiguements et aménagements hydrauliques. Il établit un lien avec la démarche PAPI (programme d’actions de prévention des inondations), et le nouveau cahier des charges PAPI 3 2021, dans le cadre d’une approche globale et intégrée et aborde plus précisément le sujet des systèmes d’endiguement. Cette publication s’inscrit en complémentarité avec les publications existantes traitant des ouvrages hydrauliques (notamment celles relatives aux études de dangers des systèmes d’endiguement) et du dispositif PAPI, que le lecteur est invité à consulter en tant que de besoin.
  137. Edition (Ceremadoc) Changement climatique : Adapter les territoires littoraux

    L’augmentation continue de la population littorale et la probabilité importante de risques littoraux représentent un défi majeur pour les collectivités. Le dernier Plan national d’adaptation au changement climatique incite fortement les territoires à anticiper les impacts du changement climatique afin d’améliorer la prévention, la résilience, la préservation, favoriser l’adaptation et de mieux gérer les ressources.
  138. Edition (Ceremadoc) Préconisations pour le recensement des ouvrages et structures de défense contre les aléas côtiers : Notice méthodologique.

    Cette notice propose une méthodologie de recensement et une typologie des ouvrages, méthodes de protection et aménagements côtiers ayant un impact hydro-sédimentaire et pouvant jouer un rôle dans la lutte contre les aléas côtiers. Elle concerne l'ensemble des étapes du recensement, de sa préparation à sa mise en œuvre sur le terrain et propose un outil d'aide au recensement sous forme de « fiches terrain ». Ces fiches contiennent un certain nombre d'informations liées au site recensé et aux ouvrages présents sur ce site. Un CD-Rom est inclus contenant la version numérique de la notice méthodologique, des fiches terrain imprimables -une « fiche de site » en format A3 (recto-verso) et une « fiche de défense » en format A4 (recto-verso)-, un logiciel d'aide au recensement « ROSCOF » et son manuel utilisateur. PRÉFACEINTRODUCTION Intérêt d'un cadre méthodologique unifié pour les différents recensements des ouvrages littoraux. Mode d'élaboration et contenu de la notice.1 TYPOLOGIE DES STRUCTURES COTIÈRES 1.1 Ouvrages ayant vocation principale de défense contre la mer 1.1.1 Murs et ouvrages de soutènement 1.1.2 Digues côtières 1.1.3 Perrés (non associés à des digues) 1.1.4 Brise-lames 1.1.5 Epis 1.1.6 Autres 1.2 Ouvrages ayant vocation principale d'aménagement et ayant un impact hydro sédimentaire 1.2.1 Aménagements d'accès 1.2.2 Aménagements hydrauliques 1.2.3 Aménagements portuaires 1.2.4 Bâtiments 1.2.5 Aménagements liés à la sécurité ou la surveillance 1.2.6 Autres 1.3 Méthodes de protection du littoral 1.3.1 Le by-pass 1.3.2 Le drainage de plage 1.3.3 Le rechargement de plage 1.3.4 Le confortement dunaire 1.3.5 Le confortement de falaise 1.3.6 Autres 2 PRÉPARATION DU RECENSEMENT 2.1 Organisation de la sortie de terrain 2.1.1 Accéder au littoral et à l'ouvrage 2.1.2 Pré-localisation des ouvrages 2.1.3 Etablissement du planning des visites 2.2 Préparation des visites de recensement et relevés de terrain 2.2.1 Pré-renseignement des fiches de site et de défense contre la mer 2.2.2 L’influence des conditions extérieures 2.2.3 Le matériel 2.3 Préparer l’intégration à la BDD et au SIG 2.3.1 Préparer à l’intégration à la base de données 2.3.2 Règles de pointage des ouvrages 2.4 Synthèse des actions préalables aux sorties sur le terrain 3 RECENSER ET CONNAITRE LES OUVRAGES 3.1 Les fiches de terrain 3.2 La « Fiche de site » 3.2.1 Informations générales sur la visite et le site 3.2.2 Informations sur les ouvrages du site 3.2.3 Informations complémentaires sur le site 3.3 La « Fiche de défense contre la mer » 3.3.1 Informations générales sur la défense 3.3.2 Ouvrage ayant vocation principale de défense contre la mer 3.3.3 Aménagement ayant un impact hydro-sédimentaire 3.3.4 Méthodes de protection contre l'érosion 3.4 Améliorer la connaissance : recherches complémentaires 3.4.1 Informations complémentaires sur le site 3.4.2 Informations réglementaires sur l'ouvrage 3.4.3 Documentation technique de l'ouvrage 4 BIBLIOGRAPHIE 5 ANNEXES 5.1 Glossaire 5.2 Liste des études recensées 5.3 Fiches de terrain 5.4 Termes de référence du groupe de travail et liste des participants / relecteurs 5.5 Index des illustrations
  139. Edition (Ceremadoc) Fiches synthétiques de mesure des états de mer du réseau CANDHIS : Tome 2 - Méditerranée

    L’observation des vagues est de première importance dans de nombreux domaines tels que la sécurité maritime, les risques d’inondation, les aménagements portuaires, le suivi du trait de côte et les énergies renouvelables. Le Cerema Eau, mer et fleuves assure la gestion du réseau Candhis, réseau national de mesure des états de mer in situ. Ce catalogue est un support à la diffusion des données. Il présente les informations disponibles et leurs traitements et pour chaque campagne une analyse complète des données sur toute la durée des observations disponibles. Cela comprend des informations générales, l’établissement des climatologies moyennes, l’analyse des valeurs extrêmes et un zoom sur les caractéristiques des états de mer observés lors des événements les plus marquants. Ce catalogue est destiné aux bureaux d’ingénierie, aux services de l’État ou des collectivités, aux organismes de recherche, et plus généralement à ceux qui travaillent de près ou de loin sur les états de mer. Ce catalogue est prévu en trois tomes. Ce deuxième tome est une actualisation de l’édition 2020 pour la Méditerranée, avec la prise en compte d’observations plus récentes.
  140. Edition (Ceremadoc) Fiches synthétiques de mesure des états de mer du réseau CANDHIS : Tome 1 - Mer du Nord, Manche et Atlantique

    L’observation des vagues est de première importance dans de nombreux domaines tels que la sécurité maritime, les risques d’inondation, les aménagements portuaires, le suivi du trait de côte et les énergies renouvelables. Le Cerema Eau, mer et fleuves assure la gestion du réseau Candhis, réseau national de mesure des états de mer in situ. Ce catalogue est un support à la diffusion des données. Il présente les informations disponibles et leurs traitements et pour chaque campagne une analyse complète des données sur toute la durée des observations disponibles. Cela comprend des informations générales, l’établissement des climatologies moyennes, l’analyse des valeurs extrêmes et un zoom sur les caractéristiques des états de mer observés lors des événements les plus marquants. Ce catalogue est destiné aux bureaux d’ingénierie, aux services de l’État ou des collectivités, aux organismes de recherche, et plus généralement à ceux qui travaillent de près ou de loin sur les états de mer. Ce catalogue est prévu en trois tomes. Ce premier tome est une actualisation de l’édition 2020 pour la Mer du Nord, la Manche et l'Atlantique, avec la prise en compte d’observations plus récentes.
  141. Edition (Ceremadoc) Culture du risque : Les clefs pour mieux impliquer les populations

    La culture du risque, c'est quoi ? Que faire en tant qu'élu ? Citoyen, acteur de sa propre sécurité ? Pourquoi développer la culture du risque ? Quelles actions pour une implication civile et citoyenne ? Par quelles actions renforcer la culture du risque sur mon territoire? Développer la culture du risque sur mon territoire : la boîte à outils
  142. Edition (Ceremadoc) Caractérisation de systèmes d'endiguement à l'heure de la GEMAPI : Outils et retours d'expérience

    L’appel à partenaires GEMAPI a été lancé par le Cerema et INRAE en mai 2016 : il a permis d’accompagner dix collectivités dans cette prise de compétence, de répondre à des problématiques variées avec des solutions innovantes et de fournir des réponses adaptées et utiles à d’autres territoires. Le Cerema et INRAE ont travaillé conjointement sur le sujet des systèmes d’endiguement. Cette publication revient sur ces travaux, et notamment sur : • l’identification des zones soumises au risque inondation ; • l’identification des ouvrages et éléments naturels pouvant participer à la protection ; • l’identification des zones qu’ils protègent potentiellement ; • l’identification des enjeux présents dans ces zones.
  143. Edition (Ceremadoc) Fiches synthétiques de mesure des états de mer du réseau CANDHIS : Tome 3 - Outre-mer

    L’observation des vagues est de première importance dans de nombreux domaines tels que la sécurité maritime, les risques d’inondation, les aménagements portuaires, le suivi du trait de côte et les énergies renouvelables. Le Cerema Eau, mer et fleuves assure la gestion du réseau Candhis, réseau national de mesure des états de mer in situ. Ce catalogue est un support à la diffusion des données. Il présente les informations disponibles et leurs traitements et pour chaque campagne une analyse complète des données sur toute la durée des observations disponibles. Cela comprend des informations générales, l’établissement des climatologies moyennes, l’analyse des valeurs extrêmes et un zoom sur les caractéristiques des états de mer observés lors des événements les plus marquants. Ce catalogue est destiné aux bureaux d’ingénierie, aux services de l’État ou des collectivités, aux organismes de recherche, et plus généralement à ceux qui travaillent de près ou de loin sur les états de mer. Ce catalogue est prévu en trois tomes. Ce troisième tome est une actualisation de l’édition 2020 pour l’outre-mer, avec la prise en compte d’observations plus récentes.
  144. Edition (Ceremadoc) Recommandations pour la conception et la réalisation des aménagements de défenses du littoral contre l'action de la mer

    Le présent guide s'attache à donner, sous une forme synthétique et relativement complète, des recommandations en vue de l'étude et de la conception des différents types d'aménagements se proposant d'assurer la protection du littoral contre la mer. Il aborde également, mais de façon inévitablement plus sommaire, les problèmes de réalisation, de surveillance, d'entretien et de réhabilitations des ouvrages. Ces recommandations s'efforcent de traiter à la fois des aspects techniques et des problèmes d'insertion dans l'environnement des solutions proposées. Elles sont destinées à constituer, pour les techniciens des services maritimes et des services de l'environnement, un guide pratique leur permettant de concevoir ou de contrôler la conception d'aménagements divers de protection du littoral. INTRODUCTION 1 - Objet du guide 2 - Méthode de travail 3 - Origines des recommandations CHAPITRE I - CONSIDERATIONS GENERALES 1 - Importance de l’érosion marine 2 - Difficultés des problèmes de protection du littoral 3 - Définition des objectifs poursuivis 4 - Différentes solutions possibles 5 - Contenu du guide CHAPITRE II - PROTECTION D’UNE COTE SABLEUSE ACTION DIRECTE SUR LES MATERIAUX 1 - Généralités 2 - Remodelage de l‘estran 3 - Rechargement de plage 4 - Déversement de matériaux par petits fonds 5 - Etablissement d’un transit artificiel 6 - Stabilisation et création de dunes 7 - Impacts de l’action sur les matériaux 8 - Critères de choix entre les différents procédés disponibles CHAPITRE III - PROTECTION D’UNE COTE SABLEUSE REALISATION D’OUVRAGES 1 - Ouvrages longitudinaux de haut de plage 2 - Ouvrages longitudinaux de bas de plage et de petits fonds 3 - Ouvrages transversaux 4 - Digues 5 - Combinaison de différents procédés CHAPITRE IV - PROTECTION D’UNE COTE A GALETS 1 - Généralités 2 - Principes des aménagements 3 - Rechargement de plage 4 - Etablissement d'un transit artificiel 5 - Ouvrages longitudinaux de haut de plage 6 - Ouvrages transversaux 7 - Impacts sur l'environnement CHAPITRE V - PROTECTION D’UNE COTE A FALAISES 1 - Erosion des falaises 2 - Protection contre les actions marines 3 - Stabilisation de la falaise 4 - Impacts sur l’environnement 5 - Exemples CHAPITRE VI - PROCEDES NOUVEAUX POUR LA PROTECTION DU LITTORAL 1 - Nouveaux matériaux 2.- Stabilisation des dunes par un gel 3 - Algues artificielles 4 - Cultures d‘algues 5 - Ouvrages peu réfléchissants 6 - Procédé PRINCIPlA-MONACO 7 - Roche électrolytique CHAPITRE VII - CONTROLE DES EXTRACTIONS DE MATERIAUX LE LONG DU LITTORAL ET GESTION DES DEPOTS DE DRAGAGES PORTUAIRES 1 - Importance et difficulté des problèmes 2 - Effets généraux des souilles draguées 3 - Résultats des études du LCHF sur modèles réduits concernant les souilles draguées 4 - Recommandations pratiques relatives aux souilles draguées 5 - Exemples de souilles draguées 6 - Gestion des dépôts de dragages CHAPITRE VIII - IMPACTS DE TECHNIQUES DE PROTECTION CONTRE LA MER 1 - Déroulement du chantier 2 - Sites et paysages 3 - Le milieu naturel 4 - La qualité des eaux 5 - Les aspects socio-économiques CHAPITRE IX - ETUDES PREALABLES 1 - Caractéristiques générales des études 2 - Etudes préliminaires 3 - Etude des risques littoraux 4 - Etude technique 5 - Etude d'impact sur l’environnement CHAPITRE X - COUTS, SURVEILLANCE ET ENTRETIEN DES AMENAGEMENTS 1 - Coûts 2 - Surveillance et entretien des aménagements CHAPITRE XI - EXEMPLES DETAlLLES D’AMENAGEMENTS 1 - Aménagement de la GRANDE MOTTE (Hérault) 2 - Aménagements d’ANGLET (Pyrénées-Atlantiques) 3 - Aménagement dunaire de QUEND-FORT-MAHON (Somme) BIBLIOGRAPHIE
  145. Edition (Ceremadoc) Reconnaissance de la limite du rivage de la mer : Intérêt et potentialité de critères morpho-sédimentaires et botaniques.

    Cette étude fait un bilan des connaissances sur les critères morpho-sédimentaires et botaniques permettant la détermination de la limite atteinte par les plus hautes eaux. En effet, la limite des plus hautes eaux en absence de perturbations météorologiques exceptionnelles est un des critère utilisés pour la délimitation du Domaine Public Maritime. Les méthodes actuelles par levés topographiques lors de hauts niveaux de marée présentent certains inconvénients. Des valeurs intégratrices de cette limite plutôt qu'instantanées sont à privilégier. C'est en ce sens que le SHOM a également engagé une étude sur les niveaux marins extrêmes. La présente étude a pour objet l'étude des indicateurs de délimitation de cette ligne physiologique des plus hautes eaux, frontière contrôlée par différents facteurs. Une synthèse bibliographique ainsi que des études de cas ont permis de proposer des indicateurs morpho-sédimentaires et botaniques suivant les types de côtes pour la délimitation de cette limite des plus hautes eaux, une des nombreuses définitions existantes du « trait de côte ». PREMIERE PARTIE - SYNTHESE BIBLIOGRAPHIQUE I.1. La notion de domaine public maritime I.1.1. Définition en France I.1.2. Exemples à l'étranger I.2. Pratiques de la délimitation I.2.1. Méthode classique I.2.2. Détermination des niveaux atteints par la mer I.2.3. Enquête auprès des services de l'Etat I.3. Typologie géomorphologique des littoraux I.3.1. Les côtes rocheuses à falaise I.3.2. Les côtes sableuses. Plages et dunes littorales I.3.3. Les côtes basses en sédimentation I.3.4. Les littoraux aménagés I.4. Organisation générale de la végétation littorale I.4.1. Les étages littoraux fondamentaux I.4.2. Les côtes rocheuses I.4.3. Les côtes meubles I.4.4. Les côtes basses en sédimentation DEUXIEME PARTIE - ANALYSE DE SITUATIONS CARACTERISTIQUES II.1. Étude de cas sur le littoral français métropolitain II.1.1. Côtes à falaises II.1.2. Côtes meubles II.1.3. Côtes basses en voie de colmatage II.1.4. Exemples d'équivalences latérales de niveau II.2. Analyse de cas réels de délimitation II.2.1. Côtes sableuses II.2.2. Côtes basses, lagunes côtières II.2.3. Estuaire II.3. Autres approches méthodologiques II.3.1. Etude historique de l'évolution du trait de côte II.3.2. Analyse statistique des niveaux extrêmes II.3.3. Apport de prises de vue aériennes II.3.4. Indicateur accidentel Synthèse et conclusion Glossaire Références bibliographiques Liste des illustrations
  146. Edition (Ceremadoc) Préconisations pour le recensement des ouvrages et structures de défense contre les aléas côtiers : Notice méthodologique.

    Cette notice propose une méthodologie de recensement et une typologie des ouvrages, méthodes de protection et aménagements côtiers ayant un impact hydro-sédimentaire et pouvant jouer un rôle dans la lutte contre les aléas côtiers. Elle concerne l'ensemble des étapes du recensement, de sa préparation à sa mise en œuvre sur le terrain et propose un outil d'aide au recensement sous forme de « fiches terrain ». Ces fiches contiennent un certain nombre d'informations liées au site recensé et aux ouvrages présents sur ce site. Un CD-Rom est inclus contenant la version numérique de la notice méthodologique, des fiches terrain imprimables -une « fiche de site » en format A3 (recto-verso) et une « fiche de défense » en format A4 (recto-verso)-, un logiciel d'aide au recensement « ROSCOF » et son manuel utilisateur. PRÉFACEINTRODUCTION Intérêt d'un cadre méthodologique unifié pour les différents recensements des ouvrages littoraux. Mode d'élaboration et contenu de la notice.1 TYPOLOGIE DES STRUCTURES COTIÈRES 1.1 Ouvrages ayant vocation principale de défense contre la mer 1.1.1 Murs et ouvrages de soutènement 1.1.2 Digues côtières 1.1.3 Perrés (non associés à des digues) 1.1.4 Brise-lames 1.1.5 Epis 1.1.6 Autres 1.2 Ouvrages ayant vocation principale d'aménagement et ayant un impact hydro sédimentaire 1.2.1 Aménagements d'accès 1.2.2 Aménagements hydrauliques 1.2.3 Aménagements portuaires 1.2.4 Bâtiments 1.2.5 Aménagements liés à la sécurité ou la surveillance 1.2.6 Autres 1.3 Méthodes de protection du littoral 1.3.1 Le by-pass 1.3.2 Le drainage de plage 1.3.3 Le rechargement de plage 1.3.4 Le confortement dunaire 1.3.5 Le confortement de falaise 1.3.6 Autres 2 PRÉPARATION DU RECENSEMENT 2.1 Organisation de la sortie de terrain 2.1.1 Accéder au littoral et à l'ouvrage 2.1.2 Pré-localisation des ouvrages 2.1.3 Etablissement du planning des visites 2.2 Préparation des visites de recensement et relevés de terrain 2.2.1 Pré-renseignement des fiches de site et de défense contre la mer 2.2.2 L’influence des conditions extérieures 2.2.3 Le matériel 2.3 Préparer l’intégration à la BDD et au SIG 2.3.1 Préparer à l’intégration à la base de données 2.3.2 Règles de pointage des ouvrages 2.4 Synthèse des actions préalables aux sorties sur le terrain 3 RECENSER ET CONNAITRE LES OUVRAGES 3.1 Les fiches de terrain 3.2 La « Fiche de site » 3.2.1 Informations générales sur la visite et le site 3.2.2 Informations sur les ouvrages du site 3.2.3 Informations complémentaires sur le site 3.3 La « Fiche de défense contre la mer » 3.3.1 Informations générales sur la défense 3.3.2 Ouvrage ayant vocation principale de défense contre la mer 3.3.3 Aménagement ayant un impact hydro-sédimentaire 3.3.4 Méthodes de protection contre l'érosion 3.4 Améliorer la connaissance : recherches complémentaires 3.4.1 Informations complémentaires sur le site 3.4.2 Informations réglementaires sur l'ouvrage 3.4.3 Documentation technique de l'ouvrage 4 BIBLIOGRAPHIE 5 ANNEXES 5.1 Glossaire 5.2 Liste des études recensées 5.3 Fiches de terrain 5.4 Termes de référence du groupe de travail et liste des participants / relecteurs 5.5 Index des illustrations
  147. Edition (Ceremadoc) Statistiques des niveaux marins extrêmes des côtes de France (Manche et Atlantique)

    Le présent document présente la réactualisation de l’étude de 2008 « Statistiques des niveaux marins extrêmes de pleine mer (Manche et Atlantique) » concernant les niveaux marins extrêmes de pleine mer, et de l'étude de 1994 « Statistiques des niveaux marins extrêmes le long des côtes de France » pour les statistiques des niveaux extrêmes de basse mer. Concernant les niveaux extrêmes de pleine mer, cette étude reprend la même méthode que celle du document de 2008 mais diffère par des données de plus longue durée, un nombre de ports principaux plus important, une méthode d’interpolation spatiale différente, une évolution du niveau de la mer et une mise à jour des constantes harmoniques de marée. Les résultats des niveaux marins extrêmes sont disponibles aux abords des côtes françaises de la Manche et de l’Atlantique sous forme de cartes et de fichiers géoréférencés exploitables par les Systèmes d’Information Géographique (SIG) pour les périodes de retour de 10, 20, 50 et 100 ans. Des différences importantes, de l’ordre de plusieurs dizaines de centimètres, entre les niveaux marins centennaux de pleine mer des études de 2008 et de 2012 ont été constatées à distance des points de mesure. Pour une première approche de connaissance des niveaux marins extrêmes jusqu'à la période de retour centennale, il est important de prendre connaissance de la note méthodologique de recommandations sur les modalités d'utilisation de ce document ci-jointe. 0. INTRODUCTION 0.1. Avant-propos 0.2. Conditions d'utilisation du produit 1. GÉNÉRALITÉS 1.1. Généralités sur le produit 1.1.1. Objet du produit 1.1.2. Zone géographique couverte 1.2. Organisation du produit 1.2.1. L'ouvrage PDF 1.2.2. Les fichiers pour les systèmes d'information géographique (SIG) 2. MÉTHODOLOGIE 2.1. Les données 2.1.1. Les données marégraphiques 2.1.2. Définition de la surcote 2.1.3. Références verticales 2.2. La méthode 2.2.1. Présentation générale de la méthode 2.2.2. Choix des ports de référence 2.2.3. Points secondaires retenus (ou observatoires provisoires) 2.2.4. Synoptique de la méthode 2.3. Résultats 2.3.1. Les ports de référence 2.3.2. Cartes générales des niveaux extrêmes 2.3.3. Sources d’incertitudes 2.3.4. Les limitations 2.3.5. Evolution par rapport à l’édition précédente 2.3.6. Améliorations envisagées 2.4. Conclusion 3. RÉSULTATS 3.1. Synthèse sur les côtes françaises de La Manche et de l’Atlantique 3.1.1. Généralités 3.1.2. Cartes de périodes de retour 3.2. Manche Est 3.2.1. Généralités 3.2.2. Cartes de périodes de retour 3.2.3. Statistiques sur les ports de référence 3.3. Baie de Seine 3.3.1. Généralités 3.3.2. Cartes de périodes de retour 3.3.3. Statistiques sur le port de référence : Le Havre 3.4. Cotentin 3.4.1. Généralités 3.4.2. Cartes de périodes de retour 3.4.3. Statistiques sur le port de référence : Cherbourg 3.5. Bretagne Nord 3.5.1. Généralités 3.5.2. Cartes de périodes de retour 3.5.3. Statistiques sur les ports de référence 3.6. Bretagne Ouest 3.6.1. Généralités 3.6.2. Cartes de périodes de retour 3.6.3. Statistiques sur les ports de référence 3.7. Bretagne Sud 3.7.1. Généralités 3.7.2. Cartes de périodes de retour 3.7.3. Statistiques sur les ports de référence 3.8. Loire - Vendée 3.8.1. Généralités 3.8.2. Cartes de périodes de retour 3.8.3. Statistiques sur les ports de référence 3.9. Pertuis Charentais - Gironde 3.9.1. Généralités 3.9.2. Cartes de périodes de retour 3.9.3. Statistiques sur les ports de référence 3.10. Aquitaine 3.10.1. Généralités 3.10.2. Cartes de périodes de retour 3.10.3. Statistiques sur les ports de référence 4. ANNEXES 4.1. Compléments concernant la méthodologie 4.1.1. Calcul des niveaux extrêmes aux ports de référence 4.1.2. Interpolation des niveaux extrêmes 4.1.3. Calcul de l’erreur d’interpolation 4.2. Tests de sensibilité de la méthode 4.2.1. Seuil pour les surcotes 4.2.2. Seuil pour les décotes 4.2.3. Durée des données 4.2.4. Influence des événements historiques très exceptionnels (horsains) 4.2.5. Conclusion 5. BIBLIOGRAPHIE INDEX Illustrations Tableaux
  148. Edition (Ceremadoc) Submersions marines - Mieux les comprendre pour s'en protéger

    Dans la nuit du 27 au 28 février 2010, la tempête Xynthia balaye le littoral atlantique. Malgré la présence de structures de défense, l’eau s’est très vite propagée dans les terres. Ce phénomène dévastateur a mis en évidence la nécessité de mieux étudier le comportement des systèmes de protection contre les submersions marines (il sera question ici non pas d'analyser la réglementation sur les ouvrages de défense mais de s'attacher à l'efficacité des systèmes de protection). Quels enseignements tirer de la tempête Xynthia ? Mes ouvrages de protection empêcheront-ils le passage de l'eau lors des prochaines tempêtes ? Quelles démarches mettre en oeuvre ? Maintenant, quelles actions engager ?
  149. Edition (Ceremadoc) Statistiques des niveaux marins extrêmes des côtes de France (Manche et Atlantique)

    Le présent document présente la réactualisation de l’étude de 2008 « Statistiques des niveaux marins extrêmes de pleine mer (Manche et Atlantique) » concernant les niveaux marins extrêmes de pleine mer, et de l'étude de 1994 « Statistiques des niveaux marins extrêmes le long des côtes de France » pour les statistiques des niveaux extrêmes de basse mer. Concernant les niveaux extrêmes de pleine mer, cette étude reprend la même méthode que celle du document de 2008 mais diffère par des données de plus longue durée, un nombre de ports principaux plus important, une méthode d’interpolation spatiale différente, une évolution du niveau de la mer et une mise à jour des constantes harmoniques de marée. Les résultats des niveaux marins extrêmes sont disponibles aux abords des côtes françaises de la Manche et de l’Atlantique sous forme de cartes et de fichiers géoréférencés exploitables par les Systèmes d’Information Géographique (SIG) pour les périodes de retour de 10, 20, 50 et 100 ans. Des différences importantes, de l’ordre de plusieurs dizaines de centimètres, entre les niveaux marins centennaux de pleine mer des études de 2008 et de 2012 ont été constatées à distance des points de mesure. Pour une première approche de connaissance des niveaux marins extrêmes jusqu'à la période de retour centennale, il est important de prendre connaissance de la note méthodologique de recommandations sur les modalités d'utilisation de ce document ci-jointe. 0. INTRODUCTION 0.1. Avant-propos 0.2. Conditions d'utilisation du produit 1. GÉNÉRALITÉS 1.1. Généralités sur le produit 1.1.1. Objet du produit 1.1.2. Zone géographique couverte 1.2. Organisation du produit 1.2.1. L'ouvrage PDF 1.2.2. Les fichiers pour les systèmes d'information géographique (SIG) 2. MÉTHODOLOGIE 2.1. Les données 2.1.1. Les données marégraphiques 2.1.2. Définition de la surcote 2.1.3. Références verticales 2.2. La méthode 2.2.1. Présentation générale de la méthode 2.2.2. Choix des ports de référence 2.2.3. Points secondaires retenus (ou observatoires provisoires) 2.2.4. Synoptique de la méthode 2.3. Résultats 2.3.1. Les ports de référence 2.3.2. Cartes générales des niveaux extrêmes 2.3.3. Sources d’incertitudes 2.3.4. Les limitations 2.3.5. Evolution par rapport à l’édition précédente 2.3.6. Améliorations envisagées 2.4. Conclusion 3. RÉSULTATS 3.1. Synthèse sur les côtes françaises de La Manche et de l’Atlantique 3.1.1. Généralités 3.1.2. Cartes de périodes de retour 3.2. Manche Est 3.2.1. Généralités 3.2.2. Cartes de périodes de retour 3.2.3. Statistiques sur les ports de référence 3.3. Baie de Seine 3.3.1. Généralités 3.3.2. Cartes de périodes de retour 3.3.3. Statistiques sur le port de référence : Le Havre 3.4. Cotentin 3.4.1. Généralités 3.4.2. Cartes de périodes de retour 3.4.3. Statistiques sur le port de référence : Cherbourg 3.5. Bretagne Nord 3.5.1. Généralités 3.5.2. Cartes de périodes de retour 3.5.3. Statistiques sur les ports de référence 3.6. Bretagne Ouest 3.6.1. Généralités 3.6.2. Cartes de périodes de retour 3.6.3. Statistiques sur les ports de référence 3.7. Bretagne Sud 3.7.1. Généralités 3.7.2. Cartes de périodes de retour 3.7.3. Statistiques sur les ports de référence 3.8. Loire - Vendée 3.8.1. Généralités 3.8.2. Cartes de périodes de retour 3.8.3. Statistiques sur les ports de référence 3.9. Pertuis Charentais - Gironde 3.9.1. Généralités 3.9.2. Cartes de périodes de retour 3.9.3. Statistiques sur les ports de référence 3.10. Aquitaine 3.10.1. Généralités 3.10.2. Cartes de périodes de retour 3.10.3. Statistiques sur les ports de référence 4. ANNEXES 4.1. Compléments concernant la méthodologie 4.1.1. Calcul des niveaux extrêmes aux ports de référence 4.1.2. Interpolation des niveaux extrêmes 4.1.3. Calcul de l’erreur d’interpolation 4.2. Tests de sensibilité de la méthode 4.2.1. Seuil pour les surcotes 4.2.2. Seuil pour les décotes 4.2.3. Durée des données 4.2.4. Influence des événements historiques très exceptionnels (horsains) 4.2.5. Conclusion 5. BIBLIOGRAPHIE INDEX Illustrations Tableaux
  150. Edition (Ceremadoc) Submersions marines - Mieux les comprendre pour s'en protéger

    Dans la nuit du 27 au 28 février 2010, la tempête Xynthia balaye le littoral atlantique. Malgré la présence de structures de défense, l’eau s’est très vite propagée dans les terres. Ce phénomène dévastateur a mis en évidence la nécessité de mieux étudier le comportement des systèmes de protection contre les submersions marines (il sera question ici non pas d'analyser la réglementation sur les ouvrages de défense mais de s'attacher à l'efficacité des systèmes de protection). Quels enseignements tirer de la tempête Xynthia ? Mes ouvrages de protection empêcheront-ils le passage de l'eau lors des prochaines tempêtes ? Quelles démarches mettre en oeuvre ? Maintenant, quelles actions engager ?
  151. Edition (Ceremadoc) Planification littorale : Contraintes et potentiels

    Inscrire son littoral dans une stratégie de développement Aujourd’hui tous les territoires littoraux sont invités à développer des « projets de territoire » pour la mer et le littoral. Il s’agit, en s’appuyant sur le potentiel des territoires (écosystèmes, patrimoine marin, paysager, culturel…) de définir les conditions d’utilisation à venir de l’espace marin et littoral, tout en tenant compte des contraintes du territoire (protection de l’environnement, co-activité, risques littoraux...). Pourquoi une planification des espaces maritimes et littoraux ? Comment lier terre et mer dans une planification du littoral ? Comment définir une stratégie maritime et littorale à l’échelle de votre territoire ? Quelles actions mener ?
  152. Edition (Ceremadoc) Planification littorale : Contraintes et potentiels

    Inscrire son littoral dans une stratégie de développement Aujourd’hui tous les territoires littoraux sont invités à développer des « projets de territoire » pour la mer et le littoral. Il s’agit, en s’appuyant sur le potentiel des territoires (écosystèmes, patrimoine marin, paysager, culturel…) de définir les conditions d’utilisation à venir de l’espace marin et littoral, tout en tenant compte des contraintes du territoire (protection de l’environnement, co-activité, risques littoraux...). Pourquoi une planification des espaces maritimes et littoraux ? Comment lier terre et mer dans une planification du littoral ? Comment définir une stratégie maritime et littorale à l’échelle de votre territoire ? Quelles actions mener ?
  153. Edition (Ceremadoc) Analyse du fonctionnement hydro-sédimentaire du littoral : Cahier technique

    Ce cahier technique traite de l’analyse du fonctionnement hydro-sédimentaire du littoral. Cette analyse est indispensable pour toute étude d’aménagement côtier et d’aléas littoraux (recul du trait de côte, submersion marine, migration dunaire), notamment comme première phase avant la caractérisation et la cartographie des aléas. Cette phase tente de comprendre les évolutions physiques du littoral, à différentes échelles de temps, sous l’effet de multiples facteurs, climatiques et météorologiques, mais aussi anthropiques. Cette analyse du fonctionnement du littoral est réalisée indépendamment des aléas qui affectent le territoire considéré. Elle démarre par une analyse du fonctionnement hydro-sédimentaire, comprenant notamment une analyse géomorphologique du territoire, une analyse des conditions météorologiques et hydro-dynamiques et une analyse du fonctionnement hydro-sédimentaire. Elle se poursuit par une analyse historique qui étudie au cours du temps l’évolution de la configuration de la frange littorale et des implantations humaines ainsi que les conséquences des tempêtes en termes de submersions marines ou d’évolution de la morphologie de la frange littorale. Enfin, une synthèse permet de définir précisément le périmètre d’étude et les aléas à considérer et, pour chaque aléa à caractériser, les principaux phénomènes à leur origine, permettant de définir les méthodes de caractérisation et les hypothèses adaptées. PRÉAMBULE 1 – INTRODUCTION 2 - PRÉREQUIS TECHNIQUES CONCERNANT LA CONNAISSANCE DES PHÉNOMÈNES ET ALÉAS LITTORAUX 2.1 - Les formes littorales 2.1.1 - Les côtes basses meubles 2.1.2 - Les côtes à falaises 2.1.3 - Baies, estuaires et deltas 2.2 - Les ouvrages de protection 2.3 - Phénomènes météo-marins 2.3.1 - Le niveau marin 2.3.1.a - Le niveau moyen de la mer 2.3.1.b - La marée théorique 2.3.1.c - Les surcotes / décotes 2.3.2 - Les effets hydrodynamiques et météorologiques locaux 2.3.2.a - Le déferlement des vagues 2.3.2.b - Les seiches 2.3.3 - Les tsunamis 2.3.4 - Le changement climatique 2.4 - Aléas littoraux 2.4.1 - Le recul du trait de côte 2.4.2 - La migration dunaire 2.4.3 - La submersion marine 3 - MÉTHODE D'ANALYSE DU FONCTIONNEMENT HYDRO-SÉDIMENTAIRE DU LITTORAL 3.1 - Une méthode d'analyse des aléas littoraux en deux temps 3.2 - Principes généraux du fonctionnement hydro-sédimentaire du littoral 3.3 - Fonctionnement hydro-morphosédimentaire du secteur d’étude 3.3.1 - Analyse du cadre géomorphologique 3.3.1.a - Les caractéristiques géologiques et hydrogéologiques 3.3.1.b - Les caractéristiques sédimentologiques des plages 3.3.1.c - Les caractéristiques topo-bathymétriques 3.3.1.d - Caractéristiques morpho-sédimentaires et bathymétriques des fonds et de l’estran 3.3.2 - Analyse des conditions climatiques, météorologiques et hydrodynamiques 3.3.2.a - Contexte climatique et météorologique 3.3.2.b - Les conditions hydrodynamiques 3.3.3 - Fonctionnement hydro-sédimentaire du littoral 3.3.3.a - La cellule hydro-sédimentaire 3.3.3.b - Le trait de côte : modalités de définition et limites 3.3.3.c - Le profil de plage : modalités de définition et limites 3.3.3.d - Le système dune-plage : un transport sédimentaire lié au vent 3.3.3.e - Les transports sédimentaires sous l’action des houles et des marées 3.3.3.f - L'analyse du recul des falaises : actions continentales et marines 3.3.4 - Les ouvrages de protection contre les aléas littoraux 3.3.5 - Analyse du fonctionnement hydraulique du site 3.4 - Approche historique 3.4.1 - Évolution du trait de côte 3.4.1.a - L'analyse diachronique de la dynamique côtière 3.4.1.b - L'estimation des vitesses et des rythmes d’évolution 3.4.2 - L'inventaire des submersions marines historiques 3.4.3 - L'évolution de l'occupation humaine : modes d'urbanisation et occupation du sol 3.5 - Synthèse de l'analyse du fonctionnement hydro-sédimentaire du littoral : identification des facteurs à l'origine des aléas littoraux 3.5.1 - Le recul des côtes rocheuses et à falaises 3.5.2 - Le recul des côtes basses meubles et la migration dunaire 3.5.3 - La submersion marine 3.5.4 - Résultats attendus 4 - CONCLUSION 5 - GLOSSAIRE TECHNIQUE 6 - SIGLES 7 - PRINCIPALES RÉFÉRENCES BIBLIOGRAPHIQUES Analyse
  154. Edition (Ceremadoc) Connaissance du trait de côte : Évaluation prospective des enjeux affectés par le recul du trait de côte

    Élaboration de la cartographie des ouvrages et aménagements littoraux La cartographie nationale recensant la localisation et les caractéristiques des ouvrages et aménagements littoraux est produite principalement à partir de l’observation et de l’interprétation de photographies aériennes. Bien que l’usage de la photo-interprétation ne garantisse pas l’exhaustivité du recensement, cette cartographie permet néanmoins d’identifier et de renseigner de manière homogène près de 16 000 entités constituant ainsi une première contribution nationale sur les ouvrages et aménagements littoraux. Évaluation prospective des enjeux affectés par le recul du trait de côte Dans le cadre de la mise en oeuvre de la stratégie nationale de gestion intégrée du trait de côte (SNGITC), le Cerema a élaboré et mis en oeuvre une méthodologie de dénombrement des bâtiments potentiellement atteints par le recul du trait côte au cours de ce siècle. En associant des projections d’évolution du trait de côte aux données foncières, cette méthode a permis d’identifier le nombre de logements concernés et d’évaluer leur valeur immobilière. Élaboration de la cartographie des ouvrages et aménagements littoraux 1. Cadre général de l’étude 2. Méthodologie 3. Restitutions de la cartographie nationale 4. Précautions d’usage 5. Exploitation des données de la cartographie nationale 6. Bibliographie 7. Annexes Évaluation prospective des enjeux affectés par le recul du trait de côte 1. Contexte et objectifs 2. Éléments de méthode 3. Trait de côte de référence 4. Constitution d’une base de données sur les enjeux bâtis 5. Scénarios étudiés pour la projection de la position du trait de côte 6. Résultats 7. Synthèse des limites 8. Conclusion 9. Bibliographie 10. Annexes
  155. Edition (Ceremadoc) Connaissance du trait de côte : Évaluation prospective des enjeux affectés par le recul du trait de côte

    Élaboration de la cartographie des ouvrages et aménagements littoraux La cartographie nationale recensant la localisation et les caractéristiques des ouvrages et aménagements littoraux est produite principalement à partir de l’observation et de l’interprétation de photographies aériennes. Bien que l’usage de la photo-interprétation ne garantisse pas l’exhaustivité du recensement, cette cartographie permet néanmoins d’identifier et de renseigner de manière homogène près de 16 000 entités constituant ainsi une première contribution nationale sur les ouvrages et aménagements littoraux. Évaluation prospective des enjeux affectés par le recul du trait de côte Dans le cadre de la mise en oeuvre de la stratégie nationale de gestion intégrée du trait de côte (SNGITC), le Cerema a élaboré et mis en oeuvre une méthodologie de dénombrement des bâtiments potentiellement atteints par le recul du trait côte au cours de ce siècle. En associant des projections d’évolution du trait de côte aux données foncières, cette méthode a permis d’identifier le nombre de logements concernés et d’évaluer leur valeur immobilière. Élaboration de la cartographie des ouvrages et aménagements littoraux 1. Cadre général de l’étude 2. Méthodologie 3. Restitutions de la cartographie nationale 4. Précautions d’usage 5. Exploitation des données de la cartographie nationale 6. Bibliographie 7. Annexes Évaluation prospective des enjeux affectés par le recul du trait de côte 1. Contexte et objectifs 2. Éléments de méthode 3. Trait de côte de référence 4. Constitution d’une base de données sur les enjeux bâtis 5. Scénarios étudiés pour la projection de la position du trait de côte 6. Résultats 7. Synthèse des limites 8. Conclusion 9. Bibliographie 10. Annexes
  156. Edition (Ceremadoc) Analyse du fonctionnement hydro-sédimentaire du littoral : Cahier technique

    Ce cahier technique traite de l’analyse du fonctionnement hydro-sédimentaire du littoral. Cette analyse est indispensable pour toute étude d’aménagement côtier et d’aléas littoraux (recul du trait de côte, submersion marine, migration dunaire), notamment comme première phase avant la caractérisation et la cartographie des aléas. Cette phase tente de comprendre les évolutions physiques du littoral, à différentes échelles de temps, sous l’effet de multiples facteurs, climatiques et météorologiques, mais aussi anthropiques. Cette analyse du fonctionnement du littoral est réalisée indépendamment des aléas qui affectent le territoire considéré. Elle démarre par une analyse du fonctionnement hydro-sédimentaire, comprenant notamment une analyse géomorphologique du territoire, une analyse des conditions météorologiques et hydro-dynamiques et une analyse du fonctionnement hydro-sédimentaire. Elle se poursuit par une analyse historique qui étudie au cours du temps l’évolution de la configuration de la frange littorale et des implantations humaines ainsi que les conséquences des tempêtes en termes de submersions marines ou d’évolution de la morphologie de la frange littorale. Enfin, une synthèse permet de définir précisément le périmètre d’étude et les aléas à considérer et, pour chaque aléa à caractériser, les principaux phénomènes à leur origine, permettant de définir les méthodes de caractérisation et les hypothèses adaptées. PRÉAMBULE 1 – INTRODUCTION 2 - PRÉREQUIS TECHNIQUES CONCERNANT LA CONNAISSANCE DES PHÉNOMÈNES ET ALÉAS LITTORAUX 2.1 - Les formes littorales 2.1.1 - Les côtes basses meubles 2.1.2 - Les côtes à falaises 2.1.3 - Baies, estuaires et deltas 2.2 - Les ouvrages de protection 2.3 - Phénomènes météo-marins 2.3.1 - Le niveau marin 2.3.1.a - Le niveau moyen de la mer 2.3.1.b - La marée théorique 2.3.1.c - Les surcotes / décotes 2.3.2 - Les effets hydrodynamiques et météorologiques locaux 2.3.2.a - Le déferlement des vagues 2.3.2.b - Les seiches 2.3.3 - Les tsunamis 2.3.4 - Le changement climatique 2.4 - Aléas littoraux 2.4.1 - Le recul du trait de côte 2.4.2 - La migration dunaire 2.4.3 - La submersion marine 3 - MÉTHODE D'ANALYSE DU FONCTIONNEMENT HYDRO-SÉDIMENTAIRE DU LITTORAL 3.1 - Une méthode d'analyse des aléas littoraux en deux temps 3.2 - Principes généraux du fonctionnement hydro-sédimentaire du littoral 3.3 - Fonctionnement hydro-morphosédimentaire du secteur d’étude 3.3.1 - Analyse du cadre géomorphologique 3.3.1.a - Les caractéristiques géologiques et hydrogéologiques 3.3.1.b - Les caractéristiques sédimentologiques des plages 3.3.1.c - Les caractéristiques topo-bathymétriques 3.3.1.d - Caractéristiques morpho-sédimentaires et bathymétriques des fonds et de l’estran 3.3.2 - Analyse des conditions climatiques, météorologiques et hydrodynamiques 3.3.2.a - Contexte climatique et météorologique 3.3.2.b - Les conditions hydrodynamiques 3.3.3 - Fonctionnement hydro-sédimentaire du littoral 3.3.3.a - La cellule hydro-sédimentaire 3.3.3.b - Le trait de côte : modalités de définition et limites 3.3.3.c - Le profil de plage : modalités de définition et limites 3.3.3.d - Le système dune-plage : un transport sédimentaire lié au vent 3.3.3.e - Les transports sédimentaires sous l’action des houles et des marées 3.3.3.f - L'analyse du recul des falaises : actions continentales et marines 3.3.4 - Les ouvrages de protection contre les aléas littoraux 3.3.5 - Analyse du fonctionnement hydraulique du site 3.4 - Approche historique 3.4.1 - Évolution du trait de côte 3.4.1.a - L'analyse diachronique de la dynamique côtière 3.4.1.b - L'estimation des vitesses et des rythmes d’évolution 3.4.2 - L'inventaire des submersions marines historiques 3.4.3 - L'évolution de l'occupation humaine : modes d'urbanisation et occupation du sol 3.5 - Synthèse de l'analyse du fonctionnement hydro-sédimentaire du littoral : identification des facteurs à l'origine des aléas littoraux 3.5.1 - Le recul des côtes rocheuses et à falaises 3.5.2 - Le recul des côtes basses meubles et la migration dunaire 3.5.3 - La submersion marine 3.5.4 - Résultats attendus 4 - CONCLUSION 5 - GLOSSAIRE TECHNIQUE 6 - SIGLES 7 - PRINCIPALES RÉFÉRENCES BIBLIOGRAPHIQUES Analyse
  157. Edition (Ceremadoc) Analyse des surcotes extrêmes le long des côtes métropolitaines

    Ce rapport présente une analyse statistique des valeurs extrêmes de surcotes horaires sur 24 sites répartis le long du littoral métropolitain. L’évaluation est effectuée par le biais de l’analyse des surcotes de pleine mer pour les sites à fort marnage (Manche et Atlantique) et des surcotes instantanées pour les sites à faible marnage (Méditerranée). L’analyse statistique est effectuée à partir de séries d’observations possédant plus de 10 ans de mesures. La méthode des pics au-dessus du seuil est utilisée pour ajuster la queue de distribution des surcotes. Pour chaque site, les surcotes de périodes de retour comprises entre 5 et 1000 ans sont estimées avec un intervalle de confiance à 70%. La sensibilité au choix du seuil ou du type de loi (distributions généralisée de Pareto ou exponentielle) est aussi étudiée. Un avis d’expert est fourni pour aider au choix final. Les différences de résultats avec le produit SHOM/Direction technique Eau, mer et fleuves de 2012 (“Statistiques des niveaux marins extrêmes des côtes de France - Manche et Atlantique”) sont commentées. Les limites de la méthodologie sont présentées. Les résultats de cette étude sont notamment utiles pour l’étude du scénario extrême auquel fait référence la directive « inondations ». 1. INTRODUCTION 1.1 Contexte 1.2 Objectif de l'étude 2. LA MÉTHODOLOGIE D'ANALYSE STATISTIQUE DES EXTRÊMES 2.1 Principes de la méthode 2.2 Données de surcotes utilisées 2.3 Définition de la population des événements extrêmes observés 2.4 Ajustement et extrapolation paramétriques 2.5 Incertitudes 2.5.1 Incertitude liée à la mesure ou aux données initiales 2.5.2 Incertitude de représentativité 2.5.3 Incertitude du choix du modèle statistique 2.5.4 Incertitude d'échantillonnage 3. LES RÉSULTATS PAR PORT 3.1 Dunkerque 3.2 Calais 3.3 Boulogne-sur-Mer 3.4 Dieppe 3.5 Le Havre 3.6 Cherbourg 3.7 Saint-Malo 3.8 Roscoff 3.9 Le Conquet 3.10 Brest 3.11 Concarneau 3.12 Port-Tudy 3.13 Pointe Saint-Gildas 3.14 Les Sables-d'Olonne 3.15 La Rochelle-La Pallice 3.16 Port-Bloc 3.17 Socoa 3.18 Port-Vendres 3.19 Sète 3.20 Marseille 3.21 Toulon 3.22 Nice 3.23 Monaco 3.24 Ajaccio 4. SYNTHÈSE DES RÉSULTATS 4.1 Présentation synthétique des résultats 4.2 Différences avec l'étude SHOM-CETMEF 4.2.1 Prise en compte des incertitudes 4.2.2 Durées d'observation 4.2.3 Principales différences sur les estimations 4.3 Exploitation des résultats 5. ANNEXES 5.1 Analyse de la qualité des données de surcotes 5.1.1 Les données utilisées en Manche et Atlantique 5.1.2 Les données utilisées en Méditerranée 5.1.2.1 Port-Vendres 5.1.2.2 Sète 5.1.2.3 Marseille 5.1.2.4 Toulon 5.1.2.5 Nice 5.1.2.6 Monaco 5.1.2.7 Ajaccio 5.2 Analyse des surcotes en Méditerranée pour d'autres échantillons de données 5.2.1 Port-Vendres 5.2.2 Sète 5.2.3 Marseille 5.2.4 Toulon 5.2.5 Monaco 5.2.6 Ajaccio 5.3 Bibliographie 5.4 Liste des figures et tableaux
  158. Edition (Ceremadoc) Analyse des surcotes extrêmes le long des côtes métropolitaines

    Ce rapport présente une analyse statistique des valeurs extrêmes de surcotes horaires sur 24 sites répartis le long du littoral métropolitain. L’évaluation est effectuée par le biais de l’analyse des surcotes de pleine mer pour les sites à fort marnage (Manche et Atlantique) et des surcotes instantanées pour les sites à faible marnage (Méditerranée). L’analyse statistique est effectuée à partir de séries d’observations possédant plus de 10 ans de mesures. La méthode des pics au-dessus du seuil est utilisée pour ajuster la queue de distribution des surcotes. Pour chaque site, les surcotes de périodes de retour comprises entre 5 et 1000 ans sont estimées avec un intervalle de confiance à 70%. La sensibilité au choix du seuil ou du type de loi (distributions généralisée de Pareto ou exponentielle) est aussi étudiée. Un avis d’expert est fourni pour aider au choix final. Les différences de résultats avec le produit SHOM/Direction technique Eau, mer et fleuves de 2012 (“Statistiques des niveaux marins extrêmes des côtes de France - Manche et Atlantique”) sont commentées. Les limites de la méthodologie sont présentées. Les résultats de cette étude sont notamment utiles pour l’étude du scénario extrême auquel fait référence la directive « inondations ». 1. INTRODUCTION 1.1 Contexte 1.2 Objectif de l'étude 2. LA MÉTHODOLOGIE D'ANALYSE STATISTIQUE DES EXTRÊMES 2.1 Principes de la méthode 2.2 Données de surcotes utilisées 2.3 Définition de la population des événements extrêmes observés 2.4 Ajustement et extrapolation paramétriques 2.5 Incertitudes 2.5.1 Incertitude liée à la mesure ou aux données initiales 2.5.2 Incertitude de représentativité 2.5.3 Incertitude du choix du modèle statistique 2.5.4 Incertitude d'échantillonnage 3. LES RÉSULTATS PAR PORT 3.1 Dunkerque 3.2 Calais 3.3 Boulogne-sur-Mer 3.4 Dieppe 3.5 Le Havre 3.6 Cherbourg 3.7 Saint-Malo 3.8 Roscoff 3.9 Le Conquet 3.10 Brest 3.11 Concarneau 3.12 Port-Tudy 3.13 Pointe Saint-Gildas 3.14 Les Sables-d'Olonne 3.15 La Rochelle-La Pallice 3.16 Port-Bloc 3.17 Socoa 3.18 Port-Vendres 3.19 Sète 3.20 Marseille 3.21 Toulon 3.22 Nice 3.23 Monaco 3.24 Ajaccio 4. SYNTHÈSE DES RÉSULTATS 4.1 Présentation synthétique des résultats 4.2 Différences avec l'étude SHOM-CETMEF 4.2.1 Prise en compte des incertitudes 4.2.2 Durées d'observation 4.2.3 Principales différences sur les estimations 4.3 Exploitation des résultats 5. ANNEXES 5.1 Analyse de la qualité des données de surcotes 5.1.1 Les données utilisées en Manche et Atlantique 5.1.2 Les données utilisées en Méditerranée 5.1.2.1 Port-Vendres 5.1.2.2 Sète 5.1.2.3 Marseille 5.1.2.4 Toulon 5.1.2.5 Nice 5.1.2.6 Monaco 5.1.2.7 Ajaccio 5.2 Analyse des surcotes en Méditerranée pour d'autres échantillons de données 5.2.1 Port-Vendres 5.2.2 Sète 5.2.3 Marseille 5.2.4 Toulon 5.2.5 Monaco 5.2.6 Ajaccio 5.3 Bibliographie 5.4 Liste des figures et tableaux
  159. Edition (Ceremadoc) Connaissance du trait de côte : Élaboration de la cartographie des ouvrages et aménagements littoraux

    Élaboration de la cartographie des ouvrages et aménagements littoraux La cartographie nationale recensant la localisation et les caractéristiques des ouvrages et aménagements littoraux est produite principalement à partir de l’observation et de l’interprétation de photographies aériennes. Bien que l’usage de la photo-interprétation ne garantisse pas l’exhaustivité du recensement, cette cartographie permet néanmoins d’identifier et de renseigner de manière homogène près de 16 000 entités constituant ainsi une première contribution nationale sur les ouvrages et aménagements littoraux. Évaluation prospective des enjeux affectés par le recul du trait de côte Dans le cadre de la mise en oeuvre de la stratégie nationale de gestion intégrée du trait de côte (SNGITC), le Cerema a élaboré et mis en oeuvre une méthodologie de dénombrement des bâtiments potentiellement atteints par le recul du trait côte au cours de ce siècle. En associant des projections d’évolution du trait de côte aux données foncières, cette méthode a permis d’identifier le nombre de logements concernés et d’évaluer leur valeur immobilière. Élaboration de la cartographie des ouvrages et aménagements littoraux 1. Cadre général de l’étude 2. Méthodologie 3. Restitutions de la cartographie nationale 4. Précautions d’usage 5. Exploitation des données de la cartographie nationale 6. Bibliographie 7. Annexes Évaluation prospective des enjeux affectés par le recul du trait de côte 1. Contexte et objectifs 2. Éléments de méthode 3. Trait de côte de référence 4. Constitution d’une base de données sur les enjeux bâtis 5. Scénarios étudiés pour la projection de la position du trait de côte 6. Résultats 7. Synthèse des limites 8. Conclusion 9. Bibliographie 10. Annexes
  160. Edition (Ceremadoc) Connaissance du trait de côte : Élaboration de la cartographie des ouvrages et aménagements littoraux

    Élaboration de la cartographie des ouvrages et aménagements littoraux La cartographie nationale recensant la localisation et les caractéristiques des ouvrages et aménagements littoraux est produite principalement à partir de l’observation et de l’interprétation de photographies aériennes. Bien que l’usage de la photo-interprétation ne garantisse pas l’exhaustivité du recensement, cette cartographie permet néanmoins d’identifier et de renseigner de manière homogène près de 16 000 entités constituant ainsi une première contribution nationale sur les ouvrages et aménagements littoraux. Évaluation prospective des enjeux affectés par le recul du trait de côte Dans le cadre de la mise en oeuvre de la stratégie nationale de gestion intégrée du trait de côte (SNGITC), le Cerema a élaboré et mis en oeuvre une méthodologie de dénombrement des bâtiments potentiellement atteints par le recul du trait côte au cours de ce siècle. En associant des projections d’évolution du trait de côte aux données foncières, cette méthode a permis d’identifier le nombre de logements concernés et d’évaluer leur valeur immobilière. Élaboration de la cartographie des ouvrages et aménagements littoraux 1. Cadre général de l’étude 2. Méthodologie 3. Restitutions de la cartographie nationale 4. Précautions d’usage 5. Exploitation des données de la cartographie nationale 6. Bibliographie 7. Annexes Évaluation prospective des enjeux affectés par le recul du trait de côte 1. Contexte et objectifs 2. Éléments de méthode 3. Trait de côte de référence 4. Constitution d’une base de données sur les enjeux bâtis 5. Scénarios étudiés pour la projection de la position du trait de côte 6. Résultats 7. Synthèse des limites 8. Conclusion 9. Bibliographie 10. Annexes
  161. Edition (Ceremadoc) Mer et littoral : Journées Sciences & Territoires 2017 Enjeux, stratégies, prospective

    Cette première édition a abordé les enjeux liés aux territoires littoraux et maritimes sous l’angle de la planification déclinée dans quatre thématiques : les risques, l’énergie, l’observation des territoires, les acteurs des territoires. L’objectif de cet ouvrage est de rendre compte de ces journées, d’en restituer les principaux apports et de dégager les propositions évoquées. Introduction L’ambition d’un territoire maritime et littoral durableEnjeux Des territoires maritimes et littoraux en tension Entre risques et opportunités, un diagnostic contrasté La connaissance et le partage de l’information Une dimension économique stratégique Mer, littoral et transition énergétique Le citoyen, bénéficiaire ou acteur des politiques publiques ? La mémoire des événements maritimes et littoraux, un patrimoine Une approche résiliente intégrant l’environnementStratégies Vers un renouvellement de l’action publique La politique maritime intégrée et la gestion des zones côtières Une stratégie nationale pour la mer et le littoral Mobiliser l’ensemble des acteurs des territoires maritimes et littoraux Concilier vision stratégique et actions opérationnelles Favoriser la résilience des territoires maritimes et littorauxExpérimentations - innovations Pistes de recherche et d’action Observation : de nouveaux outils à mieux croiser et partager Innovation et production d’énergies renouvelables La nature, une solution pour la gestion des risques ? Planification concertée : vers des démarches de gestion intégrée Conclusion Quels futurs souhaitables pour les territoires maritimes et littoraux ?
  162. Edition (Ceremadoc) Aléas littoraux : Redéfinir sa stratégie de protection

    Rechercher une protection plus performante sur le long terme Quelles évolutions pour les stratégies de protection sur nos littoraux ? Comment mieux se protéger en maîtrisant les dépenses ? Quelles étapes pour définir sa stratégie de protection ? Redéfinir sa stratégie de protection - la marche à suivre
  163. Edition (Ceremadoc) Aléas littoraux : Redéfinir sa stratégie de protection

    Rechercher une protection plus performante sur le long terme Quelles évolutions pour les stratégies de protection sur nos littoraux ? Comment mieux se protéger en maîtrisant les dépenses ? Quelles étapes pour définir sa stratégie de protection ? Redéfinir sa stratégie de protection - la marche à suivre
  164. Edition (Ceremadoc) Mer et littoral : Journées Sciences & Territoires 2017 Enjeux, stratégies, prospective

    Cette première édition a abordé les enjeux liés aux territoires littoraux et maritimes sous l’angle de la planification déclinée dans quatre thématiques : les risques, l’énergie, l’observation des territoires, les acteurs des territoires. L’objectif de cet ouvrage est de rendre compte de ces journées, d’en restituer les principaux apports et de dégager les propositions évoquées. Introduction L’ambition d’un territoire maritime et littoral durableEnjeux Des territoires maritimes et littoraux en tension Entre risques et opportunités, un diagnostic contrasté La connaissance et le partage de l’information Une dimension économique stratégique Mer, littoral et transition énergétique Le citoyen, bénéficiaire ou acteur des politiques publiques ? La mémoire des événements maritimes et littoraux, un patrimoine Une approche résiliente intégrant l’environnementStratégies Vers un renouvellement de l’action publique La politique maritime intégrée et la gestion des zones côtières Une stratégie nationale pour la mer et le littoral Mobiliser l’ensemble des acteurs des territoires maritimes et littoraux Concilier vision stratégique et actions opérationnelles Favoriser la résilience des territoires maritimes et littorauxExpérimentations - innovations Pistes de recherche et d’action Observation : de nouveaux outils à mieux croiser et partager Innovation et production d’énergies renouvelables La nature, une solution pour la gestion des risques ? Planification concertée : vers des démarches de gestion intégrée Conclusion Quels futurs souhaitables pour les territoires maritimes et littoraux ?
  165. Edition (Ceremadoc) Submersions marines - Plan communal de sauvegarde : il est incontournable !

    Submersion marine et plan communal de sauvegarde Ce P’tit Essentiel sur le risque submersion marine (inondation temporaire) s’adresse aux élus et décideurs des collectivités vulnérables aux submersions marines souhaitant acquérir une vision globale et une mise en perspective du plan communal de sauvegarde face à l’aléa de submersion marine. Il explique, entre autres, les méthodes mises en places pour diagnostiquer le risque d’inondation temporaire lié à une submersion marine sur chaque territoire en fonction des systèmes de protection et des épisodes de crise passés, et quelles actions mettre en place. Ce P'tit essentiel vous permet d’aller à l’essentiel en comprenant le contexte, les enjeux et la méthodologie d’action pour anticiper au mieux la gestion du risque de submersion marine. Submersion marine et inondation temporaire : Pourquoi le plan communal de sauvegarde est-il nécessaire ? Le plan communal de sauvegarde (PCS) est, pour les maires, un outil opérationnel indispensable pour gérer des crises liés , entres autres, aux tempêtes, ouragan, inondations engendrant des submersions marines. Il permet de planifier les actions des acteurs communaux de la gestion du risque en cas d’événements majeurs, naturels, technologiques ou sanitaires. Ce P'tit essentiel vous livre de manière synthétique les clés de la réglementation pour votre plan de sauvegarde communal. Gestion de crise face à l’aléa de submersion marine : Comment mieux protéger les habitants de ma commune ? Les inondations causées par submersion marine font partie des situations qui demandent une réaction communale rapide et organisée. Le maire doit donc avoir une bonne connaissance de ce phénomène et de ses conséquences sur son territoire et des dispositifs de prévision existants. Ce P'tit essentiel vous apporte les clés pour bien anticiper la gestion de crise liée à l’aléa de submersion marine. Plan communal de sauvegarde et risque de submersion marine : Comment rendre mon plan communal de sauvegarde opérationnel ? Le plan communal de sauvegarde (PCS) doit être un outil opérationnel permettant aux personnes d’anticiper de manière adéquate, efficace et rapide. Adapté à la taille de la commune, à son mode de fonctionnement et au contexte local, il nécessite une bonne connaissance du territoire impacté et une vision stratégique des actions à mener. Retrouvez de manière synthétique les 5 actions à mener pour rendre votre plan communal de sauvegarde opérationnel face aux submersions marines (inondation temporaire). Submersions marines et plan communal de sauvegarde Le contexte : Pourquoi le plan communal de sauvegarde est-il nécessaire ? Submersions marines : le plan communal de sauvegarde, essentiel à la gestion de crise Les enjeux : Comment mieux protéger les habitants de ma commune ? Anticiper la gestion de crise : bien connaître l'aléa de submersion marine La méthode : Comment rendre mon PCS opérationnel ? 5 axes pour rendre opération votre Plan de Sauvegarde Communal Mémo : Ma boîte à outils pour rédiger un PCS opérationnel
  166. Edition (Ceremadoc) Fiches synthétiques de mesure des états de mer du réseau CANDHIS-MAJ 2020 : Tome 1 - Mer du Nord, Manche et Atlantique

    Ce catalogue est un support à la diffusion des données. Il présente les informations disponibles et leurs traitements et pour chaque campagne une analyse complète des données sur toute la durée des observations disponibles. Cela comprend des informations générales, l’établissement des climatologies moyennes, l’analyse des valeurs extrêmes et un zoom sur les caractéristiques des états de mer observés lors des événements les plus marquants. Ce catalogue est destiné aux bureaux d’ingénierie, aux services de l’État ou des collectivités, aux organismes de recherche, et plus généralement à ceux qui travaillent de près ou de loin sur les états de mer. Ce catalogue, composé de trois tomes, est une actualisation de l’édition 2020 : le premier tome pour la Mer du Nord, la Manche et l’Atlantique, le deuxième tome pour la Méditerranée, et le troisième tome pour la l'outre-mer. 1. Introduction 2. Définitions 2.1 Analyse vague par vague 2.2 Analyse spectrale 3. Rappel théorique 3.1 Analyse vague par vague (ou analyse temporelle) 3.2 Analyse spectrale 3.2.1 Spectre de variance non directionnel 3.2.3 Spectre directionnel de variance 4. La mesure 4.1 Le réseau de mesures CANDHIS 4.2 Les appareils de mesure 4.3 État des données 4.3.1 Avertissement quant à l’usage des données 4.3.2 Pas de mesure des paramètres d’états de mer 4.4 Contrôle des données 4.4.1 Premier niveau de contrôle 4.4.2 Deuxième niveau de contrôle 5. Présentation des résultats 5.1 Convention d’unités 5.2 Informations générales 5.3 Climatologie moyenne 5.4 Analyse des valeurs extrêmes 5.4.1 Méthodologie 5.4.2 Interprétation 5.5 Sélection des événements remarquables 5.5.1 Méthodologie 5.5.2 Interprétation Annexes : les fiches synthétiques
  167. Edition (Ceremadoc) Fiches synthétiques de mesure des états de mer du réseau CANDHIS-MAJ 2020 : Tome 3 - Outre-mer

    Ce catalogue est un support à la diffusion des données. Il présente les informations disponibles et leurs traitements et pour chaque campagne une analyse complète des données sur toute la durée des observations disponibles. Cela comprend des informations générales, l’établissement des climatologies moyennes, l’analyse des valeurs extrêmes et un zoom sur les caractéristiques des états de mer observés lors des événements les plus marquants. Ce catalogue est destiné aux bureaux d’ingénierie, aux services de l’État ou des collectivités, aux organismes de recherche, et plus généralement à ceux qui travaillent de près ou de loin sur les états de mer. Ce catalogue, composé de trois tomes, est une actualisation de l’édition 2020 : le premier tome pour la Mer du Nord, la Manche et l’Atlantique, le deuxième tome pour la Méditerranée, et le troisième tome pour la l'outre-mer. 1. Introduction 2. Définitions 2.1 Analyse vague par vague 2.2 Analyse spectrale 3. Rappel théorique 3.1 Analyse vague par vague (ou analyse temporelle) 3.2 Analyse spectrale 3.2.1 Spectre de variance non directionnel 3.2.3 Spectre directionnel de variance 4. La mesure 4.1 Le réseau de mesures CANDHIS 4.2 Les appareils de mesure 4.3 État des données 4.3.1 Avertissement quant à l’usage des données 4.3.2 Pas de mesure des paramètres d’états de mer 4.4 Contrôle des données 4.4.1 Premier niveau de contrôle 4.4.2 Deuxième niveau de contrôle 5. Présentation des résultats 5.1 Convention d’unités 5.2 Informations générales 5.3 Climatologie moyenne 5.4 Analyse des valeurs extrêmes 5.4.1 Méthodologie 5.4.2 Interprétation 5.5 Sélection des événements remarquables 5.5.1 Méthodologie 5.5.2 Interprétation Annexes : les fiches synthétiques
  168. Edition (Ceremadoc) Etape de cartographie des surfaces inondables et des risques dans le cadre de la directive « inondations » : Rapport de la mission 5 "Inondations par submersions marines et tsunamis".

    La direction européenne relative à l'évaluation et à la gestion des inondations demande l'élaboration pour fin 2013 de cartes des zones inondables et de cartes de risques sur les secteurs identifiés comme à risques potentiels important d'inondations. Tous aléas naturels d'inondations sont concernés par ces cartographies. Ce document a pour objectif de présenter la méthodologie retenue pour les aléas submersion marine et tsunami. Pour l'aléa submersion marines, trois cartes doivent être réalisées pour trois périodicité d'événement différentes, pour des événements fréquent, moyen et extrême. La prise en compte des ouvrages est à définir en fonction de la période de l'événement et des caractéristiques des ouvrages. Les principales méthodes de cartographie sont décrites pour les événements fréquent et moyen, superposition d'un niveau marin à la topographie, estimation des volumes entrant et répartition topographique et modélisation numérique, ainsi que pour les événements extrêmes, où la confrontation de différentes approches (historique, géomorphologique, topographique, géologique) a été retenue. Les cartes existantes peuvent être ré-exploitées si elles conviennent. Il est proposé de ne pas réaliser de cartes d'aléa tsunami mais de faire une synthèse des connaissances sur les événements potentiels et les mesures de prévention existantes sur le territoire. 1 Introduction 2 Méthodologie d'élaboration des cartes d'aléa submersion marine 3 Démarche générale de l'étude d'aléa 3.1 l'analyse du fonctionnement du littoral (phase 1) 3.2 choix des événements naturels étudiés (phase 2.1) 3.3 prise en compte des ouvrages et scénarios à étudier (phase 2.1) 3.4 les méthodes de cartographie pour les événements fréquent et moyen (phase 2.2) 3.5 les méthodes de cartographie pour les événements extrêmes (phase 2.2) 3.6 résultats attendus 3.7 démarche de travail pour la mise en oeuvre de la cartographie di 4 Méthodologie d'élaboration des cartes d'aléa tsunami 5 Références bibliographiques 6 Annexes 6.1 estimation des surcotes extrêmes sur les côtes métropolitaines 6.2 éléments de cahier des charges 6.3 réflexions sur les données bathymétriques 6.4 organisation de la mission « aléas submersion marine et tsunami » 6.5 extraits des premiers éléments méthodologiques pour l'élaboration des plans de prévention des risques littoraux
  169. Edition (Ceremadoc) Exploitation d’images satellite pour le littoral : Volet III : Prototype de reconnaissance du trait de côte en tant que limite d'immersion à partir d'images satellite

    Volet I : État de l'art de l'utilisation des technologies satellitaires pour la cartographie du trait de côte et de la bathymétrie Ce rapport établit ainsi l’état de l’art de l’utilisation de l’imagerie satellitaire pour le suivi du trait de côte et la cartographie de la bathymétrie des petits fonds. Il contient en préalable une première partie pédagogique sur les notions d’imagerie satellitaire en observation de la Terre puis analyse les techniques éprouvées au travers d’une étude bibliographique réalisée en 2012. Concernant l’identification et le suivi du trait de côte, la bibliographie montre que l’utilisation de l’imagerie satellitaire permet de cartographier, sur de larges emprises géographiques, avec une fréquence élevée et un faible coût, les faciès littoraux de type eau, plage, dune, végétation, bâti et d’en extraire un marqueur de position du trait de côte de type limite d’immersion, pied de dune pour les côtes sableuses ou pied de falaise pour les côtes à falaise. Les précisions obtenues sont variables en fonction des marqueurs suivis et des types de côte, en particulier les erreurs augmentent sur les côtes rocheuses. Pour la bathymétrie des eaux peu profondes, une méthode d’inversion du signal optique satellitaire permet de fournir des cartes bathymétriques précises sur les 10 premiers mètres en eaux moyennement turbides et sur les 25 premiers mètres en eaux claires. Dans les eaux plus profondes, une méthode exploitant les propriétés de la houle permet de fournir des informations bathymétriques dans les zones de houle (de 10 à 40 m de profondeur). Ces méthodes, réalisées sur la base d’images satellite de type SPOT, ont prouvé leur efficacité et présentent l’avantage de fournir des informations continues, sur de larges zones géographiques avec une fréquence annuelle ou pluriannuelle et à faible coût. D’autres méthodes, basées sur l’altimétrie/gravimétrie et sur la technologie Lidar, sont présentées mais sont plutôt à envisager en termes de perspectives à moyen et long termes. L’extraction semi-automatique de l’information « trait de côte » à partir de l’imagerie satellitaire présente ainsi aujourd’hui une maturité suffisante pour un déploiement sur certains territoires. Elle présente des potentialités intéressantes de capacité de revisite à moindre coût, pour un suivi et une gestion intégrée du trait de côte. Volet II : Réalisation d'un prototype d'extraction du trait de côte à partir d'images satellite. Application à l'archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon Un premier rapport a ainsi établi l’état de l’art des méthodes existantes sur ces problématiques, afin d’identifier les plus prometteuses notamment en fonction des paysages rencontrés (volet I des rapports « Exploitation d’images satellite pour le littoral »). Il a conclu à la maturité de certaines techniques de reconnaissance par imagerie satellitaire de marqueurs de position du trait de côte, notamment en tant qu’interface terre-mer, c’est-à-dire limite entre deux zones présentant des caractéristiques terrestres (au-dessus du trait de côte) et maritimes (en dessous du trait de côte). Le Cerema s’est alors engagé à développer une méthodologie et un prototype qui permettraient d’extraire automatiquement la position du trait de côte en tant qu’interface de faciès terrestres et maritimes à partir d’images satellite à très haute résolution spatiale (images Pléiades). L’objectif final serait de transférer cette technologie à tout acteur qui souhaiterait utiliser les images satellite pour suivre l’évolution de la position du trait de côte, particulièrement sur les territoires macrotidaux où ce type de méthode est particulièrement adapté. Ce rapport (volet II) présente les tests opérés sur l’archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon pour développer un prototype permettant d’extraire automatiquement la position du trait de côte sur des images Pléiades obtenues dans le cadre du programme GEOSUD. Le processus d’acquisition se base sur la réalisation, par classification automatique, d’une cartographie des faciès à proximité du trait de côte puis sur l’extraction de la limite terre – mer comme frontière entre types d’occupation des sols. Le « trait de côte » ainsi obtenu a été comparé à des mesures effectuées sur le terrain. La stabilité de la méthode dans le temps a été évaluée via l’exploitation de deux images de deux années consécutives sur l’île de Saint-Pierre, en 2012 et 2013. Les travaux effectués montrent que la méthode peut conduire à des précisions de localisation de marqueurs de position du trait de côte de 2 à 3 m en moyenne lorsqu’il s’agit d’une limite de végétation ou d’érosion. Dans les autres cas (rochers, pieds de dune, gabions, galets), la technique donne des résultats plus inégaux et dans l’ensemble de moins bonne qualité. Des pistes sont proposées pour améliorer la méthode en prévision d’une évaluation plus large sur davantage de paysages et situations : utilisation de modèles numériques de terrain, exploitation d’informations issues des bases de données disponibles sur les zones étudiées (référentiels IGN par exemple) ou recours à des algorithmes de simplification de lignes. Volet III : Prototype de reconnaissance du trait de côte en tant que limite d’immersion à partir d’images satellite Un premier rapport a ainsi établi l’état de l’art des méthodes existantes sur ces problématiques, afin d’identifier les plus prometteuses notamment en fonction des paysages rencontrés (volet I des rapports « Exploitation d’images satellite pour le littoral »). Il a conclu à la maturité de certaines techniques de reconnaissance de marqueurs de position du trait de côte, notamment de la limite d’immersion (limite du jet de rive ou limite eau/non eau). Le Cerema s’est alors engagé à développer une méthodologie et un prototype qui permettraient d’extraire automatiquement la position du jet de rive à partir d’images satellite à très haute résolution spatiale (images Pléiades). L’objectif final serait de transférer cette technologie à tout acteur de la gestion intégrée du trait de côte qui souhaiterait utiliser les images satellite pour en suivre son évolution. Ce type de méthode est particulièrement adapté au suivi du trait de côte pour des territoires à faible marnage ou pour le suivi « instantané » de la position du jet de rive. Ce rapport (volet III) présente les tests opérés sur le secteur du Grau-du-Roi (30) pour développer un prototype permettant d’extraire automatiquement la position du trait de côte sur des images Pléiades à l’aide d’une méthode de type seuillage. Les marqueurs de limites hautes et basses du jet de rive extraits suivent fidèlement le jet de rive observé sur l’image satellite. Quelques rares anomalies apparaissent ponctuellement en présence de nuages ou d’ombres qui intersectent le trait de côte. Cette méthode présente les avantages d’être précise, notamment pour la limite basse du jet de rive, transférable géographiquement et relativement simple à mettre en œuvre sur un secteur géographique donné. Ces résultats montrent qu’un outil opérationnel de suivi du trait de côte à partir d’images satellite est aujourd’hui accessible en milieu microtidal. Des développements complémentaires doivent néanmoins être réalisés pour couvrir un linéaire côtier de plusieurs dizaines de kilomètres, vérifier la répétitivité temporelle des seuils fixés, développer un outil ergonomique et assurer son transfert vers des utilisateurs finaux. Un comité d’utilisateurs sera monté dans cette optique à partir de 2016. Volet I : État de l'art de l'utilisation des technologies satellitaires pour la cartographie du trait de côte et de la bathymétrie I. INTRODUCTION I.1 Contexte de l’étude I.2 Les informations géographiques recherchées II. LES SATELLITES D’OBSERVATION DE LA TERRE : QUELQUES NOTIONS II.1 Les satellites d’observation de la Terre II.2 L’exploitation des images satellites II.3 Atouts de l’imagerie satellitaire III. ÉTAT DE L’ART de la CARTOGRAPHIE DU TRAIT DE CÔTE À PARTIR D’IMAGES SATELLITES III.1 Exploitation des images satellites par photo-interprétation III.2 Extraction semi-automatique du trait de côte III.3 Détection de l’artificialisation du trait de côte III.4 Analyse de l’état de l’art IV. ÉTAT DE L’ART DES MESURES DE BATHYMETRIE PAR SATELLITE IV.1 Mesures de bathymétrie par détection des limites entre zones émergées et zones immergées IV.2 Mesures de bathymétrie par inversion du signal optique IV.3 Mesures bathymétriques par détection des crêtes de houle IV.4 Autres méthodes et perspectives IV.5 Analyse de l’état de l’art V. CONCLUSIONS VI. Annexes VI.1 Annexe 1 : Estimation de la bathymétrie par gravimétrie/altimétrie VI.2 Annexe 2 : Mesures de bathymétrie par Lidar Satellitaire Volet II : Réalisation d’un prototype d’extraction du trait de côte à partir d’images satellite. Application à l’archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon I. Introduction II. La cartographie du trait de côte par imagerie spatiale II.1 Définitions du trait de côte II.2 Cartographie du trait de côte par imagerie spatiale III. Zones d’étude III.1 L’archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon III.2 L’isthme de Miquelon-Langlade (zone A) III.3 L’île de Saint-Pierre (zone B) IV. Données disponibles IV.1 Les images Pléiades IV.2 Les levés terrain de la DTAM de Saint-Pierre-et-Miquelon IV.3 Trait de côte Histolitt® IV.4 Modèle numérique de surface V. Méthode d’extraction du trait de côte V.1 Principe général et logiciels utilisés V.2 Préparation du chantier V.3 Création et sélection des indices et textures V.4 Classifications des images V.5 Extraction du trait de côte V.6 Évaluation des résultats VI. Synthèse des résultats VI.1 Classifications VI.2 Trait de côte extrait VII. Bilan VII.1 Analyse de la performance du prototype développé VII.2 Perspectives VII.3 Conclusion VIII. Annexe : Résultats complets VIII.1 Zone A Isthme de Miquelon-Langlade VIII.2 Zone B1 Etang VIII.3 Zone B2 Aéroport VIII.4 Zone B3 Ile aux Marins Volet III : Prototype de reconnaissance du trait de côte en tant que limite d’immersion à partir d’images satellite I. Contexte et objectif II. Contexte géomatique II.1 Site d’étude II.2 Données disponibles III. Extraction du jet de rive III.1 Principe de la méthode III.2 Traitement de l’image Pléiades IV. Analyse des résultats IV.1 Analyse visuelle IV.2 Analyse quantitative : comparaison au trait de côte digitalisé sur l’Ortho Littorale V2 V. CONCLUSIONS
  170. Edition (Ceremadoc) Exploitation d’images satellite pour le littoral : Volet I : État de l'art de l'utilisation des technologies satellitaires pour la cartographie du trait de côte et de la bathymétrie

    Volet I : État de l'art de l'utilisation des technologies satellitaires pour la cartographie du trait de côte et de la bathymétrie Ce rapport établit ainsi l’état de l’art de l’utilisation de l’imagerie satellitaire pour le suivi du trait de côte et la cartographie de la bathymétrie des petits fonds. Il contient en préalable une première partie pédagogique sur les notions d’imagerie satellitaire en observation de la Terre puis analyse les techniques éprouvées au travers d’une étude bibliographique réalisée en 2012. Concernant l’identification et le suivi du trait de côte, la bibliographie montre que l’utilisation de l’imagerie satellitaire permet de cartographier, sur de larges emprises géographiques, avec une fréquence élevée et un faible coût, les faciès littoraux de type eau, plage, dune, végétation, bâti et d’en extraire un marqueur de position du trait de côte de type limite d’immersion, pied de dune pour les côtes sableuses ou pied de falaise pour les côtes à falaise. Les précisions obtenues sont variables en fonction des marqueurs suivis et des types de côte, en particulier les erreurs augmentent sur les côtes rocheuses. Pour la bathymétrie des eaux peu profondes, une méthode d’inversion du signal optique satellitaire permet de fournir des cartes bathymétriques précises sur les 10 premiers mètres en eaux moyennement turbides et sur les 25 premiers mètres en eaux claires. Dans les eaux plus profondes, une méthode exploitant les propriétés de la houle permet de fournir des informations bathymétriques dans les zones de houle (de 10 à 40 m de profondeur). Ces méthodes, réalisées sur la base d’images satellite de type SPOT, ont prouvé leur efficacité et présentent l’avantage de fournir des informations continues, sur de larges zones géographiques avec une fréquence annuelle ou pluriannuelle et à faible coût. D’autres méthodes, basées sur l’altimétrie/gravimétrie et sur la technologie Lidar, sont présentées mais sont plutôt à envisager en termes de perspectives à moyen et long termes. L’extraction semi-automatique de l’information « trait de côte » à partir de l’imagerie satellitaire présente ainsi aujourd’hui une maturité suffisante pour un déploiement sur certains territoires. Elle présente des potentialités intéressantes de capacité de revisite à moindre coût, pour un suivi et une gestion intégrée du trait de côte. Volet II : Réalisation d'un prototype d'extraction du trait de côte à partir d'images satellite. Application à l'archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon Un premier rapport a ainsi établi l’état de l’art des méthodes existantes sur ces problématiques, afin d’identifier les plus prometteuses notamment en fonction des paysages rencontrés (volet I des rapports « Exploitation d’images satellite pour le littoral »). Il a conclu à la maturité de certaines techniques de reconnaissance par imagerie satellitaire de marqueurs de position du trait de côte, notamment en tant qu’interface terre-mer, c’est-à-dire limite entre deux zones présentant des caractéristiques terrestres (au-dessus du trait de côte) et maritimes (en dessous du trait de côte). Le Cerema s’est alors engagé à développer une méthodologie et un prototype qui permettraient d’extraire automatiquement la position du trait de côte en tant qu’interface de faciès terrestres et maritimes à partir d’images satellite à très haute résolution spatiale (images Pléiades). L’objectif final serait de transférer cette technologie à tout acteur qui souhaiterait utiliser les images satellite pour suivre l’évolution de la position du trait de côte, particulièrement sur les territoires macrotidaux où ce type de méthode est particulièrement adapté. Ce rapport (volet II) présente les tests opérés sur l’archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon pour développer un prototype permettant d’extraire automatiquement la position du trait de côte sur des images Pléiades obtenues dans le cadre du programme GEOSUD. Le processus d’acquisition se base sur la réalisation, par classification automatique, d’une cartographie des faciès à proximité du trait de côte puis sur l’extraction de la limite terre – mer comme frontière entre types d’occupation des sols. Le « trait de côte » ainsi obtenu a été comparé à des mesures effectuées sur le terrain. La stabilité de la méthode dans le temps a été évaluée via l’exploitation de deux images de deux années consécutives sur l’île de Saint-Pierre, en 2012 et 2013. Les travaux effectués montrent que la méthode peut conduire à des précisions de localisation de marqueurs de position du trait de côte de 2 à 3 m en moyenne lorsqu’il s’agit d’une limite de végétation ou d’érosion. Dans les autres cas (rochers, pieds de dune, gabions, galets), la technique donne des résultats plus inégaux et dans l’ensemble de moins bonne qualité. Des pistes sont proposées pour améliorer la méthode en prévision d’une évaluation plus large sur davantage de paysages et situations : utilisation de modèles numériques de terrain, exploitation d’informations issues des bases de données disponibles sur les zones étudiées (référentiels IGN par exemple) ou recours à des algorithmes de simplification de lignes. Volet III : Prototype de reconnaissance du trait de côte en tant que limite d’immersion à partir d’images satellite Un premier rapport a ainsi établi l’état de l’art des méthodes existantes sur ces problématiques, afin d’identifier les plus prometteuses notamment en fonction des paysages rencontrés (volet I des rapports « Exploitation d’images satellite pour le littoral »). Il a conclu à la maturité de certaines techniques de reconnaissance de marqueurs de position du trait de côte, notamment de la limite d’immersion (limite du jet de rive ou limite eau/non eau). Le Cerema s’est alors engagé à développer une méthodologie et un prototype qui permettraient d’extraire automatiquement la position du jet de rive à partir d’images satellite à très haute résolution spatiale (images Pléiades). L’objectif final serait de transférer cette technologie à tout acteur de la gestion intégrée du trait de côte qui souhaiterait utiliser les images satellite pour en suivre son évolution. Ce type de méthode est particulièrement adapté au suivi du trait de côte pour des territoires à faible marnage ou pour le suivi « instantané » de la position du jet de rive. Ce rapport (volet III) présente les tests opérés sur le secteur du Grau-du-Roi (30) pour développer un prototype permettant d’extraire automatiquement la position du trait de côte sur des images Pléiades à l’aide d’une méthode de type seuillage. Les marqueurs de limites hautes et basses du jet de rive extraits suivent fidèlement le jet de rive observé sur l’image satellite. Quelques rares anomalies apparaissent ponctuellement en présence de nuages ou d’ombres qui intersectent le trait de côte. Cette méthode présente les avantages d’être précise, notamment pour la limite basse du jet de rive, transférable géographiquement et relativement simple à mettre en œuvre sur un secteur géographique donné. Ces résultats montrent qu’un outil opérationnel de suivi du trait de côte à partir d’images satellite est aujourd’hui accessible en milieu microtidal. Des développements complémentaires doivent néanmoins être réalisés pour couvrir un linéaire côtier de plusieurs dizaines de kilomètres, vérifier la répétitivité temporelle des seuils fixés, développer un outil ergonomique et assurer son transfert vers des utilisateurs finaux. Un comité d’utilisateurs sera monté dans cette optique à partir de 2016. Volet I : État de l'art de l'utilisation des technologies satellitaires pour la cartographie du trait de côte et de la bathymétrie I. INTRODUCTION I.1 Contexte de l’étude I.2 Les informations géographiques recherchées II. LES SATELLITES D’OBSERVATION DE LA TERRE : QUELQUES NOTIONS II.1 Les satellites d’observation de la Terre II.2 L’exploitation des images satellites II.3 Atouts de l’imagerie satellitaire III. ÉTAT DE L’ART de la CARTOGRAPHIE DU TRAIT DE CÔTE À PARTIR D’IMAGES SATELLITES III.1 Exploitation des images satellites par photo-interprétation III.2 Extraction semi-automatique du trait de côte III.3 Détection de l’artificialisation du trait de côte III.4 Analyse de l’état de l’art IV. ÉTAT DE L’ART DES MESURES DE BATHYMETRIE PAR SATELLITE IV.1 Mesures de bathymétrie par détection des limites entre zones émergées et zones immergées IV.2 Mesures de bathymétrie par inversion du signal optique IV.3 Mesures bathymétriques par détection des crêtes de houle IV.4 Autres méthodes et perspectives IV.5 Analyse de l’état de l’art V. CONCLUSIONS VI. Annexes VI.1 Annexe 1 : Estimation de la bathymétrie par gravimétrie/altimétrie VI.2 Annexe 2 : Mesures de bathymétrie par Lidar Satellitaire Volet II : Réalisation d’un prototype d’extraction du trait de côte à partir d’images satellite. Application à l’archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon I. Introduction II. La cartographie du trait de côte par imagerie spatiale II.1 Définitions du trait de côte II.2 Cartographie du trait de côte par imagerie spatiale III. Zones d’étude III.1 L’archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon III.2 L’isthme de Miquelon-Langlade (zone A) III.3 L’île de Saint-Pierre (zone B) IV. Données disponibles IV.1 Les images Pléiades IV.2 Les levés terrain de la DTAM de Saint-Pierre-et-Miquelon IV.3 Trait de côte Histolitt® IV.4 Modèle numérique de surface V. Méthode d’extraction du trait de côte V.1 Principe général et logiciels utilisés V.2 Préparation du chantier V.3 Création et sélection des indices et textures V.4 Classifications des images V.5 Extraction du trait de côte V.6 Évaluation des résultats VI. Synthèse des résultats VI.1 Classifications VI.2 Trait de côte extrait VII. Bilan VII.1 Analyse de la performance du prototype développé VII.2 Perspectives VII.3 Conclusion VIII. Annexe : Résultats complets VIII.1 Zone A Isthme de Miquelon-Langlade VIII.2 Zone B1 Etang VIII.3 Zone B2 Aéroport VIII.4 Zone B3 Ile aux Marins Volet III : Prototype de reconnaissance du trait de côte en tant que limite d’immersion à partir d’images satellite I. Contexte et objectif II. Contexte géomatique II.1 Site d’étude II.2 Données disponibles III. Extraction du jet de rive III.1 Principe de la méthode III.2 Traitement de l’image Pléiades IV. Analyse des résultats IV.1 Analyse visuelle IV.2 Analyse quantitative : comparaison au trait de côte digitalisé sur l’Ortho Littorale V2 V. CONCLUSIONS
  171. Edition (Ceremadoc) Exploitation d’images satellite pour le littoral : Volet I : État de l'art de l'utilisation des technologies satellitaires pour la cartographie du trait de côte et de la bathymétrie

    Volet I : État de l'art de l'utilisation des technologies satellitaires pour la cartographie du trait de côte et de la bathymétrie Ce rapport établit ainsi l’état de l’art de l’utilisation de l’imagerie satellitaire pour le suivi du trait de côte et la cartographie de la bathymétrie des petits fonds. Il contient en préalable une première partie pédagogique sur les notions d’imagerie satellitaire en observation de la Terre puis analyse les techniques éprouvées au travers d’une étude bibliographique réalisée en 2012. Concernant l’identification et le suivi du trait de côte, la bibliographie montre que l’utilisation de l’imagerie satellitaire permet de cartographier, sur de larges emprises géographiques, avec une fréquence élevée et un faible coût, les faciès littoraux de type eau, plage, dune, végétation, bâti et d’en extraire un marqueur de position du trait de côte de type limite d’immersion, pied de dune pour les côtes sableuses ou pied de falaise pour les côtes à falaise. Les précisions obtenues sont variables en fonction des marqueurs suivis et des types de côte, en particulier les erreurs augmentent sur les côtes rocheuses. Pour la bathymétrie des eaux peu profondes, une méthode d’inversion du signal optique satellitaire permet de fournir des cartes bathymétriques précises sur les 10 premiers mètres en eaux moyennement turbides et sur les 25 premiers mètres en eaux claires. Dans les eaux plus profondes, une méthode exploitant les propriétés de la houle permet de fournir des informations bathymétriques dans les zones de houle (de 10 à 40 m de profondeur). Ces méthodes, réalisées sur la base d’images satellite de type SPOT, ont prouvé leur efficacité et présentent l’avantage de fournir des informations continues, sur de larges zones géographiques avec une fréquence annuelle ou pluriannuelle et à faible coût. D’autres méthodes, basées sur l’altimétrie/gravimétrie et sur la technologie Lidar, sont présentées mais sont plutôt à envisager en termes de perspectives à moyen et long termes. L’extraction semi-automatique de l’information « trait de côte » à partir de l’imagerie satellitaire présente ainsi aujourd’hui une maturité suffisante pour un déploiement sur certains territoires. Elle présente des potentialités intéressantes de capacité de revisite à moindre coût, pour un suivi et une gestion intégrée du trait de côte. Volet II : Réalisation d'un prototype d'extraction du trait de côte à partir d'images satellite. Application à l'archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon Un premier rapport a ainsi établi l’état de l’art des méthodes existantes sur ces problématiques, afin d’identifier les plus prometteuses notamment en fonction des paysages rencontrés (volet I des rapports « Exploitation d’images satellite pour le littoral »). Il a conclu à la maturité de certaines techniques de reconnaissance par imagerie satellitaire de marqueurs de position du trait de côte, notamment en tant qu’interface terre-mer, c’est-à-dire limite entre deux zones présentant des caractéristiques terrestres (au-dessus du trait de côte) et maritimes (en dessous du trait de côte). Le Cerema s’est alors engagé à développer une méthodologie et un prototype qui permettraient d’extraire automatiquement la position du trait de côte en tant qu’interface de faciès terrestres et maritimes à partir d’images satellite à très haute résolution spatiale (images Pléiades). L’objectif final serait de transférer cette technologie à tout acteur qui souhaiterait utiliser les images satellite pour suivre l’évolution de la position du trait de côte, particulièrement sur les territoires macrotidaux où ce type de méthode est particulièrement adapté. Ce rapport (volet II) présente les tests opérés sur l’archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon pour développer un prototype permettant d’extraire automatiquement la position du trait de côte sur des images Pléiades obtenues dans le cadre du programme GEOSUD. Le processus d’acquisition se base sur la réalisation, par classification automatique, d’une cartographie des faciès à proximité du trait de côte puis sur l’extraction de la limite terre – mer comme frontière entre types d’occupation des sols. Le « trait de côte » ainsi obtenu a été comparé à des mesures effectuées sur le terrain. La stabilité de la méthode dans le temps a été évaluée via l’exploitation de deux images de deux années consécutives sur l’île de Saint-Pierre, en 2012 et 2013. Les travaux effectués montrent que la méthode peut conduire à des précisions de localisation de marqueurs de position du trait de côte de 2 à 3 m en moyenne lorsqu’il s’agit d’une limite de végétation ou d’érosion. Dans les autres cas (rochers, pieds de dune, gabions, galets), la technique donne des résultats plus inégaux et dans l’ensemble de moins bonne qualité. Des pistes sont proposées pour améliorer la méthode en prévision d’une évaluation plus large sur davantage de paysages et situations : utilisation de modèles numériques de terrain, exploitation d’informations issues des bases de données disponibles sur les zones étudiées (référentiels IGN par exemple) ou recours à des algorithmes de simplification de lignes. Volet III : Prototype de reconnaissance du trait de côte en tant que limite d’immersion à partir d’images satellite Un premier rapport a ainsi établi l’état de l’art des méthodes existantes sur ces problématiques, afin d’identifier les plus prometteuses notamment en fonction des paysages rencontrés (volet I des rapports « Exploitation d’images satellite pour le littoral »). Il a conclu à la maturité de certaines techniques de reconnaissance de marqueurs de position du trait de côte, notamment de la limite d’immersion (limite du jet de rive ou limite eau/non eau). Le Cerema s’est alors engagé à développer une méthodologie et un prototype qui permettraient d’extraire automatiquement la position du jet de rive à partir d’images satellite à très haute résolution spatiale (images Pléiades). L’objectif final serait de transférer cette technologie à tout acteur de la gestion intégrée du trait de côte qui souhaiterait utiliser les images satellite pour en suivre son évolution. Ce type de méthode est particulièrement adapté au suivi du trait de côte pour des territoires à faible marnage ou pour le suivi « instantané » de la position du jet de rive. Ce rapport (volet III) présente les tests opérés sur le secteur du Grau-du-Roi (30) pour développer un prototype permettant d’extraire automatiquement la position du trait de côte sur des images Pléiades à l’aide d’une méthode de type seuillage. Les marqueurs de limites hautes et basses du jet de rive extraits suivent fidèlement le jet de rive observé sur l’image satellite. Quelques rares anomalies apparaissent ponctuellement en présence de nuages ou d’ombres qui intersectent le trait de côte. Cette méthode présente les avantages d’être précise, notamment pour la limite basse du jet de rive, transférable géographiquement et relativement simple à mettre en œuvre sur un secteur géographique donné. Ces résultats montrent qu’un outil opérationnel de suivi du trait de côte à partir d’images satellite est aujourd’hui accessible en milieu microtidal. Des développements complémentaires doivent néanmoins être réalisés pour couvrir un linéaire côtier de plusieurs dizaines de kilomètres, vérifier la répétitivité temporelle des seuils fixés, développer un outil ergonomique et assurer son transfert vers des utilisateurs finaux. Un comité d’utilisateurs sera monté dans cette optique à partir de 2016. Volet I : État de l'art de l'utilisation des technologies satellitaires pour la cartographie du trait de côte et de la bathymétrie I. INTRODUCTION I.1 Contexte de l’étude I.2 Les informations géographiques recherchées II. LES SATELLITES D’OBSERVATION DE LA TERRE : QUELQUES NOTIONS II.1 Les satellites d’observation de la Terre II.2 L’exploitation des images satellites II.3 Atouts de l’imagerie satellitaire III. ÉTAT DE L’ART de la CARTOGRAPHIE DU TRAIT DE CÔTE À PARTIR D’IMAGES SATELLITES III.1 Exploitation des images satellites par photo-interprétation III.2 Extraction semi-automatique du trait de côte III.3 Détection de l’artificialisation du trait de côte III.4 Analyse de l’état de l’art IV. ÉTAT DE L’ART DES MESURES DE BATHYMETRIE PAR SATELLITE IV.1 Mesures de bathymétrie par détection des limites entre zones émergées et zones immergées IV.2 Mesures de bathymétrie par inversion du signal optique IV.3 Mesures bathymétriques par détection des crêtes de houle IV.4 Autres méthodes et perspectives IV.5 Analyse de l’état de l’art V. CONCLUSIONS VI. Annexes VI.1 Annexe 1 : Estimation de la bathymétrie par gravimétrie/altimétrie VI.2 Annexe 2 : Mesures de bathymétrie par Lidar Satellitaire Volet II : Réalisation d’un prototype d’extraction du trait de côte à partir d’images satellite. Application à l’archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon I. Introduction II. La cartographie du trait de côte par imagerie spatiale II.1 Définitions du trait de côte II.2 Cartographie du trait de côte par imagerie spatiale III. Zones d’étude III.1 L’archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon III.2 L’isthme de Miquelon-Langlade (zone A) III.3 L’île de Saint-Pierre (zone B) IV. Données disponibles IV.1 Les images Pléiades IV.2 Les levés terrain de la DTAM de Saint-Pierre-et-Miquelon IV.3 Trait de côte Histolitt® IV.4 Modèle numérique de surface V. Méthode d’extraction du trait de côte V.1 Principe général et logiciels utilisés V.2 Préparation du chantier V.3 Création et sélection des indices et textures V.4 Classifications des images V.5 Extraction du trait de côte V.6 Évaluation des résultats VI. Synthèse des résultats VI.1 Classifications VI.2 Trait de côte extrait VII. Bilan VII.1 Analyse de la performance du prototype développé VII.2 Perspectives VII.3 Conclusion VIII. Annexe : Résultats complets VIII.1 Zone A Isthme de Miquelon-Langlade VIII.2 Zone B1 Etang VIII.3 Zone B2 Aéroport VIII.4 Zone B3 Ile aux Marins Volet III : Prototype de reconnaissance du trait de côte en tant que limite d’immersion à partir d’images satellite I. Contexte et objectif II. Contexte géomatique II.1 Site d’étude II.2 Données disponibles III. Extraction du jet de rive III.1 Principe de la méthode III.2 Traitement de l’image Pléiades IV. Analyse des résultats IV.1 Analyse visuelle IV.2 Analyse quantitative : comparaison au trait de côte digitalisé sur l’Ortho Littorale V2 V. CONCLUSIONS
  172. Edition (Ceremadoc) Exploitation d’images satellite pour le littoral : Volet III : Prototype de reconnaissance du trait de côte en tant que limite d'immersion à partir d'images satellite

    Volet I : État de l'art de l'utilisation des technologies satellitaires pour la cartographie du trait de côte et de la bathymétrie Ce rapport établit ainsi l’état de l’art de l’utilisation de l’imagerie satellitaire pour le suivi du trait de côte et la cartographie de la bathymétrie des petits fonds. Il contient en préalable une première partie pédagogique sur les notions d’imagerie satellitaire en observation de la Terre puis analyse les techniques éprouvées au travers d’une étude bibliographique réalisée en 2012. Concernant l’identification et le suivi du trait de côte, la bibliographie montre que l’utilisation de l’imagerie satellitaire permet de cartographier, sur de larges emprises géographiques, avec une fréquence élevée et un faible coût, les faciès littoraux de type eau, plage, dune, végétation, bâti et d’en extraire un marqueur de position du trait de côte de type limite d’immersion, pied de dune pour les côtes sableuses ou pied de falaise pour les côtes à falaise. Les précisions obtenues sont variables en fonction des marqueurs suivis et des types de côte, en particulier les erreurs augmentent sur les côtes rocheuses. Pour la bathymétrie des eaux peu profondes, une méthode d’inversion du signal optique satellitaire permet de fournir des cartes bathymétriques précises sur les 10 premiers mètres en eaux moyennement turbides et sur les 25 premiers mètres en eaux claires. Dans les eaux plus profondes, une méthode exploitant les propriétés de la houle permet de fournir des informations bathymétriques dans les zones de houle (de 10 à 40 m de profondeur). Ces méthodes, réalisées sur la base d’images satellite de type SPOT, ont prouvé leur efficacité et présentent l’avantage de fournir des informations continues, sur de larges zones géographiques avec une fréquence annuelle ou pluriannuelle et à faible coût. D’autres méthodes, basées sur l’altimétrie/gravimétrie et sur la technologie Lidar, sont présentées mais sont plutôt à envisager en termes de perspectives à moyen et long termes. L’extraction semi-automatique de l’information « trait de côte » à partir de l’imagerie satellitaire présente ainsi aujourd’hui une maturité suffisante pour un déploiement sur certains territoires. Elle présente des potentialités intéressantes de capacité de revisite à moindre coût, pour un suivi et une gestion intégrée du trait de côte. Volet II : Réalisation d'un prototype d'extraction du trait de côte à partir d'images satellite. Application à l'archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon Un premier rapport a ainsi établi l’état de l’art des méthodes existantes sur ces problématiques, afin d’identifier les plus prometteuses notamment en fonction des paysages rencontrés (volet I des rapports « Exploitation d’images satellite pour le littoral »). Il a conclu à la maturité de certaines techniques de reconnaissance par imagerie satellitaire de marqueurs de position du trait de côte, notamment en tant qu’interface terre-mer, c’est-à-dire limite entre deux zones présentant des caractéristiques terrestres (au-dessus du trait de côte) et maritimes (en dessous du trait de côte). Le Cerema s’est alors engagé à développer une méthodologie et un prototype qui permettraient d’extraire automatiquement la position du trait de côte en tant qu’interface de faciès terrestres et maritimes à partir d’images satellite à très haute résolution spatiale (images Pléiades). L’objectif final serait de transférer cette technologie à tout acteur qui souhaiterait utiliser les images satellite pour suivre l’évolution de la position du trait de côte, particulièrement sur les territoires macrotidaux où ce type de méthode est particulièrement adapté. Ce rapport (volet II) présente les tests opérés sur l’archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon pour développer un prototype permettant d’extraire automatiquement la position du trait de côte sur des images Pléiades obtenues dans le cadre du programme GEOSUD. Le processus d’acquisition se base sur la réalisation, par classification automatique, d’une cartographie des faciès à proximité du trait de côte puis sur l’extraction de la limite terre – mer comme frontière entre types d’occupation des sols. Le « trait de côte » ainsi obtenu a été comparé à des mesures effectuées sur le terrain. La stabilité de la méthode dans le temps a été évaluée via l’exploitation de deux images de deux années consécutives sur l’île de Saint-Pierre, en 2012 et 2013. Les travaux effectués montrent que la méthode peut conduire à des précisions de localisation de marqueurs de position du trait de côte de 2 à 3 m en moyenne lorsqu’il s’agit d’une limite de végétation ou d’érosion. Dans les autres cas (rochers, pieds de dune, gabions, galets), la technique donne des résultats plus inégaux et dans l’ensemble de moins bonne qualité. Des pistes sont proposées pour améliorer la méthode en prévision d’une évaluation plus large sur davantage de paysages et situations : utilisation de modèles numériques de terrain, exploitation d’informations issues des bases de données disponibles sur les zones étudiées (référentiels IGN par exemple) ou recours à des algorithmes de simplification de lignes. Volet III : Prototype de reconnaissance du trait de côte en tant que limite d’immersion à partir d’images satellite Un premier rapport a ainsi établi l’état de l’art des méthodes existantes sur ces problématiques, afin d’identifier les plus prometteuses notamment en fonction des paysages rencontrés (volet I des rapports « Exploitation d’images satellite pour le littoral »). Il a conclu à la maturité de certaines techniques de reconnaissance de marqueurs de position du trait de côte, notamment de la limite d’immersion (limite du jet de rive ou limite eau/non eau). Le Cerema s’est alors engagé à développer une méthodologie et un prototype qui permettraient d’extraire automatiquement la position du jet de rive à partir d’images satellite à très haute résolution spatiale (images Pléiades). L’objectif final serait de transférer cette technologie à tout acteur de la gestion intégrée du trait de côte qui souhaiterait utiliser les images satellite pour en suivre son évolution. Ce type de méthode est particulièrement adapté au suivi du trait de côte pour des territoires à faible marnage ou pour le suivi « instantané » de la position du jet de rive. Ce rapport (volet III) présente les tests opérés sur le secteur du Grau-du-Roi (30) pour développer un prototype permettant d’extraire automatiquement la position du trait de côte sur des images Pléiades à l’aide d’une méthode de type seuillage. Les marqueurs de limites hautes et basses du jet de rive extraits suivent fidèlement le jet de rive observé sur l’image satellite. Quelques rares anomalies apparaissent ponctuellement en présence de nuages ou d’ombres qui intersectent le trait de côte. Cette méthode présente les avantages d’être précise, notamment pour la limite basse du jet de rive, transférable géographiquement et relativement simple à mettre en œuvre sur un secteur géographique donné. Ces résultats montrent qu’un outil opérationnel de suivi du trait de côte à partir d’images satellite est aujourd’hui accessible en milieu microtidal. Des développements complémentaires doivent néanmoins être réalisés pour couvrir un linéaire côtier de plusieurs dizaines de kilomètres, vérifier la répétitivité temporelle des seuils fixés, développer un outil ergonomique et assurer son transfert vers des utilisateurs finaux. Un comité d’utilisateurs sera monté dans cette optique à partir de 2016. Volet I : État de l'art de l'utilisation des technologies satellitaires pour la cartographie du trait de côte et de la bathymétrie I. INTRODUCTION I.1 Contexte de l’étude I.2 Les informations géographiques recherchées II. LES SATELLITES D’OBSERVATION DE LA TERRE : QUELQUES NOTIONS II.1 Les satellites d’observation de la Terre II.2 L’exploitation des images satellites II.3 Atouts de l’imagerie satellitaire III. ÉTAT DE L’ART de la CARTOGRAPHIE DU TRAIT DE CÔTE À PARTIR D’IMAGES SATELLITES III.1 Exploitation des images satellites par photo-interprétation III.2 Extraction semi-automatique du trait de côte III.3 Détection de l’artificialisation du trait de côte III.4 Analyse de l’état de l’art IV. ÉTAT DE L’ART DES MESURES DE BATHYMETRIE PAR SATELLITE IV.1 Mesures de bathymétrie par détection des limites entre zones émergées et zones immergées IV.2 Mesures de bathymétrie par inversion du signal optique IV.3 Mesures bathymétriques par détection des crêtes de houle IV.4 Autres méthodes et perspectives IV.5 Analyse de l’état de l’art V. CONCLUSIONS VI. Annexes VI.1 Annexe 1 : Estimation de la bathymétrie par gravimétrie/altimétrie VI.2 Annexe 2 : Mesures de bathymétrie par Lidar Satellitaire Volet II : Réalisation d’un prototype d’extraction du trait de côte à partir d’images satellite. Application à l’archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon I. Introduction II. La cartographie du trait de côte par imagerie spatiale II.1 Définitions du trait de côte II.2 Cartographie du trait de côte par imagerie spatiale III. Zones d’étude III.1 L’archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon III.2 L’isthme de Miquelon-Langlade (zone A) III.3 L’île de Saint-Pierre (zone B) IV. Données disponibles IV.1 Les images Pléiades IV.2 Les levés terrain de la DTAM de Saint-Pierre-et-Miquelon IV.3 Trait de côte Histolitt® IV.4 Modèle numérique de surface V. Méthode d’extraction du trait de côte V.1 Principe général et logiciels utilisés V.2 Préparation du chantier V.3 Création et sélection des indices et textures V.4 Classifications des images V.5 Extraction du trait de côte V.6 Évaluation des résultats VI. Synthèse des résultats VI.1 Classifications VI.2 Trait de côte extrait VII. Bilan VII.1 Analyse de la performance du prototype développé VII.2 Perspectives VII.3 Conclusion VIII. Annexe : Résultats complets VIII.1 Zone A Isthme de Miquelon-Langlade VIII.2 Zone B1 Etang VIII.3 Zone B2 Aéroport VIII.4 Zone B3 Ile aux Marins Volet III : Prototype de reconnaissance du trait de côte en tant que limite d’immersion à partir d’images satellite I. Contexte et objectif II. Contexte géomatique II.1 Site d’étude II.2 Données disponibles III. Extraction du jet de rive III.1 Principe de la méthode III.2 Traitement de l’image Pléiades IV. Analyse des résultats IV.1 Analyse visuelle IV.2 Analyse quantitative : comparaison au trait de côte digitalisé sur l’Ortho Littorale V2 V. CONCLUSIONS
  173. Edition (Ceremadoc) Etape de cartographie des surfaces inondables et des risques dans le cadre de la directive « inondations » : Rapport de la mission 5 "Inondations par submersions marines et tsunamis".

    La direction européenne relative à l'évaluation et à la gestion des inondations demande l'élaboration pour fin 2013 de cartes des zones inondables et de cartes de risques sur les secteurs identifiés comme à risques potentiels important d'inondations. Tous aléas naturels d'inondations sont concernés par ces cartographies. Ce document a pour objectif de présenter la méthodologie retenue pour les aléas submersion marine et tsunami. Pour l'aléa submersion marines, trois cartes doivent être réalisées pour trois périodicité d'événement différentes, pour des événements fréquent, moyen et extrême. La prise en compte des ouvrages est à définir en fonction de la période de l'événement et des caractéristiques des ouvrages. Les principales méthodes de cartographie sont décrites pour les événements fréquent et moyen, superposition d'un niveau marin à la topographie, estimation des volumes entrant et répartition topographique et modélisation numérique, ainsi que pour les événements extrêmes, où la confrontation de différentes approches (historique, géomorphologique, topographique, géologique) a été retenue. Les cartes existantes peuvent être ré-exploitées si elles conviennent. Il est proposé de ne pas réaliser de cartes d'aléa tsunami mais de faire une synthèse des connaissances sur les événements potentiels et les mesures de prévention existantes sur le territoire. 1 Introduction 2 Méthodologie d'élaboration des cartes d'aléa submersion marine 3 Démarche générale de l'étude d'aléa 3.1 l'analyse du fonctionnement du littoral (phase 1) 3.2 choix des événements naturels étudiés (phase 2.1) 3.3 prise en compte des ouvrages et scénarios à étudier (phase 2.1) 3.4 les méthodes de cartographie pour les événements fréquent et moyen (phase 2.2) 3.5 les méthodes de cartographie pour les événements extrêmes (phase 2.2) 3.6 résultats attendus 3.7 démarche de travail pour la mise en oeuvre de la cartographie di 4 Méthodologie d'élaboration des cartes d'aléa tsunami 5 Références bibliographiques 6 Annexes 6.1 estimation des surcotes extrêmes sur les côtes métropolitaines 6.2 éléments de cahier des charges 6.3 réflexions sur les données bathymétriques 6.4 organisation de la mission « aléas submersion marine et tsunami » 6.5 extraits des premiers éléments méthodologiques pour l'élaboration des plans de prévention des risques littoraux
  174. Edition (Ceremadoc) Fiches synthétiques de mesure des états de mer du réseau CANDHIS-MAJ 2020 : Tome 3 - Outre-mer

    Ce catalogue est un support à la diffusion des données. Il présente les informations disponibles et leurs traitements et pour chaque campagne une analyse complète des données sur toute la durée des observations disponibles. Cela comprend des informations générales, l’établissement des climatologies moyennes, l’analyse des valeurs extrêmes et un zoom sur les caractéristiques des états de mer observés lors des événements les plus marquants. Ce catalogue est destiné aux bureaux d’ingénierie, aux services de l’État ou des collectivités, aux organismes de recherche, et plus généralement à ceux qui travaillent de près ou de loin sur les états de mer. Ce catalogue, composé de trois tomes, est une actualisation de l’édition 2020 : le premier tome pour la Mer du Nord, la Manche et l’Atlantique, le deuxième tome pour la Méditerranée, et le troisième tome pour la l'outre-mer. 1. Introduction 2. Définitions 2.1 Analyse vague par vague 2.2 Analyse spectrale 3. Rappel théorique 3.1 Analyse vague par vague (ou analyse temporelle) 3.2 Analyse spectrale 3.2.1 Spectre de variance non directionnel 3.2.3 Spectre directionnel de variance 4. La mesure 4.1 Le réseau de mesures CANDHIS 4.2 Les appareils de mesure 4.3 État des données 4.3.1 Avertissement quant à l’usage des données 4.3.2 Pas de mesure des paramètres d’états de mer 4.4 Contrôle des données 4.4.1 Premier niveau de contrôle 4.4.2 Deuxième niveau de contrôle 5. Présentation des résultats 5.1 Convention d’unités 5.2 Informations générales 5.3 Climatologie moyenne 5.4 Analyse des valeurs extrêmes 5.4.1 Méthodologie 5.4.2 Interprétation 5.5 Sélection des événements remarquables 5.5.1 Méthodologie 5.5.2 Interprétation Annexes : les fiches synthétiques
  175. Edition (Ceremadoc) Fiches synthétiques de mesure des états de mer du réseau CANDHIS-MAJ 2020 : Tome 1 - Mer du Nord, Manche et Atlantique

    Ce catalogue est un support à la diffusion des données. Il présente les informations disponibles et leurs traitements et pour chaque campagne une analyse complète des données sur toute la durée des observations disponibles. Cela comprend des informations générales, l’établissement des climatologies moyennes, l’analyse des valeurs extrêmes et un zoom sur les caractéristiques des états de mer observés lors des événements les plus marquants. Ce catalogue est destiné aux bureaux d’ingénierie, aux services de l’État ou des collectivités, aux organismes de recherche, et plus généralement à ceux qui travaillent de près ou de loin sur les états de mer. Ce catalogue, composé de trois tomes, est une actualisation de l’édition 2020 : le premier tome pour la Mer du Nord, la Manche et l’Atlantique, le deuxième tome pour la Méditerranée, et le troisième tome pour la l'outre-mer. 1. Introduction 2. Définitions 2.1 Analyse vague par vague 2.2 Analyse spectrale 3. Rappel théorique 3.1 Analyse vague par vague (ou analyse temporelle) 3.2 Analyse spectrale 3.2.1 Spectre de variance non directionnel 3.2.3 Spectre directionnel de variance 4. La mesure 4.1 Le réseau de mesures CANDHIS 4.2 Les appareils de mesure 4.3 État des données 4.3.1 Avertissement quant à l’usage des données 4.3.2 Pas de mesure des paramètres d’états de mer 4.4 Contrôle des données 4.4.1 Premier niveau de contrôle 4.4.2 Deuxième niveau de contrôle 5. Présentation des résultats 5.1 Convention d’unités 5.2 Informations générales 5.3 Climatologie moyenne 5.4 Analyse des valeurs extrêmes 5.4.1 Méthodologie 5.4.2 Interprétation 5.5 Sélection des événements remarquables 5.5.1 Méthodologie 5.5.2 Interprétation Annexes : les fiches synthétiques
  176. Edition (Ceremadoc) Submersions marines - Plan communal de sauvegarde : il est incontournable !

    Submersion marine et plan communal de sauvegarde Ce P’tit Essentiel sur le risque submersion marine (inondation temporaire) s’adresse aux élus et décideurs des collectivités vulnérables aux submersions marines souhaitant acquérir une vision globale et une mise en perspective du plan communal de sauvegarde face à l’aléa de submersion marine. Il explique, entre autres, les méthodes mises en places pour diagnostiquer le risque d’inondation temporaire lié à une submersion marine sur chaque territoire en fonction des systèmes de protection et des épisodes de crise passés, et quelles actions mettre en place. Ce P'tit essentiel vous permet d’aller à l’essentiel en comprenant le contexte, les enjeux et la méthodologie d’action pour anticiper au mieux la gestion du risque de submersion marine. Submersion marine et inondation temporaire : Pourquoi le plan communal de sauvegarde est-il nécessaire ? Le plan communal de sauvegarde (PCS) est, pour les maires, un outil opérationnel indispensable pour gérer des crises liés , entres autres, aux tempêtes, ouragan, inondations engendrant des submersions marines. Il permet de planifier les actions des acteurs communaux de la gestion du risque en cas d’événements majeurs, naturels, technologiques ou sanitaires. Ce P'tit essentiel vous livre de manière synthétique les clés de la réglementation pour votre plan de sauvegarde communal. Gestion de crise face à l’aléa de submersion marine : Comment mieux protéger les habitants de ma commune ? Les inondations causées par submersion marine font partie des situations qui demandent une réaction communale rapide et organisée. Le maire doit donc avoir une bonne connaissance de ce phénomène et de ses conséquences sur son territoire et des dispositifs de prévision existants. Ce P'tit essentiel vous apporte les clés pour bien anticiper la gestion de crise liée à l’aléa de submersion marine. Plan communal de sauvegarde et risque de submersion marine : Comment rendre mon plan communal de sauvegarde opérationnel ? Le plan communal de sauvegarde (PCS) doit être un outil opérationnel permettant aux personnes d’anticiper de manière adéquate, efficace et rapide. Adapté à la taille de la commune, à son mode de fonctionnement et au contexte local, il nécessite une bonne connaissance du territoire impacté et une vision stratégique des actions à mener. Retrouvez de manière synthétique les 5 actions à mener pour rendre votre plan communal de sauvegarde opérationnel face aux submersions marines (inondation temporaire). Submersions marines et plan communal de sauvegarde Le contexte : Pourquoi le plan communal de sauvegarde est-il nécessaire ? Submersions marines : le plan communal de sauvegarde, essentiel à la gestion de crise Les enjeux : Comment mieux protéger les habitants de ma commune ? Anticiper la gestion de crise : bien connaître l'aléa de submersion marine La méthode : Comment rendre mon PCS opérationnel ? 5 axes pour rendre opération votre Plan de Sauvegarde Communal Mémo : Ma boîte à outils pour rédiger un PCS opérationnel
  177. Edition (Ceremadoc) Littoral - Intégrer l’évolution du trait de côte à son projet de territoire

    En France, les différents littoraux s’étendent sur près de 20 000 km et présentent des enjeux de croissance durable majeurs. L’équilibre entre développement des territoires, évolution du trait de côte et préservation des écosystèmes requiert une connaissance détaillée du milieu et de ses différents phénomènes. Quel constat sur les territoires littoraux ? Quelles tendances d'évolution sur le littoral ? Quelles étapes pour définir sa stratégie locale de gestion intégrée du trait de côte ? Les fondamentaux de la démarche
  178. Edition (Ceremadoc) Littoral - Intégrer l’évolution du trait de côte à son projet de territoire

    En France, les différents littoraux s’étendent sur près de 20 000 km et présentent des enjeux de croissance durable majeurs. L’équilibre entre développement des territoires, évolution du trait de côte et préservation des écosystèmes requiert une connaissance détaillée du milieu et de ses différents phénomènes. Quel constat sur les territoires littoraux ? Quelles tendances d'évolution sur le littoral ? Quelles étapes pour définir sa stratégie locale de gestion intégrée du trait de côte ? Les fondamentaux de la démarche
  179. Edition (Ceremadoc) Exploitation d’images satellite pour le littoral : Volet II : Réalisation d’un prototype d’extraction du trait de côte à partir d’images satellite. Application à l’archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon

    Volet I : État de l'art de l'utilisation des technologies satellitaires pour la cartographie du trait de côte et de la bathymétrie Ce rapport établit ainsi l’état de l’art de l’utilisation de l’imagerie satellitaire pour le suivi du trait de côte et la cartographie de la bathymétrie des petits fonds. Il contient en préalable une première partie pédagogique sur les notions d’imagerie satellitaire en observation de la Terre puis analyse les techniques éprouvées au travers d’une étude bibliographique réalisée en 2012. Concernant l’identification et le suivi du trait de côte, la bibliographie montre que l’utilisation de l’imagerie satellitaire permet de cartographier, sur de larges emprises géographiques, avec une fréquence élevée et un faible coût, les faciès littoraux de type eau, plage, dune, végétation, bâti et d’en extraire un marqueur de position du trait de côte de type limite d’immersion, pied de dune pour les côtes sableuses ou pied de falaise pour les côtes à falaise. Les précisions obtenues sont variables en fonction des marqueurs suivis et des types de côte, en particulier les erreurs augmentent sur les côtes rocheuses. Pour la bathymétrie des eaux peu profondes, une méthode d’inversion du signal optique satellitaire permet de fournir des cartes bathymétriques précises sur les 10 premiers mètres en eaux moyennement turbides et sur les 25 premiers mètres en eaux claires. Dans les eaux plus profondes, une méthode exploitant les propriétés de la houle permet de fournir des informations bathymétriques dans les zones de houle (de 10 à 40 m de profondeur). Ces méthodes, réalisées sur la base d’images satellite de type SPOT, ont prouvé leur efficacité et présentent l’avantage de fournir des informations continues, sur de larges zones géographiques avec une fréquence annuelle ou pluriannuelle et à faible coût. D’autres méthodes, basées sur l’altimétrie/gravimétrie et sur la technologie Lidar, sont présentées mais sont plutôt à envisager en termes de perspectives à moyen et long termes. L’extraction semi-automatique de l’information « trait de côte » à partir de l’imagerie satellitaire présente ainsi aujourd’hui une maturité suffisante pour un déploiement sur certains territoires. Elle présente des potentialités intéressantes de capacité de revisite à moindre coût, pour un suivi et une gestion intégrée du trait de côte. Volet II : Réalisation d'un prototype d'extraction du trait de côte à partir d'images satellite. Application à l'archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon Un premier rapport a ainsi établi l’état de l’art des méthodes existantes sur ces problématiques, afin d’identifier les plus prometteuses notamment en fonction des paysages rencontrés (volet I des rapports « Exploitation d’images satellite pour le littoral »). Il a conclu à la maturité de certaines techniques de reconnaissance par imagerie satellitaire de marqueurs de position du trait de côte, notamment en tant qu’interface terre-mer, c’est-à-dire limite entre deux zones présentant des caractéristiques terrestres (au-dessus du trait de côte) et maritimes (en dessous du trait de côte). Le Cerema s’est alors engagé à développer une méthodologie et un prototype qui permettraient d’extraire automatiquement la position du trait de côte en tant qu’interface de faciès terrestres et maritimes à partir d’images satellite à très haute résolution spatiale (images Pléiades). L’objectif final serait de transférer cette technologie à tout acteur qui souhaiterait utiliser les images satellite pour suivre l’évolution de la position du trait de côte, particulièrement sur les territoires macrotidaux où ce type de méthode est particulièrement adapté. Ce rapport (volet II) présente les tests opérés sur l’archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon pour développer un prototype permettant d’extraire automatiquement la position du trait de côte sur des images Pléiades obtenues dans le cadre du programme GEOSUD. Le processus d’acquisition se base sur la réalisation, par classification automatique, d’une cartographie des faciès à proximité du trait de côte puis sur l’extraction de la limite terre – mer comme frontière entre types d’occupation des sols. Le « trait de côte » ainsi obtenu a été comparé à des mesures effectuées sur le terrain. La stabilité de la méthode dans le temps a été évaluée via l’exploitation de deux images de deux années consécutives sur l’île de Saint-Pierre, en 2012 et 2013. Les travaux effectués montrent que la méthode peut conduire à des précisions de localisation de marqueurs de position du trait de côte de 2 à 3 m en moyenne lorsqu’il s’agit d’une limite de végétation ou d’érosion. Dans les autres cas (rochers, pieds de dune, gabions, galets), la technique donne des résultats plus inégaux et dans l’ensemble de moins bonne qualité. Des pistes sont proposées pour améliorer la méthode en prévision d’une évaluation plus large sur davantage de paysages et situations : utilisation de modèles numériques de terrain, exploitation d’informations issues des bases de données disponibles sur les zones étudiées (référentiels IGN par exemple) ou recours à des algorithmes de simplification de lignes. Volet III : Prototype de reconnaissance du trait de côte en tant que limite d’immersion à partir d’images satellite Un premier rapport a ainsi établi l’état de l’art des méthodes existantes sur ces problématiques, afin d’identifier les plus prometteuses notamment en fonction des paysages rencontrés (volet I des rapports « Exploitation d’images satellite pour le littoral »). Il a conclu à la maturité de certaines techniques de reconnaissance de marqueurs de position du trait de côte, notamment de la limite d’immersion (limite du jet de rive ou limite eau/non eau). Le Cerema s’est alors engagé à développer une méthodologie et un prototype qui permettraient d’extraire automatiquement la position du jet de rive à partir d’images satellite à très haute résolution spatiale (images Pléiades). L’objectif final serait de transférer cette technologie à tout acteur de la gestion intégrée du trait de côte qui souhaiterait utiliser les images satellite pour en suivre son évolution. Ce type de méthode est particulièrement adapté au suivi du trait de côte pour des territoires à faible marnage ou pour le suivi « instantané » de la position du jet de rive. Ce rapport (volet III) présente les tests opérés sur le secteur du Grau-du-Roi (30) pour développer un prototype permettant d’extraire automatiquement la position du trait de côte sur des images Pléiades à l’aide d’une méthode de type seuillage. Les marqueurs de limites hautes et basses du jet de rive extraits suivent fidèlement le jet de rive observé sur l’image satellite. Quelques rares anomalies apparaissent ponctuellement en présence de nuages ou d’ombres qui intersectent le trait de côte. Cette méthode présente les avantages d’être précise, notamment pour la limite basse du jet de rive, transférable géographiquement et relativement simple à mettre en œuvre sur un secteur géographique donné. Ces résultats montrent qu’un outil opérationnel de suivi du trait de côte à partir d’images satellite est aujourd’hui accessible en milieu microtidal. Des développements complémentaires doivent néanmoins être réalisés pour couvrir un linéaire côtier de plusieurs dizaines de kilomètres, vérifier la répétitivité temporelle des seuils fixés, développer un outil ergonomique et assurer son transfert vers des utilisateurs finaux. Un comité d’utilisateurs sera monté dans cette optique à partir de 2016. Volet I : État de l'art de l'utilisation des technologies satellitaires pour la cartographie du trait de côte et de la bathymétrie I. INTRODUCTION I.1 Contexte de l’étude I.2 Les informations géographiques recherchées II. LES SATELLITES D’OBSERVATION DE LA TERRE : QUELQUES NOTIONS II.1 Les satellites d’observation de la Terre II.2 L’exploitation des images satellites II.3 Atouts de l’imagerie satellitaire III. ÉTAT DE L’ART de la CARTOGRAPHIE DU TRAIT DE CÔTE À PARTIR D’IMAGES SATELLITES III.1 Exploitation des images satellites par photo-interprétation III.2 Extraction semi-automatique du trait de côte III.3 Détection de l’artificialisation du trait de côte III.4 Analyse de l’état de l’art IV. ÉTAT DE L’ART DES MESURES DE BATHYMETRIE PAR SATELLITE IV.1 Mesures de bathymétrie par détection des limites entre zones émergées et zones immergées IV.2 Mesures de bathymétrie par inversion du signal optique IV.3 Mesures bathymétriques par détection des crêtes de houle IV.4 Autres méthodes et perspectives IV.5 Analyse de l’état de l’art V. CONCLUSIONS VI. Annexes VI.1 Annexe 1 : Estimation de la bathymétrie par gravimétrie/altimétrie VI.2 Annexe 2 : Mesures de bathymétrie par Lidar Satellitaire Volet II : Réalisation d’un prototype d’extraction du trait de côte à partir d’images satellite. Application à l’archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon I. Introduction II. La cartographie du trait de côte par imagerie spatiale II.1 Définitions du trait de côte II.2 Cartographie du trait de côte par imagerie spatiale III. Zones d’étude III.1 L’archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon III.2 L’isthme de Miquelon-Langlade (zone A) III.3 L’île de Saint-Pierre (zone B) IV. Données disponibles IV.1 Les images Pléiades IV.2 Les levés terrain de la DTAM de Saint-Pierre-et-Miquelon IV.3 Trait de côte Histolitt® IV.4 Modèle numérique de surface V. Méthode d’extraction du trait de côte V.1 Principe général et logiciels utilisés V.2 Préparation du chantier V.3 Création et sélection des indices et textures V.4 Classifications des images V.5 Extraction du trait de côte V.6 Évaluation des résultats VI. Synthèse des résultats VI.1 Classifications VI.2 Trait de côte extrait VII. Bilan VII.1 Analyse de la performance du prototype développé VII.2 Perspectives VII.3 Conclusion VIII. Annexe : Résultats complets VIII.1 Zone A Isthme de Miquelon-Langlade VIII.2 Zone B1 Etang VIII.3 Zone B2 Aéroport VIII.4 Zone B3 Ile aux Marins Volet III : Prototype de reconnaissance du trait de côte en tant que limite d’immersion à partir d’images satellite I. Contexte et objectif II. Contexte géomatique II.1 Site d’étude II.2 Données disponibles III. Extraction du jet de rive III.1 Principe de la méthode III.2 Traitement de l’image Pléiades IV. Analyse des résultats IV.1 Analyse visuelle IV.2 Analyse quantitative : comparaison au trait de côte digitalisé sur l’Ortho Littorale V2 V. CONCLUSIONS
  180. Edition (Ceremadoc) Exploitation d’images satellite pour le littoral : Volet II : Réalisation d’un prototype d’extraction du trait de côte à partir d’images satellite. Application à l’archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon

    Volet I : État de l'art de l'utilisation des technologies satellitaires pour la cartographie du trait de côte et de la bathymétrie Ce rapport établit ainsi l’état de l’art de l’utilisation de l’imagerie satellitaire pour le suivi du trait de côte et la cartographie de la bathymétrie des petits fonds. Il contient en préalable une première partie pédagogique sur les notions d’imagerie satellitaire en observation de la Terre puis analyse les techniques éprouvées au travers d’une étude bibliographique réalisée en 2012. Concernant l’identification et le suivi du trait de côte, la bibliographie montre que l’utilisation de l’imagerie satellitaire permet de cartographier, sur de larges emprises géographiques, avec une fréquence élevée et un faible coût, les faciès littoraux de type eau, plage, dune, végétation, bâti et d’en extraire un marqueur de position du trait de côte de type limite d’immersion, pied de dune pour les côtes sableuses ou pied de falaise pour les côtes à falaise. Les précisions obtenues sont variables en fonction des marqueurs suivis et des types de côte, en particulier les erreurs augmentent sur les côtes rocheuses. Pour la bathymétrie des eaux peu profondes, une méthode d’inversion du signal optique satellitaire permet de fournir des cartes bathymétriques précises sur les 10 premiers mètres en eaux moyennement turbides et sur les 25 premiers mètres en eaux claires. Dans les eaux plus profondes, une méthode exploitant les propriétés de la houle permet de fournir des informations bathymétriques dans les zones de houle (de 10 à 40 m de profondeur). Ces méthodes, réalisées sur la base d’images satellite de type SPOT, ont prouvé leur efficacité et présentent l’avantage de fournir des informations continues, sur de larges zones géographiques avec une fréquence annuelle ou pluriannuelle et à faible coût. D’autres méthodes, basées sur l’altimétrie/gravimétrie et sur la technologie Lidar, sont présentées mais sont plutôt à envisager en termes de perspectives à moyen et long termes. L’extraction semi-automatique de l’information « trait de côte » à partir de l’imagerie satellitaire présente ainsi aujourd’hui une maturité suffisante pour un déploiement sur certains territoires. Elle présente des potentialités intéressantes de capacité de revisite à moindre coût, pour un suivi et une gestion intégrée du trait de côte. Volet II : Réalisation d'un prototype d'extraction du trait de côte à partir d'images satellite. Application à l'archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon Un premier rapport a ainsi établi l’état de l’art des méthodes existantes sur ces problématiques, afin d’identifier les plus prometteuses notamment en fonction des paysages rencontrés (volet I des rapports « Exploitation d’images satellite pour le littoral »). Il a conclu à la maturité de certaines techniques de reconnaissance par imagerie satellitaire de marqueurs de position du trait de côte, notamment en tant qu’interface terre-mer, c’est-à-dire limite entre deux zones présentant des caractéristiques terrestres (au-dessus du trait de côte) et maritimes (en dessous du trait de côte). Le Cerema s’est alors engagé à développer une méthodologie et un prototype qui permettraient d’extraire automatiquement la position du trait de côte en tant qu’interface de faciès terrestres et maritimes à partir d’images satellite à très haute résolution spatiale (images Pléiades). L’objectif final serait de transférer cette technologie à tout acteur qui souhaiterait utiliser les images satellite pour suivre l’évolution de la position du trait de côte, particulièrement sur les territoires macrotidaux où ce type de méthode est particulièrement adapté. Ce rapport (volet II) présente les tests opérés sur l’archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon pour développer un prototype permettant d’extraire automatiquement la position du trait de côte sur des images Pléiades obtenues dans le cadre du programme GEOSUD. Le processus d’acquisition se base sur la réalisation, par classification automatique, d’une cartographie des faciès à proximité du trait de côte puis sur l’extraction de la limite terre – mer comme frontière entre types d’occupation des sols. Le « trait de côte » ainsi obtenu a été comparé à des mesures effectuées sur le terrain. La stabilité de la méthode dans le temps a été évaluée via l’exploitation de deux images de deux années consécutives sur l’île de Saint-Pierre, en 2012 et 2013. Les travaux effectués montrent que la méthode peut conduire à des précisions de localisation de marqueurs de position du trait de côte de 2 à 3 m en moyenne lorsqu’il s’agit d’une limite de végétation ou d’érosion. Dans les autres cas (rochers, pieds de dune, gabions, galets), la technique donne des résultats plus inégaux et dans l’ensemble de moins bonne qualité. Des pistes sont proposées pour améliorer la méthode en prévision d’une évaluation plus large sur davantage de paysages et situations : utilisation de modèles numériques de terrain, exploitation d’informations issues des bases de données disponibles sur les zones étudiées (référentiels IGN par exemple) ou recours à des algorithmes de simplification de lignes. Volet III : Prototype de reconnaissance du trait de côte en tant que limite d’immersion à partir d’images satellite Un premier rapport a ainsi établi l’état de l’art des méthodes existantes sur ces problématiques, afin d’identifier les plus prometteuses notamment en fonction des paysages rencontrés (volet I des rapports « Exploitation d’images satellite pour le littoral »). Il a conclu à la maturité de certaines techniques de reconnaissance de marqueurs de position du trait de côte, notamment de la limite d’immersion (limite du jet de rive ou limite eau/non eau). Le Cerema s’est alors engagé à développer une méthodologie et un prototype qui permettraient d’extraire automatiquement la position du jet de rive à partir d’images satellite à très haute résolution spatiale (images Pléiades). L’objectif final serait de transférer cette technologie à tout acteur de la gestion intégrée du trait de côte qui souhaiterait utiliser les images satellite pour en suivre son évolution. Ce type de méthode est particulièrement adapté au suivi du trait de côte pour des territoires à faible marnage ou pour le suivi « instantané » de la position du jet de rive. Ce rapport (volet III) présente les tests opérés sur le secteur du Grau-du-Roi (30) pour développer un prototype permettant d’extraire automatiquement la position du trait de côte sur des images Pléiades à l’aide d’une méthode de type seuillage. Les marqueurs de limites hautes et basses du jet de rive extraits suivent fidèlement le jet de rive observé sur l’image satellite. Quelques rares anomalies apparaissent ponctuellement en présence de nuages ou d’ombres qui intersectent le trait de côte. Cette méthode présente les avantages d’être précise, notamment pour la limite basse du jet de rive, transférable géographiquement et relativement simple à mettre en œuvre sur un secteur géographique donné. Ces résultats montrent qu’un outil opérationnel de suivi du trait de côte à partir d’images satellite est aujourd’hui accessible en milieu microtidal. Des développements complémentaires doivent néanmoins être réalisés pour couvrir un linéaire côtier de plusieurs dizaines de kilomètres, vérifier la répétitivité temporelle des seuils fixés, développer un outil ergonomique et assurer son transfert vers des utilisateurs finaux. Un comité d’utilisateurs sera monté dans cette optique à partir de 2016. Volet I : État de l'art de l'utilisation des technologies satellitaires pour la cartographie du trait de côte et de la bathymétrie I. INTRODUCTION I.1 Contexte de l’étude I.2 Les informations géographiques recherchées II. LES SATELLITES D’OBSERVATION DE LA TERRE : QUELQUES NOTIONS II.1 Les satellites d’observation de la Terre II.2 L’exploitation des images satellites II.3 Atouts de l’imagerie satellitaire III. ÉTAT DE L’ART de la CARTOGRAPHIE DU TRAIT DE CÔTE À PARTIR D’IMAGES SATELLITES III.1 Exploitation des images satellites par photo-interprétation III.2 Extraction semi-automatique du trait de côte III.3 Détection de l’artificialisation du trait de côte III.4 Analyse de l’état de l’art IV. ÉTAT DE L’ART DES MESURES DE BATHYMETRIE PAR SATELLITE IV.1 Mesures de bathymétrie par détection des limites entre zones émergées et zones immergées IV.2 Mesures de bathymétrie par inversion du signal optique IV.3 Mesures bathymétriques par détection des crêtes de houle IV.4 Autres méthodes et perspectives IV.5 Analyse de l’état de l’art V. CONCLUSIONS VI. Annexes VI.1 Annexe 1 : Estimation de la bathymétrie par gravimétrie/altimétrie VI.2 Annexe 2 : Mesures de bathymétrie par Lidar Satellitaire Volet II : Réalisation d’un prototype d’extraction du trait de côte à partir d’images satellite. Application à l’archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon I. Introduction II. La cartographie du trait de côte par imagerie spatiale II.1 Définitions du trait de côte II.2 Cartographie du trait de côte par imagerie spatiale III. Zones d’étude III.1 L’archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon III.2 L’isthme de Miquelon-Langlade (zone A) III.3 L’île de Saint-Pierre (zone B) IV. Données disponibles IV.1 Les images Pléiades IV.2 Les levés terrain de la DTAM de Saint-Pierre-et-Miquelon IV.3 Trait de côte Histolitt® IV.4 Modèle numérique de surface V. Méthode d’extraction du trait de côte V.1 Principe général et logiciels utilisés V.2 Préparation du chantier V.3 Création et sélection des indices et textures V.4 Classifications des images V.5 Extraction du trait de côte V.6 Évaluation des résultats VI. Synthèse des résultats VI.1 Classifications VI.2 Trait de côte extrait VII. Bilan VII.1 Analyse de la performance du prototype développé VII.2 Perspectives VII.3 Conclusion VIII. Annexe : Résultats complets VIII.1 Zone A Isthme de Miquelon-Langlade VIII.2 Zone B1 Etang VIII.3 Zone B2 Aéroport VIII.4 Zone B3 Ile aux Marins Volet III : Prototype de reconnaissance du trait de côte en tant que limite d’immersion à partir d’images satellite I. Contexte et objectif II. Contexte géomatique II.1 Site d’étude II.2 Données disponibles III. Extraction du jet de rive III.1 Principe de la méthode III.2 Traitement de l’image Pléiades IV. Analyse des résultats IV.1 Analyse visuelle IV.2 Analyse quantitative : comparaison au trait de côte digitalisé sur l’Ortho Littorale V2 V. CONCLUSIONS
  181. Edition (Ceremadoc) Étude des aléas littoraux dans le cadre d’une analyse coûts-bénéfices (ACB)

    Les analyses coût/bénéfice (ACB) sont des outils d’aide à la définition des stratégies de prévention des risques permettant d’estimer la rentabilité économique d’un projet. Développées initialement pour les projets de prévention des inondations par débordements de cours d’eau, les ACB littorales sont confrontées à des difficultés méthodologiques. Les méthodes de détermination des aléas submersion marine et recul du trait de côte, aléa non abordé dans les documents existants, sont précisées dans ce document. Pour que l’ACB puisse jouer son rôle, d’évaluation de la pertinence des projets d’ouvrages de protection, l’impact de ceux-ci sur les aléas doit être finement défini. Pour la submersion marine, deux niveaux de mise en œuvre d’une ACB sont proposés suivant l’avancée du projet. Le choix des événements théoriques à étudier pour construire la courbe dommages-fréquence est abordé en lien avec le comportement des ouvrages de protection (niveau de protection et niveau de sûreté) et les niveaux de dommages aux enjeux. Le changement climatique nécessite l’élaboration d’au moins deux courbes dommages-fréquence Préambule 1 - Contexte 2 - Principes d'une ACB 2.1 - Objectifs 2.2 - Contexte méthodologique des projets subventionnés par l’État 3 - Connaissance des aléas littoraux et des impacts projets sur les aléas 3.1 - Généralités 3.2 - Études utiles à la réalisation d'une étude d'aléas littoraux dans le cadre d’une ACB 3.3 - Phase 1 : Analyse générale du fonctionnement du littoral 3.4 - Phase 2 : Cartographie des aléas littoraux 4 - Principes de l'analyse des aléas littoraux 4.1 - Échelle d’analyse 4.2 - Horizon temporel de l’analyse 4.3 - Choix des situations étudiées 4.3.1 -Situation de référence 4.3.2 -Situations de projets 4.3.3 -Situation « sans ouvrage » 4.4 - Un niveau d’analyse lié à l’avancement du projet 4.5 - Estimation des coûts associés au projet 4.5.1 -Les coûts d’entretien et de gestion 4.5.2 -Les coûts de réparation et de reconstruction 5 - Analyse du recul du trait de côte et/ou de l'érosion 5.1 - Informations nécessaires à l'analyse du recul du trait de côte et/ou de l’érosion 5.2 - Cartographie de l'aléa recul du trait de côte 5.2.1 -Estimation d’un recul linéaire dans le temps 5.2.2 -Estimation d’un recul du trait de côte non linéaire dans le temps 5.3 - Changement climatique 5.4 - Étude de sensibilité 5.4.1 -Horizon temporel 5.4.2 -Zone soumise au recul 5.4.3 -Distribution du recul du trait de côte dans le temps 6 - Analyse de l'aléa submersion marine 6.1 - Principes de réalisation d'une étude d'aléa submersion marine préalable à l'élaboration d'une ACB 6.1.1 -Plusieurs niveaux d'analyse 6.1.2 -Informations nécessaires à l'élaboration de la cartographie de l'aléa submersion marine 6.1.3 -Choix des événements hydrauliques/scénarios étudiés 6.1.4 -Aléa non constant et changement climatique 6.1.5 -Cartographie de l’aléa submersion marine 6.1.5.a - Méthode de cartographie 6.1.5.b - Paramètres à cartographier 6.2 - Analyse simplifiée de l'aléa submersion marine 6.2.1 -Informations nécessaires sur le projet 6.2.2 -Scénarios étudiés 6.2.2.a - Choix des scénarios étudiés 6.2.2.b - Description des événements hydrauliques 6.2.3 -Cartographie de l'aléa submersion marine 6.2.4 -Estimation des dommages évités 6.2.5 -Études de sensibilité 6.2.5.a - Fréquence des événements hydrauliques (niveaux marins) 6.2.5.b - Horizon temporel 6.2.5.c - Changement climatique 6.3 - Analyse affinée de l'aléa submersion marine 6.3.1 -Informations nécessaires sur le projet 6.3.2 -Scénarios étudiés 6.3.2.a - Choix des scénarios étudiés 6.3.2.b - Description des événements hydrauliques 6.3.3 -Cartographie de l'aléa submersion marine 6.3.4 -Estimation des dommages 6.3.5 -Études de sensibilité 6.3.5.a - Fréquence des événements hydrauliques 6.3.5.b - Horizon temporel 6.3.5.c - Changement climatique 6.3.5.d - Comportement hydraulique et structurel de l'ouvrage 7 - Limites de la méthode 8 - Glossaire 9 – Bibiographie
  182. Edition (Ceremadoc) Interventions d’urgence sur les dispositifs de protection contre les submersions marines

    Si les interventions sur les ouvrages de protection contre les submersions marines doivent en général faire l'objet d'études précises et complètes, les interventions en situation d'urgence sont soumises à la contrainte du temps qui impose d'identifier rapidement les solutions techniques les plus pertinentes et de les mettre en oeuvre dans un délai également contraint, en suivant le rythme des événements météo-marins. En réponse à cette problématique, le présent guide apporte des recommandations : sur le plan de l'organisation générale (stratégie, préparation, entraînement) déterminée pour anticiper les périodes de crise, sur le plan opérationnel en considérant des points particuliers : matériel et matériaux, formation et exercices, surveillance, interventions sur les ouvrages. sur les principales techniques d'intervention sur les ouvrages en relation avec leurs « modes de défaillance ». En complément, les dispositions qu'impose la réglementation en matière d'intervention sur les systèmes d'endiguement sont rappelées. 1 Cadre stratégique des interventions d’urgence sur les ouvrages 1.1 Règles communes dans l’organisation des interventions d’urgence 1.1.1 Règles de prudence concernant les interventions 1.1.1.1 Assurer la sécurité du personnel d’intervention 1.1.1.2 Éviter d’aggraver la submersion par des interventions hasardeuses 1.1.2 Coordination avec le dispositif général de gestion de crise 1.1.3 Élaboration, mise à jour et utilisation du plan 1.1.3.1 Définir les objectifs du plan de gestion des ouvrages 1.1.3.2 Définir une organisation dédiée au plan 1.1.3.3 Produire un document support de la démarche 1.1.3.4 Suivre et mettre à jour le plan de gestion 1.1.3.5 Gérer les données et leur utilisation au cours des opérations d’urgence 1.1.4 Quelques points clés en matière de préparation et d’intervention 1.2 Adaptation du plan de gestion des ouvrages aux conditions locales 1.2.1 Adaptation aux conditions météorologiques et hydrauliques 1.2.1.1 Caractérisation des conditions météorologiques et hydrauliques 1.2.1.2 Conséquences sur la planification des interventions d’urgence 1.2.2 Adaptation aux risques de défaillance du système de protection 1.2.2.1 Modes de défaillance des systèmes d’endiguement 1.2.2.2 Principes d’analyse de risques sur un système d’endiguement 1.2.2.3 Éléments de méthodes d’analyse de risques sur un système d’endiguement 1.2.3 Adaptation aux risques de défaillance des ouvrages 1.2.3.1 Modes de défaillance associés aux digues 1.2.3.2 Risques associés aux ouvrages de gestion des eaux 2 Actions particulières de préparation et de gestion de crise 2.1 S’assurer de la disponibilité des équipements et matériaux 2.2 Former et entraîner le personnel d’intervention 2.2.1 Entraînements 2.2.2 Exercices 2.3 Surveiller les digues en période de crise 2.3.1 Actions de surveillance 2.3.2 Précautions en matière de sécurité 2.4 Intervenir sur les digues, les systèmes hydrauliques et les réseaux 2.4.1 Intervenir sur les digues 2.4.2 Intervenir sur les ouvrages hydrauliques et les réseaux 2.5 Adapter les actions à l’évolution de la situation 2.5.1 Actions préliminaires de gestion de crise 2.5.2 Actions en situation de crise 2.5.3 Actions post-crise 3 Techniques d’intervention sur les ouvrages 3.1 Réponses à l’érosion externe 3.1.1 Mesures de protection contre les affouillements 3.1.1.1 Les bermes et carapaces en enrochements 3.1.1.2 Les revêtements d’asphalte ou de bitume 3.1.1.3 Construire des (petits) épis 3.1.2 Protection contre l’érosion due à la surverse ou aux franchissements 3.1.2.1 Les bâches plastiques 3.1.2.2 Les déversoirs d’urgence 3.2 Réponses à l’érosion interne 3.2.1 Les mesures de réduction des infiltrations 3.2.2 Les mesures d’augmentation du chemin hydraulique 3.2.3 Mesures de réduction de la charge hydraulique 3.2.3.1 Confiner les résurgences 3.2.3.2 Augmenter le niveau d’eau côté terre 3.3 Réponses aux problèmes d’instabilité 3.3.1 Réduction de la pente du talus 3.3.2 Réduction des sous-pressions (de soulèvement) 3.3.3 Réduction de la saturation de la digue 3.4 Comblement des brèches 3.4.1 Comprendre le contexte d’intervention 3.4.2 Se procurer et mettre en oeuvre les matériaux 3.5 Dispositifs temporaires de retenue d’eau 3.5.1 Mise en place de tout-venant 3.5.2 Utilisation de sacs de sable 3.5.3 Utilisation de matériaux de type paille, pneus, blocs de béton… 3.5.4 Utilisation des rideaux de palplanches 3.5.5 Méthodes utilisant des panneaux 3.5.5.1 Batardeau ancré par pieux 3.5.5.2 Batardeau portable 3.5.5.3 Batardeau portable avec ancrage préinstallé 3.5.5.4 Batardeau démontable avec ancrage préinstallé 3.5.6 Techniques basées sur le remplissage de caissons 3.5.6.1 Barrières cellulaires en plastique 3.5.6.2 Barrières cellulaires en géotextile 3.5.7 Méthodes basées sur le remplissage de tubes par de l’eau 3.5.7.1 Barrages remplis d’eau 3.5.7.2 Boudins remplis d’eau 3.6 Interventions sur les réseaux d’assainissement et installation des systèmes de pompage de secours 3.6.1 Fermeture des réseaux d’assainissement 3.6.2 Installation de systèmes de pompage de secours 4 Bibliographie
  183. Edition (Ceremadoc) Interventions d’urgence sur les dispositifs de protection contre les submersions marines

    Si les interventions sur les ouvrages de protection contre les submersions marines doivent en général faire l'objet d'études précises et complètes, les interventions en situation d'urgence sont soumises à la contrainte du temps qui impose d'identifier rapidement les solutions techniques les plus pertinentes et de les mettre en oeuvre dans un délai également contraint, en suivant le rythme des événements météo-marins. En réponse à cette problématique, le présent guide apporte des recommandations : sur le plan de l'organisation générale (stratégie, préparation, entraînement) déterminée pour anticiper les périodes de crise, sur le plan opérationnel en considérant des points particuliers : matériel et matériaux, formation et exercices, surveillance, interventions sur les ouvrages. sur les principales techniques d'intervention sur les ouvrages en relation avec leurs « modes de défaillance ». En complément, les dispositions qu'impose la réglementation en matière d'intervention sur les systèmes d'endiguement sont rappelées. 1 Cadre stratégique des interventions d’urgence sur les ouvrages 1.1 Règles communes dans l’organisation des interventions d’urgence 1.1.1 Règles de prudence concernant les interventions 1.1.1.1 Assurer la sécurité du personnel d’intervention 1.1.1.2 Éviter d’aggraver la submersion par des interventions hasardeuses 1.1.2 Coordination avec le dispositif général de gestion de crise 1.1.3 Élaboration, mise à jour et utilisation du plan 1.1.3.1 Définir les objectifs du plan de gestion des ouvrages 1.1.3.2 Définir une organisation dédiée au plan 1.1.3.3 Produire un document support de la démarche 1.1.3.4 Suivre et mettre à jour le plan de gestion 1.1.3.5 Gérer les données et leur utilisation au cours des opérations d’urgence 1.1.4 Quelques points clés en matière de préparation et d’intervention 1.2 Adaptation du plan de gestion des ouvrages aux conditions locales 1.2.1 Adaptation aux conditions météorologiques et hydrauliques 1.2.1.1 Caractérisation des conditions météorologiques et hydrauliques 1.2.1.2 Conséquences sur la planification des interventions d’urgence 1.2.2 Adaptation aux risques de défaillance du système de protection 1.2.2.1 Modes de défaillance des systèmes d’endiguement 1.2.2.2 Principes d’analyse de risques sur un système d’endiguement 1.2.2.3 Éléments de méthodes d’analyse de risques sur un système d’endiguement 1.2.3 Adaptation aux risques de défaillance des ouvrages 1.2.3.1 Modes de défaillance associés aux digues 1.2.3.2 Risques associés aux ouvrages de gestion des eaux 2 Actions particulières de préparation et de gestion de crise 2.1 S’assurer de la disponibilité des équipements et matériaux 2.2 Former et entraîner le personnel d’intervention 2.2.1 Entraînements 2.2.2 Exercices 2.3 Surveiller les digues en période de crise 2.3.1 Actions de surveillance 2.3.2 Précautions en matière de sécurité 2.4 Intervenir sur les digues, les systèmes hydrauliques et les réseaux 2.4.1 Intervenir sur les digues 2.4.2 Intervenir sur les ouvrages hydrauliques et les réseaux 2.5 Adapter les actions à l’évolution de la situation 2.5.1 Actions préliminaires de gestion de crise 2.5.2 Actions en situation de crise 2.5.3 Actions post-crise 3 Techniques d’intervention sur les ouvrages 3.1 Réponses à l’érosion externe 3.1.1 Mesures de protection contre les affouillements 3.1.1.1 Les bermes et carapaces en enrochements 3.1.1.2 Les revêtements d’asphalte ou de bitume 3.1.1.3 Construire des (petits) épis 3.1.2 Protection contre l’érosion due à la surverse ou aux franchissements 3.1.2.1 Les bâches plastiques 3.1.2.2 Les déversoirs d’urgence 3.2 Réponses à l’érosion interne 3.2.1 Les mesures de réduction des infiltrations 3.2.2 Les mesures d’augmentation du chemin hydraulique 3.2.3 Mesures de réduction de la charge hydraulique 3.2.3.1 Confiner les résurgences 3.2.3.2 Augmenter le niveau d’eau côté terre 3.3 Réponses aux problèmes d’instabilité 3.3.1 Réduction de la pente du talus 3.3.2 Réduction des sous-pressions (de soulèvement) 3.3.3 Réduction de la saturation de la digue 3.4 Comblement des brèches 3.4.1 Comprendre le contexte d’intervention 3.4.2 Se procurer et mettre en oeuvre les matériaux 3.5 Dispositifs temporaires de retenue d’eau 3.5.1 Mise en place de tout-venant 3.5.2 Utilisation de sacs de sable 3.5.3 Utilisation de matériaux de type paille, pneus, blocs de béton… 3.5.4 Utilisation des rideaux de palplanches 3.5.5 Méthodes utilisant des panneaux 3.5.5.1 Batardeau ancré par pieux 3.5.5.2 Batardeau portable 3.5.5.3 Batardeau portable avec ancrage préinstallé 3.5.5.4 Batardeau démontable avec ancrage préinstallé 3.5.6 Techniques basées sur le remplissage de caissons 3.5.6.1 Barrières cellulaires en plastique 3.5.6.2 Barrières cellulaires en géotextile 3.5.7 Méthodes basées sur le remplissage de tubes par de l’eau 3.5.7.1 Barrages remplis d’eau 3.5.7.2 Boudins remplis d’eau 3.6 Interventions sur les réseaux d’assainissement et installation des systèmes de pompage de secours 3.6.1 Fermeture des réseaux d’assainissement 3.6.2 Installation de systèmes de pompage de secours 4 Bibliographie
  184. Edition (Ceremadoc) Étude des aléas littoraux dans le cadre d’une analyse coûts-bénéfices (ACB)

    Les analyses coût/bénéfice (ACB) sont des outils d’aide à la définition des stratégies de prévention des risques permettant d’estimer la rentabilité économique d’un projet. Développées initialement pour les projets de prévention des inondations par débordements de cours d’eau, les ACB littorales sont confrontées à des difficultés méthodologiques. Les méthodes de détermination des aléas submersion marine et recul du trait de côte, aléa non abordé dans les documents existants, sont précisées dans ce document. Pour que l’ACB puisse jouer son rôle, d’évaluation de la pertinence des projets d’ouvrages de protection, l’impact de ceux-ci sur les aléas doit être finement défini. Pour la submersion marine, deux niveaux de mise en œuvre d’une ACB sont proposés suivant l’avancée du projet. Le choix des événements théoriques à étudier pour construire la courbe dommages-fréquence est abordé en lien avec le comportement des ouvrages de protection (niveau de protection et niveau de sûreté) et les niveaux de dommages aux enjeux. Le changement climatique nécessite l’élaboration d’au moins deux courbes dommages-fréquence Préambule 1 - Contexte 2 - Principes d'une ACB 2.1 - Objectifs 2.2 - Contexte méthodologique des projets subventionnés par l’État 3 - Connaissance des aléas littoraux et des impacts projets sur les aléas 3.1 - Généralités 3.2 - Études utiles à la réalisation d'une étude d'aléas littoraux dans le cadre d’une ACB 3.3 - Phase 1 : Analyse générale du fonctionnement du littoral 3.4 - Phase 2 : Cartographie des aléas littoraux 4 - Principes de l'analyse des aléas littoraux 4.1 - Échelle d’analyse 4.2 - Horizon temporel de l’analyse 4.3 - Choix des situations étudiées 4.3.1 -Situation de référence 4.3.2 -Situations de projets 4.3.3 -Situation « sans ouvrage » 4.4 - Un niveau d’analyse lié à l’avancement du projet 4.5 - Estimation des coûts associés au projet 4.5.1 -Les coûts d’entretien et de gestion 4.5.2 -Les coûts de réparation et de reconstruction 5 - Analyse du recul du trait de côte et/ou de l'érosion 5.1 - Informations nécessaires à l'analyse du recul du trait de côte et/ou de l’érosion 5.2 - Cartographie de l'aléa recul du trait de côte 5.2.1 -Estimation d’un recul linéaire dans le temps 5.2.2 -Estimation d’un recul du trait de côte non linéaire dans le temps 5.3 - Changement climatique 5.4 - Étude de sensibilité 5.4.1 -Horizon temporel 5.4.2 -Zone soumise au recul 5.4.3 -Distribution du recul du trait de côte dans le temps 6 - Analyse de l'aléa submersion marine 6.1 - Principes de réalisation d'une étude d'aléa submersion marine préalable à l'élaboration d'une ACB 6.1.1 -Plusieurs niveaux d'analyse 6.1.2 -Informations nécessaires à l'élaboration de la cartographie de l'aléa submersion marine 6.1.3 -Choix des événements hydrauliques/scénarios étudiés 6.1.4 -Aléa non constant et changement climatique 6.1.5 -Cartographie de l’aléa submersion marine 6.1.5.a - Méthode de cartographie 6.1.5.b - Paramètres à cartographier 6.2 - Analyse simplifiée de l'aléa submersion marine 6.2.1 -Informations nécessaires sur le projet 6.2.2 -Scénarios étudiés 6.2.2.a - Choix des scénarios étudiés 6.2.2.b - Description des événements hydrauliques 6.2.3 -Cartographie de l'aléa submersion marine 6.2.4 -Estimation des dommages évités 6.2.5 -Études de sensibilité 6.2.5.a - Fréquence des événements hydrauliques (niveaux marins) 6.2.5.b - Horizon temporel 6.2.5.c - Changement climatique 6.3 - Analyse affinée de l'aléa submersion marine 6.3.1 -Informations nécessaires sur le projet 6.3.2 -Scénarios étudiés 6.3.2.a - Choix des scénarios étudiés 6.3.2.b - Description des événements hydrauliques 6.3.3 -Cartographie de l'aléa submersion marine 6.3.4 -Estimation des dommages 6.3.5 -Études de sensibilité 6.3.5.a - Fréquence des événements hydrauliques 6.3.5.b - Horizon temporel 6.3.5.c - Changement climatique 6.3.5.d - Comportement hydraulique et structurel de l'ouvrage 7 - Limites de la méthode 8 - Glossaire 9 – Bibiographie
  185. Edition (Ceremadoc) Coût des protections contre les aléas littoraux

    Le présent guide expose les stratégies envisageables et apporte des éléments de méthode et des coûts unitaires pour évaluer sur la durée les dépenses d’investissement, d’entretien et de gestion associées à la protection contre les aléas littoraux. Évaluation du coût global actualisé d’un projet Types d’aménagements, effets attendus et évolution dans le temps Méthodologie d’analyse des coûts observés Coûts observés sur les opérations globales de gestion du trait de côte Coûts observés sur les opérations globales de protection contre les submersions marines Coûts observés sur les rechargements de plage, le transfert hydraulique et les drains de plage Coûts observés sur les cordons dunaires Coûts observés sur les systèmes d’endiguement (en particulier les digues) Coûts observés sur les ouvrages de génie civil (perrés, murs et ouvrages de soutènement, épis, brise-lames et butées) Analyse transversale des coûts observés sur les différents types d’intervention Références
  186. Edition (Ceremadoc) Coût des protections contre les aléas littoraux

    Le présent guide expose les stratégies envisageables et apporte des éléments de méthode et des coûts unitaires pour évaluer sur la durée les dépenses d’investissement, d’entretien et de gestion associées à la protection contre les aléas littoraux. Évaluation du coût global actualisé d’un projet Types d’aménagements, effets attendus et évolution dans le temps Méthodologie d’analyse des coûts observés Coûts observés sur les opérations globales de gestion du trait de côte Coûts observés sur les opérations globales de protection contre les submersions marines Coûts observés sur les rechargements de plage, le transfert hydraulique et les drains de plage Coûts observés sur les cordons dunaires Coûts observés sur les systèmes d’endiguement (en particulier les digues) Coûts observés sur les ouvrages de génie civil (perrés, murs et ouvrages de soutènement, épis, brise-lames et butées) Analyse transversale des coûts observés sur les différents types d’intervention Références
  187. Edition (Ceremadoc) Les niveaux marins extrêmes : Ports de métropole

    Ce rapport présente une estimation statistique des valeurs extrêmes de niveau d'eau aux marégraphes portuaires de métropole. Seuls les marégraphes possédant plus de dix ans de données sont étudiés, soient 28 marégraphes (21 pour les façades de mer du Nord, Manche et Atlantique, 7 pour la façade méditerranéenne). La méthode s'appuie sur la théorie des valeurs extrêmes et permet d'estimer les niveaux associés à des périodes de retour jusqu'à 1000 ans. Les intervalles de confiance calculés représentent l'incertitude d'échantillonnage. Le rapport présente aussi certains résultats intermédiaires, à savoir un relevé des tempêtes ayant produit les plus forts niveaux d'eau et, pour les ports de mer du Nord, Manche et Atlantique, une estimation des périodes de retour associés aux surcotes de pleine mer. 1. Introduction 1.1 Contexte 1.2 Objectif de l’étude 2. La méthodologie d’analyse statistique des extrêmes 2.1 Données 2.2 Analyse statistique 2.2.1 Approche indirecte : mer du Nord, Manche et Atlantique 2.2.2 Approche directe : Méditerranée 2.3 Incertitudes 2.3.1 Incertitude liée à la mesure ou aux données initiales 2.3.2 Incertitude de représentativité 2.3.3 Incertitude du choix du modèle statistique 2.3.4 Incertitude d’échantillonnage 2.4 Présentation des résultats 3 Résultats par port 3.1 Marégraphe de Dunkerque 3.1.1 Disponibilité et valeurs maximales observées 3.1.2 Estimation des valeurs extrêmes de surcote de pleine mer 3.1.3 Estimation des valeurs extrêmes de niveau d’eau au marégraphe 3.2 Marégraphe de Calais 3.2.1 Disponibilité et valeurs maximales observées 3.2.2 Estimation des valeurs extrêmes de surcote de pleine mer 3.2.3 Estimation des valeurs extrêmes de niveau d’eau au marégraphe 3.3 Marégraphe de Boulogne-sur-Mer 3.3.1 Disponibilité et valeurs maximales observées 3.3.2 Estimation des valeurs extrêmes de surcote de pleine mer 3.3.3 Estimation des valeurs extrêmes de niveau d’eau au marégraphe 3.4 Marégraphe de Dieppe 3.4.1 Disponibilité et valeurs maximales observées 3.4.2 Estimation des valeurs extrêmes de surcote de pleine mer 3.4.3 Estimation des valeurs extrêmes de niveau d’eau au marégraphe 3.5 Marégraphe du Havre 3.5.1 Disponibilité et valeurs maximales observées 3.5.2 Estimation des valeurs extrêmes de surcote de pleine mer 3.5.3 Estimation des valeurs extrêmes de niveau d’eau au marégraphe 3.6 Marégraphe de Cherbourg 3.6.1 Disponibilité et valeurs maximales observées 3.6.2 Estimation des valeurs extrêmes de surcote de pleine mer 3.6.3 Estimation des valeurs extrêmes de niveau d’eau au marégraphe 3.7 Marégraphe de Saint-Malo 3.7.1 Disponibilité et valeurs maximales observées 3.7.2 Estimation des valeurs extrêmes de surcote de pleine mer 3.7.3 Estimation des valeurs extrêmes de niveau d’eau au marégraphe 3.8 Marégraphe de Roscoff 3.8.1 Disponibilité et valeurs maximales observées 3.8.2 Estimation des valeurs extrêmes de surcote de pleine mer 3.8.3 Estimation des valeurs extrêmes de niveau d’eau au marégraphe 3.9 Marégraphe du Conquet 3.9.1 Disponibilité et valeurs maximales observées 3.9.2 Estimation des valeurs extrêmes de surcote de pleine mer 3.9.3 Estimation des valeurs extrêmes de niveau d’eau au marégraphe 3.10 Marégraphe de Brest 3.10.1 Disponibilité et valeurs maximales observées 3.10.2 Estimation des valeurs extrêmes de surcote de pleine mer 3.10.3 Estimation des valeurs extrêmes de niveau d’eau au marégraphe 3.11 Marégraphe de Concarneau 3.11.1 Disponibilité et valeurs maximales observées 3.11.2 Estimation des valeurs extrêmes de surcote de pleine mer 3.11.3 Estimation des valeurs extrêmes de niveau d’eau au marégraphe 3.12 Marégraphe de Port-Tudy 3.12.1 Disponibilité et valeurs maximales observées 3.12.2 Estimation des valeurs extrêmes de surcote de pleine mer 3.12.3 Estimation des valeurs extrêmes de niveau d’eau au marégraphe 3.13 Marégraphe du Crouesty 3.13.1 Disponibilité et valeurs maximales observées 3.13.2 Estimation des valeurs extrêmes de surcote de pleine mer 3.13.3 Estimation des valeurs extrêmes de niveau d’eau au marégraphe 3.14 Marégraphe de Saint-Nazaire 3.14.1 Disponibilité et valeurs maximales observées 3.14.2 Estimation des valeurs extrêmes de surcote de pleine mer 3.14.3 Estimation des valeurs extrêmes de niveau d’eau au marégraphe 3.15 Marégraphe de la Pointe Saint-Gildas 3.15.1 Disponibilité et valeurs maximales observées 3.15.2 Estimation des valeurs extrêmes de surcote de pleine mer 3.15.3 Estimation des valeurs extrêmes de niveau d’eau au marégraphe 3.16 Marégraphe des Sables d’Olonne 3.16.1 Disponibilité et valeurs maximales observées 3.16.2 Estimation des valeurs extrêmes de surcote de pleine mer 3.16.3 Estimation des valeurs extrêmes de niveau d’eau au marégraphe 3.17 Marégraphe de La Rochelle 3.17.1 Disponibilité et valeurs maximales observées 3.17.2 Estimation des valeurs extrêmes de surcote de pleine mer 3.17.3 Estimation des valeurs extrêmes de niveau d’eau au marégraphe 3.18 Marégraphe de Port-Bloc 62 3.18.1 Disponibilité et valeurs maximales observées 3.18.2 Estimation des valeurs extrêmes de surcote de pleine mer 3.18.3 Estimation des valeurs extrêmes de niveau d’eau au marégraphe 3.19 Marégraphe d’Arcachon 3.19.1 Disponibilité et valeurs maximales observées 3.19.2 Estimation des valeurs extrêmes de surcote de pleine mer 3.19.3 Estimation des valeurs extrêmes de niveau d’eau au marégraphe 3.20 Marégraphe de Bayonne 3.20.1 Disponibilité et valeurs maximales observées 3.20.2 Estimation des valeurs extrêmes de surcote de pleine mer 3.20.3 Estimation des valeurs extrêmes de niveau d’eau au marégraphe 3.21 Marégraphe de Saint-Jean-de-Luz 3.21.1 Disponibilité et valeurs maximales observées 3.21.2 Estimation des valeurs extrêmes de surcote de pleine mer 3.21.3 Estimation des valeurs extrêmes de niveau d’eau au marégraphe 3.22 Marégraphe de Port-Vendres 3.22.1 Disponibilité et valeurs maximales observées 3.22.2 Estimation des valeurs extrêmes de niveau d’eau au marégraphe 3.23 Marégraphe de Sète 3.23.1 Disponibilité et valeurs maximales observées 3.23.2 Estimation des valeurs extrêmes de niveau d’eau au marégraphe 3.24 Marégraphe de Marseille 3.24.1 Estimation des valeurs extrêmes de niveau d’eau au marégraphe 3.25 Marégraphe de Toulon 3.25.1 Disponibilité et valeurs maximales observées 3.25.2 Estimation des valeurs extrêmes de niveau d’eau au marégraphe 3.26 Marégraphe de Nice 3.26.1 Disponibilité et valeurs maximales observées 3.26.2 Estimation des valeurs extrêmes de niveau d’eau au marégraphe 3.27 Marégraphe de Monaco 3.27.1 Disponibilité et valeurs maximales observées 3.27.2 Estimation des valeurs extrêmes de niveau d’eau au marégraphe 3.28 Marégraphe d’Ajaccio 3.28.1 Disponibilité et valeurs maximales observées 3.28.2 Estimation des valeurs extrêmes de niveau d’eau au marégraphe Annexe 1 : Outils de calcul et données utilisées 1. Outils de calcul utilisés 2. Origine des données utilisées 2.1 Les prédictions de niveau de marée 2.2 Les observations de niveaux d’eau Annexe 2 : Estimation de l’eustatisme et de l’isostasie Ports en mer du Nord, Manche et Atlantique Méditerranée Annexe 3 : Analyse de sensibilité du critère d’indépendance des surcotes de pleine mer Annexe 4 : Données REFMAR aux marégraphes de référence en Méditerranée lors des principales tempêtes
  188. Edition (Ceremadoc) Étude des systèmes de protection contre les submersions marines

    La tempête Xynthia, qui a frappé les côtes françaises le 28 février 2010 a provoqué la submersion de vastes territoires, malgré la présence d’ouvrages de défense. Cette catastrophe a mis en évidence la nécessité de mieux étudier le comportement des systèmes de protection contre les submersions marines, en choisissant une échelle géographique adaptée et en intégrant la cinématique des événements. Le travail de recherche engagé sur le fonctionnement et les défaillances de ces systèmes a conduit à des avancées significatives sur le plan de la connaissance des mécanismes en jeu et des stratégies et des méthodes dédiées à leur analyse et leur représentation. La méthodologie développée, éprouvée sur quatre sites submergés lors de Xynthia (Loix, Les Boucholeurs et Boyardville en Charente-Maritime, Batz-sur-mer en Loire-Atlantique), a vocation à guider le diagnostic des sites sujets à submersion marine, depuis le lancement des premières investigations jusqu’à la restitution formelle des analyses. Préface | Résumé | Abstract | Présentation générale | Contexte | Objectif | Lectorat ciblé | Domaines de compétences mobilisés | Sélection de quatre sites pour les études de cas | Protocole d’élaboration de la méthodologie | Organisation du document I – Méthodologie 1 Cadre conceptuel 1.1 Concepts pour l’analyse géographique 1.1.1 Système de protection 1.1.2 Casier hydraulique 1.1.3 Modèle « source-transfert-cible » 1.2 Phénomène naturel, événement, aléa, enjeux et vulnérabilité 1.2.1 Phénomène naturel initiateur 1.2.2 Événement et scénario d’événements 1.2.3 Aléa 1.2.4 Enjeux 1.2.5 Vulnérabilité 1.3 Risque : caractérisation, évolution, acceptabilité et perception 1.3.1 Caractérisation du risque dans le cadre d’une analyse 1.3.2 Évolution du risque 1.3.3 Acceptabilité et perception du risque 1.4 Politiques et mesures de prévention du risque 1.4.1 Politiques de prévention du risque 1.4.2 Mesures de prévention du risque et leurs effets 1.4.3 Stratégie de gestion du risque 1.4.4 Organisation, rôles et responsabilités 2 Systèmes de protection – présentation à l’échelle globale 2.1 Analyse des phénomènes naturels à l’origine des submersions 2.2 Fonction de protection et objectifs de performance d’un système 2.2.1 Détermination des phénomènes naturels de référence 2.2.2 Caractérisation de la performance d’un système vis-à-vis des phénomènes naturels 2.3 Fonctionnement, dysfonctionnement, maintenance et gestion 2.3.1 Modes de fonctionnement d’un système de protection 2.3.2 Dysfonctionnements d’un système de protection 2.3.3 Maintenance et gestion 2.4 Fonctions de défense contre les entrées d’eau 2.4.1 Phénomènes hydrauliques affectant la ligne de défense 2.4.2 Fonctionnement d’ensemble de la ligne de défense 2.4.3 Défaillances couramment observées 2.5 Fonctions de gestion de l’eau 2.5.1 Phénomènes hydrauliques déterminants 2.5.2 Fonctionnement d’ensemble 2.5.3 Défaillances couramment observées 3 Systèmes de protection – présentation à l’échelle des structures 3.1 Structures de défense 3.1.1 Formations naturelles ou partiellement anthropisées 3.1.2 Digues 3.1.3 Perrés 3.1.4 Murs et ouvrages de soutènement 3.1.5 Épis 3.1.6 Brise-lames 3.2 Dispositifs de gestion de l’eau 3.2.1 Drains 3.2.2 Canaux et fossés 3.2.3 Canalisations à section fermée 3.2.4 Aires de stockage ou d’expansion 3.2.5 Clapets, vannes et écluses 3.2.6 Dispositifs de pompage 3.3 Effets de l’évolution des composants sur le système 3.3.1 Évolution des dispositifs de défense et effets sur le système 3.3.2 Évolution des dispositifs intérieurs et effets sur le système 4 Stratégies d’étude et méthodes d’analyse 4.1 Contexte opérationnel de l’étude des systèmes 4.2 Stratégie et organisation de la conduite d’étude 4.3 Méthodes d’analyse 4.3.1 Arbre des défaillances 4.3.2 Arbre des événements 4.3.3 Logigramme de type « nœud papillon » 4.4 Prolongements possibles des analyses 5 Investigation et modélisation 5.1 Observation de l’événement météorologique 5.2 Observation des phénomènes en mer 5.2.1 Observation des niveaux marins 5.2.2 Observation des états de mer et des courants 5.3 Observation du comportement du système 5.3.1 Images satellitaires 5.3.2 Photographies aériennes 5.3.3 Les modèles numériques de terrain 5.3.4 Investigations spécifiques aux ouvrages et autres structures 5.3.5 Exploitation des laisses de mer 5.4 Techniques de modélisation hydraulique 5.4.1 Analyse et modélisation de l’inondation 5.4.2 Modélisation du comportement des structures 5.5 Incertitudes et précautions d’usage 5.5.1 Incertitudes sur les observations 5.5.2 Incertitudes liées à la modélisation ANNEXE A Recommandations pour la rédaction des analyses de siteIntroduction1.Cadrage de l’analyse 1.1.Description générale du site 1.2.Analyse des enjeux 1.2.1.Recensement des enjeux 1.2.2.Identification des enjeux centraux de l’analyse 1.3.Aléa(s) de référence et objectifs de protection 1.4.Données disponibles pour l’analyse 1.5.Stratégie d’analyse 2.Définition du (ou des) système(s) de protection 2.1.Délimitation du (ou des) système(s) de protection 2.1.1.Topographie de la zone d’étude 2.1.2.Positionnement des dispositifs de protection 2.1.3.Conclusion sur le(s) système(s) à étudier 2.2.Schématisation du système de protection 2.2.1.Représentation des contours du système et des zones d’enjeux 2.2.2.Représentation des casiers hydrauliques et des dispositifs intérieurs 2.2.3.Schéma de synthèse 2.3.Logigramme du système de protection 3.Fonctionnement global du système au cours de l’événement 3.1.Conditions hydrauliques extérieures 3.2.Comportement du système au cours de l’événement 3.3.Étude hydraulique globale 3.4.Analyse optionnelle sur les effets des vagues 4.Description des événements (approche détaillée) 4.1.Description du fonctionnement des casiers 1 à m 4.1.1.Casier 1 4.1.2.Casier i 4.1.3.Casier m 4.2.Description du fonctionnement des structures types et des structures particulières (défense et gestion des eaux) 4.2.1.Structure type ayant une fonction de défense 4.2.2.Structure type ayant une fonction de gestion des eaux 4.2.3.Structure type j 4.2.4.Structure particulière p 5.Synthèse et conclusion 5.1.Synthèse 5.2.Conclusion ANNEXE B : Recommandations sur la production cartographique ANNEXE C : Références bibliographiques II – Études de cas Sites étudiés Note introductive aux études de cas
  189. Edition (Ceremadoc) Les niveaux marins extrêmes : Ports de métropole

    Ce rapport présente une estimation statistique des valeurs extrêmes de niveau d'eau aux marégraphes portuaires de métropole. Seuls les marégraphes possédant plus de dix ans de données sont étudiés, soient 28 marégraphes (21 pour les façades de mer du Nord, Manche et Atlantique, 7 pour la façade méditerranéenne). La méthode s'appuie sur la théorie des valeurs extrêmes et permet d'estimer les niveaux associés à des périodes de retour jusqu'à 1000 ans. Les intervalles de confiance calculés représentent l'incertitude d'échantillonnage. Le rapport présente aussi certains résultats intermédiaires, à savoir un relevé des tempêtes ayant produit les plus forts niveaux d'eau et, pour les ports de mer du Nord, Manche et Atlantique, une estimation des périodes de retour associés aux surcotes de pleine mer. 1. Introduction 1.1 Contexte 1.2 Objectif de l’étude 2. La méthodologie d’analyse statistique des extrêmes 2.1 Données 2.2 Analyse statistique 2.2.1 Approche indirecte : mer du Nord, Manche et Atlantique 2.2.2 Approche directe : Méditerranée 2.3 Incertitudes 2.3.1 Incertitude liée à la mesure ou aux données initiales 2.3.2 Incertitude de représentativité 2.3.3 Incertitude du choix du modèle statistique 2.3.4 Incertitude d’échantillonnage 2.4 Présentation des résultats 3 Résultats par port 3.1 Marégraphe de Dunkerque 3.1.1 Disponibilité et valeurs maximales observées 3.1.2 Estimation des valeurs extrêmes de surcote de pleine mer 3.1.3 Estimation des valeurs extrêmes de niveau d’eau au marégraphe 3.2 Marégraphe de Calais 3.2.1 Disponibilité et valeurs maximales observées 3.2.2 Estimation des valeurs extrêmes de surcote de pleine mer 3.2.3 Estimation des valeurs extrêmes de niveau d’eau au marégraphe 3.3 Marégraphe de Boulogne-sur-Mer 3.3.1 Disponibilité et valeurs maximales observées 3.3.2 Estimation des valeurs extrêmes de surcote de pleine mer 3.3.3 Estimation des valeurs extrêmes de niveau d’eau au marégraphe 3.4 Marégraphe de Dieppe 3.4.1 Disponibilité et valeurs maximales observées 3.4.2 Estimation des valeurs extrêmes de surcote de pleine mer 3.4.3 Estimation des valeurs extrêmes de niveau d’eau au marégraphe 3.5 Marégraphe du Havre 3.5.1 Disponibilité et valeurs maximales observées 3.5.2 Estimation des valeurs extrêmes de surcote de pleine mer 3.5.3 Estimation des valeurs extrêmes de niveau d’eau au marégraphe 3.6 Marégraphe de Cherbourg 3.6.1 Disponibilité et valeurs maximales observées 3.6.2 Estimation des valeurs extrêmes de surcote de pleine mer 3.6.3 Estimation des valeurs extrêmes de niveau d’eau au marégraphe 3.7 Marégraphe de Saint-Malo 3.7.1 Disponibilité et valeurs maximales observées 3.7.2 Estimation des valeurs extrêmes de surcote de pleine mer 3.7.3 Estimation des valeurs extrêmes de niveau d’eau au marégraphe 3.8 Marégraphe de Roscoff 3.8.1 Disponibilité et valeurs maximales observées 3.8.2 Estimation des valeurs extrêmes de surcote de pleine mer 3.8.3 Estimation des valeurs extrêmes de niveau d’eau au marégraphe 3.9 Marégraphe du Conquet 3.9.1 Disponibilité et valeurs maximales observées 3.9.2 Estimation des valeurs extrêmes de surcote de pleine mer 3.9.3 Estimation des valeurs extrêmes de niveau d’eau au marégraphe 3.10 Marégraphe de Brest 3.10.1 Disponibilité et valeurs maximales observées 3.10.2 Estimation des valeurs extrêmes de surcote de pleine mer 3.10.3 Estimation des valeurs extrêmes de niveau d’eau au marégraphe 3.11 Marégraphe de Concarneau 3.11.1 Disponibilité et valeurs maximales observées 3.11.2 Estimation des valeurs extrêmes de surcote de pleine mer 3.11.3 Estimation des valeurs extrêmes de niveau d’eau au marégraphe 3.12 Marégraphe de Port-Tudy 3.12.1 Disponibilité et valeurs maximales observées 3.12.2 Estimation des valeurs extrêmes de surcote de pleine mer 3.12.3 Estimation des valeurs extrêmes de niveau d’eau au marégraphe 3.13 Marégraphe du Crouesty 3.13.1 Disponibilité et valeurs maximales observées 3.13.2 Estimation des valeurs extrêmes de surcote de pleine mer 3.13.3 Estimation des valeurs extrêmes de niveau d’eau au marégraphe 3.14 Marégraphe de Saint-Nazaire 3.14.1 Disponibilité et valeurs maximales observées 3.14.2 Estimation des valeurs extrêmes de surcote de pleine mer 3.14.3 Estimation des valeurs extrêmes de niveau d’eau au marégraphe 3.15 Marégraphe de la Pointe Saint-Gildas 3.15.1 Disponibilité et valeurs maximales observées 3.15.2 Estimation des valeurs extrêmes de surcote de pleine mer 3.15.3 Estimation des valeurs extrêmes de niveau d’eau au marégraphe 3.16 Marégraphe des Sables d’Olonne 3.16.1 Disponibilité et valeurs maximales observées 3.16.2 Estimation des valeurs extrêmes de surcote de pleine mer 3.16.3 Estimation des valeurs extrêmes de niveau d’eau au marégraphe 3.17 Marégraphe de La Rochelle 3.17.1 Disponibilité et valeurs maximales observées 3.17.2 Estimation des valeurs extrêmes de surcote de pleine mer 3.17.3 Estimation des valeurs extrêmes de niveau d’eau au marégraphe 3.18 Marégraphe de Port-Bloc 62 3.18.1 Disponibilité et valeurs maximales observées 3.18.2 Estimation des valeurs extrêmes de surcote de pleine mer 3.18.3 Estimation des valeurs extrêmes de niveau d’eau au marégraphe 3.19 Marégraphe d’Arcachon 3.19.1 Disponibilité et valeurs maximales observées 3.19.2 Estimation des valeurs extrêmes de surcote de pleine mer 3.19.3 Estimation des valeurs extrêmes de niveau d’eau au marégraphe 3.20 Marégraphe de Bayonne 3.20.1 Disponibilité et valeurs maximales observées 3.20.2 Estimation des valeurs extrêmes de surcote de pleine mer 3.20.3 Estimation des valeurs extrêmes de niveau d’eau au marégraphe 3.21 Marégraphe de Saint-Jean-de-Luz 3.21.1 Disponibilité et valeurs maximales observées 3.21.2 Estimation des valeurs extrêmes de surcote de pleine mer 3.21.3 Estimation des valeurs extrêmes de niveau d’eau au marégraphe 3.22 Marégraphe de Port-Vendres 3.22.1 Disponibilité et valeurs maximales observées 3.22.2 Estimation des valeurs extrêmes de niveau d’eau au marégraphe 3.23 Marégraphe de Sète 3.23.1 Disponibilité et valeurs maximales observées 3.23.2 Estimation des valeurs extrêmes de niveau d’eau au marégraphe 3.24 Marégraphe de Marseille 3.24.1 Estimation des valeurs extrêmes de niveau d’eau au marégraphe 3.25 Marégraphe de Toulon 3.25.1 Disponibilité et valeurs maximales observées 3.25.2 Estimation des valeurs extrêmes de niveau d’eau au marégraphe 3.26 Marégraphe de Nice 3.26.1 Disponibilité et valeurs maximales observées 3.26.2 Estimation des valeurs extrêmes de niveau d’eau au marégraphe 3.27 Marégraphe de Monaco 3.27.1 Disponibilité et valeurs maximales observées 3.27.2 Estimation des valeurs extrêmes de niveau d’eau au marégraphe 3.28 Marégraphe d’Ajaccio 3.28.1 Disponibilité et valeurs maximales observées 3.28.2 Estimation des valeurs extrêmes de niveau d’eau au marégraphe Annexe 1 : Outils de calcul et données utilisées 1. Outils de calcul utilisés 2. Origine des données utilisées 2.1 Les prédictions de niveau de marée 2.2 Les observations de niveaux d’eau Annexe 2 : Estimation de l’eustatisme et de l’isostasie Ports en mer du Nord, Manche et Atlantique Méditerranée Annexe 3 : Analyse de sensibilité du critère d’indépendance des surcotes de pleine mer Annexe 4 : Données REFMAR aux marégraphes de référence en Méditerranée lors des principales tempêtes
  190. Edition (Ceremadoc) Étude des systèmes de protection contre les submersions marines

    La tempête Xynthia, qui a frappé les côtes françaises le 28 février 2010 a provoqué la submersion de vastes territoires, malgré la présence d’ouvrages de défense. Cette catastrophe a mis en évidence la nécessité de mieux étudier le comportement des systèmes de protection contre les submersions marines, en choisissant une échelle géographique adaptée et en intégrant la cinématique des événements. Le travail de recherche engagé sur le fonctionnement et les défaillances de ces systèmes a conduit à des avancées significatives sur le plan de la connaissance des mécanismes en jeu et des stratégies et des méthodes dédiées à leur analyse et leur représentation. La méthodologie développée, éprouvée sur quatre sites submergés lors de Xynthia (Loix, Les Boucholeurs et Boyardville en Charente-Maritime, Batz-sur-mer en Loire-Atlantique), a vocation à guider le diagnostic des sites sujets à submersion marine, depuis le lancement des premières investigations jusqu’à la restitution formelle des analyses. Préface | Résumé | Abstract | Présentation générale | Contexte | Objectif | Lectorat ciblé | Domaines de compétences mobilisés | Sélection de quatre sites pour les études de cas | Protocole d’élaboration de la méthodologie | Organisation du document I – Méthodologie 1 Cadre conceptuel 1.1 Concepts pour l’analyse géographique 1.1.1 Système de protection 1.1.2 Casier hydraulique 1.1.3 Modèle « source-transfert-cible » 1.2 Phénomène naturel, événement, aléa, enjeux et vulnérabilité 1.2.1 Phénomène naturel initiateur 1.2.2 Événement et scénario d’événements 1.2.3 Aléa 1.2.4 Enjeux 1.2.5 Vulnérabilité 1.3 Risque : caractérisation, évolution, acceptabilité et perception 1.3.1 Caractérisation du risque dans le cadre d’une analyse 1.3.2 Évolution du risque 1.3.3 Acceptabilité et perception du risque 1.4 Politiques et mesures de prévention du risque 1.4.1 Politiques de prévention du risque 1.4.2 Mesures de prévention du risque et leurs effets 1.4.3 Stratégie de gestion du risque 1.4.4 Organisation, rôles et responsabilités 2 Systèmes de protection – présentation à l’échelle globale 2.1 Analyse des phénomènes naturels à l’origine des submersions 2.2 Fonction de protection et objectifs de performance d’un système 2.2.1 Détermination des phénomènes naturels de référence 2.2.2 Caractérisation de la performance d’un système vis-à-vis des phénomènes naturels 2.3 Fonctionnement, dysfonctionnement, maintenance et gestion 2.3.1 Modes de fonctionnement d’un système de protection 2.3.2 Dysfonctionnements d’un système de protection 2.3.3 Maintenance et gestion 2.4 Fonctions de défense contre les entrées d’eau 2.4.1 Phénomènes hydrauliques affectant la ligne de défense 2.4.2 Fonctionnement d’ensemble de la ligne de défense 2.4.3 Défaillances couramment observées 2.5 Fonctions de gestion de l’eau 2.5.1 Phénomènes hydrauliques déterminants 2.5.2 Fonctionnement d’ensemble 2.5.3 Défaillances couramment observées 3 Systèmes de protection – présentation à l’échelle des structures 3.1 Structures de défense 3.1.1 Formations naturelles ou partiellement anthropisées 3.1.2 Digues 3.1.3 Perrés 3.1.4 Murs et ouvrages de soutènement 3.1.5 Épis 3.1.6 Brise-lames 3.2 Dispositifs de gestion de l’eau 3.2.1 Drains 3.2.2 Canaux et fossés 3.2.3 Canalisations à section fermée 3.2.4 Aires de stockage ou d’expansion 3.2.5 Clapets, vannes et écluses 3.2.6 Dispositifs de pompage 3.3 Effets de l’évolution des composants sur le système 3.3.1 Évolution des dispositifs de défense et effets sur le système 3.3.2 Évolution des dispositifs intérieurs et effets sur le système 4 Stratégies d’étude et méthodes d’analyse 4.1 Contexte opérationnel de l’étude des systèmes 4.2 Stratégie et organisation de la conduite d’étude 4.3 Méthodes d’analyse 4.3.1 Arbre des défaillances 4.3.2 Arbre des événements 4.3.3 Logigramme de type « nœud papillon » 4.4 Prolongements possibles des analyses 5 Investigation et modélisation 5.1 Observation de l’événement météorologique 5.2 Observation des phénomènes en mer 5.2.1 Observation des niveaux marins 5.2.2 Observation des états de mer et des courants 5.3 Observation du comportement du système 5.3.1 Images satellitaires 5.3.2 Photographies aériennes 5.3.3 Les modèles numériques de terrain 5.3.4 Investigations spécifiques aux ouvrages et autres structures 5.3.5 Exploitation des laisses de mer 5.4 Techniques de modélisation hydraulique 5.4.1 Analyse et modélisation de l’inondation 5.4.2 Modélisation du comportement des structures 5.5 Incertitudes et précautions d’usage 5.5.1 Incertitudes sur les observations 5.5.2 Incertitudes liées à la modélisation ANNEXE A Recommandations pour la rédaction des analyses de siteIntroduction1.Cadrage de l’analyse 1.1.Description générale du site 1.2.Analyse des enjeux 1.2.1.Recensement des enjeux 1.2.2.Identification des enjeux centraux de l’analyse 1.3.Aléa(s) de référence et objectifs de protection 1.4.Données disponibles pour l’analyse 1.5.Stratégie d’analyse 2.Définition du (ou des) système(s) de protection 2.1.Délimitation du (ou des) système(s) de protection 2.1.1.Topographie de la zone d’étude 2.1.2.Positionnement des dispositifs de protection 2.1.3.Conclusion sur le(s) système(s) à étudier 2.2.Schématisation du système de protection 2.2.1.Représentation des contours du système et des zones d’enjeux 2.2.2.Représentation des casiers hydrauliques et des dispositifs intérieurs 2.2.3.Schéma de synthèse 2.3.Logigramme du système de protection 3.Fonctionnement global du système au cours de l’événement 3.1.Conditions hydrauliques extérieures 3.2.Comportement du système au cours de l’événement 3.3.Étude hydraulique globale 3.4.Analyse optionnelle sur les effets des vagues 4.Description des événements (approche détaillée) 4.1.Description du fonctionnement des casiers 1 à m 4.1.1.Casier 1 4.1.2.Casier i 4.1.3.Casier m 4.2.Description du fonctionnement des structures types et des structures particulières (défense et gestion des eaux) 4.2.1.Structure type ayant une fonction de défense 4.2.2.Structure type ayant une fonction de gestion des eaux 4.2.3.Structure type j 4.2.4.Structure particulière p 5.Synthèse et conclusion 5.1.Synthèse 5.2.Conclusion ANNEXE B : Recommandations sur la production cartographique ANNEXE C : Références bibliographiques II – Études de cas Sites étudiés Note introductive aux études de cas
  191. Edition (Ceremadoc) Risk culture - Communities at the heart of action

    Establishing a risk culture involves increasing citizens’, companies’ and local authorities’ capacity to maintain their integrity, as well as that of their community and the region. This also involves limiting damage to property, activities, heritage and the environment. As such, this requires preventive measures (before the disaster) and action measures (during and after the disaster) to be developed and implemented, with the aim of improving the return to a state of balance. Hence, risk culture helps make regions more resilient, while building on values of mutual aid, solidarity, commitment, attention and listening to others. In a context of climate change, which is increasing exposure to risks in our territories, the main priorities are: greater education, developing the right reflexes and strengthening participation. And even if there’s no “miracle cure”, we need to encourage involvement and active participation within our communities. These two factors are the basis of this Cerema guide based on feedback.
  192. Edition (Ceremadoc) Risk culture - Communities at the heart of action

    Establishing a risk culture involves increasing citizens’, companies’ and local authorities’ capacity to maintain their integrity, as well as that of their community and the region. This also involves limiting damage to property, activities, heritage and the environment. As such, this requires preventive measures (before the disaster) and action measures (during and after the disaster) to be developed and implemented, with the aim of improving the return to a state of balance. Hence, risk culture helps make regions more resilient, while building on values of mutual aid, solidarity, commitment, attention and listening to others. In a context of climate change, which is increasing exposure to risks in our territories, the main priorities are: greater education, developing the right reflexes and strengthening participation. And even if there’s no “miracle cure”, we need to encourage involvement and active participation within our communities. These two factors are the basis of this Cerema guide based on feedback.
  193. Edition (Ceremadoc) Territoires littoraux et changement climatique : Séminaire sur la gestion intégrée du littoral 2021

    L'attractivité des territoires littoraux ne se dément pas malgré des risques naturels importants, amenés à être amplifiés par le changement climatique. La loi Climat et résilience d'août 2021 a traduit une prise de conscience collective de la nécessité de gérer, d'anticiper au mieux ces phénomènes et les collectivités territoriales expriment aujourd'hui le besoin d'être accompagnées pour relever les défis qui les attendent. Dès 2019, le Cerema et l'Association nationale des élus du littoral (ANEL) se sont mobilisés pour aider les collectivités dans le développement d'une gestion globale, anticipée, adaptée et préventive. Cette démarche dénommée Appel à partenaires Gestion intégrée du littoral rassemble dix-sept territoires volontaires. Première production, le webinaire Territoires littoraux et changement climatique du 1er décembre 2021 a permis d'illustrer les problématiques et de partager l'état de l'art des connaissances scientifiques.
  194. Edition (Ceremadoc) Gestion des milieux aquatiques et prévention des inondations : Fiche n° 2 : Gemapi et gestion du trait de côte

    Cette fiche propose des clés de lecture relatives aux possibilités d’intervention de l’autorité compétente au titre de la Gemapi, en matière de gestion du trait de côte. Elle prend en compte le cadre de droit rénové, issu de l’entrée en vigueur de la compétence Gemapi, de la promulgation de la loi climat-résilience et de la fin de la clause de compétence générale des départements et régions.
  195. Edition (Ceremadoc) Culture du risque - Les populations au cœur de l'action

    Développer la culture du risque, c’est augmenter la capacité du citoyen, de l’entreprise et des autorités locales à agir pour préserver leur intégrité, celle de leur entourage et celle du territoire face aux risques majeurs, dont les risques naturels et technologiques. C’est également réduire les dommages aux biens et aux activités, au patrimoine et à l’environnement. Il s’agit dès lors de développer l’acquisition des gestes de prévention (avant la catastrophe) et d’action (pendant et après la catastrophe), dans l’objectif d’améliorer le retour à un état d’équilibre. À ce titre, la culture du risque participe pleinement à la résilience des territoires et contribue au développement des valeurs humaines d'entraide, de solidarité, d'engagement, d'attention et d'écoute des autres. Concrètement, cela se traduit par un retour à une situation après crise plus rapide, à une meilleure adaptation et gestion des événements, à un territoire plus fort et plus solidaire… Dans un contexte de dérèglement climatique qui accroît l’exposition aux risques des territoires, la culture du risque doit être développée en France. Les mots d’ordre sont : plus de pédagogie, acquisition des bons réflexes et renforcement des démarches participatives. Même s'il n'existe pas de recette miracle, il est nécessaire de favoriser l'implication des populations et leur participation active. Ces deux axes fondent l’approche retenue dans ce cahier du Cerema issu de retours d’expérience.
  196. Edition (Ceremadoc) Territoires littoraux, le défi des transitions : Séminaire sur la gestion intégrée du littoral 2023

    Dès 2019, le Cerema et l'Association Nationale des Élus des Littoraux (ANEL) se sont mobilisés pour aider les collectivités dans le développement d'une gestion globale et préventive du littoral. Cette démarche dénommée "Appel à partenaires Gestion intégrée du littoral" rassemble dix-sept territoires volontaires. Point d'étape intermédiaire, le séminaire "Premiers enseignements issus des études de l’appel à partenaires ANEL-Cerema" du 13 juin 2023 a permis d’échanger sur les expérimentations en cours, de partager les retours d’expérience des territoires dont les études sont terminées et de dégager des pistes d’enseignements communes avec d’autres initiatives en France et dans le monde.
  197. Edition (Ceremadoc) Territoires littoraux, le défi des transitions : Séminaire sur la gestion intégrée du littoral 2023

    Dès 2019, le Cerema et l'Association Nationale des Élus des Littoraux (ANEL) se sont mobilisés pour aider les collectivités dans le développement d'une gestion globale et préventive du littoral. Cette démarche dénommée "Appel à partenaires Gestion intégrée du littoral" rassemble dix-sept territoires volontaires. Point d'étape intermédiaire, le séminaire "Premiers enseignements issus des études de l’appel à partenaires ANEL-Cerema" du 13 juin 2023 a permis d’échanger sur les expérimentations en cours, de partager les retours d’expérience des territoires dont les études sont terminées et de dégager des pistes d’enseignements communes avec d’autres initiatives en France et dans le monde.
  198. Edition (Ceremadoc) Culture du risque - Les populations au cœur de l'action

    Développer la culture du risque, c’est augmenter la capacité du citoyen, de l’entreprise et des autorités locales à agir pour préserver leur intégrité, celle de leur entourage et celle du territoire face aux risques majeurs, dont les risques naturels et technologiques. C’est également réduire les dommages aux biens et aux activités, au patrimoine et à l’environnement. Il s’agit dès lors de développer l’acquisition des gestes de prévention (avant la catastrophe) et d’action (pendant et après la catastrophe), dans l’objectif d’améliorer le retour à un état d’équilibre. À ce titre, la culture du risque participe pleinement à la résilience des territoires et contribue au développement des valeurs humaines d'entraide, de solidarité, d'engagement, d'attention et d'écoute des autres. Concrètement, cela se traduit par un retour à une situation après crise plus rapide, à une meilleure adaptation et gestion des événements, à un territoire plus fort et plus solidaire… Dans un contexte de dérèglement climatique qui accroît l’exposition aux risques des territoires, la culture du risque doit être développée en France. Les mots d’ordre sont : plus de pédagogie, acquisition des bons réflexes et renforcement des démarches participatives. Même s'il n'existe pas de recette miracle, il est nécessaire de favoriser l'implication des populations et leur participation active. Ces deux axes fondent l’approche retenue dans ce cahier du Cerema issu de retours d’expérience.
  199. Edition (Ceremadoc) Gestion des milieux aquatiques et prévention des inondations : Fiche n° 2 : Gemapi et gestion du trait de côte

    Cette fiche propose des clés de lecture relatives aux possibilités d’intervention de l’autorité compétente au titre de la Gemapi, en matière de gestion du trait de côte. Elle prend en compte le cadre de droit rénové, issu de l’entrée en vigueur de la compétence Gemapi, de la promulgation de la loi climat-résilience et de la fin de la clause de compétence générale des départements et régions.
  200. Edition (Ceremadoc) Territoires littoraux et changement climatique : Séminaire sur la gestion intégrée du littoral 2021

    L'attractivité des territoires littoraux ne se dément pas malgré des risques naturels importants, amenés à être amplifiés par le changement climatique. La loi Climat et résilience d'août 2021 a traduit une prise de conscience collective de la nécessité de gérer, d'anticiper au mieux ces phénomènes et les collectivités territoriales expriment aujourd'hui le besoin d'être accompagnées pour relever les défis qui les attendent. Dès 2019, le Cerema et l'Association nationale des élus du littoral (ANEL) se sont mobilisés pour aider les collectivités dans le développement d'une gestion globale, anticipée, adaptée et préventive. Cette démarche dénommée Appel à partenaires Gestion intégrée du littoral rassemble dix-sept territoires volontaires. Première production, le webinaire Territoires littoraux et changement climatique du 1er décembre 2021 a permis d'illustrer les problématiques et de partager l'état de l'art des connaissances scientifiques.
  201. Événement de calendrier How often should we observe our rivers? Progress towards satellite requirements to capture discharge dynamics.

    River discharge is widely recognized as one of the most crucial variables for improving our comprehension of hydrological processes because it integrates all upstream water cycle dynamics. A detailed understanding of the space-time variability of streamflow is vital to providing the accurate knowledge needed to support decision-making for water resources management and flood forecasting and mitigation for rivers around the world. The spatial coverage of gauges worldwide is limited and has been declining in recent years, with placement bias towards large rivers and developed regions. Data sharing constraints across political boundaries further constrain the availability of river observations for global research and decision-making. Much hope is being placed on remote sensing as a potential game-changer, including data from the recently launched SWOT mission. Yet, it remains unclear what temporal revisit, spatial sampling, spatial resolution, and variable of interest from satellites are best suited to capture discharge dynamics in rivers. We take you on a tour of the space-time propagation of water in rivers and provide insights on recent and ongoing efforts to reveal the type of observing capabilities that could lead to an accurate understanding and representation of water movement through Earth’s hydrographic networks. https://www.legos.omp.eu/event/how-often-should-we-observe-our-rivers-progress-towards-satellite-requirements-to-capture-discharge-dynamics/
  202. Rapport d'étude (Ceremadoc) Étude du risque inondation par débordement de cours d’eau

    Le présent rapport constitue la suite du rapport « Étude relative au risque submersion marine – Courants côtiers de Mimizan, Contis, Soustons et Capbreton - 2010». Il constitue l’aboutissement d’une réflexion menée par le CEREMA Dter Sud-Ouest, conjointement avec le BRGM et la DDTM40 pour délimiter des zones submersibles. Ce travail de reconnaissance et d’identification de zones situées sous un niveau marin de référence se traduit par une cartographie de submersibilité issue de l'analyse LIDAR par pas de 0,50 m (niveaux calés entre +2,50 m NGF à + 4,50 m NGF).
  203. Rapport d'étude (Ceremadoc) Étude du risque inondation par débordement de cours d’eau

    Le présent rapport constitue la suite du rapport « Étude relative au risque submersion marine – Courants côtiers de Mimizan, Contis, Soustons et Capbreton - 2010». Il constitue l’aboutissement d’une réflexion menée par le CEREMA Dter Sud-Ouest, conjointement avec le BRGM et la DDTM40 pour délimiter des zones submersibles. Ce travail de reconnaissance et d’identification de zones situées sous un niveau marin de référence se traduit par une cartographie de submersibilité issue de l'analyse LIDAR par pas de 0,50 m (niveaux calés entre +2,50 m NGF à + 4,50 m NGF).
  204. Événement de calendrier Surveillance satellitaire des mouvements du sol : deux wébinaires sur l'utilisation et l'interprétation des données EGMS.

    Grâce à l'observation de la Terre par satellite, le Service européen des mouvements du sol (EGMS) fournit des données gratuites et ouvertes sur mouvements du sols, avec une précision millimètrique sur l'ensemble du continent européen. Afin de faciliter l'utilisation des produits EGMS, l'Agence Européenne de l'Environnement organise deux webinaires consacrés à l'utilisation et à l'interprétation des données sur les mouvements du sol. Ces webinaires sont ouverts à tous. Chaque webinaire durera une heure et comprendra une session de questions-réponses en direct. Premier wébinaire (13 mai, 14h-15h) : comment utiliser les données EGMS dans vos propres projets, comment les traiter dans un système d'information géographique ? Second wébinaire (17 juin, 14h-15h) : comment visualiser et interpréter les données de l'EGMS ? Information et inscription depuis : https://land.copernicus.eu/en/events/learn-to-use-and-interpret-the-european-ground-motion-service-data L'ensemble des rapports liés à la validation indépendante du service EGMS, auxquels le BRGM a participé, est par ailleurs désormais disponible sur le site du CLMS : https://land.copernicus.eu/en/products/european-ground-motion-service?tab=main Enfin, vous pouvez sans attendre retrouver la série de wébinaires thématiques de l'AEE ainsi que le séminaire national organisés en 2023 autour de l'EGMS : https://www.applisat.fr/nouveautes/retour-sur-seminaire-sensibilisation-au-service-egms https://land.copernicus.eu/en/events/egms-a-general-introduction https://land.copernicus.eu/en/events/egms-and-geological-hazards https://land.copernicus.eu/en/events/egms-and-exploitation-of-natural-resources https://land.copernicus.eu/en/events/egms-urban-areas-and-infrastructure https://land.copernicus.eu/en/events/egms-and-climate-change-adaptation
  205. Événement de calendrier Surveillance satellitaire des mouvements du sol : deux wébinaires sur l'utilisation et l'interprétation des données EGMS.

    Grâce à l'observation de la Terre par satellite, le Service européen des mouvements du sol (EGMS) fournit des données gratuites et ouvertes sur mouvements du sols, avec une précision millimètrique sur l'ensemble du continent européen. Afin de faciliter l'utilisation des produits EGMS, l'Agence Européenne de l'Environnement organise deux webinaires consacrés à l'utilisation et à l'interprétation des données sur les mouvements du sol. Ces webinaires sont ouverts à tous. Chaque webinaire durera une heure et comprendra une session de questions-réponses en direct. Premier wébinaire (13 mai, 14h-15h) : comment utiliser les données EGMS dans vos propres projets, comment les traiter dans un système d'information géographique ? Second wébinaire (17 juin, 14h-15h) : comment visualiser et interpréter les données de l'EGMS ? Information et inscription depuis : https://land.copernicus.eu/en/events/learn-to-use-and-interpret-the-european-ground-motion-service-data L'ensemble des rapports liés à la validation indépendante du service EGMS, auxquels le BRGM a participé, est par ailleurs désormais disponible sur le site du CLMS : https://land.copernicus.eu/en/products/european-ground-motion-service?tab=main Enfin, vous pouvez sans attendre retrouver la série de wébinaires thématiques de l'AEE ainsi que le séminaire national organisés en 2023 autour de l'EGMS : https://www.applisat.fr/nouveautes/retour-sur-seminaire-sensibilisation-au-service-egms https://land.copernicus.eu/en/events/egms-a-general-introduction https://land.copernicus.eu/en/events/egms-and-geological-hazards https://land.copernicus.eu/en/events/egms-and-exploitation-of-natural-resources https://land.copernicus.eu/en/events/egms-urban-areas-and-infrastructure https://land.copernicus.eu/en/events/egms-and-climate-change-adaptation
  206. Événement de calendrier Démystifier les technologies spatiales pour les villes - Gestion de la mobilité urbaine

    Participez à la troisième édition d'une série de webinaires organisée par le projet européen SPACE4Cities. Inscrivez-vous ici ! La mobilité urbaine est une compétence-clé de toute ville et de toute région, car elle permet aux personnes et aux marchandises de se mouvoir dans la ville et détermine l'efficacité de l'accès aux services pour les habitants. La mobilité urbaine englobe tous les modes de transport et comprend généralement la marche, le vélo, les transports publics, les services de mobilité partagée et la logistique. Agenda 13:00-13:05: Welcome and intro to webinar series (Alex Gluhak, Open and Agile Smart Cities) 13:05-13:15: “Simplifying the design of low emission zones: A case study from Cartagena”, John David Babyack Hernández, Libellium 13:15-13:30: “Understanding car use and parking across Nordic Cities”, Johan Høgåsen-Hallesby, Beta Mobility 13:30-13:45: “Designing better and safer cycling infrastructure in cities ”, Luca Leomanni, Social Tech Projects 13:45-14:15: Panel discussion with presenters, Q&A and wrap-up (Moderated by Alex Gluhak, Open and Agile Smart Cities) Cette session présente des études de cas et des exemples de la manière dont les villes tirent parti de solutions basées sur les technologies satellitaires, l'intelligence artificielle et d'autres avancées pour garantir la fourniture d'infrastructures et de services de mobilité adéquats. Les sujets abordés comprennent la conception de zones à faibles émissions, la gestion de l'utilisation des voitures et du stationnement dans les villes et l'amélioration de l'infrastructure cyclable. Le webinaire sera enregistré et mis à la disposition des participants inscrits après le webinaire. L'objectif de cette série de webinaires est de sensibiliser au potentiel des technologies spatiales pour les villes, les communautés et les régions d'Europe, de fournir des informations sur les opportunités que les technologies spatiales pourraient leur offrir et d'explorer des cas d'utilisation réussie où ces technologies sont appliquées pour résoudre les défis des villes.
  207. Événement de calendrier Qualité de l'air : service Copernicus de surveillance de l'atmosphère (CAMS)

    Le service Copernicus de surveillance de l'atmosphère Copernicus (CAMS) tiendra sa huitième assemblée générale en hybride du 10 au 13 juin 2024. Des sessions plénières ouvertes à tous sont prévues les 12 et le 13 juin, avec des focus sur des thèmes tels que : les événements liés aux poussières et leur impact sur la qualité de l'air le statut et l'évaluation des services régionaux et des services pour les décideurs les produits CAMS sur les flux et les émissions Une journée des utilisateurs CAMS est également prévue en marge de l'événement, le 11 juin au matin (présentiel uniquement, détails ici). Les objectifs de cette assemblée générale sont de mettre en lumière les derniers développements au sein du service CAMS, de partager l'expertise des fournisseurs des services CAMS, partager les besoins des utilisateurs et leurs commentaires sur le service, et de faire se rencontrer les utilisateurs et les experts. Participation et informations pratiques : Date : 10 au 13 juin 2024 Lieu : Bruxelles (Belgique) et retransmission en direct Inscription libre gratuite obligatoire avant le 31 mai pour une participation sur site Agenda préliminaire : https://atmosphere.copernicus.eu/sites/default/files/custom-uploads/CAMS%208TH%20GA/8th%20CAMS%20GA_Agenda_Short_240422.pdf Informations, programme (à venir) et inscription : https://atmosphere.copernicus.eu/8th-cams-general-assembly-copernicus Contact : copernicus-events@ecmwf.int
  208. Événement de calendrier Information sur l'actualité des programmes COPERNICUS et GALILEO à destination de l'écosystème spatial national

    Dans la suite du groupe de travail ECOSPACE auquel certains d’entre vous ont participé, les coordinateurs interministériels nationaux des programmes européens Copernicus et Galileo souhaitent vous proposer en ce début d’année 2024 une série de réunions d’information, sur une base trimestrielle, s’adressant à toutes les parties prenantes en amont comme en aval de la filière spatiale. Ce point d’information, organisé avec le soutien du GIFAS, permettra de revenir sur l’avancement du programme lui-même, les prochains grands jalons et vous communiquer les appels à projets/manifestations d’intérêt susceptibles d’intéresser l’ensemble de l’écosystème. Ces sessions pourront également être l’opportunité de partage/échange sur des enjeux spécifiques liés à la mise en œuvre de ces programmes. La première réunion aura lieu le mardi 30 janvier prochain de 9h30 à 11h00 en visioconférence et portera sur le programme Copernicus. Les suivantes sont programmées respectivement le 5 avril (Copernicus et Galileo), le 2 juillet (Copernicus), le 1er octobre (Copernicus et Galileo) et le 10 décembre (Copernicus) sur le même créneau horaire. Contact pour suivre ces réunions : Marie-Catherine.Lejard@gifas.fr Précision : Ces réunions ont vocation à fournir une information générale à tous les types d’acteurs concernés par Copernicus et Galileo, filières économiques en particulier. Elles complètent les canaux plus spécifiques qui existent pour les utilisateurs institutionnels de Copernicus : Les webinaires et séminaires généralistes ou thématiques dédiés autour de l’offre de service et des cas d’utilisation de Copernicus. Organisés aux niveaux national ou européen, ceux-ci sont largement relayés sur Expertise-Territoire et Applisat ; Les réunions nationales trimestrielles consacrées à l’évolution de Copernicus et ses services thématiques, avec les représentants des principaux utilisateurs institutionnels (groupe miroir national du « forum des utilisateurs Copernicus ») ; Les questions et demandes d’accompagnement relatives à l’utilisation des données et produits Copernicus peuvent être adressées soit aux directement aux Services Copernicus concernés, soit sur ce forum Expertise Territoire. Contact pour les utilisateurs institutionnels: alexis.foussard@developpement-durable.gouv.fr ________________________________________________________________________________ Réunion Microsoft Teams Participez à partir de votre ordinateur, de votre application mobile ou de l’appareil de la salle Cliquez ici pour rejoindre la réunion<https://teams.microsoft.com/l/meetup-join/19%3ameeting_MDc4NTIxMTYtMzFlYy00NWUwLWI3ZGUtY2FmNjE4Njk0Nzgz%40thread.v2/0?context=%7b%22Tid%22%3a%22bed69598-e2b7-4688-a6a8-d517531ab1ce%22%2c%22Oid%22%3a%227248aa2a-94fd-49f3-b2a3-fb6aafafcccb%22%7d> ID de la réunion : 361 156 971 964 Code secret : uzsht2 Télécharger Teams<https://www.microsoft.com/en-us/microsoft-teams/download-app> | Rejoindre sur le web<https://www.microsoft.com/microsoft-teams/join-a-meeting> Ou composer le numéro (audio seulement) +33 1 85 65 59 55,,811225431#<tel:+33185655955,,811225431#> France, Paris ID Conférence Téléphone: 811 225 431# Rechercher un numéro local<https://dialin.teams.microsoft.com/195ae1ec-d75d-4179-8ec5-20af5049191d?id=811225431> | Réinitialiser le code confidentiel<https://dialin.teams.microsoft.com/usp/pstnconferencing> Pour en savoir plus<https://aka.ms/JoinTeamsMeeting> | Options de réunion<https://teams.microsoft.com/meetingOptions/?organizerId=7248aa2a-94fd-49f3-b2a3-fb6aafafcccb&tenantId=bed69598-e2b7-4688-a6a8-d517531ab1ce&threadId=19_meeting_MDc4NTIxMTYtMzFlYy00NWUwLWI3ZGUtY2FmNjE4Njk0Nzgz@thread.v2&messageId=0&language=fr-FR> ________________________________________________________________________________
  209. Événement de calendrier Séminaire de clôture AP GIL

    À vos agendas ! Nous nous retrouverons au Pouliguen, les 7 et 8 octobre prochains, afin de mettre en lumière les démarches de gestion intégrée du littoral engagées avec nos 17 collectivités partenaires. Ce rendez-vous permettra de tirer les enseignements des expériences locales et de présenter des expérimentations inspirantes ! Le programme et les modalités d'inscription vous seront envoyés prochainement. Ces deux journées pourront être suivies en distanciel.
  210. Événement de calendrier Copernicus Marine Service : assemblée générale

    L'assemblée annuelle du service Marin de Copernicus se déroulera les 4 et 5 juin 2024. L'évènement, virtuel, est ouvert à tous. Le premier jour mettra en avant les réalisations des centres de production du CMEMS (observations et modèles) et du Marine Data Store en 2023, ainsi que leurs principales d'évolution pour 2024. Cette année est également placée sous le signe de l'accès à un océan numérique intégré. Le développement du jumeau numérique de l'océan sera l'un des principaux thèmes de cette première journée. Le deuxième jour sera consacré aux besoins des utilisateurs avec la présentation des projets de R&D sur l'évolution des services et des projets Horizon Europe, et leur contribution à l'évolution de Copernicus Marine. Un focus sera fait sur les zones côtières. Informations complémentaires et programme : https://events.marine.copernicus.eu/copernicus-marine-general-assembly-2024
  211. Vidéos (avi, mpg, mov, ...) Réunion de restitution du projet Green Urban Sat (SCO) - partie 2 : présentation technique

    Le projet Green Urban Sat du SCO (Space for Climate Observatory) se termine en avril 2024, après 2 ans de développement d'une méthode de cartographie fine de la végétation urbaine basée sur l'imagerie satellitaire Pléiades. Le résultat obtenu sur la métropole test du grand Nancy fournit une classification de la végétation urbaine en 9 classes, et sera prochainement visible sur le portail Green City de TerraNIS.
  212. Vidéos (avi, mpg, mov, ...) Réunion de restitution du projet Green Urban Sat (SCO) - partie 1 : présentation générale

    Le projet Green Urban Sat du SCO (Space for Climate Observatory) se termine en avril 2024, après 2 ans de développement d'une méthode de cartographie fine de la végétation urbaine basée sur l'imagerie satellitaire Pléiades. Le résultat obtenu sur la métropole test du grand Nancy fournit une classification de la végétation urbaine en 9 classes, et sera prochainement visible sur le portail Green City de TerraNIS.
  213. ESN - Expertise mes compétences et centres d'intérêt

  214. Question de FAQ collaborative Dynamique de commandes d'images - Retour d'expérience à l'échelle DDT(M)

    Bonjour, je suis à la recherche de retours d'expériences sur la mise en place, à l'échelle d'une DDT(M), d'une dynamique de commande d'images satellites. Au sortir des cas d'usages, il s'agit plutôt de bénéficier d'informations sur les méthodologies de commandes, des facilités de mises en place et des éventuelles difficultés rencontrées, d'éventuels partenariats établis sur une même zone d'intérêt avec divers acteurs (EPCI, communes...). Mais aussi des coûts évalués depuis la mise en place de la dynamique en interne, de leur budgétisation et de l'appréhension des éventuelles restrictions à venir, également des aspects pratiques concernant les éventuels aménagements d'infrastructures de stockage et de déploiement d'outils ou encore de sensibilisation à l'usage de la télédétection à l'échelle locale. Merci.
  215. Rapport d'étude (Ceremadoc) Appel à partenaires GEMAPI. Communauté d’Agglomération Grand Calais Terres & Mers. Détermination des systèmes d’endiguement

    Le Cerema et Irstea ont lancé en 2016 un appel à partenaires pour l’accompagnement des collectivités territoriales pour la Gestion des Milieux Aquatiques et la Prévention des Inondations (GEMAPI). Dans le cadre de ce partenariat, la communauté d’agglomération Grand Calais Terres & Mers (GCTM) et le Cerema ont travaillé sur la question complexe de la définition des systèmes d’endiguement d’un territoire soumis aux risques d’inondations par submersion marine. Cette collaboration a permis d’aboutir à la détermination des systèmes d’endiguement sur le territoire de Grand Calais Terres & Mer. Le présent rapport rappelle les définitions de cette thématique et le contexte réglementaire. Il aborde ensuite les analyses qui ont conduit aux propositions des systèmes d’endiguement. A ce titre, une analyse détaillée du rôle des digues de second rang en cas de submersion marine a été menée et est expliquée dans ce rapport.
  216. Rapport d'étude (Ceremadoc) Appel à partenaires GEMAPI. Communauté d’Agglomération Grand Calais Terres & Mers. Détermination des systèmes d’endiguement

    Le Cerema et Irstea ont lancé en 2016 un appel à partenaires pour l’accompagnement des collectivités territoriales pour la Gestion des Milieux Aquatiques et la Prévention des Inondations (GEMAPI). Dans le cadre de ce partenariat, la communauté d’agglomération Grand Calais Terres & Mers (GCTM) et le Cerema ont travaillé sur la question complexe de la définition des systèmes d’endiguement d’un territoire soumis aux risques d’inondations par submersion marine. Cette collaboration a permis d’aboutir à la détermination des systèmes d’endiguement sur le territoire de Grand Calais Terres & Mer. Le présent rapport rappelle les définitions de cette thématique et le contexte réglementaire. Il aborde ensuite les analyses qui ont conduit aux propositions des systèmes d’endiguement. A ce titre, une analyse détaillée du rôle des digues de second rang en cas de submersion marine a été menée et est expliquée dans ce rapport.
  217. Rapport d'étude (Ceremadoc) Stratégie littorale Bresle-Somme-Authie : Une approche de résilience territoriale face aux risques littoraux pour de nouvelles perspectives

    Le document de synthèse s’inscrit dans une démarche de recherche-action, réalisée dans le cadre de l’appel à partenaires lancé en 2020 par le Cerema et l’Association Nationale des Elus du Littoral (ANEL), intitulé « Traiter la résilience du territoire aux risques littoraux dans une approche pragmatique et prospective pour mieux anticiper les mutations à venir ». Cette action s’inscrit également dans la Stratégie Littorale, dont fait partie le Programme d’Actions de Prévention des Inondations Bresle Somme Authie (PAPI BSA), approuvé en 2015 par l’Etat, les élus et acteurs du territoire Bresle Somme Authie. Il constitue donc un socle reprenant les données essentielles issues de ladite Stratégie Littorale de 2015, des résultats de la recherche-action sur les stratégies de résilience en cours et à venir face aux risques naturels majeurs, dont ceux de l’atelier participatif et thématique réalisé avec les acteurs du territoire le 24 mars 2022. Destiné aux élu(e)s du territoire, aux acteurs parties prenantes du développement local et à toute personne intéressée, il comprend trois parties visant à présenter le territoire et ses enjeux, faire une synthèse de la stratégie en cours, et préfigurer de nouvelles orientations pour l’avenir tout en veillant à agir à court, moyen et long terme. Sa publication intervient avant le renouvellement de la Stratégie Littorale et se veut une contribution au futur projet de développement du territoire. Il constitue ainsi un appui pour décider d’actions à poursuivre, à réorienter ou à initier, soulignant des principes de gouvernance adaptés à la gestion des risques pour plus de cohésion, de concordance des actions et de coopération.
  218. Rapport d'étude (Ceremadoc) Diagnostic et enjeux. Le territoire de la Baie de Somme Positionnements stratégiques et réalisations. fascicule_2

    L’intention de ce fascicule 2 est de mettre des mots sur les stratégies développées et les actions correspondantes, en cours et à venir, en matière de résilience territoriale, pour les rendre compréhensibles par les habitants, les acteurs du territoire et les services de l’Etat. L’intention est qu’elles soient mieux appropriées et réalisées en conscience. Ce fascicule comprend des éléments d’argumentaire en matière de politique d’urbanisme et d’aménagement du territoire résilient, dont le Syndicat Mixte pourra disposer pour être plus explicite dans ses démarches de court, moyen et long terme. Le fascicule présente trois principaux positionnements stratégiques spécifiques et une transversale. Ces positionnements sont la protection des activités et de la présence humaine : stratégie consistant à « faire face » aux éléments dans le but de préserver les biens et les personnes ; l’adaptation aux aléas : stratégie visant à « faire avec » l’aléa : les aménagements sont réalisés en fonction de la présence et de l’évolution des aléas ; le renouvellement, la restructuration, la réhabilitation, la rénovation : stratégie « de détachement » vis-à-vis de l’aléa : le développement local est envisagé en dehors des zones à risque ; l’innovation et la transformation du territoire : poussé par les limites liées aux contraintes de l’aléa, le projet de territoire s’appuie sur de nouvelles ambitions en matière de développement local (tous secteurs confondus).
  219. Rapport d'étude (Ceremadoc) Diagnostic et enjeux. Le territoire de la Baie de Somme, un joyaux à préserver, riche d'espaces agricoles et naturels... : Vulnérable face au changement climatique et qui fait le choix de la résilience

    Le fascicule 1 s’inscrit dans une démarche de recherche-action, réalisée dans le cadre de l’appel à partenaires lancé en 2020 par le Cerema et l’Association Nationale des Elus du Littoral (ANEL), intitulé « Traiter la résilience du territoire aux risques littoraux dans une approche pragmatique et prospective pour mieux anticiper les mutations à venir ». Il a pour objectif de présenter de façon synthétique les éléments du territoire de la Baie de Somme pour mieux connaitre le territoire : diagnostic et enjeux.
  220. Rapport d'étude (Ceremadoc) Cartographie nationale des zones basses du littoral Zones basses définies à la cote des PHMA

    Les données concernant les emprises des zones topographiquement basses par rapport à un niveau haut de la mer (hors événements tempétueux majeurs) sont cruciales pour les études relatives à l’adaptation des territoires littoraux face au recul du trait de côte. Dans le cadre d’études sur la projection du trait de côte, le Cerema a produit la cartographie de l’emprise des zones basses du littoral de métropole et des DROM situées à la cote des niveaux des plus hautes mers astronomiques (PHMA). Une déclinaison de cette cartographie intègre une augmentation d'un mètre aux valeurs des PHMA pour simuler la hausse du niveau de la mer due au changement climatique. Recul événementiel du trait de côte - Constitution d’une base de connaissance à l’échelle nationale. La prise en compte du recul événementiel du trait de côte est essentielle dans les études traitant de l'évolution de la dynamique littorale. Des reculs parfois importants du littoral, souvent de plusieurs mètres, peuvent se produire lors de tempêtes majeures sur les côtes sableuses ou en raison de glissements de terrain sur les falaises côtières. Le Cerema a produit une première cartographie nationale des reculs événementiels susceptibles d’affecter les littoraux de métropole et des départements et régions d’outre-mer (Guadeloupe, Martinique, Guyane, La Réunion et Mayotte). Cette cartographie constitue une base pour un traitement homogène des valeurs de reculs événementiels sur l'ensemble du littoral français.
  221. Rapport d'étude (Ceremadoc) Recul événementiel du trait de côte - Constitution d’une base de connaissance à l’échelle nationale

    La prise en compte du recul événementiel du trait de côte est essentielle dans les études traitant de l'évolution de la dynamique littorale. Des reculs parfois importants du littoral, souvent de plusieurs mètres, peuvent se produire lors de tempêtes majeures sur les côtes sableuses ou en raison de glissements de terrain sur les falaises côtières. Le Cerema a produit une première cartographie nationale des reculs événementiels susceptibles d’affecter les littoraux de métropole et des départements et régions d’outre-mer (Guadeloupe, Martinique, Guyane, La Réunion et Mayotte). Cette cartographie constitue une base pour un traitement homogène des valeurs de reculs événementiels sur l'ensemble du littoral français.
  222. Rapport d'étude (Ceremadoc) Projection du trait de côte et analyse des enjeux au niveau national - Echéance à 5 ans

    Afin de contribuer aux réflexions engagées en 2023 au sein du Comité National Trait de Côte (CNTC), le Cerema, sous le pilotage d’une mission d’inspection et des services du Ministère de la Transition écologique et de la Cohésion des territoires (MTECT), étudie les enjeux qui pourraient être menacés à l’avenir par le recul du trait de côte sur les littoraux de métropole et d’outre-mer. Dans le cadre de cette étude, le Cerema vient en appui de la mission d’inspection afin de contribuer à la réalisation d’un inventaire des biens exposés au recul du trait de côte d’ici les 5 prochaines années. Les tempêtes, sources potentielles de reculs événementiels du trait de côte, étant imprévisibles à court terme, l'étude se base sur des hypothèses de recul convenues avec la mission d'inspection. Une première étape de pré-identification à l'échelle nationale a permis d’identifier les bâtiments potentiellement concernés. Les services territoriaux de l'État ont ensuite été sollicités pour enrichir cet inventaire grâce à leur expertise locale. L'analyse consolidée de l'inventaire révèle qu'environ un millier de bâtiments, de toutes sortes, pourraient être touchés par le recul du trait de côte à l'échelle nationale dans les 5 prochaines années. La valeur vénale des bâtiments identifiés, principalement résidentiels et commerciaux, est estimée à environ 240 M€. Ces estimations ne concernent pas la Guyane et Mayotte où les spécificités de ces territoires ne permettent pas le déploiement complet de la méthode.
  223. Rapport d'étude (Ceremadoc) Bilan des connaissances des aléas du littoral de la Communauté d'agglomération Hérault Méditerranée. Atlas cartographique

    L’objectif du projet est de poursuivre les réflexions sur la prise en compte des enjeux littoraux dans le projet de territoire et de tester le dispositif expérimental de type S-Able. Les travaux sont répartis en 4 axes : 1. Bilan des connaissances des aléas littoraux sur le territoire de la Communauté d’Agglomération Hérault Méditerranée, incluant un focus sur la côte ouest de Vias. 2. Modalités de prise en compte des enjeux littoraux dans le projet de territoire. 3. Expertises sur le projet de reconstitution du cordon dunaire. 4. Suivi et évaluation de la mise en place d’un dispositif expérimental de type S-Able. Le présent document correspond au bilan des connaissances des aléas et des enjeux du territoire, réalisé pour répondre à l’axe 1 de l’étude.
  224. Rapport d'étude (Ceremadoc) Bilan des connaissances des aléas du littoral de la Communauté d'agglomération Hérault Méditerranée. Note de synthèse des aléas et des enjeux littoraux

    L’objectif du projet est de poursuivre les réflexions sur la prise en compte des enjeux littoraux dans le projet de territoire et de tester le dispositif expérimental de type S-Able. Les travaux sont répartis en 4 axes : 1. Bilan des connaissances des aléas littoraux sur le territoire de la Communauté d’Agglomération Hérault Méditerranée, incluant un focus sur la côte ouest de Vias. 2. Modalités de prise en compte des enjeux littoraux dans le projet de territoire. 3. Expertises sur le projet de reconstitution du cordon dunaire. 4. Suivi et évaluation de la mise en place d’un dispositif expérimental de type S-Able. Le présent document correspond au bilan des connaissances des aléas et des enjeux du territoire, réalisé pour répondre à l’axe 1 de l’étude.
  225. Rapport d'étude (Ceremadoc) Commune de Saint-Jouin-Bruneval (76). Diagnostic de stabilité de falaise

    Informé par la mairie de Saint-Jouin-Bruneval en juin 2017 quant à la présence d’une nouvelle fracture au niveau de l’un des pinacles surplombant la plage de Saint-Jouin-Bruneval, la Préfecture a missionné le BRGM pour évaluer ce risque. Concluant qu’un aléa « chute d’écailles ou de rupture de colonne » n’était pas exclu à plus ou moins long terme, le BRGM a recommandé de modifier le merlon déjà présent en pied de versant. La mairie a modifié le merlon existant en ce sens, portant sa hauteur à environ 5 m. Suite au diagnostic du BRGM, la mairie a souhaité solliciter un bureau d’études spécialisé pour, en se basant sur une étude trajectographique, proposer et dimensionner la parade la plus adaptée pour une sécurisation des enjeux disposés en aval du site à long terme. Le CEREMA est intervenu en ce sens en octobre 2017. Les objectifs de cette étude étaient de : • diagnostiquer l’aléa « éboulement rocheux » au droit de la zone, • vérifier l'adéquation de la parade en place (merlon) avec les éléments potentiellement mobilisés, • le cas échéant, proposer des solutions de mise en sécurité, • Sans diagnostiquer finement la barre rocheuse localisée légèrement au Sud des pinacles, vérifier l'impact de départs potentiels issus de cette barre sur la sente de randonnée, La phase « terrain » s'est déroulée au sein des pinacles et dans le versant. De ce travail, il en a découlé l’identification de plusieurs masses rocheuses potentiellement instables. Ensuite, s'appuyant sur cette phase « terrain », un modèle numérique de terrain 3D a été généré par photogrammétrie. Ce modèle a permis d’identifier et localiser les couloirs préférentiels de propagations potentielles. Des profils en 2D de ces couloirs ont ainsi pu être isolés du MNT. Se basant sur ces profils, et s'appuyant sur les éléments potentiellement instables identifiés lors de la phase « terrain », une étude trajectographique a été menée. Cette étude a rapidement montré qu’il était nécessaire de modifier le merlon ou de disposer des parades d’interception. En se basant sur les trajectoires les plus pénalisantes par profil, et en complément de l’ancrage des masses supérieures à 30 m3, le CEREMA propose plusieurs solutions se basant soit : → sur la modification du merlon en pied associée à la mise en place d’un écran de Classe VII implanté en aval de la base du compartiment 13, → soit sur la mise en place d’un écran de Classe VII implanté en aval de la base des pinacles associé à un écran déformable de Classe VII implanté en aval de la base du compartiment 13. Par ailleurs, le compartiment 14 situé au Sud du site d’étude, sera mis en sécurité par ancrages et purges. En parallèle de la sécurisation du site comme indiqué ci-avant, le CEREMA propose également une mise en sécurité du « front rocheux immédiatement en amont de l’estran ». Cette mise en sécurité se fera par la mise en place d’ancrages et des purges.
  226. Rapport d'étude (Ceremadoc) Sentier littoral. La Vesse - tunnel des Aragnols. Commune du Rove. Etude d'aléa chute de blocs

    Cette étude fait suite à une demande de la Direction Départementale des Bouches-du-Rhône (13), Arrondissement Maritime - Subdivision Littoral Elle a pour objectif d’évaluer le risque de chutes de blocs concernant une portion du sentier littoral entre La Vesse et le tunnel des Aragnols, de proposer des modifications possibles du tracé et de décrire les principes de solutions éventuelles à mettre en œuvre pour sécuriser la zone. Cette zone d'étude concerne environ 2 km du sentier littoral.
  227. Rapport d'étude (Ceremadoc) Adaptation du littoral grimaudois au changement climatique. Appel à partenariat Gestion intégrée du littoral

    L’objectif de l’étude est d’accompagner la commune de Grimaud dans sa réflexion sur l’adaptation de son littoral face au changement climatique. Ses activités littorales sont exposées aux aléas littoraux, il est nécessaire de l’anticiper et d’envisager les solutions possibles, notamment la relocalisation de certaines activités économiques et la requalification des espaces littoraux. Les travaux ont consisté à : - Caractériser et identifier les enjeux exposés aux aléas littoraux ; - Réaliser un diagnostic du foncier de la commune et en identifier le potentiel pour la relocalisation des activités ; - Proposer un cahier des charges des modalités de concertation à mettre en place concernant l’adaptation du littoral grimaudois face au changement climatique. Le présent document comprend : - Un bilan des connaissances concernant les aléas littoraux, l’identification des enjeux et leur exposition face aux risques ; - Un diagnostic foncier et la définition d’une méthodologie pour étudier les possibilités de relocalisation des activités ; - Un bilan des outils existants et acteurs mobilisables afin de concrétiser une réflexion de relocalisation. Une formation sur l’outil UrbanSimul a été réalisée auprès des agents des services Environnement et Urbanisme de la commune et de la communauté de communes du golfe de St Tropez (CCGST). Les modalités de concertation préconisées concernant l’adaptation du littoral grimaudois face au changement climatique, sont présentées dans une feuille de route qui fait l’objet d’un document annexé au présent rapport.
  228. Rapport d'étude (Ceremadoc) Utilisation d'un drone pour les missions de terrain de la DDTM 85 : Étude de faisabilité

    Les missions des Directions départementales des territoires et de la mer (DDTM) requièrent une grande expertise et une connaissance approfondie du domaine public maritime (DPM). Dans un contexte de ressources humaines limitées, les exigences croissantes des autorités départementales poussent les DDTM à s'orienter vers l'usage du drone pour compléter leur connaissances du DPM par l'observation, la mesure et la cartographie. Cette étude vise à accompagner la DDTM 85 sur la pertinence de se doter de l'outil drone ou d'externaliser cette nouvelle méthode d'observation dans l'éventail des outils terrain de la DDTM.
  229. Rapport d'étude (Ceremadoc) Numérisation des données Grau de la Dent avec NUNIEAU de 1996 à 2015.

    L'objet de cette prestation a été de numériser les données du marégraphe géré par la Compagnie des Salins du Midi au Grau de la Dent, petit port entre le grand Rhône et la pointe de Beauduc. Le Cerema Méditerranée (ex CETE Méditerranée) avait avant cette étude déjà numérisé des données de 1960 à 1995 sur ce marégraphe avec le logiciel NUNIEAU. Les données issues de ce travail au format numérique sont disponibles de 1996 à 2015 sauf quelques semaines manquantes (données manquantes, irrécupérables...) et surtout les années 2012 et 2013 non trouvées par la Compagnie des Salins du Midi. Cette période a été plus complexe à numériser, stylet défaillant, nombreux recalages sans indications, dérives de l'appareil et quelques pertes de qualité lié au pliage des feuilles. En synthèse, ces données sont exploitables pour l'analyse d'événements historiques en particulier les tempêtes, la réalisation d'analyses statistiques sur le niveau marin direct et sur les surcôtes (après vérification de quelques décalages temporels). En revanche, l'analyse de la remontée du niveau marin peut être réalisée avec énormément de précaution. Une analyse des évolutions des tempêtes est par contre envisageable.
  230. Rapport d'étude (Ceremadoc) Emploi des barrages contre les sargasses. Bilan et perspectives en Guadeloupe

    L’utilisation des barrages est envisagée en Guadeloupe en protection contre les sargasses. Basée sur une étude bibliographique et deux missions réalisées en juillet et en octobre 2019 avec l’appui de la Sous-préfecture et de la DEAL de la Guadeloupe, cette étude vise à : • présenter une typologie des barrages utilisés ou expérimentés en réponse à cette problématique ; • mettre en regard les conditions météocéaniques des côtes de la Guadeloupe avec les conditions de fonctionnement des barrages pour en tirer des conclusions quant à leur positionnement et leur exploitation ; • évaluer l’impact environnemental des barrages et le coût global de leur utilisation ; • dresser des perspectives pour l’emploi des barrages dans le cadre d’un schéma global d’intervention.
  231. Rapport d'étude (Ceremadoc) Adaptation of coastal flood protection systems - Conceptual contributions and research of methodological developments in the context of climate change and land planning

    Coastlines are subject to multiple developments related to land use planning and the effects of climate change, developments likely to generate a strong increase in the risk of coastal flooding. This PhD on published works focuses on systems to protect against this hazard, and presents: • a bibliographical analysis on the concepts, methods and strategies for adapting protection systems through strengthening their resilience. This analysis is based on the essential assumption that a coastal flood protection system is a social-ecological system; • in relation to the state of the art and with the aim of completing it, a summary presentation of the research that led to: ◦ the revision of the concept of a coastal flood protection system; ◦ the establishment of a methodological framework to strengthen the resilience of protection systems.
  232. Rapport d'étude (Ceremadoc) Adaptation des systèmes de protection contre les inondations côtières - Édition française du manuscrit de la thèse sur travaux : "Adaptation of coastal flood protection systems" - Marc IGIGABEL - Université Gustave Eiffel

    Les littoraux sont sujets à de multiples évolutions liées à l’aménagement des territoires et aux effets du changement climatique, évolutions susceptibles de générer un fort accroissement des risques d’inondation côtière. Cette thèse sur travaux traitant des systèmes de protection contre cet aléa comporte : • une analyse bibliographique sur les concepts, les méthodes et les stratégies destinés à l’adaptation des systèmes de protection par le renforcement de leur résilience. Cette analyse repose sur l’hypothèse essentielle qu’un système de protection contre les inondations côtières est un système socio-écologique ; • en relation avec l’état de l’art et dans l’objectif de le compléter, une présentation synthétique des recherches qui ont conduit à : ◦ réviser le concept de système de protection contre les inondations côtières ; ◦ établir un cadre méthodologique de nature à renforcer la résilience des systèmes de protection.
  233. Rapport d'étude (Ceremadoc) Lac de Naussac (Lozère). Mesure dynamique de la superficie

    Dans cette étude, de nombreuses images et produits satellitaires ont été considérés afin d’effectuer un suivi temporel fin de la superficie du lac, en complément des référentiels de l’IGN, fournis à une fréquence temporelle plus faible. Les images analysées sur la période 2018-2021 ainsi que la plupart des produits et bases de données fournissent des valeurs de superficie inférieure à 1000 hectares. Seule la BD CARTHAGE de 2017, qui semble surestimer la surface du lac, indique une valeur supérieure à ce seuil (1045 ha). Le lac de Naussac semble donc s’approcher de la limite de 1000 hectares à sa superficie maximale sans toutefois la dépasser. Par ailleurs, en extrapolant la relation entre altimétrie et superficie du lac, on estime qu’à la cote normale d’exploitation du barrage de 944,5 m, la superficie du lac serait égale à 995,4 ha ± 27 ha.
  234. Rapport d'étude (Ceremadoc) Étude de l’érosion du trait de côte suite aux tempêtes de l’hiver 2013/2014 dans le Finistère : Préconisations de suivi et de gestion du site de Boutrouilles - Commune de Kerlouan

    La phase 1 de l’étude (année 2015) a consisté en une analyse du fonctionnement du site réalisée à l’échelle de la cellule hydrosédimentaire en distinguant l’évolution événementielle de la dune et de la plage des évolutions à plus long terme. L’analyse des phénomènes d’une part et des enjeux d’autre part ne mettait pas en évidence une situation justifiant la mise en place de mesures lourdes de fixation du trait de côte. Elle préconisait à court comme à moyen termes la mise en place de mesure d’accompagnement des processus naturels. Le site de Boutrouilles est exemplaire pour son suivi réalisé depuis 2006 par le Laboratoire GEOMER – UMR 6554 LETG CNRS Institut Universitaire Européen de la Mer. Le protocole de suivi appliqué peut être repris et adapté à d’autres sites.
  235. Rapport d'étude (Ceremadoc) Étude de stabilité des sols suite aux tempêtes de l’hiver 2013/2014 dans le Finistère : diagnostic de risques de la SPPL Commune de Crozon

    Les sections de sentier littoral étudiées sur la commune de Crozon progressent pour la majeure partie en versant de falaise massive rocheuse ou reposent sur des dépôts meubles provenant de coulées périglaciaires. La succession d'épisodes de tempêtes durant l'hiver 2013-2014 a conduit aux recensements par les services de l’État d'un certain nombre de désordres ayant impliqué localement la fermeture du sentier littoral pour des raisons de sécurité des usagers. Le diagnostic de risques ainsi établi montre que ces désordres ont un impact direct sur le sentier littoral ou le menace en agissant sur le versant côtier et peuvent de ce fait, mettre en danger les usagers. Cette étude de risques met également en avant le travail des gestionnaires qui, pour la moitié des sections inspectées, ont déjà mis en place des mesures de sécurité, de retrait ou de délocalisation du sentier. Sur d'autres sites, de telles mesures sont à prévoir. Dans tous les cas, à une échéance de 15 ans, il paraît difficile de quantifier l'évolution du rivage sous influence des mécanismes d'érosion continentale et marine, et de ce fait d'anticiper le positionnement du sentier littoral à cette échéance. Il appartient donc aux gestionnaires de poursuivre leurs suivis et d'adapter en conséquence les mesures de préventions pour assurer la pérennité du sentier littoral.
  236. Rapport d'étude (Ceremadoc) Etude de l’intensité-durée-fréquence des houles et niveaux marins au large de Sète

    Les modélisations numériques de la submersion marine les plus complexes prennent en compte aujourd’hui les événements marins sur l’ensemble de leur durée, permettant de simuler la pénétration à terre des volumes d’eau de façon adéquate. Cette étude statistique a permis de construire des diagrammes synthétiques monofréquence des grandeurs marines (houle, surcote). Ces diagrammes décrivent l’évolution de la grandeur marine étudiée en fonction du temps lors d’un événement de période de retour donné. Ils sont élaborés pour une utilisation en entrée du modèle numérique de submersion marine sur le territoire du Syndicat Mixte du Bassin de Thau. L’analyse effectuée ici ne prend pas en compte des diagrammes présentant deux ou plusieurs pics. Sur la zone d’étude, seules les données de la base de données Anemoc-2 pour les houles et les données des marégraphes de Sète et de Grau de la Dent ont été utilisées. La comparaison de la base de données Anemoc-2 et des données des houlographes Candhis sur les événements forts communs montre qu’il est possible d’utiliser les houlogrammes synthètiques monofréquence produits dans cette étude. La comparaison des données des marégraphes de Sète et de Grau de la dent sur les événements forts ne plaide pas pour une utilisation directe des données du Grau de la Dent en remplacement des données de Sète.
  237. Rapport d'étude (Ceremadoc) Etude de la faisabilité pour la mise en place d'un observatoire régional du trait de côte : Partie I - Objectifs et état des lieux de l'existant. Partie II - Evaluation des besoins et des priorités régionales

    Les partenaires de la convention GTCSM (État et collectivités territoriales) souhaitent développer et encourager l'observation du trait de côte, dans le but d'approfondir les connaissances concernant l'évolution du trait de côte et les mouvements hydro-sédimentaires sur le littoral des Pays de la Loire, dans la logique de la récente stratégie nationale de gestion intégrée du trait de côte (2012). Un groupe de travail dédié à la problématique du littoral a été mis en place dans le cadre de GEOPAL. Dans ce contexte, la DREAL a demandé au CETE de l'Ouest de produire une étude de faisabilité pour la mise en place d'un observatoire régional s'appuyant sur les initiatives locales déjà en place ou émergentes. L'étude de faisabilité comporte trois parties : - La Partie I regroupe, après présentation du contexte et des objectifs de l'étude, des initiatives en cours dans le domaine de la gestion du trait de côte et un état des lieux des observatoires existants en France. Les différentes structures et méthodes d'observation utilisées sont analysées, en particulier les initiatives et travaux réalisés localement. Le fonctionnement des observatoires locaux déjà en place en Pays de la Loire est également présenté. - La Partie II comprend une analyse du littoral ligérien sous les angles de la géomorphologie, des enjeux présents et de la mobilité du trait de côte qui permet de proposer des secteurs à suivre en priorité. - En attente pour le moment, une Partie III est envisagée pour esquisser une proposition de mesures à mettre en œuvre, de forme de structure à organiser ainsi qu’une première estimation des moyens nécessaires à la mise en place de l'observatoire. Cette étude est le tout premier pas de la mise en place de l'observatoire régional, et devrait permettre par la suite d'approfondir et de préciser l'organisation à mettre en place, notamment en déterminant clairement le rôle de chaque partenaire, et en commençant à impliquer les acteurs concernés.
  238. Rapport d'étude (Ceremadoc) Apports des éléments historiques pour la connaissance des submersions marines sur le bassin de Thau

    Les modélisations numériques pour le calcul des submersions marines les plus complexes nécessitent de disposer d’un grand nombre d’éléments historiques de calage et de vérification pour ces calages. Après avoir effectué ces vérifications, il convient de bien comprendre le déroulement ou les conséquences d’évènements historiques pour proposer des scenarii possibles de modélisation en particulier pour des phénomènes de faible probabilité. Ce type d’approche nécessite d’étudier les évènements passés, avec des recherches documentaires dans les archives afin de disposer d’un maximum d’éléments factuels. Le Syndicat Mixte du Bassin de Thau (SMBT) a conventionné avec le Cerema Méditerranée pour conduire ce type d’analyse dans l’objectif de choisir des scénarios de modélisation de la submersion marine sur le territoire du SMBT. L’objectif de ce rapport n’est pas de fournir des valeurs ou principes figés mais de montrer les gammes de possibilités et de fournir des éléments de décision au SMBT, aux collectivités de son territoire et mettre à disposition de BRL des éléments pour les travaux en cours sur le projet VIGI-THAU sur les submersions marines.
  239. Rapport d'étude (Ceremadoc) Étude sur le recul du trait de côte sur le littoral de la Seine-Maritime 2018

    Cette étude commandée par la DDTM de Seine-Maritime sur le recul du trait de côte a pour objectifs de définir des projections du trait de côte à trois horizons 20, 50 et 100 ans et d’en déduire ensuite les enjeux potentiellement présents dans ces enveloppes et susceptibles d’être concernés par le recul du trait de côte à ces différentes échéances futures. Des tests ont été réalisés afin de caler la méthode qui a été validée par le comité de pilotage de l’étude réunissant l’université de Caen, le ROL, la DDTM et le Cerema. La méthode a consisté en une adaptation de l’indicateur national d’érosion côtière par une amélioration de la précision par casiers de 50m, par la prise en compte des événements majeurs, par la méthode de calculs à la fois par surface perdue et par distance max.
  240. Rapport d'étude (Ceremadoc) Retour d’expérience sur Xynthia : Analyse par photo-interprétation des clichés aériens de l’IGN (baie de l’Aiguillon)

    Le présent rapport rend compte de l’analyse stéréoscopique, à l’aide du logiciel GeoView ®, des clichés IGN post-Xynthia du secteur de la baie de l’Aiguillon. Cette étude a été commandée par la DGPR dans le cadre des retours d’expérience de l’événement Xynthia. Après un rappel du contexte de l’étude, de sa phase de préparation et de ses objectifs initiaux, le rapport présente la méthodologie mise en œuvre, les résultats obtenus, ainsi que les apports et limites de l’outil GeoView ® vis-à-vis de la connaissance de l’événement Xynthia dans une partie de la baie de l’Aiguillon (marais de la Dive). L’étude analyse les résultats vis-à-vis d’autres documents et données réalisés suite à l’événement Xynthia et met en évidence leur cohérence d’ensemble. Toutefois, la stéréoscopie numérique permet d’affiner la compréhension du déroulement de la submersion et de mieux cerner son enveloppe. L’outil GeoView ® est donc un outil potentiellement intéressant pour l’analyse d’événements de submersion, sous réserve d’une part, de fixer des objectifs atteignables dans un temps limité et d’autre part, de réaliser les clichés aériens le plus près possible de la date de l’événement.
  241. Rapport d'étude (Ceremadoc) RD912 - Etude de la sensibilité aux instabilités de la route de la corniche

    Cette étude a pour objectif d’étudier la stabilité et la sécurité de la route de la corniche (RD912) entre Ciboure et Hendaye, dont l'environnement immédiat présente un aléa localement fort à très fort d'instabilité de falaise. Il s’agit d’une mission d'expertise portant sur l'analyse de la sensibilité de la route vis-à-vis des phénomènes de mouvements de terrain (mécanismes redoutés, dangers encourus et niveau d'urgence). L’analyse se concentre sur l’examen des tronçons les plus vulnérables, identifiés comme prioritaires en raison de leur très fort niveau d’exposition aux aléas naturels. L’étude comprend un diagnostic du site, basé sur une analyse documentaire et une reconnaissance de terrain, la constitution d’un modèle géologique, la réalisation de calculs de stabilité et l’appréhension des effets de la houle sur la stabilité de la falaise.
  242. Rapport d'étude (Ceremadoc) Rapport sur le suivi du cordon de galets de la plage de Quiberville - exploitation des vols drone campagne 2019

    L’analyse photogrammétrique par drone de la plage de Quiberville – Sainte-Marguerite a pour but d’estimer l’évolution du cordon de galets au droit des ouvrages de défense contre la mer et d’évaluer l’impact des tempêtes sur le cordon de galets et le profil de la plage. L’objectif est de capitaliser les informations de manière à mieux cerner le fonctionnement du littoral notamment celui du cordon de galets dans une basse vallée.
  243. Rapport d'étude (Ceremadoc) Étude sur l’érosion côtière En aval des ouvrages majeurs en Seine Maritime

    Étude spatio-temporelle du trait de côte naturel en aval des ouvrages majeurs dans le secteur situé entre Sainte-Marguerite-sur-Mer et Mesnil Val en Seine Maritime. L’objectif de l’étude est d’identifier, si possible, l’impact de ces aménagements. Les moyens utilisés sont des prises de vue aériennes historiques et la reproduction de la méthode des casiers utilisée pour calculer l’indicateur national d’érosion côtière. Une tendance dans le comportement du trait de côte derrière les ouvrages est mise en évidence. Trait de côte en aval des ouvrages – Étude spatio-temporelle – mai 2018 2/
  244. Événement de calendrier Utilisation des produits Copernicus "cycles de la végétation" pour la biodiversité

    La suite de produits Copernicus HR-VPP (High Resolution Vegetation Phenology and Productivity) fournit des informations complètes sur l'état et la dynamique de la végétation. Elle comprend des paramètres en quasi-temps réel (tous les 10 jours) sur la productivité et la phénologie de la végétation, et des analyses rétrospectives des cycles annuels de croissance. Ces produits sont dérivés des observations Sentinel-2 (https://land.copernicus.eu/en/products/vegetation) Afin de faciliter l'utilisation des produits HR-VPP, le service Copernicus sur la surveillance des Terres (CLMS) organise une série de cinq webinaires thématiques qui se concentrent sur la manière dont les produits HR-VPP paneuropéens peuvent être utilisés dans différents domaines d'application. Ce cinquième webinaire HR-VPP se concentrera sur le thème de la biodiversité. La phénologie et la productivité de la végétation peuvent constituer un outil puissant de surveillance de la biodiversité en fournissant des informations sur la santé des écosystèmes, l'adéquation de l'habitat, les interactions entre les espèces et les schémas de biodiversité. Les données phénologiques du HR-VPP, avec une résolution de 10 mètres, fournissent des informations complètes sur la localisation et la santé des habitats, afin de soutenir les actions de conservation au niveau du paysage. Ordre du jour : 24 avril 2024 de 14.00 à 15.00 Brève introduction à HR-VPP - Bruno Smets, VITO Présentation d'un cas d'utilisation : Détection et surveillance des habitats - Bert De Roo & Bruno Smets, VITO Présentation d'un cas d'utilisation : EU Grassland Watch - Monitoring nature conservation - Stefan Kleeschulte, Space4Environment Discussion / Q&R - Tous Lien de connexion : https://zoom.us/j/94272716306 Pour s’inscrire : https://clmswebinarseries.eu/HR-VPP_Webinars
  245. ESN - Expertise Mes domaines d'intérets, compétences et centres d'intérêt

  246. Événement de calendrier DÉMYSTIFIER LES TECHNOLOGIES SPATIALES - L'action climatique

    Le projet SPACE4Cities vous accueille chaleureusement pour la deuxième édition de notre série de webinaires : "Démystifier les technologies spatiales pour les villes - L'action climatique". Cette deuxième session montrera l'application des technologies spatiales et des données pour résoudre les défis des villes liés au changement climatique et augmenter leur résilience face à celui-ci. Le webinaire sera enregistré et, par la suite, mis à la disposition des participants inscrits. Inscrivez-vous ici ! Au programme : 13:00-13:05 : Introduction à la série de webinaires (Alex Gluhak, Open and Agile Smart Cities) 13:05-13:15 : “Near Time CO2 Data for the City to Support Decision Making: A Case Study from the City of Dijon" (Pete Hampton, Everimpact) 13:15-13:30 : “Waterfront management: Minimising the impact of coastal erosion” (Aurélie Dehouck, I-sea) 13:30-13:45 : "Space data as a non-invasive tool to assess the vulnerability over Cultural heritage sites” (Georgia Kalousi, Terra Spatium). 13:45-14:15 : Questions aux intervenants et conclusion (animé par Alex Gluhak, Open and Agile Smart Cities) Contexte Le changement climatique représente un défi majeur pour les villes et les collectivités du monde entier. L'impact du changement climatique est déjà visible dans de nombreuses villes aujourd'hui et risque de s'aggraver à l'avenir. Par exemple, la hausse des températures mondiales entraîne une élévation du niveau des mers, ce qui augmente le nombre de phénomènes météorologiques extrêmes tels que les inondations, les sécheresses et les tempêtes, ou encore la propagation des maladies tropicales. Dans le même temps, les villes sont directement responsables du changement climatique en contribuant largement à l'émission de gaz à effet de serre. On estime que les activités urbaines sont responsables de 75 % des émissions mondiales de CO2, les transports et les bâtiments en étant les principales sources. Cette session présente des études de cas et des exemples de la manière dont les villes tirent parti de solutions basées sur les technologies satellitaires et d'autres avancées technologiques pour réduire leur impact sur le changement climatique et accroître leur résilience face à celui-ci.
  247. Événement de calendrier Érosion du littoral : Pouvons-nous agir ?

    Pour info et à toutes fins utiles, le Département Droit et transformations sociales de l’université de Bordaux organise ce soir à 18H un webinaire citoyen sur le thème " Érosion du littoral : Pouvons-nous agir ? " en visioconférence (lien de connexion : https://u-bordeaux-fr.zoom.us/webinar/register/WN_a_2hFEADTreT_YyMQeGZ8w ) Ce webinaire, à destination du grand public et de la communauté universitaire, aura pour objectif d'aborder les problématiques et conséquences de l'érosion du littoral, aussi bien pour les particuliers que les collectivités territoriales, mais aussi de revenir sur les outils proposés pour lutter contre ce phénomène. Les intervenants seront : - Frédéric Balaguer, Maître de conférences en droit public à l'ILD, Université de Bordeaux - Maître Perrine Bosc, Avocate au barreau de Bordeaux - Loïc Peyen, Maître de conférences en droit public à l'Université Toulouse Capitole - Caroline Sarrade, Directrice littoral et milieux naturels à la Communauté d'Agglomération du Pays Basque
  248. ESN - Expertise mes compétences et centres d'intérêt

  249. ESN - Expertise mes compétences et centres d'intérêt

  250. ESN - Expertise mes compétences et centres d'intérêt

  251. ESN - Expertise mes compétences et centres d'intérêt

  252. Page Web Résilience littorale et gestion adaptative de la bande côtière : contribuer à "La mer en débat"

    [Accès au replay de l'intervention résilience littorale lors d'une escale Normandie de La mer en débat] La Commission nationale du débat public a organisé plusieurs escales en Normandie et en Hauts-de-France. A Ouistreham, la réunion publique était ouverte par une intervention liminaire sur les enjeux de l'adaptation littorale par F. Gresselin (GIEC normand et DREAL Normandie). Jusqu'au 26 avril pour déposer des avis et contribuer à La mer en débat
  253. ESN - Expertise mes compétences et centres d'intérêt

  254. ESN - Expertise mes compétences et centres d'intérêt

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  280. ESN - Expertise mes compétences et centres d'intérêt

  281. ESN - Expertise Catégories - Abdallah Ben OMAR

  282. ESN - Expertise mes compétences et centres d'intérêt

  283. ESN - Expertise mes compétences et centres d'intérêt

  284. ESN - Expertise mes compétences et centres d'intérêt

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  300. ESN - Expertise mes compétences et centres d'intérêt

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  323. ESN - Expertise mes compétences et centres d'intérêt

  324. Événement de calendrier Rencontre annuelle sur la prévision et la surveillance mondiales des inondations

    Participez à la 3ème réunion annuelle du Copernicus Emergency Service (CEMS) sur la prévision et la surveillance des inondations dans le monde pour vous informer sur les dernières avancées et développements du Système mondial d'alerte inondations (GloFAS) du CEMS et sur les produits et données de la surveillance des inondations dans le monde (GFM) du CEMS. La réunion annuelle sera organisée en ligne sur deux demi-journées les 5 et 6 mars 2024, de 13h00 à 16h30. GloFAS est le système du service d'urgence Copernicus pour la sensibilisation aux inondations mondiales, préopérationnel depuis 2011 et pleinement opérationnel depuis avril 2018. GloFAS associe les prévisions météorologiques à moyen et long termes de l'ECMWF-ENS au modèle hydrologique LISFLOOD afin de fournir des prévisions probabilistes librement accessibles des inondations à venir jusqu'à 30 jours pour son réseau fluvial mondial. Le système Global flood monitoring (GFM) assure depuis 2021 une surveillance continue des inondations dans le monde entier en traitant et en analysant immédiatement toutes les données satellitaires SAR (Synthetic Aperture Radar) de Copernicus Sentinel-1. Le GFM étant un système entièrement automatisé, l'une de ses forces réside dans la rapidité de mise à disposition de ses produits. Pour découvrir GloFAS et le GFM : https://www.globalfloods.eu/glofas-forecasting/ Pour plus d'information et pour s'inscrire : https://www.globalfloods.eu/news/155-3rd-global-flood-forecasting-and-monitoring-annual-meeting-05-06-march-register-now/
  325. Événement de calendrier 26 MARS 2024 | WEBINAIRE LES DONNÉES SPATIALES POUR SUIVRE ET CONSERVER LES FORÊTS

    Sigogne – Agence régionale pour la biodiversité, IDéO BFC et l’Atelier de la donnée dat@UBFC unissent leurs forces aujourd’hui pour proposer ensemble une animation autour des données d’observation environnementales en Bourgogne-Franche-Comté. Cette initiative s’inscrit dans le dispositif d’animation régionale thématique (ART), proposé par l’IR Data Terra, pour soutenir les échanges entre scientifiques et utilisateurs des données d’observation de la Terre. Dans ce contexte, l’ART Bourgogne-Franche-Comté propose en 2024 un cycle de webinaires. Le premier est fixé le 26 mars 2024 — 11h à 12h 30 — sur le thème : Les données spatiales pour suivre et conserver les forêts. La thématique permet de mettre en avant l'expertise THEIA et celle présente sur le territoire. Programme provisoire Le webinaire ouvert à tous sera organisé autour de trois présentations de 10 mn, avec des temps d’échange : Utilisation des données Fordead pour le suivi des crises sanitaires résineuses sur le massif jurassien Guillaume Favand (ONF) & Florent Dumortier (DSF BFC) La présentation portera sur l’utilisation opérationnelle de la méthode Fordead, développée par Inrae et utilisant de l’imagerie satellitaire Sentinel-2, pour le suivi des crises sanitaires résineuses (épicéa et sapin) sur le massif jurassien. Quelles variables forestières utiles à la qualification des peuplements et à la gestion forestière peut-on modéliser à partir des nuages de points obtenus par le LIDAR HD IGN ? Guillaume Favant (ONF) La présentation illustrera l’utilisation des données LIDAR HD IGN pour le suivi des peuplements et la gestion forestière. Observatoire des forêts comtoises : acquisition des données de températures et nivologie Eric Bernard & Xavier Girardet (Université de Franche-Comté) La présentation portera sur l’utilisation par l’Observatoire des forêts comtoises des capteurs de température et de nivologie pour connaitre le bouleversement climatique des forêts du massif jurassien.