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  1. Référence documentaire Assises du Port du futur 2022. Accélérer la transition écologique : la solution face aux crises ?

    Depuis 2011 les Assises Port du futur rassemblent les décideurs, les responsables des ports, les industriels, les opérateurs de services de transport et les chercheurs pour travailler et échanger sur les enjeux portuaires d’aujourd’hui et de demain. L’édition 2022 organisée à Lorient (56) a permis de faire le bilan des crises successives – Covid-19 et guerre russo-ukrainienne – qui ont bouleversé le monde et les ports français depuis 2020. Entre agilité et résilience, transitaires, compagnies maritimes, chargeurs et chercheurs partagent leurs expériences et livrent des enseignements pour s’engager durablement dans la transition écologique.
  2. Référence documentaire Pistes (des) pour fluidifier le fret fluvial

    Développer le transport de marchandises par voie d’eau nécessite d’améliorer les connaissances en matière de marées, de profondeur d’eau disponible et différents paramètres concernant les navires.
  3. Référence documentaire Pont sur le canal de la Langlade sur la RN 568 : N°42419-1

    Le Cerema est intervenu pour le compte de la Dir Méditerranée pour réaliser une inspection subaquatique, afin d’effectuer le diagnostic des parties immergées du Pont sur le canal de Langlade sur la RN568. Dans ce document, nous identifions les éventuels désordres et proposons des mesures conservatoires nécessaires à assurer la pérennité de l’ouvrage le cas échéant.
  4. Référence documentaire Filières industrielles et projets stratégiques des Grands Ports Maritimes : Rapport de synthèse

    Cette étude sur le volet industriel des projets stratégiques portuaires a pour objectif : ● d'avoir une meilleure connaissance de l'évolution des enjeux et des pratiques, dans les différentes filières à enjeux, traditionnelles ou émergentes, ● de mieux en appréhender les déclinaisons portuaires « territorialisées », ● de promouvoir la diffusion des connaissances au sein du réseau portuaire, GPM et autres ports, ● de faciliter la mutualisation des études et démarches méthodologiques engagées par les ports, l’appropriation par eux d’études et démarches portées par d’autres acteurs. Elle se présente sous la forme d’une série de synthèses sur le volet industriel des ports dans les projets stratégiques. Ce travail est à usage interne et ne prévoit pas la réalisation de supports de diffusion. Il s’agit de mobiliser au mieux les ressources disponibles et non d’engager des études ou recherches nouvelles sur les filières. La démarche repose sur trois parties spécifiques et complémentaires : Partie 1 : Une synthèse cartographique des hinterlands des grands ports maritimes par département et par filière à partir des données des Douanes de 2013. Cette cartographie est accompagnée d’une représentation de l’évolution des valeurs ajoutées dans les régions hébergeant des GPM, par filière de 2000 à 2012 selon les données de l’INSEE. Cette partie fournie un cadrage de référence pour mieux appréhender le positionnement des ports quant aux filières qu’ils entendent soutenir dans leur projet stratégique. Partie 2 : Une synthèse du volet industriel des projets stratégiques des GPM, déclinée par port et par filière avec une indication du niveau d’enjeu et des types d’actions envisagés ou engagés par les autorités portuaires, permettant une lecture croisée du positionnement des ports. Partie 3 : Une synthèse sur quelques filières à enjeux pour les GPM, construite sur un plan-type, sachant que les spécificités de chacune des filières peut conduire à des adaptations. Ce document rassemble les parties 1 et 2.
  5. Référence documentaire Visite technique approfondie. Val de Cisse Amont : Digue de classe B, Campagne 2015

    Ce rapport présente la visite technique approfondie de la digue du Val de Cisse amont qui protège contre les inondations le Val de Cisse dans le département du Loir et Cher (37). La digue du Val de Cisse se situe en rive droite de la Loire et représente un linéaire de 20 324 mètres, compris entre la borne BR 119 DD située à l’extrémité aval de la commune de Blois jusqu’à la borne BR 140 DD correspondant à la limite départementale avec l'Indre-et-Loire. Outre sa fonction principale de protection contre les inondations, la digue sert également d'axe routier avec la présence en crête de la route départementale D952 reliant Blois et Tours. Selon ces caractéristiques, la digue du Val de Cisse est considérée comme un ouvrage de classe B au titre du décret n° 2007-1735 du 11 décembre 2007. La visite technique approfondie réalisée par la Direction territoriale Ouest du Cerema au titre de la campagne 2015 montre une digue correctement entretenue et bien suivie par son gestionnaire (DDT 41). Des travaux d’entretien et de réparation restent toutefois à mener ainsi qu’une réflexion approfondie sur les méthodes de fauchage de certaines zones du talus côté Val.
  6. Référence documentaire Endiguement rive droite de la Rivière des Pluies. Visite technique approfondie 2017

    La présente visite technique approfondie (VTA) a été réalisée par le Cerema les 8 et 11 septembre 2017. L'objectif est la surveillance de la digue de la Rivière des Pluies sur l'île de La réunion, cette dernière ayant subi 3 crues d'intensité. Cette VTA s'est déroulée une semaine après une de ces crues.
  7. Référence documentaire Levée de la Divatte - Digue de classe B : Visite Technique Initiale 2016

    Ce rapport présente la visite technique initiale de la digue de la Divatte, digue qui protège contre les inondations le val de la Divatte en amont de l’agglomération Nantaise, en Loire-Atlantique (44). La digue du val de la Divatte se situe en rive gauche de la Loire. Elle s’étend sur 16,1 km du nord-est de La Chapelle Basse-Mer (au lieu-dit Port Moron) à Saint-Sébastien-sur-Loire. Elle se décompose en deux tronçons : • un tronçon géré par le Conseil Départemental de Loire Atlantique, qui s’étend sur 13,6 km entre La Chapelle Basse-Mer et l’échangeur de Bellevue (Basse-Goulaine), avec un mur de revanche côté Loire, • un tronçon géré par la DIR Ouest, dont le tracé est plus complexe avec un mur en limite de l’échangeur et du périphérique faisant office de mur de revanche, et qui s’étend sur 2,5 km à partir de l’échangeur de Bellevue. La zone protégée par l’ensemble du système de protection du val de la Divatte rassemble environ 22 000 habitants et environ 6500 salariés. Les deux tiers de la rive gauche du val de la Divatte sont occupés par des cultures maraîchères. Une vingtaine d’enjeux sensibles (établissements scolaires, médico-sociaux, hôpitaux) et dizaine d’enjeux nécessaires à la gestion de crise (mairies, gendarmeries, pompiers…) sont implantés dans le val. Les enjeux les plus importants sont concentrés entre la Chapelle Basse-Mer et Saint-Juliende-Concelles où l’on recense des activités de métallerie, de mécanique ainsi que l’ensemble des sièges d’exploitation des maraîchers et des entreprises. La digue du val de la Divatte est une digue de classe B au titre du décret n° 2015–526 du 12 mai 2015 et de l’article R.214-113 du code de l’environnement.