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  1. Référence documentaire Exercer la Gemapi dans le cadre d'une gestion globale de l'eau : Séminaire du 11 mai 2023

    Les territoires sont confrontés à la réduction de la ressource en eau, à l’augmentation des risques d’inondation et à l’érosion de la biodiversité. La Gemapi, en tant que compétence territoriale, peut apporter des réponses en favorisant une gestion intégrée par bassin-versant, une synergie entre les différentes compétences de l’eau et le recours aux solutions fondées sur la nature. Suite de l’appel à partenariat « Exercer la Gemapi dans le cadre d’une gestion globale de l’eau, pour une plus grande résilience des territoires » lancé en 2021, le séminaire de mai 2023 a amorcé les échanges sur les attentes prioritaires des territoires pour répondre au double défi de la préservation de la ressource en eau et de la biodiversité.
  2. Référence documentaire Les toitures végétalisées

    Les toitures végétalisées sont des aménagements composés de végétaux, de leur substrat, de couches de drainage et d’étanchéité, sur la surface plane ou légèrement inclinée d’un toit. On en distingue trois types en fonction de l’épaisseur de substrat et du type de végétation : les toitures extensives, semi-intensives et intensives.
  3. Référence documentaire Gestion des milieux aquatiques et prévention des inondations : Fiche n° 3 : Panorama des financements de la compétence Gemapi

    L'entretien de mares, la gestion de systèmes d'endiguement, la restauration de berges ou de zones humides, la production d'études ou le fonctionnement d'une unité dédiée peuvent constituer des charges importantes pour les collectivités compétentes au titre de la gestion des milieux aquatiques et prévention des inondations (Gemapi). Cette fiche technique, illustrée par plusieurs retours d'expériences, présente les ressources mobilisables ainsi que les possibilités de structuration du budget prévues par la loi pour financer l'exercice de la Gemapi.
  4. Référence documentaire Étude de dangers de systèmes d'endiguement - Concepts et principes de réalisation des études

    Les systèmes d'endiguement font l'objet d'une réglementation spécifique en raison des risques qu'ils génèrent, notamment pour la sécurité des riverains, de leurs effets potentiellement indésirables sur l'environnement et de la nécessaire justification de la protection qu'ils doivent apporter contre les inondations. Ils sont ainsi soumis à des dispositions réglementaires particulières dont la réalisation d'études de dangers. Ce document traite du contenu et de l'élaboration des études de dangers appliquées aux systèmes d'endiguement ayant une vocation de défense contre les inondations fluviales et maritimes. Il a pour objectifs de présenter aux gestionnaires de systèmes d'endiguement : le cadre conceptuel, réglementaire et technique de ces études ; leurs principes et modalités de réalisation ; les outils disponibles et mobilisables pour leur élaboration ; enfin les produits générés par la réalisation de telles études.
  5. Référence documentaire Le Grand Narbonne expérimente l’urbanisme pluvial

    Pour favoriser une gestion alternative des eaux pluviales, les collectivités doivent intégrer la désimperméabilisation des sols dans les documents d’urbanisme. Cela nécessite un travail important de collecte des données et de modélisation. Exemple avec le Grand Narbonne.
  6. Référence documentaire Reconstruire un territoire moins vulnérable après une inondation : une fenêtre d’opportunité encore difficilement mobilisable

    La gestion des risques peut être abordée de manière cyclique : le temps de la prévention en pré-catastrophe, la gestion de crise durant la catastrophe et la reconstruction du territoire en post-catastrophe. La « pré-catastrophe » et la « catastrophe » sont les deux phases les plus étudiées et concentrent également la majorité des ressources et des outils de gestion des risques. Peu anticipée et complexe, la post-catastrophe est marquée par la participation d'un large panel d'acteurs et le souhait commun d'un retour à l'état ante-catastrophe, amenant une reconstruction à l’identique. La période « post-inondation » pourrait cependant constituer une opportunité de réaménager un territoire sinistré afin de réduire sa vulnérabilité vis-à-vis d’un nouvel événement. Afin d'explorer cette hypothèse, ce travail consiste à analyser les temps structurant la phase post-inondation à partir d'un travail bibliographique, éclairé par plusieurs retours d'expériences centrés sur la post-catastrophe. Cela nous permettra de mieux comprendre le contexte de la post-catastrophe et la notion de reconstruction dans ce contexte particulier.
  7. Référence documentaire Stratégies d'adaptation et réduction de la vulnérabilité : exemples de l'évolution des rives dans la vallée du Rhône et de la Saône

    La réduction de la vulnérabilité vis-à-vis des inondations est souvent présentée comme un objectif. Toutefois, le nombre d’habitations construites en zones inondables ne cesse d’augmenter, montrant l’inefficacité des stratégies globales/nationales de réduction des risques et la tendance à souvent négliger les évolutions des environnements naturels. Confrontées à de multiples difficultés, nos sociétés tentent de résoudre dans l’urgence les problèmes avec pour priorité légitime, les crises sociales. Or, comme le montrent les exemples de Condrieu et de Chalon-sur-Saône, les mutations et les crises sociales sont souvent le moment où se prépare la vulnérabilité à venir. L’évolution urbaine des territoires soumis au risque inondation que nous avons étudié a été fortement conditionnée par la réponse à des mutations socio-économiques comme : (1) l’exode rural, (2) la nécessité de loger les classes populaires, (3) la volonté de redynamiser les territoires lors des crises socio-économiques (crises pétrolières et de l’industrie chimique, crise agricole, etc.). La relation de causalité entre crise sociale et crise « naturelle » provient ici de la gestion séparée des risques sociaux et environnementaux, comme si ceux-ci étaient indépendants. C’est pourquoi, les stratégies d’adaptation vis-à-vis des risques environnementaux, et du risque inondation en particulier, doivent être réfléchies conjointement à la résolution des crises sociales sous peine de répéter indéfiniment le cycle qui conduit des crises sociales vers les crises environnementales.
  8. Référence documentaire Appropriation des notions de vulnérabilité et de résilience : enseignements de 3 territoires inondables

    A partir d'une cinquantaine d'entretiens menés auprès de professionnels et d'habitants dans trois sites confrontés à une problématique d'inondation récurrente, nous examinons si les mots résilience et vulnérabilité apparaissent spontanément dans les témoignages et quel contenu les interviewés leur donnent. Pour la résilience, notre référence est la définition donnée par Boris Cyrulnick : « La résilience est la capacité d'une personne ou d'un groupe à se projeter dans l'avenir en dépit d'événements déstabilisants, de conditions de vie difficiles, de traumatismes parfois sévères. ». Les sites étudiés sont le val de Loire entre les communes d'Angers et de Saumur, la presqu'île d'Ambès en Gironde et la vallée de l'Argens dans le Var. Il apparaît que pour utiliser le concept de résilience spontanément, il faut avoir été initié. L’usage du terme vulnérabilité est plus courant. Le concept de résilience apparaît trop flou ou trop complexe pour servir au dialogue local. Certains l'utilisent quand même dans le but de porter l'idée que le territoire et la société doivent changer. Un glissement s’est produit entre le concept initial et la façon dont il est reçu localement.
  9. Référence documentaire De l’inondation au projet de territoire

    Qu’il s’agisse d’aménagements neufs ou de renouvellement, la conception des projets urbains requiert l’atteinte d’un équilibre parfois complexe. Emploi, mobilité, enjeux environnementaux, gouvernance locale, risques, changements climatiques sont autant de dimensions à intégrer dans un cadre financier contraint. La recherche de synergies entre politiques et financements devient un élément décisif. À ce titre, la gestion intégrée de l’eau et des inondations, et sa mise en perspective avec les objectifs des acteurs locaux, peut constituer un moteur pour l’action territoriale. À Vichy Communauté, la collectivité a ainsi développé une dimension spécifique à l’eau dans son projet de territoire. Elle s’est notamment appuyée sur un diagnostic de vulnérabilité aux inondations et une stratégie locale réalisés en 2016. Cette approche se traduit d’ores et déjà en réalisations concrètes et en financements associés pour plusieurs projets d’aménagement.